Gesamtausgabe (MEGA): Band 30 Oktober 1889 bis November 1890 9783050094618, 9783050060248

This volume contains the 405 letters preserved from the correspondence between Friedrich Engels and about 130 correspond

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Gesamtausgabe (MEGA): Band 30 Oktober 1889 bis November 1890
 9783050094618, 9783050060248

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KARL MARX FRIEDRICH ENGELS GESAMTAUSGABE (MEGA) DRITTE ABTEILUNG BRIEFWECHSEL BAND 30

HERAUSGEGEBEN VON DER INTERNATIONALEN MARX-ENGELS-STIFTUNG AMSTERDAM

FRIEDRICH ENGELS BRIEFWECHSEL OKTOBER 1889 BIS NOVEMBER 1890 TEXT Bearbeitet von Gerd Callesen und Svetlana Gavril’cˇenko Unter Mitarbeit von Regina Roth und Renate Merkel-Melis †

AKADEMIE VERLAG 2013

Internationale Marx-Engels-Stiftung Vorstand Beatrix Bouvier, Marcel van der Linden, Herfried Münkler, Andrej Sorokin

Redaktionskommission Georgij Bagaturija, Beatrix Bouvier, Fangguo Chai, Marcel van der Linden, Jürgen Herres, Gerald Hubmann, Götz Langkau, Manfred Neuhaus, Izumi Omura, Teinosuke Otani, Ljudmila Vasina, Carl-Erich Vollgraf

Wissenschaftlicher Beirat Andreas Arndt, Shlomo Avineri, Harald Bluhm, Warren Breckman, Gerd Callesen, Iring Fetscher, Patrick Fridenson, Carlos B. Gutie´rrez, Hans-Peter Harstick, Rahel Jaeggi, Hermann Klenner, Jürgen Kocka, Nikolaj Lapin, Hermann Lübbe, Teodor Ojzerman, Bertell Ollman, Michael Quante, Pedro Ribas, Bertram Schefold, Wolfgang Schieder, Hans Schilar, Walter Schmidt, Gareth Stedman Jones, Immanuel Wallerstein, Jianhua Wei Dieser Band wurde im Rahmen der gemeinsamen Forschungsförderung im Akademienprogramm mit Mitteln des Bundesministeriums für Bildung und Forschung und der Senatsverwaltung für Wirtschaft, Technologie und Forschung des Landes Berlin erarbeitet.

Bibliografische Information der Deutschen Nationalbibliothek Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet diese Publikation in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte bibliografische Daten sind im Internet über http://dnb.dnb.de abrufbar.

© Akademie Verlag GmbH, Berlin 2013 Ein Unternehmen von De Gruyter www.degruyter.com/akademie

Das Werk einschließlich aller Abbildungen ist urheberrechtlich geschützt. Jede Verwertung außerhalb der Grenzen des Urheberrechtsgesetzes ist ohne Zustimmung des Verlages unzulässig und strafbar. Das gilt insbesondere für Vervielfältigungen, Übersetzungen, Mikroverfilmungen und die Einspeicherung und Bearbeitung in elektronischen Systemen. Gesamtherstellung: pagina GmbH, Tübingen Das eingesetzte Papier ist alterungsbeständig nach DIN/ISO 9706. ISBN 978-3-05-006024-8

1 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 3. Oktober 1889

Londres le 3 Oct 89 Mon cher Lafargue,

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Apre`s tout le seul parti qui peut constater un accroissement de forces dans les e´lections c’est le noˆtre. Nous comptons – et nos renseignements sont tre`s incomplets – 60 000 voix re´unies sur nos candidats, i. e. ceux des groupes repre´sente´s a` notre congre`s, et de plus 19 000 qui probablement nous appartiennent (les candidats n’e´tant ni possibilistes, ni ˙˙˙˙˙ ˙ ˙sans «radicaux socialistes») mais que nous n’osons pas nous approprier nouvel avis. Mais comment se fait-il qu’on nous laisse ici sans autres renseignements de statistique e´lectorale que ceux des journaux bourgeois ou` il nous est impossible de de´meˆler la position de tous ces candidats inconnus ? Comment savoir quel chiffre de voix nous appartient quand les journaux ne classifient les candidats que de la manie`re la plus vague ? Il me paraıˆt cependant que les socialistes allemands & anglais valent bien la ˙ ˙ ˙vos ˙˙˙ ˙ ˙faits & gestes, puisque vous n’avez peine d’eˆtre tenus au courant de pas de journal qui les leur communique. Et vous savez que nous tous ici nous sommes preˆts de travailler dans l’inte´reˆt de votre parti, et que nous avons fait cela toujours et de toutes nos forces; mais si messieurs les Franc¸ais ne veulent pas se donner la peine de nous tenir informe´s sur las cosas de Francia, nous sommes impuissants et plus d’un entre nous se lassera d’un travail si peu appre´cie´ par les gens pour lesquels il est fait. Envoyez-nous donc, aussitoˆt que possible apre`s les ballottages, une liste comple`te des candidats socialistes appartenant aux groupes repre´sente´s a` notre Congre`s, et des autres soc. (s’il y en a) ni poss., ni rad. soc., avec le chiffre des voix re´unies sur chacun tant au 1er quant au 2e tour. Nous ne pouvons nous exposer ici d’avoir nos donne´es conteste´es par les Hyndman &c. et ce serait le cas si de nouveau nous serions re´duits a` nos propres sources d’information. Vous avez, au congre`s, forme´ un Conseil national, qui a pris certaines re´solutions. Personne de vous n’a juge´ ne´cessaire de nous dire un mot de

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1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

tout cela; si je ne l’avais trouve´ par hasard dans le Socialista de Madrid, ˙˙˙˙ ˙ cela n’aurait pas e´te´ publie´ ni dans le Social Demokrat˙ ˙allemand ni dans ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ le Labour Elector – et encore deux mois apre`s le fait. Vous devez voir vous-meˆme qu’avec cette manie`re de proce´der, vous faites trop beau jeu aux possib. et a` leurs amis d’ici. J’ai e´crit a` Bebel pour qu’on envoie quelque argent pour l’e´lection de Guesde dont j’appre´cie parfaitement l’importance. J’espe`re que cela sera vote´, mais il faut conside´rer que les Allemands ont de´ja` donne´ fr. 500 pour le Congre`s, 1000 pour Saint E´tienne, 900 pour le rapport du Congre`s (dont la premie`re livraison ne fait pas trop d’honneur a` ceux qui l’ont faite, et qui, dirait-on, se sont donne´s une peine excessive pour estropier les noms), 2500 pour le journal suisse pour lequel ils re´servent, en outre, plus de 3500 fr. Cela fait 8400 fr. vote´s pour des objets internationaux, et cela la veille de leur propre e´lection ge´ne´rale ! Et apre`s tous ces sacrifices M. Jaclard les insulte gratuitement dans la Voix en les appelant des machines qui votent par Commandement ! Comme si c’e´tait la faute des Allemands que les ouvriers de Paris sont ou possibilistes ou radicadets ou boulangistes ou rien du tout ! Il paraıˆt que (aux yeux de M. Jaclard) la capacite´ des Allemands d’accepter un vote de majorite´ et d’agir ensemble constitue en lui-meˆme de´ja` une insulte pour MM. les Parisiens, et que si Paris pie´tine sur place il est de´fendu aux autres de marcher en avant ! Mais si je me rappelle bien, M. Jaclard est blanquiste, et doit par conse´quent regarder Paris comme ville sainte, Je´rusalem & Rome en meˆme temps. Pour revenir aux e´lections. S’il est exact que Guesde & Thivrier ont des chances & s’ils re´ussissent nous serons bien mieux place´s dans la chambre que les Poss. – Baudin paraıˆt suˆr, puis il y a Cluseret, Boyer, Basly dont l’un ou l’autre re´ussira, & avec 4 ou 5 d’entre eux Guesde pourra former un groupe, qui non seulement fera son impression sur la chambre & le public, mais aussi mettra les poss. dans une droˆle de position. C’e´tait la coexistence, dans le Reichstag, de de´pute´s des noˆtres & des Lassalliens qui plus de toute autre circonstance forc¸a l’union des deux groupes, c.a`-d. la capitulation des Lassalliens. De meˆme notre groupe serait le plus fort et finirait par forcer les Dumay & Joffrin dans sa sphe`re d’attraction, de sorte que les chefs poss. auraient le choix ou de capituler ou d’abdiquer. Cela, en attendant, est de la musique de l’avenir. Mais ce qui est certain c’est que le boulangisme est in extremis. Et cela me paraıˆt fort important. C’e´tait la troisie`me attaque de la fie`vre bonapartiste; la premie`re avec un vrai et grand Bonaparte; la seconde, avec le faux ditto; la troi-

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sie`me, avec un homme pas meˆme faux Bonaparte mais simplement faux he´ros, faux ge´ne´ral, faux tout, et dont la partie principale e´tait son cheval noir. Et meˆme avec ce charlatan chevalier d’industrie la chose e´tait dangereuse – vous le savez mieux que moi; mais l’attaque aigue¨, la crise est de´passe´e, et nous pouvons espe´rer que le peuple franc¸ais n’aura plus de ces fie`vres ce´sariennes. C’est une preuve que sa constitution est devenue bien plus robuste qu’en 1848. Mais la chambre a e´te´ e´lue contre le boulangisme et elle s’en ressent; ce caracte`re ne´gatif lui sera inhe´rent, et je doute si elle sera capable de vivre jusqu’a` son terme naturel. A moins que la majorite´ elle-meˆme ne se convainque de la ne´cessite´ d’une re´vision constitutionnelle, elle devra bientoˆt eˆtre remplace´e d’une nouvelle chambre avec majorite´ re´visionniste, mais antiboulangiste. Vous qui devez connaıˆtre mieux les e´le´ments de la nouvelle majorite´, vous pourrez me dire si je me trompe. Mais je crois que s’il n’y avait pas eu d’e´pisode boulangiste, il y aurait eu de´ja` maintenant majorite´ ou du moins forte minorite´ re´visionniste re´publicaine. Tout cela s’il n’y a pas guerre. La de´faite du humbug de Portland Place la retardera du moins; mais les armements croissants de toutes les puissances y poussent de l’autre coˆte´. Et s’il y a guerre, adieu mouvement socialiste pour quelque temps. Partout nous serons e´crase´s, de´sorganise´s, prive´s de la liberte´ de nos coudes. La France attache´e au char de la Russie ne pourra bouger, devra abdiquer toute pre´tention re´volutionnaire sous peine de voir son allie´ passer dans l’autre camp: les forces a` peu pre`s e´gales de part et d’autre, et l’Angleterre en mesure de faire pencher la balance du coˆte´ ou` elle se placera. Cela vaut pour les deux ou trois ans devant nous; mais si la guerre e´clate plus tard, je parie que les Allemands seront battus a` plate couture, car dans 3–4 ans le jeune Guillaume aura remplace´ tous les bons ge´ne´raux par des favoris, imbe´ciles ou de faux ge´nies comme ceux qui dirigeaient les Autrichiens & les Russes a` Austerlitz et qui portent des recettes pour des miracles militaires dans leurs poches. Et cette gent pullule en ce moment a` Berlin, et elle a beaucoup de chances d’arriver, car le jeune Guillaume lui-meˆme en est. Embrassez Laura pour Nim et moi. Je lui e´crirai bientoˆt. Bien a` vous F. E.

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2 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf London, Donnerstag, 3. Oktober 1889 (Entwurf)

3 Okt 89 Lieber Liebknecht. An Bebel habe ich sofort nach Erhalt der Gewißheit ˙˙ ˙ ˙Guesde ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙in˙ ˙der ˙ ˙ Stichwahl, d. h. gestern vor 8 Tagen sehr dringend daß geschrieben. Was beschlossen wurde weiß ich nicht. Deinen Brief von Paris betreffend, bleibe ich in Beziehung auf Dein Verhalten in Beziehung auf den Kongreß im März & April ebenso fest bei meiner Meinung wie Du bei der Deinigen. Es ist also nutzlos über Vergangnes zu zanken. Was die Schlesingeriade angeht so wird es mich sehr freuen wenn Du sie glücklich wieder loswerden solltest. Inzwischen hast Du gesehn daß die Sache doch nicht so zu vertuschen ist, & hast eine Erklärung erlassen müssen, die mich sehr freut. Hättest Du sie gleich erlassen so war uns Beiden diese unangenehme Korrespondenz erspart. Ich weiß so gut wie Du, & Du weißt sogut wie ich daß es keineswegs bloß Kautsky & ich waren die es für einen Skandal ansahen daß Dein Name so einer Schrift von so einem schoflen Kerl zur Deckung diente. Jedenfalls überhebt Deine Erklärung mich der Nothwendigkeit dies Machwerk selbst zu kritisiren. Gekennzeichnet aber muß & wird es werden grade weil Dein Name unglücklicher Weise darauf gerathen ist, & zwar nicht bloß als Verleger sondern als Herausgeber. Auch ich sehe Guesde’s Wahl für höchst wichtig an. Die Wahlen sind, was die Stimmenzahl angeht, sehr günstig für uns ausgefallen, ich rechne 60 000 heraus die uns (den auf unserem Kongreß Vertretnen) sicher, & ˙ ˙ ˙ ˙gehören gegen etwa 43 000 pos18 000 weitere die uns wahrscheinlich sibilistische in ganz Fkch. Baudin scheint sicher, ferner Boyer, Cluseret & ˙ ˙ ˙˙˙˙˙˙˙ ˙daneben ˙˙ Ferroul, noch ein paar die gute Aussichten haben. Kommt dazu Guesde so wird er das Zeug haben sie alle um sich zu gruppiren. Dann kommen die Possibilisten Joffrin & Dumay in die Lage wie 1874 die Las˙ ˙ ˙˙˙˙˙ & ˙ ˙ dann, aber auch nur dann kann davon die Rede salleaner im Reichstag ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ sein mit ihnen zu verfahren wie mit den Lass. in Deutschland verfahren wurde; und es ist Bedingung des Erfolgs daß sie bis dahin als Feinde

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2. Engels an Wilhelm Liebknecht · 3. Oktober 1889 (Entwurf)

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behandelt & vermöbelt werden, daß sie die Macht der Unsren respektiren lernen. Jedenfalls ist der Boulangismus kaput & wird vermuthlich bei den Stichwahlen noch mehr Hiebe bekommen, falls nicht die abgeschmackte Annullirung der Stimmen in Montmartre ihm wenigstens in Paris neuen Anhang schafft. Wenn dann die russ. Gelder ausbleiben wird le brave Ge´ne´ral von Portland Place nach Soho ziehen oder ein paar Zimmer bei Leßner miethen müssen. Grüß Deine Frau & Theodor Dein

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3 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Samstag, 5. Oktober 1889

Lieber Engels! ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Brief erhalten. – Für Guesde sind 500 Frs. „locker gemacht“. Hoffentlich nutzt’s. – ˙ ˙i˙r˙e nur die Bemerkung, daß schon vor Monaten, d. h. bei Betr. der Schlesinger Affa ˙ ˙ ˙ ˙ Hefts ˙ ˙˙ ˙ nach der in Folge ˙ ˙ ˙dieser Geschichte von mir veranErscheinen des ˙ersten laßten Suspension, das Desavou bereits öffentlich erfolgt war. Und dies wußten die Klatscher. Mit einem ehrlichen Wort war von Anfang an Alles aufs Leichteste zu regeln. – Von meinem Jungen seit seiner Abreise von London erst ein paar Zeilen aus Paris. Auf dem Meer ist er tüchtig geschüttelt worden, bekam jedoch die Seekrankheit nicht. Dir & Lehnchen Dank für die freundliche Aufnahme Theodors, und viele Grüße von meiner Frau & Deinem W. L. Bdf. 5.10.89. Fr. Engels Esq. 122 Regents Park Road. London. (England)

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4 Henry Hyde Champion an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 6. Oktober 1889

6th Oct. 1889 Dear Mr. Engels,

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I am sorry that I was not able last week to print the translation of your article which Dr Aveling sent me. We had to print 23,000 copies and, with my feeble mechanical resources that meant going to press on Tuesday. But I shall be very glad to publish it this week and shall take it as a great favour if you will let Dr Aveling send me a translation of anything else you write. I was unable to go to the supper last night at Grays Inn Road Yours sincerely HHChampion

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5 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 7. Oktober 1889

Le Perreux 7/10/89 Mon cher Engels, La de´route boulangiste et socialiste n’a fait que continuer. Guesde a` Marseille est battu en ne gagnant que quelques centaines de voix; Basly le seul de´pute´ socialiste qui euˆt fait quelque chose pour les ouvriers est battu par un boulangiste inconnu dans un des quartiers les plus mise´rables de Paris. La question au 22 septembre et au 6 octobre se posait entre re´publicains et anti-re´publicains (boulangistes, monarchistes, bonapartistes etc.); c’est la seule manie`re d’expliquer la de´plorable de´faite du socialisme, quand en re´alite´ le socialisme gagne du terrain, ainsi que le prouve le nombre de conseillers municipaux socialistes. Partout ou` un ve´ritable socialiste, comme Guesde, Vaillant, Dormoy etc. s’est pre´sente´ il a e´te´ mise´rablement battu; ceux qui comme Ferroul, Cluseret ont passe´ malgre´ l’e´pithe`te de socialiste, n’ont de socialiste que le nom. Les deux seules e´lections socialistes sont celles de Baudin dans le Cher et de Thivrier dans l’Allier. Le boulangisme a rendu d’immenses services aux re´publicains bourgeois, il a permis a` Floquet et Co d’arriver au ministe`re et aux opportunistes de se refaire une virginite´, ils sont devenus les piliers de la re´publique. Dans votre dernie`re lettre vous me reprochez de ne pas vous avoir donne´ des de´tails sur les e´lections socialistes; mais je n’en avais pas: A St Amand oblige´ de courir de village en village je ne lisais meˆme pas les journaux que d’ailleurs je n’aurais pu me procurer. Probablement nous recevrons des nouvelles maintenant que la bataille est termine´e; mais je crois que moins on parlera du parti socialiste dans ces e´lections et mieux cela vaudra. Longuet a e´te´ honorablement battu par son concurrent, sa minorite´ est imposante. L’insucce`s de Guesde est d’autant plus de´plorable que les Allemands ont tant contribue´ pour l’assurer. Bebel a envoye´ 500 fr. et moi j’ai rec¸u 610 fr. – J’ai eu la bonne ide´e d’envoyer 100 fr. aux comite´s de Baudin et de Thivrier, ce qui me permettra de dire que leurs souscriptions ont e´te´ utiles a` quelque chose. La campagne e´lectorale a e´puise´ nos ressources et je me vois force´ de recourir a` vous. Amitie´s a` tous P Lafargue.

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5. Paul Lafargue an Engels · 7. Oktober 1889

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Baudin, l’e´lu de Vierzon est un homme tre`s intelligent et tre`s e´nergique; il est ouvrier porcelainier; il a ve´cu en Angleterre apre`s la Commune; il fera parler de lui. Thivrier l’ancien maire de Commentry, de´gomme´ pour avoir envoye´ son adhe´sion officielle au congre`s de Bordeaux, est malheureusement au-dessous de sa situation. Une autre e´lection a` porter au compte des socialistes est celle de Villefranche, Rhoˆne. – L’ouvrier tisseur Lachize a e´te´ e´lu avec 10 906 voix battant son concurrent conservateur de pre`s de 2 mille voix. – On e´tait en pleine gre`ve a` Cours, commune importante de la circonscription; si ce Lachize est le de´le´gue´ des tisseurs au Congre`s international, c’est un homme remarquable.

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6 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Dienstag, 8. Oktober 1889

London 8 Octbr 89 My dear Laura What a melancholy set our French friends are! Because Paul & Guesde have not succeeded, they seem to despair of everything and Paul thinks the less said about these elections the better! Why I consider the result of the elections not a de´route but a relative success, worth registering both in England & Germany. At the first ballots we had between 60 & 80,000 votes, which is quite enough to show that we are nearly twice as strong as the Possibilists, and while they got but two men (of whom one Joffrin moribond) elected, we have Baudin, Thivrier, Lachize, and then Cluseret & Ferroul who are bound to cast in their lot with the first three; that makes five to two, and will be sufficient, with proper management, to put the two Possibilists in a very impossible position. But both in England & Germany, the effect will be made, not by the number of seats secured but by the number of votes given. So let me ask you to see to it that we get, as soon as possible, say not later than Monday morning next, but if possible before, the list of votes cast for our Candidates at 1st & 2nd ballots, for the Labour Elector & the Sozial De˙ ˙˙ ˙ ˙ to ˙ mokrat. Surely Paul will not push the droit a` la paresse far enough ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ refuse us that little bit of work. Of course Guesde’s defeat is a misfortune, but then while I thought it necessary to do everything to prevent it, I never believed much in his success, after the 1445 votes au premier tour. What cannot be helped we must put up with. It is a far greater advantage for us to have got rid of la Boulange. Boulange in France, & the Irish question in England, are the two great obstacles in our way, the two side-issues which prevent the formation of an independent working men’s party. Now Boulanger is smashed up, the road is cleared in France. And at the same time, the monarchist attack on the Republic has failed. That means the gradual passage of Monarchism from the ground of practical, to that of sentimental, politics, the transfer of Monarchists to Opportunism, the for-

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mation of a new Conservative party out of both, and the struggle of that Conservative-Bourgeois-party with the petits bourgeois & peasants (Radicals) & the working class; a struggle in which the working class Socialists will soon get the upper hand of the Radicals, especially after the way they have discredited themselves. I do not expect that everything will pass off in this simple, classical form, but the innate logic of French development is sure to overcome all side-issues & obstacles, especially as both forms of antiquated (not simply bourgeois) reaction – boulangism & monarchism – have been so well beaten. And all we can ask for is that all these sideissues be removed & that the field be clear for the struggle of the three great sections of French society: bourgeois, petits bourgeois et paysans, ouvriers. And that I think we shall get. Then Ferry is got rid of & I think Mother Crawford is right when she considers him an obstacle to even his own party. Colonial adventures will no longer bar the way, nor will the formation of the new bourgeois party be trammelled by the necessity of respecting the traditions of Ferryism. Thus I do not despair at all, on the contrary, I see a distinct advance in the result of the elections, eine sehr bestimmte Klärung der Lage. Of course you will get Conservative government to begin with; but not what you had, the government of a distinct set of the bourgeoisie only. The Opportunists were as much a mere section of the French Bourgeoisie as were the satisfaits of Louis Philippe & Guizot: these were the haute finance, the others are the set which strives to become the haute finance. Now, for the first time, you will get a real government of the entire bourgeoisie. In 1849/51, the rue de Poitiers under Thiers, too, formed a government of the whole bourgeois class; but that was by the truce between two opposing monarchical factions, & by its very nature passager. Now you will get one based upon the despair to upset the republic, upon its recognition as an unavoidable pis-aller, & therefore a bourgeois government which has the stuff to last until its final smash-up. It was the splitting-up of the French bourgeoisie into so many sections, fractions & factions which has so often deceived the people. You upset one section, say the haute finance, & thought you had upset the whole bourgeoisie; but you merely brought into power another section. There are 1) the legitimist or generally monarchist landed proprietors, 2) the old haute finance of Louis Philippe’s time, 3) the second set of haute finance of the Second Empire; 4) the Opportunists who to a great extent have still their fortunes to make, 5) the industrial & commercial bourgeoisie chiefly of the provinces who are generally hangers-on, practically, to whatever section happens to be in power, being themselves scattered & without their common centre. Now these all will now have to unite as

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6. Engels an Laura Lafargue · 8. Oktober 1889

“Moderates” & “Conservatives”, will have to drop their old shibboleths and party-cries which divided them, and for the first time act as a bourgeoisie une et indivisible. And this concentration bourgeoise will be the real meaning of all the concentrations re´publicaines & autres so much talked about of late, and it will be a great progress, leading gradually to a scattering of Radicals & a real concentration of Socialists. Ouf! now that’s enough on this blessed subject. Tonight I expect Longuet here & shall cull wisdom from his lips. I am sorry he is beaten as it was a very important personal issue with him. Of Sam Moore no news since he passed Sierra Leone. Tussy has tried to see his brother but cannot find him at home. So we don’t know whether his family have heard of him. Nim has raved all the summer about your garden & the vegetables & fruit therein, and I have her special orders to say that she anxiously awaits what she calls her share of the pears, grapes & other good things now about due. Will you give Paul the enclosed cheque for £ 20.–. Ever your old F. Engels

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7 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 11. Oktober 1889

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C’est une chose impossible que d’avoir les chiffres exacts des e´lections: pas un journal de Paris ne les donne comple`tement et encore moins exactement. Je croyais que le Journal officiel les aurait publie´s, j’ai e´te´ aux bureaux et l’on m’a appris que jamais l’officiel ne donnait de chiffres, il se contentait d’inse´rer les noms des candidats e´lus ou battus. – J’ai duˆ dresser la liste d’apre`s le Petit Journal, un des journaux les mieux renseigne´s. Dans certaines circonscriptions il y avait deux candidats socialistes en pre´sence, dans l’Allier (Dormoy et De´chaud) a` Marseille (Guesde et Protot). – Dans la Gironde un de nos amis Jourde, socialiste marxiste, a pris l’e´pithe`te boulangiste, pour se faire e´lire. Les groupes de Bordeaux n’ont pas proteste´. Jourde est e´lu. Vous avez raison, ces e´lections non seulement ont tue´ le boulangisme, mais les groupes de la Chambre: je crois qu’il va se former une majorite´ re´publicaine, avec quelques dissidents inde´pendants et socialistes, mais il n’y aura plus de centre gauche, extreˆme-gauche, et autres gauches; tous les re´publicains e´taient des gauchers. Les journaux de nuances diverses re´clament la fusion de toutes ces fractions qui n’ont jamais eu raison d’eˆtre, sinon l’ambition de leurs leaders. Cette fois on permettra a` Clemenceau d’entrer dans un ministe`re opportuniste, a` coˆte´ des Constans et des Rouvier. Pauvre Ge´ne´ral s’il n’a pas mis de l’argent de coˆte´ il sera bientoˆt oblige´ de jouer le Be´lisaire et de mendier dans les rues. La de´bandade commence; il ne lui restera bientoˆt plus que De´roule`de et Laisant, les deux toque´s du parti. Amitie´s a` tous Paul Lafargue P. S. Je n’ai pu trouver le nombre de voix obtenues par Pe´dron et Borgne dans la Marne, et Vi Soleil dans la Droˆme. J’ai compte´ tous les socialistes sans distinction de groupe; les possibilistes excepte´s dont les e´lections ont e´te´ faites avec l’argent ministe´riel; ils n’ont eu qu’un candidat en province, J. B. Cle´ment dans les Ardennes; il a obtenu 4477 votes.

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8 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 12. Oktober 1889

Hiermit wie gewöhnl. Labor Elector & Commonweal. Die International Review soll bereits verstorben sein, so rasch hat Hyndman sie abgewirthschaftet. Dagegen ist Bax in Unterhandlung wegen einer andern Revue, erhält er sie so wird Aveling wahrscheinl. sein Unterredakteur. Die NY. Revolution wird immer amüsanter, die Versuche von Rosenberg & Co. ˙˙ ˙ sich a` tout prix oben zu erhalten sind erheiternd, aber glücklicherweise auch nutzlos. Deine Korrespondenz mit dem Nationalisten im Work˙ ˙ ˙ ˙erstens ˙˙ ˙˙˙ men’s Advocate hat mich gefreut, weil man darin den alten Sorge ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ auf 10 Meilen weit erkennt & zweitens weil es wieder ein öffentliches Lebenszeichen von Dir ist. Ich weiß nicht ob ich Dir geschrieben daß Sam Moore im Juni nach Asaba (Afrika) gegangen ist als Oberrichter im Gebiet der engl. Niger Kompagnie. Gestern erhielt ich den ersten Brief von dort, er findet das Klima sehr gut & anscheinend gesund, die Hitze nicht groß, 75° Fahren˙ ˙˙ ˙ heit Morgens, 81–83° Nachmittags. Also kühl gegen New York. ˙Somit ˙wird ˙˙˙ der 3. Band des Kapital wohl in Afrika ins Englische übersetzt werden. Ich bin an der 4. Aufl. des 1. Bands; die sämmtlichen Citate müssen nach der engl. Ausgabe revidirt werden, das geht nun einmal nicht anders. Dann mit Macht an den 3ten. Longuet ist gestern gekommen seine 2 ältesten Jungen abholen, die bei Tussy sind. Er ist durch Stimmenthaltung der Opportunisten um 800 Stimmen in der Minorität geblieben. Von den Unsern ca 6 gewählt; Guesde leider nicht. 12 Okt 89 Dein F. E. F. A. Sorge Esq Hoboken NJ. U. S. America

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9 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Donnerstag, 17. Oktober 1889

Dr. Pl. den 17.10.89. Lieber Engels,

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Deinen Brief vom 9 d. Mts erhielt ich und war mir der Inhalt desselben sehr interessant. Meine Bemerkungen über die Liebknechtsche Schriftstellerei waren ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙gegenüber ˙˙ nicht die entscheidenden Gründe für unsere˙˙Meinung unseren französischen Freunden, sondern der Gedanke, daß wenn wir fortführen zu unterstützen wie es in der letzten Zeit geschah, diese vollends jede Initiative für die Organisation einbüßten. Ich habe vor unsern Leuten in Frankreich den Guesde, Lafargue, Deville, Vaillant etc. den größten Respekt, aber zu organisiren verstehen sie nicht und es macht mir überhaupt den Eindruck als fehle die Fähigkeit agitatorisch systematisch zu arbeiten. Ich habe während des kurzen Aufenthalts in Paris in überraschender Weise verschiedentlich wahrgenommen und gehört, daß für nichts ein rechter Sinn vorhanden ist was nicht auf die Öffentlichkeit wirkt und einen gewissen Effekt verspricht. Auf äußeren Effekt ist Alles berechnet. Das ist keine Uebertreibung. Ein zweites was ich glaube bemerkt zu haben ist, daß die eigentlichen Arbeiter fehlen oder im Hintergrunde stehen. Die Wortführer sind ohne Ausnahme nahezu Leute aus den andern Klassen, und geht ihnen das Fühlen und Denken der Arbeiter ab, und sie verstehen nicht sie zu faßen. Uns in Deutschland erscheint es vollkommen unbegreiflich wie ein Mann wie Guesde in einer Arbeiterstadt wie Marseille – die sich etwa mit unserm Hamburg vergleichen läßt – so wenig Stimmen erhielt. Hier muß alle Organisation, aber auch das Klassenbewußtsein fehlen. Ich laße gelten daß der Kampf gegen Monarchie und Boulangismus im Vordergrund stand, aber besser konnten beide gar nicht bekämpft werden als daß unsere Leute gewählt wurden. Ich will wünschen daß Deine Hoffnung auf die Entwicklung des Socialismus in Frankreich sich erfüllt. Wir sind dabei aufs allerlebhafteste interessirt, aber mein Glaube ist vorerst noch gering. Der Ausfall der sächsischen Landtagswahlen wird Dir bekannt sein. Derselbe ist ein gutes Vorzeichen für die Reichstagswahl. Wir haben in den zur Wahl gestandenen Wahlkreisen unsre Stimmenzahl gegen vor 6 Jahren genau verdop-

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pelt u. statt 1 drei Sitze erobert. Ein vierter ging uns an der Nase vorbei. Hätten unsere Leute in einigen Wahlkreisen die Wahlen nicht gar zu leicht auf die Achsel genommen weil gar keine Aussicht für den Wahlsieg vorhanden war, das Stimmenverhältniß wurde noch günstiger. Das Hauptinteresse für die nächsten Reichstagswahlen konzentrirt sich auf Rheinland-Westfalen. Täuscht nicht Alles so werden wir das nächste Mal dort eine gehörige Stimmenzahl herausholen. Der Bergarbeiterstreik hat gewirkt und das brutale und tölpelhafte Vorgehen der Zechenbesitzer und ihrer Beamten treibt uns die Leute mit Gewalt in die Arme. Daß nächsten Monat der große Socialistenproceß in Elberfeld sich abspielt – 91 Angeklagte u. gegen 400 Zeugen – der nach meiner Ueberzeugung insofern mit einem gründlichen Fiasko endigen wird, als die Verurtheilungen und die Strafen im ärgsten Mißverhältniß zu dem aufgewandten Apparat stehen, wird unserer Sache dort nur nützen. Sehr zu meinem Aerger bin ich nachträglich auch noch in denselben verwickelt worden, obgleich ich eine Verurtheilung für ganz unmöglich halte. Was gegen mich vorliegt sind offenkundige Dinge, die ich ohne jeden Vorbehalt einräume u. unter das Gesetz nicht fallen. Da der Proceß 4–5 Wochen dauert und in die Verhandlungen des Reichstags fällt ist uns die Sache äußerst unangenehm. Der Gerichtspräsident erklärt zwar unter der Hand uns in jeder Weise entgegenkommen zu wollen u. uns Urlaub zu geben so viel als möglich, aber Stückwerk bleibt die Geschichte doch. Wir könnten das Verfahren einstellen laßen, aber das könnte den übrigen Angeklagten und uns schaden. Würden diese auf mangelhafte Vertheidigung hin verurtheilt so möchten wir später wenn wir separat verhandelt werden, den glänzendsten Gegenbeweis führen, das Gericht wird sich nicht selbst desavouiren und vor der ganzen Welt blamiren indem es uns freispricht. Wir sind 4 angeklagte Abgeordnete: Grillenberger, Schumacher, Harm u. ich. Von den ganzen 400 Zeu˙ ˙ ˙ ˙an. ˙ gen geht mich nicht einer Die Verhandlungen über das Socialisten Gesetz werden diesmal ausnehmend ˙ ˙˙˙Vorlage ˙˙ ˙ interessant. Eine Notiz daß man erst ˙die fertig stellen wolle nachdem man erst die Parteiführer gehört wie sie dieselbe acceptirten, hat a l l e s für sich. Dann kann die  Bande nicht mehr sagen, die Regierungen hätten nicht anders gewollt. Daß es endlich zu einem Definitivum kommt hat auch seinen Vortheil, man weiß endlich woran man ist u. richtet sich ein. Bis jetzt lebte man stets in Unsicherheit ‚‚ und wußte nicht wie man dieses und jenes endgültig ordnen solle. Daß die Bude in Berlin aufgemacht wird darüber ist niemand froher als Paul, der sehnsüchtig wartet nach Berl. hereinzudürfen. Bitte Beilage an Julius zu geben. Auer ist schwer nervenkrank u. muß in eine ˙˙ Kaltwasserheilanstalt, ˙ wahrscheinlich Baden-Zürich. Die Sache ist scheußlich. Auer ‚‚ ist einer unsrer besten Leute. Es ist doch arg was wir in den letzten Jahren

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an Kräften einbüßten. An Masse nehmen wir zu aber nicht an Qualität der Kräfte. Da haperts. Die besten Grüße Euch Allen. D. A. Bebel Sage Ede: er mache seine Sache im „Volksblatt“ gut.  ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙

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10 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 17. Oktober 1889

London 17 Octbr 89 My dear Laura Many thanks from Nim & myself for the splendid box of fruit which arrived in capital condition & into which we have already eaten a considerable hole. I stick to my American habit of eating fruit every morning before breakfast and so you may imagine that the rate of disappearance of the produce of your garden is anything but slow. Tussy & Pumps, too, will claim their shares––in fact they are already set apart. Since the Dock Strike Tussy has become quite an East Ender, organizing Trades Unions & supporting strikes––last Sunday we did not see her at all, as she had to speechify both morning & night. These new Trades Unions of unskilled men & women are totally different from the old organizations of the working class aristocracy & cannot fall into the same conservative ways; they are too poor, too shaky, too much composed of unstable elements, for anyone of these unskilled people may change his trade any day. And they are organized under quite different Circumstances––all the leading men & women are Socialists, & socialist agitators too. In them I see the real beginning of the movement here. The Federation is for the moment played out––the violent attacks of Justice on Champion, Burns &c have suddenly ceased, there is instead a sort of hidden, verschämtes sighing for some sort of universal brotherhood––the last report of the French elections for instance gives our results too, & without any nasty allusions or remarks; it looks as if the rank & file had become rebellious. If our lot here––I mean Champion especially–– don’t make mistakes, they will soon have it all their own way. But I confess I cannot get myself to have full Confidence in that man––he is too dodgy. He used to go to Church Congresses & preach Socialism there, & now he has formed a Committee for organizing the East End women with a lot of middle class philanthropists who held a meeting with the bishop of Bedford in the chair––& of course of this business they took good care to exclude Tussy! Now I don’t like that, & if they go on

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that way I shall soon leave them alone. Burns is too fond of popularity to be able to resist such things & goes in with Champion––if I once see him alone I shall speak to him. Longuet told us you had said you were coming over at Christmas. We shall be very glad to see you here & have everything Comfortable for you, unless you prefer coming in the better season, as you said to Nim you would do next time. But then what is the better season here? After the exceptionally fine summer we had (& are having for it is a regular rheinischer Altweibersommer now) perhaps we are in for a whole year’s rain! Sam Moore has arrived at Asaba & has sentenced as soon as he put his foot ashore in Africa, a Nigger Captain of a steamer to 9 months hard labour for attempted rape. He says the climate is very fine, 23° C in the morning, 26–29° at 3 in the afternoon (in July & August!) & to all appearance healthy. Fuller news we are promised, but alas, between Akassa & Asaba (both on the Niger) there seems to be no regular mail, & the post mark of Akassa is the stamp of the Niger Co with the date filled in in ink! Love from Nim Ever yours F. E.

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11 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Donnerstag, 17. Oktober 1889

122 Regents Park Road N. W. London, 17. Octbr 89 Lieber Schmidt Durch Ihre Schrift, für deren gütige Zusendung ich Ihnen bestens danke, sind wir einander um soviel näher gerückt daß ich mich nicht überwinden kann, Ihnen gegenüber die hergebrachten feierlichen Titulaturen anzuwenden, & wenn Sie mir einen Gefallen thun wollen so behandeln Sie mich desgleichen. Wenn ich auch nicht grade sagen kann, daß Sie das fragliche Problem gelöst haben, so berührt sich doch Ihr Gedankengang & der des III Bandes „Kapital“ in manchen & selbst in wichtigen Punkten in einer Weise, daß Ihnen die Lektüre dieses III. Bandes ganz besondre Freude machen wird. Eine eingehende Kritik Ihrer Arbeit ist mir aus naheliegenden Gründen für Jetzt untersagt; in der Vorrede zum III Band wird sie erfolgen; dort wird es mir zur besondern Genugthuung gereichen, Ihrer Schrift die volle Anerkennung zu zollen die ihr gebührt. Bis dahin wollen Sie sich also gedulden. Soviel ist aber jetzt schon sicher, daß Sie sich mit dieser Arbeit einen Platz in der ökonomischen Literatur erobert haben, um den die sämmtlichen Herren Professoren Sie beneiden dürfen. Mir persönlich hat die Schrift noch ganz besondre Freude gemacht durch den Beweis daß wieder einer mehr da ist der theoretisch denken kann. Deren Zahl ist in der jüngeren Generation in Deutschland merkwürdig gering. Bebel, der einen famosen theoretischen Kopf besitzt, wird durch die praktische Parteiarbeit verhindert diese seine beste Eigenschaft anders als in der Anwendung der Theorie auf praktische Fälle auszuüben. Bernstein & Kautsky sind dann bisher noch die einzigen gewesen, & Bernstein wird auch durch die praktische Thätigkeit viel zu sehr in Anspruch genommen als daß er sich theoretisch so bethätigen & weiterbilden könnte wie er wohl möchte & könnte. Und es ist theoretisch doch noch soviel zu thun, namentlich auf dem Gebiet der ökonomischen Geschichte & ihrer Zusammenhänge mit der politischen, der Rechts- Religions- Literatur- & Kulturgeschichte überhaupt, wo nur ein klarer theo-

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retischer Blick den richtigen Weg im Labyrinth der Thatsachen zu zeigen im Stande ist. Sie können sich also denken wie sehr ich mir zu dem neuen Mitarbeiter gratulirt habe. Daß Sie die Knappsche Bauern„befreiung“ für die Neue Zeit bearbei˙ ˙ ˙ ˙˙˙ ten ist sehr gut. Vortreffliches Material dazu ist Wolffs „Schlesische Milliarde“, aus der Neuen Rhein. Ztg von 1849 wieder abgedruckt als N° VI des I Bandes der sozialdemokratischen Bibliothek. Ich schicke sie Ihnen ˙ ˙ ˙ engl.˙ ˙Zeitungen ˙ ˙ ˙˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ eingelegt, dies scheint ein ganz in einzelnen Bogen in sichrer Weg zu sein. Kautsky wird sich ebenfalls freuen wieder einen tüchtigen Mitarbeiter gefunden zu haben – er muß Schund genug nehmen. Am III Band habe ich seit Februar keinen Strich thun können. Der verfluchte Pariser Kongreß hat mir eine solche Masse Korrespondenz nach allen Welttheilen aufgeladen daß alles andre zurücktreten mußte. Die Leute hatten überall die internationale Fühlung verloren & kramten in Folge dessen die unbegreiflichsten Pläne aus – es hätte aus lauter gutem Willen & mangelnder gegenseitiger Kenntniß der Personen, Dinge & Verhältnisse die schönste Katzbalgerei gegeben, man hätte sich überall mit seinen Freunden verfeindet ohne sich mit seinen Feinden zu versöhnen. Das ist nun glücklich überstanden – da kommt die Nachricht daß die 4. Auflage vom I. Band nöthig. Und da inzwischen die engl. Ausgabe erschienen & die sämmtlichen Citate von Frau Aveling mit den Originalen verglichen sind, wobei sich formelle Abweichungen hie & da, aber noch mehr Schreib- & Druckfehler in den Nachweisen ergeben, kann ich unmöglich die 4. Auflage erscheinen lassen ohne dies zu berichtigen. Das Alles nimmt Zeit weg, dann die Korrektur – aber in ca 14 Tagen komme ich doch wieder an den III. Band, & dann lasse ich keine, aber auch gar keine Unterbrechung mehr einreißen. Ich glaube über die schwierigsten Stücke bin ich hinaus. Beste Grüße von Ihrem ergebenen F. Engels

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12 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Freitag, 18. Oktober 1889

Hoboken, 18. Oktbr. 89. Lieber Engels! Karte v. 26 Septbr. erhalten. Besten Dank besonders für „Labor Elector“, der sehr interessant ist, obwohl der Pferdefuß noch öfters zum Vorschein kommt. „Commonweal“ ist zum Einschlafen, trotz des Herrn V. Dave, dessen ich mich ˙ ˙ ˙des alten Brisme´e noch sehr wohl erinnere vom Haag her, wo er den famulus spielte. – Der New Yorker Krakehl amüsirt Dich? – Mich auch, aber mitunter erfaßt mich doch auch der Zorn ob der infamen Bande, die unser Werk hier zerstört hat, u. Verachtung des einfältigen Packs (– der theoretisch gebildeten Deutschen, der Schüler v. Liebknecht u. Bebel–), das 13 volle Jahre gebraucht um das erkennen zu lernen, was unsre Leute ihnen 1876 u. 77 gesagt. Nun wäre es doch das Vernünftigste, wenn Auflösung erfolgt wäre, d. h. Wegräumung dieses positiven Hindernisses der Arbeiterbewegung der Ver. Staaten, – u. es scheinen wirklich ein Paar Leute das eingesehen u. beantragt zu haben, aber Schewitsch hat es wohl verhindert u. die Reise nach Chicago zu einer vortrefflichen Reklame für sich benutzt u. ausgebeutet. – Die Einzelheiten des Mannes ersiehst Du reichlich aus dem Dir übersandten Material. – Daß Du die 4te Auflage besorgen mußt, ist ja sehr erfreulich, wird uns aber wohl die Herausgabe des 3ten Bandes verzögern. Glück auf zu Beidem, guten Muth u. – frische Augen! – Hie u. da gebe ich Schlueter Etwas für das Sonntagsblatt der N. Y. Volkszeitung u. so gab ich auch die Korrespondenz, die ich mit einem der Häupter des „Nationalismus“ geführt, die mich auch vor ihren Karren spannen wollten. Das hat den Herrn Rappaport, einen biedern Freidenker (– über dessen Beitrag in der Neuen Zeit ich Dir seinerzeit schrieb, –) aufgebracht, der mich nun im letzten Workmen’s Advocate mit großer Wuth u. argem Wortschwall anfällt. Lies doch das Ding, aber glaube nicht, daß ich den Leutchen antworte, obgleich er auch das große Wort, d. h. neben Schewitsch, letzte Woche in Chicago geführt hat. – Hepner wollte den Unparteiischen spielen u. ging auf beide sog. Kongresse nach Chicago. Er ist dadurch nunmehr fast unmöglich geworden. An dem Dock-strike habe ich riesige Freude gehabt u. gratulire Tussy zu ihrer Mitwirkung.

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Mit dem Nächsten schreibe auch mal wieder, wie es Dir u. den Andern geht. Uns geht’s erträglich. Ich habe meine alte Schulstelle wieder übernommen u. da habe ich recht schwere Arbeit, die auch leider nicht sehr einträglich ist. Unser Sohn plagt sich noch immer in Rochester. Wir grüßen Dich herzlich u. wünschen Dir einen guten Winter. Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey U. S.

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13 Max Hildebrandt an Friedrich Engels in London Berlin, Samstag, 19. Oktober 1889

Berlin, d. 19. October 1889. 1 Gotzkowsky¨straße N. W. Moabit. Sehr geehrter Herr! Nehmen Sie es mir nicht übel, daß ich mich so ohne Weiteres mit einer Bitte an Sie wende. Seit mehr als 11/2 Decennien habe ich mich für die demokratische Bewegung in den Culturländern Europas interessirt, und, um ein genaueres Verständnis dieser Bewegung zu gewinnen, las ich eine Anzahl Schriften geschichtlichen, politischen, philosophischen und auch poetischen Inhalts, namentlich auch aus frührer Zeit. Von allen diesen Schriften hat mein höchstes Interesse das merkwürdige Buch: Der Einzige und sein Eigenthum von Max Stirner, erregt. Sein Grundprincip: Ich bin Ich und entwickele Mich selbst, und die Objecte sind die Objecte, und Ich verbrauche sie zu Meiner Selbstentwickelung, ist mir immer als die Vollendung der von I. Kant eingeleiteten Richtung in der Philosophie erschienen. – Leider habe ich über St.’s Leben nur sehr wenig erfahren können. Mein Wißen beschränkt sich auf Folgendes: St. hieß eigentlich Kaspar Schmidt, war Gymnasiallehrer, verkehrte mit den Brüdern Bauer, J. Faucher, Jungnitz, einem Offizier Szeliga v. Zychlinski, der 1848 einen Truppenteil gegen das Volk führte, war Ludwig Buhl’s Busenfreund, 1848 in Pommern agitatorisch, gab er nach Niederwerfung des Aufstandes in Sachsen und Baden die Agitation auf, wurde von seiner Frau, die als Lehrerin nach London gieng, verlaßen, nachdem er sein Vermögen eingebüßt hatte, schrieb eine Geschichte der Reaction und starb, durch einen Fliegenstich vergiftet, 1856 im Krankenhause an allgemeiner Geschwulst; er liegt auf dem Sophienkirchhofe in der Bergstraße begraben. – Würden Sie, sehr geehrter Herr, wohl die Güte haben, mir noch manches mitzuteilen, was zur Vervollstän digung eines Charakterbildes geeignet wäre? Besonders würde es mich interessiren, zu wißen, welche politische Haltung St. in der Revolution beobachtete; wodurch er sein Vermögen verlor; wie er in den Jahren nach der Revolution lebte, namentlich ob seine pekuniären Verhältniße so dürftige waren, daß er, wie ich hörte, fast verhungert ist. – Noch eins. Gibt es historische Schriften, in denen die Vertreter der Geistigen Strömungen der vormärzlichen Zeit und ihre Lebensschicksale berücksichtigt sind? Falls nicht, dürfte ich Ihnen dann, sehr geehrter Herr, einen Vorschlag machen? Sie dürften vielleicht gegenwärtig der Einzige sein, der eine solche Geschichte zu schreiben noch

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im Stande wäre; die Wißenschaft würde Ihnen, sehr geehrter Herr, dafür Dank wißen. Mit vorzüglichster Hochachtung, Ihr ganz ergebenster M. Hildebrandt.

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14 Otto Adolph Ellissen an Friedrich Engels in London Einbeck, vor Dienstag, 22. Oktober 1889

Einbeck (Hannover), im October 1889. Hochgeehrter Herr! Ich bin mit einer ausführlicheren Lebensbeschreibung Friedrich Albert Langes beschäftigt, und es ist mir dazu von den Hinterbliebenen des seltenen Mannes dessen Nachlass zur Verfügung gestellt. In demselben befinden sich Briefe von Ihnen, und ich darf daher wohl annehmen, dass Briefe Langes in Ihrem Besitze sind. In diesem Falle würden Sie mich zu grossem Danke verpflichten, wenn Sie mir dieselben zur Benutzung eine Zeitlang gütigst überlassen möchten. Zugleich bitte ich Sie ergebenst um die Ermächtigung, besonders bezeichnende Stellen aus dem Briefwechsel eintretenden Falls in die Lebensbeschreibung aufzunehmen. Sehr verbunden würde ich Ihnen ferner für Mitteilung solcher Züge aus Langes Leben sein, von denen Sie annehmen können, dass dieselben anderweit nicht zu meiner Kenntnis gelangen würden. Hochachtungsvoll Dr. O. A. Ellissen, Gymnasiallehrer. Freundliche Bitte, diesen Brief an Herrn Friedrich Engels gelangen zu lassen, dessen dermalige Adresse mir unbekannt ist. D. O.

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122 Regents Park Road N. W. London 22. Oktbr 89 Hochgeehrter Herr 5

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In erg. Beantwortung Ihres Cirkulars bedaure ich Ihnen sagen zu müssen daß die in meinem Besitz befindlichen Briefschaften seit 20 Jahren nicht geordnet worden sind, & es mir daher unmöglich ist, die wenigen Briefe von F. A. Lange aus diesem Haufen herauszusuchen, bis ich 3–4 Wochen freie Zeit vorfinde um das Ganze zu ordnen. Sobald ich mit der Schlußredaktion des III Bandes von Marx’ Kapital fertig bin – im Lauf des Frühjahrs – muß ich diese nicht länger aufschiebbare Arbeit vornehmen, & stehn Ihnen dann obige Briefe mit Vergnügen zur Verfügung. Meine Briefe an Lange können Sie ja nach Umständen ganz oder theilweise abdrucken, in letzterem Falle bitte ich jedoch die betr. Stellen gef. in ihrem ganzen Zusammenhang geben zu wollen. Hochachtungsvoll Fr. Engels. Herrn Dr. O. A. Ellissen Gymnasiallehrer Einbeck Herrn Gymnasiallehrer Dr O. A. Ellissen Einbeck (Hannover) Germany.

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16 Friedrich Engels an Max Hildebrandt in Berlin London, Dienstag, 22. Oktober 1889

122 Regents Park Road N. W. London 22 Okt. 89 Sehr geehrter Herr In Beantwortung Ihrer Zeilen vom 19. lernte ich Stirner gegen Anfang 1842 in Berlin im Verkehr mit E. Meyen, Buhl, Edgar & später Bruno Bauer &c kennen. Daß er Schmidt hieß ist richtig, der Spitzname Stirner kam von [sei]ner merkwürdig hohen Stirn. Er konnte noch nicht sehr lange in diesem Kreise verkehrt haben, denn er kannte Marx nicht, der Berlin, ich glaube nicht ganz ein Jahr früher, verlassen & bei den Leuten sehr im Respekt stand. Gymnasiallehrer war er glaube ich nicht mehr oder doch nicht lange mehr. Außer den oben Genannten verkehrten da noch ein gewisser von Leitner, Oesterreicher, C. F. Köppen, Gymnasiallehrer & Spezialfreund von Marx, Mussak dessen Kollege, der Buchhändler Cornelius (der in Fritz Reuter’s Festungstid vorkommt) Mügge, Dr. J. Klein der Dramatiker & Dramaturg, ein gewisser Wachenhusen, Dr. Zabel der [späte]re Nationalzeitungsmann, Rutenberg der aber bald nach Köln zur ersten Rheinischen Zeitung ging, ein gewisser Waldeck (nicht der Jurist & Obertribunalsrath) & andre die mir nicht einfallen; es waren eigentlich mehrere Gruppen die je nach Zeit & Gelegenheit zusammen & durcheinander kamen. Jungnitz, Szeliha, Faucher, kamen erst nachdem ich Novbr 42 mein Militärjahr absolvirt & Berlin verlassen hatte. Man traf sich bei Stehely, Abends in wechselnden Bairischbierlokalen der Friedrichsstadt, & wenn man bei Kasse war in einer Weinkneipe der Poststraße, die Köppen’s Stammlokal war. Ich kannte Stirner gut, wir waren Dutzbrüder, er war eine gute Haut, lange nicht so schlimm wie er sich in seinem Einzigen macht, mit einem, aus der Lehrerzeit ihm anhaftenden leisen Anflug von Pedanterie. Wir diskutirten viel über Hegelsche Philosophie, er hatte damals die Entdeckung gemacht daß Hegels Logik mit einem Fehler anfängt: das Sein welches sich als das Nichts erweist & so in Gegensatz mit sich selbst tritt, kann nicht der Anfang sein; der Anfang muß gemacht werden mit etwas das selbst schon die unmittelbare, na-

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turwüchsig gegebne Einheit von Sein & Nichts ist, & aus dem erst dieser Gegensatz sich entwickelt. Und dies war nach Stirner – das „Es“ (es scheint, es regnet), etwas das ist & zugleich auch Nichts ist. – Nachher scheint er dann doch dahinter gekommen zu sein daß es [mit] dem Es, nicht minder als mit dem Sein & Nichts, doch Nichts ist. In der letzten Zeit meines Berliner Aufenthalts sah ich Stirner weniger, wahrscheinlich entwickelten sich schon damals die Gedankengänge bei ihm die dann zu seinem Hauptwerk führten. Als dies herauskam, hatten sich unsre Richtungen schon sehr auseinander gethan; die zwei Jahre die ich in Manchester zugebracht hatten ihre Wirkung bei mir gethan. Als Marx & ich dann in Brüssel das Bedürfniß fühlten uns mit den Ausläufern der Hegelschen Schule auseinander zu setzen, kritisirten wir u.a. auch Stirner – die Kritik ist so dick wie das Buch selbst. Das nie gedruckte [Ms]. liegt noch bei mir, soweit die Mäuse es nicht gefressen haben. Eine Wiedergeburt hat Stirner erlebt durch Bakunin, der übrigens zu jener Zeit auch in Berlin war & in Werders Kolleg über Logik mit noch 4–5 Russen auf der Bank vor mir saß (1841/42). Die harmlose, nur etymologische Anarchie (d. h. Abwesenheit einer Staatsgewalt) von Proudhon hätte nie zu den jetzigen anarchistischen Doktrinen geführt, hätte nicht [Ba]kunin ein gut Theil Stirnerscher „Empörung“ in sie hineingegossen. In Folge dessen sind die Anarchisten denn auch lauter „Einzige“ geworden, so einzig daß ihrer keine zwei sich vertragen können. Sonst weiß ich von Stirner nichts, über seine späteren Schicksale habe ich nichts mehr erfahren, außer daß auch Marx mir erzählte er sei fast buchstäblich verhungert, woher er das erfahren weiß ich nicht. Seine Frau habe ich hier einmal gesehn, sie knüpfte – ah que j’aime le militaire! – ein Verhältniß mit dem Exlieutenant Techow hier an, & ging, wenn ich mich nicht irre, mit ihm nach Australien. Wenn ich später einmal Zeit habe könnte es wohl sein daß ich Einiges über jene, in ihrer Art sehr interessante Zeit aufzeichnete. Hochachtungsvoll & ergebenst F. Engels

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17 Thomas Binning an Friedrich Engels in London London, frühestens Donnerstag, 24. Oktober 1889

Dear Sir I am very sorry to inform you that the financial difficulties of the Club are so pressing that about £ 40 in cash must be raised within three days. Failing this being done the Club property will be distrained upon A full statement of the affairs will be laid before the general meeting of members on Tuesday next. The Committee are hopeful of being able to tide over the difficulties if this emergency can be met. I have written to a number of the members of the club by this post and hope to receive remittance from some by return If you can send a subscription at once I shall be glad to receive it. Yours Faithfully Thos. Binning Hon. Sec.

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18 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Samstag, 26. Oktober 1889

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Könntest Du mir einige Notizen über Dr. Gottschall und dessen in Cöln und außerhalb Cölns (1848) gespielte Rolle mittheilen oder mir angeben wo ich das Betreffende finden kann? Wann that er die Äußerung: Ich bin hier im Namen von 20 000 Proletariern, denen es ganz gleichgiltig ist, ob wir Republik oder Monarchie haben? Auf dem Vorparlament? Und wann starb er? In Leipzig könnte ich das Alles finden, hier auf meinem Dorf habe ich aber nur das Nothwendigste, und das wird mir mitunter von den Mäusen zerstört, wie neulich 32 Bogen Manuskript. – In Paris sind unsere Leute jetzt stark dran, eine Parteiorganisation her beizuführen. Wie es scheint, ist Lafargue wieder der Querkopf und will nicht mit mitmachen, weil er an dem Boulangisten Jourde festhält. Vielleicht könntest Du ihm einmal ins Gewissen reden. Ich habe es schon gethan. Lafargue’s Coquetterie mit dem Boulangismus hat unseren Leuten enorm geschadet. Ich selbst habe Briefe von ihm, die mich ganz stutzig machten. Die ungerechten Urtheile unserer deutschen Leute über die französischen Wahlen haben mich sehr geärgert. Auch in unseren Reihen steckt noch ein ziemliches Stück Philister-Chauvinismus. Ein Artikel, den ich gegen die bornirten Ausführungen des „Berliner Volksblatt“ schrieb, wurde mir als „zu franzosenfreundlich“ nicht aufgenommen. Ich hätte die Aufnahme erzwingen können, aber nur auf Kosten eines Skandals, und so druckte ich den Artikel im „Wähler“ von Leipzig. – Die „Volksbibliothek“ habe ich jetzt aufgegeben. Durch die von guten Freunden organisirte Hatz wurde mir ein Arrangement, das meine Interessen etwas geschont hätte, unmöglich gemacht. Und nun habe ich die paar tausend Mark, die ich mir durch Schriftstellern, sondrers für meine Jungen verdient hatte, bis auf den letzten Pfennig verloren, und habe noch Schulden. Herzliche Grüße an Dich, Lehnchen etc. Dein W. L. Bdf 26.10.89.

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19 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Dienstag, 29. Oktober 1889

London 29 Octbr 89 My dear Laura A solemn vote of thanks I have to transmit to you for the fresh batch of pears sent by Edward & consumed, in great part, last Sunday with the port wine. They were splendid, & what was left will be mellow by next Sunday. The Christmas trip legend was also explained by Edward––that it was little Marcel who caused the misunderstanding in Longuets brain. Anyhow whenever you are ready to come, we shall be ready to receive you. I must have expressed myself rather badly about the impending rule of the French bourgeoisie as a class. I meant that zunächst the rank & file of the Royalists & Bonapartists will pass over––gradually––into the ranks of the Moderate Republicans, & forsake, as in 1851, when the mass of the Republicans & Royalists passed over to Bonaparte, such of their leaders as will stick to their oldfashioned party-shibboleths. That will mean a strengthening of the Moderate Republicans (though not necessarily of the Ferry ist or the Le´on Say ist cliques of speculators) but at the same time a cessation, once for all, of the power of the old cry: la re´publique en danger. Then, & only then, the Radicals can come to the fore as “Her Majesty’s, the Republic’s, most faithful opposition”, & then you have the real conditions of the rule of the whole bourgeois class, of parliamentarism in full blossom: two parties struggling for the majority & taking in turns the parts of Ins & Outs, of Government & opposition. Here, in England, you have the rule of the whole bourgeois class; but that does not mean that Conservatives & Radicals coalesce, on the contrary, they relieve each other. If things were to take their slow, classical course, then the rise of the Proletarian party would no doubt finally force them to coalesce against this new & unparliamentary opposition. But that is not likely to come off, there will be violent accelerations of the development.

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The progress consists, to my mind, in the proof that to fight against the Republic has become hopeless; in the consequent gradual dying out of all anti-Republican parties, which means the participation of all sections of the bourgeoisie in the government––as Ins, or as Outs; the Ins to be, for the present, the reinforced Moderates, & the Outs the Radicals. One election cannot do everything at once, let us be satisfied that this one has cleared the ground. About the defeat of the Socialists we agree perfectly. Only that I expected it––& a far worse one––& that our Paris friends have expected miracles which of course did not come off. I am perfectly satisfied with the result––under the circumstances. That we got six or seven men in against either the Cadettists or the Boulangists, & something like 120,000 votes, is more than I expected. As to the policy with regard to the fellows that came in under Boulangers flag, I am rather of the opinion of Vaillant & Guesde than of Paul. If you admit the Boulangists you must admit the Cadettists too—Joffrin & Dumay. But moreover, after the infamous way in what the BoulangeoBlanquists behaved to Vaillant in his circonscription & brought him to fall, we ought I believe not to have anything to do with them. Moreover we have no interest to reconstitute the dissolving Blanquist faction as such. We know what peculiarly “pure” elements it always contained. Granger is an imbecile chauvin, to have got rid of whom appears to me a blessing. As to Jourde (who seems to me the one after whom Paul really longs) perhaps he can be made to slip in later on, if he vaut la peine ce que j’ignore, & if he breaks off point blank with the Boulangists. But there is no mistake, Paul’s whilom Boulangist sympathies have done us an immense deal of harm & are now being used by Liebknecht who throws them into my face. As it is the new socialist faction will be hard to manage, & the less its numbers are swelled by doubtful (still more doubtful) elements, the better it will be. Especially as Guesde is not elected. If the thing is found to work well, then fresh additions of the above sort might be less harmful & could be taken into consideration; & then, the novices ought to do public penance, unless the French party is to stand out as corrupt before the Germans, Swiss, Dutch & even Belgians. What a triumph would it be for the Possibilists if they could point to declared Boulangists in our ranks! And how difficult then for me to make the Germans understand the doings of our French party! Now another subject. Percy is completely smashed up. In order to avoid getting execution into their house, they have locked it up & are all here. There are negociations going on with his father & brothers, to

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avoid the open bankruptcy, but how that may end, nobody can tell; & unless it comes to something, he will have to declare himself bankrupt before the week is out. Old Rosher is half idiotic, has muddled his affairs irretrievably, has handed his business over to the two younger boys, & says he is himself without cash or credit (the latter he has managed to ruin almost deliberately). I had an interview with his mother the other day––it’s a precious mess altogether. However it may end it’s sure to cost me a lot of money. Kautsky is not here yet. Great lamentations by all here when they heard that Diane was lost or stolen. Love from Nim & yours affectionately F. Engels

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20 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf London, Dienstag, 29. Oktober 1889

London 29 Okt. 89 Lieber Liebknecht

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Über den Propheten Gottschalk kann ich Dir nur sehr wenig sagen, ich habe das Thier längst vergessen. Moses Heß nahm ihn vor 1848 in den Bund auf & schilderte ihn als ein kolossales Wunderthier. 1848 in den ersten Märztagen spielte er sich in Köln als Arbeiterführer auf. War ein für damalige Verhältnisse perfekter Demagog, der den eben erst aufdämmernden Massen schmeichelte, auf alle ihre traditionellen Vorurtheile einging – sonst ein totaler Hohlkopf wie es zum Propheten gehört, & sah sich deßhalb auch für einen Propheten an; dabei war er, als echter Prophet, über alle Skrupel erhaben & somit jeder Gemeinheit fähig. Ob er das von Dir angeführte je gesagt hat, bezweifle ich, er fabrizirte systematisch Legende über sich selbst. Genug, er spielte in den ersten Märztagen eine gewisse Rolle in Köln & hatte ganz verrückte Pläne, deren Einzelheiten ich vergessen, wodurch über Nacht Wunder geschehn sollten. Das war alles vor unsrer Zeit. Als wir im April nach Köln kamen war er schon sehr am Abnehmen, & als wir uns zur definitiven Publikation der Zeitung wieder dort zusammen fanden war er schon fast verschollen. Die Zeitung & unser Arbeiterverein stellten ihn ins Dilemma entweder mit uns zu gehn oder gegen uns. Zum Glück für ihn wurde er & Anneke Anfang Juli verhaftet – wegen irgend welcher Reden glaub’ ich; Ende 1848 oder Anfang 49 wurden sie freigesprochen (ich habe die Neue ˙˙˙ Rheinische Zeitung vergebens nach Datum &c durchsucht & muß auf˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ hören zu suchen wenn der Brief fort soll). Da exilirte sich der Prophet Gottschalk freiwillig nach Paris, in der Erwartung von riesigen Demonstrationen zurückberufen zu werden. Aber kein Mensch rührte sich. Nachdem wir fort, kam G. wieder nach Köln (vielleicht auch kurz eh wir gingen) & da er sich seine frühere Popularität auf Grund seiner Praxis als Armenarzt erworben, ging er bei Ausbruch der Cholera wieder stark ins Geschirr mit Gratisbehandlung proletarischer Patienten, fing die Cholera selbst und starb.

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20. Engels an Wilhelm Liebknecht · 29. Oktober 1889

Das ist alles, was ich weiß. Die Pariser Sachen scheinen wieder in Ordnung zu sein. Lafargue ist lange nicht so schlimm wie Du ihn machst – Jourde ist kein Boulangist sondern hat sich in Bordeaux mit Einwilligung der dortigen Parteigenossen der boulang. Maske bedient, was ich natürlich entschieden mißbillige. Der Mann hat einen Bock gemacht & wird dafür büßen müssen, wenigstens zunächst, wenn er aber sonst gut ist, was ich nicht weiß, kann man ihn später wieder zu Gnaden annehmen. Daß Du bei der Volksbibliothek solche Verluste gehabt hast thut mir sehr leid. Aber bei Deiner mangelnden Geschäftserfahrung war es doch vorherzusehn dass Geiser Dich hinein reiten würde. Die von ihm herausgegebnen schlechten Sachen wurden doch nicht besser dadurch daß Dein Name darauf kam, & dann mußte die Schlesingeriade doch nothwendig dem Faß den Boden ausschlagen. Ich glaube das erklärt sich alles ganz natürlich ohne daß Du den Grund im bösen Willen Dritter zu suchen brauchst. Du kannst doch der Partei nicht zumuthen für diese Volksbibliothek zu schwärmen. Bei mir stehts auch schlecht. Percy ist bankrott, die ganze Familie wohnt bei mir um Exekution in ihrem Haus zu entgehn, die Sache schwebt noch, mit dem Alten wird verhandelt aber der behauptet selbst im Dreck zu sitzen & ist so ziemlich versimpelt, kurz Augustin liegt im Dreck, o du lieber Augustin alles ist hin. Wie’s enden wird weiß ich nicht. Herzliche Grüße von Lenchen & Deinem F. E. Herrn W. Liebknecht Borsdorf – Leipzig Germany

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Hoboken, 29 Oktober 89. Lieber Engels!

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Ein Paar Zeilen in Erwiederung Deiner Postkarte vom 12 Oktober. Es würde mich sehr freuen, wenn Bax u. Aveling eine anständige Revüe herausbrächten, denn der Boden dafür scheint wirklich vorhanden zu sein u. von den Beiden wäre Interessantes u. Gutes zu erwarten. Deine „de´cadence de la bourgeoisie“ (wird doch wohl auch im Französischen erscheinen) hat viel Freude bereitet u. ist hier natürlich vielfach abgedruckt worden. 1872 brachte ich Marx eine Liste seiner sämmtlichen Artikel in der N. Y. Tribune u. 1873 od. 74 übersandte ich ihm dieselben in Ausschnitten. Weißt Du Nichts davon? Daß Du Dich über meine Korrespondenz mit dem Nationalisten (Prof. Dr. De Leon) gefreut, ist mir angenehm. Hätte ich nicht die traurige, geisttödtende Brodarbeit zu verrichten, so würde ich gewiß öfter eingreifen. In dem heute Dir übersandten Workmen’s Advocate findest Du die Epistel ˙ ˙ ˙˙ Rosenberg’s an den Mayor von Chicago. Genieße sie!˙ ˙ ˙ Grüße mir Sam. Moore u. wünsche ihm Glück zu seiner Mitwirkung an Marx’ Werken! Die angegebenen Grade der Wärme werden allerdings von New York im Sommer häufig überschritten, aber die mittlere Temperatur (d. h. Jahres-) wird doch sehr zu Ungunsten Asaba’s ausfallen. Der Dr. Merkin – der seiner Zeit so angelegentlich um die Zusammenkunft mit Tussy ersuchte – hat sich in der N. Y. Volksztg. mausig gemacht mit einer Panegyrika auf Tschernischewsky unter albernen Bemerkungen über Marx’ Werke. Schlueter setzte die Streichung der anstößigsten Stellen durch, der Dr. Merkin machte dann Radau auf dem Sanctum u. wurde herausgeschmissen. Schlueter u. Frau lassen Dich herzlich grüßen, wie auch Dein F. A. Sorge u. Frau Hoboken, New Jersey U. S.

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22 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 30. Oktober 1889

Illmo Cittadino La corte d’appello di Napoli, rigettando il mio appello ed accogliendo quello del procuratore del re, con sentenza del 26 corrente, mi condanno` alla pena, aumentata, di 3 anni e 9 mesi di carcere, pei pretesi reati di falsita`, distruzione di documenti, e sottrazione di somma che, variando ad ogni fase del turpe giudizio, era in origine di £ 15 000, si ridusse in 1ma istanza ad una somma variante da £ 500 a 1 000, ed ora in 2a istanza e` scesa al disotto di 500! Ho fatto ricorso in cassazione, ma dopo la conferma, con l’aumento della pena, della iniqua sentenza, spero poco. E` troppo palese la mia innocenza, perche´ si possa dubitare un momento solo che la condanna fu imposta, e sarebbe imposta ad altre corti, se la cassazione dovesse accogliere il ricorso. Non mi rimane quindi altra alternativa che emigrare o andare in prigione. I miei parenti, e ora anche la povera mia moglie, tornano a consigliarmi l’emigrazione a Buenos Aires, dove c’e` una numerosa colonia italiana. ˙ ˙ ˙ne´ ˙altrove, ˙˙˙ Ma ne´ a B.˙ ˙A., ho ricapiti di sorta. Per quanto doloroso sia il distacco dalla infelice mia consorte che amo ardentemente e dalla quale sono teneramente riamato, io mi deciderei alla dura separazione, se avessi almeno la probabilita` di trovarmi a vendere sul mercato del lavoro in ignote regioni. Io ricordo quanto Ella ebbe la bonta` di scrivermi in una delle sue passate lettere, che io conservo come un tesoro prezioso: «Quante volte io e Marx abbiamo desiderato di conoscere un mestiere manuale»! Con la coscienza delle difficolta` che deve necessariamente incontrare un uomo che come me e` di una ristrettissima istruzione intellettuale e che non conosce nessun mestiere manuale, io, che da parecchi mesi sono condannato a vivere a spese di mia moglie, la quale guadagna non piu` di due lire al giorno come maestra comunale, per essermi riuscito impossibile di utilizzarmi qui in qualsiasi modo, mi permetto d’invocare di nuovo il suo saggio consiglio, e La prego a volermi dire con la franchezza che La distingue tanto. Crede Ella preferibile l’emigrazione, a circa quattro anni di prigione, come reo comune?

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Son certo che Ella non mi privera` del suo ambito consiglio che servira` a decidermi, come son certo che Ella, potendo fare qualche cosa per me, nei due o tre mesi che mi separano ancora dalla decisione della Corte di Cassazione, lo fara` volentieri. Mi reputerei fortunatissimo se potessi trovare ad occuparmi costa`, almeno provvisoriamente, anche come facchino o servo nella redazione od amministrazione del Sozialdemokrat; o dovunque Ella potesse valevolmente raccomandarmi. Basta faccia Lei quello che puo` fare per me, e mi perdoni se Le tolgo il suo tempo tanto prezioso. Ella e` stata il solo socialista che mi ha soccorso in questo frangente, tutti gli altri, perfino Lafargue, che non ha risposto a varie mie lettere, forse mi credono indegno socialista, reo delle turpitudini e delle bassezze che mi si attribuiscono. Se Ella crede che la risposta non possa giungermi con sicurezza, puo` indirizzarla a mia moglie: Giuseppina Collarile maestra elementare Benevento. E distintamente ossequiandola rimango Benevento 30.10.89 Devmo Servitore Pasquale Martignetti.

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23 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 4. November 1889

Le Perreux 4/11/89 Mon cher Engels, Liebknecht a grand tort de nous accuser d’eˆtre boulangistes, ou d’avoir «coquette´ paradoxalement avec le boulangisme», comme il l’a e´crit a` Deville. Nous pensions qu’il ne fallait pas faire au ge´ne´ral la guerre malpropre des possibilistes et des journaux a` la solde du ministe`re. Nous e´tions de cet avis, non parce que nous e´tions boulangistes, mais parce que nous ne voulions pas eˆtre confondus avec les cadettistes et parce que cette guerre d’injures et d’attaques imbe´ciles ne servait qu’a` grandir l’extraordinaire popularite´ de Boulanger. Si Boulanger n’avait pas fui, ou s’il e´tait revenu en France avant les e´lections, il serait aujourd’hui maıˆtre de la situation: c’est lui-meˆme qui s’est perdu; il a le courage militaire, mais la de´cision et l’e´nergie d’un Catilina, ou meˆme d’un Napole´on III lui font absolument de´faut; c’est ce qui l’a perdu et non les injures des antiboulangistes. Boulanger pourrait encore jouer un roˆle dangereux s’il n’avait pas cinquante ans et s’il n’e´tait pas un jouisseur vulgaire: il est fini malgre´ l’agitation de´sespe´re´e que font les boulangistes fide`les. Et je crois et Guesde est aussi de cet avis, qu’il faut laisser le boulangisme s’e´teindre naturellement sans essayer de lui donner une nouvelle vie par des attaques contre ceux qui se sont servis de son nom pour aller aux e´lections. Les attaques contre Boule´ n’ont re´ussi qu’a` lui ouvrir l’Intransigeant et qu’a` le poser en candidat municipal dans le XVIIe arrondissement pour les prochaines e´lections de mai 1890. – Vous avez tort de croire que je tiens a` Jourde; c’est un ancien officier, blesse´ pendant la guerre franco-prussienne; honneˆte, mais vaniteux a` l’extreˆme et imbu de pre´juge´s militaires; il a compris tre`s imparfaitement les the´ories socialistes. Voici d’ailleurs le plan que Vaillant, Guesde, Deville et moi nous avons arreˆte´ d’un commun accord. – Les de´pute´s socialistes, e´lus sans compromissions avec les Ferrystes et les boulangistes, formeraient un groupe dont probablement Guesde sera le secre´taire paye´ : ce groupe ferait une de´claration dont nous avons arreˆte´ les termes, dans la quelle il affirmerait son caracte`re inde´pendant et socialiste et annoncerait qu’il prend pour taˆche imme´diate de faire triompher au parlement les re´solutions du Congre`s international de 1889. – On a de´ja` les adhe´sions de Ferroul, Cluseret, Thivrier, Lachize et Baudin; il en viendra d’autres – Vaillant va essayer de fonder au conseil municipal un groupe semblable avec Longuet, Dau-

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mas, Humbert, Chauvie`res etc., qui s’adjoindra au groupe parlementaire et les deux groupes re´unis s’adjoindront des socialistes recrute´s en dehors des corps e´lus. De cette fac¸on le parti socialiste aura tant bien que mal une repre´sentation centrale. Notre parti fait du progre`s un peu partout. Dans le Nord, les ouvriers sont parvenus a` re´unir une douzaine de mille francs pour fonder une imprimerie qui nous sera d’une tre`s grande utilite´. Nous avons en province quatre journaux socialistes qui ont l’air de marcher: il nous manque l’organe central, peut-eˆtre l’aurons-nous ? Nous avons [e´te´] tre`s peine´s d’apprendre les malheurs arrive´s a` Percy, vous allez avoir bien des ennuis juste au moment ou` vous auriez besoin de toute votre tranquillite´ pour achever la publication des œuvres de Marx. Je vous ai envoye´ un article de De Paepe sur Tchernichewsky, est-ce que c’est se´rieux ou est-ce de la fantaisie belge ? Amitie´s a` tous et bien a` vous, P. Lafargue. My dear General, Will you look up your Be´ranger & see if I have translated Le Se´nateur properly, or rather, improperly? Love to you all! Your Laura The Senator

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Rose, my wife, is my delight You should see her pretty eyes! Thanks to her ’tis, honour bright, I have a Friend, great & wise; The day we plighted our troth, A senator called on us both: Such an honour! Blessings on her! Mr Senator, oh, Sir, I am your humble servitor! –––– All his doings I register, His like I never saw at all; He took Rose, when the minister, Last December, gave a Ball. If he meets me, where I stand, He will shake me by the hand:

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Such an honour! Blessings on her! Mr Senator, oh, Sir, I am your humble servitor! –––– With Rosa he’s too amiable, Not the least bit foppish he; When my wife’s at all unwell He will play at cards with me: On birthdays he always fetes me, And on new years day he treats me. Such an honour! –––– When I’m bound to stop at home After dinner, if it pours, He says blandly, “won’t you come And take a turn out of doors? Don’t mind me, old fellow, go, For my carriage waits below!“ Such an honour! –––– Of his country-seat, one night, The honours to us both were done; I, on port, got tipsy quite, And Rose, that evening, slept alone: But the best bed anywhere Was my own bed, I declare! Such an honour! –––– He’s godfather to the son That propitious heaven has sent; Lord! he almost wept with joy, As o’er the new-born babe he bent: And since his birthday my dear son In his will is number one: Such an honour! –––– For a joke your man is he, And to humour him, I incline; One night, gad! I actually Have blurted out, over the wine:–– “People say, the devil take me, You, dear sir, a cuckold make me!”

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24 A. Steinbach an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 5. November 1889

London, 5./11.1889. Sehr geehrter Herr Engels! In Folge längerer Krankheit beschäftigungslos, erlaube ich mir, Sie als Parteigenosse ergebenst zu bitten, mir auf die Dauer von 14 Tagen mit vielleicht 5/– leihweise auszuhelfen. Morgen oder Uebermorgen glaube ich wieder Beschäftigung zu finden, habe jedoch einige nicht zu umgehende Auslagen vorher und bitte daher, meine Belästigung entschuldigen zu wollen. Samstag über 8 Tage werde ich Ihnen gern den Betrag zurück erstatten und hoffe, daß Sie meine Bitte erfüllen möchten. Als Legitimation lege ich eine Bescheinigung vom Club in Bernerstr. bei. Hochachtungsvoll ASteinbach

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We have learnt that you were a passenger on the S. S. “City of New York” on her second return voyage, starting from New York on the 20th Septr. 1888. Reports have been spread that the delay which occurred in respect of the “City of New York” was due to the Circulating Pumps. We have been requested by the makers of the pumps to sift this matter & we should feel much obliged if you would answer the following questions:–– Do you recollect any conversation on board attributing the break-down which occurred to the circulating pumps, or to what other cause? Are you aware who were the makers of the Circulating Pumps? Perhaps you will treat these enquiries as confidential. Thanking you, We are, Dear Sir, Yours truly J. H. Johnson, Son & Ellis. F. Engels Esq. 122 Regents Park Road N. W.

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26 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Samstag, 9. November 1889

London 9 Novbr 1889 Lieber Freund Ich kann Ihnen in Ihrer schwierigen Lage keinen bestimmten Rath geben, dazu müsste ich an Ort und Stelle sein, aus der Ferne kann man da nicht mit Sachkenntniss urtheilen. Nur eins kann ich Ihnen mit Bestimmtheit sagen: weder hier noch sonst in Europa ist es möglich für Sie etwas zu finden. Bei der geringen Entfernung würde man überall Ihre Extradition verlangen, und Sie wären keinen Augenblick sicher. Für Sie hier auch nur provisorisch eine Beschäftigung zu finden ist rein unmöglich. Weder ich noch meine Freunde hier könnten Ihnen solche verschaffen, die Thatsache Ihrer Verurtheilung könnte nicht verheimlicht werden. Am Sozialdemokrat ist es unmöglich Sie unterzubringen. Und ˙ ˙˙ ˙ ˙Extraditions-Forderung ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ zudem würde die bald genug nachfolgen. Jenseits des Oceans ist das etwas anderes. Es bleibt Ihnen also nur die Wahl zwischen dem Gefängniss und Bue˙˙ nos Aires. Werden Sie schliess lich und in letzter Instanz verurtheilt, und ˙gehn ˙ ˙ ins ˙˙ ˙ ˙ Gefängniss, dann bleibt Ihnen an dem Tage wo Sie herauskommen, doch schwerlich etwas anderes übrig als B. A., denn in Europa könnten Sie doch kaum eine Beschäftigung finden. Es fragt sich also, nach meiner Meinung, für Sie nur: wollen Sie jetzt gehn, oder wollen Sie erst gehn nachdem Sie drei oder vier Jahre im Gefängniss zugebracht haben? Wenn Sie sich entschliessen jetzt zu gehn, so kann ich Ihnen als Beitrag zu Ihren Reisekosten 200 Franken zur Verfügung stellen. Dies ist aber auch das letzte was ich für Sie thun kann. Ich habe von meinen eignen Verwandten augenblicklich zwei Familien am Leben zu erhalten, und bin desswegen selbst manchmal in Verlegenheit wie ich das Geld dazu auftreiben soll. Es thut mir leid nicht mehr für Sie thun zu können. Aber meine Hülfsmittel sind beschränkt und gegen die italienischen Richter bin ich ohn-

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Pasquale Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889 mit einer Notiz von Engels Vierte Seite der Handschrift

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mächtig. Ich begreife sehr wohl das Verzweifelte Ihrer Lage, und zolle Ihnen mein aufrichtiges Mitgefühl, aber weiter als oben gesagt ist es ausser meiner Macht Ihnen zu helfen. Aufrichtigst der Ihrige F. Engels

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27 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Berlin, Sonntag, 10. November 1889

10.11.89 Berlin. N. W. Dorotheenstr. 37II. Lieber Engels! Wie gerne mache ich von der Erlaubniß Gebrauch und rede Sie mit Ihrem einfachen Namen an! Ich danke Ihnen herzlich für den letzten Brief. Sie können Sich denken, mit welcher Freude es mich erfüllte, daß Sie, gerade Sie in meinem Buche etwas Tüchtiges fanden, was für die Zukunft weitere Entwickelung verspricht. Auch bei uns zu Hause – ich schickte Ihren Brief natürlich gleich meinen Eltern nach Königsberg ein – war die Freude groß, besonders da mein Vater, als ich die Arbeit immer wieder von vorne anfing, mit der Zeit mißtrauisch geworden war und meine ganze Mühe mit den Formeln für eine ziemliche Caprice hielt. Ihr Urtheil erfreute ihn nun um so mehr. Ich habe natürlich große Lust, auf theoretischem Gebiete, besonders nach Ihrer Aufmunterung, weiter zu arbeiten. Ich weiß nur nicht, wie sich das mit dem Journalismus recht wird vereinigen lassen. In der nächsten Zeit werde ich wohl jedenfalls nur wenig dazu kommen, aber nach und nach hoffe ich hier in dem großen Berlin schon irgend eine Beschäftigung zu finden, die mir zu jener Arbeit die richtige Muße läßt. Inzwischen habe ich hier schon einige Verbindungen angeknüpft, so schrieb ich z. B. schon verschiedenes für die Schippelsche „Berliner Volkstribüne“ und habe jetzt die regelmäßige politische Wochenübersicht für sie zu liefern. Auch die Volkszeitung hat Einiges von mir aufgenommen und will mehr. Deßgleichen steht ˙˙˙ mir die˙˙˙Sonntagsbeilage der Voß für literarische Aufsätze offen. Es ist also, wenn ich alle Gelegenheiten ausnützen will, sehr viel schon jetzt zu thun. Dazu kommt noch, daß ich augenblicklich einen Redakteur der Vossischen Zeitung, ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ habe, ˙˙˙ ˙ ˙bis ˙ denselben, bei dem ich eine Zeit lang als Volontär arbeitete, zu vertreten er wieder gesund geworden ist. So lerne ich denn auch das Getriebe in einem der großen Blätter näher kennen. Die Redakteure sind da die bloßen Verwalter des einlaufenden Materials. Sie haben nur zu ordnen, geschrieben wird die Zeitung von den Korrespondenten und einem freien Mitarbeiter, einem gewissen Lewy, der eine wirklich wunderbare journalistische Geschicklichkeit besitzt. Er ist – wie einer der Korrektoren richtig bemerkte – das Gehirn des Blattes, die übrigen fungiren als Mechaniker.

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Vor einigen Wochen brachte das Berliner „Volksblatt“ einen Artikel gegen die ökonomischen Professoren, worin auch meiner Abweisung von der Leipziger Universität – welche ich in der Neuen Zeit erwähnte – gedacht wurde. Mehring von der Volkszeitung brachte sofort einen fulminanten Artikel, er hoffe die Universität werde sich von diesem schimpflichen Verdachte reinigen können, wenn nicht, so sei die akademische Lehrfreiheit in Deutschland keinen Pfifferling werth u. s. w. Die gesammte Presse hat aber den Fall todtgeschwiegen, nicht ein einziges der freisinnigen Organe nahm auch nur mit einer Silbe Notiz davon! Das nennt sich bei uns Liberalismus. Für die Zusendung der Wolffschen Broschüre, die ich übrigens in einem Exemplare schon besaß, danke ich Ihnen bestens. Die zweite Nummer des vortrefflichen Schriftchens kann ich nun ja weitergeben. Je mehr dergleichen gelesen wird, um so besser. Zu dem Referat für die Neue Zeit bin ich noch gar nicht gekommen. Zuerst ˙˙ ˙ zu ˙ ˙ arbeiten, ˙˙˙ hatte ich noch andere Sachen und nun ist auf einmal die Vertretung bei der Voß hinzugekommen. Ich hoffe aber, daß es Kautsky nicht so sehr auf Schnelligkeit ankommen wird. Ich bin jetzt häufiger mit Baake, dem zweiten Redakteur des „Volksblatt“ zusammen, der einen sehr begabten Eindruck macht. Haben Sie in der „Volkstribüne“ früher einmal die kleine Novelette „Tauben“ gelesen. Mir gefiel sie sehr gut, sie ist von ihm geschrieben. Noch einmal herzlichen Dank für Ihren Brief. Mit bestem Gruße Ihr ergebener Conrad Schmidt.

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28 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 14. November 1889

Thursday My dear General, You are aware that Guesde has been appointed secretary to the socialist group that seven deputies, more or less with us, have just constituted in the Chambers. Lachize, Thivrier & Baudin form a trio that our party more particularly place their confidence in, the other elements being even less capable & certainly less sound. Thivrier we saw last week at a meeting of the Agglome´ration, on the evening of his reception: he makes a very good impression personally, being simple & unassuming; he is, for the present, a very indifferent speaker & not “fort” in any way, but if he is able & willing to “follow his leader”, that is as much as one has a right to expect: Baudin is an excellent talker, but, of course, rather ignorant. Lachize we don’t know. Our imbecile bourgeois journalists have been copyspinning, for these last three weeks, with the help of Thivrier’s blouse. Daily the burning question is mooted as to whether Thivrier’s blouse is of a light or dark blue, whether it is long or short, tight-fitting or full, whether worn under or over a coat & whether it is to be sported at all hours & on all occasions, at concerts, theatres, cafe´s, eveningparties? And, in for a penny in for a pound, once in for the blouse, our professional “hommes d’esprit”––the greatest idiots out––thought they might as well go in for the rest & undress Thivrier completely: they proceeded to examine his boots & socks, neck-tie & shirt, all of which have been pronounced satisfactory, the shirt being described as “irreproachable”. This morning Paul got a letter from Marseille stating that according to tidings sent by the men of Cette ––«Se´ne´gas s’est vendu a` la re´action aux e´lections le´gislatives» & they add: «Si ce rene´gat s’e´tait retire´ de la lutte, aujourd’hui Paul Lafargue serait le de´pute´ de la 2e circonscription de Montpellier.» If you remember, two socialists & a radical, had been proposed as candidats for Cette. The radical retired in favour of the socialist candidate Se´ne´gas, whereupon Paul, to the very great disappointment of a goodly number of electors, desisted in favour of Se´ne´gas also. Anyway Cette & Marseille are good for two socialist candidatures at future elections. If somewhat crest-fallen on the morrow of the elections, our friends have once again plucked up a fine spirit & are full of fight. That’s the best of our French

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“neveux”; they are never seedy for long, & if they’re in the dumps over night, they are pretty sure to be in the clouds the following morning. Mme Zetkine & her boys were here yesterday: she gave me news of Tussy whose agitation she is very enthusiastic about, especially her getting on tables & chairs to harangue the Silvertown women strikers. It may interest Tussy & Edward to know that Madame Jankowska & Mendelsohn have just been spliced. Legally, that is; the more important & thoroughgoing part of the business had been gone through, it appears, a long while ago. That’s the latest gossip in the Quartier Latin, but it finds its way to the innocent Le Perreux whose inhabitants are as ignorant as the lilies of the field, albeit they toil & spin like the rustics that they are. Paul wonders if Kautsky is in London & if he is likely to hear from him one of these days. Goodbye to you, my dearest General, & just give my love all round to all of our people. How is Nimmy? Edward told us that she often suffers from colds & bronchitis & a bit of asthma. Give her a good kiss for me & tell her she must positively come over here early in the year & superintend the sowing & gardening. Your affectionate, Kakadou

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29 Friedrich Engels an August Bebel in Berlin London, Freitag, 15. November 1889

London 15 Novbr 89 Lieber Bebel Ich erhielt Deinen Brief vom 17 Okt. in Mitten der dicksten Arbeit für die 4. Auflage des Kapitals, die nicht gering war, weil alle von Tussy für die englische Ausgabe kontrolirten Citate wieder verglichen & die vielen Schreib- & Druckfehler berichtigt werden mußten. Kaum fertig damit, mußte ich wieder an den III Band, der jetzt rasch erscheinen muß, denn die Schrift vom kleinen Schmidt in Berlin über die Durchschnittsprofitrate zeigt daß der Junge schon mehr herausgetüftelt hat als gut ist – es gereicht ihm zur höchsten Ehre. Du siehst ich habe schon damit alle Hände voll zu thun, dazu kommt noch die Nothwendigkeit die internationalen Parteizeitungen zu verfolgen & die auf den III Band bezügliche ökonom. Literatur nachzusehen & stellenweise wieder ganz durchzulesen – Du siehst ich sitze ziemlich fest & entschuldigst daher daß ich mich nicht so oft mit Dir unterhalte wie ich wohl möchte. Was die Franzosen angeht so würdest Du, bei längerem Aufenthalt unter ihnen & näherer Bekanntschaft mit der Art der Wirkung ihrer eigenthümlichen Handlungsweisen, doch wohl milder urtheilen. Die Partei dort war in einer für Frankreich unerhörten, in der That aber schließlich günstigen Lage: sie war in der Provinz stark, in Paris schwach. Es handelte sich also um einen Sieg der soliden Provinz über das übermüthige, herrschaftsgewohnte, hochnäsige, & theilweise korrumpirte Paris. (Korruption beweist 1) die dortige Herrschaft der korrumpirten Führer der Possibilisten, 2) der Umstand daß dagegen in Paris nur in Form des Boulangismus Opposition erfolgreich sein konnte). Nun kam dazu, daß in der Provinz 2 Leitungen waren: für die Trades Unions eine in Bordeaux, für die sozialist. Gruppen die als solche organisirt, in Troyes. Es mangelte also nicht nur die altgewohnte Pariser Leitung (& die Möglichkeit einer solchen), sondern auch eine einheitliche provinziale Leitung resp. die geistige Befähigung & allgemeine Anerkennung einer solchen.

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Daß Euch in diesem Interregnum die Sachlage höchst verworren & unbefriedigend vorkam, begreife ich. Aber das ist nur temporär. Daß allerdings die Franzosen in dieser Desorganisation ihrer eigenen Partei, & nachdem sie Fehler über Fehler gemacht, dennoch einen Kongreß nach Paris beriefen, wo das alles sich vor Europa zeigen mußte, war echt französisch. Sie dachten mit Recht, daß diese Blamage weit aufgewogen würde durch die Thatsache daß auf ihrem Kongreß Europa vertreten war, & auf dem der Possibilisten nur ein paar Sekten. Daß die Rücksicht auf den momentanen Effekt in der Öffentlichkeit dort mehr Gewicht hat als bei Dir & mir & bei der Masse der deutschen Partei, ist kein bloß französischer Fehler. Hier & in Amerika ist es gerade so. Das ist Folge des freieren & länger gewohnten politischen Lebens. Nicht nur thut Liebknecht in Deutschland genau dasselbe (eines der ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ Krakehls) sondern, schaff morgen das Soz. Hauptgründe unseres steten Gesetz ab & Du wirst sehen wie rasch diese faule Rücksicht sich vordrängt. Auch täuschest Du Dich, glaube ich, wenn Du nach Deinen Pariser Kongreßerfahrungen schließest daß die Arbeiter von den, sagen wir Literaten, in den Hintergrund gedrängt werden. Das ist vielleicht auf einem Pariser Kongreß scheinbar der Fall, & um so mehr als dort die Unmöglichkeit der Verständigung in fremden Sprachen die Arbeiter in den Hintergrund drängt. In Wirklichkeit halten die franz. Arbeiter weit mehr auf volle & gerade formelle Gleichheit mit Literaten & Bourgeois als die irgend einer anderen Nation, & hättest Du die Berichte gelesen, die ich über die Agitation von Guesde, Lafargue &c während der letzten Wahlen erhalten, würdest Du wohl anders urtheilen. Daß Guesde in Marseille nicht gewählt war nur dem Protot gedankt (s. inl. Proklamation). Es ist allgemeine Regel in Frankreich (weil in der Stichwahl die Kandidatenzahl nicht beschränkt, dafür aber die relative Majorität entscheidend ist) daß bei 2 Kandidaturen derselben Partei derjenige zurücktritt der beim ersten Wahlgang in der Minorität war. Protot war in der Lage, aber er blieb Kandidat, & verbreitete die infamsten Verleumdungen über Guesde. Beide waren in Marseille lokalfremd, aber P. war altes Kommunemitglied & von den Anhängern des Großmauls Pyat – des vorigen Deputirten von Marseille – gehalten. Daß er da in der Stichwahl die 900 Stimmen erhielt die Guesde in die Kammer gebracht, ist begreiflich. Den besten Distrikt von Marseille hatte sich Boyer ausgesucht der auch früher dort gewählt, & der ging durch. Jetzt also haben wir 7 Mann, keineswegs die bestmöglichen. Diese haben Guesde zu ihrem Sekretär & Rede-Fabrikanten gewählt. Im Stadtrat bilden Vaillant, Longuet & andre ebenfalls eine separate Gruppe. Beide

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29. Engels an August Bebel · 15. November 1889

Gruppen werden Lafargue, Deville &c zuziehn & dann ein Centralkomite´ der vereinigten (oder föderirten) Blanquisten & Marxisten bilden. So kommt eine Organisation allmählig zu Stande. Außer diesen sind 3 Sozialisten als Boulangisten & 2 als Possibilisten gewählt, diese aber bleiben natürlich ausgeschlossen & können sehn wie sie fertig werden. Daß Auer so schlimm thut mir auch leid – doch kommen wieder bessere Nachrichten her. Die relative Schwäche des jüngeren Nachwuchses ist auch mir sehr fatal, auch auf theoretischem Gebiet. Da kommt uns nun der kleine Schmidt der ein Jahr hier war & dem ich es nicht angesehen hätte was in ihm steckt. Wenn er so bescheiden bleibt wie bisher – der Größenwahn ist ja heute die fatalste & allgemeinste Krankheit – kann er Vorzügliches leisten. Hier gehts sehr gut. Aber auch nicht auf dem einfachen geraden Weg der Deutschen. Dazu gehört eben ein so theoretisch angelegtes Volk. Hier wirds noch Böcke genug geben. Aber einerlei, die Massen sind jetzt in Bewegung & jeder neue Bock wird seine Lektion mit sich führen. Also man tau wie der Niedersachse sagt. Was macht Deine Frau & die zukünftige Doktorin der Medizin? Dein F. E.

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30 Friedrich Engels an J. H. Johnson, Son & Ellis in London London, Freitag, 15. November 1889 (Entwurf)

Dear Sirs

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I have received & considered your letter of the 7th inst. It strikes me as rather peculiar that you expect me to treat your enquiries as “confidential”, but never offer to extend the same treatment to my reply. Of course I cannot undertake such onesided engagements. If I understand you rightly, I am to report to you and eventually name the author of, any reports I may have heard on board, from passengers, officers, or sailors, as far as they may have been disrespectful towards the circulating Pumps of the C. of N. York. Such communications, if any, could only be made to me in the expectation that I would treat them after the manner of gentlemen, & not bring their authors into difficulties even supposed they had used an unguarded word or two. To act otherwise, would in my opinion be to turn common informer. Unless I misinterpret what seems to me the clear meaning of your proposal, that is what it amounts to, & in that case it is of a naivete´ equalled only by its refreshing coolness. Anyhow, to set your minds at rest, I will tell you that I don’t recollect that anybody in my presence, cast the slightest slur upon the immaculate circulating pumps which you have the honour to represent & that I neither know nor care who made them. I will not condescend to ask you to treat this letter as confidential. A perusal of this correspondence by a Continental or American lawyer or man of business might lead to some valuable hints as to the manner of conducting similar inquiries.

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31 Swan Sonnenschein, Lowrey, & Co. an Friedrich Engels in London London, Freitag, 15. November 1889

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Fred Engels Esq. Dear Sir, “Capital” Herewith we beg to hand you cheque value £ 7.7 5 covering the royalties due to you as per statements of account also enclosed I am dear Sir, Yours faithfully J[Tiln]ey

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32 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 16. November 1889

Londres le 16. nov. 89 Mon cher Lafargue

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Ne discutons pas vos penchants, heureusement passe´s, pour le Boulangisme, pourquoi relire, a` l’heure qu’il est, vos lettres d’antan ? Du reste le brav’ ge´ne´ral ne s’est pas seulement ruine´ par son abstention de rester sur le champ de bataille, mais ce qui e´tait bien pire, par ses alliances royalistes & bonapartistes, il le voit maintenant et voudrait refaire sa virginite´ re´publicaine, mais c’est comme la belle Euge´nie: Ce soir, s’il (le Bonaparte Napole´on III le soir des noces) trouve un pucelage C’est que la belle en avait deux. Personne ne doute que le me´contentement qui est au fond du boulangisme, ne soit justifie´ ; mais c’est pre´cisement la forme qu’a` pris ce me´contentement qui prouve que les ouvriers parisiens, en majorite´, ont aussi peu la conscience de leur situation qu’en 1848 & 51. Alors aussi, le me´contentement e´tait justifie´ ; la forme qu’il prit, le bonapartisme, vous a couˆte´ 18 ans d’empire et quel empire ! Et alors une bonne partie des ouvriers parisiens se battait encore contre; mais en 1889, ils ont pre´fe´re´ ce´le´brer le centenaire de 1789 en se jetant aux pieds d’un simple jeanfoutre. Apre`s cela`, demandez aux autres de s’incliner devant les Parisiens avec le meˆme respect qu’on offrait volontiers a` leurs aı¨eux ! Je suis bien aise que les Boulangistes – faux ou vrais – sont e´carte´s du parti tout aussi bien que les possibilistes. Si on les avait rec¸us tels quels, je n’aurais su que dire aux Anglais, Danois, Allemands &c. Depuis vingt ans nous preˆchons la formation d’un parti distinct et oppose´ a` tous les partis bourgeois – et l’adjonction de gens e´lus sous le drapeau de Boulanger, drapeau qui a prote´ge´ des monarchistes dans ces meˆmes e´lections et qui a e´te´ repousse´ par eux – c’euˆt e´te´ ruiner notre parti franc¸ais vis a` vis des autres partis nationaux. Et les Hyndman & Smith, comme ils auraient triomphe´ !

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32. Engels an Paul Lafargue · 16. November 1889

Vous dites que les attaques contre Boule´ n’ont re´ussi qu’a` lui ouvrir l’Intransigeant et qu’a` le poser en candidat municipal – c’est a` dire a` se de´clarer ouvertement boulangiste, marcher avec cette bande, et recevoir le salaire de sa trahison. Merci ! Votre plan est tre`s bon s’il est exe´cutable, c’est a` dire si la province accepte la direction de ce comite´. Vous me parlez toujours de vos journaux de province, mais vous ne m’en envoyez presque pas. J’en ai eu quelques-uns par Bonnier, maintenant je n’en vois gue`re. Tout ce que vous m’enverrez ou ferez envoyer, portera son fruit, car j’en profite pour tenir Bebel au courant, et Bebel est dix fois plus important que Liebknecht ; de plus, si je sais ce qui se passe, ˙ ˙o˙k˙ rat. – Tous vos journaux feraient je puis agir sur Ede et le Sozialde˙ m ˙˙ ˙S. ˙ D. ˙ ˙ ˙et˙ ˙le˙ ˙Labour Elector, 13 Paternoster bien d’e´tablir l’e´change avec˙ le Row E. C. Dans tout autre pays cela s’e´tablit as a matter of course, mais messieurs les franc¸ais se laissent prier – et prier en vain quelquefois – de nous mettre a` meˆme de travailler dans leur inte´reˆt. Si cette manie`re d’agir atteint une certaine limite, nous autres nous pourrions nous fatiguer. Estil donc impossible d’avoir un tout petit peu d’ordre et d’organisation ? Mais assez. Je vous de´fends tant et avec tant de ze`le vis a` vis des autres que pour re´tablir la balance il faut bien que je vous gronde carre´ment. Je n’ai en ce moment aucun moyen de controˆler les savez-vous de M. de Paepe, la Arbeiterzeitung de Vienne a rec¸u de Pe´tersbourg la confirmation de sa mort; vu les mensonges du gouvernement russe & les le´gendes des re´volutionnaires russes, tout peut eˆtre vrai et tout peut eˆtre faux. Maintenant pour Laura. Bien a` vous F. E.

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33 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 16. November 1889

London 16 Novbr 1889 My dear Laura

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After I finished the enclosed to Paul, I went in the kitchen & had some Pilsener with Nim & Pumps, partly for the sake of the Pilsener & partly because I am ordered to write with interruptions only. Having been, before, to the bank to pay in Sonnenschein’s cheque, because I cannot afford to run the risk of keeping it, it will not astonish you to learn that it is now close upon four p.m. & as I dare not write by the gaslight you see I am rather pinched for time. Anyhow you have done a marvellous thing in the Senator, about the most difficult thing on earth to be put into English. Not only that you have done it with all the proper impropriety, but even with a near approach to the lightness of the original. And that while both subject & metre are rebellious to translation, the Senator of Empire No I being an unknown quantity over here. If you were a boy I should say: Molode´tz, but I am not versed enough in Russian to know whether that epithet (equal about to the English: you’re a brick!) can be feminised into: Molodtza´! The reflex of Thivrier’s blouse has fallen upon, & lighted up for a moment, even the English press. If he tears a hole into it, the whole respectability of Great Britain will cry out about the bad manners of these Frenchmen. Barring old Mother Crawford who is Irish & with all her crotchets immensely superior to the other lot––because she does move on––the rest of the British journalists in Paris beat your French ditto into fits as far as imbecility goes. The wise men of Cette appear to be quite up to our Krähwinkler and Schildbürger. If Se´ne´gas had retired, Paul would be deputy. If they had not put up Se´ne´gas––they inside or outside the town, Se´ne´gas (who seems to be a worthy descendant of Seneca) would never have been in a position not to retire.

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33. Engels an Laura Lafargue · 16. November 1889

Glad to learn that the barometer is rising again with our French friends––it’s sure to rise more than it ought, but that we are used to & cannot be avoided––how else could the proper average be restored. Kautsky is in London & has been in possession of Paul’s letter &c for about a fortnight, I will tell him tomorrow that Paul expects news from him. Your pears are gradually being eaten up, but we keep them religiously until at their best, & then I get most of them for my breakfast. Nim has thus shaped ones are sold here 5d a just discovered that the long piece today. Nim has what my poor wife called “a gammy leg” rheumatism (articular) wandering from knee to hip & back. That of course is a most variable quantity though not, unfortunately, une quantite´ ne´gligeable. The asthma will become less whenever the weather allows me to take her out a bit to Hampstead. Gumpert told her hill climbing would mend it & so it does. Pumps & Co. are still here––if a settlement is come to today they will go back to Kilburn on Monday. The family of Percy has been forced to fork out a bit, but the job will cost me some 60 pounds at least, & then fully half their keep. Percy works for his brother Charlie who has some inventions that seem just now to suit the British philistines, but the pay is but trifling, & the whole thing uncertain. The 4th edition I vol. is in the press & I am back to my III vol. No easy job, but “mun be done” as they say in Lancashire. Tussy is hard at work––tomorrow she won’t be here at all, having two speeches afternoon & evening, so she won’t get her cheque before Monday. Yours is enclosed also the account––your share unfortunately but £ 1.17.6, but then in franks it looks much bigger. We have got hold of another Mother Schack in Miss Harkness. But this time we have nailed her, & she will find out whom she has to deal with. Ever yours F. E.

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16. Nov. 1889 Dear Sir:

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We have to thank you for your letter of yesterday. We are sorry to see your objections to disclose the names of persons who make slanderous and damaging attacks on other people. All honorable persons would be prepared to justify their statements. You appear to have taken offence at our letter; and we are sorry that we approached you on the subject. We are, dear Sir, Yours truly J. H. Johnson, Son & Ellis. F. Engels Esqre 122. Regents Park Road. N. W.

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35 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 17. November 1889

Le Perreux 17/11/89 Mon cher Engels, Je regrette de venir vous tracasser en ce moment ou` vous avez tant d’ennuis et de soucis avec les affaires de Percy; mais je suis force´ de le faire, car nous avons e´puise´ nos resssources; j’ai duˆ payer le proprie´taire dont le terme e´tait e´chu le 15 octobre. J’essaie de me tirer d’affaire; mais les de´bouche´s manquent pour mes articles. Je croyais que la Revue de Mme Adam me ferait remarquer et m’attirerait du travail; quelques journaux rendent compte de mes articles, les louent parfois et tout est dit: la Revue est tellement encombre´e qu’a` peine si je puis y e´crire deux fois par an. Madame Adam a en portefeuille un article depuis cinq mois et il ne paraıˆtra que dans le courant de De´cembre – Je n’ai pas eu de chance avec le Dr Braun; je pensais pouvoir placer quelques articles dans ses Annales; j’ai e´crit pour lui une e´tude sur la criminalite´ et ses rapports avec les phe´nome`nes e´conomiques; il l’accepte avec joie, me fait des compliments, la garde six mois et finit par me la renvoyer. Je ne sais ce qui s’est passe´. Kautsky a l’article: il paraıˆtra dans la Neue Zeit. Guesde travaille activement pour avoir un journal: si le groupe socialiste de la Chambre, de´finitivement constitue´, joue un roˆle; il nous sera facile de trouver les fonds ne´cessaires a` la cre´ation de cet organe quotidien, qui rendrait tant de services au point de vue ge´ne´ral et individuel – Daumas a promis 25 000 fr., il se fait fort de trouver 100 000 francs, qu’il espe`re avoir de ses associe´s de BuenosAyres, qui prochainement seront a` Paris: si on avait 125 000 f. on n’aurait pas de difficulte´s a` se procurer une autre centaine de mille francs: on aurait alors l’argent ne´cessaire pour assurer l’existence d’un grand journal. Les e´lections ne me sont pas favorables: je suis blackboule´ superbement et j’en rapporte des choses bien de´sagre´ables. – Aux e´lections de 1885 je m’e´tais tellement nourri de lie`vres, perdeaux et autre gibier, que je revins de l’Allier avec un ecze´ma a` la prostate: cette anne´e je crois avoir rapporte´ de Marseille un tænia que je viens d’expulser avec 20 grammes de Kousso; quelle e´pouvantable drogue ! Cluseret qui est un gros mangeur (dans sa jeunesse il mangea en un seul repas 24 livres de viande, pain, le´gumes, etc ..., c’e´tait un pari –) il pre´tend que rien n’est plus agre´able et commode qu’un tænia; il se charge de dige´rer ce que vous ingurgitez en plus de vos besoins.

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35. Paul Lafargue an Engels · 17. November 1889

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Le groupe socialiste de´butera par le de´poˆt d’une loi en faveur des mineurs et re´glant a` nouveau l’exploitation des mines. Juste en ce moment il existe des gre`ves dans les mines du Nord-Est. Amitie´s a` tous et bien a` vous P Lafargue.

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Nous venons a` l’instant de recevoir vos deux lettres et le che`que du compte de Sonnenschein. – Je vous envoie les journaux socialistes de province; je vais e´crire pour qu’ils fassent l’e´change avec les journaux anglais et allemands. – Les Franc¸ais ne comprenant pas les langues e´trange`res ne voient pas le charme de ces e´changes.

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36 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Montag, 18. November 1889

Londres le 18 Nov 89 Mon cher Lafargue Ci-inclus Che`que £ 20.– Si les re´dacteurs de vos journaux ne comprennent pas les langues e´trange`res ce serait une raison d’envoyer leurs journaux sans que les autres, les e´trangers, soient oblige´s de leur envoyer ce qui est, pour les Franc¸ais du baragouin incompre´hensible. Mais je ne vois pas que ce soit une raison pour les Franc¸ais de ne pas envoyer leurs journaux a` des gens qui les comprennent & qui ont la meilleure volonte´ de s’en servir dans l’inte´reˆt meˆme du parti franc¸ais. Les Pumps sont encore ici, on espe`re que cela s’arrangera aujourd’ hui. Hier soir j’ai lu aux amis la traduction du Se´nateur par Laura. Tout le monde a e´te´ enchante´. That ought to be printed, disait Aveling – But where ? je demandais – in the Pall Mall Gazette ? – la figure d’Aveling prıˆt des dimensions verticales presqu’illimite´es. Si Laura se mettait a` traduire les choses de Heine – la prochaine fois qu’elle vient ici, elle pourrait comparer les traductions qui ont paru au British Museum et choisir du nouveau – peut-eˆtre qu’on en ferait quelque ˙˙ ˙ici. Heine ˙ ˙ ˙ est a` la mode en ce moment – et les traductions sont si chose britanniques ! Embrassez Laura pour Nim et moi – Nim se porte assez bien. Bien a` vous F. E.

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37 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, nach Dienstag, 19. November 1889

My dear General,

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I did not write to you at once to thank you for your letters & cheques––for which we thank you very sincerely––because I wanted to know what would come of our Punch-Conference given in honour of our unfledged deputies, so that if anything interesting had turned up I might inform you of it. Well, our Evening went off well. The Marxists & Vaillant-Blanquists affirmed their union & the men & women present loudly cheered every allusion to their German fre`res & to the International Congress. It by no means follows that the French––for all their acclaiming of internationalism & the necessity of national & international organisation––are one whit the better organised at home, or better able to succour their struggling “co-religionnaires” abroad.––Alas, organisation is not improvised “du jour au lendemain”. I say this in reference to what goes on at Silvertown, but every day the wretched anarchism which prevails here is brought home to us. It is something even to be able to say that Frenchmen no longer resent an appeal to organize. – I am very happy to learn that you are pleased with the Senator. I am translating some of Pottier’s songs & I wish you were here to help me for they are devilish tough work.––Pottier’s songs are the best, indeed the only revolutionary songs that our own French generation can boast of. I promised Pottier on his deathbed to try & get his poetry known & read abroad. Since I left Paris I have had more time to attend to work of that kind & I have sent a few sonnets & songs to Morris who has published them in the Commonweal & appears to think them good. “La situation est au brouillard”, say the bulletins me´te´orologiques du jour, but there’s a silver lining to many a cloud. Daumas is a rich man, you know, & bitten with a mania to be a “political somebody”. There is a hope which looks like a certainty that he will turn some of his superfluous copper into the gold of a “journal socialiste, quotidien, grand format, a` un sou”. All this is “in the air” as they say here, but most things are in the air before they get “a local habitation & a name.” –

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37. Laura Lafargue an Engels · nach 19. November 1889

I am busy, my dear General, in the kitchen, & must ask you to put up with this slipshod style of writing. Your affectionate Kakadou Love to Father Nim.

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38 Friedrich Engels an Jules Guesde in Paris London, Mittwoch, 20. November 1889

122 Regents Park Road N. W. Londres le 20 Nov. 1889 Cher citoyen 5

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Je rec¸ois a` l’instant une lettre de Mme Aveling qui me prie de vous e´crire si j’ai votre adresse. Comme heureusement Bonnier me l’a donne´e, je ne perds pas un moment. Voici de quoi il s’agit: Il y a a` Silvertown, faubourg de Londres, une gre`ve dirige´e par Mme Aveling dans la fabrique d’objets de caoutchouc &c de MM. Silver; la gre`ve dure depuis 10 semaines, comprend 3000 ouvriers et ouvrie`res, et a de tre`s bonnes chances de re´ussir. Sa re´ussite est importante pour ne pas briser la longue chaıˆne des succe`s ouvriers depuis la gre`ve des docks, et ainsi rendre, par une victoire, la confiance a` peu pre`s e´vanouie de Messieurs les patrons anglais. Il y a quelques jours, la maison Silver a rec¸u des ordres tre`s pressants qu’il est impossible d’exe´cuter tant que sur 3500 ouvriers plus de 3000 sont en gre`ve. De plus, il y a une tre`s-grande quantite´ de caˆbles sousmarins a` placer entre quatre fabriques dont MM. Silver; ils perdront leur chance si la gre`ve continue. Ils ont fait des offres se´duisants a` quelquesuns des gre´vistes, mais sans effet. Alors ils ont eu recours a` leur dernie`re ressource. Les Messieurs Silver (c’est une socie´te´ par actions qui travaille sous ce nom) a un e´tablissement semblable a` Beaumont-Persan pre`s Paris, ou` des ouvriers franc¸ais travaillent sous des contremaıˆtres anglais. Ils en ont fait venir en Angleterre. Il est suˆr que 70 ouvriers & ouvrie`res de Beaumont sont arrive´s au dock ici; nous ne savons pas encore s’ils ont e´te´ introduits dans l’usine de Silvertown. Il s’agit maintenant de mettre un terme a` cela. Probablement on les a fait venir sous de faux pre´textes, en leur cachant qu’il s’agissait d’une gre`ve. Mme Aveling a de suite te´legraphie´ a` Lafargue et a` Vaillant, mais comme il y a urgence nous nous adressons a` vous aussi; nous vous prions de faire ce qui est en votre pouvoir pour empeˆcher des ouvriers franc¸ais de venir prendre la place des gre´vistes de Silvertown, de faire connaıˆtre la

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38. Engels an Jules Guesde · 20. November 1889

vraie situation et de faire appel au sentiment de classe de vos ouvriers. Ce serait terrible si par l’arrive´e d’un nombre de blacklegs franc¸ais la re´sistance des gre´vistes e´tait brise´e. Il y aurait une recrudescence des vieilles haines nationales qu’il n’y aurait pas moyen de reprimer. Depuis quatre mois les ouvriers de l’Est de Londres non seulement sont entre´s corps & aˆme dans le mouvement, mais ils ont donne´ a` leurs camarades de tous les pays un exemple de discipline, d’abne´gation, de courage et de perse´ve´rance qui n’est e´gale´ que par la conduite des Parisiens assie´ge´s par les Prussiens. Imaginez-vous maintenant l’effet si au milieu de cette lutte ils trouvaient des ouvriers franc¸ais combattant sous le drapeau de la bourgeoisie anglaise ! Non, cela est impossible, il n’ y a qu’a` faire connaıˆtre en France la ve´ritable situation, et ce sera, au contraire, graˆce a` l’action des prole´taires franc¸ais que les gre´vistes anglais remporteront la victoire. Quant, dans la gre`ve du docks, on a te´le´graphie´ a` Anseele que les patrons embauchaient des ouvriers belges, Anseele a imme´diatement pris les mesures ne´cessaires, et ses lettres et te´le´grammes ont beaucoup contribue´ a` ranimer le courage quelquefois de´faillant des combattants. Si vous pouvez adresser de semblables encouragements aux gars de Silvertown, e´crivez directement a` Mme Aveling, 65 Chancery Lane, W. C. Londres et vous produirez un excellent effet. Par Bonnier j’apprends que votre sante´ va beaucoup mieux, que la campagne de Marseille vous a fortifie´ au lieu de vous affaiblir – et cela m’a beaucoup re´joui car nous avons besoin de toutes vos forces. Je suis bien aise que par votre devise: ni Ferry ni Boulanger, on ait ferme´ la porte du parti socialiste ouvrier a` la Chambre aux re´ne´gats et traıˆtres des deux camps. Je vous serre la main cordialement F. Engels

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39 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 21. November 1889

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Sende Dir heute p. r. xbd. eine Nummer der „Indiana Tribüne“, geschrieben ˙ ˙ ˙ ˙ es doch Kautsky zu, v. Herrn Rappaport. Nachdem Du das Zeug gelesen, schicke damit er sieht, wes Geistes Kind sein Mitarbeiter an der „Neue Zeit“ ist. ˙˙ Gruß u. Glückwünsche v. Deinem F. A. S. Hoboken, New Jersey, U. St. A. 21 Novbr. 1889. F. Engels, Esqr. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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40 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Samstag, 23. November 1889

Illmo Cittadino Ho tardato un poco a rispondere alla cortesissima sua del 9 corrente, per aspettare la stampa dell’arringa del prof. Pessina in mia difesa, un esemplare della quale mi onoro rimetterle con lo stesso corriere. E anzitutto mi affretto a ringraziarla del titolo di amico con cui il piu` grande rappresentante della scienza onora un condannato per falsita` e furto; dei suoi saggi consigli; e della generosa offerta di contribuire alle spese del viaggio se saro` obbligato a varcare l’Oceano. Ma pria di avventurarmi nell’ignoto, cosı` povero di cognizioni, di relazioni e affatto privo di mezzi finanziari; pria di determinarmi al duro e doloroso distacco da tutto cio` che mi e` caro, io voglio esperimentare tutt’i possibili mezzi di difesa presso la corte di cassazione di Roma che deve decidere, e decidera` forse sul ricorso inoltrato contro la sentenza di condanna della corte d’appello di Napoli verso la fine di dicembre prossimo, o nei principıˆ di gennaio 1890, giusta quanto ho potuto sapere finora. Io non so ancora se il prof. Pessina, che risiede in Napoli, vorra` spingere la sua generosita` al punto da andare a Roma, ed adoperare la sua scienza e la sua influenza per far accogliere il ricorso. D’altra parte i miei mezzi sono perfettamente esauriti; per quanto mi fossi adoperato, non mi e` stato finora possibile di trovarmi a vendere sul mercato del lavoro, ne´ quı`, ne´ altrove in Italia; sono ridotto a vivere, io, mia moglie e due piccoli figli, con sole due lire al giorno che percepisce la sventurata mia consorte come maestra comunale; insomma mi e` assolutamente impossibile sia di andare a Roma, sia d’incaricare qualcheduno di far valere le mie ragioni. In questa disperata situazione mi e` venuta un’idea. Perdoni se abuso della sua bonta` e Le rubo il suo tempo tanto prezioso per occuparla delle mie miserie, ma io non ho a chi rivolgermi. Ella e` la sola persona che si e` interessata di me, gli altri non mi hanno neanche risposto. Ecco dunque l’idea. All’universita` di Roma, insegna filosofia della storia il prof. Antonio Labriola, che abita in Roma – Riprese dei Barberi 16. Questo Labriola e` socialista. Lessi tempo fa il suo nome nel Sozialdemokrat, come uno di quelli che ave-

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vano inviato danaro a Lafargue per sostenere la candidatura Guesde a Marsiglia nelle ultime elezioni alla Camera francese. Questo fatto, e le sue lezioni sulla Rivoluzione francese, di cui parlano ora alcuni giornali italiani, mi mostrano il Labriola socialista e probabilmente in buoni rapporti con Lafargue. Scrivo contemporaneamente a Lafargue e a Labriola, inviando a quest’ultimo le povere mie traduzioni dei suoi eccellenti scritti, e, narrandogli le mie triste vicende, lo prego, perche´ adoperi la sua influenza di professore universitario e la sua popolarita` in Roma, dove fa conferenze nella societa` operaia di mutuo soccorso ed e` presidente del circolo pedagogico, a far trionfare la mia innocenza, d’altronde evidentissima. Ma Lafargue, non so perche´, non risponde da molto tempo alle mie lettere, e a Labriola mi presento, appena ora, con la condanna di falsario e ladro. Oso percio` di pregare anche Lei perche´ voglia caldamente raccomandarmi al Labriola, direttamente o per mezzo di Lafargue, perche´ lo stesso Labriola adoperi a mio favore la sua influenza ufficiale e la sua popolarita`, sia pel trionfo della mia innocenza, sia per trovarmi provvisoriamente, in Roma o dovunque, un lavoro qualsiasi, che possa almeno alleviare in qualche modo lo stento, che, con la mia inoperosita` forzata, procuro alla infelice mia compagna. E distintamente ossequiandola, rimango Benevento 23 novembre 1889 Devmo Servitore Pasquale Martignetti.

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41 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Dienstag, 26. November 1889

14/26 November ’89, Petersburg 27 Moı¨ka Honourable Sir. I am much obliged to you for Fullarton’s “Regulation of currencies” as I have not been her I could not thank you earlier for your kindness. Some months ago I have received from you an article of M. Lafargue in order to publish it in the “Northern Review”. As you know the editor promised to publish it. She (the editor is a lady) wrote to the author 1) requesting him his consent to exclude some sentences (censorship), 2) asking him if there is something in his portfolio which he may give to the Review, and if there is something to write what he may give. Perhaps M. Lafargue has not received her letter, or perhaps his own answer is lost, but she has not received it. Permit me to request you to elucidate this question. Most respectfully Yours N. Danielson

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Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels, 26. November 1889 Entwurf

42 Natalie Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Mittwoch, 27. November 1889

Sehr verehrter Herr!

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Zu Ihrem Geburtstag übermorgen, sende ich, senden mein Mann u. Theodor Ihnen die herzlichsten Glückwünsche. Vor Allem wünschen wir Ihnen dauernde Gesundheit, als die erste Bedingung zum Wohlergehen. Mein Mann u. Th. hatten das Vergnügen Sie diesen Herbst zu sehen u. sie erzählten mir, daß „noch Alles beim Alten“ bei Ihnen u. im Hause geblieben sei u. das ist wohl das Beste. Sie haben, auch noch mit Gert. einige, jener vergnügten u. gemühtlichen Abende bei Ihnen verbracht, an die ich mich noch sehr oft u. sehr gerne erinnere. Im Augenblick haben Sie, wie mein Mann mir sagte, die ganze Familie Rocher bei sich. Nun da wird es recht lebhaft zugehen, die beiden Kinderchen waren vor 3 Jahren sehr lebhaft u. werden jetzt nicht ruhiger geworden sein. Auch Avelings sind wohl täglich bei Ihnen. In Paris, wo ich 14 Tage war, hatte ich die Freude Laura Lafargue kennen zu lernen, d. h. während eines de´jeuner’s mit ihr zusammen zu sein. Sie mußte den nächsten Tag abreisen u. war deßhalb zu sehr beschäftigt, um lange bleiben zu können. Mein Aufenthalt in Paris war so angenehm, wie nur möglich. Ich, u. später mein Mann waren mit der denkbar größten Liebenswürdigkeit aufgenommen u. ich sah so viel Schönes u. Herrliches, daß ich noch ganz davon erfüllt bin. Th. hat es, wie auch mir, ungeheuer (wie er sagte) gut in London gefallen, in den ersten Wochen konnte er sich hier gar nicht eingewöhnen. Ich glaubte mich damals auch in ein Dorf verbannt, nach meiner Rückkehr u. außerdem ist Deutschland für uns jetzt ein Gefängniß u. das empfand Th. auch in hohem Grade. Wir sind bei dem großen Publikum die Geächteten, und wenige Freunde haben den Mut mit uns zu verkehren. Aus den Verhandlungen des Reichstags u. ˙˙ der Komission, werden Sie ja wissen, daß von der nächsten Beratung über das ˙˙ Sozialisten Gesetz gar nichts zu erwarten ist, es bleibt wie’s ist. Mein Mann ist ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ jetzt theilweise in Dresden u. theilweise in Berlin, Sonnabends kommt er nach Borsdorf. Vielleicht muß er auch als Zeuge nach Elberfeld. Bei diesem Proceß soll ˙ ˙˙ Quantität die Qualität ersetzen damit man verurteilen kann. Eine wahre auch die Schande, daß man wagen darf einen solchen Proceß zu machen. Jetzt ist aber das Ungeheuerlichste möglich, man erstaunt sich über nichts mehr. – Leben Sie wohl, verehrter Herr u. feiern Sie im Kreise Ihrer Verwandten u. Freunde einen recht vergnügten Geburtstag.

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42. Natalie Liebknecht an Engels · 27. November 1889

Die treue Nimi wird schon aufs Beste für Alles sorgen. Bitte grüßen Sie dieselbe, sowie Rochers u. Avelings vielmals u. seien Sie herzlichst u. freundschaftlichst gegrüßt von Ihrer dankbaren N. L. 27.11.89. Für Th’s freundliche Aufnahme Ihnen u. auch Nimi vielen Dank.

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43 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Samstag, 30. November 1889

London 30 Novbr 1889 Lieber Freund

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Hiermit, in aller Eile, nur die Nachricht, dass ich gleich nach Empfang Ihres Briefs an Lafargue wegen Labriola schrieb. Lafargue zeigt mir nun ˙ ˙ ˙˙ heute an dass er bereits in Ihrer Angelegenheit an Labriola geschrieben und ihn gebeten hat das Mögliche für Sie zu thun; es sei also unnöthig dass ich auch noch an ihn schreibe. In der Hoffnung dass diese Schritte von Erfolg begleitet sein werden, bleibe ich aufrichtigst der Ihrige F. Engels.

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44 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Mittwoch, 4. Dezember 1889

London, 4. Dezbr 89 Lieber Adler Den Cloots von Avenel habe ich Dir aus folgenden Gründen zur Bearbeitung empfohlen: Nach meiner (& Marx’) Ansicht enthält das Buch die erste auf archivalische Studien gestützte, richtige Darstellung speciell der kritischen Epoche der Franz. Revolution, nämlich die Zeit vom 10 Aug. bis 9 Thermidor. Die pariser Commüne & Cloots waren für den Propagandakrieg als einziges Rettungsmittel, während das Comite´ de Salut public staatsmännerte, Angst hatte vor der europ. Coalition, Frieden suchte durch Theilung der Koalirten. Danton wollte Frieden mit England, d. h. Fox & der engl. Opposition die bei den Wahlen ans Ruder zu kommen hoffte. Robespierre mogelte in Basel mit Oestreich & Preußen & wollte mit diesen sich arrangiren. Beide gingen zusammen gegen die Commüne, um vor allen Dingen die Leute zu stürzen die den Propagandakrieg, die Republikanisirung Europas wollten. Das gelang, die Commüne (He´bert, Cloots &c.) wurde geköpft. Von da an aber wurde Friede unmöglich zwischen denen die mit England allein, & denen die mit den deutschen Mächten allein Frieden schließen wollten. Die engl. Wahlen fielen zu Gunsten Pitts aus, Fox war auf Jahrelang von der Regierung ausgeschlossen, das ruinirte Dantons Stellung, Robespierre siegte & köpfte ihn. Aber – und diesen Punkt hat Avenel nicht hinreichend hervorgehoben – während nun die Schreckensherrschaft bis ins Wahnsinnige gesteigert wurde weil sie nothwendig war um Robespierre unter den bestehenden inneren Bedingungen am Ruder zu erhalten, wurde sie total überflüssig durch den Sieg von Fleurus, 24 Juni 94 der nicht nur die Grenzen befreite sondern Belgien & indirekt das linke Rheinufer an Frankreich überlieferte, & da wurde Robespierre auch überflüssig, & fiel 24. Juli. Die ganze Franz. Rev. wird beherrscht vom Koalitionskrieg, alle ihre Pulsationen hängen davon ab. Dringt die Coalitionsarmee in Frankreich

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44. Engels an Victor Adler · 4. Dezember 1889

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ein – Überwiegen des Vagus, heftiger Herzschlag, revolutionäre Krisis. Muß sie fort, dann überwiegt der Sympathicus, der Herzschlag verlangsamt sich, die reaktionären Elemente drängen sich wieder in den Vordergrund, die Plebejer, die Anfänge des späteren Proletariats, deren Energie allein die Revolution gerettet, werden zur Raison & zur Ordnung gebracht. Die Tragik ist daß die Partei des Kriegs a` outrance, des Kriegs um die Völkerbefreiung, Recht behält & daß die Republik mit ganz Europa fertig wird, aber erst nachdem diese Partei selbst längst geköpft, & statt des Propagandakriegs nun der Baseler Friede & die Bourgeoisorgie des Direktoriums kommt. Das Buch muß total umgearbeitet & gekürzt werden – die Deklamiererei muß heraus, die Thatsachen aus den gewöhnlichen Geschichtsbüchern ergänzt & klar hervorgehoben werden. Cloots kann dabei ganz in den Hintergrund treten; aus den Lundis re´volut. können die wichtigsten Sachen eingeschoben werden – so kann’s ein Werk über die Revol. werden wie bis jetzt keins existirt. Die Darlegung wie die Schlacht von Fleurus die Schreckensherrschaft stürzte, ist gegeben 1842 in der (ersten) Rheinischen Zeitung von C. F. Köppen in einer ausgezeichneten Kritik von H. Leo’s Gesch. der franz. Revolution. Grüß Deine Frau & Luise K. vielmals. Dein F. Engels

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45 August Simon an Friedrich Engels in London London, Mittwoch, 4. Dezember 1889

London 4/12. 1889. Hochgeehrter Herr Doctor! Verzeihen Sie bitte meine Freiheit, Ihrer Hochherzigkeit folgende kleine Bitte zu unterbreiten. Durch die Krankheit meiner Frau welche 11 Wochen im deutschen Krankenhause lag, bin ich gleichzeitig, mit durch außergewöhnlich schlechten Geschäftsgang in die bedrängteste Lage gerathen, aus welcher ich mir nicht zu helfen weiß, wenn nicht ein edler Menschenfreund etwas für mich thut. Mit meiner Rente im Rückstand und meine nur irgend entbehrlichen Sachen im Pfandhause ohne Arbeit, eine noch halb kranke Frau weiß ich nicht was ich thun soll, indem der Landlord mich unausgesetzt bestürmt und mich herauszuwerfen droht wenn ich nicht bald etwas abbezahle. Sollten Sie verehrter Herr Doctor die Freundlichkeit besitzen etwas für mich zu thun so würde ich Ihnen ewig dankbar sein, da eine momentane Hülfe mir zur Rettung gereichen würde und ich nur etwas Geld zur Auslage gebrauche um in meinem Geschäft angehen zu können. In der Hoffnung daß meine bescheidene Bitte gefällig Gehör finden möge zeichnet mit Hochachtung Ihr ganz ergebener August Simon.

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46 Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son in Sankt Petersburg London, Donnerstag, 5. Dezember 1889

11 Burton Road Kilburn, N. W. London 5 Dec. 1889 Dear Sir 5

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Immediately on receipt of your letter of the 14/26 Nov I informed Mr Lafargue of its contents. He replies that he has written to you at once, saying that he never received any letters from the Lady Editor of the Northern Review, that he places at her disposal 5 articles or any of them; ˙˙ ˙the ˙ ˙ ˙cutting ˙ ˙ ˙˙ ˙out of certain passages of the article now in hand he says as ˙to nothing to me, but if he should have omitted replying on that point, it seems to me clear that such must be left to her discretion. His address is P. Lafargue, 60, Avenue des Champs Elyse´es Le Perreux Seine, France I now forward to you registered a copy of Th. Tooke, On the Currency Principle, London 1844. This is a copy I bought second hand, it contains some pencil notes by the former owner, mostly confused stuff; also two old newspaper cuttings, one referring to the crisis of 1847 and rather interesting. In the meantime I have got ready the 4th edition of Vol. I now in the press, there are two or three fresh additions from the French edition; the quotations have been looked over with the help of the English edition, and I have added a few notes of my own, especially one about Bimetallism. As soon as ready I shall forward you a copy. Very sincerely yours PWRosher

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47 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Donnerstag, 5. Dezember 1889

Illustre amico Sono in possesso della cortese sua del 30 9bre ultimo, e son lieto di poterle annunziare che efficacissima fu la commendatizia di Lafargue a Labriola, il quale mi ha gia` raccomandato all’avvocato Vittorio Lollini suo amico, che mi difendera` gratuitamente nella cassazione di Roma, e si adoperera` energicamente per salvarmi. Alla fine di questo mese scade l’abbonamento al «Sozialdemokrat» e al «Die Neue Zeit», periodici che leggo assiduamente da parecchi anni. Faro` tutto il possibile per rinnovare l’abbonamento nel corso di questo mese, ma se non potessi ammannire la sommetta occorrente, La pregherei, se non Le cagionasse molto disturbo, di non farmi sospendere l’invio, almeno del «Sozialdemokrat», assicurando o facendo assicurare l’amministrazione che io manderei l’abbonamento nel corso dell’anno, appena potrei. Comprendo che abuso troppo, ma Ella e` cosı` buona, e mi perdonera` anche quest’altra impertinenza. E distintamente ossequiandola, rimango Benevento 5.12.89, Devotissimo Servitore Pasquale Martignetti

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48 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 7. Dezember 1889

London 7 Decbr 89 Lieber Sorge.

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Briefe vom 8 & 29 Okt dankend erhalten. So gut wirds nicht daß die „Soz. Arb. Partei“ liquidiert. Außer Schewitsch hat Rosenberg noch eine Masse andrer Erben, & die eingebildeten doktrinären Deutschen dort haben sicher keine Lust ihre angemaßte Lehrerstelle bei den „unreifen“ Amerikanern aufzugeben. Sie wären sonst gar nichts. Daß eine große Nation nicht so einfach doktrinär & dogmatisch einzupauken ist, selbst wenn man die beste Theorie hat, die aus ihren eignen Lebensverhältnissen herausgewachsen, & relativ bessre Einpauker als die S. A. P. hat – das zeigt sich hier. Die Bewegung ist jetzt endlich im Gang, & wie ich glaube, for good. Aber nicht direkt sozialistisch, & diejenigen Leute die unter den Engländern unsre Theorie am besten verstanden, stehen außer ihr: Hyndman weil er ein unverbesserlicher Intrigant & Neidhart, Bax, weil er ein Stubengelehrter. Die Bewegung ist formell zunächst Trades Union Bewegung, aber total verschieden von der der alten Tr. Un., der skilled labourers, der Arbeiteraristokratie. Die Leute jetzt gehn ganz anders ins Geschirr, führen weit kolossalere Massen ins Gefecht, erschüttern die Gesellschaft weit tiefer, stellen viel weiter gehende Forderungen: 8Stundentag, allgemeine Föderation aller Organisationen, komplette Solidarität. Die Gas Workers & General Labourers Union hat durch Tussy zum erstenmal women’s branches erhalten. Dabei sehn die Leute ihre momentanen Forderungen selbst nur als provisorisch an, obwohl sie selbst noch nicht wissen auf welches Endziel sie hinarbeiten. Aber diese dunkle Ahnung sitzt tief genug in ihnen um sie zu bewegen, nur offenkundige Sozialisten zu Führern zu wählen. Wie alle andern, müssen sie durch ihre eignen Erfahrungen, an den Folgen ihrer eignen Fehler, lernen. Aber da sie, entgegen den alten Tr. Un., jede Andeutung von der Identität der Interessen von Kapital & Arbeit mit Hohngelächter aufnehmen, wird das nicht sehr lange dauern. Ich hoffe daß die

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48. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 7. Dezember 1889

nächste allgemeine Wahl sich noch 3 Jahre hinauszieht 1) damit nicht in der schlimmsten Kriegsgefahr der Russenknecht Gladstone am Ruder – was allein hinreichend für den Czar, den Krieg zu provociren; 2) damit die antikonservative Majorität so groß wird damit eine wirkliche Home Rule für Irland eine Nothwendigkeit wird, sonst bescheißt Gladst. die Irländer wieder & dieses Hindernis – die irische Frage – wird nicht aus dem Weg geräumt; 3) aber damit die Arbeiterbewegung noch weiter entwickelt & möglicher Weise durch den Rückschlag der, nach der jetzigen Prosperität sicheren schlechten Geschäftszeit rascher gereift wird. Dann kann das nächste Parlament 20–40 Arbeitervertreter zählen, & zwar von andrem Schlag als die Potter Cremer & Co. Das Widerwärtigste hier ist die den Arbeitern tief ins Fleisch gewachsene bürgerliche „respectability“. Sozial ist die Gliederung der Gesellschaft in zahllose, unbestritten anerkannte, Abstufungen, von denen jede ihren eignen Stolz, aber auch ihren angebornen Respekt vor ihren „betters“ & „superiors“ hat, so alt & festgegründet, daß die Bourgeois noch immer das Ködern ziemlich leicht haben. Ich bin keineswegs sicher z. B. daß John Burns nicht auf seine Popularität bei Kardinal Manning, dem Lord Mayor, & den Bourgeois überhaupt im Stillen stolzer ist als auf die bei seiner eignen Klasse. Und Champion – Exlieutenant – hat vor Jahren mit bürgerlichen, namentlich konservativen Elementen gemogelt, auf dem pfäffischen Church Congress Sozialismus gepredigt &c. Und selbst Tom Mann, den ich für den bravsten halte, spricht gern davon daß er mit dem Lord Mayor lunchen wird. Wenn man dagegen die Franzosen hält, merkt man doch wozu eine Revolution gut ist. Übrigens wird es den Bourgeois wenig nützen wenn es ihnen gelingt einige der Führer in ihr Garn zu locken. Bis dahin ist die Bewegung soweit erstarkt daß so was überwunden wird. Die 4 Auflage ist fertiggemacht & im Druck. Rappaport ist an Kautsky besorgt. Wenn man einen so haarsträubenden Namen hat, muß man jedes Blödsinns fähig sein. Hepnerchen ist ein so kluges, in seinen eignen Augen so unparteiisches, dabei so total unpraktisches Männchen, (was die Juden Schlemihl nennen – geborner Pechvogel), daß es mich wundert wie er nicht schon längst drüben has come to grief. Es ist schade um das Kerlchen, aber da ist nichts zu ändern. „Time“ ist jetzt von Bax gekauft & ich glaube auch alles mit Avelings arrangirt. Kommt aber drauf an was Bax draus macht. Bei allem Talent & allem guten Willen ist B. doch unberechenbar – ein Stubengelehrter, der sich auf den Journalismus geworfen, & dadurch etwas die Balance verloren hat. Dazu seine sonderbare Marotte, die Weiber unterdrückten heute die Männer.

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Deine Liste der Tribuneartikel von Marx wird wohl unter dem Berg ˙ ˙˙ ungeordneter Briefe begraben sein. Die eingeklebten Trib. Artikel habe ich, ob sie aber vollständig sind kann ich augenblicklich nicht sagen. Ich habe sie erst im Herbst wieder gefunden. Ganz unter uns! Ich höre erst jetzt daß Schlüters Frau vor ihrer Abreise hier gesagt haben soll, Kautsky habe Schl. aus seiner Stelle verdrängt. Sollte sie ähnliches dort sagen so ist es die totale Unwahrheit. Schl. hat freiwillig selbst hier gekündigt & die Kündigung ist von der Fraktion in Deutschland angenommen worden. Er hatte persöhnlichen Krakehl mit Motteler, mit dem kein Mensch auskommen kann, der aber wegen seiner allgemein anerkannten absoluten Zuverlässigkeit in Geldsachen eine für die Parteileitung sehr werthvolle Person ist. Wenn Schl. dabei von Ede Bernstein nicht in dem Maß unterstützt wurde wie er glaubte erwarten zu dürfen, so ist das theils Edes, theils aber Schl.’s eigne Schuld. Auf Kautsky als Ersatz für Schl. im Archiv wurde erst reflektirt nachdem Schl. gekündigt. Ich hätte Dich mit diesem Klatsch nicht behelligt, glaube aber jetzt es zu müssen. Vor 14 Tagen langen Brief von Sam Moore erhalten. Er findet die Gegend gesund, die Lage sehr schön, die Gesellschaft erträglich, bestellt eine Masse Journale, scheint sich aber doch schon wieder auf die 6 Monat europ. Urlaub 1891 zu freuen. In Deutschland gehts famos, Wilhelmchen ist noch ein bessrer Agitator als Bismark, die Ruhrkohlengräber sind uns sicher, die Saar- ditto kommen nach, der Elberf. Prozeß hilft auch mit seinen Mouchard-Enthüllungen. – In Frankreich hat unsre parlamentar. Fraktion jetzt 8 Mann darunter 5 Delegirte zum Pariser Marxisten-Kongreß; Guesde ist ihr Sekretär & arbeitet ihnen die Reden aus. Ein Tagesblatt ist wieder einmal in Aussicht. Die Fraktion wird die Kongressbeschlüsse als Motion einbringen. Für den 1 Mai 90 wird überall gearbeitet. – In Östreich gehts auch sehr gut, Adler hat die Sache famos in Ordnung gebracht, die Anarchisten sind todt dort. Mir gehts auch gut, die Augen sind besser, & wenn’s so fortgeht bis Ende Januar über die Nebelzeit & kurzen Tage, werde ich wieder flotter arbeiten können. Tussy arbeitet schwer im Silvertown Strike, der längst beendet wäre, hätten nicht Burns & Co ihn vernachlässigt. Herzliche Grüsse an Deine Frau. Dein F. E.

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49 William Burns an Friedrich Engels in London Roxbury, Sonntag, 8. Dezember 1889

Dec 8/89 4 Nicols Ct Roxbury Mass. My Dear Uncle Just a few lines hoping to find you in good health as it leaves us at present in America I am very sorry to hear that Percy and Ellen has had some bad luck as I have heard from Mother I feel just as bad over it as though some misfortune had overtaken myself and I sincerely hope something will turn up for Percy as I am sure he will be awful miserable 2 I am writing to them and not knowing whether they are living in the same place I will send it in care of you I am sending you a portrait of myself you promised me one of yours when you returned from America but I think you must have forgotten it, if you have one to spare I would like to have one. Our Union is progressing wonderful. I see they have organized one in England on a similar Basis, the General Railway Workers’ Union I wish them ˙ ˙ to ˙ ˙ ˙you ˙ ˙for ˙˙ ˙ sending ˙˙ ˙ ˙ ˙me ˙ ˙ ˙the ˙ Labour Elector & every success I am very much obliged Commonweal regular. 3 I can assure you they are well read not only by me but also by our General ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ President and Vice Pres. who are thorough going Socialists give my best respects to Mr Scholemere and also to Mr & Mrs Aveling when you see them. My Wife and children are all in good health. as also is Tom. Walter is working in Lawrence so is Lydia and I am in hopes that we will be ready for Mother and rest of the family by next July at the latest. We all unite in sending our best Love from your Affectionate Nephew Wm Burns We all unite in wishing you a happy and merry Christmass and a prosperous New Year hoping you will enjoy good health and spirits in New Year coming.

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50 Gerson Trier an Friedrich Engels in London Kopenhagen, Sonntag, 8. Dezember 1889

16 Ahlefeltsgade Dec. 8 1889 Kære hr Engels, 5

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Allerede længe har jeg villet skrive til Dem, men har haft sa˚ meget at gøre, at det ikke før er bleven til noget. De har vel desuden af „Arbejderen“ set, hvorledes vor „sosialistiske“ Hovedbestyrelse her i den senere tid er ga˚t frem. For ret at forsta˚ dette, ma˚ man vide, at der foresta˚r valg til rigsdagen i januar ma˚ned. Den foretagne eksekusjon bliver endnu tydeligere, na˚r man ve´d, at ved skæbnens ugunst var ulven kommen ind i fa˚restien. De husker nok, at Hovedbestyrelsen sendte en erklæring til Pariserkongressens sekretær i anledning af, at de danske delegerede i Paris havde afholdt sig fra at stemme om den resolusjon, hvorved de sosialistiske partier opfordredes til ikke at arbejde sammen med borgerlige partier ved valgene. Kun en af hovedbestyrelsen, Signe Andersen, havde nægtet at underskrive erklæringen, fordi hun fandt at vore delegerede, i betragtning af den alliangse, sosialdemokratiet her har indga˚t med de liberale, havde handlet korrekt. A. C. Meyer, derimod, der havde været delegeret, underskrev og slog sig selv derved pa˚ munden. Samtidig har han dog ment, at en sa˚dan underkendelse af hans optræden i Paris var et mistillidsvotum til ham, ti foruden ogsa˚ at underskrive en protest sammen med de andre danske delegerede, Christensen og Nic. Petersen, nedlagde han sit mandat som hovedbestyrelsesmedlem. Sa˚ vilde uheldet, at den suppleant, der skulde indtræde i Meyers sted, var F. Møller, en af opposisjonens tilhængere, og at den næste suppleant var min ringhed. F. Møller kunde af mangel pa˚ tid ikke modtage hværvet, og sa˚ blev jeg da medlem af hovedbestyrelsen. Da nu valgforberedelserne skulde ga˚ for sig, var det selvfølgelig ubehageligt i bestyrelsen at have to opposisjonsmedlemmer for ikke at tale om, at „Arbejderens“ stædige angreb pa˚ de liberale var kompromitterende for hovedbestyrelsen overfor disse dens venner. Man havde søgt at fa˚ os lokket til at modarbejde de af partiet opstillede kandidater, men da vi ikke bed pa˚ krogen, var der intet andet for end at sætte os udenfor. Ved at stille os op som modstandere af partiet opna˚ede man endnu e´t. Det er temmelig usandsynligt, at P. Holm vil blive genvalgt. Skulde han falde, vil man have os som syndebukke, skønt den virkelige grund ma˚ søges i, at sosialdemokratiet i de senere a˚r ved sin storpolitik har skyld i, at en stor del arbejdere

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50. Gerson Trier an Engels · 8. Dezember 1889

ikke slutter sig til det. Vort venstre er et fuldstændig afmægtigt parti og ved at ga˚ ha˚nd i ha˚nd med det, kommer sosialdemokratiet til at sta˚ lige sa˚ afmægtigt. Det danske sosialdemokratis majoritet og ledelse sta˚r pa˚ det possibilistiske standpunkt med den store „aber dabei“, at vi her helt mangler den almindelige politiske udvikling som i Frankrig tillader arbejderne at gøre sig gældende pa˚ det politiske omra˚de. Derfor vil hovedbestyrelsen ikke opgive sine kompromiser med de liberale. Hvad opposisjonen i det forløbne a˚r har opna˚t kan sammenfattes i tre punkter 1) den har fremkaldt diskusjon og derved tilstrømning til partiets møder, 2) den har gennemtvunget partiets deltagelse i Pariserkongressen, 3) den har tvungen til opstillelse af flere sosialdemokratiske kandidater til rigsdagen end før. Nu er en del af dens talsmænd sat udenfor, men ved et møde af den af opposisjonen dannede forening „Literær sosialistisk forening“ blev det besluttet, at resten af opposisjonen skulde blive indenfor partiet for at „sta˚ i fjendens land“ og hindre, at den af opposisjonen fremkaldte gæring skulde opløse sig til intet. Betegnende for partiledelsen er det, at man sa˚ godt som helt har lagt agitasjonen for de sosialdemokratiske rigsdagskandidater pa˚ hylden – sagtens for at se, hvor venstre tillader sosialdemokraterne at opstille kandidater, og at man her i København afholder politiske møder i fællesskab med de liberale og venstre! Noget af det mest beklagelsesværdige ved ledelsens optræden er den bagvaskelse og aldeles usandfærdige polemik, den han ladet bladet „Socialdemokraten“ opvarte med, hvorved dette har tabt al ret til at beklage sig over den borgerlige presses unfair angreb pa˚ sosialdemokratiet. Hele den svenske sosialistiske presse har i mere eller mindre stærke udtryk udtalt sin fordømmelse af hovedbestyrelsens fremgang og uden tvivl vil, na˚r sagen bliver helt ud bekendt, de andre landes sosialistiske presse slutte sig her til. Med bedste hilsner og i ha˚b om, at disse linjer træffer Dem vel Deres hengivne Gerson Trier

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51 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Montag, 9. Dezember 1889

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Besten Dank für Ihren Brief vom 10/11. Es freut mich zu hören daß Sie in Ihrer journalistischen Karriere so flott voran kommen, sorgen Sie nur für gute Zahlung, denn sonst ist’s nur halber Gewinn. Die Journalistik ist namentlich für uns Deutsche, die wir doch alle etwas unbeholfen veranlagt sind (weßhalb die Juden uns darin auch so „über“ sind) eine sehr nützliche Schule, man wird nach allen Seiten hin gelenkiger, man lernt seine eignen Kräfte besser kennen & abwägen, & vor allem ein gegebnes Stück Arbeit in einer gegebnen Zeit fertig machen. Andrerseits treibt sie aber auch zur Verflachung, weil man sich daran gewöhnt, Dinge aus Zeitmangel über’s Knie zu brechen, von denen man sich bewußt ist daß man sie noch nicht vollständig beherrscht. Wer aber wie Sie wissenschaftlichen Trieb hat, wird dabei auch sein Unterscheidungsvermögen bewahren & die geschickte, blendende, aber für den Augenblick berechnete & nur mit den nächst-handlichen Hülfsquellen zu Stand gebrachte Arbeit nicht auf denselben Rang stellen mit der mühsam vollendeten & äußerlich vielleicht weit weniger glänzenden wissenschaftlichen Leistung; obwohl auch hier die baare Zahlung im umgekehrten Verhältniß zum wirklichen Werth zu stehn pflegt. Haben Sie sich erst eine journalistische Position erobert, so sollten Sie suchen Verbindungen anzuknüpfen die Ihnen erlauben wieder auf ein paar Jahre nach London zu kommen. Für ökonomische Studien ist das doch fast der einzig taugliche Platz. Sosehr sich auch glücklicher Weise unsre deutsche Industrie in den letzten 25 Jahren entwickelt hat, so hinken wir doch auch hier in gewohnter Weise hinter den andern her. Die großen Artikel hat England, die Geschmacksartikel Frankreich vorweg genommen; unsre Industrie konnte sich fast nur – für den Export – auf die Artikel werfen, die wie ich einmal in einem Artikel der Pariser Egalite´ sagte, e´taient trop mesquins pour les Anglais ou trop vilains pour les

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Franc¸ais. Daher auch die wunderbare Erscheinung, daß der momentane industrielle Aufschwung bei uns sich namentlich darin anzeigt, daß die Ausfuhr abnimmt, weil bei der Zunahme des innern Verbrauchs die Fabrikanten mehr Waaren im Inland zu Schutz zoll-Monopolpreisen verkaufen können, also weniger zu Schleuderpreisen im Ausland losschlagen müssen. Daher treten alle ökonomischen Erscheinungen bei uns erstens in sekundärer, & zweitens in durch das Schutzzollsystem verfälschter Form auf, sind also stets nur Specialfälle & für die allgemeinen Gesetze & Entwicklungsphasen der kapit. Produktion nur ausnahmsweise & nach bedeutender vorheriger Reinigung von Nebendingen als Exempel zu benutzen. Der Freihandel macht England heute mehr wie je zum klassischen Boden wo diese Gesetze zu studiren sind, & zwar um so mehr als England, wenn auch noch stets absolut die Produktion steigernd, doch relativ entschieden gegen die übrigen Länder am Sinken ist & seiner Verholländerung rasch entgegen geht. Der Verfall der engl. Industrie aber ist nach meiner Ansicht zusammenfallend mit dem Kladderadatsch der kapit. Produktion überhaupt. Wenn auch fast unbezweifelt Deutschland der Boden sein wird auf dem der Kampf sich auskämpft, so wird doch wahrscheinlich die Entscheidung von England ausgehn. Daher ist es so prächtig daß grade jetzt auch hier die Bewegung ernsthaft, & wie ich glaube unaufhaltsam angefangen hat. Die Arbeiterschichten die jetzt ins Geschirr gehn, sind unendlich zahlreicher, energischer, bewußter als die alten Trades Unions, die nur die Aristokratie der Arbeiterklasse bildeten. Es ist ein ganz andrer Zug darin. Während die Alten noch an die „Harmonie“ glauben, lachen die Jungen jeden aus der von Identität der Interessen zwischen Kapital & Arbeit spricht. Während die Alten jeden Sozialisten perhorresziren, wollen die Jungen absolut keine andren Führer als erklärte Sozialisten. Ich habe da eine famose Berichterstatterin in Tussy die bis über die Ohren in dieser Bewegung steckt. Wie gesagt, sehn Sie daß Sie wieder herkommen. Mit ein paar Korrespondenzen & Arbeiten für Neue Zeit, Brauns Archiv, & ein paar and˙ ˙ ˙ ˙˙Wir ˙ alle, & ich besonders, werden re Zeitschriften können Sie’s riskiren. uns sehr freuen Sie wieder hier zu sehn. Sam Moore ist in Afrika, in Asaba am Niger, Oberrichter der NigerCompagnie-Gebiete. Ging Mitte Juni ab, schreibt recht zufrieden, findet die Gegend gesund & die Gesellschaft erträglich. Schläft hoffentlich sanft in den Armen einer Negerin. Sonst ist hier ziemlich alles beim Alten. Aveling scheint mit seinen dramatischen Versuchen voran zu kommen, das letzte Stück vor 14 Ta-

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gen gefiel sehr. Die Schweizer Expulsirten gewöhnen sich allmählig ein. Vom 1. Januar erscheint die Monatsschrift Time unter Bax’s Leitung. Mit besten Grüßen Ihr F. Engels

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52 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Donnerstag, 12. Dezember 1889

New York d. 12./12 89. Lieber Engels! Ich habe nicht unterlassen wollen, Dir u. Allen, die sich unserer dort gern erinnern, unsere besten Wünsche zum Weihnachten und Neujahr zu übersenden. Soviel mir bekannt, hat Sorge Dir Nachricht über unser Thun und Treiben zugehen lassen. Meine Frau besorgt immer noch ihren Laden u. ich arbeite vorläufig, bis der Jonas zurückkommt, noch in der „Volkszeitung“. Vorige Woche sandte ich Dir eine Nr. des „Commonwealth“ mit der Abbildung eines Baumes, den man nach unserm Marx getauft hat. Ich nehm an, daß das Heftchen Dich interessiren würde. Mit der Arbeiterbewegung siehts hier noch faul aus. Die sog. Sozialistische Arbeiterpartei ist total ruinirt durch die Rosenberg, u. Consorten u. was noch übrig geblieben, ist auch nicht viel werth. Die Leute sind, soweit sie überhaupt etwas sind, voll des seichtesten Lassalleanismus, und man muß hier wieder von Grund aus anfangen. Ich will versuchen, durchzudrücken, daß man das „Kommunistische Manifest“ hier in Englisch und Deutsch druckt u. ordentlich verbreitet. Willst Du so gut sein, und mir einige Zeilen zukommen lassen, ob Du nichts dagegen hast? Was die „Federation of Labor“ anlangt, so ist die Geschichte mit derselben verflucht hohl. Es heißt zwar, daß etwa 500 000 Arbeiter in derselben vereinigt sind, in Wirklichkeit aber sind es kaum 100 000, die dazu noch z.Th. unter fachpolitischem Einfluß stehen. Echt amerikanisch wird die Sache aufgepufft, ohne daß etwas dahinter steckt. Die „Knight’s of Labor“ sind, obgleich sie unzweifelhaft stark zurückgehen, doch noch immer die zahlreichste Organisation hier und halten auch noch am straffsten zu sammen. Ich glaube aber, daß sie stark durch ihr kürzlich beschlossenes Zusammengehen mit dem Kleinfarmerthum verlieren werden. Die Aussichten für die Achtstundenbewegung zum ersten Mai sind bis jetzt nicht die besten. In New York und Chicago hat man sich noch nicht von 1886 erholt, u. in diesen beiden Hauptpunkten unserer Bewegung wird es kaum viel werden. Dagegen sieht es aus, als ob die Pittsburger Gegend diesmal einen besseren Kampf führen wird. Hervorragend betheiligen werden sich die Eisenarbeiter, Kohlenarbeiter und Bauhandwerker. Von den ersten indeß nur die Gießer u. die sheet-iron workers.

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Daß im Februar John Burns hierherkommen soll, wird Dir bekannt sein. Ich bezweifle, ob er hier augenblicklich nachhaltiger wirken kann. In der „Volkszeitung“ habe ich immer noch einen ziemlichen Kampf mit dem Geist des alten Douai auszufechten. Die „Unterkonsumption“ spielt bei uns noch eine Rolle. Suche ich mit „Ueberproduktion“ zu kommen, heißt es gleich, nein, Douai hat eine passende Formel gefunden. Weder das eine, noch das andre ist richtig, sondern es muß heißen: „Nicht geordnete Produktion u. Vertheilung“, womit die ganze Geschichte dann auf das Gebiet des Quatsches hinübergeleitet ist. Und nun seid alle recht herzlich gegrüßt von uns Beiden. Du, Nimmy, Avelings, Percy’s u. alle andern. Bleibt im neuen Jahre recht gesund und munter. Wir hoffen, Dich nächsten Sommer einmal hier begrüßen zu können. – Es würde mich sehr freuen, wenn ich einmal einige Zeilen von Dir bekäme. Und nun lebt wohl! Dein HSchlüter 73 First Av. N. Y. City.

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53 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 13. Dezember 1889

13/12/89. Le Perreux My dear General, I don’t know how you & Nimmy fare at the foot of the hill where the primroses ought to grow, but we, Perreuxiens, have fallen on evil days. Snow & rain & fogs & wind & slush & mud––especially mud––have been dealt out to us with that liberality which distinguishes heaven in December. Bad Russia is sending us the influenza & Time & the hours are bringing round the season of the e´trennes. It’s quite lively! The sky is of the colour of Paul’s poll & promises further contributions of snow & rain.––Yesterday a letter came from Danielson inviting Paul to scribble away for the Northern Review. And, oh Lord, he does scribble! You should hear the obstreperous scratching of his pen that accompanies the discreeter humming of my own! You are aware that Joffrin has got into Parliament. You know that our deputies travel gratis & Joffrin has a seat in an express train that will soon carry him over to the majority. It appears that he is grown an awful sight & that he literally stinks in the nostrils of his fellow M. Ps! But that’s an unsavoury subject. Last week Duc Quercy & his wife spent an evening with us: he gave us the benefit of his experience in animal magnetism & hypnotized my servant girl, Juliet. She’s an excellent subject, an ex-somnambulist, of a very amorous disposition & rather weak-nerved. She walked & talked in her sleep to Duc’s bidding & next day bubbled over with confiding observations on Duc Quercy’s “regard et sa belle barbe noire!” He has evidently made a conquest of her. Happily there is some chance of her finding a more practical admirer in the shape of our neighbour’s gardener whom she is to meet at a ball tomorrow night & who would make a very personable Romeo. A meeting of the “Conseil national” had been called for yesterday, but as nobody turned up beyond Guesde & Paul I don’t suppose that much business either national or international was transacted. Guesde & Quercy have given a few conferences in the North & are much pleased with the Progress made there. I send you a translation of Walther von der Vogelweide’s Unter der Linde, which used to be a great favourite with you. Goodbye, my dear General, & give Nim a kiss for me. Your Laura

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Under the linden-tree Under the linden-tree, Close to the heath, Where our bed of green leaves was, There, haply, shall you see The way we both. The flowers broke, & eke the grass. By the woodside, in the dale, Tan, ta, ra, ra! Sweetly sang the nightingale. –––– I came a fleeting Down to the green, Whither my beloved had hied him; There was a greeting! Mistress, my queen! Oh, the joy when I espied him! Did he kiss me as the hours sped? Tan, ta, ra, ra! Do you not see my mouth is red? –––– Then he speedily, With many a joke, For a resting-place heaped up flowers; Aye right-heartily Laugh out the folk As they come down that path of ours, For the roses plainly say. Tan, ta, ra, ra! Where it was that my head lay. –––– Lack, if any ever Guessed that he tarried There with me so, shamed should I be; Oh, that the world never, How there we dallied, May know, but only I & he! And but one tiny little bird, Tan, ta, ra, ra! That will not blab what it hath heard! ––––

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54 E. Williams an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 15. Dezember 1889

28. Tavistock-Place. Tavistock-Sqre N. C. Dec. 15./89. Dear Mr Engels. I hope you will excuse my writing to you. If, you should be in want of an nice little quiete Friend, one who is well educated and can speak four different languages, and has travelled a great deal. I should feel pleased to know anyone that’s nice, as I am respectable and have not been very long here. You will greatly oblige in answer to this. I am staying with a Lady-Friend, so I give you her Address, as I know my Letters will be all right. I Remain Yours Sincerely E. Williams. P. S. Please addresse to: Mrs E. Williams c/o Mrs Summerfield 28. Tavistock Place Tavistock Sqre N. C

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55 Emma Pfänder an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 17. Dezember 1889

I Compton St Regent Square Dec 17th 1889 Dear Mr Engels. 5

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Many thanks for your very kind letter, I was very sorry to hear that bout yourself and Lehnchen are ill but hope you are both better by now. I hope you will excuse my not writing before now, but I have been so very much upsett over my dear Mothers death, and was also occupied in arranging about her funeral, which took place yesterday; it was rather soon, but I could do no good in keeping her boddy in the house after she was gone, and as I have only the one kitchen it was better so. Many thanks for your kind offer to assist me, but thanks to all your former kindness I have managed up till now. I do not know how I will get on in the future, or if I will be able to stop in this house; at present I still have some work which is wanted for Christmas, so I must remain as I am for the time. I would like to stop here if I can as the people are all very kind to me, and one lady here sat up with me for several nights during my dear Mothers illness, and let me stop in her rooms after Mother’s death till the funeral was over, and I fear I will feel my loss very much more if I have to go among strangers, but do not know if I can get work enough after Xmas to manage to pay the rent, however I must see as time goes on. Hoping that you and Lehnchen are both better, and with many thanks for all your kindness to My dear Mother and selb I remain yours sincerely Emma Pfander.

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56 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Paris, Mittwoch, 18. Dezember 1889

75 rue Madame. 75. 18 De´cembre 89 Cher Citoyen Engels. Je vous e´cris a` la haˆte. Enfin, nous avons un journal quotidien, dont l’existence est assure´e pour six mois ... Ce journal nous sera entie`rement garanti, et les expulsions sont improbables. Voici ce que je vous demande, au nom de Guesde – C’est 1o de vous engager, vous, Bernstein, les Aveling – a` y envoyer des correspondances et a` laisser mettre vos noms sur les circulaires qui vont paraıˆtre incessament – 2o Y aurait-il moyen d’obtenir de Burns ou d’un autre l’autorisation de laisser mettre son nom sur la circulaire, et de plus d’envoyer une correspondance suivie. Il faut que la partie internationale du journal soit e´crasante pour le public bourgeois – Je vais e´crire a` Liebknecht et a` Bebel afin de m’assurer leur adhe´sion et celle de P e t e r s e n pour le Danemarck. Quels noms avez-vous a` nous donner pour les pays Scandinaves. P o u r l ’ A m e´ r i q u e , nous comptons sur vous pour nous indiquer un correspondant se´rieux. Il sera peut-eˆtre possible que les correspondants fussent paye´s a` une certaine e´poque, mais, maintenant, ce serait dans l’inte´reˆt du parti. Il faut aussi que chacun des correspondants s’engageaˆt a` eˆtre ponctuel, de fac¸on que l’on puˆt annoncer les articles, la veille du jour – Je vous e´cris tre`s-vite, pour que vous ayez le temps de communiquer avec Bernstein et les Aveling – Re´ponse le plus vite possible Ecrivez-moi aussi pour l’affaire inte´ressant Guesde, cette place de correspondant d’un journal anglais. Cela est t r e` s i m p o r t a n t; pour lui. Tout a` vous, a` la haˆte Ch Bonnier.

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57 Friedrich Engels an Gerson Trier in Kopenhagen London, Mittwoch, 18. Dezember 1889 (Entwurf)

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Besten Dank für Ihre interessante Mittheilung vom 8. Wenn ich Ihnen meine Ansicht sagen soll über die letzte Kopenhagener Haupt & Staatsaktion, deren Opfer Sie geworden, so fange ich mit einem Punkt an wo ich nicht Ihrer Ansicht bin. Sie verwerfen principiell alles & jedes, selbst momentane Zusammengehn mit andern Parteien. Ich bin revolutionär genug mir auch dies Mittel nicht absolut verbieten zu lassen unter Umständen wo es das vortheilhaftere oder am wenigsten schädliche ist. Daß das Proletariat seine politische Herrschaft, die einzige Thür in die neue Gesellschaft, nicht erobern kann ohne gewaltsame Revolution, darüber sind wir einig. Damit am Tag der Entscheidung das Proletariat stark genug ist zu siegen, ist es nöthig – & das haben Marx & ich seit 1847 ˙ ˙ allen andern & vertreten – daß es eine besondre Partei bildet, getrennt˙von ihnen entgegengesetzt, eine selbstbewußte Klassenpartei. Darin liegt aber nicht, daß diese Partei nicht momentan andre Parteien zu ihren Zwecken benutzen kann. Darin liegt ebensowenig daß sie nicht andre Parteien momentan unterstützen kann, in Maßregeln die entweder unmittelbar dem Proletariat vortheilhaft oder die Fortschritte im Sinn der ökonomischen Entwicklung oder der politischen Freiheit sind. Wer in Deutschland für Abschaffung der Majorate & andrer Feudalreste, der Büreaukratie, Schutzzölle, des Sozialistengesetzes, der Beschränkung des Versammlungs- & Vereinsrechts wirklich kämpft, den würde ich unterstützen. Wäre unsre deutsche Fortschrittspartei oder wäre Ihre dänische Venstre eine wirkliche radikal-bürgerliche Partei, & nicht bloße elende Phrasenhelden die bei der ersten Drohung Bismarks oder Estrups sich verkriechen, so wäre ich keineswegs unbedingt gegen alles & jedes momentane Zusammengehn mit ihnen für bestimmte Zwecke. Wenn unsre Abgeordneten für einen Vorschlag stimmen der von andrer Seite gemacht wird – & das müssen sie ja oft genug – so ist

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das auch schon ein Zusammengehn. Ich bin aber nur dann dafür, wenn der Vortheil – für uns direkt, oder für die geschichtliche Entwicklung des Landes in der Richtung auf die ökon. & politische Revolution – unbestreitbar & der Mühe werth ist. Und vorausgesetzt daß der proletarische Klassencharakter der Partei dadurch nicht in Frage gestellt wird. Dies ist für mich die absolute Grenze. Diese Politik finden Sie entwickelt schon 1847 im Komm. Manifest; wir haben sie befolgt 1848, in der Internationale, überall. Abgesehen von der Frage der Moralität – um diesen Punkt handelt es sich hier nicht, ich lasse ihn also bei Seite – ist mir als Revolutionär jedes Mittel recht, das zum Ziel führt, das gewaltsamste aber auch das scheinbar zahmste. Eine solche Politik erfordert Einsicht & Charakter, aber welche andre thut das nicht? Sie setzt uns der Gefahr der Korruption aus, sagen die Anarchisten & Freund Morris. Ja wenn die Arbeiterklasse eine Gesellschaft von Dummköpfen, Schwächlingen & ohne Weiteres käuflichen Lumpen ist, dann packen wir am besten gleich ein, dann haben das Proletariat & wir alle auf der politischen Bühne nichts zu schaffen. Das Proletariat wie alle andern Parteien wird klug am ehesten durch die Folgen seiner eignen Fehler, diese Fehler kann ihm Niemand ganz ersparen. Nach meiner Meinung haben Sie also Unrecht wenn Sie eine zunächst rein taktische Frage zu einer principiellen erheben. Und für mich liegt ursprünglich nur eine taktische Frage hier vor. Aber ein taktischer Fehler kann unter Umständen auch in einem Prinzipienbruch endigen. Und da haben Sie, soweit ich urtheilen kann, Recht gegen die Taktik der Hovedbestyrelsen. Die dänische Linke spielt seit Jahren eine unwürdige Oppositionskomödie, & wird nicht müde immer aufs neue ihre eigne Ohnmacht vor der Welt zu konstatiren. Die Gelegenheit, den Verfassungsbruch mit der Waffe in der Hand zu züchtigen – wenn sie je da war – hat sie längst vorübergehn lassen, und wie es scheint, sehnt sich ein stets wachsender Theil dieser Linken nach Versöhnung mit Estrup. Mit einer solchen Partei, scheint mir, kann eine wirklich proletarische Partei unmöglich zusammengehn, ohne auf die Dauer ihren eignen Klassencharakter als Arbeiterpartei einzubüßen. Soweit Sie also im Gegensatz gegen diese Politik den Klassencharakter der Bewegung hervorheben, ‚‚ kann ich Ihnen nur beistimmen. Was nun die Verfahrungsweise der Hovedbestyrelsen Ihnen & Ihren Freunden gegenüber betrifft, so ist eine solche summarische Ausschließung der Opposition von der Partei allerdings vorgekommen in den geheimen Gesellschaften von 1840–51; die geheime Organisation

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machte sie unvermeidlich. Sie ist ferner vorgekommen, & oft genug, bei den englischen physical force Chartisten unter der Diktatur O’Connors. – Aber die Chartisten waren eine direkt aufs Losschlagen organisirte Partei, wie schon der Name sagt, standen deßhalb unter Diktatur, & die Ausschließung war eine militärische Maßregel. Dagegen in Friedenszeiten kenne ich ein ähnliches willkührliches Verfahren nur bei den Lassalleanern der J. B. von Schweitzerschen „strammen Organisation“; von Schweitzer hatte es nöthig wegen seines verdächtigen Umgangs mit der Berliner Polizei, & beschleunigte damit nur die Desorganisation des allg. d. Arbeitervereins. Von den heute bestehenden soz. Arbeiterparteien würde es wohl kaum einer einzigen – nachdem Herr Rosenberg in Amerika sich glücklich selbst beseitigt hat – einfallen, eine in ihrem eignen Schoß erwachsende Opposition nach dem dänischen Muster zu behandeln. Es gehört zum Leben & Gedeihen einer jeden Partei daß in ihrem Schoß gemäßigtere & extremere Richtungen sich entwickeln & selbst bekämpfen, und wer die extremeren kurzer Hand ausschließt, befördert dadurch nur ihr Wachsthum. Die Arbeiterbewegung beruht auf der schärfsten Kritik der bestehenden Gesellschaft, Kritik ist ihr Lebenselement, wie kann sie selbst der Kritik sich entziehen, die Debatte verbieten wollen? Verlangen wir denn von Andern das freie Wort für uns bloß um es in unsren eigenen Reihen wieder abzuschaffen? Wenn Sie wünschen sollten, diesen Brief ganz zu veröffentlichen, so habe ich nichts dagegen. Aufrichtig Ihr

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58 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 18. Dezember 1889

Illustrissimo Amico Avendo letto nel no 49 del Sozialdemokrat del 7 andante, che il circolo Vorwarts di Buenos Aires ha inviato al detto Soz.demokrat pel fondo elettorale Marchi 284, mi e` venuta l’idea di procurarmi l’indirizzo di questo circolo, o almeno di qualcuno dei suoi componenti, per avere un ricapito nel caso che, divenuta definitiva la mia condanna, in ultima istanza, fossi obbligato di emigrare a Buenos Aires. E sarei tanto obbligato alla sua cortesia se volesse procurarmi un tale indirizzo, e favorirmi una sua commendatizia, che avrebbe certo gran valore, pel suindicato circolo Vorwarts. Aspetto con impazienza la decisione, perche´ nello stato attuale la vita mi e` assolutamente impossibile, i miei mezzi sono esauriti e mi e` stato impossibile trovar lavoro. Se avessi speranza di trovarne a Buenos Aires vi andrei subito, perche´ le due lire al giorno che guadagna mia moglie, con l’insegnamento elementare, non bastano neanche per pagare la pigione di casa e pel pane. Ella e` cosı` buona e spero che vorra` perdonarmi se La contristo e La disturbo cosı` spesso. La ossequio intanto e rimango Benevento 18.12.89 Devotissimo Servitore Pasquale Martignetti.

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59 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Dresden, Freitag, 20. Dezember 1889

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Für die Notizen betr. Gottschalk besten Dank – etwas verspätet, aber ich war nicht wohl und überarbeitet. Die Notizen kann ich sehr gut verwerthen – der Bursche war wirklich auf dem Demokratischen Congreß in Frankfurt – ich habe das Protokoll bekommen. Der verwünschte Elberfelder Prozeß, durch den Bebel um ein paar Monate kostbarer Zeit bestohlen worden ist, nimmt uns einigermaßen in Anspruch. Schade, daß auch auf unserer Seite allerlei Gesindel ist – sonst hätte die Regierung eine prächtige Niederlage erlitten. Aber die Corruption der Schweizer-Hasselmannschen Wirtschaft, die in jenen Gegen den ihre schönsten Blüthen entfaltet hat, war zu tief gewurzelt, als daß wir nicht auf solche Überraschungen hätten gefaßt sein müssen. Über den Ausgang läßt sich noch nichts sagen; ich denke, daß Bebel & Grillenberger frei kommen; das Verhör des letzten Tags verlief recht günstig. Wenn die Entscheidung wenigstens bald getroffen wird – Bebel ist durch dieses fortwährende Qui vive? der letzten 5 Wochen hochgradig erregt, so daß ich ernsthafte Erkrankung befürchte, wenn das Hangen und Bangen noch lange fortdauert. Meine Familie befindet sich ganz wohl, ich hatte aber das Pech, daß mir meine Hauswirthin in Borsdorf vor einigen Tagen gestorben ist und ich in Folge dessen vielleicht obdachlos werde. Hoffentlich steht es mit Roshers wieder gut – ich konnte mich sehr lebhaft in Deine Lage versetzen. „Auch Du mein Sohn!“ Meine „Volksbibliotheks“-Noth ist glücklich zu Ende, und ich habe den Schlag etwas verschmerzt. Ohne die Landtagsdiäten, die mir etwa 1/3 des Verlorenen ersetzen, hätte ich die Krise nicht überstanden. Wie geht’s bei Dir? Und was macht Lehnchen? Und Rosher’s? Herzliche Grüße und a merry Christmas and a happy new year to you all Treu Dein W. L. Borsdorf 20.12.89. (Ich schreibe in Dresden, kehre aber morgen nach Borsdorf zurück.)

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60 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 20. Dezember 1889

New York 20.12 89. Lieber Engels! Seit etwa einem Vierteljahr ist hier ein gewisser George W. Reid anwesend, der vorgiebt, von London hierher geschickt worden zu sein, um Hafenarbeiter u. Matrosen am hiesigen Platze zu organisiren. Er hat hier auch eine Union gegründet, u. ist überhaupt recht thätig. Das ist aber auch das einzige Gute, was von ihm zu berichten ist. Er ist ein fürchterlicher Aufschneider u. die Hafenarbeiter beginnen ihm zu mißtrauen. Man hat mich ersucht, zu versuchen, Näheres über ihn zu erfahren. Was mich besonders veranlaßt, auf diesen Wunsch einzugehen, daß ist der Umstand, daß Reid meiner Ueberzeugung nach die Geschäfte Hyndman’s hier besorgt. Er hebt diesen bis in den 7. Himmel u. schimpft fortwährend auf John Burns, mit dem er persönlich gut bekannt gewesen sein will. Er habe in einem Hotel mit ihm zusammen geschafft. Könntest Du mir, vielleicht durch Vermittlung des Ehepaares Aveling, einiges über Genannten mittheilen lassen, würdest Du uns hier verbinden. Der Artikel des „Workman’s Adv.“, den der „Labor Elector“ abdruckte u. Du angestrichen an Sorge sandtest, ist von Sanial geschrieben. Sanial ist von Geburt Franzose, wohl 40 Jahre im Lande u. er erzählte mir kürzlich, daß ein Bekannter (oder Verwandter) von ihm noch Manuskripte von Ernest Jones in Händen habe. Noch einmal ein herzliches Prosit Neujahr! an Alle von uns Beiden. Dein HSchlüter

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61 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 22. Dezember 1889

Le Perreux 22/12/89 Mon cher Engels,

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Vous vous eˆtes paye´ une grippe pour vous mettre a` la mode. Ici on oublie les de´bats parlementaires, les invalidations boulangistes et tous les cancans de la politique pour ne s’occuper que [de] l’influenza. Ce nom nouveau de la grippe est une des belles trouvailles des me´decins de 1889, du centenaire; tout le monde soigne soi-meˆme plus ou moins mal sa grippe; mais pour gue´rir son influenza, il faut un diploˆme´. Les me´decins voulaient lui donner le nom plus re´barbatif de dengue, mais ils le re´servent pour l’anne´e prochaine. Quand nous avons rec¸u votre lettre nous annonc¸ant votre bronchite, je venais d’e´crire a` Danielson que vous vous portiez beaucoup mieux; c’e´tait ce que m’avait appris Bonnier. Danielson m’avait demande´ des de´tails sur votre sante´ et sur la publication de Marx. Je lui ai re´pondu que les manuscrits qu’il fallait de´brouiller, comparer et transcrire, vous donnait un mal conside´rable, a` cause de l’e´tat ou` ils sont, de l’e´criture et de vos yeux; mais que vous avanciez dans le travail. On me demande aussi quand les œuvres e´parses de Marx, comme la Sainte Famille, seront re´unies en volume; je re´ponds que je n’en sais rien, que le plus presse´ et le plus important c’est la publication des manuscrits; quand elle sera termine´e on songera aux œuvres de´ja` imprime´es et a` la correspondance. Nous avions appris la de´faite de Silvertown, on l’attribuait aux engineers, qui n’ont pas voulu faire cause commune avec les caoutchoutiers. Que devient la gre`ve des Gaziers ? pas un journal franc¸ais n’en donne des nouvelles. J’ai rec¸u une lettre de Danielson m’annonc¸ant que mes articles e´taient accepte´s, et que la directrice de la Revue, Madame Evreinoff, devait m’e´crire. Je n’ai encore rec¸u aucune lettre d’elle. Vous nous avez mis l’eau a` la bouche avec les gaˆteaux que He´le`ne e´tait en train de cuisiner, nous attendons avec impatience son plum pudding; beaucoup de nos amis se font une feˆte de le gouˆter. C’est e´tonnant comme les franc¸ais aiment les gaˆteaux anglais, surtout ceux manufacture´s par He´le`ne. Dites a` H. de se me´fier des fourneaux a` gaz; ils donnent parfois des maux de teˆte, quand les produits de la combustion ne sont pas emporte´s par une chemine´e. Heureusement que votre cuisine est tre`s grande et que la porte reste ouverte souvent.

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61. Paul Lafargue an Engels · 22. Dezember 1889

L’e´poque des e´trennes commence mal a` propos pour moi, c’est a` peu pre`s toujours le cas. Je vous serai bien oblige´ de nous envoyer un che`que. Amitie´s a` tous et bien a` vous P Lafargue. Laura est en train de se battre avec un article grandiloquent et imbe´cile de Castelar; il faut qu’elle le mette en anglais intelligible. C’est une rude taˆche ! Cet animal pre´tend que l’empire du Mexique de Maximilien est la conse´quence de l’abolition de l’esclavage dans les E´tats-Unis. Vous dites que vous ne comprenez rien au cas de Kautsky: voici l’explication. Rivalite´ professionnelle. – Kautsky enseignait en Suisse l’art de ne pas faire des enfants; comment un Malthusien peut-il vivre avec une femme qui met le´s enfants au monde.

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62 Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels in London London, Montag, 23. Dezember 1889

13 Grove Gardens St John’s Wood 23 Dec. 1889 Dear Mr Engels 5

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I received a letter from Zassulich, sending me 1000 thanks to be transmitted wholesale to you for your promised article.––She tells me that if you send it the 4 of January it will come in time.––I hope it is not pressing you too much? If you have no time to make it as full as you would like make it shorter: a few pages of yours will be a treasure for the editors as well as for the readers. Yours very sincerely S. Stepniak P. S. Do not trouble answering. Yours again S. S.

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63 Friedrich Engels an Natalie Liebknecht in Leipzig London, Dienstag, 24. Dezember 1889

London 24 Dec 1889 Liebe Frau Liebknecht Vor allem meinen herzlichsten Dank für Ihre & Ihres Hrn Sohnes freundliche Glückwünsche zu meinem letzten Geburtstag, den wir sehr fidel verlebt haben, wir mußten bis nach 12 Uhr zusammen bleiben um zwei Fliegen mit einem Klapps schlagen zu können, denn den nächsten Tag ist Avelings Geburtstag, & da haben wir den gleich mitgefeiert. Es hat uns gefreut zu hören daß Sie sich alle im besten Wohlsein befinden, uns gehts auch im Ganzen recht gut, Nimmi hat einige starke Erkältungen durchzumachen gehabt & alle die rheumatischen Attaken indeß das ist nun einmal beim Klima hier nicht ganz zu vermeiden & wenns nicht gar so schlimm wird beklagt man sich nicht darüber. Bei Roschers ist auch alles wohl nur hat Papa Percy vorigen Sonntag sich eine starke Erkältung geholt, die fast in Lungenentzündung ausgeartet wäre, es geht aber besser, freilich ist ihm ein dicker Strich durch die Weihnachtsfreude gemacht, & er wird morgen das Haus nicht verlassen dürfen. Pumps hat dabei augenblicklich kein Mädchen, das letzte ist ihr vor 14 Tagen, als sie mit den Kindern aus war, auf & davongelaufen & als Pumps zurückkam war das Haus leer & verschlossen & da sie keinen Schlüssel in der Tasche hatte, mußte die Gesellschaft zu mir kommen & auf Percy warten solange konnten sie nicht hinein. Sie sehn auch hier kommen allerhand petites mise`res vor. Morgen Abend werden wir eine große Gesellschaft hier haben, wenn Pumps & die Kinder kommen können; außerdem kommen Mottelers, Fischers & Bernsteins, natürlich auch Avelings & dann ist Schorlemmer, seit gestern hier. Wir haben grade so viel als wir mit genauer Noth setzen können, Nimmi ist schon jetzt am Kochen & Backen – die Plumpuddings sind bereits vor 8 Tagen fertig gemacht. Das ist eine entsetzliche Mühe & alles bloß um sich eine Unverdaulichkeit zuzuziehn. Aber so wills die Sitte & man machts mit, lustig wird’s doch, wenn auch der Kater am zweiten Feiertag nachhinkt.

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Tussy ist seit dem Dockstrike, wo sie Tag & Nacht auf dem Comite´ arbeitete – die eigentlich ausführende Arbeit wurde von 3 Frauen gethan – bis über die Ohren in der Strikebewegung. Gleichzeitig mit dem Dockstrike entbrannte ein kleiner Strike in Silvertown am äußersten Ostende, etwa 3000 Leute, da war sie mitten drin, organisirte einen Fachverein von Mädchen, mußte jeden Morgen hinaus – aber nach 12 Wochen endete der Strike mit einer Niederlage. Jetzt ist sie mit im Gasstrike auf der Südseite thätig, sprach Sonntag Morgen im Hydepark, aber das ist doch weniger anstrengend, & sie hat mehr Zeit. Sie & Aveling besorgen die Unterredaktion einer Monatsschrift die E. B. Bax vom 1 Jan. übernommen hat, da gibts auch Arbeit genug. Dabei ist sie Sekretärin von zwei weiblichen Fachvereinen. ˙ ˙ auch einen Brief von Liebknecht, wofür Sie ihm gef. Gestern erhielt ich ˙ ˙˙ in meinem Namen danken wollen. Er ist ja wohl˙ ˙morgen bei Ihnen. Wir warten hier mit Schmerzen auf das Urtheil im Elberf. Prozeß, mein letzter Rest von Vertrauen auf preußische Richter ist längst dahin, wenn nur Bebel nicht mit verdonnert wird. Die Pariser scheint es bekommen wieder einmal ein tägliches Blatt – aber ich bin so oft von diesen Hoffnungen getäuscht worden daß ich nicht recht dran glaube bis ichs sehe. Unsre französische Fraktion, acht Mann, macht sich gar nicht schlecht bis jetzt & zeigt merkwürdige Disziplin wenn man bedenkt daß die Leute aus allen Teilen Frankreichs zusammenkommen & die Meisten einander unbekannt sind. Und nun liebe Frau Liebknecht wünsche ich Ihnen recht vergnügte Feiertage & ein glückliches neues Jahr, Ihnen, Liebknecht, Theodor & allen andern Kindern, Frau Geiser nicht zu vergessen. Von Schlüters hatte ich gestern einen Brief, es scheint ihnen so ziemlich gut zu gehn. Mit herzlichen Grüßen von Nimmi Roshers & mir Ihr aufrichtiger F. Engels Frau Natalie Liebknecht Südplatz 11 Leipzig Germany

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64 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 24. Dezember 1889

Le Perreux Mon cher Engels Merry Christmas. Merci che`que. Nouveau journal est une de´plorable affaire. C’est un capitaliste qui veut pendant six mois assurer l’existence mate´rielle (papier, composition et tirage) d’un journal; mais la re´daction doit vivre de l’air du temps. Guesde a obtenu cependant 600 fr par mois pour lui et Quercy; mais les autres re´dacteurs 0. – Un quotidien avec deux re´dacteurs paye´ ne peut vivre; le travail exige au moins 5 hommes. Au bout d’un mois Guesde et Quercy seront e´puise´s et malades; et ils n’auront re´ussi qu’a` faire une doublure du Parti ouvrier, a` de´conside´rer, par leur insucce`s, le parti socialiste et a` rendre encore plus e´loigne´e l’apparition d’un journal quotidien socialiste, dont le besoin commence a` se faire sentir: mais pour re´ussir il faut qu’il soit fait se´rieusement et non pas a` coups de ciseaux, comme sera fait le journal Guesde-Quercy. Merry Christmas for all P Lafargue

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65 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Sonntag, 29. Dezember 1889

den 29. Dcbr. 1889

Herzlichste Gratulation

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lieber Engels, zum Jahreswechsel! Sage mir, bitte, mit 2 Worten, was Du von der Arbeit von Conrad Schmidt: „Die Durchschnittsrate“ hältst. – Ich habe das Buch gekauft, habe aber nicht den Muth mich in dies für mich nicht leichte Studium zu stürzen, bevor ich von competenter Seite weiß, ob es Zeit u. Mühe lohnt. – Möge es Dir stets so gut ergehen, wie es von Herzen wünscht Dein Dr. Kugelmann. F. Engels Esqre 122. Regents-Park-Road London. N. W. England

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66 Natalie Liebknecht an Friedrich Engels in London Leipzig, Sonntag, 29. Dezember 1889

Sehr verehrter Herr! Ihr lieber Brief hat mich ganz außerordentlich erfreudt, ich sage Ihnen vielen herzlichen Dank dafür. Indem Sie mir von Allen u. Allem bei Ihnen etwas erzählten, versetzten Sie mich wieder zu Ihnen u. zwar so lebhaft, als hätte ich Sie erst gestern verlassen. Ihre heitere, gemütliche Stimmung hat Sie noch nicht verlassen, der beste Beweis, daß Sie sich wohl befinden. Ihren Geburtstag hätte ich gerne mitgefeiert, die Gesellschaft war gewiß sehr heiter. Heute nun will ich Ihnen zu neuen Jahre gratuliren u. den Wunsch aussprechen, daß Sie dasselbe so gesund zurücklegen, wie Sie es beginnen werden. Auch Roche’s, Avelings u. Nimi bitte ich meine besten Wünsche auszurichten. Was Tussy leistet ist ja kaum glaublich. Mein Mann erzählte schon vom Pariser Congress, daß sie eine der besten Kräfte gewesen wäre. Sie kann mit jedem Mann concurriren. Morgen wird das Elberfelder Urteil verkündet. Wir sind in der größten Span˙ ˙˙ nung. Es wäre schauderhaft˙˙ würde H. Bebel verurteilt. Man könnte es eigentlich nicht für möglich halten, würde bei uns in Deutschland jetzt nicht auch das Unmögliche möglich gemacht. Von meinem Mann u. Sohn u. mir viele herzliche Grüße, beide schließen sich ˙˙ ˙ ˙ ˙ meinen Wünschen an. In aufrichtiger Verehrung u. Freundschaft, stets ˙˙ ˙ ˙ ˙ Ihre dankbare N. L. 29.12.89.

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67 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Montag, 30. Dezember 1889

18 december ’89 S Petersburg Honourable Sir

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Took’s “Currency Principle” I have duly received; my sincerest thanks for your kindness. It is very pleasant to know that the fourth edition of “C” will be soon published. I am very glad that you have added some notes especially on Bimetalism. Such assertion as “in the markets of the world a double measure of value holds sway, gold and silver” is not in accordance with the authors own money theory. The success of this work is the more pleasant as being a symptom of a definite social current it may give some consolation from the suffocation which produce another tendencies of the social life. One may see that there is a party whose life is enlightened with ideas, and that the claims to supress human idea by one of a casern (“who does not sympathise with my casern ideas is my ennemy and an ennemy of the society”) do not find a “universal” approbation. Here the reaction takes ground everywhere ... During the last summer at one dash of the pen we have lost our elective justice of the peace, and instead we have received the so called “земскіе начальники” elected by the governors of provinces among the nobility. Their rights are in some respect increased, as they may sentence to punishment with rods ... We are told that this corresponds well with our national customs. In order to enforce the influence of nobility we are going further. After Emancipation act of 19 Feb. 61 our landlords mortgaged their estates in private land banks for 7% (amortissement incl.) About 30% of private landed propriety was mortgaged. Our landlords were deprived by economical conditions, and principally by peasants landed property to manage personally without large capital outlay. In the same time they had no practical knowledge. So they were induced to lease their lands to peasants. The management of the peasantry cannot give large profit to the landlords, in spite of a high rent, as their instruments and mode of cultivation are too oldfashioned. The landlords declared that they cannot pay the above 7%. In the newly born Nobility’s landbank they have found an opportunity to pay for their loans about 6% (amortissement incl.). In course of four ˙ ˙ ˙ ˙ But ˙ ˙ ˙ the agriculture has not years the indebtedness increased about 200 mill. ˙rbs. started a single step further. A great majority of debtors have not paid a single

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67. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels · 30. Dezember 1889

farthing during the elapsed 4 years of existence of the Bank. The sum of arrears has grown enormously The government has decided to reduce the % to 41/2; in order to get means for this operation it borrowed about 170 mill rbs. (with lottery, 215 per 100) ... In the same time [they] take a world of pains to make their estates inalienable ... The peasants landed proprity is in no way better. Here we are witnesses of an old story: all economical conditions after ’61 induce the labourers to give up an increasing mass of their agricultural products to the market; the products of their own domestic industry gives way to capitalistic ones, but the number of the “set free” does not correspond to the number of the employed in the factories, as the number of factories workmen does not increase. The peasantry differentiates itself in two layers: rich minority and growing poorer and poorer majority. Our sages in order to put an end to this process––which they have encouraged themselves by all their forces––they urge to support the declining domestic industry, but not in order to give to the producers the means to consume their products, but to induce them to work for the market, that is a very pleasant future for the traders as with an ever growing poorness of the producers it will give them a large profit. You know that every peasant who has payed all debts laying on his property has a right to claim the enclosure of his landshare, by this means he becomes a private proprietor. In order to put an end to this, our economists insist that the peasants were deprived with their right of selling their landshares, that is they desire to bound them to the soil ... As you see we are struggling not with disease, but with its symptoms I believe that you have already heard that Chernishevsky is dead. M. Lafargue’s letter I have received and answered him at once. ˙ ˙˙˙ ˙ ˙ Most faithfully yours NDanielson

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68 Friedrich Engels an Louis Kugelmann in Hannover London, Montag, 30. Dezember 1889

Lieber Kugelmann Prosit Neujahr!

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Dank für Dein Augenrezept das aber für mich viel zu schwach war. Ich habe voriges Jahr & bis letzten August Cocain gebraucht & da dies schwächer wirkte (wegen Angewöhnung) Zn Cl2 das sehr gut wirkt. Wenn ich die jetzigen kurzen Tage gut überstehe – der letzte Tag war hier am 28 Dez, seit gestern Morgen ist es permanent Nacht hier – dann bin ich über’s Schlimmste weg. Beste Grüße Dein F. E. 30/12/89 Herrn Dr. Kugelmann Hannover Germany

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69 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 31. Dezember 1889

New Year’s Eve/89 My dear General, Paul says that Nim “improves with age”: we often agree to differ, but in this case we are altogether at one: we fancy that Nim’s pudding is even better than usual.–– Anyhow we’ve got a claimant for every plum. I have sent a goodish slice to Paul’s mother & I’m beginning to look disagreeable when asked for a taste of it. Talking of looking disagreeable, you never saw a nastier, more woebegone lot than we’ve been this last week. Influenza or fever or whatever it is, we’ve been regular batons m.––There’s really no other word for it. First Paul had an attack & even Nim’s cake––which he continued to devour with an orange on the top of every slice––couldn’t sweeten him & then it was my turn & Paul swears that I was the worse of the two, & that may be so for I was too “influenze´e” to dispute. & I was three days railing at the mud of Le Perreux & the imbecilities of my Juliet & at the market which was too far off & the postman whose visits were too few & far between & the newspapers duller than the snow & dirtier, & the coals that burnt too quickly & the petroleum that smelt amiss & the fowls that with ostrichappetites laid pigeon eggs & the absent Diane that ought to be here & that is out of reach!––But “things are beginning to find their level”, & presently we shall have spring sprouting & daylight. The version of Unter der Linde which I sent you is one out of a half dozen that I have attempted, but none of which appeared to me to be better as a whole than the one I decided on sending you: Here is the first stanza of two of these:

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I Under the lime-tree By the heath, Where the bed of us two was; There may you see How we both Broke the flowers & the grass. By the wood, in the vale Sweet sang the nightingale. ––––

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69. Laura Lafargue an Engels · 31. Dezember 1889

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II Under the lind Near the heather, Was the bed of both of us; There may you find How we together Broke the flowers & the grass; By the wood, down in the vale Sweetly sang the nightingale. –––– These are verbatim & have the advantage of being free from expletives, always hateful, but I rejected them because the translation is bald, which the original is not, because the third line of No I I feared was what Byron calls cramp English & because neither exactly repro-duces the rhythm of the original. Now the reproduction of the rhyme & rhythm is precisely what I am at in translating a song, otherwise I should render it in prose which means that I should not translate it at all. The three opening lines of each stanza would really translate themselves if one were not obliged to spoil them for the sake of the three that follow. If Edward sacrifices both the rhyme & the rhythm he shirks whatever difficulty exists.––I ought to say that I have translated from a modernised German version, but it is very fine & has a quick, bird-like music, very suggestive of the blithe briskness with which the happy lovers go about their business.––But my object in writing you was not to bore you either with rhyme or reason but to kiss you & Nim & Jollymeier & the whole lot of you & to wish you as many happy new years as I may live to have myself, car apre`s nous le de´luge, c¸a m’est bien e´gal. Your affectionate Laura

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70 Adam Weiler an Friedrich Engels in London London, wahrscheinlich Januar 1890

2 Upper Ogle street Marylebone street. Geehrter Herr Engels! Ich bitte verzeihen Sie mir das ich nach Alle den Wohlthaten die Sie mir schon erzeigt haben mir erlaube Sie mit dießen Briefe zu stöhren, ich bin aber in solcher Lage das ich gar nicht weis was zu thun. Ich bin jetzt 4 Wochen Rent schuldig und habe Alles versetzt was sich versetzen läßt. Meine Frau hat seit Weihnachten viele Zeit verlieren müssen da das Geschäft so schlecht geht. Ich habe Niemanden woran ich mich wenden kann. Mr. Lessner und Niemand kommt mich besuchen. Ich schicke meine Frau mit den Briefe im fall Sie fragen an Sie zu stellen wünschen und Verbleibe Ihr dankbarer Adam Weiler

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Adam Weiler an Engels, wahrscheinlich Januar 1890 Erste Seite der Handschrift

Adam Weiler an Engels, wahrscheinlich Januar 1890 Dritte Seite der Handschrift

71 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Donnerstag, 2. Januar 1890

Dresden-Plauen, d. 2. 1. 90. Lieber Engels,

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Deine Glückwünsche und Grüße erwidern wir herzlichst. Den Londoner Straßennebel tauschte ich herzlich gerne ein gegen die Gehirnnebel, die wir in Deutschland haben. Beinahe wären wir wieder einem solchen zum Opfer gefallen. Das Gericht hat sich in der Verurtheilung der Einzelnen sehr anständig gehalten – das muß ihm der größte Feind lassen – dagegen sind die Entscheidungsgründe bezüglich unserer Freisprechung – nach dem Bericht der Zeitungen – verdammt kitzlig. Darnach wären wir nur um ein Haar der Verurtheilung entronnen. Nun ist’s freilich mit den Gründen wie mit der Lotterie, ob man eine oder 10 000 Nummern von der Nummer des großen Looses entfernt ist, man hat eine Niete, und ob man nahe oder fern in den Gründen von der Verurtheilung war, die Hauptsache ist daß man nicht verurtheilt wurde. Ich hoffe, der „SocDemokr.“ wird in der Besprechung des Falles uns nicht abermals einen Nackenschlag geben. Den Proceß anlangend so darf ich wohl sagen, daß ich in meinem Leben keiner aufregenderen Verhandlung beiwohnte u. einer solchen, in welcher versucht wurde einem mit allen, aber auch mit allen Mitteln, den Genickstoß zu geben. Dazu kam noch das Hinzerren des Proceßes in und über die Feiertage. Am Weihnachtsabend traf ich nach durchfahrner Nacht Mittags hier ein. Am zweiten Feiertag Abend mußte ich wieder fort. Vormittags 1/2 8 Uhr in Elberfeld ˙ ˙ ˙ ˙˙der ˙˙ ˙ angekommen, begann ich um 10 Uhr meine 21/2stündige Verthei digungsrede, ich später noch eine Replik gegen den Staatsanwalt mußte folgen laßen. Nächsten Vormittag reiste ich wieder ab. Nun wollte das Malheur, daß ich meine Frau bei meiner ersten Ankunft krank an der Influenza antraf, daß ich sie noch unwohl verlaßen mußte, dabei das Damoklesschwert der 15 Monate über dem Haupte u. die Tochter zum ersten Mal fern von der Heimath in der Schweiz. Es ist jetzt das 8. Mal, daß mir in den 23 Jahren unserer Ehe die Weihnachten so verhauen wurden. Doch nunmehr ist die Sache überwunden u. ich hoffe derselben noch im Reichstag ein Nachspiel zu geben, in dem die Rollen umgekehrt sind. Im übrigen werden wir, sobald das Urtheil im Wortlaut vorliegt, sehen müßen

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71. August Bebel an Engels · 2. Januar 1890

wie wir weiteren Schlägen gegen uns vorbeugen. Es ist ganz unglaublich was man auch dies mal wieder alles als Merkzeichen einer allg. geheimen Verbindung in Betracht zog. Gut, daß das Soc. Gesetz noch auf der Tagesordnung steht. Die besten Grüße von meiner Frau und mir an Dich und alle Freunde männlichen u. weiblichen Geschlechts. Dein A. Bebel.

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72 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Donnerstag, 2. Januar 1890

Barmen 2. Janr 1890 Lieber Friedrich.

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Hiermit wollte ich Dir hauptsächlich unsere Glückwunsche zum neuen Jahre senden. – Hoffentlich hast Du es gesund begonnen und bist von der Influenza verschont geblieben! Schreibe mir mal, wie es Dir geht. – Bei uns wird es nun in den nächsten Tagen sehr stille werden. Unsere Clara mit ihren Kindern etc. waren seit Juli bei uns, da ihr Mann, auf 31/2 Monate in Amerika war, u. erst kurz vor Weihnachten nach hier zurückkehrte. Morgen wollen sie uns nun Alle wieder verlassen, u. man kann es merken, wenn 7 Personen das Haus verlassen haben. – Unser Jüngster Walter, der sich im 3ten Semester in Heidelberg befindet, ist jetzt, während der Ferien noch bei uns und beschäftigt sich damit, mit seinem zu Weihnachten erhaltenen photographischen Apparat seine Umgebung zu photographiren, oder zu ty¨pen, wie er es nennt. – Glücklicherweise ist sein Gesicht bis jetzt noch glatt geblieben; er hat die Schmisse alle auf den Kopf bekommen! Einige alte Freunde sind vor Kurzem von hier weggenommen worden: Fritz Osterroth starb kürzlich eines Abends um 113/4 Uhr an einer Lungenlähmung, nachdem er am gleichen Abend noch bis 10 Uhr Skat gespielt u. sich über seinen Gewinn gefreut hatte. – Und Aug. Boelling ist auch am Tage vor Weihnachten gestorben; er war ca. 3 Wochen vorher etwas leidend, wurde dann immer schwächer, bis es zu Ende war. Er war fast 80 Jahre alt geworden. Uns geht es, Gottlob, noch gut. Emma fühlte sich zwar gestern etwas unwohl, sie hat aber vorhin eine große Schnitte von einem Neujahrsplitz mit gutem Appetit verzehrt, u. so wird es wohl nicht schlimm werden. Sollte man vergessen haben Dir ein Circular zu senden, so theile ich Dir mit, daß wir seit dem 1 Decbr unsere Söhne Hermann, Moritz u. Emil Engels als Theilhaber in’s Geschäft aufgenommen haben. – Daß wir seit 1880 das ganze Geschäft incl Comptoir nach Engelskirchen verlegten, wirst Du doch gewußt haben. Rudolf & ich haben auf diese Weise jetzt gute Tage, da wir mit der Führung des Geschäfts durch genannte drei nur ganz zufrieden sein können. – Nun, lasse mal bald wieder etwas von Dir hören u. sei von uns Allen herzlich gegrüßt. Dein Hermann.

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73 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Donnerstag, 2. Januar 1890

44 Northcote Road Croydon 2 Jany 1890 Dear Mr Engels. I write to ask your kind assistance under the following circumstances. Owing to the Contractor’s work at the R. M. A. Bath being defective I have been compelled to wait for payment of my account. My apparatus cannot be put in operation, ˙ ˙ ˙ the ˙ ˙ apparatus has been tested I can’t get paid. until the bath holds water––until The Boiler I supplied, has been passed by the Govt Machinery inspector and the firm who supplied it to me are making urgent appeals for payment––not legal threats––and I am distressed not to be able to oblige them––My a/c with them is upwards of £ 200. a guarantee that they have every faith in my integrity. I have already paid them £ 50––which covers cost of another boiler they supplied––I have yet over £ 200 to come from Woolwich and more than enough to clear the old a/c–– as the gross amount includes a recent item for which my credit has not expired. I am given to understand that I shall be paid immediately after the bath is opened––which will be within a fortnight. Unfortunately since Saturday night (when I went to see Percy (and caught a chill), I have been seriously indisposed & coming on worse yesterday called a doctor who says I have the influenza & must remain in my room till next week. My assistant Boag has only just left his bed and struggled over here to assist me indoors as far as possible so that barring a new and very dull office boy the staff is hors de combat. The result is I haven’t been able to get out a/cs or get money in and my balance is only enough to keep current expenses going for a few days–– If you would advance me £ 50 to pay to the boiler maker on a/c––its repayment shall be the first as soon as I receive the war office cheques. I know that it would be no good asking my Father and know not who to ask & I am determined to have no more dealings with the moneylenders–– If you are willing and able please let me hear as soon as possible––if you say no––doubtless you will say so for a good reason––I will give you an acknowledgement in any form you select if you can oblige me––With best wishes for 1890 and hoping you will not get the grip or other malady. Believe me Dear Mr Engels Yours sincerely, Charles H. Rosher

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74 Friedrich Engels an Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij in London London, Freitag, 3. Januar 1890

3 Jany 89 My dear Stepniak

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As I have no Geneva Address, I must send you my article. Please have the German original returned to me as soon as possible so that I can then write the second article. How often will your Review be published. Happy New Year to you, Mrs. S. & all friends. Ever yours F. Engels.

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75 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Dienstag, 7. Januar 1890

44 Northcote Road Croydon 7 Jany 1890. My dear Mr Engels. I must thank you for yours of the 3d inst. but have been too poorly to answer it sooner. My request, made under peculiar circumstances, was for a loan to be repaid within a short period––whereas your disbursements on Percy’s account are not likely to return. No-one, with whom he is connected has a deeper sense of your kindness & generosity to Percy––than I have. Personally, I have to be very careful in order to make ends meet and affairs soon get out of gear when people do not pay me at the proper time. I venture to say that Percy with his allowances from you, plus salary is drawing more income than I am. So far as his “expenses in town” (to which you refer) are concerned I think it only fair to myself to state that P. has received in the course of 8 weeks (3 out of which he has been laid up) over £ 5 for petty cash & expenses, in addition to his Salary––I observe that Percy has yet to learn how to adapt himself to altered circumstances and no doubt he feels having to deny himself luxuries to which he has long been accustomed, and when necessity compels me now to exercise economy, I should gladly see him show more inclination to follow suit in that respect. I must candidly say that––as my employe´ he is the reverse of remuneration. His services and expenses have already cost me £ 25, without the prospect of 1d return and as I have no margin of capital out of which I can keep on paying salaries. Unless I immediately obtain capital I do not see how I can retain his services on the present basis––just for the experiment of finding out whether he will ultimately prove remunerative as an assistant. I can only suggest the alternative that he should be paid by results which would put him on his mettle and instil energy and briskness. Unfortunately much of his time has been occupied with his own affairs. Employed on work to which he is fitted by talent & training his services would probably be of great value––I have to consider their present value to me. I do not wish it to be said afterwards that I have stood in the way of his following a more lucrative calling, but so far as I have had opportunity of judging it will be a long time before he will be worth much in my business.

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75. Charles Howard Rosher an Engels · 7. Januar 1890

With sincere regards & hoping you will all keep clear of influenza and other ills Yours very truly Charles H. Rosher. F. Engels Esq.

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76 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 8. Januar 1890

London 8 Jan 90. My dear Laura Prosit Neujahr avant tout! Et puis apre`s, as I cannot bear the idea that you should translate Walther von der Vogelweide from a modernization, I send you a copy of the original. You are quite right, the metre & rhyme of the original ought to be preserved in every translation of poetry, or else go the whole hog like the French & turn it at once into prose. Hope you got over your influenza by this. We have it here too & pretty thick, although of our nearer circle none has as yet been caught. Percy is better, but Pumps is laid up with bronchitis & congested lungs, will however be up soon. Charley Rosher is the only one I know who can boast of ˙ ˙ ˙ ˙˙ having the influenza. Old Harney is laid up at Enfield with chronic bronchitis, I shall have to go some day this week & see him. Poor fellow but he feels happy in one thing: being out of America! It is most amusing to see how America makes all Englishmen patriotic, even Edward was not without a touch. And all on account of a quarrel about “manners” & “breeding”! The Yankees, too, have a rather provoking way of asking you how you like the country, what you think of it, & expect of course an outburst of admiration. And so poor old Harney has got so disgusted with the “land of the free” that his only wish is to be well back to the “effete monarchy” & never to return to Yankeeland. I am afraid he will have his wish, bodily he is aging very much, no wonder after the eight years torture with rheumatic gout he has had. But in spirit he is the old inveterate punster & full of humour. I was glad, on receiving Paul’s letter about the new paper, that I had written to Bonnier my opinion that they ought formally to engage you on the re´daction for the German part. So he will see that I had no idea of the situation & at the same time considered it as self understood that everybody got paid. He has not written again to me but to Tussy, saying the paper will come out 11th January, & wanting them to write & to get Burns &c to do the same.

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I really think you are about the only person who can keep his or her head above water & clear in Paris, that place seems to make people cracked. Here is Bonnier who was sensible enough as long as he was here & now all at once he is as mad as Guesde can be over this impossible paper. A daily paper with unpaid redaction, unpaid correspondents, unpaid everything––why it is ruination to begin with, & being kicked out of the paper you have made as soon as you demand the payment due for your work! He might well write to me que la partie internationale doit eˆtre e´crasante––when the partie parisienne is as good as non-existent from the beginning! And to expect people here to write a` jour fixe regular letters, so that the fact may be announced la veille! For that he actually expected all of us, Burns & God knows whom besides, to do here, & all for the honour of having the honour of being allowed to speak to the inhabitants de la ville lumie`re qui se fichent pas mal de nous tous! It strikes me this affair will end in all sorts of muddles, if not in quarrels amongst our own people at the moment when everything seemed to promise well. Anyhow I shall feel obliged & it will be useful to all of us if you or Paul will keep us well posted up with regard to this matter; for we shall surely be bombarded with all sorts of demands when once the paper is out, & experience shows that “in the interest of the cause” one half of the facts are kept from us. Of course we shall be very shy in engaging ourselves, but at the same time it will be better if we have not in every case first to inquire from you how the matter really stands. I don’t understand how Guesde can act in that way upon his own hook & let his meridional imagination run away without the consent of Paul, Deville & others. Bonniers letters sound as if these people thought the whole world was idle, had more time on their hands than they knew to employ, & was anxiously waiting for the chance of a French paper coming out to which they might contribute gratis! Such things would not be suffered in the German or any other party––that one man engages the responsibility of all without a special mandate; that he acts upon delusions, as to the chances of his getting foreign contributors, which you & Paul could have at once destroyed, or if you had a chance of refuting them, acts in spite of your better experience. Really if our friends will be guided by their delusion & fancies alone, nobody can prevent them from coming to grief. I am called away suddenly & must conclude. Ever yours F. Engels.

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76. Engels an Laura Lafargue · 8. Januar 1890

Under der linden an der heide, daˆ unser zweier bette was, daˆ muget ir vinden schoˆne beide gebrochen bluomen unde gras. vor dem walde in einem tal, tandaradei, Schoˆne sanc diu nahtegal. Ich kam gegangen zuo der ouwe: doˆ was mıˆn friedel komen eˆ. doˆ wart ich enpfangen, heˆre fruowe, da÷ ich bin saelic iemer meˆ. kuster mich? wol tuˆsentstunt: tandaradei seˆht wie roˆt ist mir der munt. Doˆ het er gemachet alsoˆ rıˆche von bluomen eine bettestat: des wirt noch gelachet inneclıˆche, kumt iemen an da÷ selbe pfat. bıˆ den roˆsen er wol mac tandaradei merken waˆ mir÷ houbet lac. Da÷ er bıˆ mir laege, wesse÷ iemen × (nu enwelle got!), soˆ schamt ich mich. wes er mit mir pflaege, niemer niemen bevinde da÷, wan er unt ich, unt ein kleine÷ vogellıˆn – tandaradei da÷ mac wol getriuwe sıˆn. × enwelle = wolle nicht

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Pronunciation: ie, iu, uo, the accent on first vowel: ´ıe, ´ıu, u´o. ei = ei in portuguese, italian, danish, russian &c. e+i, not a+i as in Neuhochdeutsch. sch = s+ch same as in Dutch & greek. h at end of syllable or before consonant = swiss ch, nahtegal, seht = nachtegal, secht. z = ts, ÷ = ss. Vowels with circumflex long, all others short: tal, not taˆl, schamt, not schaˆmt. Diphtongs of course long.

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77 Friedrich Engels an Hermann Engels in Barmen London, Donnerstag, 9. Januar 1890

London 9 Jan 90 Lieber Hermann Herzlichen Dank für Deine Glückwünsche die ich, für Euch alle, aufrichtigst erwidre. Es freut mich zu erfahren daß es Euch allen so wohl geht & auch ich kann nicht klagen. Ich habe im letzten Jahr wieder an Gewicht zugenommen & wiege jetzt wieder 168 ɘ engl. was so ziemlich mein Maximum je gewesen ist, dabei ist es alles gesundes festes Muskelfleisch, kein loser Fettschwamm. Auch meine Augen bessern sich, gewöhnlich war die Nebelzeit und die kürzesten Tage die kritische Periode wo ich immer wieder schlimmer wurde, diesmal bin ich über diese Zeit besser davon gekommen als seit Jahren, & so darf ich wohl hoffen daß ich bald wieder die volle Zeit arbeiten darf. Selbst die Ärzte wollen mir nicht glauben wenn ich ihnen sage daß ich im siebenzigsten Jahr bin, sie behaupten ich sähe zehn bis fünfzehn Jah[re j]ünger aus. Freilich ist das alles nur die Oberfläche & die ist trügerisch auch bei mir, denn darunter verstecken sich doch allerlei kleine Merkmale & die vielen kleinen machen auf die Dauer einen passabel großen Haufen, aber alles in allem kann ich nicht klagen, & wenn ich seh wie so viele Leute sich um nichts & wieder nichts das Leben sauer machen, rein ohne allen Grund & bloß für die Katze, so schätze ich mich immer noch glücklich daß ich meine heitre Stimmung ungetrübt bewahrt habe & über all das dumme Zeug lachen kann. Damit hast Du aber wahrscheinlich auf lange Zeit genug über meine werthe Person gehört, & ich glaube auch es ist hohe Zeit daß ich davon aufhöre. Das Cirkular wegen der Jungen habe ich richtig erhalten & sofort aufs Wohlsein der neuen Associe´s einen tüchtigen Salamander mutterseelen allein gerieben. Es ist sehr vernünftig von Euch die Jungens zu Associe´s gemacht zu haben, sie hatten doch die Hauptarbeit & auch, sobald keiner von Euch in Engelskirchen war, die Hauptverantwortlichkeit, & da gibt’s ihnen ganz andern Trieb zum Arbeiten, wenn ihre äußere Stellung

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im Geschäft dem auch entspricht. Jetzt rate ich Dir & Rudolf die wohlerworbne Muße zu möglichst viel Bewegung in freier Luft & im Sommer zum Reisen zu benutzen (die Jagd im Herbst werdet Ihr wohl so nicht vergessen) da sollt Ihr mal sehn wie Euch das auf die Strümpfe bringt. Daß Fritz Boelling wollte sagen August Boelling gestorben habe ich ˙ ˙˙˙˙ ˙ ˙Fritz Osterroth. Der durch Cirkular erfahren, ich glaube auch wegen August B. war doch ein ziemlich schwächliches Kerlchen, & hat es doch bis 80 gebracht, hat wohl auch in der letzten Zeit sich nicht viel mehr erlauben dürfen. Das bringen diese Leute auch fertig, wir gesünderen gehn auch auf unsre alten Tage noch mehr ins Geschirr, fangen irgend eine Lumperei ab & gehn darüber in die Brüche. Ist auch schon ganz gut & hat ebenfalls seine Vorzüge. Jedenfalls hast Du den Vorteil in 2 bis 3 Jahren Dir Deinen eignen Doktor gezüchtet zu haben, & da kannst Du Deinen Körper unter dessen Verwaltung stellen & bist denn auch nach der Seite hin aller Verant wortlichkeit enthoben. Hoffentlich bekommt Emma der genossene Neujahrsplatz so gut wie mir die vielen deutschen Kuchen die ich seit 3 Wochen verzehrt habe außer, über & neben dem zwangmäßigen Plumpudding, mince pies &c. Wir haben nämlich jetzt einen Gasofen da unser Vernäß nicht mehr zieht & der Landlord kein neues aufgestellt hat, & dieser Übergang vom schweren zum leichten Kochen hat meine alte Haushälterin in eine wahre Kuchenbegeisterung versetzt, die ich nun ausessen muß. Die s. g. Influenza, die aber eigentlich ganz was andres sein soll als unsre alte wohlbekannte Grippe, greift jetzt auch hier um sich, mehrere meiner Bekannten haben sie schon. Vorigen Sonntag aß ein Engländer bei mir der vor lauter Angst immer eine Flasche Chinin mit Ammoniak in der Tasche trägt & bei Tisch davon trank! Wohl bekomms ihm, aber lieber hab ich die Grippe als daß ich zwischen Fleisch & Gemüs das bittre stinkige Zeug saufe & mir den guten Wein verderbe! Also haltet Euch alle wohl & munter. Herzliche Grüße an Emma, die Kinder, Rudolfs & Dich selbst Dein alter Friedrich

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78 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 10. Januar 1890

Le Perreux, 10/1/90. Mon cher Engels, Guesde e´tant malade le journal ne paraıˆtra pas demain, mais le 19 courant, a` moins de contre-temps. Le capitaliste est un imprimeur, qui consacrera 60 000 f. au journal: ils seront mange´s dans deux mois et le journal n’aura pas ve´cu, c’est-a`-dire n’aura pris aucun de´veloppement, ni aucune influence: c’est perdre beˆtement une somme pre´cieuse qui combine´e avec d’autres pourrait assurer le succe`s. En ce moment tout le monde veut un journal, il y a plusieurs combinaisons en train, il n’y aurait qu’a` attendre pour re´ussir peut-eˆtre. Mais il y a encore autre chose. Roques, le directeur de l’E´galite´, qui nous a si bien mis a` la porte et qui depuis, nous a attaque´s, insulte´s, et s’est tour a` tour vendu a` Constans et a` Boulanger, nous fait des propositions pour rentrer dans l’E´galite´. Roques a vu Vaillant, qui au lieu de le mettre a` la porte, ou de le traiter en farceur, a pris au se´rieux ses propositions; il est d’avis de les accepter, Chauvie`re a de´ja` envoye´ sa mauvaise prose au journal. Nous avons eu chez Guesde une re´union pour de´cider ce qu’il y avait a` faire; les anciens re´dacteurs qui n’avaient pas passe´ au boulangisme ont e´te´ convoque´s. Mais nous ne nous sommes trouve´s au rendez-vous que Vaillant et moi; Daumas s’e´tait fait excuser et Longuet n’avait pas donne´ signe de vie. Nous n’avons rien de´cide´, et nous avons pris rendez-vous pour aujourd’hui chez Daumas. Moi, j’ai dit a` Vaillant qu’entrer dans l’E´galite, c’e´tait de´shonorant et imbe´cile; car Roques s’arrangera toujours pour nous en faire partir quand il le voudra; avec une canaille pareille, il n’est pas possible de faire des contrats. – Vaillant a paru tre`s ennuye´ : il [est] tre`s anxieux d’avoir un journal pour la pe´riode e´lectorale municipale qui commencera le 12 Mai; et il n’a gue`re confiance dans la combinaison Guesde. Cluseret de son coˆte´ cherche un journal; il fait en ce moment une campagne contre les tarifs des chemins de fer, il est en relations avec les gros commissionnaires des Halles, qui ont le sac; peut-eˆtre trouvera-t-il de l’argent de ce coˆte´. Daumas a lui une combinaison ou il y aurait cinq millions, mais on ne sera de´cide´ment renseigne´ que dans le courant de Fe´vrier. Je vous e´crirai demain apre`s la re´union chez Daumas. La Russie s’agite beaucoup; elle a achete´ toute la presse franc¸aise, qui sans

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exception chante ses louanges; c’est honteux. Il commence a` eˆtre de notorie´te´ publique que Boulanger recevait l’argent directement de l’ambassade russe. – Si le pauvre ge´ne´ral est coule´, le boulangisme n’est pas mort a` Paris, on le verra bien aux prochaines e´lections municipales; et peut-eˆtre que la proposition de Roques est une manœuvre du gouvernement, qui voudrait nous donner un organe pour attaquer les boulangistes au profit des candidatures bourgeoises; en un mot de se servir de nous comme il s’est servi de Lissagaray et des possibilistes. Constans est tre`s coquin. Au revoir et bien a` vous. P Lafargue.

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79 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Freitag, 10. Januar 1890

44 Northcote Road. Croydon 10 Jany 1890 My dear Mr Engels. I thank you for your kind note just received and am glad to say I am feeling better. The so-called Influenza leaves a feeling of weakness which according to medical reports in the paper results from blood poisoning. I have not really had any rest from business since 3 summers ago when I was at Walmer & am no doubt feeling reaction. I have worked hard and had an anxious time steering my way through the rocks & shoals of life and I have even yet all my work cut out to reach smooth water and am constantly forced into asking myself “shall I after all my struggles succeed in reaping the reward of my labours?” So many inventors have been able to bring their ideas to a point of practical success, only to be chagrined by seeing the capitalist step in and walk off with the profits. To avoid this, I have had to content myself with slow steps and have got so far on my journey with my patents all clear with the exception of a mortgage for nominally £ 100 on 2 of the earlier ones & for this £ 100 I have to pay £ 25 a year––actually I received only £ 70. I have been compelled to undertake contracts personally, but for the future intend to stick to the professional work, which does not involve so much risk and does not require so much capital––There is a large field for business and in a great many quarters the business has been well worked up and if I can get about I could soon get more orders but I am half afraid to go further without capital––and yet cannot afford to thrust business on one side when it offers––Some of the city men seem to be able to raise money on the slightest pretences––but raising money is evidently not my forte––for here am I, possessed of patents which have actually cost me £ 1000 in cash and my own time estimated at £ 2.10 a week and yet I don’t seem to be able to raise any money. I have never cultivated friends with money––probably because being without much myself. I have shrunk from incurring obligations or of resting under the suspicion of “getting in” with men for the sake of what I could get out of them. No doubt from some people’s point of view I have been a fool––but I can’t help it. At last the time comes, when I need money and I don’t know who to ask for it.–– –– I cannot begin cultivating people now and know that if I had the will––the process of cultivation would take longer than a week or a fortnight––so I go to a business man pure & simple, as a matter of business, & find that he

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having not the slightest personal interest in my welfare, will only make a hard bargain which I cannot accept. Come what may, I will not work to put money into the pockets of such as these.–– When I mentioned the sum of £ 25 I had in my mind not 8 weeks salary for ˙ ˙ will expire Percy which would bring us to 28th Dec. but the 2 weeks added which tomorrow––and which I have yet to pay him and of course if the arrangement is to cease, there would be another week to go on to this. Out of moneys I am entitled to receive I have many trade accounts to meet, many of which are over˙ ˙ ˙ ˙ ˙expenses which is not met by a cordue, and therefore any increase in current responding increase in profits is really a mortgage on future means of meeting my liabilities. It is the last straw which breaks the camel’s back and until I can feel more at ease as to my ability to meet my engagements you will quite understand that I feel anxious–– My desire to help Percy is as keen as ever and if I can assist him without ruining my own prospects (upon which others are also dependent) I shall be well rewarded without any return from you, who have acted so generously by him in the hour of need–– Of course I know that everyone (nearly) is at times short of ready money–– especially those whose capital is invested and I did not think for a moment that you had declined to assist me from any lack of good will–– I sincerely trust the Rooshan Influenza will pass by your dwelling and that Pumps and all the rest of the sick, will soon be restored to a normal state of health. Yours sincerely Charles H. Rosher.

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80 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Samstag, 11. Januar 1890

London 11 Jan 90. Lieber Schlüter Herzlichen Dank für Deine & Deiner Frau freundliche Wünsche die wir alle hier aufrichtigst erwidern. Deinen Brief vom 1 Juli habe ich auch s. Z. erhalten & ebenso den Commonwealth mit dem Riesenbaum Marx & den Bewohnern des neuen kommunistischen Jerusalems darum. Auch Art. über G. Weerth aber nur Nr. 1, den Schluß leider nicht. Was nun den Reid angeht so habe ich Deinen Brief an Tussy geschickt & durch sie bei Champion (Labour Elector) anfragen lassen, bin bis heute aber noch ohne Antwort. Die Leute hier sind in allem was sie nicht ganz unmittelbar interessiert furchtbar bummlig & haben dabei alle Hände voll zu thun, es ist möglich daß ich morgen von Tussy etwas erfahre & dann folgts per nächste Post. Die Geschichte mit John Burns Reise nach dort scheint mir sehr zweifelhaft, er kann hier schwerlich fort ohne Raum zu machen für Konkurrenten, & muß auch auf dem County Council gegenwärtig sein da er allein dort die Arbeiter vertritt. Der stürmische Strom der Bewegung vom vorigen Sommer hat sich etwas gestaut. Und was das beste ist, die gedankenlose Sympathie des Bürgerpacks für die Arbeiterbewegung, wie sie beim Dockerstreik ausbrach, hat sich auch gelegt & fängt an dem weit natürlicheren Gefühl des Mißtrauens & der Beängstigung Platz zu machen. Beim Gasstrike in Südlondon, der den Arbeitern von der Gas Company gewaltsam aufgezwungen wurde, stehn die Arbeiter wieder ganz von allen Spießbürgern verlassen da. Es ist dies sehr gut & ich wünsche nur daß Burns selbst einmal diese Erfahrung durchmacht an einem von ihm selbst geleiteten Strike, er macht sich da allerhand Illusionen. Dabei gibts allerhand Reibungen z. B. zwischen Gasarbeitern & Dockern, wie das nicht anders zu erwarten. Aber die Massen sind trotzalledem im Fluß & da ist kein Halten mehr. Je länger die Stauung, desto gewaltsamer wird der Durchbruch sein wenn er kommt. Und diese Un-

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skilled sind ganz andre Kerls als die Zopfbrüder von den alten Trades Unions; keine Spur von dem alten Zopfgeist, von der Zünftlerei z. B. der Engineers, im Gegentheil allgemeiner Ruf nach Organisation aller Trades Unions zu Einer Verbrüderung & zum direkten Kampf gegen das Kapital. Z. B. beim Dockerstrike waren bei den Commercial Docks drei Engineers die die Dampfmaschine im Gang hielten. Burns & Mann wurden aufgefordert – beide sind selbst Engineers & Burns auf der Executive der Amalgamated Engineers Trades Union – die Leute zum Fortgehn zu ˙ ˙ dann ˙ ˙ ˙ ˙ könne ˙ ˙ ˙ ˙kein ˙ ˙ Krahnen ˙ ˙ ˙ ˙˙ bewegen, arbeiten & die Dock Co müsse klein beigeben. Die drei Engineers weigerten sich, die Exec. der Engineers schritt nicht ein, & daher die Länge des Strikes! Ferner, in Silvertown Rubber Works – 12 Wochen Strike – scheiterte der Strike an den Engineers die nicht mitmachten, & selbst gegen ihre Union Regeln Labourers work thaten! Und weshalb? Diese Narren, um „die Zufuhr von Arbeitern kurz zu halten“ haben das Gesetz daß nur die eine regelrechte Lehrzeit durchgemacht, in ihrer Union zugelassen werden. Dadurch haben sie sich eine Armee von Konkurrenten geschaffen, s. g. blacklegs, die ebenso geschickt sind wie sie selbst, die gern in die Union einträten, aber gezwungen sind blacklegs zu bleiben weil sie wegen dieser Pedanterie, die heute gar keinen Sinn hat, draußen stehn müssen. Und weil sie wissen daß in den Commercial Docks wie in Silvertown diese blacklegs sofort an ihre ˙ ˙ ˙˙wären, ˙˙ Stelle getreten deßhalb bleiben sie da, & wurden so selbst blacklegs gegenüber den Strikenden. Da siehst Du den Unterschied: die neuen Unions halten zusammen, beim jetzigen Gasstrike stehn Sailors & (Steamers’) Firemen, Lightermen, Coal Carters &c alle zusammen, natürlich die Engineers wieder nicht; die arbeiten fort! Indeß werden diese alten renommistischen großen Tradesunions doch bald klein gekriegt werden, ihre Hauptstütze der London Trades Council wird mehr & mehr durch die neuen untergekriegt, & in 2–3 Jahren längstens ist auch der Tr. Union Congress revolutionirt. Schon beim nächsten erleben die Broadhursts ihr blaues Wunder. Daß Ihr den Rosenberg & Co abgemurkst habt ist bei Eurer Revolution im amerik. soz. Theekessel die Hauptsache. Die Deutsche Partei drüben, als solche, muß kaputt gehn, sie wird das schlimmste Hinderniß. Die amerik. Arbeiter kommen schon, aber sie gehn ganz wie die Engländer ihren eignen Weg. Man kann ihnen die Theorie nicht von vornherein einpauken, aber ihre eigne Erfahrung & ihre eignen Böcke & die schlimmen Folgen daraus werden sie schon mit der Nase auf die Theorie stoßen – & dann all right. Selbständige Völker gehn ihren eignen Weg, & von allen sind die Engländer & ihre Sprößlinge doch die selbständigsten. Der insulanermäßige bockbeinige Starrsinn ärgert einen oft genug, aber er garantirt auch die Durchführung des Angefangnen wenns einmal losgeht.

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80. Engels an Hermann Schlüter · 11. Januar 1890

Mir gehts im ganzen recht wohl, meine Augen sind endlich besser aber mehr als 3 Stunden (bei Tageslicht) darf ich doch nicht schreiben per Tag. Nim ebenfalls wohl. Bei Roshers erst Percy krank dann Pumps. Aveling hat die Influenza. In Kentish Town geht alles den gewohnten Gang, mit obligaten Rüffeln aus Deutschland. – Edes haben sich recht eingewöhnt, Fischers auch. Sage Sorge er bekommt einen Brief dieser Tage aber Du hast so lange gewartet, da warst Du zuerst an der Reihe. Herzliche Grüße an Deine Frau & Dich selbst von Nim & Deinem FEngels

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Saturday 11/1890/. My dear General,

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It sounds rather paradoxical, but I rejoice to be able to inform you that the two “dailies” two of our men were big with, have happily miscarried. Yesterday the meeting Paul spoke of in his letter to you took place at Daumas’ house. Guesde & Quercy had their plan & Vaillant had his. A certain printer had promised Guesde a sum of 50 000 frs., Guesde & Quercy to receive 300 frs. each per month, the former as re´dacteur en chef, the latter as secre´taire de re´daction. Now, Guesde who is always ailing, is periodically laid up with acute attacks of bronchitis, or pleurisy or what not, & Quercy, who is a very fiery & very brave me´ridional, is anything but a Hercules. As Deville refused to contribute, being wholly absorbed by his two babies (his own mental evolution is being arrested, I believe, by that of his children) where the devil, one asks, was the copy de re´sistance to come from? Furthermore, the printer in question is not in a position, it appears, to print & publish a large daily paper. Every way the enterprise was preposterous & impossible on the face of it. It requires the imagination & the “fine frenzy” of Guesde & his happy-go-lucky carelessness to entertain such a “combinaison” for a moment. Vaillant’s venture was, if possible, even less defensible. Blanquism must certainly have de´teint sur lui, if he, with so loyal a nature & so clear a head–– Vaillant, I think, has the best brains of all––could accept to treat with a disreputable rogue like Roques. The Blanquists not only stoop, but “crawl to conquer”.––But, in justice to Vaillant, Paul tells me that he reached Daumas’ house yesterday with very different views from those of the day before on the subject of the possibility of coming to terms with Roques & the whole lot parted yesterday altogether in accord. ––But all this is only the prelude to what I hope may turn out to be a grand performance. Do you remember the name of Pau´l y Angulo, the man who had a hand in the assassination of Prim? He came to Paris after that business & with the help of friends here was smuggled over to Buenos Ayres. There, with a few coppers in his pockets, he managed so well, by dint of lucky speculations,––buying land at a penny a metre which is now worth 20 frs.––that he is at present worth some 8 millions of dollars. Now, this very interesting gentleman has latterly sent word to a friend here that he purposes investing

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81. Laura Lafargue an Engels · 11/12. Januar 1890

500 000 frs. in a French revolutionary journal that shall have an influence in Spain. He is of course an exile from his country & now that his bread is buttered on all sides, thanks to Brazil, he wants to spend his millions to some purpose in his native land. Daumas, who is a friend of Angulo’s & a friend of his friend, the Paris correspondent, has let Angulo know that the French socialists want to bring out a large daily paper & only await a remittance of 500 000 frs. to start forthwith. Pau´l y Angulo’s answer is expected within the next fortnight: anxiously, need I say! Now should this “combinaison” come to grief, there’s another, in posse, of Daumas’ & another of Cluseret’s, but both of these are baseless fabrics for the present. Any news at all reliable or any gossip at all tangible, you always learn, my dear General, as soon as we do ourselves. It is very good of you to send me Vogelweide’s poem. The version I had to work on differs, you will perceive by the enclosed, from the original.––

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Sunday. Our loves to you & Nimmy & we hope that Pumps & Percy are in good health again. How is Miss Lily & how is the little boy? I expect Master Edgar––qui est un peu blase´ et trouve que Londres est un trou––& Master Marcel––qui est le petit bouffe-toujours!––in a few minutes. Your affectionate Laura. Unter der Linden, Bei der Haide, Da unser beider Bette was. Da könnet ihr finden, Wie wir beide Die Blumen brachen und das Gras. Vor dem Wald in einem Thal, Tandaradei! Sang so süss die Nachtigall. –––– Kam da gegangen Hin zur Aue Und mein Liebster war schon da. Da ward ich empfangen, Hehre Fraue! O welches Glück, daß ich ihn sah! Ob er mich küsste? So manche Stund’: Tandaradei! Seht, wie roth mir ist der Mund. –––– Da hat er gemachet Schnell bei Scherzen Von Blumen reich die Ruhestatt. Ja, mancher noch lachet

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Von ganzem Herzen, Wenn er kommt denselben Pfad. An den Rosen er wohl mag, Tandaradei! Merken, wo das Haupt mir lag –––– Wüsste das einer, Daß geblieben Er bei mir, ich schämte mich. O, wollte doch keiner, Was wir trieben, Erfahren je, nur er und ich Und ein kleines Vögelein: Tandaradei! Das wird wohl verschwiegen sein. ––––

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82 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Montag, 13. Januar 1890

London, 13. Jan 1890 Lieber Freund Ich habe mir die Sache wegen der Empfehlung nach Buenos Aires über˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙Soweit legt. Ich kann die Genossen nicht täuschen über das Vorgefallene. ich Vertrauen besitze bei den Arbeitern, beruht dies auf der Voraussetzung dass ich ihnen unter allen Umständen die Wahrheit sage, und nur die Wahrheit. Ich würde es, an Ihrer Stelle, vorziehn, ganz ohne solche Empfehlung zu gehn. Sobald Einer drüben von Ihrer Verurtheilung weiss, wissen es hundert, und namentlich diejenigen die mein Zeugniss nicht lesen oder nichts darauf geben. Und dann sind Sie dort nicht weiter als Sie zu Hause waren, die Verurtheilung verfolgt Sie überall. Lieber ein neues Leben mit einem neuen Namen – Sie sind jung und nach Ihrer Photographie stark, nur Muth! Um aber für alle Fälle zu sorgen lege ich Ihnen ein Schriftstück bei, worin ich zu Ihren Gunsten sage was ich mit gutem Gewissen sagen kann und darf. Aber ich rathe nochmals keinen Gebrauch davon zu machen. Vielleicht wird Ihnen dadurch der Kampf in den ersten Tagen erschwert. Aber sicher wird er Ihnen auf die Dauer erleichtert durch einen vollständigen Bruch mit der Vergangenheit. Sie müssen nun wissen was Sie zu thun haben. Hoffentlich aber ist alles dieses überflüssig, und der Cassationshof gibt Ihnen Recht. Aufrichtigst Ihr F. Engels. Adressen Vorwärts, Redaction, Calle Reconquista 650 nuevo (die Strassen haben alte & neue Nummern) Verein Vorwärts, Calle Comercio 880. Herr Pasquale Martignetti aus Benevento (Italien) hat etwa sechs Jahre mit mir in regelmässiger Korrespondenz gestanden. Er hat unter

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grossen Schwierigkeiten und mit grosser Ausdauer Deutsch gelernt, um seinen Landsleuten den deutschen wissenschaftlichen Sozialismus durch Übersetzungen zugänglich zu machen. Er hat alsdann zuerst meine „Entwicklung des Sozialismus von der Utopie zur Wissenschaft“ und später meinen „Ursprung der Familie &c.“ ins Italienische übersetzt, und die von mir durchgesehenen Übersetzungen veröffentlicht. Der Druck seiner Übersetzung von Marx’ „Kapital & Lohnarbeit“ ist durch ungünstige Umstände verhindert worden. Herr Martignetti war im königlichen Notariatsbüreau – einer Gerichtsstelle – in Benevent als Schreiber beschäftigt. Hier wurde gegen ihn eine Anklage wegen Unterschlagung von Geldern erhoben, und zwar, wie mir scheint, einfach um Rache zu nehmen für seine Thätigkeit als sozialistischer Schriftsteller; und Herr Martignetti wurde schliesslich von den italienischen Berufsrichtern in zwei Instanzen zu Gefängniss verurtheilt. Ich habe weder die Prozessakten noch die Berichte über die Gerichtsverhandlungen gelesen, sondern nur die Vertheidigungsschriften des Angeklagten. Ich glaube aber dass er unschuldig verurtheilt worden ist, und zwar aus folgenden Gründen: 1) weil er angeklagt war als blosser Mitschuldiger aber eines andern Hauptschuldigen; dieser Hauptschuldige aber wurde freigesprochen, während Herr Martignetti, der doch bloss dessen Mithelfer gewesen sein sollte, verurtheilt wurde; 2) weil die angeblich unterschlagene Summe, zuerst auf über 10 000 Franken angegeben, im Lauf des Prozesses immer kleiner wurde, und zuletzt nur noch etwa 500 Fr unterschlagen sein sollten, 3) weil der Präfekt von Benevent, ein hoher königlicher Beamter, so sehr von seiner Unschuld überzeugt war, dass er ihm, nachdem er vom Notariatsamt entlassen, und selbst während der Dauer des Prozesses, in seinem Büreau Beschäftigung gab; 4) aber, weil ihm als blossem Schreiber überhaupt keine Gerichtsgelder durch die Hände gingen, er also auch nicht gut welche unterschlagen konnte. Wie auch sein Prozess endige, wird Hr Martignetti wahrscheinlich vorziehn Italien zu verlassen und sich eine neue Heimath zu suchen. Für diesen Fall stelle ich ihm frei dies mein Zeugniss in jeder ihm gut dünkenden Weise zu gebrauchen. Sollte er irgendwo deutsche Genossen finden, denen meine Meinung nicht ganz gleichgültig ist, so bitte ich diese überzeugt zu sein, dass Obiges durchaus wahrheitsgetreu, und absolut nichts von mir verschwiegen ist. Sollten sie dazu beitragen können, ihm zu einer Stellung zu verhelfen, worin er sich seinen Lebensunterhalt ehrlich verdienen und eine neue Existenz gründen kann, so würde dies einem

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82. Engels an Pasquale Martignetti · 13. Januar 1890

Mann zu Gute kommen, der nach meiner Meinung nur wegen seiner Thätigkeit im Dienst der internationalen Arbeiterbewegung verfolgt worden ist. 122 Regents Park Road, N. W. London, 13. Jan 1890 Friedrich Engels.

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83 Emma Wilhelms an Friedrich Engels in London London, Montag, 13. Januar 1890

193. Euston-Road. N. C. January 13./90. Dear Sir, 5

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I hope you will excuse my writing to you. Having been told, that you often assist Germans who have met with misfortune and are truly deserving I am a German having lived in England for upwards of 19. years. Unfortunately I have been obliged to undergo a most painful-operation for “Cancer” at the MiddlesexHospital and have been ever since unable to do anything for a long time, my case is quite a hopeless one. The German Society have kindly assisted me ever since out of the sick Fund, knowing all circumstances of my case. I have an offer to enter a situation, but having parted with nearly everything to enable me to live respectable. I should feel most grateful, if, you would kindly help me a little, to enable me to get a few things out of pledge. Please excuse trouble and oblige. I Remain Yours Gratefully Emma Wilhelms.

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84 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Oxford, Dienstag, 14. Januar 1890

28. Wellington Square – Oxford. 14.1.90. Cher Citoyen Engels. J’ai promis de vous e´crire, en vous quittant Dimanche soir, car nous n’avions pas eu le temps de causer a` fond de l’affaire du journal. Aujourd’hui, je rec¸ois de Paris une lettre m’annonc¸ant que les deux combinaisons ont sinon e´choue´, du moins pre´sentent peu de chances de re´ussite. Je peux vous annoncer qu’on a impose´ (les anciens collaborateurs de l’E´galite´) des conditions telles a` Roques, par exemple proprie´te´ du titre du journal et disparition de l’ancienne re´daction, Roques en teˆte; telles, en un mot, qu’il serait fantastique de croire a` son acceptation. – De ce coˆte´ donc les noˆtres ont gain de cause –. Il est tre`s probable qu’on attendra comme vous le de´sirez jusqu’a` l’arrive´e des galions de Daumas. Je suis d’autant plus a` mon aise, de´barrasse´ du plus ou moins d’influence que peut avoir un fait (pour ou contre) sur la direction de l’esprit. Vous devez vous douter que ceux qui tenaient pour la combinaison d’un journal qui aurait e´te´ entre les mains de Guesde – avaient des raisons pour cela. Je re´ponds ici autant a` Mrs. Aveling qu’a` vous, car les raisons que je vous donne pourront reprendre leur valeur relative a` un moment donne´ –. D’abord la question des «fours» successifs de nos journaux. Vous me demandez a` quoi ont servi les e´checs successifs du «Citoyen», du Cri du Peuple, de l’E´galite´ ? Ils ont servi tout simplement a` e´tendre pendant un temps donne´ l’influence de notre parti – Vous me semblez avoir, comme aussi les autres membres des partis e´trangers, une terreur trop grande de ces fours successifs. – Peut-eˆtre cela fait-il mauvais effet a` l’e´tranger(1), mais en France le «four» n’a pas d’importance, car il est oublie´ une semaine apre`s. Qui sait, si ce n’est les arche´ologues du parti socialiste, que le Citoyen, le Cri ou l’Egalite´ ont existe´ ? personne. C’est ce qui fait, et c’est une bonne preuve, que chaque fois que nous reparaissons, la meˆme cliente`le nous suit, e´prouvant toujours le charme de la nouveaute´. En re´alite´, si nous avions e´te´ prudents; si nous ne nous e´tions embarque´s qu’ avec 500 000 fr. d’avance, nous n’aurions jamais fait de «fours», car nous n’au(1)

Tant il est difficile de se comprendre, les uns les autres, meˆme dans un parti international!

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rions jamais existe´. Chaque parti en France n’a existe´ que par des e´checs successifs, qui ont pre´pare´ son triomphe – Ceci appartient a` la physiologie de la politique en France. –. Le second point est le plus ou moins de justice qu’il y avait a` ce que deux des noˆtres seulement fussent paye´s et eussent la direction ! – Mrs. Aveling m’avait de´ja` fait cette observation. Si vous le voulez bien, nous laisserons la question de sentiment, et nous verrons l’inte´reˆt qu’avait notre parti a` ce qu’il en fuˆt ainsi. Vous vous rappelez l’«E´galite´ », ayant en teˆte sa liste de collaborateurs: «Vaillant, Deville, Lafargue, Longuet, Daumas, Guesde, Fiaux &c», en un mot, le type du journal «mixte» ! Tout cela formait un comite´ de re´daction ou` l’on discutait et ou` l’on ne pouvait jamais prendre une direction, jusqu’au moment ou` Roques l’a imprime´e un peu brusquement – Avec Guesde comme directeur politique, nous ne courions pas le meˆme risque – Deville et Lafargue e´crivaient, Vaillant aussi, mais la direction e´tait unique et noˆtre – c’est pour cela que je m’e´tonne que Mrs. Aveling m’ait demande´ si le journal appartenait au parti ... A moins d’avoir un journal a` nous, paye´ de notre argent, ce qui est d’une aimable fantaisie en France, nous n’aurions jamais pu avoir un journal plus a` nous que dans ces conditions –. Je ne vois pas les meˆmes avantages, quand l’argent sera fourni par Daumas, dans un comite´ de re´daction ou` un Chauvie`re n’aura ni plus ni moins d’influence qu’un Guesde ! Ich danke ! Nous n’avions pas beaucoup d’argent, mais nous avions notre voie libre, ce qui est incomparablement pre´fe´rable, car au plus ou moins d’argent on peut reme´dier avec e´norme´ment de travail, tandis que contre un comite´ de re´daction, que faire ? Quand au reˆve d’avoir un grand journal, avec «soire´e parisienne», «chronique e´le´gante» etc, etc, je n’ai jamais pu le comprendre – Croyez-vous qu’un parisien, ouvrier ou boulevardier, ira jamais chercher ses renseignements sur les the´aˆtres ou sur le sport dans un journal socialiste ? Nous n’avons au contraire qu’un moyen de succe`s, c’est dans une couleur originale, avec un journal qui ne ressemble pas aux autres – ... Enfin, pour recourir meˆme a` la preuve par le fait, la moins probante pour celui qui refle´chit, croyez-vous que le journal «mixte» que nous allons avoir durera plus que n’aurait dure´ notre journal ? – Il se pre´sentera deux solutions, toutes deux de continuite´ : ou bien le «grand» journal, dirige´ par le comite´ de re´daction, cessera par la pre´dominance d’un e´le´ment «blanquiste» ou «radical», et ce sera la fin pour nous; ou bien il cessera par le manque d’inte´reˆt que pre´sentera toujours au public parisien un journal mixte. Voila` ce qu’il aurait e´te´ trop long de vous exposer Dimanche soir, et ce qui repre´sente une the´orie et une ligne de conduite a` laquelle notre parti bon gre´ mal gre´ finira par se ranger. –. En attendant «les 500 000 francs que nous a promis Daumas», ce qui rappelle une nouvelle tre`s spirituelle d’Alphonse Daudet, sans laˆcher l’ide´e de la correspondance internationale, je vous serre cordialement la main. Votre tout de´voue´ Charles Bonnier.

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84. Charles Bonnier an Engels · 14. Januar 1890

P. S. Si Mrs. Aveling de´sirait faire connaıˆtre en France la situation exacte de la gre`ve des gaziers, elle peut envoyer une correspondance a` notre presse «infime» de province, (presse qui n’aura d’importance que quand elle sera relie´e a` un journal parisien). –. Si elle n’a que le temps de jeter sur le papier des notes documentaires, qu’elle me les envoie, je les re´digerais pour le Cri du travailleur –. J’espe`re que le Dr. Aveling est dans un meilleur e´tat de sante´ que quand je l’ai vu. C B.

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85 Friedrich Engels an Eleanor Marx-Aveling in London London, Dienstag, 14. Januar 1890

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Just received Tuesday 9.30 p.m.––I send it on to you––do not think it requires a long reply, at all events I have not time to write one. Please return. Hope Edward is better. What does the doctor say? Yours F. E.

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86 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Dienstag, 14. Januar 1890

Croydon. 14.1.90 Dear Mr Engels, Much unpleasant thought & feeling might often be avoided if common sense was more frequently used & misunderstandings explained. On this ground, I think it only right to trouble you with one more letter as it may serve to clear up one or two possible misapprehensions. Of course I have had some talk with Percy about recent correspondance & I think we quite understand one another. It is a pity that he should have shown about, a letter which was evidently intended for his own perusal only. Percy seemed to think that I had been writing to you against him and I have therefore suggested that provided you have no objection, you should show him what I have written––certainly I should say nothing behind his back that I would not & have not said to his face & whatever I have said or written has been kindly meant. Secondly, from what Percy remarks I gather that you have an impression that my motive in offering him a berth is not unconnected with my subsequent appeal to you for assistance. I must protest that such was not my motive. I felt disgusted at the suggestion my brothers made that P. should work under a disguise and made my offer (possibly without sufficient consideration) but without any ulterior motives. At the time, I was in negociation with certain people as to financial assistance and my last thought would have been to trouble you. The negociations having failed, the complexion of affairs was changed and I had to think who I could ask to help me and I thought my best chance lay in asking someone who would have at least a slight amount of interest in doing so. With kind regards to yourself & Nim Yours sincerely Charles HRosher

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87 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 14. Januar 1890

Hoboken, 14 Jan. 1890. Lieber Engels!

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Deinen Brief v. 7 Dezbr. letzten Jahres habe ich richtig erhalten, ebenso die verschiednen Blätter, wovon der „Labor Elector“ mir das interessanteste ist. Meine Antwort hat sich durch lange anhaltendes Unwohlsein verzögert. Es geht hier wieder bunt her. Die „Socialisten“ wissen kaum wohin sie ihr Haupt legen sollen u. laufen vielfach den „Nationalisten“ in die Arme. Die „Nationalisten“ machen viel Geschrei, gewinnen zahlreiche Anhänger, verhehlen aber immer weniger ihren rein kleinbürgerlichen (e´picier) Charakter, der soweit kleinbürgerlich, d. h. stadtbürgerlich ist, daß nicht einmal das kleinbäuerliche Element Platz bei ihnen findet. Die Gewerkschaften sind rührig aber es mangelt ihnen an Energie u. die englische „respectability“-Sucht steckt auch ihnen in den Knochen, u. ich fürchte beinahe, daß ihnen der Muth mangelt, im nächsten Mai einen ernsthaften Kampf zu beginnen. Die „Knights of Labor“ spielen den Gewerkschaften gegenüber Schufterle u. den bäuerlichen Vereinigungen gegenüber sind sie Esel. Ich habe nach besten Kräften versucht, das wichtigste Blatt, die N. Y. Volkszeitung, der Bewegung zu erhalten u. durch Schlueter ist es gelungen, Inhalt u. Ton wesentlich zu verbessern u. der Verwässerung – durch die Nationalisten – einen Damm entgegen zu stellen (Unter den erstern Blättern u. Blättchen ist die Fahnenflucht fast epidemisch geworden). Jetzt aber sieht die Sache sehr faul aus, denn der „Socialist“ ist in den Händen eines Waschlappens u. Einfaltspinsels, der „Workm. Advoc.“ wird von einem eitlen amerikanisirten Franzosen redigirt u. die „Volksztg.“ will man dem Herrn L. Werner überantworten, einem alten Wiener, der seit vielen Jahren das Philadelphia „Tageblatt“ schreibt, sich kürzlich gegen die Beseitigung des Lassalleanismus ereiferte u. Liebesblicke mit den Nationalisten austauscht. Innerhalb 14 Tagen wird es sich entscheiden. Kommt Werner hierher, dann können sich alle 3 NewYorker Blätter begraben lassen. Lies doch in der Dezembernummer des „Nationalist“ den Artikel v. Bellamy „Looking Forward“ u. hinten den „retrospect“ – dann weißt Du ganz genau, was die „Nationalisten“ sind. In Chicago ist auch kein Halt mehr, seit Christensen weg ist, Milwaukee ist ganz in’s nationalistische Fahrwasser gerathen u. in St. Louis übt Hepner akademische Kritik an Bellamy. –

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87. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 14. Januar 1890

Ueber die Besetzung der Chefredacteurstelle an der N. Y. Volksztg. gebe ich ˙˙ Dir Nachricht, sobald sie Statt gefunden. Wie steht’s mit Bd. III? Kommt Bax heraus mit seinem Time? – Unser Sohn meint wieder ein Mal, er habe sehr gute Aussichten. Wir sind ungläubig. – Die Arbeit – das Stundengeben – macht mich halb todt, u. ich möchte doch gern noch anderweitig Etwas nützen. Halte Dich munter u. gib uns bald Bd. III. Grüße Tussy, Schorlemmer, Lafargue, Lenchen etc. v. Deinem F. A. Sorge u. Frau Hoboken, New Jersey, U. S. A. Die anliegende Postkarte ist für mich werthlos. – –

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88 Emma Wilhelms an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 14. Januar 1890

193. Euston-Road. N. C. January 14./90. Dear Sir, 5

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I called this morning at your House, and was sorry I could not see you personnally. I left a Letter with your Housekeeper. Should you wish to see me, I shall only feel too pleased to wait on you at any day and time you mention in your Note. I should feel most grateful for a little assistance. Believe me Yours Gratefully Emma Wilhelms.

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89 Friedrich Engels an Charles Howard Rosher in Croydon London, zwischen Dienstag, 14. und Sonntag, 19. Januar 1890 (Entwurf)

Dear Charles Within two months of your engaging Percy you wrote to me asking for a loan, and in terms which hardly could leave any doubt of your intention to terminate that engagement unless I acceded to your wish. And as soon as I had replied in the negative, you did terminate it. You can hardly deny, that if you intended to convey the idea that the engagement was a mere preliminary to the loan, you could not have done it better. But you now say there was no connexion whatever between the two, and of course I am bound to believe you. Yours sincerely F. E.

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90 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Mittwoch, 15. Januar 1890

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Burns läßt uns sagen daß er den Betreffenden nicht kennt, ist also jedenfalls ein obskures Haus. Viel Grippe hier herum, wir sind bis jetzt verschont. Sonst nichts Neues. Dein FE. 15/1/90 H. Schlüter Esq. 73 First Avenue New York City U. S. America

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91 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 17. Januar 1890

Le Perreux 17/1/90. Mon cher Engels, Laura dans sa lettre vous disait que le comite´ des sachems socialistes avaient de´cide´ de repousser les deux combinaisons de journaux; afin d’eˆtre poli, au lieu de re´pondre a` Roques de l’E´galite´, par une fin de non recevoir, Guesde fut charge´ de lui communiquer trois conditions pre´liminaires qui pour nous e´quivalaient a` un refus. Les voici: Avant d’entamer aucune autre ne´gociation, Roques devait re´tablir les choses en l’e´tat ou` elles e´taient avant la se´paration, par conse´quent reconnaıˆtre l’autorite´ du comite´ de re´daction et son budget, puis payer les femmes au tarif des hommes et abandonner au comite´ l’entie`re possession du titre afin qu’il ne puˆt plus l’expulser comme il l’avait de´ja` fait. Nous pensions que R. n’aurait jamais accepte´ de telles conditions. Mercredi soir je rec¸us un mot de Guesde m’annonc¸ant que R. s’avouait vaincu et consentait a` passer par ce que nous lui demandions. Hier le comite´ des sachems s’est re´uni chez le sage Daumas pour discuter la marche a` suivre. – Je voulais que l’on abandonnaˆt l’ide´e de rentrer dans l’E´galite, R. e´tant une canaille double´ d’un imbe´cile ambitieux, il nous tendait peut-eˆtre un pie`ge. Guesde et les autres firent valoir la ne´cessite´ d’un journal pour la manifestation du 1er Mai, les e´lections municipales; la de´confiture boulangiste facilitant notre succe`s; l’importance d’entrer dans un journal ayant de´ja` une vente d’environ 10 mille, quand nous l’avons quitte´ il se vendait de 14 a` 16 mille, la possibilite´ de tenir R., convaincu apre`s un an d’essai qu’il lui est impossible de faire un journal socialiste sans nous etc., enfin j’ai duˆ me ranger a` la volonte´ de la majorite´. Cependant j’ai d’autant plus de me´fiance que Roques est plus conciliant. Guesde et Daumas ont e´te´ choisis pour s’aboucher avec lui. Le joli est que le comite´ des sages a manque´ se brouiller sur la manie`re de se partager la peau de l’ours, non encore abattu. Vaillant demanda a` ce que Chauvie`re un imbe´cile, intrigant, mais un blanquiste, fıˆt partie du comite´ de re´daction. Tout le monde y e´tait oppose´, la raison donne´e par Daumas et Guesde e´tait de´cisive, Chauvie`re sans attendre notre de´cision s’est de´ja` entendu avec R. et collabore a` son journal. Vaillant alors de´clara qu’il se retirerait. J’ai duˆ alors offrir de disparaıˆtre du comite´ pour apaiser les susceptibilite´s blanquistes qui ne peuvent pas admettre deux marxistes dans un comite´ contre un blanquiste. – Il a

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e´te´ de´cide´ de laisser le comite´ tel qu’il est compose´ en ce moment, c’est-a`-dire avec les anciens membres du comite´ de l’E´galite´, non passe´s au boulangisme, et le contrat une fois signe´ on le modifierait de fac¸on a` ce que les marxistes et les blanquistes soient repre´sente´s en nombre e´gal. Vaillant est content. Comme nous avons devant les yeux le mirage des 5 millions de Pau´l y Angulo, et que Daumas attend sa re´ponse et les premiers 500 mille francs pour commencer le grand journal socialiste, nous avons de´cide´ de traıˆner les ne´gociations en longueur pendant 2 ou 3 semaines. Amitie´s a` tous et bien a` vous P Lafargue.

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92 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Freitag, 17. Januar 1890

Illmo Cittadino Vivamente commosso, La ringrazio della gentilissima sua del 13, e dell’eccellente attestato che vi e` annesso. Esso e` per me un preziosissimo documento, e son certo che con lo stesso avro` la simpatia e l’appoggio di quanti socialisti convinti sono nel mondo. Quando si ha la fortuna di possedere la stima di uomini buoni e superiori come Lei, non contano le goffe sentenze di giudici cretini e malvagi, pagati per assassinare e per condannare, e non si ha bisogno di cambiar nome. Il prof.r Labriola e l’avvocato Lollini, entrambi socialisti, convinti della mia innocenza, mi stanno prodigando la piu` generosa ed affettuosa assistenza per farla trionfare, ma ci vorra` ancora tempo per la decisione. Il processo e` stato spedito da Napoli a Roma appena l’altro ieri, 14, solo in seguito a mie vive premure e sollecitazioni, essendomi penoso l’indugio, perche´, per quanto mi fossi adoperato, mi e` stato finora impossibile di trovare una occupazione qualsiasi. Voglia perdonarmi pel cosı` frequente disturbo e pel tempo tanto prezioso che Le rubo, e credermi Benevento 17.1.90. Devmo Servitore Pasquale Martignetti. D. S. Con lo stesso corriere Le ho rimesso un No della «Giustizia» contenente la traduzione di un articolo tolto dal «Sozialdemokrat». Se non Le recasse molto disturbo la revisione del «Kapital» ec ..., o al meno della sola «biografia di Marx», beninteso, quando ne avra` tempo ed agio, ne procurerei la pubblicazione nella «Giustizia» per ora, salvo a riunirla in opuscolo separato, avendone i mezzi. P. M.

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93 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Sonntag, 19. Januar 1890

44 Northcote Road Croydon 19 Jan. 1890. Dear Mr Engels, 5

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In your letter just received you state the case from your point of view very clearly, but important facts which are not included in that view, should be positive evidence, that there was no connexion between my offer to Percy and my subsequent request for a loan––to wit: ➀ That I asked you for a loan for a specific purpose and by reason of the Woolwich people not paying up. ➁ If the Woolwich people had paid up at the right time 2 or 3 weeks ago the ˙ ˙ ˙ in mind cause of my asking you for a loan would not have existed and please bear that I was expecting payment week by week. ➂ At the time I made Percy the offer I was looking to other sources for money and the failure of negociations (as I previously explained) simply caused me to reflect thusly “If I have no reserve, I cannot afford to keep Percy on experimentally––if I have some capital to fall back upon I can continue the experiments and if they fail I shall at least have the satisfaction of knowing that I had endeavoured to help my brother––as at the present I am pinched to pay my liabilities out of moneys coming due––it would be simply suicidal to continue experimenting under the circumstances”. I have still the same chance of raising capital on my patents but can find no time to go money-hunting, as my business occupies the whole of my time. I don’t wish you to believe my statement if it is contrary to your own conviction––You have had the truth from me and if you don’t believe it, I can only say, I regret that such is the case; as I have always valued your judgements and opinions. With best regards Yours sincerely Charles HRosher. F. Engels Esqr

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94 Victor Adler an Friedrich Engels in London Wien, Dienstag, 21. Januar 1890

Wien, 21/1 89. Verehrter Freund! Du hast so gegründete Veranlassung mir böse zu sein, daß ich meinen Brief mit sehr langen Erklärungen beginnen sollte. Die mir so unerwartet freundliche Aufnahme im Sommer, Dein ausführlicher Brief im Dezember, ja sogar Deine Neujahrskarte haben mir bis jetzt kein Wort abringen können. Was mich entschuldigt, ist eine Zerrissenheit meiner ganzen Zeit u Arbeitsmöglichkeit, die mir keine Muße läßt, aus führlich über Dinge zu schreiben, die Dich vermutlich interessieren u. nur ausführlich wollte ich Dir schreiben. Da ich nun sehe, daß ich dazu nicht komme, so will ich wenigstens ein Lebenszeichen von mir geben. Die Verschleppung meiner Haft, die ins Unglaubliche geht (am 7 Decemb. hat der Oberste Gerichtshof entschieden u noch heute habe ich keine Zustellung), läßt mich so schwer zu etwas Vernünftigem kommen. Diese Esel meinen, ich werde am 1. Mai mit Bomben im Sack in den Prater spazieren gehen, u wollen mich durchaus an dem Tage drin haben – – Nun lebe ich seit dem Sommer im Provisorium; dazu eine Menge widerwärtiger Privatgeschäfte – es ist zum davon Laufen. Der Lichtpunkt sind die Parteiverhältnisse. Nicht nur, daß die letzte Spur von Anarchisterei verschwunden ist, haben wir ihre Hauptquelle verstopft, da der Polizeirat Frankl, das Haupt der Lockspitzel von uns endlich weggeschimpft wurde. Derlei ist auch nur in Oesterreich möglich, wo nicht einmal Niedertracht u Polizeiperfidie ordentlich gemacht werden, alle Behörden untereinander Krieg führen u es möglich ist ihre Eifersucht aus zu nützen – dabei ist das politische Ansehen der Partei nach außen sehr gewachsen u. unter den Arbeitern so groß wie nie zuvor. Alle Organisationen, die geschaffen waren uns umzubringen, sind in unseren Händen; alle Blätter, die schlechtesten Preßerzeugnisse werden massenhaft abgesetzt; ja sogar die guten wachsen riesig; „riesig“ für unsere Verhältnisse. Die „Arbeiter Zeitung“ hat 9000 Auflage; vor einem Jahre die ˙ ˙ ist ˙nur, ˙ ˙ die Leute zu beschäftigen u wach zu Gleichheit 5000 – die Schwierigkeit erhalten – ohne Walrecht. 2 Nun werden in gar nicht ferner Zukunft unsere politischen Verhältnisse ein neues Gesicht bekommen. Der berühmte „Ausgleich“ bedeutet, daß wir statt nationaler Parteien endlich Tory’s und Whigs, freilich mit ganz anderen Kampfpunkten, Programmen etc erhalten. Du siehst, ich habe die Bedeutung der jungtschechischen Walsiege im Sommer nicht übertrieben. Der „Ausgleich“ ist die

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94. Victor Adler an Engels · 21. Januar 1890

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direkte Folge davon. Ich erwartete ihn nach den Walen (Sommer 91); die Kerle fürchten aber gerade die Walen u darum schon heute die geänderte Lage. Vor allem hat der Kaiser gedrückt, der fest behauptet: binnen allerlängstens zwei Jahren haben wir Krieg mit Rußland, u der vorher Ordnung haben will. Er glaubt so sicher an den Sieg, daß er Verfassungsänderungen hinausschieben will, bis ein gutes Stück Russisch-Polen mit „geregelt“ werden kann. Für uns ist es nun außerordentlich günstig, wenn die Nationalitätenfrage in den Hintergrund tritt. Wir können ihr gegenüber nichts tun als unsere Internationalität betonen, u das ist auf die Dauer sehr langweilig. Die Impotenz der großen Parteien tritt aber dann erst recht in helles Licht, wenn sie sich an die anderen Fragen werden machen müssen. Außerdem dürften wir Reformen, wenn nicht Walrecht, doch Preß, Versammlungs u Vereinsrecht ergattern – –; obwol ich nicht allzuviel erwarte, ist jede kleinste Konzession schon ein Riesengewinn – Wenn nur der industrielle „Aufschwung“ einige Zeit hält; das ist für uns das Wichtigste. – – Deinen Rat, den Avenel zu bearbeiten, nehme ich mit großem Danke an. Was mir fehlt, werde ich wol erst im Verlauf der Arbeit sehen u. bitte Dich im Vorhinein um weitere Beihilfe – die Lectures on marriage (Owen) werde ich jedenfalls übersetzen u mich dabei umsehen ob ich das von Dietz längst gewünschte Buch nicht doch fertig kriege. Was mich abhält ist, daß ich eine Arbeit a` la Bebel– Fourier nicht machen will, weil ich sie für wertlos halte; für eine Leistung a` la Kautsky–Morus aber mein Wissen kaum ausreicht. Vielleicht komme ich aus dem Dilemma heraus! Kautsky habe ich gestern gesehen; bis dahin wußte ich offiziell nicht, daß er da sei. Er hat Influenza gehabt (unter der wir übrigens zu Neujahr alle gelitten haben) u sieht elend aus. Ich freue mich herzlich von ihm zu hören, daß Du wol u arbeitslustig bist, wie je zuvor. Du wirst es nicht übelnehmen, wenn ich Dir einmal ausdrücklich sage, wie wir in Oesterreich alle an Dir hängen u wie wir, ich vor allem, davon durchdrungen sind, was wir Dir zu danken haben. In einem Sinne Dir mehr, oder sagen wir: Anderes als Marx: Politik und Taktik. Anwendung der Theorie in corpore vivo. – – Hoffentlich kriegen wir bald den III. Band u. wirst Du auch diese Riesenarbeit bewältigen um den Kopf frei zu bekommen für andere Arbeiten – – Von Louise kann ich melden, daß sie in Rekonvalescenz ist. Die schwere Wunde vernarbt langsam, aber sie vernarbt. Sie ist viel bei uns u ich hoffe, daß sie auch bald wieder mehr zu tun kriegt, was ihr in jedem Sinne gut täte. In der Anlage findest Du zwei Exemplare von der Photografie Marx, die ich nach dem Bilde, das mir Frau Laura anvertraut, vervielfältigen ließ. Da ich glaube, daß Du sie nicht hast, so sende ich sie. Gib eines Deiner sorglichen Hausfrau, deren ich dankbar gedenke u die ich herzlich zu grüßen bitte. Ebenso folgen von meiner Frau herzliche Grüße an Dich u sie. Dein Dr V Adler

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95 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Mittwoch, 22. Januar 1890

22 january ’90, Petersburg, 27 Moı¨ka. Honourable sir, In the “Ежегодникъ Московскаго Земства” for 1889, which I forward to you, you will find an interesting article on „credit“ of the peasants and on “мирскіе, общественные займы” The conception of the credit is misused, the matter in question is usury, you will find there nothing about “credit”. The misuse of terminology in the investigations of statisticians is not unfrequent. In the “Сборники Земствъ” you will find for instance a term “rent”, used in a sense quite different from a strong economical one. We are living in a transitory period. La corve´e in a juridical sense is vanished, as an economical fact it is a reality: the peasant worked formerly three days for himself and three days for the landlord; actually he works on the estates of the landlord, receiving about 1/4–1/2 of the product in kind. The payments in kind are often complicated by payments in money, that is a transitory form of a pure money payment. Our statisticians give a quantity of materials to investigate by facts the origin of surplus value. But the same materials, on the other side show that the farming by the peasants, not being the sole source of their revenue, increases the part of the landlord, that is increases his revenue and the price of the land; but if the landlord will have an intention to till by hired labour his profit will be considerably less than an average profit in the country (heightened by import duties etc.) To tell about “rent” in Russia is absurd. In the meantime in our “Статистическіе Сборники” you will always find investigations on “rent”. So in the “Ежегодникъ” there is an article on “credit”. Most faithfully Yours N. Danielson.

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96 Friedrich Engels an August Bebel in Berlin London, Donnerstag, 23. Januar 1890

London 23 Jan 90. Lieber Bebel

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Gratulire zur Elberfelder Freisprechung, und nicht minder zu Deiner brillanten Führung des Prozesses, die durch die schlechten Berichte hindurch deutlich genug zu erkennen war. Es war keine Kleinigkeit mit einem Gefolge von 90 Angeklagten, darunter ein Röllinghoff & wohl noch einige andre schofle Elemente, sich so durchzusteuern; aber ich glaube nicht daß Herr Pinoff Dich je wieder, sich gegenüber auf der Angeklagtenbank zu sehen wünscht. Dieser Kerl ist denn doch das Höchste was preußisch-deutsche Staatsanwalterei geleistet hat. Er interpretirt das Gesetz ganz wie Bismarck die Verfassung, nämlich wie der Corpsbursche auf der Kneipe den Biercomment interpretirt: je toller desto besser. Französischen Juristen – von englischen gar nicht zu reden – würden dabei die Haare zu Berge stehen. Heute wird wohl schon das SozialistenGesetz wieder in Berlin ver˙ ˙˙ ˙ ˙i˙t˙e˙r˙ ˙Zeitung) hast recht, was Bishandelt. Ich glaube Du (in der Arbe ˙˙˙ ˙ ˙ kriegt ˙˙ ˙ ˙ ˙ er vom nächsten, die marck nicht von diesem Reichstag kriegt, steigende Fluth unsrer Stimmen bricht aller & jeder bürgerl. Opposition das Rückgrat. Darüber bin ich mit Ede nicht einerlei Meinung. Er & Kautsky – sie haben beide ein bischen Anlage für „hohe Politik“ – meinen bei den nächsten Wahlen müsse eine regierungsfeindliche Majorität erstrebt werden. Als ob es etwas Derartiges unter den bürgerl. Parteien noch in Deutschland gäbe! Die Fortschrittler verschwinden, wenn das S. G. aufhört; die bürgerlichen darunter gehen zu den National Libe˙ ˙ ˙jedesmal ˙˙ ˙ ˙ ˙ ralen, die Kleinbürger & Arbeiter zu uns. Darum werden˙ ˙sie ˙abkommandiren, ˙ ˙˙ ˙ sobald das S. G. zu fallen droht. Und auch im übrigen wird Bismarck immer eine Majorität erhalten; wird auch im ersten Jahr noch ein bischen sich geziert & gesträubt, im 2. Jahr kriegt er sie herum, sie sitzen ja sicher vor ihren Wählern auf 5 Jahre! Geht aber B. um die Ecke, oder wird sonst untauglich, so ist es ziemlich Wurst welche Leute im Reichstag sitzen (ich meine die Bürger, nicht die Junker);

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96. Engels an August Bebel · 23. Januar 1890

sie sind alle gleich kapabel ihre Götter von gestern anzuspucken wenn der Wind umschlägt. Ich sehe also gar keinen Grund, diesmal den Fortschrittlern nicht ihr infames Betragen von 87 zurückzuzahlen & ihnen klar zu machen daß sie nur von unsern Gnaden bestehen. Es war Parnell’s Entschluß 1886, die Irländer in England überall gegen die Liberalen & für die Tories stimmen zu lassen, also zum erstenmal seit 1800 nicht mehr als liberales Stimmvieh zu agiren, der innerhalb 6 Wochen Gladstone & die liberalen Chefs zu Homerulern machte. Und wenn je noch etwas aus den Fortschrittlern zu machen ist, dann nur dadurch daß wir ihnen ihre Abhängigkeit von uns – in den Stichwahlen – ad oculos demonstriren. Auf die Wahlen selbst freu ich mich ungeheuer. Da werden unsre deutschen Arbeiter der Welt wieder einmal zeigen aus welchem famos gehärteten Stahl sie geschmiedet sind. Möglich daß Ihr ein neues Element in den Reichstag bekommt: Arbeitervertreter die noch keine Sozialisten sind. An der Bewegung unter den Bergleuten habt Ihr ein Exempel davon wie hier die Bewegung vor sich geht: eine bisher indifferente, der Agitation großentheils unzugängliche Schicht der Arbeiterklasse wird durch den Kampf um ihre nächsten Interessen aus der Lethargie aufgeschüttelt, wird von den Bourgeois & der Regierung direkt in die Bewegung hineingejagt, und das heißt wie die Sachen heutzutage liegen, & wenn wir nicht die Sache mit Gewalt überstürzen wollen, uns in die Arme gejagt. Hier ists gradeso: nur daß hier, statt einer mächtigen soz. Partei, nur kleine, in sich zerfallne, großenteils von literarischen Strebern oder poetischen Duselköpfen dirigirte Kliquen als Stütze hinter ihnen stehn. Aber auch hier ist die Sache jetzt unaufhaltsam, & grade diese uns zuströmenden Massen sind es die bald genug unter den Kliquen aufräumen & die nöthige Einheit schaffen werden. – Bei uns macht dies neue Element die Wahlen doppelt interessant. Soeben erhalte ich Deine Hamburger Rede, kann sie aber erst nach dem Essen lesen. Die Franzosen sammeln für Eure Wahlen, ob viel dabei herauskommt, zweifle ich, die internat. Demonstration ist die Hauptsache. Wenn kein unvorhergesehener Zwischenfall kommt, scheint der Friede für dies Jahr gesichert – Dank dem riesigen Fortschritt der Technik, der jedes neue Gewehr, jede neue Pulversorte &c bereits wieder außer Kurs setzt ehe sie auch nur bei einer Armee haben eingeführt werden können; & Dank der allgemeinen Angst vor diesen, jetzt zu entfesselnden, enormen Menschenmassen & Zerstörungskräften, von denen kein Mensch sagen kann wie sie in der Praxis wirken werden. Dank auch den Franzosen die den von Rußland bezahlten Boulanger (15 Mill. Franken hatten sie ihm

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zur Verfügung gestellt) so haben durchfallen lassen & damit die letzte Aussicht auf Restauration der Monarchie (denn nur dazu sollte B. dienen) beseitigt haben. Der Czar & die russ. Diplomatie fangen aber nicht gerne an bis sie ihrer Sache sicher sind; eine Allianz mit der Republik ist ihnen zu unsicher, dazu sind die Orle´ans besser. Auch zieht die hier von Gladstone ins Werk gesetzte antitürkische Kampagne zu Gunsten seiner russ. Freunde gar nicht, & da Gladstone noch nicht im Amt, die Toryregierung aber entschieden deutsch-östreich-freundlich & antirussisch ist, muß Väterchen sich noch gedulden. Aber freilich wir leben auf einer geladnen Mine & ein Funke kann sie sprengen. Das pariser Tagblatt unsrer Leute das Liebknecht, bereits in deutschen ˙˙ ˙ ˙die ˙ ˙ ˙ ˙Geburtswehen ˙˙ Blättern angezeigt, ist noch nicht geboren, dauern noch. In 14 Tagen – 3 Wochen wird sichs wo[hl entscheiden. Jedenf]alls seit wir eine Fraktion in der K[ammer haben], stehn die Sachen weit günstiger & werden [mit der Zeit] auch wohl wieder in Paris die Possibilisten & Bou[langis]ten schlagen. In der Provinz haben wir, von allen Sozialisten, das Reich ganz allein. Von Amerika bekommt Ihr auch schwerlich viel Geld. Das ist au fond gut. Eine wirkliche amerik. Partei ist Euch & der Welt viel mehr nütz als die paar Groschen die Ihr erhieltet eben weil die dortige s. g. Partei keine Partei, sondern eine Sekte, & noch dazu eine rein deutsche Sekte, ein Ableger, auf fremdem Boden, der deutschen Partei, & zwar speziell ihrer specifisch lassalleschen veralteten Elemente war. Jetzt ist aber die Clique Rosenberg gestürzt & damit das größte Hindernis der Entwicklung & des Aufgehens in einer wirklich amerik. Partei beseitigt. Herzl. Grüße Dir & Deiner Frau. Dein F. E.

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97 Sidney Webb an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 23. Januar 1890

23. Jan. 90. Dear Sir I am sending herewith by Parcel-Post a copy of “Fabian Essays in Socialism”, which I venture to hope you will accept as an expression of the regard of one of the youngest Socialist movements for one who has so long striven and so much accomplished for the same cause. Although I have not the advantage of your personal acquaintance we are now near neighbours, and I trust that we may long continue so, not merely in geographical but also in intellectual propinquity. With best wishes I am, Dear Sir Yours truly Sidney Webb

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98 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, Donnerstag, 30. Januar 1890

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Nous Vous remercions bien pour Votre article et prions de nous excuser d’avoir tarde´ de renvoyer le manuscrit. C’est l’«influenza» qui en est fautive. Notre revue est trimestrielle et le livre suivant doit paraıˆtre au mois d’Avril. C’est au mois de Mars, au plus tard, que le manuscrit de Votre second article nous sera ne´cessaire. Mais si cela Vous serait indiffe´rent de l’envoyer plus toˆt, c’est un avantage pour nous d’avoir d’avance tous les manuscrits du nume´ro. Je Vous prie bien de remercier aussi de notre part Mme Eveling. Un SocialDe´mocrate russe, et surtout un S. D. qui sait e´crire, est encore un oiseau tre`s rare chez nous et la taˆche de publier une revue dans ces conditions n’est pas facile. L’assistance de nos amis occidentaux nous est par conse´quent bien ne´cessaire. Votre toute de´voue´e V. Sassoulitch. Mornex. 30 Janvier.

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99 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 4. Februar 1890

Schewitsch ist wieder zum Chefred. erwählt worden. Gib denen in Paris einen erneuerten Rippenstoß, daß sie mir schicken, was dort herauskommt. „L’Ide´e nouvelle“ ist nicht viel werth. – Gruß Dein F. A. S. Hoboken, N. J. 4 Febr. 1890. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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100 William Burns an Friedrich Engels in London Roxbury, Donnerstag, 6. Februar 1890

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My Dear Uncle I received your kind and welcome letter and am very glad to hear that you are well I am much obliged for your Photograph which is a very good one We were very sorry to hear of Percy and Pumps being so sick but are glad to hear from Pumps that they are recovering and I am very glad that Percys prospects are looking better and I hope will continue to do so in future. Of course you are right in thinking I am still in the Labor business, in fact it has become part of my nature and I would just as soon think of dying as giving it up now, although there has been times when I have been very much discouraged but I suppose that is natural in every business. Our Organization is growing rapidly we had a Bill introduced into the Mass. Legislature for payment of wages every seven days and 8 hours per day and adoption of safety appliances on bars and prevention of Hiring pinkerton Police in the State in case of Labor troubles. I suppose I will have to appear before the Labor Committe at the State House along with the remainder of the Committe in a week or two. The Corporations will fight it pretty hard. Personally I do not think it stands a ghost of a chance of passing, but it is a means of agitation and to building up our organization. Dear Uncle I think we will be ready for Mother to come out here in June and I will be glad when everything is settled you see Walter is working in Lawrence and Lydia and she is doing very well and will be getting very good money soon they could get a nice little Cottage in Lawrence rent is pretty cheap down there and I think would be quite comfortable Give my best respects to Mr & Mrs Aveling and Mr Scholemere and now Best Love to you and pumps and Percy and Children from all in America. Your Affectionate Nephew Wm Burns.

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101 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 8. Februar 1890

London 8 Febr 90. Lieber Sorge Deinen Brief vom 14 & 2 Postkarten wegen H. Schlüter erhalten. ˙ Meiner˙˙Ansicht nach verlieren wir kaum etwas Wägbares durch den Überlauf der dortigen offiziellen Sozialisten zu den Nationalisten. Wenn dadurch die ganze deutsche S. A. P. in die Brüche ging, wär’s ein Gewinn, aber so gut wird’s uns schwerlich. Die wirklich brauchbaren Elemente werden sich schließlich doch wieder zusammen finden, & um so eher, je mehr das Schlackenzeug sich selbst abgesondert hat, & wird genügen um in dem Moment wo die Ereignisse selbst das amerik. Proletariat weiter treiben, durch seine überlegne theoretische Einsicht & Erfahrung die Führerrolle zu übernehmen, & Du wirst dann erfahren daß Eure jahrelange Arbeit nicht umsonst gewesen ist. Die Bewegung dort, ganz wie hier & jetzt auch in den Kohlenbezirken Deutschlands, läßt sich nicht durch Predigen allein machen. Die Thatsachen müssen’s den Leuten einpauken & dann geht’s aber auch rasch, am raschesten natürlich da wo bereits ein organisirter & theoretisch gebildeter Theil des Proletariats vorhanden, wie in Deutschland. Die Kohlengräber gehören uns heute potentiell & mit Nothwendigkeit: im Ruhrgebiet geht der Prozeß rasch vor sich, das Aachner & Saarbecken folgen, dann Sachsen, dann Niederschlesien, endlich die Wasserpolaken von Oberschlesien. Bei der Stellung unsrer Partei in Deutschld bedurfte es da nur des, aus den eignen Lebensverhältnissen der Kohlengräber entspringenden Anstoßes, um die unaufhaltsame Bewegung hervorzurufen. Hier geht’s ähnlich. Die Bewegung, die ich jetzt für ununterdrückbar halte, entsprang aus dem Dockstreik, rein aus der absoluten Nothwendigkeit der Vertheidigung. Aber auch hier war der Boden durch die verschiedenartigen Agitationen der letzten acht Jahre soweit vorbereitet, daß die Leute, ohne selbst Sozialisten zu sein, doch nur Sozialisten zu Führern haben wollten. Jetzt kommen sie ohne es selbst zu merken, in die theoretisch richtige Bahn, they drift into it, & die Bewegung ist so stark daß ich glaube sie wird die unvermeidlichen Böcke & ihre Folgen, die

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Reibungen der verschiednen Trades Unions & der Führer ohne wesentlichen Schaden überstehn. Davon unten mehr. Ich glaube so geht’s auch bei euch in Amerika. Die SchleswigHolsteiner & ihre Nachkommen in England & Amerika sind nun einmal nicht durch Dociren zu bekehren, diese störrische & eingebildete Bande muß es am eignen Leib erfahren. Das thun sie aber von Jahr zu Jahr mehr; aber sie sind urkonservativ – eben weil Amerika so rein bürgerlich ist, sogar keine feudale Vergangenheit hat, & daher stolz ist auf seine rein bürgerliche Organisation – & werden daher den alten traditionellen Gedankenschund nur durch die Praxis los. Also mit Trades Unions &c muß es anfangen, wenn’s Massenbewegung sein soll, und jeder weitere Schritt muß ihnen durch eine Niederlage aufgezwungen werden. Ist aber einmal der erste Schritt über die bürgerliche Anschauung hinaus gethan, dann wirds rasch gehn, wie alles in Amerika, wo die naturnothwendige wachsende Geschwindigkeit der Bewegung den sonst so langsamen SchleswigHolsteiner Angelsachsen etwas gehöriges Feuer unter den Hintern legt, & dann wird auch das fremde Element in der Nation durch größere Beweglichkeit sich geltend machen. Ich halte den Verfall der spezifisch deutschen Partei mit ihrer lächerlichen theoretischen Unklarheit, ihrer dem entsprechenden Hochnasigkeit & ihrem Lassallianismus für ein wahres Glück. Erst wenn diese Sonderbündler beseitigt, werden die Früchte Eurer Arbeit wieder an den Tag treten. Das Sozialistengesetz war ein Unglück, nicht für Deutschland, aber für Amerika, dem es die letzten Knoten zuschickte. Ich habe mich drüben oft gewundert über die vielen, in Deutschland ausgestorbenen, drüben aber florirenden ächten Knotengesichter die Einem dort begegnen. Hier ist also wieder Sturm im Theetopf. Du wirst die Krakehlerei im Labour Elector gesehn haben wegen Parke, dem Unterredakteur des Star der in einem Lokalblatt den Lord Euston direkt der Päderastie beschuldigt hatte in Verbindung mit den bugger Skandalen unter der hiesigen Aristokratie. Der Artikel war infam, aber nur persönlich, politisch war die Sache kaum. Aber er erregte großen Skandal, der Star griff ihn auf, provocirte Burns direkt, & Burns – statt sich mit dem Comite´ zu beraten, desavouirte Champion direkt im Star. Auf dem Comite´ des Labour Elector war großer Sturm, alle gegen Champion, aber jeder der Leute will ins Parlament & hat daher besondre Interessen; so wurde nichts beschlossen, vielleicht auch weil sie keine Macht hatten (Champion hatte Tussy erklärt, vorigen Herbst, das Blatt gehöre dem Comite´, er sei nur absetzbarer Redakteur; aber das war schwerlich ganz so der Fall) kurz, Burns & Bateman zogen sich wegen der Sache, Burns auch speciell noch wegen des chauvinist. Artikels über den portugiesischen Krakehl, vom Komite´

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zurück, & diese Woche ist das ganze Comite´ im Blatt verschwunden. Tussy hat nun auch dem Ch., dem sie bisher internationale Notizen über Frankreich, Deutschland, Belgien, Holland & Skandinavien gab, abgeschrieben – (das tolle Zeug über Spanien, Portugal, Mexiko &c ist von Cunninghame Graham, einem sehr braven, sehr tapfern, aber sehr konfusen ex-ranchman). Der Fall beweist mir nun daß Champion in der That Torygelder genommen & jetzt in der Zwangslage war, bei Parlamentseröffnung etwas zu thun für den value received – Der Verfasser der Artikel selbst soll unser Ex-Freund vom Haag Maltman Barry sein, der hier als Toryagent gilt, & von dem Jung, Hyndman &c wunderbare aber erlogne Räubergeschichten erzählen. Dumm handeln diese Herren aber alle, denn Champion ruinirt sich damit komplet, & ist in einer Versammlung seiner eignen Labour Electoral Association von der Tribüne heruntergeschrien worden & mußte von 2 Polizisten beschützt werden. Natürlich famoses Wasser auf Hyndman’s Mühle, aber ich glaube diese Herren sind beide drunter durch. 5 Wie’s nun weiter geht wird sich zeigen. Aber die Bewegung geht daran ebensowenig zu grund wie an der Niederlage der Gas Stokers in Südlondon. Die Leute waren zu cocky, es war ihnen alles zu leicht gemacht, jetzt können ein paar checks nicht schaden. In Paris suchen unsre Leute noch immer ein daily zu Stand zu bringen. Der possibilist. Parti ouvrier, von der Regierung gehaltnes Daily, ist eingegangen, on n’a plus besoin de ces messieurs. Bax’ Time ist ein ganz gewöhnlich bürgerliches Ding & er hat Todesangst es sozialistisch zu machen. Das wird nun nicht so ohne Weiteres fortgehn, aber für eine rein soz. Monatsschrift, besonders a` 1/– das Heft, ist hier noch kein Raum. Sobald was Interessantes drin, schick’ ichs Dir. Wir haben hier auch unsre Nationalisten, die Fabians, eine wohlmeinende Bande von jebildeten Bürgern, die Marx widerlegt haben mit der faulen Vulgärökonomie von Jevons, die so vulgär ist daß man alles draus machen kann, selbst Sozialismus. Ihr Hauptzweck ist, wie drüben, den Bürger zum Soz. zu bekehren & so die Sache peacefully & Constitutionally einzuführen. Sie haben ein dickes Buch darüber veröffentlicht von 7 Verfassern. Ich hoffe Deine Gesundheit hält sich, & die Gewohnheit macht Dir die Arbeit leichter. Mit Percy Rosher gehts mir wie Dir mit Adolf, nur noch schlimmer. Der Junge hat sich mit seiner Spekulationsmanie vollständig auf den Pott gesetzt, seine Familie & ich haben einen Kompromiß mit den Gläubigern machen müssen, & jetzt sitzt er da & muß sehn irgend wo eine Stelle zu kriegen. Sag aber lieber Schlüters nichts davon, damit nichts wieder hier herüber kommt.

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Meine Augen scheinen sich zu bessern, ich habe 10 ɘ an Gewicht zugenommen, dagegen hab’ ich das Rauchen wegen Schlaflosigkeit so gut wie ganz aufgeben müssen, & finde nun auch daß der Alkohol von Zeit zu Zeit ähnliche unangenehme Wirkungen hat. Es wäre doch bittre Ironie wenn ich auf meine alten Tage teetotaller werden müßte. Herzliche Grüße an Deine Frau Dein FE. Schorlemmer darf auch nicht trinken.

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102 Friedrich Engels an Doris Zadek in Berlin London, nach Donnerstag, 13. Februar 1890 (Entwurf)

Sehr geehrte Fr. Zadek Sie haben uns Beiden, Lenchen & mir, eine ˙ ˙ ˙ ˙ gemacht mit den schönen Handarbeiten die unerwartete große Freude Sie uns zu übersenden die Güte hatten. Es ist in der That zu viel von Ihnen daß Sie sich hinsetzen, mit Ihren leidenden Augen (und was das heißt weiß ich ja aus eigner Erfahrung) & so mühsame Dinge anfertigen. Um so höher wissen wir sie zu schätzen. Lenchen ist außer sich vor Freude über den schönen warmen Rock, & wenn Sie auch der meinem Fuß zugeschriebnen Kleinheit etwas zu sehr geschmeichelt haben, so bin ich doch sicher daß die Pantoffeln & ich bei längerer Bekanntschaft sehr intime Freunde werden. Wir beide danken Ihnen aufs herzlichste. Hoffentlich haben Sie Ihren 70sten Geburtstag gesund & munter im Kreis der Ihrigen verlebt; erlauben Sie uns Ihnen nachträglich dazu zu gratuliren. Lenchen & mir steht diese Ehre noch bevor, mir sogar noch in diesem Jahr, es ist ein eigenthümliches Decennium worin man damit eintritt. Mit herzlichsten Grüßen an Sie & Hrn Dr. Zadek, & mit ausgezeich˙˙˙˙ neter Hochachtung Ihr ergebner F. E.

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KKautsky sagt Ihr hättet vor am 20. Abends die Euch bekannten Re˙ ˙ ˙˙an ˙ mich zu telegraphiren & da wollte ich Dir doch noch einige sultate Mittheilungen machen wegen der hiesigen Nachtablieferungseinrichtungen, damit nicht aus deren Unkenntniß ein Versehen geschieht & wir das Telegramm am Ende erst nächsten Morgen erhalten. Ede, Fischer & K. sind alle der Ansicht es sei am besten an mich zu telegraphiren, sie werden Donnerstag Abend alle hier sein, hoffentlich auch Julius. Näheres unten, da ich noch Auskunft erwarte. Im Übrigen kann ich Euch nur eine Gratulation über die andre schicken. Dir zuerst wegen der feinen Nase womit Du in Deinem vorletzten Wiener Brief, die Erlasse Jung-Wilhelms gewittert hast ehe sie erschienen, Euch Allen wegen der brillanten Situation die unsre Gegner Euch gemacht haben – so günstig lags noch nie an einem Wahlvorabend – & zu der neuen Situation die sich in Deutschland anzubahnen scheint. Noch besser als der „edle“ Friedrich (von dem ich übrigens hier eine Photographie gesehn wo er ganz die erblichen falschen HohenzollernAugen hatte wie sein halber Onkel Willich, der ein Sohn des Prinzen August, Bruders Friedrich Wilhelms III, war) schien mir von vorn herein ˙˙˙ ˙ ˙˙durch ˙ ˙ ˙˙seinen ˙ ˙˙ ˙ ˙ Thatendrang als gut kehrender neuJung-Wilhelm geeignet er Besen, & auch seinen, mit Bismark nothwendig bald kollidirenden Herrscherwillen das scheinbar stabile System in Deutschland zu erschüttern, den Glauben des Philisters an Regierung & Stabilität irre zu machen & über 2 haupt alles in Verwirrung & Unsicherheit zu bringen. Das aber konnte ich nicht erwarten daß er das so rasch & brillant besorgen würde wie geschehn. Der Mann ist uns zweimal sein Gewicht in Gold werth, der braucht sich vor Attentaten nicht zu fürchten, den zu erschießen wäre nicht nur ein Verbrechen sondern eine riesige Dummheit. Im Nothfall sollten wir ihm eine Garde stellen gegen anarchistische Eseleien.

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Mir scheint die Sache so zu liegen: Die Christlich-Konservativ-Sozialen haben bei Wilhelmchen Oberwasser bekommen, & Bismark, da ers nicht abwenden kann, läßt dem Jungen die Zügel schießen, damit er sich mal gründlich festrennt, & dann er, Bismark, als Retter in der Noth einspringen & nachher vor Wiederholungsfällen sicher sein kann. Daher wünscht B. einen möglichst schlechten Reichstag, der bald auflösungsreif wird, & wo er dann wieder an die Furcht der Philister vor der drohenden Arbeiterbewegung appelliren kann. Dabei vergißt B. nur eins: daß von dem Augenblick an, wo der Philister Uneinigkeit zwischen dem alten B. & dem jungen W. sieht, derselbe Philister für ihn unberechenbar wird. Angst wird der Philister immer haben, noch größere als jetzt, eben weil er nicht weiß an wen sich halten. Die feige Herde wird nicht mehr zusammen, sondern auseinander getrieben von ihrer eignen Angst. Das Vertrauen ist hin, & kommt so wie bisher, nie wieder. Alle Nothbehelfe B’s müssen von nun an mehr & mehr den Dienst versagen. Er will sich an den National-Liberalen rächen wegen der ver˙ ˙˙ ˙sich ˙ ˙ ˙ damit ˙ ˙ ˙ ˙die ˙ ˙ letzte schwache Stütze. weigerten Ausweisung. Er zerbricht Er will das Centrum auf seine Seite ziehn, & löst damit das Centrum auf. Die kathol. Junker brennen vor Begierde sich mit den preuß. Junkern zu verbinden; aber am Tag dieser Allianz versagen die kathol. Bauern & Arbeiter (am Rhein ist die Bourgeoisie meist protestantisch) 3 den Dienst. Diese Sprengung des Centrums kommt Niemand mehr zu gut als uns, sie ist im Kleinen für Deutschland dasselbe was in größerm Maßstab in Oestreich der Nationalitätenausgleich: die Beseitigung der letzten, nicht auf rein ökonomischer Basis beruhenden Parteibildung; also ein wesentliches Moment der Klärung, eine Freisetzung bisher ideologisch befangner Arbeiterelemente. Der Philister kann nicht mehr an Wilhelmchen glauben weil er Dinge thut die der Philister für dumme Streiche halten muß; er kann nicht mehr an Bismarck glauben, weil er sieht daß dessen Allmacht zum Teufel ist. Was aus dieser Konfusion wird, ist bei der Feigheit unsrer Bourgeoisie nicht zu sagen. Jedenfalls ist das Alte auf ewig kaput, nicht wieder herzustellen, ebensowenig wie eine ausgestorbne Thierspecies. Es kommt wieder Leben in die Bude, das ist alles was wir brauchen. Zunächst werdet Ihr es besser haben, ob aber nicht schließlich Puttkammer mit dem großen Belagerungszustand recht behält ist fraglich. Auch das wäre ein Fortschritt: das letzte, allerletzte Rettungsmittel – sehr fatal für Euch, während er dauert, aber der entschiedne Vorabend unsres Siegs. Bis dahin fließt aber noch allerlei Wasser den Rhein hinab.

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Bei so ganz unhoffbar günstigen Wahlbedingungen fürchte ich nur wir bekommen zu viel Sitze. Jede andre Partei darf im Reichstag so viel Esel haben, & so viel Dummheiten durch sie begehn lassen wie sie bezahlen kann, & kein Hahn kräht danach. Wir sollen lauter Genies & Helden haben, sonst gelten wir für blamirt. Aber wir werden nun einmal eine große Partei & müssen die Folgen davon auf uns nehmen. In Paris haben die Boulangisten abermals gesiegt. Das ist gut. Paris ist durch die Luxuswirtschaft der vielen Genußfremden & durch den auf der großen Vergangenheit der Stadt beruhenden Chauvinismus, (nicht nur den allgemein französischen, sondern speciell pariserischen) sehr verdorben, die Arbeiter sind entweder Possibilisten, oder Boulangisten oder 4 Radikale – je mehr die Provinz sich hebt, & das thut sie, gegenüber Paris, desto besser für die Entwicklung. Die Provinz hat manche Bewegung verdorben die Paris ins Werk gesetzt; Paris wird nie eine Bewegung verderben die von der Provinz ausgegangen. Also wegen Telegraphiren: Ich schreibe an das hiesige Centralbüreau daß mir diese Woche alle Telegramme zu jeder Nachtstunde ans Haus gebracht werden. Damit aber Eure Tel. noch Zweck haben, müssen sie vor 1 Uhr Nachts hier eintreffen. Wenn Ihr also am Donnerstag Abend bis 11 Uhr 30 telegraphirt, so gibt das mit der Zeitdifferenz ca 21/4 Stunde für Übersendung; später aber wäre wenig Nutzen dabei. Also 11.30 Donnerstag Abends spätestens. Von Berlin, Hamburg, Elberfeld will Ede direkt hieher telegraphiren lassen. Habt Ihr aber bis 11.30 Donnerstag keine Resultate zu telegraphiren, dann lieber am Freitag gegen 12 oder 1 Mittags wo Ihr schon was wissen müßt, & vielleicht nochmals Freitag Abends gegen 10 oder 11; letzteres in jedem Fall erwünscht. Ferner: Nur die Namen der Städte wo wir Siege resp. Stichwahl haben. Wo mehrere Wahlkreise in einer Stadt, am besten wie folgt: Hamburg, heißt Hbg, alle 3 Sitze; Hamburg eins zwei, heißt Hbg I & II Wahlkreis. Dann: zuerst alle Siege, dann alle Stichwahlen worin wir sind; also z. B. Sieg Berlin vier, fünf, sechs, Hamburg, Breslau eins, Chemnitz, Leipzig Land usw.; Stichwahl Berlin drei Breslau zwei, Dresden eins, Leipzig Stadt usw. Ist das zu lang dann: fünfzehn Siege siebzehn Stichwahlen usw. Und im zweiten Telegramm: Zusammen so & soviel Siege, & so &c. Stichwahlen. Dies wird Geld & Zeitverschwendung sparen. Herzliche Grüße und 1 200 000 Stimmen Dein F. E.

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104 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 18. Februar 1890

Shrove-Tuesday 90/ My dear General, «Madame a` sa tour monte Si haut qu’elle peut monter:» but for all that she can’t see anything coming in the shape of a new half-penny French socialist daily! Et pourtant, «il est temps», says the ex-would-be-prefet de police Ranc, «il est temps pour les gouvernements libres de faire du vrai socialisme ... d’aborder les re´formes e´conomiques et sociales ... dont quelquesunes sont pourrie´s a` force d’eˆtre muˆres». Mais ce n’est plus qu’une question de quarts d’heure. Socialists & socialism will be having it much their own way here ere long. On Wednesday we lunched with the Devilles. Guesde & Duc Quercy were there. Poor Guesde was looking a good deal the worse for wear, but he brightens up at less than nothing & he was in excellent health & spirits, to all appearance, when we left.––On Friday Duc came to our place with an Englishman, Strong, I think he calls himself––to interview Paul. S. is the correspondent for the Morning Post & may be of service to us. Harm it is out of the power of this very small fry to do us. And now, my dear General, allow me to introduce my dogs to you. Okecki, the Pole, has given me a young bitch (Mryza) & an ex-pupil of mine has given me a chien d’arreˆt––a pointer, I suppose,––Sol. Mryza is some five months old, she is tawny, with large black eyes & cropp-eared like a Puritan. Sol is of a whitish cream-colour, with long floppy ears & pale grey-green eyes. Both of the dogs are of pure breed & if you should care to have either of them I will take Sol or Mryza with me when I cross the Channel. Many thanks for the German papers. Apart from the matters of fact they teach me there’s a smell of battle in them which is mighty pleasant: Germany is in a fine ferment. You ought to write something in verse in honour of mein Kaiser, mein Kaiser! This acute attack of tenderness for his beloved workmen on the part of this pelican son of the late throttled red-beard Frederick, is too wonderful. We share your doubts respecting the new Spanish party; there was, at any rate, no question of it at the time of the Congress. Paul will write to Iglesias for information & you shall have all particulars as soon as we get them. Madame Adam has promised to accept an article of Paul in reply to Huxley “on the natural inequality of men”. Huxley treats Rousseau & his principles with

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the utmost contempt & the tone of his paper is as arrogant & as insolent as may be. Huxley may be an excellent naturalist but he is a vile theorist & his impudence calls for chastisement. Mme Adam is a very amiable woman and very nice to Paul. Paul bothers me & wants me to be quick & come out for a walk with him, so I shut up my dear General. I do wish that you & Nimmy were over here, the weather is all that’s beautiful! Remember me to all friends, & Believe me, Always your affectionate Laura.

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105 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Freitag, 21. Februar 1890

d. 21.2.90. Lieber Engels ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Das Gesammtresultat bis jetzt ist folgendes 19 Mandate und zwar in Sachsen sechs: Leipzig Land, Mittweida, Chemnitz, Glauchau, Zwickau, Stollberg. Im Ganzen etwa 45 Stichwahlen: Darunter neben den Berlinern u. Breslauern, die beiden Frankfurt, Königsberg i/Pr., Stettin, Randow-Greifenhagen, Niederbarnim, Cottbus-Spremberg, Reichenbach-Neurode, Plauen i/V., Leipzig Stadt, Reichenbach i/V., Gera, Gotha, Halle a/S., Aschersleben, Neuhaldensleben, Dortmund, Lennepp-Mettmann, Köln, Düsseldorf, Mainz, Kassel, Darmstadt, Mannheim, Ludwigshafen, Stuttgart, München I, Würzburg, Fürth, Sonneberg, Altenburg, Elmshorn, Bremen, Lübeck, Schwerin Flensburg etc Offenbach, Hanau etc. Die Stimmenzahl ist enorm, Sachsen stieg von 149 270 auf 236 143 also um mehr als 86 000. Die Mienen der Gegner könnt Ihr Euch denken. Herzl. Gruß Dein B. Mstr. Fr. Engels. London N. W. 122 Regents Park Road.

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106 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Montag, 24. Februar 1890

24 February 90 Petersburg Honourable Sir,

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Permit me to congratulate you heartily with such a success of your ideas: this success is the more cheerful, as it shone like a “ray of light in a realm of darkness” in which we are living. Most sincerely yours N. Danielson.

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107 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 26. Februar 1890

London 26 Febr 90. My dear Laura Since last Thursday evening when the telegrams announcing victory came raining in here thick & fast, we are in a constant intoxication of triumph, brought, provisionally at least, to a climax this morning by the news that we had obtained 1 341 500 votes, 587 000 more than 3 years ago. And yet––next Saturday the orgy may begin again, for the stupefaction of all Germany at our success is so enormous, the hatred against the Kartell swindlers so intense, & the time for consideration so short that fresh successes, as unexpected as those of last Thursday, are quite possible, though I for one do not expect many of them. The 20th February 1890 is the opening day of the German revolution. It may be a couple of years yet until we see a decisive crisis, & it is not impossible that we have to pass through a temporary & severe defeat. But the old stability is gone for ever. That stability rested on the superstition that the triumvirate Bismarck, Moltke, William, was invincible & all-wise. Now William is gone & replaced by a conceited Jardelieutenant, Moltke is pensioned off, & Bismarck is very shaky in his saddle. At the very eve of this election, he & young William had a squabble over the latter’s itching to play the working men’s friend; Bismarck had to give way & took care to let the philistine know he had done so; he himself evidently wished for “bad” elections, in order to give his master a lesson. Well he has got more than he bargained for, & the two have made it up again for once. But that cannot last. The “second old Fritz, only greater” cannot & will not stand leading by the Chancellor’s hand; “in Preussen muss der König regieren”––this he takes au se´rieux, & the more critical the time, the more divergent will be the views of these two rivals. One thing is certain to the philistine: the man he can trust, is losing his power, & the man who holds the power, he cannot trust. Confidence is gone even among the bourgeoisie. Now look at the state of parties. The Cartell has lost a million votes, has had 2 1/2 millions for, 4 1/2 against itself. That mainstay of Bismarcks

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parliamentary power has gone to smash, & all the Kings horses & all the Kings men cannot put Humpty Dumpty together again. To form a government majority, there are but two parties: the Catholics (Centre) & the Freisinnigen. The latter, although already burning with the desire to form a fresh Cartel, cannot do so––as yet at least––with the Conservatives, but only with the National Liberals, & that gives no majority. The Centre? Bismarck reckons upon it, & the Catholic Junkers of that party are eager enough to unite with the old Prussian Junkers. But the sole raison d’eˆtre of the Centre is: hatred of Prussia, & just you try & make a Prussian government party out of that! As soon as the Centre becomes anything like that, the Catholic peasantry––its force––break loose, while the 100 000 votes the Centre had less (against 1887) have been taken away by us in the Catholic towns, see Munich, Cologne, Mainz, &c. So this Reichstag is unmanageable. But Bismarcks last resource, a dissolution, will hardly help him. The confidence in the stability of things being gone, the supreme factor now is the discontent with the oppressive taxes & increasing dearness of living. That is the direct consequence of the fiscal & economic policy of the last 11 years, & by this Bism. has driven the people right away into our arms. And Michel is rising against that policy. So the next Reichstag might even be worse. Unless – Bismarck & his master––on this point they will always agree–– provoke riot & fighting & crush us before we are too strong, & then alter the constitution. That is evidently what we are drifting to, & the chief danger to be avoided. Our people you have seen keep excellent, wonderful discipline; but we may be forced to fight before we are fully prepared––& there is the danger. But when that comes on, there will be other chances in our favour. Nim’s dinner bell––so good bye for today––more about your dogs in more peaceable times––also about Paul’s articles. En attendant, vive la re´volution allemande! Ever yours F. E.

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108 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Mittwoch, 26. Februar 1890

26.2.90. Neue Adresse: Pankow bei Berlin, Wollankstr. 15. Lieber Engels! Haben Sie herzlichen Dank für den interessanten und freundlichen Brief, mit dem Sie mich zuletzt erfreuten, und entschuldigen Sie auch, bitte, mein langes Schweigen. Ich war, weiß der Himmel wie, in eine Periode radikaler Schreibfaulheit, die durch Verschieben der Antwortszeit immer ärger wurde, hereingekommen, so daß ich mich sogar bei Hr. Kautsky wegen der Verzögerung einer für die N. Z. versprochenen Arbeit noch immer nicht entschuldigt habe. Der für Kautsky beigelegte Brief enthält die Beichte. Da ich seine Londoner Adresse nicht kenne, so sind Sie wohl so gut, ihm den Brief gelegentlich, wenn er Sie besucht, zu übermitteln. Wie gerne ich nach London käme, wo ich wieder mit Ihnen zusammen wäre, können Sie sich denken. Ich glaube aber, es wird außerordent lich schwer sein, englische Korrespondenzen zu bekommen. Sie sind, wie ich hörte, überall in festen Händen, und es existirt wenig Hoffnung auf einen Wechsel darin. Vielleicht macht es sich in der Zukunft aber doch noch einmal so. Vorläufig hoffe ich, bei einem Berliner Blatt die Theaterkritik zu bekommen. Ich interessire mich dafür, und diese Art von Arbeit würde mir auch sehr viel Zeit zu eigenen Studien übrig lassen. Bis sich eine Gelegenheit, in dies Fach zu treten, bietet, ziehe ich nach Pankow, einer Berliner Vorstadt, heraus. Ich möchte nämlich gerne aus all den bunten, journalistischen Verbindungen, die so viel Zeit in Anspruch nehmen, herauskommen, um wieder etwas Zusammenhängendes zu arbeiten. Zuerst würde ich es mit etwas Litera rischem versuchen. Schlägt das fehl, so habe ich ein historisch-öconomisches Thema, das mich sehr interessirt. Ich möchte nämlich auf Grund der materialistischen Geschichtsauffassung nachweisen, wie die Stellung des Liberalismus in Politik, Religion, Literatur, Geschichtsschreibung, Auffassung des Geschlechtslebens, Philosophie und Juristerei durch seine öconomische Grundauffassung, und diese durch das Klasseninteresse der aufstrebenden Bourgeoisie bedingt wird. Der letzte Punkt ist ja schon von Marx klargelegt, die Verästelung des öconomischen Princips auf den verschiedenen Gebieten der Ideologie müßte sich aber nach den Andeutungen Marxens auch unschwer zeigen lassen.

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Ich bin schon auf der dritten Seite und von den Wahlen habe ich noch gar nicht gesprochen. Was sagen Sie? Man wird schließlich noch ordentlich stolz sein können, ein Deutscher zu sein. Daß sich jetzt mit Ausnahmegesetzen gegen die Bewegung nichts mehr machen läßt, wird auch unsern Kartellschädeln aufdämmern. Der Hauptwerth dieser riesigen Stimmenzahl scheint mir darin zu liegen, daß nun der Beweis vorliegt, wie sich alle Ströme der Unzufriedenheit immer mehr in das große Sammelbassin der Socialdemokratie ergießen. So wird der dumpfen, ziellosen Unzufriedenheit, die sonst wirkungslos im Einzelnen verpufft, das socialistische Heilgift eingeimpft. Die Leute gewöhnen sich ganz unmerklich allen politisch-öconomisch-religiösen Autoritätsglauben ab, und wenn die Sache zum Klappen kommt, existirt „mein Volk“ überhaupt nicht mehr. Die Massen stehn dann aktiv hinter uns, zum mindesten werden sie nicht gegen die Socialdemokratie marschiren, an deren Namen sie sich, wenn auch die Kenntniß der Endprincipien fehlt, gewöhnt haben. – Besonders stark scheint der Zuzug aus dem Kleinbürgerthum gewesen zu sein. Auch hier zeigt sich, wie Noth und Socialdemokratie zwei unzertrennliche Begriffe werden. Ein Schuster erzählte mir von verschiedenen Meistern, die, 87 noch freisinnig, jetzt socialistisch gewählt hätten. Er habe mit den Frauen dieser Meister darüber gesprochen, und die hätten gesagt: Was? Meinen Sie etwa, daß es uns gut geht! Da müssen doch unsere Männer socialistisch wählen. – Das ist bezeichnend, wie fest sich die Partei schon in das Volksbewußtsein eingenistet hat. Ihren principiellen Grundcharakter wird sie hoffentlich durch solchen Zuwachs nicht verlieren; es kommt nur darauf an, daß der aktive, aufgeklärte Theil der Partei an jenem Grundcharakter festhält, dann werden auch die neuen Rekruten hinter ihnen auf der richtigen Bahn fortmarschiren. Neulich kam ich mit einem Arbeiter zusammen, der vor den Wahlen von der Partei auf das Land nach Posen geschickt war. Er scheint durch sein populäres Auftreten sogar unter den Bauern großen Eindruck gemacht zu haben. Seine Schilderungen zeigen, wie hinterwäldlerisch da hinten noch alles ist. Wenn er gesprochen, wollten die Bauern ihn gleich auf der Stelle selbst zum Abgeordneten wählen. Die Versammlungen klingelte er selbst in den Dörfern aus. Ein Paar Landleute erklärten ihm einmal, sie wollten doch den Landrath wählen: Der ist schon in Berlin gewesen, der kennt sich dorten aus! – Um so erfreulicher ist das Eindringen der Bewegung in das flache Land. In Meklenburg-Schwerin, diesem berüchtigten Junkerneste, haben von 6 Wahlkreisen 4 socialistische Stichwahlen. Ein besseres Menetekel kann man sich nicht wünschen. Noch einmal, verzeihen Sie mein langes Schweigen. Mit herzlichem Gruß Ihr Conrad Schmidt.

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109 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 3., und Donnerstag, 6. März 1890

Hoboken, 3 März 90. Lieber Engels! Deinen Brief vom 8. Febr. habe ich richtig erhalten, seitdem auch die prächtigen Nachrichten von der Wahl in Deutschland. Die Sache marschirt – u. das macht mir große Freude, noch mehr aber, daß die deutschen Proletarier nicht reingefallen sind auf die Lockung des Kaiserjungen. Aber – mit dieser parlamentarischen Macht wird auch die parlamentarische Korruption kommen u. es wird schlimme Zeiten in der deutschen Arbeiterpartei geben, u. unser Wilhelm („Du weißt ja, wen ich meine“–) wird wieder in seinem Elemente sein, vermitteln dürfen nach Herzenslust. – Hoffentlich lernen die englischen Arbeiter jetzt auch Etwas von den deutschen u. gehen gelegentlich tüchtig in’s Zeug. So ein Bißchen Chartisten-revival wäre vortrefflich u. von besonderem Nutzen für die Yankee-courses. 6. März. Deine Bemerkungen über die hiesigen deutschen Socialisten sind sehr richtig u. stimmen mit dem, was ich Euch vor 12 Jahren schrieb: Die Arbeiterbewegung in den Ver. Staaten wird, wenn einmal im Fluß, über diese deutsche socialdemokr. Bewegung zur Tagesordnung übergehen, sie einfach wegwischen. Ich weine ihr keine Thräne nach, möchte aber gern das einzige einflußreiche Organ, die N. Y. Volkszeitung, der allgemeinen Arbeiterbewegung erhalten wissen u. bemühe mich in diesem letzten Sinne. Darum habe ich gegen die Nationalisten Front gemacht. Daß Schewitsch wieder Chefredakteur geworden, habe ich Dir gemeldet. Thatsächlich ist es Schlueter, der sehr fleißig u. aufmerksam ist, während Schewitsch auf der Bärenhaut liegt. Gegen Jonas ist starke Mißstimmung unter den Volkszeitungsleuten, da er seine Forderungen durch eine dritte Person während seines (J.) Aufenthalts in Europa rücksichtslos hat eintreiben lassen, wie mir mitgetheilt wurde. Es freut mich, daß die Weltausstellung nicht in N. Y. stattfinden wird, da sonst den hiesigen Baugewerkschaftlern der Kamm zu sehr gewachsen wäre. Sie u. die englischen Setzer sind in der N. Y. Central Labor Union stets das rückständige Element gewesen. Apropos! Schlueter meint, Du würdest jetzt wohl bald in die Lage kommen, Miquel’s Briefe zu veröffentlichen, u. für diesen Fall hätte er gern eine Vergünstigung der N. Y. Volksztg. in der Weise, daß Du Abschrift vorher herüber schi-

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ckest u. im geeigneten Augenblick telegraphische Anweisung zur Publikation. Ich versprach ihm, Dir darüber zu schreiben, was hiermit geschehen. – Wir hören mit Vergnügen, daß es mit Deinen Augen besser zu gehen scheint, u. daß Du sogar 10 ɘ zugenommen – seit Du bei Sorge’s in Amerika gewesen. Mache es uns nur nicht nach, aber halte Dich wacker oben, damit Du uns bald wieder (spätestens 1892) einen Besuch machen kannst. Daß Du auf Deine alten Jahre teatotaller werdest, befürchte ich nicht, aber Du wirst Deine Libationen klassischer machen u. nur Wein trinken müssen. Schorlemmer darfst Du mein Beileid ausdrücken. Wer weiß, wie bald ich das „solatium miseris“ anstimmen muß. Der Winter war bis jetzt hier milde, feucht u. neblig, da kommt plötzlich der März mit Schnee, Eis u. Kälte. Der Teufel hol’s! – Grüße Tussy, Aveling etc. Dein F. A. Sorge u. Frau Hoboken, New Jersey, U. S. A.

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110 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Freitag, 7. März 1890

Dr. Pl. den 7.3.90. Lieber Engels, Endlich ist der Wahlrummel vorbei und man kann mal wieder verschnaufen. Einstweilen laboriren Singer und ich an einem starken Katarrh, den wir uns auf unserer letzten Agitationsreise geholt. Gut daß er nicht früher kam und uns das Handwerk legte. Die Stichwahlen sind schlechter ausgefallen als wir erwarteten. Ich rechnete auf 20–25 Mandate. Statt dessen haben wir nur 15. Das 16. wurde uns durch allerlei niederträchtige Kniffe herausgezählt. Möglich daß wir es uns wieder holen, aber eher giebt der Teufel eine arme Seele heraus als die Reichstagsmajorität an uns ein Mandat. Der Grund, daß wir bei den Stichwahlen so schlechte Geschäfte machten liegt an dem furchtbaren Schrecken, den der Ausfall der Wahlen am 20 Februar auf das Philisterium aller Parteischattirungen ausübte. Haben doch sogar die Welfen für ihren Todfeind von Bennigsen gestimmt, u. zwar Mann für Mann, nur um unserm Candidaten keinen Sieg zu verschaffen. Und so ist es ähnlich überall gegangen. Die Erfahrung lehrt daß was wir auf den ersten Wurf nicht erobern wir nachher schwer bekommen, weil dann alle zu gemeinsamem Widerstand sich vereinigen. Der rothe Schrecken dürfte auch im Parlament weiter wirken; alles wird sich gegen uns vereinigen wenn wir mit unsern Anträgen kommen. Um so besser. Freisinn u. Centrum werden sich an Servilismus nach Oben überbieten. Die freisinnige Preße beginnt schon jetzt sich darauf einzuüben. Schade daß die Freisinnigen nicht mindestens doppelt so stark in den Reichstag kamen um die Probe ihrer Regierungskunst bestehen zu können. Jedenfalls werden wir unser mögliches thun um sie aufs Eis zu führen. Eins haben wir durch unsern gloriosen Wahlsieg erreicht, das Socialistengesetz ist geflogen. Ich halte für ausgeschlossen daß man es noch einmal bringt und so kann es wohl kommen daß es ruhig abläuft u. wir vom 1 Oktober ab wieder in den normalen Stand eintreten. Höchst wahrscheinlich werden wir, was ich schon im Elb. Proceß andeutete, dieses Jahr den ersten Parteitag wieder in Deutschland haben. So bald die neue Fraktion zusammentritt ist dieses einer der ersten Anträge, die ich stellen werde.

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Ich rechne auf den Fall des Socialistengesetzes nunmehr um so sicherer da allem Anschein nach der Kaiser zeigen will, daß er ohne ein solches mit uns fertig werden kann. Seine letzten Reden sind wieder wunderbare Blüthen der Großmannssucht an welcher er offenbar leidet. Er hat den Ehrgeiz ein großer Socialreformer zu werden. Uns schadet dieser Ehrgeiz nicht, er kommt uns vielmehr sehr bedeutend zu statten weil er ihn mit der Bourgeoisie auf gespannten Fuß setzt und unsren Bestrebungen in den Massen riesig Vorschub leistet. Ich lege Dir einige der letzten Redeproben vor, falls sie Dir von anderer Seite nicht zu Gesicht kommen sollten. Daß in solcher Weise sich alles um uns dreht ist natürlich schon ein riesiger Gewinn. Mit Bismark scheint er ganz und gar übers Kreuz zu sein u. ist dessen Abgang nur noch eine Frage der Zeit. Die Beiden sind in allen wichtigen inneren Fragen durchaus uneinig. W. soll dem B. um den Bart gehen wie man das einem guten Großvater gegenüber zu thun pflegt, aber hineinreden läßt er sich in nichts und abbringen von dem was er sich vorgenommen noch viel weniger. Er ist „sein eigner Kanzler“, wie B. selbst gesagt hat. Die Wahrscheinlichkeit besteht daß wir in der nächsten Zeit allerlei wunderbare Sachen erleben, die aus dem eigenartigen Temperamente Ws hervorgehen. In den Kreisen der deutschen Regierungen u. der Bourgeoisie sieht man der Entwickelung der Dinge mit äußerstem Unbehagen entgegen. Die Unberechenbarkeit W’s und seine Hartnäckigkeit ists die dort große Sorge macht. Dazu kommt der heranrückende industrielle Krach der bereits seine Schatten voraus wirft. Der Sturz der Kohlenaktien u. einer Reihe von Industriepapieren, sowie die Thatsache daß die Einnahmen der preuß. Eisenbahnen im Januar einen ganz unerwarteten und sehr bedeutenden Rückgang aufzeigen sind bedenkliche Symptome. Krise und Socialreform vertragen sich aber schlecht, namentlich wenn auch noch die materiellen Lasten des Invaliditäts- und Altersgesetzes im nächsten Jahre hinzutreten. Dadurch dürften insbesondere Kleinbauern u. Kleinbürger rebellisch gemacht werden, die Lasten bekommen die sie schwer tragen können. Kurz, von welcher Seite immer man die Dinge ansieht wir haben alle Ursache mit ihnen zufrieden zu sein. Wenn alles sich so gestaltet wie ich jetzt voraus setze werde ich im Laufe des Hochsommers mal nach London kommen müßen. Ostern will ich mit meiner Frau zum Besuch nach Zürich. Wenn nur das Wetter ein wenig besser würde. Gehab Dich wohl und seid Alle herzlichst gegrüßt von Deinem A Bebel.

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111 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 7. März 1890

Londres le 7 Mars 90. Mon cher Lafargue Enfin la pe´riode e´lectorale est passe´e. Impossible de rien faire pendant cette excitation, ce va-et-vient, ces courses e´ternelles. Mais enfin, c¸a valait la peine cette fois. Nos ouvriers ont fait l’empereur d’Allemagne travailler pour le roi de Prusse, et ont envoye´ le reporter du Gaulois au Perreux. Le brave Guillaume est empereur avant tout. On n’envoie pas un Bismarck se promener si simplement comme vous le croyez. Laissez donc le temps a` cette querelle de se de´velopper. Ni Guillaume ne peut se se´parer si brusquement de l’homme qui a force´ le grand-pe`re du jeune a` se transformer en grand homme, ni Bismarck du meˆme Guillaume que lui, B. a habitue´ a` se regarder comme un (Fre´de´ric II)2. Mais ils ne s’entendront plus que sur un seul point: de faire feu sur les socialistes a` la premie`re occasion. Sur tous les autres points, divergence, et plus tard, querelle ouverte. Le 20 fe´vrier est la date du commencement de la re´volution en Allemagne; c’est pourquoi nous avons le devoir de ne pas nous faire e´craser avant le temps. Nous n’avons encore qu’un soldat sur 4 ou 5, et, sur le pied de guerre, peut-eˆtre 1 sur 3. Nous pe´ne´trons dans les campagnes, les e´lections dans le Schleswig Holstein, et surtout le Mecklembourg, ainsi que les provinces est de la Prusse l’ont prouve´. Dans 3–4 ans nous aurons les laboureurs & journaliers agricoles, c. a`. d. les plus solides soutiens du statu quo, et alors, il n’y aura plus de Prusse. Voila` pourquoi pour le moment nous devons proclamer l’action le´gale, ne pas re´pondre aux provocations qu’on nous prodiguera. Car sans une saigne´e, et encore tre`s forte, il n’y a plus de salut pour Bismarck ou Guillaume. Ces deux braves garc¸ons sont, dit-on, consterne´s, n’ont pas de plan fixe, et B a assez de besogne pour contrecarrer les intrigues de cour qui abondent contre lui. Les partis bourgeois se rallieront sur le terrain commun de la peur des socialistes. Mais ce ne sont plus les meˆmes partis. La glace est casse´e, il y aura bientoˆt de´baˆcle.

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Quant a` la Russie, elle aura besoin de bien des millions franc¸ais encore avant d’eˆtre en e´tat de faire la guerre. L’armement de son arme´e est tout-a`-fait arrie´re´, et encore est-on en doute s’il convient de donner au soldat russe un fusil a` re´pe´tition; les Russes sont extreˆmement solides tant qu’on se bat en masse, mais on ne fait plus cela; en tirailleurs ils ne valent rien, ils manquent d’initiative individuelle. De plus, ou` trouver les officiers pour tant de monde dans un pays sans bourgeoisie ? Dans la Neue Zeit & Time pour Avril & Mai il y aura des articles sur la politique e´trange`re russe que j’ai e´crits. Nous taˆchons ici de de´tacher les libe´raux anglais du russophilisme de Gladstone, le moment est bon, les cruaute´s inouı¨es contre les prisonniers politiques en Sibe´rie l’ont rendu presqu’impossible pour les libe´raux de continuer sur ce ton. Est-ce qu’on n’en parle pas en France ? Mais chez vous, la bourgeoisie est devenue presqu’aussi beˆte et aussi canaille qu’en Allemagne. Quant a` Time ce n’est pas une revue socialiste, bien au contraire, Bax a peur qu’on y prononce le mot de socialisme. En ne re´pondant pas a` son te´le´gramme «re´ponse paye´e», vous vous eˆtes attire´ son de´plaisir souverain. Mais vous avez tort si vous imitez sa manie`re de se faˆcher. Il est impossible pour Time d’avoir trop souvent un article signe´ Lafargue. Encore est-il impossible d’en prendre un qui aura paru dans la Nouvelle Revue, comme Mme Adam ne le prendrait pas s’il avait de´ja` paru dans Time. Et pour des arrangements qui assureraient la simultane´ite´ de la publication, Mme Adam s’y preˆterait-elle ? Soyez raisonnable, l’article est place´ chez elle et avec elle il fera le tour du monde. Aveling & Tussy ont l’intention de publier chaque mois un article par un e´tranger; c’est le plus qu’on puisse offrir au public anglais; comme vous aviez eu un article dans le No de fe´vrier, il y avait pre´texte pour Bax de refuser le voˆtre; surtout comme dans quelques mois personne ne parlera plus de l’attaque de Huxley contre Rousseau. Tout cela parce que vous n’avez pas envoye´ la «re´ponse paye´e» ! C’est mesquin, mais c’est Bax. Pauvre Laura ! Espe´rons qu’elle n’aura plus affaire a` Castelar. Cet homme est pour moi aussi de´gouˆtant que l’e´tait en 1848 le beau Simon von Trier, dont tous les discours e´taient compose´s de scraps tire´s de Schiller et dont toutes les juives de Francfort vieilles et jeunes e´taient amoureuses. Merci de la lettre d’Iglesias que je vous retournerai la prochaine fois – ce Bark est un russe allemand des provinces baltiques qui a` Gene`ve il y a dix ans environ publiait une revue baltique (en allemand) et que le vieux Becker, faute de mieux, taˆchait de convertir au Socialisme. Il a aussi e´crit un article a` Kautsky sur le parti espagnol invente´ par lui-meˆme, mais K.

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m’a donne´ le MS. sans l’imprimer. Quel toupet de ce Balto-faux-Russe de se mettre a` la teˆte d’un Parti espagnol compose´ de trois officiers sans soldats ! Je voulais encore e´crire quelque chose sur les chiens de Laura mais voila` 5 heures et le nouveau gong (cadeau d’Aveling) qui annonce le dıˆner – Entre Laura & Nim, conflit de devoir, mais mon estomac se met de la partie et de´cide. Nim peut me gronder, et Laura est loin ! Bien a` vous tous les deux F. E.

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112 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Dresden London, Sonntag, 9. März 1890

London 9 März 90. Lieber Liebknecht,

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Ich gratulire Dir zu den 42 000 Stimmen die Dich zum premier e´lu de l’Allemagne machen. Wenn jetzt wieder ein Kar-, Hell-, oder sonstiger Junkerdorf Dir ins Wort fällt, so kannst Du ihm antworten: Ziehen Sie sich in Ihre Vorhaut zurück, wenn Sie eine haben, ich vertrete soviel Wähler wie ein Dutzend Ihrer Sorte! Wir kommen hier allmählig wieder in eine gewisse Ernüchterung, aber ohne Kater, nach dem langen Siegesrausch. Ich hoffte auf 1 200 000 Stimmen, wurde aber allgemein für übersanguin erklärt – jetzt zeigt sich daß ich noch zu bescheiden war. Unsre Jungens haben sich ganz prachtvoll gehalten, aber das ist bloß der Anfang, es stehn ihnen schwerere Kämpfe bevor. Unsre Erfolge in Schl-Holstein, Mecklenburg & Pommern verbürgen uns jetzt riesige Fortschritte unter den Ackerbauarbeitern des Ostens. Jetzt wo wir die Städte haben, & der Ruf unsrer Siege bis in die abgelegensten Rittergüter drängt, können wir auf dem Lande einen ganz andern Brand anzünden als die Strohfeuer von vor 12 Jahren. In drei Jahren können wir die Landarbeiter haben & dann haben wir die Kernregimenter der preußischen Armee. Und das zu verhindern gibts nur ein Mittel, & das rücksichtslos anzuwenden, das ist der einzige Punkt worin Wilhelmchen & Bismark noch einig sind: eine kräftige Schießerei mit obligatem akutem Schrecken. Dazu werden sie jeden Vorwand benutzen, & wenn Puttkamers „Kanonen“ erst einmal in den Straßen einiger großen Städte geschrapnelt haben, dann gibts Belagerungszustand über ganz Deutschland, der Philister kommt wieder in die richtige Verfassung & wählt blindlings nach Vorschrift, & wir sind auf Jahre lahmgelegt. Das müssen wir verhindern. Wir dürfen uns nicht im Siegeslauf irremachen lassen, nicht unser eignes Spiel verderben, nicht unsre Feinde verhindern unsre Arbeit zu thun. Ich bin also darin Deiner Ansicht daß wir für jetzt so friedfertig & gesetzlich wie möglich aufzutreten & jeden Vorwand zu Kollisionen vermeiden müssen. Freilich halte ich

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112. Engels an Wilhelm Liebknecht · 9. März 1890

Deine Philippiken gegen die Gewalt, in jeder Form & unter allen Umständen für unangebracht erstens weil Dir doch kein Gegner das glaubt – so dumm sind sie doch nicht – & zweitens weil ich & Marx nach Deiner Theorie dann auch Anarchisten wären, da wir nie gesonnen waren als gute Quäker die linke Backe auch hinzuhalten falls uns Jemand auf die rechte hauen sollte. Diesmal hast Du entschieden etwas übers Ziel hinaus geschossen. Den Nieuwenhuis halte ich für ziemlich unschuldig an dem Artikel auf den Du antwortest, wie man hieher schreibt ist Croll der Krippenbeißer, der Dich nicht in Ruhe lässt – er soll ein Krakehler erster Sorte sein. Diese Kleinstaatler sind unser internationales Pech – machen enorme Ansprüche, wollen stets mit Glace´handschuhen angefaßt sein, sich selbst aber jede Grobheit erlauben, fühlen sich immer zurückgesetzt weil sie nicht immer erste Violine spielen können; aller Tuck & alle Schererei beim vorigen Kongreß, vorher & während, war nur durch sie verursacht, erst die Schweizer mit ihrer Illusion die Possibilisten abspenstig machen ˙ ˙ ˙˙˙˙˙ ˙ ˙ Nun unser deutzu können, dann die Brüsseler, darauf die Holländer. scher Sieg wird sie wohl etwas ins Gleise bringen & uns erlauben großmüthig zu sein. Sei so gut mich etwas vorher wissen zu lassen wann Du zu uns übers Wasser kommst. Wir haben nur das eine Zimmer frei & das ist im Frühjahr manchmal mit Beschlag belegt – so um Ostern durch Schorlemmer, ˙ also ˙ ˙˙ möglicher Weise kommen auch Lafargues oder Luise Kautsky; es ˙ist vielleicht ein bischen Management nöthig um es für Dich frei zu halten. Da Du eine specielle Dresdner Adresse angibst muß ich das für einen Wink ansehn Dir dorthin zu schreiben. 19. Century ist neben Contemporary Review jetzt die angesehenste ˙ ˙ ˙˙ Revue hier – da ich aber die beiden stets verwechsle, werde ich Dir Details erst nachher schreiben können sobald Avelings hier sind. Einstweilen nur dies: 1) laß dich g u t zahlen, 2) nach hiesigem Recht gehört der Art. der Revue, & kann die Red. daran beliebige Änderungen vornehmen wenn sie will, & wenn Du nicht Gegentheiliges vorher ausmachst. Ich bedinge in solchem Fall 1) that the copyright remains vested in me, 2) that no alterations are made without my express consent. Abend. 19 Century gehört Herrn Knowles, Gladstone schreibt ab und zu in Diese & Contemporary die dem Percy Bunting gehört zu dem die Schack Dich nahm. Sonst ist dem Obigen nichts zuzusetzen. Knowles ist ein reiner Geschäftsmann, sieh Dich also vor. Grüße von Nim, Aveling’s, Edes, Dr. Zadek & Frau Romm-Zadek ditto Pumps & Percy die alle hier. Dein F. E.

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113 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Sonntag, 9. März 1890

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Mein lieber Engels! „Das war des Freundes Stimme!“ um mit Gretchen zu reden. – Herzlichen Dank u. die Bitte mir Solches oder Ähnliches öfter zu schicken. – Du hast keine Vorstellung von dem Unverständniß u. der kindischen Rathlosigkeit der, durch das „bevormundende System“ Erzogenen. – Vor 3 Wochen haben wir eine andere Wohnung, in der Nähe unserer vorigen, bezogen. – Das bisher von uns bewohnte Haus ist verkauft u. wird umgebaut. – Mit herzlichen Grüßen von mir u. Meinigen Dein Kugelmann F. Engels Esqre 122. Regents-Park-Road NW. London England

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114 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Dienstag, 11. März 1890

Illmo Cittadino Mi rallegro con Lei per la splendida vittoria della democrazia sociale, e mi onoro di parteciparle l’annullamento della sentenza di condanna contro di me, ottenuto dagli sforzi affettuosi e disinteressati del prof. Labriola e dell’avvocato Lollini. Pero` la Corte di Cassazione mi ha rinviato per la ripetizione del giudizio innanzi alla Corte d’Appello di Roma. Ancora affatto privo di lavoro e quindi di mezzi di esistenza e molto meno di difesa ho bisogno che il prof. Labriola e l’avvocato Lollini continuino a prodigarmi la loro cavalleresca assistenza pel definitivo trionfo della verita`, tanto piu` che continuano gl’intrighi a mio danno. Da fonte sicura ho saputo che un tal Zannini, segretario di gabinetto di Borgnini, il ricchissimo procurator generale della Corte d’appello di Napoli che ha giurato la mia rovina, ando` a bella posta in Roma ed intrigo` dal giorno 4 al giorno 8 corrente per far rigettare dalla Corte di Cassazione il mio ricorso. Percio`, se non Le riuscisse di troppo disturbo, mi farebbe cosa gratissima e certo assai utile, indirizzando una sua autorevole parola di ringraziamento al prof. Labriola e all’avvocato Lollini, o almeno solo al primo, per la loro strenua ed amorosa opera esclusivamente per difendere il vero, incitandoli a continuare sino alla vittoria definitiva. Labriola e Lollini sono entrambi socialisti. Il primo mando` teste´ 50 lire al fondo elettorale della Germania, e fu il redattore ed il promotore dell’indirizzo di simpatia del circolo radicale di Roma pubblicato nel numero di fe sta del «Sozialdemokrat». Egli, quantunque professore universitario stipendiato dallo Stato, fa un’attiva propaganda socialista nelle societa` operaie e nei giornali. Conoscendo egli il tedesco, potrebbe infogliarmi, se crede, nella risposta, la sua ambita parola di ringraziamento e d’incitamento, ed io gliela farei ricapitare. Eguale preghiera ho dato a Lafargue che ebbe la bonta` di raccomandarmi al professor Labriola. Con immenso piacere ho letto il suo bellissimo articolo sul «Sozialdemokrat» e ne ho tradotta la conchiusione per farla pubblicare nei giornali socialisti di qui. Voglia perdonarmi la seccatura e credermi con la piu` profonda stima Benevento 11.3.90. Devmo Servitore Pasquale Martignetti.

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115 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 12. März 1890

Le Perreux 12/3/90 Mon cher Engels,

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Vos lettres sont des chants de triomphe; si le pauvre empereur les lisait, il perdrait le peu de raison qu’il a jamais posse´de´. La confe´rence a e´te´ une grave affaire en France. Les boulangistes qui continuent a` eˆtre au service de la Russie demandaient a` tue-teˆte que l’on s’abstint d’y aller; les bourgeois ne demandaient pas mieux, car ils sont tre`s ennuye´s de voir les questions ouvrie`res prendre une telle importance et vexe´s de ce que ce soit l’Allemagne qui en prıˆt l’initiative: elle enlevait a` la France son prestige de´mocratique. – La Russie voulait profiter de la circonstance pour faire du refus de la France d’y participer un casus belli. Mais le gouvernement opportuniste qui a au moins cette qualite´ de vouloir la paix, a pare´ le coup et le vote de la Chambre a duˆ prouver a` la Russie que les boulangistes sont use´s et sans aucune influence; elle a duˆ comprendre que si l’on pouvait tirer des 300 millions des poches des bourgeois, il e´tait impossible de les jeter de gaiete´ de cœur dans une guerre avec l’Allemagne; chat e´chaude´ craint l’eau froide. Pas un seul journal en France, a` l’exception de quelques journaux socialistes n’a parle´ des horreurs des prisons sibe´riennes; cela vous prouvera quelle influence la Russie exerce sur les re´dactions des journaux de Paris. – Mais le Czar a beau faire, il n’a et ne pourra jamais avoir les sympathies populaires, et il suffirait d’un seul organe quotidien assez inde´pendant pour re´pe´ter ce que rapporte la presse anglaise pour faire e´chouer toutes ses machinations. – La Russie joue de malheur, elle de´sire la guerre Europe´enne pour faire ses petits tripotages dans l’est et c’est pre´cise´ment ses intrigues et ses mene´es qui maintiennent la paix. Il a e´te´ tre`s heureux que le Gaulois m’ait fourni les moyens d’exprimer l’opinion socialiste au sujet de la confe´rence: celui qui est venu m’interviewer s’attendait a` ce que j’allais faire chorus avec les boulangistes, il a e´te´ tre`s e´tonne´ de m’entendre me prononcer en faveur de la confe´rence; il a rendu assez fide`lement notre entrevue, mais il a beaucoup attenue´ ce qui j’ai dit a` propos de la confe´rence. L’interview a eu du succe`s, elle a e´te´ reproduite non seulement a` Paris, mais en province et a` l’e´tranger. Liebknecht m’e´crit pour me demander le Gaulois. Mon article va paraıˆtre dans la Nouvelle Revue du 15 courant. Quand Time a refuse´ mon article, il ne savait pas que je devais en e´crire un pour Madame Adam; moi-meˆme je l’ignorais; j’e´tais alors en correspondance avec Knowles du XIX

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Century pour une re´ponse aux attaques de Huxley: bien entendu cet article devait eˆtre absolument diffe´rent de celui envoye´ a` Time, comme d’ailleurs l’est celui que va publier Mme Adam. Voici comme les choses se sont passe´es: Au commencement de Fe´vrier j’e´crivis a` Aveling lui demandant de me re´server une dizaine de pages pour re´pondre a` Huxley. Ne recevant pas de re´ponse, je crois la chose convenue; je me haˆte d’e´crire l’article pour qu’il parvienne a` temps; je l’envoie assez toˆt pour qu’il puisse paraıˆtre le ler Mars. Pas de re´ponse. – Le 27 l’article m’est renvoye´ avec un mot d’Aveling, me disant qu’il n’est pas le master et que Bax l’overrules. – Je lui re´ponds: puisque vous n’avez pas assez d’influence pour faire passer un article sur un sujet d’actualite´, vous eussiez duˆ montrer ma lettre a` Bax et me faire savoir sa re´ponse, vous m’eussiez e´pargne´ un travail inutile et un refus de´sagre´able. – Il me re´pond que j’ai raison.

Je viens de voir une cousine germaine de Marx; elle est fille du fre`re du pe`re de Marx, et s’appelle Madame Weil; en 1846 elle habitait l’Alsace; son pe`re avait rompu ses relations avec M. a` cause sans doute de sa conduite politique: mais aux de´tails qu’elle m’a donne´s il me semble que c’est avec peine que son pe`re a pris cette re´solution. Elle a duˆ eˆtre riche et avoir eu de grandes relations; mais je crois que sa position est toute autre maintenant. Elle a une fille, qui s’occupe de litte´rature, e´crit dans les revues; de´sirant e´crire un article sur Marx elle s’est adresse´e a` Longuet, qui s’est empresse´ de la renvoyer a` moi. – Avez-vous eu connaissance de cet oncle de Marx ? Amitie´s a` tous et bien a` vous P Lafargue Labriola, dont je viens de recevoir la lettre m’e´crit que le jugement contre Martignetti a e´te´ annule´.

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116 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 14. März 1890

London 14 Febr 90 My dear Laura

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Last night Bernstein called. We think it best you should write to Bebel asking him for some information. He has the Parlamentsalmanach which we have not & a Secretary who might copy out a few extracts. You might say Bernstein & I had suggested this to you. ˙˙ ˙ you might write also direct to If you like Carl Grillenberger, Weizenstr. 14, Nürnberg G. von Vollmar, Schwabing bei München, J. H. W. Dietz, Furthbachstr. 12, Stuttgart, F. Kunert, Red. der „Breslauer Nachrichten“ Breslau & ask them for personal details which no doubt they would be glad to give you. Other addresses we have not got. I will ask Tussy about that niece of Mohrs Paul has written about. I have not heard anything about her. Would be curious if you should turn out to be connected with little Abraham, vulgo Alexandre, Weill! Things are getting serious in Germany. The Kreuzzeitung, ultra-conservative, declares the Socialist law useless & bad! Well we shall probably get rid of it, but Puttkamer’s word will then become true: we shall have the major state of sie`ge instead of the minor one, & cannons instead of expulsions. Things go so well for us, we never dared to hope half so much, but, but, it will be stirring times & everything depends upon our men not allowing themselves to be provoked into riots. In three years we may have the agricultural laborers, the mainstay of Prussia, & then – feu! Ever yours F. E. We went to-day up to Highgate. Tussy had been already in the morning, planted Mohrs & your Mama’s grave with crocus, primroses, hyacinths &c very beautifully. If Mohr had lived to see this!

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117 F. A. Brockhaus an Friedrich Engels in London Leipzig, Donnerstag, 20. März 1890

F. A. Brockhaus. Leipzig, 20. März 1890. Herrn Schriftsteller Fr. Engels in London N. W. 122 Regents Park Road

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Hochgeehrter Herr! Unter den hervorragenden Persönlichkeiten, deren Biographie in der 14. Auflage des Conversations-Lexikon veröffentlicht werden soll, befindet sich Ihr Name. Den betreffenden Artikel aus der 13. Auflage beehre ich mich Ihnen hierbei im Ausschnitt zu übersenden, mit der Bitte, ihn zu berichtigen und zu ergänzen, sowie innerhalb einiger Wochen an mich zurückgelangen zu lassen, damit die Redaction bei Umarbeitung des Artikels für die vierzehnte Auflage aus den besten und sichersten Quellen schöpfen kann. Da über den Zeitpunkt des Erscheinens der 14. Auflage noch nichts bestimmt ist, ersuche ich meine Mittheilung als eine streng vertrauliche zu betrachten. Hochachtungsvoll und ergebenst F. A. Brockhaus.

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118 Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 21. März 1890

21 März 90 Verehrter Meister!

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Ich schrieb Ihnen vor langer Zeit; Sie hatten die große Güte mir nicht nur rasch zu antworten, sondern auch Ihre Hilfe in dem Falle in Aussicht zu stellen, als ich den einmal betretenen Weg rüstig fortzuschreiten gesonnen wäre. Ich schwieg bis heute. Unglückliche Bureauverhältniße, als Consequenz meines Auftretens im Pensionsausschuße unseres Institutes, hinderten mich, daran zu denken, daß ich nicht allein eine Creatur des Kapitalismus bin; jetzt bin ich wieder in der angenehmen Lage über „freie“ Zeit verfügen zu können. Sie empfahlen mir szt „Herrn Eugen Dührings Umwälzung der Wissenschaft“; das Werk war in Wien nicht erhältlich, ich trieb es endlich bei einem Antiquar auf, las es einmal, dann wieder u. werde es noch öfter lesen. Ich habe meine bisherige Bibel, den „Faust“, von ihrem Platze gerückt und Ihren „Dühring“ hingestellt. Hat Marx mit seinen Blitzen dem Proletariat die faule gährende Welt des Kapitalismus erhellt u. diese Welt durch die Macht, den Donner seines Wortes aus ihrer Ruhe geschreckt, so gaben Sie mit „Dühring“ dem erwachenden Proletariat eine Waffe für den Nahkampf, wie es sie schneidiger und wirkungsvoller noch nie beseßen! Ich streckte manchen Gegner seither zu Boden! – Und nun zum eigentlichen Zweck dieser Zeilen! Ich bin Mitglied eines Clubs von Bankbeamten; dieser Club, dessen Mitglieder dem Boden der Bourgoisie entsproßen, bietet in seiner Zusammensetzung ein richtiges Bild dieser Caste in Oesterreich. In unserem Reichsrathe befehden sich lustig Feudaladel u. „liberale“ Bourgois, Reaction u. kapitalistische Fortschrittler etc etc. Die subtilen Parteischattirungen entziehen sich naturgemäß dem Verständniße der großen, politisch unreifen Maße, näher liegt ihr das Verständnis des antisemitschen Geistes; dieser ist es den sie zu verstehen glaubt. Seine Fäulnis fühlend, über die Schatten der kommenden Ereigniße erschreckt, sucht der Bourgois Rettung in eben den Ideen die seinen Untergang langsam aber sicher vorbereiten. – Den Kampf gegen das Kapital möchte er gern von sich lenken und erzeugt so, getreu seiner bisher beobachteten Verlogenheit u. Heuchelei, den Nationalitäten- u. Racenhaß, worin das Ideal der socialen Reform wie

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in einem Hohlspiegel verzerrt erscheint. Das Präludium 89 gefiele ihm schon, wenn es nur nicht als Sequenz das Furioso 93 gehabt hätte! Im Wiener Volke u. ebenso in unserem Club erscheinen die im Reichsrathe sich Geltung verschaffen wollenden Meinungen nur als Appendices des Anti- oder Philosemitismus. Mich erschreckt das selbstverständlich nicht nur nicht, sondern freut mich sogar. Der Antisemitismus ist in Oesterreich hinsichtlich seiner von den Führern gewiß nicht beabsichtigten Wirkungen geradezu unersetzlich! Er macht den sterilen Boden oesterreichischer socialer Anschauungen empfängnisfähig, fertil. Unsere Arbeiter, soweit sie sich überhaupt mit der socialen Frage beschäftigen, sind zum Schweigen verurteilt; der Antisemit allein darf, Dank der Curzsichtigkeit der Regierung, den Haß gegen das Kapital, wenn auch nur das jüdische, säen; die Früchte werden aber schließlich dem Proletariat in den Schoß fallen. Bezeichnend ist es, daß in letzter Zeit ein Theil der Beamtenschaft den Campf des Antisemitismus mit dem Campf gegen den Kapitalismus identifizirt und somit Sozialdemocrat bis zu einer gewißen Gränze zu sein glaubt; diese Gränze liegt bei der Anschauung, daß der „Socialdemokrat den Besitzenden Alles nehmen und unter die Arbeiter verteilen will“. Eine so craße Unwissenheit herrscht unter der überwiegenden Mehrzal der Beamten. Ich möchte nun zu Beginn der nächsten Saison – falls ich dann noch Clubmitglied bin – eine Vorlesung halten, welche sich mit den Wandlungen beschäftigt, die der Begriff von der Entstehung des Wortes bis zum Mehrwert durchgemacht. Derartige Vorlesungen unterliegen der Censur der Clubleitung, dürfen den bestehenden Verhältnißen nicht zu nahe kommen demnach die Dinge nur von oben beleuchten. Der Zweck ist erreicht wenn auch nur ein Theil des Auditoriums seine bisherigen Anschauungen als unhaltbar erkennt u. in den Zustand gesunden Zweifelns geräth. Ich müßte über Smith Rodbertus etc hinweg; bei manchen National Oeconomen (Fourier etc) verweilend, Marx zustreben. Welche Werke habe ich nun zu diesem Ende zu studiren? Außer Marx Kapital (Internationale Bibliothek, Verlag Dietz) kenne ich gar keinen Nationalöconomen. Mühe Nebensache! Zu Ursprung der Familie! Die Chinesen sollen im Ganzen nur 7000 Familiennamen besitzen, deren Träger von der Heirat dann ausgeschloßen sind, wenn sie gleiche Namen haben. Der Zigeuner reißt sich von seinem Stamme los, wenn er eine Frau heimführt, er schließt sich gänzlich dem Stamme seiner Gattin an, was so weit geht, daß er selbst den Namen der Frau annimmt. (Weil bei den Zigeunern noch die Frau besitzt?) Nun noch eine kurze Betrachtung, welche sich mir gelegentlich des Anschauens des Wettiner Cönigsstammes aufdrängte. Wenige Sprößling Wettins Werden „der Gute“ genannt! Jubelnd feiert das Volk jahrhunderte langen Bestand!

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Bist du von Liebe zum Haus Von Freude an Festen erfüllt? Bleibt dir die Freiheit, o Volk, Stets ein verschleiertes Bild? Bastille 1649 „Hörige“ stürmten die Zwingburg des Königs den Stützen des Thrones! 1793 „St Antoine“ riß sie wieder den „Freunden der Ordnung“ 19 ? Aus eigener Craft wirft der „Bettler“ die göttliche Ordnung zu Boden! Die große Posse, von dem seine Feinde niederschmetternden mittelalterlichen Caiser geleitet, wird dem armen, stets gutherzigen Volke, wieder einige Jahrzehnte reactionären Druckes auferlegen! Nicht? Verzeihen Sie meine Langathmigkeit! Ist’s mir doch, als ob ich aus dem Cerker in’s volle, freie Sonnenlicht träte! Ihr Sie tief verehrender Dory Ehrenfreund I Rockhgasse 4, Giro und Cassen Verein

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119 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Prag, Montag, 24. März 1890

Oesterreich. Prag. am Graben No 12 den 24. Maerz 90. Verehrter Herr F. Engels! Seit ich Ihnen meinen letzten Brief aus Canada schrieb, hat mich die unheilbare Zuckerkrankheit befallen, wohl eine Folge der ungewohnten harten koerperlichen Farmerarbeit. Ich habe mich nicht ohne Einbusse des groesseren Theiles meiner Laendereien entledigen koennen und bin mit Frau u. jetzt 3jaehrigem Knaben im vorigen Sommer nach Karlsbad gereist, dessen Wasser das einzige bekannte Verzoegerungsmittel gegen diese an sich unheilbare Krankheit ist. Den Winter bringe ich hier, in der Naehe Karlsbads, zu, u. kurz nach Ostern hoffe ich zu laengerer Kur dorthin zurückzukehren. Den folgenden Sommer werde ich wohl in der Naehe Karlsbads irgend in einer kleinen Stadt zubringen, um im Herbst oder folgenden Frühling keine weite Reise nach Karlsbad zu haben, denn dorthin muss ich für den Rest des Lebens doch jaehrlich gehen. Nachdem Fürst Bismarck gestürzt ist, würde ich mich, wenn ich nach Deutschland ginge, kaum einer Betheiligung an dem dortigen socialpolitischen Leben entziehen koennen, muss aber offen sagen, dass mir die Gesellschaft, in die ich dann nothwendig gerathen müsste, wenig zusagt: Judas Simon, Miquel, 1848 Revolutionaer, 1850 Communist, 1866 Landesverraether, 1870 Discontobank-Director u Gründer, dann Praesident einer Kirchensynode, jetzt Staatssocialist – neben Halunken von so vielseitigem Character sehe ich für mich einen passenden Platz nicht, u. so werde ich mir auch wohl diese neueste Phase von Gesellschaftsrettung aus der Ferne ansehen. Freuen würde es mich zu lesen, dass Sie rüstig in alter Weise arbeiten und viel Rothwein trinken, was am Ende unserer Tage ja aeusserst nothwendig ist – in order to keep the cold out of the heart. Es wird mich herzlich freuen, wenn Sie ein Paar Zeilen an mich wenden. Im Herbst komme ich vielleicht – wegen einiger Geschaefte mit der canadischen Vertretung in London – auf 1–2 Wochen dorthin, wenn mir Karlsbad gut gethan haben sollte, nun, dann hoffe ich Sie u. die gute Helene, die ich bestens grüsse, recht oft zu sehen! Mit herzlichem Gruss, verehrter Herr Engels, Ihr ergebenster Diener RMeyer.

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120 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 25. März 1890

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Merci pour votre lettre. Vous avez parfaitement raison le survival of the fittest, n’existe pas dans Hobbes. Mais ce qui me le fait conside´rer comme un des pre´curseurs de Darwin, c’est que c’est de la lutte de tous contre tous qu’il fait naıˆtre le contrat, la proprie´te´ et la paix civile; la lutte chez lui au lieu d’avoir pour conse´quence le de´veloppement de l’espe`ce, aboutit a` la cre´ation des institutions sociales. – Dans le manifeste communiste et la Mise`re, Marx et vous, vous montrez la double lutte qui existe dans les socie´te´s en de´veloppement: lutte de classes, reveˆtant le caracte`re politique et lutte des individus dans le sein meˆme de ces deux classes, lutte qui se produit sous la forme e´conomique. – La lutte dans l’espe`ce humaine, ne donne pas les meˆmes re´sultats que dans l’espe`ce animale, parce que les animaux ne combattent entre eux qu’avec leurs qualite´s et avantages individuels. Les Darwiniens qui ont essaye´ d’appliquer a` l’espe`ce humaine le struggle for life des animaux, n’ont pas saisi cette diffe´rence: c’est ce point que j’essaierai de de´velopper si l’Academy m’en fournit l’occasion. J’ai e´crit un mot a` Madame Crawford pour la remercier de la notice du Daily News, elle m’a re´pondu une lettre charmante, qui ne´cessite de ma part une visite: je saisirai cette occasion, si je trouve le joint, pour lui demander un mot d’introduction – pour une revue de Londres, car j’ai justement en teˆte un article qui rentre dans la discussion Huxley – Spencer. Je me suis mal explique´ si j’ai dit que la proprie´te´ avait e´te´ partout attribue´e aux femmes; j’ai voulu simplement dire, et vous serez, je crois, d’accord avec moi, que partout ou` la forme matriarcale s’e´tait maintenue, lors des premiers partages agraires, les lots e´taient assigne´s probablement par me`re de famille: c’est ce qui a lieu pour les produits de la chasse, de la peˆche et meˆme de la culture dans les tribus communistes, a` ce que dit Morgan dans son dernier ouvrage sur les Houses & house life of the American aborigines. (1881) Je n’ai pas revu la cousine germaine de Marx, ni sa fille; jusqu’ici tous nos rapports se sont borne´s a` une visite et a` des lettres ou` je lui ai donne´ des de´tails biographiques sur M. pour l’article que la fille veut e´crire. – Si j’ai occasion de la revoir, je lui demanderai si elle est la fille du rabbin: c’est la premie`re fois que j’en entends parler. Il n’est nullement e´tonnant qu’en qualite´ de preˆtre circoncis le rabbin Marx n’ait voulu entretenir aucune relation avec l’incirconcis mate´rialistesocialiste.

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120. Paul Lafargue an Engels · 25. März 1890

L’on craint fortement que les prochaines e´lections municipales de Paris n’envoient au conseil une majorite´, ou tout au moins une forte minorite´ boulangiste: aussi preˆte-t-on a` Constans l’ide´e de reculer les e´lections jusqu’en novembre, de remanier les circonscriptions, et d’introduire un scrutin de liste partiel. – La masse ouvrie`re de Paris et de la banlieue est boulangiste; pour les ouvriers le boulangisme, n’est pas Boulanger, qui a perdu son prestige, mais le parti protestataire contre le gouvernement re´publicain bourgeois qui n’a su qu’empirer la situation e´conomique. Il y a longtemps que je vous ai e´crit que le boulangisme, n’e´tait que le parti des me´contents, qui au lieu d’aller au socialisme, que les querelles et les canailleries possibilistes avait de´conside´re´, se sont mis a` la queue du cheval de Boulanger: c’est idiot, mais c’est ainsi. Quant a` l’influence russe sur les journaux de Paris, elle est absolue; l’ambassade russe fait la pluie et le beau temps dans toutes les re´dactions, ou` elle a des re´dacteurs a` titre´s. – Je crois bien que le Galli de l’Intransigeant est un agent russe place´ la` pour servir exclusivement la politique du Czar – L’Action sociale est le seul journal qui ait parle´ des infamies de Sibe´rie. He´le`ne e´pargne trop ses jambes; elle ne sort pas assez, c’est la cause de son indisposition bilieuse si commune au commencement du printemps. Amitie´s P. Lafargue

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121 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 26. März 1890

Illmo Cittadino

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Il professor Labriola, attivo socialista italiano, che mando` 50 lire al fondo elettorale della Germania, e determino` il circolo radicale di Roma ad inviare un indirizzo di simpatia, da lui redatto, ai socialisti tedeschi, al quale ha ora risposto Liebknecht con una lettera di ringraziamento, pubblicata nella stampa radicale italiana, e` quello stesso che ha contribuito molto a far annullare la sentenza di condanna contro di me, facendo valere non solo la sua elevata posizione ufficiale di professore universitario e di presidente del circolo radicale, ma determinando il giovane ed egregio avvocato, sig. Vittorio Lollini, socialista anche lui, ad assumere gratuitamente la mia difesa. Nonostante i ribaldi intrighi del ricchissimo procurator generale alla Corte d’appello di Napoli, sig.r Borgnini, che mando` a Roma a bella posta il suo segretario di gabinetto Zannini, per ottenere dalla Corte di Cassazione la definitiva conferma della mia condanna, gli sforzi di Labriola e Lollini resero evidente l’intrigo, e riuscirono ad ottenere l’annullamento della sentenza e il rinvio per la ripetizione del giudizio innanzi alla Corte d’Appello di Roma. Fu percio` che io mi permisi d’invocare da Lei, con l’ultima mia, una parola di ringraziamento ai Signori Labriola e Lollini, incitandoli a continuare la lotta pel definitivo trionfo della verita` e della giustizia, certo che la sua autorevole parola avrebbe avuto grande efficacia, al pari della prima raccomandazione di Lafargue. Sorge ora una nuova circostanza per la quale debbo rivolgermi nuovamente a Lei. Ecco di che si tratta. Io ho cercato di utilizzare il mio ozio forzato, traducendo e facendo riprodurre dai giornali socialisti di qui, qualche cosa del «Sozialdemokrat» e «Neue Zeit», ed e` tutto quello che mi permette la mia purtroppo limitata istruzione e il mio assoluto isolamento dal movimento operaio e socialista. Con non poca sorpresa ricevo ora dal professor Labriola una lettera cosı` concepita: «Scrivete per il ‹Fascio› (l’organo del partito operaio italiano) un articolo su la questione della terra libera. Bisognerebbe che scriveste per far capire agli operai italiani, come io la questione l’abbia posta e che significato abbia. E poi eccitarli

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121. Pasquale Martignetti an Engels · 26. März 1890

ad occuparsene. Far vedere che e` il caso pratico della origine della proprieta` borghese. (?) Non vedete che gli operai bisogna istruirli? Combattere il capitale in aria! (?) Fate presto – ed una cosa piana (?), ma efficace. Ritornate poi su la manifestazione del 1o maggio. A. Labriola» Per quanta buona intenzione avessi di soddisfare il desiderio del prof. Labriola, confesso che non mi sento atto a trattare l’ardua questione della terra libera, e percio` mi rivolgo a Lei, perche´ voglia avere la bonta` di assistermi col suo saggio consiglio nella difficile situazione in cui mi trovo. E perche´ Ella possa vedere di che si tratta, Le rimetto con lo stesso corriere, il numero del «Messaggero», mandatomi dallo stesso Labriola, contenente l’articolo intitolato «La terra a chi la lavora». Voglia perdonarmi le continue seccature, e credermi con la piu` sentita stima Benevento 26.3.90. Devmo Servitore Pasquale Martignetti.

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122 Friedrich Engels an Antonio Labriola in Rom London, Sonntag, 30. März 1890 (Entwurf)

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London 30 März 90. Labriola. Sehr geehrter Hr Prof. – Erlauben Sie mir Ihnen meinen Dank auszusprechen für die mir gütigst übersandten Broschüren. Die erste: Del Socialismo, habe ich mit großem Interesse gelesen, die zweite, über Geschichtsphilosophie, werde ich nächste Woche, wo ich etwas Ruhe zu haben hoffe, sorgfältig durchnehmen. Es ist dies ein Thema wofür Marx & ich von jeher uns besonders interessirten; ein neuer Beitrag aus dem Vaterland Vico’s & von einem Gelehrten der auch in unsern deutschen Philosophen bewandert ist, hat auf meine vollste Aufmerksamkeit Anspruch. Ich bin so frei Ihnen dagegen meine kleine Schrift über Feuerbach zuzusenden. Mein Dank ist Ihnen ebenfalls geschuldet für Ihre freundlichen Bemühungen im Interesse von P. Martignetti, die erfreulicher Weise bereits von einem ersten großen Erfolg gekrönt worden. Ich bin seit 1884 mit Hrn M. in Korrespondenz & habe die moralische Überzeugung daß er an den ihm zu Last gelegten Thathandlungen unschuldig & Opfer einer gemeinen Intrigue geworden ist. Bitte sprechen Sie auch gelegentlich Herrn Avvocato Lollini, meinen ergebensten Dank aus für seine bereitwillige, ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ & erfolgreiche Vertheidigung Martignettis. Hoffentlich gelingt talentvolle es Ihrer beiderseitigen großmüthigen Dazwischenkunft ihn vor unverdientem Schimpf & Ruin zu schützen. Verzeihen Sie daß ich deutsch an Sie schreibe. Aber mein Bischen Übung in der Handhabung Ihrer schönen Sprache ist leider in den letzten Jahren arg eingerostet, & da wage ich es nicht, vor einem Meister der Sprache italienisch zu radebrechen. Hochachtungsvoll Ihr ergebner F. E.

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123 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Sonntag, 30. März 1890

London 30 März 90. Lieber Freund Hierbei den gewünschten Brief an Labriola. Was seine terra libera angeht, so ist es in der That die höchste Zumuthung, die man an die heutige italienische Regierung stellen kann, dass sie das Grundeigenthum an kleine Bauern zur Selbstbebauung, und nicht an Monopolisten, einzelne oder Compagnien, in den Colonien austheilt. Die kleine Bauernwirthschaft ist der naturgemässe und beste Zustand der heute von Bourgeois-Regierungen gegründeten Kolonien, worüber Marx Capital, I. Band, letztes Kapitel, Moderne Kolonisirung zu vergleichen. Wir Sozialisten können also mit gutem Gewissen die Einführung der Kleinbauern-Wirthschaft in bereits gegründeten Colonien unterstützen. Ob das aber durchgeführt wird ist eine andre Frage. Alle heutigen Regierungen sind den Financiers und der Börse viel zu sehr verkauft und unterthan, als dass nicht auch die Finanzspekulanten sich der Kolonien zu ihrer Ausbeutung bemächtigen sollten, und das wird auch wohl mit Eritrea geschehn. Aber dagegen ankämpfen kann man darum doch, auch unter der Form dass man verlangt die Regierung soll den auswandernden italienischen Bauern dort dieselben Vortheile sichern die sie in Buenos Aires suchen und grossentheils finden. Ob Labriola mit seiner Forderung auch noch weitere Ansprüche verbindet: Staatskredit für Auswanderer nach Eritrea, Cooperativgenossenschaftliche Ansiedlung &sw. kann ich aus dem Artikel des Messaggero nicht ausfinden. Zur Revision der Übersetzung von Lohnarbeit & Kapital habe ich leider augenblicklich gar keine Zeit, ich habe einige dringende Arbeiten machen müssen und muss jetzt sofort wieder an Band III Kapital, ehe die Ereignisse in Deutschland revolutionär werden, was sehr möglich ist. Ihr aufrichtiger F. Engels

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124 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Montag, 31. März 1890

Dr. Pl. den 31.3.90. Lieber Engels!

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Im Begriffe morgen mit meiner Frau auf 10–12 Tage nach Zürich zu reisen, will ich vor allen Dingen noch Deinen Brief vom 19 d. beantworten. Ich stimme ganz mit Dir überein, daß wir in Deutschland uns in einer Lage befinden, welche die größte Umsicht und Geschicklichkeit unsrerseits erfordert. Aus diesem Grunde haben wir auch alle Ursache, bei der Demonstration am 1 Mai die Massen in Schranken zu halten damit es zu keinen Conflikten kommt. Ließen wir jetzt den Leuten die Zügel schießen solche Conflikte wären unausbleiblich, denn die Wahlen haben den weniger geschulten Massen die Köpfe verdreht und sie glauben blos wollen zu müßen um alles durchsetzen zu können. Klagen doch sogar Leute, die wahrhaftig nicht im Geruch der Ängstlichkeit und Uebervorsicht stehen, daß sie die Massen kaum noch zügeln könnten. Da nun der Geschäftsgang im Großen und Ganzen noch ein solcher ist der Nachfrage nach Arbeitern erzeugt, ist das Streikfieber allgemein u. eine möglichst lärmende Demonstration am 1 Mai wäre grade recht um Arbeitseinstellungen in ungeahnten Dimensionen herbeizuführen. Der Conflikt mit den Berlinern kam daher ganz recht um etwas Oel auf die hochgehenden Wogen zu gießen. Ernstere Folgen hat dieser Conflikt nicht, da auch die Berliner einsehen daß sie etwas zu weit gingen. Die gestrige „Volkszeit.“ hatte ganz recht als sie schrieb daß der 20 Februar eine Demonstration der deutschen Arbeiter gewesen sei wie sie großartiger nicht gedacht werden könnte. Dennoch werden wir unsere Schuldigkeit am 1 Mai zu thun suchen. Die Fraktion wird wenn der Reichstag nicht in Bälde einberufen wird am 13 April zusammenkommen und Beschluß faßen. Auf das was die nächste Zeit bringt darf man sehr gespannt sein. Sicher ist die Ausnahmegesetzgebung fällt, man wird auch ein wenig in Arbeiterschutz machen, aber auf der andern Seite wird das System erst recht zu seiner höchsten Blüthe steigen, indem es auf militärischem und verwandtem Gebiete Forderungen stellt, die früheres noch überbieten. Wir unsrerseits sind gezwungen dem nicht nur entgegenzutreten, sondern durch Formulirung von Anträgen die entgegengesetzten Forderungen zu stellen. Damit wird die Situation bald klar werden und der Moment kommen in dem man auf jener Seite begreift, daß es auch auf dem neuen Wege nicht geht. Dann könnte das eintreten was Du andeutest. Damit das aber nicht möglich ist müßen

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124. August Bebel an Engels · 31. März 1890

wir so operiren daß alles was wir auf politischem Gebiete fordern der Sympathie der bürgerlichen Kreise sicher ist. Auf dieser Seite werden wir um so mehr gewinnen als anzunehmen ist, daß unsere Freisinnigen sich lebhaft bemühen werden regierungsfähig zu erscheinen und dann den Erwartungen ihrer Wähler in keiner Weise entsprechen. Kurz die Dinge liegen so, daß wir jeden Schritt genau zu überlegen haben und daß wir, ohne in schwächlichen Opportunismus zu fallen oder den Schein als dächten wir zu paktiren, auf uns zu laden, mäßig in der Form, aber fest in der Sache doch graden Weges auf unser Ziel lossteuern. Die Hauptsache wird sein daß wir unsere Leute im Reichstag bestimmen in diesem Sinne zu reden u. zu handeln und ich hoffe daß dies ohne große Mühe gelingen wird. Später gelegentlich mehr. Mit den besten Grüßen Dein A. Bebel.

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125 Ausschuß des Österreichischen Studentenvereins an Friedrich Engels in London Wien, April 1890

Oesterreichischer Studentenverein an den Wiener Hochschulen. Einladung Für Herrn Friedrich Engels. zu der Samstag, 26. April,

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im Galeriesaale des Hotels „Zum Goldenen Kreuz“ VI., Mariahilferstrasse Nr. 99 stattfindenden II. Gründungs-Feier. Anfang halb 8 Uhr.

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Wien, im April 1890.

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126 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Dienstag, 1. April 1890

London 1 April 1890. Lieber Kautsky Ich erhalte soeben den russ. Sozialdemokraten & lese meinen Artikel unter Vergleichung der „N. Z.“. Da finde ich denn daß Herr Dietz die Unverschämtheit gehabt hat, diverse Stellen, die er nicht einmal rot angestrichen hatte, zu ändern, ohne uns zu fragen. Keine einzige der Stellen ist strafgesetzlich faßbar noch sozialistengesetzlich anstößig, sie waren aber für das Philistergemüth zu stark. Ich habe mich doch so loyal wie möglich benommen, ihm die Ungefährlich-Machung des Artikels so sehr erleichtert, wie man nur kann. Aber eine solche Censur hinter meinem Rücken lasse ich mir von keinem Verleger gefallen. Ich schreibe also an Dietz und verbiete ihm ausdrücklich ˙˙ ˙ ˙von mir revidirten Korrektur den Restartikel anders als wie er in der steht, abzudrucken, & zwar wörtlich. Was ich sonst thun werde, das wird sich finden. Jedenfalls aber macht der Herr Dietz es mir unmöglich, fernerhin an einer Zeitschrift mitzuarbeiten wo man solcher Behandlung ausgesetzt ist. Dein F. Engels

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127 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Dienstag, 1. April 1890

London 1 April 1890 Herrn J. H. W. Dietz in Stuttgart

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Ich sehe soeben daß Sie sich erlaubt haben ohne meine oder der Redaktion Einwilligung verschiedne Änderungen in meinem Art. über russ. Politik vorzunehmen; Änderungen die weder strafgesetzlich noch sozialistengesetzlich in irgend einer Weise geboten waren. Ich habe mich Ihnen gegenüber in dieser Sache so loyal wie möglich benommen. Ich habe Kautsky gebeten bei der Korrektur alle anstößig scheinenden Stellen durch Sie anstreichen zu lassen; ich habe dann viele der angestrichnen Stellen geändert & Sie bitten lassen, sollten Ihnen fernere Änderungen räthlich erscheinen, uns dies mit Angabe der Gründe mitzutheilen. Da weitere Reklamationen nicht erfolgten, mußte ich auf unveränderten Abdruck rechnen. Statt dessen ändern Sie Stellen die Sie nicht einmal angestrichen hatten. Da ich nicht gewohnt bin mir dergleichen von Verlegern bieten zu lassen, verbiete ich Ihnen hiermit den Abdruck des Restartikels es sei denn, wörtlich wie die von mir geänderte Korrektur, und behalte mir alle sonstigen mir gut dünkenden Schritte vor. Es versteht sich von selbst daß ich mich in Zukunft hüten werde wieder für eine Zeitschrift zu schreiben wo man Derartigem ausgesetzt ist. Ergebenst F. Engels

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128 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Dienstag, 1. April 1890

1.4.90 Pankow bei Berlin Wollankstr. 19 Lieber Engels! Sie schrieben neulich, ich sollte doch sehen, ob ich nicht, wenn hier in Berlin genügend Verbindungen mit der Presse angeknüpft wären, englische Korrespondenzen erhalten und daraufhin nach dem öconomischen Zentralpunkt London zurückkehren könnte. Ich hätte wohl große Lust dazu, besonders da sich dort der Verkehr mit Ihnen, dem ich schon jetzt so sehr viel verdanke, wieder erneuern würde. Doch hat es, wie ich Ihnen schrieb, mit den Korrespondenzen seine große Schwierigkeit, und ich dachte deßhalb einstweilen gar nicht an die Verwirklichung des Planes. Nun traf ich aber neulich mit dem Herausgeber des Archivs Braun zusammen, der, weil er fürchtet, ich käme hier zu sehr aus dem öconomischen Hauptfahrwasser heraus, den Umsiedlungsgedanken von neuem in mir anregte. Wir rech neten die Summe zusammen, die ich schon jetzt auch ohne ständige Korrespondenzen von England aus verdienen könnte, und kamen dabei auf ein Minimum von 1500 m. jährlich, das sich aus Beiträgen für Brauns Archiv, die Neue Zeit, die Sonntagsbeilage der Vossischen Zeitung, das Feuilleton der Frankfurter Zeitung und die Volkstribüne zusammensetzen würde. Ich könnte also trotz alledem, da ich von Hause wohl auch noch Zuschuß erhalten würde, mich in London, wenn auch natürlich schwieriger als in Berlin, durchschlagen. Eine Hauptfrage wäre für mich bei dem Umsiedlungsplane, ob ich bei der Herausgabe des Marxschen Nachlasses (außer dem Bd. III liegt ja auch noch verschiedenes Anderes vor) Ihnen mit meiner Arbeit, in welcher Art auch immer, dienen könnte. Braun bot mir an, dieserhalb an Sie zu schreiben, aber es ist doch einfacher und besser, ich wende mich an Sie direkt. Sie werden mir ja ohne Umschweife antworten, ob Sie Handlangerdienste brauchen können, und ob Sie, wenn das der Fall, nicht anderweitig schon genugsam versorgt sind. Könnte ich auf eine solche Nebenbeschäftigung neben der journalistischen rechnen, so würde ich mich sofort an meine Eltern wenden und ihnen meine Reiseabsichten, die sie, wie ich hoffe, billigen werden, auseinandersetzen. Mein Bündel wäre dann geschnürt. – Für die Zusendung Ihres Aufsatzes, der mich sehr interessirt hat, meinen besten Dank! Wer hätte gedacht, daß Bismark je so hätte gestürzt werden können von einem jungen Monarchen, der vollständig unter seinem Einflusse aufge wach-

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128. Conrad Schmidt an Engels · 1. April 1890

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sen ist. Herr Wilhelm liebt in seiner Politik die sensationellen Ueberraschungen. Zu seiner Popularität wird das nicht beitragen. Der tertius gaudens dürfte in diesem Streite die entschiedene Opposition sein. Gestern erhielt ich einen mir sehr angenehmen Besuch. Ein Studiosus Stieren aus Königsberg, Nationalöconom, der ganz auf eigene Faust zu Marx gekommen ist und schon früher an mich geschrieben hatte, sprach bei mir an. Er geht nach der Schweiz, um dort den Doctor zu machen. Der Eindruck, den er machte, war ein sehr vortheilhafter. Er scheint eine ordentliche Portion theoretischen Interesses und Beanlagung zu besitzen. Mir selbst geht es ziemlich in alter Weise. Dies und das ist angefangen, aber vorläufig fehlt noch die Concentration. Man muß sich erst wieder tiefer in einen Gegenstand hineingearbeitet haben. Herzlich grüßend Der Ihrige Conrad Schmidt.

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129 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, vor Donnerstag, 3. April 1890

Beldinsky maison Favre Mornex Haute Savoie. Ve´ne´re´ citoyen, Vous m’avez e´crit dans Votre dernie`re lettre, que le N III de Votre article: «Die ausw. Polit.» est fait et que Vous nous enverrez les e´preuves. Si Vous n’avez rien contre, nous avons l’intention de publier l’article II et III ensemble dans le second livre de notre revue. Vous avez remarque´ peut-eˆtre dans notre livre (je n’e´tais pas suˆre de Votre adresse et c’est Stepniak que j’ai prie´ de Vous le remettre) que tous les articles sont finis. Ce sont les conditions du transport des livres en Russie qui exige cela. Une fois, le gros de l’e´dition parvient a` Petersbourg et les lecteurs a` Kiev par exemple rec¸oivent a` peine 2 ou 3 livres. Une autre fois au contraire le transport est plus facile au sud et alors c’est Petersbourg qui est fourni bien ˙ ˆ˙re ˙ ˙ que ˙ maigrement. Par consequent on ne peut jamais eˆtre su le lecteur du premier N pourra se procurer le second et re´ciproquement. C’est pour cela que nous de´sirons re´unir les NN II et III de Votre article dans le meˆme livre. Si Vous consentez veuillez bien m’envoyer l’article III pour le traduire. Votre supposition, que les pre´juge´s de nos lecteurs seront choque´s par votre article, est bien fonde´e. Ils le sont. Et pourtant vos articles ne pourront nullement nuire a` notre propagande. Tout au contraire. En ge´ne´ral nous ne pouvons faire la moindre propagande sans commencer par faˆcher nos lecteurs. La masse de notre интеллигенція est imbue du народничество – des ide´es de notre litte´rature slavophile-de´mocratique (genre Michaı¨lovsky, Tichomiroff avant sa me´tamorphose etc.). Nos ide´es sont le contraire des leurs. Cela n’empeˆche pas (cela aide peuteˆtre) que c’est nous qu’on lit le plus. Chaque publication que nous faisons soule`ve toute une masse des cris, des discussions, des re´unions et des discours. La plus part de nos jeunes amis, de nos compagnons, et des meilleurs, ont commence´s par e´tudier dans l’intention de re´futer nos arguments et ont finis par accepter nos ide´es. Le seul moyen pour nous de faire la propagande c’est de choquer les pre´juge´s de nos lecteurs. Votre article n’en manquera pas. Mais, je suis suˆre, cela ne fera que du bien aux lecteurs d’eˆtre choque´s une bonne fois de plus. ˙ Nous serons toujours tre`s heureux de publier tout ce que Vous aurez la bonte´ de nous envoyer. Votre toute de´voue´e V. Sassoulitch.

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130 Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ in Mornex London, Donnerstag, 3. April 1890

Londres le 3 avril 90 Tre`s che`re citoyenne

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Aussitoˆt rec¸u votre lettre, j’ai remis a` Stepniak le restant de l’article (une e´preuve) et comme une partie e´tait un peu abıˆme´e, j’ai ajoute´ le MS correspondant pour vous servir de controˆle. J’espe`re qu’en ce moment vous l’aurez de´ja` rec¸u. Stepniak m’a aussi remis une exemplaire de la revue dont je vous remercie; je me promets beaucoup de plaisir de la lecture de votre article et de ceux de Plechanow. Vous avez parfaitement raison; pour une publication semblable il faut que chaque nume´ro ne contienne que des articles dont chacun fait un tout, inde´pendant de n’importe quelle continuation dans un nume´ro suivant. Aussi, j’aurais agi de cette sorte, si je n’avais pas e´te´ presse´ pour le temps. Je suis entie`rement d’accord avec vous sur la ne´cessite´ de combattre partout le народничество – allemand, franc¸ais, anglais ou russe. Cela n’empeˆche pas que dans mon opinion il euˆt e´te´ plus convenable que les choses qu’il m’a fallu dire, eussent e´te´ dites par un Russe. Du reste je conviens que par exemple la partition de la Pologne a un tout autre aspect du point de vue russe que du point de vue polonais qui est devenu celui des occidentaux. Mais apre`s tout je dois des e´gards aux Polonais e´galement. Si les Polonais re´clament des territoires que les Russes, ge´ne´ralement, conside`rent comme a` eux acquis a` tout jamais et comme russes par nationalite´, ce n’est pas a` moi de de´cider. Tout ce que je puis dire c’est que, a` ce qu’il me semble, il appartiendra aux populations en question de de´cider eux-meˆmes de leur sort, tout comme entre l’Allemagne & la France, les Alsaciens devront choisir eux-meˆmes. Malheureusement en e´crivant sur la diplomatie russe & son action sur l’Europe, il m’a e´te´ impossible de ne pas parler de choses que la ge´ne´ration actuelle en Russie regarde comme des внутренные дѣла; et l’inconvenance, du moins apparente, consiste en ceci que c’est un e´tranger, au lieu d’un Russe, qui en parle de la sorte. Mais cela e´tait ine´vitable.

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130. Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ · 3. April 1890

Si vous croyez utile de faire une petite note en mon nom, et dans ce sens, je vous prie de la faire la` ou` vous croirez la meilleure place. J’espe`re que la publication de mon article en anglais aura un certain effet. En ce moment, la foi des libe´raux en l’ardeur libe´ratrice du Tsar est fortement e´branle´e p[ar] les nouvelles de Sibe´rie, par le livre de Kennan, et par les derniers mouvements universitaires en Russie. C’est pourquoi j’ai presse´ la publication, pour forger le fer tant qu’il est chaud. La diplomatie de Pe´tersbourg a compte´ sur l’ave`nement de Gladstone le tsarophile, l’admirateur de la «divine figure of the North» comme il appelait A. III, pour sa prochaine campagne en Orient. Les Cre´tois et les Arme´niens e´taient lance´s, une diversion en Mace´doine aurait pu suivre; avec la France esclave du Tsar et l’Angleterre bienveillante, on aurait pu peut-eˆtre risquer un nouveau pas en avant, et meˆme, s’emparer de Tsare´grad sans que l’Allemagne ait risque´ une guerre dans des circonstances si de´favorables. Et Tsare´grad une fois conquise, on pouvait espe´rer une longue pe´riode d’ivresse chauviniste comme nous l’avons eue en Allemagne depuis 1866 & 1870. C’est pourquoi le mouvement anti-tsarien qui recommence parmi les libe´raux anglais, me paraıˆt tre`s important pour notre cause; il est tre`s heureux que Stepniak soit ici et en mesure de la ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ chauffer. Depuis qu’il y a un mouvement re´volution naire en Russie meˆme, rien ne re´ussit plus a` cette diplomatie, autrefois invincible. Et c’est tre`s bien comme cela, car cette diplomatie est notre ennemie la plus dangereuse, a` vous comme a` nous. C’est la seule force jusqu’a` pre´sent ine´branlable en Russie, ou` l’arme´e elle-meˆme e´chappe au Czar, te´moins les nombreuses arrestations d’officiers, qui prouvent que les officiers russes, comme intelligence ge´ne´rale, et comme caracte`re, valent infiniment mieux que les prussiens. Et de`s que vous aurez des partisans et des agents fide`les dans les rangs de la diplomatie – vous ou simplement les constitutionnels – vous avez cause gagne´e. Amitie´s a` Plechanoff Votre tre`s de´voue´ F. Engels.

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131 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Donnerstag, 3. April 1890

3/4 1890 Lieber Engels,

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unmittelbar vor meiner Abreise machte mich Ede auf zwei Aenderungen in Deinem Artikel aufmerksam, die mich höchst unangenehm überraschten: Geradezu wüthend wurde ich aber heute morgens, als ich in Folge Deines angelangten Briefes in die Korrektur Einsicht nahm und da erst den Umfang der eigenmächtigen Aenderungen übersah. Ebenso wüthend wie ich und Du ist aber auch Dietz. Die Aenderungen hat nämlich in seiner Abwesenheit und ohne sein Wissen Blos vorgenommen, der seine Stellvertretung übernommen hatte. Es war während der Agitation für die Stichwahlen. Dietz mußte fort und es war Niemand da als Blos, der ihn ersetzen konnte. Der Restartikel ist unverändert abgedruckt. Dieß zur Erklärung. Es fragt sich jetzt was thun, um die Sache zu repariren. Dietz ist selbstverständlich bereit, Alles zu thun, was dießbezüglich gethan werden kann. Er macht folgenden Vorschlag: Er druckt den ersten Artikel noch einmal in der alten Form, wie er vor den Blosschen „Korrekturen“ ausgesehn und veröffentlicht ihn mit dem Rest zusammen (der bereits gedruckt ist) im Maiheft. Wir machen eine Note dazu, die Du, wenn Du willst, selbst stylisiren kannst des Inhalts, daß in den Abdruck im Aprilheft sich durch ein Mißverständniß einige Irrthümer oder Abweichungen vom Original eingeschlichen haben deren einzelne Aufzählung unthunlich sei, so daß wir es vorziehn, den Artikel in der Originalform nochmals zu bringen. Ich schreibe in aller Eile unter dem ersten Eindruck Deines Briefes neben Dietz, der die Sache erörtert. Da fällt mir im Augenblick die richtige Stylisirung nicht ein. Dietz hat den Artikel I u. II erst gedruckt gelesen; er erhielt das Manuskript in der Hitze des Wahlkampfes, wo er den Kopf übervoll mit Agitations etc. Sachen hatte. Sonst hätte er Aenderungsvorschläge gemacht. Da er jetzt, wie gesagt, I u. II nochmals drucken will, bittet er Dich, einige Stellen die er roth angestrichen, zu mildern. Die blau angestrichenen Stellen werden in der ursprünglichen Form gebracht. Ich sende die Korrektur mit und bitte Dich, sie umgehend zu erledigen. Die 10 Seiten werden in das Heft eingeklebt und wir warten mit dessen Ausgabe, bis dieselben fertig. Ich hoffe, dieses Arrangement bietet so weit als möglich eine genügende Reparatur, und überzeugt Dich davon, daß Seitens Dietz keine Mißachtung oder

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131. Karl Kautsky an Engels · 3. April 1890

Gedankenlosigkeit vorlag. Es soll auch dafür gesorgt werden, daß dergleichen nicht wieder vorkommt. Über die dießbezüglichen Absichten von Dietz schreibe ich von Wien aus. Heute erledige ich nur das Dringendste: Hoffentlich wird Dein Verhältniß zur N. Z. durch das Vorkommniß nicht berührt. Nur der Umstand, daß die Wahlen und Stichwahlen Dietz fast 4 Wochen lang ununterbrochen von Stuttgart fern hielten und kein anderer Ersatzmann da war, veranlaßten ihn, das Aprilheft der Obhut von Blos anzuvertrauen. Jetzt will er Blos nicht kompromittiren und daher dessen Sünden auf sich nehmen. Ich halte das für überflüssig, hoffe aber, daß das oben vorgeschlagene Arrangement eine Erörterung der Angelegenheit in der Öffentlichkeit nicht nothwendig macht. Dietz selbst hatte keine Ahnung von den Korrekturen des Blos und war höchst unangenehm überrascht, als er heute den Korrekturbogen ansah. Wie peinlich die Angelegenheit mich berührte, kannst Du Dir denken. Hoffentlich genügt die Reparatur. Es grüßt Dich, Schorlemeyer, Nimm und Avelings aufs Beste Euer Baron N. B. Dietz meint nicht, daß die roth angestrichenen Stellen direkt Anlaß zu einem Verbot geben könnten, wohl aber indirekt. Der Teufel hole die Selbstzensur. Noch eins. In Nr. III (Schluß) bittet Dich Dietz, auch die roth angestrichene Stelle zu ändern. Er besteht nicht darauf, druckt sie auch so wie ist, fürchtet aber, man werde diese Stelle als versteckte Drohung auffassen. Er läßt diese Seite noch einmal drucken und ebenfalls einkleben. Diese Stelle kann also noch geändert werden.

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132 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Donnerstag, 3. April 1890

Roma den 3ten April ’90. (Ripresa de’ Barberi 16) Geehrter Herr und Genosse! 5

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Ich sage Ihnen meinen besten Dank für die freundliche Uebersendung der neuen und theilweise wiederbearbeiteten Auflage Ihrer interessanten Schrift über Feuerbach, die ich schon in der „Neuen Zeit“ gelesen hatte. Ich erlaube mir diese Zeilen, die ich als Ausdruck meiner Verehrung für Sie ohne Versäumniss sende, in Ihrer Sprache selbst zu schreiben, damit Sie sehen dass ich, so weit es einem Fremden möglich ist, in der deutschen Bildung mich eingelebt habe. Sehr Wenigen meiner Landsleuten ist es einleuchtend, wie einer der lange Jahre hindurch mit der abstrakten Philosophie sich abgemüht hat, gerade durch die Philosophie selbst zum Socialismus sich langsam bekehrt habe, und nachher an die praktische Propaganda sich thätig betheilige. Da Sie nicht nur die ganze moderne Bildung in Ihrem Geiste beherrschen, sondern in einer so verdienstvollen Weise direkt zu der Entwickelung der neuen socialen Ideen beigetragen haben, werden Sie ja nicht unnatürlich finden, dass einer Gelehrte, aus der Höhe der Kant’sche Moralphilosophie, durch Hegel’s Geschichtsphilosophie und Herbart’sche Völkerpsychologie zu der Ueberzeugung gelange, den Socialismus als eigenen Beruf vor dem Publikum zu vertreten. Ich habe in meiner Jugend die neapolitanische Nachblüthe des Hegelianismus erlebt. Lange war ich zwischen Sprachwissenschaft und Philosophie getheilt. Als ich nach Rom als Professor kam war ich ein unbewusster Socialist, und aus nur abstrakten Motiven ein ausgesprochener Gegner des Individualismus. Nachher studirte ich Staatsrecht, Ver waltungslehre und Volkswirtschaft, und zwischen 1879–80 war ich schon fast entschieden in der socialistischen Auffassung; doch immer mehr aus allgemeiner Geschichtsanschauung als aus innerem Drange einer persönlich thätiger Ueberzeugung. Eine langsame und fortwährende Annäherung an die wirkliche Probleme des Lebens, der Ekel an der politischen Corruption, der Umgang mit den Arbeitern haben dann allmählig den wissenschaftlichen Socialisten in abstracto zu einem wirklichen Socialdemokraten gemacht. In meiner Lage, und in den italienischen Verhältnissen, ist so eine Art Thätigkeit weder gefahrlos noch aussichtsvoll!

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132. Antonio Labriola an Engels · 3. April 1890

Vor vier Jahre brachte ich für das erste Mal die Lehre des Socialismus auf dem Lehrstuhl der Königlichen Universität, und die Sache ging, fast wie unbemerkt. Ganz anders aber war es im vorigem Jahre, da ich Vorlesungen über die französische Revolution in rednerischem Gewande vor einem grossem Publikum hielt. Damals war ich in der Bewegung für den Frieden verwickelt, und hatte ich öffentliche Reden gegen Crispi, gegen Bismarck und gegen den lieben deutschen Kaiser gehalten. Die Studenten liessen sich einflüstern ich hätte an die Arbeiterunruhen vom Februar vr Jahres theilgenommen und kamen schaarweise zu der Universität um mich auszupfeifen. Meine Vorlesungen blieben zwei Monate lang suspendirt; und jetzt bin ich zu dem trockenen akademischen Ton zurückgekommen. Mein zahlreiches Auditorium ist verschwunden, so wie mein süsser Traum verschwunden ist, die akade mische Jugend für die Interesse des Proletariats zu gewinnen. Liberalen und Radikalen sind sehr muthig gegen unbewaffnete Pfaffen und gegen schwache constitutionelle Monarchen; sie träumen so gerne von Giordano Bruno Bruno in den Freimaurerlogen: – nur das Eigenthum ist für sie heilig, ˙ nur bürgerliche Minister, die Bank und der Militarismus sind für sie unverletzbar! Ich werde Ihnen innigst dankbar sein wenn Sie mal meine Vorlesung etc ... lesen werden. Das ist wie ein Pro gramm eines Buches, in knapper und formelhafter Weise. Alle meine wissenschaftliche Schriften stehen Ihnen zur Disposition, wenn Sie daran Interesse haben. Leider ist meine agitatorische Thätigkeit der letzten Jahre in Zeitungreferate verloren gegangen, da ich so gerne ex-tempore spreche. Ich wünsche Ihnen aus ganzem Herzen nächste und weitere Triumphe der deutschen Socialdemokratie, dieser grossen, neuen und aussichtvollen Völkererzieherin, die in vielen Stücken Ihre Schülerin gewesen ist. Mit Hochachtung und mit dem Gruss der Liebe Ihr ergebener Antonio Labriola.

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133 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 3. April 1890

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Lieber Engels ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Bitte mir umgehend pr. Karte mitzutheilen, ob Du den „Nationalist“ regelmäßig erhältst, da ich die Abonnements erneuern will. Nächstens wird’s wohl Änderungen in der Redaktion der N. Y. Volksztg ge˙˙ ben. Hoffentlich befindest Du Dich wohl u. schreibst bald Deinem F. A. S. Hoboken, N. J. 3. April 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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134 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Freitag, 4. April 1890

In aller Eile. Sende Time mit Art. von mir. Warne vor dem deutschen Abdruck in der Neuen Zeit, der schmählich gefälscht. Wird im Maiheft richtig wieder abgedruckt, bitte Schlüter zu benachrichtigen, damit nicht ˙ ˙ ˙ ˙V. Z. oder sonst benutzt wird. In etwa der gefälschte Abdruck dort in˙der Deutschland gehts lustig der debaˆcle hat angefangen, & Wilhelmchen wird schon sorgen daß er nicht wieder zum Stillstand kommt. Schorlem˙˙ mer ist hier & läßt Dich & Deine Frau herzlich grüßen, ich schließe˙ ˙mich ˙ ˙˙ an.

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4/4/90 F. A. Sorge, Esq Hoboken N. J. U. S. America.

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135 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Freitag, 4. April 1890

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La ringrazio distintamente di avere con la solita bonta` annuito alle mie preghiere: di indirizzare la sua autorevole ed efficace parola di ringraziamento e d’incitamento ai signori Labriola e Lollini; e di illuminarmi sulla questione della terra libera. Nel trasmettere la di Lei gentilissima lettera al prof. Labriola, avendogli comunicato che Ella approvava la sua proposta per l’ordinamento della colonia Eritrea, e poiche´ la medesima sta ora sollevando molta discussione pro e contra nella stampa italiana, mi ha interessato di far pubblico il suo autorevole avviso. Mi sono percio` permesso di mandare alla redazione del «Cuore e Critica» la traduzione della parte della sua lettera relativa alla colonia Eritrea. Non ho saputo negarmi alla domanda del prof. Labriola e spero di non avere la di Lei disapprovazione. Il prof. Labriola, perseguitato anche lui, per la sua attivita` socialista – egli fu accusato di complicita` morale nei fatti dell’8 febbraio e fischiato dagli studenti aveva l’anno passato perduta la cattedra, che riebbe dopo due mesi di sospensione – non solo e` intervenuto energicamente in difesa della mia persona e ha ottenuto l’annullamento della sentenza, ma si occupa anche per trovarmi qualche occupazione e per salvarmi dalla miseria economica nella quale mi ha immerso l’assoluta impossibilita` di trovare qualsiasi lavoro per quanto ingrato e derisoriamente fosse retribuito. Voglia quindi perdonarmi la liberta` che mi son presa, e scusarmi del disturbo che cosı` spesso oso recarle. E affettuosamente ossequiandola rimango con la piu` sentita stima Benevento 4.4.90. Devmo Servitore Pasquale Martignetti

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136 Friedrich Engels an Gerson Trier in Kopenhagen London, zwischen Freitag, 4. und Montag, 14. April 1890

Jeg sender Dem »Time« for 9. April med en artikel af mig – slutningen følger i Maj-numret – og advarer Dem og derværende venner mod det forfalskede aftryk i det tyske sprog i »Die neue Zeit« (April). Artiklen vil blive rigtig aftrykt i Majhæftet af »Die neue Zeit«, for sa˚ vidt som tyske forhold tillader det. Deres Fr. E.

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137 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, nach Samstag, 5. April 1890

Beldinsky m. Favre Mornex. Haute Savoie.

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Ve´ne´re citoyen, j’ai rec¸u la fin de Votre article et je le traduis. Nous l’avons lu avec Plekhanoff et nous ne croyons pas qu’il soit ne´cessaire de faire la note dont Vous parlez. La question des provinces de la Petite Russie et de la Russie Blanche Vous ne la touchez qu’en passant et pour le reste le contenu de l’article explique lui-meˆme trop bien pourquoi un e´tranger peut et doit s’inte´resser a` ces questions. Maintenant je ne puis m’empeˆcher de Vous parler d’une autre affaire: de l’at˙ taque contre nous inse´re´e dans le N 14 du Socdemokrat. Nous sommes bien pe´niblement impressione´ de voir cet article dans l’organe estime´ de la Dem. Soc. de l’Allemagne. Si encore s’e´tait un article consciencieux ayant quelques sens commun, mais il est compte´ uniquement sur l’ignorance du public allemand sur les affaires russes. Jamais M. Beck n’oserai e´crir rien de semblable en russes. Dans les publications russes de toutes les couleurs (je pourrai faire des citations sans fin) n’e´tant d’accord sur rien autre, on est bien comple`tement d’accord pour dire que le mouvement de l’«intelligenten Jugend der 80er Jahre» n’est rien en comparaison de ce qu’il e´tait 10 ans, 15 ans auparavant. C’est vrai que maintenant «in 80er Jahre» les e´tudiants russes (nos compagnons e´xcepte´) ne font pas de la propagande et ne sont pas par conse´quent «kulturträgerisch» (pas revolutionnaire en langage de Beck) comme e´tait pour lui les D. Soc. du monde entier, re´cement du moins, a` Zürich ou` il e´tait anarchiste. C’est vrai aussi que maintenant on parle 1000 fois plus des assassinats et de la dinamite en faisant les e´tudes dans les universite´s de Suisse et de Paris ou` M. Beck a commence´ et poursuit sa carrie`re re´volutionnaire, mais depuis le commencement de 1882 (l’exe´cution de Strelnikoff par Gelvakoff et l’ouvrier Haltourine) personne en Russie n’a e´te´ tue´ par les re´volutionnaires et il n’y avait pas un attentat ou` la vie du Tzar ait courue le moindre danger. En langue russe M. Beck n’aurait pas dit que «es wird schwer zu zeigen wo und wann den Arbeitern der Rath ertheilt worden war, auf die intelligenten Jugend als Ganzes zu rechnen». Ce conseil n’a pas e´te´ donne´ directement aux travailleurs et pour cause: depuis 1881, excepte´ nous et quelques groupes en Russie qui partageaient nos ide´es, aucun re´volutionnair n’a rien e´crit pour les travailleurs, ne leurs a donne´ aucun conseil. Mais en bonne compagnie, dans la

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litte´rature pour l’интеллигенція c’est justement la the`me pre´fe´re´e et presque unique. Par embarras de richesse c’est difficile de le prouver par citations. Pour ne parler que des derniers temps, dans les anne´es 1888–89 il paraissait plusieurs journaux en Suisse. «Свобода», «Борьба», «Самоуправленіе», «Свободная Россія» tous pre´conisaient le roˆle providentiel de l’интеллигенція «Самоуправленіе l’organe des socialistes fe´de´ralistes» comme il s’intitulait, disait dans l’article programme de son 1er N qu’il ne veut pas de la re´volution populaire qui est de´sordonne´e, que les re´volutions des villes me`nent au despotisme, que les socialistes fe´de´ralistes ne veulent compter que sur les gens instruites на общество, на интеллигенцію Mais c’e´tait un journal mal re´dige´ et l’on pouvait croire qu’il ne sait pas lui-meˆme ce qu’il veut dire. Autre chose Свободная Россія, ici tout e´tait en parfaite harmonie. Le journal avait un inspirateur, qui sait tre`s bien ce qu’il veut – M. Dragomanoff. Les the´ories de ce journal disaient que les re´volutions populaires sont des malheurs, ne me`nent a` rien. Le de´spotisme est tombe´ partout rien que sous l’action des gens instruites: en France en 1788, en Prusse en 1847 (le patent de 3 Fe´vrier), a` Vienne le 12 Mars, la veille du soule`vement, par le rescript de l’empereur. Quant a` la question sociale elle ne sera resolue que par le concours harmonique de toutes les classes de la population, par la «politique sociale». Et partout en Occident elle entre dans cette phase. Les classes riches et instruites, comme les gouvernements s’occupent de l’ame´lioration de la condition des ouvriers et les ouvriers de leurs coˆte´ ne pensent plus qu’a` des choses pratiques et minimales. Les the´ories de Marx qui n’e´taient que des vielleries ide´alistes me´taphysiques, dans l’e´conomie comme dans la politique sont partout oublie´es et rejete´es par les travailleurs (Своб. Рос. N. 2 «Очерки соціальнаго движенія»). C’est pour l’Europe. En Russie si les земство feront des pe´titions le gouvernement donnera quelque chose comme le vereinigte Lantag Prusse de 1847. A la jeunesse des e´coles, интеллигенція, on preˆchait de ne pas sortir du giron de la bonne socie´te´ et surtout de ne pas s’adresser aux travailleurs. Comme arguments les e´crivains de la Свобод. Россія disaient tout le mal possible (ou plutoˆt impossible) de nos ouvriers. Les faits manquant, on faisait de la the´orie (en continuant de s’intituler socialistes et re´volutionnaires dans «le vrai sens du mot»): les ouvriers en grande majorite´ ˙ ˙˙ ˙trahir, ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙de ˙ ` s qu’ils sont arreˆte´s, puisqu’il faut avoir de l’instruction (passer doivent par l’universite´ ou colle`ge) pour montrer du courage et de la force morale. Un ouvrier qui commence a` s’inte´resser de la litte´rature clandestine n’est nullement confine´ aux brochures publie´es expre`s pour lui, il lit tout ce qu’il peut attrapper. Devions nous le laisser en face de ces beˆtes outrages de´bite´s au nom de soc. rev., – des outrages nullement me´rite´s par lui, sans en exprimer notre opinion ? C’est de cette fraction, qui a des nuances sans nombre (toutes d’accord pourtant qu’il ne faut agire qu’avec la bonne socie´te´ instruite, et sans travailleurs) que parlait Plekhanoff dans sa pre´face incrimine´e. Ce n’est qu’un mensonge de M. Beck quand il dit «die sozialistische Vertrauenswürdigkeit der ‹guten› durch den Unterschrift Plekh. bestätigt wird». Plekhanoff dit tout simplement, que ceux des e´tudiants qui a` pre´sent, malgre´ les dangers, viennent aux travailleurs sont

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leurs vrais amis. Cette pre´face a souleve´e beaucoup de cris dans les re´unions des e´tudiants a` Zurich comme a` Paris. On disait que l’auteur a de´nonce´ aux travailleurs ce que les gens instruites disent entre eux. Plekh. a rec¸u aussi quelques lettres, dont une est si gentille que je veux la citer. «En conseillant aux travailleurs», dit la lettre (l’auteur est une e´tudiante), «de travailler eux-meˆmes a` leur e´mancipation Vous prouvez par cela meˆme que Vous ne les aimez pas. Un homme qui aime un autre ne lui dira pas: travaille toi-meˆme a` ton bonheur. Il lui dira au contraire: reste tranquil, ne te de´range pas, c’est moi qui fera tout pour toi. C’est cela ce que nous disons du peuple et par conse´quent c’est nous qui sommes ses vrais amis.» Pas imprime´ jusqu’a` pre´sent la pre´face n’a pas e´te´ attaque´. Les re´unions de quelques e´tudiants a` l’e´tranger ce n’est pas encore si public que c¸a et M. Beck est si locace que depuis longtemps on a cesse´ de lui re´pondre quoiqu’il dise. Dans le mouvement de notre jeunesse des e´coles, qui jadis identifiait ses inte´reˆts a` ceux du peuple et se croyait since`rement socialiste quoique ce n’e´tait que du народничество Bakouniste, il se produit maintenant une bifurcation. Les uns deviennent socialistes dans notre sens du mot, les autres acquie`rent graduellement des ide´es crassement bourgeoises. Mais la confusion qui re`gne dans les teˆtes leurs permet, meˆme avec des programmes a` la Своб. Россія, en ajoutant des louanges a` l’adresse de la dinamite et quelques phrases sur le bien qu’ils feront au peuple, de se dire, de se croire meˆme peut-eˆtre, socialistes et horrriblement re´volutionnaires. Ce proce`s e´tait ine´vitable, une partie de notre jeunesse des e´coles devait acque´rir toˆt ou tard des ide´es conformes avec sa position. Mais justement dans ce moment critique de notre mouvement nous croyons de notre devoir de propager sans ambages le socialisme re´volutionnaire du prole´tariat, les principes du Marxisme, et de porter le plus de clarete´ possible dans le hachis des ide´es, qui nuit beaucoup au mouvement, quoiqu’en dise Mer Lavroff, qui croit tous les programmes e´galement bons pourvu qu’on se nomme socialiste et qu’on promet de «tenir haut le drapeau». Nous le devons et nous faisons tout ce que nous pouvons. Nous ne savons pas quel est l’auteur bienveillant de la corresp. du N 12 du S. D. qui a donne´ lieu a` l’attaque du N 14. Quant a` nous, nous n’avons jamais cherche´ a` occuper les colonnes de l’organe de la D. S. allemande (qui par la position de ce parti devient comme l’organe central de la D. S. du monde entier) par nos affaires, par nos discussions. Nous ne sommes qu’un piquet sur une frontie`re loitaine, la grande arme´e, pensions-nous, n’a pas le temps de s’occuper de nous. D’autant plus e´tions nous e´tonne´s de voir cet organe estime´ devenir la tribune des attaques d’un e´tudiant bavard, aussi haineuses que vides de sens (comprenez Vous quelque choses dans les phrases sur la «fosse creuse´e» par Plekhanov, sur le «but qu’il devait avoir» et qu’il n’a pas eu etc. ? Moi – rien du tout.). Que veut de nous la re´daction du S. D. ? En quoi l’avons-nous me´contente´e ? Il faudrait nous le dire. Nous aurions taˆche´ de faire mieux. La re´daction dira ˙ aura l’impartialite´ de publier notre re´futation ? Mais de l’allure peut eˆtre qu’elle dont va M. Beck on voit d’ici que la discussion ne peut mener a` rien et il se trouvera encore des dizaines de Beck qui se feront un grand plaisir de nous

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attaquer dans le S. D. Nous sommes en butte a` bien des vielles haines Bacounistes double´es re´cement des haines bourgeoises. N’est-ce pas piquant de pouvoir nous attaquer justement dans cet organe ? Et pour nous ce serait de´ja` une humiliation que de discuter avec Messieurs les Beck dans l’organe «impartial» de la S. D. Estce par politique que la re´d. a agit de la sorte envers nous ? Bernstein, qui e´tait notre ami, connaıˆt un peu nos affaires, il devrai savoir que la correspondance du N. 12 est parfaitement ve´ridique et qu’elle faˆchera les Beck. Donc, si la politique ne permet pas a` la re´d. de soutenir la ve´rite´ et de prendre notre parti, ne ferait-elle pas mieux de n’imprimer rien sur le mouvement russe, de ce qui peut donner matie`re a` discussion, que de frapper les D. S. si meˆme ce ne sont que des russes ? Je Vous prie bien de me pardonner, cher citoyen, de Vous ennuyer de ma lettre devenue e´norme´ment longue contre ma volonte´. Il serait plus directe d’e´crir a` Bernstein, mais nous croyons vraiment qu’il a quelque chose contre nous. Vous le voyez probablement souvent, vous pourriez peut eˆtre nous e´claircir tout cela. Encore une fois il ne faut pas m’en vouloir pour la longueur de la lettre. Votre toute de´voue´e V. Sassoulitch.

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7. April 1890 Hochverehrter Herr Engels!

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Es ist mir lieb, daß Sie sich mit meinem Vorschlag, den Aufsatz in der ursprünglichen Form im Maiheft der Neuen Zeit zu veröffentlichen einverstanden erklären. Blos wird die „Revisionen“ der Neuen Zeit nicht wieder lesen. Eine Schuld trifft mich diesmal insofern, daß ich Bl., sein ängstliches Gemüth kennend, während meiner Abwesenheit mit dem Lesen betraute. Es war aber guter Rath theuer. Mitten in den Stichwahlen in die Nähe Hamburgs berufen, reiste ich einen Tag später, nachdem wir in Württemberg fertig waren, ab. Bei meiner Rückkehr war das Unglück geschehen. Im Drange der aufgehäuften und sich immermehr anhäufenden Geschäfte ist mir die Angelegenheit ganz aus dem Gesichtskreis entschwunden. Erst die Korrektur des II. Theils, die ich auf Kautskys Wunsch mit ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ erschienenen rothen Strichen versah, veranlaßte mich, den I. Theil in der ˙bereits N. Z. zu lesen; ich war ganz erstaunt über Ks Aengstlichkeit. In dem Artikel war nichts, was zu Bedenken Veranlassung gab, es sei denn, das Fehlen jenes markanten Stils, der Ihre Schriften auszeichnet. Ein unbehagliches Gefühl stieg bereits damals in mir auf, als sei wohl nicht Alles in der gewohnten Ordnung. Ihr sackgrober Brief überzeugte mich auch alsbald davon. Ich glaube nun nicht, daß Blos hat Rache nehmen wollen, er hat wohl nur als „Vorsehung“ die „N. Z.“ vor dem Sozialisten-Gesetz zu retten versucht. Mag ihm verziehen werden, umso˙ ˙ ˙ ˙wieder in die Lage kommen wird, „Vorsehung“ spielen zu müsmehr, da er˙˙nie sen. – Die Wiederherstellung der früheren Lesart des Aufsatzes ist ein Recht, das Sie zu beanspruchen haben, ich komme diesem nach und spreche mein lebhaftes Bedauern über dies Vorkommniß aus. Vor längerer Zeit schrieb ich an K., er möge bei Gelegenheit mit Ihnen über eine 2. Auflage von „Der Ursprung der Familie etc.“ sprechen. Er hat das auch ˙ mitgetheilt, daß Sie dazu bereit seien. Jetzt ist es soweit. gethan und˙ ˙mir Nur wenige Exemplare sind noch auf Lager. Ich bitte Sie, mir Ihre Bedingungen mitzutheilen, ebenso, ob Sie Aenderungen, Zusätze*), neue Vorrede zur zweiten Auflage schreiben wollen, oder ob die letztere eine unveränderte sein soll. Mein Wunsch ist, die Schrift der I. Serie der Intern. Bibliothek einzuverleiben, auch *)

Falls die nicht stattfindet, so könnte zu geeigneter Zeit der Satz des Textes beginnen. Die neue Vorrede würde im Juli-August frühzeitig genug eintreffen. D. O.

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hierüber möchte ich Ihr Einverständniß einholen. Der Verkaufspreis des Buches würde broschirt M.l.– betragen (wie bisher), gebunden M.l.50. Die Ausstattung ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ wo in der Setzerei stets wird eine zeitgemäße sein. – Während der Sommerzeit, eine Flaue eintritt, sind solche Arbeiten, die nicht auf den Tag fertig sein müssen nicht nur mir, sondern auch den Setzern angenehm. Einige größere Manuscripte habe ich bereits erworben, wenn nun der „Ursprung etc.“ hinzukommt, so dürfte es grade bis zum Herbst ausreichen: ich kann alle Leute beschäftigen. Morgen oder übermorgen trifft Bebel auf einige Tage hier ein. Er kommt aus der Schweiz, wo er seine Tochter besucht. Der 1. Mai bewegt die Gemüther in Deutschland recht lebhaft. Wir haben manchen Ruck glücklich überstanden, das Gleiche wird auch mit dem 1. Mai der Fall sein. Die Lockspitzel, die eifrig an der Arbeit sind, werden kein Glück bei unsern Arbeitern haben. Mit vorzüglicher Hochachtung Ihr Sie verehrender H. Dietz.

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139 Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels in London Den Haag, Montag, 7. April 1890

Haag 7 April 90 Geehrter Genosse,

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Seit längerer Zeit hörten wir nichts von einander, jedenfalls direkt nichts und wahrscheinlich war die Ursache hiervon dass wir keine Veranlassung hatten zum Schreiben und zu viel zu thun um ohne diese zu schreiben. Vielleicht können sie durch ihre zahlreichen Verbindungen mich helfen für meinen Sohn und darum nehme ich die Freiheit ihren Beistand zu fragen. Ich suche nämlich eine Stellung für meinen ältesten Sohn als Lehrling in eine Maschinenfabrik und am liebsten da wo er viel zu arbeiten hat und nicht als Herr sondern als Arbeiter behandelt wird. Sind sie vielleicht in der Lage mich zu empfehlen bei diesen oder jenen Fabrikanten oder durch ihre Vermittlung ihm eine gute Stellung zu besorgen. Es ist sehr schwer etwas zu finden und sie werden mich dadurch sehr verpflichten. Hoffentlich geht es gut mit ihre Gesundheit und ihre schriftstellerische Thätigkeit zeigt wie sie immer ein reges Interesse haben in alles und uns durch ihren Rath und Urtheil zu klären suchen. Es ist für uns immer eine Freude, wenn wir etwas lesen von unsren Vorgänger. Wie steht’s mit dem dritten Theil des Kapitals? Wahrscheinlich hat diese Ausgabe unsres unvergesslichen Freundes Marx ihnen viel Mühe und Sorge bereitet und das alles nebst ihre vielseitige andre Arbeit! Hier marschirt die Bewegung immer gut vorwärts und wenn wir das allgemeine Wahlrecht hätten wie in Deutschland, ich glaube dass wir zeigen würden nicht zurück zu stehen. Wie lange das noch dauert, kann niemand sagen, denn wir leben rasch. Indessen bereiten wir uns vor und wenn es kommt, werden wir es benützen. Hoffentlich verursache ich ihnen nicht zu viel Mühe, wenn ich frage um ein Antwort. Indessen einen freundschaftlichen Gruss von ihren Genossen F. Domela Nieuwenhuis Malakkastraat 88.

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140 August Bebel an Friedrich Engels in London Zürich, Mittwoch, 9. April 1890

Zürich, den 9 April 90. Lieber Engels: Dein Brief kam eben noch recht um ihn beantworten zu können, denn morgen fahren wir bereits nach Stuttgart und von dort Sonnabend nach Hause. Was Du über den Geisteszustand Wilhelm’s schreibst ist seit langem auch ˙˙ ˙ ˙vor ˙ ˙ Jahr und Tag in Berlin sprach, meine Meinung. Mediziner, mit denen ich äußerten, daß sein Geisteszustand, infolge seines Ohrenleidens kein normaler sei und eine Katastrophe früher oder später nicht ausgeschloßen sei. Der Mann ist von einer ewigen Unruhe gepeinigt, so daß man fast nicht begreift wie er alles fertig bringt; er ist der überall und nirgends und der Schrecken seiner Umgebung. Dazu kommt ein maßloses Selbstgefühl und der Ehrgeiz etwas Außerordentliches sein zu wollen. Cäsarenwahnsinn. So lange sich derselbe so äußert wie in der letzten Zeit können wir ihn uns gefallen laßen, wir haben sogar das lebhafte Interesse daß er ein paar Jahre in dieser Richtung verbleibe. Er lößt mit seinen Eingriffen in Alles und Jedes die alten Zustände vollständig auf und bringt alles in Aufruhr in den höheren Regionen. Genaueres über die Stimmung am Hofe und die Ansichten in Berlin weiß ich nicht*. Brieflich kann man sich über diese Dinge nicht unterhalten und seit Schluß des Reichstags habe ich mit Niemand von dort nähere persönliche Beziehungen gehabt. Ich bin um so neugieriger näheres zu hören wenn ich nach dort komme. Bei diesen eigenthümlichen Verhältnißen müßen wir sorgfältig das Provoziren verhüten und müßen eine mehr abwartende Stellung einnehmen bis wir den 30 September hinter uns haben. Ist einmal das Soc.Gesetz definitiv gefallen, dann hält es schon schwer einen neuen Ausnahmezustand wieder zu schaffen. Unsere sächsische Regierung sieht dem gegenwärtigen Zustande der Dinge in sehr unbehaglicher Stimmung entgegen, ihr paßt die Aussicht auf den Wegfall des Soc.Gesetzes gar nicht und sie wendet es auch sicher an so lange sie kann. – Nächsten Sonntag haben wir Fraktionskonferenz um Stellung zum 1 Mai zu nehmen. Dem Streit mit den Berlinern ist nicht die geringste Bedeutung beizu*

Unsere Bourgeoisie ist ganz aus dem Häuschen und sieht in ihm einen „social-demokratischen Kaiser“.

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messen. Schippel ist zwar ein Intrigant – der gewaschene Hasselmann, wie ihn Auer ganz treffend nannte – aber ihm fehlt einestheils der Muth anderntheils der Takt. Er wagt keinen Kampf, zu dem ihm auch vollkommen die Gründe fehlen. – Das Benehmen von Blos Dir und Deiner Arbeit gegenüber ist fast unbegreiflich. Ich hatte mich schon beim Lesen des Artikels über mancherlei im Inhalt desselben gewundert, namentlich fehlte demselben die sonst an Deinen Arbeiten gewohnte logische Schärfe; nun wird mir die Sache klar. Bl. ist ein Schwachmatiker und ein Waschlappen, der aber eine sehr hohe Meinung von seinen historischen Kenntnißen hat. Dietz kommt ihm viel zu sehr ˙˙ ˙ mit Dir wird ihm gezeigt entgegen das habe ich ihm schon oft gesagt, der Vorgang haben, daß er ihn nicht so selbstständig wirthschaften laßen darf. Es ist ein sehr großer Uebelstand daß Kautsky als Redakteur in London sitzt. Dtz. hat sich ˙ ˙ ˙ ˙ ˙Die Sache geht auch schon oft darüber beschwert und er hat vollkommen recht. auf die Dauer unmöglich, namentlich wenn Dtzs schon lange gehegter Plan, die „NZ“ 1/2 monatlich oder wöchentlich erscheinen zu laßen, verwirklicht werden soll. – Frau und Tochter laßen Dich schön grüßen. Von der letzeren habe ich Dir ihre Verlobung mit einem Dr. Ferd. Simon, prakt. Arzt, den sie hier kennen lernte, anzuzeigen. Es wird eine echt social-demokratische Ehe werden. Der junge Mann, der seiner Zeit in den Breslauer Geheimbundsproceß verwickelt war, hat infolge dessen seine Reichsangehörigkeit aufgegeben und kann unter 21/2 Jahren, bis wohin die Verjährung eintritt, nicht nach Deutschland. Da er aber mit seinen Studien zu Ende ist u. sich nur noch praktisch üben will, wird er auf 4 Monate nach Paris gehen, dann auf ca 3 Wochen nach London kommen, wo Du ihn wohl kennen lernen wirst, und dann auf 1 Monat zur Erlernung der Massage nach Stockholm sich begeben. Alsdann will er sich eine Existenz schaffen zu welchem Zweck er wahrscheinlich nach den Ver. Staaten und zwar in die Nähe von Boston, Easthampton, übersiedeln wird. Das paßt uns natürlich nicht, aber was wollen wir machen. So mischt sich das verdammte Soc.Gesetz in die privatesten Beziehungen ein. Herzl. Gruß v. Deinem ABebel Frieda soll ebenfalls auf 3 Monate nach Paris gehen.

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141 Friedrich Engels an Ferdinand Domela Nieuwenhuis in Den Haag London, Mittwoch, 9. April 1890

London 9 April 1890 Geehrter Genosse Ich fürchte für Ihren Sohn wird sich hier keine Stelle als Lehrling in einer mechanischen Werkstatt finden lassen. Vor 30–40 Jahren nahmen die Maschinenfabrikanten solche Lehrlinge an, mein Bruder hat als solcher ein Jahr lang in Bury bei Manchester gearbeitet. Er musste hundert Pfund Sterling Lehrgeld zahlen, wurde als Lehrling in die Trade’s Union der Engineers eingeschrieben und erhielt nach einiger Zeit 15 shilling Wochenlohn. Seit aber die Kontinentalen & besonders die Deutschen den Engländern im Maschinenfach Konkurrenz machen, nehmen sie hier in der Regel gar keine Ausländer mehr als Lehrlinge an. Ich will in Manchester nochmals Erkundigungen einziehen & falls ich günstigere Nachrichten erhalte, schreibe ich Ihnen sofort. Ich freue mich zu erfahren dass es auch bei Ihnen flott vorangeht; hier ist nach der Aufregung vom vorigen Sommer wieder eine gewisse Erschlaffung eingetreten, die in England unvermeidlichen persönlichen, lokalen & sonstigen Reibungen florieren dabei wieder mehr als wünschenswerth. Aber ein praktisches & ebendaher auch sehr terre a` terre sich bewegendes Volk wie die Engländer muss nun einmal durch die Folgen seiner eigenen Fehler klug werden, anders ist hier nichts zu machen, & dann ist die Bewegung doch jetzt in viel zu breite Arbeiterschichten eingedrungen als dass sie von all dem Krakehl mehr als zeitweilige Verzögerung erfahren sollte. Der dritte Theil des Kapital liegt mir schwer auf dem Gewissen, einige Partieen sind in einem Zustand dass sie ohne genaue Revision & theilweise Neuordnung nicht zu publiziren sind, & Sie beg[reifen] dass ich dergleichen bei einem so grandiosen Werk nicht ohne die reiflichste Überlegung ausführe. Bin ich erst mit dem 5. Abschnitt fertig so werden die beiden folgenden weniger Arbeit machen, die ersten vier sind bis auf Schluss-Durchsicht druckfertig. Könnte ich ein Jahr ganz aus der laufen-

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den internationalen Bewegung heraustreten, keine Zeitungen lesen, keine Briefe schreiben, mich in nichts mischen, so wäre ich leicht fertig. Mit freundlichem Gruss der Ihrige F. Engels.

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142 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Mittwoch, 9. April 1890

Wien, IV Hungelbrunnengasse 14 9/4 90 Lieber Engels, vor Allem muß ich Dir eine wenigstens für mich höchst wichtige Mittheilung machen: Ich habe mich verlobt. Meine Braut, Luise Ronsperger, seit fast 10 Jahren die Leiterin einer Konditorei, hat im Geschäft wohl Lebenserfahrungen gewonnen, ist aber nicht verphilistert. Sie kennt und theilt meine Ansichten, und eine umfassende allgemeine Bildung ermöglicht es ihr, für mein Wirken Verständniß zu gewinnen. Ich hoffe, Ihr werdet in einigen Monaten Gelegenheit haben, sie persönlich kennen zu lernen. Wir gedenken, baldigst zu heirathen. So viel darüber. Was Deine Beziehungen zur N. Z. anbelangt, so erfahren sie hoffentlich durch das dummdreiste Vorgehn von Blos keine dauernde Trübung. Ich hoffe, daß auch in Beziehung auf den russischen Artikel alles im Reinen ist und Dietz’ Vorschlag Deine Zustimmung gefunden hat. Die Sache hat in einer Beziehung ein sehr starkes Argument für Dietz geliefert. Schon nach London schrieb er mir einmal in der letzten Zeit, der jetzige Zustand der N. Z. sei auf die Dauer unhaltbar. Sein Geschäft hat sich so vergrößert und geht so gut – der „wahre Jakob“ hat eine Auflage von 85 000; das schwäbische Wochenblatt ist binnen einem Jahr von 4000 auf 8000 gestiegen und wird zum Herbst in ein tägliches Blatt verwandelt werden. Sein Geschäft nimmt ein ganzes Haus ein, dazu kommt das Hamburger Unternehmen und endlich die Reichstagsund sonstige politische Thätigkeit: kurz, Dietz sagt, er könne sich nicht mehr in der bisherigen Weise um die N. Z. kümmern und er habe Niemanden, auf den er sich verlassen könne. Da das Sozialistengesetz faktisch aufgehört, halte er es nicht mehr für nothwendig, daß ich noch länger im Ausland sitze; unbedingt nöthig aber sei es, daß ich nicht blos in Deutschland sondern direkt in Stuttgart sitze. Als ich dagegen remonstrirte meinte er, wenn ich nicht darauf einginge, dann müsse er wohl die N. Z. abgeben. Mir einen andern Verleger zu suchen, habe ich nun gar keine Lust. Unter denen, die ich kenne, ist Dietz immer noch der tüchtigste, intelligenteste und anständigste, und wenn ich Ursache zu klagen hatte, traf sie im Grunde nicht ihn, sondern die ungünstigen Verhältnisse, unter denen wir arbeiteten.

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Dietz schlägt folgendes vor: Ich solle auf 1–2 Jahre nach Stuttgart; er bürge mir dafür, daß ich dort nicht molestirt werde. Mehr noch, seine Verbindungen sind jetzt solche, daß er glaubt, es ohne Schwierigkeit durchsetzen zu können, daß ich nach 1–2 Jahren, wenn ich mich ruhig verhalte und nicht politisch hervortrete, das deutsche Staatsbürgerrecht erhalte. Dann könne ich mich in den Reichstag wählen lassen (wonach mich indeß gar nicht verlangt) und eventuell, wenn es mir in Stukkert nicht gefällt, nach Berlin übersiedeln. Dann könne mich Niemand mehr hinausschmeißen. Bis dahin seien wohl seine geschäftlichen Verhältnisse wieder solche, daß meine Anwesenheit in St. nicht unbedingt nöthig sei, eventuell sei bis dahin die Verlegung des Erscheinungsortes der N. Z. möglich geworden. Meine Londoner Pläne würden durch das neue Arrangement nicht verrückt; ich könne ja doch, so wie in den letzten zwei Jahren, jedes Jahr einige Monate in London zubringen, mir dort Anregungen und Arbeiten holen. Dietz würde durch das neue Arrangement aber so viel ersparen, daß er mein Gehalt auf 3000 Mark 2 erhöht, wenn ich darauf eingehe. Journalistisch ist freilich in St. nichts zu verdienen, aber D. garantirt mir genügenden Nebenverdienst. Die Arbeiten, die ich für seinen Verlag übernommen, füllen jetzt schon 2 Jahre aus und sichern mir während derselben eine jährliche Nebeneinnahme von 2000 Mark. Dietz wünscht auch wegen seines Verlags, daß ich bei ihm bin. Er wünscht einen Berather, der ihm hilft, Gutes zu finden und Schund abzulehnen. Jetzt hat er Niemanden, dessen Rath er einholen könnte. In St. sitzt Niemand als Blos und der ist völlig versimpelt. Und Dietz hat den Ehrgeiz, einen Verlag zu haben, der sich sehn lassen kann. Alles das ist so einleuchtend, daß ich fast sofort zugesagt hätte, weil ich thatsächlich nichts zu entgegnen wußte. Indeß gibt es vielleicht eine Seite der Frage, die ich übersehn, und ich will daher keine definitive Entscheidung treffen, ehe ich nicht Eure – Deine und Edes – Ansicht darüber gehört. Bitte, wenn Du nicht Zeit findest, direkt zu schreiben, mich durch Ede wissen zu lassen, wie Du darüber denkst. Über die hiesigen Parteiverhältnisse kann ich nichts berichten. Ich war bisher ganz von meinen persönlichen Angelegenheiten in Anspruch genommen und habe auch Adler noch nicht gesehn. Herzlichste Grüße Euch Allen Dein Baron. Friedrich Engels Esq. 122 Regents Park Rd. London NW England

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143 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Donnerstag, 10. April 1890 (Inhalt)

 beantwortet 10/4 soll wegen Honorar (an Parteikasse zahlbar) Vor˙ ˙ g˙ machen ˙ ˙˙ ˙ ˙ – Größe der Auflage?  schla ˙˙

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London 11. April 90. Lieber Kautsky

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In aller Eile ein paar Zeilen vor Postschluß. Vor allem meinen herzlichen Glückwunsch zu Deiner Verlobung. Du hast eine schwere Zeit durchgemacht, diese Nachricht ist mir Zeichen daß Du sie überwunden, hinter Dir hast. Mögest Du das Glück finden was Du erwartest. Schorlemmer & Nim wünschen Dir ebenfalls aufrichtigst Glück. Deinen Brief aus Stuckart dankend erhalten & gestern auch einen von Dietz, dem ich sofort geantwortet, daß ich vollständig zufriedengestellt bin, & ihm ferner bestätigt daß wie Dir schon früher mitgetheilt, ich mit Neuauflage von „Ursprung &c“ als Stück der Int. Bibl. einverstanden bin & Zusätze machen werde. Was nun Dietz Plan Dich nach Stuckart zu ziehen, angeht, so ist das eigentlich ein Punkt den Ihr zwei miteinander auszumachen habt. Schor˙ lemmer & ich waren heute in Kentish Town fanden Ede aber nicht mehr˙ & ˙so ˙ ˙kann ˙ ˙ ˙ ich vor Sonntag schwerlich mit ihm konsultiren. Persönlich kann ich nur sagen daß ich Dich viel lieber hier hätte, aber wenn Deine Anwesenheit in St. wirklich nöthig, & Du immer noch ein paar Monate im Jahr herkommen kannst, ich mich wohl oder übel werde mit letzterem begnügen müssen. Die N. Z. ist ein Machtposten geworden den bis aufs Äusserste zu halten der Mühe werth ist; & ein Einfluß auf den gesammten Verlag von D. der von jetzt an noch ein wichtigerer Hebel im Parteileben wird als zur Zeit des Druckes, ist auch a consideration. Naturalisation & Sicherstellung in Deutschland ist etwas zweischneidig, da sie Herauswerfbarkeit aus Oestreich bedeutet. Und das liebe Stuckart & seine Genüsse kennst Du auch. Ich werde noch weiter überlegen ob die Sache noch irgendwo einen andern nicht sogleich sichtbaren Haken hat, & Ede Sonntag weiter darüber sprechen. Dies Wenige aber wollte ich Dir schon gleich schreiben. Und jetzt ists 5.25 ergo Postschluß. Dein F. E.

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145 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Pankow bei Berlin London, Samstag, 12. April 1890

London 12 April 90. Lieber Schmidt Auf Ihre Briefe vom 26/2 und 1/4 kann ich heute wegen Zeitmangel nur kurz antworten, da aber der zweite baldige Antwort erfordert, muß ich heute dran. Daß ich bei den Marxschen Manuskripten Hülfe brauche ist mir schon ˙ ˙ ˙ schlug ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙daher Ede d. h. Bernstein & vor einem Jahr klar geworden, ich Kautsky vor mich dabei zu unterstützen, natürlich nicht unentgeltlich, & beide nahmen an. Ich habe nun bis jetzt von dem in der Vorrede II Band erwähnten Ms. zum IV Buch einen Theil von Kautsky abgeschrieben erhalten, er hat sich ganz gut in die Handschrift hineingelesen & ist in freien Stunden noch damit beschäftigt. Nun ist es zwar möglich daß er definitiv d. h. auf einige Jahre wenigstens London verlässt, aber dann würde nach den bisherigen Abmachungen wohl Ede an seine Stelle treten, um so mehr als im Fall des Ablaufs, ohne Erneuerung, des Soz. Gesetzes seine Stellung vielleicht sich ändern würde, ohne daß ihm die Möglichkeit gegeben wäre so ohne Weiteres nach Deutschland zurückzukehren. Wie also die Dinge jetzt liegen, könnte ich Ihnen wenig Aussicht auf Beschäftigung auf diesem Gebiet machen; aber in sechs Monaten kann sich da Manches ändern & ich halte Ihr freundliches Anerbieten um so lieber im Gedächtniß, je mehr mir daran liegt möglichst viel hinreichend vorgebildete Leute mit der Marxschen Handschrift bekannt zu machen, was ohne ˙ ˙ ˙weil ich da der einzige bin. Denn wenn ich einmal Lehrer nicht angeht, & flöten gehe was ja jeden Tag passiren kann, sind diese Ms. sonst ein Buch mit sieben Siegeln in die jedermann mehr hineinrathen als richtig herauslesen würde. Tritt also eine Lage ein, wo meine bisherigen Mitarbeiter mir abhanden kommen oder ich sonst in dieser Beziehung freie Hand bekomme so melde ich mich sofort bei Ihnen & will nur hoffen daß Sie dann noch Neigung haben zu acceptiren; vielleicht gelingt es Ihnen auch ohne dies hieher zu kommen, & sind Sie erst hier, so macht sich Manches leicht, was von weitem schwierig aussieht.

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Unser Wahlsieg war in der That staunenswerth, & der Erfolg in der Außenwelt war ebenso großartig. Die Bismarkschen Erfolge hatten uns, d. h. den Deutschen überhaupt, Respekt als Soldaten verschafft, aber den Respekt vor dem persönlichen Charakter qua Deutscher eher vermindert; die Bauchrutscherei der Bourgeois that den Rest: die Deutschen schlagen sich gut wenn sie gut kommandirt werden, aber kommandirt müssen sie werden, Selbständigkeit, Charakter, Widerstandsfähigkeit gegen Tyrannei – davon ist bei ihnen keine Rede. Das ist seit den Wahlen anders. Man hat gesehn, daß die deutschen Bourgeois & Junker nicht die deutsche Nation ausmachen; der brillante Sieg der Arbeiter nach 10jährigem Druck, & unter dem Druck, hat imponirt mehr als Königgrätz & Sedan; die Welt weiß daß wir es sind die den Bismark gestürzt haben, & die Sozialisten aller Länder fühlen jetzt, ob es ihnen recht ist oder nicht, daß der Schwerpunkt der Bewegung nach Deutschland verlegt ist. Nach den Erfahrungen die ich gemacht ist mir auch gar nicht bange, daß unsre Arbeiter sich dieser neuen Stellung nicht gewachsen zeigen. Die neu zugekommenen Elemente werden in der richtigen Taktik noch nicht sattelfest sein, aber das wird ihnen bald anfliegen, & was die älteren Kriegskameraden nicht thun, das wird die Regierung in ihrer Weisheit schon besorgen. Die Haltung unsrer gesammten Presse gegenüber den berühmten Erlassen beweist wie das Soz. Gesetz da vorgearbeitet hat. Gebrannt Kind scheut das Feuer, & was 1878 noch eine gewisse störende Wirkung hätte momentan haben können, zieht jetzt absolut nicht mehr. Ich weiß wohl daß es Leute gibt, selbst in der neuen Fraktion, die gern auf die Arbeiterfreundlichkeit von oben paktirend eingingen, aber die werden niedergestimmt, sobald sie den Mund aufthun. Puttkamer hatte ganz recht, das Soz. Gesetz hat eine enorme „erzieherische Wirkung“ gehabt, aber anders als er sich einbildete. Haben Sie in den Conradschen Jahrbüchern eine Anzeige Ihres Buchs von Achille Loria, Siena, gesehn? Man hat sie mir – wahrscheinlich Loria selbst indirekt – aus Italien zugeschickt. Ich kenne diesen Loria, er war hier, hat auch mit Marx korrespondirt, spricht Deutsch, schreibt es wie sein Artikel ist nämlich schlecht, & ist der vollendetste Streber der mir je vorgekommen. Damals sah er die Welterlösung im kleinen Bauerngrundeigenthum, ob noch, weiß ich nicht. Er schreibt Bücher über Bücher & plagiirt mit einer außer Italien – selbst in Deutschland unmöglichen – Unverschämtheit. So vor einigen Jahren ein Büchlein worin er die Marx˙˙˙ sche materialist. Geschichtsauffassung als seine neuste Entdeckung ausposaunt & mir das Ding zuschickt! Als Marx starb schrieb er einen Artikel den er mir zuschickte worin er behauptete, 1) M. habe seine Werththeorie auf ein Sophisma, das er selbst als solches erkannte, basirt (un

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sofisma consaputo) & 2) M. habe nie das III Buch des Kapitals geschrieben, auch nie schreiben wollen, sondern bloß darauf hingewiesen um sich über die Leser lustig zu machen & wohl wissend daß die versprochnen Lösungen rein unmöglich seien! Ich bin trotz aller Zurückweisungen & Grobheiten nicht sicher daß er mir nicht wieder mit Briefen oder Zusendungen auf den Leib rückt, die Unverschämtheit des Kerls kennt keine Grenzen. Besten Gruß Ihr F. Engels

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146 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 12. April 1890

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Brief vom 3/6 März dankend erhalten. Die Sache mit Miquels Briefen hat große Haken. „Wilhelm“ hätte sie auch gern, um damit bei ungelegner Zeit herauszuplatzen & uns damit das Druckmittel auf Miquel für ewig zu verderben. Denn ist der Skandal einmal vorbei, so pfeift M. uns was. Es ist mir aber viel mehr werth den Kerl durch dies Druckmittel einigermaßen in der Hand zu halten als nutzlosen Lärm zu schlagen wodurch er frei käme & obendrein froh wäre die Sache überstanden zu haben. Die ganze Welt weiß ohnehin daß er Bundesmitglied war. Nun aber habe ich von amerik. Journalistik gar zu brillante Erfahrungen gemacht als daß ich da anbisse. Würde es auf der V. Z. bekannt daß diese Briefe in Amerika lägen, so ruhte & rastete das Sensationsvolk nicht bis sie sie hätten & der Versuchung & Tortur will ich niemand aussetzen. Außerdem wer garantirt mir wie lange Schlüter an der V. Z. ˙ ˙ ˙ ˙ ˙Briefen ˙˙ bleibt, & ob man nicht grade Herausrücken mit diesen ihm als Bedingung des Bleibens stellt? Kurz, ich kann mich auf diesen Handel unmöglich einlassen. In Deutschland geht alles über die äußersten Wünsche hinaus. Der junge Wilhelm ist positiv verrückt; also wie geschaffen die alte Wirthschaft gründlich in Unordnung zu bringen, den letzten Rest von Vertrauen bei allen Besitzenden – Junkern wie Bürgern – zu erschüttern & uns das Terrain in einer Weise vorzubereiten wie selbst der liberale Friedrich III. nicht gekonnt hätte. Seine Arbeiterfreundlichkeitsgelüste – rein bonapartistisch-demagogisch, aber verquickt mit konfusen Träumen von Gottbegnadeter Fürstenmission – fallen bei unsern Leuten ganz rettungslos ab. Dazu hat das Soz. Gesetz gedient. Noch 1878 wäre damit noch einiges zu machen gewesen, einige Unordnung in unsre Reihen gebracht, jetzt aber unmöglich. Unsre Leute haben die preußische Faust zu sehr zu fühlen bekommen. Einige Schwächlinge wie z. B. Herr Blos, & dann ei-

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nige der 700 000 Mann die uns in den letzten 3 Jahren neu zugelaufen, mögen in dieser Beziehung ein bissel wacklig sein, aber die werden rasch niedergestimmt, & ehe das Jahr aus, haben wir die schönste Enttäuschung bei Wilhelm über seine Macht über die Arbeiter, & damit Umspringen der Liebe in Wuth, der Liebkosung in Verfolgung. Unsre Politik daher, jetzt alles Lärmen zu vermeiden bis das S.Ges. am 30 Sept. abgelaufen; denn einen neuen Ausnahmszustand mit dem dann ganz auseinandergekommnen Reichstag fertig zu bringen dürfte nicht angehn; haben wir aber erst wieder die gewöhnlichen bürgerlichen Rechte, so sollst Du eine neue Expansion sehn, die die, am 20 Febr. zu Tag getretne noch in den Schatten stellt. Da Wilhelmchens Arbeiterfreundlichkeit ergänzt wird durch Militairdiktaturgelüste (Du siehst wie alles heutige Fürstenpack nolens volens bonapartistisch wird) & er beim geringsten Widerstand alles über den Haufen schießen lassen will, so haben wir dafür zu sorgen daß er dazu keine Gelegenheit bekommt. Wir haben bei den Wahlen gesehn daß unsre Fortschritte auf dem Land, besonders da wo großer Grundbesitz & daneben höchstens große Bauern bestehn, also im Osten, ganz enorm gewesen. In Mecklenburg 3 Stichwahlen, in Pommern 2! Die 85 000 Stimmen die zwischen der ersten offiziellen Zählung (1 342 000) & der 2ten (1 427 000) noch anwuchsen, sind alle aus Landdistrikten wo man uns absolut keine Stimmen zutraute. Also Aussicht daß wir jetzt bald das Landproletariat der Ostprovinzen erobern, & damit – die Soldaten der preußischen „Kernregimenter“. Dann ist die ganze alte Wirthschaft Kladderadatsch & wir herrschen. Die preußischen Generale müßten aber größere Esel sein als ich glauben kann, wenn sie das nicht ebensogut wüßten als wir, & daher müssen sie vor Begierde brennen uns durch eine solenne Schießerei auf einige Zeit unschädlich zu machen. Also doppelter Grund äußerlich ruhig zu verfahren. Ein dritter Grund ist daß den Massen – namentlich den neu angeworbnen – der Wahlerfolg zu Kopf gestiegen ist & sie glauben sie könnten jetzt alles im Sturm durchsetzen. Wird da nicht gezügelt so passiren Dummheiten die Masse. Und die Bourgeois – vide die Kohlengrubenbesitzer – bieten alles auf diese Dummheiten zu begünstigen & zu provoziren, & haben außer den alten Gründen dafür noch den neuen, daß sie hoffen dadurch der „Arbeiterfreundlichkeit“ Wilhelmchens einen Strich durch die Rechnung zu machen. Die oben am Rand angestrichnen Stellen bitte ich Schl. nicht mitzutheilen. Er hat einen gewissen Thatendrang, & dann kenne ich die V. Z. Leute, die rücksichtslos alles journalistisch vernutzen was brauchbar ist. Diese Sachen aber dürfen nicht in die Presse, weder dort noch

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hier, wenigstens nicht in die deutsche, & am allerwenigsten als von mir herrührend. Wenn unsre Partei in Dtschld also in nächster Zeit, & auch mit Beziehung auf den 1 Mai scheinbar etwas abwiegelt, so weißt Du die Gründe. Wir wissen, daß die Generale den 1 Mai gern zum Schießen verwerthen möchten. Dieselbe Absicht besteht in Wien & Paris. In der Arb Ztg (Wiener) sind besonders Bebels Korresp. aus Deutschland wichtig. Ich entscheide mich über keinen Punkt in Beziehung auf deutsche Parteitaktik, ehe ich nicht B’s Meinung darüber in der A. Z. oder brieflich gelesen. Er hat eine wunderbar feine Nase. Schade daß er nur Deutschld aus eigner Anschauung kennt. Auch der Art. diese Woche: Dtschld ohne Bismark ist von ihm. Time mit meinem ersten Art. über russ. Politik (gesandt heute vor 8 Tagen) wirst Du erhalten haben. Meine Nerven beruhigen sich wieder etwas seit ich fast teatotal geworden bin, werde die Einschränkung auch noch bis Herbst einhalten müssen. Schorl. ist noch ganz Temperenzler. Er wie ich grüßen Dich & Deine Frau herzlich, er ist über Ostern hier, geht Montag wieder nach Manchester. Sam Moore gehts wohl in Afrika, übers Jahr kommt er auf 6 Monate Urlaub her. Dein F. E.

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147 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 14. April 1890

Deine Karte v. 4/4 so eben erhalten. Habe Schlueter sofort benachrichtigt u. werde noch eine kleine Warnung in die Volkszeitung einrücken lassen. Gestern war Speyer bei mir u. ihm gegenüber äußerte ich noch mein Befremden über den Artikel, hoffte aber in der nächsten Nummer der Neuen Zeit Auf˙˙ klärung u. Aufschluß zu finden. – Danken für Grüße von Schorlemmer u. erwiedern sie herzlichst. Halte Dich ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ munter! Dein F. A. S. 14/4/90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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148 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London vor Mittwoch, 16. April 1890 (Anfang fehlt)

[...] Lines Dedicated, without permission, by Kakadou to the General. 5

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On neutral ground, in nobody’s place, God & the Devil met face to face. The Almighty had a cold in his head, And would have a night-cap that night in bed; But the Devil fared quite jollily Tho’ from a warmish corner came he. “Good God, who the devil,” cried the Lord “Would think you were hell-bound? ’Pon my word You are the livlier of the two! Whence come you & whither wander you?” “From Primrose Hill, your godship I come, Calling on a friend, who’s not at home: General Engels, you know him well, He ought to be nearly due for hell, Having quite lately turned sixty-nine; I keep my eyes on him, for he’s mine!” “You may have him, says G, for all I care, But to say he’s yours, ’s neither here nor there; He never believed in the devil below One whit more than in me, one the top, you know, Nor ever swears by black or by white By right that is wrong or wrong that’s right.” “Oh, quoth the de’il, he’s a jolly good fellow, And he & I oft hobnob & grow mellow; I’ve known him these years full sixty & nine; Come drink to his health now in sparkling wine!” “Mind your own bus’neß, said God; I decline A bumper in honour of such a man!”–– ”Fill up the canakin, fill up the can,

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148. Laura Lafargue an Engels · vor 16. April 1890

The old general hath writ many a line Will outlive the ages sixty & nine!” “Nine for the Muses & sixty for the Devil Says the Lord Almighty, why that’s not so evil!”–– ”Now evil be to him that evil thinks Quoth D, the general lets drink & drinks, Long life to him from the sulphurous brinks!–– “And think you ’tis a cause to repine For a brave general is sixtynine? Oh, that but sixty-nine were my days, And that my head were crowned with his bays! But what with th’everlasting fire below, And the beastly weather above, I trow I were like to be damned if I weren’t the devil! ...” “Manners, growled God Almighty, you’re barly civil; As for the General, on earth let him dwell, Too dev’lish for heaven, too divine for hell!”

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149 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 16. April 1890

London 16 April 90 My dear Laura

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At last! a free hour to write a line to you. I am pestered almost to death with letters, verbal & other applications of all sorts, & wish I could shut myself off for a month or so––for I find it impossible to reply to all my letters much less to do any serious work. Many thanks for the kind wishes in your poem but I am afraid the Lord on high & the lord below will settle my hash for me some day & find me a place somewhere. But that need not trouble us now. And now a little business: 1) Will you give me Longuet’s address? 2) Will Paul procure me the title, publisher’s name &c of a pocket edition (cheap) of the Code Napole´on as at present in force, for Sam Moore? (les cinq codes suffiront, civil, proce´dure civile, pe´nal, proc. cri˙ ˙ ˙ ˙˙ minelle, de commerce) & price. 3) Enclosed a bill found in last lot of French newspapers. The Parisian workmen are acting indeed as if they had but one purpose to live for, & that is to prove how utterly undeserved was their revolutionary reputation. It’s all very well for Paul to repeat over & over again that they are Boulangists out of pure opposition against the bourgeosie–– but so were those who voted for Louis Bonaparte, & what would our Parisians say if the German workmen, to spite Bismarck & the bourgeoisie, threw themselves blindfold in the arms of young William? It is plainly cutting off your nose to spite your face, & the Parisians have still so much left of their former esprit that they can still back up the worst of all possible causes by the best of all possible reasons. No the cause of this surfeit of Boulangism lies deeper. It is Chauvinism. The French Chauvins, after 1871, resolved that history should stand still until Alsace was reconquered. Everything was made subordinate to that. And our friends never had the courage to stand up against this absurdity. There were fellows at the Citoyen & Cri who howled with the

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masses against everything German, no matter what; & our friends submitted to that. The consequences are there. The only excuse for Boulangism is la revanche, Alsace reconquered. What not one party in Paris ever dared to oppose, is it a wonder that the Parisian workmen now cling to as a gospel? But in spite of French patriots, history did not stand still––only France did, after the fall of MacMahon. And the necessary consequence of this French patriotic aberration is that the French workmen are now the allies of the Czar against not only Germany, but against the Russian workmen & revolutionists too! In order to preserve to Paris the position of revolutionary centre, the revolution must be crushed in Russia, for how to reconquer, without the help of the Czar, the leading position belonging to Paris by right? If the desertion en masse to Boulanger of the French or rather Parisian workmen should cause socialists abroad to consider them as completely de´chus, there would be no cause to be astonished. What else can they expect? Of course I should not be so hasty in my judgment. This momentary aberration would not lead me to such a conclusion. But it is the third time that such an aberration recurs since 1789––the first time Napoleon No I, the second time Nap No 3 was carried to the top by that wave of aberration, & now it’s a worse creature than either––but fortunately the force of the wave, too, is broken. Anyhow, we must apparently come to the conclusion that the negative side of the Parisian revolutionary character––chauvinistic Bonapartism––is as essential to it as the positive side, & that after every great revolutionary effort we may have a recrudescence of Bonapartism, of an appeal to a saviour who is to destroy the vile bourgeois qui ont escamote´ la re´volution et la re´publique & in whose traps the naı¨fs ouvriers have fallen––because, being Parisians, they know everything from birth & by birth, & need not learn like vulgar mortals. So I shall welcome any revolutionary spurt the Parisians may favour us with, but shall expect them to be again vole´s afterwards & then fly to a miracle-performing saviour. For action I hope & trust the Parisians to be as fit as ever, but if they claim to lead with regard to ideas, I shall say thank you. By the bye Boulanger is so deep down now that the other day Frank Rosher who was in Jersey on business––a boy of 22, & the most conceited snob in London––called on him & was received courteously & both assured each other of their mutual bienveillance & protection! I hope the 1st of May will not disappoint the expectations of our French friends. If it turns out a success in Paris it will be a heavy blow to

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the Possibilists & may mark the beginning of an awakening from Boulangism. The 1st May resolution was the best our congress took. It proves our power all over the world, is a better revival of the International than all formal attempts at reorganization, & shows again which of the two congresses was representative. I am afraid I shall not be able to take one of your two dogs. The one is a bitch & Nim objects firmly to have again to do the massacre of the innocents, & the other is a pointer, id est a sporting dog, & there are most absurd laws here with regard to them––I could not take him out to Hampstead without being stopped by the police as a potential poacher, that is the reason why pointers, fox-hounds, setters &c are kept only for real sporting purposes & never, as with us on the continent, for private amusement. Voila` ce que c’est que de vivre dans un pays aristocratique. In Germany we shall have to keep the 1st May as quiet as possible. The military has strict orders to interfere at once & not to wait for requisition from the civil authorities, & the secret police––on the point of being discharged––are straining every nerve to provoke a collision. In fact if the telegrams just to hand by Reuter are worth anything, they are beginning already & have found a few anarchists to provoke some “outrages”. Nim says she can’t come, her gardening days are over. She has rheumatism in the hip-joint––not much, but there it sticks. By the bye our Paris friends seem to go all to pieces. There is the Parti Socialiste––a paper to work the Municipal elections, that I can conceive as a 5 rational purpose. But then there is Okecki’s Autonomie, & then a daily paper the Combat in Boyer’s hands, & now Guesde wants to organize a lithographic correspondence ––why this looks like an attempt at gaspillage––they all cry after a daily paper & now they have one they don’t seem to use it––or are they all at sixes & sevens? I cannot make it out. Ever yours FEngels

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150 Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ in Mornex London, Donnerstag, 17. April 1890

Londres 122 Regents Park Road N. W. le 17 Avril 1890. Tre`s cher citoyenne Quand j’ai lu l’article de Beck j’ai eu un pressentiment que vous et vos amis en seriez faˆche´s, et j’ai dit a` Bernstein qu’a` sa place je n’aurais pas imprime´ un semblable fatras. Mais il m’a re´pondu qu’il ne se croyait pas en droit de supprimer un article qui apre`s tout exprimait l’opinion d’un certain nombre de jeunes Russes, gens qui n’avaient pas d’autre organe pour re´pondre, a` l’article inse´re´ pre´cedemment, devant les lecteurs de SD, et que son ide´e principale avait e´te´ de vous donner l’occasion de re´pondre a` ces critiques; que naturellement et avec le plus grand plaisir il imprimerait toute re´ponse que vous lui adresseriez. La position du S. D. vis-a`-vis des Russes en Occident est assez de´licate. Il va sans dire qu’on vous y conside`re comme les allie´s et amis spe´ciaux du mouvement allemand. Mais les autres fractions socialistes ont aussi droit a` une certaine conside´ration. Pour parler aux ouvriers allemands ils sont presque oblige´s de s’adresser au S. D.; faut-il leur re´fuser toute hospitalite´ ? Ce serait une immixtion dans les affaires inte´rieures des Russes, et c’est la` ce qu’il faut e´viter a` tout prix. Prenez les luttes inte´rieures des socialistes franc¸ais et danois; le S. D. a garde´ la neutralite´ vis-a`-vis des possibilistes tant qu’il e´tait possible, c. a`. d. tant qu’il n’e´tait pas lui-meˆme mis en cause, et vis-a`-vis des deux partis danois il la garde encore bien que toutes ses sympathies soient du coˆte´ des «re´volutionnaires». De meˆme vis-a`-vis des Russes. Il n’y a pas chez Bernstein la moindre trace de mauvaise volonte´ a` votre e´gard; cela je vous garantis. Mais il a un sentiment trop de´veloppe´ de justice et d’e´quite´ ; et plutoˆt que de commettre une injustice vis-a`-vis d’un ennemi ou d’un homme qui ne lui est pas sympathique, plutoˆt il en commettra dix a` l’e´gard de ses amis et allie´s; tous ses amis lui reprochent cette impartialite´ exage´re´e qui finit par devenir partialite´ contre ses allie´s. Voila` ce qui fait que dans les cas douteux, il penche toujours du coˆte´ de l’ennemi.

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Ajoutez que nous tous sommes tre`s ignorants a` l’e´gard des groupements, assez changeants, qui ont lieu au sein des Russes en Occident, et que par conse´quent nous sommes expose´s a` chaque moment a` faire des fours. Bernstein en sait bien plus long que moi, car il en a vu au moins quelque chose de pre`s a` Zurich; moi, au contraire, j’ai ignore´ jusqu’au nom et a` l’existence des journaux que vous me nommez. B. me dit que dans la lettre de Beck il a vu l’expression des adhe´rents de Lavroff, je ne sais pas s’il a raison ou non, mais c¸’a e´te´ une des raisons qui l’ont de´cide´ a` imprimer la lettre. Il me disait encore qu’il allait se faire envoyer de Paris la traduction de la pre´face de Plechanoff pour l’imprimer en entier, il l’a rec¸ue et elle sera inse´re´e aussitoˆt que possible; cela, il l’a arrange´ aussitoˆt qu’il a rec¸u la lettre de Beck, et cela doit comprouver qu’il a voulu tirer avantage de l’insertion de cette lettre pour donner de nouveau la parole a` Plechanoff. Maintenant je vous engage de faire en franc¸ais si vous le pre´fe´rez une re´ponse a` Beck et de l’envoyer soit a` moi soit au S. D. directement (l’adresse de Bernstein est 4 Corinne Road, Tufnell Park, Londres N.); car si vous, vous connaisez ce monsieur Beck, en dehors du milieu russe on ne le connaıˆt pas, et bien que vous voyez une sorte d’abaissement a` entrer en pole´mique avec lui, c’est la` un de´sagre´ment auquel on doit se soumettre que trop souvent; j’en connais quelque chose. Je sais par expe´rience ce que c’est un mouvement que celui qu’a lieu au milieu de la petite colonie russe en Occident. Tout le monde se connaıˆt, a eu des relations personnelles amicales ou hostiles, par conse´quent, tout de´veloppement, ne´cessairement accompagne´ de divisions, scissions, pole´miques, acquiert un caracte`re e´minemment personnel. C’est inhe´rent a` toute e´migration politique, et nous en avons eu assez de 1849–1860. Mais j’y ai appris aussi que le parti qui a la force morale de s’e´lever, le premier, au-dessus de cette atmosphe`re de personnalite´s, de ne pas se laisser dominer par l’influence de ces querelles, acquiert par cela meˆme un grand avantage sur les autres. Moins sensibles que vous serez a` ces coups d’e´pingle, plus de force et de temps vous conserverez pour la grande lutte. Que vous fait-il, au bout de compte, qu’un article de Beck ou d’un autre ait paru dans le S. D. tant que vous eˆtes suˆr de pouvoir re´pondre carre´ment ? Apre`s tout il sera impossible de fermer a` vos adversaires russes toute la presse socialiste de l’Occident; et le mouvement russe, lui-meˆme, ne gagnerait-il pas s’il avait lieu un peu plus devant le grand public occidental au lieu de se cacher dans de petits cercles isole´s du monde et favorisant, par cela meˆme, l’intrigue et la cabale ? C’a e´te´ un des moyens les plus forts et les plus applique´s de Marx que de tirer, de`s qu’il se trouvait oppose´ a` des intrigues cache´s, ses adversaires au dehors, a` la lumie`re du jour, et de les attaquer devant le public.

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150. Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ · 17. April 1890

Pour vous la meilleure manie`re d’oˆter a` vos adversaires toute envie de poser devant les socialistes allemands, c’est de collaborer activement au S. D. et a` la Neue Zeit. Une fois l’identite´ de vos principes avec ceux des Allemands bien e´tablie et reconnue, les autres diront ce qu’il voudront, on n’y fera pas attention. Je suis suˆr que des communications de votre part seraient rec¸ues a` bras ouverts, et j’ai e´te´ etonne´ de savoir que l’article de Pl. sur Чернышевский paraıˆtra dans la Neue Zeit. Mes saluts cordiaux a` Plechanoff, et non moins a` vous-meˆme. Votre tout de´voue´ F. Engels Bernstein est un excellent garc¸on tant par esprit que par caracte`re, mais il a ceci de particulier que le nombre d’attaques qu’il permet a` d’autres contre vous dans le S. D., est la mesure de l’estime qu’il vous porte; plus il vous respecte, plus il tient a` paraıˆtre impartial vis-a`-vis de vous.

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151 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, zwischen Donnerstag, 17. und Samstag, 26. April 1890

m. Favre Mornex. Haute Savoie Ve´ne´re´ citoyen 5

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Vous nous engagez de re´pondre a` M. Beck. Ce n’est pas la pole´mique qui nous re´pugne (nos ennemis se pleignent que Plekhanoff l’aime par trop), et l’article de Beck par lui-meˆme nous est bien indiffe´rent. Ce n’est que de voir cet article dans le S. D. c’est son «impartialite´ » qui nous est «sensible», mais une fois qu’elle existe, n’en parlons plus. Nous croyons aussi que le mouvement russe gagnerait, comme Vous le dites, «s’il avait lieu un peu plus devant le grand public occidental», qui n’en connaıˆt que la le´gende d’antan. Mais ce serait vraiment mal commencer que de re´pondre a` M. Beck dans le S. D. Il ne s’agit pas de la personne de Beck (lui ou autre c’est e´gal, personne de nous n’a eu avec lui des relations personnels bonnes ou mauvaises. (Il put bien eˆtre adhe´rent de Lavroff. Lavroff e´tant adhe´rent de tout le monde) mais de sa manie`re litte´raire, qui ne donne pas lieu a` une re´ponse se´rieuse. Il touche en phrases de´cousues a` trop de choses a` la fois (si Vous voulez a` toute l’histoire du mouvement comme faits et comme ide´es). Il nous serait bien facil de lui re´pondre en quelques mots et ce serait bien assez pour les russes. Mais ces mots ne diront pas grande chose aux occidentaux qui que connaissent que la le´gende officielle du giron de la quelle ne sort pas Beck. Et si nous voudrions parler se´rieusement des choses touche´es dans son article il nous faudrai bien plus de place, que les dimensions meˆmes du S. D. lui permettrai de nous donner. Mais supposons que c’est fait. Nous n’aurions dit en allemand que ce que nous disons en russe. Mais l’inte´grite´ de la le´gende parmi les occidentaux est tre`s che`re pour bien des russes leur permettant de participer d’une certaine manie`re a` «la gloire des aˆnceˆtres». La re´daction sera submerge´e, je Vous le garantis, des protestations les plus ve´he´mentes et des male´dictions a` notre adresse. Nous ne les craignons nullement. Mais apre`s les avoir imprime´s, la logique elle-meˆme exigera que la re´daction nous donne de nouveau la parole, et ainsi sans fin. Jamais un journal des dimensions du S. D. n’aura ni place ni loisir pour vider la chose, et vraiment ce serai dommage d’en user les pages. Non, dans tous les sens possibles nous croyons bien faire de ne pas re´pondre a` M. Beck dans le S. D. Nous comptons l’e´pisode pour clos.

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151. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Engels · zwischen 17. und 26. April 1890

Quant a` la collaboration en ge´ne´ral c’est autre chose et peut-eˆtre que notre groupe a eu tort de ne pas le faire. Plekhanoff qui est a` Mornex maintenant Vous salut bien cordialement comme moi aussi. Votre toute de´voue´e V. Sassoulitch. P. S. On vient de me raconter que les e´tudiants a` Zurich de la couleur de Beck ont parle´ dans une re´union qu’ils veulent absolument prendre Zargrad. Vous parlez si bien des avantages de le posse´der que l’envie les a pris probablement justement en lisant l’article.

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152 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Karlsbad, Freitag, 18. April 1890

18.IV.1890. Karlsbad in Boehmen Haus zum „Kleeblatt“. Verehrter Herr Engels! 5

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Danke für das freundliche Lebenszeichen und bin besonders erfreut, dass auch die gute Helene noch rüstig schafft. Vielleicht kann ich ihr meine Frau u. den Jungen noch einmal zeigen. Sie sollten auch hierher kommen, Sie würden dann wieder Ihren Magen herstellen und Rauchen und Trinken würden wieder anfangen: Ich rathe in allem Ernst zu dieser Kur, u. habe Erfahrung, da ich jetzt schon zum 8ten Male hier bin. Ich verliess Prag unmittelbar nach Ostern und bereue es nicht; wir haben nicht solche Hitze, wie im Sommer, u. wenn’s kühl ist, erzeugt der Brunnen keine Congestionen; ich trinke sogar taeglich eine Flasche Rothwein u. 1 Cognac (ein Glas). Sollten Sie herkommen, so bitte ich Sie, bei mir die Nachkur zu gebrauchen, ich wohne von Mitte Mai den Sommer über nur 21/2 Eisenbahnstunden von hier, in Türmitz bei Aussig an der Elbe, Boehmen, im „alten Schloss“. Sie koennen ja sehr bequem incognito (was mir doch rathsam scheinen würde) herkommen, als Smith oder Brown Esq. von Manchester oder Hull. – Ich wohne sehr hübsch in Türmitz. Meine Frau (eine Cousine von mir) wird sich herzlich zu Ihrem Besuch freuen. Wir senden Ihnen hoffentlich von hier eine Gruppenphotographie. Sollten Sie eine von Sich, Marx, Frau Marx u. Frau Lafargue übrig haben, so würden Sie mir durch Uebersendung einer oder aller eine recht grosse Freude machen. Wie weit ist K. Marx’ Nachlass jetzt heraus? Ihre Artikel über Russland erwarte ich mit Spannung, um so mehr, als ich mir wohl auch eine Idee gemacht habe, die jedoch auf ungenügender Information über diesen redoutablen Nachbar beruht. Im Ernst halte ich England (so lange es seine Colonien behaelt) und Russland für die einzigen beiden ernsthaften Weltmaechte. Der übrige Continent sieht stark aus wie Griechenland kurz vor Philipp von Macedonien, nur daß wir keine Leute producirt haben, wie Themistokles u. Aristides und Perikles – obschon unleugbar Maenner der That monumentale Gestalten, auch schon, weil sie bis ins hohe Alter so leistungsfaehig blieben. Ich zoegere nicht, unter diese Wilhelm I., Moltke, Bismarck, Gladstone (??), K. Marx, Sie zu nennen.

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152. Rudolf Meyer an Engels · 18. April 1890

Sie u. Marx nehmen immer mehr die Stellung ein, welche man doch erst lange nach ihrem Tode Adam Smith u. Ricardo zuerkannte, die man doch auch stets in einem Athem mit Napoleon I, Wellington u., wenn Sie wollen, Blücher und Stein, nennen wird. Wir stehen augenscheinlich an einem sehr interessanten geschichtlichen Wendepunkte. – Sollte ich mich hier erholen, so schreibe ich vielleicht im Sommer eine „Nationaloekonomie der Vergangenheit“, an der ich nun schon seit ein Dutzend Jahren studire u. sammle, die „christliche“ N. Oek. vom IV bis XIV Jahrhundert. Mit der babylonischen Gefangenschaft der Paepste in Avignon hoert im Grossen diese Periode auf, die einzig in ihrer Art ist durch ihren Capitalsbegriff. Sie werden sagen, es gab damals kein Capital – das halte ich aber für unrichtig. Nun, wie dem auch sei! Schreibe ich, habe ich Kraft dazu, so sende ich es Ihnen auch. Mit alter u. herzlicher Verehrung, lieber Herr Engels, Ihr RMeyer.

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Widmung von Rudolf Meyer für Engels

153 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 19. April 1890

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Den Nationalist erhalte ich regelmäßig, es steht leider nicht viel drin. Es sind die Abklatsche der hiesigen Fabians. Flach & seicht wie der Dismal Swamp, aber eingebildet über die großartige Großmuth womit sie, jebildete Bourgeois, sich herablassen zur Emancipation der Arbeiter, wofür aber diese letztren auch hübsch kuschen & den Jebildeten Cranks & ihren isms gehorsamst Ordre pariren müssen. Sie mögen ihr kurzes Pläsirchen haben, eines schönen Tags wischt die Bewegung das alles weg. Das ist doch ein Vorzug bei uns Kontinentalen, die wir den Einfluß der franz. Revolution ganz anders gespürt haben, daß bei uns so etwas nicht möglich ist. Ich schicke Dir heute auch The People’s Press, die was Berichte über die neuen Trades Unions betrifft, an die Stelle von Labour Elector getreten. Letzterer wie Du gesehn haben wirst bringt nichts Thatsächliches mehr, weil die Arbeiter platterdings nichts mehr mit ihm zu thun haben wollen. Was nicht hindert daß Burns, Mann & andre (namentlich von den Dockers) im Stillen noch viel mit Champion umgehn, & sich von ihm beeinflussen lassen. P. Press wird von einem blutjungen Fabian Dell, redigirt, zweiter Hauptmann ist der Pfaff Morris, beide sollen soweit anständige Leute sein & kommen den Gasleuten sehr entgegen. Leiterin der Gasleute (im Stillen) ist Tussy, & die Union scheint jedenfalls weitaus die beste. Die Dockers sind verdorben durch die Philisterbeihilfe & wollen’s mit dem Bourgeoispublikum nicht verderben. Dazu ist ihr Sekr. Tillett Todfeind der Gasleute deren Sekretär er vergebens zu werden suchte. Dockers & Gasleute gehören eigentl. zusammen, eine Masse sind im Sommer Dockers, im Winter Gasleute; daher schlugen letztere Kartell vor, daß wer Mitglied einer der beiden Unions sei bei Arbeitswechsel nicht gezwungen werde in die andre einzutreten. Dies schlugen die Dockers bis jetzt ab, verlangen daß der Gasarbeiter der im Frühjahr Docker wird, auch bei ihnen Eintrittsgeld & Beitrag zahle. Daher viel Unan-

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153. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 19. April 1890

nehmlichkeit. Überhaupt lassen sich die Dockers von ihrer Exekutive verdammt viel bieten. Die Gasarbeiter and General Labourers nehmen alle Unskilled auf & in Irland drängen sich jetzt auch die Ackerbautaglöhner hinzu – daher der Verdruß von Davitt, der nicht über Henry George hinaus geht & dessen irische Lokalpolitik sich hier bedroht sieht – obwohl ganz ohne Grund. Hier in London – südl. der Themse sind die Gasleute von der South Metropolitan Gas Co gehörig geschlagen worden, das war sehr gut, sie wurden zu üppig, glaubten alles im Sturm erobern zu können, ebenso gings ihnen in Manchester, jetzt werden sie ruhiger festigen erst die Organisation & füllen die Kasse. Tussy vertritt in der Union die Frauen & Mädchen von Silvertown (India Rubber &c Works) deren Strike sie leitete, & wird wohl nächstens ihren Sitz auf dem London Trades Council einnehmen. In so einem Land alter politischer & Arbeiterbewegung ist immer ein kolossaler Haufen traditionell überkommener rubbish der allmählig beseitigt werden muß. Da sind die Vorurtheile der skilled Unions – Engineers, Bricklayers, Carpenters & Joiners, Type Compositors &c, die alle zu brechen sind, die Eifersüchteleien der einzelnen Gewerke, die in den Händen & Köpfen der Leiter sich bis zu direkter Feindschaft & Bekämpfung unter der Hand zuspitzen, da sind die einander durchkreuzenden Ambitionen & Intriguen der Führer, der will ins Parlament, der auch, der in den County Council oder Schoolboard, der will eine allg. Centralisation aller Arbeiter stiften, der will ein Blatt gründen, der einen Klub &c &c – kurz es gibt Reibung über Reibung; dazwischen die Soc. League die auf alles herabsieht, was nicht direkt revolutionär ist (d. h. hier in England wie bei Euch: Was nicht sich darauf beschränkt Phrasen zu machen & sonst nichts zu thun) & die Föderation die noch immer thut als gebe es außer ihr nur Esel & Pfuscher, obwohl sie grade durch den neuen Zug der Bewegung es erst wieder zu einigem Anhang gebracht hat. Kurz wer nur die Oberfläche sieht, würde sagen es sei alles Zerfahrenheit & Personenkrakehl. Aber die Bewegung geht unter der Oberfläche fort, ergreift immer weitere Schichten & grade meist unter der bisher stagnirenden untersten Masse, & der Tag ist nicht mehr fern wo diese Masse plötzlich sich selbst findet, wo es ihr aufleuchtet daß sie diese kolossale sich bewegende Masse ist, & an dem Tag wird mit all der Lumperei & dem Krakehl kurzer Prozess gemacht. Natürlich sind obige Details über Personen & momentane Zerwürfnisse nur zu Deiner Information & dürfen um keinen Preis in die V. Z. Dies ein für alle mal – ich habe nämlich schon hier Proben gehabt daß Schlüter es in dieser Beziehung manchmal etwas gar leicht nimmt.

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Auf den 1 Mai bin ich sehr begirig. In Deutschland war es Pflicht der Reichstagsfraktion den übertriebnen Gelüsten entgegenzutreten. Die Bourgeois, die polit. Polizei bei der es jetzt „ums Brot geht“, die Herren Offiziere, sie alle möchten gern dreinschlagen & schießen, & suchen jeden Vorwand auf, dem jungen Wilhelm zu beweisen daß er nicht rasch genug schießen lassen kann. Das würde aber unser ganzes Spiel verderben. Erst müssen wir das Soz. Gesetz los sein, dh. den 30 Septbr überstanden haben. Und dann machen sich die Dinge in Deutschland gar zu prächtig für uns, als daß wir sie uns durch pure Renommage verderben sollten. Im Übrigen ist die Proklamation der Fraktion schlecht, sie ist von Liebknecht & der Blödsinn vom „allg. Strike“ ganz überflüssig. Aber einerlei wie, die Leute sind durch den 20. Febr. so gehoben daß sie einer gewissen Zügelung bedürfen um keine Dummheiten zu machen. In Frankreich kann der 1 Mai ein Wendepunkt werden wenigstens für Paris, wenn er die große Masse der zum Boulangismus dort übergelaufnen Arbeiter zu Besinnung bringen hilft. Das haben unsre Leute sich selbst zu verdanken. Sie haben nie den Muth gehabt dem Geschrei gegen die Deutschen, als Deutsche, gegenüberzutreten & jetzt erliegen sie in Paris dem Chauvinismus. In der Provinz stehts glücklicher Weise besser. Aber das Ausland sieht nur Paris. Wenn mir die Franzosen ihre Sachen einschickten so würde ich sie Dir schicken. Aber ich glaube sie schämen sich der Dinger selbst. Well, it’s in the French nature, sie können keine Niederlagen ertragen. Sowie sie wieder ein bischen Erfolg sehn wirds mit einem Mal anders. Herzliche Grüße an Deine Frau & Dich selbst. Ditto an Schlüters. Dein FE. Schorlemmer, ist vorigen Montag nach Manchester zurück. Wir beide ˙ ˙ ˙ ˙ ˙Zwangstemperenzler. Quelle horreur! sind strenge

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154 August Heinemann an Friedrich Engels in London London, Montag, 21. April 1890

London W. d. 21/4.1890. Werter Genosse! Übersende Ihnen hiermit inliegende Einladung, welche der Communistische Ar˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙˙˙ ˙erhielt. ˙˙ ˙ beiter Bildungs Verein heute Morgen nebst einer f. d. Verein bestimmten ˙Auf ˙˙˙ ˙der ˙ ˙˙Letzteren ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙war ˙˙ ˙ noch folgende Aufschrift: „Ein Prosit den Mitkämpfenden in Sachen der internat. Social-Demokratie von ihren Gesinnungsgenossen.“ Zugleich erlaube ich mir: Sie zu der, am 1. Mai d. J. in unserm Lokal stattfindenden internat. öffentlichen Volksversammlung zum Redner einzuladen u. freundlichst zu erbitten. Tagesordnung dieser Versammlung ist: der „Achtstündige Arbeitstag“. Ihrer geneigten Antwort entgegensehend zeichne ich mit höflichem Gruß Aug. Heinemann II. Secrt.

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155 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 22. April 1890

22 April 1890. Hochverehrter Herr Engels!

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Von der neuen Auflage des „Ursprung etc.“ (sie wird stereotypirt) gedenke ich vorerst 5000 Ex. abziehen zu lassen, später der Nachfrage entsprechend. An Honorar würde ich der Parteikasse M. 100.– per 1000 Ex. überweisen und zwar jeweils nach Beendigung des Drucks. Wenn die Aenderungen, Zusätze in ca. 10 Wochen hier sind, so kann die 2. Aufl. im September erscheinen. Das Honorar für den Aufsatz: „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums“ (12 Ex. empfangen Sie anbei) werde ich nach Ihrer Bestimmung gleichfalls der Partei-Kasse zuführen. ˙ ˙˙ ˙˙˙ Mit Hochachtungsvollem Gruß Ihr ergebener HDietz.

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156 Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels in London Wien, Dienstag, 22. April 1890

Wien 22 April 1890 Verehrter Meister! Verzeihen Sie, daß ich Ihre kostbare Zeit schon wieder in Anspruch nehme; ein Mißverständnis, dessen Folgen ich zu schwach bin dauernd auf meinen Schultern lasten zu laßen, zwingt mich zu einigen Bemerkungen. Ein Theil unserer Antisemiten macht auf Anregung ihres Oberhauptes Sozialpolitik, um sich die Basis, auf der das schwankende Gebäude ruht, zu befestigen. Die christlich-soziale Fraction, ist eine Mißgeburt, die kein Intereße erweckt; geringern Erfolg, aber mehr Intereßantes als dieser Arm des clericalen Polypen ist hat die sociale Fraction der deutsch-nationalen Antisemiten Schönererscher Livree. Es scheint nun, daß Sie mich für einen von den Theorien dieser Partei Angedunkelten halten, was mir in der Seel weh’ thut. Ehrenfreund wie Ehrenzweig -feld, fest etc sind in Östreich Namen, deren Träger nur Juden oder deren Abkömmlinge; ich bin Jude, als überzeugungstreuer Atheist, confeßionslos u. verachte Renegaten, Leute, welche ihre Religion aus praktischen Rücksichten wechseln, herzlichst. Sie schreiben nun: „Ob S i e mit dem Antisemitismus nicht mehr Unglück als ˙ ˙˙˙˙ ˙ ˙ ˙ Gutes anrichten, muß ich bezweifeln.“ Dieses˙ großgeschriebene „Sie“ hat mich erschreckt! u. mir die Feder mit unabweislichem Drängen in die Hand gedrückt, trotzdem ich mir sagte: „Du wirst zudringlich erscheinen!“ Es fällt mir ja gar nicht ein den Antisemitismus als Campfmittel zu empfehlen; ich suchte nur dem von der Mehrheit der Juden ebenso so gehaßten als gefürchteten Antis. eine „gute“ Seite abzugewinnen. Er erfüllt für mich den Zweck einer Clystiere, mittelst welcher dem verstopften Organismus der dem Tode verfallenen Bourgeoisie Erleichterung verschafft werden soll, nachdem dießbezügliche Versuche von vorne mit andern Mitteln versagten; in den Mund werde ich deßhalb dieses reizende Instrument nicht nehmen; gewiß nicht! Nein, nicht einmal in die Hand! – – Vielleicht intereßirt es Sie zu erfahren, daß die Garde Schönerer’s eine Zeit lang, die Wahrscheinlichkeit nachzuweisen suchte, daß Jesus als „Galiläer“ arischer Abstammung sei; der Versuch scheiterte u. so wurde Jesus kurzerhand über Bord geworfen und dessen Lehre, als mit dem wahren Antisemitismus unvereinbar, durch eine „neue“ Religion ersetzt.

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Die alte germanische Tradition sollte wieder aufleben u. das „Julfest“ wurde mit Pauken u. Trompeten gefeiert. So wiederholte sich auch hier ein weltgeschichtliches Ereignis als Farce! Characteristisch ist diese Thatsache jedenfalls. Auch Bismark, bisher ihr „Donnerer“, wurde in dem Momente von seinem Piedestal genommen, als seine Macht in Brüche ging. Für Ihre Ratschläge hinsichtlich des nun zu befolgenden Studiums (Smith, Ricardo, Marx) danke ich bestens; ich will nun versuchen, die Ehre von Ihnen beraten zu sein, zu verdienen u. zeichne als Ihr ganz ergebener Dory Ehrenfreund

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157 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 27. April 1890

Le Perreux 27/4/90 Mon cher Engels, Quel de´traquement bourgeois rien qu’a` l’annonce de la manifestation du premier mai: cela donne une ide´e de la peur des philistins le jour que la re´volution commencera son tour du monde. Il est vrai que cette agitation simultane´e des ouvriers des deux mondes est une promesse pour l’avenir et le phe´nome`ne le plus extraordinaire de ces dernie`res anne´es. Ici tout le monde perd la teˆte. Constans veut jouer au sauveur de la socie´te´, et se poser en ennemi re´solu du socialisme et de l’anarchie, et il multiplie les pre´cautions militaires pour le premier mai. Paris sera occupe´ militairement par la police, les gendarmes des communes environnantes, et par les troupes: il est capable d’e´tablir un parc d’artillerie aux Champs Elyse´es. Et cependant il a peur, ainsi que le prouvent les arrestations, et les perquisitions policie`res qui se produisent en province. Les journaux bourgeois commencent a` dire que la manifestation sera plus importante dans les de´partements qu’a` Paris, et cela pourra eˆtre vrai; et ils demandent que l’on ne les de´garnisse pas de troupes. Nous sommes e´tonne´s des nouvelles que nous recevons, nous n’eussions jamais cru a` une telle agitation. La manifestation du 1er Mai est la conversation ge´ne´rale et la pre´occupation constante des ouvriers parisiens; et il nous est impossible de pre´voir ce que sera la manifestation, qui par malheur tombe un jeudi, le jour de la semaine ou` les ressources ouvrie`res sont a` peu pre`s e´puise´es. La peur bourgeoise ne connaıˆt pas de bornes; il y en a qui annoncent qu’ils quitteront Paris; beaucoup de boutiquiers de´clarent qu’ils fermeront leurs magasins, a` cause du pillage. Et les journaux bourgeois qui ne songent qu’a` gagner de l’argent avec cette peur, consacrent tous les jours une colonne a` rapporter des nouvelles fantastiques sur la manifestation; tous ont adopte´ l’en-teˆte: Manifestation du 1 er Mai et rapportent fide`lement tous les canards que leur transmettent leurs reporters et le te´le´graphe. Et ces nouvelles agissent le plus de´plorablement sur le cerveau bourgeois. – Madame Crawford que j’ai rencontre´e aujourd’hui a` la Bibliothe`que me dit que dans le monde qu’elle fre´quente l’on pre´voit une de´baˆcle ge´ne´rale; elle-meˆme a l’air de croire que cela pourrait arriver. Aussi se met-elle a` e´tudier les origines du socialisme pour eˆtre au courant de la situation. Et savez-vous d’apre`s elle qu’est-ce qui a apporte´ le Socialisme en Europe ? –

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C’est le chole´ra de 1832, car c’est a` partir de cette e´poque que le mouvement socialiste commence en France. Un de ces jours vous lirez dans le Daily News ou ailleurs cette belle de´couverte et d’autres non moins fortes; comme par exemple que Louis Blanc, e´tait l’homme du devoir etc ... Avez-vous trouve´ dans les papiers de Marx son traite´ avec Lachaˆtre ? Ce vilain monsieur qui a repris la librairie qu’il avait ce´de´ a` son gendre Oriol, refuse d’imprimer le Capital, dont l’e´dition est e´puise´e. Si vous avez le traite´ envoyez-moi une copie, que je communiquerai a` Deville et lui, en sa qualite´ de licencie´ en droit, verra ce que l’on pourra faire contre Lachaˆtre pour le forcer a` re´imprimer ou a` ce´der a` un autre e´diteur le droit de publication. Laura vient de recevoir un manuscrit de Castelar de 60 pages; elle a de l’abrutissement pour quelques jours. C’est e´tonnant comme cet imbe´cile a du succe`s en Ame´rique, car c’est pour des journaux des Etats-Unis que son article est e´crit. Nous avons rec¸u une carte officielle nous annonc¸ant que Kautsky s’e´tait remis avec sa femme; c’e´tait ce qu’il avait de mieux a` faire. – Il paraıˆt que la fille de Bebel qui avait e´te´ e´tudier la philosophie a` Gene`ve, a trouve´ un fiance´ en attendant la sagesse; cela vaut peut-eˆtre mieux. Amitie´s a` tous et bien a` vous P. Lafargue.

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158 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 30. April 1890

London 30 April 90. Lieber Sorge Wenn hier in London nächsten Sonntag eine Riesendemonstration für den Achtstundentag zusammen kommt so verdanken wir das allein Tussy & Aveling. Tussy ist Delegierte für ihre Silvertown Arbeiterinnen im Rat der Gasworkers & General Laborers Union, & in diesem Council so populär daß sie nur our mother genannt wird. Die Gasleute – die beste der neuen Unions – waren sehr für die 8Stunden Demonstration da sie sowohl sich selbst die 8St. erkämpft, wie auch praktisch die Unsicherheit einer solchen bei erster Gelegenheit von den Kapitalisten wieder umgestoßnen Errungenschaft kennen gelernt, für sie wie für die Miners ist die gesetzliche Feststellung die Hauptsache. Also Gasworkers & Bloomsbury Socialist Society (die aus der Soc. League vor 2 Jahren ausgetretne beste Sektion, worin Leßner Tussy & Aveling) regten die Sache an, & bekamen starken Anhang unter den kleineren Tr. Unions & den Radical Clubs, die sich mehr & mehr in sozialistische Arbeiterklubs & Bourgeois-Gladstonische scheiden. Ganz ehrlich verfahrend, trugen sie dem London Trades Council an, sich zu betheiligen bei der geplanten Demonstration im Hyde Park. Dieser, vorwiegend aus Vertretern der alten, skilled Tr. Unions bestehend, (nächstes Jahr haben wir ihn auch erobert) sah daß die Sache nicht mehr zu umgehn war, & versuchte sich ihrer durch einen Staatsstreich zu bemächtigen. Er verständigte sich mit der S. D. Federation (Hyndman) & belegte den Hyde Park für den 4 Mai bei dem Commissioner of Works, was die Andern noch nicht gethan. Nämlich jedes im Park zu haltende größere Meeting muß dem Commissioner of Works vorher angezeigt werden & ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙˙Platforms ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ aufzustellen ˙ dieser bestimmt die Anzahl die sind &c. Da die Vorschrift zudem besagt daß am selben Tag zur selben Zeit kein zweites Meeting stattfinden darf, dachten die Herren sie wären jetzt Meister & könnten, nach Monopolisierung des Parks, dem ursprünglichen Comite´

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kommandiren. Sie hatten 7 Platformen belegt & davon der S. D. Fed. zwei überlassen, damit also, wie sie glaubten auch den Schein der Unparteilichkeit gegen die Soz. gerettet & obendrein einen soz. Alliierten. Sie beschlossen also, nur Trades Societies sollten mit Fahnen im Zug erscheinen & Redner stellen, keine polit. Vereine (also die Clubs ausgeschlossen). Sie redigirten die Resolution, worin the legal 8 Hours Day gestrichen & nur von durch Trades Unions Aktion zu erkämpfenden 8 St. die Rede war. Sie arrangirten den Zug, Marschrouten &c, und erst dann beriefen sie eine Delegirten Versammlung – nur von Trades Societies. Als dies kam, wurde 1) Tussy nicht zugelassen weil sie nicht selbst in dem Geschäft arbeite das sie vertrete! (& Herr Shipton der Präs. des Trades Council, hat seit 15–16 Jahren keinen Finger in seinem Fach gerührt!!) 2) ein Amendement, daß der legal 8 Hours Day wieder in die Resolution gesetzt, gar nicht zur Abstimmung oder Debatte zugelassen – dies sei bereits erledigt! 3) den Delegirten klärlich zu verstehn gegeben, der Tr. Council sei the man in possession, der Park gehöre ihm für den 4 Mai, & if they did not like it they could leave it alone. Große Wuth & Bestürzung unter den Delegirten des urspr. Komite´s. Aber am nächsten Tag wurde der Spieß umgedreht. Aveling ging zum C. of Works, erklärte daß wenn dem urspr. Komite´ nicht auch gleichzeitig eine genügende Anzahl Platformen bewilligt würden, es Krawall setzen werde; glücklicher Weise sind die Tories am Ruder (die Liberalen hätten sich herausgelogen & nichts bewilligt) & nicht in der Lage sich noch mehr Feinde unter den Arbeitern zu machen – Aveling erhielt sieben Platformen bewilligt, & nun war es an den Herren vom Trades Council klein beizugeben, denn ein Konflikt hätte nun erst recht gezeigt wie schwach sie sind. Unser Komite´ ging nun energisch vor, arrangirte seine Pläne & Marschrouten im Detail & veröffentlichte sie sogleich, so daß es zuerst fertig war; gestern kamen Aveling & Shipton zusammen & arrangierten alles so daß keine Kollision stattfinden kann, & so wird das Meeting Sonntag eins der größten das je da war. Dies kannst Du in der Volksz. veröffentlichen lassen, auch im Workman’s Adv., es wäre mir sehr recht wenn es den Herren englisch wieder zukäme von Amerika. Ich schicke Dir nun einige Stars, die Dir nach Obigem verständlich sein werden (N. B. in jedem Artikel sind gewöhnlich sowohl Nachrichten von unsrer Seite wie von den Andern, & zudem die von Reporters erhaltnen alle ohne Trennung nebeneinander gestellt.) Ferner Time für Mai. Auch ein Paket Combats (gehört uns, Guesde Chefredakteur) & darin die Wiener Arb. Ztg. Die in Bebels Korresp.

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158. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 30. April 1890

enthaltnen Drohungen mit Herauswerfen gehn auf Schippel – einen Hauptintriganten aber sehr geschickten Mogler, den Liebk. vor Jahren entdeckt & in die Partei eingeführt hat, & jetzt tödlich haßt. Sch. ist glücklicher Weise feig wie Hyndman. Dies ist unser erster großer Sieg in London & beweist daß wir jetzt die Massen auch hier hinter uns haben. Von der S.Dem. Föderation, die zwei eigne Platformen hat, marschiren 4 starke Branches mit uns & sind auf unserm Comite´ vertreten. Ebenso mit vielen skilled Trades – die altüberkommenen Führer gehn mit Shipton & dem T.Council, die Massen mit uns. Das ganze East End geht mit uns. Die Massen hier sind noch nicht sozialistisch aber auf dem Weg dahin, & schon soweit daß sie nur noch sozialist. Führer haben wollen. Der Trades Council ist die einzige der Rede werthe Arbeiter-Organis. die noch antisoz. ist, aber auch da ist schon eine soz. Minorität & sobald die Gasworkers drin sind – die bisher durch allerhand kleine Kniffe draus fern gehalten, gehts rasch. Ich bin überzeugt daß nach dem 4 Mai die hiesige Bewegung einen ganz andern Charakter erhält, & Du wirst dann mehr von Tussy hören in der Öffentlichkeit. Wir haben den Klünglern von Tr. Council & der S. D. F. gezeigt daß wir ihren Kniffen & Listen gewachsen sind, & sosehr das Volk uns haßt, so werden sie gegen die Thatsachen nicht ankommen. Jetzt endlich scheint das engl. Proletariat in Masse in die Bewegung zu kommen & ist das der Fall so sind in einem Jahr all die kleinen Klüngler, Mogler & Gerngroße entweder an ihren bescheidnen Platz verwiesen oder weggeschwemmt. Neue Aufl. des Manifests im Druck – ehe das Soz. Gesetz verschwindet wollen wir noch eine 5000 Ex. nach Deutschland werfen. Prachtvoller Frühlingstag. In 8 Tagen sind Nägelchen, Weiß- & Rothdorn, Goldregen & Apfelblüthe heraus – Kirschen blühn schon seit 5 Tagen. Halt Dich wohl sammt Deiner Frau – Herzliche Grüße an Euch Beide. Dein F. E. Du weißt daß Labor Elector kaput – hatte 23 000 Aufl. während des Docker-Strikes – aber Torygeld verdarbs!

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159 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 30 April 1890

Hoboken, 30 April 1890. Lieber Engels!

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Deine Briefe v. 12 u. 19 April habe ich richtig erhalten, auch Time u. Postkarte, – die letztere habe ich sofort beantwortet. Daß du dich auf keine Abmachung wegen der Miquel’schen Briefe einlassen willst, habe ich Schlueter mitgetheilt. Mir selbst lag Nichts daran, wie ich dir auch damals geschrieben. Deine Warnung vor Mittheilungen an Schl. werde ich befolgen, habe ihm auch bisher immer nur Allgemeines u. manchmal Bruchstücke zu kosten gegeben, meistens schriftlich, so daß ich es immer kontrolliren kann. Sollte irgend eine Indiscretion auf Schl’s Beziehungen zu mir zurückzuführen sein – was ich übrigens bezweifle – so theile mir es mit, damit ich mich danach richten kann. Deine Beurtheilung der Volkszeitungsleute ist ganz richtig. Cuno besonders ist ein Sensationsjäger ersten Ranges, u. Schewitsch kaum weniger. Der Letztere (Schew.) hat, wie es scheint, Frieden mit der russischen Regierung geschlossen – wahrscheinlich durch Vermittlung seines Bruders – u. wird wohl noch diesen Sommer nach Rußland zurückkehren. Vor einiger Zeit wurden durch das russische Generalkonsulat seine Schulden bezahlt (das ist Factum) u. die Unterhandlungen wegen seiner Rückkehr sollen nur in die Länge gezogen worden sein durch die Abneigung seiner russischen Verwandten gegen seine Frau, die bekannte Lassallische Helene. – Die 8 Stundenbewegung, d. h. die Arbeiterbewegung ist auch hier in vollem Gange, obwohl noch nicht mit der englischen zu vergleichen. Das kann aber noch werden. Chicago steht wieder im Vordertreffen, hoffentlich gewitzigt. New York ist lahm. Den „Nationalist“ werde ich Dir auch ferner zusenden lassen, damit Du so viel als möglich aus erster Hand erfahrest, was hier vorgeht. Es sind traurige Kerle, diese Nationalisten, u. die christlichen Socialisten sind ihnen weit überlegen. Sie (die Nat.) sind übrigens mit den Fabians noch gar nicht zu vergleichen in Handeln, Wissen u. Können, so gering es auch mit den Letzteren darin bestellt sein mag, u. dabei ist die Aufgeblasenheit u. Eitelkeit der Nat. thurmhoch u. wird nur aufgewogen durch ihre Unwissenheit. Aber – es zieht bei den Amerikanern, d. h. den Kleinbürgern. In Kalifornien, wo sie am Stärksten, haben sie sich schon bei den Köpfen gekriegt. –

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159. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 30. April 1890

Tussy’s Auftreten in der Bewegung (Silvertown, Northhampton etc.) macht mir viel Freude. Grüße sie herzlich! Kein Wunder, daß Davitt u. Kons. verdrießlich sind über die „neuen Minus“. Wenn die irischen Proletarier sich wirklich organisiren, ist es mit Parnell u. Co aus. Daß ich „The People’s Press“ erhalten siehst Du aus dem Vorhergehenden. Das Blatt ist nicht übel, zeigt aber den „liberalen“ Pferdefuß auch. – Ich bedaure Dich u. Schorlemmer aufrichtig wegen der Zwangsenthaltsamkeit ˙˙ ˙bekommt. ˙ ˙˙ u. hoffe, daß Ihr bald Dispens Nun Glück auf zu morgen – 1 Mai! Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey, U. S. A.

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Tout se passe admirablement; une quantite´ conside´rable d’ouvriers en costume de travail se prome`nent non chalamment sur les boulevards; se rendant vers la place de la Concorde, que nous venons de traverser avec Laura. Une masse e´norme de sergents de ville et de dragons garde la place et empeˆche tout attroupement; de temps en temps il y a des charges pour repousser la foule qui ce`de de bonne humeur; cependant on rapporte des actes de brutalite´ de la police. La foule est de´sappointe´e on s’attendait a` une e´meute, a` du tapage; Constans en portera les conse´quences. Il a voulu faire peur aux Parisiens pour se poser en sauveur, et l’on voit que l’on n’avait a` craindre aucun danger. Son spectre socialiste qui devait remplacer l’e´pouvantail boulangiste de´moli aux e´lections dernie`res, a rate´. Demain on le blaguera et probablement il sera oblige´ de vider le ministe`re. Il est tre`s heureux que tout soit calme; car on avait fait courir dans les faubourgs des bruits d’emeutes boulangistes. – Peut-eˆtre que ce soir Constans prendra sa revanche et fera des troubles. Beaucoup d’ateliers choˆment, c’est l’important; c’est une ve´ritable feˆte. On dit que Guesde est arreˆte´, c’est faux; je n’ai pas e´te´ inquie´te´. La police ignore peut-eˆtre mon adresse, connue de tout le monde. Rien de beˆte comme la police. Nous buvons un bock a` l’honneur du Premier Mai. Laura vous envoie ses amitie´s. Bien a` vous et a` tous P Lafargue

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161 Das Redaktionskomitee von „L’Ide´e Nouvelle“ an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 4. Mai 1890

4/5/1890 Cher citoyen Engels Le 1er Janvier 1890, nous faisions paraıˆtre le premier nume´ro de l’Ide´e Nouvelle. Les efforts qu’il nous a fallu de´penser pour cre´er cet organe de propagande socialiste et le re´pandre, peuvent eˆtre appre´cie´s par tous ceux qui ont plus ou moins approche´ le combat socialiste. Aujourd’hui que notre œuvre est connue, sa ligne de conduite juge´e, nous croyons pouvoir, nous adressant a` tous les socialistes sans distinction de nationalite´, faire appel a` la solidarite´ de tous ceux qui nous approuvent et ne nous ont pas me´nage´ les marques de sympathie. Nous voudrions re´pandre plus encore notre revue, en re´duire le prix ou en augmenter le format. Mais, si nos efforts sont nombreux, nos ressources sont restreintes. Pour y supplier, nous ouvrons une souscription mensuelle, comportant, pour nos amis, l’engagement de verser regulie`rement tous les mois, la somme qu’ils se fixeront eux-meˆmes. Confiants dans votre bienveillante solidarite´ et convaincus que vous n’he´siterez pas a` contribuer au succe`s de notre œuvre, nous vous adressons, cher citoyen, nos fraternels remerciements. Le Comite´ N. B. Les souscriptions doivent adresse´es au citoyen L. Alexandre, 8 Rue du Croissant, Paris.

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162 F. Roux an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 4. Mai 1890

4/5/1890 Cher citoyen Engels

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Nous vous adressons les 4 premiers Nos de l’Ide´e Nouvelle, nous serions tre`s heureux si vous pouviez nous faire parvenir de temps a` autre un article. Non pourriez-vous pas avoir l’extreˆme bonte´ de nous faire une correspondance sur la ˙ ˙ ˙ Internationale du 1r Mai. manifestation En un mot Citoyen Engels, c’est avec le plus grand plaisir que nous vous ˙˙ ˙ ˙ ˙˙ lirons. Recevez toutes nos sympathies. Le Comite´ de publication G. Robelet, Dutauziet, Alexandre, J. Le´pine, Roux, Foure`s, Dayre, Maze`re, Baudin de´pute´. Le se´cre´taire F. Roux

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163 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Montag, 5. Mai 1890

Illustre Amico Continuo a ricevere puntualmente da Stuttgart il «Neue Zeit» sebbene non abbia potuto ancora pagarne l’abbonamento. Distintamente La ringrazio pel No di maggio, in cui aveva gia` letto col piu` grande interesse, l’interessantissimo e bellissimo articolo sulla politica russa, che sto traducendo, augurandomi che me ne sia concessa presto la pubblicazione nei giornali italiani. Per essere piu` sicuro della esattezza della traduzione, manderei i manoscritti se non temessi d’incomodarla e rubarle il di Lei tempo tanto prezioso. – Ossequiandola, rimango con la piu` sentita stima. Benevento 5.5.90. Di Lei Devot.mo Servitore Pasquale Martignetti. Al Chiarissimo Sig. Engels Federico 122 Regents Park Road N. W. Londra Inghilterra

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164 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Riva, Dienstag, 6. Mai 1890

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Lieber Engels! Du erwartest jetzt wohl keinen Brief von mir. Beifolgend sende ich die Aushängebogen zurück – leider ungelesen. Die Ereignisse überstürzten sich derart, daß ich nicht dazu kam, sie zu lesen. Ich nahm sie auf die Hochzeitsreise mit, ich hoffte, Zeit zu finden, sie da zu lesen – nun schreibt mir Ede, Du hättest sie gern zurück. So muß ich sie ungelesen retourniren. Was sagt Ihr zum 1. Mai in Wien? Ich bekomme Respekt vor den Wienern. Lebt wohl, beste Grüße von mir und unbekannter Weise von meiner Frau an alle. Dein K. Kautsky Friedrich Engels Esq. 122 Regents Park Road London N. W. England

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165 Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 6. Mai 1890

13 Grove Gardens St. John’s Wood May 6, 1890 Dear Mr Engels I write just to tell you how delighted I was with your article upon Russian Foreign policy, and how thankful to you for having written it.––I have received the Times but I thought I have already seen the article and have not read it on that account. But I took it on Sunday when I returned home and could not put it off. Really I never read anything so splendid upon the subject and I will reprint its concluding part in the next issue of my paper for the edification of our English and American Friends (the Free Russia I mean, the first N of which will appear in a few days).––I absolutely agree with all you said and have myself spoken in the same line––though I wish I could speak half so well.––Please excuse me for telling you all this. I am writing to Zassulich and will tell her what you said about your Social Dem. Polemics. The Russians are so little accustomed to public life that some of the elementary principles must be sometimes explained to them. Yours very sincerely S. Stepniak

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166 Wilhelm Hoffmann an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 8. Mai 1890

31 Carburton Street Great Portland Str. W. 8 May 1890. Werther Herr Engels 5

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Infolge der unrichtigen Addresse (es war nicht 3 sondern 13 Francis Str.) und ferner wegen Meinen Umzug nach obiger Addresse habe Ich bedauerlicher Weise Ihren Brief vom 15/4 und das kleine Packet erst kürzlich zu gekommen, werde also sofort an Herrn Kullrich Prochwitz schreiben und Mich mit denselben in Verbindung setzen. Mit sozialdemok. Gruß WHoffmann

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167 Sophie Scherzer an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 8. Mai 1890

49 Grafton strrit Fitzroy Square London den 8ten Mai 1890 Geerter Herr Engels. ich muß mir mein existedens mahl Schreiben, das ich Nich verhungern kan hir in London ich habe Schon in 6 Wochen keine Arbeit und ich bien auch Nich Wohl zu arbeiten. So Wolte ich Nach Hamburg Reisen bei mein Viefemilichen zu Sein die können mir doch weniegs auf warten wen ich Nich Wohl bien den die ist großt hir habt ich keinen Menschen das wiel auch Alles bezahlt Sein. ich habt of mahl gesagt zu Scherzer wie der Noch am leben war wie ich es machen Solte wen der Scherzer Solte mahl Sterben. o Sagte er zu mir für die Wiedwen würde immer für gesorgt und habt bieß jetzs Noch Nichts bekomen ich weiß auch Nich wo hin den der Herr Strochwasser Noch am leben war da wüste ich und bien Schon 47 Jahren in London und mein Alter ist 67 Jahren gewessen wen das Nich für die miethte wer die woche ist immer So Schnel hien und Alle meine Sachen Siend auf fand, und Nichts mer habe mit ein Vund kan ich Schon meine Sachen aus fand holen und auch mit Nach Hamburg S Scherzer

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168 Friedrich Engels an August Bebel in Plauen bei Dresden London, Freitag, 9. Mai 1890

London 9 Mai 90. Lieber Bebel

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Dank für Deine Züricher Mittheilungen – es freut mich daß wir auch über diesen Punkt zur gleichen Ansicht gekommen sind. Mir war Deine Bestätigung besonders wichtig, unsereins ist in derartigen Sachen so sehr auf Schlüsse mit ungenügender Grundlage angewiesen, daß man nicht gern wieder solche unsichre Schlüsse als Grundlage für weitere Folgerungen, & gar Handlungen, sich dienen läßt ohne Bestätigung von kompetenter Seite. Zur Verlobung Deiner Tochter meinen herzlichen Glückwunsch Dir & Deiner Frau. Daß sie später zu einer Übersiedlung nach Amerika führt ist Euch sicher sehr fatal, könnte aber doch die eine, für mich angenehme Folge haben daß wir zwei einmal zusammen nach Amerika hinüberdampften. Was meinst Du? Ich bin fest überzeugt, nach 2–3 Tagen wäre Deine Seekrankheit verschwunden & wahrscheinlich so ziemlich für immer. Und zur Erholung von Strapazen ist eine solche Seereise unbezahlbar – ich spüre die Nachwirkung meiner Spritztour vor nun fast zwei Jahren noch immer. Zudem behauptet Zadek ja ein sichres Mittel gegen Seekrankheit zu haben (Antipyrin soll sehr gut sein), & nach ärztlichen Angaben sollen nur 2–3 Prozent der Menschheit unfähig sein sich in 2–3 Tagen an die Bewegung zu gewöhnen. Also überlege Dir die Sache. Wenn Du an meinem Artikel Mangel an Logik verspürst, so ist das wohl mehr meine eigene Schuld als die von Blos. Eine so lange & komplizirte Historie auf weniger als 2 Druckbogen zusammen zu fassen ist ein schweres Kunststück, & ich bin mir bewußt daß es Stellen genug darin gibt wo der Zusammenhang unklar & die Motivirung ungenügend ist. Für eine spätere etwas ausführlichere Bearbeitung des Gegenstandes – der für uns von der höchsten Wichtigkeit – wären mir Deine kritischen Noten äußerst erwünscht – nur kurze Andeutungen wo & wie Du den Faden unterbrochen oder verwickelt findest.

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168. Engels an August Bebel · 9. Mai 1890

Die Bourgeoisie der ganzen Welt hat nun wohl Zeit gehabt ihre vor dem 1 Mai ausgestandene Angst auszuschwitzen & ihre bei der Gelegenheit verunreinigte Wäsche wieder zu reinigen. Der Daily News Korrespondent in Berlin, der einer der stärksten Heulmeier war, beklagte sich ˙ ˙ Mai ˙ ˙ ˙ darüber daß die Arbeiter die ganze Welt in den April geschickt am˙ 1. hätten & besann sich erst nach 4 Tagen dahin, daß allerdings die Arbeiter schon vorher immer & immer erklärt hätten sie wollten nur eine friedliche Demonstration machen, man habe ihnen aber nicht geglaubt! Ihr hattet ganz Recht die Sache so einzurichten daß Kollisionen unmöglich waren. Die deutschen Arbeiter haben nach dem 20 Februar nicht mehr nöthig bloßen Lärm zu schlagen. Unter den Umständen mußte Deutschland am 1 Mai bescheidener auftreten als die andren, & das hat Euch auch Niemand verdacht weder hier noch in Frankreich. Aber aus der Schippelei könnt Ihr, glaub’ ich, eine Lehre ziehn: das nächste Mal dafür zu sorgen daß der Fraktionsvorstand während des Interregnums zwischen Neuwahl & Zusammentritt des Reichstags entweder fortzufungiren beauftragt ist oder von den Neugewählten ausdrücklich für das Interregnum in seinem Amt bestätigt wird. Dann kann er mit Sicherheit einschreiten & handeln wo nöthig, & wird den Herren in Berlin die gern nach Pariser Art sich als natürliche Parteileiter geriren wollen, keine Gelegenheit geben sich vorlaut wichtig zu machen. Vorausgesetzt daß nach dem 1. Oct. die Organisation so bleibt wie jetzt. Hier war die Demonstr. am 4 Mai geradezu überwältigend, & selbst die gesammte Bourgeoispresse muß dies zugestehen. Ich war auf Platform 4 (einem großen Güterwagen) & konnte nur einen Theil – 1/5–1/8 – der Masse übersehn, aber es war Kopf an Kopf soweit das Auge reichte. 250–300 000 Menschen, davon über 3/4 demonstrirende Arbeiter. Aveling, Lafargue & Stepniak sprachen von meiner Platform – ich war bloß Zuschauer. Laf. erregte einen wahren Sturm des Beifalls mit seinem scharf französisch akzentuirten aber sehr guten Englisch & seiner südlichen Lebhaftigkeit. Auch Stepniak – ebenso hatte Ede, auf der Tribüne wo Tussy war, einen brillanten Empfang. Die 7 Platformen waren je 150 Meter von einander, die letzten 150 Meter vom Ende des Parks – also über 1200 Meter lang, & reichlich 400–500 Meter breit was unser Meeting (das für den internationalen gesetzlich einzuführenden 8 St. Arbeitstag) & alles gedrängt voll, & jenseits waren die 6 Platformen des Trades Council & die 2 der Soc. Dem. Federation, aber kaum halb so stark besetzt von Publikum wie die unsern. Alles zusammen die riesigste Versammlung die je hier gehalten. Dabei ein brillanter Sieg speciell für uns. Die Details wirst Du aus Ede’s Korresp. im Volksb. gesehn haben. Trades Council & S. D. Fed.

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Flugblatt der „Legal Eight Hours and International Labour League“

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hatten uns wie sie glaubten, den Park weggestohlen für den Tag, aber sie wurden geprellt. Aveling brachte den Minister der öffentl. Arbeiten dahin, uns auch 7 Platformen im Park zu bewilligen, was eigentlich gegen die Vorschrift. Aber glücklicher Weise waren die Tories am Ruder & es gelang, sie einzuschüchtern: unsre Leute hätten sonst die Platform der andern gestürmt, hieß es. Und unser Meeting war das größte, das am besten organisirte, das begeistertste. Die große Masse ist hier jetzt schon für Achtstundengesetz. Aveling & besonders Tussy haben die ganze Sache gemacht, & seitdem eine ganz andre Stellung hier in der Bewegung als vorher. Die „Union der Gasarbeiter & Arbeiter überhaupt“ – bei weitem die beste der neuen – hat sie redlich unterstützt & ohne sie wäre die Sache unmöglich gewesen. Jetzt gilt es das Comite´ das unser Meeting organisirt – Delegirte von Tr. Unions, radikalen & socialist. Klubs – zusammenzuhalten & zum Kern der Bewegung hier zu machen. Dies wird wohl heute Abend eingeleitet werden. Soviel ist sicher, die Arbeiter, die Bourgeois, die Chefs der alten faulen Trades Unions & der vielen polit. & sozialen Sekten & Sektchen & die Streber & Stellenjäger & Literaten die die Bewegung ausbeuten wollen, wissen genau daß die wirkliche sozialistische Massenbewegung mit dem 4 Mai begonnen hat. Jetzt endlich sind die Massen im Gang, & werden nach einigen Kämpfen & etwas Hin- & Herschwanken den persönlichen Ambitionen, den Ausbeutungsgelüsten der Streber, den Rivalitäten der Sekten ebenso ein Ende bereiten wie seinerzeit in Deutschland geschah, & jedem seine richtige Stelle anweisen. Und da der internationale Sinn sich sehr stark dabei entwickelt, werdet Ihr bald merken welche neuen Bundesgenossen Ihr habt. Die Engländer stehn in ihrer ganzen Art des Handelns, Agitirens & Organisirens uns viel näher als die Franzosen & ist hier erst alles im richtigen Gleise & die unvermeidlichen ersten innern Friktionen überwunden, so werdet Ihr ganz famos mit diesen Leuten zusammen marschiren. Was gäb’ ich drum, wenn Marx dies Erwachen noch erlebt hätte, er, der so genau auf das kleinste Symptom achtete, grade hier in England! Von dem Plaisir das ich diese letzten 14 Tage erlebt, habt Ihr keine Vorstellung. Es kommt aber auch dick. Erst Deutschland im Februar, dann der 1 Mai drüben & in Amerika, & nun dieser Sonntag, wo seit 40 Jahren zum ersten Mal wieder die Stimme des englischen Proletariats ertönt. Ich trug den Kopf zwei Zoll höher als ich von dem alten Güterwagen herabstieg. Grüße an Deine Frau & Singer Dein F. E.

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169 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 10. Mai 1890

London 10th May 1890. My dear Laura Only a few lines this busy Saturday––I am awfully behindhand with my correspondence––to thank you for your card & to enclose the £ 20.– cheque I promised Paul. I also send you the People’s Press with report of Sunday last. It was tremendous. England at last is stirring, and no mistake. And it was a great victory for us specially, for Tussy & Aveling who with the help of the Gas Workers (by far the best Union out amongst the new ones) have done it all. In their naı¨vete´ they had called in the Trades Council without ensuring to themselves the possession of the Park first. The Trades Council, allying itself with Hyndman & Co, stole a march on them, & applied for platforms for Sunday at the Office of Works & got them, thus hoping to shut us out & being able to command; they attempted at once to bully us down, but Edward went to the Office of works & got us too 7 platforms––had the Liberals been in, we should never have got them. That brought the other side down at once, & they became as amiable as you please. They have seen they have to do with different people from what they expected. I can assure you I looked a couple of inches taller when I got down from that old tumbling waggon that served as a platform––after having heard again, for the first time since 40 years, the unmistakeable voice of the English Proletariat. That voice has been heard by the bourgeois too, the whole press of London & the provinces bears witness to that. Paul spoke very well––a slight indication of the Universal Strike dream in it, which nonsense Guesde has retained from his Anarchist days–– (whenever we are in a position to try the universal strike, we shall be able to get what we want for the mere asking for it, without the roundabout way of the universal strike). But he spoke very well, & in remarkably grammatical English too, far more so than in his conversation. He was received best of all, & got a more enthusiastic cheer at the end than anyone else. And his presence was very opportune as we had on our

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169 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 10. Mai 1890

London 10th May 1890. My dear Laura Only a few lines this busy Saturday––I am awfully behindhand with my correspondence––to thank you for your card & to enclose the £ 20.– cheque I promised Paul. I also send you the People’s Press with report of Sunday last. It was tremendous. England at last is stirring, and no mistake. And it was a great victory for us specially, for Tussy & Aveling who with the help of the Gas Workers (by far the best Union out amongst the new ones) have done it all. In their naı¨vete´ they had called in the Trades Council without ensuring to themselves the possession of the Park first. The Trades Council, allying itself with Hyndman & Co, stole a march on them, & applied for platforms for Sunday at the Office of Works & got them, thus hoping to shut us out & being able to command; they attempted at once to bully us down, but Edward went to the Office of works & got us too 7 platforms––had the Liberals been in, we should never have got them. That brought the other side down at once, & they became as amiable as you please. They have seen they have to do with different people from what they expected. I can assure you I looked a couple of inches taller when I got down from that old tumbling waggon that served as a platform––after having heard again, for the first time since 40 years, the unmistakeable voice of the English Proletariat. That voice has been heard by the bourgeois too, the whole press of London & the provinces bears witness to that. Paul spoke very well––a slight indication of the Universal Strike dream in it, which nonsense Guesde has retained from his Anarchist days–– (whenever we are in a position to try the universal strike, we shall be able to get what we want for the mere asking for it, without the roundabout way of the universal strike). But he spoke very well, & in remarkably grammatical English too, far more so than in his conversation. He was received best of all, & got a more enthusiastic cheer at the end than anyone else. And his presence was very opportune as we had on our

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platform two or three philistine speakers qui faisaient dormir debout leurs auditeurs, so that Paul had to waken them up again. The progress made in England these last 10–15 months is immense. Last May the 8 hours working day would not have brought as many thousands into Hyde Park as we had hundreds of thousands. And the best of it is that the struggle preceding the demonstration has brought to life a representative body which will serve as the nucleus for the movement, en dehors de toute secte: the Central Committee consisting of delegates of the Gas Workers & numerous other Unions––mostly small, unskilled Unions & therefore despised by the haughty Trades Council of the aristocracy of labour––and of the Radical Clubs worked for the last two years by Tussy. Edward is chairman of this Committee. This Comm. will continue to act & invite all other Trade, political & socialist societies to send delegates, & gradually expand into a central body not only for the 8 hours Bill but for all other revindications––say, to begin with, the rest of the Paris resolutions & so on. The Comm. is strong enough numerically not to be swamped by any fresh accessions, & thus the Sects will soon be put before the dilemma either to merge in it & in the general movement, or to die out. It is the East End which now commands the movement & these fresh elements, unspoiled by the “Great Liberal Party” show an intelligence such as––well I cannot say better than such as we find in the equally unspoiled German workmen. They will not have any but Socialist leaders. Well now make up your mind & put your house in order so as to be here before the month is out. Let us know when it will be most convenient to you. We only hope that by then the present miserable weather will have exhausted itself––Yesterday we had fires all day again! Ever yours F. Engels Love from Nim.

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170 Robert Edward Dell an Friedrich Engels in London London, Montag, 12. Mai 1890

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Dear M Engels, I enclose the photographs of Mrs Aveling & Lafargue, for which many thanks. I am sorry I have not sent them before.–– Ys very truly Robert E. Dell

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171 Paul Singer an Friedrich Engels in London Berlin, Dienstag, 13. Mai 1890

Berlin 13.5.90. Lindenstraße 44. Mein lieber verehrter Freund! 5

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Dein Brief über den Antisemitismus läßt mir keine Ruhe; ich muß Dir die Hand drücken für das freundliche Wort der Anerkennung, mehr aber noch über den ˙ ˙ ˙ beglückenden Freundschaft. Ausdruck Deiner mich Hier giebt es für die nächsten Monate scharf zu arbeiten; abgesehen von dem Reichstagskrempel, bei dem etwas Vernünftiges natürlich nicht herauskommt – denn der zwischen zwei Stühlen sitzende Socialreformer auf dem Thron, kann weder uns ernsthafte Koncessionen machen noch den Gegnern fühlbar auf den Leib rücken – müssen wir die Sommermonate benutzen um die, bei Aufhören des Soz. Gesetzes nothwendig werdende, Neuorganisation der Partei vorzubereiten. Ich habe dem Alten zugeredet, daß er nach hier kommt u. die Chefredaktion des „Volksblatt“ übernimmt, ebenso bin ich der Meinung daß Bebel nach Bln zieht; da unser Wasserkopf nun einmal zum Brennpunkt des öffentlichen Lebens in Deutschland geworden ist, ziemt es sich auch für uns „many“ zu sein, und außerdem sind wir in der „Höhle des Löwen“ am Besten aufgehoben. Dazu kommt daß alle geistigen Hilfsmittel hier bei der Hand sind und da ich es für unsinnig halte, daß Bebel u. Liebknecht ihre Zeit und Kraft in dem sächsischen Froschteich verpuffen, so giebt die Übersiedlung nach hier die beste Gelegenheit auch diesem Zustand ein Ende zu machen. Dann aber kommt auch namentlich in der ersten Zeit nach Fortfall des Soz. Gesetzes, viel darauf an, daß vernünftige Leute die Parteigeschäfte führen und da Berlin, nach Lage der Verhältnisse, Sitz des Parteivorstandes werden soll, es hier aber an nach allen Richtungen hin zweifelhaften Elementen nicht fehlt – die Schippel’schen auf der einen, und die Polizeifreunde auf der anderen Seite – ist es durchaus nothwendig, daß allen Aspirationen ein Riegel vorgeschoben wird dadurch daß die beiden Alten die Kaiserstadt durch ihre Anwesenheit verschönern. Nazi kommt ebenfalls, und dann mag man dazu wählen wen man will, darauf kommt es nachher gar nicht an. Wenn Du Lust und Zeit hast, wäre es mir sehr lieb, Deine u. eventuell auch ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Ede’s u. Julius Ansicht über diese Angelegenheit zu hören. Eine andre nicht minder wichtige Aufgabe für die nächste Zeit ist die Regelung der Preßverhältnisse in der Partei; mit den großen Organen sind wir ja glückli-

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171. Paul Singer an Engels · 13. Mai 1890

cherweise im Reinen, aber die kleineren Blätter machen uns viel Arbeit. Es ist ganz erstaunlich welchen Aufschwung überall unsre Presse nimmt und die Blätter schießen wie die Pilze aus der Erde. Natürlich sind sie auch danach; aber mit den Zeitungen machen es unsre Leute wie mit den von Anfang an unmöglichen Streiks; sie müssen durch Schaden klug werden. Wenn irgenwo eine Handvoll Geld ist, fühlen einige Leute das Bedürfniß Redakteur, Expedient usw. zu werden u. dann hilft es Nichts, dann wird so lange die Nothwendigkeit eines eignen Lokalblattes nachgewiesen bis die Gründung desselben vorgenommen u. das vorhandene Geld damit verplempert wird. Da ist Nichts zu machen; zum Glück schaden uns alle Dummheiten Nichts, es geht doch riesenmäßig vorwärts. Der erste Mai ist der Bourgeoisie arg in die Glieder gefahren; Du kannst Dir gar nicht denken welch blödsinnige Angst die Gesellschaft gehabt hat man hört gradezu unglaubliche Einzelheiten. Die militairischen Vorbereitungen sind schließlich noch das Wenigste, sie sind wohl eingegeben worden von dem Wunsche eine eventuell günstige Gelegenheit ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Gesellschaft war dernicht zu versäumen, aber das Benehmen der bürgerlichen artig, daß man merkt wie nahe sich die herrschenden Klassen dem Zusammenbruch fühlen, und das Gebahren vor und zu dem 1 Mai kennzeichnet sich einfach als der Ausdruck des bösen Gewissens Unsre Leute haben sich überall prächtig benommen; das Jahr 1890 meint es gut mit uns; der 20 Februar, der 1te Mai und der 30 Septbr, drei Siegestage für die Partei; eine Kapitalsanhäufung, deren Zinsen schon eine Weile vorhalten. Was denkst Du im Sommer zu beginnen? Wenn Alles klappt komme ich im September herüber, vorher heißt es aber noch den Parteitag fertig machen, denn Anfang October muß derselbe stattfinden. ˙ ˙ ˙ Schluß der Session gehe ich wieder mit meiner Schwester, die wieder Nach immer mehr herunterkommt, und deren Zustand mir schwere Sorge macht, nach Friedrichrode; eine Kur soll sie nicht mehr durchmachen sondern nur versuchen durch gute Luft etc die gesunkenen Kräfte zu heben. Wie steht es mit Deinen Augen u. dem sonstigen Befinden? mir geht es gesundheitlich so ziemlich; mein Magen geht zwar seine eignen Wege, u. wenn er es zu arg treibt, werde ich wohl oder übel mal eine gehörige Portion Karlsbaderwasser schlucken müssen; vorläufig habe ich keine Zeit daran zu denken Nun addio; leb wohl nimm für Dich, und Alles was zum Bau gehört die allerschönsten Grüße und laß mal ein Wort hören. treulichst Dein Paul Singer

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172 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 15. Mai 1890

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Brief v. 30 April erhalten u. nach Wunsch verwendet, wie Du aus der Volksztg. v. 10 Mai ersehen wirst. Für Zusendung der französischen Blätter (Combat, Cri du Trav. etc.), des „Star“ „Time“ etc besten Dank. Bitte um Fortsetzung. Sei so gut u. nimm Kenntniß v. anliegendem Brief u. gib ihn dann Bernstein mit der Bitte, ihn im Sozial-Demokrat zu veröffentlichen. Wir haben den Brief gestern an Sartorius abgesandt. Bin heute in Eile, schreibe aber bald Mehr. Gruß Dir u. den Unsrigen. Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey U. S. A.

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173 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Samstag, 17. Mai 1890

17 may ’90 Petersburg Honourable Sir The present editor and publisher of the “Northern Review”, Mrs. Evreinov, has sold it. She has tried more than once to publish the article of Mr. Lafargue, but in ˙ ˙ ˙ ˙ the ˙ next vain: our censors are too severe ... Excuse me that I will send you˙ ˙with post the MS. I do not send it directly to the author since I am not sure that he receives my letters. I have written to him twice in march and april in answer to his kind sending. You know that the statistical investigations of the zemstvos are prohibited by the central government. But in the same time in the far east they are performed. In the course of june or july it will be published a detailed investigation on land tenure in east Siberia; as it will contain large quantity of new and interesting materials collected about the subject by our experienced statisticians I will send it to you so soon as possible. Yours most truly N. Danielson. In the course of this month I will remove and my new address is: 8, Grande rue des e´curies, logis No 7, S. Petersbourg

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174 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Rom, Sonntag, 18. Mai 1890

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Con sentenza di ieri fui definitivamente liberato dalle ignominiose accuse che pesavano sul mio capo. Come Ella sa devo la mia salvezza alla cavalleresca assistenza del prof. Labriola, e all’opera generosa e piena di talento dell’avv Lollini, determinato dal primo ad assumere la mia difesa gratuitamente e solo nell’interesse della verita`. Se all’occasione Ella credesse aggiungere un’altra di Lei autorevole parola di ringraziamento mi farebbe cosa gratissima. Domani ritorno nella mia residenza a Benevento. Coi piu` vivi ringraziamenti rimango Devmo Servitore Pasquale Martignetti Roma 18.5.90 Al Chiarisso Cittadino Engels Federico 122 Regents Park Road N. W. London NW Londra Inghilterra

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175 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Montag, 19. Mai 1890

Roma 19 Maggio 1890. Ripresa de’ Barberi 16. Stimatissimo Signore. Abbiamo salvato Martignetti! Non ho visto mai un uomo provar la gioia, come la prova ora il Martignetti. Ha una sola colpa, una colpa lodevole, l’ingenuita`! Meditero` a lungo su le vostre obbiezioni alla mia filosofia della storia, e f o r s e rispondero` pubblicamente in un articolo di rivista. Con l’opuscoletto: Proletariato e Radicali ho inteso di dar la p a r o l a ai socialisti, perche´ diffidino dei democratici, che fanno una evoluzione di metodo Crispi – Vi prego di far sapere al Bernstein che un giornale settimanale non si presta a corrispondenze narrative. Avra` articoli. Devotissimo x.y.o. Inghilterra An den geehrten Herren Herren Fr. Engels London. N. W. 122 Regents Park Road

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176 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 21. Mai 1890

Londres, le 21 mai 1890 Mon cher Lafargue

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Merci des de´tails sur le livre de Morgan. Voici copie d’une lettre de Daniel’son de S. Pe´tersb.: “The present wri˙ ˙ ˙Review’ ˙˙˙˙ ˙ ˙ Mrs Evreinoff, has sold it. She ter & publisher of the ‘Northern has tried more than once to publish the article of Mr Lafargue but in ˙ ˙ ˙ ˙ per ˙ next vain; our censors are too severe ... Excuse me that I send you post the MS.; I do not send it direct to the author since I am not sure that he receives my letters. I have written to him twice, in March & in April, in answer to his kind sending”. Avez-vous rec¸u ses lettres ? Je vous enverrai le MS. aussitoˆt rec¸u. Vous ferez bien de lui donner une autre adresse, non suspecte, a` Paris ou` il enverra des lettres pour vous, & de ne pas signer vos lettres de votre nom. C’est ce que je fais, et notre correspondance n’a jamais e´te´ interrompue par de pareils accidents. Vous faites bien de continuer en fonction votre comite´ des 8 heures – on fait la meˆme chose ici, la Ligue des 8 h. le´gales est en train de for mation, le comite´ central continuera en fonction & de nouvelles socie´te´s (entre autres des branches des Dockers) s’affilient. Cette question toute pratique & e´le´mentaire pourra peut-eˆtre vous retrouver les adhe´rents de´serte´s, il y a deux ans, dans le camp de Boulanger. C’est une droˆle d’ironie de l’histoire ! les Parisiens apre`s s’eˆtre de´range´ la digestion a` force de phrases ronflantes appele´es «des ide´es», en sont actuellement re´duits a` ne manger que «Dr. Ridges food for infants», la journe´e de 8 heures et autres choses de digestion facile ! La fin de la Boulange est tre`s droˆlatique. Le brav’ ge´ne´ral ayant rec¸u un coup de pied du suffrage universel, le transmet a` son «comite´ » pour ne plus avoir d’interme´diaire entre lui et le suffrage universel ! On dit ici que le coup de graˆce pour lui a e´te´ la visite de Frank Rosher. Apre`s cela, il ne pouvait tomber plus bas.

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176. Engels an Paul Lafargue · 21. Mai 1890

Laura fait-elle des pre´parations pour venir ? le mois tire a` sa fin. Embrassez-la pour Nim & moi. Amitie´s F. E. Martignetti est acquitte´.

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177 Emil Bruck an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 22. Mai 1890

22 Mai 90. Geehrter Herr Engels!

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Vielleicht wird Ihnen mein Name noch im Gedächtniß sein – ich erfreute mich mehrere male der Gastfreundschaft in Ihrem Hause. Zweck meiner heutigen Zeilen ist folgender: Ich veröffentlichte vor Kurzem eine Broschüre, die ich Ihnen per Kreuzband zusende. Sie heißt: „Die erste sozialistische Produktiv Association für das Deutsche Reich.“ Von einem Sozialdemokraten. Da dieselbe nur einige Bogen enthält, so dürfte ich Sie wohl bitten, sie durchzulesen (und zwar nicht im Umschlag sondern im Revisionsbogen). Erlaubt Ihre Zeit es Ihnen mir in wenig Worten Ihre Anerkennung oder Verdammung derselben mitzutheilen, so wäre ich Ihnen dafür sehr dankbar. Hoffentlich erfreuen Sie sich einer guten Gesundheit. Mit herzlichem Gruße! Ihr Emil Bruck 1 Gresham Buildings Basinghall Str. E. C.

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178 Oscar Eisengarten an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 22. Mai 1890

47, King Square, Goswell Road, E. C., 22/5, 90. Lieber Herr Engels! Entschuldigen Sie wenn ich es wage Sie noch einmal in einer momentanen Verlegenheit um eine Gefälligkeit zu bitten. Ich bin durch unglückliche Zufälle etwas in Rückstand gerathen und schulde meiner Wirthin £ 2, welche sie mich bat, wenn mir irgendwie möglich, doch bis Sonnabend zu verschaffen da sie selbst in Geldverlegenheit ist und £ 12 zu zahlen hat. Ich möchte Sie bitten mir, wenn Ihnen angenehm, die £ 2 bis spätestens den 1. Juli zu leihen. Ich lege anbei mein Mitgliedsbuch in einer gegenseitigen Spar- und Leihkasse; doch bin ich noch nicht berechtigtes Mitglied ehe ich nicht £ 3 eingezahlt habe. Dieser Termin läuft am 30. Juni ab, und bin ich dann im Stande stets den doppelten Betrag meines eingezahlten Geldes auf meine alleinige Bürgschaft hin zu entlehnen. Ich hoffe jedoch, daß ich im Stande sein werde Ihnen das Geld schon vor dem 1. Juli aus meinem Wochenlohn abzuzahlen. In der Hoffnung, daß es Ihnen möglich ist mir diesen, hoffentlich letzten, Wunsch zu erfüllen, verbleibe ich Dankbarst Ihr O. Eisengarten.

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179 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Samstag, 24. Mai 1890

24. Mai 1890 Sehr geehrter Herr Engels!

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Den Empfang Ihres Briefes vom 22. Mai, in welchem Sie sich mit den Bedingungen einverstanden erklären, bestätige ich hiermit. Ich danke Ihnen für Ihr bereitwilliges Entgegenkommen. Wenn ich nicht in Rücksicht auf die Kolportage sehr billige Nettopreise stellen müßte, so könnte auch ich 15% vom Bruttopreis zahlen. Ihrer Manuscriptsendung gerne entgegensehend, verbleibe ich Hochachtungsvoll grüßend Ihr ergebener H. Dietz

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180 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Rom London, Samstag, 24. Mai 1890

[Beste] Glückwünsche zu Ihrer endlichen [Freisprech]ung! Welche Freude für Sie und für Ihre [Familie, die] mindestens eben soviel ausgestanden [hat wie Si]e selbst! Ich habe an A. Labriola sofort ˙ ˙ ˙˙dankend. ˙ ˙˙ einige [Zeilen de]s Danks geschrieben, auch durch ihn Lollini Jetzt fängt ein neues Leben für Sie an, und besser und hoffnungsvoller, als wenn Sie es hätten anfangen müssen jenseits des Ozeans. Freundschaftlichst der Ihrige F. E. 24/5/90 Egregio Sig. Pasq. Martignetti Benevento Italy

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181 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Dienstag, 27. Mai 1890

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Stimatissimo Signore. Grazie della risposta: ma mi rincrescerebbe molto di aver fatto nascere in Lei il sospetto, che io volessi darle la noia di una discussione. Vivo troppo isolato nel mio paese, e per cio` sono molto sensibile ad ogni stimolo che mi venga dal di fuori. Scrivero` direttamente al Bernstein. Con saluto d’affetto e di riverenza suo A. Labriola 27/5 ’90 Inghilterra An den geehrten Herren Herren Fr. Engels London N. W. 122 Regents Park Road

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182 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 28. Mai 1890

Illustre amico Vivamente La ringrazio per le cordiali congratulazioni e pei di Lei gentili e autorevoli ringraziamenti a Labriola e Lollini. Spero ora che mi sia piu` facile trovare lavoro, che invano cercai dapertutto finora, sia, per aiutare nella dura lotta per l’esistenza la povera mia moglie, che mi ha sostenuto con affetto proletario nella lunga lotta giudiziaria; sia, per potermi sdebitare coi generosi che mi aiutarono, tra i quali ho l’onore di contare Lei in prima linea. Coi miei ossequıˆ voglia gradire anche cordiali saluti e sentiti ringraziamenti di mia moglie, che esulta di gioia per la mia liberazione, e credermi Sempre Suo Devotissimo Pasquale Martignetti Benevento 28.5.90. Al Chiaro Sig. Engels Federico 122 Regents Park Road N. W. Londra Inghilterra

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183 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Donnerstag, 29. Mai 1890

London 29 Mai 1890 Lieber Sorge

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Brief vom 30 April & 15 Mai erhalten, ditto V. Z. mit Stelle aus meinem Brief. Deine Erkl. erscheint im S. D., aber als ich gestern aufs Bureau kam mit Eurer Erklärung, lag sie dort schon im Berl. Volksblatt gedruckt vor, Schlüter hatte sie also schon früher abgesandt. Das ist was ich Schl’s ˙ ˙ ˙ ˙nenne, & was unser einen in einige Verlegenheit bringt wenn Tatendrang man dann mit dem MS. als etwas ganz Neuem auf eine Redaktion geht, & dann die Sache schon anderswo gedruckt vorfindet. Von andern Indiskretionen seit er in Amerika, kann ich nicht klagen, aber ich kenne ihn von früher her. Da muß ich Dich nun noch mit einigem Klatsch behelligen wegen Schl. den ich sonst nicht der Mühe werth gehalten. Aber Motteler, der Todfeind Schlüters, der auch an Schl’s Weggehn von hier schuld ist, hat seine Version der Sache Jonas erzählt, & da ist es nöthig daß wenigstens Du den wirklichen Hergang erfährst. Motteler ist ein Krippenbeißer ersten Rangs mit dem schwer auszukommen ist; ein faux bonhomme, Schwabe, verkanntes Genie, der sich degradirt fühlt, weil er früher die Verwaltung des S.Dem. & auswärtigen Parteigeschäfts allein hatte, dann aber, als die Sache zu weitläufig wurde, ihm Andre zur Seite gesetzt wurden. Aber er ist nicht nur von absoluter Zuverlässigkeit in Geldsachen, sondern was noch mehr werth, er ist in dieser Eigenschaft von der ganzen Partei anerkannt, kein Mensch wagt an ihm zu zweifeln. Und so ist er auf dem Posten des auswärtigen Parteikassirers ein sehr wertvoller Mann, & die andern können froh sein daß er sie der Verantwortlichkeit so lange überhoben hat. Well, kommt aber Einer ins Geschäft der ihm nicht gefällt, so setzts ewigen Zank, ununterbrochne Verfolgung. So wars zuerst mit Derossi, dann mit Schlüter, & beide hat er zum Weggehn getrieben. Gegen Schl. behauptet er nun zweierlei: Erstens Schl. habe Geld unterschlagen. Dafür liegt absolut Nichts vor, als daß M. in einer, damals schon über ein Jahr alten, & von den

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183. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 29. Mai 1890

Revisoren gebilligten, Abrechnung einen Posten von 150 Mk entdeckt hat wofür Schl. keinen Beleg der Ausgabe beigebracht hat, keine Quittung des Empfängers. Auf diesen Punkt gibt kein Mensch hier oder in Deutschland außer M. etwas, denn M’s eigne Ausgabeposten sollen oft bloß durch seine Buchung beglaubigt sein, & die Geschäftsführung der Leute ist zwar haarsträubend pedantisch wie alles was M. thut, aber keineswegs geschäftsmäßig & exakt. Daß Schl. unordentlich war & kleine Versehen begangen hat – & diese so eingerichtet daß er dabei keinen Schaden genommen, das mag sein. Aber mehr kann man nicht behaupten. – Zweitens aber ist Schl. sehr aufs ewig Weibliche versessen & zwar mit Abwechslung, & da scheint allerdings festzustehn, daß er ein oder zwei Buchbindermädchen die sie in Zürich beschäftigten, poussirt & auch geknallt hat. Da aber hier keine Mädchen im Geschäft sind, fiel das hier weg, es lag also gar kein Grund vor mit Schl. Krakehl anzufangen als die unausrottbare Abneigung M’s gegen ihn. Dies ist die ganze Geschichte, & wenn Schl. dem M. mehr die Zähne gezeigt hätte, wär’s vielleicht allmählig doch in Ordnung gekommen. Wir andern haben kein Wesens weiter daraus gemacht, da die Geschichte mit den Mädeln lange vergangen war, da M. selbst sich geweigert hatte sie vor den Parteirevisoren mit Schl. auszudreschen, & da sie sich hier nicht wiederholen konnte. Sollte also Jonas Klatsch verbreiten, so hast Du hiermit die wirklichen Thatsachen. Jonas kam auch zu mir, etwas verlegen, fand aber Tussy & Edward Aveling (es war grade nach dem Hyde Park Meeting) die ihn sehr kühl empfingen (Aveling hatte ihm schon im Central Committee wo J. sich eine Journalistenkarte fürs Meeting holte, gesagt he hoped the V. Z. would be more truthful in its reports than heretofore) & ging sehr bald wieder als Bernsteins wegen ihrer Kinder fortmußten. Je feiner der Mann sich anzuziehen sucht, desto kommuner sieht er aus. Nun noch eins. Ich muß für Neuauflage des Ursprung &c das letzte Werk von Morgan haben, kann hier nicht im Brit. Museum von frühmorgens an den Romanlesern einen Leseplatz abkämpfen. Ich schicke Dir also inl. Brief an das betreffende Departement, & zwei Ex. des Buchs. Es fragt sich nun, wie diese Sache – der Brief & 1 Ex. – abschicken, direkt an das Departement oder durch Vermittlung eines Dritten der mich empfiehlt? Aveling meinte Ely in Baltimore würde es gern thun. Du kennst den Mann besser, & überlasse ich Dir also die Entscheidung über die beste Procedur. Für den Fall daß Du einen Vermittler wählst habe ich für diesen ein zweites Ex. beigelegt. Lege auch zwei Zeilen an Ely bei für den Fall daß Du es für gerathen hältst Dich seiner Vermittlung zu bedienen.

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Es ist mir sehr lieb daß V. Z. & Workm. Adv. die Sache über die Einleitung zum Hydepark Meeting ge bracht; sie haben dadurch wieder eine Annäherung zwischen Avelings & den Amerikanern ermöglicht. Selbst Herr Jonas wird hier sich reichlich überzeugt haben welchen Bock er damals schoß als er so ohne Weiteres in das Horn der Exekutive gegen Aveling tutete. Übrigens wird die Sache hier nicht mit dem Meeting fallen gelassen. Aus der letzten People’s Press wirst Du gesehn haben daß das Central Comite´ bleibt, & eine Legal Eight Hours & International Labour League stiftet. Die Konstitution ist entworfen & wird am 22 Juni einer Delegirtenversammlung vorgelegt zu der alle Londoner Arbeiterverbindungen, radikale Klubs &c eingeladen sind. Die Konstitution verlangt ˙ ˙ ˙ ˙˙ der Beschlüsse des Pariser Kongresses, soweit sie noch 1) Durchführung nicht Gesetz in England sind, 2) solche weitere Maßregeln zur Durchsetzung der vollständigen Emancipation der Arbeiter wie die Association sie beschließen wird, 3) Stiftung einer besondern Arbeiterpartei mit eignen Kandidaten für alle Wahlposten wo Chance ist. Dies kannst Du veröffentlichen. In der Wiener Arb.Ztg (nächste Post!) habe ich einen längeren Artikel ˙ ˙ ˙˙ über die hiesigen Geschichten. Grüß Deine Frau herzlich Dein F. Engels

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184 Robert Edward Dell an Friedrich Engels in London London, Samstag, 31. Mai 1890

31th May 1890 r

Dear M Engels I hope you will be able to come on Monday week to the Fabian Soire´e for which I enclose a ticket. Ys very truly Robert E. Dell. P. S. Morning or Evening Dress.

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Görbersdorf in Schlesien den 31. Mai 90. Sehr geehrter Herr!

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Entschuldigen Sie, wenn ich als Ihnen gänzlich Unbekannter es wage, Sie mit einer Bitte zu belästigen. Anbei erlaube ich mir, Ihnen zwei Hefte der Zeitschrift „Freie Bühne“ zu übersenden; in der einen Nummer steht ein Aufsatz von mir über die skandinavische Frauenbewegung, in der andern eine Polemik gegen denselben von Hermann Bahr. Bahr wirft mir vor, daß ich in der Angelegenheit die Marxsche Methode unrichtig anwende u. dergl. mehr. Aus verschiedenen Gründen möchte ich wissen, ob der Vorwurf Bahrs richtig ist, und ob Marx über die Frauenfrage anders gedacht hat resp. gedacht hätte. Erstens, weil ich meine Anschauungen auch anderweitig vertrete (z. B. im „Socialdemocrat“) und derartige Dinge, wenn sie unrichtig sind, immerhin nachteilig wirken; zweitens, weil mich Bahr, wie Sie aus dem Artikel sehen werden, ganz unglaublich unverschämt behandelt. Nach meiner Ansicht faßt Bahr die ganze Sache überhaupt schief auf und macht aus der Frauenfrage eine Geschlechtsfrage. Wenn die phrasenhaft ausgedrückte These am Schluß richtig ist, so drückt sie nur Etwas aus, was auch schon zu Adams und Evas Zeiten bestanden hätte. Ich halte das allerdings überhaupt nur für eine persönliche Erfahrung des Verfassers. Jedenfalls hat das doch nichts mit der Frauenfrage zu thun, welche erst unter gewissen socialen Verhältnissen entstanden ist. Ich besitze durchaus nicht den Hochmut, welchen mir Bahr zuzuschreiben scheint, ich will nichts, als nach meinen Kräften praktisch wirken. Um so mehr kränken mich derartige Insinuationen. Sie würden mich außerordentlich verbinden, wenn Sie die Güte hätten, meine Bitte zu erfüllen, und mir in ein paar Zeilen mitzuteilen, ob meine Ansicht der von Marx entspricht oder nicht, und mir außerdem den Gebrauch des Briefes gegen Bahr gestatten wollten. Hochachtungsvollst Ergebenst Paul Ernst.

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186 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Montag, 2. Juni 1890

Dr. Pl. den 2.6.90. Lieber Engels. Für Deine Glückwünsche zur Verlobung unserer Kleinen herzlichen Dank von meiner Frau und mir. Die Aussicht mal mit Dir die Reise nach den Ver. Staaten zu machen ist sehr verlockend. So wäre ich schwerlich hinübergekommen, aber wenn die Tochter und der Schwiegersohn drüben sind muß man schon den Respekt vor der Seereise überwinden. Auch ist ja des Landes selbst wegen eine Reise von großem Werth. – Dein Russenartikel hat mir sehr gut gefallen, ich habe auch nichts an ihm auszusetzen; in der zweiten Wiedergabe machte er einen ganz andren Eindruck als in der ersten. Das eine was ich dagegen einzuwenden hätte wäre Du wirst – etwas zu offen. Ich meine in Bezug auf die Perspektive für uns. Ich habe mir nun vorgenommen wenn Zeit und Gesund heit es ermöglichen, anknüpfend an Deinen Artikel in der „N. Z.“ eine Arbeit zu veröffentlichen die die gegenwärtige Stellung Deutschlands und Rußlands, vom Standpunkt seiner Interessen aus behandelt und mit Rücksicht auf unsere Politik gegen Frankreich. Die Frage ist gegenwärtig, wo die Rüstungen und die Aussichten auf eine totale Umgestaltung und kolossale Mehrbelastung der Militairorganisation die öffentliche Meinung erregt, aktuell. Liebknecht hat in der Militairdebatte dieser Seite der Frage zu ˙ ˙˙ ˙˙ wenig Bedeutung˙˙beigemessen; er hat überhaupt indem er von vornherein verzichtete gegen die Militairtechniker Einwendungen vorzubringen, weil sie von ihrem Standpunkt stets Recht hätten, die Frage etwas verschoben. Ich verzichtete bei der weit vorgeschrittenen Zeit u. weil ich mich nicht wohl fühlte aufs Wort u. will wünschen daß ich bei der zweiten oder dritten Lesung sprechen kann. Ich werde Dir eine Broschüre schicken sobald ich in Berlin bin, die offenbar von einem hohen Militair geschrieben die Situation anders als durch die Bismarksche Brille ansieht. Allerdings ist sie wieder in anderer Art bornirt. Aber sie hat eine Menge Urtheile über unsere Militairverhältnisse, Frankreich und Rußland, die sehr interessant sind und von uns ausgenutzt werden können. Ich will sie mit zum Gegenstand meiner Besprechung machen. Unsere Bourgeoisie hat sich allmählig wieder von ihrem unglaublichen Schrecken vor dem 1 Mai erholt. So dicht hinter dem Ausfall der Wahlen vom 20 Febr. erschien ihr der 1 Mai als der Beginn der wirklichen Revolution. Jetzt gesteht die

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Bourgeoispresse selbst ein daß die Ereignisse einen solchen Druck auf die Börse und das ganze Geschäftsleben ausübten, daß große Stockungen entstanden. Auch die kaiserlichen Erlaße brachten ihren Veröffentlicher in den Verdacht es mit der Soc. Demokratie halten zu wollen u. bestärkten sie in ihrer Sorge. Ich hätte nicht für möglich gehalten daß man in unsern Bourgeoiskreisen so vernagelt und angstscheißerisch wäre als es sich nach Zeitungs- und Privatmittheilungen thatsächlich herausgestellt hat. – Ich muß heute wieder nach Berlin um morgen an den Arbeiten der Arb.Schutzgesetz Kommission theil zu nehmen. Dieser Gang nach Berl. paßt mir gar nicht. ˙ Ich˙ ˙habe mich zwar von meinem Darmkatarrh erholt, befinde mich aber alle Augenblicke im Zustand großer Ermüdung und nervöser Erregung. Ich garantire auch nicht daß ich bis zu Ende in Berlin aushalten kann. Die letzten 8 Monate: Reichstag, Elberf. Prozeß, Sächs. Landtag, Wahlagitation wieder Reichstag boten des Guten ein wenig zuviel und das wirkt nach. Könnte man nur die Dinge leicht nehmen, dann wäre es besser. – Du wirst mittlerweile gehört haben, welche Veränderungen bevorstehen bei uns. Die Angelegenheiten werden in Kürze in der Fraktion zum Abschluß gebracht werden. Mit Ausnahme von Julius Motteler ist uns wegen des Unterbringens der andern nicht bange, aber mit J. ist absolut nichts anzufangen. Nach der ganzen Situation muß künftig Berlin der Sitz der Leitung werden u. soll das „Volksbl.“ offizielles Parteiorgan sein. Aus diesem Grunde habe ich mich, wenn auch sehr ungern, zur Übersiedlung nach Berlin entschlossen und werde dies bis zum 1 Okt. auszuführen 5) suchen. Nun erhebt aber Liebkn. Schwierigkeiten, er u. namentlich seine Frau möchten von Leipzig nicht weg, namentlich macht die letztere eine Menge Einwendungen wegen ihrer Familienverhältnisse. Diese sind aber entweder sehr übertrieben oder gar nicht vorhanden u. werden durch andere Vortheile aufgewogen. Daß es außerdem für Lbk. heißt sich bei Seite setzen und eine Nebenrolle spielen, wenn er in Lpzg. bleibt scheint er selbst nicht einsehen zu wollen. Es würde ganz gut thun wenn Du ihm gelegentlich klar machtest daß er mitthun muß will er nicht als Invalide betrachtet werden, wozu für ihn gar kein Grund vorliegt. Finanziell steht er sich in B. weit besser und seiner unsinnigen Kräftezersplitterung, indem er für alle möglichen Blätter schreibt, wird auch ein Ende gemacht u. das sollte ihm doch nur willkommen sein. Seine Frau hat aber einen gewaltigen Einfluß auf ihn u. die hängt mit allen Fasern jetzt an Leipzig. Mit den besten Grüßen von mir und meiner Frau Dein ABebel

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187 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Dienstag, 3. Juni 1890

New York 3. Juni 90. Lieber Engels! Sei nicht böse, daß ich so lange auf Antwort warten ließ. Mit Kleinigkeiten wollte ich Dich nicht belästigen u. zu ordentlichen Auseinandersetzungen u. Berichten kam ich nicht. Ich habe Deinen Brief u. die Karte, Reid betreffend s. Z. erhalten. Besten Dank für die Auskunft. Mein heutiges Schreiben hat einen besondern Grund. Ich bin nämlich beauftragt, den von der „Volkszeitung“ alljährlich herausgegebenen „Pionier-Kalender“ zu redigiren. Ich hätte nun gerne Deine kleine Biographie von Marx hineingenommen, welche im Braunschweiger Kalender von 1878 erschien, u. bitte Dich um die Erlaubniß dazu. Nun wäre es mir natürlich ungemein lieb, wenn Du Deiner Arbeit noch einige Schlußzeilen hinzufügen u. dieselbe bis zum Tode Marx’ fortführen könntest. Da ich indeß fürchte, daß Zeit und Umstände Dir das kaum gestatten, so wollte ich Dich bitten, mir den Abdruck zu gestatten, wie die Arbeit jetzt ist. Ich würde dann einige Zeilen selbst hinzufügen, in welchen ich auf das Jahr des Entstehens der Biographie hinwiese u. einige Worte zum Schluß brächte. Ist es Dir möglich, selbst einige Zeilen hinzuzusetzen, ist es mir natürlich am liebsten. Du wirst gewiß in Besitz des betr. Kalenders sein. Kannst Du’s selbst machen, so würde ich Dir, für den Fall Du in Deinem Exemplar die dann nöthigen Korrekturen machen müßtest, das in meinem Besitze befindliche Exemplar nachher hinüberschicken. Da der Kalender im August schon erscheinen soll, so bist Du gewiß so gut, mir baldigst Antwort zu geben. Den 2. Artikel über G. Weerth habe ich bis jetzt noch nicht geschrieben, weil ich den „Schnaphahnsky“ ausgeliehen u. bis jetzt noch nicht zurück habe. Sobald ich wieder im Besitz des Buches bin, gehe ich an die Arbeit. Anbei sende Dir 2 kleine Sachen über unsern Silberschwindel vor dem Kongreß. Schewitsch ist aus der „Volkszeitung“ ausgetreten u. geht nach Europa, wahrscheinlich sogar nach – Rußland. Ich weiß nicht recht, was ich daraus machen soll. Wir verlieren an ihm einen sehr gewandten Journalisten, der aber zu faul war, um was zu schreiben. Auf sein Lernen hat seine Faulheit auch nicht wenig Einfluß gehabt. Las er doch höchstens Zeitungen. Jonasleben ist, wie Du weißt,

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wieder hier, will aber nicht wieder in die „Volkszeitung“ eintreten. Provisorisch haben sie mich jetzt zum „Chef“ gemacht. Hoffentlich findet sich bis zur nächsten Generalversammlung ein Anderer, damit ich die Geschichte wieder los werde. Die hiesige Partei geht langsam aber sicher ihrem Ende entgegen. Sie ist in voller Auflösung begriffen u. ist schon jetzt nur noch eine Art Dukatenscheißer, die gelegentlich, wenn sie dazu galvanisirt wird, ihr Bedürfniß verrichtet, die aber auch nach dieser Richtung hin schon anfängt, wegen Altersschwäche dann u. wann ihre Funktionen einzustellen. Das Gelungene ist nun, daß die Sozialisten bei den hiesigen Gewerkschaften gerade jetzt außerordentlich an Vertrauen gewonnen haben. Ich u. noch ein Paar Andere rufen jetzt Organisationen ins Leben von jenen Gewerben, die bisher nicht organisirt waren, u. nach dieser Richtung hin ist unsere Thätigkeit nicht erfolglos. Wir haben bei dieser Thätigkeit übrigens nicht die Majorität der Partei hinter uns, die thatsächlich ihrer ganzen Auffassung nach zu den Rosenbergianern gehören. Was sie von diesen trennt, sind rein persönliche Gründe. Letzte Woche wollte sogar einer ihrer Redner einen „Speech gegen die ,Volkszeitung‘“ los 2lassen, weil dieselbe zu „marxistisch“ sei, u. weil sie nicht die Lehren „unseres großen Ferdinand Lassalle“ befolge. Es kamen aber nur 9 Mann zu der Versammlung sodaß der Betreffende seine Rede bei sich behalten mußte. Zu den Herbstwahlen ist beschlossen, selbstständig vorzugehen. Mit Rücksicht auf die Stimmung in den Gewerkschaftskreisen, zum guten Theil auch in den englisch-sprechenden, bin auch ich dafür, daß man’s versucht. Ich halte dafür, daß Leben sein muß, wo Neubildungen möglich sein sollen. Materiell gehts uns verhältnißmäßig gut. Da der Laden uns aber zuviel Arbeit macht, so geben wir ihn zum 1. Juli auf. Sende daher Deine Antwort vorläufig care of „Volkszeitung“ 184 William St. Sobald ich eine andere Wohnung habe, lasse ich dies wissen. Meine Frau hat noch immer Heimweh nach London, obgleich sie hier wesentlich gesunder ist, als dort. New York ist übrigens auch ein Schweinenest. Hoffentlich bist Du gesund, wenigstens berichtete Jonas mir so. Wie gehts Nimmi u. Roshers u. Avelings? Hoffentlich gut. Grüße alle recht herzlich von uns. Kriegt man Dich nicht bald einmal hier in Amerika zu sehen? Die besten Grüße von uns Beiden. Dein HSchlüter.

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188 Friedrich Engels an Paul Ernst in Berlin London, Donnerstag, 5. Juni 1890 (Entwurf)

London 5 Juni 90. Sehr geehrter Herr Ich kann leider Ihren Wunsch nicht erfüllen und Ihnen einen Brief schreiben zur Benutzung gegen Herrn Bahr. Das verwickelte mich in eine öffentliche Polemik mit demselben, & dazu müßte ich doch meine Zeit buchstäblich gestohlen haben. Was ich Ihnen schreibe ist daher nur zu Ihrer privaten Information. Zudem ist mir das was Sie die nordische Frauenbewegung nennen, total unbekannt, ich kenne nur einige Ibsensche Dramen & weiß absolut nicht ob & in wieweit Ibsen verantwortlich zu machen ist für die mehr oder weniger hysterischen Lukubrationen bürgerlicher & spießbürgerlicher Streberinnen. Auch ist das Gebiet das man sich angewöhnt hat mit dem Namen Frauenfrage zu bezeichnen, so weitläufig daß darüber im Rahmen eines Briefs nichts Erschöpfendes oder nur einigermaßen Befriedigendes zu sagen ist. Nur soviel ist sicher daß Marx nie so „sich anstellen“ gekonnt hätte wie Hr Bahr ihm zumuthet. So verrückt war er nicht. Was Ihren Versuch die Sache materialistisch zu behandeln angeht, so muß ich vor allem sagen, daß die materialistische Methode in ihr Gegentheil umschlägt wenn sie nicht als Leitfaden beim historischen Studium behandelt wird, sondern als fertige Schablone wonach man sich die historischen Thatsachen zurecht schneidet. Und wenn Hr Bahr Sie auf diesem Holzweg zu ertappen glaubt, so scheint er mir einen kleinen Schatten von Recht für sich zu haben. Sie fassen ganz Norwegen & alles was dort geschieht, zusammen unter die Eine Kategorie: Spießbürgerthum, & schieben dann diesem norwegischen Spießbürgerthum unbedenklich Ihre Anschauung vom deutschen Spießbürgerthum unter. Da stellen sich nun zwei Thatsachen quer in den Weg. Erstens: als in ganz Europa der Sieg über Napoleon sich als Sieg der Reaktion über die Revolution darstellte, & nur in ihrem französischen Va-

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terland die Revolution noch soviel Angst einflößte um der rückkehrenden Legitimität eine bürgerlich liberale Verfassung abzunöthigen, da fand Norwegen die Gelegenheit sich eine Verfassung zu erobern, weit demokratischer als irgend eine gleichzeitige in Europa. Und zweitens hat Norwegen in den letzten 20 Jahren einen literarischen Aufschwung erlebt, wie ihn außer Rußland kein andres Land gleichzeitig aufweisen kann. Spießbürger oder nicht, die Leute leisten weit mehr als die andern & prägen ihren Stempel auch andern Literaturen auf, nicht zum mindesten der deutschen. Diese Thatsachen machen es in meinen Augen nöthig das norwegische Spießbürgerthum einigermaßen auf seine Besonderheiten zu untersuchen. Und da werden Sie wahrscheinlich finden daß ein sehr wesentlicher Unterschied zu Tage tritt. In Deutschland ist das Spießbürgerthum Frucht einer gescheiterten Revolution, einer unterbrochnen, zurückgedrängten Entwicklung, & hat seinen eigenthümlichen, abnorm ausgebildeten Charakter der Feigheit, Bornirtheit, Hülflosigkeit, & Unfähigkeit zu jeder Initiative erhalten durch den 30jähr Krieg & die ihm folgende Zeit – wo grade fast alle andern großen Völker sich rasch emporschwangen. Dieser Charakter ist ihm geblieben auch als die historische Bewegung Deutschland wieder ergriff; er war stark genug sich auch allen andern deutschen Gesellschaftsklassen mehr oder minder als allgemein deutscher Typus aufzudrücken, bis endlich unsre Arbeiterklasse diese engen Schranken durchbrach. Die deutschen Arbeiter sind grade darin am ärgsten „vaterlandslos“, daß sie die spießbürgerlich deutsche Bornirtheit total abgeschüttelt haben. Das deutsche Spießbürgerthum ist also keine normale historische Phase, sondern eine auf die Spitze getriebne Karikatur, ein Stück Degeneration, grade wie der polnische Jude die Karikatur des Juden ist. Der englische franz. &c Kleinbürger steht keineswegs mit dem deutschen auf gleichem Niveau. In Norwegen dagegen ist Kleinbauernthum & Kleinbürgerthum, mit einer geringen Beimischung von Mittelbürgerthum – wie es etwa in England & Frankreich im 17 Jhdt bestand – seit mehreren Jahrhunderten der Normalzustand der Gesellschaft. Hier ist nicht die Rede von gewaltsamem Zurückwerfen in veraltete Zustände durch eine gescheiterte große Bewegung & einen 30j. Krieg. Das Land ist durch Isolirung & Naturbedingungen zurückgeblieben, aber sein Zustand war vollständig seinen Produktionsbedingungen angemessen & daher normal. Erst ganz neuerdings kommt ein ganz klein wenig große Industrie sporadisch ins Land, aber für den stärksten Hebel der Kapitalkonzentration, die Börse, ist kein Raum, & dann wirkt konservirend gerade die gewaltige Ausdehnung

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188. Engels an Paul Ernst · 5. Juni 1890 (Entwurf)

des Seehandels. Denn während überall anders, wo der Dampf die Segelschiffe verdrängt, dehnt Norwegen seine Segelschiffahrt enorm aus & hat ˙ wo nicht die größte, sicher die zweitgrößte Segelflotte der Welt, meist im Besitz kleiner & mittlerer Rheder, wie in England, sage um 1720. Aber doch ist damit Bewegung in die alte stockende Existenz gekommen, & diese Bewegung drückt sich wohl auch aus im literarischen Aufschwung. Der norwegische Bauer war nie leibeigen & das gibt der ganzen Entwicklung, ähnlich wie in Kastilien, einen ganz andern Hintergrund. Der norwegische Kleinbürger ist der Sohn des freien Bauern & ist unter diesen Umständen ein Mann gegenüber dem verkommnen deutschen Spießer. Und so auch steht die norwegische Kleinbürgerin himmelhoch über der deutschen Spießergattin. Und was auch die Fehler z. B. der Ibsenschen Dramen sein mögen, sie spiegeln uns eine zwar kleine & mittelbürgerliche, aber von der deutschen himmelweit verschiedne Welt wieder, eine Welt worin die Leute noch Charakter haben, & Initiative, & selbständig, wenn auch nach auswärtigen Begriffen oft absonderlich, handeln. So etwas ziehe ich vor gründlich kennen zu lernen ehe ich aburtheile. Um übrigens wieder auf besagten Hammel zu kommen nämlich Herrn Bahr, wundre ich mich daß die Leute in Deutschland einander so entsetzlich feierlich nehmen. Witz & Humor scheinen mehr als je verboten zu sein & Langweiligkeit Bürgerpflicht zu sein.  Sonst würden Sie doch gewiß die „Frau“ des Herrn Bahr, von der alles „geschichtlich Gewordne“ abgeschieden ist, etwas näher besichtigen. Geschichtlich geworden ist ihre Haut, denn sie muß entweder weiß, oder schwarz, gelb, braun oder roth sein – also eine menschliche Haut kann sie nicht haben. Geschichtlich geworden sind ihre Haare, ob kraus & wollig, ob lockig, ob straff, ob schwarz, roth oder blond. Also menschliche Haare sind ihr verboten. Was bleibt denn also, wenn Sie das Geschichtlich Gewordne mit Haut & Haar abgeschieden haben, und „die Frau selber zum Vorschein kam“, was zeigt sich? Einfach die Aeffin, anthropopitheca & die mag Herr Bahr zu sich ins Bett nehmen „rein handgreiflich & durchschaulich“, mit sammt ihren „natürlichen Trieben.“

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189 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 5. Juni 1890

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Lieber Engels ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Brief v. 29. Mai nebst Einlagen so eben erhalten. Ich habe sofort an den Kongreßrepräsentanten unsres Districts geschrieben, daß er mir das Buch schicke. (Das ist nämlich hier Brauch.) Sollte ich es nicht durch ihn erhalten, so wende ich mich an Ely, sonst nicht. In wenigen Tagen erhältst Du weitere Meldung. – Gruß Dein F. A. S. Hoboken, N. J. 5 Juni 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London. N. W. England.

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190 John Lincoln Mahon an Friedrich Engels in London London, Freitag, 6. Juni 1890

6 June 90. Dear Mr. Engels, Could you send me 20/– towards preliminary expenses, or something, or are you ˙ ˙ ˙too ˙ angry with me? ˙ ˙ ˙ ˙˙ still JLMahon

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191 Paul Engelmann an Friedrich Engels in London Budapest, Samstag, 7. Juni 1890

Budapest, 7/VI 1890. Geehrter Genosse!

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Nach jahrelanger Stagnation pulsirt wieder regeres Leben in der Arbeiterbewegung Ungarns und ich hoffe daß dieselbe, nun ins richtige Fahrwasser gelangend, unseren noch unentwickelten wirthschaftlichen Verhältnissen entsprechend, bald weitere Fortschritte machen wird. Unsere Bewegung spiegelt sich in unserem Parteiorgan, der „Arbeiter-WochenChronik“ und wir ehren uns nur selbst, indem wir Ihnen, werther Genosse, dieselbe von nun an regelmäßig zusenden. Bei dieser Gelegenheit will ich es mir nicht versagen, jenes Gefühl, welches mich für Sie seit sechzehn Jahren in stets steigendem Maße beseelt, in einige wenige Worte zu kleiden, Ausdruck zu geben der liebevollen Verehrung, welche jeder ehrliche Sozialdemokrat für Sie, unseren Lehrer und Meister, hegt. Mit sozialdemokratischem Gruß Paul Engelmann.

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192 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Montag, 9. Juni 1890

9 Juin 1890 Cher Citoyen Engels Je regrette beaucoup ainsi que les Camarades de l’Ide´e Nouvelle, d’apprendre votre maladie d’yeux, qui vous oblige a` un travail tre`s restreint. ˙˙ Mais nous sommes tre`s heureux de pouvoir publier vos articles parus dans la revue Anglaise sur la Politique exte´rieure de la Russie. Veuillez donc avoir l’obligeance de nous faire parvenir la traduction, pour notre No de Juillet, je vous prie de bien vouloir nous faire parvenir pour le ˙˙ 18 Juin. Recevez avec nos remerciements toutes nos sympathies Votre de´voue´ Jules Le´pine

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193 Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son in Sankt Petersburg London, Dienstag, 10. Juni 1890

London 10 June 1890 My dear Sir

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I am in possession of your kind letters of 18th Decbr, 22 Jany, 24th Febry & 17th May, as also of Mr. Lafargues article returned which was sent back ˙ ˙ ˙you ˙ ˙ ˙ ˙ had written to him twice in March & to him. I wrote to him that April but have not had any positive reply as to whether he received these two letters. His wife who is here at present, cannot from memory tell positively. She regrets very much the change of ownership in the Northern Review & desires me to convey to you her & her husbands thanks for your kind efforts in their interest. Of the 4th ed. Capital I am now reading proofsheets 39–42, there will be ˙ ˙ print, though larger, is closer. As soon as out, it ˙ ˙˙the less than 50 in all,˙ as will be forwarded to you. I have had the letters of our author Marx you kindly lent me, copied by typewriter (the author’s youngest daughter did them) & shall now return them to you in a registered letter, unless you instruct me to the contrary. I thank you very much for your continued & interesting information respecting the economic condition of your great country. Under the smooth surface of political quietude there is as great and as important an economical change going on as in any other European country, to watch which is of the highest interest. The consequences of this econ omic change must sooner or later develop themselves in other directions too. We had heard here of the death of Н. Г. Ч., and with much sorrow and sympathy. But perhaps it is better so. Many thanks for your congratulations of 24th Febry––they have rejoiced more than one. I have been so exceedingly busy, & my eyes, though improving, are still so much affected by reading Russian printing, that I have not as yet been able to read the article in the Ежегодникъ, but shall do so as soon as I find a free moment. The misuse of economic terms, you point

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193. Engels an Nikolai Francevicˇ Daniel’son · 10. Juni 1890

out, is a very usual defect of all literatures. Here in England, Rent is applied as well to the payment of the English Capitalist farmer to his landlord, as to that of the Irish pauper farmer, who pays a complete tribute composed chiefly of a deduction from his fund of maintenance, earned by his own labour, & only to the smallest extent consisting of true rent. So the English in India transformed the land-tax paid by the ryot (peasant) to the State into “rent”, & consequently have, in Bengal at least, actually transformed the zemindar (taxgatherer of the former Indian prince) into a landlord holding a nominal feudal tenure from the Crown exactly as in England, where the Crown is nominal proprietor of all the land, and the great nobles, the real owners, are by juridical fiction supposed to be feudal tenants of the Crown. Similarly, when in the beginning of the 17th Century the North of Ireland was subjected to direct English dominion, and the English lawyer Sir John Davies found there a rural community with common possession of the land, which was periodically divided amongst the members of the clan who paid a tribute to the chief, Davies declared that tribute at once to be “rent”. Thus the Scotch lairds––chiefs of clans––profited, since the insurrection of 1745, of this juridical confusion, of the tribute paid to them by the clansmen, with a “rent” for the lands held by them, in order to transform the whole of the clan-land, the common property of the clan, into their, the lairds, private property; for, said the lawyers, if they were not the landlords, how could they receive rent for that land? And thus this confusion of tribute & rent was the basis of the confiscation of all the lands of the Scottish Highlands for the benefit of a few chiefs of clan who very soon after drove out the old clansmen & replaced them by sheep as described in Capital chapter 24,3) (p. 754, 3rd edit.) ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ With kind regards Yours very faithfully P. W. Rosher

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194 Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels in London Nizza, Donnerstag, 12. Juni 1890

Monsieur,

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Le Ge´ne´ral Walery Wroblewski, alite´ pour la seconde fois depuis un an a` la suite de ses anciennes blessures me demande de prendre la plume a` sa place et je vous e´cris pour lui aupre`s de son lit. Il vous supplie de lui envoyer d’urgence, si vous le pouvez, une vingtaine de livres etc. Vous eˆtes le seul homme sur lequel il puisse compter encore. Il a e´crit et m’a fait e´crire, afin d’avoir de quoi attendre l’argent qu’il doit recevoir de Pologne au mois d’aouˆt, et de pouvoir se gue´rir, aux amis qu’il a oblige´s de sa bourse, auxquels il a sauve´ la vie ou e´pargne´ la ruine. Ce sont des hommes sages et rallie´s a` l’ordre aujourd’hui, vivant grassement dans les eaux du pouvoir, a` Paris. Ils n’ont pas meˆme re´pondu. J’ai fait et je fais encore tout ce qui m’est possible pour mon ami Wroblewski. Nous avons ve´cu a` deux, depuis plusieurs mois, sur les 6 livres (150 fr.) que je gagne ici par mois. Mais la maladie est venue, et avec elle la de´tresse pour le malade. Le Ge´ne´ral ne peut oublier avec quelle cordialite´ vous l’avez jadis oblige´. Obligez-le encore, Monsieur, il vous retournera, de`s qu’il sera paye´, ce que vous voudrez bien lui preˆter. Il vous prie de croire qu’il a fallu une bien pressante ne´cessite´ pour le de´terminer a` faire un semblable appel a` votre bon souvenir. Il vous envoie toutes ses amitie´s, et je vous prie pour ma part, de recevoir mes meilleurs hommages. J. Wierzejski Adresse M. le Ge´ne´ral W. Wroblewski, 6, Rue Assalit, Nice (Alpes Maritimes) 12 Juin 1890.

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195 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Freitag, 13. Juni 1890

20. B. Warmbüchenstr. Hannover, 13. Juni 1890. Lieber Engels! Wenn es Dir nicht zu viel Mühe macht, sei doch so freundlich mir die beiden NNo des „Daily Telegraph“ mit Kingston’s Bericht über seinen Besuch bei Bismark zu schicken. – Schreibe mir doch mal ein paar Zeilen wie es Dir geht u. was Du diesen Sommer beginnst. – Mit herzlichen Grüßen von mir u. den Meinigen stets Dein Kugelmann F. Engels Esqre 122. Regents-Park-Road NW London England

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196 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Samstag, 14. Juni 1890

London 14 Juni 90. Lieber Schlüter

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In aller Eile die Anzeige daß Du die Biographie von Marx gern abdru˙ ˙ ˙ ˙˙ zu machen. Du findest cken kannst – aber ich habe keine Zeit sie fertig u. A. Material in Marx’ Nekrolog vom März 83 im S. D. ˙ ˙ ˙˙ Gratuliere zum „Chef“. Hier geht alles soweit gut, in Deutschland auch, Wilhelmchen droht mit Abschaffung des allg. Stimmrechts – was bessres könnte uns nicht passiren! Wir treiben ohnehin rasch genug entweder dem Weltkrieg oder der Weltrevolution entgegen – oder beiden. Herzl. Grüße an Deine Frau – es freut mich daß sie gesunder ist als hier. Dein F. E.

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197 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Oxford, Montag, 16. Juni 1890

5 StJohn Street Oxford 16. 6/90. Cher citoyen Engels. Je vous transmets, avant les paroles solennelles de Fricka, une lettre que Guesde ˙ ˙ ˙de ˙˙ m’envoie – Il se propose de faire une grande tourne´e dans la plupart des villes France, trouvant le terrain admirablement pre´pare´ par le 1er Mai. Il y a plus de cinquante grands centres ouvriers ou` l’on demande des confe´rences. – Il est e´vident que si nous laissons perdre une occasion pareille, lorsque le souvenir du 1er Mai n’est pas encore efface´, nous ne la retrouverons plus de sitoˆt. Mais pour cela il lui faut trois grands mois, et il faudrait entretenir sa famille pendant ce temps. ? . D’un autre coˆte´, le Socialiste pourra paraıˆtre pendant ce temps, et il compte sur Deville, Lafargue et moi pour le re´diger en son absence. – Comme la tourne´e Liebknecht aurait bien fait juste a` ce moment ? A ce propos, avez-vous rec¸u des nouvelles de Liebknecht et une re´ponse a` votre lettre. Lafargue pense-t-il qu’il faut se servir de nouvelles adresses ? La question est celle-ci: il faut 300 francs par mois pendant un trimestre, avec ce re´sultat possible = notre parti double´ –. G. me dit qu’il va causer avec Lafargue a` ce sujet – Je vous envoie par la meˆme occasion les paroles de Fricka (Acte II, sce`ne II de la Walküre): „Achtest du rühmlich – der Ehebruch – so prahle nun weiter – und preis’ es heilig – dass Blutschande entblüht – dem Bund eines Zwillingspaares. – Mir schaudert das Herz, – es schwindelt mein Hirn – bräutlich umfing – die Schwester der Bruder. – Wann ward es erlebt, – dass leiblich Geschwister sich liebten ? ?“ – Le passage correspondant se trouve dans la traduction de Simrock: dialogue entre Freia et Loge. – Vous pouvez dire a` nos amis du S. D. de se servir de l’adresse a` Londres d’un de mes amis: Mr Le´on Coupey. 2 Duncan Terrace. City Road. N. Mes meilleures amitie´s a` vous et aux voˆtres. Ch. Bon.

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198 Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels in London Nizza, Montag, 16. Juni 1890

Nice 16 Juin 1890. Monsieur

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Le Ge´ne´ral Wroblewski est encore oblige´ de se servir de mon interme´diaire pour vous dire qu’il est profonde´ment touche´ de votre bonne amitie´ et de votre empressement. Il, souffre toujours de ne´vralgie & de douleurs rhumatismales dans la teˆte, les mains, & a` son e´paule blesse´e, mais graˆce a` vous il espe`re se gue´rir. Je suis parvenu a` le de´cider aux me´dicaments, mais ma victoire est bien pre´caire. Le re´fractaire revient toujours chez lui, et ce ne seront jamais les pharmaciens qu’il enrichira. Sans eˆtre docteur, j’ai fait de la me´decine toute ma vie, & il a confiance en moi, c’est quelque chose. Je ferai de mon mieux pour le conserver a` notre cause. Il veut que je vous e´crive des le´ge`rete´s, et je lui obe´is. Non seulement il compte pouvoir monter a` cheval, et voir venir le jour de bruˆler Moscou et de reprendre dans les caisses Russes ce qu’elles ont vole´ aux Polonais, mais en traversant l’Allemagne, il pre´tend montrer aux belles Gretchen qu’il n’y a pas que les ennemis qu’il sache culbuter. Je ne voulais pas vous transmettre ces polissonneries, mais il estime que vous n’en serez pas offusque´ et qu’elles vous montreront que le moral n’est pas attaque´ chez lui. – Il appelle cela le moral; je lui fais observer que c’est l’immoral qu’il faudrait dire. Mais il pre´tend qu’en e´tat de guerre ces distinctions s’effacent, et que vous serez trop haut place´ d’ailleurs pour voir ces details scabreux. Il vous remercie des bonnes nouvelles que vous lui donnez de tous les voˆtres et vous souhaite ardemment de n’avoir autour de vous que des sujets de contentement. Il se re´jouit surtout pour vous, pour lui & pour l’avenir de la cause de vous savoir en bonne sante´. Pour moi, Monsieur, qui sans vous connaıˆtre suis un de vos soldats et ne demande qu’a` voir venir les ordres & a` suivre mes chefs, je vous remercie d’avoir rappele´ a` Wro´blewski que son parti a besoin de pouvoir compter sur lui. Ce me sera un moyen puissant de rompre ses re´sistances et de le rendre un peu moins partisan du fara` da se en matie`re de sante´. Il compte sur la nature, moi aussi; mais je lui fais observer que nous faisons partie de cette nature, et qu’il faut que nous agissions pendant qu’elle agit. Je l’ai un peu convaincu, votre lettre ache`vera la conviction.

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198. Jo´zef Wierzejski an Engels · 16. Juni 1890

Sa premie`re lettre sera pour vous, et pour bientoˆt, j’espe`re. En attendant il vous envoie ses plus since`res amitie´s et vous remercie de l’avoir console´ des de´ceptions que lui ont cause´es les tristes personnages dont je vous ai dit la conduite honteuse a` son e´gard. Le silence & le me´pris seront ses seules vengeances. Mais je l’ai vu tant souffrir de son abandon que je ne puis, malgre´ l’exemple qu’il me donne, m’empeˆcher de penser et de dire qu’il y a eu en 1871 bien des fusillades qui se sont trompe´es d’adresse. Recevez, Monsieur, l’assurance de mes sentiments les plus de´voue´s J. Wierzejski 6, Rue Assalit.

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199 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 17. Juni 1890

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Betr. Morgan’s Buch habe ich heute leider noch Nichts zu melden, aber von 3 Seiten Antwort ausstehen. Sandte Dir ein Paar Sonntagsblätter mit Artikeln von mir. Geh nicht zu scharf in’s Gericht mit meinen journalistischen Arbeiten! Sobald als möglich, mehr v. Deinem F. A. S. P. S. Auf Schlueter’s Veranlassung schicke ich Dir heute auch 2 Hefte „Freie Bühne“. S. 17. Juni 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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200 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Mittwoch, 18. Juni 1890

18 june ’90. Petersburg Honourable Sir, My best thanks for your highly interesting letter and article of 10th june. I may add that in the beginning of seventieth, when in our reviews it was a rather lively discussion about english policy in India, concerning the transformation of zemindar into landlords,––in some districts of Transcaucasus the tax-collectors were transformed into landlords . I believe that Mme Evreinov has emigrated in Switzerland. I shall be very glad to give you such informations respecting economical condition of Russia as you desire––, but it is desirable to know what a question does you interest more. You are right, in Russia “there is as great as important an economical change going on as in any other European country”. The rapidity with which the peasant domestic industry––for instance––is transformed into a capitalistic one, and as one of the consequences the urgency to peasants to earn money, to undersell the agricultural products and labour power, do harm not only to the peasantry, but to the landlords themselves: 1) Cheap labour does not allow to apply the machinery; 2) With the underselling of product by peasantry the agriculture becomes more and more disadvantageous to the landlords. The statisticians of the zemstvo of Moscow execute an important work: they investigate the means of peasants’ subsistence (продовольствіе). The chief of the statistical bureau writes to me that they have collected during the past spring “a mass of materials in order to illucidate the process which is going on in the peasants’ economical re´gime, organisation and its alterations. There are data concerning the selling of the product of peasantry and its repurchase”. Permit me to request you to send the letters of our author not in one registered letter but in three or four during two or three weeks. Most faithfully Yours N. Danielson.

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201 Friedrich Engels an Natalie Liebknecht in Berlin London, Donnerstag, 19. Juni 1890

London 19 Juni 1890. Sehr geehrte Frau Liebknecht

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Wenn ich mich auf Ihre Äußerungen daß Sie in Leipzig isolirt & fast geächtet seien, bezog, so war dies natürlich genug. Ich mußte daraus schließen daß Ihnen Leipzig unerträglich sei & freue mich zu erfahren daß dies keineswegs der Fall. Auf einen sonstigen Vergleich der Vorzüge Leipzigs & der Unannehmlichkeiten Berlins kann ich schon darum nicht eingehn weil ich die ersten gar nicht & die andern nur aus alter Erinnerung kenne, seit welcher Zeit Berlin sich ja ganz wunderbar verschönert haben soll, wie die Berliner sagen. Ich glaube Ihnen indeß gern daß für das was sich an die Häuslichkeit knüpft, Leipzig unendlich mehr bietet als die Metropole der märkischen Sahara. Alles das, habe ich an Singer & an Liebknecht geschrieben, sind Sachen die Jeder mit sich & seiner Familie und der Partei ausmachen muß, & wo wir Auswärtigen uns zu bescheiden haben. Ich kann aber nur sagen daß auch nach meiner entschiedenen Meinung, Liebk. nach Berlin gehört, wenn die Parteileitung & das Parteiorgan dorthin verlegt werden. Ob das geschieht oder nicht, darüber habe ich keine Stimme sondern nur eine unmaßgebliche Meinung. Aber wenn es geschieht, & L. bliebe in Leipzig, so degradirte er sich selbst zu einem Parteiführer zweiter Klasse, setzte sich sozusagen auf Pension, käme in eine Lage wo er in wichtigen Fragen nicht gefragt & nicht gehört werden könnte, kurz er thäte den ersten Schritt zur Abdankung, & das werden Sie nicht wollen. Die Politik wirft unsereinen ganz sonderbar herum. Als Lassalle 1858 in Berlin eine Zeitung mit Marx & mir herausgeben wollte, konnten wir auch nicht Nein sagen, & waren bereit in die Landmetropole zu ziehn – glücklicherweise zerschlugen sich die Unterhandlungen. Und das wäre für mich ein Austritt aus geschäftlichen Kontrakten & für uns Beide ein ganz andrer Umzug gewesen als von Leipzig nach Berlin. Sollten also die Vorbedingungen eintreten, unter denen Ihr Umzug nach der

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201. Engels an Natalie Liebknecht · 19. Juni 1890

Reichsstreusandbüchse unvermeidlich würde, so werden Sie sich gewiß auch zu trösten wissen, & auch sicher getröstet werden nicht nur durch die nachträgliche Entdeckung daß es am Ende dort doch auch zum Aushalten ist, sondern auch durch die Gewißheit daß Liebknecht damit die ihm von Rechtswegen in der Partei gebührende Stellung einnimmt & an den Platz getreten ist wo er seinen Posten ganz ausfüllen kann. Jedenfalls wird sich diese Sache nun recht bald entscheiden & ich will hoffen daß wie auch die Entscheidung falle, Sie sich auf die Dauer damit versöhnen werden. Beste Grüße von Nim, Frau Lafargue, Roshers & Ihrem freundschaftlichst ergebnen F. Engels

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202 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Donnerstag, 19. Juni 1890

London 19 Juni 90. Lieber Liebknecht

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Alle Augenblicke changement de de´coration. Schorlemmer fordert mich ˙ ˙ ˙ ˙ vor zur gef. auf zu einer Seereise im Juli – verschiedene Pläne ˙liegen Auswahl. Mein Arzt sagt ich solle sobald möglich weg & diesen Sommer an meine Kur wenden damit ich für den Winter wieder auf den Beinen bin. Ich selbst merke, daß die Schlafstörung mich auch beim Arbeiten stört & daß ich abbrechen muß sobald möglich. Ich kann also den Plan nicht gut von der Hand weisen. Andrerseits drängt Laura in Lenchen, sie auf 14 Tage nach Paris zu begleiten, was während meiner Abwesenheit ganz gut anginge & der Alten sehr gut thun würde. Dazu kommt daß Euer Reichstag noch sitzt & man nicht wissen kann auf 14 Tage, ob & wann er vertagt wird. Es wäre also möglich daß ich in ca 10 Tagen von hier auf 3 Wochen verschwinde. Bis 25–26 Juli würde ich jedenfalls wieder hier sein, Lenchen wohl einige Tage früher. Könntest Du Deine Reise also derart einrichten daß Du nach dem – sage 21 oder 22 Juli hier ankämst, so wäre alles für Dich bereit, & einige Tage später ich selbst auch wieder zur Stelle. Natürlich ist alles dies einstweilen noch provisorisch & Bestimmtes kann ich Dir erst in ein paar Tagen melden, aber ich denke es ist besser Dir von diesem Zwischenfall schon gleich Kenntniß zu geben; daß ich gehe ist ziemlich sicher, aber die Einzelheiten sind noch im Ungewissen. Nur sicher daß ich vor Ende Juli, & Lenchen vor mir, wieder zurück in London. Keiner der Pläne würde mich über den 26. forthalten. Also Helgoland soll deutsch werden. Ich freue mich schon auf das Geschrei der biedern Helgoländer, die sich mit Händen & Füßen sperren werden gegen die Einschließung an’s große Kasernenvaterland. Und sie haben alle Ursache, kaum annexirt, wird ihre Insel in eine große Festung zur Beherrschung des nordöstlich davon liegenden Ankergrunds verwan-

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202. Engels an Wilhelm Liebknecht · 19. Juni 1890

delt, & die armen Teufel werden der eviction verfallen als wenn sie gewöhnliche irische Pächter oder schottische Schafe die den Hirschen Platz machen. O nein o nein, sein Vaterland muß größer sein, aber kein Deutscher von draußen will hinein. Ein schleswig-holsteinisches Elsaß zur See! Das fehlte noch zur deutschen Reichskomik! Dein F. E. Herrn Reichstagsabg. W. Liebknecht Fürbringerstr. 17, II Berlin Germany

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203 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Dienstag, 24. Juni 1890

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Veuillez nous faire parvenir votre article sur la Russie, nous avons un ami qui fera la traduction. Pourriez-vous par la meˆme occasion me joindre l’adresse du de´pute´ anglais, C. Graham, nous avons l’intention de publier son portrait et biographie. Croyez a` nos sympathies votre de´voue´ J. Le´pine

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204 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 24. Juni 1890

Bis jetzt noch Nichts für Dich erhalten, werde auch Ely noch in Anspruch nehmen, aber ohne Aussicht ihn jetzt zu erreichen. Wenn ich bis Ende dieser Woche nichts bekomme, setze ich meinen Antiquar in Thätigkeit. Bericht folgt so schnell als möglich. – Schade, daß Combat schon eingegangen! Hoffentlich befindest Du Dich wohl. Dein F. A. S. Hoboken, N. J. 24 Juni 1890. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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205 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Mittwoch, 25. Juni 1890

25.6.90 Pankow bei Berlin. Berliner Str. 2cIII Lieber Engels! 5

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Entschuldigen Sie gütigst, daß ich auf ihren freundlichen Brief, der, wie Sie Sich denken können, mich im höchsten Grade interessirte, nicht eher geantwortet habe. Immer wieder drängte sich etwas dazwischen; auch sind meine Verhältnisse noch immer in einem dauernden Flusse begriffen, so daß ich von mir irgend etwas Definitives Ihnen nicht melden konnte. Seit Anfang Mai arbeite ich freilich wieder an der Volkstribüne mit und zwar als eine Art von Unterredakteur für 120m monatlich. Das ist eine angenehme Stellung, die auch noch einen ganzen Posten freie Zeit übrig läßt. Ich muß 2 Nachmittage auf der Redaktion korrigiren und habe wöchentlich einen Artikel über ein beliebig zu wählendes Thema für das Blatt zu liefern. Nächstens hoffe ich aber auch, bei Auswahl und Durchsicht der Ma nuskripte mitzuwirken. Schippel muß mich doch vorbereiten, wenn ich ihn während seiner in Chemnitz ihm zudiktirten 9monatlichen Festungshaft vertreten soll. Wie sich das Alles nach Aufhebung des Socialistengesetzes machen wird, ist noch immer ungewiß. Möglicherweise ändert sich dann ja mancherlei in den bisherigen Preßverhältnissen. Für Ihre schnelle, freundliche Auskunft über ihre Anordnungen in Betreff der Mitarbeiterschaft an dem Marxschen Manuskripte, danke ich Ihnen bestens. Ihr Anerbieten, bei mir anzufragen, wenn Ihnen die bisherigen Mitarbeiter abhanden kommen sollten, ist mir sehr lieb. Ich kann ja nicht voraus bestimmen, wie sich hier Alles machen wird. Jetzt freilich habe ich wieder große Neigung, hier zu bleiben und wenigstens die allernächste Entwickelung hier abzuwarten. Aber vorläufig ist ja wohl auch noch garnicht daran zu denken, daß Sie Bernstein verlieren und Ersatz brauchen sollten. Als ich nach Pankow herauszog, sah ich eine Aera glorreichen Fleißes vor mir und schrieb in dieser Stimmung auch an Kautsky, jetzt würde der Artikel über Knapps Bauernbefreiung sicherlich bald fertig werden. Mitten in der Arbeit kamen aber gänzlich unvorhergesehene Verhältnisse dazwischen. Dann trat ich das Engagement bei der Tribüne an und verpflichtete mich überdies eine Broschüre gegen Flürscheim für Schippels Arbeiterbibliothek zu liefern, die erst dieser Tage für den Druck fertig wurde. Nun will ich mich von Neuem hinter Knapp hermachen, aber ich bin jetzt schon ordentlich mißtrauisch gegen diese Arbeit ge-

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205. Conrad Schmidt an Engels · 25. Juni 1890

worden. Hoffentlich erreicht sie aber, wie Alles auf der Welt, einmal doch ihr Ende! Gegenwärtig verkehre ich öfters mit den beiden Brauns, dem Herausgeber des Archivs und dessen jüngerem Bruder, der gleichfalls Nationalökonom und Socialist, zudem aber auch einer der lustigsten Menschen ist, die mir bisher in den Weg kamen. Der Aeltere hat mir den Antrag gemacht, ich solle die englische sociale Gesetzgebung und die Blaubücher regelmäßig verfolgen und für sein Blatt verarbeiten. Meinen Sie, daß das für meine öconomische Weiterbildung von Wichtigkeit wäre im Verhältniß zu der Zeit, die eine solche Leistung erfordern würde? Sind nicht meistens die Resultate der dickleibigen Blaubücher recht mager? Ob es nicht praktischer ist, seine Zeit für andere Arbeiten zurückzuhalten? – Braun war es auch, der mich anstiftete, gegen die Loriasche Kritik – Ihre Angaben über die Person des Verfassers sind ja sehr charakteristisch – ein Paar Worte zu schreiben und Sie an Conrad einzuschicken. In dem nächsten Hefte will dieser die Entgegnung veröffentlichen, was doch sehr anständig von ihm ist. Der Socialismus marschirt auch nach den Wahlen mit Siebenmeilenstiefeln weiter. Die Parteipresse dehnt sich kolossal aus. – Auf die Bourgeoisie scheint die in Reclams Volksausgabe erschienene Uebersetzung von Bellamy’s „Rückblick“ ebenfalls Eindruck zu machen. Das Buch wird jetzt auch in Deutschland sehr stark gelesen. p. s. Daß ich es nicht vergesse! Bei Reisland in Leipzig ist letzthin eine Habilitationsschrift: „Die Geschichtsphilosophie Hegels und der Hegelianer bis auf Marx und Hartmann“ erschienen. Den Verfasser Paul Barth kenne ich von meinem Leipziger Aufenthalte her persönlich. Es ist ein sehr begabter, durchaus selbstständiger und unabhängiger Mensch, dem alles Streberhafte gänzlich fern liegt. Seine Kritik der Marxschen Geschichtsauffassung scheint mir, tief einzudringen. Vor allem bemüht er sich um den Nachweis, daß die Oeconomie nicht einseitig die Politik, sondern daß die Politik wiederum die Oeconomie bestimme. Er behauptet allgemein, daß die politische, juristische, religiöse, philosophische Bewegung großentheils immanenten, aus der wirthschaftlichen Grundlage nicht ableitbaren Gesetzen folge und führt sehr geschickt Belege aus der Geschichte an. Das Buch dürfte Sie interessiren. Für die „Tribüne“ habe ich das Referat übernommen; das ist aber recht schwer. Die Entgegnung müßte im Interesse unserer Sache recht gründlich sein. Vielleicht nimmt Kautsky den Verfasser in der „Neuen Zeit“ einmal ordentlich vor. Da ich nun wieder an der Presse arbeite, sind die größeren Pläne, von denen ich Ihnen vor einigen Monaten schrieb, zurückgestellt. Hoffentlich nicht auf immer! Noch einmal: Seien Sie über das verspätete Eintreffen dieses Briefes nicht ungehalten. Es ist mir um so peinlicher, wenn ich bedenke, wie eilig Sie auf meine Anfrage letzthin geantwortet haben. Vielmals grüßend Der Ihrige Conrad Schmidt

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206 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Samstag, 28. Juni 1890

28th June 1890 r

Dear M Engels,

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I am troubling you with these lines re my father’s “memoirs” which I notice with pleasure are now to be read in the “Neue Zeit” Stuttgart.––I am very anxious to receive the numbers of this paper since the publication commenced, & if a subscription is necessary, will you be kind enough to let me know the amount & to whom I am to remit same.–– Apologizing for thus taking up your valuable time & thanking you in advance, with kindest regards to all, I remain, Dear Mr Engels, Yours gratefully, F. Borkheim F. Engels Esq London

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207 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 29. Juni 1890

4 Corinne Road, Tufnell Park Road, Juni 29th 1890 Lieber Engels. Der Überbringer dieses wünscht Dir eine Bitte der hiesigen und New Yorker ˙˙ vorzulegen. ˙˙ jüdischen Sozialisten Er steht in Korrespondenz mit Krantz, dessen sich Avelings wohl noch vom Pariser Congreß her erinnern, und ist Sekretär des Vereins „Vorwärts“, der auf ausgesprochen sozialdemokratischen Standpunkt steht. Mit bestem Gruß Dein Ed. Bernstein

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208 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Eichwald, Sonntag, 29. Juni 1890

29. Juni 90. Verehrter Herr Engels!

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Sie glauben mir wohl, dass nur recht bedenkliche Krankheit mich solange abgehalten hat, für die beiden Photographien zu danken, welche mich so sehr erfreut haben. Die Ihrige sieht aus, wie Sie vor 6 Jahren. Mich hat Karlsbad wohl vom groesseren Theil der Zuckerausscheidung curirt, aber so sehr geschwaecht u. nervoes gemacht, dass ich mich gezwungen sah, eine Kaltwasserkur zu gebrauchen, was ich hier thue, nur 23 Eisenbahnminuten von Türmitz (einer laendlichen Poststation) in Boehmen, wo meine Familie blieb u. ich von hier zu gehen hoffe, u. wohin ich Sie bitte, mir gelegentlich ein Lebenszeichen zu senden. – Ich sollte noch 1–2 mal Karlsbad besuchen, gegen den Zucker. Werde also wohl noch 1–2 Jahre in Boehmen, oder anderswo in der Naehe Karlsbads, bleiben. – Den Aufsatz über Russland habe ich mit hohem Interesse gelesen: 1880 hatte ich im Schlusscapitel der „Briefe von Rodbertus“ an mich entwickelt, dass Deutschland im Kriege moeglicher Weise der Hungersnoth ausgesetzt sein würde; die Bismarckschen Zeitungen brachten nun Artikel unter der artigen Ueberschrift: „Rudolph Meyer – Ephialtes“, worin sie sagten, ich begehe Landesverrath, da ich dem Feinde Deutschlands Schwaechen aufdecke. In einem spaeteren Buche antwortete ich, dass die officiellen preussisch-deutschen Handelsausweise kein Staatsgeheimniss seien, dass ich aber jenes publicirt habe, damit die Regierung unpatriotische Grossgrundbesitzer, welche durch die Kornzoelle etc. sich eine Staatsgarantie ihrer Privatgrundrente geben liessen, durch eine veraenderte Zollgesetzgebung zwinge, anstatt Zucker für Englaender u. Spiritus für weinpanschende Franzosen, Getreide für das deutsche Volk zu bauen: Darauf ist denn keine Antwort der Bismarckschen Officioesen mehr erfolgt. Jetzt erweitern Sie jene Idee ganz richtig dahin, dass diese Situation, in der sich alle getreidearmen Laender des Continents, ausser Russland u. Oesterreich, befinden, England eine erhoehte Bedeutung in einem Kriege gaebe. Die russische Diplomatie aber überschaetzen Sie wohl; was Sie sagen traf früher zu. Jetzt hat man die Diplomatie u. den ganzen hohen Staatsdienst dort nationalisirt, also unfaehiger gemacht. Moskau mit seinen bornirt panslavischen Tendenzen hat über das westliche System des „aufgeklaerten“ Despotismus in Petersburg gesiegt. Dadurch ist meines Erachtens Russland für den Westen ungefaehrlicher geworden. Uebrigens wird

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208. Rudolf Meyer an Engels · 29. Juni 1890

Moskau kaum über Petersburg gesiegt haben, so wird seinem caesareopapalen System sich das demokratisch-freireligiöse Kiew, das Kleinrussenthum, entgegenstellen. Die centrifugalen Tendenzen der slavischen Staemme koennen nur durch die westlaendische Dynastie gebaendigt werden, und letztere scheint auf sehr schwachen Füssen zu stehen. Mich soll nur wundern, auf welche Seite sich die Polen in dem kommenden Weltkrieg stellen werden? Wohl kaum auf jene der Deutschen gegen Russen u. Franzosen. Es sollte mich sehr wundern, wenn die Russen jetzt nicht einige ihrer Papierrubel auf Reisen senden würden, um unter den englischen Arbeitern gegen Salisbury u. für Gladstone wühlen zu lassen. Im Jahre 1879 od. 80, als ich in England war, arbeitete in ihrem Solde ein „Arbeiter“ Cremer gegen Disraely, der ja auch fiel. – Kaiser Wilhelm II. hat den groessesten Verraether u. Schuft, allerdings einen sehr klugen Kerln, Miquel, zu seinem Vertrauensmanne gemacht; dieser hat 1849–52 die Communisten, 1865, als er „welfisch“ wurde, um Oberbürgermeister von Osnabrück zu werden, die Gothaher, dann die Welfen, die Partei für˙ die Direction der Discontogesellschaft, etc. verrathen – nun wird er auch den Hohenzoller verrathen, dessen Socialpolitik ohnehin aussichtslos ist: kann er ja nicht ein mal den Kornzoll aufheben: 1000 Kilo Weizen kosten 204 Mark in Berlin, 162 in London, 142 in Wien, 132 in Pest, 149 in N. York. Nun, lassen wir den Grossen ihre – grossen Kopfschmerzen! Ich bitte die liebe Helene herzlich zu grüssen. Gelegentlich gebe ich Ihnen Nachricht von meinem Befinden. Soweit die Kraft es gestattet, studire ich das nationaloekonomische System des Mittelalters. Mit herzlicher Verehrung Ihr sehr ergebener R. Meyer. Gruss an Schorlemer.

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209 Friedrich Engels an Louis Kugelmann in Hannover London, Montag, 30. Juni 1890

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Ich danke für Deine mehrfachen Zusendungen bestens, habe mich bemüht die No des Daily Telegraph zu bekommen, es ist mir aber nicht ˙ ˙ ˙ sagen konnte an welchem Tag der ˙ ˙˙˙ ˙ ˙nicht gelungen da ich den˙ ˙˙Leuten Artikel erschienen, auch sagten sie die No sei wahrscheinlich ausverkauft. Auskunft bekommt man hier keine von den Commis, wo es sich um ein Geschäft im Betrag von einem Penny handelt! Dein F. E. 30 Juni 90 Herrn Dr. Kugelmann Hannover Germany.

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210 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Montag, 30. Juni 1890

Eine Antwort in Deinem Namen durch mich erlassen würde nur Hrn. Hyndman zur Erwiderung provociren: wir wollen nicht des ˙˙ Hrn. En˙g˙e˙ls˙ Meinung hören sondern Liebk’s eigenes Zeugniß – & so et˙ ˙˙˙ ganz gegen hiesigen Brauch. Du siehst daß Herr F. Gilles was ist ˙auch ˙˙˙˙ ˙ sich der Sache bemächtigt um Kapital zu schlagen. Willst Du also nicht direkt an die Justice schreiben so antworte in The People’s Press, (Red. ˙˙˙ ˙ Place, Fleet st., London E. C. deren letzte Nr ich Richard Dell) 1˙ ˙Hare Dir schicke. Wohnungssuche in Berlin muß allerdings ein angenehmes Geschäft ˙ ˙˙˙ ˙ sein! Dein F. E. 30/6/90. Herrn Reichstagsabg. W. Liebknecht Fürbringerstr. 17, II. Berlin Germany

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211 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 30. Juni 1890

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Hurrah! Ich bekomme das Buch u. sende Dir’s dann sofort „registered“ zu. – Ein Freund in Boston besorgt es mir. – Seit 14 Tagen habe ich Nichts von Dir erhalten, d. h. Blätter. Hoffentlich liegt’s nicht an Deinem Befinden. Dein F. A. S. Hoboken, 30 Juni 1890. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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212 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Dienstag, 1. Juli 1890

Dunkirk, July 1st 1890 r

Dear M Engels, My best thanks for your kind lines of yesterday just received & apology for the ˙ ˙˙ ˙ numbers ˙ trouble I have put you to. The “Neue Zeit” will be very welcome wheno ever they reach me. Messrs. C. B. & C ’s avocat was kind enough to go into my case last year & informed me that I had no chance of successfully opposing the “saisie” owing to my not having procured a proper reconnaissance of my furniture from the original landlord. The results of this occurrence are really being a terrible burden & drawback to me. I am at present trying hard to find out some situation at Paris or other centre whereby to better myself. It is just possible I may be in London next September to attend the wool sales for C. B. & Co in which case I hope to have the pleasure of thanking you personally. In the meanwhile, with kindest regards, Yours gratefully, F. Borkheim F. Engels Esq London.

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213 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Dienstag, 1. Juli 1890

Hannover, 1. Juli 1890

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Es thut mir aufrichtig leid, lieber Engels, daß ich Dir so viele Mühe gemacht habe. – Ich glaubte der Artikel hätte dort Aufsehen erregt u. die Nr wäre leicht in jedem Ztgs-Kiosk oder drgl zu haben. – Figaro u. Petit Journ. erhielt ich leicht aus Paris. – Entschuldige, lieber Freund! – Das Urtheil über Miquel in der Dir ˙ ˙ ˙ ˙˙ von Götzuletzt gesandten Ffrtr Ztg scheint mir sehr richtig, wie ich ihn schon tingen her kenne. – Ich denke oft – ceteris paribus – an die Zeit Necker’s. – Mit herzlichem Gruße Dein Dr. Kugelmann F. Engels Esqre 122. Regents-Park-Road N. W. London England

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214 Oscar Eisengarten an Friedrich Engels in London London, zwischen Dienstag, 1. und Samstag, 5. Juli 1890

47, King Square, Goswell Road, E. C. Lieber Herr Engels! Am Montag abend war ich leider verpflichtet bis um 12 Uhr zu arbeiten, und konnte nicht nach meinem Sparklub gehen. Ich hoffe es wird Ihnen nicht zu viel Unbequemlichkeit verursachen wenn ich mit der Rückzahlung unter diesen Umständen bis Sonnabend warte; wann ich es Ihnen selbst bringen werde und dabei vermeide Geld aus dem Sparklub zu ziehen, da ich jetzt 30 s. besitze und die fehlenden 10 s. aus meinem Wochenlohn am Sonnabend entbehren kann. Mit Gruß Ihr ergebener O. Eisengarten.

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215 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London St. Gilgen bei Salzburg, Donnerstag, 3. Juli 1890

D. Z. St. Gilgen, 3/7 90 bei Salzburg. Lieber Engels! 5

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Ich habe Dir lange nicht geschrieben; aber Anfangs passirte nichts, was das Schreiben gelohnt hätte, und als etwas passirte, was ich Dir gern geschrieben hätte, fand ich nicht die Zeit dazu. Nun, ich hoffe, Ede hat Dich darüber, nämlich über die Umwandlung der N. Zeit, auf dem Laufenden gehalten. Ich war Anfangs nicht sehr erbaut davon, und zwar hauptsächlich aus persönlichen Gründen; denn die Umwandlung in ein Wochenblatt verkürzt die Zeit, die mir bisher zu theoretischen und anderen Nebenarbeiten zu Gebote stand, und erschwert mir das Reisen. Meinen Plan, nach London zu kommen, ehe ich mich in Stuttgart niederließ, kann ich nun nicht ausführen, da ich bereits im August nach Stuttgart muß. Hoffentlich kommt es im nächsten Frühjahr dazu. Auf der anderen Seite sind es wieder persönliche Gründe, die mich mit der Umwandlung in ein Wochenblatt versöhnen, – vor allem der Umstand, daß Ede hiedurch einen Posten erhält, auf dem er, so viel ich weiß, ohne pekuniäre Einbuße ebenso gut und für ihn befriedigender wirken kann, wie bisher. Mit Ede zusammenzuarbeiten, war schon lange mein Wunsch; ich denke, es wird für uns Beide von Vortheil sein. Liebknecht war anfänglich die politische Wochenschau zugedacht; ich bin froh, daß es mir gelungen ist, Dietz davon abzubringen. Ich hatte genug an den Erfahrungen, die Ede mit dem Soldaten gemacht. Ich habe natürlich nichts dagegen, daß er für uns schreibt, aber nicht die politische Wochenschau, die doch den Anschauungen der Redaktion entsprechen soll, und die in der N. Z. mehr sein soll, als geistreiches Geschwafel. Wie es mir dießmal in Stuttgart behagen wird, weiß ich nicht; gegen früher besteht der Vortheil, daß ich mich freier bewegen kann und daß ich mich mit Dietz vollkommen verstehe, der damals unter dem Einfluß von Geiser und Blos stand, was ewige Reibereien veranlaßte. Auch das Parteileben scheint jetzt besser zu sein. Auf jeden Fall befindet sich die deutsche Sozialdemokratie heute in einem interessanten Umwandlungs-Prozeß und es wird mir sehr nützlich sein, den in der Nähe anzusehn. Berlin wäre dazu freilich geeigneter als Stuttgart, aber man wird auch dort die richtige Parteiathmosphäre athmen.

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215. Karl Kautsky an Engels · 3. Juli 1890

Nun eine Bitte. Ich soll jetzt den Prospekt für den nächsten Jahrgang entwerfen, den wir dießmal mit dem 1. Oktober beginnen. Selbstverständlich möchte ich gerne etwas von Dir versprechen, am liebsten gleich mit einem Beitrag von Dir beginnen. Ich habe da zunächst die Apokalypse im Auge, doch wird mir selbst verständlich jeder andre Beitrag ebenso willkommen sein. Die Formänderung der N. Zeit soll in keiner Weise von einer Aenderung ihres Charakters begleitet sein; die einzige eintretende Aenderung soll darin bestehn, daß das Aufhören des Sozialistengesetzes keine Streichungen mehr von Nöthen macht und daß die Artikel viel rascher erscheinen können, als bisher. Darf ich etwas von Dir erwarten? Glaubst Du, daß Sorge für uns schreiben würde? Dann bitte ich Dich um seine Adresse. Ich brächte gern unter Anderem einen Bericht über die amerikanische Bewegung, weiß aber außer Sorge Niemanden, dem ich ihn anvertrauen möchte. Wie geht es Dir und den Deinen persönlich? Hoffentlich seid Ihr alle frisch und munter und ist auch Nimm ihre Bronchialbeschwerden losgeworden. Uns geht es hier famos. Beste Grüße von uns an Euch, namentlich unbekannter Weise von meiner Frau und mir. In alter Treue Dein Baron

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216 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 3. Juli 1890

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Heute habe ich Morgan’s House & House-life etc. an Dich „registered“ abgeschickt. Hoffe daß es bald in Deinen Händen. Schlueter’s konnten keine ordentliche Wohnung in N. Y. finden u. sind vorgestern nach Hoboken gezogen. Nächste Woche hoffe ich Dir schreiben zu können, Dein F. A. S. Hoboken, N. J. 3 Juli 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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217 Edouard Anseele an Friedrich Engels in London Gent, Freitag, 4. Juli 1890

Gand 4/7/90 Monsieur Le mouvement socialiste marche tre`s-bien a` Gand, mais les catholiques commencent a` s’organiser fortement et en Belgique, ce sont eux notre ve´ritable et redoutable ennemi. Dans les journaux, ils parlent toujours de l’organisation de la production, de la protection des travailleurs au moyen-aˆge, alors que l’Eglise re´gnait sur presque tous les peuples. Dans notre litte´rature flamande rien n’existe a` ce sujet, ne connaıˆteriez-vous pas un ou plusieurs ouvrages franc¸ais se´rieux, dans lequels nous pourrions trouver l’explication de l’organisation du travail au moyen-aˆge et aussi les privile`ges dont disposait l’Eglise et la manie`re dont elle dominait des proprie´te´s et ses peuples. Ce re`gne doit avoir e´te´ exe´crable, car comment expliquer alors les re´voltes terribles des paysans et citadins flamands non seulement contre les nobles mais aussi contre les preˆtres au 13 et 14 sie`cles ? Ne pourriez-vous pas nous donner le tıˆtre d’un ou plusieurs ouvrages traitant cette question ? Les libe´raux nous attaquent aussi et disent que la loi de la valeur de Marx a e´te´ cent fois re´fute´es. Nous ne connaissont concernant ces fameuses refutations que la brochure de la Berliner ArbeiterBibliothek: Die Marx’sche Werththeorie von ˙˙ Fischer. Existe-t-il en franc¸ais ou en allemand encore d’autres ouvrages concernant cette question ? Espe´rant recevoir une re´ponse favorable et prompte nous vous remercions d’avance et vous saluons since`rement. E Anseele Vooruit. Marche´ au fil.

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218 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux Odde, Freitag, 4. Juli 1890

Friday 4th Juli 1890. My dear Laura

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I hope you got as safe to Paris as we did to Norway. We had a very quiet passage, though lots of people sick, sighted the coast of Norway yesterday afternoon, & by 6 were between the islands & rocks. Went up the Hardanger Fiord which leads right into the heart of the country, & are now at the farthest point, Odde, where we remain until to-morrow. Had a drive up the valley this morning & only just back, it rained a little, but not enough to spoil the scenery which is grand. The sun set yesterday at 10 & there was no real night, only a rather deep dusk, & red sky in the north. The people are very primitive, but a sound strong handsome race, they understand my Danish but I cannot make much of their Norwegian. Here at this place the invaders coming by this one ship have cleared the place of Norwegian money in change for English, & the postoffice of postage stamps. We sail from here tomorrow & shall on Monday be at Trondhiem a good way farther up north. If the scenery does not get worse than what we saw today I shall be quite satisfied. It is in some respects like Switzerland, in others very different. So far the beer is not what one might expect, but I shall reserve my judgment until I have seen the towns. This Odde is about twenty houses, including church, hotel, postoffice & skolehus. Everything built of timber, although they have about 1 000 000 times more stone than wood. Well I hope Nim is well enjoying herself & you & Paul are the same. If Me´me´ was here she would have plenty to say about my nase, the sun has burnt it so that it cracks at every corner. So now love to the lot of you & enjoy yourselves. Ever yours F. Engels

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219 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Sonntag, 6. Juli 1890

Le 6 Juillet 1890. Nice 6, Rue Assalit. Mon Cher Ami, Je me re´tablis peu a` peu et je pense, – en peu de temps, – je serais debout avec toutes mes forces. Pour le moment je Vous envoie mes since`res remercıˆments pour Votre bonte´ et je Vous serre mille fois et cordiallement la main; – mais en meˆme temps j’e´prouve terrible besoin (des tous les points de vue) de Vous voir ... et aussitoˆt je recevrais mon argent, je viendrais expre`s a` Londres pour me mettre d’accord avec Vous sur les e´ve`nements qui s’approchent et ou` ... il faut absolument que je me mets a` cheval. A Vous de tout mon cœur Votre Walery Wro´blewsky Mes meilleurs comple´ments a` : «Tussy» et a` «Pums» !

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220 Friedrich Engels an Hermann Engels in Engelskirchen Trondhjem, Dienstag, 8. Juli 1890

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Auf dem Sprung nach dem Nordkap abzusegeln verfehle ich nicht Dir ein Lebenszeichen aus Dron[th]eim zu geben. Ich habe so eben den besten Hummer gegessen den ich je gehabt, dazu recht gutes Bier, auch einen großen Wasserfall gesehen, & werde 9 Uhr absegeln zunächst nach Tromsöe, dann Nordkap, dann zurück in einige norwegische Fjörde, & bin am 26 ds wieder in der Themse. Das Wetter ist soweit ganz gut, nur gestern war’s naß, heut wieder schön. Die Leute gefallen mir ganz gut, die Mädel tragen das Tuch über den Kopf wie bei uns & man meint man wäre ihnen [sc]hon einmal im Siebengebirg oder der Eifel begegnet. Aber die Feder ist abscheulich & nur mit Mühe hab’ ich dies fertig gekritzelt. Viele Grüße an Emma & Deine Kinder, Rudolf, Matilde Hedwig, usw. Dein Friedrich Drontheim 8 Juli 90

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221 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 9. Juli 1890

Hoboken, 9 Juli 1890. Lieber Engels! Ich schulde Dir eingehende Antwort auf Deinen Brief v. 29 Mai, bin aber bei der herrschenden Hitze etc. nicht wohl im Stande dazu (Gestern 100 Grad im Schatten). Das Morgan’sche Buch wirst Du jetzt haben, aber nicht so viel Freude daran wie an „Ancient Society“. Anliegend sende ich Dir die Begleitbriefe zurück, die zwei Ex. von „Ursprung“ etc. werde ich gelegentlich gut verwenden. Von Ely erhielt ich zuletzt auch noch eine Antwort, worin er mir Adressen von Antiquaren etc. mittheilte. Auch ließ er mir 2 Ex. seines letzten Vortrags „The Needs of the City“ zusenden mit der Bitte, Dir eins davon zu schicken. Ich habe es heute abgeschickt an Dich. Den „Klatsch“ über Schlueter werde ich hoffentlich nicht verwenden müssen, obgleich dem pp Jonas nicht ganz zu trauen ist. Die Herrn Socialisten in N. Y. haben neulich eine Achtstundenliga gegründet, dann eine politische Wahlkampagne eröffnet u. dann die Central Labor Union gesprengt. Die Kerle sind verrückt – quem Deus vult perdere etc etc. Die Nationalisten haben auch eine Wahlkampagne begonnen u. hoffentlich fallen sich die Beiden in die Arme u. – vergehen. Schlueter arbeitet wie toll u. ich predige ihm vergeblich Enthaltsamkeit (v. d. Arbeit). So treibt er’s keine zwei Jahre. Wie schon pr. Postkarte gemeldet, habe ich in der zweiten Hälfte des Juni Nichts von Dir erhalten, wahrscheinlich durch Schuld der hiesigen Post oder dgl. Von People’s Press u. Commonweal fehlen mir die Nummern vom 7 u. 14ten Juni. Von People’s Press auch die Nr. v. 28 Juni. – Wir sind im Begriff, einige Wochen wieder nach Mount Desert Island zu gehen. Innerhalb der nächsten 4 Wochen nach Empfang des Vorliegenden kannst Du mir Alles dorthin schicken, d. h. F. A. Sorge. Mt. Desert, Maine, U. S. A.

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221. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 9. Juli 1890

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Doch kannst Du es auch an die gewöhnliche Adresse (Hoboken) schicken, da es mir nachgesandt wird. – Meine Frau u. ich grüßen Dich u. die Deinen herzlich. Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey. oder Mt. Desert, Maine U. S. A.

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222 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 10. Juli 1890

Habe heute noch fehlende Sendung von Dir erhalten. Nunmehr fehlt mir blos noch People’s Press v. 28 Juni. Was wird aus dem Archiv? Dein F. A. S. Hoboken, N. J. 10 Juli 90. F. Engels, Esqu. 122 Regent Park Road London, N. W. England.

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223 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 12. Juli 1890 15

Le 12 Juillet 1890. Nice 6, Rue Assalit.– Mon Cher Ami, 5

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Je rec¸ois en ce moment un avis des mes cousins qu’il y aura le retard dans l’expe´dition de mon argent. – C’est le truc abituele de mon beau-fre`re, qui est, entre nous disant, une terrible canaille, et qui, en me devant une forte somme de l’argent, serait tre`s satisfait ... si je ... cre`ve ! ... Tout cela m’enrageait, si fortement et m’a donne´ si ... rude temperature (au corps) que je suis de´ja` debout, et preˆt a` partir pour la frontie`re de mon pays et de la` d’envoyer quelqu’un qui m’apportera pour suˆr un certain capital des mes cousins et dans vingt quelques jours je serais de retour, et je viendrais a` Londres pour Vous serrer fraternellement la main. – Mais pour exe´cuter ce voyage je m’adresse since`rement a` Votre bonne Amitie´ pour Vous demander de me rendre un service, en me preˆtant encore une fois la meˆme somme que Vous aviez la bonte´ de m’envoyer pendant ma maladie. – Tout cela je Vous rembourserais, avec reconnaissance, – personnelement a` Londres. – Pour le moment, en comptant sur Votre amitie´, que Vous m’excuseriez des ces ennuies que je Vous donne avec mes affaires, je Vous serre cordialement la main. A Vous de tout mon cœur Votre: Walery Wroblewski

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224 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 15. Juli 1890

15. Juli 90 Sehr geehrter Herr Engels! Die Angelegenheit Borkheim ist endlich erledigt. Herr Ruegg hat 100 Fr. von seinem Honorar nachgelassen, ich habe weitere 100 Fr. draufgelegt und diese Summe (200 Fr.) an den jungen Borkheim gesandt. Ebenso 4 Ex. der Neuen Zeit. Mit ganz kurzen Worten machte ich ihm Mittheilung über die Ursache der Sendung. Sie theilen dem jungen B. wohl gelegentlich das Weitere mit. Ihrer Manuscriptsendung sehe ich gerne entgegen. Indessen verbleibe ich, Ihnen beste Gesundheit wünschend, Ihr ganz ergebener H. Dietz.

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225 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Sonntag, 20. Juli 1890

Dunkerque, June 20th 1890 Dear Mr. Engels,

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Mr. Dietz has sent me the numbers of the “Neue Zeit” & also two hundred-franc notes, as he says for “honorarantheil”, in the publication of the “extracts”, for which I have duly acknowledged receipt to the above gentleman but for which I beg to thank you very much, feeling convinced that your goodself alone can be the promoter if not the author of this kind attention. It has taken a great weight off my mind I can assure, my quarter’s rent falling due on 1st prox. I have however been lucky enough this last week to let off half of my house unfurnished till the end of my own lease, which will of course somewhat lighten my burden provided my new “sous-locataire” pays me his rent regularly. A few words more re the “Memoirs”––I presume when done with the M. S. will return to your care so that I can take same back into my possession at some future date.––If I do not hear from you the contrary, I shall consider this idea of mine to be correct.–– With kindest regards & repeated thanks Yours sincerely & gratefully, F. Borkheim

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226 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf Bergen, Dienstag, 22. Juli 1890

Steam Jacht Ceylon, Rhede von Bergen, 22 Juli 1890 Lieber Liebknecht Von unsrer Tour nach dem Nordkap glücklich wieder in civilisirten Breiten angekommen – Schorlemmer & ich fuhren mit obigem Schiff am 1. ds von London ab – beeile ich mich Dir mitzutheilen daß wir Samstag 26 ds. in London wieder einzutreffen hoffen & uns freuen werden Dich sobald als möglich bei uns zu sehn. Wenn es Dir paßt, komm gleich, denn wir werden wohl bald nach der See abfahren & denken Dich zum Mitgehn zu verführen; da bliebe Dir dann noch einige Zeit um in London das Nöthige zu besorgen. Die erste Nachricht die uns aus der großen Welt zukam & heute am Schiff angeschlagen steht, ist: The German Social Democracy will reorganize on October 1st & is preparing a plan of organization to be discussed & adopted at a Congress in October. Sonst nichts von irgend welcher Bedeutung – aber es macht einem Spaß gleich mit dieser Nachricht empfangen zu werden. Da der junge Wilhelm gleichzeitig Norwegen beglückte, hielt ich meinen Reiseplan so geheim wie möglich, um Polizeichikanen zu vermeiden. Inzwischen ist uns auf der Rückfahrt die Flotte in Molde begegnet, „young Hopeful“ war aber nicht dabei; er war auf einem Torpedoboot bummeln gegangen & fuhr uns beim Geiranger Fjord ganz stillekens vorbei, zum großen Ärger der englischen Bourgeoisbande auf unserm Schiff, die gerne einen live emperor angehocht hätten. Von der Flotte sind die Matrosen Prachtkerle, die jungen Offiziere & Aspiranten janz die Jarde, Fähnriche mit all den Redensarten die man von Anno Tobak her kennt, die älteren Offiziere, die wir im Hotel in Civil trafen waren ganz anders, von gewöhnlichen Civilisten gar nicht zu unterscheiden. Der altpreußische Dialekt herrscht vor. Zum Todtlachen waren die zwei fetten Admirale, die in einem kleinen norwegischen Wägelchen zusammengepreßt saßen (es war kaum Raum drin für einen) & Besuche abstatteten (das ganze Molde geht zweimal auf Primrose Hill) man sah von hinten nichts als Epauletten & Dreimaster.

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Die Reise war sehr schön & sehr interessant, & die Norweger haben mir sehr gut gefallen. Oben in Tromsö haben wir die Lappen besucht & ihre Rennthiere, in Hammerfest Berge von Stockfischen aufgehäuft gesehn – ich dachte erst es wäre Brennholz – & am Nordkap die berühmte Mitternachtssonne. Man wird aber nichts eher leid als das ewige Tageslicht, wenn man so eine Woche thatsächlich gar keine Nacht hat & stets bei hellem Tag schlafen geht. Das Bier haben wir gewissenhaft bis nach dem 71. Breitengrad hinauf probirt, es ist gut, aber nicht so gut wie deutsches, & überall Flaschenbier. Nur in Drontheim gab’s einmal Zapfbier. Übrigens wird hier auch stark an Mäßigkeitsgesetzen gesetzgebert, & dürfte Bismarkscher Schnaps hier immer weniger Absatz finden. Ob es in Bergen eine Ölhalle gibt wo wir Zapfbier erhalten, werden wir wohl heute auskundschaften. Auf der Eisenbahn von Vossevangen nach Bergen fährt man 108 Kilometer in 41/2 Stunden – 24 Km per Stunde! Es geht aber auch durch Felsen aller Art, fast die ganze Bahn ist eingesprengt. Oben im Norden, am Svartisen, der ein einziges ungeheures Gletscherfeld ist, gingen wir auf einen Gletscher der vom Meer nur durch die niedrige Moräne getrennt ist also bis ca 100 Fuß Meereshöhe sich hinabsenkt. Jetzt aber wirds Zeit zum Frühstück, & ich schließe deshalb damit ich den Brief gleich nachher auf die Post geben kann. Herzliche Grüße an Deine Frau & Kinder, & an Dich selbst von Schorl. und Deinem F. Engels Herrn W. Liebknecht Südplatz 11 Tydskland Leipzig

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227 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Freitag, 25. Juli 1890

12 Fitzroy St. Fitzroy Sq. July the 25/90 Lieber Engels! Es thut mir sehr leit, Dich sofort in Kentniß zu setzen, über den Schräcklichen zustant, worin sich die Familie Weiler, befindet. Mrs Weiler wurde vor ungefähr 3 wochen von einen Blutsturz ergriffen, und muste aus den Warkschob zu hausse gefahren werden. Die Drs im Hospital sagten sie mus ruhig in Bett liegen, sonst können sie ihr nicht Helfen. Dieselbe hat nuhn diese ganze zeit sich zuhausse Herum geschlept. ohne alle mittel und nur ganz wenig Hülfe, of kein stückchen Brod im Hause. wir haben gethan was in unserer macht Liegt. Meine Frau hat denselben mehrere mahle Essen zugeschickt. sowie Brod, Butter, Tea &c. gleichzeitig habe ich denselben von zeit zu zeit einige sh. gegeben. Das war aber noch nicht daß schlimste. vergangen Montag schicken die Weilers nach mier, ich ging sofort zu denselben, und ich sah den rent Colecter, welcher das ganze Geld welches dieselben Schulten £ 3– bis vergangenen Montag. sofort haben wolde, oder den nächsten Tag den proker bringen. ich ging hinauf zu den Office des rent colecter, um die sache für eine Woche zu verschieben, welches angenommen wurde durch mein versprechen, das biß nächsten Montag die rückstätge rent bezahlt werde. ich habe sofort eine Lieste angefertiegt, welche zierkuliert, und Hoffe soviel zusamm zu bringen, aber natürlich das ist noch nicht hinlänglich. Da die Frau Weiler nicht besser werden kann, ohne vollkommene ruh, und die nöthigen Lebens mittel dazu, so hat sich jemant für sie verwendet, damit sie ins Land in ein convalesent home geschickt wird, und bis nächsten Diensttag, wird sie nach Briehton geschickt werden. Wenn Du mich sehen wilst, so laß mir es gefälligst wissen, und ich werde zu Dir kommen, und das übrige weiter mitheilen. mit besten grüßen Dein F. Leßner

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228 Carl Geibel an Friedrich Engels in London Leipzig, Sonntag, 27. Juli 1890

27 Juli 90 Herrn Friedrich Engels London, N. W. 122 Regents Park Road 5

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Sehr geehrter Herr! Durch Frau Dr. Marx-Aveling werden Sie erfahren haben, daß meine Firma eine – von Lothar Bucher autorisirte – Gesammtausgabe der Werke Ferdinand Lassalles plant. Ich bin seit einiger Zeit mit der Herbeischaffung des Materials beschäftigt. Frau Freiligrath, welche ich um Ueberlassung der Briefe L.’s an ihren Gatten bat, hat mir dieselben in grosser Güte zur Verfügung gestellt. Dabei stellte sich aber heraus, daß ein von L. an ihren Mann gerichteter Brief, in welchem sich Ersterer ausführlich über seine Ziele ausspricht, fehle; Frau Fr. vermuthet, daß vielleicht Freiligrath diesen Brief einst Marx zur Lektüre gegeben, ihn aber von diesem nicht zurückerhalten habe. Da Sie nun, wie mir Frau Fr. mittheilt, im Besitz des Marxschen Nachlasses sind, so bitte ich Sie, die Güte zu haben, Nachforschungen nach jenem Briefe anzustellen und den selben, wenn Sie ihn finden sollten, entweder Frau Fr. dort, die bei ihrer Tochter in Cedar Lodge, 19 Lower Oak Rd., Foresthill, wohnt, einzuhändigen, oder meiner Firma zu übersenden. Bei dieser Gelegenheit erlaube ich mir bei Ihnen anzufragen, ob mir die Briefe Lassalles an Marx oder andere Persönlichkeiten, so weit sie Ihnen zugänglich sind, nicht zu dem oben bezeichneten Zweck über lassen werden könnten, sei es im Original, sei es in wortgetreuen Abschriften, sei es leihweise oder käuflich. Da Sie sicherlich eine wissenschaftliche Ausgabe der Werke L.’s gleich mir für ein dankenswerthes Unternehmen halten werden, so hoffe ich, daß Sie mich in meinem Vorhaben nach dem Maasse Ihrer Kräfte unterstützen werden. Ich habe bisher, zu meiner Genugthuung, in dieser Richtung noch keine Fehlbitte gethan. Ihrer gefl. Mittheilungen gern entgegensehend, in grösster Achtung ergebenst Carl Geibel Chef der Firma Duncker & Humblot. Ich verreise in einigen Tagen für längere Zeit & bitte daher um freundlichst bal˙˙˙ ˙ ˙˙ dige Nachricht. G.

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229 Adam Weiler an Friedrich Engels in London London, Montag, 28. Juli 1890

112. Great Titchfield street Portland Place. Juli 28th Geehrter Herr Engels! Ich weis nicht wie ich Ihnen für Ihre Güte danken soll. Ich erhielt von Freund Lessner for einiger Zeit £. 2. und jetzt wiederum die Summe von £ 3. Es thut mir sehr leid das mich meine Lage dazu zwingt diese Wohlthaten anzunehmen, indem ich gar nicht weis auf welche weiße ich Ihnen irgend einen Gegen Dienst erweißen könnte. Ich kann Ihnen nur das Beste für Ihr wohlergehen wünschen um das Sie noch recht lange zum besten der Arbeiterklasse erhalten bleiben Ich Verbleibe mit Großer Dankbarkeit Ihr ergebener Adam Weiler. Auch bitte ich bestens zu danken für die Güte des Herrn Professor Scholleimer.

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230 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 30. Juli 1890

London 30 July 1890 My dear Laura

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Here we are again from the icy regions of the North––temperature mostly 10o in cloudy weather, very hot when the sun shone, two flannels & a topcoat not too much on an average! The journey has done us both a world of good, & with a nachkur at the seaside I hope to be completely set up again. I found Nim quite enthusiastic about her stay in Paris, she never enjoyed herself so much, & if I am not mistaken & you do not take care you will have her an annual customer. We met the German fleet at Molde but young William was not there–– he sneaked past our Steamer later on in the Sunelvsfjord in a torpedo boat––so that with the impossibility of getting papers we were out altogether of la grande politique. Fortunately nothing happened worth knowing––the first news at Bergen were about the reorganization of the German Party after Oct. 1st, & on arriving here, the splendid news about the two fights at Leeds where young Will Thorne proved himself a leader in battle of both courage & ability. This mode of lawful resistance is very much to be approved of, especially here in England––& it succeeded. Enclosed I found on my return & opened, but it is for Me´me´. Cannot anyone in Paris give us any information about that de Lavigerie who here gives as references Baudin, Ferroul, Guesde, the whole of the party in the Chamber & those in the Conseil Municipal? Of course, if none of all these gentlemen will either disavow or acknowledge this man, or give any information about him, what must the people here do? So long as none of his references repudiate him, the people here cannot but take him for genuine, & if afterwards he turns out a black sheep, or does harm to our French friends (for to the people here he can do none) they must blame themselves. Now I must conclude. You will not want telling that I found an immense heap of correspondence, papers &c. here & that I have my hands full for some days––so excuse this short note. Have you seen Paul’s Por-

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230. Engels an Laura Lafargue · 30 Juli 1890

trait in the Neue Welt Kalender––it is very good, so are the other Frenchmen. Love from Nim, Schorlemmer & Yours ever F. Engels

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231 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 30. Juli 1890

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Schorlemmer & ich sind von unsrer sehr hübschen & sehr interessanten ˙ ˙ ˙ dem ˙ ˙ Nordkap & Norwegen überhaupt, zurück & von SamsReise nach tag an werde ich die Sendungen wieder aufnehmen & Rückständiges abstoßen können. Morgan mit vielem Dank erhalten, & letzteren um so mehr als die Vermittlung Ely’s vermieden wurde. Es ist immer unangenehm so einem Zwischengänger verpflichtet zu sein. Die betr. Briefe ebenfalls zurückerhalten & vernichtet. People’s Press wird auch wohl in 14 Tagen kaput sein. War ein Versuch der Fabians sich in die Leitung der Bewegung einzuschmuggeln – daneben viel guter Wille & noch mehr Abwesenheit von journalist. & geschäftl. Erfahrung, bei den 2 eigentlichen Machern, so daß alles verfahren wurde. Es wird eine unangenehme Pause eintreten, aber hoffentlich zur Gründung eines Organs der neuen Unions führen. Die beiden Gefechte in Leeds waren brillant. Das war eine prächtige Nachricht für uns bei der Rückkehr. In Bergen existirt auch eine soz. dem. Organisation, hatte aber keine Zeit & Wege sie aufzusuchen; sah nur aus den Zeitungen daß sie ein eignes Lokal haben & um eine Bierschankkoncession eingekommen [si]nd. Unsre Reise ist uns famos bekommen. Tussy & Edward gehn nächste ˙ ˙˙˙ Woche auch nach Norwegen. Gruß von Sch. & Deinem F. E. besonders auch an Deine Frau. 30 Juli 90. F. A. Sorge Esq Hoboken N. J. U. S. America

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232 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Leipzig London, Freitag, 1. August 1890

Lieber Liebknecht. Bis zum 15. Aug. kann ich leider nicht hier bleiben – ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙wohl ˙ ˙ ˙ ˙ ˙Ende ˙ wir˙˙ werden nächster Woche an die See gehen, wohin, schreibe ich Dir sobald dies zur Zufriedenheit aller Betheiligten festgestellt. Deine Erklärung stand in People’s Press, was nicht verhindern wird daß die kleinen Anzapfungen in Justice fortdauern, diese Leute sind unverbes˙˙ ˙ zwingen vor ihnen & den Possibilisten zu serlich, sie wollen Euch & mich ˙ ˙ ˙˙˙˙˙ ˙ jetzt ˙ Kreuz zu kriechen & da werden sie lange warten können. Sie haben den großen Gilles zum Bundesgenossen – gratulire! Dein F. E. Herrn W. Liebknecht Südplatz 11 Leipzig Germany

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233 Carl Geibel an Friedrich Engels in London Leipzig, Samstag, 2. August 1890

2 August 1890 Sehr geehrter Herr!

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Nehmen Sie den besten Dank für Ihre werthen Zeilen vom 30ten. Ich verstehe und billige Ihre Gründe vollkommen. Und ich bin durchaus zufrieden und dankbar, wenn Sie mir Abschriften der Lassalle’schen Briefe – an Marx, wie an Ihre Person – senden wollen, selbstverständlich gegen Erstattung der Kosten meinerseits. Andererseits meine ich, daß auch Ihnen eine korrekte und möglichst vollständige Gesammtausgabe der Werke L.’s willkommen sein muß und daß Sie gern dazu beitragen werden, ein Charakterbild L.’s auf dem Grunde seines literarischen Wirkens – zu dem ja doch die Briefe in erster Linie gehören – herzustellen. Ich bin auch natürlich ganz einverstanden, wenn Sie den Lassalle – Freiligrath’schen Brief, falls er sich, wie ich hoffe, in dem Marx’schen Nachlaß findet, an Frau Freiligrath oder deren Tochter aushändigen. Frau Fr. wird freilich im September nach Düsseldorf zurückkehren. Aber ihre Tochter, Frau Dr. Aveling bekannt, bleibt ja drüben. – Ich möchte im Herbst die Ankündigung von dem Erscheinen der L’schen Werke an das Publikum erlassen; vorher aber muß, wenn irgend möglich, feststehen, was ich zu bieten habe. Daher wäre ich Ihnen sehr verbunden, wollten Sie, falls Zeit und Kräfte es irgend zulassen, recht bald an die Durchsicht der Papiere gehen. Wann wird der III Band des „Kapital“, und bei wem wird er erscheinen? Seien Sie meines besten Danks im Voraus versichert. In grösster Achtung Ihr ergebener Geibel in Firma Duncker & Humblot Herrn Fr. Engels London 122 Regents Park Road London N. W

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234 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 4. August 1890

Le Perreux 4 VIII 90 Mon cher Engels, Nous savions qu’une montagne de lettres vous attendait au retour et nous n’avons pas voulu ajouter notre prose a` celle que vous alliez eˆtre condamne´ a` lire. – Nous avons e´te´ grandement de´sappointe´s en apprenant qu’au lieu de venir nous voir au Perreux, pour nous parler du Paul du Nord et du soleil de minuit, vous alliez encore au sea side anglais. Nous avions complote´ votre voyage avec Helen; mais il paraıˆt que sa diplomatie n’a pas eu grand succe`s: c’est bien dommage, je crois que le se´jour du Perreux vous aurait fait du bien et vous aurait distrait a` cause du changement complet qu’il aurait apporte´ a` votre genre de vie. Nous n’osons espe´rer que ce sera partie remise pour l’anne´e prochaine. Le Lavigerie et le Coulon nous paraissent deux intrigants, travaillant nous ne savons au juste dans quel but. Coulon s’est pre´sente´ a` la re´union de la ligue des 8 heures de Paris, comme une espe`ce de de´le´gue des socialistes anglais et je vois qu’il joue en Angleterre le meˆme roˆle. Ni lui, ni Lavigerie n’ont rec¸u aucun mandat officiel de notre part et les lettres prive´es qu’ils ont, ont duˆ eˆtre surprises; par conse´quent il n’y a a` tenir nul compte de ces deux messieurs. Ils ont dit a` Vaillant qu’ils e´taient occupe´s a` organiser l’exposition ouvrie`re de Londres et a` lui donner un caracte`re essentiellement socialiste: c’est probablement un nouveau mensonge. J’ai e´crit, aussitoˆt le rec¸ue de la lettre de Tussy, a` Delcluze, conseiller municipal de Calais, pour qu’il fasse son possible afin d’empeˆcher les matelots et les chargeurs franc¸ais d’aller a` Douvres prendre la place des gre´vistes. Delcluze est tre`s actif, on peut eˆtre certain qu’il fera 3 tout le ne´cessaire. Le mouvement socialiste marche cahin-caha a` Paris; nous souffrons encore de la crise boulangiste; les ouvriers parisiens si confiants quand il s’agit des radicaux sont d’une me´fiance extreˆme avec les socialistes; ils croient que nous voulons les conduire a` des traquenards. Nous avons duˆ pour ne pas froisser leurs susceptibilite´s laisser l’organisation de la ligue de 8 heures entre les mains des chambres syndicales, qui ne font rien qui vaille. Il faut avoir une patience d’ange et une dullness d’aˆne pour faire de la politique avec les ouvriers parisiens. La mort est en train de nous de´barrasser des possibilistes; Chabert est mort et Joffrin est mourant; avec Brousse ils e´taient parmi les plus importants. A ce que

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234. Paul Lafargue an Engels · 4. August 1890

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nous dit Vaillant, l’union n’existe plus entre eux au Conseil municipal; et la guerre civile va s’engager entre eux a` propos des places laisse´es vacantes par Chabert et Joffrin; on annonce de´ja` la candidature de 4 possibilistes. Ils vont se battre. – On compte porter Longuet en remplacement de Joffrin; il aurait grande chance de passer de´pute´. Dans le ministe`re, il paraıˆt qu’il y a guerre entre Constans et Rouvier. Bien que tous les parlementaires conside`rent Constans comme un malin, cependant depuis la chute ignominieuse de Boulanger, on commence a` revenir de l’enthousiasme de la premie`re heure; au Se´nat Constans rencontre de´ja` de l’opposition. Il paraıˆt qu’il veut laˆcher le ministe`re de l’inte´rieur pour celui des affaires e´trange`res; il voudrait jouer en France le roˆle de Bismark et eˆtre l’homme e´coute´ par les puissances Europe´ennes. – Mais que Constans reste a` l’inte´rieur ou aille aux affaires e´trange`res le vent est a` la paix en France: un se´nateur avec qui j’ai e´te´ mis en rapport dernie`rement me disait que parmi tous les ge´ne´raux du Se´nat, de la Chambre et du ministe`re de la guerre, il n’y avait pas un seul qui fuˆt partisan de la guerre; tous n’ambitionnent que le repos. Ceci m’a e´te´ confirme´ par une conversation que j’ai entendue chez Mme Adam entre les agents Russes qui en France chauffent l’enthousiasme pour l’alliance Russe: ils se plaignaient ame`rement de leurs insucce`s dans les sphe`res gouvernementales; qui a` les entendre seraient plus favorables a` une alliance allemande. Si Guillaume ne fait pas des beˆtises, on peut eˆtre assure´ de la paix du coˆte´ de la France. Faites nos amitie´s a` Helene et dites-lui que les haricots qu’elle a plante´s marchent tre`s bien et seront en fleurs dans une semaine. Amitie´s a` tous et bien a` vous, P Lafargue

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235 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Dienstag, 5. August 1890

London 5 Aug 90. Lieber Kautsky Dein Brief vom 3/7 blieb hier liegen während Schorlemmer & ich in ˙˙ ˙ ˙ Gesundheit. ˙˙ Norwegen bummelten – allerdings sehr zum Vortheil unserer Da ich nicht weiß wohin schreiben schicke ich dies an Dietz & zwar offen damit der mir von Ede Sonntag gezeigte Prospekt der neuen Neuen Zeit gleich entsprechend geändert werden kann falls es gewünscht wird. Du kannst von mir einen Art. „Von den letzten Dingen“ versprechen, & versprechen will ich ihn Dir auch. Auch mein Versprechen zu halten habe ich vor – ich habe es sogar schon theilweise gehalten denn der Art. ist reichlich halb fertig. Wann er aber ganz fertig wird, das kann sehr bald sein oder noch lange dauern, je nach Umständen – sagen wir im ersten neuen Jahrgang. Wenn Bebel die Wochenschau so gut macht wie bisher seine Korresp. in der Arb. Ztg Victors, dann könnt Ihr Euch in der That gratuliren. Ich habe da natürlich in erster Linie Deutschland im Auge. Sorge’s Adresse ist F. A. S., Hoboken N. J. (d. h. New Jersey) U. S. America. Er ist der beste Mann für Euch. Ich will ihm auch deßwegen schreiben. Natürlich müßt Ihr da ausnahmsweis gut honoriren – sonst gibt er lieber Musikstunden. Auch wird er schwerlich zu regelmäßigen Berichten zu bringen sein, ist auch besser anders. Manchmal können Monate vergehn, wo nichts Entscheidendes passirt, manchmal kann er jede Woche was Kritisches zu melden haben. Wir sind auf unsrer Forschungsreise bis zum Nordkap vorgedrungen & haben dort selbstgefangnen Cod gegessen. Fünf Tage lang keine Nacht oder nur Dämmerung, dafür allerlei Lappländer, putzige kleine Kerlchen von offenbar sehr gemischter Race, braun, selbst hellblond & schwarz – Gesichtszüge durchschnittlich mongoloid, aber mit Abweichungen vom amerik. Indianer (nur daß ihrer sechs auf einen Indianer gehn) bis zum

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Germanen. Diese noch zu 3/4 im Steinalter lebenden Kerlchen sehr interessant. Viele Grüße Dein F. E.

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236 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Dienstag, 5. August 1890

London. 5. Aug 1890. Sehr geehrter Herr Dietz Von Fischer’s Seite sind neue Einwendungen gegen die sofortige Neuauflage des „Ursprung“. Dies ist mir au fond ganz erwünscht da ich noch nach der See zu gehn habe wo an Arbeiten nicht zu denken ist, & auch das Arbeiten mir jetzt noch keineswegs zuträglich wäre. Ich warte also ab bis alles das zur allseitigen Zufriedenheit erledigt. Von beil. Zeilen an K. Kautsky wollen Sie gef. vor der Beförderung ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ Kenntniß nehmen & wenn erforderlich das Nöthige veranlassen. Beste Grüße Ihr F. Engels

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237 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Dienstag, 5. August 1890

London 5 Aug 90. Lieber Schmidt

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Ihr Brief ist in meiner Tasche mit bis zum Nordkap & durch ein halbes Dutzend norwegischer Fjords gewandert, ich wollte ihn auf der Reise beantworten, aber die Schreibgelegenheit auf dem Schiff auf dem Schorlemmer & ich die ganze Reise gemacht haben, war zu elend. Ich hole also ˙ ˙ ˙ nach. ˙˙ jetzt Besten Dank für Ihre Mittheilungen über Ihr Thun & Treiben die mich immer sehr interessiren. Den Artikel über Knapp sollten Sie doch zu machen suchen, der Punkt ist zu wichtig. Es handelt sich darum die preußische Tradition in einem ihrer Kernpunkte zu vernichten & die alten Renommagen auf den Humbug zu reduziren worauf sie hinauslaufen. Die engl. Blaubücher für das Archiv zu bearbeiten, kann schwerlich von Jemand geschehn der nicht in London wohnt & dadurch in den Stand gesetzt wird, selbst über die theoretische oder praktische Bedeutung der einzelnen Publikationen zu urtheilen. Die Anzahl der parlamentar. Publikationen ist so groß daß eigne Monatskataloge darüber erscheinen – da wären Sie in der Lage Nähnadeln in einem Wagen Heu suchen zu müssen, & doch noch manchmal eine Stecknadel in die Hand zu bekommen. Wenn Sie aber dennoch hier & da etwas in dieser Branche unternehmen wollen – es ist meist eine schaurige Arbeit wenn’s gut sein soll – so bin ich gern zu jeder Auskunft bereit. Wenn übrigens Braun da einen regelmäßigen Mann haben will so kann er nicht besser thun als sich an E. Bernstein wenden 4 Corinne Road, Tufnell Park, N. Ede B. will grade engl. Verhältnisse studiren sobald er vom Soz. Dem. frei wird, & das würde also wohl passen. Er geht heut oder morgen auf einige Wochen an die See, ich kann ihn also nicht über diesen mir eben einfallenden Casus befragen. Das Buch von Paul Barth sah ich angezeigt in den Wiener Deutschen Worten von dem Unglücksvogel Moritz Wirth, & diese Kritik hat mir einen auch für das Buch selbst ungünstigen Eindruck hinterlassen. Ich

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237. Engels an Conrad Schmidt · 5. August 1890

werde es mir ansehn, aber ich muß sagen daß wenn das Moritzchen ihn darin richtig citirt, daß Barth in allen Marxschen Schriften nur das einzige Beispiel der Abhängigkeit der Philosophie &c von den materiellen Daseinsbedingungen finden kann, daß Descartes die Thiere für Maschinen erklärt, mir der Mann leid thut der so was schreiben kann. Und wenn der Mann noch nicht entdeckt hat, daß wenn die materielle Daseinsweise das primum agens ist, das nicht ausschließt daß die ideellen Gebiete eine reagirende aber sekundäre Einwirkung auf sie hinwiederum ausüben, so kann er doch unmöglich den Gegenstand begriffen haben worüber er schreibt. Aber wie gesagt, das ist alles zweiter Hand & Moritzchen ist ein fataler Freund. Auch die materialist. Geschichtsauffassung hat deren heute eine Menge, denen sie als Vorwand dient Geschichte nicht zu studiren. Ganz wie Marx von den franz. „Marxisten“ der letzten 70. Jahre sagte: „Tout ce que je sais, c’est que je ne suis pas marxiste“. Da ist auch in der Volkstribüne eine Diskussion gewesen über die Ver˙˙ theilung der Produkte in der ˙künftigen Gesellschaft, ob das nach dem Arbeitsquantum geschieht oder anders. Man hat die Sache auch sehr „materialistisch“ angefaßt gegen gewisse idealistische Gerechtigkeitsredensarten. Aber sonderbarer Weise ist es niemandem eingefallen daß der Vertheilungsmodus doch wesentlich davon abhängt wie viel zu vertheilen ist, & daß dies doch wohl mit den Fortschritten der Produktion & gesellschaftl. Organisation sich ändert, also auch wohl der Vertheilungsmodus sich ändern dürfte. Aber bei allen Betheiligten erscheint die „sozialistische Gesellschaft“ nicht als ein in fortwährender Veränderung & Fortschritt begriffenes, sondern als ein stabiles, ein für alle Mal fixirtes Ding, das also auch einen ein für alle Mal fixirten Vertheilungsmodus haben soll. Vernünftiger Weise aber kann man doch nur 1) versuchen den Vertheilungsmodus zu entdecken mit dem angefangen wird, & 2) suchen die allgemeine Tendenz zu finden worin sich die Weiterentwicklung bewegt. Davon aber finde ich kein Wort in der ganzen Debatte. Überhaupt dient das Wort „materialistisch“ in Deutschland vielen jüngeren Schriftstellern als eine einfache Phrase womit man alles & jedes ohne weiteres Studium etiquettirt, d. h. diese Etiquette aufklebt & dann die Sache abgethan zu haben glaubt. Unsere Geschichtsauffassung aber ist vor allem eine Anleitung beim Studium, kein Hebel der Konstruktion a` la Hegelianerthum. Die ganze Geschichte muß neu studirt werden, die Daseinsbedingungen der verschiednen Gesellschaftsformationen müssen im Einzelnen unter 5) sucht werden ehe man versucht die politischen, privatrechtlichen, ästhetischen, philosophischen, religiösen &c Anschauungsweisen, die ihnen entsprechen, aus ihnen abzuleiten. Darin ist bis

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jetzt nur wenig geschehn, weil nur wenige sich ernstlich daran gesetzt haben. Darin können wir Hülfe in Massen brauchen, das Gebiet ist unendlich groß & wer ernstlich arbeiten will kann viel leisten & sich auszeichnen. Statt dessen aber dient die Phrase des historischen Materialismus (man kann eben alles zur Phrase machen) nur zu vielen jüngeren Deutschen nur dazu ihre eignen relativ dürftigen historischen Kenntnisse – die ökonomische Geschichte liegt ja noch in den Windeln! – schleunigst systematisch zurechtzukonstruiren & sich dann sehr gewaltig vorzukommen. Und dann kann denn ein Barth kommen & die Sache selbst angreifen die in seiner Umgebung allerdings zur bloßen Phrase degradirt worden ist. Indeß, das wird sich alles schon ausgleichen. Wir sind jetzt in Deutschland stark genug um viel vertragen zu können. Einer der größten Dienste die uns das Soz.gesetz that, war uns von der Zudringlichkeit des sozialistisch angehauchten deutschen Studiosus zu befreien. Wir sind jetzt stark genug auch den deutschen Studiosus verdauen zu können, der sich wieder sehr breit macht. Sie, der Sie wirklich etwas geleistet haben, müssen selbst bemerkt haben wie wenige von den jungen Literaten die sich an die Partei hängen, sich die Mühe geben Oekonomie, Geschichte der Oekonomie, Geschichte des Handels, der Industrie, des Ackerbaus, der Gesellschaftsformationen zu treiben. Wie viele kennen von Maurer mehr als den Namen! Die Süffisanz des Journalisten muß da alles leisten, & es ist auch danach. Es ist manchmal als glaubten diese Herren, es sei alles gut genug für die Arbeiter. Wenn diese Herren wüßten wie Marx seine besten Sachen noch immer nicht gut genug für die Arbeiter hielt, wie er es für ein Verbrechen ansah, den Arbeitern etwas Geringeres als das Allerbeste zu bieten! Auf unsre Arbeiter, & nur auf sie, habe ich seit der brillanten Probe die sie seit 1878 bestanden, unbedingtes Vertrauen. Sie wie jede große Partei, werden in den Einzelheiten der Entwicklung Fehler begehn, vielleicht große Fehler. Massen lernen eben nur durch die Folgen ihrer eignen Fehler, durch Experimente am eignen Körper. Aber alles das wird überwunden, & bei uns viel leichter als anderswo, weil unsre Jungen in der That von unzerstörbarer Gesundheit sind, & dann, weil Berlin, das schwerlich so bald über sein specifisches Berlinerthum hinaus kommt, bei uns nur formell Centrum, ähnlich wie London, nicht wie Paris in Frankreich. Ich habe mich über die franz. & engl. Arbeiter oft genug geärgert – trotz der Erkenntniß der Ursachen ihrer Böcke – aber über die Deutschen seit 1870 nie, wohl über einzelne Leute die in ihrem Namen sprachen, nie über die Massen, die alles wieder ins Gleise brachten. Und ich

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möchte wetten, ich werde nie in den Fall kommen mich über sie zu ärgern. Ihr F. Engels  Ich adressire Volkstribüne da ich nicht weiß ob „Pankow“ noch gültig. 

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238 Strutt & Parker an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 7. August 1890

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We are in receipt of Your letter of the 2nd inst drawing our attention to certain repairs which are needed to your house. Our representative will be in your neighbourhood on Tuesday next the 12th inst and will then call to inspect the premises. In case You may not be at home, would you kindly give instructions to some one to point out what is wanted Yours truly Strutt & Parker. F. Engels Esq. 122 Regents Park Road N. W.

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239 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels in London Eastbourne, Freitag, 8. August 1890

Eastbourne 8 Aug 1890 Lieber General Seit gestern Mittag sind wir hier in Eastbourne, und wir sind Euch für Euern Rath sehr dankbar; es gefällt uns hier ganz außerordentlich. In Cambridge Terrace war alles besetzt, doch haben wir nicht weit davon ein sehr nettes Logis gefunden. Etwas über den von uns in Voranschlag genommenen Satz, aber durchaus preiswürdig. Die Adresse ist: Dunton House Barden Road Mit der See habe ich schon Bekanntschaft gemacht, wir haben uns gegenseitig sehr imponirt. Mit besten Grüßen an ganz Regents Park Road 122 Dein Ede. Auch ich füge Allerseits herzlichen Gruß hinzu. Wir strolchen tüchtig herum u. hoffen auf diese Weise unsere Nerven bald loszuwerden. Unser Logis ist sehr nett u. wir haben eine reizende Wirthin Ihre Regina. Fr. Engels Esq. 122 Regents Park Rd London N. W.

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240 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 9. August 1890

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Mittwoch vor 8 Tagen schrieb ich Dir eine Postkarte den Empfang von Morgan dankend anzuzeigen. Heute ein paar Zeilen vor Postschluß soweit Zeit erlaubt. Die Reise nach dem Nordkap ist uns beiden sehr gut bekommen & wenn ich noch 3–4 Wochen Nachkur an der See halte – wohin wir nächste Woche gehn, (ich bin hier durch allerhand Hausgeschäfte festgehalten worden) so denk ich wieder ganz auf dem Damm zu sein. Äußerlich bin ich sehr wohl, auf unserm Schiff (Dampfjacht von 2200 Tons) wo wir die ganze Zeit, hin & zurück, & in allen norwegischen Fjords waren, wollten es die 3 Doktoren nicht glauben daß ich dies Jahr 70 werde. Auch schlafe ich ohne Sulfonal, aber wie wirds vorhalten? Tussy & Aveling sind Mittwoch auch nach Norwegen, für so begeisterte Ibsenianer wundert’s mich daß sie es so lange aushalten konnten ehe sie das neue gelobte Land sahen. Ob’s wieder eine Enttäuschung gibt wie in Amerika? Jedenfalls, wie Amerika gesellschaftlich, so ist Norwegen von Natur ein Grundpfeiler dessen was der Philister „Individualismus“ nennt. Alle 2–3 engl. Meilen findet sich soviel lockrer Boden auf den Felsen daß vielleicht eine Familie davon eben leben kann – & da sitzt denn auch so eine, abgeschlossen von aller Welt. Die Leute sind schön, stark, brav, beschränkt & – fanatisch religiös; d. h. auf dem Land. Die Städte sind wie kleine holländ. oder deutsche Seestädte. In Bergen besteht eine soz. dem. Genossenschaft, die zum Entsetzen der herrschenden Temperenzler das Recht verlangt in ihrem Klub Bier auszuschenken. Ich las darüber einen entrüsteten Artikel in Bergensposten. In Deutschland präparirt sich ein kleiner Krakehl für den Kongreß. Herr Schippel – den Liebknecht gezüchtet hat – & andre Literaten wollen ˙ ˙ ˙ ˙ ˙& eine Opposition bilden. Das wäre nun der Parteileitung auf den Leib nach Abschaffung des Soz.Gesetzes gar nicht zu verbieten. Die Partei ist so groß daß absolute Freiheit der Debatte innerhalb ihrer eine Nothwen-

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digkeit ist. Anders sind die vielen neuen Elemente, die ihr in den letzten 3 Jahren zugekommen & die stellenweise noch recht grün & roh, gar nicht zu assimiliren & auszubilden. Einem neuen Zuwachs von 700 000 Mann in 3 Jahren (nur die Wähler gerechnet) kann man nicht wie Schuljungen einpauken, da muß Debatte & auch ein bischen Krakehl sein, das hilft am ersten darüber weg. Gefahr der Spaltung ist nicht im Entferntesten vorhanden, dafür hat das 12jähr. Bestehn des Drucks gesorgt. Aber diese naseweisen Literaten die mit Gewalt ihren kolossalen Größenwahn befriedigen wollen, intriguiren & klüngeln aus Leibeskräften, & bringen dadurch die Parteileitung, der sie viel ungewohnte Mühe & Ärger machen, in größeren Zorn als sie verdienen. Die Parteileitung hat daher den Kampf keineswegs mit Geschick geführt, Liebk. wirft in einem fort mit „Herausschmeißen“ um sich, & selbst Bebel, der sonst so taktvoll, hat im Zorn der Aufgeregtheit einen etwas unklugen Brief drucken lassen. Da schreien nun die Herren Literaten über Unterdrückung der freien Meinungsäußerung usw. Hauptorgane der neuen Opposition sind: Berl. Volkstribüne (Schippel) Sächs. Arbeiterzeitung (Dresden) & Magdeb. Volksstimme. Einigen Anhang finden sie in Berlin, Magdeburg usw. namentlich bei den Neuangeworbnen, die sich noch durch Phrasen bestechen lassen. Ich werde Bebel & Liebk. wohl vor dem Kongreß hier sehn, & das Mögliche thun daß ich sie von der Unklugheit aller Herausschmeißereien überzeuge, die nicht auf schlagende Beweise von die Partei schädigenden Handlungen, sondern bloß auf Anklagen der Oppositionsmacherei gegründet sind. Die größte Partei im Reich kann nicht bestehn ohne daß alle Schattirungen in ihr vollauf zu Worte kommen, & selbst der Schein der Diktatur a` la Schweitzer muß vermieden werden. Mit Bebel werde ich keine Schwierigkeit haben aber Lbk hängt so vom jedesmaligen Moment ab, daß er im Stande ist alle Zusagen zu brechen, & zwar wie immer, aus den besten Gründen. Hier herrscht Sommerruhe, nur daß Hyndman, als Antwort auf meinen Maiartikel in der Wiener Arb. Ztg. mich wieder einmal als „Großlama von Regents Park Road“ in seiner Justice mausetodt geschlagen hat. Lafargue schreibt in Fkch seien alle Generale im Ministerium, im Senat & der Kammer entschieden gegen jeden Krieg. Mit Recht. Käme es zum Krieg, so ist 3 gegen 1 zu wetten daß Rußland & Preußen sich nach einigen Schlachten verständigten auf Kosten von Östreich & Frankreich, so daß Jeder einen Bundesgenossen opferte. Laf’s Artikel über die franz. Bewegung in der Neuen Zeit ist sehr gut & allerliebst geschrieben, ich wollte aber Ede Bernstein hätte ihn übersetzt statt Kautsky, der zu schwerfällig ist.

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Soeben erhalte ich Ex. der neuen deutschen Auflage des Manifests, ich schicke Dir eins hier mit. Viele Grüße auch von Schorlemmer an Deine Frau & Dich, sowie ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ Schlüters von Deinem F. Engels

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241 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Samstag, 9. August 1890

Seit nahezu 4 Wochen habe ich Nichts von Dir erhalten, auch keine Antwort u. keine Nachricht, daß das Morgan’sche Buch in Deinen Händen. Bitte um eine Zeile darüber. Du liest ja, wie lustig es in unserm Kongreß in Washington zugeht, – noch lustiger geht’s bei den „Socialisten“ u. Nationalisten her.– Gruß den Unsern! Dein F. A. S. Hoboken, New Jersey U. S. A. 9 August 1890. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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London 10. Aug. 1890 Lieber Liebknecht

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Ich bin durch Besitzwechsel der mit meinem Haus vorgegangen, noch hier aufgehalten, wir werden erst voraussichtlich Donnerstag abreisen können, wahrscheinlich nach Folkestone. Unsre Adresse lasse ich hier auf dem Office, Kentish Town, & schreibe sie Dir auch nach Leipzig. Hoffentlich kommst Du dann sofort bei Deiner Ankunft zu uns ans Wasser. Da Du schreibst Du könntest vor dem 15 cr. nicht kommen, so wage ich daraus zu schließen daß Du auch noch nicht unmittelbar nach dem 15. fortkommst – wenigstens nach Analogie der letzten Aufschübe. Kämst Du also gegen 1 Sept oder bald danach, so könntest Du noch einige Zeit bei uns bleiben & dann mit uns nach London zurückgehn (etwa 11 Septbr) wo dann Unterkunft für Dich bei uns gesichert ist. Während unsrer Abwesenheit wird unser Haus renovirt, die Teppiche müssen dies Jahr aufgenommen werden, dazu tapezirt & geweißt werden. Zudem bin ich durch unangenehme Erfahrungen in puncto Geldausgaben genöthigt worden, das Hausmädchen während unsrer Abwesenheit auf board wages zu setzen, d. h. ich gebe ihr soviel wöchentlich & da muß sie sich selbst beköstigen – eine Einrichtung die das Unangenehme hat nicht nur Gastfreundschaft sondern selbst bis zu einem gewissen Punkt ein Übernachten auch meinerseits im Hause während der gesetzten Zeit auszuschließen. Kämst Du also früher so würdest Du wohl Motteler’s Einladung annehmen müssen. Ich denke aber Du wirst Dich so einrichten wie oben vorgeschlagen. Jedenfalls hoffe ich Dich vor dem Kongreß zu sehn. Euer Entwurf hat diverse schwache Seiten, der schwächste & nach meiner Ansicht ganz nutzlos Handhabe zu ewigem Geschrei gebende der, daß der Vorstand selbst – wenn auch in Übereinstimmung mit der Fraktion – seine Gehälter festsetzt. Ich habe heute die Sächs. Arbeiterzeitung erhalten worin die Herren Literaten den Entwurf kritisiren. Vieles ist absolut kindisch in dieser Kritik, aber einzelne schwache Punkte sind mit Instinkt heraus-

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gerochen. So daß jeder Wahlkreis bis zu 3 Vertretern schicken kann. Ein beliebiger Bahlmann oder Höchberg könnte also aus Wahlkreisen wo kaum 1000 Stimmen für uns abgegeben, je 3 Vertreter schicken sobald er das Geld dran wagt. Natürlich wird in der Regel die Geldfrage indirekt als Regulator der Delegation auftreten. Es scheint mir aber nicht klug, hiervon allein die Proportionalität der Delegirtenzahl mit der Zahl der durch sie vertretenen Parteigenossen abhängig zu machen. Ferner nach § 2 kann – dem Wortlaut nach – eine Genossenschaft von drei Mann in Krähwinkel Dich aus der Partei ausschließen bis der Parteivorstand Dich rehabilitirt. Dagegen kann der Parteitag Niemand ausschließen, sondern nur als Appellinstanz agiren. In jeder aktiven Partei, die parl. Vertreter hat, ist die Fraktion eine sehr wichtige Macht. Diese Macht hat sie, ob im Statut ausdrücklich anerkannt oder nicht. Es fragt sich also ob es klug ist ihr außerdem im Statut noch eine Stellung zu geben wodurch sie den Vorstand absolut beherrscht, wie dies § 15–18 thun. Überwachung des Vorstandes, all right, aber Anklage vor einer unabhängigen Kommission bei der die Entscheidung liegt, dürfte besser sein. Ihr habt seit 3 Jahren eine Masse von einer Million neuen Zuwachs. Diese Neuen haben unter dem Soz.Gesetz nicht hinreichende Lektüre & Agitation genießen können um auf der Höhe der alten Parteileute zu stehn. Viele darunter haben nur den guten Willen & die guten Vorsätze mit denen bekanntlich die Hölle gepflastert ist. Es wäre ein Wunder wenn sie nicht auch den Feuereifer aller Neubekehrten hätten. So bilden sie ein Material ganz geeignet von den sich vordrängenden Literaten & Studiosen, die Euch Opposition machen, ergattert & gemißbraucht zu werden. Wie sich das auch in Magdeburg z. B. zeigt. Darin liegt eine Gefahr, die nicht zu unterschätzen. Daß Ihr auf diesem Kongreß spielend damit fertig werdet, ist klar. Aber sorgt dafür daß keine Keime gelegt werden für zukünftige Schwierigkeiten. Macht keine unnöthigen Märtyrer, zeigt daß Freiheit der Kritik herrscht, & wenn herausgeworfen werden muß, dann nur in Fällen wo ganz eklatante & vollauf erweisbare Thatsachen – overt acts – der Gemeinheit & des Verraths vorliegen! Dies meine Meinung. Mehr mündlich Dein F. E. Viele Grüße an Deine Frau & Theodor

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243 National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels in London London, Montag, 11. August 1890

August 11th 1890 Mr. Fred. Engels. 122. Regents Park Road N. W. 5

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Dear Sir, Yours of the 9th inst to hand. I am obliged to you indeed for the interest which Mrs Aveling & others have taken in the Dover strike. Unfortunately the French Seamen are not yet organized and I fear it will be very difficult to persuade them otherwise than to take the place of our men. Practically the strike at Dover is finished as the Company have succeeded in getting sufficient blacklegs to man their boats with men who did not come out with their comrades against the tyrannical conduct of the Superintendent. However I shall be very thankful if anything can be done to encourage the French Seamen who have joined these boats to leave them as by doing so they would help our cause considerably. I am Yours faithfully J. H. Wilson General Secretary

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244 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 13. August 1890

Na! endlich mal wieder ein Lebenszeichen v. Dir. Freut uns sehr, daß Dir’s gefallen, hoffentlich auch wohl gethan hat. – Das nächste Mal kannst Du mir aber eine Zeile vorher schreiben oder schreiben lassen. – Unser Freund Schlueter ist sehr verschnupft über die schofle Behandlung Sei˙ ˙ ˙ ˙ ˙ der Volksztg. u. wollte resigniren. Ich habe es ihm tens des Verwaltungsraths ˙˙ auszureden versucht. – Der jetzige Chefred. ist ein Waschlappen, – war seiner Zeit (vor einigen Jahren) sehr für die Possibilisten eingenommen. Gruß den Unsrigen! Dein F. A. S. 13 August 1890. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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245 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Leipzig Folkestone, Freitag, 15. August 1890

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Lieber Liebknecht ˙ ˙˙ ˙˙ Hier sind wir, temporär untergebracht in Bellevue Hotel, St John’s Road, Folkestone, & erwarten Nachricht von Dir oder aber noch besser Dich selbst. Wir werden wahrscheinlich in 8, längstens 14 Tagen ein passenderes Logis finden, bis nächsten Donnerstag 21. sind wir jedenfalls hier, & sobald eine andre Adresse sicher, schreibe ich Dir. Falls Du inzwischen kommst sind die Leute in Kentish Town stets unterrichtet über meine whereabouts. Also laß Dich bald blicken. Herzliche Grüße an Dich & Deine Frau von Nim, Pumps & Deinem F. E. Folkestone 15/8/90. Herrn W. Liebknecht Südplatz 11 Leipzig Germany

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246 Otto von Boenigk an Friedrich Engels in London Breslau, Samstag, 16. August 1890

Herrn Friedrich Engels, Sehr geehrter Herr! Gestatten Sie mir unbekannter Weise einige Fragen, durch deren Beantwortung Sie mir sehr gefällig sein könnten. Diese Zuversichtlichkeit giebt mir die Lektüre Ihres höchst interessanten Buches über Familie, Eigentum & Staat. Kurz vorher hatte ich das Ihnen gewiß auch bekannte Buch von Brehm: „Das Inka˙ ˙ wertReich“ gelesen & fand nun in Ihren Ausführungen über die Indianer sehr volle Ergänzungen & Winke & ich bin deshalb so frei, Sie um Auskunft zu bitten: Ich bin nämlich beauftragt, vor einem akademisch gebildeten Auditorium einen Vortrag zu Gunsten des Sozialismus zu halten & hierbei ist mir ein Punkt nicht recht klar, nämlich ob die Hauptvertreter der sozialistischen Lehre ihre Ideen als augenblicklich, unter den heutigen Verhältnissen möglich denken. Mir scheint hierbei die Schwierigkeit der großen Unbildung in den Massen des Volkes sehr groß zu sein & wenn man heute die soziale Idee verwirklichte, möchte ich glauben, daß viele „Bürger“ nicht reif wären zur gewissenhaften & vernunftgemässen Erfüllung ihrer wichtigen Staatspflichten etc. Meine Frage geht also dahin: glaubte Karl Marx & glaubt Herr Friedr. Engels an die heilsame Durchführbarkeit der sozialistischen Idee unter den heut herrschenden Verschiedenheiten der Bildung, d. h. Einsicht oder meinen Sie – wie mir das richtiger scheint – mit der Durchführung warten zu müssen bis in eine Zeit, wo diese gleichmässige Einsicht vorhanden wäre. Meine andere Frage ist kurz: Was war die Gattin v. K. Marx für eine geborne? Wenn Sie, sehr geehrter Herr, mir diese beiden Fragen freundlichst beantworten wollten, so wären meine Wünsche erfüllt & ich wäre Ihnen recht sehr dankbar. Indem ich nochmals um Verzeihung bitte, Sie unbekannter Weise zu belästigen, bin ich mit Hochachtung Ihr ergebenster Otto Bar v Boenigk Breslau 16. August 890. Brüderstr. 3c

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247 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Samstag, 16. August 1890

114 Kentish Town Rd, 16/8 90. Lieber General!

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Der „Alte“ schreibt heute, wir möchten Dir sagen, er habe Deinen Brief erhalten u. theile Deine Auffassung. Hierher komme er aber jedenfalls nicht vor 1. September. Du hast aber mit Deiner heurigen „Sommerfrische“ wohl gewartet, bis schlechtes u. kaltes Wetter dauernd? An „frischer Luft“ u. „kühlem Naß“ fehlt es heute hier auch nicht. Hoffentlich kriegst Du den Sonnenschein der uns fehlt. Mit herzlichen Grüßen von hier, Dein R. F. Mr F. Engels, Bellevue Hotel St. Johns Road Folkestone.

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248 Julius Motteler an Friedrich Engels in Folkestone London, Sonntag, 17. August 1890

114 Kentish Town Rd N. W. 17/8/90. Lieber General:! ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ Deine Addressmeldung haben wir gestern erhalten. Ich habe sie Ede mitgetheilt, dafern es nicht direkt geschehen wäre. Sold: beauftragt mich, Dir zu sagen, daß er Deinen Brief erhalten & mit Dir einverstanden sei. Dein Wohlsein wünschend & vorausgesetzt, grüßt Dich herzlichst Dein M. & Frau M. Friedr. Engels Esqr Hotel Bellevue St. Johns Road. Folkestone.

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249 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Montag, 18. August 1890

London, 114 Kentish Town Rd, 18/8 90. Lieber General

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Inliegender Brief kam eben an; die gestrige Demonstration war natürlich keine Maidemonstration; ungefähr die Hälfte. Die „League“ hatte auch Gelegenheit genommen, dort ein Meeting zu halten. Als Kitz dann Burns kritisirte, ihn als Ueberläufer traktirte etc, hätte er von den umstehenden Dockern auf’s Haar die schönsten Hiebe gekriegt. Und das Heiterste dabei war, daß die braven Dockers in ihrer Naivität die von Kitz Burns vorgeworfene Desertion vom Sozialismus gerade als sein Verdienst priesen, weswegen sie ihn so hoch schätzten! Natürlich nannten sie Kitz auch Tory-Werkzeug. Herzliche Grüße R. F.

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250 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone Eastbourne, Dienstag, 19. August 1890

Dunton House, Barden Road Eastbourne, Aug. 19 1890 Lieber General. Deine Kreuzbandsendung und Karte haben wir erhalten und sagen Dir für Beides besten Dank. Ich hatte mir bereits ein Pamphlet über Eastbourne gekauft, aber das Deine ist ungleich interessanter. Der Aufenthalt hier ist uns bis jetzt sehr gut bekommen, heut ist der erste Regentag. Wir haben täglich gebadet, ich natürlich, dank Percy’s Rath, immer per Naß in der Bucht, nur an dem schlimmsten der Sturmtage habe ich ausgesetzt, weil gar Niemand badete, sonst aber habe ich mich von den Wellen schleudern lassen, daß es nur eine Art hatte. Mit unserm Quartier sind wir noch immer sehr zufrieden, es ist, wenn man bedenkt, was die Leute Alles für einen thun, wirklich sehr viel für’s Geld. Und dabei sind die Leute immer aufmerksam und gefällig. Barden Road ist nicht weit von Cambridge Terrace, etwas mehr nach Osten, sie führt direkt zu der Badestelle in der Bucht. Die Krakehlereien in Deutschland haben mich einige Tage sehr aufgeregt. Daß man sich rauft, hätte nichts auf sich, aber die bodenlose Leichtfertigkeit, mit der die ehrenrührigsten Anschuldigungen in Umlauf gesetzt werden, der freche Ton, mit dem ein hergelaufener dummer Junge, wie der Herr Hans Müller, einen Bebel anflegelte, haben mich doch sehr verstimmt. Gegen so etwas mußten die Genossen am Ort interveniren, und wenn sie es nicht thaten, so war es ein Beweis, daß die Geschichte sehr schief ging. Nun, es hat sich gezeigt, daß die Krakehler zwar die Blätter, aber nicht die Genossen in der Hand haben. Die Dresdener haben den Herren von der „Arbeiterztg“, die Magde burger den Herren von der „Volksstimme“ ein eklatantes Mißtrauensvotum ertheilt, und in Berlin, wo der Krakehl traditionell ist, machte sich eine kräftige Opposition geltend, die Baginski, Börner etc. haben den Becher zum Überlaufen gebracht. Wenn es Euch nicht genirt, überfallen wir Euch vielleicht einmal auf einen Nachmittag, wir würden aber, als galante Leute, vorher unsre Ankunft anzeigen. Mit besten Grüßen an Dich und Hausgenossen Dein Ede.

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Ich schließe mich dem Danke Edes an, obgleich ich auch die Schattenseiten der Wirkung Ihres Buches kennen lerne. Seit Ede das Buch studirt hat, führt er mich die steilsten holprigsten Wege, sodaß ich manchmal den Verdacht habe, Avelings Erzählung aus Matlock hat es ihm angethan.×) Doch sonst gefallen wir uns sehr, ich faulenze auf eine Art, daß ich erst jetzt entdecke, welch Talent ich hierzu besitze. Ede ist leider immer noch fleißig; trotzdem erholt er sich ganz gut und da wir wahrscheinlich drei Wochen bleiben werden, wird er seine Nerven etwas loswerden. Nimm und Familie Rosher herzlichen Gruß; es thut uns leid, daß Ihre Wohnung Ihnen nicht zusagt; wir sind sehr zufrieden, da Alles so sauber ist und man die Behaglichkeit des „Zuhaus“ gar nicht vermißt. Die Kinder, die ganz braun u. geschält sind, grüßen herzlich, desgleichen Ihre Regina Bernstein

×)

Verläumdung! Ich lasse nur „meinen Drachen steigen“. E.

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251 Friedrich Engels an Otto von Boenigk in Breslau Folkestone, Donnerstag, 21. August 1890

Folkestone bei Dover, 21/8/90. Herrn Otto v. Boenigk Breslau Sehr geehrter Herr Auf Ihre Anfragen kann ich nur kurz & allgemein antworten, über die erste müßte ich sonst eine Abhandlung schreiben. Ad I. Die sogenannte „sozialistische Gesellschaft“ ist nach meiner Ansicht nicht ein, ein für alle Mal fertiges Ding, sondern wie alle andern Gesellschaftszustände, als in fortwährender Veränderung & Umbildung begriffen zu fassen. Kritischer Unterschied vom jetzigen Zustand besteht natürlich [in] Organisation der Produktion auf Grundlage des Gemeineigenthums zunächst der Nation an allen Produktionsmitteln. Diese Umwälzung morgen am Tage durchzuführen – d. h. graduell – sehe ich gar keine Schwierigkeiten. Daß unsre Arbeiter dazu fähig, beweisen ihre vielen Produktiv- & Distributivgenossenschaften, die wo die Polizei sie nicht absichtlich ruinirt, ebenso gut & weitaus ehrlicher verwaltet wurden als die Bourgeois-Aktiengesellschaften. Wie Sie von Unbildung der Massen in Deutschland sprechen können nach dem glänzenden Beweis von politischer Reife den unsre Arbeiter im siegreichen Kampf gegen das Soz. Gesetz gegeben haben, kann ich nicht einsehn. Der lehrhafte eingebildete Dünkel unsrer s. g. Gebildeten scheint mir ein weit größeres Hinderniß. Allerdings fehlt es uns noch an Technikern, Agronomen, Ingenieuren, Chemikern, Architekten usw. aber schlimmsten Falls können wir uns diese kaufen ebensogut wie die Kapitalisten dies thun, & wenn an ein paar Verräthern – deren es sicher unter dieser Gesellschaft geben wird – ein derbes Exempel statuirt wird so werden sie es in ihrem Interesse finden uns nicht mehr zu bestehlen. Aber außer solchen Specialisten wozu ich auch die Schullehrer rechne, können wir sehr gut ohne die übrigen „Gebildeten“ fertig werden & ist z. B. der gegenwärtige starke Andrang von Literaten & Studenten zur Partei mit allerhand Schäden verknüpft,

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sobald diese Herren nicht in den gebührenden Schranken gehalten werden. Die Latifundien der ostelbischen Junker können ohne Schwierigkeit unter gehöriger technischer Leitung den jetzigen Taglöhnern resp. Hofgesinde in Pacht gegeben & in Association bebaut werden. Gibt es da Ausschreitungen so sind die Herren Junker dafür verantwortlich die die Leute gegen alle bestehende Schulgesetzgebung so haben verrohen lassen. Das größte Hinderniß sind die Kleinbauern & die zudringlichen superklugen Gebildeten die Alles in demselben Verhältniß besser wissen als sie weniger davon verstehn. Haben wir also erst die hinreichende Anzahl Anhänger unter den Massen, so kann die große Industrie & der große Latifundienackerbau sehr rasch vergesellschaftet werden sobald wir die politische Herrschaft haben. Das Andre folgt bald, rascher oder langsamer, nach. Und mit der Großproduktion haben wir das Heft in der Hand. Sie sprechen von Abwesenheit einer gleichmäßigen Einsicht. Diese existirt – aber auf Seite der aus adligen & bürgerlichen Kreisen hervorgegangen Gebildeten, die gar keine Ahnung haben wie viel sie noch von den Arbeitern zu lernen haben. Ad II. Frau Marx war Tochter des Regierungsraths von Westphalen in Trier & jüngere Schwester des Reaktionsministers von Westphalen aus dem Manteuffelschen Ministerium. Mit Hochachtung ergebenst F. Engels Herrn Otto v. Boenigk Bruderstr. 3c Breslau Germany

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252 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone Eastbourne, Freitag, 22. August 1890

Dunton House, Barden Road Eastbourne Aug. 22th 1890 Lieber General. Deinen Brief vom 20 ten und Karte von gestern haben wir erhalten & uns sehr damit gefreut. Aus unsrer Absicht, Euch in Folkestone zu überfallen, wird nun aber doch nichts werden. Dieselbe verdankt ihr Entstehen neben dem sehr natürlichen Wunsch, Euch an der See zu begrüßen, einer optischen Täuschung. Als ich mich aber gestern an der Bahn nach den Fares erkundigte, kam die Enttäuschung. Da muß man ja ein „Ferscht“ sein, um sich solche Extravaganzen zu gestatten. Es scheint, die Eisenbahnkompagnien wünschen nicht, daß ihre Kunden einander ins Gehege kommen. Wer im Gebiet der London Brighton South ˙˙ ˙ der ˙ ˙ ˙ South ˙ ˙˙˙ Coast plätschert, soll sich nicht gelüsten lassen nach den Wässern ˙ ˙ ˙ ˙ Eastern & vice versa. So müssen wir das Vergnügen, Euch unsre Eindrücke von Eastbourne und der See zu schildern, bis London aufsparen. Wir sind noch nicht ganz entschieden, ob wir unsern hiesigen Aufenthalt, der nach dem ursprünglichen Plan nur bis Montag dauern sollte, nicht noch bis Donnerstag ausdehnen sollen. Es hängt das hauptsächlich vom Wetter ab. Das „Geschäft“, schreiben mir Motteler & Fischer, kann mich die paar Tage noch ganz gut entbehren. Übrigens schreibe ich hier für’s Blatt nicht viel weniger als in London. Des Soldaten gute Absicht ist nach einem kurzen Anlauf gute Absicht geblieben & außerdem ist nicht einmal Alles, was er schickt, zu brauchen. Er hat eine unglaubliche Art, zu polemisiren, er haut mit wahrer Leidenschaft daneben. So sandte er für die letzte Nr. eine Notiz, in der er die „Volkstr.“ beschuldigte, gegen den „wissenschaftlichen (ohne das geht es natürlich nicht) kosmopolitischen Sozialismus“ für einen nationalen zu agitiren. Nun, man kann der „Volks Tribüne“ viel vorwerfen, aber das sicherlich nicht. Und worauf stützte der Soldat seinen Beweis? Auf einen Artikel, den die Redaktion ausdrücklich desavouirt hatte (den von dem Juden über den Antisemitismus) und den Ernst’schen, dem die Redaktion eine halbe Desavouirung gegeben. Daß Du an C. Schmidt geschrieben, ist sehr gut. Es muß sich nun zeigen, weß Geistes Kind der Mann ist. Aus seiner Haltung wird man nicht recht klug. Allerdings ist auch seine Position keine leichte. Die „Volkstribüne“ ist schließlich doch Organ der Berliner, und selbst wer sie zur Vernunft bringen will, muß ihrer Stimmung Rechnung tragen. Es ist auch nicht zu läugnen, daß auf Seiten der

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Fraktion grobe Fehler gemacht worden sind. Ein solcher war es auch, den Organisations entwurf ohne jede Begründung zu veröffentlichen. Hätte man das, was jetzt Auer, August, etc. nachträglich erklären, gleich gesagt, es wären viele Verdrießlichkeiten erspart geblieben. Um auf den P. Ernst zurückzukommen, so habe ich große Lust, mir diesen Herrn zu kaufen. Ferner wird es nöthig sein, im „Soz Dem“ gegen die HalbAnarchistelei zu Felde zu ziehen, die viel mehr verbreitet ist, als man glaubt. Von unsern Deutschen aus Kopenhagen, die mit der Arbejderen-Partei halten, habe ich eine Korrespondenz erhalten, die „Comrade“ Lane geschrieben haben könnte. Der „Staat“ wird da als der reine Antichrist behandelt. Und aus derselben Tonart pfeift es aus verschiedenen Blättern. Eine Modekrankheit, der man aber entgegentreten muß. Mit besten Grüßen von uns Allen an Dich, Nimmi & Roshers Dein Ede

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253 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 22. August 1890

Wien, IV Hungelbrunngasse 14 22/8 90 Lieber Engels, Deinen Brief beantworte ich eingehender erst von Stuttgart, wohin ich am 25. verreise. Jetzt habe ich keine Zeit, will also nur kurz den Empfang Deines Briefes bestätigen. Ich fragte nach dessen Empfang sogleich bei Dietz an, ob er Deinen Artikel in den Prospekt aufgenommen. Darauf erhielt ich gestern die Antwort, er habe Deinen Brief nicht gelesen. Er hat ihn uneröffnet an mich geschickt! Jetzt ists wohl zu spät, den Prospekt zu ändern. An Sorge schreibe ich von Stuttgart aus, sobald ich einigermaßen in Ordnung bin. Dann werde ich auch ungefähr wissen, welches Honorar wir ihm zahlen können. Regelmäßige Berichte brauchen wir nicht, wenn wir nur über die wichtigen Vorkommnisse orientirt werden. Adler wird Wiener Briefe schreiben, Paul Pariser, Ede wie Du wohl schon weißt, Londoner Briefe. Dadurch wird wohl August in die Lage kommen, sich in seiner Wochenschau möglichst auf Deutschland zu beschränken. Er hat mir versprochen, Stuttgart nächstens zu besuchen und da will ich den Charakter seiner Wochenrundschau mit ihm besprechen. Der Mann ist jetzt so geplagt, daß eine briefliche Diskussion darüber kaum möglich. In den letzten Monaten habe ich die Fühlung mit Deutschland etwas verloren. Ich erlaube mir daher kein Urtheil über die jetzigen Parteikrakehlerein. – Aber es erscheint mir doch charakteristisch, daß zwei der Hauptkrakehler Herr Bruno Wille und Teistler ökonomisch absolut unwissend sind. Herr Teistler kam zu uns dadurch, daß er den Spiritismus in Arbeitervereinen bekämpfte. Herr Wille ist Philosoph. Was er in der „Volkstribüne“ schrieb, war so haarsträubend, daß ich ihn, als er sich zur Mitarbeit an der „N. Z.“ anbot, von derselben von vorneherein abrieth. Diese Sorte steht doch noch tief unter Hasselmann und Most. Die hatten immerhin eine Reihe von Leistungen aufzuweisen. Leid thut’s mir, daß Konrad sich von diesen Leuten hat einfangen lassen. Bis jetzt scheint er sich noch vernünftig zu halten. Aber Neutralität ist in einer Lage, wie der seinen, unmöglich. Es wäre schlimm, wenn er sich in eine Sackgasse verrennen würde. Hast Du Einfluß auf ihn und stehst Du mit ihm in Verbindung? Seine Haltung ist für Österreich nicht ohne Bedeutung, da Adler ihn zum regelmäßigen Korrespondenten an Stelle Augusts scheint nehmen zu wollen. Meine Aufforderung, an der N. Z. mitzuarbeiten hat er mit dem Hinweis auf seine

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Überbürdung beantwortet, die ihm Arbeiten für die N. Z. bis auf Weiteres unmöglich mache. Es wäre doch schade, wenn der Mann in der Journalistik unterginge. Du bist wohl mit Ede in Eastbourne? Ich adressire nach London, der Brief wird Dir wohl nachgesandt. Leb wohl, sei aufs Herzlichste gegrüßt mit den Deinen Dein KK. Ich schicke Deinen Brief an Dietz zurück, schon wegen des „Ursprung“. Meine Adresse ist bis auf Weiteres die der „Neuen Zeit“, Furthbachstr. 12.

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254 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Mount Desert, Freitag, 22. August 1890

Brief u. Sendungen erhalten. Freuen uns, daß es Dir so wohl bekommen. – Wir ˙ ˙ ˙ Hause. gehen in 4 Tagen wieder˙ ˙nach Den Krakehlern (in Deutschland u. anderswo) soll man auf die Finger klopfen, aber auch den Herrn Liebknecht und Bebel den Mund stopfen. – ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ Laß Dir’s gut gehen! Dein F. A. S. u. Frau 22 Aug. 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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255 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 24.August 1890

Le Perreux 24 VIII 90 Mon cher Engels,

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Que devenez-vous ? – ou` eˆtes-vous ? Avez-vous e´te´ au sea-side ainsi que vous le projetiez ? – Probablement Liebknecht ni Bebel n’ont pu faire a` Londres le voyage qu’ils projetaient. Ils vont avoir des tracas avec les ambitieux, les brouillons et les de´classe´s de la Bourgeoisie, que Bismark avait eu la bonte´ de tenir e´loigne´s du parti. Leurs tracas vont commencer: la police va fabriquer des anarchistes pour embeˆter les socialistes. La presse franc¸aise suit avec une attention surprenante pour son habituelle indiffe´rence, de tout ce qui passe en dehors des boulevards, les querelles et les dissensions qui commencent a` se produire entre les socialistes allemands. Jusqu’ici les socialistes allemands e´taient a` la mode, on les conside´rait presque comme des allie´s; mais depuis la manifestation de Mai et l’entente internationale qu’elle a re´ve´le´e, l’enthousiasme pour eux commence a` diminuer; on les redoute et avec un certain plaisir on verrait les socialistes d’outre-Rhin se de´chirer entre eux, comme l’ont fait les socialistes franc¸ais. Ils attendent le congre`s avec impatience, les bourgeois s’imaginent que la discorde va y re´gner et que le parti se divisera. Ils en seront pour leur vilaine espe´rance. Le Figaro publie en ce moment des re´ve´lations sur Boulanger, qui le montrent sous un bien triste jour: il n’e´tait qu’un simple jouisseur, ne pouvant pas sacrifier le moindre plaisir a` son ambition politique. Il ne voulait que bien vivre et faire la feˆte: pour le reste il s’en remettait a` son e´toile, qui devait tout faire pour lui: son fatalisme e´tait turc ou plutoˆt breton. Il paraıˆt qu’il croit encore que la fortune pourrait le ramener en France ou` il rejouerait un grand roˆle politique. De´cide´ment la visite des jeunes Rosher lui a trouble´ la cervelle et lui a fait croire qu’il e´tait un grand homme. J’ai remanie´ la brochure sur l’e´volution de la proprie´te´ qu’a de´ja` publie´e la Bibliothe`que du Social-demokrat: je l’ai presque double´e. – Laura est en train de la traduire en anglais pour Sonnenschein qui doit la publier; et qui paiera dix livres de`s qu’il aura rec¸u le manuscript: mais en attendant je suis au bout du che`que que vous m’avez envoye´ avant votre de´part; aussi je vous prierai de m’en donner un autre. J’ai un article accepte´ a` la Revue bleue, sur le mythe d’Adam et d’E`ve; Madame Adam, qui n’est plus E`ve, a dans ses cartons un article qu’elle m’a promis

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255. Paul Lafargue an Engels · 24. August 1890

de faire passer bientoˆt; Time publiera sans doute ce mois mon article sur le mythe d’Athe´na. C’est du pain sur la planche. J’ai lu le travail de Kovalevski sur la famille et la proprie´te´ ; c’est bien faible et d’un tohu-bohu remarquable. Il n’a pas lu Morgan et hormis quelques observations personnelles tre`s clair-seme´es, il n’y a rien de nouveau ni comme faits, ni comme re´flexions ge´ne´rales. K. qui a trouve´ le moyen de citer tous les bourgeois, n’a pas une seule fois mentionne´ ni Marx, ni vous: il avait peur de se compromettre. Me´me´ et Laura se portent bien et vous envoient leurs amitie´s, ainsi qu’a` He´le`ne. Bien a` vous P Lafargue

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256 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Mittwoch, 27. August 1890

Dr. Pl. den 27.8 90. Lieber Engels:

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Du hast in Deinem Brief vom 12 d. Mts. die Situation der Partei in Deutschland vollkommen richtig beurtheilt. Ich habe deshalb Deinen Brief auch an Auer, Grillenberger und Singer gesandt, damit diese sich das Eine und das Andere daraus merken. In diesem Augenblick ist der Krakehl so gut wie vorüber; was noch hier und da sich bemerklich macht ist das Grollen eines abziehenden Gewitters. Die vorgestrige Berliner Versammlung dürfte den Schlußstein in diesen Krakehlereien gebildet haben. In Berlin haben wir die ungeheure Mehrheit auf unserer Seite, das hat nicht nur die Versammlung gezeigt, das haben auch die Massen (Zehntausende) gezeigt die vor dem Versammlungslokal weit und breit alle Straßen und Plätze füllten. Als man mich auf dem Gang nach dem Versammlungslokal entdeckte, erhob sich ein Bravogeschrei daß ich für mein Trommelfell fürchtete und mir fast die Kleider vom Leibe gerissen wurden. Man wollte mich um jeden Preis nach dem Versammlungslokal tragen. Der Fehler der Opposition ist daß ihr eigentliche Handhabe fehlen. Der angebliche Fehler vom 1 Mai hat sich nachträglich als ein sehr kluger und die Situation richtig erfaßender Akt erwiesen und Unzufriedenheit, die über diese und jene Person bestehen mag, weil sie nicht leistet was man erwartet, ist kein Hebel für eine nachhaltige Opposition. Dazu kommt ferner daß die Wortführer der Opposition theilweise Leute sind bei denen es nicht ganz sauber um das Nierenstück ist. Die Opposition gegen den Organisationsentwurf wäre gar nicht in der Weise entstanden, wäre nicht vorher schon durch die Angriffe eine gewiße Erregung erzeugt worden. Einige ungeschickte Fassungen in dem Entwurf gaben dann die willkommene Gelegenheit dagegen Sturm zu laufen. Der Entwurf ist eben ein Compromißwerk, der wesentlich beeinflußt wurde durch die Gefahren die er den bestehenden Gesetzen gegenüber läuft. Wir können in Deutschland keine Idealverfassung haben wie in Ländern mit freien Gesetzen. Der neueste Erlaß Herrfurths zeigt was wir in Bezug auf Vereins und Versammlungsgesetz zu erwarten haben. Mit einigen Aenderungen in Bezug auf die Controle, in Bezug auf die mein Entwurf so lautete wie allgemein ge-

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256. August Bebel an Engels · 27. August 1890

wünscht wird, wie bezüglich der Vertretung wird den Hauptbedenken Rechnung getragen. Im übrigen muß die Fassung so lax wie möglich sein um in jedem Lande so operiren zu können, wie es die lokale Handhabung der Gesetze verlangt. Ob nicht trotz alledem und alledem unsere neue Organisation der Auflösung verfällt, ist nicht sicher, äußersten Falles kommen wir auch ohne eine solche aus. Was wir unter dem Soc Gesetz fertig gebracht, bringen wir künftig erst recht fertig. Der Trödel der letzten Wochen hat für mich persönlich die Wirkung gehabt, daß er mir unendliche Arbeit, Aerger und Aufregung brachte, so daß niemand froher ist als ich wenn die neue Ordnung der Dinge sich einstellt. In London wirst Du mich vor Oktober nicht sehen, vielleicht gar erst nach Neujahr. Mitte September habe ich Umzug und Einzug, das kostet Wochen. Dann kommt der Parteitag u. die Neuorganisation, dieses kostet wieder Wochen. Den 4 November aber sollen schon wieder die Sitzungen der Arbeiter-Schutzges.Kommission beginnen. Ob mir der Berliner Aufenthalt das sein wird was ich erwartete, darüber bin ich neuerdings sehr im Zweifel, ich fürchte eine noch größere persönliche Inanspruchnahme als sie bisher vorhanden war. Ich werde froh sein wenn der Tag kommt, der uns Ersatzmänner bringt, die unsere Stellung in der Agitation und Organisation einnehmen können. Leider ist bis jetzt sehr wenig davon zu merken. – Du scheinst anzunehmen daß Frieda noch in Paris ist. Das ist ein Irrthum. Meine Tochter ist bereits 3 Wochen hier und ihr Bräutigam ebenfalls seit 14 Tagen. Letzterer wird in Kürze nach Berlin gehen um dort als Volontär in eine Nervenklinik einzutreten. Das Frühjahr will er kurze Zeit nach Stockholm (Massage lernen) um alsdann zu heirathen und sich wahrscheinlich in der Schweiz niederzulassen. Ich vermuthe Dich hat die Sehnsucht unsern Wilhelm kennen zu lernen nach Norwegen getrieben. So eine Tour würde auch ich für gar nicht „ohne“ halten, könnte ich sie haben. Herzl. Gruß v. D. A Bebel

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257 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux Folkestone, Mittwoch, 27. August 1890

Bellevue Hotel Folkestone 27/8/90 Mon cher Lafargue

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Oui nous sommes au sea side, et ce qui plus est, jusqu’a` l’arrive´e de votre lettre du 4 ct personne n’est venu me proposer d’aller au Perreux, ce qui du reste j’aurais fait avec beaucoup de plaisir, n’e´tait-ce pour des raisons assez valables dont j’ai parle´ a` Laura et qui, alors paraissait les trouver bonnes. Depuis 15 jours aujourd’hui nous sommes ici, dans un petit public house, la maıˆtresse, tre`s-belle femme, nous traite tre`s bien mais le logis est loin de la mer et pas first class; nous avons le quatrie`me lit dans le salon. Comme je suis dans une certaine ignorance sur l’e´tat de mon solde chez la banque, ne pouvant comparer mes livres, je ne puis vous faire un che`que que pour dix livres, le voici. – Il y a eu re´volte d’e´tudiants dans le parti allemand. Depuis 2–3 ans, une foule d’e´tudiants, litte´rateurs & autres jeunes bourgeois de´classe´s s’est lance´ dans le parti, est venu juste en temps pour occuper la plupart des places de re´dacteurs dans les nouveaux journaux qui pullulent, et, comme d’habitude, conside`rent l’universite´ bourgeoise comme une e´cole de Saint Cyr socialiste qui leur donne le droit d’entrer les rangs du parti avec brevet d’officier sinon de ge´ne´ral. Ces messieurs font tous du marxisme, mais de la sorte que vous avez connu en France il y a dix ans et dont Marx disait: «tout ce que je sais c’est que je ne suis pas marxiste, moi» ! Et probablement il dirait de ces messieurs ce que Heine disait de ses imitateurs: j’ai seme´ des dragons et j’ai recolte´ des puces. Ces braves gens dont l’impuissance n’est e´gale´ que par leur arrogance, ont trouve´ un soutien dans les nouvelles recrues du parti a` Berlin – le berlinisme spe´cifique, comprenant toupet, laˆchete´, rodomontade, gift of the gab, tout a` la fois, paraıˆt eˆtre pour un moment remonte´ a` la surface; c’e´tait le chorus de mm. les e´tudiants. Ils ont attaque´ les de´pute´s «a` propos de bottes», personne ne pouvait s’expliquer cette soudaine recrudescence; c’est que les de´pute´s, en leur

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majorite´, n’avait pas fait assez de cas de ces petits gredins. Il est vrai que Liebknecht a mene´ la pole´mique, au nom des de´pute´s & du comite´ cen˙ ˙ ˙ ˙ ˙une rare maladresse. Mais voila` Bebel, qui e´tait le principal tral, avec point de mire, et qui dans deux re´unions, a` Dresde & a` Magdebourg, brise deux de leurs journaux; la re´union de Berlin fut de´fendue par la police qui en cachette poussait ou faisait pousser en avant l’opposition. Mais c’est fini tout de meˆme, et le congre`s n’aura gue`re plus a` s’occuper de tout cela. Le petit coup nous a fait ce bien qu’il a mis en e´vidence l’impossibilite´ de donner aux Berlinois le roˆle de leaders. Encore s’ils e´taient des Parisiens – mais nous avons assez et de trop en voyant vos Parisiens. Les re´ve´lations du Figaro sur Boulanger doivent eˆtre accablantes, pouvez-vous me les envoyer ? C’est bien triste pour les 247 000 ou 274 000 gobemouches qui en janvier 89 se sont laisse´ prendre par ce faux grand homme. Dans le livre de Kovalewsky il y a une chose importante, c’est qu’il met entre le matriarcat & le communisme de la mark (ou du mir) la famille agglome´re´e patriarcale, telle qu’elle existait en France (Franche-Comte´ & Nivernais) jusqu’en 1789, et qu’elle existe maintenant chez Serbes & Bulgares sous le nom de Za´druga. Il me dit que c’est l’opinion ge´ne´ralement rec¸ue en Russie. Si la chose se confirme, elle le`verait plusieurs difficulte´s dans Tacite & autres, tandis qu’elle en souleverait d’autres. La grande faute du livre de K. c’est l’illusion juridique. J’en parlerai dans la nouvelle e´dition de mon livre. Autre faute (commune chez les Russes qui font de la science): foi exage´re´e dans les autorite´s reconnues. Amitie´s de Nim & Pumps. Embrassez Laura & Me´me´ pour moi Bien a` vous F. E.

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258 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken Folkestone, Mittwoch, 27. August 1890

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Postkarten vom 9. & 13. Aug. erhalten. Bei unsrer Abreise war so viel zu besorgen daß Manches verbummelt werden mußte. Zudem mußte ich Reiseziel ganz geheim halten, da der junge Wilhelm gleichzeitig dort war & ich keine Lust hatte mir das Plaisir durch Polizeichikanen verderben zu lassen. Wer ist jetzt Redacteur en chef der V. Z.? Tussy hat Schewitsch in ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ getroffen, er sagte ihr er habe in N. Y. gehört London bei einem˙Meeting ich hätte mich sehr gehässig über ihn ausgesprochen. Dies ist aber entschieden gelogen. Sollte das von A. Jonas herrühren? ˙ ˙ ˙˙ Die kleine Studentenrevolte in Deutschland ist von Bebel rasch gesprengt worden. Hat ihr sehr gutes gehabt. Beweist was wir zu erwarten haben von Literaten & von Berlinern. Dein F. E. Folkestone 27 Aug 90. Die N. Zeit wird Dich auffordern zu berichten über Amerika & gut zahlen.

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F. A. Sorge Esq. Hoboken N. J. U. S. America.

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259 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone London, Samstag, 30. August 1890

4 Corinne Road Tufnell Park N. London, Aug. 30 1890 Lieber General. Seit vorgestern sind wir wieder hier – alle wohl und gesund, und das Haus war auch noch, wie wir es verlassen hatten. Durch die Vorbereitungen zur Rückreise hat sich meine Antwort auf Deinen Brief verschoben, was Du wohl freundlichst entschuldigst. Ich hätte von Deinen Auseinandersetzungen gern etwas für den „S. D.“ benutzt, wußte aber nicht, ob Dir das angenehm sein würde. Denn wenn ich Dich auch nicht genannt hätte, würde jeder gewußt haben, daß die betreffenden Stellen von Dir herrühren. Inzwischen hat nun die Berliner Versammlung gezeigt, daß selbst dort, wo man die „Opposition“ am stärksten glaubte, sie auf die Massen nur ganz winzigen Einfluß besitzt. Der Wille, der übrigens mehr Tölpel wie bösartig zu sein scheint, mehr Geschobener als Schiebender, hat eine jammervolle Rolle gespielt – von den Baginski etc. gar nicht zu reden. Der Soldat schreibt mir heute: Es war eine ganze Verschwörung. Der öffentliche Führer ist Keßler, hinter ihm steht aber noch ein andrer im Hintergrunde, der sich sehr vorsichtig hält. Die Herren haben im Harz eine Konferenz abgehalten, auf der der ganze Schlachtplan verabredet wurde. Ich traue sonst dem Alten in solchen Dingen nicht recht, diesmal aber machte mich Eines stutzig. Im letzten Brief, den P. Ernst hierher schrieb, gab er Clausthal i. Harz als seine Adresse an. Es kann dies Zusammentreffen Zufall sein, aber merkwürdig bleibt die Sache doch. Was bekommst Du eigentlich jetzt für deutsche Zeitungen? Es stehen in den verschiedenen Blättern Dinge, die dich interessiren würden, und ich würde Dir event. die betr. Nummern zur Kenntnißnahme übersenden, wenn Du sie nicht direkt erhältst. Sehr interessirt mich, ob und was C. Schmidt Dir geantwortet hat. Sein Ausfall gegen Liebknecht und Grillenberger in der letzten „Volkstribüne“ ging nach meiner Ansicht über das Maß dessen hinaus, was selbst in der Abwehr gerechtfertigt war. Liebknecht hätte sich ja in seinem Brief an die Kopenhagener anders ausdrücken können, aber Herr Schmidt war nicht selbst angegriffen, und daß es in Berlin sehr zweifelhafte Gestalten giebt, kann kein vernünftiger Mensch läug-

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nen. Hat doch selbst Schippel unter deutlichem Hinweis auf denselben Werner seinem „Ekel“ Ausdruck gegeben, den angegriffen zu haben, jetzt Grillenberger zum Vorwurf gemacht wird. Meine Bemerkung im „S. D.“, daß die Berliner zufrieden sein sollen, an der Spitze der Partei zu marschiren, war nicht so gemeint, daß sie die Leitung haben sollen, sondern daß sie das stärkste Lokalkontingent zur Partei stellen und dadurch, sowie durch die Bedeutung, die Berlin auch sonst als Reichszentrale erlangt hat, sozusagen die Rolle des ersten Gliedes in der Armee erhalten haben. Aber die leitende Rolle möchte ich ihnen durchaus nicht zuweisen. Und wenn ich die „V. Tr.“ das Organ der Berliner nannte, so war ich mir wohl bewußt, daß es zwei Arten Berliner giebt: die sogenannte „innere“ Partei einerseits, und das Gros der sozialistischen Arbeiter andrerseits. Die V. Tribüne ist das Organ der „Inneren“, und wenn dieselbe auch nicht nur aus Krakehlern zusammengesetzt ist, so geben dieselben doch in ihr den Ton an und beherrschen ihre Kadres. Mit Rücksicht auf diese Thatsache glaubte ich Schmidt Einiges zu Gute halten zu sollen. Besser als die Baginsky, Börner, Wildberger etc ist er denn doch wohl, oder schien er mir. Daß die Berliner „Innere“ nicht das sozialistische Berlin repräsentirt, hat sich schon vor zwei Jahren gezeigt, als sie für die Stadtverordnetenwahlen Wahlenthaltung beschlossen hatte und in der ersten Versammlung, wo der Beschluß proklamirt werden sollte, von der Masse elend überstimmt wurde. Damals war es nur Pech. Diesmal hat die Sache aber noch einen besonders lustigen Beigeschmack. Als die Dresdener Krakehler so jämmerlich abgefallen waren, schoben ihre Berliner Alliirten alles auf die Form der Einberufung. Wie kann man eine solche Versammlung per Zirkular einladen? Solche Dinge gehören vor das Volk, nur eine Volksversammlung hat diese Frage zu entscheiden. Kurz, die Dresdener Versammlung wurde als nicht existirend und, trotz der energischen Erklärung des Büreaus derselben, daß alle Dresdener Genossen davon gewußt, als Bogus-Versammlung behandelt.+) Da kam die Magdeburger Versammlung. Die war eine Volksversammlung gewesen, und doch waren die Krakehler unterlegen. Die Berliner hatten sich aber in ihrer eigenen Schlinge gefangen. Sie mußten jetzt eine Volksversammlung einberufen, und wurden erdrückt. Daher der Wuthschrei Werners: „Die sozialdemokratische Hurrahkanaille kann mir nicht imponiren“. Besser konnte man den eigenen Bankrott nicht konstatiren. Es liegt mir also fern, ganz Berlin mit den Krakehlern zu identifiziren. In der Masse steckt ein brillanter Kern, das haben wieder die Sammlungen für die Hamburger gezeigt. Ich lege Dir eine der Listen des „Berl. Volksblatt“ bei; wenn man so etwas vor sich sieht, dann verzeiht man den Leuten gern etliche Fehler. Und beim Sammeln sind die Meisten der „Inneren“ ebenso bei der Hand, wie die Andern. Zum Schluß kommt eine Anbettelei. Die Scheidestunde des Soz. Dem. naht mit Riesenschritten. Natürlich gedenken wir der Schlußnummer einen besonde+)

Dabei konnte man nicht einmal den Namen eines Dresdener Sozialisten produziren, der gegen die Versammlung protestirt hätte.

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ren Anstrich zu geben. Kein Bild, aber ein Gedicht, Abschiedsartikel und, wenn möglich, auch eine Sammlung von Zuschriften aus den Hauptorten Deutschlands. Nicht die Führer, sondern die Genossen werden eingeladen, einige Worte zur Festnummer zu senden. Aber eine Person giebt es doch, die als solche nach unserer Ansicht in der Abschiedsnummer das Wort nehmen sollte, und das bist Du. Dürfen wir auf einen Artikel von Dir rechnen? Ich hoffe, Du wirst unsre Bitte nicht abschlagen. Ohne einen Beitrag von Dir, ohne daß Du noch einmal durch den Mund des „S. D.“ zu den deutschen Arbeitern sprichst, wäre die Nummer unvollständig. Und zum ersten Parteikongreß auf deutschem Boden käme Dein Artikel so zeitgemäß, wie nur ja einer. Die Nummer wird schon vor dem fälligen Termin fertiggestellt, etwa Mitte September. Mit besten Grüßen von uns allen an Dich, Roshers und Nimmi. Dein Ede

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260 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Neapel, Samstag, 30. August 1890

Napoli, Mergellina 206 – 30/8, 90.

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Leggo nel Sozialdemokrat di quindici giorni fa, giuntomi con molto ritardo, che voi siete per compire il settantesimo anno. Lontano dalla mia casa e dai miei libri, non sono in grado di riscontrare la data esatta. Ma giungano presto o tardi queste mie felicitazioni, io non voglio privarmi del piacere di scrivervi: mi rallegro! Tanta parte di vita spesa per l’umanita`, vi rende caro e venerato, cosı` ai vecchi combattenti, come ai tardivi seguaci, qual’e` il vostro A. Labriola Inghilterra An den geehrten Herren Fr. Engels (Redaktion des Sozialdemokrat) 114. Kentish Town Road London

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261 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 30. August 1890

Le 30 Aouˆt 1890. Nice 6, Rue Assalit. Mon Cher Ami, Me voici de retour ... (et je couchais au moins trois fois a` la belle e´toile a` la frontie`re de la Pologne). Mais, malgre´s mon terrible de´sir de venir a` Londres pour Vous serrer la main... pour Vous rembourser ma dette ... et pour Vous rendre compte des toutes mes de´bauches re´volutionnaires, – je suis force´ attendre encore un certain temps pour pouvoir exe´cuter ce project ... de mon devoir et de mon plaisir. – C’est parce que, en ayant en meˆme temps affaire avec re´volutionnaires russe et polonais, – j’ai de´pense´s mes dix mille roubles que j’ai rec¸us de mes cousins. – (– Dans ces affaires les gens riches – meˆme patriotes, – ne veulent pas voir rien !) – donc, il fallait faire les de´penses personnelles jusqu’au tel point que je suis revenu ici presque sans mes roubles ! Mais tout cela s’arrangera bientoˆt, parce que mon cousin viendra a` Nice en m’apportant au moins la moitie´ de ce que je recevais a` Gene`ve pendant la vie de ma me`re, c’est-a` dire: cinquante mille roubles par an. – C’est donc apre`s la re´colte de Lithuanie que je viendrais vous embrasser et vous rendre ensemble le compte des toutes mes de´bauches ... qui sont peut-eˆtre terribles, mais pas anarchiques. Encore, – en revenant a` Nice j’ai trouve´ trois commis-voyageurs nihilistes, qui me demandaient de les rapatrier: pour faire leur affaire et la noˆtre, donc je suis oblige´ de payer leur route secre`te qui couˆte assez che`re; ... Je les lance apre`s-demain; – mais avec tout cela, je suis comple`tement «nettoye´ » ... jusqu’un tel point que, (si cela est possible) je Vous demande encore, et un dernier «coup d’e´paule»; ... la re´colte lithuanienne remboursera tout cela ... avec reconnaissance ... Si non, – alors il faut que je resserre mes «chnapaneries stomachiques» et ... attende ! ... A Vous de tout mon cœur W. Wroblewski P. S. A «Tussy» et «Pumes» mes meilleurs compliments.

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262 Paul Lafargue an Friedrich Engels in Folkestone Le Perreux, Sonntag, 31. August 1890

Le Perreux 31 VIII 90 Mon cher Engels,

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Quelle droˆle d’ide´e d’aller vous enfermer dans un petit public house de Folkestone ! L’hoˆtesse est tre`s belle femme, dites-vous; mais ses charmes personnels compensent-ils les de´sagre´ments de son hoˆtellerie ? – Au Perreux, vous eussiez e´te´ aussi bien loge´, sinon mieux, et il y a par ici quelques femmes rudement jolies, qui vous auraient pareillement re´joui les yeux. Le de´faut capital du livre de Kovalevski n’est pas seulement ces «illusions juridiques», mais surtout son incapacite´ d’avoir une vue d’ensemble du sujet qu’il annonce devoir traiter. Il s’est borne´ a` de´crire tre`s imparfaitement ce que vous nommez le communisme de la mark, et qui selon moi devrait plutoˆt eˆtre appele´ le collectivisme familial, pour le distinguer du communisme primitif; et a` donner quelques unes des raisons de la transformation de la mark en proprie´te´ prive´e: il n’a pas vu ou voulu voir l’action dissolvante des charges fiscales, qui implantent l’usurier dans le village collectiviste et le rendent proprie´taire de fait si non nominal des terres et des re´coltes du mir. Les impoˆts modernes en argent et non en nature et proportionnels aux re´coltes, sont a` eux seuls plus destructeurs que les autres causes qu’il mentionne. Le fisc russe sape les bases meˆmes du pouvoir autocratique du Czar, qui sont les communes collectivistes inde´pendantes e´conomiquement et sans lien fe´de´ratif entre elles. Vous dites que la chose importante dans son livre est d’avoir place´ entre matriarcat et le communisme de la mark la famille patriarcale agglome´re´e: je crois qu’il existe une autre manie`re d’envisager la question plus ge´ne´rale et plus conforme aux faits connus. La famille matriarcale a pris origine dans le sein du communisme primitif. Au de´but le clan vit dans une ou plusieurs maisons communes: les femmes marie´es ont chacune leurs chambres prive´es. Les provisions provenant de la peˆche, de la chasse et d’une agriculture rudimentaire sont place´es sous le controˆle et la garde des femmes, qui sont e´galement charge´es des travaux de culture. Lorsque la maison commune se fractionne en autant de huttes qu’il y a de femmes marie´es, leur position e´conomique demeure la meˆme. Elles ont le controˆle des provisions; parfois il existe des greniers communs, place´s sous leur surveillance; Morgan cite des exemples. Si la division des terres arables s’introduit alors, comme con-

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se´quence du morcellement de la maison commune, les lots de terre sont attribue´s aux femmes, comme c’e´tait le cas chez les Spartiates, Naı¨rs, E´gyptiens, Basques etc ... Alors on a une famille matriarcale agglome´re´e entre le communisme primitif et la forme primitive matriarcale et le communisme de la mark. Mais quand la re´volution familiale s’est effectue´e au sein du communisme primitif, cette forme matriarcale agglome´re´e est remplace´e par la forme patriarcale. On peut donc dire qu’avant d’arriver au collectivisme de la mark, on a passe´ par un communisme transitoire tantoˆt sous la forme matriarcale, tantoˆt patriarcale.

Je vous envoie les coulisses du Boulangisme; c¸a commence a` devenir tre`s amusant; car le coulissier montre que tout le monde a trempe´ dans le boulangisme. Longuet qui nous annonce´ qu’il viendrait chercher Me´me´ pour aller au sea side, comme d’habitude n’est pas venu; nous avons profite´ de cette circonstance pour lui administrer aujourd’hui un vermifuge. – Elle va tre`s bien. Nos amitie´s a` He´le`ne, Pumps et bien a` vous P Lafargue

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263 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone London, Mittwoch, 3. September 1890

London, den 3 September 1890 Lieber General.

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Einliegend eine Karte von Labriola, die an unsre Adresse für Dich angelangt ist. Ferner sende ich Dir den Brief von Aug. Bebel mit bestem Dank zurück. Ich hatte vorgestern u. gestern so viel mit Redaktionsarbeiten zu thun, daß ich nicht früher dazu kam, dies früher zu besorgen. Der Krakehl, der nun thatsächlich „alle“ zu sein scheint, hat noch ein kleines Nachkrakehlchen in der Affäre Krüger bekommen. Daß diese Blase angestochen wurde, ist mir gar nicht unangenehm, denn der Krüger war eben im besten Gange, sich in eine Redaktionsstelle hineinzubugsiren, und das wäre ihm auch gelungen, da er im Soldaten, trotz aller Schweinereien, einen unverwüstlichen Protektor hat. Obwohl nun der Alte uns ersucht hat, den Krüger in Ruhe zu lassen, da doch Auers Notiz auch nicht hübsch gewesen sei (was allerdings richtig ist, aber in Bezug auf den Krüger durchaus irrelevant), haben wir gar keine Lust, die Sache einschlafen zu lassen. Der Alte verspricht zwar, den Krüger zur Raison zu bringen, aber da die „Raison“ bei Herrn Krüger nur heißt, so lange das Lämmchen zu spielen, bis er einen Posten hat, so sehe ich oder wir – denn in diesem Punkt ist Kentish Town Rd 114 einer Ansicht – gar keinen Vortheil für die Partei darin, daß Herr Krüger zur Raison kommt. Im Gegentheil, er soll solange nicht zur Raison kommen, bis er sich gründlich als das demaskirt hat, was er ist: ein gemeiner u. rachsüchtiger Lump. Im Übrigen werde ich Deinem Rath folgen u. keinen neuen Konflikt im „Soz. Dem“ anbohren. Schwer genug wird es Einem ja gemacht, wie die Einsendung der Kopenhagener zeigt. Also auch für Liverpool haben sie Tussy das Mandat verweigert? Eine nette Gesellschaft. Ich habe bereits in einer Korrespondenz im „Berl. Volksblatt“ darauf hingewiesen, daß auch diesmal in Liverpool gehörig gemogelt wird, wie das freilich überall auf solchen Kongreßen der Fall. Die Arbeiterparlamente geben da den Bourgeoisparlamenten nichts nach. Namentlich wenn die Maschinerie so gut eingearbeitet ist, wie bei den Trade Unions. Aber vorwärts geht’s darum doch. Die nachdrängenden Massen haben den alten Führern die Hölle gehörig heiß gemacht, sie sind nur noch in der Defensive. Der Soldat schreibt, er würde nun doch seine Reise aufschieben müssen und wohl erst im November kommen.

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263. Eduard Bernstein an Engels · 3. September 1890

Sonst nichts Neues. Ich hatte vergessen, daß Du das „Hambg. Echo“ bekommst. In diesem wirst du die Berichte gefunden haben, die ich Dir einsenden wollte. Mit besten Grüßen an Dich u. Deine Hausgenossen (d. h. nur Euer Flat) Dein Ede sammt Familie

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264 Joseph Bloch an Friedrich Engels in London Königsberg, Mittwoch, 3. September 1890

Koenigsberg i. Pr., den 3. September 1890. Sehr geehrter Herr!

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Verzeihen Sie, daß ich mir die Freiheit nehme, einige Fragen an Sie zu richten. Ich glaube aber, über die betreffenden Punkte von Ihnen direkt die beste Auskunft erhalten zu können. Ich möchte Sie daher bitten, falls ich Sie nicht damit belästige, mir auf folgende Fragen gütigst Antwort zu erteilen. In Ihrem Buche „Der Ursprung der Familie, des Privateigentums und des Staats“ stellen Sie die Entwicklung der Familie so dar, als ob nach dem Aufhören der Blutverwandtschaftsfamilie eine Ehe unter Geschwistern bei allen Völkern unstatthaft gewesen wäre. Nepos sagt in seiner „praefatio“: „Neque enim Cimoni fuit turpe, Atheniesium summo viro, sororem germanam habere in matrimonio, quippe quum cives eius eodem uterentur instituto.“ Aus dieser Stelle geht doch hervor, daß bei den Griechen eine Ehe unter Geschwistern erlaubt war. Ich möchte mir nun erlauben, Sie zu fragen, wie diese Erscheinung sich erklären ließe. Ferner gestatten Sie mir, noch eine Frage an Sie zu richten. Nach der materialistischen Geschichtsauffassung ist das bestimmende Moment in der Geschichte die Produktion und Reproduktion des wirklichen Lebens. Wie soll dieser Satz nun verstanden werden? Sind die ökonomischen Verhältnisse allein das bestimmende Moment, oder bilden sie nur gewissermaßen die feste Grundlage aller anderen Verhältnisse, die dann selbst auch noch wirken können? Ich glaube, die erstere Ansicht vertritt mehr Herr Paul Ernst, die letztere mehr Dr. Conrad Schmidt. Haben in dem Verlaufe der Geschichte nicht öfters rein politische, dynastische, ja individuelle Interessen eine Rolle gespielt? Allerdings hätten sie dieses nicht thun können, wenn sie nicht eine materielle Grundlage gehabt hätten. Aber alles ist doch nicht aus ökonomischer Notwendigkeit geschehen. Es genügte doch manchmal schon das Vorhandensein der ökonomischen Möglichkeit. Männer, wie Napoleon oder Bismarck, hätten allerdings gegen die ökonomischen Verhältnisse wenig ausrichten können. Damit ist doch aber noch nicht gesagt, daß alles, was sie gethan, ökonomische Notwendigkeit war, also auch ohne sie zu derselben Zeit geschehen wäre. Ich möchte Sie daher fragen, ob nach der materialistischen Geschichtsauffassung die ökonomischen Verhältnisse überall, direkt, allein und vollständig unab-

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264. Joseph Bloch an Engels · 3. September 1890

hängig von Personen, unabänderlich und unabwendbar wie Naturgesetze wirken, oder ob auch andere Verhältnisse, die allerdings ihre letzte Ursache wieder in den ökonomischen haben, den Gang der geschichtlichen Entwicklung ihrerseits beschleunigen oder hemmen können? In der Erwartung, daß Sie mir meine Freiheit, mich direkt an Sie zu wenden, nicht übel nehmen werden, und in der Hoffnung, daß Sie die Fragen freundlichst beantworten werden, zeichne ich mit bestem Danke im Voraus in meinem Namen und in dem einiger Gesinnungsgenossen Joseph Bloch stud. math. Knochenstraße 21.

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265 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Donnerstag, 4. September 1890

Lieber General,

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Es thut mir leid, daß Du die letzte Nr des Sozialdemokrat nicht erhalten hast; sie ˙ ˙˙Nummer ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ folgt ˙˙ gingen hier ab nach Folkestone; mit heutiger Ersatz. ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ Daß Dir Deine Sommerkur so gut bekommt, freut uns hier Alle. Uebrigens war gestern der alte Petzler bei uns zu Besuche; er geht Ende dies nach Australien zu seinem Sohne, da ihm hier das Klima zu kalt u. rauh wird. Er brachte Ede sein neues Buch, Life in Utopia. Im Vergleich zu ihm, der wohl kaum viel älter ist denn Du, bist Du freilich ein jugendlicher Athlet. Hoffentlich hast Du auf Deiner Nordlandsfahrt u. jetzt dorten für ein neues Jahrzehnt Spannkraft geholt, damit Du mit uns Jungen frisch ins 2000 – vorderhand wollen wir es auf 1900 reduziren, um nicht gar zu unverschämt zu wirken, marschirst. Herzliche Grüße von hier zu Euch R. F. 4/9.90 Frd. Engels, Esqu. Bellevue Hotel St. John’s Road Folkestone.

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266 Alfred Delcluze an Friedrich Engels in London Calais, Samstag, 6. September 1890

Calais, le 6 7bre1890. Cher citoyen Engels, Comme vous avez pu le voir par le journal que je vous ai adresse´, nous avons fait tous nos efforts pour de´montrer au Prole´tariat anglais que la` ou` il y a une classe ouvrie`re organise´e la solidarite´ et la discipline de classe se manifeste. Notre mouvement n’a e´te´ qu’une manœuvre platonique, sans autre re´sultat qu’un effet moral, e´norme, il est vrai, pour l’avenir et pour ceux qui planent audessus des re´sultats imme´diats. Un ouvrier Calaisien a e´te´ exclu de sa chambre syndicale pour avoir remplace´ un des chauffeurs en gre`ve et c’est devant quinze cents auditeurs de son syndicat que son exe´cution a e´te´ faite par votre serviteur. En ce moment il y a ici a` Calais un mouvement de gre`ves partielles, qui jusqu’a` pre´sent a e´te´ heureux pour les ouvriers. Depuis cinq ans les salaires des ouvriers tullistes, corporation excessivement nombreuse ici, sont baisse´s de pre`s de 100 pour 100. La rapacite´ patronale ne connaıˆt plus de bornes. Un nouveau tarif, surnomme´ par nous de tarif de famine, e´labore´ par la chambre syndicale des fabricants de tulles vient d’eˆtre mis en vigueur. A l’approche de ce nouveau coup le syndicat ouvrier, tre`s fort en membres mais pauvre, s’est leve´ et il a oppose´ un autre tarif qui permet de manger un morceau de pain un peu plus gros, et, prenant l’offensive, le syndicat ouvrier a commence´ une mise a` l’index individuelle successive des fabricants qui sont ici pre`s de 400. Ce moyen a du succe`s jusqu’a pre´sent. Nous espe´rons que ces faits ne vous seront pas signale´s vainement et que vous ferez ce qu’il vous sera possible de faire pre`s des tullistes de Nottingham. Je me suis du reste permis de disposer de votre intervention (en re´union publique, hier matin). fraternellement a` vous A. Delcluze. Rue du Four-a`-Chaux 35. Calais.

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267 Karl Kautsky an Friedrich Engels in Folkestone Stuttgart, Montag, 8. September 1890

Stuttgart, Rothebühlstraße 145/II. 8/9 90 Lieber Engels, 5

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ich bin jetzt wieder einigermaßen aus dem Gröbsten heraus (mit Umzug und Einrichtung). Es ist auch die höchste Zeit, denn das erste Heft der wöchentlichen N. Z. muß jetzt in Angriff genommen werden: Ich hatte die Absicht, in der N. Z., sobald der Kongreß vorbei, in einer Serie von Artikeln eine Kritik des Gothaer Programms loszulassen. Der Kongreß wird nicht dazu kommen, dasselbe zu revidiren, sondern nur die Diskussion darüber in Fluß bringen. Im Anschluß an diese Diskussion sollen die Artikel erscheinen. Dietz hat dießbezüglich einen Vorschlag gemacht, der mir sehr gut gefällt: Ich soll die Artikel nicht allein schreiben, sondern die verschiedenen Punkte von Verschiedenen behandeln lassen. Ins Auge genommen habe ich dazu bisher Auer, Bebel, Ede, dem ich nächstens darüber schreiben will und – Dich. Möchtest Du mitthun? Das wäre sehr werthvoll. Die Wahl der Punkte, die Du behandeln willst, steht Dir natürlich völlig frei; ich bin noch für keinen engagirt. An Sorge habe ich geschrieben. Hoffentlich schickt er bald etwas. Das Honorar will Dietz für ihn auf 2 Dollar pro Seite erhöhn. Wird das genügen? Die Vorarbeiten für die neue Neue Zeit gehn bisher ganz glatt. Blos Schippel scheint noch immer der alte Kunde zu sein. Bebel glaubt, er habe bei den letzten Krakehlereien in Berlin seine Hand im Spiele gehabt. Die Art, wie er sich in der Berliner Tribüne von seinen Lesern verabschiedete, war auch nicht sehr erbaulich. Dazu kommt noch, daß er in der Berliner „Arbeiterbibliothek“ dieselben Themata ankündigt, die er für die N. Z. versprochen hat. Er scheint also uns blos den Abfall liefern zu wollen, ähnlich, wie der Soldat es s. Z. für den Sd. gethan, und seine Stänkereien auf Dietzens Kosten fortsetzen zu wollen. Ich hielt es von vorneherein für eine unglückliche Idee, Sch. dadurch lahmlegen zu wollen, daß man ihn aus der Tr. an die N. Z. versetzte. Zum Glück hängt Dietz nicht an ihm und will ihn fallen lassen, wenn der erste positive Beweis einer neuen Unehrlichkeit zu Tage tritt. Dann werden wir aber einen Ersatzmann brauchen. Und viel lieber als Schippel wäre mir jemand, der hier bei mir säße und aus dem ich mir eine tüchtige Hilfskraft heranziehen könnte. Die Frage ist nur: wen? Ich dachte an Adolf Braun, den hat aber die sächsische Arbeiterzeitung mir vor der Nase weggeka-

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267. Karl Kautsky an Engels · 8. September 1890

pert. Richard Fischer hätte mir auch gepaßt; der geht nach Berlin; sonst wäre er sehr verwendbar gewesen. Es soll nämlich Jemand sein, der nebenbei auch für die „schwäbische Tagwacht“ arbeiten kann. Die Zetkin, die ich auch erwog, paßt Dietz nicht recht. Sollte Euch in London Jemand unterkommen, der verwendbar wäre, dann bitte, mich davon zu benachrichtigen. Es wäre ein guter Posten für Konrad Schmidt, wenn der sich nicht in die Berl. Volkstr. verrannt hätte. Eine Hilfskraft, sowohl für N. Z. wie Tagwacht, ist hier so nothwendig, daß Dietz eine geeignete Persönlichkeit gern acceptirte, auch wenn Schippel bleibt. Sie wird dringend nothwendig, wenn es zum Bruch kommt. Hier wird es wohl auch bald Krakehl geben, da der rothe Krüger sich hier niedergelassen hat. Nun, Belli und Tauscher kennen den Mann. In England scheint es famos vorwärts zu gehn, wenn die Berichte der Tagespresse wahr sind, daß auf dem Liverpooler Kongreß der gesetzliche Achtstundentag angenommen worden ist. Ich erwarte einen Bericht darüber von Tussy. Beste Grüße von Haus zu Haus! Dein KK.

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268 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Templeuve, Dienstag, 9. September 1890

Templeuve. Nord. France. 9 Aouˆt 90. Cher citoyen Engels. 5

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Vous avez appris que le Socialiste allait reprendre sa publication avec la collaboration assure´e (non sans peines) de Lafargue. – Nous sommes maintenant dans une situation spe´ciale qui va exiger de notre part un changement d’organisation, qu’on proposera au Congre`s du parti qui va se tenir a` Lille le 11 et le 12 Octobre prochain . Guesde m’e´crit qu’Aveling lui a fait demander par l’interme´diare de Coulomb s’il pouvait assister aux Congre`s qui vont se tenir dans le Nord – Pourquoi s’adresser a` des personnalite´s comme Coulomb ou Lavigerie, au lieu de n’avoir affaire qu’avec nous – Quand donc comprendra-t-on que nous ne devons faire nos affaires qu’entre nous. A propos du Lavigerie, sur lequel Mrs. Aveling m’avait demande´ des renseignements, il n’appartient ni au parti blanquiste ni au noˆtre, par suite on ne doit avoir envers lui qu’une me´diocre confiance. Je vois qu’il e´crit dans la People’s Press et qu’il veut faire croire qu’il est renseigne´ sur le mouvement socialiste en France, et il confond le Congre`s de Calais, qui est un pur Congre`s de Syndicats avec celui de Lille, qui est un Congre`s Socialiste –. D’ailleurs il a dit vrai, sans le faire expre`s, car le Congre`s de Calais est dans la main des noˆtres, et nous avons fait en sorte pour que tous les de´le´gue´s syndique´s puissent passer par Lille – Donc, Aveling peut assister aux deux Congre`s, comme de´le´gue´ de la Ligue des huit heures et nous venons alors a` cre´er des liens solides entre nous –. Un Congre`s belge va se tenir cette semaine, et il est possible que j’y aille comme de´le´gue´. Savez-vous s’il y viendra un de´le´gue´ allemand ? – Ce serait tre`s bon si, a` chaque Congre`s, des de´le´gue´s des autres partis venaient assister –. Mais, ici, en Belgique, il se pre´sente pour nous deux difficulte´s – Les Belges, sans en avoir le droit, ont convoque´ un Congre`s international –. (Je crois, que d’apre`s le Congre`s de Paris, cela e´tait re´serve´ aussi bien aux Suisses qu’a` eux et que les Allemands avaient une tendance a` aller plutoˆt en Suisse) –. Nous serons oblige´s de nous tenir sur la re´serve, a` moins d’agir de concert avec les Allemands – De plus, pour les possibilistes, nous admettrons sans doute leur pre´sence a` coˆte´ de nous au prochain Congre`s, mais avec les meˆmes droits et sous le controˆle du Congre`s.

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268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

Etes-vous satisfait du Congre`s de Liverpool ? Que devons-nous penser de l’attitude actuelle de Burns et de cette sorte de formation d’un nouvel Unionisme avec l’exclusivisme de l’ancien ? Si quelqu’un pouvait, pour le 1er No du Socialiste, nous envoyer une correspondance sur le Congre`s de Liverpool et la situation actuelle, nous lui en serions reconnaissants – Un petit effort ! Le succe`s de Delory aux dernie`res e´lections du Conseil d’arrondissement de Lille, tout en paraissant de peu d’importance a` cause de l’exiguı¨te´ de l’assemble´e, est au contraire capital, comme disent les Anglais. Il a anime´ le parti dans le Nord a` un degre´ incroyable, et maintenant a` Lille nous sommes un facteur important dans la politique. Le prochain Congre`s qui verra la re´organisation du parti et le plan de campagne pour le 1er Mai sera d’une grande importance e´galement – Si Aveling pouvait apporter une lettre de vous, elle serait la bien venue – Autre affaire: Liebknecht a invite´ Vaillant ( ?) ou Guesde a` venir au Congre`s de Halle – Cela serait utile, mais les fonds manquent: il faudrait a` Guesde une de´le´gation par un journal. Anglais, c’est difficile; belge, peut-eˆtre – Il ne serait pas impossible que je l’y accompagnasse.

Pour le 1er Mai, il est bien possible que nous conservions cette date, comme l’ont fait les Espagnols – Tout en rendant justice aux objections de Bebel et des Anglais, il ne faut pas oublier qu’une date unique et un mouvement simultane´ peuvent seuls attirer l’attention – J’espe`re que vous portez bien et que vous pouvez laisser de coˆte´ votre re´gime – Je rentrerai probablement vers le milieu d’Octobre en Angleterre. Ou` en est la ligue ? Tout a` vous et aux amis Ch.B. P. S. Je vous envoie en mauvais Allemand une adresse du parti, a` inse´rer dans le dernier No du SD.

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269 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 10. September 1890

Hoboken, 10 Septbr. 90. Lieber Engels!

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Karte v. 27. Aug. erhalten In Eile nur das Folgende heute. ˙ ˙˙ ˙ ˙ der Volksztg heißt J. Grunzig, ist, glaube ich, Berliner Der neue Chefredacteur ˙˙ u. hier besonders als Theaterreporter thätig gewesen. Ueber Schewitsch wird mir mitgetheilt, daß derselbe Gnade vom Zaren anbettelt u. eine Stellung in Riga erhalten habe. Was daran Wahres, weiß ich noch nicht. Anständig honorirte Berichte für die „Neue Zeit“ zu liefern, bin ich nicht abgeneigt – unter jetzigen Umständen. Ich erwarte heute Dietzgen’s Töchter zum Besuch u. Verweilen. Bald mehr. Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey U. S. A.

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270 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 10. September 1890

II Hoboken, 10 Septbr. 90. Lieber Engels! Als ich Dir heute Morgen ein Paar Zeilen schrieb, hatte ich die Volkszeitung (N. Y.) noch nicht gelesen. In derselben – ich werde sie Dir noch zusenden – hat Herr Grunzig sich entpuppt als Angehöriger der bohe`me, die in Deutschland den elenden Krakehl hervorgerufen hat. Dort – in Deutschland – war die Bande zum Schweigen gebracht u. der Grunzig’sche Artikel wird sie wieder hervorlocken. Schlueter ist ganz niedergeschmettert dadurch, denn er hat von dem Artikel auch nichts gewußt, bevor er ihn heute Morgen gelesen. Er wird sich mit dem Gr. auseinanderzusetzen haben u. was es dann gibt, weiß ich nicht. Auch wird er sofort an Bebel schreiben um nicht verantwortlich gemacht zu werden, während ich Dir diese Mittheilungen mache für die Londoner Kreise. Was ich Dir über Schewitsch mittheilte ist korrekt, denn ich habe heute Vormittag selbst einen Brief von ihm (Sch.) u. seiner Frau gelesen, worin er Nachsendung seiner hiesigen Effekten verlangt an einen Gasthof in Riga, in welchem sie Quartier nehmen werden, bis sie sich eine Wohnung eingerichtet haben. Man sagt mir auch, daß er noch bedeutende Schulden hinterlassen habe. Hoffentlich geht es Dir gut u. hören wir bald wieder Etwas von Dir. Uns geht’s erträglich u. – wenn der Arbeitszwang nicht wäre – gut. So aber muß ich nunmehr wieder zu schanzen u. zu scharren beginnen, damit ich nächsten Sommer einige Wochen in Mt. Desert Island verleben kann. Gruß Dir u. den Deinen. Dein F. A. Sorge Hoboken, New Jersey U. S. A.

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271 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 14. September 1890

14 Sepbre 1890 Cher citoyen Engels

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Je prends la liberte´ au nom du Comite´ de publication de „l’Ide´e Nouvelle“ de vous adresser une liste de Souscription en faveur de la revue, par ce temps d’indiffe´rence, ou` la classe ouvrie`re se de´sinte´resse comple`tement du mouvement ouvrier, la revue traverse une crise terrible, mais avec l’aide des amis, nous pourrons certainement vivre inde´finiment. Le Comite´ de publication vous prie donc citoyen Engels, de bien vouloir nous venir en aide. Dans la certitude que notre lettre aura pre`s de vous l’attention qu’elle me´rite recevez mes meilleurs Sympathies. Pour l’Ide´e Nouvelle J. Le´pine

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272 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Montag, 15. September 1890

Londres le 15 Sept 1890. Mon cher Lafargue En toute haˆte. Bonnier m’avait e´crit au sujet du Congre`s de 1891 & de la convocation faite par les Belges. Je lui ai re´pondu dans une lettre que je l’ai prie´ d’envoyer a` Guesde pour qu’il la discute avec vous, Deville &c, ainsi qu’avec nos allie´s blanquistes, et qu’apre`s on me donne votre avis a` vous tous. C’est que les Belges nous ont joue´ un tour qui met tout notre congre`s en danger. Ils ont invite´ les Trades Unions a` Liverpool, & ceux-ci ont accepte´ avec fre´ne´sie. Naturellement – nous n’e´tions pas la` a` les inviter aussi ! Pourquoi brillons-nous toujours par notre absence la` ou` il y a quelque chose de de´cisif a` faire ! Pourquoi avons-nous e´te´ assez beˆtes pour laisser aux Belges & Suisses le soin du congre`s prochain ! Tussy & Aveling me disent que certainement les Anglais iront au congre`s des Belges, c’est-a`-dire des possibilistes, & qu’il n’y aura pas la moindre chance de leur faire comprendre qu’il y aura un autre congre`s qui vaudra mieux ! Moi je suis clairement du meˆme avis; les Anglais iront en masse, et avec l’enthousiasme de ne´ophytes, au premier Congre`s international auquel ils ont e´te´ invite´s. Il n’y a qu’un moyen de contrecarrer. C’est de proposer, de notre part, la fusion. Si elle se fait – conditions indispensables: pied d’e´galite´ parfaite, convocation par les mandataires des deux congre`s de 1889, le congre`s de 1891 maıˆtre absolu de ses actions, mode de repre´sentation fixe´ d’avance en commun – alors nous dominerons facilement. Si elle ne se fait pas, ce sera la faute des poss., nous aurons prouve´ devant le monde ouvrier qu’ils sont la seule cause des scissions, & alors il y aura chance de rouvrir la campagne ici en Angleterre avec succe`s. Si les Franc¸ais approuvent cela en principe, je proposerais qu’on profite du Congre`s de Halle 12 Oct. pour re´gler les pre´liminaires. Un ou deux Franc¸ais y iront, D. Nieuwenhuis, Adler de Vienne, probablement

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272. Engels an Paul Lafargue · 15. September 1890

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un Suisse, peut-eˆtre un Belge. Tussy viendrait pour vous e´claircir sur la situation en Angleterre. Ce serait toute une confe´rence. Le plan d’action pourrait tre`s bien eˆtre e´bauche´ et l’action mise en train. Il s’agit de la chance de´cisive, probablement la dernie`re pour cinq a` dix ans, de former l’alliance des Franc¸ais, Allemands & Anglais. Si nous la laissons e´chapper, ne vous e´tonnez pas si le mouvement ici vient entie`rement s’enfoncer dans l’ornie`re de la S. D. Federation & des possibi˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ listes. Nous avons des rivaux actifs & ruse´s. Ils nous ont toujours e´te´ supe´rieurs en cela; nous avons abuse´, dans nos affaires internationales, du droit a` la paresse. Que cela finisse, debout, agissons ! Aussitoˆt que j’aurai votre approbation a` vous tous, j’e´crirai aux Allemands. Je crois que j’ai commis une beˆtise d’e´crire a` Bonnier qui est a` Tem˙ ˙ ˙lettre ˙˙ pleuve au lieu d’a` vous directement. Mais c’e´tait ˙sa qui m’avait engage´ de m’occuper avec l’affaire, et le sujet a grossi entre mes mains pendant que je tenais la plume a` la main. Embrassez Laura. Bien a` vous F. Engels

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273 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 16. September 1890

Le Perreux 16 IX 90 Mon cher Engels, Le mal n’est pas si grand que vous croyez: bien qu’il y ait la` dessous une canaillerie belge. Nous avions discute´ entre nous le lieu du prochain congre`s; et nous avions conside´re´ la possibilite´ de le tenir en Belgique; voici pour quelles raisons. La conduite des possibilistes au ler Mai les a perdus absolument dans l’opinion des belges et des Hollandais, par conse´quent il est peu probable que les possibilistes aillent a` leur propre congre`s; c’est ce qui est arrive´ a` Troyes, ou` ils n’ont pas ose´ se trouver avec nous, bien que le congre`s de Troyes eut e´te´ convoque´ par eux. D’ailleurs les possibilistes conside`rent que la partie internationale est perdue pour eux; Brousse publie un organe mensuel intitule´ la France socialiste et il a de´clare´ a` Mendelson qui me l’a rapporte´, que l’on ne devait plus songer au socialisme international qui n’avait pas d’avenir, mais limiter ses efforts a` sa propre patrie. D’un autre coˆte´ la guerre est dans le camp possibiliste. D’un coˆte´ Allemane est maıˆtre de l’Union fe´de´rative, (l’organisation parisienne possibiliste) et Brousse dirige le groupe des conseillers e´lus et les hommes de la Bourse du travail. Aux e´lections en remplacement de Joffrin qui vient de mourir la guerre va e´clater en public, car Allemanne se porte et Brousse lui oppose Lavy. Il y a peu de chose a` craindre du coˆte´ des possibilistes. Nous avions cependant de´cide´ de choisir plutoˆt la Suisse pour sie`ge du prochain congre`s, comme e´tant plus central et plus commode pour nous: mais nous [nous] rallierons parfaitement au congre`s Belge; surtout apre`s la de´cision de Liverpool. Je vous conseille de ne pas vous adresser a` Bonnier, pour rien trancher; il est plus naı¨f qu’un enfant et ne sait pas voir les situations. Je parlerai a` Guesde. Notre congre`s se tiendra le 9 et 11 a` Lille et celui des chambres syndicales du 11 au 18 a` Calais: nous avons choisi les villes et dates pour aller aux deux. Probablement j’irai aux deux: j’essaie de trouver une correspondance qui me paierait mes frais de de´placements. Guesde ira probablement a` Halle apporter les sympathies des deux congre`s, et la de´cision prise au sujet du congre`s.

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273. Paul Lafargue an Engels · 16. September 1890

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En acceptant la Belgique nous paraıˆtrons ge´ne´reux et amis de la paix; et les possibilistes en refusant de s’y rendre mettront fin a` leur roˆle malsain. Amitie´s et bien a` vous. P. Lafargue. J’oubliais de vous dire que les possibilistes vont tenir deux congre`s, un a` Chatelleraut ou` dominera Brousse et un a` Paris qu’Allemanne organise. Le Socialiste va reparaıˆtre.

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274 Charles Caron an Friedrich Engels in London Paris, Mittwoch, 17. September 1890

Paris. 17 Septembre 1890. Cher citoyen Engels Je vous adresse une circulaire lance´e comme ballon d’essai et qui produit des re´sultats inespe´re´s. Je vous demande, connaissant d’avance votre re´ponse affirmative, de vouloir bien m’autoriser a` reproduire les traductions des brochures et articles socialistes dont vous eˆtes l’auteur. Ne sachant au juste qui peut autoriser la reproduction des œuvres du regrette´ K. Marx, je vous adresse a` ce sujet la meˆme demande, tout en e´crivant en meˆme temps a` notre ami Lafargue. Il existe plusieurs œuvres presque inconnues en France, la «Mise`re de la Philosophie», par exemple, dont j’ai une e´dition franc¸aise, le XVIII Brumaire, dont notre ami, Fortin, de Beauvais, a fait la traduction, je crois que leur publication serait tre`s-inte´ressante pour les socialistes franc¸ais. La publication dans l’«Ide´e nouvelle» de votre inte´ressante e´tude sur le «czarisme» produit les meilleurs re´sultats, et je crois que la nouvelle revue marchant paralle`lement avec l’«Ide´e nouvelle», mais n’e´tant, comme elle l’annonce, que le recueil bibliographique du socialisme moderne, sera propage´e par les militants de chaque fraction socialiste et pourra tenter, sinon re´aliser, la constitution d’un parti unique, comme les socialistes allemands en ont donne´ l’exemple. Dans l’espoir que vous donnerez votre entier acquiescement a` cette œuvre de propagande, nouvelle en France, et que vous voudrez bien meˆme m’indiquer, ce que vous jugeriez inte´ressant de publier de prime abord de Marx ou de vous (la traduction serait faite par nos amis) je vous prie de croire, cher citoyen Engels, a` mes meilleurs sentiments. Ch. Caron 8 rue du Croissant Paris

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275 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Donnerstag, 18. September 1890

London 18. Sept. 1890 Lieber Kautsky

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Deine Briefe vom 22/8 & 8/9 habe ich. Ich hätte auf ersteren schon von Folkestone, wo ich 4 Wochen war, geantwortet. Aber ich übersah die Anzeige daß Du am 25/8 nach Stuckart abreisen würdest & so wußte ich nicht wohin. Der kleine Studentenkrakehl ist rasch zusammengeklappt. K. Schmidt hat sich fern zu halten gewußt, Bebel schreibt er sei all right. Sonst weißt Du ja über den Kram mehr als ich. Es ist sehr redaktorisch von Dir mich in Eure Programmkritik verwickeln zu wollen. Du weißt aber selbst daß ich keine Zeit habe. Nicˇego! Bei den vielen Planmachereien die jetzt nothgedrungen in Deutschland gemacht werden & einander ablösen, hätte es keinen Zweck, wollte ich auf die in Deinem letzten mitgetheilten Pläne anders antworten als daß ich hier Niemand weiß den ich Dir für N. Z. & schwäbische Tagwacht ˙˙ ˙ ˙ ˙ wollen. empfehlen könnte. Schmidt würde schwerlich von Berlin˙ ˙fortgehn Kann Dir Bebel Niemand ausfindig machen? In Liverpool ist ein derber Schlag geführt worden. Und die Ironie der Geschichte wollte daß der edle Brentano dabei auf der Tribüne sein mußte, um den Kollaps seiner mit soviel Ausdauer & Pathos verkündeten Behauptung mit anzusehn: daß die engl. Trades Unions der beste Schutz gegen Sozialismus. Der Kampf ist jetzt in vollem Gang. Achtstündiger gesetzlicher Arbeitstag – das war der kritische Wendepunkt, mit dessen Annahme das Reich der alten, auf dem Boden des Kapitalverhältnisses stehenden konservativen Arbeiterbewegung gebrochen wurde. Vergesellschaftlichung von Boden, Minen, Transportmitteln ist allgemein zugegeben, für die übrigen Produktionsmittel eine starke Minorität. Kurz die Sache ist im ˙˙ ˙ & ˙ der 1–4. Mai hat stark dazu geholfen. Der 4 Mai war das ProGang nunciamento, der Liverpooler Kongreß das erste Gefecht. ˙˙ ˙ ˙ 449

275. Engels an Karl Kautsky · 18. September 1890

Die Belgier haben den Kongreß benutzt um die Engländer zum internat. Kongreß nach Belgien einzuladen. Ein sehr perfides Manöver; die Delegirten der jungen Unions in Liverpool, neuerdings begeistert für internat. Aktion, haben enthusiastisch akceptirt. Da die Belgier bis jetzt auf eigne Faust nur zum Possibilisten-Kongreß nach Belgien einladen kön˙˙ ˙ ˙ ˙die Hand zu forciren. Die Engländer nen, so ist dies ein Manöver˙˙˙uns sind diesmal ernstlich engagirt, Dank der Verrücktheit unsrer Pariser Beschlüsse über Ort & Berufung des nächsten Kongresses, die uns zur Unthätigkeit verdammen, während die Andren handeln. Hier muß etwas geschehn, ich habe nach Absprache mit den Andern hier nach Frankreich geschrieben, & sobald etwas Bestimmtes abzusehn ist, wirst Du wohl von Ede oder mir Nachricht bekommen. Vor der Hand ist absolute Diskretion nöthig, auch vorsichtige Behandlung der belgischen Aktion (am besten sie in der Presse einstweilen bloß zu registriren) damit keine unnöthigen Hemmnisse entstehn. Gehst Du am 12. Okt. nach Halle? In der letzten No. des Soz. Dem. kommt ein Art. von mir, der Vielen drüben vielen Ärger bereiten wird. Aber ich kann nicht auf die Literatenbande loshauen ohne dem philiströsen Element in der Partei, das Jenen Vorwand zum Krakehl geliefert, auch etwas zu versetzen. Natürlich indirekt – zu Angriffen ist die Triumphnummer nicht da. Deßwegen war’s mir auch lieb daß die Literaten mich zwangen, mit ihnen vorher abzurechnen. Von Sam Moore fortwährend gute Nachricht aus Afrika. Hat alle 6–8 Wochen mal Fieber, 2–3 Tage, verläuft aber sehr gelind & läßt keine Spuren zurück. Schorlemmer ist gestern Abend von Manchester wieder hierher. Er ˙ ˙ der ˙ ˙ ˙ norweg. Reise Ohrensausen & Taubheit, hartnäckigen hatte nach Ohrenkatarrh, wird jetzt etwas besser, hat ihm aber 6 Wochen Ferien verdorben. Der junge Wilhelm soll nach Ansicht der Engländer bloß nach Norwegen gehn weil er dort Seemann spielen kann ohne seekrank zu werden. In der That fährt man von Skudesnäs im Süden bis zum Nordkap stets in ganz ruhigem Wasser, nur an 2–3 Stellen ist 2–3-stündige Seekrankheit möglich. Und gar die Fjords! Da ist eine Stille daß der kleinste Alpensee dagegen ein stürmisches Weltmeer ist. Da kann man schon ebenso sicher Admiral zu Lande sein wie auf der Fahrt von Charlottenburg nach Potsdam. Übrigens fuhr der junge Mann im Sunelesfjord, aus dem Geirangerfjord kommend, auf einem Torpedoboot ganz stillekens an uns vorüber. Als wir in Molde landeten, stiegen Sch. & ich Moldehaj hinauf, einen Aussichtspunkt ca. 1300 Fuß hoch (denselben der in Ibsens Fruen

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fra Havet (die Frau vom Meere) das in Molde spielt vorkommt). Oben waren ein halbes Dutzend junge Lieutnants von der unten liegenden Flotte, in Civil. Ich meinte ich wäre wieder in Potsdam. Janz die alte Jardesprache, die alten Fähndrichswitze & Lieutenantsschnoddereien. Dagegen trafen wir nachher einen Haufen Ingenieure, ganz nette ordentliche Leute. Und die Matrosen wahre Kerle die sich überall können sehen lassen. Aber die Admirale, die sind aber mal fett! Dein F. E.

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276 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 19. September 1890

Londres le 19 Sept 1890. Mon cher Lafargue Merci de vos bonnes nouvelles. Si c’est ainsi, ce serait beˆte au plus haut degre´, de notre part, de ne pas faire le possible pour pouvoir aller a` un congre`s ou` nous n’avons qu’a` faire acte de pre´sence pour commander. Les conditions indispensables sont pour nous: 1) Convocation du congre`s commun par les mandataires, & au nom des mandats, des deux congre`s de 1889. Ou les Belges & les Suisses signeraient une seule convocation, ou bien les Belges & les Suisses convoqueraient au nom de notre mandat & les Belges seuls au nom de l’autre mandat. Cela devrait eˆtre fixe´ d’avance ainsi que le texte de la convocation. 2) Que le congre`s soit maıˆtre absolu de lui-meˆme. Aucun des actes des congre`s pre´ce´dents n’aurait force de loi pour lui. Aucun comite´, qu’il soit nomme´ par un des congre`s ante´rieurs, soit par suite des ne´gociations sur la fusion, ne pourra le lier en quoi que ce soit. Il fera lui-meˆme son re`glement, son ordre du jour & statuera seul sur les modalite´s de la ve´rifications des pouvoirs. 3) On fixera d’avance les modalite´s & proportions dans lesquelles les diffe´rentes socie´te´s se feront repre´senter au Congre`s. 4) Un Comite´ international nomme´ aussitoˆt que la fusion sera re´solue, pre´parera des projets de re`glement & d’ordre du jour sur lesquels le congre`s statuera. Ad 2): la liberte´ absolue du congre`s est importante pour nous parce que une fois les possibilistes & belges en mesure de marchander sur les ˙˙˙˙˙ ˙&c. ˙ nous serions floue´s; nos ne´gociateurs ont ordres du jour, re`glements toujours e´te´ plus naı¨fs que les leurs; et cela aboutirait a` une discussion sans fin, ou` personne ne verrait clair & par conse´quent il nous serait impossible de rejeter la responsabilite´ sur les Possib. On dira que le congre`s perdra un temps pre´cieux; nous re´pondrons qu’il importe d’abord de faire le congre`s unique, ce qui constituerait un fait bien plus important

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Londres le 19 Sept 1890. Mon cher Lafargue Merci de vos bonnes nouvelles. Si c’est ainsi, ce serait beˆte au plus haut degre´, de notre part, de ne pas faire le possible pour pouvoir aller a` un congre`s ou` nous n’avons qu’a` faire acte de pre´sence pour commander. Les conditions indispensables sont pour nous: 1) Convocation du congre`s commun par les mandataires, & au nom des mandats, des deux congre`s de 1889. Ou les Belges & les Suisses signeraient une seule convocation, ou bien les Belges & les Suisses convoqueraient au nom de notre mandat & les Belges seuls au nom de l’autre mandat. Cela devrait eˆtre fixe´ d’avance ainsi que le texte de la convocation. 2) Que le congre`s soit maıˆtre absolu de lui-meˆme. Aucun des actes des congre`s pre´ce´dents n’aurait force de loi pour lui. Aucun comite´, qu’il soit nomme´ par un des congre`s ante´rieurs, soit par suite des ne´gociations sur la fusion, ne pourra le lier en quoi que ce soit. Il fera lui-meˆme son re`glement, son ordre du jour & statuera seul sur les modalite´s de la ve´rifications des pouvoirs. 3) On fixera d’avance les modalite´s & proportions dans lesquelles les diffe´rentes socie´te´s se feront repre´senter au Congre`s. 4) Un Comite´ international nomme´ aussitoˆt que la fusion sera re´solue, pre´parera des projets de re`glement & d’ordre du jour sur lesquels le congre`s statuera. Ad 2): la liberte´ absolue du congre`s est importante pour nous parce que une fois les possibilistes & belges en mesure de marchander sur les ˙˙˙˙˙ ˙&c. ˙ nous serions floue´s; nos ne´gociateurs ont ordres du jour, re`glements toujours e´te´ plus naı¨fs que les leurs; et cela aboutirait a` une discussion sans fin, ou` personne ne verrait clair & par conse´quent il nous serait impossible de rejeter la responsabilite´ sur les Possib. On dira que le congre`s perdra un temps pre´cieux; nous re´pondrons qu’il importe d’abord de faire le congre`s unique, ce qui constituerait un fait bien plus important

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que toutes les re´solutions qu’il pourrait prendre, que nous n’avons pas mandat pour lier le congre`s futur, que le congre`s, une fois re´uni, se permettrait de rompre les entraves impose´es d’avance &c. Et au bout du compte, pourvu que les conditions faites fussent satisfaisantes, on pourrait faire aux Belges quelques concessions sur ce point. Maintentant, si vous autres franc¸ais vouliez amender, comple´ter et pre´ciser davantage cette e´bauche, vous feriez une bonne oeuvre. C’est la` la chose principale que j’ai e´crit a` Bonnier, avec lui je ne tranche jamais rien, soyez tranquille. Dans ma lettre a` lui, mon but principal e´tait de vous rendre, a` vous tous, acceptable la possibilite´ de la fusion; apre`s votre lettre, toute cette argumentation n’a plus de raison d’eˆtre. J’ai donc imme´diatement e´crit a` Bebel pour lui proposer qu’on discute la question en petit comite´ international a` Halle. Si nous parvenons la`bas a` fixer, avec des repre´sentants officieux de quelques-unes des petites nationalite´s, les bases d’une fusion, on pourrait alors en parler aux Belges. Du reste j’ai prie´ Bebel de faire, s’il se peut, de sorte qu’un Belge, Gantois de pre´fe´rence, soit aussi pre´sent. En attendant, j’attends vos nouvelles sur l’opinion de Guesde, Deville &c et aussi des Blanquistes. L’Ide´e nouvelle m’envoie une liste de souscriptions – que faire ? Un monsieur Ch. Caron 8 rue du Croissant, (donc e´videmment de l’Ide´e nouvelle) m’envoie un prospectus de re´e´dition de brochures socialistes et me demande la permission de publier mes e´crits ainsi que ceux de Marx. Si l’on jugeait selon ces efforts, on dirait que les franc¸ais & surtout les Parisiens sont sur le point de faire merveille. Mais cet homme, a-t-il les moyens de publier meˆme une seule brochure ? Renseignez-moi je vous prie, car il faudra que je lui re´ponde dans 4–5 jours. Sonnenschein envoie son compte: £ 5.4.– dont 1/5 pour Laura = £ 1.–.9, 1/5 pour les enfants 1/5 pour Tussy & 2/5 pour les traducteurs. Le che`que pour Laura, le voici. Probablement le compte de Meissner viendra sous peu, mais si les frais de la 4e e´dition y seront de´ja` compris, ce que j’ignore, il n’y aura peu ou rien. Les re´ve´lations boulangistes sont on ne peut plus e´difiantes. Fe´licitezvous d’avoir su re´sister quand les Boulangistes vous temptaient. Mais quelle ide´e cela vous donne de la capacite´ politique du public parisien ! Avoir e´te´ dupe´, que dis-je, fre´ne´tiquement enthousiasme´ par ce simple Jeanfoutre, qui donne sa parole de soldat aux royalistes pourvu qu’ils lui paient les frais de ses bonnes fortunes ! Pfui Teufel ! Heureusement que la province est la` pour re´parer les sottises parisiennes. C’est incroyable !

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276. Engels an Paul Lafargue · 19. September 1890

Hyndman ce´le`bre dans Justice l’immortel Joffrin, et dit que c’est lui & les possib. qui ont e´crase´ Boulanger & sauve´ la re´publique. Il doit savoir que le cas des possib. est assez de´sespe´re´ a` Paris, pour en venir a` mentir si impudemment. Embrassez Laura pour moi, Nim & Schorlemmer qui est venu avanthier. Bien a` vous F. E. Dans quelques jours le dernier No du Socialdemokrat. Ede reste ici, pour rapporter sur l’Angleterre surtout dans la Neue Zeit. Fischer va a` Berlin, au Vorwärts, il aura un mandat au Reichstag a` la premie`re occasion, Tauscher va a` Stuttgart. Quant au grand Julius Motteler, personne ici ne sait encore ce qu’on fera de lui. C’est le plus grand embarras du parti – un ge´nie me´connu pour lui-meˆme, une incapacite´ reconnue pour tout le monde ailleurs. Faites que Guesde & Vaillant aillent a` Halle, Guesde devra avoir Bonnier pour interpreˆte.  L’essentiel est que le Congre`s soit libre vis-a`-vis des re´solutions des congre`s ante´rieurs, et des actes de Comite´s issus du Congre`s possib. de 1890 on agissant dans son esprit.  ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ Monsieur P. Lafargue Le Perreux Seine – France

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277 Jules Guesde an Friedrich Engels in London Paris, Freitag, 19. September 1890

Paris le 19 sptem. Mon cher Engels

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Bonnier me communique votre lettre, que je soumettrai, selon votre de´sir, a` Lafargue et a` Deville, pour que le Conseil national du Parti puisse prendre une de´cision a` temps. Mais laissez-moi vous faire observer que jamais notre Congre`s international n’a donne´ meˆme une moitie´ de mandat aux Belges pour organiser le Congre`s de 1891. Notre Congre`s s’est borne´ a` de´cider que le prochain Congre`s international aurait lieu en Belgique ou en Suisse, en donnant mandat de le convoquer a` la Commission exe´cutive qui, du consentement d’Anseele, pre´sent et repre´sentant la de´le´gation belge, a e´te´ institue´e en Suisse et remise, pour sa composition, aux de´le´gue´s suisses. Les belges, en prenant l’initiative du Congre`s de l’anne´e prochaine et en le convoquant en Belgique, ont donc viole´ la de´cision du congre`s qu’ils avaient accepte´e et usurpe´ sur la Commission qui sie`ge a` Baˆle et a seule qualite´ pour choisir entre la Suisse et la Belgique. Si je vous rappelle ces faits, c’est pour bien e´tablir les responsabilite´s. S’il y a eu des fautes commises, elles l’ont e´te´ par la Commission suisse qui n’aurait pas duˆ laisser passer le Congre`s des Trade’s Unions sans prendre une de´termination et la transmettre, sous forme d’invitation, a` Liverpool. Que, maintenant, il soit trop tard et qu’il nous faille «avaler» le Congre`s en Belgique, c’est ce qui me paraıˆt, comme a` vous, ine´vitable – et pour les raisons que vous e´numerez. Il n’en faudra pas moins, avant de subir cette ne´cessite´, nous entendre avec la Commission de Baˆle qui (vous avez duˆ le voir par la Journe´e de huit heures) est tre`s jaloux de ses pre´rogatives. Sans son consentement pre´alable, pour e´viter une scission, nous en provoquerions une autre. Je vous e´crirai aussitoˆt que j’aurai pu voir Lafargue et Deville, pour que vous agissiez ou que vous fassiez agir sur Baˆle par les amis d’Allemagne. Il importe que cette question soit tranche´e au plus toˆt, nos Congre`s de Lille et de Calais s’ouvrant en meˆme temps que celui de Halle. Votre tout de´voue´ Jules Guesde

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278 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 19. September 1890

Le Perreux 19.IX.90 Mon cher Engels, Je rec¸ois a` l’instant une lettre signe´e Caron, accompagne´e d’une circulaire, qui annonce entre autre, la publication de la Mise`re de Marx et celle de ma brochure sur la Paresse. Bien entendu on n’a pas songe´ a` vous demander la permission, ni a` moi, ni a` personne: on est ici d’un sans-geˆne impayable. Caron me dit qu’il vous e´crit; veuillez ne pas lui re´pondre ou lui re´pondre de s’adresser a` moi. – J’ai connu ce Caron dans le Ve Arrondissement; mais depuis lors, il s’est retire´ du mouvement et n’a reparu que dernie`rement. Je lui refuse mon autorisation parce que son entreprise, e´tant prive´e, j’entends eˆtre paye´ et parce que nous sommes en train de reconstituer notre Bibliothe`que socialiste qui entreprendra la publication de nos brochures. – Je tenais a` vous avertir imme´diatement. De´cide´ment Brousse bat de l’aile, son re`gne est bien pre`s d’eˆtre fini; il n’a pas ose´ se montrer a` l’enterrement de Joffrin, ou` Alemane jouait le maıˆtre de ce´re´monies. On dit que J. a laisse´ un testament ou` il attaque Brousse; nous en verrons de belles: tous les partis se de´composent; nos chances augmentent. On pre´tend que Clemenceau pour redorer son prestige, fort entame´, donnerait sa de´mission et se pre´senterait a` Montmartre pour remplacer Joffrin. C’est la` un signe des temps; Montmartre e´tait la citadelle possibiliste, Clemenceau doit les juger finis, et doit avoir en poche de petits papiers pourt les museler. Il veut reconque´rir Paris. S’il a le courage de bien jouer sa partie, il a chance d’eˆtre e´lu. Longuet, encore et comme toujours, serait joue´ par ses amis les radicaux, qui de´ja` lui ont fait ce´der sa place du XI a` Floquet aux dernie`res e´lections. Veuillez, je vous prie m’envoyer un che`que, celui du mois dernier est a` son dernier pound. Laura travaille comme une ne´gresse a` la traduction de ma brochure sur la Proprie´te´ ; qui est double de l’e´dition allemande elle sera preˆte au commencement d’Octobre. Avez-vous lu le Mythe d’Athe´na dans Time ? Bien a` vous et a` tous P Lafargue

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279 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Wimereux, Samstag, 20. September 1890

Wimereux par Wimille Pas de Calais 20. Mon cher Engels 5

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Ci-joint une lettre de Guesde – Je ne demanderais pas mieux que d’aller a` Halle et je fais des de´marches aupre`s du «Temps» pour y eˆtre envoye´ a` ses frais – Si je rec¸ois une re´ponse favorable, je partirai a` Halle et j’y trouverai les Aveling. Dans le cas contraire, j’espe`re qu’au moins un des Aveling viendra aux deux Congre`s. Je leur ai fait envoyer une invitation par Delcluze et Delory (la s e u l e valable). Anseele y viendra aussi. Pour les re´solutions a` pre´senter au Congre`s de Halle, nous n’avons pas a` les pre´parer elles sont toutes faites – Inde´pendance du Congre`s et un seul repre´sentant par groupe. J’ai insiste´ aupre`s de Guesde pour entamer des ne´gociations dans le camp possibiliste, de´sorganise´,(1) afin de nous donner, aupre`s de l’e´tranger, le beau roˆle. J’espe`re que nos amis approuveront – Ecrivez a` Lafargue, dans ce sens. – C’est le plus difficile a` gagner. Tout a` vous. CB. (1) Bernstein m’en avait sugge´re´ l’ide´e.

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280 Friedrich Engels an Charles Caron in Paris London, Samstag, 20. September 1890

Copie. – 20. Sept. a` Caron En re´ponse a` votre lettre du 17, je ne saurais vous donner l’autorisation demande´e avant d’eˆtre renseigne´ sur plus d’un point. D’abord il me paraıˆt que toute re´e´dition de brochures devrait se faire par brochures comple`tes et se´pare´es, et non sous forme de revue, dont chaque nume´ro contiendrait un me´lange de fragments incohe´rents d’ouvrages le plus souvent contradictoires les unes avec les autres. Je voudrais donc d’abord eˆtre en e´tat de juger des raisons qui vous ont fait pre´fe´rer cette dernie`re forme. Puis, le parti ouvrier n’a-t-il pas l’intention de republier une bonne partie de ces meˆmes ouvrages dans sa Bibliothe`que socialiste ? En ce cas, l’entreprise du parti devrait avoir le pas sur l’entreprise prive´e. Enfin, vous entreprenez une chose assez couˆteuse. La seule publication des six brochures annonce´es comme devant commencer dans voˆtre 1er Nume´ro, vous prendra 4 a` 6 mois. Si la revue devrait cesser de paraıˆtre, faute de fonds, au milieu de la publication d’un ouvrage, que moi je vous aurais autorise´ a` reproduire, une grave responsabilite´ tomberait sur moi. Avez-vous donc les fonds ne´cessaires ? Il y a encore d’autres points a` conside´rer. Pour trancher l’affaire, je vous prie de vous adresser au cit. Lafargue auquel j’envoie copie de cette lettre. Je vous serais reconnaissant si, a l’avenir, vous vouliez bien vous adresser a` moi avant de faire usage de mon nom en public; et meˆme pour cette fois, je me re´serve le droit d’avoir recours, si bon me semble, a` des de´marches tout aussi publiques. – Agre´ez &c.

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281 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 20. September 1890

Londres le 20 Sept 1890. Mon cher Lafargue

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Merci des renseignements sur le Caron. Voici ma re´ponse a` cet aimable garc¸on qui «ne doute nullement de ma re´ponse affirmative». Parlez-moi donc de «London Assurance» ou du toupet des journalistes Yankees. Les Allemands & les Franc¸ais les de´bordent de beaucoup, et cela avec une e´le´gance dans l’effronterie qui leur sied admirablement. Cependant je ne suis pas suˆr que ce ne soit pas mes chers compatriotes qui l’emportent. Ici rien de nouveau. Aveling vous a duˆ e´crire au sujet du Lavigerie. Il est toujours bien droˆle que cet individu soit en possession d’un document (copie) signe´ Lafargue Guesde Deville &c & annonc¸ant l’arrive´e prochaine de Guesde a` Londres, et d’une lettre de Coulomb ou` il invite A. & Tussy au nom du Comite´ national du parti ouvrier au Congre`s de Lille. Aveling a duˆ voir lundi dernier les originaux de tous les documents qu’il pre´tend avoir – mais je n’ai rien appris depuis dimanche. Voici che`que £ 20.– Bien a` vous F. E.

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282 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Samstag, 20. September 1890

Lieber Friedrich Deine Karte vom 9. Juli aus Drontheim erhielt ich, und freute mich zu sehr, daß Du noch so große Reisen unternehmen kannst. Die Reise nach dem Nordkap etc. muß freilich sehr interessant sein, daß Du sie machtest und wohl auch gut überstandest, giebt mir den Beweis von Deiner noch kräftigen Gesundheit. – Deinen kleinen Rechnungsauszug sandte ich Dir am 30. Mai von Engelskir˙˙ ˙darin ˙˙ chen aus. Die aufgeführten M. 100 – sind 60 M. für 1/2 jährl. Miethe für G. v Griesheim u. 40 M. für Beitrag zur Badereise von Lily v. Griesheim. Die ˙ ˙˙ ˙jährliche Miethe für G. v. G. – Die M. 6 – Zinsen von ˙˙˙ ˙Ges. ˙ ˙˙ ˙ ConM. 120˙–˙˙ ˙sind cordia Actien erscheinen in nächstem Ct. Crt. – Am 30. Mai c. fragte ich auch wegen Sherry bei Dir an. Kannst Du uns darin noch etwas Ordentliches u. Trinkbares verschaffen, dann, bitte, lasse davon 48 Flaschen in einer Kiste an meinen Schwager Albert Pferdmenges nach ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ und ein gleiches Quantum an mich nach hier absenden. Den BeM. Gladbach, trag dafür kannst Du vielleicht bezahlen. Dann schreibe ich ihn Dir hier gut, oder, wenn Dir das nur irgendwie unbequem sein sollte, dann bezahle ich die Sache direct an den Weinhändler: Schreibe mir nur, bitte, eine Karte, ob wir auf den Wein rechnen können & wann wir ihn erhalten werden. – Besten Dank für die Besorgung! Hier geht’s uns noch gut. Die Liverpooler Familie mit 4 Kindern u. 2 nurses war vom 28 Juli bis 18 Aug. hier bei uns, dann reisten wir Alle zusammen, 13 Personen nach Zandvoort b. Amsterdam an die See. Wilh. Pferdmenges fuhr aber schon am 24. Aug. mit mir nach Sprendlingen in Rheinhessen, (Hinter Bingen) wo ich mit ihm u. meinem Hermann 6 Tage hintereinander auf Feldhüh˙˙ ˙ ner jagte. Dann ging’s nach˙˙Gladbach, wo ich weiter jagte u. Hühner schoß. Vorgestern sind Pferdmenges in Liverpool u. wir Alle hier wieder gelandet. – Rudolfs waren in Engelskirchen u. dann mußte Mathilde absolut nach Ostende ins Seebad! Hedwig ist in diesem Frühjahr 2 Monate lang in Italien – Neapel, Capri, Rom, Florenz, etc. – mit einer ihrer Töchter gewesen; als sie zurück kam, schlug auch ihre älteste Tochter Anna, welche 1 Jahr lang in Melbourne war, wieder hier an’s Land. – Blanks sind, wie immer, in Leutesdorf auf ihrem Gut u. bleiben da bis November. Emil Blank ist recht alt geworden u. das Hören u. Gehn wird ihm schwer. Sein Sohn Rudolf baut sich in Düsseldorf ein großes

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Wohnhaus u. zieht dahin, da seine Frau das engl. Klima nicht vertragen soll. Sein Vater Emil baut, wie ich höre, hier in Barmen, der Reitbahn gegenüber eine Fabrik, weshalb u. für wen, weiß ich nicht. – Der alte Schulmeister Johann von Lohr, der s. Z. seine Schüler so gerne „zwiebelte“, ist auch kürzlich gestorben, er ist 93 Jahre alt geworden. – So, nun hast Du mal wieder etwas von hier gehört. Lasse nun auch bald wieder etwas von Dir hören, denke an den Sherry, und sei von uns Allen sehr herzlich gegrüßt. Dein Hermann. Barmen, 20. Septbr 1890.

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283 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 20. September 1890

Le 20 Septembre. Nice 6, Rue Assalit. Mon Cher Ami, J’ai rec¸u Votre lettre avec 20 £. Je Vous en remercie de tout mon coeur; et aussitoˆt mon cousin m’apportera une partie de mon argent je Vous rembourserai les trois coups d’e´paule avec since`re reconnaissance et je serais tre`s heureux de venir a` Londres Vous serrer fraternelement la main. Pour le moment, je compte sur Votre bonte´ que Vous m’excuserez que je Vous avais ennuye´ de mes affaires personnelles. Mais, ayant e´te´ malade et ne pouvant tirer un centime des mes amis de´biteurs (on me doit jusqu’a` deux cent milles fr.) et avec tout cela: les retards qu’apporte toujour mon cousin dans le remboursement des fonds qui me sont duˆ apre`s la mort de ma me`re, ... tout cela m’a mis dans une situation tre`s pe´nible et ayant comple`te confiance dans Votre amitie´ – je me suis adresse´ a` Vous ... et voila` : je suis debout – plein de vigueur et «bruˆlant» d’envie de partir pour Londres pour Vous remercier de tant de bonte´ pour moi. A Vous de tout mon cœur. Walery Wroblewsky.

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284 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Wimereux, Sonntag, 21. September 1890

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Guesde me dit qu’il est probable qu’il ira a` Halle, mais je suis prie´ de retourner ˙ ˙˙˙ de l’accompagner. Nous pre´brusquement en Angleterre, ce qui m’empeˆchera parerons tout avant le de´part a` la haˆte Tout a` vous CB. M. Friedrich Engels esq. 122 Regent’s Park Road London NW Angleterre

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285 Paul Stumpf an Friedrich Engels in London Mainz, Sonntag, 21. September 1890

Mainz 21 Sept. 90 Lieber alter Freund! Ein directes Lebenszeichen haben wir lange nicht von einander gehabt. Du lieber Engels, wohl das letzte mal von mir, durch den alten Becker, der bald nach seiner Zurückkunft von Dir, aufgefahren ist gegen Himmel. Hinwärts war er bei mir, herzu nicht. Hatte er Dir meine Grüße ausgerichtet? In der Hoffnung daß es Dir bescheidener, nobeler, bewährter Meisterkopf recht wohl geht und Du noch lange leuchten möchtest als Doppelgestirn in unserer guten Sache, wollte ich Heute wegen der deutschen Weingesetzfrage und wegen etwas 48er Pariserisches bei Dir diesen Besuch machen. Ueber dies Weingesetz, das vielleicht nächstens schon, wieder den Reichstag beschäftigen wird, streiten sich bei uns zwei Parteien. Die eine will mit Zuckerwasser schmelzen können, ohne dies declariren zu müssen, die andere will Declaration oder Naturwein. Ich weiß nicht ob Du die öffentlichen Diskussionen darüber verfolgt hast. Ich kenne sie, halte die dies betref. Zeitungen & thue hie u. da etwas darin, ohne mir ganz klar zu sein, welche sozialistischen Kapitel und Verse anwendbar sind, um mit den Engels’schen Blitzen und Donnerkeilen dreinfahren zu können und Diese und Jene eines Richtigen darin zu belehren. Ich glaube die Weinfrage gehört unter das Kapitel vom Schutzzoll und Freihandel, die uns bekanntlich beide nichts bringen, und die genossenschaftliche Produktion auf gemeinschaftlichem Grund u. Boden, und daneben genossenschaftlicher Handel und Banken (Staats-Banken) allein ist’s, die, auf demokratischer Grundlage, da allein Wandel schaffen kann. Wolltest Du mir darüber in einigen Sätzen Deine Ansichten mittheilen, oder besser noch einmal unsere Zeitungen dafür inspiriren? Auf Wunsch könnte ich Dir alles nöthige Material dazu senden. Die Zeit klarzulegen das Ziel des landwirthschaftlichen Genossenschaftswesens, ist eben eine sehr günstige für uns. Die Regierungen und die mit diesen in enger Berührung stehenden landwirthschaftlichen Vereine fordern sogar zu GenossenschaftsBildungen auf und unterstützen sie. Und da könnte Dein Saame, gegossen in die sozialistisch jungfräuliche Landwirthschaft, gewiß etwas schnell Fortzeugendes gebären.

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Der Pariser 48er Gegenstand, wegen dem ich heute auch meinen Liebesbrief an Dich wackerer, unermüdlicher Lehrer und Freund, schreibe, ist folgender. Ich wünschte zu haben die Copie der Annonce, die Du hast in Paris Ende Februar oder Anfangs März 1848 einrücken lassen in Pariser Zeitungen, 2 (welche?) behufs Einladung der Deutschen zu einer Zusammenkunft in einem Cafe´, auf dem Boulevard des Italiens glaube ich, auf der unter anderen auch Wallau gesprochen hat. Wie Du Dich erinnern wirst ist dieser Zusammenkunft gefolgt, die große Versammlung im Salle Valentino aus der unsere und die Herwegsche Partei hervorging. Ich hätte gerne die Copie dieser Annonce mit den Namensunterschriften zu meinen Notizen, die ich über meine 1848/9er Erlebniße, in den Du auch, als Prisonier auf der Kirchheim Bolandener Wachtstube und als Verfasser des Theaterstückes im Brüsseler Arbeiterverein 1847 November, prophezeit den Februar 48, aber auch als kräftigster Pionir der neuen Menschheit paradiren sollst, wenn ich es fertig bringe mit dem richtigen Paradeschritt auf die Mensur treten zu können. Unser Schickelchen, der uns dazu den Prinz abgab, in Deinem obengenannten prophetischen Schauspielchen, von Dir in einer Nacht geschrieben, ist jetzt wohlbestallter Kaufmann in Milwaukee N. A., aber dermalen hier in Mainz. Ihn traf ich hier vor mehreren Monaten, am selben Tage, an dem ich auch von unserem Oswald Dietz, Ingenieur in Cincinati, und auch von Adolf Cluss, General Inspector der Staatsbauten in Washington Briefe resp. Nachrichten bekam. Cluss war 1848 Gründer des Mainzer Arbeiter Vereins & wurde, als damals Lupus Wolff hier war, ein Intimus von diesem. Aber halt! ich verbappele mich jetzt auf Kosten Deiner uns noch so nöthigen Zeit. Zum Schluß drum. Bezüglich der in unserer deutschen Arbeiterpresse, vom 1 October ab zu beginnenden belehrenden Artikel bin ich der Ansicht, daß Ihr mit der Entstehung des (deutschen) Sozialismus beginnen solltet. Und zwar in der Art wie es Deine Einleitung zur Düringschen Widerlegung & wie es Deine Scizze über Marx, in einem Arbeiterkalender, (1877?) auch das kommunistische 48er Manifest thut. Ich meine studiren müßten tüchtig jetzt schulmäßig unsere jungen Agitatoren und schulmäßig belehren müßten jetzt die Arbeiter, nicht nur ihresgleichen, sondern auch die Bourgeois, & mit geistigen Waffen zu kämpfen sei jetzt nun die Zeit da. Welche Fülle von Stoff dazu bietet uns nicht die gegenwärtige tollkühne Bourgeois Zeit, und wie reich ist nicht unser Arsenal von Marx-Engels’schen und anderer Freunde Waffen aller Art dazu. Aber jetzt lieber Engels Adieu! Beiliegend meine Photographie. Es soll mir sehr schmeicheln wenn sie Dir willkommen ist. Darf ich auf die Deine warten? Meine berührte Weinsache und die 48er Pariser Sache, von der ich eingangs sprach, vergißest Du vielleicht nicht. In Paris habe ich d. Z. gar keinen Anknüpfungspunkt für Letzteres. Lebe noch recht lange für Dich und die Unseren! Dein Paul Stumpf

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286 Friedrich Engels an Joseph Bloch in Königsberg London, Sonntag, 21., und Montag, 22. September 1890

London 21 Septbr 1890. Sehr geehrter Herr Ihr Brief vom 3 cr wurde mir nach Folkestone nachgeschickt; da ich aber das betr. Buch nicht dort hatte, konnte ich ihn nicht beantworten. Am 12. cr. wieder zu Hause eingetroffen, fand ich einen solchen Haufen dringender Arbeit vor, daß ich erst heute dazu komme Ihnen ein paar Zeilen zu schreiben. Dies zur Erklärung des Aufschubs mit Bitte um gef. Entschuldigung. Ad I. Erstens ersehen Sie auf S. 19 des „Ursprungs“ daß der Prozeß des Heranwachsens der Punaluafamilie als so allmählig verlaufend dargestellt wird, daß selbst noch in diesem Jahrhundert in der königlichen Familie in Hawaii Ehen von Bruder & Schwester (von Einer Mutter) vorkamen. Und im ganzen Alterthum finden wir Beispiele von Geschwisterehen, z. B. noch bei den Ptolemäern. Hier aber ist – zweitens – der Unterschied zu machen zwischen Geschwistern von mütterlicher oder bloß von väterlicher Seite; αÆ δελϕο ς, αÆ δελϕη kommen her von δελϕυ ς Gebärmutter, bedeuten also ursprünglich nur Geschwister von Mutterseite. Und aus der Periode des Mutterrechts hat sich noch lange das Gefühl erhalten daß Kinder Einer Mutter, wenn auch verschiedner Väter, einander näher stehen als Kinder eines Vaters, aber verschiedner Mütter. Die Punaluaform der Familie schließt nur Ehen zwischen ersteren, keineswegs aber zwischen letzteren aus, die nach der entsprechenden Vorstellung ja gar nicht einmal verwandt sind (da Mutterrecht gilt). Nun beschränken sich, soviel ich weiß, die im griech. Alterthum vorkommenden Fälle von Geschwisterehen auf solche, wo die Leute entweder verschiedene Mütter haben oder doch solche, von denen dies nicht bekannt, also auch nicht ausgeschlossen ist, widersprechen also dem Punaluagebrauch absolut nicht. Sie haben eben übersehen daß zwischen der Punaluazeit & der griechischen Monogamie der Sprung aus dem Matriarchat ins Patriarchat liegt, der die Sache bedeutend ändert.

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Nach Wachsmuths „Hellenischen Alterthümern“ ist im heroischen ˙˙ ˙Bedenken ˙˙˙ Zeitalter bei den Griechen „von über zu nahe Verwandtschaft der Ehegatten, abgerechnet das Verhältniß von Eltern & Kindern, keine Spur“ (III p. 156). „Ehe mit der leiblichen Schwester war in Kreta nicht anstößig“ (ib. p. 170). Letzteres nach Strabo X Buch, ich kann aber die Stelle augenblicklich nicht finden wegen mangelnder Kapiteleintheilung. – Unter leiblicher Schwester verstehe ich bis zum Gegenbeweis Schwestern von Vaterseite. Ad II qualificire ich Ihren ersten Hauptsatz so: nach materialist. Geschichtsauffassung ist das in letzter Instanz bestimmende Moment in der Geschichte die Produktion & Reproduktion des wirklichen Lebens. Mehr hat weder Marx noch ich je behauptet. Wenn nun jemand das dahin verdreht, das ökonomische Moment sei das einzig bestimmende, so verwandelt er jenen Satz in eine nichts sagende, abstrakte, absurde Phrase. Die ökonomische Lage ist die Basis, aber die verschiednen Momente des Überbaus – politische Formen des Klassenkampfs & seine Resultate – Verfassungen, nach gewonnener Schlacht durch die siegende Klasse festgestellt, usw – Rechtsformen, & nun gar die Reflexe aller dieser wirklichen Kämpfe im Gehirn der Betheiligten, politische, juristische, philosophische Theorien, religiöse Anschauungen & deren Weiterentwicklung zu Dogmensystemen, üben auch ihre Einwirkung auf den Verlauf der geschichtlichen Kämpfe aus & bestimmen in vielen Fällen vorwiegend deren Form. Es ist eine Wechselwirkung aller dieser Momente, worin schließlich durch alle die unendliche Menge von Zufälligkeiten (d. h. von Dingen & Ereignissen, deren innerer Zusammenhang unter einander so entfernt oder so unnachweisbar ist daß wir ihn als nicht vorhanden betrachten, vernachlässigen können) als Nothwendiges die ökonomische Bewegung sich durchsetzt. Sonst wäre die Anwendung der Theorie auf eine beliebige Geschichtsperiode ja leichter als die Lösung einer einfachen Gleichung ersten Grades. Wir machen unsere Geschichte selbst, aber erstens unter sehr bestimmten Voraussetzungen & Bedingungen. Darunter sind die ökonomischen die schließlich entscheidenden. Aber auch die politischen usw, ja selbst die in den Köpfen der Menschen spukende Tradition, spielen eine Rolle, wenn auch nicht die entscheidende. Der preußische Staat ist auch durch historische, in letzter Instanz ökonomische Ursachen entstanden & fortentwickelt. Es wird sich aber kaum ohne Pedanterie behaupten lassen, daß unter den vielen Kleinstaaten Norddeutschlands gerade Brandenburg durch ökonomische Nothwendigkeit, & nicht auch durch andre Momente (vor allen seine Verwickelung, durch den Besitz von Preußen, mit Polen & dadurch mit internationalen politischen Verhältnissen – die

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ja auch bei der Bildung der österreich. Hausmacht entscheidend sind) dazu bestimmt war, die Großmacht zu werden in der sich der ökonomische, sprachliche, & seit der Reformation auch religiöse Unterschied des Nordens vom Süden verkörperte. Es wird schwerlich gelingen die Existenz jedes deutschen Kleinstaates der Vergangenheit & Gegenwart oder den Ursprung der hochdeutschen Lautverschiebung, die die geographische, durch die Gebirge von den Sudeten bis zum Taunus gebildete Scheidewand zu einem förmlichen Riß durch Deutschland erweiterte, ökonomisch zu erklären, ohne sich lächerlich zu machen. Zweitens aber macht sich die Geschichte so, daß das Endresultat stets aus den Konflikten vieler Einzelwillen hervorgeht, wovon jeder wieder durch eine Menge besonderer Lebensbedingungen zu dem gemacht wird was er ist; es sind also unzählige einander durchkreuzende Kräfte, eine unendliche Gruppe von Kräfteparallelogrammen, daraus eine Resultante – das geschichtliche Ergebniß – hervorgeht, die selbst wieder als das Produkt einer, als Ganzes, bewußtlos & willenlos wirkenden Macht angesehen werden kann. Denn was jeder Einzelne will, wird von jedem Andern verhindert, & was herauskommt ist etwas das Keiner gewollt hat. So verläuft die bisherige Geschichte nach Art eines Naturprozesses, & ist auch wesentlich denselben Bewegungsgesetzen unterworfen. Aber daraus daß die einzelnen Willen – von denen jeder das will wozu ihn Körperkonstitution & äußere, in letzter Instanz ökonomische Umstände (entweder seine eignen persönlichen, oder allgemein-gesellschaftliche) treiben – nicht das erreichen was sie wollen, sondern zu einem Gesamtdurchschnitt, einer gemeinsamen Resultante verschmelzen, daraus darf doch nicht geschlossen daß sie = 0 zu setzen sind. Im Gegentheil, jeder trägt zur Resultante bei & ist insofern in ihr einbegriffen. Des Weiteren möchte ich Sie bitten diese Theorie in den Originalquellen & nicht aus zweiter Hand zu studiren, es ist wirklich viel leichter. Marx hat kaum etwas geschrieben wo sie nicht eine Rolle spielt. Besonders aber ist „Der 18 Brumaire des L. Bonaparte“ ein ganz ausgezeichnetes Beispiel ihrer Anwendung. Ebenso sind im Kapital viele Hinweise. Dann 5 darf ich Sie auch wohl verweisen auf meine Schriften: Hrn E. Dührings Umwälzung der Wissenschaft, und L. Feuerbach & der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie, wo ich die ausführlichste Darlegung des historischen Materialismus gegeben habe die meines Wissens existirt. Daß von den Jüngeren zuweilen mehr Gewicht auf die ökonomische Seite gelegt wird als ihr zukommt, haben Marx & ich theilweise selbst verschulden müssen. Wir hatten, den Gegnern gegenüber, das von diesen geleugnete Hauptprincip zu betonen, & da war nicht immer Zeit, Ort &

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Gelegenheit die übrigen, an der Wechselwirkung betheiligten Momente zu ihrem Recht kommen zu lassen. Aber sowie es zur Darstellung eines historischen Abschnitts, also zur praktischen Anwendung kam, änderte sich die Sache, & da war kein Irrthum möglich. Es ist aber leider nur zu häufig daß man glaubt eine neue Theorie vollkommen verstanden zu haben & ohne Weiteres handhaben zu können, sobald man die Hauptsätze sich angeeignet hat, & das auch nicht immer richtig. Und diesen Vorwurf kann ich manchem der neueren „Marxisten“ nicht ersparen, & es ist da dann auch wunderbares Zeug geleistet worden. Ad I habe ich gestern (ich schreibe dies am 22. Spt) noch folgende entscheidende, meine obige Darstellung vollauf bestätigende Stelle gefunden bei Schoemann, Griech. Alterthümer, Berlin 1855, I, p. 52: „Daß aber Ehen zwischen Halbgeschwistern von verschiedenen Müttern im späteren Griechenland nicht als Blutschande galten, ist bekannt.“ Ich hoffe die entsetzlichen Einschachtelungen die mir der Kürze halber in die Feder geflossen sind werden Sie nicht zu sehr abschrecken, und bleibe Ihr ergebener F. Engels

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287 Friedrich Engels an Hermann Engels in Engelskirchen London, Montag, 22. September 1890

Lieber Hermann. – Als Dein Brief vom 28/5 hier ankam, stand mir der [Bes]uch meines Dubliner Weinhändlers grade [bev]or, ich wollte ihn also behufs mündlicher Absprache abwarten. Zufällig aber kam der Mann erst Ende Juni, wo ich wegen meiner Abreise überbeschäftigt war & da vergaß ich Deinen Sherry, bis ich vor ein paar Tagen durch Wiederansicht Deines Briefs, & heute abermals durch Deinen neuen Brief daran erinnert wurde. Schaden habt Ihr dadurch nicht erlitten, die Reise in der heißen Jahreszeit hätte dem Wein kein gut gethan, & jetzt reist er jedenfalls sicherer. Ich schreibe sofort nach Dublin & werde sehn was zu machen ist. Einen guten Wein besorgt Euch Brett sicher, ich habe von den letzten guten Jahrgängen Bordeaux & Port wieder eine 50–60 Dtzd eingelegt; Sherry brauche ich nicht viel, aber auch da ist der Mann zuverlässig. Also baldigst Näheres. Ich war noch 4 Wochen in Folkestone am Kanal & befinde mich äußerst wohl & munter, wollen hoffen daß es dauert! Viele Grüße an Dich & die Deinigen Dein alter Friedrich 22/9/90.

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288 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 22. September 1890

Le Perreux 22 IX 90 Mon cher Engels,

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Demain mardi nous nous re´unissons pour re´gler l’affaire du congre`s. Vaillant pre´sentement a` Vierzon, n’a pu eˆtre convoque´, mais son concours est acquis aux de´cisions prises. – Je communiquerai votre lettre: je crois qu’il y a peu de choses a` ajouter, vous avez pre´vu les dangers possibles. Les Belges n’auront pas de difficulte´ a` accepter vos propositions, car c’e´taient a` peu de choses pre`s celles qu’ils avaient soutenues a` la confe´rence de la Haye: souverainete´ du congre`s pour ve´rification des mandats; c’est la` le point le plus important. Pour lancer le congre`s de 91, il serait important que la date et le lieu soient fixe´s a` Halle, si c’e´tait possible, avec ou sans le concours des Belges. Cependant il vaudrait mieux les avoir. On pourrait les inviter, ainsi que vous l’avez propose´ a` Bebel; mais on devrait e´tendre cette invitation aux autres partis ouvriers: s’il y a` Halle un nombre suffisant de de´le´gue´s e´trangers, rien ne sera plus facile que de re´gler l’affaire du congre`s. De cette fac¸on tout en e´tant oblige´ d’accepter la Belgique, on aurait l’air cependant d’avoir agi librement et apre`s e´tude de la situation. – Dans nos deux congre`s de Lille et de Calais, nous manœuvrerons pour que l’on se de´cide pour la Belgique et que l’on invite le Comite´ suisse de consulter les autres partis sur cette question. Nous aurons l’air de rien connaıˆtre de ce qui s’est passe´ a` Liverpool.

Vous avez e´te´ bien bon de re´pondre si longuement a` Caron. Son affaire est louche et pourrait bien eˆtre ainsi que l’Ide´e nouvelle un simple pre´texte to send round the begging box. C’est dans cette intention qu’il a fait une telle marmelade de noms, allant de Marx jusqu’a` Brousse. Ne re´pondez pas a` l’Ide´e nouvelle. Je regrette de leur avoir permis par mon silence de reproduire de mes articles; Deville leur a de´fendu de mentionner son nom. (Il a tre`s bien fait !) Je vous e´crirai demain apre`s la re´union. Bien a` vous, P Lafargue.

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288. Paul und Laura Lafargue an Engels · 22. September 1890

Merci pour le che`que. Love to Nimmy & to you & to Schorlemmer ! –– (LL) Aveling ne m’a rien e´crit au sujet de Lavigerie: mais ce qu’il y a de certain c’est que je n’ai signe´ aucune invitation. C’est un faussaire. Demain j’en parlerai a` Guesde; et nous saisirons de l’occasion pour exe´cuter publiquement le bonhomme.

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289 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Dienstag, 23. September 1890

Berlin W, Gr. Görschenstr. 22a. 23.9.90. Lieber Engels: 5

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Wir sind glücklich in der Reichshauptstadt angelangt und bereits eingerichtet. Liebknecht ist am Sonnabend hier eingetroffen, doch habe ich ihn noch nicht ˙˙ ˙ ˙ ˙ ebenso ˙˙ gesehen, wenig Auer. Wir haben hier Donnerstag die erste Conferenz. Es war sehr gut daß Du den Krakehlern eins auf den Kopf gegeben hattest, der Hieb hat gesessen. Wegen des internationalen Congreßes hatten schon vor einigen Monaten sich ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ neuerdings auch an Liebknecht. Letzterer war bis die Belgier an mich ˙gewandt, vor kurzem für die Schweiz, ich war geneigt mich von vornherein für Belgien zu erklären in Rücksicht auf die agitatorische Wirkung und zur Unterstützung der in Belgien im Gange befindlichen Agitation für das allg. Stimmrecht etc. Nachdem der engl. Gewerkschaftskongreß sich ebenfalls für Belgien erklärte müßen wir uns ebenfalls dafür aussprechen soll nicht eine abermalige Spaltung eintreten, die uns lächerlich machte. Ich bin daher der Ansicht daß wir auf dem Parteitag in Halle einen solchen Beschluß fassen und zugleich eine Resolution annehmen wonach als selbstverständlich angenommen wird, daß der Congreß in Sachen seiner Tagesordnung, der Mandatprüfung und der Geschäftsordnung souverain ist. Eine Art Conferenz in Halle zu veranstalten wäre gut u. leicht, denn neben den ˙˙ Franzosen u. Nieuwenhuis˙ ˙werden auch die Oesterreicher mit 3 oder 4 Mann ˙ ˙ ˙ vertreten sein. Aus der Schweiz ist zunächst niemand gemeldet, außer einigen Vertretern unserer eigenen Leute der Deutschen, man könnte aber eine Einladung an Wullschlaeger richten, daß er nach H. kommt. Sobald Du von den Franzosen Antwort hast willst Du sie einsenden, wenn Tussi käme so wäre das auch sehr gut. Es ist noch sehr zweifelhaft ob ich im Oktober nach London kommen kann. Ich muß Anfang Oktober bereits fort von hier und komme, eingerechnet die Zeit des Parteitags, kaum vor dem 18 wieder hierher zurück. Dann gilt es aber zunächst die neue Ordnung der Dinge einzurichten. Du siehst es wird also sicher November werden. Das ist ja schließlich auch nicht zu spät. –

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289. August Bebel an Engels · 23. September 1890

Hier sagt man der Kaiser müße die Seereisen seines Ohrenleidens wegen machen, das ihn in beständiger nervöser Aufregung erhalte. Merkwürdig ist daß er keine acht Tage ruhig in Berlin aushalten kann. Ede hat sich im „S. D.“ sehr gut gehalten, sein Eingreifen war namentlich durchaus taktvoll. Mit den besten Grüßen von uns Allen ˙˙ D. A Bebel.

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290 Friedrich Engels an Jakins in London London, Dienstag, 23. September 1890 (Entwurf)

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In pursuance of the conversation I had with you, I now beg to say that I am willing to take the house 122 Regents Park Road on a three years agreement (similar to the one I previously had with the late Marquis de Rothwell) & at the rent of £ 60.– a year on the condition that the landlord does for me what he would be required to do for a new tenant. Besides smaller repairs, such as papering &c, which might be necessary by next spring, there are two points which in my opinion come under that class, viz. 1) a new & efficient kitchen range to replace the present one which is 20 years old & quite worn out; 2) efficient arrangements for a hot & cold water bath, the present bath having only cold water to turn on. I hope these demands will not be found unreasonable & remain Dear Sir &c

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291 Friedrich Engels an Strutt & Parker in London London, Dienstag, 23. September 1890 (Entwurf)

Strutt & Parker 23/9/90 Dear Sirs In pursuance of a conversation I had yesterday with Mr Jakins, I wrote to him a letter stating what repairs & alterations I should expect to be made in the house occupied by me before signing a new three years agreement. This letter he promised to lay before you. As this question cannot well be settled before the impending quarterday, Mr Jakins found it quite natural, that I should give you notice to quit, so as to protect myself. This notice I beg to enclose. It is however perfectly understood that I am willing to withdraw such notice again as soon as we shall have satisfactorily settled the conditions & terms of the new agreement. Trusting that this will not be a matter of difficulty I remain &c Gents I hereby give you notice that on the 25th day of March next (1891) I shall quit & deliver up possession of the house & premises I now hold on the Estate of the late Richard R. Rothwell Esq. & situate at 122 R. P. R. N. W. in the Parish of St Pancras. Dated this 23d day of Sept. 1890.

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292 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 23. September 1890

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Ich sende heute meinen Jahrestribut an Lenchen, – den Volkszeitungskalender. Schlueter hat sich große Mühe damit gegeben, aber nicht erreicht was er wollte. ˙ ˙ ˙ mir leid, daß Tussy sich in Liverpool Schläge geholt hat. She should Es˙ ˙thut bide her time. – Dein Brief an die Sächs. Arbterztg. sitzt auch bei Herrn Grunzig, dem zu Gefallen Schl. ihn in der hiesigen Volksztg abgedruckt hat. ˙˙ Hoffentlich hat das Strandleben Dir wohl gethan. Dein F. A. S. Hoboken, 23 Septbr 90. F. Engels, Esqu. 122 Regents Park Road London, N. W. England.

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293 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 24. September 1890

Le Perreux 24/IX.90 Mon cher Engels, Nous nous sommes re´unis hier, Guesde et moi nous avons donne´ connaissance de vos lettres; et unanimement et sans he´sitations nous sommes revenus sur notre choix pour le sie`ge du Congre`s international et avons de´cide´ de proposer la Belgique. – Guesde ira a` Halle et apportera nos de´cisions, ainsi que les re´solutions des congre`s de Lille et Calais, qui ratifieront notre de´cision. – Nous avons re´solu de ne re´clamer que la souverainete´ du congre`s pour ve´rifier les mandats, fixer le programme des questions a` discuter et de´terminer le mode de votation, qui devra eˆtre par teˆte et non par pays, comme les belges l’avaient propose´ a` Paris. Tout bien conside´re´ la Belgique vaut mieux que la Suisse. – En ce moment ce qu’il faut c’est entraıˆner les trades unions dans le mouvement socialiste: la Belgique e´tant plus pre`s, un plus grand nombre de de´le´gue´s anglais pourront se rendre au congre`s. – En e´lisant la Belgique nous montrons notre de´sir d’e´tablir l’entente internationale; et comme les Brousse & Co ne viendront pas a` leur propre congre`s, nous remporterons une victoire qui ne nous aura rien couˆte´ ! Le mouvement va tre`s bien en province et a` Paris; la de´composition boulangiste commence a` produire ses fruits. De tout coˆte´ on sent le besoin de s’organiser et c’est nous qui formerons le noyau de la nouvelle organisation. Notre journal a e´te´ bien accueilli; de´ja` nous avons plus de 200 abonne´s, et leur nombre ira croissant, si on en juge par les lettres de fe´licitations et encouragements rec¸ues. – Le journal est imprime´ a` Lille dans l’imprimerie du parti dans des conditions extraordinaires; le premier mille nous couˆte 35 fr. et les autres 12 fr. – Dans ces conditions nous avons grande chance de vivre. Amitie´s P Lafargue Recevez-vous le journal ? Guesde a e´crit a` Aveling au sujet de Lavigerie.

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My dear General, On the heels of this epistle you will receive, I hope, a box full of pears! These pears I can assure you have been a source of anxiety. They have ripened in the most ridiculous way: daily we have had to throw away a lot & yet there was never a decent dozen of them ripe “all at once”.–– As it is we send them in an unripe state, but under Nym’s severe supervision they are sure to behave themselves & sooner or later turn out fit for eating. A few of them will have to be buried at once: there’s a big brown fellow who will want doing away with badly by the time he reaches you. Good bye to you, my dear General, & tell Nym I’m savage every time the sun shines,––& that has been all day long for this long while––when I think of the miserable drip-drip time of it she had here! Your Laura. Me´me´, who takes as great an interest as ever in the Generals “nas”, left us on the 4th, since which date we have not, of course, had any sort of news of her, seeing that she is with “the father”.

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294 Friedrich Engels an Jules Guesde in Paris London, Donnerstag, 25. September 1890

Londres le 25 Juin 1890 Mon cher Guesde Merci de votre rectification – j’avais en effet fait erreur a` l’e´gard de la re´solution du Congre`s sur la convocation. Mais la re´solution telle qu’elle a e´te´ prise, suffisait pour nous condamner a` l’inaction tandis que les autres agissaient. J’ai e´crit a` Bebel quant aux Suisses. Je lui ai propose´, comme il est d’accord avec nous pour la confe´rence de Halle, d’inviter tout le monde, y compris les Anglais, pour e´viter les plaintes qui se sont produites apre`s La Haye 1889. Les Allemands ont l’habitude de se passer assez aise´ment des formes, ce qui en affaires internationales ame`ne toujours des malentendus sinon des occasions des querelles, et je le leur ai rappele´. Si Vaillant pouvait aller avec vous a` Halle, ce serait tre`s avantageux, surtout apre`s ce que m’e´crit Bonnier, c. a`. d. qu’il doit retourner imme´diatement en Angleterre et probablement ne pourra vous accompagner. J’espe`re que ou les deux Aveling, ou du moins Mme Aveling pourront y aller. Bien a` vous F. Engels

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295 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 25. September 1890

London 25 Sept. 1890 My dear Laura

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To-day being your birthday will be duly celebrated with a good bottle of wine & your health drunk with musical honors––and such musical honors! Nim, Schorlemmer & myself, three splendid musicians! Many thanks for the pears which Nim is expecting with the utmost anxiety. That “brown fellow” of yours shall be settled before he knows where he is, as for the rest, Nim will certainly take care that their Lebenslauf ist angefangen und beschlossen in Der Santa Casa heiligen Registern. To-day the last No of the Socialdemokrat is published. I shall miss that paper almost as much as the Neue Rheinische Zeitung. Ede is going to ˙ ˙ ˙ for ˙Stuttgart; ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ Fischer, the best of the remain here, Tauscher left yesterday lot after Ede, will settle in Berlin; the unspeakable muddler Motteler & his elegantly-bred missus nobody knows what to do with, so I suppose they will stay here for some time longer, though we could miss them very well––only, unfortunately, everybody else seems to be in that same position. Bebel & Liebknecht have now both removed to Berlin. In case urgent ˙ ˙ ˙ ˙ ˙them might become necessary, I give you Bebel’s communication with address, the only one I have: A. B. Grossgörschenstr. 22a Berlin. Fine scandals in Berlin amongst the nobility––one shot himself while quarreling with a rat de ballet, another for debt & swindling, a third in prison for everlasting rows & delirium tremens, a chief officer––Major–– of the Unterofficiersschule at Potsdam shot himself, & even the Kreuzzeitung telling the nobility that they are close upon the deluge which they expect only “apre`s nous!” Could not be better! Ever yours F. Engels

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296 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 25. September 1890

Londres, le 25 Sept 90. Mon cher Lafargue Bebel m’e´crit qu’il est d’accord avec nous pour la Belgique. Maintenant je l’ai engage´ d’envoyer des invitations pour une confe´rence pre´liminaire «pour discuter les moyens pour e´viter, pour 1891, la re´pe´tition de ce qui s’est passe´ en 1889, c’est-a`-dire de deux congre`s ouvriers inde´pendants & rivaux»; d’inviter tout le monde, Belges, Suisses, les deux partis Danois, Sue´dois, Italiens (avez-vous des adresses ?), Espagnols & Anglais (le Parliamentary Committee, la Eight Hours League, la S. D. Federation & la ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ Socialist League). ˙Quant ˙˙ ˙ ˙˙˙˙ a` votre re´solution de n’insister que sur la souverainete´ du congre`s pour les 3 questions de ve´rifications des mandats, fixation de l’ordre du jour et du mode de votation, il me paraıˆt que vous vous mettez la` sur un terrain assez dangereux. C’est accepter, pour toutes les autres questions, les re´solutions des congre`s possibilistes pre´ce´dents, et soulever, pour chaque cas qui se pre´sente, un nouveau de´bat pour se de´barasser de ces entraves. C’est reconnaıˆtre la se´rie des congre`s belge-possibilistes, y compris la caricature de Londres 1888, comme la seule vraie repre´sentation internationale des ouvriers, et de´grader le noˆtre de 1889 au roˆle d’un acte de re´bellion de´pourvu et de fondement et de succe`s. Voyez donc ce que vous feriez. Vous voulez proposer, sans autres re´serves que celles faites ci-dessus, qu’on vote par teˆtes. Et au dernier congre`s possibiliste on admettait trois de´le´gue´s pour chaque socie´te´. Il est vrai que ces trois n’avaient qu’une voix au vote; mais, a` moins de perdre tout le temps du congre`s en appels nominaux, comment ve´rifier cela ? Qui donc empeˆcherait les Belges d’envoyer trois de´le´gue´s pour chaque petite socie´te´ et de dominer le congre`s par suite de votre propre proposition ? Et combien de fois arracheriez-vous aux hurlements du congre`s impatient l’appel nominal ? Vous vous grisez, il me semble, de la de´baˆcle possibiliste; n’oubliez pas que d’ici en Septembre 1891, quand probablement le congre`s se re´unira,

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il peut se passer bien des choses. Pourquoi laˆcher des positions importantes que nous occupons aujourd’hui ? d’ici-la` nous pourrions bien en avoir grand besoin. Rappelez-vous qu’il y a des possibilistes un peu partout, & pas le moins en Belgique. Je n’ai pas rec¸u votre journal, a-t-il donc paru ? Amitie´s F. Engels

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297 Jules Guesde an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 25. September 1890

Paris le 25 septembre Cher maıˆtre et ami J’ai vu Lafargue et re´uni le Conseil national qui a e´te´ unanime a` conclure dans le sens de votre lettre a` Bonnier. Nous pre´senterons au Congre`s du Parti le 11 octobre une re´solution en faveur du prochain Congre`s international en Belgique et nul doute qu’elle ne soit adopte´e. Il en sera de meˆme, je l’e´spe`re, au Congre`s des syndicats qui se tiendra a` Calais du 13 au 19. Je compte enfin, comme le demandait Liebknecht, aller a` Halle avec le mandat du Congre`s de Lille. Mais je ne pourrai arriver que le 13. Nous nous entendrons alors sur les conditions a` poser aux Belges. Pour notre part, pourvu que le Congre`s soit maıˆtre: 1o de la ve´rification des pouvoirs; 2o de son ordre du jour; 3o de son mode de votation, nous serons pleinement satisfaits. Et comme c’est sur cette triple base que s’est organise´ le Congre`s de Paris, sur la demande des belges euxmeˆmes, il n’y a pas a` pre´voir de difficulte´s. Pour la Commission exe´cutive de Baˆle-Zurich, il y aura un moyen de sauvegarder son amour-propre et ses pre´rogatives, ce sera, quand les franc¸ais, les allemands, les autrichiens, etc., se seront prononce´s, de la charger de notifier la de´cision a` Bruxelles et d’en confier l’exe´cution mate´rielle au Parti ouvrier belge. Votre tout de´voue´ Jules Guesde, 14 avenue de Montsouris

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298 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 26. September 1890

London 26th Sept 1890 My dear Löhr

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Yesterday we celebrated your impending birthday by a bottle of good claret, & today we shall drink, in honour of the real event, a bottle of champaign & wish you many happy returns of the day, hoping that you have only arrived nel mezzo del cammin della tua vita. As a birthday present herewith your share in Meissner’s remittance of £ 45.–, just to hand, in shape of a cheque for £ 15.– it comes very appropriate! The last No of the S. D. is creating a stir here––Edward yesterday had a long extract in the Daily Chronicle, & is to interview EBernstein for Monday’s Star (with photograph). Meissner has not yet sent the account, only the remittance, so further particulars must be delayed. Love from Nim Schorlemmer & yours ever F. Engels Next time you come here you will be able to have a hot bath in the house. The old Marquis died some time ago & the estate has gone into the hands of other agents, so I posais la question de cabinet & gave notice unless a new kitchen range & a new bath with hot water arrangements was put in. Today the people have been here to look at the premises & I am informed that these demands of mine will be complied with. Of course there may be some little difficulty yet, but from what I hear I believe that I have carried my point. The box of pears has not arrived yet, up to 3 p.m. today but very likely it will be here before dinner.

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299 Michael Maltman Barry an Friedrich Engels in London London, Samstag, 27. September 1890

Sept. 27. 1890 Dear Engels, I send you herewith a copy of my small book on the Hours of Labour. I am somewhat timid about sending it to you, as I fear it must to you betray great ignorance & incapacity; but you used to be very indulgent towards my shortcomings, and I hope you will find something in “The Labour Day” to approve. Now that Marx is gone, you are the man whose approbation I most desire. Yours faithfully M. M. Barry

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300 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 27. September 1890

London 27 Sept 1890 Lieber Sorge

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Deine beiden Briefe vom 10 cr. hier. Heute habe ich den üblichen Zeitungen einige Ex. der letzten No des Sozialdemokrat beigelegt, Du wirst vielleicht gern einige extra Ex. dieser historischen No haben. Wegen Schewitsch wird Deine Nachricht wohl richtig sein. Als er hier durchkam, fiel er bei einem Meeting Tussy in die Hände & erzählte ihr man habe ihm gesagt ich hätte mich sehr bösartig über ihn ausgedrückt, deßwegen ziehe er vor mich nicht zu besuchen. Ich schrieb dies dem edlen Jonas aufs Kerbholz – es kann aber auch bloß Ausflucht des bösen Gewissens gewesen sein. Es ist die alte Geschichte so vieler Russen: une jeunesse orageuse et une vieillesse blase´e, wie Einer von ihnen es bezeichnet hat. Der Grunzig ist Belletrist. Und die rebellischen Studentchen in Deutschland sind auch Belletristen (mehr triste als belle), die die ganze Literatur revolutioniren wollen. Das erklärt die ganze Geschichte mit dem V. Z. Artikel, die mutual assurance Co. dieser Herren umfaßt eben auch Grunzig. Wenn man übrigens einen solchen Namen hat wie Grunzig oder Greulich, so thut man am besten sich begraben zu lassen. Ich habe den halben August & September in Folkestone bei Dover zugebracht & diese Nachkur nach der Nordkapreise ist mir sehr gut bekommen; ich bin wieder frisch & aufgelegt, habe aber auch enorm viel zu thun – es wendet sich jetzt alles an mich. Die Kongresse werden jetzt Manches klären: Lille 9 Okt., franz. parti ouvrier (unser), Calais 13 Oct. ditto Gewerkschaften; Halle 12 Okt. wird der wichtigste. Es ist nämlich folgendes im Werk (vertraulich für Dich, in die Presse darf davon noch absolut nichts). Die Brüsseler: von den Possibilisten mit Berufung ihres Kongresses ˙ ˙˙˙˙˙Li ˙ ˙verpooler Trades Union Kongreß nach Belgien beauftragt, haben ˙den ˙ ˙ ˙ ˙ sind die Engländer engagirt, & eingeladen, der begeistert annahm. Dadurch

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uns ist eine gewisse Zwangslage gemacht. Ich habe also nach Beratung mit den Hiesigen zuerst die Franzosen, dann die Deutschen aufgefordert, eine Vereinigung der beiden 1891er Kongresse anzubahnen falls anständige Bedingungen erhaltbar: Souverainität des Kongresses, die uns voriges Mal von den Poss. verweigert wurde, Berufung durch beide Mandatare beider Kongresse von 1889, vorherige Regelung des Beschickungsmodus & noch einige Kleinigkeiten. Franzosen & Deutsche haben zugestimmt. Da nun ohnehin nach Halle verschiedne Repräsentanten ausländischer Parteien gehn, habe ich eine dort abzuhaltende Vorkonferenz vorgeschlagen um die Präliminarien zu regeln. Auch dies ist im besten Zug. Ich vermuthe nun daß trotzdem allerlei Simpeleien dort gemacht werden, Tussy wird wahrscheinlich dort sein & Manches verhindern, allein die Leute sind so gushing in internationalibus, wo dies grade total unpassend, daß doch die Sache anders gehn mag als ich sie eingeleitet. Wenigstens rechne ich darauf. Aber ich denke es geht doch gut. Erstens haben wir 1889 den Kleinen (Belgiern, Holländern &c.) durch unsern eignen Kongreß gezeigt daß wir uns nicht von ihnen auf der Nase tanzen lassen & sie werden sich das nächstemal mehr in Acht nehmen. Zweitens aber scheinen die Possib. in voller Auflösung. Brousse der die Clique der possib. Stadträte & durch sie die Arbeitsbörse dirigirt, ist in offnem Krieg mit Allemane, der die Pariser Fachvereine dirigirt &, was das Bezeichnendste, für Frieden mit unsern Leuten ist. An Stelle des abgekratzten Joffrin will Allemane in die Kammer, Brousse will Lavy oder Ge´ly hinein haben. Der Krieg ist so arg, daß Brousse nicht gewagt hat bei Joffrins Begräbnis zu erscheinen, wo Allemane das große Wort führte. Auch mit ihren paar Anhängern in der Provinz sind sie im Krakehl. Und endlich hat ihr Auftreten als Gegner der 1. Mai-Demonstration ihnen bei den Belgiern & Holländern enorm geschadet. Brousse & Allemane bekriegen sich auch in ihren Blättern ganz öffentlich. Die Verhältnisse liegen also so günstig – abgesehn von der enormen moralischen Stärkung die die Deutschen durch ihren Wahlsieg & dessen Folgen: Sturz Bismarks & des Soz.Gesetzes, erobert haben & die sie ganz direkt zur ausschlaggebenden Partei Europas macht – daß wir selbst bei fehlerhafter Taktik zu siegen hoffen dürfen. Entweder gelingt die Fusion auf rationeller Basis, & dann beherrschen die Deutschen & franz. Marxisten den Kongreß, oder aber die Poss. & ihre paar Anhänger werden so augenscheinlich ins Unrecht gesetzt, daß sie auch von den Engländern (den neuen Trades Unions) verlassen werden; denn dann könnten wir wieder hier eine Campagne führen wie 1889 im Frühjahr & mit noch besserm Erfolg.

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Es ist mir sehr lieb daß Du für die N. Z. schreiben willst. Genügen Dir die Honorarbedingungen nicht – Du mußt natürlich amerikanische Honorare haben, so stelle ungenirt Deine Forderung & verweise die Leute an mich. Die N. Z. kann ein sehr wichtiges Organ werden. Bernstein wird von hier schreiben, Lafargue von Paris, Bebel die Wochenübersicht über ˙ ˙ ˙ er das brillant kann hat er in der Wiener Deutschland machen &˙ ˙daß Arb.Zeitung gezeigt. Ich habe mir nie über deutsche Vorgänge eine feste Meinung gebildet, ehe ich Bebels Korrespondenz darüber gelesen. Die ˙ ˙ ˙Thatsachen, ˙ klare objektive Auffassung der ohne sich durch eigne Vorliebe leiten zu lassen, war meisterhaft. Der Soz.Demokrat läßt ein sehr grosses Loch. Indeß dauerts keine 2 Jahre so haben wir offnen Krakehl mit Wilhelmchen & dann kann’s lustig werden. Grüße von Schorlemmer der hier ist & von mir an Dich & Deine Frau. Dein F. E. 4. Auflage Kapital I erwarte ich in Kurzem, Du erhältst ein Ex. sofort. ˙ ˙ ˙ dürfte Futter für die Volkszeitung sein. Die Vorrede

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301 Laura und Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 28. September 1890

Sunday 28 Septbr. 90 My dear General, A thousand thanks for your kind letter & cheque & for having drunk champagne & claret “a` mon intention”. And that reminds me of the unforgettable Mai-trank you brewed for us when I was last in London, & a second edition of which, let’s hope, you’ll brew for us again next year, with or without the forbidding Madame Julius Caesar Motteler, to whom I owe “une pinte de bon sang”. I am happy to think that “Das Kapital” is becoming popular in Germany: daily events are like a living commentary to the book & will help the learned & unlearned to the understanding of it. You will have received a letter from Guesde; he is very anxious to go to Halle & that’s right enough, but what he proposes to do there without the faintest knowledge of German I don’t exactly see. Duc Quercy also goes as reporter, accompanied by an artist of the “Illustration”, who is to make sketches & portraits of men & manners at the Congress. Of course, Duc doesn’t know a word of German either. The Joffrin succession bids fair to lead to sore scrimmage & the Possibilists are already beginning to soap their dirty linen in public, but the French public is long-suffering & can bear much in that line. After, no less than before, the Boulangist adventure & the revelations anent the fripouille that made up the entourage of the Duchess d’Uze`s’ favourite, it takes a great deal of low scoundrelism to shock “nous autres Franc¸ais et patriotes”. As Rochefort says: “les temps he´roı¨ques sont passe´s et les temps crapuleux sont venus”, & the spirituel Rochefort is himself a product of those times. I shall miss the Sozial Demokrat immensely; it was unique in its way & cannot be replaced, & I shall miss your own pen or rather your sword that fought so cheerily in its pages! Paul continues to board & lodge his “ver solitaire”. He calls it his Walt Whitman; but as he has grown very thin since this intruder took up his abode inside of him, I am beginning to feel somewhat anxious on the subject. The Avelings shall have their invitation. Your Post-card just to hand. The box ought to have reached you on Thursday morning.

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Love to you all, my dear General, & beg Schorlemmer to wait a day or two for me to write to him for, to-day, Sunday, we have got folks for dinner & I’m extrabusy. Your Laura. Ci-inclus l’invitation pour les Aveling. Le manuscrit pour Sonnenschein sera preˆt dans quelques jours; j’e´crirai a` Aveling en le lui envoyant. Je n’ai pas l’adresse de Sorge. Il est bien ennuyeux que la caisse ait mis tant de temps a` vous parvenir. Les peˆches ont duˆ eˆtre abıˆme´es, ainsi que les flageolets; je tenais a` ce que He´le`ne les gouˆtaˆt dans les meilleures conditions possibles afin qu’elle vıˆt comme sa plantation avait re´ussi. Amitie´s a` Chloromayer et bien a` vous P Lafargue Dans le Congre`s que les possibilistes tiendront a` Paris, ils annoncent l’exe´cution de Brousse, Lavy, Paulard etc. comme trop autoritaires. Ce sera droˆle.

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302 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 29. September 1890

Berlin W, Gr. Görschenstr. 22a d. 29.9.90 Lieber Engels. In Sachen der internationalen Conferenz beriethen wir heute. Wir konnten uns ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙Einladungen ˙˙ nicht entschließen weitere ergehen zu laßen, schon um nicht den Schein zu erwecken als wollten wir mit der intern. Vertretung unserm Parteitag eine besondere Gloriole geben. Auch ist die Zeit entschieden sehr vorgeschritten. Außer Oesterreichern, Franzosen u. Holländern, werden also noch ein Belgier u. ein Schweizer Comite´mitglied erscheinen. Letzteres hatte schon vorige Woche ˙˙ ˙ beschloßen sich für Belgien zu erklären um keinen Bruch herbeizuführen. Ich denke mit dieser Vertretung wird es wohl möglich sein eine Verständigung über alle Fragen in unserm Sinne herbeizuführen. Ich halte für ausgeschloßen daß ähnliche Dinge wie voriges Jahr in Paris passiren. Die Situation ist doch ein wenig anders. Ob man nach Köpfen oder nach Nationen stimmen will, halte ich für ziemlich unwesentlich, bald hat die eine bald die andere Abstimmung ihre Vortheile. Es ist allerdings wunderbar daß der berl. Stadtrath eine Straße nach einer Schlacht nennt in der die Herren Preußen Klapse bekamen. Seltsam. Seitdem ich aus Preußen weg bin d. h. seit meinem 18 Jahr habe ich mit Militair u. Kaserne nichts mehr zu thun gehabt, kaum komme ich wieder nach Preußen, gerathe ich auch in die unmittelbare Nachbarschaft einer Kaserne. Zum Glück ist sie nur provisorisch. Dem armen Ede ist in der letzten Nr. des „Soc. Demokr.“ ganz wehmüthig zu ˙ ˙ verdenke. Er hat das Blatt wacker Muthe geworden, was ich ihm wahrlich nicht redigirt und aus ihm gemacht was gemacht werden konnte. Morgen Nacht 12 Uhr bei Anbruch des 1 Oktober habe ich eine Rede zu halten. Ist mir auch noch nicht passirt, daß um diese Stunde eine Versammlung eigentlich beginnt. Uebermorgen verreise ich auf 8–10 Tage. Mit den besten Grüßen ˙˙ Euch Allen D. A Bebel. Sieh zu daß Tussi nach Halle kommt! ˙ ˙˙˙

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303 National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 2. Oktober 1890

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Dear Sir I thank you very much for having written to the French Workingmens Society to see if they can send a Sailor to represent the French Seamen at our Annual General Meeting. I am Yours faithfully J. H. Wilson General Secretary

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304 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 3. Oktober 1890

3rd/Octbr/90/ My dear Engels, Paul has had to go round to the Nouvelle Revue, wherefore I write you in his name & stead.––It is unfortunately impossible at such short notice to send a “seaman” from France to the Glasgow meeting. Something might possibly have been done if we had had earlier intimation of what was wanted. Our people have no relations with the Havre: Calais is nothing to the purpose:–– Marseilles & Bordeaux alone could have supplied the representative wanted. We had a Captain Dupont from Bordeaux at our Paris Congress & a delegate to Glasgow might have been obtainable––had we known in time.––It is a great pity. Forgive me, my dear General, for being extra-brief,––but I’ve got the devil himself in the household this afternoon!!–– Your Laura.

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305 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 4. Oktober 1890

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In meinem letzten Brief vergaß ich den Umstand zu erwähnen daß ich an ˙˙ ˙ ˙ ˙ Romms eine Empfehlung an Dich gegeben, was Dir als undie beiden passend vorkommen dürfte. Es war reine Vergeßlichkeit. Die Romms – ihn kenne ich nicht persönlich – haben in Berlin in der besten Parteigesellschaft verkehrt & volles Vertrauen genossen, & werden Dir jedenfalls über dortige Verhältnisse viel Interessantes erzählen können. Wie gesagt, sie ist Schwägerin von Ede Bernstein, der sich als Redakteur des S. D. als ˙ ˙ literarische einer der besten der jüngeren Generation erwiesen, ˙&˙ ˙ ˙ihre Arbeit als Vermittlerin zwischen der fortgeschrittnen russischen Literatur & den Deutschen ist sehr anerkennenswerth. – Alles Persönliche, wie, wo & warum nach dort, werden sie Dir erzählt haben. Der Socialiste erscheint wieder – ich schreibe an Lafargue daß sie ihn Dir schicken. Die Kongreßangelegenheit ist in bestem Fluß. Zwischen Deutschen & Franzosen volle Einigkeit. Guesde, Nieuwenhuis, Tussy, ein Belgier & ein Schweizer gehn am 12. nach Halle & werden wohl alles ordnen. Die Possibilisten sind in offnem Krakehl – nächste Woche wirds bei denen ˙˙˙˙˙ ˙ ˙ kommen. zum Klappen Nim dankt für den Kalender, sie Schorlemmer & ich grüßen Euch ˙ ˙ ˙ ˙˙ beide bestens. Dein F. E. 4. Octbr 1890. Von den Schlägen Tussys wissen wir hier nichts – what does it mean?

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F. A. Sorge Esq Hoboken N. J. U. S. America

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306 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Sonntag, 5. Oktober 1890

Lieber Kautsky. Willst Du gef. besorgen daß mir noch ein 2tes Ex. der ˙˙ ˙ ˙ ˙ Z. geschickt ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ Neuen wird, es ist für unsern Freund Sam. „am fernen, fernen Niger Wo er noch jagt den Löwen, den Tiger“ & wenn ich No 1 gleich erhalte geht sie nächsten Freitag schon ab. Dietz kann es mir gegen meine Honorare verrechnen. Viele Grüße auch von Jollymeier. Dein F. E. 5/10/90. Herrn K. Kautsky Rothbühlstr. 145/II Stuttgart Germany

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307 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Dienstag, 7. Oktober 1890

L. 7.10.90. Lieber Liebknecht

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Volksblatt 1–4 & 7 Ex. von 5 dankend erhalten, ditto Brief. Mitarbeiterschaft am Volksbl. geschieht gern wenn Zeit erlaubt & Gelegenheit sich findet. Ich muß aber jetzt wieder alle Journalistik auf eine Weile einstellen, der III Band muß endlich fertig werden. Wie bei der N. Z. & anderswo, stelle ich zwei Bedingungen: 1) daß an, von mir unterschriebnen, Artikeln nichts geändert wird ohne meine Zustimmung, 2) daß die Honorare, if any, als mein Beitrag an die Parteikasse bezahlt werden. Was am Volksbl. zuerst zu beseitigen ist, ist der ertötend langweilige Ton der da eingerissen ist. Das Hamburger Echo ist ein Weltblatt daneben, da sind nur die Leitartikel trocken, sonst herrscht ein großstädtischer weltmännischer Ton, aber das Volkbl. wird größtentheils im Schlaf geschrieben & Lenchen behauptet die Sankt Johann Saarbrücker Zeitung sei interessanter. Diesen Eindruck der Einschläferung hat das Blatt von jeher auf uns gemacht. Det wollen die witzigen Berliner sind? nanu!! Also bring etwas Leben in die Bude, sonst macht unser Staatsanzeiger dem preußisch-deutschen eine gar zu unbillige Konkurrenz – den dürfen wir uns doch nicht zum Vorbild nehmen. Ich schicke Dir außer fraglichen Blättern noch ein Daily Chronicle mit ˙ ˙ ˙ letzten ˙ dem wahren Zusammenhang˙˙des gas scares wo einige diensteifrige Generale 700 Mann Truppen nach Becton (östlich von East End an der Themse) schicken wollten. Du kannst daraus sehn wie das Blatt ist. Es freut mich daß Ihr Euch in Berlin so rasch einwohnt. Tussy wird wohl von Lille mit Guesde zu Euch kommen. Dein FE Herzl. Grüße an Frau & Kinder Herrn W. Liebknecht Kantstraße 160 Charlottenburg-Berlin Germany.

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308 John Darbyshire an Friedrich Engels in London Manchester, Samstag, 11. Oktober 1890

October 11th 1890. Dear Citizen Engels. To my agreeable surprise I beheld a copy of our lamented & esteemed citizen Karl Marx’s work “Capital” in a branch Library, here, & at once applied for its use, the lady remarked, that it being a new work I must be very careful of it, which I at once assured her. On opening it I found I was the first person to have it out of the Library & the delight I felt was unspeakable. I shall peruse it carefully & digest the Truths it contains. 2. Having His portrait in my kitchen, overlooking all my family, they have become so accustomed to it that he is called by the youngest our Grandfather & all have the greatest regard for him, the respect I entertain towards him cannot be estimated, & I feel it my duty to spread the knowledge of his influence amongst working men at all times, whenever possible. You cannot conceive the delight I should experience if I had a copy of his Work so that my children shall be influenced by its teachings & adopt the Principles therein. 3. Dear Engels I am too poor to buy one & if you have a spare copy I shall consider it the greatest honour you could bestow upon one that knew him & loved the Truths that he lived for, & should the time arrive for action believe me I am ready to fulfill my duty no matter what it is. Hoping you are in good health also his daughter Eleanor, for whom I have the kindliest regard. I remain yours fraternally Citizen John Darbyshire 9 Olive Street Lower Broughton Manchester.

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309 Michael Maltman Barry an Friedrich Engels in London London, Montag, 13. Oktober 1890

Oct. 13. 1890 Dear Engels,

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I have seen Commonweal. Of course I knew beforehand that I was very wicked, but I had no idea (nor, I am sure, had you) that I was so clever. Do you know anything about “N.”, the writer of the article? I don’t remember having ever heard of him. You won’t forget to let me have your judgment on “The Labour Day”? Yours faithfully M. M. Barry

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310 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Halle, Montag, 13. Oktober 1890

Halle, 13/X 90. Lieber General! Ich denke, es wird Dich interessiren, neben den Depeschen, die Du schon gelesen, einige Worte von mir über den Kongreß zu hören. Das Lokal war natürlich zu klein; bequem faßte das Lokal eigentlich nur 250 Personen, das Comite´ rechnete auf 350 u. nun sind gestern Abend schon über 400 Delegirte anwesend gewesen. So kam denn seitens eines Hamburger Delegirten am Schluß der gestrigen Sitzung auch schon der Antrag, der eigentliche Saal sollte ausschließlich für die Delegirten reservirt werden. Die Abgeordneten u. andere Leute, die im Grunde genommen nichts zu thun hätten, könnten sich ja in den Seitengallerien aufhalten, während für Publikum u. Federvieh die obere Gallerie angewiesen werden könnte. Die Oeffentlichkeit des Kongresses ist also die des deutschen Gerichtsverfahrens; wie dort bei allen wichtigen Prozessen der Zuschauerraum für Zeugen etc in Anspruch genommen wird, so hier für die Delegirten. Die Stimmung des Kongresses ist zweifellos gegen allen Krakehl; die Anträge der Berliner, zu jedem Punkte der Tagesordnung, für welchen ein Abgeordneter als Referent bestellt sei, aus der Reihe der Opposition durch den Kongreß einen Correferenten zu ernennen, wurden sofort abgelehnt, u. zwar nicht blos wegen der faktischen Unmöglichkeit des Antrages. Bei der Mandatsprüfungskommission wurde Werner (Berlin) glänzend abgewiesen, überhaupt nur ein Berliner gewählt, trotzdem die Berliner mit Hilfe einiger Provinzler die Taktik verfolgten, sich selbst gegenseitig vorzuschlagen. Werner erhielt nur ca. 30 Stimmen, obgleich diverse Gerechtigkeitsmeier, worunter namentlich ein paar Schwaben (Kittler, Heilbronn) für ihn eintraten u. stimmten. Die Berliner Delegirten werden alle Welt überraschen durch ihre – Unbedeutenheit; leidet wahrscheinlich der Kongreß im Anfang sehr darunter, daß die Mehrzahl der Delegirte Neulinge sind, die mit Gang der Verhandlungen u. Gebräuchen der Geschäftsordnung nicht vertraut sind, so wird zu dem hier bei den Berlinern, nach gestern Abend zu urtheilen, noch seichte Geschwätzigkeit uns manchmal zur Verzweiflung u. – zahlreichen Schlußanträgen bringen. Ein glücklicher Anfang zum Stellen u. eine prächtige Neigung zum Akzeptiren solcher in der Vorversammlung berechtigt zu den glänzendsten Hoffnungen.

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Liebknechts Eröffnungswort war sehr kurz, er hatte aber nicht die glücklichste Stunde; die Tagesordnung wurde nach Vorschlag der Fraktion angenommen, ebenso die Geschäftsordnung. Von Fremden sah ich Scherrer aus der Schweiz, Branting aus Stockholm, Nieuwenhuis stieg in Hannover in unser Koupe´ – die andern werden wohl erst heute eintreffen. Unsere Reise war prächtig, bis wir auf – deutsches Gebiet kamen, in Emmerich verwandelte sich unser Courierzug plötzlich in einen Bummelzug erster Güte, so daß wir in Oberhausen (Wesel) um 3 Uhr ausstiegen u. uns 4 Stunden daselbst „amüsirten“, bis um 7 Uhr ein Schnellzug [uns] nach Hannover brachte, woselbst wir 11 Minuten nach unserem Bummelzuge ankamen. Nach einer abermaligen Pause von 31/2 Stunden in Hannover trafen wir Sonntag früh statt Samstag Abend in Halle ein. Ueber besonders Bemerkenswerthes am Congreß werde ich Euch – (Da Du Ede doch gelegentlich triffst, kann ich mir das Schreiben an ihn ja sparen) – auf dem Laufenden halten; sein Schwager Bam ist ebenfalls hier, u. zwar als Vertreter des Wahlkreises, in dem der Antisemit Werner gewählt wurde. Ebenso ist Paradies aus Berlin hier, aus Wien Adler, Pokorny, Hanser (der sich sehr gebessert habe); die beiden Braun, von denen der jüngere an der Sächs. Arb. Zeitung. Mit herzlichen Grüßen von hier an Dich u. „Nimm“ Dein R. Fischer

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311 Henry Engel an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 14. Oktober 1890

London den 14. Oct. 90. Geehrter Herr F. Engels! Werden gütigst verzeihen, wenn ein Genosse es wagt, Sie mit einer Bitte zu belästigen. Ich bin auf der Reise nach Liverpool, wo ich Stelle erhalten werde, bin 8 Tage hier weil mir die Mittel zur Weiterreise fehlen. Indem ich mich 7 Jahre in der Arbeiterbewegung befinde und manche schwere Stunde mitgemacht habe, wagte ich es zum hiesigen Verein in Tottenham Street zu gehen und brachte dort mein Anliegen bei Herrn Georges vor; wo ich mit 10 Schilling bedacht wurde. Ich ging zu Herrn Bernstein, den ich von Zürich aus kannte, der mir auch sein Scherflein beitrug. Nun wage ich es an Sie mich mit ganz ergebener Bitte zu wenden, indem mir noch zu meiner Reise 5 Schilling fehlen, mir zu diesem Behufe Ihre freundl. Hülfe zu Theil werden zu lassen. Genehmigen Sie im Voraus meinen herzlichsten Dank von Ihrem ergebenen Henry Engel aus Frankfurt a/Main nebst socialdemokratischem Gruß und Handschlag HE

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312 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Halle, Dienstag, 14. Oktober 1890

14 Oktober 1890. Lieber Engels!

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Nur ein Wort. Ein glorreicher Congreß – 410 Delegirte, ein wahres Arbeiterparlament, und ein herrlicher Geist – der des 20 Februar. Die Opposition nowhere – der Einzige, der sich herauswagte, der Spitzel Werner erdrückt, und gerichtet, Vollmar stumm, Schippel heiser. – Wir warten auf Guesde und Tussy. Soeben brachte ich den Antrag ein, den 1 Mai dauernd zum Feiertag der Arbeit zu erklären, und den 1 Sonntag im Mai bloß für Umzüge etc. zu benutzen, und zwar noch bloß dann, wenn am 1 Mai die Arbeitsruhe nicht durchzuführen ist. Doch Adieu! Singer spricht gerade über die parlamentarische Thätigkeit und ich muß vielleicht einspringen. Nochmals: es ist ein glorreicher Congreß und Du hättest Deine Freude dran, wenn Du hier wärst. – Wirst sie aber auch dort drüben haben. Wahrhaftig wir sind glückliche Kerle, daß wir schon bei Lebzeiten eine solche Ernte haben. Herzliche Grüße von uns Allen! Grüße Lenchen, Roshers etc. Treu Dein W. Liebknecht.

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313 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 14. Oktober 1890

Hoboken, 14 Oktbr. 90. Lieber Engels! Brief v. 27 Septbr u. Karte v. 4 Oktbr, sowie Einführungsschreiben für Romm u. Frau erhalten. Wir freuen uns sehr über die Meldung von Deinem Wohlbefinden, dem wir recht lange Dauer wünschen. Die ersten Depeschen vom Kongreß in Halle sind eingelaufen u. lauten soweit gut, so daß auch Günstiges für den nächstjährigen Int. Kongr. zu erwarten steht, wenn nicht etwa die enorme Zahl der Delegirten – darunter gewiß viel redselige – ein Hinderniß bildet. Läuft die Sache gut ab, so sollte doch eine Art Verbindung mit den hiesigen Arbeiterorganisationen, vor Allem mit der Amer. Federation of Labor, hergestellt oder herzustellen versucht werden. Ich habe angefangen Etwas für die „Neue Zeit“ zu schreiben, doch muß ich gestehen, daß es mir schwer fällt. Es wird allerdings besser gehen, sobald ich Grund gelegt, Boden unter meinen Füssen habe. – Das gebotene Honorar ist sehr niedrig, aber ich habe Kautsky noch Nichts darüber geschrieben, weil ich keine rechte Idee von diesen Honoraren hatte. Er hat mir 2 dollars pr. Seite geboten u. Schlueter theilt mir mit, daß einige unsrer Literaten in Deutschland 2 bis 21/2 dollars für dasselbe Quantum Arbeit als ungenügend bezeichnet haben. Gelegentlich werde ich also für meine Arbeit mehr fordern, ohne mich indeß auf Dich zu beziehen, was mir widerstrebt. Du wirst ohnedies dahin wirken, daß anständige Honorare gezahlt werden. – In der Postkarte entschuldigst Du gewissermaßen Deine Empfehlung der Romm’s. Das ist durchaus unnöthig. Wenn Du einen Reisepaß ausstellst, respectire ich denselben sicherlich. Sie waren beide letzte Woche bei mir u. werden wohl bald wiederkommen. Er scheint mir ein recht respectabler Mensch zu sein, während sie wohl etwas schwadronirt. – Ich werde mich sehr freuen, den „Socialiste“ (Paris) wieder zu erhalten u. zahle gern dafür, was Du den Leutchen mittheilen kannst. Hoffentlich kommt er bald u. auch Auflage 4 v. Bd. I Kapital. Dabei will ich Dir nochmals mittheilen, daß ich ein Exemplar des Capital – in französischer Sprache – mit verschiednen Randbemerkungen, Verbesserungen etc. von unsres Marx eigner Hand besitze u. Dir gern überlasse, wenn’s wieder an’s Uebersetzen oder Neuauflegen geht. –

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Was „Tussy’s Schläge“ betrifft, so hielt ich für Schläge ihre Nichtzulassung zum Gewerkschaftskongreß u. das de´saveu in People’s Press v. 13 Septbr. u. bin noch der selben Meinung. – Von den hiesigen Socialisten hörst Du oder liest Du vielmehr genug. Sie haben sich wieder eine Wahlkampagne geleistet u. verpulvern Geld, Zeit etc. in größtem Maßstabe u. mit vollem Bewußtsein, daß es eine rein deutsche Affaire ist, u. daß ausschließlich Deutsche ihre Wähler sein werden. Darüber lässt sich doch Nichts mehr sagen!! Ein lustiges Stücklein zum Dessert: Die Herrn Nationalisten haben gegen Dich den boycott erklärt. Schon letzten Sommer hörte ich davon u. fand allerdings bei näherem Zusehen, daß in ihren Anzeigen u. Bücherempfehlungen Deine Schriften nie erwähnt, Dein Name nie genannt wurde. Der Herr Professor De Leon, dessen Name Dir öfter begegnet sein wird – derselbe, mit dem ich letztes Jahr die von mir veröffentlichte Korrespondenz führte – soll erklärt haben, daß Deine Schriften der Bewegung schädlich seien (der Nationalistenbewegung natürlich!). Der Mann spricht jetzt öfters von den Tribünen der N. Y. Socialisten, u. wird als großes Licht betrachtet. Das Schönste dabei aber war, daß der eitle Comtist L. Saniel, Redacteur des Workmen’s Advocate (Franzose v. Geburt) diesen Boycott auf den Workm. Advocate ausdehnte u. durch Drohungen von Mitarbeitern gezwungen werden mußte, den Boycott aufzuheben. – Wer wird das Archiv verwalten? Die „Freiheit“ sandte ich Dir auf Schlueter’s Veranlassung. – Bekamst Du auch Mc Donnell’s „Paterson Labor Standard“? Wenn ja, so lies den ersten Artikel auf der ersten Seite vom 11 Oktbr. von Australien. – „Perfection Sash Balance“ ist von unserm Adolph. Wir grüßen Dich, Schorlemmer, Tussy etc etc herzlich. Dein F. A. Sorge u. Frau Hoboken, New Jersey U. S. A.

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314 Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels in London Halle, Dienstag, 14., und Mittwoch, 15. Oktober 1890

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14 Oct. 1890

My dear General, I have just got back from the afternoon sitting, & have what I may fairly call the first really quiet moment I’ve had since we left London on Friday night. What with the travelling, & the Congresses, & the private talks I am quite bewildered. We left London as you know on Friday, & reached Lille at 3 o’clock in the morning. At 9 we were at the Hall of the Congress. Our attending was, I think, good in many ways. It made––so all of them said––an excellent impression, & in private I fancy, we were of some use too. As to the Congress, I am bound to say it was really admirable, & never would I have believed, unless I had been present, that 64 Frenchmen could be so quiet, talk so very little, & whenever they did talk, ˙ ˙ ˙ in the most business-like fashion without even a hint at talk strictly to the point, high falutin’ (Though such talking as there was, was excellent from even the oratorical point of view); that they could be so absolutely unanimous on nearly ˙ all questions, & on the whole so very˙ ˙clear-headed & theoretically so free from anything like muddle. But I saw, & so I believed. In those two days an immense amount of work was got through, & that without a single hitch. The feeling was evidently one of perfect confidence all round. What a contrast to the BrousseAllemane Congresses!––The two questions that I had rather dreaded were the one as to the Brussels Congress, & the “Universal Strike”. On the first question there was less difficulty than I fancied there’d be. Of course the bitterness against the Possibilists is immense, but the facts were very well put by Guesde & Lafargue to them, & the decision to go to Brussels (with such provisos as you yourself suggested) unanimously agreed to.––The “Universal Strike” business called forth more discussion than any other question. Happily the “Revolution” was not decreed––only 5 out of the 64 delegates voting for the Resolution.––But think of my horror General when huge placards on the Lille Walls calling a meeting with a large white slip posted across stared me in the face with the following announcement “sous la pre´sidence de Eleanor Marx Aveling”! I felt [2] mightily inclined to clear out––but couldn’t very well, & the meeting went off all right under my “pre´sidence”. But ’twas a mean trick to play me.––After this meeting where Edward spoke a few words in English, & where I saw once again what born speakers the French are, we adjourned to a very charming & very jolly “banquet”

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at 1 franc a head! We tried to get off as early as we could, but it was past twelve before we were back at the Hotel. As I was to leave at 3.5. I only lay down on the bed for a little rest. Then at 3.5 I met Guesde, Ferroul, & a young man or rather lad (whose name neither I nor Guesde who is looking after him know)––& whom Guesde has brought here to find a situation!––& after getting our various belongings together started on our long journey. My dear General, the Frenchies were very nice & very charming on the whole, but if ever I travel in “foreign parts” with one––let alone three––again, may I be damned. I would rather travel with two babies in arms & half a dozen others. They couldn’t be more helpless & they wouldn’t be nearly so troublesome. We were very jolly though, & laughed not a little––especially at our absolute inability to keep awake in Belgium. We all tried. Impossible. Not till we were out of Belgium did we manage to wake up. Of the details of our long journey I will tell you more when I get back. At about 12.30 we got to Cologne. I sat my three Frenchmen down to their de´jeuner––which ˙˙ ˙ they had been clamoring for, & which I think they would have cried for if they ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ had not got soon––& went off to get their luggage––I only, of course, carried my small bag & your portmanteau,––to have it re-registered for Halle, & to get our tickets to Halle. Of course this took some time––but there was plenty of time to catch the 12 train by which we had arranged to go on. I would have been quite ˙ content to forgo a big de˙´˙jeuner & take a “snack” with me ˙in˙ ˙ the train. But my charges were n’t nearly “through”, & the waiter had persuaded them that a 12.50 train would be far better. We still had 3 minutes after all this explaining––but I ˙ ˙ ˙ no good, & as a train really was to leave at 12.50 I resigned myself to saw it was my fate––& my de´jeuner. But lo! when we went to the train we were told that it was not the one & that our tickets were for another route! So after much running about––by me––neither of the other three dreamt of even going [3] with me––I got the tickets changed & we started. For a time all was very jolly––We talked & laughed––& about every 5 minutes one of my three companions disappeared into the little lavatory attached to our carriage (they also got out at each station––& had the cheek to ask me to get out & show them where to go!!!) till I wondered how on earth they managed it. But presently they began to get hungry. Now at one station where we stopped (at about 5.30) for 20 minutes all three were fast asleep, & I hadn’t the heart to wake them. I regretted that later. They wanted something to eat. They nearly cried––or rather Guesde did, for Ferroul was much better––because they did n’t stop long enough for me to get out & fetch “des provisions” for them. I comforted them & a conversation on hypnotism––which ˙˙ ˙ Ferroul uses largely in his practice––distracted them for a time. Then at Cassel–– at least I believe it was Cassel––we stayed & a boy appeared with “Brödchen” & beer. I got all I could, but had to send a friendly guard for more & I felt relieved. But Guesde’s prote´ge´ wasn’t satisfied––railed at all & sundry & refused to eat. So the poor lad had to starve! But I couldn’t help it. Well on we went, & on, & as the three had smoked all day & had shivered even when the sun was broiling hot if I kept open a window, & as, when the sun went down they closed the ventilators, you can imagine what the air was like. I had a splitting headache, & felt thankful

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when at 10 to 12 we reached Halle. I got my three out, & all their belongings out, & got their boxes (these had come by the 12 train) & then held council as to what should be done. I had telegraphed to Grothe from Cologne that we should arrive ˙˙ ˙ ˙ ˙ & no at ˙11––(thinking we should leave by the 12 train) & now it was midnight, ˙ ˙ ˙ Grothe & no Genosse of any sort was visible. Thinking rooms had probably been secured for us I suggested taking a cab & going to Jacobstrasse 2––the address sent me by Fischer. We did get the cab & we started, but before very long our cabby––who was as drunk as Billy, turned round & requested me to tell him where the Jacobstrasse was. This was too much! I asked him how on earth I, who had just arrived, was to tell a Hallenser where the streets in his own town were. Thereupon cabby swore by all his gods there was no such street. Another more or less intoxicated person in the street was appealed to; then another. Same answer from all. No such street in Halle. “Take us to the first hotel you come to then” quoth I in despair. And presently we were deposited at the “Goldne Kugel”. Think of our astonishment when this morning at the Congress we heard that Bebel, Liebknecht, Adler, & some dozen others are all here too! But to return to [4] my tale.––By this time my companions were famished––& no wonder. They’d only had a small “Brödchen” & one nothing since 12 in the morning. (I had supped full of the horror of the air in our railway carriage!) So I asked if we could get something to eat. No! It was too late. “Can’t we have anything––bread, ˙ ˙˙ cheese? ” “Nothing”. “Not even a little bread?” “Impossible”! This struck me as so comic I roared with laughter & laughed so that even my three hungry-ones joined in––although they thought civilization a failure in Germany at least. But the comble was when appearing with a Directory (I had casually asked the Kellner if he knew the Jacobstrasse, & he didn’t) showed me that there was a Jacob Strasse but it contained only 2 houses––& so how could any one know it be asked?––Well we drunk a glass of beer––& got to bed. (Bebel just fetches me to go to supper & a “jollification” got up by the local folk). Wed y morning. So to˙ ˙resume. Yesterday morning then we got up, & after finding out where the Congress sat, & having some coffee we set out for it. There, of course, we found everybody. The Hall is a large one, but it is very inadequate, & the people are packed so close we all feel & look like sardines. I mention that, because in spite of the very uncomfortable over-crowding the people are so˙ ˙quiet & attentive. There are 413 delegates (Bebel tells me he expected 250) & there are Anseele, Nieuwenhuis, Branting (Sweden) some one from Copenhagen, & from Switzerland, the Frenchies & myself. Duc Quercy is also here for the “Temps”.–– Bebel at once told me that the opposition was already practically squashed. Werner had tried to get up a row the day before––i. e. the Monday, & 2 or 3 Berliners had supported him, but they were quite alone, & he believed Werner would now ˙ ˙ held be deserted even by his remaining 2 or 3. And this was so. Not a hand ˙was up against Fischer’s Resolution (the actual Resolutions you will, of course, see in ˙ ˙ said he refrained from ˙ ˙ voting either way.––Yesthe Volksblatt) & only Werner terday on the main question really––the Report on the Parliamentary Fraktion Werner alone spoke against, & such awful nonsense that I could hardly believe ˙ ˙˙

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my own ears. Vollmar in a way tried also to support (not avowedly) Werner. But they are hopelessly beaten. Indeed there seemed practically nothing to beat. It is quite disappointing! I did think there’d be something of a fight. But how can 400 fight one?––And that’s about what it comes to.––In the afternoon Guesde & Ferroul spoke admirably & produced a great effect.––Last night to our relief, the “Entertainment” was so crowded, thousands––Bebel, Adler, Singer among them–– couldn’t get in, so we had a quiet & most interesting talk. Tomorrow we have our International Conference.––More––should anything important happen, later on. ˙ ˙˙ Now I’m off to Congress. Love to you both. (If I sent you all the Grüsse I’m told to, I should fill a dozen ˙ ˙˙ pages with names). Your Tussy. [5]

Wednesday.

I am adding a line to say that the Social Democratic Federation has sent over a ˙ ˙˙ ˙ ˙ of˙ ˙good ˙ ˙ ˙ ˙ ˙advice ˙˙ ˙ ˙ ˙&˙ ˙ hopes ˙˙ ˙ ˙ that the “difResolution which is really an insult––full ferences” will not “dim the glory” of the “spectacle of solidarity” the Germans have given, or check the movement etc. But probably you will see the thing in “Justice”. Adler is translating it, & felt its insolence so much he was modifying it, but I said no: translate it as it is. I am certain the people will not be very pleased at this really cool assumption of superior wisdom.––Werner is evidently done, but a man who in my opinion˙ ˙is infinitely more dangerous is Vollmar. He is cleverer than Werner, & carefully avoids going too far, so saving his position and retaining a certain influence.––Liebknecht spent the whole of yesterday evening with Guesde & Ferroul, & as far as I can gather from Guesde lied hard. We were all to have met, but without letting any of us know Liebknecht sent word to the Frenchmen to meet him––not at the Hotel where we are all living, but at another. He evidently didn’t want to have us present. However I don’t think anything special can have been done.––This is immensely interesting––but, entre nous I cant deny that the Germans are too much like the majority of the Liverpoolers–– i. e. painfully respectable & middle-class [6] looking. There must be a strong sprinkling of philistines among them. In this respect the Frenchmen seemed far better––though of course there there were 64 & here there are 417.––I have just been having a long talk with Adler––both about Party matters & ten years younger, & is getting on very well. Adler is as witty as ever––& to hear him & Auer chaff one another is really delicious––for Auer is one of the most humorous people I have ever met. I have also had a long talk with Nieuwenhuis. He is still as mild as milk. Anseele, as I told you I talked with yesterday. I may be quite wrong, but I always fancy––I fancied the same at Paris last year––he rather fights shy of us, & he always looks like a man who hasn’t a very good conscience about something or other. Good-bye, again, dear General, Your Tussy.

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Nieuwenhuis & Adler (who know I’m just sending this off) send all sorts of messages.  [1]  Neither Hyndman nor Gilles nor Schack are here. Hyndman I expect did not care to come when he heard from Bax we should be here. As to Schack she ˙ ˙ ˙ are here, addressed to her. evidently intended to come, as Fischer says letters What a blow to that lot! They who had hoped for a split, or at least a serious quarrel––& nothing now comes of it! 

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Teilnehmerinnen des Parteitags der deutschen Sozialdemokraten in Halle, Oktober 1890 Auszug aus: Der wahre Jacob. Stuttgart. Nr. 112 (8. November) 1890. S. 894

315 Hermann Engels an Friedrich Engels in London München Gladbach, Mittwoch, 15. Oktober 1890

M.Gladbach 15. Octobr 1890 Lieber Friedrich!

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Deine Postkarte sowie die Proben von Sherry habe ich vor Kurzem erhalten, und da ich mit Emma für einige Tage hier in Gladbach bin, so habe ich den Wein zusammen mit meinem Schwager Alb. Pferdmenges, hier versucht. – Du hast recht, die No 1992 ist dem zuletzt von mir bezogenen Wein am ähnlichsten, schmeckt uns aber auch am besten, und hat bei der Gelegenheit noch mehr Liebhaber gefunden. Von No 1992 per Dutzend Fl. pro London a` 42/– wünschte ich also 48 Flaschen zu erhalten, mein Schwager Albert Pferdmenges hier wünscht davon 2 × 48 also 96 Flaschen, und mein Schwager Robert Croon hier, wünscht 48 Fl. zu erhalten. Wie die Verpackung geschehn muß, d. h. wie viele Kisten für diese Anzahl Flaschen genommen werden müssen wird Dein Freund, der Weinhändler am besten beurtheilen können. Theile mir nur eben p. Karte mit, wie Du es mit der Bezahlung gehalten haben möchtest. Am einfachsten für Dich und den Weinhändler wäre es vielleicht, wenn Du mir über das Ganze Rechnung senden ließest, die ich dann durch Pferdmenges Preyer & Co in London bezahlen lassen würde. – Emma u. ich bleiben noch bis Montag hier, werden dann bis gegen Ende des Mts in Barmen sein u. dann auf einige Zeit nach Engelskirchen reisen. – Heute war ich nochmal hier in meiner Jagd u. habe 3 Hasen u. 2 Feldhühner erlegt. – Du mußt daraus sehen können, daß es mir noch recht gut geht! – Herzlichen Dank für die Besorgung des Weins u. viele eben solche Grüße von Emma u. Deinem Hermann.

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316 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Halle, Mittwoch, 15. Oktober 1890

15. Oktober 1890. Lieber General! Mein Versprechen Dir über besondere Vorkommisse hier Nachricht zu senden, ist wohl jetzt verüberflüssigt, da Tussy die gestern früh hier mit Ferroul u. Guesde ankam, mir sagte, sie habe Dir gestern geschrieben. Den Gang der Verhandlungen kennst Du wohl aus der Presse, da ja die „Times“ einen eigenen Correspondenten hier hat, dessen Berichte doch wohl reproduzirt werden. Von einer Opposition ist absolut keine Rede – das Märchen ist jetzt hoffentlich sogar für die Bourgeoisie zu albern geworden. Werner, dessen Ignoranz nur durch seine Frechheit u. Hornhäutigkeit erreicht werden, wurde von Bebel u. Liebknecht fürchterlich abgethan u. persönlich von Grillo in unerhörter Weise abgeschlachtet u. steht völlig isolirt. Selbst er will jetzt eigentlich nur die bestandenen Zweifel haben ˙˙ zerstreuen wollen. Für die Partei ist er jedenfalls gewesen. Ich denke, der Kongreß wird denen im Auslande arges Bauchweh machen, die auf eine Diskreditirung u. Schwächung der Partei gerechnet haben; unseren guten Ruf aber neu befestigen. Mit herzlichen Grüßen Dein R. Fischer. Dr Conrad Schmidt ist hier u. bittet mich an Dich seine besten Grüße zu übermitteln; er gedenkt von der Tribüne wegzugehen, über deren Zukunft er ernste Zweifel hegt, u. eventuell bei der „Zürcher Post“ den Börsen- u. volkswirth˙ ˙ ˙˙˙ schaftlichen Theil zu˙ ˙übernehmen. Kampffmeyer ist ebenfalls als Zuschauer hier u. sieht mit einer wahren Jammermiene dem Verlaufe der Dinge zu; schmerzbewegt muß er es erleben, daß in dem ganzen Streite der Name Müller oder Kampfm. etc. noch gar nicht genannt wurde – so bedeutungslos war ihre „Revolution“!

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317 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 16. Oktober 1890

Le Perreux 16.X.90 Mon cher Engels,

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Par le Daily Chronicle que vous m’avez envoye´, je vois qu’Aveling a donne´ un bon aperc¸u du congre`s de Lille, mais il n’a pas eu le temps, ni la liberte´ d’esprit de bien rendre le caracte`re de ce congre`s, le plus important que nous ayons eu en France, avec l’exception du Congre`s International et du Congre`s de Marseille, ou` pour la premie`re fois, l’e´lite du prole´tariat franc¸ais balbutiait des formules communistes, sans trop en comprendre la porte´e. Ce qui est digne de remarquer dans le congre`s de Lille, c’est que presque tous ses membres avaient e´te´ frappe´s par la vengeance bourgeoise; un grand nombre avaient perdu leurs moyens d’existence ordinaires et avaient duˆ s’en procurer d’autres en s’adonnant a` de petits me´tiers, tels que vendeurs de journaux, marchands d’huile courant de porte en porte pour vendre une livre d’huile, marchands de le´gumes, de charbons, cabaretiers etc ... : mais en revanche beaucoup de ces de´le´gue´s avaient e´te´ choisis par leurs camarades pour les repre´senter dans les conseils municipaux, ge´ne´raux, d’arrondissement, et de prudhommes. Presque toutes les villes et communes repre´sente´es au congre`s l’e´taient par des hommes qui avaient rec¸u de´ja` les suffrages de leurs concitoyens pour d’autres fonctions e´lectives. – Rien n’indique mieux l’action que commence a` exercer le parti sur la masse ouvrie`re. – Nous sommes de´sorganise´s, sans aucuns liens entre nous; et cependant sur tous les points de la France il existe un mouvement re´el, qui s’est de´ja` manifeste´ par la formation d’e´le´ments socialistes, de cre´ation pour ainsi dire spontane´e. Et ces noyaux sont conside´rables et ont une action propre importante. Dans beaucoup de villes la minorite´ socialiste au conseil municipal est importante et influente; dans d’autres la majorite´ est socialiste et dans plusieurs le conseil municipal n’est compose´ que de socialistes. – Par exemple, un des deux de´le´gue´s de Cette avait e´te´ e´lu par le Conseil municipal, sie´geant en se´ance officielle, pour repre´senter le dit conseil; qui lui avait donne´ son mandat sur papier officiel, avec le timbre officiel de la mairie. – Partout ou` la majorite´ est socialiste, les travaux de la commune sont donne´s directement aux ouvriers individuels ou syndique´s, sans interme´diaire d’entrepreneurs bourgeois. A Roanne le conseil municipal est parvenu a` occuper une grande partie des ouvriers en choˆmage d’une manie`re

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317. Paul Lafargue an Engels · 16. Oktober 1890

inge´nieuse, qui me´rite d’eˆtre signale´e. – La ville avait des travaux de terrassement a` faire pour routes, e´gouts, constructions etc ... Les ouvriers en choˆmage e´taient des tisserands impropres a` ce rude travail. – La majorite´ socialiste du Conseil a donne´ le travail a` exe´cuter a` des e´quipes de 20 hommes, comprenant de 6 a` 8 tisserands et de 14 a` 12 terrassiers de profession. Ces e´quipes entreprenaient le travail a` la taˆche, et le gain e´tait distribue´ e´galitairement entre tous les membres de l’e´quipe, bien que les tisserands eussent abattu moins de travail. Les terrassiers se plaignirent d’abord, de´clarant qu’ils ne voulaient pas travailler pour d’autres: mais les socialistes leur firent comprendre qu’en leur donnant le travail directement, sans passer par des interme´diaires, le conseil avait pu e´lever leurs gains quotidiens de 1 f. 50c et 2 f. et que pour avoir ce be´ne´fice ils devaient partager indistinctement avec tous les travailleurs de l’e´quipe. Ils grommele`rent d’abord, mais ils finirent par accepter et se trouver heureux de ce nouveau mode d’entreprendre les travaux. Il y a en ce moment d’excellents e´le´ments pour organiser le parti; c’est Paris qui nous fait de´faut et tant qu’il fera de´faut, tout restera a` l’e´tat sporadique. Heureusement que la de´composition possibiliste que vous avez duˆ pouvoir suivre par les journaux que je vous ai envoye´s, va nous de´barrasser de ces geˆneurs: mais il faut attendre encore quelque peu. Quel succe`s que le congre`s de Halle ! Les journaux franc¸ais en sont pleins; trop pleins meˆme; ils en faussent les comptes rendus et attribuent de droˆles paroles aux de´le´gue´s. Je vous envoie une interview de Bebel dans le Gil Blas. Est-ce possible que Bebel ait parle´ de la sorte ? – Peut-eˆtre est-il ne´cessaire de me´nager les nouvelles recrues du parti, qui s’imaginent que tout va eˆtre couleur de rose. Mais vous m’avouerez que c’est aller trop loin que de nier la lutte des classes et de faire des re´serves sur certaines tendances de Marx. Les quelles ? Tussy a eu un ve´ritable succe`s, son discours a` l’Hippodrome de Lille e´tait tre`s bien conc¸u et tre`s bien de´bite´. Elle est tre`s suˆre d’elle-meˆme. C’est moi qui l’ai fait e´lire pre´sidente, et craignant qu’elle ne fuˆt embarrasse´e de ce roˆle, je fis choisir Langrand, de St Quentin, pour l’aider; il s’entend a` pre´sider les re´unions tumultueuses. Mais elle s’en tira a` la satisfaction de tout le monde. L’assemble´e d’ailleurs e´tait d’un enthousiasme extraordinaire; nos amis de Lille avaient pris leurs pre´cautions pour mettre a` la raison les anarchistes; ils se sont tenus tranquilles. Amitie´s a` tous et bien a` vous. P Lafargue.

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October 16/90. Lieber Engels.

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In der Hoffnung das Du mich endschuldigen wirst, wenn ich Dich mit folgenten belästige ich kann Dier die mitheilung machen, das ich endlich meine Lease wieder in händen habe, das der Kampf mit der Mortgage zu ende ist. es war jedoch zulätzt noch ein harter Kampf, um es zum ende zu bringen, wodurch natürlich Zahlung zurück bleiben musten. Denoch wäre es nicht schlim gewesen, hätten wier nicht das unverhofte sehen müssen Das grate Ende July zwei partien uns verlassen, eine ging plötzlich nach Intien, die andere nach America, ein verlust von £ 3.3.– per week. seit jener Zeit. Zuerst diese woche haben wir eine partie wieder ersetzt für £ 1.1.– Die Dining room floor ist noch nicht vermüthet. aber wir haben einige partien in aussicht dafür. Daturch sind wir etwas viel zurück in zahlung, gekommen. Die rent ist jedoch die Hauptsache. Da ich in der lätzten Zeit mit ein quarter zurück geblieben bin. mithin zwei quarter Schultig bin. ich brauche jedoch nur ein quarter jetzt zu zahlen. Aber die mus ich nicht länger verschieben, ich habe £ 25. in Händen, fählt mir also gegen 9–10, welche ich diesen augenplick nicht anbei schaffen kann. ich hatte mich schon der freude hingegeben, Dier endlich von den geborgten Summen balt zurück zahlung zu machen, und nun anstatt dies zu thun. bin ich in die Lage gedrünkt, Dich nochmals zu fragen, ob Du mir das fählende Geld um ein quarter rent zu zahlen für eine kurze Zeit borgen kanst und wilst. inerhalb zwei Monaten solst Du es für sicher wieder zurück haben. ich kann offen sagen, das es mir sehr unangenehm ist, Dich in dieser weise zu belästigen. Da ich mir gud denken kann, das Du in lätzten Zeit viel ausgaben gehabt hast. ich Hoffe also daß Du nicht böse sein wirst, wenn ich Dich nochmals belästige, ich habe ja sonst Niemanten wo ich eine Sume geborgt bekommen könde. freundlichst grussent Dein F. Lessner

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319 Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels in London Halle, Donnerstag, 16. Oktober 1890

16. Oct. 1890 My dear General, The actual details of the Congress no doubt you see in the daily reports of the Volksblatt. Everything seems to be going very well indeed. I am bound to say, however, that the more I see of the people the more I see what a very strong current of philistinism there is. No doubt it is easy to understand how & why this is, but it is a blessing for the Party that behind these men are the mass of the people to keep them up to the mark.––The so-called opposition from the Werner clique certainly seems quite done––& Bebel & all to whom I speak say the same. But where I think our people are making a mistake is in not sufficiently realizing the danger of Vollmar. He is certainly no remarkable intellect or anything of that sort, but he is a very clever intriguer, in my opinion a thousand times more really dangerous to the movement than a dozen Werners.––As to Bebel it is clear to me both from what has been said publicly & from what I hear privately, that the Party owes everything––so far, of course, as it does not owe it to the strong good sense of the people––to him & to his really incredible work. I don’t think even you, General, know what this man has done & is doing. Practically everything is left on his shoulders. As you know there are two Commissions, one (apart from purely business ones) busy working at the amended Organisation plan, & the other enquiring into ˙˙ the Werner accusations. Bamberger (Ede’s brother-in-law) was the chief witness, & tells me privately that the Commission is all right, & that Werner will be quite done for. The Programme is adopted with almost no changes at present, but with the understanding that an “Entwurf” will be drawn up, discussed everywhere & decided upon at the next Congress. Liebknecht was the “Berichterstatter” on the Programme, & talked an awful lot of nonsense––with some excellent passages & very effective.––We were to have had the International Conference last night, but as Singer, Auer & Bebel were on two Committees it was impossible, & now an arrangement is made which I think quite wrong, but there is such a pressure of ˙ ˙uld do nothing to prevent it. Adler agrees with me, work, & so little time, I ˙co ˙ ˙ This is the present arrangement. At 9 tonight the but also sees no help for ˙it. whole Fraktion––or as many of them as are here, give a “banquet” to all of us

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foreigners, & after it we are to consider the question of the Congress & so forth. I ˙˙ think this a pity, d’autant plus, that I find Liebknecht has also asked Duc Quercy (reporting here for the Temps). Now Duc I know is intimate with Guesde & on good terms with our Party in France, but I did not think he was really in the Party, & if we are to discuss Party matters I don’t see why we should have such a ˙ ˙ ˙to ask him on person as Duc Quercy in it. Then too––unless I can induce Bebel the ground that he is here from London––Fischer can, under the present arrangement not be present––a decided loss. The difficulty, of course, is that I hardly see Bebel, who is hard at work all day, & that very naturally, all of these men are worried about their own home affairs, & are hardly in the humour to realize the importance of external questions.–– Yesterday I had long & very interesting talks with several people––especially with Adler. Like Bebel he also feels that it is a blessing for the movement that, for a time at any rate, the movement can be carried on openly, & that more pressure can be brought to bear on the Reichstag members––many of whom, according to Bebel, are nothing more nor less than small middle-class men, & are, in a sense, almost a danger. To-night the Organisation Committee finishes its work, & therefore all the ˙ ˙ be settled tomorrow, although the Congress will sit most important questions will at least till Sunday, & possibly longer. But as I said, all the really big questions will probably be settled to-morrow & Saturday. I am glad of this as my return˙ leaving before the actual end, ticket to Cöln must be used on Saturda˙y.˙ ˙My ˙ ˙ ˙ ˙ however, will not matter, as we have the International Conference to-night, & after tomorrow morning Bebel will be comparatively free, he tells me, to talk to me. Of course everybody is asking me everywhere, especially the Berliners, but as my ticket is only good for 6 days I must refuse. In a way I am glad. Here I have seen all the friends (I would only have liked to see Uncle Edgar ––tho’ I dont ˙˙ know how I should have ˙found him, & Friede Bebel) & if I went to one at Berlin I ˙ ˙˙ should offend another, & so its much simpler not to go at all. Besides I hope by ˙ escape my Frenchmen, who did not take return tickets. The one journey this˙ ˙to was enough.––I shall have much to tell you when I get back.––Fancy that three big Paris papers are represented by three men who neither understand nor read one solitary word of German!––You should see those people at table! First one ˙ ˙ ˙ got fits of laughter last night. For at gets really angry, but at last Adler & I nearly 1 least /2 an hour they discussed what they should eat; then they nearly cried because they didn’t get all they wanted; all the time they discussed food & their digestions; in fact Longuet is n’t in it with Guesde & Duc Quercy. Good-bye, dear General. I shall see you soon.––Lots of messages from all & sundry. Love to Nimmy. Your Tussy. Among the telegrams & greetings received to-day is one from London from the Salvation Army!!––Did I tell you how funny it is––to me, anyhow––to see the ˙ Police Commissary on the Platform, & the two official short-hand writers?––

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320 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 18. Oktober 1890

Lieber Sorge. Der Kalender ist angekommen. – Lenchen’s Dank! Heute ˙˙ ˙ ˙ ˙ganzen ˙ ˙ ˙ ˙ Packen Allotria an Dich abgesandt; über die Kongresse. einen Die Possibilisten sind kaput, Allemane, Clement, Faillet &c, die Majo˙ ˙˙˙˙˙ ˙ ˙ Arbeiter der Partei, haben Brousse, & Brousse hat sie rität der ˙Pariser dagegen ausgeschlossen. Also Spaltung. Brousse hat nur die von ihm abhängigen (durch Dokumente über die Schweinereien jedes Einzelnen) Führer, also die Stadträthe & die besoldeten Beamten der Bourse du travail und – Herrn Hyndman, der sich zu meinem grossen Gaudium mit Brousse. in der letzten Justice solidarisch erklärt. Jedenfalls sind die bei˙˙ ˙ den˙ ˙Fraktionen jetzt geliefert & in voller Auflösung, die hoffentlich nicht durch Einmischung unsrer Leute gestört wird. Unsre Kongresse dagegen prächtig verlaufen. Erst Lille – die Franz. „Marxisten“ als Partei; dann Calais, die von ihnen dirigirten Trades Unions; dann Halle, the crowning of the whole. Tussy war in Lille & Halle, Aveling in Lille & Calais. Wie die internat. Verhandlung in Halle verlaufen, darüber hab’ ich noch keine Nachricht. Jedenfalls waren wir diese ganze Woche erste Großmacht für die Presse der ganzen Welt. Viele Grüsse Dein F. E. 18/10/90. F. A. Sorge Esq Hoboken N. J. U. S. America

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321 Isaac Salomon van der Hout an Friedrich Engels in London London, Samstag, 18. Oktober 1890

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Pardon me that I perhaps intrrupt you in important work or study but I am compelled to do so through urgent necessity. I have been almost crippeld for the last five weeks with rheumatics, and have also my wife ill for over two years, to make things worse, I have since thise morning ten o’clock a man in possession for 19 shillings and 6d rent, I have to pay before evening with cost or they will take my few things. Pray see what you can do for me, my boy will explain particulars if necessary. I Remain Yours Fraternally J. S. van der Hout.

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322 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Samstag, 18. Oktober 1890

18/10/90 Lieber Engels, Meinen besten Dank für Deine große freundlichkeit. Da ich seit einigen tagen wieder so große schmerzen im Kreutze habe, daß ich das zimer nicht verlassen kann, so sei so gut und gieb die sache den charle. wenn Du ein chaque schicken soltest, so cross denselben, meine frau trägt das geld nach der Office in fleet Street, before 2 Uhr, um ein quarters rent zu zahlen. Es fählen mir £. 10.0.0. und Hoffe es in der kürtzesten zeit zurück zu zahlen mit allen Dank. so balt ich laufen und ausgehen kann, werde ich zu Dir kommen bis dahin bestens grüßent Dein F. Lessner.

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323 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Halle, Samstag, 18. Oktober 1890

18 Oktober 1890. Lieber Engels!

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Der Congreß herrlich verlaufen – bis zuletzt. Beiliegendes Telegramm kam soeben für Tussy an, die gestern Abend von hier abgereist ist. Grüße von Allen an Dich, Lenchen etc. Dein W. L. Soeben – 111/4 Uhr – schließt der Congreß. Er begann den 12 Oktober – Datum der Entdeckung von Amerika – & schließt am 18 – dem Tage der „Völkerschlacht“ – zwei hübsche Daten. –

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324 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Sonntag, 19. Oktober 1890

London, 19. Oct. 1890 My dear Löhr At last! This week I have been, if not busy, at all events “occupied” & “engaged” over head & ears. I have sorted about 4 cubic feet of old letters of Mohr’s (that is to say addressed mostly to him) of the period 1836–64. All higgledy-piggledy in a big basket, which perhaps you may remember. Dusting, straightening, sorting––it took more than a week to put them into rough order. During all that time my room upset, covered with paperasses in various degrees of order & disorder, so that I could neither go out nor do any other kind of work. That was No 1. Then came the Congresses with––not work, but loss of time for me by callers &c. And finally, Nim has been quite out of sorts all this week, went to bed of her own accord on Thursday & actually sent for the Doctor––who however told her there was no reason for her to stick in bed she might sit up at least a few hours which she does. He cannot as yet exactly make out what it is, there are symptoms (jaundice) of liver complaint, she has no appetite & is weak. However since last night she is better & in better spirits, & I hope will be well in a few days. I hope Paul has got rid of his intimate friend inside. If he has not, it’s his own fault, a dose of filix mas or cousso will soon put an end to that nuisance. It will poison the brute & do him no harm. Our congresses have come off gloriously & when we compare them with the Possibilists, they come out in still bolder relief. That nuisance now will soon put a stop to itself. Only I hope that our friends will give them every inch of rope they may require & not interfere in the least by approaches or otherwise. Il faut qu’ils cuisent dans leur propre jus. Any attempt on our side to meddle with them would only arrest for a time the process of disintegration & pourriture. The masses are sure to come round to us by & bye. And the longer we allow the leaders to kill each other, the less of them shall we have to take over on the day of re´union. If Liebknecht had not been in such a hurry with regard to the Lassalleans

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coming over to us, he would not have had to take over Hasselmann & others who had to be kicked out six months afterwards. And now in France, as then in Germany, the whole lot of the leaders are rotten to the core. To my great surprise & relief in last Justice Hyndman declares for Brousse! What a piece of good luck. I was beginning to be afraid I might get into a position where Hyndman would have to be taken on again as at least passively a friend, whereas I like him 10 000 times better as an enemy. Paul now may be right: the Possibilists may abstain again from their ˙ ˙ ˙˙˙˙˙˙ to have been fixed at Halle: own Congress. The date & place appear Brussels, 16 Aug 91. This is all I know. Tomorrow I shall hear it all from Tussy who left Halle yesterday, her return ticket to Cologne expiring on that day. I am glad Fischer has been put on the Parteivorstand. You have seen him here. He is very intelligent, very active, revolutionary, absolutely anti-philistine, & more international in his ways & manners than most Germans. Tussy writes that after the Lille Congress, the German Reichstag men, a great portion of them at least, made a rather philistine impression upon her. I fully expected that. As our M. P.’s are not paid, we cannot get always the best men, but must accept from those in a relatively bourgeois position the least bad. Therefore our masses are far better than the fraction. The latter may congratulate themselves that they had such asses & shady fellows (many of them probably mouchards) for an opposition. If they should rebel against Bebel Singer & Fischer, they will have to be acted against––but I am sure Bebel will always be strong enough to cow them. Paul est bien naı¨f avec ses questions sur Bebel & le Gil Blas. Il connaıˆt Bebel & il connaıˆt le Gil Blas; est-ce qu’il ne se connaıˆtrait plus soimeˆme? At any rate I shall send the G. Blas fortement souligne´ to Bebel & tell him to disown. Such impudent lying exceeds all measure, even for Gil Blas. Tussy is quite in love with the Lille delegates, & indeed they seem to have been a regular e´lite, & shown the very qualities which it has been the fashion of late in France to cry down because the Germans showed them to a higher degree, though up to 1870 it had been the regular thing to claim discipline, esprit d’organisation, & action combine´e as des qualite´s tout ce qu’il y a de plus franc¸aises. I was very much interested in Paul’s account of these delegates & shall take care that it gets into the English & German Press. The great advantage of the French is that they are bred & born in a revolutionary medium. Both English & Germans lack that

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advantage & are moreover brought up in the religion of the bourgeoisieprotestantism. That gives to their habits, manners & customs a spiessbürgerlichen Anstrich which they have to shake off by going abroad, especially to France. Look at the redaction of the Lille & the Halle resolutions! That is the great progress: we cannot now do without any one of the three. Only the Belgians & the Swiss we could very well spare. Love from Nim & yours affectionately F. E.  As Paul has said so much in the N. Z. about the fleets constructed by Mohr for you girls when you were children, I enclose him the, probably, last specimen extant of Mohr’s naval architecture. 

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20 Okt. Tussy kam gestern Morgen wieder an. Adler sagte ihr Luise Kautsky sei von Berchtesgaden sehr fidel wiedergekommen, sehe 10 Jah˙ ˙˙ ˙ ˙ aus, habe brillante Erfolge. Vom Kongreß war T. sehr voll, die re ˙jünger Masse sei vorzüglich, aber die Fraktion der Mehrzahl nach philiströs – Bebel sei erschrocken gewesen als er die Wahlsiege Dieser & Jener gehört, habe sofort hingeschrieben, diesmal sei das Pech da, aber zum zweiten Mal soll es nicht passiren. Solange die Bande indeß sich fügt unter Bebel, gehts noch an. Dein F. E. Ich schicke die Rest-Berichte, darunter ein Hamb. Blatt weil ich nicht weiß ob Du den Berliner Bericht über 14. Okt schon hast.

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326 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 20. Oktober 1890

20.10.90. Berlin, C. Georgenkirchstr. 28. Lieber Engels! Die ersten Tage war ich auf dem Kongresse anwesend, der einen brillianten Eindruck auf mich machte. Außer den deutschen Führern habe ich da auch den Oestereicher Adler, der mir sehr gut gefiel, kennen gelernt und Guesde – wenigstens gesehen. Zwischen den Berlinern (d. h. einem Theil derselben) und der Fraktion herrscht eine Mißstimmung, die im wesentlichen wohl darauf zurückzuführen ist, daß jeder Theil die Intentionen und Handlungen des andern falsch auslegt. Ich weiß ja, was hier in den Berl. Kreisen seinerzeit über die Fraktion – speciell die feindliche Haltung derselben gegenüber der Volkstribüne – kolportirt ˙ ˙ z. ˙ B. behaupwurde; aber den Fraktionsleuten geht es nicht besser. Liebknecht tete, die Notiz, welche sich gegen seine Korrespondenz im „Dänischen Socialdemokrat“ wandte, sei gegen den Willen des Redakteurs, durch den Zwang gewisser Hintermänner (L. dachte an Werner) in die Tribüne hereingebracht. Da ich in diesem Punkte durchaus frei gehandelt hatte, dementirte ich L.; derselbe hat aber am Sonnabend – wie mir erzählt wird – seine alte Behauptung aufrechterhalten. Streicht man alles, was leichtsinnige Zwischenträgerei in dem Streit verschuldet hat, aus, so bleiben kaum wesentliche Differenzpunkte übrig. Was Principielles gegen die bisherige Taktik aufgeführt wird, sitzt wohl nur Wenigen tief. ˙ Im Allgemeinen ˙scheint es mir mehr Rechtfertigungsgrund als Ursache zu sein. Neben dem gegenseitigen Mißtrauen ist wohl noch ein gewisses Unbehagen an dem Streite schuld, das Unbehagen, daß sich bei den heutigen Führern hinreißendes, aufrüttelndes Pathos so selten zeigt. Die parlamentarische Thätigkeit unserer Fraktion erscheint vielen als zu schlicht und wochentäglich. Sie sehen den Nutzen davon nicht. Was Sie in Ihrem letzten Briefe, für den ich Ihnen herzlich danke, über die heutigen Vertreter des historischen Materialismus schreiben, stimmt ja leider sehr. Paul Ernst, über dessen Einseitigkeiten ich mich oft sehr geärgert, ist indeß – wie ich aus seinen Briefen ersehe – durchaus nicht so verblendet, als es scheint. Sein kunstgeschichtl. Aufsatz in einer der letzten Nummern der Tribüne zeigt bereits ein entschiedenes Einlenken: Das Geständniß, der Materialismus verflüchtige sich ohne genaueste Kenntniß des Thatsachenmaterials allzuleicht zu einem bloßen Schematismus. Der arme Mensch ist lungenkrank, lebt schon lange in Görbers-

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dorf und hat sich, obgleich allein auf seine Feder angewiesen, nun gar verheirathet. Wäre es nicht um das verdammte Brot, ich glaube, er könnte recht gutes leisten. Einige Aufsätze, die er in der Sonntagsbeilage der Voß veröffentlicht hat, ˙ ˙ etwas unbedacht und ideologisch; aber sprechen sehr dafür. – Wille ist wohl sy¨stematisches Reklamemachen und Redaktionssessel-Intriguen liegen seinem Charakter, wie ich ihn kenne, durchaus fern. Ob die Volkstribüne, die durch das Emporschießen der Lokalpresse starken Abbruch erlitten hat, sich über Weihnachten hinaus wird halten können, erscheint sehr zweifelhaft. Ich möchte jedenfalls am 1 Nov. für das nächste Quartal kündigen. Der jüngere Braun (Schwager von Adler, jetziger Redakteur der „Sächs. Arbztg“), den ich in Halle traf, entwickelte nämlich einen Plan, der vielleicht großen Nutzen für mich haben wird. Er selbst hat von der demokratischen „Züricher Post“ die Aufforderung erhalten, die Redaktion des Börsentheils zu übernehmen, doch verspürt er keine Neigung dazu, will mich aber zu diesem Posten dringend empfehlen. Ich erhielte so die Gelegenheit, den Geldmarkt vom Standpunkt der recht bedeutenden Züricher Börse aus, gründlich kennen zu lernen. Da ich sehr gerne die Bewegung des Geldes, das Kredit- und Anleihewesen, die Börsenkrisen und ihre Verbindung mit den Handelskrisen einmal theoretisch verarbeiten möchte, so wäre eine derartige Praxis äußerst vortheilhaft für mich. Ein öconomisch gebildeter hiesiger Börsenredakteur, den ich um Rath anging, war derselben Meinung. Aber auch davon abgesehen, ich sehne mich überhaupt wieder danach, etwas zu lernen und wissenschaftlich zu arbeiten. Seitdem ich hier in Berlin journalistisch lebe, ist sehr wenig daraus geworden. Das Barthsche Buch muß noch in meinem Besitz sein; sobald ich es herausgefunden, schicke ich es Ihnen nach London. Vielleicht würden Sie selbst eine polemische Kritik dagegen für die „Neue Zeit“ schreiben. Ich weiß nicht, wer anders dazu im Stande wäre. In der Wirthschen Beleuchtung nimmt sich die Schrift allerdings durchaus nicht besonders aus, aber das Original ist wirklich viel besser. Das Hauptargument Barth’s liegt darin, daß er die Einwirkung nichtöconomischer (insbesondere politischer) Prozesse auf die öconomische Grundlage historisch nachweisen zu können meint. Dies wäre freilich kein Einwand gegen die material. Geschichtsauffassung, wenn diese nichtöconomischen Prozesse selbst wieder öconomisch abgeleitet werden könnten. Denn dann würde die Einwirkung derselben auf die Oeconomie selbst wieder öconomisch begründet sein, und alles wäre im Grunde auf wirthschaftliche Agenten zurückgeführt. Aber eben das, meine ich, müßte Barth gegenüber nachgewiesen werden. Ist das nicht möglich, so würde die Marxsche Geschichtsauffassung in ihrem strengsten Sinne doch nicht zu halten sein. Die Oeconomie wäre nicht mehr das einzige vorwärtstreibende Faktor, andere selbstständige, aus ihr nicht abzuleitende Prozesse würden den wirthschaftlichen Entwicklungsgang beeinflußen, während doch bei Marx gerade die Selbstständigkeit solcher beeinflußenden Prozesse als Illusion hingestellt und geleugnet wird. – Daß Sie Bernstein für geeignet halten, eventuell die englischen Blaubücher ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙Braun ˙ für das Archiv zu bearbeiten, habe ich dem älteren mitgetheilt. – Ihr Ur-

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theil darüber, was bei der Diskussion über den Vertheilungsmodus im socialisti˙˙˙ schen Staat vergessen sei, habe ich mir erlaubt, gelegentlich in der Tribüne ˙ab˙zudrucken. ˙˙˙˙ Ich hoffe, es ist Ihnen nicht unangenehm gewesen. – Zu Knapp werde ich vielleicht doch noch einmal kommen. Sicherlich! Es ist da eins der größten Prunkstücke der Hohenzollern-Tradition zertrümmert und möglichst viele sollten von diesem Einsturz hören! Wie ich von dem Setzer Fischer zu meiner großen Freude in Halle erfuhr, geht es Ihnen ja sehr gut. Auch Ihr Geburtstag – Ihr 70ter – ist in dieser Zeit, das Datum weiß ich leider nicht, gewesen oder wird sein. Ich gratulire Ihnen vielmals dazu; hoffentlich erhält das nächste Jahr Ihre Gesundheit auf dem jetzigen vortrefflichen Stande. Vielleicht haben Sie die Güte und schreiben mir in Ihrem nächsten Briefe, ob auch Sie den Züricher Plan für so empfehlenswerth halten. Aus Berlin und der ganzen Bewegung – das ist ja wahr – wird man, fürs erste wenigstens, weit hinausgeworfen. Bestens grüßend Ihr C. Schmidt.

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327 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 23. Oktober 1890

Le Perreux, 23.X.90 Mon cher Engels,

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Vous avez parfaitement raison, il faut laisser les possibilistes cuire tranquillement dans leurs immondices. D’ailleurs la partie est si chaudement engage´e entre eux, qu’il est impossible qu’ils suspendent leurs querelles. Il y a longtemps que la discussion existe, mais l’agitation anti-boulangiste qui avait procure´ aux me´contents de l’occupation et des ressources, avait retarde´ la de´claration de guerre: l’he´ritage e´lectoral de Joffrin et de Chabert a mis le feu aux poudres. – N’ayez nulle crainte, nous ne voulons pas plus d’Allemane que de Brousse et nous ferons notre possible pour perdre les uns comme les autres; ils sont des canailles de meˆme calibre, c’est pour cela qu’ils peuvent lutter ensemble. Pauvre Helene ! Nous espe´rions que son petit tour a` Paris allait l’aider a` passer convenablement son hiver; et voila` qu’elle commence a` eˆtre malade quand le temps est encore au beau fixe. Est-ce qu’il n’y aurait pas chez elle un peu d’embarras gastrique, complique´ d’inflammation du foie ? – Elle devrait soigner son re´gime, couper son vin avec de l’eau de Vichy, boire peu de bie`re, et sortir un peu plus qu’elle ne le fait. – La magne´sie, a` l’e´tat de citrate, re´ussit tre`s bien; elle devrait en prendre une cuillere´e a` tous ses repas. – Nous attendons votre prochaine lettre pour apprendre qu’elle est de nouveau sur pied et a` peu pre`s remise. Il ne vaut pas la peine que Bebel donne un de´menti au Gil-Blas, que personne ne prend au se´rieux. Guesde est de retour; la fatigue du voyage l’a empeˆche´ d’assister a` la re´union de Berlin, que Liebknecht voulait organiser. – L’effet produit par le congre`s de Halle est conside´rable si l’on en juge par les attaques des journaux bourgeois, qui jusqu’ici avaient fait mine d’admirer le parti socialiste d’outre-Rhin. Les vrais Blanquistes a` la Granger se meˆlent au chœur des Bourgeois et organisent des re´unions pour de´montrer la supe´riorite´ du Socialisme franc¸ais sur le Socialisme allemand. Mais ce qu’ils disent ou rien c’est la meˆme chose. – Vous verrez quel beau 1er Mai nous aurons l’anne´e prochaine et quel enthousiasme il y aura en France pour le socialisme international. – Les Brousse, Malon & Cie avaient cru e´pouvanter les Chambres syndicales en faisant tambouriner dans la presse que le congre`s de Calais e´tait un congre`s marxiste, c’est pour cette raison que je me suis abstenu d’y aller; et vous avez vu quelle re´ception on a fait a` Aveling et comme le nom de Marx, y a e´te´ proclame´. Le courant qui entraine la classe ouvrie`re est excellent, il ne faut que l’aider.

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327. Paul Lafargue an Engels · 23. Oktober 1890

Je suis tre`s peu heureux avec mon hoˆte; je lui ai donne´ 3 doses de Kousso et 2 de fouge`res maˆles et je ne suis pas parvenu encore a` m’en de´barrasser. Je viens de lui administrer une troisie`me dose de fouge`re, prise en deux fois, nous verrons les effets dans deux mois. Si vous connaissiez une autre drogue, indiquez-la` moi, je l’essaierai le prochaine fois, si c’est ne´cessaire. Faites nos amitie´s a` Helene, et nos souhaits de prompt retour a` la sante´ ; et bien a` vous. P Lafargue Me´me´ est avec nous depuis Dimanche: elle envoie le bonjour au ge´ne´ral dont elle conserve un si agre´able souvenir.

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328 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 24. Oktober 1890

24. 10. 90. Lieber Engels!

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Deinen Brief nebst den Zeitungsausschnitten habe ich erhalten. Der „Gil Blas“ hat von A. bis Z. erfunden, ich habe mit niemand in Halle ein Interview gehabt und konnte am allerwenigsten den mir in den Mund gelegten Blödsinn sagen. Deinem Rathe gemäß habe ich Laura heute geschrieben und ihr einen Brief an den Chefredakteur mit einem kategorischen Dementi beigelegt. Nimmt der „G. Bl.“, wie ich vermuthe, davon keine Notiz, so soll Lafargue für Veröffentlichung sorgen. Es ist unglaublich was das journalistische Federvieh lügt. Es freut mich daß Du so sehr von dem Verlauf in Halle befriedigt bist. Wir haben auch alle Ursache zufrieden zu sein, obgleich ich es nicht anders erwartete. Die Opposition war von dem Augenblicke an todt, wo sie zeigte daß sie selbst nicht wußte was sie wollte. Das war es aber grade wieder, was mich so ärgerte, und daß sie für nichts und wieder nichts den Eindruck schwächte den der Fall des Socialistengesetzes in der ganzen Welt verursachte. Schließlich hat aber auch das wieder sein Gutes, denn nun haben die Gegner gesehen auf welchen Sand sie bauten als sie glaubten hinter der Opposition stecke wirklich etwas. Deiner freundlichen Einladung kann ich vorerst noch nicht Folge leisten, ich habe noch zu viel zu thun, das erst fertig werden muß. Im November komme ich, wenn nicht ganz unvorhergesehenes dazwischen kommt, ganz sicher. Vorerst haben wir mit der Neuorganisation alle Hände voll, Fischer muß so rasch als möglich herüber kommen. Dann aber habe ich auch persönlich Arbeiten zu erledigen die keinen Aufschub dulden. Es ist wahr ich war in Halle sehr herunter, aber ich erhole mich auch wieder ˙ ˙˙˙ Lebensweise wirken bei mir Wunder. – rasch u. acht Tage vernünftige Der Ausfall des Wortes „Arbeiter“ im Parteinamen hat von keiner Seite diejenige Bedeutung erhalten, die Du ihm beilegst. Der Name wurde gewählt weil er der Bezeichnung entspricht die bei uns Sprachgebrauch geworden ist. Man spricht in der ganzen Preße u. in der ganzen Gegnerschaft nicht anders von uns als von der Social Demokratie u. den Social Demokraten. Wir selbst sprechen von uns nicht anders als von der deutschen Social Demokratie, da war es ganz natürlich daß wir diesen Namen der der kürzeste und prägnanteste ist acceptirten. Ich selbst war unter den Anregern dieses Titels.

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328. August Bebel an Engels · 24. Oktober 1890

Der Name mag heisen, wie er will, wir können mit dem blosen Namen gewisser Elemente uns nicht erwehren. Das hat die Erfahrung bewiesen. Hauptsache ist daß der echte rechte Geist in der Partei vorhanden ist, der anrüchigen Elementen, seien sie nun „Arbeiter“ wie Herr Werner, oder catilinarische Existenzen wie die Wille u. Consorten keinen Spielraum gewährt. Und ich denke dafür werden unsere Leute sorgen. Einen guten Boden für uns bereitet wieder die Krise, die mit aller Macht herein bricht und uns einen bösen Winter in Aussicht stellt. Kaum hat unsere Bourgeoisie aufgeathmet so liegt sie auch wieder auf der Nase und diesmal schlimmer als je zuvor. Es freute mich von Tussy zu hören daß Du Dich so wohl befindest; zehn Jahre mußt Du noch mindestens mit machen, dann denke ich haben wir’s an allen vier Zipfeln. Herzlichen Gruß v. uns Allen D ABebel.

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329 Ludwik Krzywicki an Friedrich Engels in London Warschau, Freitag, 24. Oktober 1890

Warschau, 24. October 1890 Sehr geehrter Parteigenosse,

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Gestern habe ich Ihnen ein Exemplar der polnischen Übersetzung des ersten Bandes des „Kapital“ abgesendet. Die Herausgabe dauerte zu lange, aber unsere politische Verhältnisse sind daran etwas schuldig. – Ich würde Ihnen sehr dankbar sein, wenn Sie mir mittheilen könnten, wie es mit dem dritten Bande steht. Wir warten mit der Herausgabe des zweiten Bandes um ihn mit dem dritten zusammen erscheinen zu lassen. Zugleich erlaubte ich mir, Ihnen ein zweites Exemplar übersenden, das für Madame Aveling bestimmt ist. Hochachtungsvoll Ludwig Krzywicki Warschau, Wilcza 39

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330 Friedrich Engels an Ludwik Krzywicki in Warschau London, nach Freitag, 24. Oktober 1890 (Entwurf)

 Es sind in der That Zeichen gesunden Lebens wenn einerseits das Kapital polnisch erscheint & andrerseits der Haller Kongreß beschließt ein polnisches Organ herauszugeben. 

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331 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Samstag, 25. Oktober 1890

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Ich schicke Dir an Dein Büreau Justice von heute mit einem Artikel von A. S. Headingley (alias Adolphe Smith) worin Ihr & namentlich Du zu Possibilisten gestempelt werdet. Der Verfasser ist ein in Paris geborner ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ der Kommune in Paris, Engländer, Literatus vulgarissimus, war während kam dann her, mit einem moving panorama von Paris & der Kommune, dessen totales Fehlschlagen als Spekulation er uns nie verzieh weil er glaubte der Generalrath der Internationale würde ihm ein allabendliches ˙ ˙ ˙˙wurde er Intimus der branche Publikum dafür zusammentrommeln.˙ ˙ So franc¸aise wo alle Mouchards & Lumpen – Ve´sinier, Caria &c – zusammenklüngelten & mit franz. Fonds secrets Blätter gegen den Generalrath herausgaben – des calomnies ordurie`res. Seit 6–8 Jahren ist er Hauptagent von Brousse hier & Vermittler zwischen ihm, der S. D. F. hier & verschiednen Belgiern (er ist steter Dolmetscher der possibilistischen & ˙ ˙˙˙˙˙˙Dir ˙ ˙ ˙ ˙ klar ˙ Bergarbeiter-Internat. Kongresse). Die bösartige Absicht ˙wird sein, aber auch die Dummheit – diese Leute verstehn den Haller Beschluß absolut nicht & glauben sie könnten die Poss., die sich in Frankreich selbst todtmachen, in Deutschland retten. Poor fellows! L. 25/10/90 Dein Ф. Э

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Herrn W. Liebknecht Kantstraße 160 Charlottenburg-Berlin Germany.

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332 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 26. Oktober 1890

Le Perreux 26.X.90 Mon cher Engels, J’ai rec¸u de Bebel la lettre suivante que j’ai imme´diatement envoye´e au Gil Blas: Monsieur le re´dacteur en chef du Gil Blas Monsieur, Le Gil Blas du 17 Octobre publie sous forme de correspondance une «Interview avec Mr Bebel». Je me permets de vous faire observer que vous avez e´te´ victime d’une duperie et qu’il n’y a pas un mot de vrai dans l’interview en ce qui concerne ma personne. Les discours que me pre`tent votre correspondant sont de son invention. Agre´ez etc. A. B. Je ne sais si le Gil Blas reproduira cette lettre, qui l’accuse de fumisterie, mais je la ferai publier dans le Socialiste, et c’est l’important. – Nous autres qui donnons en exemple le parti allemand, et qui professons publiquement la plus inconditionnelle admiration pour ses chefs, nous avons e´te´ de´concerte´s de voir le Gil Blas attribuer de telles opinions a` B. Nous ne tenions pas a` ce qu’il envoyaˆt une rectification a` ce journal pornographique, mais nous sommes heureux d’apprendre que jamais B. n’a professe´ de telles paroles. Le re´cit du G. B. e´tait si circonstancie´ et si se´rieux qu’on ne pouvait le supposer purement imaginatif. – Les journaux bourgeois disent tant de mensonges sur les Socialistes allemands que l’on ne peut perdre son temps a` les relever; mais la lettre de B. va nous permettre de pre´cautionner nos amis sur tout ce qu’ils liront d’e´trange dans la presse: c’est pour cela que je suis heureux d’avoir la lettre de B. pour la publier dans le Socialiste, tout en regrettant qu’il ait adresse´ une rectification a` un journal tel que le Gil Blas. Nous sommes bien heureux d’appendre que Nim commence a` se remettre en ingurgitant des huıˆtres. Bravo ! qu’elle continue dans ces bonnes habitudes. Amitie´s a` tous et bien a` vous P Lafargue

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Will you tell Nimmy that poor Madame Tanty, the mother of Gingerbread, whom she knows, died early in the morning of to-day.––Madame Tanty was one of the best & finest-natured women I have known. She was always more than good to me & I was deeply attached to her.––Will you let Tussy know of this who saw madame Tanty at Congress-time.–– Forgive my apparent negligence in not thanking you for your letter. Your Löhr.–– ––I will tell you what I think of this Gil Blas business some other time L

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333 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Montag, 27. Oktober 1890

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London 27 Okt 1890

Lieber Schmidt, Ich benutze die erste freie Stunde dazu Ihnen zu antworten. Ich glaube Sie werden sehr gut thun, den Züricher Posten anzunehmen. Oekonomisch können Sie da immer Manches lernen, besonders wenn Sie im Auge behalten daß Zürich immer doch nur ein Geld- & Spekulationsmarkt dritten Rangs ist, & daher die sich dort geltend machenden Eindrücke durch doppelte & dreifache Rückspiegelung abgeschwächt resp. absichtlich gefälscht sind. Aber Sie lernen das Getriebe praktisch kennen & sind genöthigt, die Börsenberichte erster Hand aus London, New York, Paris, Berlin, Wien zu verfolgen & da thut sich Ihnen der Weltmarkt – in seinem Reflex als Geld- & Effektenmarkt – auf. Es ist mit den ökonomischen politischen & andern Reflexen ganz wie mit denen im menschlichen Auge, sie gehn durch eine Sammellinse & stellen sich daher verkehrt, auf dem Kopf dar. Nur daß der Nervenapparat fehlt, der sie für die Vorstellung wieder auf die Füße stellt. Der Geldmarktsmensch sieht die Bewegung der Industrie & des Weltmarkts eben nur in der umkehrenden Wiederspieglung des Geld- & Effektenmarkts, & da wird für ihn die Wirkung zur Ursache. Das habe ich schon in den 40er Jahren in Manchester gesehn: Für den Gang der Industrie & ihre periodischen Maxima & Minima waren die Londoner Börsenberichte absolut unbrauchbar, weil die Herren alles aus Geldmarktskrisen, die doch meist selbst nur Symptome waren, erklären wollten. Damals handelte es sich darum [2] die Entstehung der Industriekrisen aus temporärer Überproduktion wegzudemonstriren, & die Sache hatte also obendrein noch eine tendenzielle, zur Verdrehung auffordernde Seite. Dieser Punkt fällt jetzt – wenigstens ein für allemal für uns – weg, & zudem ist es ja Thatsache daß der Geldmarkt auch seine eignen Krisen haben kann, bei denen direkte Industriestörungen nur eine untergeordnete Rolle oder selbst gar keine spielen, & hier ist noch manches, auch besonders historisch für die letzten 20 Jahre, festzustellen & zu untersuchen.

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Wo Theilung der Arbeit auf gesellschaftlichem Maßstab, da ist auch Verselbständigung der Theilarbeiten gegeneinander. Die Produktion ist das in letzter Instanz Entscheidende. Sowie aber der Handel mit den Produkten sich gegenüber der eigentl. Produktion verselbständigt, folgt er einer eignen Bewegung, die zwar im Ganzen & Großen von der der Produktion beherrscht wird, aber im Einzelnen & innerhalb dieser allgemeinen Abhängigkeit, doch wieder eignen Gesetzen folgt, die in der Natur dieses neuen Faktors liegen; die ihre eignen Phasen hat, & ihrerseits wieder auf die Bewegung der Produktion zurückschlägt. Die Entdeckung Amerikas war dem Goldhunger geschuldet, der die Portugiesen vorher schon nach Afrika getrieben (cf. Soetbeer’s „Edelmetall Produktion“) weil die im 14. & 15. Jahrhundert so gewaltig ausgedehnte europ. Industrie & der ihr entsprechende Handel mehr Tauschmittel erforderten, die Deutschland – das große Silberland 1450–1550 – nicht liefern konnte. Die Eroberung Indiens durch Portugiesen, Holländer, Engländer 1500–1800 hatte zum Zweck den Import von Indien, an Export dorthin dachte kein Mensch. Und doch, welch kolossaler Rückschlag dieser rein durch Handelsinteressen bedingten Entdeckungen & Eroberungen auf die Industrie – erst die Bedürfnisse für den Export nach jenen Ländern schufen & entwickelten die große Industrie. [3] So ist es auch mit dem Geldmarkt. Sowie sich der Geldhandel vom Warenhandel trennt, hat er eine – unter gewissen durch Produktion & Warenhandel gesetzten Bedingungen & innerhalb dieser Grenzen – eigne Entwicklung, besondre, durch seine eigne Natur bestimmte Gesetze, & aparte Phasen. Kommt nun noch dazu daß der Geldhandel sich in dieser weitern Entwicklung zum Effektenhandel erweitert, daß diese Effekten nicht nur Staatspapiere sind, sondern Industrie- & Verkehrsaktien dazukommen, der Geldhandel also eine direkte Herrschaft über einen Theil der ihn, im Ganzen & Großen, beherrschenden Produktion sich erobert, so wird die Reaktion des Geldhandels auf die Produktion noch stärker & verwickelter. Die Geldhändler sind Eigenthümer der Eisenbahnen, Bergwerke, Eisenwerke &c. Diese Produktionsmittel bekommen ein doppeltes Angesicht: ihr Betrieb hat sich zu richten, bald nach den Interessen der unmittelbaren Produktion, bald aber auch nach den Bedürfnissen der Aktionäre, soweit sie Geldhändler sind. Das schlagendste Beispiel davon: die nordamerik. Eisenbahnen, deren Betrieb ganz von den – der speziellen Bahn & ihren Interessen qua Verkehrsmittel total fremden – momentanen Börsenoperationen eines Jay Gould, Vanderbilt &c abhängt. Und selbst hier in England haben wir jahrzehntelange Kämpfe der verschiednen Bahngesellschaften um die Grenzgebiete zwischen je zweien gesehn – Kämpfe wo enormes Geld verpulvert wurde, nicht im Interesse der Pro-

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duktion & des Verkehrs, sondern einzig geschuldet einer Rivalität, die meist nur den Zweck hatte Börsenoperationen der die Aktien besitzenden Geldhändler zu ermöglichen. In diesen paar Andeutungen meiner Auffassung des Verhältnisses von Produktion zu Warenhandel, & von beiden zu Geldhandel, habe ich im Grunde auch schon geantwortet auf Ihre Fragen über historischen Materialismus überhaupt. Die Sache faßt sich am leichtesten vom Standpunkt der Theilung der [4] Arbeit. Die Gesellschaft erzeugt gewisse gemeinsame Funktionen deren sie nicht entrathen kann. Die hierzu ernannten Leute bilden einen neuen Zweig der Theilung der Arbeit innerhalb der Gesellschaft. Sie erhalten damit besondre Interessen auch gegenüber ihren Mandataren, sie verselbständigen sich ihnen gegenüber, & – der Staat ist da. Und nun geht es ähnlich wie beim Warenhandel & später beim Geldhandel: die neue selbständige Macht hat zwar im Ganzen & Großen der Bewegung der Produktion zu folgen, reagirt aber auch, kraft der ihr innewohnenden d. h. ihr einmal übertragnen & allmählig weiter entwickelten relativen Selbständigkeit, wiederum auf die Bedingungen & den Gang der Produktion. Es ist Wechselwirkung zweier ungleicher Kräfte, der ökonomischen Bewegung auf der einen, der nach möglichster Selbständigkeit strebenden &, weil einmal eingesetzten, auch mit einer Eigenbewegung begabten neuen politischen Macht; die ökonomische Bewegung setzt sich im Ganzen & Großen durch, aber sie muß auch Rückwirkung erleiden von der durch sie selbst eingesetzten & mit relativer Selbständigkeit begabten politischen Bewegung, der Bewegung einerseits der Staatsmacht, andrerseits der mit ihr gleichzeitig erzeugten Opposition. Wie im Geldmarkt sich die Bewegung des Industriemarkts im Ganzen & Großen, & unter oben angedeuteten Vorbehalten, widerspiegelt, & natürlich verkehrt, so spiegelt sich im Kampf zwischen Regierung & Opposition der Kampf der vorher schon bestehenden & kämpfenden Klassen wieder, aber ebenfalls verkehrt, nicht mehr direkt sondern indirekt, nicht als Klassenkampf sondern als Kampf um politische Prinzipien, & so verkehrt, daß es Jahrtausende gebraucht hat bis wir wieder dahinter kamen. Die Rückwirkung der Staatsmacht auf die ökonom. Entwicklung kann dreierlei Art sein: Sie kann in derselben Richtung vorgehn, dann gehts rascher, sie kann dagegen angehn, dann geht sie heutzutage auf die Dauer in jedem großen Volk kaput, oder sie kann 5 der ökonomischen Entwicklung bestimmte Richtungen abschneiden & andre vorschreiben – dieser Fall reduzirt sich schließlich auf einen der beiden vorhergehenden. Es ist aber klar daß in den Fällen II & III die politische Macht der ökonomischen Entwicklung großen Schaden thun & Kraft- & Stoffvergeudung in Massen erzeugen kann.

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Dazu nun noch der Fall der Eroberung & brutalen Vernichtung von ökonom. Hilfsquellen, woran unter Umständen früher eine ganze ökonom. Lokal- & Nationalentwicklung zugrund gehn konnte. Dieser Fall hat heute meist entgegengesetzte Wirkungen, wenigstens bei den großen Völkern: der Geschlagne gewinnt auf die Dauer ökonomisch, politisch & moralisch manchmal mehr als der Sieger. Mit dem Jus ist es ähnlich: sowie die neue Arbeitstheilung nöthig wird, die Berufsjuristen schafft, ist wieder ein neues selbständiges Gebiet eröffnet, das bei aller seiner allgemeinen Abhängigkeit von der Produktion & dem Handel doch auch eine besondre Reaktionsfähigkeit gegen diese Gebiete besitzt. In einem modernen Staat muß das Recht nicht nur der allg. ökonom. Lage entsprechen, ihr Ausdruck sein, sondern auch ein in sich zusammenhängender Ausdruck, der sich nicht durch innere Widersprüche selbst ins Gesicht schlägt. Und um das fertig zu bringen, geht die Treue der Abspiegelung der ökonom. Verhältnisse mehr & mehr in die Brüche. Und dies um so mehr, je seltner es vorkommt daß ein Gesetzbuch der schroffe, ungemilderte, unverfälschte Ausdruck der Herrschaft Einer Klasse ist: das wäre ja selbst schon gegen den „Rechtsbegriff“. Der reine, konsequente Rechtsbegriff der revolutionären Bourgeoisie von 1792–96 ist ja schon im Code Napole´on nach vielen Seiten gefälscht, & soweit er darin verkörpert, [6] muß er täglich allerhand Abschwächungen erfahren durch die steigende Macht des Proletariats. Was den Code Napole´on nicht hindert das Gesetzbuch zu sein das allen neuen Codifikationen in allen Welttheilen zugrunde liegt. So besteht der Gang der „Rechtsentwicklung“ großentheils nur darin, daß erst die aus unmittelbarer Übersetzung ökonomischer Verhältnisse in juristische Grundsätze sich ergebenden Widersprüche zu beseitigen & ein harmonisches Rechtssystem herzustellen gesucht wird, & dann der Einfluß & Zwang der ökonomischen Weiterentwicklung dies System immer wieder durchbricht & in neue Widersprüche verwickelt (ich spreche hier zunächst nur vom Civilrecht). Die Wiederspiegelung ökonomischer Verhältnisse als Rechtsprinzipien ist nothwendig ebenfalls eine auf den Kopf stellende: sie geht vor ohne daß sie den Handelnden zum Bewußtsein kommt, der Jurist bildet sich ein, mit aprioristischen Sätzen zu operiren, während es doch nur ökonomische Reflexe sind – so steht alles auf dem Kopf. Und daß diese Umkehrung, die, solange sie nicht erkannt ist, das konstituirt, was wir ideologische Anschauung nennen, ihrerseits wieder auf die ökonomische Basis zurückwirkt & sie innerhalb gewisser Grenzen modificiren kann, scheint mir selbstverständlich. Die Grundlage des Erbrechts, gleiche Entwicklungsstufe der Familie vorausgesetzt, ist eine ökonomische.

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Trotzdem wird es schwer nachzuweisen sein, daß z. B. in England die absolute Testirfreiheit, in Frankreich deren starke Beschränkung, in allen Einzelheiten nur ökonomische Ursachen haben. Aber in sehr bedeutender Weise wirken beide zurück auf die Oekonomie, dadurch daß sie die Vermögensverteilung beeinflussen. Was nun die noch höher in der Luft schwebenden ideologischen Gebiete angeht, Religion, Philosophie &c, so haben diese einen vorgeschichtlichen, von der geschichtlichen Periode vorgefundnen & übernommnen Bestand von – was wir heute Blödsinn nennen würden. Diesen verschiednen falschen Vorstellungen von der Natur, von der Beschaffenheit des Menschen selbst, von Geistern, Zauberkräften &c liegt meist nur negativ Ökonomisches zum Grunde; die niedrige ökonomische Entwicklung der vorgeschichtl. Periode [7] hat zur Ergänzung, aber auch stellenweise zur Bedingung & selbst Ursache, die falschen Vorstellungen von der Natur. Und wenn auch das ökonom. Bedürfniß die Haupttriebfeder der fortschreitenden Naturerkenntniß war & immer mehr geworden ist, so wäre es doch pedantisch, wollte man für all diesen urzuständlichen Blödsinn ökonom. Ursachen suchen. Die Geschichte der Wissenschaften ist die Geschichte der allmählichen Beseitigung dieses Blödsinns, resp. seiner Ersetzung durch neuen aber immer weniger absurden Blödsinn. Die Leute die dies besorgen gehören wieder besondern Sphären der Theilung der Arbeit an & kommen sich vor als bearbeiteten sie ein unabhängiges Gebiet. Und insofern sie eine selbständige Gruppe innerhalb der gesellschaftl. Arbeitstheilung bilden, insofern haben ihre Produktionen, incl. ihrer Irrthümer, einen rückwirkenden Einfluß auf die ganze Gesellsch. Entwicklung, selbst auf die ökonomische. Aber bei alledem stehn sie selbst wieder unter dem beherrschenden Einfluß der ökonom. Entwicklung. Z. B. in der Philosophie läßt sich dies am leichtesten für die bürgerliche Periode nachweisen. Hobbes war der erste moderne Materialist (im Sinn des 18. Jahrhunderts) aber Absolutist, zur Zeit wo die absolute Monarchie in ganz Europa ihre Blütezeit hatte & in England den Kampf mit dem Volk aufnahm. Locke war in Religion wie Politik der Sohn des Klassenkompromisses von 1688. Die engl. Deisten & ihre konsequenteren Fortsetzer, die franz. Materialisten, waren die echten Philosophen der Bourgeoisie – die Franzosen sogar der bürgerlichen Revolution. In der deutschen Philosophie von Kant bis Hegel geht der deutsche Spießbürger durch – bald positiv, bald negativ. Aber als bestimmtes Gebiet der Arbeitstheilung hat die Philosophie jeder Epoche ein bestimmtes Gedankenmaterial zur Voraussetzung, das ihr von ihren Vorgängern überliefert worden & wovon sie ausgeht. Und daher kommt es, daß ökonomisch

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zurückgebliebne Länder in der Philosophie doch die erste Violine spielen können: Frankreich im 18. Jhdt gegenüber England, auf dessen Philosophie die Franzosen fußten, später Deutschland gegenüber beiden. ˙ ˙ ˙auch ˙˙ Aber in Frankreich wie in Deutschland war die Philosophie, wie die allg. Literaturblüte jener Zeit, auch Resultat eines ökonomischen Aufschwungs. Die schließliche Suprematie der ökonom. Entwicklung auch über diese Gebiete steht mir fest, aber sie findet statt innerhalb der durch das einzelne Gebiet selbst vorgeschriebnen Bedingungen: in der Philos. z. B. durch Einwirkung ökonomischer Einflüsse [8] (die meist wieder erst in ihrer politischen usw. Verkleidung wirken) auf das vorhandne philos. Material, das die Vorgänger geliefert haben. Die Ökonomie schafft hier nichts a novo, sie bestimmt aber die Art der Abänderung & Fortbildung des vorgefundnen Gedankenstoffs, und auch das meist indirekt, indem es die politischen, juristischen, moralischen Reflexe sind, die die größte direkte Wirkung auf die Philosophie üben. Über die Religion habe ich das Nöthigste im letzten Abschnitt über Feuerbach gesagt. Wenn also Barth meint, wir leugneten alle & jede Rückwirkung der politischen usw. Reflexe der ökonom. Bewegung auf diese Bewegung selbst, so kämpft er einfach gegen Windmühlen. Er soll sich doch nur den 18. Brumaire von Marx ansehn, wo es sich doch fast nur um die besondre Rolle handelt, die die politischen Kämpfe & Ereignisse spielen, natürlich innerhalb ihrer allgemeinen Abhängigkeit von ökonomischen Bedingungen. Oder das Kapital, den Abschnitt z. B. über den Arbeitstag, wo die Gesetzgebung, die doch ein politischer Akt ist, so einschneidend wirkt. Oder den Abschnitt über die Geschichte der Bourgeoisie (24. Kapitel). Oder warum kämpfen wir denn um die politische Diktatur des Proletariats, wenn die politische Macht ökonomisch ohnmächtig ist? Die Gewalt (d. h. die Staatsmacht) ist auch eine ökonomische Potenz! Aber das Buch zu kritisiren hab’ ich jetzt keine Zeit. Der III Band muß zuerst heraus, & übrigens glaube ich daß auch z. B. Bernstein ganz gut das abmachen könnte. Was den Herren allen fehlt ist Dialektik. Sie sehn stets nur hier Ursache, dort Wirkung. Daß dies eine hohle Abstraktion ist, daß in der wirklichen Welt solche metaphysische polare Gegensätze nur in Krisen existiren, daß der ganze große Verlauf aber in der Form der Wechselwirkung – wenn auch sehr ungleicher Kräfte, wovon die ökonom. Bewegung weitaus die stärkste, ursprünglichste, entscheidendste – vor sich geht, daß hier nichts absolut & alles relativ ist, das sehn sie nun einmal nicht, für sie hat Hegel nicht existirt.

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9 Was den Parteikrakehl angeht, so haben die Herren von der Opposition mich mit Gewalt hineingezerrt, & da blieb mir keine Wahl. Die Art wie Herr Ernst mich behandelt hat ist absolut unqualifizirbar wenn ich ihn nicht einen Schuljungen nennen soll. Daß der Mann krank ist & schreiben muß um zu leben thut mir leid. Aber wer eine so starke Phantasie hat daß er nicht eine Zeile lesen kann ohne das Gegentheil des Gesagten herauszulesen, der kann seine Phantasie auf andern Gebieten anwenden als auf dem nicht phantastischen des Sozialismus. Er soll Romane Dramen Kunstkritiken & dergleichen schreiben da schadet er nur der Bourgeoisbildung & nützt uns damit. Vielleicht kommt er dann auch soweit zur Reife daß er im Stande ist auch auf unserm Feld etwas zu leisten. Aber das muß ich sagen. Solch ein Wust unreifen Zeugs & absoluten Blödsinns wie diese Opposition zu Tage gefördert ist mir noch nie & nirgends vorgekommen. Und diese grünen Jungen die nichts sehn als ihren maßlosen Eigendünkel, wollen die Parteitaktik vorschreiben! Aus einer einzigen Bebelschen Korrespondenz in der Wiener Arb. Ztg habe ich mehr gelernt als aus dem ganzen Wust dieser Leute. Und die bilden sich ein, mehr werth zu sein als dieser klare Kopf der die Verhältnisse so wunderbar richtig auffaßt & so handgreiflich in zwei Worten schildert! Es sind alles mißrathne Belletristen, & selbst der wohlgerathne Belletrist ist schon ein schlimmes Thier. Wenn die Volkstrib. unterginge sollte mir das leid thun. Unter Ihrer Redaktion hat sich gezeigt daß ein solches Wochenblatt, mehr theoretischen als aktuellen Inhalts schon etwas leisten könnte – & ich weiß ja welche Sorte Mitarbeiter Sie haben! Aber freilich, neben der Neuen Zeit, seitdem die wöchentlich geworden, wirds vielleicht fraglich ob sie haltbar. Jedenfalls werden Sie sich freuen, die Leiden & Freuden der Redaktion ablegen zu können & Zeit für andre als rein journalistische Arbeiten zu finden. Und auch in Berlin wird die nächste Zeit noch durch allerhand Nachklänge [10] des letzten Krakehls beherrscht sein, & dabei kommt nichts heraus für den der mitten drin steht. Der Abdruck der Stelle meines Briefs hat nichts geschadet, aber so etwas geschieht doch besser nicht. In Briefen schreibt man aus dem Kopf & rasch, ohne Nachschlagen &c, & da kann denn immer ein Ausdruck mit unterlaufen an den sich dann einer von jenen, bei uns am Rhein als Korinthenscheißer bezeichneten, Leuten hängt & Gott weiß was für Blödsinn daraus ableitet. Besten Dank für Ihre anticipirten Glückwünsche zu meinem 70. Geburtstag, zu dem es immer noch einen Monat Zeit hat. Es geht mir soweit noch recht wohl, nur daß ich meine Augen noch immer schonen muß & bei Gaslicht nicht schreiben darf. Wollen hoffen daß es so bleibt. Jetzt muß ich aber schließen. Mit herzlichen Grüßen Ihr F. Engels

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334 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Montag, 27. Oktober 1890

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Es freut uns sehr aus Deinem heute Morgen hier eingetroffenen Brief zu sehn, daß es Dir vortrefflich zu gehn scheint, u. Du von dem herannahenden Alter noch wenig spürst! Heute wollte ich Dir nur sehr kurz schreiben, u. Dir mittheilen, daß Du allerdings viel zu wenig Sherry hast absenden lassen, das ist aber ein Fehler, der sich leicht ausbessern läßt. – Meine ursprüngliche Ordre lautete auf 4 Dtzd. Fl. Sherry für mich 8 ″ ″ ″ ″ Alb. Pferdmenges & 4 ″ ″ ″ ″ Robert Croon also 16 Dtzd, während Du nur 2 Dtzd. für mich & 6 Dtzd. für Alb. Pferdmenges, also 8 Dtzd. hast absenden lassen. – Da uns nun die Probe geschmeckt hat, und man nicht wissen kann, ob wir später noch ebenso guten Wein erhalten würden, so meine ich, es sei rathsam jetzt auch meine ganze Ordre ausführen zu lassen. – Bist Du derselben Meinung, so lasse noch 2 Dtzd. Flaschen an mich 2 ″ ″ ″ Alb. Pferdmenges & 4 ″ ″ ″ Robert Croon, Gladbach nachsenden. Lassen sich 4 Dtzd. nicht gut in eine Kiste packen, dann können auch 2 × 3 Dtzd. an Alb. Pferdmenges & Rob. Croon gesandt werden. – Die Rechnung über 8 Dtzd. Flaschen lautet auf £ 15.19.–, es kommen dann weiters ″ 15.19.– hinzu, also £ 31.18.– zusammen. Sobald auch die 2te Sendung eingetroffen sein wird, gehe ich dann an’s Bezahlen. Ich sehe ja schon aus Deiner Mittheilung, wie dies zu machen ist. Im Uebrigen kannst Du versichert sein, daß uns die Zinsen Deines kleinen Guthabens absolut nicht belästigen. – Am 3. Novbr wollen Emma u. ich für ca 14 Tage nach Engelskirchen, hast Du mir also während dieser Zeit etwas zu berichten so sende es nach Engelsk. Nächstens mehr. Herzlichst Dein Hermann. –

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335 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 28. Oktober 1890

Le Perreux, 28.X.90 Mon cher Engels, J’ai duˆ ce mois payer mon terme, c’est vous dire que nos ressources sont e´puise´es, encore plus comple`tement que je ne craignais, a` cause d’un achat que j’ai duˆ faire pour l’hiver qui commence a` se faire vivement sentir: ce sera la dernie`re fois que j’aurai recours a` votre bourse cette anne´e, car un de mes articles de la Nouvelle Revue paraıˆtra dans le courant du mois de Novembre et me permettra d’aller jusqu’au jour de l’an.

Vous avez duˆ eˆtre satisfait de nos de´clarations sur l’alliance russe; porte´es a` Halle par Guesde; elles ont eu un e´norme retentissement en France. La presse qui est comple`tement vendue a` la Russie a hurle´ contre nous; nous sommes des traıˆtres qui voulons livrer la France a` la Prusse en la de´pouillant de son allie´e fide`le. Guesde et moi nous sommes habitue´s a` ces criailleries, mais Ferroul est un peu interloque´ ; il craint qu’a` la Chambre on [ne] lui rende sa position insoutenable, qu’on ne l’empeˆche de prendre la parole: on a de´ja` demande´ qu’il donne sa de´mission. Guesde et Ferroul sont revenus enthousiasme´s de Halle; l’impression que le congre`s de Lille leur avait faite a e´te´ comple`tement efface´e par la grandeur de celle que leur a laisse´e le congre`s allemand. Ils ont vu la repre´sentation d’un grand parti, discipline´, admirablement organise´, sachant ce qu’il veut faire, maıˆtre de lui et ne se laissant pas de´tourner de son but par des questions secondaires, telles que celles souleve´es par les Werner et Co. – Wollmar a produit le plus mauvais effet sur eux, sa conduite leur a semble´ extreˆmement louche. Faites nos amitie´s a` He´le`ne, qui doit eˆtre a` peu pre`s remise et bien a` vous P Lafargue

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336 Georg Lesemann an Friedrich Engels in London Herford, Freitag, 31. Oktober 1890

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In der Volkswacht in Bielefeld las ich vor einiger Zeit einen Artikel aus Ihrer Feder den Sie als Scheideartikel des Socialdemokraten in London geschrieben. In den Jahren 1855–58 war ich im Hause August Görz Celle wo ich mit Ihrer werthen Firma Ermen & Engels in Barmen bekannt wurde. ˙Seitdem ˙˙ ˙ ˙ ˙ bin ich alt geworden & die geschäftlichen wie wirthschaftlichen Zustände immer schlechter. Früher war ich Bekenner der freisinnigen Partei jetzt gehöre ich der Socialisten Partei an, obwohl mich auch diese nicht ganz beglückt, so sind doch die Leiter derselben erziehentlich & rührig, so daß nach unserm Ableben, doch noch etwas beglückendes & ersprießliches für die Menschheit daraus hervor gehen wird. – Ich habe seit den Jahren 1857 bis jetzt, wenn auch in den letzten 20 Jahren nicht mehr permanent in Deutschland geschäftlich gereist & gefunden daß unsere wirthschaftlichen Zustände durch den Borg & das Hy¨potheken Wesen so sehr leiden und es besser wäre, wenn diese alten Formen, welche nicht mehr für unsere leider alzu moderne Civilisation passen abgeschafft würden & an dessen Stelle das Baarsy¨stem treten würde. Sie als Geschäftsmann würden dies doch auch mit Freude begrüßen & wir würden dadurch auch wieder billigere Zeiten bekommen, was für den Arbeiter & den Handwerker auch alle Geschäftstreibende von Nutzen wäre, was kostete vor 30–35 Jahren Fleisch, Butter, die Grundwerthe & was heute? Wie kommen wir zum Baarsystem ohne das Bestehende zu schädigen? Dadurch daß das Gesetz erlassen würde = jeder Credit ist unverfolgbar vor dem Gesetz. = neue Eintragungen in die Hypothekenbücher sind nach Annahme des Gesetzes vielleicht nach 3 Jahren nicht mehr möglich respective für neue Eintragungen sind die Hypothekenbücher geschlossen, die alten Eintragungen werden wie bisher verwaltet, durch Subhastation oder Baarverkäufe erledigen sich die Hypotheken & ergebe eine Welt ohne Schulden & somit würde das Glück wieder bei den Menschen Einkehr halten. Mit diesen Gedanken habe ich mich schon mindestens 15 Jahre vertraut gemacht & wäre es mir angenehm, wenn Sie denselben für Ihre schriftstellerischen Arbeiten verwenden könnten, ich stehe dann mit näherer Beleuchtung dieses Gegenstandes gern zu Diensten.

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336. Georg Lesemann an Engels · 31. Oktober 1890

Ließe sich dies zur allgemeinen Glückseeligkeit der Menschen nicht für die sociale Bewegung verwerthen. In Deutschland giebt es fast kein Mittelstand mehr, dieser Erhalter des Staates hat das Creditsystem auch ruinirt. Wenn Sie einmal Zeit haben meine Zeilen zu beantworten & mir Ihre Meinung darüber mitzutheilen würde ich Ihnen sehr verbunden sein Hochachtend Georg Lesemann. Herren Fried Engels. Ad Herren Ermen & Engels Barmen

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337 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Sonntag, 2. November 1890

Londres le 2 Nov. 1890 Mon cher Lafargue

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La pauvre Nim est tre`s-malade. Depuis quelque temps il paraıˆt qu’il y a eu un renouvellement de menstruation, et il y a trois semaines elle a eu une perte de sang conside´rable. Dr. Read que nous avons consulte´ trouva son teint tre`s jaune tandis qu’il ne trouva aucune trace de bile dans son urine – il en suppose la possibilite´ d’une tumeur ute´rine, mais il ne l’a pas examine´e manuellement. Puis elle eut des douleurs dans l’aine gauche de`s qu’il passait de la matie`re fe´cale dans le colon vers la flexure sigmoı¨dale – cela a encore disparu & je la croyais en train de se remettre lorsque des douleurs tre`s vives se de´clare`rent dans le pied gauche. Pendant tout ce temps manque absolu d’appe´tit, grande soif (elle n’a subsiste´ que sur du lait & du bouillon, sans nourriture solide). Les douleurs dans le pied gauche aboutirent a` une thrombose dans une veine du mollet. Cela paraissait prendre le cours naturel, les douleurs devinrent moindres, & ce matin elle se reveillait, apre`s une bonne nuit, assez rafraıˆchie en apparence & meˆme gaie. Mais entre 11 h. & midi un changement survint, & Read trouva la tempe´rature 104 o F. = 40 o C. bien qu’elle n’euˆt eu le thermome`tre dans la bouche que 11/2 minutes; elle devint comme demiendormie, ses faculte´s mentales sont atteintes le pouls est rapide & fie´vreux, correspondant a` la tempe´rature. Enfin Read soupc¸onne que dans l’e´tat cachectique de son sang (indique´ plus ou moins par les symptoˆmes pre´ce´dents) le sang coagule´ se de´compose et empoisonne le sang vivant. Cet apre`s-midi il va chercher a` revenir avec Heath du Gowerst. Hospital pour une consultation. Voila` tout ce que je puis vous e´crire en ce moment. Si Heath vient, je ˙ ˙˙ ˙ vous dirai encore le re´sultat. Embrassez Laura pour moi. Tout a` vous F. E. Consultation avec un M. Pakard, le seul qu’on a pu trouver. Il pense qu’il y a suppuration diffuse dans le pied qui cause la septice´mie; on a

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337. Engels an Paul Lafargue · 2. November 1890

change´ le mode de fomentation et administre´ 4 grains = 4/15 gramme de chinine. On a examine´ tant bien que mal l’ute´rus mais on n’a rien trouve´ jusqu’a` pre´sent excepte´ une petite place un peu suspecte a` l’orifice, a` laquelle cependant «so far» on n’attache pas d’importance. Naturellement, la possibilite´ d’une embolie reste toujours ouverte, et avec elle la possibilite´ de complications ulte´rieures, pulmonaires ou autres. Mais le bonhomme envisage le cas d’une manie`re plus «hopeful» que Read. S’il y a change j’e´crirai de nouveau demain.

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338 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Dienstag, 4. November 1890

Barmen, 4. Novbr 1890. Lieber Friedrich!

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Das inliegende Schriftstück kam am Sonntag hier an; da es an Ermen & Engels adressirt war u. ich eine Offerte in Cigarren darin vermuthete, öffnete ich das Couvert. – Manche denken auch, Vater lebte noch und schreiben dann an Friedr. Engels in Barmen. Aug. Görz ist längst todt, er war früher Kunde von uns. – Ob Du nach der Methode des Herrn Lesemann glaubst die Menschheit beglücken zu können, weiß ich nicht, glaube es aber nicht. – Von der ersten Sendung Sherry habe ich noch nichts gehört. – Nächstens mehr; sogleich muß ich noch Schwager Duddenhausen an der Bahn abholen, der diese Nacht bei uns bleiben will – Herzliche Grüße von Deinem Hermann.

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339 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Mittwoch, 5. November 1890

Unsere liebe gute Nimmy ist gestern Nachmittag um halb drei sanft entschlafen. Sie war nur kurze Zeit krank & hatte wenig, zuletzt gar keine Schmerzen. Dein F. E. 5/11/90 Herrn Karl Kautsky Rothbühlstr. 145/II Stuttgart Germany

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340 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 5. November 1890

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Heute habe ich Dir eine Trauernachricht zu melden. Mein gutes liebes treues Lenchen ist gestern Nachmittag nach kurzer & meist schmerzloser Krankheit sanft eingeschlafen. Wir haben sieben glückliche Jahre hier im Hause zusammen verlebt. Wir waren die zwei letzten von der alten Garde von vor 1848. Jetzt steh ich wieder allein da. Wenn während langer Jahre Marx, & in diesen sieben Jahren ich, Ruhe zum Arbeiten fand so war das wesentlich ihr Werk. Wie es jetzt mit mir werden wird weiß ich nicht. Ihren wunderbar taktvollen Rath in Parteisachen werde ich auch schmerzlich entbehren. Grüß Deine Frau herzlich & theil es Schlüters mit. Dein F. E. 5. Nov. 90. F. A. Sorge, Esq. Hoboken N. J. U. S. America

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341 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Mittwoch, 5. November 1890

November the 5/90 Lieber Engels! Sehr erstaunt fant ich heute Abent, als ich zu Hause kahm, die traurige nachricht, das unsere Alte und treue Freundin Lenchen gestern gestorben ist. Es thut mir sehr leit das ich dieselbe nicht noch einmahl Lebend gesehen habe. Es thut uns allen sehr leit, und betrauern ebenfals Deinen verlust, da dieselbe eine so zuverlässige und treue Freundin in jeder beziehung gewesen. Du wirst sie jedenfals am meisten missen. wier alten kännen ja ihre guten Eigenschaften wir wissen ja, waß sie in so vielen Jahren für die Familie Marx gewesen, und was sie seit Marx’s Todt für Diech war. ich Hoffe das sie noch die Freude erlebt hat, zu Lesen in der Neuen Zeit, was unser Freund Paul Lafargue, über ihre guten Eigenschaften geschrieben hat. ich habe dieselbe immer sehr geachtet, sie sagte immer offen, was sie meinte, sie war keine Schmeichlerin. sei ihr die Erde Leicht. Morgen gegen Abent werde ich zu Dier kommen, um zu hören, wann daß Begräbniß statfinden wird. mit tiefster theilname Dein F. Lessner

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342 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 5., oder Donnerstag, 6. November 1890

Berlin W, Großgörschenstr. 22a Lieber Engels:

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Dein Telegramm, das uns den Tod Nimms anzeigte, kam gestern Abend gegen 10 Uhr an. Wir waren alle sehr bestürzt und sprechen Dir unsere lebhafteste Theilnahme aus über den schweren Verlust der Dich damit betroffen. Du hast an ihr eine zweite Frau verloren, die vielleicht besser als manche Ehefrau Deinen Wünschen und Bedürfnißen Rechnung zu tragen wußte und eine treue Genossin Dir war. Als Du mir neulich schriebst sie sei unwohl, beschlich mich die Befürchtung, der ich auch gegenüber meinen Angehörigen Ausdruck gab, sie möchte sterben. Da war es Frieda, die auf Grund ihrer Bekanntschaft mit ihr diesen Sommer in Paris, glaubte annehmen zu dürfen daß so ihr Zustand schwerlich sei. Frieda hatte sie in Paris sehr wohl und munter aussehend gefunden und der gleichen Ansicht war ihr Bräutigam, der sie jünger aussehend fand als sie war. Nun die treue Seele ist hin und es wird Dir unmöglich sein auch nur einen annähernden Ersatz für sie zu finden. – Wie Du siehst sind wir im Augenblick wieder im Reichstag beschäftigt. Die Arbeiter-Schutzgesetzkommission ist heute wieder in Thätigkeit getreten und nimmt uns täglich 6–7 Stunden Zeit weg. Wenn die Zeitopfer nur noch durch den Erfolg ausgeglichen würden, so redet man aber ziemlich für die Katze. – Ich hoffe daß wenn wir in der zweiten Hälfte dieses Monats hinüber kommen – Liebknecht u. Singer kommen mit – wir Dich wohl und munter antreffen. Ueber˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙Schlag, weil er überwunden werden muß. winde den Herzlichen Gruß von uns Allen Dein A Bebel.

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343 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Freitag, 7. November 1890

Stuttgart, Rothebühlstrasse 145/II 7/11 90 Mein lieber Engels, Daß wir unsere Nimmi verloren haben, das ist ein harter Schlag! Poor old Nimm! Sie war uns allen eine zweite Mutter, und wenn mir Dein Haus ein wirkliches Heim geworden, so verdankte ich das nicht zum mindesten ihr. Und nun sollen wir ihr gutes Gesicht nicht mehr sehn, ihr gar nicht danken können für all das Liebe und Gute, das sie uns erwiesen. Als ich vor wenigen Wochen Lafargues Artikel über Marx veröffentlichte, da freute mich darin vielleicht am meisten der Passus über Nimmi, der ich durch dessen Publizirung wenigstens indirekt die Verehrung zeigen konnte, die ich für sie hegte. Und wie mir, geht es wohl Jedem, der sie gekannt. Auch Tauscher hier freute sich über diese Stelle am meisten; der arme Kerl! Als ich ihm heute die traurige Nachricht mittheilte, weinte er fast. Und wie gering ist doch unser Verlust im Vergleich zu dem, den Du erlitten! Das Lenchen kann Dir Niemand ersetzen. Es gibt nur eine Nimmi. Aber ich hoffe, daß es den Jüngern gelingen wird, mit der Zeit die Lücke wenigstens so weit auszufüllen, daß Du sie nicht allzu schmerzlich empfindest. Es ist mir eine große Beruhigung, zu wissen, daß Du so liebe Freunde, wie Schorlemmer, Avelings, Bernsteins, Roshers, in Deiner Nähe hast. Ich schließe für heute, denn ich habe die Empfindung – die ich erst jüngst in einem schmerzlichen Fall, der meine arme Frau betroffen, erfahren – als solle ein Kondolenzschreiben so kurz als möglich sein. Trostesworte, namentlich geschriebene, sind immer schaal und auch unnütz. Ein Kind kann man dadurch beschwichtigen, nicht aber einen Mann. Lautes Mittrauern aber heisst nichts anderes, als in der blutenden Wunde wühlen. Wären wir bei einander, so genügte ein Händedruck, zu sagen, was ich empfinde. So bin ich auf Worte angewiesen. Zum Schluß noch eine Bitte: Ich besitze kein Bild von Nimmi. Sollte sich eines finden, das frei ist, dann bitte, laße es mir zukommen. Leb wohl, lieber Engels, ich drücke Dir im Geiste die Hand, Dein Karl Kautsky

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344 Friedrich Engels an Louise Kautsky in Wien London, Sonntag, 9. November 1890

London 9 Nov. 1890. Meine liebe, liebe Luise

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Wie ein Kuß und Händedruck von Ihnen hat mich Ihr Telegramm erwärmt und erfreut in den schweren Stunden die ich jetzt durchzumachen habe. Noch wenige Tage vor ihren Tod sagte Nimmi, ach wenn ich doch die Luise hier haben könnte – sie hatte grade große Schmerzen von ihrem Fuß u. ich versprach ihr wenn die Sache nicht bald lassen würde an Sie deshalb zu schreiben. Und genau acht Tage darauf haben wir sie zur Ruh gelegt, in dem Grabe wo Frau Marx u. Marx auch ruhn. [...] Was ich für Tage darauf durchgelebt, wie furchtbar öde und wüst mir die Welt erschien und noch erscheint, das erlassen Sie mir. Da kam die Frage, was nun? Wer kann an ihre Stelle treten. Und da, liebe Luise stand mir ein Bild lebendig, wahrlich, Tag u. Nacht vor meinen Augen u. das warst Du. Da sagte ich wie Nimy ach könnte ich nur die Luise hier haben. Aber ich wagte nicht an die Verwirklichung zu denken. Sie haben einen neuen Beruf gewählt, sind glücklich u. erfolgreich darin. Noch mehr. Sie haben neue Pflichten übernommen, die wahrscheinlich ein unüberwindliches Hindernis bilden. Und ich hätte schwerlich gewagt diese Zeilen zu schreiben. Aber als ich der Tussy zweifelnd u. unsicher Ihren Namen nannte, da sagte sie, das sei auch ihr erster Gedanke gewesen. Das ermutigte mich. Und dann weiß ich, was auch geschieht, ich hätte nie mehr Ruhe gehabt, hätte ich nicht Ihnen zu allererst u. sogleich diese Frage gestellt. Und wenn man dann über Möglichkeit u. Unmöglichkeit von so etwas spintisirt, da malt man sich die Sache zuletzt so zurecht als sei sie doch möglich. Ich sagte mir: wir alle erwünschen u. hoffen daß Luise in kurzem an der Seite eines Mannes durch erhöhtes Glück Entschädigung findet für die bitteren Stunden u. Monate die sie durchgemacht hat. Wer weiß ob sie da ihrem Beruf treubleiben kann? Und wenn sie herkommt, finde ich nicht in ihr eine wertvolle Gehülfin meiner Arbeiten, hab’ ich nicht schon gerade jetzt ein Ordnen u. Sichten der alten Papiere von

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Marx u. mir – woran ich grade – eine Arbeit die ich außer Marx Töchtern niemand anvertrauen möchte als grade dieser so absolut zuverlässigen Luise? Und wird sie dabei nicht auch hier einen interessanten Beruf finden, wenn sie sich vertraut macht mit der Geschichte der Partei seit 50 Jahren u. mit den Einzelheiten der Theorie u. ihrer Anwendung? Und was dergleichen Phantasien mehr sind. Kurz mit Hülfe dieser Phantasien u. der Zureden von Tussy bin ich zu der Hoffnung gekommen, daß doch vielleicht eine entfernte Möglichkeit da ist, und da möchte ich Ihnen sagen wie ich mir die Sache denke: Unter allen Umständen werde ich zwei Mädchen haben müssen, cook and housemaid. Wer auch meinen Hausstand leitet, wird sich den hiesigen Vorstellungen unterordnen müssen, daß eine Dame keine menial services übernehmen darf. Vielleicht würde mir das sogar aufgenötigt, und ganz sicher, wäre ich gezwungen zu jemand Zuflucht zu nehmen die nicht innerhalb unsrer Partei steht. Das steht also fest, u. wäre Nimm nicht so versessen auf ihre Küche gewesen, so wäre es längst geschehen, denn man kriegt jetzt hier nur noch ordentliche Mädchen wenn ihrer zwei im Hause sind. Sie würden also nur die Aufsicht zu führen haben, u. alle übrige Zeit frei für was Ihnen beliebt, medizinische Studien od. Hülfe bei meiner Arbeit, oder worauf Sie sich sonst werfen wollen. Und da ich die zwei Mädchen u. die Befreiung der Hausvorsteherin von der Hausarbeit unter allen Umständen haben muß, so ist das nicht einmal ein Anerbieten das ich Ihnen zu Gefallen mache – ich weiß es geht nicht anders. Von anderen Einzelheiten, Geldgeschichten u. s. w. in diesem Augenblick zu Ihnen zu sprechen hieße meine teure Luise beleidigen. Nur dies will ich sagen: das Reisegeld hin u. zurück nach Wien stelle ich Ihnen jedes Jahr unter allen Umständen zur Verfügung. Doch was soll ich mich in Illusionen bestärken. Ich hoffe nur dies sicherlich: Sie wollten ja doch um diese Zeit herkommen, wollen Sie nicht sehen ob Sie es nicht fertig bringen können u. dann ein paar Monate hier bei uns ausruhen? Wir können dann den ganzen Fall hier durchsprechen u. bleiben entweder als die Alten zusammen od. gehen als die Alten auseinander. Nun fällen Sie Ihr Urteil. Überlegen Sie die Sache. Beraten Sie sich mit Adlers. Wenn wie ich fürchte diese meine Phantasie unverwirklicht bleiben muß, oder wenn Sie die Nachteile u. Unannehmlichkeiten für sich größer finden als die Vorteile u. Freuden, dann lassen Sie mich das ohne Umschweif wissen. Ich liebe Sie viel zu sehr als daß ich wünsche Sie sollten mir ein Opfer bringen. Sie wissen ich habe Sie von Anfang u. immer mehr lieb gehabt. Aber in der schweren Zeit die Sie vor zwei

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Jahren durchgemacht, da hab ich noch mehr gefühlt wie lieb u. teuer Sie mir sind, wie Sie mir ans Herz gewachsen wie mein eigen Kind. Und eben deswegen bitte ich Sie mir kein Opfer zu bringen u. bitte Adler durch Sie Ihnen davon abzuraten. Sie sind jung u. haben eine schöne Zukunft vor sich, ich werde in drei Wochen siebzig u. habe doch nur noch kurze Zeit zu leben. Diesen paar Jahren darf kein junges hoffnungsreiches Leben geopfert werden. Kraft mich durchzuschlagen hab ich ja doch noch. Aber nicht wahr, auf ein paar Monate kommen Sie her? Dies Opfer nehme ich an. Da können wir die Zukunft u. die Vergangenheit besprechen da können Sie Ihre alten hiesigen Freunde wiedersehn, u. da erzähle ich Ihnen von unserer herzigen Nim. In unvergänglicher Liebe Ihr F. Engels.

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345 Victor Adler an Friedrich Engels in London Wien, Montag, 10. November 1890

Wien, 10/11 90. Verehrter Freund! Durch Luise erfahren wir von dem schweren Schlage, der Dich so unvermutet getroffen. Mir war eines der rührendsten, unvergeßlichsten Bilder, als ich bei meinem Aufenthalte bei Dir sah, mit welcher zarten Sorgfalt Du die gute Nimm umgabst u. welche ganz einzige Freundschaft sie Dir u. Allen, die Dir nahe stehen entgegen brachte. – Was kann u. soll ich bei ihrem Tode sagen?! Vielleicht erscheint es Dir roh u. unzart; aber wir denken bei Allem nur, wie Du es trägst; wie es auf Dich wirkt, den wir so nötig haben, nötiger als je. – – Wir wünschen von Herzen, daß Du diesen schweren Verlust verwindest, und uns erhalten bleibst als der kräftige, weise Führer und Berater. Wie oft erzählte ich von Deinem Heim, das gerade durch die Verblichene jenen Zauber der Gutheit, Wohligkeit erhielt. – – Nun stehst Du allein! Wir brennen vor Ungeduld zu hören, was Du tun wirst. – Noch habe ich Luise nicht gesehen, die Arme rackert sich wieder ab in irgendeiner Familie, – hoffentlich weiß sie schon Näheres. Nimm von mir u. meiner Frau herzlichsten Gruß u. den Ausdruck warmer inniger Teilnahme. Dein Dr VAdler

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346 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 10. November 1890

10. November 1890. Lieber General!

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Meine Reise hierher ist im Ganzen recht glücklich von Statten gegangen; nur die Elsa wurde in der Nacht von der Seekrankheit befallen u. am Morgen meine Frau zu einem kleinen Opfer gezwungen, wir übrigen stiegen pudelwohl in Vlissingen ans Land. Hier liegt die Arbeit in Fülle u. Hülle auf meinem Tisch, so daß vorderhand zu einer Sehnsucht nach London die Zeit fehlt. Und daß der Abstand von dorten mir gleich recht fühlbar vor Augen trete, erlebte ich heute schon die erste polizeiliche Haussuchung im „Volksblatt“ – auf den neu gedruckten Parteiprogrammen u. Organisationen fehlt nämlich am Impressum der Vermerk des Verlages; statt: Verlag und Druck von Max Bading heißt es nur: Druck von etc, was natürlich sofort hochnothpeinliche Staatsrettung in Form einer Haussuchung u. Confiskation zur Folge hatte. Wie viel den Fingern der Heiligen Her˙˙˙˙ ˙ ˙ ˙ mandad zum Opfer fielen, weiß ich augenblicklich noch nicht. Bezüglich der Lassalle-Ausgabe hatte sich Schoenlank im Auftrage der Partei an Lothar Bucher gewandt, der zur Zeit in Varzin bei Bismarck zu Besuche ist. Auf seine Bitte um eine Unterredung erhielt er postwendend eine Antwort, die natürlich keine Schlußfolgerung zuläßt, insofern aber doch günstig ist, als sie auch keinerlei Ablehnung enthält. Es heißt darin: „Ew. Hochwohlgeboren etc. ˙ ˙ ˙Gast ˙ ˙ ˙ im erwidere ich, dass eine Unterredung hier nicht thunlich ist, wo ich als Hause des Fürsten lebe und wo die Verbindung mit der nächsten Eisenbahnstation nur durch Seine Fuhrwerke unterhalten wird, über die ich nicht verfügen kann. Wenn ich wieder in Berlin bin, und meine Papiere eingesehen habe, werde ich Ihnen eine weitere Mittheilung machen“. Es scheint also, daß er das Verlagsrecht noch nicht an Dunker & Humblott endgiltig übertragen hat, u. unter diesen Umständen kommt mir der Gedanke, ob Du mit Deiner definitiven Zusage betr. des Briefwechsels Lassalle’s mit Marx u. Dir nicht ebenfalls zuwarten möchtest, bis über die von uns beabsichtigte Lassalle-Ausgabe Klarheit geschaffen ist. Ich theilte dies Auer mit, u. der meinte auch, ich solle Dir sofort diese Mittheilung zukommen lassen, u. in der morgigen Vorstandssitzung ist jedenfalls keine Meinungsverschiedenheit darüber, daß diese heutige Bitte von uns die des Vorstandes werden wird. Uebrigens werden August etc bei ihrem nächsten Besuche darüber dann wohl des Näheren mit Dir sprechen.

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346. Richard Fischer an Engels · 10. November 1890

Beiliegenden Brief darf ich Dich wohl bitten auf die Post zu geben; er enthält die Bestellung auf „Justice“ u. „Freiheit“, den Artikel der letzteren über das „Konzil in Halle“ muß man doch auch abdrucken, gerade wie den letzten. Mit den herzlichsten Grüßen an Dich, Avelings, Ede etc von mir u. meiner Familie speziell, die wir Dir so sehr zu Danke verpflichtet sind u. von uns Allen hier Dein Richard Fischer.

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347 Eduard und Mathilde Gumpert an Friedrich Engels in London Manchester, Dienstag, 11. November 1890

203 High Streett Manchester Novbr. 11/90. Lieber Engels. 5

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Ich habe heute Nachmittag zu meinem größten Bedauern von Schorlemmer gehört, daß Du Dein treues Lenchen verloren hast & brauche ich Dir nicht zu versichern, daß ich & meine Frau den innigsten Antheil an Deinem schweren Verlust nehmen. Es wird Dir gutthun, wenn Du möglichst rasch auf einige Zeit von Hause gehst & sollst Du uns jeder Zeit auf das Herzlichste willkommen sein. Ich muß wahrscheinlich am Donnerstag oder Freitag nach Stamford um eine Imandts Schwägerin zu sehen. Daher aber jedenfalls am nächsten Tage wieder zurück. Vielleicht geht meine Frau mit mir, doch bleibt sie natürlich zurück, wenn Du schon vor dem Sonnabend hier eintriffst. Wir nehmen Deine Entscheidung an & rechnen mit Sicherheit darauf, daß Du schon in wenigen Tagen zu uns kommst. Du wirst Dich freuen, das alte Manchester einmal wieder zu sehen! Ich kann aus den sehr mangelhaften Angaben Schorlemmer’s nicht recht klug werden, vermuthe aber, daß Lenchen an Embolismal gestorben ist. Wir wollen die Sache später ausführlicher besprechen. Ich habe mich gefreut zu hören, daß Madame Lafargue, die ich bestens zu grüßen bitte, Dir treu zur Seite steht, doch geht sie nun wohl auch gern müde zu ihrer Familie zurück, also komme sobald als möglich. Meine Frau will noch einige Zeilen beifügen, daher für heute adieu, alter Freund. Mit warmem Händedruck Dein E. Gumpert. Lieber Herr Engels

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Ich muß meines Mannes Zeilen noch einige Worte hinzufügen, um Ihnen mein inniges Bedauern auszudrücken über den plötzlichen Tod Ihrer treuen Lenchen. Auch ich bitte sehr dringend, bitte kommen Sie doch bald zu uns, – wir wollen versuchen es Ihnen hier behaglich zu machen. Mit herzlichem Gruß Ihre M. Gumpert

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348 Friedrich Engels an Adolf Riefer in Saarburg London, Mittwoch, 12. November 1890

122 Regents Park Road N. W. London 12 Nov. 1890. Herrn Adolf Riefer in Saarburg i/Lothringen ˙˙ ˙ ˙ ˙ Ich habe Ihnen heute die traurige Mittheilung zu machen daß meine langjährige Freundin & seit sieben Jahren Hausgenossin, Ihre Tante Fräulein Helene Demuth am 4. ds Mts nach kurzer Krankheit sanft & schmerzlos gestorben ist. Wir waren seit 1845 befreundet, & als sie nach dem Tode meines Freundes Marx mir die Ehre & Freude erwies, die Leitung meines Hauswesens zu übernehmen, fingen für mich Jahre der Zufriedenheit, Ruhe & ich kann wohl sagen des häuslichen Glücks an wie sie mir seit dem Tod meiner Frau 1878 nicht mehr gegönnt gewesen. Das ist nun alles dahin und für immer. Wir haben sie am Freitag 7. Novbr in demselben Grabe wo auch Marx & Frau Marx beerdigt sind, zur Ruhe gelegt. Mit mir & den Töchtern von Marx betrauern Tausende von Freunden aller Nationen, in den Ebenen Amerikas wie in den politischen Gefängnissen Sibiriens & in allen Ländern Europas ihren Verlust. Die Verstorbene hat ein Testament gemacht, worin sie den Sohn einer verstorbenen Freundin den sie von klein auf sozusagen an Kindesstatt angenommen und der sich allmählig zu einem braven & tüchtigen Mechaniker herausgebildet, Frederick Lewis, zu ihrem alleinigen Erben eingesetzt hat. Derselbe hat seit längerer Zeit aus Dankbarkeit und mit ihrer Einwilligung den Namen Demuth angenommen, und figurirt auch unter diesem Namen im Testament. Dasselbe ist in den Händen eines Advokaten der die gesetzlichen Formalitäten erfüllt und es im Übrigen für vollkommen rechtskräftig erklärt, sodaß ich gegen Ende der Woche verpflichtet sein werde dem Erben die gesammte Erbschaft zu behändigen. Sie beläuft sich an Geld nach Abzug aller Kosten auf etwa vierzig Pfund Sterling, sodann Kleider usw von verhältnißmäßig geringem Werth. Sollten Sie resp. andere Verwandte irgendein kleines Andenken wünschen, so belieben Sie es mir mitzutheilen, ich zweifle keinen Augenblick an der Gewährung.

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Das Testament liegt abschriftlich in Übersetzung bei. Achtungsvoll & ergebenst Fr. Engels 35

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Abschrift des Testaments. I Helen Demuth of 122 Regents Park Road declare this to be my last will. I leave all my monies, effects and other property to Frederick Lewis Demuth of 25 Gransden Avenue, London Lane, Hackney, E., and being too weak bodily to affix my name have affixed hereto my mark in the presence of the undersigned witnesses. At 122 Regents Park Road this fourth day of November 1890, the above having been read to me and perfectly understood by me × Helen Demuth In the presence of Frederick Engels of 122 Regents Park Road Eleanor Marx Aveling, 65 Chancery Lane Edward Aveling 65 Chancery Lane Übersetzung

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Ich Helena Demuth, von 122 Regents Park Road, erkläre daß dies mein letzter Wille ist. Ich vermache alle meine Gelder, Effekten und sonstiges Eigenthum an Frederick Lewis Demuth von 25 Gransden Avenue, London Lane, Hackney, E., und da ich körperlich zu schwach bin, meinen Namen zu unterschreiben, habe ich das Gegenwärtige mit meinem Zeichen gezeichnet, in Gegenwart der unterzeich[n]enden Zeugen. So geschehen 122 Regents Park Road am 4. Novbr 1890, nachdem Obiges mir vorgelesen und von mir vollständig verstanden worden ist. × Helene Demuth Zeugen: Friedrich Engels 122 Regents Park Road Eleanor Marx Aveling, 65 Chancery Lane Edward Aveling, 65 Chancery Lane

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Die beiden anderen Zeugen sind die jüngste Tochter von Marx & ihr Mann.

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349 Julie und Maxim Romm an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 14. November 1890

New York, 14.XI.90. Sehr verehrter Herr Engels! Gestatten Sie, daß auch ich Ihnen im meinem und meines Mannes Namen die wärmsten Glückwünsche zu Ihrem siebzigsten Geburtstage darbringe. Möge der 28te November Sie zu Ihrer und unserer Freude noch recht, recht oft in ungetrübter körperlicher und geistiger Frische antreffen. Es sind nicht Viele, die auf ein so schönes, reiches, an Arbeiten und Kämpfen reiches Leben zurückblicken können wie Sie, verehrter Herr Engels. Und die zahlreichen Freunde und Verehrer, die Ihrer am 28ten November mit ganz besonders freudiger Theilnahme gedenken und zu denen auch mein Mann und ich uns zu zählen bitten, wissen Ihnen zu dem schönen Feste nichts Besseres zu wünschen, als daß Ihr Leben auch weiterhin verlaufen möge wie bisher. Es hat uns ungemein leid gethan, daß wir auf unserer Amerikafahrt um unsern Londoner Aufenthalt betrogen wurden. Ich hatte mich so darauf gefreut, Ihnen meinen Mann zuzuführen. Hoffentlich ist es uns in nicht zu ferner Zeit vergönnt, das Versäumte nachzuholen. Für die liebenswürdigen Zeilen, durch welche Sie uns bei Herrn Sorge einführten, sagen wir Ihnen unsern besten Dank. Wir sind Ihnen ganz besonders dankbar, daß Sie uns diese Bekanntschaft vermittelten. Herr Sorge ist der interessanteste, ich möchte beinahe sagen, der einzig interessante Mensch, den wir hier kennen gelernt, und wir bedauern nur, daß wir in New York und er in Hoboken lebt, und wir auf diese Weise nicht so oft beisammen sein können, als wir gern möchten. Mein Mann hat sich seit 8 Tagen hier niedergelassen und wir warten nun auf die Patienten, die man uns in Aussicht gestellt hat und die wir sehnlichst herbeiwünschen. Wir haben es uns in unseren vier Wänden recht behaglich gemacht und denken so viel als möglich zu arbeiten. In New York selbst sind wir noch nicht heimisch geworden und werden das wohl auch so bald nicht. Wir haben mitunter Heimweh nach Europa. Ich denke mit Vergnügen an die Stunden zurück, die ich in Ihrem Hause verlebt habe. Bitte, empfehlen Sie mich Frl. Demuth und Herrn und Frau Aveling. In aufrichtiger Verehrung Ihre Sie hochschätzende Julie Romm.

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349. Julie und Maxim Romm an Engels · 14. November 1890

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Hochgeschätzter Herr Engels! Wenn ich mir erlaube, Ihnen einen warmen Glückwunsch zu Ihrem 70. Geburtstage zusenden, trotzdem ich Ihnen persönlich unbekannt bin, so werde ich hierbei durch Gefühle der Verehrung und Dankbarkeit geleitet. Gewiss, auch der Dankbarkeit. Denn Sie waren es und sind es, dem ich neben Marx meine ganze geistige Physiognomie und den festen Halt verdanke, den ich durch Ihre und Marx’s Lehren gewonnen habe. Gestatten Sie also dem treuen Jünger seinem Lehrer einen innigen Gruss zu entbieten. M. Romm

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350 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Samstag, 15. November 1890

122 Regents Park Road N. W. London 15. Nov. 1890. Lieber Adler Herzlichen Dank für Deinen Brief. Eben kommen Avelings zu mir mit einem Telegramm von Luise, die heute von Wien hieher reisen wollte: send money, schickt Geld. Aveling hat ihr sofort einen Cheque für zehn Pfund geschickt. Da ich aber fürchte daß der nicht ohne Rückfrage bezahlt wird, was Zeit kostet, so halte ichs für sicherer hier eine Postanweisung für zehn Pfund herauszunehmen, & da Luise möglicher Weise bei Ankunft dieses doch schon fort ist, auf D e i n e n N a m e n , & hier herausgenommen auf den von Edward Aveling. Die Anweisung selbst sollen wir nach Postinstruktion hier behalten, da das Geld Dir in Deiner von uns angegebnen Wohnung bezahlt werden wird. Sollte Luise schon fort sein, so behalte das Geld bis auf weitere Nachricht zu unsrer Disposition. Dein F. Engels. So eben kommt Aveling zurück überall zu spät, da Samstags nach vier Uhr keine Anweisungen ausgegeben werden!! So schicken wirs am Montag.

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351 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Türmitz, Samstag, 15. November 1890

Türmitz. Boehmen. 15.XI.90. Verehrter Herr Engels!

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Das stirbt ja um uns herum in erschrecklicher Schnelle! Vor ein Paar Tagen haben sie in Wien den Chefredacteur des „Vaterland“, Baron Vogelsang, beerdigt, der mich ausgebeutet u. dann verrathen hat, als die Feudalpartei hier auch auf den Koeder Taaffes, die Korn- u. Fleischzoelle, anbiss, er war ein grosser Lump u. ist nun als Heiliger gefeiert. Vor ein Paar Monaten starb Lorenz von Stein, mit dem ich, im Gegensatz zu Vogelsang, bis zu dessen Tode befreundet war. Er hatte die Characterschwaeche, mit der Wiener Welt leben zu wollen u. ist auch im Genuss seiner Professorenpension, doch fast in Dürftigkeit, gestorben. Doch war er geistreich u. spottete zuweilen, bei der dritten Flasche Rheinwein, über sich selbst. Er hat das Verwaltungswesen eines caesaristischen Staatswesens mit in Plutokratie u. Proletariat aufgeloester Gesellschaft systematisirt und somit ein zeitgemaesses Werk geliefert, denn in dieses caesaristische System sind wir von Napole´on III, über Bismarck jetzt schon auf Wilhelm II gekommen, u. bald werden wir auch in Oesterreich u. Deutschland die „Wohlfahrtscaesaren“ haben. – Nun schreiben Sie mir den Tod der guten Helene, welche an Character allerdings mehr werth war, als jene beiden Schriftsteller. Ein solches Leben voll weiblicher Aufopferung ist in seiner Art ein Heroendienst und Frau Lafargue koennte wohl ein kurzes Lebensbild der trefflichen Frau publiciren. Ich begreife Ihre Trauer. Wenn ich in London lebte, würden wir oft bei Ihnen sein u. meine Cousine-Frau, die ein grosses hauswirthschaftliches Talent u. in mancher Beziehung der seligen Helen aehnlich ist, würde sich um Sie in liebevollster Weise kümmern, aber ich kann das Clima – zumal bei meiner jetzigen Krankheit – nicht ertragen. Ich denke, Frau Laura bleibt bei Ihnen: Lafargue ist leichtlebig, in Paris wird er sich auch als Strohwittwer nicht allzuelend fühlen – sogar garnicht – u. dann kann man ja fast Paris als Wohnort u. London als Schlafstelle benutzen, bei der schnellen und auch billigen Verbindung. Mich würde es auf das Herzlichste freuen – u. zwar für Sie Beide – wenn Frau Lafargue bei Ihnen bliebe. Sie haben dieselbe ja ohnehin stets als Ihr eigenes Kind angesehen – wie auch Schorlemer. Schorlemer lebt wohl auch in London und ist so ziemlich Ihr einziger überlebender Freund? Wenn sich Ihre Haeuslichkeitsfrage derartig loest, so schreiben Sie wohl wieder etwas: Ihren Artikel über Russlands auswaertige Politik habe ich

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351. Rudolf Meyer an Engels · 15. November 1890

an Lord Lansdowne, den Vicekoenig v. Indien, gesandt, den ich von Canada gut kannte: In der That drückt Russland furchtbar auf Europa, u. wenn es in den naechsten 12–15 Jahren Frieden behaelt, so sind Deutschland u. Oesterreich seine Vasallen, lediglich durch die Macht der Verhaeltnisse: Als nach Napoleon I Fall 1815 das Staatensystem geordnet wurde, hatte Russland 45, Deutschland-Oesterreich (ohne Italienische Theile) 55 Mill. Einwohner, jetzt Russland 115, Deutschland + Oestr-Ungarn = 90! Wenn Russland sich mit den Vereinigten Staaten verbündet, was es in einem Kriege gegen England thut, so koennen beide ganz Europa incl. Engld aushungern! Sowie die sibirische Eisenbahn fertig ist u. die Ver. Staaten ihre Post-(Kriegs-)Dampferflotte durch hohe Subvention stark genug gemacht haben, um die Englaender aus der Südsee zu jagen, so reichen sich die Ver. Staaten über S. Francisko u. Wladiwostok die Hand u. sind nicht nur unbesieglich, sondern beherrschen die Welt. Der Klassenkampf in Europa wird Russland den Sieg erleichtern – denn ich glaube, selbst wenn die Dynastie in Russland fiele, so würde doch das russ. Volk nicht friedlich sein, sondern (wie die franz. Republik von 1793 an) Alles unterjochen wollen. – Nun, Gott weiss es besser – sagen die Türken! Ich beschaeftige mich mit Politik garnicht. Man schlug mir vor, mir in Deutschland ein Reichstagsmandat zu verschaffen, wenn ich dorthin übersiedeln wollte. Ich ziehe es aber vor, hier zu bleiben, wo ich auf dem Lande sehr angenehm lebe; doch gehe ich zum Winter, in einigen Wochen nach Prag oder in die unmittelbare Naehe davon, u. im Frühjahr nach Karlsbad. Unter guter Pflege meiner Frau hat der Zucker sich vermindert, ohne natürlich zu verschwinden. Als Unterhaltung studire ich Mittelalter u. finde das bezeichnendste Wort darüber in K. Marx, Capital I: „Im Mittelalter konnte das Kapital keine Arbeit kaufen“. Deshalb war es damals unproductiv, denn seine Productivitaet beruht einerseits auf dem Vermoegen Arbeit (also Menschen) zu kaufen, auf Sklaverei, wie sie andrerseits diesen Zustand wieder schafft. Sollte ich wieder mehr zu Kraeften kommen, will ich über die Nationaloekonomie der Vergangenheit Einiges schreiben. Ich empfehle mich u. meine Frau Frau L. Lafargue gehorsamst u. bin mit alter, herzlicher Verehrung u. Theilnahme Ihr ergebener RMeyer.

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352 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Montag, 17. November 1890

London 17 Nov 90. Lieber Adler

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Meinen Brief von Samstag wirst Du erhalten haben. Inzwischen ist ein Telegramm von Luise an Avelings angekommen (gestern Nacht gegen 11 Uhr). Thusday morning Victoria. Das kann nun Thursday Donnerstag heißen, aber auch Tuesday Dienstag. Das wäre aber das Wenigste. Wir kennen hier die neuesten durchgehenden Schnellzugsrouten von Wien aus durchaus nicht, & wissen nur daß man über Calais, Ostende oder Vlissingen reisen kann. Die Züge über C. & O. kommen aber gegen 5 Uhr Morgens, die über Vlissingen gegen 8 Uhr ditto an. Ich telegraphierte also (in der Ungewißheit ob Luise nicht schon fort) etwas vor 4 Uhr an Dich: Kommt Luise über Vlissingen Ostende oder Calais Rückantwort bezahlt (12 Worte). Dies zur Erklärung des Vorgefallenen, das Dir sonst rätselhaft & konfus vor kommen dürfte. Da Luise jetzt die Ankunft hier positiv ankündigt, ist kein Grund vorhanden die zweiten zehn Pfund per Postanweisung zu schicken, es unterbleibt also. Dein F. Engels

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353 Eduard Gumpert an Friedrich Engels in London Manchester, Dienstag, 18. November 1890

Manchester Nov. 18/90. Ich reise morgen nach Berlin, um das Kochsche Verfahren bei der Behandlung der Tuberkulose zu studiren & hoffe in c. 14–18 Tagen wieder zurück zu sein. Ich komme Donnerstag Morgen um 5.35 in Euston Station an & gehe um 8 Uhr von Victoria nach Queensboro’ & dann mit dem Tagesboot nach Vlissingen. Ich ging Freitag Nachmittag nach Stamford & dann Sonnabend um 3 Uhr zurück, sehr zufrieden mit meinem Besuch, der hoffentlich von entschiedenem Nutzen für die Patientin sein wird. – Ich hoffe nach meiner Rückkehr von Berlin kommst Du auf ein paar Wochen zu uns, bis dahin adieu. Dein E. G. F. Engels Esq. 122 Regents’ Park Road London N. W.

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354 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 18. November 1890

Hoboken, 18. Novbr. 1890. Lieber Engels!

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Deine Trauerbotschaft erhielt ich gestern Abend. Sie berührt mich sehr schmerzlich, denn obwohl ich Lenchen persönlich wenig kannte, wußte ich doch, was sie Marx u. Dir war. Deine Verwaisung begreife u. fühle ich, denn seit einigen Jahren bin ich auch vollständig verwaist. Wie es Dir ferner ergehen wird, wie Du im Stande sein wirst, Deine wichtigsten Arbeiten zu vollenden – das sind Fragen, die mich fortwährend, besonders seit gestern, beschäftigen. Wer soll Deinen Hausstand führen, Dein Heim besorgen, Dir die nothwendigen Bequemlichkeiten verschaffen? Die jungen Leute können es nicht, selbst wenn sie’s wollten, da sie gar kein oder äußerst wenig Verständniß für das Empfinden so alter Knaben wie Du u. ich haben, – u. alte Freunde hast Du ja kaum noch außer mir u. meiner Frau. Wie wär’s, wenn Du zu uns übersiedeltest? Du weißt welch’ gute, sorgsame Hausfrau meine Frau ist. Bei ihr fändest Du Verständniß für Deine Lage, denn ich bin, obwohl beinahe 8 Jahre jünger, ein eben so alter Knabe wie Du. Du kennst unsre Wohnung, in der wir jetzt noch hausen. Gib uns Nachricht, daß Du herüber kommen willst, u. wir gehen sofort auf die Suche nach einem hübschen, ruhig gelegenen Hause, worin Du genügend Platz u. allen Komfort haben sollst, ohne daß es uns deshalb an Etwas gebrechen sollte. – Glaube auch nicht, daß es nur Uneigennutz von uns sei, Dir diesen Vorschlag zu machen. Deine Annahme desselben würde uns manche Vortheile bringen. Ich hätte wieder einen Menschen, mit dem ich reden u. rathen könnte; wir würden nicht mehr mit mehreren Familien in einem Hause wohnen u. meine Frau, die jetzt ihre ganze Arbeit selbst besorgt, würde eine ordentliche Person zur Hülfe nehmen etc. etc. Ueberlege es wohl u. weise es nicht gleich ab! Wir können bis Mitte Februar warten, ehe wir Vorbereitungen zu einer Änderung treffen. – Ich habe Schlueter die Nachricht sofort mitgetheilt. Romm’s waren am Sonntag wieder bei uns. Sie gefallen mir immer mehr.

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354. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 18. November 1890

Du wirst diesen Brief zu Deinem Geburtstag erhalten, dessen Feier Dir dieses Mal leider vergällt ist. Empfange die herzlichsten Glückwünsche Deiner alten Freunde F. A. & K. Sorge Hoboken, New Jersey, U. S. A. Grüße Schorlemmer u. Avelings. ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙

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355 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 19. November 1890

Le Perreux 19.XI.90 Mon cher Engels.

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L’e´lection de Clignancourt a duˆ vous e´tonner, elle a e´te´ un de´sappointement ge´ne´ral. Tout le monde s’attendait a` voir Longuet arriver teˆte de liste et il arrive 3e avec moitie´ moins de votes. La de´faite de Longuet ne peut s’expliquer que parce qu’il e´tait le candidat de la Justice. L’impopularite´ de Clemenceau a rejailli sur Longuet et par malheur pour son e´lection, l’affaire de Toulon est arrive´ pendant la pe´riode e´lectorale. Le maire de Toulon, Fouroux est un radical prote´ge´ par Clemenceau. Un des grands reproches adresse´s a` Longuet e´tait d’eˆtre un Cle´menciste. Cette e´lection d’ailleurs n’e´tait qu’une bataille entre boulangistes et antiboulangistes; on n’a vote´ que pour les deux candidats qui s’e´taient le plus signale´ par leurs injures dans la campagne boulangiste. – Les boulangistes repentants, et ils sont nombreux a` Montmartre, qui e´tait une des places fortes de Boulanger, ont disperse´ leurs voix indiffe´remment. Les de´gouˆtte´s et les boulangistes endurcis, se sont abstenus. Cette e´lection est caracte´ristique de l’e´tat mental du public parisien, qui ne sait a` quelle politique se vouer. Le re´sultat de Dimanche dernier a tellement de´concerte´ les partisans de Longuet, qu’ils veulent recommencer la lutte avec un autre candidat, qui n’aurait jamais eu aucune attache Cle´menciste. On avait songe´ a` Benoıˆt Malon, mais le choix s’est arreˆte´ sur Daumas, qui se pre´senterait comme le candidat de concentration re´publicaine et socialiste, c’est le mot a` la mode. Je ne sais si Daumas acceptera, c’est risquer une de´faite piteuse; mais le public e´lectoral est si e´trange qu’il pourrait encore tenir en re´serve une nouvelle surprise. Le Figaro que je vous ai envoye´ contenait un article sur un Dr Mathieu, qui lui aussi pre´tend tenir son reme`de contre la phtisie. Les Franc¸ais sont au de´sespoir de voir la gloire de leur Pasteur, e´clipse´e par celle d’un Allemand. Cependant la de´couverte de Koch est tellement importante qu’elle fait taire le Chauvinisme chez beaucoup de personnes. La me´dication hypodermique est je crois la de´couverte me´dicale la plus importante qu’on ait jamais faite: elle va renouveler toute la the´rapeutique. Je crois que Koch la pre´sente sous son ve´ritable caracte`re; il ne pre´tend pas tuer les bacilles, mais modifier les tissus attaque´s et leur permettre de re´sister a` leur action. Dans cette voie ce n’est que le premier pas qui couˆte; bientoˆt il sera a` la

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355. Paul und Laura Lafargue an Engels · 19. November 1890

mode d’administrer les me´dicaments non plus par l’estomac mais par la peau ou le torrent circulatoire. On verra revenir sur l’eau les e´lixirs de longue vie; la pre´tendue de´couverte de Brown-Sequard e´tait une espe`ce de me´dicament magique. Mais si les expe´riences de Koch sur le lupus et la pulmonie se confirment il faudra s’attendre a` tout. Les Franc¸ais ont eu un succe`s qui les a console´s de la de´couverte de Koch; la Banque de France a preˆte´ 75 millions a` la Banque d’Angleterre. Tous les journaux a` l’envi ont exalte´ ce preˆt qui prouvait le cre´dit de la France: dans leur enthousiasme ridicule ils n’ont pas remarque´ que la Russie et le Bre´sil en avaient fait autant; et ils ont oublie´ que la Banque de France avait e´te´ sauve´e par la Russie. Mais voila` d’une autre histoire, on dit qu’il y a du Rothschild sous roche; et que la Banque de France qu’ils gouvernent et le ministe`re des Finances ou` ils ont mis leur commis Rouvier, n’ont fait que jouer dans leur jeu. – Dans l’Intransigeant vous trouverez les accusations que l’on a empeˆche´ a` Laur de porter a` la Chambre des de´pute´s. Qu’en pensez-vous ? Qu’est-ce qu’on dit a` Londres du Krach Baring ? Si Madame Kautsky est arrive´e faites-lui nos amitie´s. – Je vous serre cordialement la main. P Lafargue Me´me´’s love & mine to you, my dear General. The weather is so mild that we are doing without fires & sit with doors & windows wide open. I hope you are able to take your afternoon stroll to Hampstead. Your Laura.

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356 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 19. November 1890

Hoboken d. 19.XI.90. Lieber Engels!

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Durch Sorge erfahre ich vom Tode unserer Nimm. Es drängt uns (mich und meine Frau) Dir unser herzlichstes Beileid auszudrücken. Wir wissen die Größe dieses Verlustes für Dich zu schätzen, die nur Jene zu begreifen im Stande sind, die das Glück hatten, Dir und Deinem Hausstande näher zu treten. Mögest Du den Schlag bald überwinden. Daß wir Dir zu Deinem 70jährigen Geburtstag alles Gute wünschen, braucht wohl nicht erst besonderer Betonung. Unsere herzlichste Gratulation also und der Wunsch, daß Du uns noch recht lange gesund und wohl erhalten bleibst. Sorge theilte mir mit, daß er Dich eingeladen hat, nach hier zu kommen. Ich möchte diese Einladung unterstützen, wenngleich ich fürchte, daß es Dir schwer halten wird, Dich aus Deinen Beziehungen in dem Dir liebgewordenen London loszulösen. Daß auch von uns aus alles geschehen würde, um Dir das Leben hier möglichst angenehm zu gestalten, dessen kannst Du versichert sein. Ueber die Vorgänge bei der „Volkszeitung“ bist Du wohl durch Sorge unterrichtet. Aus dem Parteileben ist hier nichts zu berichten, was Dich interessirt. Die Zersetzung der S. A. P. schreitet weiter vor; das große Geschrei der Nationalisten ist nahezu verstummt, und mit den Knights und den Gewerkschaften ist augenblicklich auch nichts los. Große (erdichtete) Ziffern, u. nichts dahinter. Ich habe Dir dann und wann Drucksachen geschickt, die meistens die Silberfrage berührten. Ich nahm an, daß Dich dieselben interessirten. Hoffentlich hast Du’s erhalten. Der Kalender mit der Biographie von Marx wird Dir zugegangen sein. Gerne hätte ich den Artikel noch etwas ausgesponnen, da derselbe aber Deinen Namen trägt, so konnte ich natürlich nur das Allernöthigste sagen. Ich hoffe, Du bist zufrieden damit. Solltest Du noch einige Exempl. des Kalenders wünschen, stehen sie Dir selbstverständlich zur Verfügung. Ich habe Gelegenheit, hier ein Exemplar der „New American Cyclopaedia“, in welche nach dem Zeugniß A. Dana’s Marx „some very important articles“ geschrieben hat, zum Preise von $.1600 zu kaufen. Wenn Du das Werk wünschen solltest, bin ich bereit, es für Dich zu erstehen. Die Artikel sind übrigens nicht gezeichnet u. ich weiß nicht, was Marx darin geschrieben hat. Hältst Du dafür,

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356. Hermann Schlüter an Engels · 19. November 1890

daß die betref. Arbeiten von theoretischer Wichtigkeit sind? Vielleicht aber bist Du selbst in Besitz der Artikel? – Ich las kürzlich die 48er Uebersetzung der Marx’schen Freihandelsrede durch Weydemeier. Derselben war ein Theil einer Marx’schen Rede über dasselbe Thema (auch in Brüssel gehalten) bei gefügt, die unter dem Titel: „Die Schutzzöllner, die Freihandelsmänner u. die arbeitende Klasse“ in einer belgischen Zeitung erschienen sein soll. Marx wendete sich in dieser Rede mehr speziell gegen die Schutzzöllner. Ich schreibe Dir das für den Fall, daß Du selbst vielleicht nicht in Besitz jener Rede sein solltest. – Persönlich gehts uns gut. Wir wohnen in der Nähe von Sorge, der auch unser einziger Verkehr ist. Im übrigen viel Arbeit für die Zeitung! – Wir wünschen Beide, daß wir nach Deutschland könnten. Roscher’s, Avelings, Bernsteins u. s. w. die besten Grüße von meiner Frau und mir, u. für Dich noch einmal unsern herzlichsten Glückwunsch beim Eintritt in das achte Jahreszehnt. Dein H. Schlüter 382 Washington str. Hoboken. N. J.

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357 Otto Wegener an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 21. November 1890

New York, November 21. 1890. Sehr geehrter Herr! 5

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In einer der letzten Nummern des Sozialdemokrat fand gelegentlich der Besprechung der Neuauflage des Kommunistischen Manifestes der Umstand Erwähnung, daß Sie, werther Herr, in Kurzem Ihr siebzigstes Lebensjahr zurücklegten. Wenige Tage vorher hatte ich dem Studium einiger Ihrer Schriften, wie Ursprung der Familie etc, Zur Wohnungsfrage, Entwickelung des Sozialismus obgelegen. Sofort nach Lesen der erwähnten Notiz stand es bei mir fest, Ihnen zu Ihrem Geburtstage meine Glückwünsche zu übermitteln. Ich komme Dem hiermit nach und ich bitte Sie, mir zu glauben, wenn ich sage, daß es mir ein Herzensbedürfnis ist, diese Zeilen an Sie zu richten, wenn ich gleich Ihnen völlig fremd sein muß. Mein Herr! Zwei volle Menschenalter haben Sie im Felde gestanden gegen die heute herrschende Unordnung. Sie haben einen bedeutenden Theil beigetragen dazu, der modernen Weltanschauung Form und Untergrund zu schaffen. Gegenüber diesen Verdiensten geziemt es jungen Leuten gleich mir, die eben in den Kampf eintreten, zu schweigen. Meine Altersgenossen wurden geboren, als der Sozialismus die ersten Gehversuche machte. Lassalle schloß die Augen, bevor das Licht uns empfangen hatte. Und somit – als die Welt in unser Bewußtsein trat, da fanden wir darin neben anderen Anschauungen auch den Sozialismus. Vor den Augen unserer Väter war er emporgetaucht wie ein Komet, den man plötzlich wahrnimmt und von dem man annimmt, daß er zu einer gewissen Zeit wieder verschwinden wird. Kein Wunder, wenn ihre blöden Augen den Glanz dieses Sterns, der aber kein Irrstern ist, nicht ertragen konnten. Wir sind mit dem Sozialismus groß geworden. Und obgleich man nicht unterließ, selbst in den Schulen ein tentenziös gefärbtes Schreckbild uns vorzuhalten und wenn man sich sogar so lächerlich machte, uns ein Versprechen abzunehmen, die Sozialdemokratie zu meiden und zu hassen als den ärgsten Feind der Gesellschaft, so hat doch alles Dies nur die gegentheilige Wirkung gehabt: unsere jugendliche Aufmerksamkeit und Neugierde zu wecken. Und als wir endlich so

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357. Otto Wegener an Engels · 21. November 1890

weit waren, die Sache mit eigenen Augen betrachten zu dürfen, da erkannten Viele von uns in der verfolgten und verlästerten Anschauung das einzig Richtige. Der Sozialismus hat für uns jene Schrecken verloren, mit denen behaftet man ihn einst uns zeigte. Unsere große Sache hat große Vorkämpfer gehabt. Möge die junge Generation in die Fußstapfen derselben treten. Sie wird jene Männer nicht übertreffen können, selbst wenn sie ihr bestes thut. Aber wir werden streben, es Euch gleich zu thun! Werther Genosse! Mögen Sie noch recht lange der Sache der Wahrheit und Gerechtigkeit dienen können. Die Erfolge der nächsten Jahrzehnte, die sicherlich bedeu tende sein werden, sind hoffentlich auch noch für Sie bestimmt als Genugthuung für alle Sorgen und Mühen, die Sie aufgewendet haben. Überall, an allen Ecken und Enden, sammelt sich das Proletariat unter dem rothen Banner, in dessen Falten der Hauch der Menschlichkeit weht. Es wird uns gewiß zum Siege führen – trotz alledem. Hoch die internationale Verbrüderung der Menschheit. Mit Gruß! Otto Wegener. Member of German Waiters Union and American Section Soc. Labor Party.

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Einladung an Engels zur Teilnahme am Parteitag der Ungarländischen Sozialdemokratie 1890

358 Die Redaktionen der „Arbeiter-Wochen-Chronik“ und der „Ne´pszava“ an Friedrich Engels in London Budapest, Montag, 24. November 1890

Nr. 1. Herr Friedrich Engels wird von den Unterzeichneten eingeladen, dem Parteitag der

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ungarländischen Sozialdemokratie als Gast beizuwohnen. Zeit: 7. und 8. Dezember 1890. Ort: Budapest, alte bürgerl. Schiessstätte, VII. Schiessstätte-Platz. 10

Budapest, 24. November 1890. Die Redaktion der „Arbeiter-Wochenchronik“, Budapest. Die Redaktion der „Ne´pszava“, Budapest.

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359 Carl Hirsch an Friedrich Engels in London Paris, Dienstag, 25. November 1890

Paris, 10 rue de Grammont 25. Nov. 90 Lieber Freund, Nimm zu Deinem Geburtstag meine herzlichen Glückwünsche entgegen! Ich habe Dir zwar längere Zeit keine Nachricht von mir gegeben, bitte Dich aber, überzeugt zu sein, daß ich nie aufgehört habe, mit Dir zu denken, zu fühlen und, soweit ich konnte, zu thun. In alter Freundschaft Dein Carl Hirsch

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360 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 25. November 1890

25/11 1890 Lieber Engels,

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In Folge des herben Verlustes, den Du erlitten, wird Dein siebzigster Geburtstag, wie ich fürchte, stiller sein als irgend einer Deiner bisherigen Geburtstage. Aber ich hoffe, daß gerade dieser Geburtstag Dir einigermaßen über den ersten Schmerz hinweghelfen wird, wenn er Dir zeigt, welche Verehrung und Theilnahme man Dir allseitig entgegenbringt. Gern hätte ich Dir, dem ich als Lehrer und Freund so viel schulde, meine Glückwünsche persönlich dargebracht, aber ich bin jetzt so eng ans Blatt gefesselt, daß ich kaum auf 3 Tage fort könnte, Dank nicht nur seinem wöchentlichen Erscheinen, sondern auch seinem Erscheinen in Stukkert, wo es Niemanden gibt, dem ich meine Stellvertretung anvertrauen könnte. Ich wäre gern gekommen nicht blos, um Dir meine Theilnahme zu bezeugen, sondern auch, um etwas für uns Beide höchst Wichtiges zu besprechen: die Übertragung des vierten Bandes ins Leserliche. Ede schrieb mir vor einiger Zeit, daß Du mit ihm darüber gesprochen und ihn zu dieser Arbeit heranziehen wolltest, daß er es aber abgelehnt, weil er befürchtet, es würde mich kränken, wenn jemand Andrer die Arbeit an meiner Stelle übernähme. Nun hatte ich aber von Anfang an die Absicht, wie Du Dich vielleicht erinnern kannst, die Arbeit mit Ede gemeinsam zu machen. Ede hatte damals keine Zeit. Seitdem hat sich das Blättchen gewendet. Die Position, in der er sich befand, ist jetzt ungefähr die meinige geworden, dagegen hat er jetzt über mehr Zeit zu verfügen. Ich könnte nichts Besseres wünschen und nichts würde mich mehr beruhigen, als wenn Ede jetzt mit theilnähme an der Arbeit; denn wenn diese auf mich allein angewiesen wäre, würde sie, wenigstens in der nächsten Zeit, wohl nur langsam vor sich gehn. Ich selbst würde mich gern auch weiterhin daran betheiligen. Sobald der Morgan vollständig erschienen ist, will ich die Zeit, die derselbe bisher beansprucht, dem Marx-Manuskript zuwenden. Ich bitte Dich um die Erlaubniß, die Übertragung des Heftes, das Du mir mitgegeben, vollenden zu dürfen. Sobald ich damit fertig bin und die Arbeit in Deinen Händen ist, möchte ich mich gern an ein anderes Heft machen. Die Schwierigkeit seiner sichern Übermittlung wird sich wohl lösen lassen.

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360. Karl Kautsky an Engels · 25. November 1890

Aber auch im günstigsten Fall könnte ich in der nächsten Zeit – und um die handelt es sich doch –, d. h. im nächsten Jahr, die Arbeit nicht allein fertig machen; erstens wegen Mangels an Zeit und 2. wegen Mangels an Hilfsmitteln, da man doch die verschiedenen Zitate mit den Originalen kollationiren muß. Selbst wenn ich in London wäre und a` mon aise am Manuskript arbeiten könnte, würde ich mich freuen, wenn Du Ede zur Arbeit heranzögest; um so erwünschter und beruhigender muß es mir jetzt sein; ich kann mir dann wenigstens sagen, daß mein Aufenthalt hier nicht Schuld daran ist, daß die Herausgabe des 4. Bandes sich verzögert. Meinen Brief, den ich Dir am 7. d.M. schrieb, hast Du wohl erhalten. Ebenso auch seiner Zeit das Doppel-Exemplar von Heft 1 u. 2 für Sam Moore. Bitte, laß mich wissen, ob und wie viel Exemplare Du von Heft 8 wünschest. Schon Dein Artikel aus den dtsch. frz. Jahrbüchern allein wird den Besitz des Heftes für Deine Freunde wünschenswerth machen. Genug für heute! Ich schließe mit dem Wunsch, den ich auch am Schluß meines Artikels angedeutet, daß seelische und physische Ruhe und häusliches Behagen Dir wieder in reichlichem Maße zu Theil werden mögen: Das wünsche ich nicht blos meinem lieben väterlichen Freund, sondern auch dem Meister, von dem unsere Wissenschaft noch so viel zu erwarten hat. Es wird wenige Siebzigjährige geben, mit solchem Arbeitsprogramm vor sich, aber auch mit solcher Arbeitslust und Arbeitskraft. Leb wohl, lieber Engels! Ein herzliches Prosit dem Geburtstagskind! Beste Grüße an die Deinen, auch an Schorlemeyer und Sam Moore. Dein Karl Kautsky

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361 Julie und Frieda Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 26. November 1890

Berlin d. 26 November 1890. Verehrter Herr Engels!

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Empfangen Sie meine herzlichste Gratulation zu Ihrem 70. Geburtstage, mit dem aufrichtigen Wunsche, daß Ihr Leben in dauernder Gesundheit noch lange erhalten bleiben möge, Ihren Freunden und zum Wohle der wissensbedürftigen Menschheit. Es grüßt Sie mit besonderer Hochachtung. Julie Bebel. Gestatten Sie auch mir, verehrter Herr Engels, Ihnen meine innigsten Glückwünsche zu Ihrem Geburtstag zu senden. Möchte sich das neue Lebensjahr recht freundlich für Sie gestalten und Sie vor allem immer bei bester Gesundheit erhalten. Mit hochachtungsvollem Gruß Frieda Bebel

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362 Anna Beust an Friedrich Engels in London Zürich, Mittwoch, 26. November 1890

Zürich den 26ten Nov. 1890. Lieber Friedrich! Also am 28ten d.M. feierst Du Deinen 70sten Geburtstag und ich kann nun nicht umhin, Dir meine herzlichsten Glückwünsche auszusprechen und Dir abermals einen Schreibebrief zu widmen. Wir sind doch ganz nett zusammen alt geworden, ich bin jetzt 63 und obgleich mir schon früh die Schwindsucht profezeit wurde, habe ich mich recht stramm gehalten – Unkraut vergeht nicht! – Du bist auch einer von den Wenigen, der seiner Fahne treu geblieben ist und der weiß, warum er gelebt und seinen Lebenszweck erreicht oder vielmehr erfüllt hat. Wäre ich Dir näher, ich würde Dir wahrhaftig einen Lorbeerkranz stiften, verdient hättest Du ihn redlich, da aber leider die meisten Lorbeergeschmückten den Schmuck nicht verdienen, hat er gar sehr an Wert verloren. Es ist mir immer ärgerlich, heute aber ganz besonders, daß ich Dich nicht besuchen kann, ich würde zu gern als fideler Gratulant bei Dir auftauchen und bin überzeugt wir würden uns sehr gut amüsiren, wir zwei beiden alten Knaben – „alt und thörigt,“ Heine aber immer fidel. Genau genommen sind wir beiden Alten die Einzigen in der Familie, die ihr Portiönchen Humor kultivirt haben und die der Familie Ehre machen, das andere Phillisterthümchen in ihren Sonntagsröckchen bilden ja eine ganz nette Staffage, im übrigen aber? – Schwamm drüber. Vor einigen Tagen sprach ich mit Prof. Stern (Historiker) über das Jahr 48. Er kam auf die Neue Rheinische Zeitung zu sprechen und mein famoses Gedächtniß setzte mich in den Stand, ihm noch mancherlei daraus zu erzählen sogar Gedichte von Georg Weerth zu deklamiren. Nun will er mit mir aus alten Kisten meines Mannes die Neue Rh. heraus suchen, mein Alter will uns aber nicht darüber lassen, weil er behauptet, er hätte dann nicht mehr alles beieinander. Was nützt das, wenn es in alten Kisten verpackt liegt? Ich wäre begierig, ob das Lesen der Zeitung noch einen so gewaltigen Eindruck auf mich machte, wie damals, als ich Onkel Ludewig, der Augen leidend war, jeden Tag die ganze N. Rh. Zeitung vorlesen mußte. Sehr gefiel mir auch immer die schöne Sprache, oder die Form in welche alles gekleidet war und das gerade Gegentheil leisteten die späteren freisinnigen Blätter, ich konnte sie gar nicht lesen, weil das Meiste unfein und unschön gegeben wurde.

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Denk nur an den Volksstaat – Sozialdemokrat, gar die Arbeiterstimme, es ist miserabeles Zeug. Nur hie und da ein einzelnes Mal, bekam man einen Hauch aus besserer Welt. Die Berliner Volkszeitung lese ich gern. Nun Theuerster, will ich Dich nicht länger langweilen. Mein Mann läßt Dich auch grüßen und Dir bestens gratulieren, er ist jetzt 73 Jahre alt, und sei Du tausendmal gegrüßt von Deiner alten Anna. An Deinem Geburtstage werde ich mit den Söhnen, in dem von Dir gespendeten Portwein, Dein Wohl trinken, etwa um 1/210 Uhr Abends.

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363 Wilhelm Blos an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Stuttgart, 26 Nov. 90. Hirschstraße 11. Lieber Freund Engels! In alter Anhänglichkeit sende ich zu dem am kommenden Freitag stattfindenden frohen Feste meine herzlichsten Grüße und Glückwünsche. Ihr stets ergebener Wilhelm Blos.

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364 Wilhelm Eichhoff an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Stuttgart, 26. Nov. 1890. Lieber Engels, Meinen herzlichen Glückwunsch! Ihr W. Eichhoff

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Fr. Engels Esq. 122. Regent’s Park Road London N. W.

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365 Paul Engelmann an Friedrich Engels in London Budapest, Mittwoch, 26. November 1890

1890, 26. November. Hochgeehrter Genosse! Wohl wissend, daß Sie gelegentlich Ihres 70. Geburtstages von allen Seiten mit Zuschriften überschwemmt werden, erlauben wir uns, unsere herzlichste Gratulation Ihnen hiemit, wenn auch nur in gedrängter Form, entgegenzubringen. Wir stimmen aus der Tiefe unseres Herzens ein in den millionenfachen Wunsch der gesammten klassenbewußten Proletarier der zivilisirten Welt: Unser geehrter Altmeister und Lehrer Friedrich Engels möge bis an die äußerste Grenze menschlichen Daseins mit ungeschwächter Kraft zum Wohle und zum Fortschritt der internationalen Sozialdemokratie und zum leuchtenden Beispiele für uns Alle wirken können! Weit entfernt, Personenkultus treiben zu wollen, ist es vielmehr das Gefühl liebevoller Verehrung, welches uns drängt, Ihnen, dem vielbewährten Veteranen des kämpfenden Proletariats, in schwachen Worten den Ausdruck jener Gefühle zu übermitteln, von welchen die ziel- und klassenbewußte Arbeiterschaft Ungarns für Sie beseelt ist. Gleichzeitig erlauben wir uns, Sie, hochgeehrter Genosse, zu unserem im nächsten Monat stattfindenden Parteitage einzuladen. Wir wissen zwar, daß wir auf die Ehre Ihres Erscheinens schwerlich werden rechnen können, aber es wird uns zur Aneiferung dienen, anzunehmen, daß Sie, hochverehrter Genosse, an diesem Tage im Geiste in unserer Mitte weilen werden. Mit sozialdemokratischem Brudergruß und Handschlag! Im Auftrage des Redaktionskomitees der „Arbeiter-Wochenchronik“ und „Ne´pszava“: Paul Engelmann.

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366 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 26. November 1890

London 26 Nov 1890. Lieber Sorge

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Seit ich Dir den Tod meines guten Lenchens mittheilte ist Luise Kautsky – die geschiedene, nicht die No II – einstweilen zu mir gekommen & damit wieder etwas Sonnenschein aufgegangen. Sie ist eine ganz prächtige Frau & Kautsky muß nicht bei Trost gewesen sein als er sich von ihr trennte. Jetzt kommen schon die Gratulationen zu meinem übermorgigen 70sten Geburtstag, & nun melden sich auch noch Singer, Bebel, Liebknecht zum Besuch hier an. Ich wollt die Geschichte wär vorüber, es ist mir gar nicht geburtstäglich zu Muth & dabei nun noch der unnütze Fuss den ich so wie so nicht ausstehn kann. Und schließlich bin ich ja großentheils doch nur derjenige der den Ruhm von Marx einerntet! Der Haller Kongreß ist brillant verlaufen. Tussy war da, ganz entzückt von den Delegirten, aber nicht besonders von der Fraktion, worunter vielerlei Philister. Es ist aber dafür gesorgt daß so etwas bei der nächsten Wahl nicht wieder vorkommt. Einstweilen halten die Leute im Reichstag besser Disziplin als zu hoffen war, & halten – das Maul, sonst wäre Blamables nicht zu vermeiden. Unsre Kampagne wegen des Fusionskongresses von 1891 ist vollständig gelungen. Du wirst die auf der Haller Internat. Konferenz gefaßten Beschlüsse gelesen haben. Kongreß in Brüssel, vorausgesetzt volle Souveränität des Kongresses. Das ist alles was wir verlangten, & der Belgier Anseele trug selbst darauf an daß Schweizer und Belgier, die Mandatare der beiden 1889r Kongresse, vereint die Berufung ausstellen. Da die Possibilisten zudem rettungslos in sich zerfallen, in offnem innern Krieg sind, & beim Auseinanderfallen des Pariser Boulangismus die darin befangen gewesenen soz. Elemente uns & nicht den Poss. zufallen, werden wir sozusagen walk over the course, unbestritten siegen. Hyndman hat die unbegreifliche Dummheit begangen, sich mit dem edlen Brousse zu verbünden gegen Allemane; & das wird ihm auch enorm schaden.

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366. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 26. November 1890

Die Deutschen werden sich gewiß gern mit der American Federation of ˙ ˙˙˙ ˙hier ˙ sprechen, ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ & Labour in Verbindung setzen, ich werde mit den Leuten auf Fischer wirken, der im Parteivorstand sitzt. Fischer ist einer der besten, sehr intelligent, liest franz. & englisch, und kennt die Bewegung beider Länder. Er wird dem einseitigen Einfluß von Liebknecht in inter˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ nat. Dingen die Wage halten. Dein Anfang in der N. Z. ist sehr gut, fahre nur so fort, Du wirst Dich bald wieder ins Schreiben hineinarbeiten. Das Honorar ist ungefähr das Doppelte des an hiesige Mitarbeiter bezahlten (5 Mark die Seite); kommst Du erst wieder in Zug, so wirst Du bei rascherer Arbeit es nicht so arg niedrig finden. Was Schlüter Dir erzählt hat möchte ich näher belegt sehn. Daß ich & Andre 5 Mark die Seite in der N. Z. erhalten & daß dies das dort allgemein übliche Honorar ist, steht fest. Ich selbst habe Kautsky geschrieben Dir müsse man mehr bieten. Schlüter schwatzt ˙ ˙ ˙˙etwas ˙ ˙ gedankenlos in die Welt hinein. Natürlich, amerikanisch manchmal gerechnet ists gering $ 2 die Seite, & wenn Du findest daß Du amerikanische Preise fordern mußt, so hast Du ganz recht es zu thun. Aber K., der sicher alles für Dich thut, hat denn auch auf Dietz Rücksicht zu nehmen, der Zahlmeister ist, & ich möchte nicht daß aus solchen Rücksichten einem von den Volkszeitungs- oder Sozialist-Leuten die Thür in die N. Z. geöffnet würde. Überleg Dir die Sache nochmals, & wenn Du auf Zulage beharrst, schreib mirs, ich will dann K. deßwegen interpelliren, das läßt dann alle Thüren offen. Der Boykott gegen mich war ja schon von Rosenberg & Co erklärt & wenn jetzt die Nationalisten hineinfallen, geschieht mir’s recht. Warum lasse ich denn nicht ab vom Klassenkampf! Grade so gehts Marx & mir hier mit den Fabians, die auch die Befreiung der Arbeiter durch die „Jebildeten“ bewerkstelligen wollen. Die Art. des Labor Standard über George hebe ich mir auf bis ich Zeit ˙ ˙ sie mir. Du hast keine Idee von dem finde sie zu lesen, bis jetzt ˙fehlt Schwamm Blätter Broschüren &c die ich zugeschickt erhalte. Kapital I ist polnisch erschienen bei Kasprovicz Leipzig & mir von Warschau zugeschickt. Herzliche Grüße an Deine Frau Dein FEngels

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367 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 26. November 1890

26/XI. 1890. Lieber General!

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Es ist mir nicht vergönnt gewesen, zu Deinem heutigen Geburtstage Dir persönlich meine Glückwünsche darbringen zu können, u. so will ich denn nicht säumen, sie Dir für mich u. die Meinen auf diesem Wege zu senden. Und zwar drängt es mich hierzu nicht blos als Genosse – da bin ich ja nur ein Theil der Allgemeinheit, die heute in dem Wunsche einig ist, Du mögest uns noch eine Reihe von Jahren in Deiner heutigen Frische u. Gesundheit erhalten bleiben – sondern es drängt mich auch das Gefühl der persönlichen Dankbarkeit gegen Dich. Waren doch die Stunden, die wir in Deinem Hause zubringen durften, die schönsten unseres Londoner Aufenthaltes u. werden als solche auch in unserer Erinnerung fortzählen. Freilich, Dein heutiger Tag wird getrübt durch das Fehlen der guten Nim, die sich doch so sehr darauf gefreut hatte; hoffentlich wird aber der Schmerz dieses Verlustes Dir etwas gemildert durch die allgemeine Theilnahme Derer, denen es vergönnt war, so wie wir ihre ganze Herzensgüte u. Liebenswürdigkeit in persönlichem Umgange kennen zu lernen. Und meinem Glückwunsche, den Du ohne viel Worte meinerseits als von Herzen kommend aufnehmen magst, schließt sich ebenso aufrichtig unser Auer an, wie er Dir zu melden mich bittet. Ueber allgemeine Dinge sprecht Ihr ja jetzt drüben zusammen, so daß ich da Deine Zeit nicht in Anspruch nehmen will. Für Deine freundliche Zusendung von People’s Presse danke ich Dir; ich hatte sie auch schon bei Osang bestellt, der mit einigen Tagen Verzögerung sie mir regelmäßig sendet. Mit herzlichen Grüßen an Dich, an Thussy u. Aveling, sowie an Frau Louise et tutti quanti Dein R. Fischer. Beiliegenden Brief bitte an Julius zu geben, den ich bei Dir am Abend wähne.

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368 Amand Goegg an Friedrich Engels in London Renchen, Mittwoch, 26. November 1890

Renchen i. Baden, 26. Nov. 1890. Lieber Freund! Empfange auch von mir den herzlichsten Glückwunsch zu Deinem Siebzigsten und mögest Du, mit Marx der hervorragendste Vorkämpfer und wissenschaftliche Begründer der Socialdemocratie, wie bisher noch manches Jahr bei guter Gesundheit in Wort und Schrift fortwirken zur Emancipation und Vereinigung der Proletarier aller Länder. Dein Amand Goegg. P. S. Auch aufrichtiges Beileid ob des Verlustes Deiner getreuen Haushälterin Lene, die ich mit meiner Schwester Anna vor 2 Jahren während Deiner amerikanischen Reise besuchte und von der ich so manches Interessante über Dich u. Andere mitgetheilt erhalten habe. Der Obige.

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369 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Mittwoch, 26. November 1890

Hannover, 26. Novbr. 1890.

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Herzlichste Glückwünsche, lieber Engels, zu Deinem Geburtstage! Mögen Dir noch viele frohe Jahre in Gesundheit und Arbeitskraft beschieden sein, Dir zur Freude, der Menschheit zum Glück! Dein treuer Dr. Kugelmann F. Engels Esqre 122. Regents-Park-Road N. W. London England

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370 Max Oppenheim an Friedrich Engels in London Dresden, Mittwoch, 26. November 1890

Dresden 26 November 1890 Sehr verehrter Herr Engels! Aus der Neuen Zeit habe ich ersehen, daß Sie am 28 dss. Ihren 70 jährigen Geburtstag erreichen u. mit vollem Herzen schließe ich mich der Feier dieses Tages an, die Ihnen als Einem der Ersten u. Eifrigsten für die Befreiung der Menschheit von der Ausbeutung gilt. – Sie, mit dem großen Karl Marx haben die Wurzel des materiellen Elends zuerst enthüllt – bis dahin galt der Ansturm nur gegen die großen Glieder oder Mittel zur Ausbeutung – Religion, Confession, Nationalität. Die werden entfallen, wenn das Grundübel, die Ausbeutung ihr Ende erreichen muß. Freilich wird dazu, wie Marx mir selbst einmal äußerte, noch manches Uebergangsstadium erforderlich sein. Das Bewußtsein in den Lohnarbeitern ist schon so weit vorgeschritten, daß sie anstatt der vereinzelten Strikes – für die Befreiung des Lohnvertrages – (des persönlichen Vertrages des einzelnen Arbeiters mit dem einzelnen Arbeitgeber) – ankämpfen sollten. Die Kräfte bei solchem Vertrage sind zu ungleich – nothgedrungen muß sich der Arbeiter fügen, unterordnen. – Wie anders würde es sich gestalten, wenn der Vorstand einer betreffenden Arbeiter-Genossenschaft den Arbeitsvertrag mit dem betreffenden Fabrikanten zu schließen hätte. Immerhin könnte dabei das persönliche Bestimmungsrecht des Arbeiters mit berücksichtigt werden. – Die Hauptsache ist: den Arbeiter aus der Zwangslage seine Arbeitskraft a` tout prix verkaufen zu müssen, zu befreien. – Sache des Staates sollte es dann sein, die überzähligen Arbeitskräfte zu beschäftigen. Denn im Grunde genommen, kann es sich nicht so sehr darum handeln, Werthe für den Export zu schaffen deren Resultat dem Ausbeuter zufällt, als durch die Masse der Neuwerthe, diese allgemeiner zu machen u. so Jedem Reichthum zu verschaffen. Freilich nach der jetzigen Produktionsweise ist das Edelmetall der Regulator und Accumulator. Darin liegt auch die Antwort auf Ihre Frage in der Vorrede zum II Bde des Capitals. – Die Quantität ist zur Qualität geworden – Gold saugt alle Arbeitsprodukte auf. Der Werthmesser sollten die Lebensmittel sein u. diese Allgemeingut. Der Handel darin, darauf könnte gewirkt werden, sollte gleich aufhören. Grade wie der Tabak in Oesterreich in den Tabak Traffiken verkauft wird, so könnten auch die nöthigen Lebensmittel (Viktualien) in den Staatsverkauf übergehen. Vielleicht kommen wir dann dazu, daß anstatt der Soldatenspielerei, Jeder eine Anzahl Jahre in der Staats-Wirthschaft arbeiten muß. –

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370. Max Oppenheim an Engels · 26. November 1890

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Und nun, zum Schluß erlaube ich mir die Frage, wann werden wir auf das Erscheinen des III Bd. Capital rechnen können? Vor etwa 15 Jahren besuchte ich Sie mit Karl Marx – es war an einem Sonntag – vorher hatte ich mit Marx u. seiner Tochter Tusi einen herrlichen Spaziergang gemacht. – Marx war mir von Herzen zugethan. – Möge Ihr Geburtsfest Ihnen eine wahre vollkommene Freude sein. Ihr Sie hochschätzender Max Oppenheim

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371 Adolf Rheinbold an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Herzlichen Glückwunsch zum Geburtstage Stuttgart. 26/ii 90. Adolf Rheinbold

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372 Ludwig Schorlemmer an Friedrich Engels in London Darmstadt, Mittwoch, 26. November 1890

Darmstadt 26. Nov. 1890. Geehrter Herr Engels!

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Meinen herzlichen Glückwunsch zum heutigen Tage, möchten Sie noch recht lange, meinem lieben Carl und uns Allen, erhalten bleiben! Herzlichen Gruß Ihr L. Schorlemmer

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373 Le Conseil national du Parti ouvrier franc¸ais an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 27. November 1890

Le Conseil national du Parti ouvrier franc¸ais souhaite au Citoyen Engels, entrant dans sa soixante-dixie`me anne´e, sante´, joie et contentement d’esprit. Cher Citoyen, Vous qui eˆtes avec Marx le the´oricien du mouvement socialiste international qui va aboutir; vous qui eˆtes reste´ chaud de cœur et jeune d’esprit, nous vous souhaitons longue vie, pour que, nouveau Moise, vous puissiez voir le Prole´tariat entrer dans la terre promise du Communisme. Pour le Conseil national et par ordre Paul Lafargue, secre´taire pour l’e´tranger. Paris 27 novembre 1890

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374 Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels in London Den Haag, Donnerstag, 27. November 1890

27 Nov 90. Werther Genosse,

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Wer ein Leben hinter sich hat als sie, kann mit Freude sein 70 jährigen Geburtstag mit Freude erwarten, aber auch seine Freunde können das ebenso. Ich darf ein Plätzchen unter ihren Freunde fragen und wage es darum auf diesem Tage mit zu ihnen zu kommen und meine Glückwünsche zu fügen bei den vielen, welchen zu ihnen kommen. Ich fühle mich an sie verpflichtet durch ihre Schriften und erinnre mich die Freundlichkeit, womit sie mich in ihrem Hause aufgenommen haben. Erwarten keine Schmeichelei – ein Mann als Sie liebt das nicht, jedoch erlauben sie mir einen Glückwunsch zuzuschicken, welchen ich persönlich und die Holländischen Partei sie zusende. Hoffentlich sehen wir sie noch viele Jahre unter uns arbeiten. Darf ich sie einen Rath fragen? Bei uns haben wir noch immer die Rekrutirung wie früher in Frankreich und man kann einen Remplacenten stellen, als man das nöthige Geld hat. Wir weisen immer darauf als ein Beweis dass die Bevorzugten selbst ihre Pflichten abkaufen können. Andrerseits kann man begreifen dass es in das Heer sehr schlecht ist und besonders für einen Jungen, welcher als Sohn eines bekannten Führer in Dienste kommt. Was würden sie thun, wenn sie einen Sohn hätten, welcher dienen müsste? Ich bin in diesem Falle und finde es schwer zu beschliessen. Mein Sohn will natürlich frei bleiben und viel ist dafür um ihn frei zu kaufen, aber andrerseits streitet es mit die Gerechtigkeit. Was urtheilen sie als alter Genosse in diesem Falle? Sie werden mich freuen, als sie mich antworten wollen. Mit herzlichem Gruss ihr FDomela Nieuwenhuis.

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375 Petr Lavrovicˇ Lavrov an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 27. November 1890

328 rue Saint-Jacques 27 Novembre 1890 Mon bien cher ami Engels Je viens de savoir que demain Vous comple´tez les fameux «three scores and half». Ce n’est pas Vous que je fe´licite avec cet anniversaire, car en approchant moimeˆme de cet aˆge, je connais trop ses coˆte´s sombres et tristes. Mais je fe´licite tous Vos jeunes amis, qui peuvent encore puiser une e´nergie nouvelle dans Votre vieillesse toujours si jeune. Je fe´licite le socialisme universel, qui peut Vous compter dans les rangs de ses combattants les plus utiles et les plus vigoureux. Aussi ce ne sont pas seulement les saluts et les meilleurs souhaits d’un ami personnel de Vous et de notre cher Marx que je Vous exprime; ce sont les acclamations des socialistes de mon pays que Vous apporte cette lettre. Ils saluent en Vous le seul homme dont le nom reste inscrit d’une manie`re inde´le´bile sur les pages de l’histoire du socialisme tout a` coˆte´ de celui de Karl Marx et qui n’a pas paˆli a` l’e´clat de cet autre grand nom. C’est de Vous et de Vous seul qu’ils attendent la construction du grand e´difice des oeuvres et de la biographie de celui dont Vous e´tiez le compagnon inse´parable. C’est de Vous et de Vous seul qu’on espe`re entendre la parole magistrale qui dira le vrai sens et circonscrira le vrai domaine du socialisme scientifique. C’est une obligation pour Vous de vivre et d’agir encore pendant de longues anne´es pour accomplir l’oeuvre qui Vous est impose´e par l’histoire. Vive le septuagenaire toujours jeune, qui a su lutter pendant les mauvaises anne´es et qui a eu la chance de vivre assez pour appercevoir du moins l’aurore du triomphe des ide´es socialistes ! Vive celui qui a signe´ avec Marx le «Manifeste des Communistes» d’avant 1848 et qui a pu saluer le congre`s de Halle de 1890 ! Pierre Lavroff

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376 Heinrich Scheu an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 27. November 1890

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Erlauben Sie mir, Ihnen zu Ihrem 70. Geburtstage meinen aufrichtigen und herzlichen Glückwunsch darzubringen. Möchten Sie der kämpfenden Arbeiterklasse noch lange in Gesundheit und geistiger Frische erhalten bleiben! Ihr in Hochachtung ergebener Heinrich Scheu

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377 Carl Schorlemmer an Friedrich Engels in London Manchester, Donnerstag, 27. November 1890

Manchester 27 Nov. Lieber Engels Daß die Berliner kommen, wußte ich, u. auch ich wäre heute Abend gekommen, um mit feiern zu helfen, aber die Erkältung, welche ich mir in London des Abends beim Fahren nach Kilburn geholt habe, will nich weichen, u. mein Ohr ist wieder, wie es vor Wochen war. Jede frische Erkältung wirft die Sache wieder zurück, und ich muß mich jetzt einmal gründlich von der selben zu befreien suchen u. mich sehr ruhig u. warm halten. Grüße mir Alle auf herzlichste u. sage Ihnen wie sehr leid es mir thut, nicht dabei sein zu können. Das „Was ist das“ ist Schwefelsäure; die Sache stimmt. Auch wir haben recht kalten u. scharfen Nordost. Mit dem Wunsch eines recht vergnügten Geburtstages u. herzlichen Grüßen an Luise Dein Jollymeyer.

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378 Paul Stumpf an Friedrich Engels in London Mainz, Donnerstag, 27. November 1890

Mainz An Friedrich Engels siebenzigstem Geburtstage.

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Vivat! Dein Siebenzigster. Und damit, bin ich auch bei Euch in London, bei Dir, dem in treuer Freundschaft zu mir unveränderten Jubilar, bei Dir, unserem schaffensfreudigen, unermüdlichen Generalstabs Chef, bei unserem im Ehren-Alter noch burschikosen Lehrer und Meister, der stets das Gute will und das Gute schafft, bei Dir bin ich jetzt mit allen meinen Sinnen, Du stets und, erprobt, immerdar wackerer Mann, bei dem ich damals in meinem einundzwanzigsten Jahre, ich grünes Meistersöhnchen die Denk-Lampe angesteckt bekam, damals,# da ich als, fürstlicher Herrschaft dienender, Flügelmann einer gehorsamsten Leibgarde, gleich bei Beginn eines unblutigen Kampfes gegen das aufständige Volk, mit Mann und Maus zu diesem überging, ja ! bei Dir bin ich jetzt gelehrter Mann, den ich meinen Freund nennen darf und – „diesen Kuß der ganzen Welt“ Schiller zu denen, die man Dir bei Ankunft dieser meiner Gratulation dorten schon dafür gegeben haben wird. Zu beneiden ist ein Jeder der jetzt bei Dir tagen kann in Freud, in Dankbarkeit und in Sieges Zuversicht. Je nun! Wer weiß, vielleicht erleben wir, im Kampfe und in Gefahren ergraute Gesinnungsgenossen, noch den Tag Deines Einzugs bei uns in Deutschland, des Einzugs den ich meine, und noch gar manchen 28 November Geburtstag zusammen, wegen dem ich eben bei Dir vorgekommen. Und nun Schluß, denn alles was um Dich, begehret Dein. All-Unser Engel, er lebe dreimal Hoch !!! Dein Paul Stumpf, der eben erst vom morgigen Tage in der hiesigen sd Mainzer Volksszeitung ge˙˙ ˙ ˙ lesen hat.

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Novbr. 1847 in Brüssel v. 7–9 Uhr Abends,

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379 Bundeskomitee des Schweizerischen Gewerkschaftsbundes an Friedrich Engels in London Zürich, vor Freitag, 28. November 1890

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Zum 70 Geburtstage übersendet die herzlichsten Glückwünsche unserm treuen Mitkämpfer Friedrich Engels.

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380 Landesausschuß der organisierten deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz an Friedrich Engels in London Zürich, vor Freitag, 28. November 1890

Zürich im November 1890 ten

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Die besten Glückwünsche zum 70 Geburtstage unserm treuen Mitkämpfer Friedrich Engels Im Namen der deutschen Sozialisten in der Schweiz für den Landesausschuß E Beck.

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381 Caroline Schoeler an Friedrich Engels in London Koblenz, vor Freitag, 28. November 1890

Coblenz Am Plan 20. Nov. 1890. Lieber Herr Engels! Da ich aus den Zeitungen vernommen, daß Sie in diesen Tagen das schöne Fest Ihres 70ten Geburtstages feiern so erlaube ich auch mir, gestützt auf unsere alte Freundschaft, Ihnen viel Glück und Freude dazu zu wünschen. Mögen Sie noch oft in Gesundheit und Thatkraft Ihren Geburtstag erleben und sind Sie selbst wie alle alten Freunde herzlich gegrüßt, in alter Freundschaft von Ihrer Lina Schoeler.

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382 Ignaz Zadek an Friedrich Engels in London London, vor Freitag, 28. November 1890

Geehrter Herr Engels!

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Gestatten Sie auch mir, der in diesem Jahr – freilich nur auf kurze Zeit – das Glück hatte, in Ihrem Kreise zu weilen, Ihnen herzlichst zu gratuliren u. die Erwartung auszusprechen, daß trotz des schweren Verlustes, den Sie gehabt, Sie sich den alten Jugendsinn u. Kampfesmuth unsres Generals auf weitere Dezennien bewahren mögen. Ihr Zadek.

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383 Victor und Emma Adler an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Wien Office at 12.20 p. M. Received here at 2 p. M. To Engels London Regents Park Road 122 Dem geliebten lehrer und freunde herzlichen glueckwunsch VictorEmma Adler.

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384 Heinrich Braun an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Berlin Office at 11.35 a. M. Received here at 12–25 p. M. To Friederich Engels 122 Regents Park Rd Ldn 5

Die herzlichsten gratulationen und waermsten wuensche fuer ihr wolergehen von ihrem sie hochschaetzenden schueler Heinrich Braun

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385 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Freitag, 28. November 1890

Barmen 28 Novbr 1890 Lieber Friedrich! Mit Bedauern habe ich Deine Trauernachricht gelesen; ich kann mir denken, daß Dir der Tod Deiner Haushälterin, die schon so lange Deine Sachen besorgte, u. an die Du Dich so gewöhnt hattest, nahe gegangen sein muß. Nun einstweilen hast Du ja einen Ersatz, wenn auch nur provisorisch, u. hoffentlich findest Du bald einen solchen, der Dir ganz paßt u. es Dir nach Wunsch macht. – Es thut mir sehr leid, daß Du so viele Schreibereien wegen unseres Sherry hast. – Eigentlich habe ich ja vorläufig genug davon. Indeß wir wollen denn die Proben No 2190 gegen 1992 mal nach Ankunft probiren u. uns dann entscheiden. Was von dem 1992 noch übrig ist & was Du davon haben kannst, lasse nur an meinen Schwager Alb. Pferdmenges nach M. Gladbach gehen u. zwar in Kisten, wie es am besten paßt. Sobald ich dann auch die Factura über diesen Rest 1992 habe, lasse ich Dir das gewünschte Geld schicken, da Du schreibst, Du brauchtest es früher nicht. Am letzten Montag hatten wir hier eine Ueberschwemmung, wie ich sie nie gesehn habe. Unser ganzer Garten war ein See, u. das Wasser lief in meine Kellerfenster hinein. Gestern Abend erst habe ich den Keller wieder frei bekommen, vermittelst einer Dampfpumpe. So viel bis jetzt bekannt ist, sind 5 Menschen u. auch 5 Pferde ertrunken. – Rud. Blank ist schon hier u. wohnt bei dem alten Emil, seine Frau u. Kind sind zu Verwandten hier gezogen, da es in Blanks Haus zu kalt war. Blanks hatten nämlich auch den Keller bis unter die Decke voll Wasser u. konnten deshalb mit ihrer Centralheizung nichts anfangen. – Bis nächstens u. herzliche Grüße von Emma u. Deinem alten Hermann. Solltest Du das Geld vor dem 8–9. Decbr. haben müssen, so schreibe mir eine Karte nach Sprendlingen in Rheinhessen, Adr. Jean Hofmann, Hoˆtel Demmer, wohin ich am Sonntag reisen wollte, um da bis zum 6. Decbr zu jagen. Hier haben wir jetzt ca 8 Grad Kälte!!

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386 Leo Frankel an Friedrich Engels in London Paris, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Paris Office at 4–10. p. M. Received here at 4–46 p. M. To Engels 122 Regents Park Rd Ldn. Herzlichst wuensche Frankel

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387 August Heinemann an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

12. Duke St. Portland Pl. London W. d. 28 Nov. 1890. Herrn F. Engels. W. G. Sende Ihnen zu Ihrem 70. jährigen Geburtstage meine aufrichtigste Gratulation. Mögen Sie sich noch manches Lebensjahr bei bester Gesundheit zu erfreuen haben. Achtungsvoll Aug. Heinemann.

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388 Emma Ihrer, Wolfgang Wunderlich und Johann Meyer an Friedrich Engels in London Bochum, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Bochum Office at 11–33 a. M. Received here at 12–0 p. M. To An Friedrich Engels p. adresse Bernstein 114 Kentish Tn Road Ldn W. 20 5

Dem wakeren Kaempfer des internationalen proletariat ein freudiges hoch senden die sozialdemokraten von bochum frau ihrer wolfg wunderlich die Klassenbewusten bergleute des ruhrgebiets joh meyer

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389 Minna Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Wien Office at 11.55 a. M. Received here at 12–36 p. M. To Engels London 122 Regents Park Rd Dem hochverehrten jubilar herzliche glueckwuensche Mama Kautsky

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390 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 28. November 1890

Le Perreux 28.XI.90 Mon cher Engels,

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Je vous envoie ci-joint la re´solution prise hier par le Conseil national, qui a voulu se joindre aux socialistes allemands pour feˆter votre anniversaire. Nous sommes ici de cœur et d’esprit avec ceux qui a` Londres vous souhaiteront sante´, joie et longue vie. Au revoir – dans dix ans. P Lafargue. Laura vous a expe´die´ Mr et Mme Cardinal a very improper book pour vous tenir au courant des mœurs parisiennes nouvelles. Longuet maintien sa candidature au 2e tour; il est fou.

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391 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

12 Fitzroy Street Fitzroy Sq London Nov. the 28/90. Lieber Engels Ein Donnerntes Hoch zu Deinen 70jährigen Geburtstage! Meine Frau, ich und die Kinder wünschen Dir zu Deinem Heutigen Geburtstage, Das Du noch recht viele solche tage, gesunt und kräftig Erleben möchtest. Wir wünschen dies in Deinen interesse, so wie gleichzeitig im intresse der Proletarier partei. Da dieselbe Dich noch lange nicht entbären kann, denn die Arbeiten die noch auf Dich warten, sind so bedäutent, das dieselben von keinen andern so gemacht werden können, als Du sie machen kanst. Wir wünschen das Du das Neue Jahrhundert, freutig, wohl und gesunt anträten mögest, um noch große Ereignisse zu erleben. zu welchen Du, sowohl wie unser treuer freund Marx, Den anfang gemacht habt. zu der Emanzipation der Arbeiter klasse. In welchen Fahrwasser würde den Heute die Arbeiter Bewegung sich befinden? wäre es nicht für Euch beite gewesen, die den einzigen richtigen weg gezeigt haben, welcher jetzt von den Bewußten Proletariern aller Länder befolgt wird. Wir betrauern sehr, das unsere teuren Freunde aus der Familie Marx nicht mehr in unserer Mitte sich befinden, um noch die befritigung zu haben, daß die Grossen Opfer, welche diese so aussergewöhnliche Geistreiche familie, für die Bewegung gebracht haben, Den Endlichen Sieg sich mit solcher macht nährern zu sehen. Lieber Engels, Erlaube uns bei dieser gelegenheit, unser grosses betauern auszusprechen über die vielen verluste die Dich in so weniggen Jahren getroffen haben. Der Todt Deiner so Lieben Frau. Der prave W. Wolff, die so Liebens würtige Frau Marx, die theure und prave Frau Lanque, Dann der unersätzliche verlust, unseres grossen und unvergeßlichen freundes Karl Marx, nach ihm vor einigen Jahren unser alte treue genosse Philipp Backer Becker, und nun zulätzt die wahre freundin aller derjenigen die nicht mehr under uns weilen, und aller derjenigen die sie gekannt, und noch am Leben sind, die treue Helene. Diser lätzte verlust, der so schnell und unverhoft stattfand, mus under den gegenwärtigen verhältnißen, für Dich unersätzlich, und gleichzeitig in jeder beziehung von sehr grossen Nachtheil sein.

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391. Friedrich Leßner an Engels · 28. November 1890

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Wir können uns bis jetzt noch nicht vorstellen, auf welche weise die grosse Lücke auch nur annähernd ausgefüllt werden kann. wir hoffen sehr, das sich recht balt, eine gute gelegenheit darbieten möchte, jemanden zu finden, welcher den platz der treuen Nim, bis zum gewissen Grat ersätzen könde, welches Natürlich eine grosse aufgabe ist, die nicht leicht gelöst werden kann. wier hoffen sehr Das Du über diese grossen schwierigkeiten so balt als nur möglich hinweg kommen wirst. und Deine Jahre die Du noch zu Leben hast, welche wir söhnlichst Hoffen, daß es noch recht viele sein mögen, und daß Du dieselben gesunt und glücklich verleben wirst. Im Namen unserer ganzen familie grüßt Dich Herzlich Dein Alter freund und partei genosse, Frederich Lessner

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392 Mitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Berners st Office at 2.5 p. M. Received here at 2.41 p. M. To Frederick Engels Esq 122 Regents Park Rd We wish you dear commerade and dearest friend of the working class to your 70 th birthday today a long and happy life the dinning members of the com arb [bil verein, 49 Tottenham St]

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393 Österreichische Sozialdemokratie, „Arbeiter-Zeitung“ und „Volkspresse“ an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Wien Office at 12.15 p. M. Received here at 1.0 p. M. To Engels London Regent Park Rd 122

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Dem unermuedlichen vorkaempfer des internationalen proletariats brudergruss und glueckwuensche. fuer die oesterreichische social demokratie arbeiterzeitung volkspresse

625

394 Eugen Oswald an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

28 November 90. Herzlichste Glückwünsche von mir und den Meinen zu Friedrich Engels’ siebenzigsten Geburtstage. Ich hoffe am Abend vorzusprechen. In alter Treue Eug. Oswald.

626

5

395 Philipp Viktor und Ida Pauli an Friedrich Engels in London Höchst/Main, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Hoechstmain Office at 9.11 a. M. Received here at 9.9 a. M. To Engels 122 Regents Park Rd. Ldn. 5

Unsern glueckwunsch dem jugendfrischen siebziger bleibe gesund und munter bis ins naechste jahrhundert grusz dem alten freund Pauli und Frau

627

396 Redaktion des „Berliner Volksblatt“ an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Berlin Office at 12.5 p. M. Received here at 12.11 p. M. To Engels London Regents Park Rd 122 Die redaktion verlag und expedition des berliner volksblatt senden ihrem mitstreiter und mitarbeiter zum heutigen tage die herzlichsten wuensche ˙

628

397 Russische Sozialdemokraten in Bern an Friedrich Engels in London Bern, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Berne Office at 3.10 p. M. Received here at 5.10 p. M. To London Friedrich Engels

5

Russische sozialdemokraten bern senden einem der groessten lehrer des sozialismus herzlichsten gruss wuenschen ihnen noch viele jahre des wirkens fuer proletariat und wissenschaft hoch die Internationale socialdemokratie

629

398 Sozialdemokraten aus Fürth an Friedrich Engels in London Fürth, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Fuerthb Office at 9.40 a. M. Received here at 10.49 a. M. To Friedrich Engels Schriftsteller London. Dem verdienstvollen vorkaempfer der internationalen sozialdemokratie bringen zum 70 jaehrigen geburtsfeste die herzlichsten glueckwuensche die socialdemokraten fuerth’s bayern

630

5

399 Sozialdemokraten Württembergs an Friedrich Engels in London Stuttgart, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Stuttgart Office at 8.18 a. M. Received here at 8.45 a. M. To Friedrich Engels London S. W. 122 Regents Park Road

5

Dem bewaehrten vorkaempfer dem wackeren genossen herzlichsten grusz und glueckwunsch zum siebzigsten geburtstag die sozialdemokraten wuerttembergs

631

400 Die Sozialdemokratie Leipzig Stadt und Land an Friedrich Engels in London Leipzig, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Leipzig Office at 12.58 p. M. Received here at 1–6 p. M. To Friedrich Engels adresze Bernstein Compagnie 114 Kentish Town Rd Ldn N/W Dem Veteranen der arbeiterpartei sendet zum heutigen tage die herzlichsten glueckwuensche Die Sozialdemokratie Leipzig stadt und land

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5

Telegramm der Sozialdemokratie Leipzig Stadt und Land vom 28. November 1890 zum 70. Geburtstag von Engels

401 Sozialdemokratischer Verein des Ersten Hamburger Wahlkreises an Friedrich Engels in London Hamburg, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Hamburg Office at 10:50 p. M. Received here at 10:36 a. M. To Kommunistischen Arbeiter Bildungs Verein 49 Tottenham st London 5

Abzugeben an herrn friedrich engels dem tapferen langbewahrten streiter fur die erloesung des proletatreats zu seinem siebenzigsten (2) geburtstage die besten gluckwunsche und ein donnerndes lebehoch sozialdemokratischer verein des ersten hamburger wahlkreises

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402 Sozialdemokratischer Wahlverein für den Zweiten Berliner Reichstagswahlkreis an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Handed in at the Berlin Office at 11.45 a. M. Received here at 12–20 p. M. To Herrn Engels London 122 Regents Park Rd Herzlichen glueckwunsch zum 70 Geburtstag sendet dem treuen kaempfer fuer freiheit wahrheit gleichheit bruederlichkeit mit dem wunsche diesen tag noch oft bei froher gesundheit zu 2 verleben die mitglieder des socialdemokratischen wahlvereins fuer den 2 berliner reichstagswahlkreis im auftrage Otto Klein Kottbuserdamm 14

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5

403 ´ douard Vaillant an Friedrich Engels E in London Paris, Freitag, 28. November 1890

49 rue Claude Bernard. 28 Nov. 1890 Cher citoyen Engels 5

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Voila` bien longtemps que je n’ai eu le plaisir de vous voir ou de vous e´crire. Il y a peu de temps j’apprenais le malheur qui vous frappait en la personne de cette bonne Madame He´le`ne que j’avais e´te´ bien content de voir au 14 juillet dernier si pleine de force apparente et de sante´ ; j’ai prie´ Madame Aveling de vous dire la part since`re que je prenais a` votre chagrin. Aujourd’hui une lettre du citoyen Bebel m’apprend qu’il part pour Londres avec le citoyen Liebknecht pour ce´le´brer avec vous le 70e anniversaire de votre naissance et souhaiter avec tous ceux qui vous connaissent la dure´e longue et heureuse d’une vie qui associe´e a` celle de Marx et depuis a e´te´ d’une si grande valeur pour l’e´mancipation du prole´tariat, pour le socialisme et pour la science sociale. Je tiens a` joindre mes fe´licitations et mes souhaits aux leurs et a` vous dire toute la part since`re, cordiale et affectueuse que je prends a` cette feˆte anniversaire qui je l’espe`re pour le parti et vos amis se renouvellera de nombreuses anne´es. Mieux encore que les hommes les e´ve´nements l’ont ce´le´bre´e cette anne´e et cette pense´e ajoute encore aux regrets de l’absence de Marx qui s’il euˆt pu eˆtre en ce moment avec vous et ses enfants euˆt pu se re´jouir avec vous avec Bebel et Liebknecht de l’oeuvre commune si admirablement concue, e´crite dirige´e, si victorieusement mene´e. Recevez donc cher citoyen Engels avec mes voeux et mes fe´licitations l’assurance de ma since`re amitie´ et de ma profonde estime Ed. Vaillant Toute ma famille Franc¸oise joint ses souhaits affectueux aux miens.

637

404 Vorstandsmitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

London 28.11.90. Werther Genosse Engels! Die Unterzeichneten entbieten ihren Glückwunsch zu Ihrem 70ten Geburtstage. Daß Sie nach nun schon fast vor 50 Jahren durch Sie und K. Marx erfolgten wissenschaftlichen Begründung des Socialismus heut noch für die Befreiung des Prolatariats thatig sind, erfüllt uns mit Freude. Werther Genosse! Wir bedauern mit Ihnen das es Ihrem Freunde K. Marx nicht vergönnt war wie Sie die gegenwärtigen Fortschritte der Arbeiter Bewegung erleben zu können. Wir knüpfen hieran den Wunsch das Sie so lange leben um die freie socialistische Gesellschaft auch in Wirklichkeit zu sehen.

5

10

Die in wöchentlicher Sitzung versammelten Vorstands Mitglieder des Com. Arb. Bild. Vereins. 15

R. George. Aug. Heinemann. Otto Matthias. Max Siegel. Karl Dusch. Joseph Meyer. Albert Grünfeld. Robert Rohde.

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405 Eduard Gumpert an Friedrich Engels in London Berlin, Sonntag, 30. November 1890

Berlin Novbr 30/90.

5

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Ich reise morgen Abend von hier ab & hoffe am Mittwoch Morgen wieder in Manchester einzutreffen. Sollte ich indessen bei meiner Ankunft in London am Dienstag Abend (von Vlissingen) zu sehr erschöpft sein, so komme ich gegen 10 Uhr Abends bei Dir an. Hoffentlich kannst Du mich bei Dir oder in der Nachbarschaft unterbringen. Ich würde denn früh am Mittwoch weitergehen. Ich bin ungemein von meinem Besuch Berlins befriedigt, erzähle Dir ausführlich darüber, wenn wir uns treffen. Hoffentlich kommst Du in den nächsten paar Wochen auf einige Zeit zu uns. Auf ein baldiges vergnügtes Wiedersehen! E. G. F. Engels Esq. 122 Regents’ Park Road London England.

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406 Laura Lafargue und Jenny Longuet an Friedrich Engels in London Le Perreux, vor Montag, 1. Dezember 1890

Kisses from Me´me´ And kisses from Laure, Isn’t that a dish to set before Our General? 5

Well, here are the kisses and if they’re too many For rhyme or for reason, say we haven’t any. Löhr Me´me´ Comment va ton Nase?

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å

KARL MARX FRIEDRICH ENGELS GESAMTAUSGABE (MEGA) DRITTE ABTEILUNG BRIEFWECHSEL BAND 30

HERAUSGEGEBEN VON DER INTERNATIONALEN MARX-ENGELS-STIFTUNG AMSTERDAM

FRIEDRICH ENGELS BRIEFWECHSEL OKTOBER 1889 BIS NOVEMBER 1890 APPARAT Bearbeitet von Gerd Callesen und Svetlana Gavril’cˇenko Unter Mitarbeit von Regina Roth und Renate Merkel-Melis †

AKADEMIE VERLAG 2013

Internationale Marx-Engels-Stiftung Vorstand Beatrix Bouvier, Marcel van der Linden, Herfried Münkler, Andrej Sorokin

Redaktionskommission Georgij Bagaturija, Beatrix Bouvier, Fangguo Chai, Marcel van der Linden, Jürgen Herres, Gerald Hubmann, Götz Langkau, Manfred Neuhaus, Izumi Omura, Teinosuke Otani, Ljudmila Vasina, Carl-Erich Vollgraf

Wissenschaftlicher Beirat Andreas Arndt, Shlomo Avineri, Harald Bluhm, Warren Breckman, Gerd Callesen, Iring Fetscher, Patrick Fridenson, Carlos B. Gutie´rrez, Hans-Peter Harstick, Rahel Jaeggi, Hermann Klenner, Jürgen Kocka, Nikolaj Lapin, Hermann Lübbe, Teodor Ojzerman, Bertell Ollman, Michael Quante, Pedro Ribas, Bertram Schefold, Wolfgang Schieder, Hans Schilar, Walter Schmidt, Gareth Stedman Jones, Immanuel Wallerstein, Jianhua Wei Dieser Band wurde im Rahmen der gemeinsamen Forschungsförderung im Akademienprogramm mit Mitteln des Bundesministeriums für Bildung und Forschung und der Senatsverwaltung für Wirtschaft, Technologie und Forschung des Landes Berlin erarbeitet.

Bibliografische Information der Deutschen Nationalbibliothek Die Deutsche Nationalbibliothek verzeichnet diese Publikation in der Deutschen Nationalbibliografie; detaillierte bibliografische Daten sind im Internet über http://dnb.dnb.de abrufbar.

© Akademie Verlag GmbH, Berlin 2013 Ein Unternehmen von De Gruyter www.degruyter.com/akademie

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Inhalt Text Apparat Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

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Einführung

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BRIEFE VON UND AN FRIEDRICH ENGELS OKTOBER 1889 BIS NOVEMBER 1890 1. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 2. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 3. Oktober 1889 (Entwurf) 3. Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels, 5. Oktober 1889 4. Henry Hyde Champion an Friedrich Engels, 6. Oktober 1889 5. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 7. Oktober 1889 6. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 8. Oktober 1889 7. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 11. Oktober 1889 8. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. Oktober 1889 9. August Bebel an Friedrich Engels, 17. Oktober 1889 10. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 17. Oktober 1889 11. Friedrich Engels an Conrad Schmidt, 17. Oktober 1889 12. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 18. Oktober 1889

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Inhalt

13. Max Hildebrandt an Friedrich Engels, 19. Oktober 1889 14. Otto Adolph Ellissen an Friedrich Engels, vor 22. Oktober 1889 15. Friedrich Engels an Otto Adolph Ellissen, 22. Oktober 1889 16. Friedrich Engels an Max Hildebrandt, 22. Oktober 1889 17. Thomas Binning an Friedrich Engels, frühestens 24. Oktober 1889 18. Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels, 26. Oktober 1889 19. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 20. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 29. Oktober 1889 21. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 29. Oktober 1889 22. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 30. Oktober 1889 23. Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels, 4. November 1889 24. A. Steinbach an Friedrich Engels, 5. November 1889 25. J. H. Johnson, Son & Ellis an Friedrich Engels, 7. November 1889 26. Friedrich Engels an Pasquale Martignetti, 9. November 1889 27. Conrad Schmidt an Friedrich Engels, 10. November 1889 28. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 14. November 1889 29. Friedrich Engels an August Bebel, 15. November 1889 30. Friedrich Engels an J. H. Johnson, Son & Ellis 15. November 1889 (Entwurf) 31. Swan Sonnenschein, Lowrey, & Co. an Friedrich Engels, 15. November 1889 32. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 16. November 1889 33. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 16. November 1889 34. J. H. Johnson, Son & Ellis an Friedrich Engels, 16. November 1889 35. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 17. November 1889

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Text

Apparat

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Inhalt

36. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 18. November 1889 37. Laura Lafargue an Friedrich Engels, nach 19. November 1889 38. Friedrich Engels an Jules Guesde, 20. November 1889 39. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 21. November 1889 40. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 23. November 1889 41. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 26. November 1889 42. Natalie Liebknecht an Friedrich Engels, 27. November 1889 43. Friedrich Engels an Pasquale Martignetti, 30. November 1889 44. Friedrich Engels an Victor Adler, 4. Dezember 1889 45. August Simon an Friedrich Engels, 4. Dezember 1889 46. Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son, 5. Dezember 1889 47. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 5. Dezember 1889 48. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 7. Dezember 1889 49. William Burns an Friedrich Engels, 8. Dezember 1889 50. Gerson Trier an Friedrich Engels, 8. Dezember 1889 51. Friedrich Engels an Conrad Schmidt, 9. Dezember 1889 52. Hermann Schlüter an Friedrich Engels, 12. Dezember 1889 53. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 13. Dezember 1889 54. E. Williams an Friedrich Engels, 15. Dezember 1889 55. Emma Pfänder an Friedrich Engels, 17. Dezember 1889 56. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 18. Dezember 1889 57. Friedrich Engels an Gerson Trier, 18. Dezember 1889 (Entwurf) 58. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 18. Dezember 1889 59. Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels, 20. Dezember 1889

Text

Apparat

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Inhalt

60. Hermann Schlüter an Friedrich Engels, 20. Dezember 1889 61. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 22. Dezember 1889 62. Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels, 23. Dezember 1889 63. Friedrich Engels an Natalie Liebknecht, 24. Dezember 1889 64. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 24. Dezember 1889 65. Louis Kugelmann an Friedrich Engels, 29. Dezember 1889 66. Natalie Liebknecht an Friedrich Engels, 29. Dezember 1889 67. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 30. Dezember 1889 68. Friedrich Engels an Louis Kugelmann, 30. Dezember 1889 69. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 31. Dezember 1889 70. Adam Weiler an Friedrich Engels, wahrscheinlich Januar 1890 71. August Bebel an Friedrich Engels, 2. Januar 1890 72. Hermann Engels an Friedrich Engels, 2. Januar 1890 73. Charles Howard Rosher an Friedrich Engels, 2. Januar 1890 74. Friedrich Engels an Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij, 3. Januar 1890 75. Charles Howard Rosher an Friedrich Engels, 7. Januar 1890 76. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 8. Januar 1890 77. Friedrich Engels an Hermann Engels, 9. Januar 1890 78. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 10. Januar 1890 79. Charles Howard Rosher an Friedrich Engels, 10. Januar 1890 80. Friedrich Engels an Hermann Schlüter, 11. Januar 1890 81. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 11. und 12. Januar 1890 82. Friedrich Engels an Pasquale Martignetti, 13. Januar 1890 83. Emma Wilhelms an Friedrich Engels, 13. Januar 1890 84. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 14. Januar 1890

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Text

Apparat

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Inhalt

85. Friedrich Engels an Eleanor Marx-Aveling, 14. Januar 1890 86. Charles Howard Rosher an Friedrich Engels, 14. Januar 1890 87. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 14. Januar 1890 88. Emma Wilhelms an Friedrich Engels, 14. Januar 1890 89. Friedrich Engels an Charles Howard Rosher, zwischen 14. und 19. Januar 1890 (Entwurf) 90. Friedrich Engels an Hermann Schlüter, 15. Januar 1890 91. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 17. Januar 1890 92. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 17. Januar 1890 93. Charles Howard Rosher an Friedrich Engels, 19. Januar 1890 94. Victor Adler an Friedrich Engels, 21. Januar 1890 95. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 22. Januar 1890 96. Friedrich Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 97. Sidney Webb an Friedrich Engels, 23. Januar 1890 98. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels, 30. Januar 1890 99. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 4. Februar 1890 100. William Burns an Friedrich Engels, 6. Februar 1890 101. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 8. Februar 1890 102. Friedrich Engels an Doris Zadek, nach 13. Februar 1890 (Entwurf) 103. Friedrich Engels an August Bebel, 17. Februar 1890 104. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 18. Februar 1890 105. August Bebel an Friedrich Engels, 21. Februar 1890 106. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 24. Februar 1890 107. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 26. Februar 1890 108. Conrad Schmidt an Friedrich Engels, 26. Februar 1890 109. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 3. und 6. März 1890

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Inhalt

110. August Bebel an Friedrich Engels, 7. März 1890 111. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 7. März 1890 112. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 113. Louis Kugelmann an Friedrich Engels, 9. März 1890 114. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 11. März 1890 115. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 12. März 1890 116. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 14. März 1890 117. F. A. Brockhaus an Friedrich Engels, 20. März 1890 118. Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels, 21. März 1890 119. Rudolf Meyer an Friedrich Engels, 24. März 1890 120. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 25. März 1890 121. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 26. März 1890 122. Friedrich Engels an Antonio Labriola, 30. März 1890 (Entwurf) 123. Friedrich Engels an Pasquale Martignetti, 30. März 1890 124. August Bebel an Friedrich Engels, 31. März 1890 125. Ausschuß des Österreichischen Studentenvereins an Friedrich Engels, April 1890 126. Friedrich Engels an Karl Kautsky, 1. April 1890 127. Friedrich Engels an Heinrich Dietz, 1. April 1890 128. Conrad Schmidt an Friedrich Engels, 1. April 1890 129. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels, vor 3. April 1890 130. Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ, 3. April 1890 131. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 3. April 1890 132. Antonio Labriola an Friedrich Engels, 3. April 1890 133. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 3. April 1890 134. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 4. April 1890 135. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 4. April 1890 136. Friedrich Engels an Gerson Trier, zwischen 4. und 14. April 1890 137. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels, nach 5. April 1890 138. Heinrich Dietz an Friedrich Engels, 7. April 1890

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Text Apparat 196 928 198 931 201 203

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975 977

Inhalt

139. Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels, 7. April 1890 140. August Bebel an Friedrich Engels, 9. April 1890 141. Friedrich Engels an Ferdinand Domela Nieuwenhuis, 9. April 1890 142. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 9. April 1890 143. Friedrich Engels an Heinrich Dietz, 10. April 1890 (Inhalt) 144. Friedrich Engels an Karl Kautsky, 11. April 1890 145. Friedrich Engels an Conrad Schmidt, 12. April 1890 146. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. April 1890 147. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 14. April 1890 148. Laura Lafargue an Friedrich Engels, vor 16. April 1890 (Anfang fehlt) 149. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 150. Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ, 17. April 1890 151. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels, zwischen 17. und 26. April 1890 152. Rudolf Meyer an Friedrich Engels, 18. April 1890 153. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 19. April 1890 154. August Heinemann an Friedrich Engels, 21. April 1890 155. Heinrich Dietz an Friedrich Engels, 22. April 1890 156. Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels, 22. April 1890 157. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 27. April 1890 158. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 30. April 1890 159. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 30. April 1890 160. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 1. Mai 1890 161. Das Redaktionskomitee von „L’Ide´e Nouvelle“ an Friedrich Engels, 4. Mai 1890 162. F. Roux an Friedrich Engels, 4. Mai 1890 163. Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 5. Mai 1890 164. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 6. Mai 1890 165. Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels, 6. Mai 1890

Text

Apparat

243 244

979 980

246 248

982 983

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1018 1019

290 291

1020 1021

292

1022

651

Inhalt

166. 167. 168. 169. 170. 171. 172. 173. 174. 175. 176. 177. 178. 179. 180. 181. 182. 183. 184. 185. 186. 187. 188. 189. 190. 191. 192. 193. 194. 195. 196.

652

Wilhelm Hoffmann an Friedrich Engels, 8. Mai 1890 Sophie Scherzer an Friedrich Engels, 8. Mai 1890 Friedrich Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 Friedrich Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 Robert Edward Dell an Friedrich Engels, 12. Mai 1890 Paul Singer an Friedrich Engels, 13. Mai 1890 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 15. Mai 1890 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 17. Mai 1890 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 18. Mai 1890 Antonio Labriola an Friedrich Engels, 19. Mai 1890 Friedrich Engels an Paul Lafargue, 21. Mai 1890 Emil Bruck an Friedrich Engels, 22. Mai 1890 Oscar Eisengarten an Friedrich Engels, 22. Mai 1890 Heinrich Dietz an Friedrich Engels, 24. Mai 1890 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti, 24. Mai 1890 Antonio Labriola an Friedrich Engels, 27. Mai 1890 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels, 28. Mai 1890 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 29. Mai 1890 Robert Edward Dell an Friedrich Engels, 31. Mai 1890 Paul Ernst an Friedrich Engels, 31. Mai 1890 August Bebel an Friedrich Engels, 2. Juni 1890 Hermann Schlüter an Friedrich Engels, 3. Juni 1890 Friedrich Engels an Paul Ernst, 5. Juni 1890 (Entwurf) Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 5. Juni 1890 John Lincoln Mahon an Friedrich Engels, 6. Juni 1890 Paul Engelmann an Friedrich Engels, 7. Juni 1890 Jules Le´pine an Friedrich Engels, 9. Juni 1890 Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son, 10. Juni 1890 Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels, 12. Juni 1890 Louis Kugelmann an Friedrich Engels, 13. Juni 1890 Friedrich Engels an Hermann Schlüter, 14. Juni 1890

Text Apparat 293 1023 294 1024 295 1025 300 1028 302 303

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1060 1061 1062

333 335 336 337

1063 1065 1066 1067

Inhalt

197. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 16. Juni 1890 198. Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels, 16. Juni 1890 199. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 17. Juni 1890 200. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels, 18. Juni 1890 201. Friedrich Engels an Natalie Liebknecht, 19. Juni 1890 202. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 19. Juni 1890 203. Jules Le´pine an Friedrich Engels, 24. Juni 1890 204. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 24. Juni 1890 205. Conrad Schmidt an Friedrich Engels, 25. Juni 1890 206. Frederick Borkheim an Friedrich Engels, 28. Juni 1890 207. Eduard Bernstein an Friedrich Engels, 29. Juni 1890 208. Rudolf Meyer an Friedrich Engels, 29. Juni 1890 209. Friedrich Engels an Louis Kugelmann, 30. Juni 1890 210. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 30. Juni 1890 211. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 30. Juni 1890 212. Frederick Borkheim an Friedrich Engels, 1. Juli 1890 213. Louis Kugelmann an Friedrich Engels, 1. Juli 1890 214. Oscar Eisengarten an Friedrich Engels, zwischen 1. und 5. Juli 1890 215. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 3. Juli 1890 216. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 3. Juli 1890 217. Edouard Anseele an Friedrich Engels, 4. Juli 1890 218. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 4. Juli 1890 219. Walery Wro´blewski an Friedrich Engels, 6. Juli 1890 220. Friedrich Engels an Hermann Engels, 8. Juli 1890 221. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 9. Juli 1890 222. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 10. Juli 1890 223. Walery Wro´blewski an Friedrich Engels, 12. Juli 1890 224. Heinrich Dietz an Friedrich Engels, 15. Juli 1890 225. Frederick Borkheim an Friedrich Engels, 20. Juli 1890 226. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 22. Juli 1890

Text Apparat 338 1068 339 1070 341

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1110

374

1111

653

Inhalt

227. 228. 229. 230. 231. 232. 233. 234. 235. 236. 237. 238. 239. 240. 241. 242. 243.

244. 245. 246. 247. 248. 249. 250. 251. 252. 253.

654

Friedrich Leßner an Friedrich Engels, 25. Juli 1890 Carl Geibel an Friedrich Engels, 27. Juli 1890 Adam Weiler an Friedrich Engels, 28. Juli 1890 Friedrich Engels an Laura Lafargue, 30. Juli 1890 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 30. Juli 1890 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 1. August 1890 Carl Geibel an Friedrich Engels, 2. August 1890 Paul Lafargue an Friedrich Engels, 4. August 1890 Friedrich Engels an Karl Kautsky, 5. August 1890 Friedrich Engels an Heinrich Dietz, 5. August 1890 Friedrich Engels an Conrad Schmidt, 5. August 1890 Strutt & Parker an Friedrich Engels, 7. August 1890 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels, 8. August 1890 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 9. August 1890 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels, 11. August 1890 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 13. August 1890 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 15. August 1890 Otto von Boenigk an Friedrich Engels, 16. August 1890 Richard Fischer an Friedrich Engels, 16. August 1890 Julius Motteler an Friedrich Engels, 17. August 1890 Richard Fischer an Friedrich Engels, 18. August 1890 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels, 19. August 1890 Friedrich Engels an Otto von Boenigk, 21. August 1890 Eduard Bernstein an Friedrich Engels, 22. August 1890 Karl Kautsky an Friedrich Engels, 22. August 1890

Text Apparat 376 1113 377 1114 378 1115 379 1116 381

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412 414

1150 1152

Inhalt

254. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 22. August 1890 255. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 24. August 1890 256. August Bebel an Friedrich Engels, 27. August 1890 257. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 258. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. August 1890 259. Eduard Bernstein an Friedrich Engels, 30. August 1890 260. Antonio Labriola an Friedrich Engels, 30. August 1890 261. Walery Wro´blewski an Friedrich Engels, 30. August 1890 262. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 31. August 1890 263. Eduard Bernstein an Friedrich Engels, 3. September 1890 264. Joseph Bloch an Friedrich Engels, 3. September 1890 265. Richard Fischer an Friedrich Engels, 4. September 1890 266. Alfred Delcluze an Friedrich Engels, 6. September 1890 267. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 8. September 1890 268. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 9. September 1890 269. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 10. September 1890 270. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 10. September 1890 271. Jules Le´pine an Friedrich Engels, 14. September 1890 272. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 273. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 16. September 1890 274. Charles Caron an Friedrich Engels, 17. September 1890 275. Friedrich Engels an Karl Kautsky, 18. September 1890 276. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 277. Jules Guesde an Friedrich Engels, 19. September 1890

Text

Apparat

416 417 419 421

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455

1200

655

Inhalt

278. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 19. September 1890 279. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 20. September 1890 280. Friedrich Engels an Charles Caron, 20. September 1890 281. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 20. September 1890 282. Hermann Engels an Friedrich Engels, 20. September 1890 283. Walery Wro´blewski an Friedrich Engels, 20. September 1890 284. Charles Bonnier an Friedrich Engels, 21. September 1890 285. Paul Stumpf an Friedrich Engels, 21. September 1890 286. Friedrich Engels an Joseph Bloch, 21. und 22. September 1890 287. Friedrich Engels an Hermann Engels, 22. September 1890 288. Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels, 22. September 1890 289. August Bebel an Friedrich Engels, 23. September 1890 290. Friedrich Engels an Jakins, 23. September 1890 (Entwurf) 291. Friedrich Engels an Strutt & Parker, 23. September 1890 (Entwurf) 292. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 23. September 1890 293. Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels, 24. September 1890 294. Friedrich Engels an Jules Guesde, 25. September 1890 295. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 25. September 1890 296. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 25. September 1890 297. Jules Guesde an Friedrich Engels, 25. September 1890 298. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 26. September 1890 299. Michael Maltman Barry an Friedrich Engels, 27. September 1890

656

Text

Apparat

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Inhalt

300. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September 1890 301. Laura und Paul Lafargue an Friedrich Engels, 28. September 1890 302. August Bebel an Friedrich Engels, 29. September 1890 303. National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels, 2. Oktober 1890 304. Laura Lafargue an Friedrich Engels, 3. Oktober 1890 305. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 4. Oktober 1890 306. Friedrich Engels an Karl Kautsky, 5. Oktober 1890 307. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 7. Oktober 1890 308. John Darbyshire an Friedrich Engels, 11. Oktober 1890 309. Michael Maltman Barry an Friedrich Engels, 13. Oktober 1890 310. Richard Fischer an Friedrich Engels, 13. Oktober 1890 311. Henry Engel an Friedrich Engels, 14. Oktober 1890 312. Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels, 14. Oktober 1890 313. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 14. Oktober 1890 314. Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels, 14. und 15. Oktober 1890 315. Hermann Engels an Friedrich Engels, 15. Oktober 1890 316. Richard Fischer an Friedrich Engels, 15. Oktober 1890 317. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 16. Oktober 1890 318. Friedrich Leßner an Friedrich Engels, 16. Oktober 1890 319. Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels, 16. Oktober 1890 320. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 18. Oktober 1890 321. Isaac Salomon van der Hout an Friedrich Engels, 18. Oktober 1890 322. Friedrich Leßner an Friedrich Engels, 18. Oktober 1890

Text

Apparat

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Inhalt

323. Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels, 18. Oktober 1890 324. Friedrich Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 325. Friedrich Engels an Eduard Bernstein, 20. Oktober 1890 326. Conrad Schmidt an Friedrich Engels, 20. Oktober 1890 327. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 23. Oktober 1890 328. August Bebel an Friedrich Engels, 24. Oktober 1890 329. Ludwik Krzywicki an Friedrich Engels, 24. Oktober 1890 330. Friedrich Engels an Ludwik Krzywicki, nach 24. Oktober 1890 (Entwurf) 331. Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht, 25. Oktober 1890 332. Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels, 26. Oktober 1890 333. Friedrich Engels an Conrad Schmidt, 27. Oktober 1890 334. Hermann Engels an Friedrich Engels, 27. Oktober 1890 335. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 28. Oktober 1890 336. Georg Lesemann an Friedrich Engels, 31. Oktober 1890 337. Friedrich Engels an Paul Lafargue, 2. November 1890 338. Hermann Engels an Friedrich Engels, 4. November 1890 339. Friedrich Engels an Karl Kautsky, 5. November 1890 340. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 5. November 1890 341. Friedrich Leßner an Friedrich Engels, 5. November 1890 342. August Bebel an Friedrich Engels, 5. oder 6. November 1890 343. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 7. November 1890 344. Friedrich Engels an Louise Kautsky, 9. November 1890 345. Victor Adler an Friedrich Engels, 10. November 1890 346. Richard Fischer an Friedrich Engels, 10. November 1890 347. Eduard und Mathilde Gumpert an Friedrich Engels, 11. November 1890

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Text

Apparat

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Inhalt

348. Friedrich Engels an Adolf Riefer, 12. November 1890 349. Julie und Maxim Romm an Friedrich Engels, 14. November 1890 350. Friedrich Engels an Victor Adler, 15. November 1890 351. Rudolf Meyer an Friedrich Engels, 15. November 1890 352. Friedrich Engels an Victor Adler, 17. November 1890 353. Eduard Gumpert an Friedrich Engels, 18. November 1890 354. Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels, 18. November 1890 355. Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels, 19. November 1890 356. Hermann Schlüter an Friedrich Engels, 19. November 1890 357. Otto Wegener an Friedrich Engels, 21. November 1890 358. Die Redaktionen der „Arbeiter-Wochen-Chronik“ und der „Ne´pszava“ an Friedrich Engels, 24. November 1890 359. Carl Hirsch an Friedrich Engels, 25. November 1890 360. Karl Kautsky an Friedrich Engels, 25. November 1890 361. Julie und Frieda Bebel an Friedrich Engels, 26. November 1890 362. Anna Beust an Friedrich Engels, 26. November 1890 363. Wilhelm Blos an Friedrich Engels, 26. November 1890 364. Wilhelm Eichhoff an Friedrich Engels, 26. November 1890 365. Paul Engelmann an Friedrich Engels, 26. November 1890 366. Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890 367. Richard Fischer an Friedrich Engels, 26. November 1890 368. Amand Goegg an Friedrich Engels, 26. November 1890 369. Louis Kugelmann an Friedrich Engels, 26. November 1890 370. Max Oppenheim an Friedrich Engels, 26. November 1890 371. Adolf Rheinbold an Friedrich Engels, 26. November 1890

Text Apparat 566 1316 568 570

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659

Inhalt

372. Ludwig Schorlemmer an Friedrich Engels, 26. November 1890 373. Le Conseil national du Parti ouvrier franc¸ais an Friedrich Engels, 27. November 1890 374. Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels, 27. November 1890 375. Petr Lavrovicˇ Lavrov an Friedrich Engels, 27. November 1890 376. Heinrich Scheu an Friedrich Engels, 27. November 1890 377. Carl Schorlemmer an Friedrich Engels, 27. November 1890 378. Paul Stumpf an Friedrich Engels, 27. November 1890 379. Bundeskomitee des Schweizerischen Gewerkschaftsbundes an Friedrich Engels, vor 28. November 1890 380. Landesausschuß der organisierten deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz an Friedrich Engels, vor 28. November 1890 381. Caroline Schoeler an Friedrich Engels, vor 28. November 1890 382. Ignaz Zadek an Friedrich Engels, vor 28. November 1890 383. Victor und Emma Adler an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 384. Heinrich Braun an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 385. Hermann Engels an Friedrich Engels, 28. November 1890 386. Leo Frankel an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 387. August Heinemann an Friedrich Engels, 28. November 1890 388. Emma Ihrer, Wolfgang Wunderlich und Johann Meyer an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 389. Minna Kautsky an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 390. Paul Lafargue an Friedrich Engels, 28. November 1890 391. Friedrich Leßner an Friedrich Engels, 28. November 1890

660

Text

Apparat

603

1345

604

1346

605

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1363

622

1364

Inhalt

392. Mitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 393. Österreichische Sozialdemokratie, „ArbeiterZeitung“ und „Volkspresse“ an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 394. Eugen Oswald an Friedrich Engels, 28. November 1890 395. Philipp Viktor und Ida Pauli an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 396. Redaktion des „Berliner Volksblatt“ an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 397. Russische Sozialdemokraten in Bern an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 398. Sozialdemokraten aus Fürth an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 399. Sozialdemokraten Württembergs an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 400. Die Sozialdemokratie Leipzig Stadt und Land an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 401. Sozialdemokratischer Verein des Ersten Hamburger Wahlkreises an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 402. Sozialdemokratischer Wahlverein für den Zweiten Berliner Reichstagswahlkreis an Friedrich Engels, 28. November 1890 (Telegramm) 403. E´douard Vaillant an Friedrich Engels, 28. November 1890 404. Vorstandsmitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels, 28. November 1890 405. Eduard Gumpert an Friedrich Engels, 30. November 1890 406. Laura Lafargue und Jenny Longuet an Friedrich Engels, vor 1. Dezember 1890 Verzeichnis nicht überlieferter Briefe von und an Engels (Oktober 1889 bis November 1890)

Text

Apparat

624

1365

625

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626

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1378

640

1379

1381

661

Inhalt

Text

Apparat

REGISTER UND VERZEICHNISSE Namenregister

1391

Literaturregister 1. Arbeiten von Marx und Engels a. Gedruckte Schriften b. Manuskripte 2. Arbeiten anderer Autoren 3. Periodika

1441 1441 1441 1445 1445 1458

Organisationsregister

1468

Verzeichnis der im Apparat ausgewerteten Quellen und der benutzten Literatur 1. Archivalien a. IISG b. RGASPI c. Andere Archive 2. Gedruckte Quellen a. Quelleneditionen b. Periodika c. Zeitgenössische Publikationen 3. Nachschlagewerke und Bibliographien 4. Forschungsliteratur

1472 1472 1472 1474 1475 1476 1476 1482 1483 1487 1491

Verzeichnis der Beilagen Rundschreiben des Central Democratic Club. London. 24. Oktober 1889 (Br. 17) Einladung für eine Veranstaltung der Fabian Society. London. 9. Juni 1890 (Br. 184) Auszug aus: Congre`s international ouvrier socialiste de Paris (du 14 Juillet au 21 Juillet 1889). Paris 1889. S. 19/20 (Br. 268) Prospekt und Subskriptionsliste der Zeitschrift „L’Ide´e Nouvelle“, Paris, September 1890 (Br. 271) Prospekt und Subskriptionsliste der Zeitschrift „L’Œuvre socialiste“, Paris, September 1890 (Br. 274)

758 1048 1176 1184 1191

Verzeichnis der Abbildungen Pasquale Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889 mit einer Notiz von Engels. Vierte Seite der Handschrift Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels, 26. November 1889. Entwurf Engels an Pasquale Martignetti, 30. November 1889

662

49 77 83

Inhalt

Text Adam Weiler an Engels, wahrscheinlich Januar 1890. Erste Seite der Handschrift Adam Weiler an Engels, wahrscheinlich Januar 1890. Dritte Seite der Handschrift Widmung von Rudolf Meyer für Engels Flugblatt der „Legal Eight Hours and International Labour League“ Teilnehmerinnen des Parteitags der deutschen Sozialdemokraten in Halle Oktober 1890. Auszug aus: Der wahre Jacob. Stuttgart. Nr. 112 (8. November) 1890. S. 894 Einladung an Engels zur Teilnahme am Parteitag der Ungarländischen Sozialdemokratie 1890 Telegramm der Sozialdemokratie Leipzig Stadt und Land vom 28. November 1890 zum 70. Geburtstag von Engels Engels an Conrad Schmidt, 17. Oktober 1889. Entwurf Otto Adolph Ellissen an Engels, 11. Oktober 1889. Erste Seite des Rundschreibens mit Notizen von Engels Presseerzeugnisse des Parti ouvrier, Herbst 1890. Anzeige aus: Le Socialiste. Paris. Nr. 2, 28. September 1890. S. 4, Sp. 2 und 3 Gesetzentwurf der Mitglieder der sozialistischen Gruppe in der französischen Deputiertenkammer im November 1889. Erste Seite der Vorlage Manifestation ouvrie`re des deux mondes. Flugblatt April 1890 Aufruf des Conseil national des Parti ouvrier im April 1890 zu Demonstrationen am 1. Mai. Erste Seite des Aufrufs Heinrich Dietz an Engels, 15. Juli 1890. Zweite Seite der Handschrift mit Notizen und Vermerken von Engels Librairie du Parti ouvrier. Anzeige aus: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 38, 12. Oktober 1890. S. 4, Sp. 3 Engels an Conrad Schmidt, 27. Oktober 1890. Erste Seite der Handschrift

Apparat

125 126 271 297

511 583 633 745 753

773

783 995 996 1107 1203 1295

663

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen 1. Abkürzungen im Edierten Text berl.

berliner(isch)

c.-a`.-d.

c’est-a`-dire

ct

courant

D. S.

De´mocratie Sociale

Dtsch., Dtschld.

Deutschland

erg.

ergebenster

Fkch

Frankreich

gef.

gefälligst o

N, N., N

Numero

N. Z.

Die Neue Zeit (Stuttgart)

Mme

Madame

MM, mm

messieurs

s. g.

sogenannt(e)

Sd, SD, S. D., S. Dem., Soz. Dem.

Der Sozialdemokrat (Zürich, London)

S. D. F., S. D. Fed., S. Dem. Föderation

Socialist Democratic Federation

&

und

&c

etc.

665

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

2. Münzen und Gewichte £, pound

Pfund Sterling

s., sh., /–

shilling

$

Dollar

fcs, fr, frs

Franc(s)

Fl, fl, fls

Florin(s)

m., M.

Mark

e

Pfund (Gewichtsmaß)

3. Abkürzungen im Apparat ADAV

Allgemeiner Deutscher Arbeiterverein.

Adler: Bw mit Bebel und Kautsky

Victor Adler: Briefwechsel mit August Bebel und Karl Kautsky sowie Briefe von und an Ignaz Auer, Eduard Bernstein, Adolf Braun, Heinrich Dietz, Friedrich Ebert, Wilhelm Liebknecht, Hermann Müller und Paul Singer. Ges. und erl. von Friedrich Adler. Wien 1954.

Adler, Engels: Bw

Adler, Victor und Friedrich Engels: Briefwechsel. Hrsg. von Friedrich Adler. [Ms.] Wien 2009. (Dokumentation Verein für Geschichte der Arbeiterbewegung. 1–4/ 2009.)

AFL

American Federation of Labor.

APP

Archives de la pre´fecture de police. Paris.

Bebel: ARS

August Bebel: Ausgewählte Reden und Schriften. Bd. 2: 1878 bis 1890. Bearb. von Ursula Herrmann und Heinrich Gemkow, unter Mitarb. von Anneliese Beske [u. a.]. Berlin 1978; Bd. 5: Briefe 1890 bis 1899. Anm., Bibliogr. und Register zu den Bänden 3–5. Bearb. von Anneliese Beske [u. a.]. München 1995.

Bebel: Bw mit Engels

August Bebel: Briefwechsel mit Friedrich Engels. Hrsg. von Werner Blumenberg. London, The Hague, Paris 1965. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 6.)

666

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

Bernstein: Briefe von Miquel an Marx

Eduard Bernstein: Die Briefe von Johannes Miquel an Karl Marx. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 32. 1913– 1914. Bd. 2. S. 4–9 und 65–75.

Bernstein: Bw mit Engels

Eduard Bernstein: Briefwechsel mit Friedrich Engels. Hrsg. von Helmut Hirsch. Assen 1970. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. N.F. Bd. 1.)

Bottigelli: Extraits ine´dits ...

E´mile Bottigelli: Extraits ine´dits de la correspondance Engels–Lafargue. Les socialistes franc¸ais et la crise boulangiste. In: La Pense´e. Paris. Nouv. ser. Nr. 61. 1955. S. 19–24.

Briefe an Sorge u.a.

Briefe und Auszüge aus Briefen von Joh. Phil. Becker, Jos. Dietzgen, Friedrich Engels, Karl Marx u. A. an F. A. Sorge und Andere. Stuttgart 1906.

CABV

Communistischer Arbeiterbildungsverein. London.

CRC

Comite´ re´volutionnaire central.

CLU

Central Labor Union. New York.

Compte-rendu Paris 1889

Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France: Compte-rendu du Congre`s international ouvrier socialiste, tenu a` Paris du 15 au 20 Juillet 1889, publ. par le Comite´ national. Paris 1891. (Nachdr. in: Congre`s internationaux socialistes de Paris 1889. Histoire de la IIe Internationale. Vol. 6/7. Gene`ve 1976. S. 185–279.)

Engels: Briefe an Bebel

Friedrich Engels: Briefe an Bebel. Besorgt vom Institut für Marxismus-Leninismus beim ZK der SED. Berlin 1958.

Engels: Briefe an Conrad Schmidt

Friedrich Engels: Briefe an Conrad Schmidt. In: Sozialistische Monatshefte. Berlin. Jg. 26. 1920. Bd. 55. S. 740–744, 794–797 und 871–876.

Engels: Bw mit Kautsky

Friedrich Engels: Briefwechsel mit Karl Kautsky. 2., durch die Briefe Karl Kautskys vervollst. Ausg. von „Aus der Frühzeit des Marxismus“. Hrsg. und bearb. von Benedikt Kautsky. Wien 1955. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 1.)

Engels: The foreign policy of Russian tsardom

Frederick Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. In: Time. London. New ser. Nr. 4, April 1890. S. 353–369; III. Nr. 5, Mai 1890. S. 525–545 (MEGA➁ I/31. S. 217–248).

667

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

Engels: Der Ursprung Friedrich Engels: Der Ursprung der Familie, des Prider Familie ... 1884 vateigenthums und des Staats. Im Anschluss an Lewis H. Morgan’s Forschungen. Hottingen-Zürich 1884 (MEGA➁ I/29. S. 7–114). Engels: Der Ursprung Friedrich Engels: Der Ursprung der Familie, des Prider Familie ... Stuttgart vateigenthums und des Staats. Im Anschluss an Lewis 1892 H. Morgan’s Forschungen. 4. Aufl. Stuttgart 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125–271). Engels, Lafargue: Correspondance

Friedrich Engels, Paul et Laura Lafargue: Correspondance. Textes recueillis, ann. et pre´s. par E´mile Bottigelli. Trad. de l’anglais par Paul Maier. T. 2.3. Paris 1956, 1959.

FTSF

Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France.

GOPB

Государственная общественно-политическая библиотека. Москва. (ehem. Bibliothek des IML Moskau.)

IISG

Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis Amsterdam.

Labriola: Lettere a Engels

Antonio Labriola: Lettere a Federico Engels. [A cura di Angelo Tasca]. In: Lo stato operaio. Paris. Jg. 1. 1927. S. 795–804, 915–922 und 1047–1060; Jg. 2. 1928. S. 44–46, 98–100, 261–265, 349–359, 451–458, 557– 559 und 650–653; Jg. 3. 1929. S. 56–65, 147–156, 317–334, 519–535, 616–624 und 684–695; Jg. 4. 1930. S. 52–59 und 120–128.

Liebknecht: Bw mit M/E

Wilhelm Liebknecht: Briefwechsel mit Karl Marx und Friedrich Engels. Hrsg. und bearb. von Georg Eckert. The Hague 1963. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 5.)

Marx: Capital. London Karl Marx: Capital. A critical analysis of capitalist pro1887 duction. Transl. from the 3rd German edition, by Samuel Moore and Edward Aveling and ed. by Frederick Engels. Vol. 1.2. London 1887 (MEGA➁ II/9). Marx: Le capital. Paris Karl Marx: Le capital. Trad. de J. Roy, entie`rement rev. 1872–1875 par l’auteur. Paris [1872–1875] (MEGA➁ II/7). Karl Marx: Das Kapital. Kritik der politischen OekonoMarx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg mie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. Hamburg 1867 (MEGA➁ II/5). 1867

668

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

Marx: Das Kapital. Karl Marx: Das Kapital. Kritik der politischen OekonoErster Band. Hamburg mie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess 1883 des Kapitals. 3. verm. Aufl. Hamburg 1883 (MEGA➁ II/8). Marx: Das Kapital. Karl Marx: Das Kapital. Kritik der politischen OekonoErster Band. Hamburg mie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess 1890 des Kapitals. 4., durchges. Aufl. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). Marx: Das Kapital. Zweiter Band. Hamburg 1885

Karl Marx: Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Zweiter Band. Buch 2: Der Cirkulationsprozess des Kapitals. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1885 (MEGA➁ II/13).

Karl Marx: Das Kapital. Kritik der politischen OekonoMarx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg mie. Dritter Band. Th. 1.2. Buch 3: Der Gesammtpro1894 cess der kapitalistischen Produktion. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Marx, Engels: La corrispondenza con italiani

Karl Marx, Friedrich Engels: La corrispondenza con italiani 1848–1895. A cura di Giuseppe Del Bo. Milano 1964. (Istituto Giangiacomo Feltrinelli. Testi e documenti di storia moderna e contemporanea. Vol. 11.)

Gustav Mayer: Briefe von Friedr. Engels an Mutter Mayer: Briefe von Engels an Mutter und und Geschwister. In: Deutsche Revue. Stuttgart, Leipzig. Jg. 46. 1921. Bd. 2. S. 133–145 und 237–249; Geschwister Bd. 3. S. 59–72 und 150–161. MECW

Karl Marx, Frederick Engels: Collected works. Vol. 1–50. Moscow, London bzw. New York 1974– 2004.

MEGA➀

Karl Marx, Friedrich Engels: Historisch-kritische Gesamtausgabe. Im Auftrage des Marx-Engels-Instituts Moskau hrsg. von D. Rjazanov bzw. V. Adoratskij. Erste Abteilung: Sämtliche Werke und Schriften mit Ausnahme des „Kapital“. Bd. 1–7; Dritte Abteilung: Briefwechsel. Bd. 1–4. Frankfurt/Main bzw. Berlin 1927–1932, Moskau 1935.

MEGA➁ IV/32

Die Bibliotheken von Karl Marx und Friedrich Engels. Annotiertes Verzeichnis des ermittelten Bestandes. Berlin 1999.

MEW

Karl Marx, Friedrich Engels: Werke. Bd. 1–43. Ergänzungsbd. Teil 1.2. Berlin 1957–1990.

669

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

Morgan: Houses and house-life ...

Lewis H[enry] Morgan: Houses and house-life of the American aborigines. Washington 1881. (Contributions to North American Ethnology. Vol. 4.)

NYPL, Sorge Papers

New York Public Library, Manuscripts and Archive Division, The Friedrich Adolph Sorge Papers.

PO, POF

Parti ouvrier (franc¸ais).

Protokoll Budapest 1890

Protokoll des Parteitages der Sozialdemokratie Ungarns in Budapest vom 7. und 8. Dezember 1890. Hrsg. von Jakob Kürschner und Paul Engelmann. Budapest 1891.

Protokoll Halle 1890

Protokoll über die Verhandlungen des Parteitages der Sozialdemokratischen Partei Deutschlands. Abgehalten zu Halle a. S. vom 12. bis 18. Oktober 1890. Berlin 1890. (Nachdr. Bonn 1978.)

Protokoll Paris 1889

Protokoll des Internationalen Arbeiter-Congresses zu Paris. Abgehalten vom 14. bis 20. Juli 1889. Deutsche Uebers. Mit e. Vorw. von Wilhelm Liebknecht. Nürnberg 1890. (Nachdr. in: Congre`s internationaux socialistes de Paris 1889. Histoire de la IIe Internationale. Vol. 6/7. Gene`ve 1976. S. 43–181.)

RGASPI

Российский государственный архив социальнополитической истории Москва. (ehem. ZPA Moskau)

SAPMO

Stiftung Archiv der Parteien und Massenorganisationen der DDR im Bundesarchiv, Berlin (darin ehem. IML und ZPA Berlin).

SLP

Socialist Labor Party (Sozialistische Arbeiterpartei).

SPD

Sozialdemokratische Partei Deutschlands.

Sten. Ber. RT, 7/2. Bd. 2

Stenographische Berichte über die Verhandlungen des Reichstags. 7. Legislaturperiode. 2. Session 1887/88. Bd. 2. Berlin 1888.

Sten. Ber. RT, 7/5. Bd. 2

Stenographische Berichte über die Verhandlungen des Reichstags. 7. Legislaturperiode. 5. Session 1889/90. Bd. 2. Berlin 1890.

Sten. Ber. RT, 8/1. Bd. 1

Stenographische Berichte über die Verhandlungen des Reichstags. 8. Legislaturperiode. 1. Session 1890/91. Bd. 1. Berlin 1890.

SS

Steamship.

670

Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen

TUC

Trades Union Congress.

VGA, Adler-Archiv

Verein für Geschichte der Arbeiterbewegung, Wien, Adler-Archiv.

Voß, Vossische Zeitung

Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staatsund gelehrten Sachen.

ZB

Zeugenbeschreibung.

МЭС➀

К. Маркс и Ф. Энгельс: Сочинения. Т. 1–19, 21–29. Москва, Ленинград 1928–1948.

МЭС➀

К. Маркс и Ф. Энгельс: Сочинения. Изд. 2. Т. 1–50. Москва 1955–1981.

4. Diakritische Zeichen und Siglen íî

Eckige Klammern in der Textgrundlage

[]

Redaktionelle Ergänzung Beginn bzw. Ende einer unpaginierten Seite der Textgrundlage



Beginn bzw. Ende einer Textpassage auf einer unpaginierten Seite der Textgrundlage, wenn diese nicht mit dem Beginn bzw. Ende einer Handschriftenseite zusammenfällt, weil dort andere Texte stehen

1

Beginn einer paginierten Seite der Textgrundlage

〈 〉

Textreduzierung (Tilgung)

::

Textergänzung (Einfügung, Zusatz)

>

Textersetzung, Textumstellung (verändert in, wurde zu)

/

Abbrechung

xxxx

unleserliche Buchstaben

]

Abgrenzung der Wiederholung aus dem Edierten Text (Lemmazeichen)

š

Absatz

H

eigenhändige Niederschrift

671

Einführung Thematische Schwerpunkte und wichtige Korrespondenzpartner . . . . . . Die nationalen Arbeiterbewegungen und ihre Einschätzung durch Engels Organisationsfragen und innerparteiliche Entwicklungen in Deutschland Frankreich . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Großbritannien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Die Formierung von Massenbewegungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Die Internationalen Arbeiterkongresse 1889 und 1891 . . . . . . . . . . . . . . . . Die internationale Lage und die Kriegsgefahr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fragen der Theorie und politischen Taktik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Editorische Hinweise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

676 681 684 688 690 692 694 695 697 702

Der vorliegende Band enthält den überlieferten Briefwechsel Friedrich Engels’ vom 1. Oktober 1889 bis zum 30. November 1890. Seine Korrespondenz umfaßt insgesamt über 500 Briefe, überliefert sind 406, davon sind 290 Briefe an und 116 Briefe von Engels. Von Engels werden sieben Briefe erstmals in der Originalsprache veröffentlicht, ein Brief erscheint erstmals vollständig nach der Handschrift (Br. 276) und einer nach einer ergänzten Handschrift (Br. 344); in einem Fall diente eine Notiz von Engels als Textzeuge für die Veröffentlichung eines in anderer Form nicht überlieferten Briefes (Br. 143). 173 Briefe an Engels werden erstmals, 19 erstmals in der Originalsprache und drei erstmals vollständig veröffentlicht, von 33 Briefen werden erstmals Adress-Seiten bzw. Adressen auf den Briefumschlägen publiziert. Von den nachweislich nicht überlieferten Briefen waren 25 an Engels gerichtet, 85 stammen von ihm. Daneben gab es anscheinend eine Anzahl von Briefen, die nicht überliefert sind, sich jedoch nicht im Einzelnen nachweisen lassen. Nicht berücksichtigt wurden zeitgenössisch veröffentlichte Briefe, die für eine Veröffentlichung geschrieben wurden und somit entsprechend den Editionsregeln in der ersten Abteilung der MEGA➁ erschienen sind. Dazu gehören eine Antwort an die Redaktion der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ vom 13. September 18901 oder der Abschiedsbrief an die Leser des „Sozialdemokrat“ vom 27. September 18902. Hierher gehört ebenso der nur auszugsweise bekannte MEGA➁ I/31. S. 267–269. Darin äußert sich Engels zu der oppositionellen Strömung in Deutschland, die sich in der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ auf ihn berufen hatte. 2 MEGA➁ I/31. S. 270–273. Dazu ist ein Entwurf von vor dem 7. September 1890 überliefert. (Ebenda. S. 265/266.) 1

673

Einführung

Brief an Isidor Ehrenfreund vom 19. April 1890, eine Antwort auf Br. 118.3 Dagegen findet man die vollständigen Briefe im vorliegenden Band auch dann, wenn Auszüge zu Lebzeiten von Engels daraus veröffentlicht wurden (Br. 158, 188, 237 und 373). Grußbotschaften verschiedener Art, vor allem in der Arbeiterpresse, und Hinweise auf weitere Telegramme zum 70. Geburtstag von Engels wurden nicht berücksichtigt, wie etwa eines, das von der Gründungsversammlung des politischen Vereins „Gleichheit“ in Wien am 29. November 1890 verabschiedet wurde4. Aus der Korrespondenz von Engels im Dezember 1890 und Januar 1891 geht hervor, daß eine unbestimmte Anzahl von Glückwünschen und Briefen zu seinem Geburtstag nicht überliefert ist. Um eine breitere öffentliche Wirkung zu erzielen, erlaubte Engels über die bereits genannten Veröffentlichungen5 hinaus auch Gerson Trier, seinen Brief vom 18. Dezember 1889 (Br. 57) „ganz zu veröffentlichen“, was dieser nicht tat. Verluste sind u. a. durch die von Engels testamentarisch bestimmte Rückgabe von Briefen an die Absender entstanden6. Trotz der Aufrufe von August Bebel und Eleanor Marx-Aveling, die Briefe von Marx und Engels vom Parteiarchiv abschreiben zu lassen7, haben zahlreiche Empfänger nicht auf diese Bitte reagiert. Andere Korrespondenten haben die Briefe aus unterschiedlichen Gründen nicht aufbewahrt, in einigen Fällen (Paul Ernst, Gerson Trier) ist bekannt, daß die Briefe Engels’ vernichtet wurden. Es gibt also eine vermutlich bedeutende Zahl nicht überlieferter Briefe, die jedoch nicht einzeln nachgewiesen werden können. Die Briefe sind in deutscher, englischer, französischer, italienischer, dänischer und russischer Sprache abgefaßt. Friedrich Engels: Über den Antisemitismus [9. Mai 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 249–251. Es ist nicht geklärt, wie der im Original nicht überlieferte Brief vom 19. April 1890 in die Wiener „Arbeiter-Zeitung“ gekommen ist. Die Redaktion teilte mit, daß der Abdruck vom Verfasser und dem Empfänger genehmigt sei, jedoch ist weder eine Anfrage der Zeitung bei Engels noch seine eventuelle Antwort überliefert, das Gleiche gilt für Isidor Ehrenfreund. 4 Wien. (Politischer Verein „Gleichheit“). In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 49, 5. Dezember 1890. S. 4, Sp. 2; S. 7, Sp. 1. 5 Siehe auch Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst [5. Oktober 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 280–285. 6 Siehe Jürgen Rojahn: Aus der Frühzeit der Marx-Engels-Forschung ... In: MEGAStudien. Berlin. 1996/1. S. 20–23. Zum überlieferten Briefwechsel siehe die Einleitung von Götz Langkau zum Inventar des Marx-Engels-Nachlasses im Internationalen Institut für Sozialgeschichte (IISG), Amsterdam: „Engels und nach ihm Bebel und Bernstein folgen dem Brauch der Zeit und geben Familienmitgliedern und Freunden deren Briefe zurück“. Im IISG sind in Form von Kopien auch Bestände aus anderen Archiven, vor allem dem heutigen Rossiskij Gosudarstvennyj Archiv Social’no-Politicˇeskoj Istorii (RGASPI) in Moskau, vorhanden. Im RGASPI wird u. a. der größte Teil des Briefwechsels Engels – Lafargue aufbewahrt. Victor Adler erbat sich seine Briefe zurück; die ausgelieferten Briefe sind Bestandteil des Adler-Archivs im Verein für Geschichte der Arbeiterbewegung (VGA) in Wien. Zur Überlieferung des Briefwechsels Engels – Bebel siehe Bebel: Bw mit Engels. S. IX–XII. 7 Siehe The daughters of Karl Marx. Family correspondence 1866–1898. Commentary and notes by Olga Meier. London 1984. S. 278–280 sowie S. 167. 3

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Die hier vorgelegte Korrespondenz vermittelt Einblicke sowohl in Engels’ theoretisches Schaffen als auch in sein politisches Wirken, ebenso – wenn auch weniger – in seine und seiner Korrespondenten Biographien und persönliche Lebensumstände und ihre Beziehungen zu näher und ferner stehenden Personen. Bis auf wenige Ausnahmen handelt es sich um Privatbriefe8 und damit um Aussagen, die nicht für die Öffentlichkeit gedacht waren, wie Engels mehrmals betonte. „In Briefen schreibt man aus dem Kopf & rasch, ohne Nachschlagen &c, & da kann denn immer ein Ausdruck mit unterlaufen an den sich dann einer von jenen, bei uns am Rhein als Korinthenscheißer bezeichneten, Leuten hängt & Gott weiß was für Blödsinn daraus ableitet“ (Br. 333, siehe auch Br. 153). In den Briefen verwendete Engels häufig eine freimütige Sprache, die sich deutlich von seinen für die Öffentlichkeit bestimmten Aussagen unterscheidet. Private Bemerkungen dieser Art gegenüber Freunden haben einen anderen Stellenwert als öffentliche Aussagen (Br. 10, 101 und 300). U. a. zeigte sich dies in seiner Darstellung etwa Andreas Gottschalks oder Max Stirners (Br. 20 und 16): An seinen langjährigen Mitstreiter Wilhelm Liebknecht schrieb er recht abfällig über den Präsidenten des Kölner Arbeitervereins von 1848 Gottschalk, einem nicht vertrauten Briefpartner schildert er seinen Berliner Kontrahenten aus dem Vormärz, Stirner, in neutraler Weise. Die Briefe bieten vor allem den Widerhall nichtöffentlicher Diskussionen, wenn es beispielsweise um Maßnahmen ging, die die revolutionäre Richtung der Arbeiterbewegung stärken sollte. Engels fühlte sich durch seinen Schriftverkehr gelegentlich auch belastet: “I am pestered almost to death with letters, [...] I find it impossible to reply to all my letters much less to do any serious work” (Br. 149; ähnlich Br. 11 und 141).9 Einen Eindruck von Engels’ Belastung vermittelt ein Vergleich mit dem Briefwechsel von Marx und Engels in anderen Perioden. Band III/12 der MEGA➁ etwa umfaßt einen Zeitraum von 33 Monaten (1. Januar 1862 bis 30. September 1864) und enthält 64 Briefe von Marx und 48 von Engels; im vorliegenden Band, der sich über 14 Monate erstreckt, werden 116 Briefe von Engels veröffentlicht. Gewiß können verschiedene Ursachen für diesen Unterschied angeführt werden, insgesamt wird jedoch deutlich, daß Engels mehr als nur Marx’ Briefwechsel übernahm.

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Siehe auch Till Schelz-Brandenburg: Eduard Bernstein und Karl Kautsky. Entstehung und Wandlung des sozialdemokratischen Parteimarxismus im Spiegel ihrer Korrespondenz 1879 bis 1932. Köln, Weimar, Wien 1992. S. 10. 9 Dieses „serious work“ war vor allem die Arbeit an dem nicht abgeschlossenen Band des „Kapitals“ (siehe S. 698). Der Briefwechsel mit Joseph Bloch und Conrad Schmidt dürfte Zeit gekostet haben; zudem hinderte ihn auch sein Augenleiden an schriftlichen Arbeiten. (Engels an August Bebel 30. April 1883, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 65).

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Thematische Schwerpunkte und wichtige Korrespondenzpartner Im Zeitraum des Briefbandes erlebten Europa und die USA die größte Streikwelle des 19. Jahrhunderts, die mit dem Ruhrbergarbeiterstreik und dem Londoner Hafenarbeiterstreik von 1889 einen ersten Höhepunkt erreicht hatte. In England nahmen zwischen 1888 und 1893 mehr als 2,2 Millionen Menschen an Arbeitskämpfen teil, in Frankreich etwa 600 000; in Deutschland zählte man 1889/1890 rund 390 000 Streikende.10 Parallel zu den nicht zuletzt von an- und ungelernten Arbeitern getragenen Arbeitskämpfen verstärkten sich die gewerkschaftlichen Organisierungs- und politischen Mobilisierungsprozesse und machte der Parteibildungsprozeß der europäischen Sozialisten Fortschritte. In Belgien fanden zwischen 1890 und 1893 umfassende Wahlrechtskämpfe statt. Bei Parlamentswahlen 1889 und 1890 in Frankreich, Dänemark und besonders im Deutschen Reich wurden Ergebnisse erzielt, die für die Zukunft größere Erfolge ankündigten. Von besonderer Bedeutung für die deutsche Arbeiterbewegung wurde die Aufhebung des sogenannten Sozialistengesetzes Ende September 1890; der dadurch wieder auf deutschem Boden ermöglichte Parteitag der Sozialdemokraten fand im Oktober 1890 in Halle statt. Diese Entwicklungen beobachtete Engels sorgfältig und diskutierte sie mit seinen Briefpartnern. Der Band enthält eine Reihe von Briefen, die einen Überblick über die zeitnahen Reaktionen und Interpretationen von Engels zu den für viele Länder erheblichen Veränderungen in den Jahren 1889/1890 bieten und so den unmittelbaren Eindruck der Geschehnisse deutlich werden lassen, auch wenn der Zeitraum dieses Briefbandes recht eng bemessen ist. Um die Entwicklung dieser Themen und der Position von Engels dazu gründlicher zu erfassen, wären sowohl seine früheren und späteren brieflichen Äußerungen als auch seine in den Bänden I/30 bis I/32 der MEGA➁ veröffentlichten Arbeiten heranzuziehen. Es gibt Anzeichen dafür, daß Engels die Zeit um 1889/1890 als eine Art Umbruch empfand. An die durch die Streiks und Wahlbewegungen ausgelösten Mobilisierungen knüpfte Engels große Erwartungen (Br. 48, 80 und 153). Er setzte neue taktische Akzente und lotete sie im Schriftverkehr mit seinen Freunden aus. Seine Erwägungen zu den Fragen etwa der innerparteilichen Diskussionsfreiheit lassen sich über Jahrzehnte verfolgen. Im Zeitraum des Bandes gewannen sie jedoch eine neue Bedeutung, wie Engels’ Plädoyers in mehreren Briefen zeigen (Br. 57, 240 und 242; siehe auch S. 687/688), da sich Aussichten zur Übernahme von politischer Macht abzeichneten, die seine Einschätzungen beeinflußten. Zugleich gestand Engels den Massenbewegungen – darunter fallen hier die Maidemonstrationen, Streiks und Wahlbewegungen sowie Maßnahmen zu deren Unterstützung – eine höhere Bedeutung zu als früher. 10

Friedhelm Boll: Arbeitskämpfe und Gewerkschaften in Deutschland, England und Frankreich. Bonn 1992. S. 17–23 und 360/361.

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Diese Massenbewegungen hatten oft eine internationale Dimension. Ein bedeutendes Ereignis wurde der erste international begangene Maifeiertag Anfang Mai 1890. Der Internationale Arbeiter-Kongreß im Juli 1889 (siehe Erl. 1.6) hatte zu gemeinsamen Aktionen aufgerufen, und die Resonanz in den europäischen Staaten wie in den USA war beachtlich (Br. 149, 153, 157, 158, 160 und 168). In Deutschland entzündete sich im Vorfeld daran eine Kontroverse zwischen Reichstagsfraktion bzw. Parteiführung und Vertrauensleuten aus verschiedenen Städten (siehe Erl. 124.18 und S. 686), in der Engels die Position von August Bebel unterstützte (Br. 124, 140 und 168). Während die Reichstagsfraktion legale Formen des Kampfes befürwortete, um eine Verschärfung der Konflikte zu vermeiden, traten politische und gewerkschaftliche Vertrauensleute für eine allgemeine Arbeitseinstellung in ausgewählten Städten ein. Darüber hinaus kommentierte Engels die Demonstrationen in anderen Ländern auch in seinem Artikel „Der 4. Mai in London“.11 Beide internationalen Arbeiterkongresse, die im Juli 1889 in Paris getagt hatten, beschlossen, 1891 einen weiteren internationalen Kongreß abzuhalten. Diesen Prozeß beobachtete Engels nicht nur, sondern er griff, vor allem mit seiner Korrespondenz, entscheidend in die vielfältigen Verhandlungen zur Ausrichtung des Kongresses 1891 ein, wie er es schon 1889 getan hatte. Folglich erweist sich Engels’ Briefverkehr im vorliegenden Band und im Band III/29 für den Zeitraum April 1888 bis Dezember 1890 „geradezu als einer der zentralen Bestandteile eines imaginären Archivs der Zweiten Internationale“.12 Dabei hat der Briefwechsel häufig den Charakter einer vorbereitenden Diskussion. Sollten die Auffassungen, die Engels dort vertrat, in die Breite wirken, mußten sie sich in Veröffentlichungen niederschlagen. Dies geschah in den folgenden Jahren öfter in Form von Einleitungen bzw. Vorworten von Neuauflagen älterer Schriften oder auch in Übersetzungen. Diese Veröffentlichungen liegen in den MEGA➁-Bänden I/30, I/31 und I/32 vor. Die Briefe bieten zusätzliche Informationen (Br. 62, 74, 99, 111 und 158). Wichtig, aber nicht dominant, war für Engels die langwierige und schwierige Arbeit an der Herausgabe des dritten Bandes des „Kapitals“ aus dem Marxschen Nachlaß (Br. 8, 11, 15, 29, 33, 141 und 300). Weiterhin läßt sich Engels’ Haltung zur zeitgenössischen Marx-Rezeption und zur Debatte um die materialistische Geschichtsauffassung verfolgen (Br. 185, 188, 237, 246, 251, 264, 286, 326 und 333). Auch Themen, die nicht zu Publikationen führten, wurden in den Briefen diskutiert, etwa die Debatten um innerparteiliche Diskussionsfreiheit oder um politische Taktik einschließlich der Rolle der Landarbeiter, die Engels als „Kernregimenter der preußischen Armee“ (Br. 111 und 112) bezeichnete. Der vorliegende Briefband ergänzt also, zusammen mit den übrigen Briefbänden, die parallelen Bände der ersten und der zweiten Abteilung und ermöglicht, das späte Schaffen von Engels besser in die zeitgenössische Ent11 12

MEGA➁ I/31. S. 259–264. Markus Bürgi: Friedrich Engels und die Zweite Internationale. In: MEGA-Studien. Berlin. 1996/2. S. 78.

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wicklung der Arbeiterbewegung und des sozialistischen Denkens einzuordnen, als das bisher geschehen konnte.13 Im hier dokumentierten Zeitraum korrespondierte Engels mit insgesamt etwa 130 Briefpartnern in 13 Ländern. Der größere Teil des Briefwechsels ist jedoch auf wenige Personen konzentriert. Die Briefwechsel mit August, Julie und Frieda Bebel (17), Karl Kautsky (14), Laura und Paul Lafargue (61), Natalie und Wilhelm Liebknecht (20), Pasquale Martignetti (16), Conrad Schmidt (10) und Friedrich Adolph Sorge (41) umfassen 179 Briefe, d.h. 44% der überlieferten Korrespondenz. Dieser kleine Kreis läßt sich noch um andere Briefpartner erweitern, wo die Kontakte jedoch hauptsächlich – oder auch – in persönlichen Begegnungen gepflegt wurden. Es handelt sich hier vor allem um Eduard Bernstein, Charles Bonnier, Eleanor Marx-Aveling, Carl Schorlemmer und vielleicht auch um Paul Singer, der in früheren Jahren öfter, aber auch noch im September 1889, auf seinen Geschäftsreisen Engels in London aufsuchte. Die etwa 40 Glückwünsche zu Engels’ 70. Geburtstag am 28. November 1890 waren in mehreren Fällen nicht von nur einer Person unterzeichnet, ein bedeutender Teil der Korrespondenten schrieb im Laufe der 14 Monate nur ein oder zwei Mal. Darüber hinaus fühlte Engels sich verpflichtet, nicht nur auf Briefe bekannter Parteiführer oder junger Intellektueller zu antworten, sondern auch auf Schreiben von Angestellten oder Arbeitern, die ihn um Rat baten.14 Die Korrespondenz mit Persönlichkeiten der europäischen Arbeiterbewegung nimmt den größten Teil des Briefwechsels ein; sie wird ergänzt durch den Meinungsaustausch mit Laura Lafargue, die eine durchaus selbständige Position einnahm, wie auch gelegentlich mit Natalie Liebknecht. In dieser Zeit begann Engels den Briefwechsel mit zwei seiner hauptsächlichen Partner in seinen letzten Lebensjahren, dem Vorsitzenden der österreichischen Sozialdemokratie, Victor Adler (Br. 44, 94, 345, 350 und 352) und dem italienischen Marxisten Antonio Labriola (Br. 122, 132, 175, 181 und 260).15 In den USA 13

Siehe auch Gerd Callesen: Friedrich Engels on Revolutionary Tactics. 1889–1896. In: Socialism and Democray. New York. Vol. 1. 2012. S. 85–202. 14 So wandte sich im August 1889 der Wiener Bankangestellte Isidor Ehrenfreund an Engels um Hilfe bei der Frage von Literaturbeschaffung (Br. 118 und Erl. 118.3); das Mitglied einer Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation in Manchester, der Fleischer John Darbyshire, bat im Oktober 1890 um ein Exemplar von „Capital. Vol. 1“ (Br. 308); ebenso erbat sich Engels’ Neffe, William Burns, in einem Brief vom 5. Oktober 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 874) ein solches Exemplar. Engels schickte ihm weiterhin englische sozialistische Zeitschriften (Br. 49). Aus der Zeit unmittelbar vor und nach diesem Band liegen noch weitere Anfragen vor, so 1889 von einer Agitatorin der Socialist League aus London, Johanna Lahr (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 3263), und 1892 von Frederick Borkheim (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 647–L 649). Siehe auch Heinrich Gemkow: Der alte Engels und der junge Borkheim. Ein Briefwechsel-Fragment. In: Beiträge zur Marx-Engels-Forschung. N.F. 2003. Berlin, Hamburg 2003. S. 230–232. 15 Siehe Victor Adler, Friedrich Engels: Briefwechsel. Im Auftr. des Vereins für Geschichte der Arbeiterbewegung hrsg. von Gerd Callesen und Wolfgang Maderthaner. Berlin

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stand Engels in dieser Zeit nur mit Hermann Schlüter und Friedrich Adolph Sorge in Verbindung, von denen der letztere sich kaum mehr in der Arbeiterbewegung engagierte. Gleichwohl ist die Korrespondenz mit Sorge von Bedeutung, weil Engels ihn an seinen Überlegungen umfassend teilhaben ließ. Mit amerikanischen Arbeitern und Arbeiterorganisationen hatte Engels jedoch kaum Kontakt – zumindest ist nur ein Brief überliefert (Br. 357). Seit sein angeheirateter Neffe, William Burns, sich an der Organisation ungelernter Eisenbahnarbeiter in Boston beteiligte, wurde dieser Kontakt ein wenig enger (Br. 49 und 100)16. Keinen umfangreichen politischen Schriftwechsel gab es mit britischen Korrespondenten; der überwiegende Teil dieser Briefe war privater oder geschäftlicher Natur. Der Briefwechsel dokumentiert auch Unterschiede in den persönlichen Beziehungen von Engels und seinen Partnern. Mit Wilhelm Liebknecht stritt sich Engels immer wieder auch in seinen Briefen. Streitpunkte waren etwa die Taktik gegenüber als Rivalen betrachteten sozialistischen Gruppierungen (siehe Br. 2 und Erl. 2.28–31 sowie Br. 18 und 20), oder Liebknechts Rolle bei der Veröffentlichung einer Schrift von Max Schlesinger über „Die soziale Frage“ (siehe Br. 2 und 3 sowie Erl. 2.9–11, 2.11–12 und 3.3–5). Trotz solcher Differenzen war Engels’ Schriftverkehr mit Liebknecht in etwa so intensiv wie der überlieferte mit August Bebel. Zudem bemühte Engels sich nach der erfolgreichen Wahl 1890 darum, Natalie Liebknecht von einem Umzug nach Berlin zu überzeugen, Liebknecht sei dort für die Partei wichtig (Br. 201). Anstöße zur Entwicklung von brieflichen Diskussionen erfolgten u. a. von Eduard Bernstein (Br. 250, 252 und 259) und Karl Kautsky (Br. 253 und Erl. 2.13); seiner Wertschätzung von August Bebel gab Engels mehrmals Ausdruck (Br. 11 und 146). Ein weiterer Teil dieser Korrespondenz umfaßt das, was man als Engels’ „Privat- und Familien-Korrespondenz“ bezeichnen könnte, also den Briefwechsel, den Engels mit Personen außerhalb der Arbeiterbewegung oder mit Personen, die nicht (mehr) zu diesem Kreis zählten, geführt hat. Zu diesen gehören etwa die Mitglieder seiner Familie Anna Beust und Hermann Engels wie auch die Freunde aus Manchester Eduard und Mathilde Gumpert, die Rechtsanwaltskanzlei Johnson, Son & Ellis, Louis Kugelmann, Rudolf Meyer, Emma Pfänder, der Verlag Swan Sonnenschein, die Hausverwaltung Strutt & Parker und Walery Wro´blewski. Im Zusammenhang der sozialen Verhältnisse der Zeit erscheinen Bittbriefe vor allem von Arbeitern, die ihn um (kurzfristige) finanzielle Unterstützung in Notsituationen baten; sie kamen aus dem nahen Bekanntenkreis von Engels (Br. 24, 55, 70, 178, 214, 227, 229, 311, 318, 321 und 2011; Antonio Labriola: Carteggio. A cura di Stefano Miccolis. Vol. 3: 1890–1895. Vol. 5: 1899–1904. Napoli 2003, 2006. Bis auf einen Brief (Br. 122) und ein Brieffragment (Br. 1133 vom 27. Februar 1891. In: Carteggio Vol. 5. S. 12) ist die Korrespondenz von Engels mit Labriola nicht überliefert. 16 Siehe Julius Wilm: Die gewerkschaftlichen und politischen Aktivitäten des EngelsNeffen William Burns in Boston 1886–1895. In: Marx-Engels-Jahrbuch 2012/13. Berlin 2013. S. 46–59.

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322) ebenso wie von ihm Fernstehenden (Br. 45, 83 und 88). Engels half seinen Genossen und anderen politischen Bekannten (Br. 194, 198, 219, 223, 261 und 283; siehe auch Br. 82), bei anderen ist seine Entscheidung nicht bekannt. Auch über die eher familiären Beziehungen von Engels geben die Briefe Auskunft. Mehr oder weniger regelmäßige Überweisungen veranlaßte Engels für Laura Lafargue und Eleanor Marx-Aveling. An Laura Lafargues hier erstmals veröffentlichten Übersetzungen von Gedichten (Br. 23.54–119 und Br. 53.35–75) nahm Engels lebhaft Anteil (Br. 33, 36 und 76; siehe auch das für Engels verfaßte Gedicht in Br. 148 sowie Br. 149). Zuwendungen erfolgten an die Nichte seiner Frau, Mary (Pumps) und ihren Mann Percy Rosher sowie an den Neffen William Burns (Br. 49 und 100). Zur Familie gehörte auch Charles Rosher (Br. 75, 79, 86, 89 und 93). Der Tod seiner langjährigen Hausdame und Freundin Helena Demuth berührte Engels sehr.17 Die daraus entstehenden praktischen Probleme löste er, indem er Louise Kautsky, die er aus der Zeit ihres Aufenthalts in London kannte und sehr schätzte, anbot, als Nachfolgerin von Helena Demuth und gleichzeitig als seine Sekretärin nach London zu kommen (Br. 344). Sie wurde in den kommenden Jahren eine enge Mitarbeiterin und nahm ihm, wie der Briefwechsel mit Victor Adler zeigt, offensichtlich einen Teil seiner Korrespondenz ab18; zudem stärkte sie auch die Verbindung zwischen Victor Adler und Engels. Sowohl der Briefverkehr als auch Engels’ Tätigkeit als Herausgeber seiner und Marx’ Schriften läßt vermuten, daß der Briefwechsel umfangreicher war, als im „Verzeichnis der nicht überlieferten Briefe“ (S. 1383–1387) nachgewiesen werden kann. Samuel Moore wird nur zweimal in der Liste genannt, obgleich er vermutlich öfter Briefe geschrieben und empfangen hat. Vom Verleger Otto Meißner hätten Spuren da sein müssen, schließlich erschien 1890 der erste Band des „Kapitals“ in vierter Auflage. Nur wenige Briefe von Engels an den Verleger und Reichstagsabgeordneten Heinrich Dietz sind vorhanden (Br. 127 und 236 sowie eine Inhaltsangabe in Br. 143), einer davon in Verbindung mit der Veröffentlichung des Aufsatzes „Die auswärtige Politik des russischen Zarentums“, die zu einer Auseinandersetzung mit Dietz führte (Br. 127 und S. 696). Korrespondenzen mit Schweizern sind nur wenige überliefert, vermutlich gab es in diesem Zeitraum kaum einen Austausch, das Gleiche gilt für Ungarn (mit Ausnahmen wie Paul Engelmann und Leo´ Frankel wie für das übrige Südosteuropa, wo Engels früher Kontakte gehabt hatte.

17

Siehe Heinrich Gemkow: Helena Demuth – „eine treue Genossin“. In: Marx-EngelsJahrbuch. Berlin. Bd. 11. 1989. S. 324–348. 18 Siehe Victor Adler, Friedrich Engels: Briefwechsel.

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Die nationalen Arbeiterbewegungen und ihre Einschätzung durch Engels Mitte der 1870er Jahre gab es keine Massenorganisationen von Arbeitern auf dem europäischen Kontinent. In Großbritannien bestanden jedoch einflußreiche Facharbeiter-Gewerkschaften, die für die in den 1880er Jahren neu entstehenden Gewerkschaften auf dem Kontinent eine Vorbildfunktion bekamen. Im Laufe der 1880er Jahre entwickelten sich weiterhin in mehreren europäischen Ländern auch politische Arbeiterorganisationen, von denen die sozialdemokratische Partei in Deutschland die bedeutendste war. Öffentliche Wirksamkeit konnte sie zwischen 1878 und 1890 aufgrund des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) lediglich bei Wahlen durch die Aufstellung von Kandidaten und Wahlagitation entfalten. Auch in anderen Ländern entstanden Organisationen, die sich als Arbeiterpartei, sozialistische oder sozialdemokratische Partei bezeichneten, u. a. in Portugal (1875), Spanien (1879), Belgien (1879), Dänemark (1871 bzw. 1876) und Frankreich (1879). In weiteren Ländern waren frühere Anfänge Opfer politischer Unterdrückung und sozialer Auseinandersetzungen geworden und wurden erst um 1890 neu gegründet, so etwa die Parteien in Italien, Österreich und Ungarn. Die sozialistische Arbeiterbewegung blieb in vielen Ländern eine überschaubare Größe; sie wurde dennoch von vielen Seiten als Gefahr für die bestehende Gesellschaft betrachtet und war daher Unterdrückungsmaßnahmen ausgesetzt, gegen die sie sich durchgehend behauptete. Dennoch konnte man 1883, als Marx starb, nur bedingt von einer internationalen Arbeiterbewegung sprechen, auch wenn die Organisationen besser entwickelt und in mehr Ländern vertreten waren als noch zu Zeiten der Internationalen Arbeiterassoziation. Gemeinsam war den Parteien, daß sie nur Minderheiten der Arbeiter erreichten, vor allem aber, daß Industriearbeiter nur eine Minderheit der Bevölkerung der jeweiligen Länder ausmachten. In den meisten Ländern gab es wohl industrialisierte Gebiete, aber keine zusammenhängende industrielle Arbeiterklasse, auch wenn insgesamt die Zahl der Arbeiter wuchs, bedingt durch den Aufschwung der Industrie, der durch die ökonomische Krise ab Mitte der 1870er Jahre nicht wesentlich aufgehalten wurde. Die überwiegende Mehrheit der Arbeiter waren Landarbeiter; der spätere Kern der Arbeiterbewegung, die Facharbeiter, war zu diesem Zeitpunkt noch vorwiegend als Handwerker in Kleinbetrieben tätig. Allerdings erkannten viele Arbeiter die Vorteile einer solidarischen Handlungsweise, was zu einem Aufschwung ihrer Organisationen führte. Dieser traf in den verschiedenen Ländern auf unterschiedliche gesellschaftliche Voraussetzungen; ebenso auf anders geartete Kulturen und Strukturen der Arbeiter. Die politischen und gewerkschaftlichen Organisationen, die entstanden und sich weiter entwickelten, waren außerdem konkurrierenden Einflüssen ausgesetzt, etwa von Seiten nationalistisch oder liberal orientierter und kirchlich gebundener Parteien und Gewerkschaften. Zugleich gab es auch innerhalb der sich als sozialistisch verstehenden Arbeiterbewegung eine Viel-

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falt an Ideen und heftige Kontroversen über Aufgaben und Ausrichtung der politischen Arbeit; die marxistische Richtung war Ende der 1880er Jahre nur eine unter mehreren. In Deutschland bestanden Ende der 1870er Jahre unterschiedliche Auffassungen darüber, wie ein annähernd einheitliches Verständnis der politischen Aufgaben der deutschen Arbeiterbewegung aussehen sollte. Diese Auseinandersetzung wurde durch die Unterdrückung der politischen und gewerkschaftlichen Arbeiterbewegung durch das Ausnahmerecht des Sozialistengesetzes verstärkt. Eine Debatte über eine mögliche Revolution erübrigte sich auf Grund der Machtverhältnisse; es ging vielmehr zunächst um die Konstituierung als eigenständige Kraft in Politik und Gesellschaft im Kaiserreich. In anderen europäischen Ländern dominierten unterschiedliche Formen der gesellschaftlichen Auseinandersetzung, und politische Verhaltensweisen setzten sich in unterschiedlicher Weise um. Weder in den USA noch in Großbritannien entstanden selbständige politische Arbeiterorganisationen von wesentlicher Bedeutung. In Frankreich waren um 1890 nur die ersten Schritte getan. In mehreren kleinen europäischen Ländern entstanden Arbeiterbewegungen, die in einigen Fällen bedeutende Teile der Arbeiterklasse organisierten, teils selbständig, teils in Anlehnung an die Entwicklung in Deutschland.19 Der Aufbruch der mehrheitlich ungelernten Arbeiter Großbritanniens, der als „New Unionism“ bekannt wurde, und der Erfolg der Feiern zum 1. Mai 1890 in London waren für Engels deutliche Zeichen, daß wieder Bewegung in die Massen der englischen Arbeiter, der Enkel der Chartisten, gekommen war. Auch wenn die „SchleswigHolsteiner und ihre Nachkommen“ (Br. 101 und Erl. 101.35–36) einschließlich ihrer amerikanischen Vettern keine ausgebildeten Sozialisten mit einer fertigen Theorie seien, und die Bewegung hier anders verlaufen werde als auf dem europäischen Kontinent, sei dennoch, so Engels, der erste Schritt zu einer wirklich sozialistischen Massenbewegung getan. Die neuen Kräfte führten weit kolossalere Massen ins Gefecht, erschütterten die Gesellschaft weit tiefer und stellten viel weitergehende Forderungen als die bisherigen Gewerkschaftsvertreter (Br. 10, 48, 80, 101 und 168)20. Diese „fresh elements, unspoiled by the ,Great Liberal Party‘ show an intelligence such as—well I cannot say better than such as we find in the equally unspoiled German workmen“ (Br. 169). Engels sah jedoch auch Unterschiede zwischen deutschen und englischen Arbeitern: die Unterdrückung durch den Staatsapparat hatte den deutschen Arbeitern eine klarere Einsicht in die gesellschaftliche Wirklichkeit gegeben (Br. 48, 51, 96, 153 und 237). Engels sah nach dem Wahlerfolg vom Februar 1890 in Deutschland eine Gefahr darin, daß die deutschen Arbeiter unmittelbar zu große Fortschritte 19

Siehe The formation of labour movements 1870–1914. An international perspective. Ed. by Marcel van der Linden and Jürgen Rojahn. Bd. 1.2. Leiden 1990. 20 Engels erläuterte später, daß diese Unterschiede bestehen blieben „especially so long as neither in France nor in England there is one strong and united party“ (Engels an Laura Lafargue, 17. August 1891, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5951).

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erwarteten bzw. einforderten. Weiter befürchtete er, daß gewaltsame oder ungesetzliche Vorstöße der Arbeiter Bismarck oder Kaiser Wilhelm II. und die Armee provozieren und zu Gewaltmaßnahmen veranlassen könnten; darauf sei jedoch die stark gewachsene Arbeiterbewegung nicht vorbereitet (Br. 107, 111, 112, 116, 124, 146, 149, 153 und 168). Engels erwartete vor allem von den Arbeitern, daß sie aufgrund ihrer Erfahrungen aus den zwölf Jahren des Sozialistengesetzes Disziplin halten könnten und sich nicht aufstacheln ließen. Er verließ sich darauf, daß die deutschen Arbeiter es nicht nötig hätten, „bloßen Lärm zu schlagen“ (Br. 168) und setzte „unbedingtes Vertrauen“ in sie. Sie würden auch die jetzt (1889/1890) in die Partei strömenden „Literaten“ und Akademiker dazu bringen, ihrer Aufgabe gerecht zu werden; notfalls würden die Arbeitermassen auch deren Fehler wieder gut machen (Br. 237).21 In dieser Auseinandersetzung plädierte Engels zudem für Diskussionsfreiheit in der Partei generell und in ihrer Presse im besonderen22, nicht zuletzt, weil es „zum Leben & Gedeihen einer jeden Partei [gehört] daß in ihrem Schoß gemäßigtere & extremere Richtungen sich entwickeln & selbst bekämpfen, und wer die extremeren kurzer Hand ausschließt, befördert dadurch nur ihr Wachsthum“ (Br. 57)23. Generell seien Arbeiter fähig, die zukünftige Gesellschaft zu leiten. Es fehle zwar an bestimmten Spezialisten, aber diese könnten von Arbeitern ebenso gekauft werden, wie sie derzeit von den Kapitalisten gekauft würden (Br. 251). In den Verhandlungen über den internationalen Arbeiterkongreß, der 1891 in Brüssel stattfinden sollte, polemisierte Engels, wenn auch nur in privaten Briefen, wiederholt gegen die Arbeiterbewegungen in den kleineren westlichen Staaten Europas. Beispielsweise meinte er im März 1890: „Diese Kleinstaatler sind unser internationales Pech“ (Br. 112 und Erl. 112.43–49; siehe auch Br. 300). Eine Motivation für diese kritische Haltung ist nicht eindeutig erkennbar. Markus Bürgi führt an, daß „die Belgier, teilweise die Schweizer und Holländer“ die Rolle des Vermittlers zwischen Marxisten und Possibilisten übernahmen und daher eher zu Kompromissen bereit schienen, was Engels’ Argwohn hervorgerufen haben könnte. Zugleich verweist Bürgi darauf, daß „sich tieferliegende Gegensätze um sozialistische Konzeptionen“ hinter Engels’ Einschätzung verbargen. Hier spielte die anti-parlamentarische Tradition einiger der possibilistischen Gruppierungen wie auch die Ablehnung eines Generalstreiks durch die Anhänger von Engels eine Rolle.24 21

Siehe zur Auseinandersetzung mit Akademikern innerhalb der Sozialdemokratie seit den späten 1880er Jahren Stanley Pierson: Marxist intellectuals and the workingclass mentality in Germany. 1887–1912. Cambridge, MA 1993. 22 Siehe S. 687/688. 23 Siehe auch Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst [5. Oktober 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 284. Dort wies Engels darauf hin, daß „in der Fraktion nicht nur, sondern in der ganzen Partei, die kleinbürgerliche Richtung vertreten“ sei. 24 Markus Bürgi: Hintergründe und Bedeutung des Entscheides für einen internationalen Arbeiterkongreß in Zürich. In: Internationalism in the Labour movement 1830–1940. Ed. by Frits van Holthoon and Marcel van der Linden. Leiden 1988. S. 344–346.

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Zieht man weitere Äußerungen heran, so zeigt sich, daß Engels zugleich die Arbeiterparteien der drei großen Staaten Frankreich, England und Deutschland für die entscheidenden Akteure hielt, nicht nur im Hinblick auf die Internationale, sondern auch in der Frage nach einer Machtübernahme. Engels betonte im Oktober 1890: „we cannot now do without any of the three“ (Br. 324), und im Dezember 1890 führte er öffentlich aus, daß er „l’alliance des trois grandes nations occidentales – France, Angleterre, Allemagne“ als „noyau de l’alliance europe´enne qui en finira a` tout jamais avec les guerres de cabinets et de races“ betrachtete und hoffte „la voir accomplie par les prole´taires des trois nations.“25 Zu dieser Zeit besaß allerdings höchstens die Partei in Deutschland eine Position, die zu solchen Hoffnungen Anlaß geben konnte. Seine Sicht auf die kleineren Staaten revidierte Engels später.26

Organisationsfragen und innerparteiliche Entwicklungen in Deutschland Die Situation in Deutschland gab Engels verstärkten Anlaß zum Optimismus, sah er doch den Sturz Bismarcks und den Fall des Sozialistengesetzes als Folge des Wahlerfolges vom Februar 1890, bei dem die Sozialdemokraten knapp 20% der Stimmen27 gewonnen hatten (Br. 300). Dennoch war mit den Wahlen kein parlamentarischer Durchbruch gelungen. Trotz erheblichen Stimmenzuwachses hatte sich die Partei in katholischen Gebieten nicht durchsetzen können, und nur wenige der Landarbeiter waren erreicht worden. Es gab zwar erstmalig beträchtliche Zugewinne in ländlichen Wahlkreisen, die bisher immer bürgerlich gewählt hatten, auch etliche Stichwahlen mit sozialdemokratischen Kandidaten, was Conrad Schmidt zu einem zuversichtlichen Ausblick anregte (Br. 108). Doch sowohl Schmidts als auch Engels’ Prognosen von „riesige[n] Fortschritte[n] unter den Ackerbauarbeitern des Ostens“ für die kommenden Jahre (Br. 112, ähnlich Br. 107, 111, 146 und an Laura Lafargue, 17. August 189128) erwiesen sich als Wunschdenken. Die Landarbeiter des Ostens wurden in den kommenden Jahren nicht für die Sozialdemokratie gewonnen.29 25

Friedrich Engels au Conseil National du Parti Ouvrier Franc¸ais [2. Dezember 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 287. 26 Engels an E´mile Vandervelde (Entwurf), nach dem 21. Oktober 1894: „Die kleinen Länder [...] sind die modernen politischen Laboratorien [...] wo man die Erfahrungen sammelt“ (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1702). 27 Zu den Wahlergebnissen siehe die Mitteilungen von August Bebel vom 21. Februar und 7. März 1890 (Br. 105 und 110). 28 RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5951. 29 Siehe August H. Nimtz: Marx and Engels. Their contribution to the democratic breakthrough. Albany, NY 2000. S. 271. Nimtz meint, daß die Bedeutung des Artikels „Die Bauernfrage in Frankreich und Deutschland“ (MEGA➁ I/32. S.308–327) vor allem

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Nach Ansicht von Engels ähnelte sich die Lage der deutschen und britischen Arbeiterbewegung: In beiden Ländern hatten die Arbeiterorganisationen Erfolge errungen, die dazu führten, daß bedeutende Teile der jeweiligen Arbeiterschaft für die nächste Zukunft weitere schnelle Erfolge erwarteten und dadurch Hoffnungen schöpften, die nicht ihren tatsächlichen Möglichkeiten entsprachen. In Deutschland befürchtete Engels Konfrontationen mit der Staatsmacht, die zu Niederlagen führen würden, in Großbritannien zu verlorenen Streiks (Br. 80). Er erklärte seine Einschätzung so, daß die Arbeiter aufgrund der Unterstützung des Bürgertums im Hafenarbeiterkonflikt die Nachgiebigkeit der Bourgeoisie falsch einschätzten. Der Wahlerfolg markierte gleichwohl für ihn den Beginn der Revolution in Deutschland (Br. 111, ähnlich Br. 107). Engels betonte, daß die Partei zwar 20% der Stimmen errungen habe, damit aber den bürgerlichen Parteien immer noch 80% verblieben.30 Er befürchtete, daß Wilhelm II. – unberechenbar bis „positiv verrückt “ (Br. 146), wie er ihm erschien (Br. 103, 140 und 168) – mit Unterstützung von Konservativen und Militär mit Gewalt gegen Demonstrationen und Streiks vorgehen oder zumindest die gesetzlichen Sanktionsmittel verschärfen – er nannte den „großen Belagerungszustand“ (Br. 103)31 – und gegen die Arbeiterbewegung einsetzen würde (Br. 103, 112, 124, 146 und 149).32 Engels befürwortete damit nicht die Aufgabe einer revolutionären Zielsetzung; diese hatte er beispielsweise Gerson Trier gegenüber im Dezember 1889 explizit bestätigt (Br. 57), und er wiederholte seine Einschätzung später33. Vielmehr empfahl er eine Takin der Zusammenfassung seiner bereits bekannten Aussagen liege und verweist weiter auf Hal Draper: Karl Marx’ Theory of Revolution. Vol. 2. New York 1977. S. 317–452. Zu Zahlen und einer Analyse der Wahlen im Hinblick auf die Sozialdemokratie siehe Jürgen Schmädeke: Wählerbewegung im Wilhelminischen Reich. Bd. 1. Berlin 1995. S. 91–191. 30 Friedrich Engels: Abschiedsbrief an die Leser des „Sozialdemokrat“ [27. September 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 273.4–12. 31 Das Sozialistengesetz, das im Januar 1890 zwar nicht mehr verlängert worden, aber bis Ende September 1890 noch gültig war, sah die Möglichkeit vor, den kleinen Belagerungszustand zu verhängen, der die Ausweisung unliebsamer Sozialdemokraten erlaubte. (Siehe Erl. 9.64 und Erl. 103.67–68.) 32 Zu Rolle und Bedeutung des Militärs sowie der Offiziers- und Unteroffizierskorps für die Machterhaltung des Kaisers siehe Arthur Rosenberg: Entstehung der Weimarer Republik. Frankfurt/Main 1961. S. 12–14; John C.G. Röhl: Wilhelm II. Der Aufbau der persönlichen Monarchie 1888–1900. München 2001. S. 193–198 und 202–211. 33 Engels an Nicolaj L. Petersen, 3. Mai 1892. In: Arbejderen. København. Nr. 28, 10. Juli 1892. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1, wo Engels argumentiert, daß die Zeit näher komme, in der man es auf den entscheidenden Kampf ankommen lassen könne; Friedrich Engels: Abschiedsbrief an die Leser des „Sozialdemokrat“ [27. September 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 272.21–40, wo Engels auf den „ungesetzlichen Weg, den einzigen, der ihr noch offen steht“ hinweist für den Fall, daß die staatliche Gewalt versuchen sollte, die Arbeiterbewegung „wieder thatsächlich außerhalb des gemeinen Rechts zu stellen“. Siehe auch J[ohn] D. Hunley: The life and thought of Friedrich Engels. A reinterpretation. New Haven 1991. S. 96–111.

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tik, die die bestehende Stärke in der Übergangszeit sichern sollte, bis das Sozialistengesetz auslief, und so die Voraussetzung für einen weiteren Ausbau der Kampfkraft der Arbeiterbewegung schaffen würde. Daß dies gelingen würde, in Deutschland wie in anderen Ländern, davon war Engels überzeugt (Br. 51, hier im Hinblick auf die englische Entwicklung). Im Zusammenhang mit seinen Überlegungen zur wachsenden Stärke der in seinem Verständnis revolutionären Arbeiterbewegung, der veränderten internationalen Lage und seiner Einschätzung der Notwendigkeit der innerparteilichen Diskussion warnte Engels vor einer Parteispaltung.34 Das Wachstum der Arbeiterorganisationen war auch in anderer Hinsicht Thema der Briefe. So stellte sich die Frage nach der innerparteilichen Demokratie und nach den Diskussionsmöglichkeiten infolge der Entwicklung zu einer Massenpartei in Deutschland (Br. 240 und 242). Engels hatte sich bereits früher zu solchen Fragen geäußert und tat es auch in späteren Jahren35. Eine weitere Folge der Stärkung der Parteien war das Auftreten oppositioneller Richtungen innerhalb der Parteien. Eine solche Entwicklung hatte es nicht nur in Deutschland (Br. 124, 240 und 256) gegeben, sondern auch in Dänemark (Br. 50 und 57). In Österreich und auch in Ungarn hatten oppositionelle Bewegungen zunächst zu Spaltungen geführt, doch 1889 und 1890 schlossen sich die verschiedenen Richtungen wieder zusammen. In Frankreich spaltete sich die possibilistische Partei (Br. 234, 273, 296 und 300), was für einige Jahre eine Stärkung der marxistischen Richtung bedeutete. Auch in Süd-, West- und Nordeuropa entstanden sozialdemokratische Arbeiterparteien, die sich an den theoretischen Positionen des Marxismus orientierten.36 Nach dem Wahlerfolg der deutschen sozialdemokratischen Partei im Februar 1890 und der Aufhebung des Sozialistengesetzes am 30. September 1890 begann eine intensive Diskussion unter den Mitgliedern über die Organisationsform, die die Partei nach ihrer Rückkehr in die Legalität annehmen sollte. Bereits Ende 1889/Anfang 1890 hatten sich Differenzen zwischen lokalen Vertrauensleuten aus der geheimen „inneren Organisation“, die in der Zeit der Illegalität die örtlichen Parteistrukturen am Leben erhielten,37 und der 34

Gerson Trier an Engels, 26. Mai 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6107). Warum Trier sich im Brief einer Warnung von Engels, eine Parteispaltung sei bedenklich, anschloß, ist aus dem überlieferten Briefwechsel nicht ersichtlich; möglich wäre, daß Trier eine Spaltung in einem nicht überlieferten Brief an August Bebel angesprochen hatte. Trier hatte Engels gebeten, einen Brief von ihm an Bebel zusammen mit einer Empfehlung weiterzuleiten (Trier an Engels, 13. März 1889, ebenda, Sign. L 6106). 35 Friedrich Engels: Die preußische Militärfrage und die deutsche Arbeiterpartei [1865]. In: MEGA➁ I/20. S. 71–108; Schlußrede von Friedrich Engels auf dem Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongreß in Zürich am 12. August 1893. In: MEGA➁ I/32. S. 376. 36 Siehe The formation of labour movements 1870–1914. Ed. by Van der Linden and Rojahn. 37 Siehe Erl. 240.29 sowie Torsten Kupfer: Geheime Zirkel und Parteivereine. Die Or-

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Reichstagsfraktion, die als Parteiführung fungierte, ergeben. Es ging dabei um die Frage, in welchen Formen die Aktivitäten zum ersten 1. Mai 1890 stattfinden sollten: als Arbeitsruhe, als Versammlung am Abend des 1. Mai, einem Donnerstag, oder am ersten Sonntag im Mai (Br. 124, 140 und 168; siehe auch Erl. 110.33–34). Im August 1890 rief die Reichstagsfraktion weitere Kritiker auf den Plan, als sie einen Entwurf für ein künftiges Organisationsstatut der Partei vorlegte (Br. 240 sowie Br. 242.25–49 und Erl.). Als Wortführer dieser neuen oppositionellen Richtung, den sogenannten „Jungen“, traten einige akademische und künstlerische Intellektuelle auf. Die Opposition war sozial wie politisch heterogen und wurde von Partei- und Gewerkschaftsfunktionären unterstützt. Sie sammelte sich um konkrete Punkte, wie die Kritik an der parlamentarischen Taktik und an einer Unterdrückung oppositioneller Standpunkte durch die Parteiführung, ohne jedoch eine geschlossene politische oder organisatorische Plattform zu entwickeln (siehe Erl. 124.18 und 240.29 sowie Br. 259). Diese Opposition, von Engels als „Literaten- und Studentenrevolte“ bezeichnet38, verlor Ende August 1890 auf mehreren Parteiversammlungen in Dresden, Magdeburg und Berlin an Rückhalt (siehe Erl. 250.25–27 und 256.8–9). Auf dem Parteitag in Halle im Oktober 1890 vertrat nur mehr ein Delegierter, Wilhelm Werner, diese Richtung (siehe Br. 310.14–25 und Erl.).39 Engels engagierte sich in diesen Auseinandersetzungen, unterstützt bzw. angefeuert von Eduard Bernstein (Br. 250, 252 und 259) und Karl Kautsky (Br. 253). Er akzeptierte teilweise die Kritik der „Jungen“ im Hinblick auf die Organisation und die Befugnisse der Fraktion in dieser und formulierte dies in Briefen an August Bebel (Br. 168 und 255.3–7) und Wilhelm Liebknecht (Br. 242) ausführlich. Die formalen Strukturen waren ihm wichtig genug, daß er sich mit ihnen beschäftigte. Zugleich lehnte er die „Studentenrevolte“ ab; er sah in dieser, so formulierte er Paul Lafargue gegenüber, junge deklassierte Bürgerliche, die sich im geeigneten Augenblick der Posten als Redakteure in den neuen Zeitungen bemächtigten (Br. 257). Andererseits kann man jedoch feststellen – auch wenn Vorsicht bei der Interpretation von Aussagen aus Privatbriefen geboten ist –, daß es eindeutige Hinweise gibt, nach denen Engels gleichzeitig eine offene innerparteiliche Diskussion für notwendig erachtete. Voraussetzung für eine solche Diskussion war ausdrücklich, daß das Proletaganisation der deutschen Sozialdemokratie zwischen Sozialistengesetz und Jahrhundertwende. Essen 2003. 38 Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst [5. Oktober 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 280–285; derselbe: Antwort an die Redaktion der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ [13. September 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 267–269. Ähnlich auch Br. 257. 39 Nach dem Parteitag 1891 wurden einige der Oppositionellen aus der Sozialdemokratie ausgeschlossen, oder sie schieden selbst aus, um eine eigene politische Organisation, den „Verein Unabhängiger Sozialisten“, und eine Wochenzeitung, „Der Sozialist“, zu gründen (Hans Manfred Bock: Geschichte des ,linken Radikalismus‘ in Deutschland. Ein Versuch. Frankfurt/Main 1976. S. 62/63); die Mehrheit verblieb jedoch in der sozialdemokratischen Partei.

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riat „eine besondre Partei bildet, getrennt von allen andern & ihnen entgegengesetzt, eine selbstbewußte Klassenpartei“ (Br. 57; siehe auch Br. 32). Anfang August 1890 schrieb er Friedrich Adolph Sorge: „Die Partei ist so groß daß absolute Freiheit der Debatte innerhalb ihrer eine Nothwendigkeit ist“ (Br. 240). Am 18. Dezember 1889 hatte er bereits bemerkt, daß in jeder Partei unterschiedliche Richtungen entstehen würden; durch einen Ausschluß der einen oder der anderen Richtung würde die Partei „der Kritik sich entziehen“ (Br. 57). 1893, in seiner Schlußrede auf dem Züricher Kongreß der Internationale, unterstrich Engels wiederum den „gemeinsamen Boden“, auf dem die Internationale arbeiten müsse. „Wir müssen die Diskussion zulassen, um nicht zur Sekte zu werden, aber der gemeinsame Standpunkt muss gewahrt bleiben“.40 Engels hatte auch Wilhelm Liebknecht dringend geraten zu zeigen, „daß Freiheit der Kritik herrsche“ (Br. 242). August Bebel sah die Lage ähnlich, z. B. in einem Artikel für die Wiener Arbeiterzeitung: „Eine Partei wie die unsere, [...] darf die Kritik in ihren eigenen Reihen nicht unterdrücken, sie macht sich damit des Selbstmordes schuldig. Die Kritik gegen sich selbst ist sogar notwendig, um nicht in Stagnation zu verfallen“.41 Auch später trat Engels für Diskussionen ein, wenn er 1892 für eine vom Parteivorstand und Parteitag unabhängige Presse plädierte (Engels an August Bebel, 19. November 189242). Dies läßt sich sowohl durch frühere wie spätere Aussagen ergänzen, so etwa in seinem Briefwechsel mit Victor Adler im August 1892.43 Diskussionen um diese Fragen traten in den kommenden Jahren immer wieder auf, ohne daß Engels sich zusammenfassend öffentlich dazu geäußert hätte. Die Indizien in seinen Briefen weisen darauf hin, daß sie in der Zeit nach 1889/1890 eine größere Bedeutung für Engels’ Grundhaltung bekamen.

Frankreich Neben oder noch vor dem Schriftwechsel mit deutschsprachigen Sozialisten ist der mit französischen am reichhaltigsten und, bis auf den größten Teil des Briefwechsels mit Paul und Laura Lafargue, auch unveröffentlicht. Die Lage der Sozialisten in Frankreich war schwierig. Es gab mehrere rivalisierende Richtungen, von denen diejenige um Jules Guesde und Paul Lafargue, die sich auf Marx bezog, zwar einen gewissen Einfluß in der Provinz hatte, aber in MEGA➁ I/32. S. 376. [August Bebel:] Bismarck frondiert. Der abgedankte Reichskanzler. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 17, 25. April 1890. S. 7, Sp. 2, bis S. 8, Sp. 1. Siehe auch die Einschätzung durch Karl Kautsky Jr. In: August Bebels Briefwechsel mit Karl Kautsky. Assen 1971. S. XIII. 42 IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 128. 43 Victor Adler an Engels, 25. August 1892 und Engels an Victor Adler, 30. August 1892. In: Victor Adler, Friedrich Engels: Briefwechsel. S. 34 bzw. 37. 40 41

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Paris schwach vertreten war (siehe Erl. 1.4). Dort hatten die Anhänger und Nachfolger von Louis Blanqui, vereint im Comite´ revolutionnaire central, das mit dem Parti ouvrier zusammenarbeitete, größeren Rückhalt (siehe Erl. 1.54). Daneben besaß in Paris vor allem die possibilistische Richtung, die Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France (FTSF) einigen Einfluß; sie war jedoch unter sich zerstritten (siehe Erl. 1.7). Die marxistische Richtung hatte in Jules Guesde einen hervorragenden Agitator und in Paul Lafargue einen Theoretiker, der nach und nach an Ansehen gewann; in den Jahren nach dem Internationalen Arbeiter-Kongreß in Paris vom Juli 1889 verstärkte sie ihren Einfluß. Das Auftreten von General Georges Boulanger stellte eine Konkurrenz für die Arbeiterbewegung dar, weil er mit seinen Forderungen auch Arbeiter ansprach, wie sich in seinem Wahlerfolg bei einer Nachwahl im Seine-Departement im Januar 1889 gezeigt hatte (siehe Erl. 1.49). Engels maß der französischen Arbeiterbewegung große Bedeutung bei – wenn auch das Schwergewicht der internationalen Arbeiterbewegung in Deutschland lag – und bemühte sich um die revolutionären Richtungen. Bei den Wahlen im Herbst 1889 erzielten die französischen Sozialisten vergleichsweise geringe Erfolge, worüber etwa Paul Lafargue sich bei Engels beklagte (Br. 5 und 6 sowie bereits Paul Lafargue an Engels, 25. September 188944). Engels sah die Niederlage zwar auch, wies aber darauf hin, daß sich die Position des Parti ouvrier gegenüber den Possibilisten in der FTSF erheblich verbessert hätte. Vor allem sei der Boulangismus geschlagen worden, was – so Engels – „a far greater advantage“ (Br. 6) sei. Damit sei zum einen „the monarchist attack on the Republic“ gescheitert, zum anderen würden nationale Fragen in den Hintergrund rücken und so in Frankreich der Weg frei gemacht werden „for the formation of an independent working men’s party“ (Br. 6; siehe auch Br. 19). Victor Adler meinte ausgehend von den Wahlen in den böhmischen Ländern, deren Ergebnisse auf gesellschaftliche Strukturänderungen zurückgingen, daß auch in Österreich die sozialen Konflikte gegenüber der Nationalitätenfrage in den Vordergrund treten würden (Br. 94). Engels sah nach den französischen Wahlen eine verbesserte Möglichkeit für den Parti ouvrier, Einfluß zu erhalten. Daher haben seine Briefe auch einen anderen Charakter als etwa der Briefwechsel mit August Bebel oder Wilhelm Liebknecht. Paul Lafargue gegenüber, der ihm als Ehemann von Laura Marx nahe stand, kritisierte er gelegentlich die Pariser Arbeiter heftig, weil sich viele bei den Wahlen 1889 im Widerspruch zu ihrer revolutionären Tradition für General Boulanger entschieden hatten (Br. 32). Diese revolutionäre Tradition hielt Engels für einen entscheidenden Vorteil der französischen Arbeiter (Br. 324). Aber, so schrieb er beunruhigt im Februar 1890 an August Bebel, sie verträten einen speziell pariserischen Chauvinismus, und die Arbeiter seien „entweder Possibilisten, oder Boulangisten oder Radikale“ (Br. 103). Die Guesdisten galten ihm als die eigentlichen Propagandisten des Marxismus in Frankreich, ihr

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RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/7.

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Verständnis von Marxismus fand jedoch wenig Resonanz in der französischen Arbeiterbewegung.45 Der Prozeß der Heranbildung einer selbständigen Arbeiterpartei in Frankreich wurde durch Engels’ intensiven Briefwechsel mit Paul und Laura Lafargue unterstützt. Paul Lafargue widersprach Engels, wenn er anderer Meinung war. Bekannt ist die Auseinandersetzung über den Umgang mit den Boulangisten. Lafargue sah die Möglichkeit, das soziale Protestpotential, das sich im Boulangismus sammelte, in andere – sozialistische – Bahnen zu leiten (Br. 120). Engels erkannte dagegen, neben dem bereits angesprochenen „Chauvinismus“, in Boulanger einen der möglichen Auslöser eines Krieges, den er zu vermeiden wünschte (Br. 149). Daneben war für Engels schon in der Vorbereitung des Internationalen Arbeiter-Kongresses vom Juli 1889 die Haltung des Parti ouvrier und der Blanquisten (siehe Br. 19.47–49 und Erl.) zum Boulangismus ein Problem. Der Parti ouvrier distanzierte sich seiner Meinung nach nicht eindeutig von Boulanger (Br. 18 und 19), und eine Reihe von Blanquisten sympathisierte mit dessen Forderungen; später, im August 1889, schloß sich ein Teil des blanquistischen Comite´ central re´volutionaire den Boulangisten an (Br. 78). Eine solche Haltung sei, so Engels, ausländischen Beobachtern nicht zu vermitteln und führe zu Konflikten, die die Bemühungen um den Erfolg des Kongresses in Frage stellen könnten. In dieser Frage ging es letztlich sowohl für Lafargue wie für Engels um die Dominanz, und zwar für den einen in der französischen und für den anderen in der internationalen Arbeiterbewegung (Br. 19, 32 und 23).46 Auch Wilhelm Liebknecht kritisierte die Haltung Lafargues und machte sie für das schlechte Abschneiden der Sozialisten bei den Wahlen im Herbst 1889 mitverantwortlich, wie er Engels wissen ließ (Br. 18, 19, 20, 23 und 32).

Großbritannien In Anbetracht des Aufschwungs der Arbeiterbewegung in Großbritannien ist die Abwesenheit von britischen Korrespondenten auffallend, nur etwa fünf Aktivisten der Arbeiterbewegung wandten sich per Brief an Engels. Zumindest ist 45

Dies kann man etwa aus dem Briefwechsel Engels – Lafargue ersehen. Schon 1880 hatten Marx wie auch Engels sich an der Ausarbeitung eines Programms für den Parti Ouvrier Franc¸ais beteiligt (MEGA➁ I/25. S. 208, 468–486, 802–810 und 1200–1205). Siehe auch Madeleine Rebe´rioux: Die sozialistischen Parteien Europas. Frankreich. Frankfurt/Main [u. a.] 1975. (Geschichte des Sozialismus. Bd. 5.) S. 39–41 und 45/46; Claude Willard: Le mouvement socialiste en France (1893–1905). Les Guesdistes. Paris 1965, insbesondere S. 159–168; Tony Judt: Marxism and the French Left. Studies on labour and politics in France 1830–1981. Oxford 1986, 2011. S. 1–11. 46 Siehe Georg Fülberth: Die Auseinandersetzung zwischen Friedrich Engels und Paul Lafargue über Boulanger 1887–1891. In: Beiträge zur Marx-Engels-Forschung. N.F. 2008. Berlin 2008. S. 157–167.

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kein umfangreicher politischer Briefwechsel überliefert, so daß seine Einflußnahme weniger durch die Korrespondenz faßbar wird, sondern eher durch gelegentliche Beiträge in der britischen progressiven Presse (Br. 4). Engels hatte persönliche Kontakte zu Vertretern der „New Unions“ (siehe Erl. 10.9–18) wie Will Thorne, Ben Tillett, John Burns, Tom Mann und anderen; aus seiner unmittelbaren Umgebung arbeiteten vor allem Eleanor Marx-Aveling und Edward Aveling aktiv dafür, diese Organisationen durch ihre engagierte Unterstützung der streikenden Arbeiter und Arbeiterinnen im Herbst 1889 (Br. 38 und Erl.) und durch ihre Organisation der Aktivitäten zum 1. Mai 1890 (Br. 158 und 168) zum Ausgangspunkt einer sozialistischen Arbeiterbewegung zu machen. Jedoch war Aveling, der durch seine private Lebensführung viele Sozialisten und Gewerkschafter gegen sich aufbrachte, ein Hindernis, um auf die Dauer engeren Kontakt mit Vertretern britischer Arbeiter zu erreichen.47 Eleanor Marx-Aveling gründete eine gewerkschaftliche Frauenorganisation in Silvertown48, wurde später in den Vorstand einer der neuen britischen Gewerkschaften gewählt (siehe Erl. 10.9–10) und hatte großen Anteil am Gelingen der Londoner Demonstration am 4. Mai 1890 (Br. 168). Diese Erfolge wurden Engels fast zum persönlichen Triumph (Br. 10, 38, 48, 51, 63, 80 und 168). In Großbritannien spielte der Kampf um den gesetzlichen Acht-Stunden-Tag eine wesentliche Rolle. Engels selbst vermittelte einen Kontakt mit französischen Sozialisten in einem Streik der britischen Seemannsgewerkschaft (Br. 243, 266 und 303), während er sich ansonsten zugunsten der theoretischen Arbeit von der aktuellen Arbeiterpolitik zurückhielt49. Nach Einschätzung von Engels waren die Massenbewegungen der britischen Arbeiter hoffnungsvolle Ansätze für die Neuformierung einer sozialistischen Arbeiterorganisation, die zusammen mit den entsprechenden deutschen und französischen revolutionären Sozialdemokraten die Entwicklung vorantreiben könnte (Br. 324 und S. 683/684). Nicht durch „Dociren“ seien Fortschritte zu erreichen, sondern „nur durch die Praxis“ könnten die in Bewegung gekommenen Massen bürgerliche Anschauungen und „daher den alten traditionellen Gedankenschund“ überwinden (Br. 101). Die englischen Arbeiter müssten „durch ihre eignen Erfahrungen, an den Folgen ihrer eignen Fehler, lernen“ (Br. 48), würden aber, so Engels im März 1890, „den persönlichen Ambitionen, den Ausbeutungsgelüsten der Streber, den Rivalitäten der Sekten

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W[illiam] O. Henderson: The Life of Friedrich Engels. London 1976. Vol. 2. S. 685/686. Es handelte sich, wie Engels Friedrich Adolph Sorge gegenüber am 7. Dezember 1889 betonte, um die ersten „women’s branches“ in der National Union of Gas Workers and General Labourers of Great Britain and Ireland (Br. 48). 49 Engels an August Bebel, 30. April 1883 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 65). Siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 20. Dezember 1890 (NYPL, Sorge Papers) und Engels an Hermann Schlüter, 29. Januar 1891 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1449). 48

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[...] ein Ende bereiten“ (Br. 168), so daß auch die „Chefs der alten faulen Trade Unions & der vielen polit. & sozialen Sekten und Sektchen“ (ebenda) an Bedeutung verlieren würden. Die positive Einschätzung der ungelernten Arbeiter und ihrer Gewerkschaften ergänzte Engels durch eine scharfe Kritik an Facharbeitern, die sich weigerten, an Streiks der Ungelernten teilzunehmen oder die solche Aktionen in mehreren Fällen boykottierten und selbst als Streikbrecher agierten, oft unterstützt durch die etablierten Berufsgewerkschaften (Br. 80). Überraschenderweise fand Engels in der Streikniederlage der National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland Positives: Er hielt es für problematisch, wenn die neuen Gewerkschaften leichte Erfolge erzielten, wie 1889 die Hafenarbeiter, unterstützt durch Sympathiekundgebungen aus dem Bürgertum; es sei daher gut, daß jetzt die Niederlage der Gasarbeitergewerkschaft zeige, wie die Arbeiter „ganz von allen Spießbürgern verlassen“ dastehen (Br. 80 und 153). Engels sah zwar etliche Hindernisse für die New Unions „in einem Land alter politischer & Arbeiterbewegung“ (Br. 153), er hatte jedoch großes Vertrauen in die neu für die Bewegung gewonnenen Arbeiter und in ihre Fähigkeit, diese weiter zu führen (Br. 158); die neuen Organisationen könnten die Aufgabe übernehmen, in einem Prozeß der Selbständerung der Arbeiter die Veränderung der gesamten Gesellschaft einzuleiten. Diese Aufgabe begründete er mit seiner fast 50-jährigen Erfahrung in der Arbeiterbewegung.50 Welche Bedeutung alte Freunde wie Friedrich Leßner oder auch Adam Weiler bei dem Aufbruch in der Gewerkschaftsbewegung hatten, ist an Hand des Briefwechsels nicht zu erkennen. Weiler war 1890 völlig erblindet und auf die Hilfe von Engels angewiesen (Br. 70, 227 und 229). Einen Kontakt zur Fabian Society lehnte Engels offensichtlich ab, jedoch hatte er Verbindung zu einzelnen Mitgliedern; weder auf die Zusendung der „Fabian Essays in Socialism“ (Br. 97) noch auf die Einladung zu einer Veranstaltung (Br. 184) sind Antworten von Engels überliefert. Engels und Sorge waren sich in ihrer negativen Einschätzung der Fabian Society einig (Br. 87, 101, 109, 153 und 159). Engels wandte sich gegen die ökonomischen Theorien der Fabier, die er als „vulgär“ bezeichnet; ihr Hauptaugenmerk seien die Bürger, die sie zum Sozialismus „bekehren“ wollten, um zu einer friedlichen Lösung der gesellschaftlichen Konflikte zu gelangen (Br. 101).

Die Formierung von Massenbewegungen In den Zeitraum des Bandes fallen Entwicklungen, in denen die Expansion der Arbeiterbewegung, die bereits früher begonnen hatte, sichtbar wurde. Die 50

Siehe auch Protokoll der Sitzung der Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten in London, 15. September 1850. In: MEGA➁ I/10. S. 578.

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Streikwelle in Großbritannien hatte, angefangen mit dem Streik der Hafenarbeiter, zu einer Mobilisierung zahlreicher bislang unorganisierter Arbeiter geführt, die sich im weiteren Verlauf zum großen Teil den gewerkschaftlichen Organisationen der ungelernten Arbeiter anschlossen. Engels hatte sich zur Bedeutung der Streiks und zu ihren Wirkungen in den USA bereits öffentlich geäußert, so in seinem Vorwort zur amerikanischen Ausgabe der „Lage der arbeitenden Klasse in England“ 1887.51 Die aktuelle Situation in den USA erörterte er ausgiebig im Briefwechsel mit Friedrich Adolph Sorge und Hermann Schlüter, oft im Vergleich mit der Entwicklung in Großbritannien. Diese Briefe zeigen, wie intensiv Engels sich mit den Entwicklungen in beiden Ländern auseinandersetzte. (Siehe Br. 48, 80, 96 und 101.)52 Dem Streik der Bergarbeiter im Mai 1889 in Deutschland hat Engels große Bedeutung für das Wachstum der Arbeiterbewegung beigemessen (Br. 9 und Erl. 9.41, Br. 96 sowie Br. 101).53 Die Demonstrationen zum 1. Mai 1890 (siehe Erl. 124.7–8) stärkten die internationale Solidarität, wie auch Streikunterstützungen, Geldsammlungen für Wahlkämpfe im Ausland oder gemeinsame Kundgebungen angesichts drohender Kriegsgefahr. Engels hatte die Entscheidung für die Demonstrationen am 1. Mai als „the best thing our congress did“54 betrachtet. Sie wurden in vielen Fällen von den sich als marxistisch verstehenden Organisationen der Arbeiterbewegung getragen bzw. unterstützt und stärkten in den Ländern, in denen sie stattfanden, deren Position und Bedeutung in der Öffentlichkeit erheblich (Br. 158, 160, 168, 169 und 171).55 Als sicheres Indiz für ein Erstarken der Arbeiterbewegung betrachtete Engels die Wahlerfolge sozialistischer Parteien (Br. 1, 5, 6, 19, 107, 111 und 112). Engels deutete die Stimmabgabe für diese Parteien weniger als einen Machtzuwachs durch den Gewinn von Parlamentssitzen, sondern mehr als Ausdruck für Veränderungen im Bewußtsein der Wähler, die er wiederum als Voraussetzung für eine revolutionäre Bewegung betrachtete. „The 20th February 1890 is the opening day of the German revolution“, schrieb er daher Laura Lafargue am 26. Februar 1890 (Br. 107; ähnlich auch an Paul Lafargue, Br. 111). In der Sicht von Engels waren für eine solche Revolution vor allem 51

Preface to the American edition of “The condition of the working class in England in 1844” [1887]. In: MEGA➁ I/31. S. 29–36 bzw. 40–48. Während Engels sich ansonsten mit öffentlichen Bekundungen zur Entwicklung der deutsch-amerikanischen Arbeiterbewegung in der Sozialistischen Arbeiter Partei (Socialist Labor Party) zurückhielt, kritisierte er sie im Briefwechsel intensiv (siehe Erl. 8.4–7 und 221.16–17 sowie Br. 29, 48, 80, 96 und 101). 52 Siehe S. 682. 53 Friedrich Engels: The German miners’ strike [Juni 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 169/170. 54 Engels an Laura Lafargue, 27. August 1889 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5832); siehe auch Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.74 und Erl. sowie Erl. 149.71–74). 55 Siehe auch [Friedrich Engels:] Die Socialisten und die Hydepark-Demonstration. 10. Mai 1890. In: MEGA➁ I/31. S. 252/253; derselbe: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890. Ebenda. S. 259–264.

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die Fortschritte in Deutschland, Frankreich, England und seit etwa Mitte der 1880er Jahre auch in den USA von zentraler Bedeutung; die angestrebten gesellschaftlichen Umwälzungen konnten nur in diesen großen Staaten durchgesetzt werden (Br. 324 und S. 683/684). Die materielle Unterdrückung im kapitalistischen System würde, davon war Engels überzeugt, die Arbeiter „schon mit der Nase auf die Theorie stoßen – & dann allright“ (Br. 80, siehe auch unten S. 697). Wurde die Unterdrückung durch eine massive Repressionspolitik des Staates ergänzt wie etwa in Deutschland, so würde das die Anziehungskraft der Arbeiterbewegung eher stärken als schwächen; ob mit oder ohne staatliche Unterdrückung, die eigenen Erfahrungen in Verbindung mit der marxistischen Erklärung der Zusammenhänge würden bei den Arbeitern auf fruchtbaren Boden fallen (Br. 101).

Die Internationalen Arbeiterkongresse 1889 und 1891 Wie erwähnt, sind internationale Aktivitäten der Arbeiterbewegung mehrfach Thema in den Briefen des vorliegenden Bandes. Die Tatsache, daß 1889 zwei Kongresse (siehe Erl. 1.6) durchgeführt wurden, von denen sich einer explizit vom Marxismus distanzierte, verdeutlicht, daß keineswegs entschieden war, welche der unterschiedlichen sozialistischen Strömungen zur bestimmenden Kraft werden würde.56 Auf internationaler Ebene wurde in den Jahren nach den Pariser Kongressen die marxistische Richtung dominierend, begünstigt durch die relativen Wahlerfolge des Parti ouvrier im Herbst 1889 (Br. 1, 5, 6 und 19), der dänischen Partei im Januar 1890 und der Verdoppelung der Stimmen der deutschen Partei im Februar 1890 (Br. 107, 111 und 112) sowie durch die Spaltung der Possibilisten in Frankreich (Br. 273, 296, 300 und 366). In einer Reihe von Ländern, in denen die deutsche sozialdemokratische Partei als Vorbild galt, wurde ihr Marxismus in den 1890er Jahren die führende Richtung. Dies war jedoch nicht in allen Ländern der Fall, konkurrierende Theorien und Modelle fanden daher weiterhin Zuspruch. Der Wunsch nach einem erneuten internationalen Zusammenschluß von Arbeiterorganisationen war in den Jahren nach dem Ende der I. Internationale auf mehreren Kongressen artikuliert worden. Die Neugründung der Internationale schien für Engels ursprünglich wenige Vorteile zu bieten. Vielmehr befürchtete er ein Wiederaufleben früherer Konflikte57; er bevorzugte eine lose Verbindung gleichartig aufgebauter Parteien mit einer revolutionären Perspektive. 56

Siehe Engels an Laura Lafargue, 11. Juni, an Paul Lafargue, 15. Juni und an Laura Lafargue, 28. Juni 1889 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5830, 5883 und 5831). Zum folgenden Markus Bürgi: Die Anfänge der II. Internationale. Positionen und Auseinandersetzungen 1889–1893. Frankfurt/Main [u. a.] 1996. S. 69–73, 122–143 und 238– 241 sowie die Aufsatzsammlung Engels after Marx. Ed. by Terrell Carver and Manfred B. Steger. Manchester 1999. 57 Engels an Friedrich Adolph Sorge, 8. Juni 1889 (NYPL, Sorge Papers).

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Das Bedürfnis nach einer institutionalisierten Form der Zusammenarbeit erwies sich jedoch als so stark, daß Engels sich gezwungen sah, seine Vorbehalte zurückzustellen. Er beteiligte sich intensiv an der Vorbereitung des Kongresses der marxistischen Organisationen im Juli 1889, dessen Nachwehen in diesem Band eine Rolle spielen (Br. 268 und 366). Der Erfolg des Kongresses bewog ihn, sich auch in die Planung des folgenden Kongresses in Brüssel 1891 einzuschalten. Als die Pläne festere Formen annahmen, mobilisierte er im Herbst 1890 zuerst den Parti ouvrier und anschließend August Bebel. Die deutschen Sozialdemokraten bereiteten ihren ersten Parteitag nach der Aufhebung des Sozialistengesetzes vor und hatten dazu schon eine Reihe ausländischer Delegierter eingeladen. Engels schlug vor, mit diesen und weiteren Teilnehmern eine Art Vorkonferenz zur Vorbereitung des kommenden internationalen Kongresses durchzuführen. Die Delegierten einigten sich auf die Vorschläge von Engels (Br. 268, 272 und Erl. 272.30–34 sowie Br. 274–277, 279, 288, 289, 293, 294, 296, 297, 300, 302, 305, 314, 319 und 366).58 Im weiteren Verlauf entwickelte sich die Internationale nach Engels’ Vorstellungen: Sie blieb in ihren ersten elf Jahren eine organisatorisch lose Vereinigung ohne formale Satzungen, die im Grunde nur während der Kongresse bestand.59

Die internationale Lage und die Kriegsgefahr Engels fürchtete einen europäischen Krieg, der die Entwicklung der Arbeiterbewegung auf Jahre zurückwerfen könnte und viele menschliche Opfer kosten würde. Als Faktoren, die die Kriegsgefahr verschärften, sah er zum einen die Rüstungspolitik der Großmächte; zum anderen bestand die Möglichkeit eines russisch-französischen Bündnisses, das wiederum den Konflikt zwischen dem Deutschen Reich und Frankreich um Elsaß-Lothringen erneut aufbrechen lassen könnte. Er war andererseits der Ansicht, daß schnelle und kostspielige waffentechnische Entwicklungen der Gefahr entgegenwirkten (Br. 1, 96, 120 und 149) und pflichtete Paul Lafargue bei, der meinte, daß die französischen Generäle Gegner eines Krieges seien (Br. 240 und Erl. 240.65–66). Der Boulangismus hatte nach Ansicht von Engels, wie er Laura Lafargue gegenüber ausführte, eine Gefahr bedeutet, weil ihm zum einen Chauvinismus zugrunde lag, was sich u. a. darin gezeigt hatte, daß die Boulangisten sich der von französischen Nationalisten geforderten Rückeroberung Elsaß-Lothringens angeschlossen hatten. Engels warf dem Parti ouvrier im besonderen und den Pariser Arbeitern im allgemeinen vor, diesem Chauvinismus nicht entgegengetreten zu sein (Br. 149). Zum anderen, betonte Engels gegenüber August Bebel, hätte die russische Regierung Boulanger 15 Millionen Francs zur 58

Zur Mobilisierung der Franzosen siehe auch Friedrich Engels: Congre`s ouvrier international de 1891. In: MEGA➁ I/31. S. 274–279; siehe ferner Erl. 268.26–30. 59 Siehe Julius Braunthal: Geschichte der Internationale. Bd. 1. Hannover 1961. S. 251/252.

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Verfügung gestellt (Br. 96 und Erl. 120.48–50), um die französische Monarchie wieder einzusetzen und damit einen verläßlicheren Bündnispartner als die Republik zu gewinnen (ebenda; siehe auch Br. 2 und Erl. 2.37). Auf diese Unterstützung des „ungeduldigen Chauvinismus der französischen Bourgeois“ wies Engels auch in seinem zu dieser Zeit entstandenen Artikel „Die auswärtige Politik des russischen Zarentums“ hin.60 Darin arbeitete er die Kontinuität der russischen Außenpolitik in den letzten 150 Jahren heraus. Deren Ziel sei, „geographische Positionen zu erobern, die ihm [dem russischen Zarentum] die Herrschaft über Europa sichern“ sollte, das Mittel dazu die „unaufhörliche Einmischung in die Angelegenheiten des Westens“. Im Ergebnis würde das Zarentum „damit den Sieg des europäischen Proletariats unmöglich machen“61. Ein weiteres Mittel der russischen Politik war, so Engels in seinem Artikel, nationale Befreiungsbewegungen zu unterstützen, wenn dies ihren Zwecken diente62. Darauf wies er auch in einem seiner Briefe hin: Sein Artikel wende sich gegen „la foi des libe´raux en l’ardeur libe´ratrice du Tsar“ (Br. 130). Zur Lösung nationaler Konflikte, wie etwa in Elsaß-Lothringen, empfahl Engels, daß die betroffene Bevölkerung selber entscheiden müsse, zu welchem Staat sie gehören wolle (ebenda). Der Artikel wurde wahrscheinlich durch Engels’ Schriftwechsel mit Vera Zasulicˇ angeregt.63 Die Publikation im Organ der kleinen Gruppe „Osvobozˇdenie truda“ (Befreiung der Arbeit) war vermutlich teils ein Akt der Solidarität der Gruppe gegenüber, teils auch Engels’ eigenem Interesse an Rußland64 geschuldet. Die Veröffentlichung in der „Neuen Zeit“ (siehe Erl. 111.40–41) führte zu einer Auseinandersetzung mit dem Verleger Heinrich Dietz. Engels fühlte sich brüskiert, weil Passagen seines Textes gekürzt bzw. entschärft worden waren, ohne ihn zu informieren. Die Kürzungen waren ohne Dietz’ Wissen von einem Korrektor ausgeführt worden. (Siehe Br. 126, 127, 131, 134, 138, 140, 142 und 147.) Die Einschätzung Rußlands als Hort und Rückhalt der europäischen Reaktion hatte Tradition im Denken von Engels (und Marx); folglich galt ihm, daß der Sturz des Zarismus für die Zukunft der Arbeiterbewegung entscheidend 60

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarentums [Mai 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 179–209, hier S. 204.22–27. Zur Entstehung dieses Artikels siehe ebenda. S. 961–970 sowie die Briefe an Engels von Sergej Kravcˇinskij vom 23. Dezember 1889 und von Vera Zasulicˇ vom 30. Januar 1890 (Br. 62 und 99). 61 Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarentums [Mai 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 179.12–16. 62 Ebenda. S. 194/195. 63 Die entsprechenden Briefe sind nicht überliefert, doch kann man aus den vorhandenen Briefen (Br. 62 und 74) auf eine Initiative von Zasulicˇ und ihren Mitstreitern in der Redaktion der neuen Zeitschrift schließen (MEGA➁ I/31. S. 961). Zur Diskussion über mögliche Wirkungen des Artikels siehe auch Br. 129 und 130. 64 Engels erhielt regelmäßig Informationen über die Entwicklung im Zarenreich von Nikolaj Daniel’son. Zudem waren dort die Bände 1 und 2 des „Kapitals“ bereits erschienen, der erste Band 1872, der zweite 1885 (siehe MEGA➁ II/12. S. 572–576).

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sein könnte; Bebel pflichtete ihm bei (Br. 186 und Erl. 186.12–16). Eine russische Revolution könne die Schubkraft entfalten, um eine Transformation im westlichen Europa zu initiieren.65 Diese Funktion eines Auslösers des revolutionären Prozesses übertrug Engels im weiteren Verlauf auch auf die belgische und vor allem auf die österreichische Arbeiterbewegung.66

Fragen der Theorie und politischen Taktik Wie bereits bei der Vorbereitung des Internationalen Arbeiterkongresses deutlich wurde, gab es unterschiedliche Strömungen innerhalb der Arbeiterbewegungen, die zum Teil auf Unterschiede in den politischen Systemen der einzelnen Länder zurückzuführen waren oder durch solche befördert wurden. Im Jahrzehnt nach dem Tod von Marx bemühte sich Engels mit einem gewissen Erfolg um die Stärkung marxistisch ausgerichteter Strömungen in der Arbeiterbewegung. Engels ging diese Ziele auf verschiedenen Wegen an: Er arbeitete durch Neuveröffentlichung verschiedener eigener und Marx’ Schriften mit neuen Vorworten am Ausbau der marxistischen Theorie, er versuchte die theoretische Arbeit von Marx weiterzuführen, und er trug vor allem dazu bei, die bisherigen taktischen Überlegungen zu erneuern. Sein Briefwechsel mit Vertretern der Arbeiterbewegung konnte nicht zuletzt dazu dienen, sie in der praktischen Anwendung theoretischer Grundsätze zu unterstützen und sie anzuregen, sich mit den Bedingungen der gesellschaftlichen Entwicklung zu befassen. Dies zeigt sich recht deutlich im Briefverkehr mit Vertretern der Arbeiterparteien in Deutschland (z. B. Br. 96, 112, 168, 286, 307 und 333), Frankreich (u. a. Br. 1, 6, 19, 38, 294, 296 und 324), Österreich (Br. 94) und Dänemark (Br. 50 und 57)67 oder auch mit seinem italienischen Übersetzer (Br. 123). Victor Adler betonte Engels’ Bedeutung als Ratgeber: „Du wirst es nicht übelnehmen, wenn ich Dir einmal ausdrücklich sage, wie wir in Oesterreich alle an Dir hängen u wie wir, ich vor allem, davon durchdrungen sind, Siehe Friedrich Engels: Nachwort (1894) zu „Soziales aus Rußland“. In: MEGA➁ I/32. S. 255, 258 und 261; Nimtz: Marx and Engels. S. 275–277. 66 „Ihr sollt die Avantgarde des europäischen Proletariats bilden, die allgemeine Offensive einleiten [...]“. Engels an Victor Adler, 17. Juli 1894 und 11. Oktober 1893. In: Victor Adler, Friedrich Engels: Briefwechsel. S. 79 und 51; siehe auch den bereits in Fn. 26 zitierten Entwurf von Engels an E´mile Vandervelde, nach dem 21. Oktober 1894. 67 Der Neuaufbau der dänischen Sozialdemokratie nach 1877 hatte auf der Grundlage eigener Erfahrungen eigenständige Organisationsformen hervorgebracht. Die Mitgliedschaft sollte aus den bewußten Sozialisten bestehen, die Partei wurde zentralistisch geführt, die Lokalorganisationen hatten nur eine bedingte Entscheidungsfreiheit, Oppositionelle wurden isoliert und bei Bedarf ausgeschlossen, wie z. B. Ende 1889 (siehe Erl. 50.5–6). Ähnliche Formen wurden in mehreren europäischen Arbeiterparteien zur gleichen Zeit oder bald danach entwickelt. 65

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was wir Dir zu danken haben. In einem Sinne Dir mehr, oder sagen wir: Anderes als Marx: Politik und Taktik. Anwendung der Theorie in corpore vivo“ (Br. 94). Ein Schwerpunkt in der Arbeit von Engels in diesem Jahrzehnt bestand darin, eine Reihe von vergriffenen Texten sowohl von ihm als auch von Marx erneut zugänglich zu machen. Er beabsichtigte, Schriften zusammenzustellen, die ihm als Einführung in die materialistische Geschichtsauffassung geeignet schienen. Die Veröffentlichungen sollten in mehreren Sprachen erfolgen. Unterstützt wurde er in dieser Arbeit u. a. von Victor Adler, der sich mehrmals für Neuauflagen von kleineren Schriften von ihm und Marx einsetzte.68 Im Zeitraum des vorliegenden Bandes gab Engels das „Manifest der kommunistischen Partei“ neu heraus und versah es wie andere Veröffentlichungen mit einem Vorwort, in dem er den historischen Text in einen aktuellen Kontext stellte (Br. 158, 164, 240 und 357).69 Ebenso verwandte er viel Zeit auf die Überprüfung der Qualität der Übersetzungen. Auf dieser Grundlage entstand eine gemeinsame Textbasis, auf der sich der Marxismus der II. Internationale entwickelte. Wichtig war Engels die Herausgabe des dritten Bandes des „Kapitals“ aus dem Marx’schen Nachlaß, an der er – wenn auch mit vielen Unterbrechungen – nach wie vor arbeitete. Er schrieb Conrad Schmidt, daß er vom Februar bis Oktober 1889 auf Grund des Pariser Kongresses im Juli 1889 und der vierten Auflage des ersten Bandes „keinen Strich“ habe tun können (Br. 11). Er äußerte zwar seine Absicht, daß er demnächst weiterarbeiten wolle, und sprach die Hoffnung aus, daß die Schlußredaktion im Frühjahr 1890 stattfinden werde (Br. 15). Im Zeitraum dieses Bandes kam er aber wahrscheinlich nur im November/Dezember 1889 und im Oktober 1890 dazu, die Arbeit weiter zu führen (Br. 8, 11, 15, 29, 33 und 300). „Könnte ich ein Jahr ganz aus der laufenden internationalen Bewegung heraustreten, keine Zeitungen lesen, keine Briefe schreiben, mich in nichts mischen, so wäre ich leicht fertig“ (Br. 141).70 Daneben revidierte er den ersten Band für die vierte Auflage, die Ende Oktober 1890 erschien (Br. 46, 193 und 300). 68

Siehe etwa Victor Adler an Engels, 22. September 1892. In: Victor Adler, Friedrich Engels: Briefwechsel. S. 39/40. 69 Frederick Engels: Preface to the English edition of the “Manifesto of the Communist Party” [1888]. In: MEGA➁ I/31. S. 117–121; siehe auch Bert Andre´as: Le Manifeste Communiste de Marx et Engels. Histoire et Bibliographie 1848–1918. Milano 1963. – Zur Veröffentlichung verschiedener Schriften siehe die entsprechenden Texte in den MEGA➁-Bänden I/30, I/31 und I/32 sowie die Einführungen dazu (MEGA➁ I/30. S. 581 und 603–606; MEGA➁ I/31. S. 616–618; MEGA➁ I/32. S. 557–559 und 570/571); Eric Hobsbawm: The fortunes of Marx’ and Engels’ writings. In: Derselbe (Hrsg.): The history of Marxism. Vol. 1. Brighton 1982. S. 327–332; Boris Tartakowski: Friedrich Engels’ Beitrag zum ideologischen Sieg des Marxismus in der internationalen sozialistischen Bewegung (1875–1895). In: Marx-Engels-Jahrbuch. Berlin. Bd. 4. 1981. S. 143–181. 70 Zur Arbeit von Engels an der Herausgabe des zweiten und dritten Bandes des „Kapitals“ siehe MEGA➁ II/12, II/14 und II/15.

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Wichtig für die Resonanz der unterschiedlichen sozialistischen Strömungen waren die Presseorgane. Die marxistische Richtung verfügte im Deutschen Reich u. a. mit der „Neuen Zeit“ seit 1883 über ein bedeutendes Vermittlungsorgan. In ihren Spalten zeigte sich u. a., daß die Bemühungen, eine gemeinsame theoretische Basis der internationalen Arbeiterbewegung zu schaffen, nicht ohne Erfolg waren, auch wenn unterschiedliche sozialistische Denkansätze71 in den 1890er Jahren immer wieder Anhänger fanden. Engels engagierte sich seit 1885 regelmäßig in der Zeitschrift wie auch in der verbotenen Wochenzeitung „Der Sozialdemokrat“.72 Beide Zeitschriften waren von wesentlicher Bedeutung für die Durchsetzung von marxistischen Positionen und fanden auch international vergleichsweise breiten Zuspruch. So vermittelten die zahlreichen ausländischen Mitarbeiter der „Neuen Zeit“ zentrale Probleme ihrer Arbeiterbewegungen nicht nur dem deutschsprachigen Leserkreis sondern darüber hinaus auch der internationalen Arbeiterbewegung.73 Zudem gab es in den 1890er Jahren eine internationale Diskussion nicht nur in den Monatszeitschriften sondern auch in der täglichen Arbeiterpresse.74 Isidor Ehrenfreund, der sich schon 1889 mit einer Bitte um Hilfe bei Literaturbeschaffung an Engels gewandt hatte, sprach in zwei Briefen den besonders in Österreich verbreiteten Antisemitismus an (Br. 118 und 156). Die ursprünglich liberale und deutschnationale politische Richtung hatte sich in den frühen 1880er Jahren gespalten. Victor Adler, der sich zuerst hier engagiert hatte, wandte sich der Arbeiterbewegung zu, während ein Teil der Liberalen sich dem Antisemitismus näherte, und eine Minderheit dieser Gruppe gleichzeitig radikale demokratische Positionen übernahm. Die Vertreter der radikalen Positionen waren in dieser Zeit Konkurrenten der Arbeiterbewegung. Engels diskutierte die von Ehrenfreund aufgeworfene Frage in seiner Antwort vom 19. April 1890, die nur als Auszug aus einem Brief bzw. als Artikel überliefert ist75. Ehrenfreund fühlte sich allerdings von Engels mißverstanden. Engels’ veröffentlichter Brief erschien in mehreren deutschen und ausländischen Zeitungen und hatte Einfluß auf die Resolutionen über den Antisemitismus der SPD-Parteitage 1892 und 1893.76 71

Siehe Werner Hofmann: Ideengeschichte der sozialen Bewegung des 19. und 20. Jahrhunderts. 6. Aufl. Berlin, New York 1979. S.174–197. 72 Siehe Till Schelz-Brandenburg: Die Neue Zeit als Publikationsforum für Schriften von Marx und Engels – eine Skizze. In: Bürgerliche Gesellschaft – Idee und Wirklichkeit. Festschrift für Manfred Hahn. Hrsg. von Eva Schöck-Quinteros [u. a.]. Berlin 2004. S. 95–105; siehe auch S. 696. 73 Siehe Harald Koht: Kontakterne mellem det danske og det tyske socialdemokrati omkring a˚rhundredskiftet. In: Arbejderhistorie. Meddelelser om forskning i arbejderbevægelsens historie. København. H. 39, Oktober 1992. S. 39–50. 74 Siehe beispielsweise Gerd Callesen, John Logue: Social-Demokraten and internationalism. The Copenhagen social democratic newspaper’s coverage of international labor affairs. 1871–1958. Gothenburg 1979. 75 Friedrich Engels: Über den Antisemitismus [9. Mai 1890]. In: MEGA➁ I/31. S. 249–251. 76 Siehe Jack Jacobs: Friedrich Engels and “the Jewish Question” reconsidered. In: MEGA-Studien. Amsterdam. 1998/2. S. 9–13.

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Eine weitere Diskussion ergab sich aus einer Reihe von Briefen, in denen Engels sich mit Fragen der materialistischen Geschichtsauffassung befaßte und sie explizierte. Anlaß war eine Diskussion über die Kritik des deutschen Historikers und Philosophen Paul Barth am historischen Materialismus. Barths Kritik bekam um 1890 eine gewisse Bedeutung, weil sie bei einer Reihe von jüngeren Akademikern – einschließlich Conrad Schmidt – Resonanz fand (Br. 326). Engels wurde durch mehrere Anfragen (Br. 185, 246 und 264) in diese Auseinandersetzung verwickelt, und so liegen Briefe vor (Br. 188, 237, 251, 286 und 333), in denen er sich intensiv mit diesen Fragen auseinandersetzte. Die „fatalen Freunde der materialistischen Geschichtsauffassung“ stellten für Engels ein Problem dar (Br. 237; siehe auch Br. 333). Diese Anhänger würden die Theorie zur Phrase verkehren. Entscheidend sei, daß es sich bei der materialistischen Geschichtsauffassung um eine Methode handele (Br. 188). Engels bedauerte August Bebel gegenüber die „Schwäche des jüngeren Nachwuchses“, war zugleich aber zuversichtlich, daß Conrad Schmidt noch „Vorzügliches leisten“ könne (Br. 29). Conrad Schmidt, sein Freund Paul Ernst und Joseph Bloch hatten sich, wie auch andere jüngere Akademiker schon vor oder um 1890, der sozialdemokratischen Partei angeschlossen. Schmidt war 1890 für einige Monate Redakteur der „Berliner Volks-Tribüne“, die der innerparteilichen Opposition nahestand; auch Ernst stand zeitweilig auf dem Boden der Opposition. Engels’ Briefe, auch in den folgenden Jahren, lassen erkennen, daß er sich verstärkt darum bemühte, jüngere wissenschaftlich Interessierte für die Arbeiterbewegung zu gewinnen. Die ersten der sogenannten „Altersbriefe“, in denen Engels sich mit der materialistischen Auffassung der Geschichte befaßte, wurden 1890 geschrieben. Die Diskussion gedieh nicht so weit, daß sie einen Abschluß in einer Darstellung gefunden hätte. In Fragen der politischen Taktik betonte Engels noch im Dezember 1889 Gerson Trier gegenüber (Br. 57), daß sie sich einig seien, daß das Proletariat die politische Herrschaft nicht ohne eine gewaltsame Revolution erobern könne. Unterschiedlicher Meinung seien sie dagegen in den Fragen der Zusammenarbeit mit anderen Parteien und der innerparteilichen Demokratie. Engels’ Vertrauen in die Arbeiterklasse und in ihr Vermögen, aus Fehlern zu lernen, war groß genug, um den Ausschluß von Kritikern zu verurteilen77. Die Befürwortung der gewaltsamen Revolution, die sich im Brief an Trier findet, wurde im Frühjahr 1890 anscheinend modifiziert. Engels empfahl im Hinblick auf die deutsche Bewegung, es nicht zu unnötigen Konfrontationen kommen zu lassen. Die Arbeiterbewegung solle sich nicht provozieren lassen, sondern vielmehr die Zeit für sich arbeiten lassen. Zwar lehnte er Liebknechts „Philippiken gegen die Gewalt“ ab, weil sie unglaubwürdig seien (Br. 112); in seinem Vorwort zu den „Klassenkämpfen in Frankreich“78 erklärte er 1895 jedoch die Bar77 78

Siehe S. 683 und 687/688. Friedrich Engels: Einleitung (1895) zu Karl Marx’ „Die Klassenkämpfe in Frankreich 1848 bis 1850“. In: MEGA➁ I/32. S. 330–351.

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rikadenkämpfe, die noch 1848/49 das Bild der Revolution beherrscht hätten, durch die militärtechnische Entwicklung für überholt. Welche Form die gewaltsame Revolution dann annehmen konnte oder sollte, blieb offen. Entscheidend in dieser Frage werde – so die Quintessenz der Briefe aus den Jahren ab 1889/1890 – die Beteiligung der Massen der Arbeiter sein, die wissen müßten, wofür sie mit Leib und Seele eintreten sollten. In diesem Sinn ist auch die Beobachtung der Parlamentswahlen wie der Beteiligung an den Maidemonstrationen zu sehen. Im Januar 1894 unterstrich Engels, daß die tatsächlichen Entscheidungen an Ort und Stelle von den direkt Beteiligten getroffen werden müssten79. Eine andere Diskussion über taktische Fragen vom Frühjahr und Sommer 1889 hatte Auswirkungen bis in den Herbst dieses Jahres. Engels stritt sich mit Wilhelm Liebknecht darüber, ob man im Vorfeld der beiden Pariser Kongresse den Possibilisten eher entgegenkommen oder sie zu schwächen versuchen sollte. Engels und Paul Lafargue erörterten den Umgang mit den Possibilisten nach den Wahlen von 1889. Engels empfahl das gleiche Vorgehen gegen die Possibilisten wie 1875 gegen die Lassalleaner. Damals hatte Engels, zusammen mit Marx, ebenfalls das Drängen Liebknechts auf eine schnelle Vereinigung der beiden deutschen Parteien kritisiert (Br. 1, 2 und 324 sowie Erl. 2.28–31). Engels erhielt durch seine Briefpartner Informationen zu politischen und ökonomischen Entwicklungen. Zugleich beobachtete er die Ereignisse in den verschiedenen Staaten intensiv vor allem mittels einer umfangreichen Zeitungslektüre80. Die Analysen von August Bebel schätzte Engels in der Regel sehr (Br. 11 und 146), ebenso die von Conrad Schmidt, später auch die von Victor Adler. Für eine Berichterstattung aus den USA war nach Engels’ Ansicht Friedrich Adolph Sorge der beste Mann, den er als solchen für „Die Neue Zeit“ empfahl (Br. 235). Über das Zarenreich erhielt Engels regelmäßig Informationen von Nikolaj Daniel’son. Gelegentlich scheint es, als ob Engels nach dem Mund geredet wurde, etwa durch Bebel im Zusammenhang mit der Zensierung eines Artikels für „Die Neue Zeit“ (Br. 140). Bebel schrieb zum Artikel: „namentlich fehlte demselben die [...] gewohnte logische Schärfe“, aber Engels wies Bebels Aussage zurück und bat ihn um seine „kritischen Noten“ (Br. 168), die, wenn sie geschrieben wurden, nicht überliefert sind. Insgesamt scheint es so, daß Engels selten widersprochen wurde, zumal in politischen Fragen (Br. 252 und 259). Es gab jedoch Unterschiede: Sorge scheint Engels in auftauchenden Diskussionen vorausschauend Recht gegeben zu haben, während Hermann Schlüter selbständige und differenzierte Einschätzungen liefer[Friedrich Engels:] La situation en Italie. In: MEGA➁ I/32. S. 272; siehe auch ebenda. S. 493. 80 6 Tageszeitungen und 19 Wochenzeitungen aus 10 Ländern – zu anderen Zeitpunkten kamen noch eine rumänische und eine dänische Wochenzeitung hinzu (Engels an Laura Lafargue, 17. Dezember 1894, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5985). 79

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te (Br. 187). Anders gestaltete sich der Briefwechsel mit Paul Lafargue. Beide hatten öfters unterschiedliche Auffassungen, sei es in politischen Fragen wie in der Beurteilung Boulangers (Br. 19 und 23) oder bei wissenschaftlichen Themen wie der Bedeutung des russischen Rechtshistorikers Maxim Kovalevskij (Br. 255, 257 und 262); Lafargue bestand oft auf seiner Auffassung81, so daß Engels erwarten konnte, daß ihm von diesem begründete und eigenständige Einschätzungen mitgeteilt wurden. Engels schätzte den Austausch mit seinen Briefpartnern sehr und nutzte bereitwillig die Möglichkeiten zur Kommunikation und Einflußnahme, die seine Korrespondenz ihm bot. Dennoch beklagte er sich, wie eingangs erwähnt, gelegentlich über die damit einhergehende Belastung und die daraus resultierenden Konflikte zwischen den Anforderungen an ihn als politischer Ratgeber und seinem Bedürfnis nach wissenschaftlicher Arbeit.

Editorische Hinweise Der vorliegende Band wurde nach den seit 1993 geltenden Editionsrichtlinien der MEGA bearbeitet.82 Grundlage für den Edierten Text bilden die handschriftlichen Originale bzw. Abschriften, Fotokopien oder die jeweiligen Erstveröffentlichungen, falls die Originale nicht überliefert sind. Textgrundlage, Standort und Ort der Erstveröffentlichungen werden in den Zeugenbeschreibungen mitgeteilt. Der Edierte Text folgt der Textgrundlage ohne Vereinheitlichung oder Modernisierung von Orthographie und Interpunktion. Spezifische Besonderheiten grammatikalischer und orthographischer Art der Schreibweise einiger Briefautoren wurden beibehalten. Korrigiert werden eindeutige Schreibfehler schreibgewohnter Personen, die Änderungen sind in Korrekturverzeichnissen vermerkt. Stillschweigend ergänzt sind nötigenfalls die Akzente in französischen Texten. Übliche und häufig vorkommende autorspezifische Abkürzungen wurden beibehalten und im Verzeichnis der Abkürzungen entschlüsselt, andere abgekürzte Wörter bzw. die deutschen Artikel („d.“) werden unterpunktet ausgeschrieben. Hervorhebungen im Text stammen von den Autoren. Anstreichungen und Unterstreichungen von Engels in Briefen werden wie folgt gekennzeichnet: Tinte: bzw. ; Bleistift: bzw. . Zu den Briefen von Engels werden gegebenenfalls auch die Varianten verzeichnet. Die entsprechenden diakritischen Zeichen sind im Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen entschlüsselt.

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Über den Gehalt der Informationen, die Engels erhielt, gibt es unterschiedliche Bewertungen. Bernstein etwa urteilte Jahrzehnte später, daß Engels durch „sehr tendenziöse Briefe in Frankreich lebender Personen“ mißinformiert worden sei (Eduard Bernstein: Die Briefe von Friedrich Engels an Eduard Bernstein. Berlin 1925. S. 37). 82 Editionsrichtlinien der Marx-Engels-Gesamtausgabe (MEGA). Berlin 1993.

702

Einführung

Zur Spezifik des Bandes gehören zahlreiche Telegramme, die Engels zum 70. Geburtstag geschickt wurden. Dort befindlicher Text des Telegrammformulars wird in kleiner gedruckten Kapitälchen wiedergegeben, ebenso aufgedruckter Text auf Postkarten und gedruckte Schreiben. Der wissenschaftliche Apparat zu jedem Brief wird von einer Darstellung zur Entstehung und Überlieferung des Briefes und einer Zeugenbeschreibung eingeleitet. Mit dem dort verwendeten Begriff Fotosignatur werden die abfotografierten Inventarnummern des sozialdemokratischen Parteiarchivs bezeichnet. Für Briefe, die von den Verfassern nicht oder irrtümlich falsch datiert wurden, wird die Datierung begründet, wobei auf andere Datierungen früherer Ausgaben hingewiesen wird. Die Entzifferung mehrerer Briefe wurde präzisiert. Angaben zu im Brief erwähnten Beilagen und zur Erstveröffentlichung des Briefes schließen die Zeugenbeschreibung ab. Danach folgen Materialien, die dem entsprechenden Brief beigelegt waren (Dokumente, Briefe und anderes). Der Apparat zu den einzelnen Briefen besteht weiterhin gegebenenfalls aus einem Korrekturenverzeichnis und – bei Briefen von Engels – aus einem Variantenverzeichnis sowie aus Erläuterungen. Register und Verzeichnisse erschließen den Band. Das Verzeichnis der nicht überlieferten Briefe listet Briefe auf, deren Existenz als sicher gelten kann. Briefe, die möglicherweise oder wahrscheinlich geschrieben wurden, zu denen aber keine genauen Belege vorliegen, werden nur in Textgeschichten und Erläuterungen erwähnt. Ein Verzeichnis der in den Briefen und Erläuterungen erwähnten Organisationen ergänzt die Register. Erfaßt sind dort auch Bezeichnungen wie z.B. „les Belges“, wenn eindeutig die/der „Belgische Werklieden Partij/Parti ouvrier Belge“ gemeint ist. Zudem werden bei der deutschen Sozialdemokratie in den Texten erwähnte Bezeichnungen wie Opposition, Parteitag, usw. als Unterbegriffe im Register erfaßt; dies gilt entsprechend für andere Länder und deren Organisationen. Kursiv gesetzte Seitenzahlen verweisen auf Erläuterungen mit ausführlicheren Hinweisen zu weniger bekannten Organisationen. Im Register nicht berücksichtigt werden Erläuterungen, die lediglich Verweise auf solche Erläuterungen enthalten. Die Bearbeiter danken folgenden Wissenschaftlern und Mitarbeitern wissenschaftlicher Einrichtungen und weiteren Personen, die die Erarbeitung des Bandes hilfreich durch Vermittlung von Informationen vielerlei Art unterstützt haben: Die Kontrollredaktion der französischen Texte besorgte Claudie Weill (Pantin), die der englischen Texte John Clegg (New York) und die der italienischen Texte Paolo Dalvit (Trento). Jurij Vasin † (Moskau) bearbeitete das Namenregister, Ursula Balzer die Literaturregister. Sabrina Bier (Berlin) prüfte die Verzeichnisse und Register. Rolf Dlubek † (Berlin) und Claudia Reichel (Berlin) begutachteten Teile von Text und Apparat. Die satztechnische Fertigstellung übernahm Henriette Nötzoldt (Berlin). Eine Reihe bibliographischer und anderer Angaben beschafften Irmgard Bartel (Bonn), Robert Bills (Palo Alto, CA), Stephen Bird (Manchester), Jerzy Borejsza (Warszawa), Markus Bürgi (Zürich), Vagn Buchmann (København),

703

Einführung

Louise Fluger Callesen (Wien), Christine Coates (London), Marie-Genevie`ve Deze`s (Paris), Ilse Fischer (Bonn), Bernd Füllner (Düsseldorf), Heinrich Gemkow (Berlin), Emilio Gianni (Genova), Francesca Gori (Milano), Dorte Ellesøe Hansen (København), Angelika Hechenblaickner (Paris), Ursula Herrmann (Schwielowsee), Martin Hewitt (Leeds), Martin Hundt (Berlin), Ole Jorn (København), Anne Lise Jorstad (Oslo), Urs Kälin (Zürich), Erhard Kiehnbaum (Greifswald), Inge Kießhauer (Berlin), Michael Knieriem (Wuppertal), Peer Kösling (Jena), Eike Kopf (Erfurt/Beijing), Eric Lafon (Montreuil), Heribert Lambert (Trier), Inge Lammel (Berlin), Fintan Lane (Dublin), Hans Larsson (Stockholm), Andrew Lee (New York), Marc Linder (Iowa City, IA USA), Anthony Lorry (Paris), Franc¸ois Melis (Berlin), Jonathan Mertzig (Madison, WI USA), Stefano Miccolis (Perugia), Tony Michels (Madison WI USA), Henri Minczeles (Paris), Heinz Monz (Trier), Hans Müller (Heilbronn), Elizabeth Neu (Trier), Jay O’Connell (Van Nuys, CA USA), Emmet O’Connor (Londonderry), Frank-Dietrich Pölert (Höxter), Bob Reynolds (Silver Spring USA), Steve Rossignol (Blanco, TX USA), Dorothee Schneider (Urbana-Champaign), Manfred Schöncke (Uetersen), Wolfgang Schröder † (Taucha), Ingar Solty (Marburg), Karl Stubenvoll (Wien), Jan Ingemann Sørensen (København), Richard Temple (Warwick), Klaus Tenfelde † (Bochum), Feliks Tych (Warszawa), Michel Vermote (Gent), Franck Veyron (Paris), Julius Wilm (Berlin). In vielfältiger Weise förderten die Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften (Berlin) und das Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis (Amsterdam) die Editions- und Forschungsarbeiten für den Band. Das Amsterdamer Institut hat vor allem, ebenso wie das Rossijskij gosudarstvennyj archiv sozial’no-politicˇeskoj istorii (Moskau), einen Großteil der Originale der veröffentlichten Texte zur Verfügung gestellt. Weitere Originale wurden von der British Library (London), dem Muse´e de l’histoire vivante (Montreuil), der New York Public Library, der Stiftung Archiv der Parteien und Massenorganisationen der DDR im Bundesarchiv (Berlin) und dem Verein für die Geschichte der Arbeiterbewegung (Wien) bereit gestellt. Die Bearbeiter danken darüber hinaus weiteren Institutionen, deren Bestände bei der Vorbereitung des Bandes herangezogen wurden: Amsab-Instituut voor Sociale Geschiedenis (Gent), Arbeiderbevegelsens Bibliotek og Arkiv (Oslo), Arbejderbevægelsens Bibliotek og Arkiv (København), Arbetarrörelsens Arkiv och Bibliotek (Stockholm), Archives municipales (Toulon), Archives Nationales (Paris), Archives de la pre´fecture de police (Paris), Biblioteka Akademii Nauk Rossii (Sankt Petersburg), La Bibliothe`que de documentation internationale contemporaine (Paris), Bobst Library (New York), The Bostonian Society (Boston MA), CEDIAS Muse´e Social (Paris), Centrum Judaicum (Berlin), Church of England Record Centre (London), Deutsche Nationalbibliothek Sammlung Sozialistica (Leipzig), Le Duche´ d’Uze`s (Uze`s), Forschungsstelle für Zeitgeschichte (Hamburg), Friedrich-Ebert-Stiftung (Bonn, Trier), The George-Meany-Archive, AFL-CIO (Silver Spring USA), Gosudarstvennaja obsˇcˇestvenno-politicˇeskaja biblioteka (Moskau), Institut Franc¸ais d’Histoire Sociale (Paris), Istituto Feltrinelli (Milano), Istituto per lo Studio del Movimento Operaio Internazionale (Genova), The John

704

Einführung

Rylands University Library (Manchester), Kheel Center for Labor Management Documentation & Archives (Ithaca NY), Lambeth Palace Library (London), Landesarchiv (Berlin), Landesarchiv Nordrhein-Westfalen (Hauptstaatsarchiv Düsseldorf, Kalkum), Local Studies Library (Hull), Marx Memorial Library (London), Modern Records Centre (Warwick), Naucˇnaja biblioteka Moskovskogo gosudarstvennogo universiteta im. M. V. Lomonosova (Moskau), Niederösterreichisches Landesarchiv (St. Pölten), Paderborner Archiv der Arbeiterbewegung, Rheinisches Industriemuseum, Schauplatz Engelskirchen, The Robert Owen Museum (Newtown, Wales), Rossijskaja gosudarstvennaja biblioteka (Moskau), Rossijskaja nazional’naja biblioteka (Sankt Petersburg), Sächsische Landesbibliothek (Dresden), Schweizerisches Sozialarchiv (Zürich), Socialist Labor Party, USA (Palo Alto), Sozialwissenschaftliche Bibliothek der Arbeiterkammer (Wien), Staatsbibliothek zu Berlin Preußischer Kulturbesitz, Stadtarchiv Bochum, Stadtarchiv Mönchen-Gladbach, Stadtarchiv Renchen, Stadtarchiv Wuppertal, Stadt- und Landesarchiv (Wien), Tamiment Library (New York), TUC Library Collection Metropolitan University (London), Universitätsbibliothek Tartu (Estland), Westfälisches Wirtschaftsarchiv (Dortmund), Wien Bibliothek im Rathaus, Wisconsin Historical Society (Madison WI USA), Working Class Movement Library (Salford), YIVO Institute for Jewish Research (New York), Zentral- und Landesbibliothek Berlin. Eine Reihe dänischer Gewerkschaften und das Arbetarrörelsens Arkiv och Bibliotek (Stockholm) unterstützen die Bearbeitung des Bandes durch Spenden. Die redaktionelle Arbeit an dem Band wurde im Mai 2012 abgeschlossen.

705

1 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 3. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5701. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „7 G 10“. Der Brief ist die Antwort auf Paul Lafargues Brief vom 25. September 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/7). Paul Lafargue beantwortete ihn am 7. und 11. Oktober 1889 (Br. 5 und 7). Erstveröffentlichung: gekürzt: Bottigelli: Extraits ine´dits ... (1955). S. 19/20; vollständig: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 330–333.

VARIANTENVERZEICHNIS 1.23

: apre`s les ballottages :

1.40

9000 > 900

1.43

2200 > 2500

1.46

: gratuitement :

1.49–50

: (aux yeux de M. Jaclard) :

1.55

voir > regarder

1.104

en est lui-meˆme > lui-meˆme en est ERLÄUTERUNGEN

1.4

Am 22. September hatten die Wahlen zur französischen Deputiertenkammer stattgefunden; Stichwahlen waren für den 6. Oktober 1889 vorgesehen. An den Wahlen nahmen die verschiedenen Gruppierungen der französischen Sozialisten teil. Das waren neben dem Parti ouvrier (siehe Erl. 1.4), den Engels als „le noˆtre“ bezeichnet, das Comite´ re´volutionnaire central der Blanquisten (siehe Erl. 1.54) und die Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France der Possibilisten (siehe Erl. 1.7). Zudem stellten sich die Radikalsozialisten, der linke Flügel der Republikaner (siehe Erl. 1.8), zur Wahl. Im ersten Wahlgang wurde keiner der sozialistischen Kandidaten gewählt. Engels analy-

707

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

sierte die Ergebnisse der Wahlen auch in seinem Brief an Wilhelm Liebknecht vom 3. Oktober 1889 (Br. 2.21–37). Zum Ergebnis der Stichwahlen siehe Paul Lafargue an Engels, 7. Oktober 1889 (Br. 5) und Engels an Laura Lafargue, 8. Oktober 1889 (Br. 6.3–78). 1.4

le noˆtre ] Von der 1879 gegründeten Fe´de´ration du parti des travailleurs socialistes de France spaltete sich auf dem Kon´ tienne im September 1882 eine Minderheit ab, greß in Saint-E die unter Jules Guesde und Paul Lafargue in Roanne den Parti ouvrier (PO) gründete. Er verstand sich als Partei des Klassenkampfes und erwartete den baldigen Untergang der kapitalistischen Gesellschaft. Die Partei hatte ihren stärksten Rückhalt in der Provinz. Sie zählte 1889 etwa 2000, Ende 1890 6000 Mitglieder (Moodie: The reorientation of French socialism ... S. 353, 364; Willard: Les guesdistes. S. 91; siehe auch Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.88–89 und Erl.).) Sie erhielt Unterstützung durch den 1886 von der Partei gegründeten Gewerkschaftsbund Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs de France et des colonies. (Blum: Les congre`s ... T. 2. S. 72–88; Bron: Histoire du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 2. S. 63; Kergoat: France ... S. 169/170.)

1.6

notre congre`s ] Der Internationale Arbeiter-Kongreß, der vom 14.–20. Juli 1889 in Paris in der Salle Pe´trelle, vom zweiten Tag an in der Salle des fantaisies Parisiennes tagte und vom Parti ouvrier (siehe Erl. 1.4) sowie dem blanquistischen Comite´ re´volutionnaire central (siehe Erl. 1.54) organisiert worden war. Zur gleichen Zeit, vom 15.–20. Juli, fand in der Rue de Lancry ein Internationaler Arbeiterkongreß (siehe Erl. 29.38) statt, der von den französischen Possibilisten (siehe Erl. 1.7) im Zusammenwirken mit der Social Democratic Federation (siehe Erl. 10.19) einberufen worden war. Dieser Kongreß konnte die größere Teilnehmerzahl, der erstgenannte dagegen die repräsentativeren Vertretungen der Arbeiterparteien und Gewerkschaften aus Europa und den USA aufweisen. Beide beanspruchten, der alleinige Vertreter der internationalen Arbeiterbewegung zu sein, doch gilt der Kongreß in der Salle Pe´trelle als Gründungskongreß der Zweiten Internationale. (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 77–81.) Zu den Auseinandersetzungen um die unterschiedlichen Konzeptionen, die schließlich zur Abhaltung zweier internationaler Kongresse führten, siehe ebenda. S. 53–82. Zu den Resolutionen des Kongresses, der sich vor allem mit Maßnahmen zum Arbeiterschutz, zum Acht-Stunden-Tag, zur Kundgebung am 1. Mai und zu weiteren unmittelbaren politischen und so-

708

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

zialen Forderungen der Arbeiter befaßte, siehe Protokoll Paris 1889. S. 119–126; zu ihrer Umsetzung siehe Gerson Trier an Engels, 8. Dezember 1889 (Br. 50.10–13 und Erl.) sowie Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.71–74 und Erl.). 1.7

possibilistes ] Nach der Abspaltung der guesdistischen Minder˙˙˙˙˙ ˙auf ˙ dem Kongreß von Saint-E ´ tienne bildete die 1883 heit 1882 gegründete Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France Ende der 1880er Jahre mit etwa 15 000 Mitgliedern die zahlenmäßig stärkste und in Paris dominierende sozialistische Partei. Unter Führung des ehemaligen Anarchisten Paul Brousse orientierte sie auf das ihr „möglich“ (possible) Erscheinende – mit Hilfe des Stimmzettels und auf friedlichem Wege soziale Reformen durchzusetzen. Dies trug den Mitgliedern die Charakterisierung „Possibilisten“ ein; sie wurden auch als „Broussisten“ bezeichnet. (Stafford: From anarchism to reformism. S. 193–196, S. 231–239 und S. 253; Stuart: Marxism at work. S. 123/124; Blum: Les congre`s ouvriers ... T. 2. S. 31–54, 72– 88 und 120–124; Bürgi: Anfänge ... S. 37/38 und 54; Kergoat: France. S. 168/169.) – Paul Brousse hatte bereits Anfang der 1880er Jahre von einer Arbeiterpartei gefordert, daß sie sich „pour la lutte quotidienne sur le terrain de la possibilite´“ begeben müsse (P[aul] Brousse: Encore l’union socialiste. In: Le Prole´taire. Paris. Nr. 164, 19. November 1881. S. 2, Sp. 2). – Zur weiteren Entwicklung der Possibilisten siehe Paul Lafargue an Engels, 16. September 1890 (Br. 273.37–38 und Erl. sowie Erl. 273.15–19).

1.8

«radicaux socialistes» ] Eine linke Gruppierung innerhalb des republikanischen Lagers im französischen Parlament. Sie hatte sich, mit Georges Clemenceau als einem ihrer führenden Vertreter, nach den Wahlen von 1881 von den regierenden Republikanern abgespalten. Die Radikalsozialisten forderten nicht nur eine Revision der Verfassung und die Trennung von Kirche und Staat, sondern auch eine demokratische soziale Republik und daher soziale Reformen, etwa die Verkürzung des Arbeitstages. Bereits 1881 hatten die Mitglieder dieser Gruppierung neben „radicales“ auch die Bezeichnung „socialistes“ angenommen. (Mayeur: Les de´buts de la IIIe Re´publique ... S. 97; Lefranc: Le mouvement socialiste ... S. 87; Baal: Histoire du radicalisme. S. 10–18.)

1.18

votre parti ] Parti ouvrier. Siehe Erl. 1.4.

1.23–26

Paul Lafargue erfüllte seinen Möglichkeiten entsprechend diese Bitte. Siehe seine Briefe an Engels vom 7. und 11. Oktober 1889 (Br. 5.19–30 sowie Br. 7.3–8 und Erl.).

709

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

1.30–31

Während des Internationalen Arbeiter-Kongresses im Juli 1889 in der Salle Pe´trelle waren die teilnehmenden französischen Delegierten des Parti ouvrier zusammengetreten und hatten den Conseil national als vorläufiges Organ zur Leitung der Partei berufen. Zu seinen sieben Mitgliedern gehörten Jules Guesde und Paul Lafargue. Ein weiteres Mitglied war Gabriel Deville, bis September 1890, als er die Partei verließ. Der Conseil national mit Sitz in Paris erhielt u. a. die Aufgabe, den nächsten ordentlichen Parteikongreß einzuberufen; der letzte hatte 1884 stattgefunden. Dort sollten die Organisation der Partei gefestigt sowie Mitglieder und Funktionen des Conseil national festgelegt werden. Das re`glement, veröffentlicht im September 1890, sah vor, daß der Conseil national wöchentlich zusammentrat. Guesde und Lafargue, die Sekretäre für nationale und internationale Fragen, sollten für die tägliche Arbeit verantwortlich sein (Projet de re´glement ge´ne´rale. Le Conseil national. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 1, 21. September 1890. S. 1, Sp. 4, bis S. 2, Sp. 2). Der Parteikongreß fand am 11. und 12. Oktober 1890 in Lille (siehe Erl. 288.17) statt. (Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 64; Hall: Gabriel Deville ... S. 323 und 342/343; Moodie: The reorientation of French socialism ... S. 365/366; Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 77/78 und 83; Willard: Les guesdistes. S. 76/77.) Siehe auch Laura Lafargue an Engels, 13. Dezember 1889 (Br. 53.27–29) und Le Conseil national du Parti ouvrier franc¸ais an Engels, 27. November 1890 (Br. 373).

1.32–34

El Consejo Nacional del Partido Obrero ... In: El Socialista. Madrid. Nr. 185, 20. September 1889. S. 3, Sp. 1/2. Rubrik: Movimento Politico. Francia. – The 22nd september has come and gone ... In: The Labour Elector. London. Nr. 38 [vielm. 39], 28. September 1889. S. 198, Sp. 1. Rubrik: Foreign Notes. France. – Eine Notiz im Londoner „Sozialdemokrat“ konnte nicht ermittelt werden.

1.37–38

Wie aus dem Entwurf des Briefes von Engels an Wilhelm Liebknecht vom 3. Oktober 1889 hervorgeht (Br. 2.2–4), hatte er an August Bebel etwa am 25. September 1889 geschrieben. Der Brief ist nicht überliefert. Bebel hatte Engels am 27. September 1889 geantwortet, daß ein diesbezüglicher Antrag zur Abstimmung stehe (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 243). Er hatte auch vorgeschlagen, daß das Geld ausdrücklich für Jules Guesde bestimmt werden sollte. Ein Aufruf der deutschen Sozialdemokratie zur Unterstützung des Parti ouvrier und insbesondere von Guesde bei den Wahlen zur Deputiertenkammer wurde unter dem Titel „Die Wahlen in Frankreich und die fran-

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1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

zösischen Sozialisten“ veröffentlicht (Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 28. September 1889. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1). Zu den deutschen Zahlungen siehe auch Wilhelm Liebknecht an Engels, 5. Oktober 1889 (Br. 3.2) und Paul Lafargue an Engels, 7. Oktober 1889 (Br. 5.27–28). 1.38–45

Die Zahlenangaben über die Beiträge der deutschen Partei für verschiedene Zwecke in Frankreich entnahm Engels dem Brief Bebels vom 27. September 1889.

1.40

´ tienne genannte Summe war zur Unterstützung Die für Saint-E der Familien von verunglückten Bergarbeitern gedacht (Protokoll Paris 1889. S. 30; Der Internationale sozialistische Arbeiterkongreß ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 30, 27. Juli 1889. S. 2, Sp. 1).

1.40–41

Congre`s international ouvrier socialiste de Paris (du 14 Juillet au 21 Juillet 1889). Appel de la Commission d’organisation. Liste des de´le´gue´s et des associations ouvrie`res et partis socialistes repre´sente´s. Te´le´grammes et lettres d’a´dhe´sion. Re´solutions. Paris 1889. Siehe auch die Beilage zu Br. 268. In der 23-seitigen Broschüre wurde angekündigt, daß ein vollständiges Protokoll erscheinen würde, dieses Projekt wurde jedoch nicht verwirklicht. Ob der Betrag für das Protokoll oder für die Broschüre gedacht war, ließ sich nicht ermitteln. Um diese Zeit erschien mindestens noch eine Publikation von Materialien des Kongresses: Congre`s international ouvrier socialiste I. Rapport de la Commission d’Organisation. Gene`ve [1889]. – In einer Korrespondenz wurde angeführt, daß die als erstes Heft des Protokolls bezeichnete Schrift mehrere Druckfehler enthielt (Das erste Heft des Berichts .... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 33, 17. August 1889. S. 3, Sp. 3).

1.43

le journal suisse ] „Der achtstündige Arbeitstag“. Zürich, Basel. 1889–1891; „La Journe´e de huit heures“. Basel. 1889–1891; „The Eight Hour Working Day“. Basel. 1890 (Bürgi: Anfänge ... S. 96–100). Die Zeitschrift wurde vom Zürcher Exekutivkomitee in drei Sprachen herausgegeben. Bebel hatte in seinem Brief an Engels vom 27. September 1889 nicht die Zeitschrift, sondern das Exekutivkomitee als Empfänger der deutschen Zahlungen genannt.

1.45

Die Wahlen zum Deutschen Reichstag fanden am 20. Februar 1890 statt, die Stichwahlen am 1. März 1890.

1.46–47

Ch[arles] V[ictor] Jaclard: Lundis socialistes. In: La Voix. Paris. Nr. 42, 30. September 1889. S. 1, Sp. 5, bis S. 2, Sp. 2.

711

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

1.49

radicadets ] Mitglieder der Socie´te´ des droits de l’homme et du citoyen, die sich am 25. Mai 1888 zur Abwehr des Boulangismus zusammengeschlossen hatten. Führende Vertreter waren Georges Clemenceau und Arthur Ranc von den Radikalen sowie Paul Brousse und Jules Joffrin von der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France; diese zogen sich jedoch nach einiger Zeit zurück. Bis August 1888 hatten auch Teile des Parti ouvrier kooperiert. Die Gesellschaft hatte ihren Sitz in der Rue Cadet in Paris. Danach wurden deren Mitglieder auch als „Cadettistes“ bezeichnet. (Moss: The origins of the French labor movement ... S. 129/130; Stafford: From anarchism to reformism. S. 211–213; Dautry: Lafargue et le boulangisme. S. 29; Bendikat: Wahlkämpfe in Europa ... S. 360.)

1.49

boulangistes ] Anhänger von General Georges Boulanger, Kriegsminister 1886/1887. Seine nationalistische und populistische Agitation erreichte zahlreiche Unzufriedene in der französischen Bevölkerung, in verschiedenen Parteien ebenso wie bei vielen Nichtwählern. Während der Wirtschaftskrise der 1880er Jahre gewann er großen Einfluß, u. a. auch unter den Pariser Arbeitern. Außenpolitisch schürte er die seit dem Verlust von Elsaß-Lothringen 1871 herrschende Revanchestimmung; im Innern griff er die Politik der gemäßigten Republikaner und den Parlamentarismus an. Boulangistische Kandidaten errangen in verschiedenen Wahlen beachtliche Erfolge bis hin zur Nachwahl im Seine-Departement am 27. Januar 1889, als Boulanger seine Mitbewerber mit 43% der Stimmen weit hinter sich ließ. Die Bewegung Boulangers bedrohte die Stabilität der Dritten Republik. Nach Erhebung einer Anklage wegen Hochverrats flüchtete er Anfang April 1889 ins Ausland. Bei den Wahlen zur Deputiertenkammer im September 1889 konnten die Boulangisten an ihre früheren Erfolge nur begrenzt anknüpfen. (Rudelle: La Re´publique absolue. S. 202–232 und 260–277; Bendikat: Wahlkämpfe in Europa ... S. 363–366; Sowerwine: France since 1870. S. 60–62.) – Zum Boulangismus siehe auch F[riedrich] Engels: Situation politique de l’Europe. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 63, 6. November 1886. S. 2, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 8.31–40); zur Haltung der französischen Sozialisten zum Boulangismus siehe Erl. 19.55–58; zum Erfolg von Boulanger in der Pariser Arbeiterschaft siehe auch Paul Lafargue an Engels, 25. März (Br. 120.41–47) sowie Engels an Laura Lafargue, 16. April (Br. 149.45–48) und an Friedrich Adolph Sorge, 19. April 1890 (Br. 153.85–87).

1.54

blanquiste ] Nach dem Tod von Louis-Auguste Blanqui hatten sich 1881 dessen Anhänger im Comite´ re´volutionnaire central

712

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

zusammengeschlossen. Führende Vertreter waren zu dieser Zeit E´douard Vaillant und Ernest Granger. Die Mehrzahl der Subkomitees, deren Aktivitäten vom CRC koordiniert wurden, war in Paris angesiedelt; ihnen gehörten mehrheitlich Arbeiter an. Ziel der etwa 1000 Mitglieder war eine sozialistische Revolution, die auch von einer Minderheit durchgeführt werden konnte. Sie verstanden sich als Verfechter revolutionärer – atheistischer, kommunistischer und patriotischer – Traditionen, Verschwörungstaktik inbegriffen; sie pflegten aber auch andere Formen des Protestes, insbesondere die Gründung von Ligen oder die Unterstützung von Streiks, und nutzten Wahlen, um ihre Ziele zu propagieren. (La France ouvrie`re. S. 304/305; Hutton: The role of the Blanquist party ...; Kergoat: France ... S. 169.) – Zur Spaltung der Blanquisten 1889 wegen der Haltung zu den Boulangisten siehe Erl. 19.47–49. 1.57–68

Zur Niederlage von Jules Guesde und Emile Basly sowie zum Erfolg von Christophe Thivrier, Euge`ne Baudin und Gustave Cluseret im Ergebnis der Stichwahlen siehe Paul Lafargue an Engels, 7. Oktober 1889 (Br. 5.3–15); zum Erfolg von Antoine Boyer siehe Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.67–68). Siehe auch Erl. 28.3–4.

1.60–61

avec 4 ou 5 d’entre eux Guesde pourra former un groupe ] Zur Gründung einer entsprechenden Gruppe, die im überlieferten Briefwechsel mit Engels hier erstmals erwähnt wurde, siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.25–37 und Erl.) sowie Laura Lafargue an Engels, 14. November 1889 (Br. 28.3–4 und Erl.)

1.62–65

C’e´tait la coexistence bis Lassalliens ] Die Fraktionen der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei Deutschlands und des von Ferdinand Lassalle gegründeten Allgemeinen Deutschen Arbeitervereins traten seit Anfang 1874 gemeinsam im Reichstag auf. Dies förderte den von der Mitgliedschaft der Parteien gewünschten Einigungsprozeß; die Diskussionen zwischen den Verhandlungsführern erlitten zwar im Februar 1875 einen Rückschlag, gleichwohl schlossen sich die Parteien im Mai 1875 in Gotha zur Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands zusammen. (Schröder: Der „Berliner Entwurf“ des Vereinigungsprogramms von 1875 ...; derselbe: Soldat der Revolution ... S. 223–253; Welskopp: Das Banner der Brüderlichkeit. S. 705–711.) Siehe auch Engels an Wilhelm Liebknecht (Entwurf), 3. Oktober 1889 (Br. 2.28–31).

1.66

Zur Wahl der Possibilisten Jean-Baptiste Dumay und Jules Joffrin siehe Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 110 sowie Erl. 2.36.

713

1. Engels an Paul Lafargue · 3. Oktober 1889

1.72

Bonaparte ] Napole´on Ier.

1.72

le faux ditto ] Napole´on III.

1.72–74

la troisie`me

1.89

Nach seiner Flucht aus Frankreich hatte General Boulanger seinen Wohnsitz für einige Zeit am Portland Place in London.

1.99–100

le jeune Guillaume ] Wilhelm II.

1.100–102

aura remplace´ bis Austerlitz ] Wilhelm II. hatte unmittelbar nach seinem Machtantritt im Juni 1888 die Ämter in seiner Umgebung neu besetzt. Insbesondere die Führungspositionen der Armee und der Geheimen Kabinette für Militär- und Marineangelegenheiten übertrug er in vielen Fällen jüngeren Offizieren, die er aus seiner eigenen Militärzeit kannte. (Röhl: Wilhelm II. S. 193–198 und 202–211.) Eine Ursache für die Niederlage der Dritten Koalition gegen die französische Armee bei Austerlitz am 1. Dezember 1805 und in den vorangegangenen Gefechten lag in der mangelhaften Abstimmung zwischen den russischen und österreichischen Truppen. (Esdaile: Napoleon’s Wars. S. 210–227; Rumpler: Eine Chance für Mitteleuropa. S. 62/63.)

714

bis

faux tout ] Georges Boulanger.

2 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf London, Donnerstag, 3. Oktober 1889 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1044/K 448. Der Brief besteht aus einem Blatt weißem, mittelstarkem, blau-lininiertem Papier im Format 122 × 202 mm. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu drei Vierteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung mit Bleistift auf der ersten Seite: „89 a, b“. Engels beantwortet einen undatierten Brief Wilhelm Liebknechts, geschrieben am 22. September 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3578), und eine Postkarte vom 27. September 1889 (ebenda, Sign. L 3579). Liebknecht antwortete am 5. Oktober 1889 (Br. 3). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 347/348. VARIANTENVERZEICHNIS 2.3

heute > gestern

2.5

Brief vom ? > von Paris

2.9

: sehr :

2.10

gesehn $daß es nicht bloß Kautsky & ich sind die darüber skan ñ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ K. & > Kautsky &

2.14 2.15–16

Name 1 auf so einer Schweinerei von so einem schoflen Kerl Name 2 –– ″ eine ″ ″ ″ ″ ″ ″ 3 –– ″ einer Schrift ″ ″ ″ ″ ″ 1 stand 2 deckte 3 zur Deckung diente

2.19

Kritisirt > Gekennzeichnet ˙˙˙ : unglücklicher Weise :

2.20

als bloßer > bloß als

2.23

: (den auf dem Kongreß Vertretnen) :

2.24–25

: gegen etwa

2.25

: Boyer, :

2.18

1 42 000 possibilistische in ganz Fkch : 2 43 000 ˙ ˙ ˙˙˙˙˙˙˙ ˙ ˙ ˙

715

2. Engels an Wilhelm Liebknecht · 3. Oktober 1889 (Entwurf)

2.26 2.31–33

2.35–36

die

1 Aussichten ˙˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ 2 gute Aussichten

1 Absetzung der Brousse & 2 Absetzungen von Co – noch lange nicht sicher > und es ist bis lernen 1 Annullirung die ˙ ˙˙˙˙ ˙ ˙ ˙ 2 abgeschmackte Annullirung & selbst dann ist der Erfolg – die

ERLÄUTERUNGEN 2.2–4

Der etwa am 25. September 1889 von Engels geschriebene Brief an August Bebel ist nicht überliefert. Zur Antwort Bebels und einem diesbezüglichen Aufruf im „Sozialdemokrat“ siehe Erl. 1.37–38. Zur erfolgten Unterstützung sowie zum Ergebnis siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, 5. Oktober 1889 (Br. 3.2) und Paul Lafargue an Engels, 7. Oktober 1889 (Br. 5.27–28).

2.5–7

In Vorbereitung des internationalen Pariser Arbeiterkongresses (siehe Erl. 1.6) hatte Eduard Bernstein gemeinsam mit Engels die Flugschrift „The International Working Men’s Congress of 1889. A Reply to ,Justice‘“ (MEGA➁ I/31. S. 511–519 und 1271– 1280) verfaßt. Liebknecht hatte die darin enthaltenen Angriffe auf die Possibilisten als „nicht von Vortheil“ bezeichnet (Wilhelm Liebknecht an Engels, 28. März 1889, IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 3573); Engels hatte am 4., 5. und 17. April 1889 sein Vorgehen verteidigt (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1039–K 1041). In seinem Brief vom 22. September 1889 bestand Liebknecht bezüglich der Taktik gegenüber den Possibilisten auf seiner Position.

2.9–11

Unter dem Titel „Die soziale Frage. Eine volkswirtschaftliche Untersuchung“ veröffentlichte der frühere sozialdemokratische Publizist Maximilian Schlesinger eine Schrift, die 1889 in der „Volks-Bibliothek des (gesammten) menschlichen Wissens“ in Lieferungen erschien. Die Schriftenreihe wurde von Wilhelm Liebknechts Schwiegersohn Bruno Geiser begründet und redigiert; von Liebknecht herausgegeben, erschien sie von 1887 bis 1890. Schlesinger erklärte unter anderem, die Marxsche Lehre „fortbilden“ zu wollen (Schlesinger: Die soziale Frage. S. 190). (Siehe Fülberth: Die Schlesinger-Affäre. S. 248–260; Reuter: Singer. S. 217/218; Schröder: Liebknecht und Engels. S. 116–126.) Zu früheren Diskussionen siehe Erl. 2.11–12, zur weiteren Entwicklung die Antworten von Wilhelm Liebknecht vom 5. und 26. Oktober 1889 (Br. 3.3–7 und Erl. sowie Br. 18.23–27 und Erl.)

716

2. Engels an Wilhelm Liebknecht · 3. Oktober 1889 (Entwurf)

2.11–12

Die „Neue Preußische Zeitung“ („Kreuz-Zeitung“) hatte am 18. September 1889 in einem Leitartikel über die Schrift Schlesingers berichtet und dabei unter anderem behauptet, daß eine Verbindung zwischen dem Vorstand der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion und der „Volks-Bibliothek“ bestehe. (Ein sozialdemokratischer Antimarxist. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 435, 18. September 1889. Morgen-Ausg. S. 1, Sp. 1–3.) Solch eine Verbindung hätte aufgrund des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) zum Verbot der „Volks-Bibliothek“ führen können. Liebknecht erklärte daher, daß die „Volks-Bibliothek“ mit der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion, überhaupt mit der Partei als solcher niemals in Verbindung gestanden und daß er den Verlag der „Volks-Bibliothek“ nur aus familiären Gründen übernommen habe. Die Veröffentlichung der Schrift Schlesingers sei, wie bereits vor Monaten von ihm erklärt, ohne seine Zustimmung erfolgt. (Von dem Reichstagsabgeordneten Herrn W. Liebknecht ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 228, 29. September 1889. S. 2, Sp. 1.) Am 20. September 1889 hatte August Bebel bereits eine ähnliche Verlautbarung vom 19. September 1889 veröffentlicht, in der er erklärte, der Vorstand der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion stehe in keiner Beziehung zur „Volks-Bibliothek“, und Schlesinger gehöre nicht zur sozialdemokratischen Partei. (August Bebel: Erklärung. In: Berliner Volksblatt. Nr. 220, 20. September 1889. S. 2, Sp. 1; beide Erklärungen wurden auch im „Sozialdemokrat“ abgedruckt: Gegenüber einem R e k l a m e - A r t i k e l ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 40, 5. Oktober 1889. S. 4, Sp. 1.) Liebknecht schied im Oktober 1889 aus dem Unternehmen aus (Wilhelm Liebknecht an Engels, 26. Oktober 1889 (Br. 18.23 und Erl.; Bebel: Briefe einer Ehe. S. 239). Schlesinger wies im übrigen den Artikel in der „Neuen Preußischen Zeitung“, soweit er seine Person betraf, in einem Nachwort vom November 1889 zurück: Er würde sich selbst als „Schüler und Verehrer“ von Marx verstehen. Ziel seiner Schrift sei gewesen, die Marxsche Lehre weiterzuentwickeln. (Schlesinger: Die soziale Frage. S. 190.)

2.13

diese unangenehme Korrespondenz ] Engels hatte sich in Briefen an Liebknecht gegen die Veröffentlichung gewandt, die seiner Einschätzung nach diesen belastete (Engels an Wilhelm Liebknecht, 17. April und 17. August 1889, IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1041–K 1043). Karl Kautsky hatte Engels, Bebel und andere auf die Veröffentlichung aufmerksam gemacht, siehe Karl Kautsky an Engels, 3., 17. und 23. April 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2633, L 2634 und L 2636).

717

2. Engels an Wilhelm Liebknecht · 3. Oktober 1889 (Entwurf)

2.21

Zur Einschätzung der Wahlen zur Deputiertenkammer (siehe Erl. 1.4) siehe Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 (Br. 1.57–68 und Erl.) sowie an Laura Lafargue, 8. Oktober 1889 (Br. 6.3–78).

2.26–27

Zur Niederlage von Jules Guesde siehe Paul Lafargue an Engels, 7. Oktober 1889 (Br. 5.27–28); zur Konstituierung einer Parlamentsgruppe siehe Erl. 28.3–4.

2.28–31

Engels bezog sich auf die Äußerung von Wilhelm Liebknecht in seinem Brief an Engels vom 22. September 1889: „In Bezug auf die Taktik den Possibilisten gegenüber halte ich an meiner Auffassung fest – die Taktik, welche sich den Lassalleanern gegenüber so famos bewährt, ist sicher auch hier die richtige“. Engels hatte, wie Marx, Liebknechts Drängen auf eine schnelle Einigung von Eisenachern und Lassalleanern auf dem Gothaer Vereinigungskongreß 1875 scharf kritisiert. – Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 (Br. 1.62–65 und Erl.); Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.23–30).

2.34

Zum Boulangismus siehe Erl. 1.49.

2.36

Die Wahl General Boulangers im 18. Arrondissement wurde annulliert, weil er zur Deportation verurteilt worden und Anfang April 1889 aus Frankreich geflüchtet war. Daraufhin wurde der nachfolgende Kandidat, Jules Joffrin, für gewählt erklärt. Joffrin hatte etwa 5500 Stimmen erhalten, gegenüber 7800 Stimmen für Boulanger. (Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 110.) – Der „Sozialdemokrat“ berichtete darüber am 5. Oktober (Die Wahlkommissarien ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 40, 5. Oktober 1889. S. 4, Sp. 2. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau). Siehe auch Erl. 53.14.

2.37

Wenn dann die russ. Gelder ausbleiben ] Paul Lafargue hatte Engels, wie dieser am 1. September 1889 Laura Lafargue schrieb, mitgeteilt, ein Marseiller Boulangist habe ihm gegenüber eingestanden, daß Boulanger von der russischen Regierung 15 Millionen Francs erhalten habe (RGASPI, f. 1, op. 1, d. 5833). Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890 (Br. 78.35 und Erl.) sowie Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.72–73). – Zu einer möglichen Verbindung von Boulanger mit Rußland siehe auch Engels: Situation politique de l’Europe (MEGA➁ I/31. S. 8.36–39).

2.37–38

Siehe Erl. 1.89. Mit dem unterstellten Umzug Boulangers nach Soho oder in das Pensionat Leßners wollte Engels vermutlich auf die politische Bedeutungslosigkeit Boulangers hinweisen.

2.40

Deine Frau ] Natalie Liebknecht.

2.40

Theodor ] Theodor Liebknecht.

718

3 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Samstag, 5. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3580/L V 416. Die Postkarte hat das Format 139 × 91 mm. Liebknecht hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Borsdorf 6 10 89. 3–4 V“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Die Postkarte Liebknechts ist die Antwort auf Engels’ Brief vom 3. Oktober 1889 (Br. 2). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 348/349; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 3.2

Zur Unterstützung für Guesde siehe Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 (Br. 1.37–38 und Erl.) und an Wilhelm Liebknecht (Br. 2.2–4); zu seiner Niederlage in der Stichwahl siehe Erl. 5.3–4.

3.3

Zur Schlesinger-Affäre siehe Br. 2.9–20 und Erl.

3.3–5

Die erste Lieferung der Schrift von Schlesinger über die soziale Frage war im März 1889 erschienen. Dies hatte, so Liebknecht, einen „Krach mit meinem Schwiegersohn zur Folge“ weil dieser eine „nationalökonomische Schrift zweifelhafter Art“ publiziert hatte (Liebknecht an Engels, nach dem 9. April 1889, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3574). Nach der dritten Lieferung wurde die Veröffentlichung auf Anordnung Wilhelm Liebknechts eingestellt. Wie dieser am 19. April an Engels schrieb, hatte er aus Protest gegen die Schrift eine Erklärung verfaßt, die jedoch von Heinrich Dietz zurückgehalten wurde (ebenda, Sign. L 3576). Die Publikation wurde drei Monate später wieder aufgenommen. Mit der vierten Lieferung erschien der „Neuen Preußischen Zeitung“ zufolge eine Erklärung Liebknechts, in der er darauf verwies, „daß die Veröffentlichung der Schlesingerschen ,sozialen Frage‘ leider nicht mehr rückgängig gemacht werden könne“. (Ein sozialdemokratischer Antimarxist. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 435, 18. September 1889. Morgen-Ausg. S. 1, Sp. 1–3.)

719

3. Wilhelm Liebknecht an Engels · 5. Oktober 1889

3.7–8

Theodor Liebknecht war am 25. August 1889 nach London gekommen und wohnte bei Julius Motteler. Er wollte vier Wochen in London bleiben. Siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, 25. August 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3577) und Natalie Liebknecht an Engels, 27. November 1889 (Br. 42.39).

3.9

Lehnchen ] Helena Demuth.

3.10

meiner Frau ] Natalie Liebknecht.

720

4 Henry Hyde Champion an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 6. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 924/L III 7–2. Fotosign. 8271. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 131 × 205 mm. Wasserzeichen: „Best Vellum“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „From H. H. Champion“ und rechts „13, Paternoster Row, London, E.C. ... 188 ...“. Die erste Seite hat Champion fast vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 4.3

F[riedrich] Engels: Die Abdankung der Bourgeoisie. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 40, 5. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1–3. In englischer Übersetzung erschien der Artikel unter dem Titel „The abdication of the middle class“ in: The Labour Elector. London. Nr. 41, 12. Oktober 1889. S. 228, Sp. 2, bis S. 229, Sp. 2. (MEGA➁ I/31. S. 174–178 und 956/957.)

4.8

Gray’s Inn Road ] In Gray’s Inn Road 28 hatte der Central Democratic Club seinen Sitz. Zur Verbindung von Engels zu diesem Club siehe Thomas Binning an Engels, 24. Oktober 1889 (Br. 17 und Erl. 17.2).

721

5 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 7. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 70/16. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 279 × 215 bzw.105 × 193 mm. Alle vier Seiten des Bogens sowie die erste Seite des Blattes hat Lafargue vollständig beschrieben. Die Rückseite des Blattes ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: am unteren Rand der zweiten und dritten Seite ein Vermerk mit Tinte: „Action Soc!“. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten und fünften Seite: „159“; oben auf der Rückseite des Blatts der Vermerk „69 [xx] 70“. Lafargue beantwortet Engels’ Brief vom 3. Oktober 1889 (Br. 1); Engels ging auf Teile des Briefes in seinem Brief an Laura Lafargue vom 8. Oktober 1889 (Br. 6) ein. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 334/ 335. KORREKTURENVERZEICHNIS 5.7

posait ] H posaient ERLÄUTERUNGEN

5.3

722

Nach den Stichwahlen zur Deputiertenkammer am 6. Oktober 1889 wurden 42 boulangistische Kandidaten, 366 der republikanischen und 168 der rechten Parteien gewählt. (Mayeur: Les de´buts de la IIIe Re´publique ... S. 178/179.) Obwohl die boulangistischen Kandidaten besonders in Pariser Arbeiterdistrikten Erfolge erzielten, galten die Wahlen insgesamt als eine entscheidende Niederlage für Boulanger. Die Stimmenzahlen der verschiedenen bürgerlichen Richtungen unterschieden sich nicht wesentlich von der Wahl 1885, jedoch fanden recht erhebliche Stimmenverschiebungen innerhalb der und zwischen den Gruppierungen statt. Die Angaben zur Zahl der Abgeordneten und der Stimmenzahlen der verschiedenen sozialistischen Gruppierungen schwanken, ebenso die der Boulangisten und der Konservativen. (Steenson: After Marx, before Lenin. S. 134; Bron: Histoire du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 2. S. 63; Louis: Le Parti socialiste en France. S. 14/15; Bendikat: Wahlkämpfe in Europa ... S. 355–398, hier S. 394.)

5. Paul Lafargue an Engels · 7. Oktober 1889

5.3–4

Jules Guesde kandidierte in dem Marseiller Wahlkreis Belle-deMai; in der Stichwahl am 6. Oktober steigerte er seine Stimmenzahl um etwa 60% von 1445 am 22. September auf 2311; sein siegreicher Gegenkandidat, Auguste Bouge, erhielt 2881 Stimmen. (Ze´vae`s: Jules Guesde ... S. 103; Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 160/161). – Siehe auch Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.57–62 und Erl. sowie Erl. 29.58).

5.4–6

E´mile Joseph Basly, der im 2. Wahlkreis des XIII. Arrondissement aufgestellt war, unterlag am 6. Oktober mit 5784 Stimmen dem boulangistischen Kandidaten mit 5806 Stimmen. (La Chambre de 1889. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9783, 8. Oktober 1889. S. 1, Sp. 3.)

5.5–6

un boulangiste inconnu ] Paulin Me´ry.

5.9–11

In den 1880er Jahren hatten die verschiedenen sozialistischen Parteien in mehreren Gemeinden beträchtliche Erfolge aufzuweisen. 1889 erhielt der Parti ouvrier u. a. in Commentry, Narbonne und Se`te (Cette) den Bürgermeisterposten; in Montluc¸on, Roubaix und weiteren Orten erhöhte er seinen Einfluß in den Gemeindeparlamenten. Im gleichen Jahr erreichte der PO im Bezirk Nord 4948 Stimmen und einen Stimmenanteil von 11%, während er bei den Wahlen zur Deputiertenkammer weniger als 1% der Stimmen erhielt. In den 1890er Jahren verstärkte sich die Tendenz der Erfolge auf kommunaler Ebene. (Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 55/56 und 419; Louis: Le Parti socialiste en France. S. 14; Lefranc: Le mouvement socialiste ... S. 54/55; Willard: Les guesdistes S. 41–43 und 71; Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 63; Stuart: Marxism at work. S. 40 und 274–279.)

5.11–15

Zur Parteizugehörigkeit der genannten Sozialisten siehe Erl. 28.3–4.

5.16–17

re´publicains bourgeois bis opportunistes ] Bezeichnung für die gemäßigten Republikaner, die die Mehrheit in der Deputiertenkammer und daher die Regierung stellten, im Unterschied zu den Linksrepublikanern. Sie nannten sich selbst „les opportunistes“, nachdem sie unter der Führung von Jules Ferry 1875 einen Verfassungskompromiß mit den Monarchisten geschlossen hatten. Es gab zwei Organisationen dieser Richtung, die „Union re´publicaine“ und die „Union de´mocratique“. Lafargue bezeichnete sie auch als „les Ferrystes“. (Chastenet: La Re´publique des Re´publicains. S. 164; Mayeur: La vie politique ... S. 92.)

723

5. Paul Lafargue an Engels · 7. Oktober 1889

5.17

Floquet et Co ] Am 3. April 1888 wurde Charles Floquet zum Premierminister berufen. Er setzte Rene´ Goblet als Außenminister und Charles de Freycinet als Kriegsminister ein. (Mayeur: La vie politique ... S. 128.)

5.19–20

Siehe Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 (Br. 1.10–13).

5.20

Lafargue kandidierte im Arrondissement Saint-Amand; er kam am 22. September mit 6% der Stimmen auf den dritten Platz (Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 79–81; Dautry: Lafargue et le boulangisme. S. 38–45).

5.25–26

Charles Longuet unterlag auch in der Stichwahl in Courbevoie mit 5259 Stimmen dem boulangistischen Kandidaten, der 6036 Stimmen erhielt. (La Chambre de 1889. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9783, 8. Oktober 1889. S. 1, Sp. 3.) In dieser Zeit scheint Longuet keiner sozialistischen Gruppierung angehört zu haben (Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 66). – Siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. Oktober 1889 (Br. 8.22 und Erl.).

5.25

son concurrent ] Elie Boudeau.

5.27–28

Zur Unterstützung für Jules Guesde siehe Engels an Paul Lafargue, 3. Oktober 1889 (Br. 1.37–38 und Erl.), Engels an Wilhelm Liebknecht, 3. Oktober 1889 (Entwurf) (Br. 2.2–4 und Erl.) sowie Wilhelm Liebknecht an Engels, 5. Oktober 1889 (Br. 3.2 und Erl.).

5.29

aux comite´s de Baudin et de Thivrier ] Euge`ne Baudin und Christophe Thivrier wurden neben anderen in den Stichwahlen in die Kammer gewählt.

5.31–32

Engels schickte am 8. Oktober 1889 £ 20. (Siehe Br. 6.89.)

5.38

congre`s de Bordeaux ] Der dritte Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France tagte vom 28. Oktober bis 4. November 1888 in Bordeaux und Le Bouscat, wohin er am 30. Oktober auf Anordnung des Bürgermeisters von Bordeaux verlegt werden mußte. Der Kongreß nahm u. a. eine Resolution an, in der der Generalstreik als Mittel zur Befreiung der Arbeiterklasse bezeichnet wurde. Ferner wurde die Einberufung eines Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses für das folgende Jahr nach Paris beschlossen. Der Gewerkschaftsbund war 1886 in Lyon gegründet worden. Er arbeitete bald mit dem Parti ouvrier zusammen, der auf dem Kongreß des Bundes von 1890 eine Führungsposition übernahm. (Stuart: Marxism at work. S. 182/183, 209 und 219–

724

5. Paul Lafargue an Engels · 7. Oktober 1889

222; Blum: Les congre`s ouvriers ... T. 2. S. 103–108, 110–114 und 126/127; Ze´vae`s: Le syndicalisme contemporain. S. 110/ 111.) 5.41–42

Der konservative Kandidat im Wahlkreis Rhoˆne-Villefranche erreichte 8097 Stimmen (La Chambre de 1889. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9783, 8. Oktober 1889. S. 1, Sp. 2).

725

6 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Dienstag, 8. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5702. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „7 I 27“. Engels antwortet auf Teile des Briefes von Paul Lafargue vom 7. Oktober 1889 (Br. 5), Paul Lafargue beantwortete Teile des Briefes von Engels am 11. Oktober 1889 (Br. 7). Erstveröffentlichung: gekürzt: in französischer Übersetzung: Bottigelli: Extraits ine´dits ... (1955). S. 20–22; vollständig: in russischer Übersetzung: Новые письма Фридриха Энгельса (1956). S. 18–20; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 335–337. VARIANTENVERZEICHNIS 6.26

two $false ñ

6.38

elements > forms

6.51

: only :

6.64

: say :

6.72

: their : ERLÄUTERUNGEN

6.3–5

Siehe Paul Lafargue an Engels, 25. September 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/7) und 7. Oktober 1889 (Br. 5.23–24).

6.9

two men ] Jean-Baptiste Dumay und Jules Joffrin.

6.10

Joffrin starb am 15. September 1890; sein Tod verstärkte die Auseinandersetzungen innerhalb der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France, die im Oktober 1890 zum Bruch zwischen den Allemanisten und den Broussisten führten. (Willard: La France ouvrie`re. S. 308; Moodie: The reorientation of French socialism ... S. 362. Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 16. September (Br. 273.15–19, Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September (Br. 300.50–58) und Laura und Paul Lafargue an Engels, 28. September 1890 (Br. 301.17–18).)

726

6. Engels an Laura Lafargue · 8. Oktober 1889

6.17–19

Siehe die Antwort von Paul Lafargue (Br. 7.3–8 und Erl.).

6.19

Anspielung auf Paul Lafargues bekannte Schrift „Le droit a` la paresse. Re´futation du droit au travail de 1848“. [Paris] 1883.

6.23

1445 votes au premier tour ] Siehe Erl. 5.3–4.

6.24–25

la Boulange ] Zu Georges Boulanger und seiner Bewegung siehe Erl. 1.49.

6.25

the Irish question in England ] Wie Marx, für den seit 1869/1870 die irische Frage in revolutionsstrategischer Hinsicht wesentliche Bedeutung erlangt hatte (siehe Einführung. In: MEGA➁ I/21. S. 1178–1180), betrachtete auch Engels die nationale Unabhängigkeit Irlands als Voraussetzung für die soziale Befreiung der englischen Arbeiterklasse. Die Lösung der aktuellen Randprobleme, des Boulangismus in Frankreich, der irischen Frage in Großbritannien, würde einen bedeutenden Einfluß auf die Entwicklung des Parteiensystems haben (siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889, Br. 19.10–30). – Zur Home Rule für Irland siehe Erl. 48.35–36 und 96.39. – Siehe auch Interview mit Friedrich Engels. Veröffentlicht in der „New Yorker Volkszeitung“ (In: MEGA➁ I/31. S. 387.10––22); Lane: The origins of modern Irish socialism ... S. 19–27. – Ende der 1860er Jahre hatte sich Engels intensiv mit einem Buchprojekt zur Geschichte Irlands beschäftigt, siehe Friedrich Engels: Vorarbeiten und Entwürfe für das Buch über die Geschichte Irlands (MEGA➁ I/21. S. 181–219 und 1180–1182). Ähnlich interpretierte Victor Adler die Entwicklung in Österreich. Auch dort würde, so Adler am 21. Januar 1890 an Engels (Br. 94.29–47 und Erl.), eine Lösung der Nationalitätenfrage die sozialen Konflikte erneut in den Vordergrund rücken.

6.31

Opportunism ] Siehe Erl. 5.16–17.

6.44

Der im Departement Vosges nominierte bürgerliche Republikaner und frühere Ministerpräsident Jules Ferry erlitt bei den Wahlen eine Niederlage, siehe Les E´lections du 22. Re´sultats comple´mentaires. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9770, 25. September 1889. S. 3, Sp. 4.

6.44–45

[Emily Crawford:] The French elections. Composition of the new chamber. In: The Daily News. London. Nr. 13 574, 8. Oktober 1889. S. 5, Sp. 6.

6.53

satisfaits ] Bezeichnung für die Mehrheit der französischen Deputiertenkammer, die am Vorabend der Revolution 1848 die Regierung von Franc¸ois Guizot unterstützte. Im Mai 1847 waren Korruptionsvorwürfe gegen den Innenminister der Regie-

727

6. Engels an Laura Lafargue · 8. Oktober 1889

rung Guizot erhoben worden. Der Antrag auf die Einrichtung einer Untersuchungskommission wurde in der Deputiertenkammer mit der Begründung abgelehnt, daß die Erklärungen der Regierung zufriedenstellend seien. – Engels hatte die Vorgänge im Juli 1847 ausführlich dargestellt und aus den Verhandlungen des Parlaments zitiert ([Friedrich Engels:] The decline and approaching fall of Guizot – position of the French bourgeoisie. In: The Northern Star. London. Nr. 506, 3. Juli 1847. S. 7, Sp. 1/2). 6.56

rue de Poitiers ] 1848 bildeten Legitimisten und Orle´anisten ein gemeinsames Comite´, um die monarchistische Gruppierung zu stärken. Das Comite´ hatte seinen Sitz in der Maison des Polytechniciens in der rue de Poitiers (Agulhon: 1848 ou l’apprentissage ... S. 83, 91 und 122). Die Monarchisten spielten von 1849 bis zum Staatsstreich Louis Bonapartes am 2. Dezember 1851 die führende Rolle in der Deputiertenkammer und vertraten vorrangig die Interessen des städtischen Groß- und Finanzbürgertums, des ländlichen und städtischen Adels sowie von Teilen des Klerus.

6.80

Zur Niederlage von Longuet in der Stichwahl am 6. Oktober siehe Erl. 5.25–26.

6.82

Samuel Moore befand sich auf dem Weg nach Asaba im Territorium der Royal Niger Company, wo er eine Stellung als Chief Justice angenommen hatte. Er verblieb dort bis 1897 mit einem sechsmonatigen Urlaub alle zwei Jahre. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 112; Kiehnbaum: Samuel Moore. S. 1080.)

6.83

his brother ] William Cameron Moore.

6.89

Paul Lafargue hatte Engels am 7. Oktober um Unterstützung gebeten (siehe Br. 5.31–32).

728

7 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 11. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/8. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 227 × 135 mm. Wasserzeichen: „[L–] J D L & Co“, der untere Teil der Buchstaben ist abgeschnitten. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „160“; auf der zweiten und dritten Seite Ausschreibung einiger Worte mit Bleistift: „Dechisaud(?)“ (Z. 10), „gauchers“ (Z. 18) und „Belisaire“ (Z. 23). Der Brief ist eine Antwort auf den Brief von Engels an Laura Lafargue vom 8. Oktober 1889 (Br. 6). Die vermutlich beigelegte Liste mit den Wahlergebnissen (Z. 3–8) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 341.

KORREKTURENVERZEICHNIS 7.28 7.30

Vi Soleil ] H Viroleil excepte´s ] H excepte´

ERLÄUTERUNGEN 7.7–8

Siehe Les ballottages. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9769, 24. September 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 5; La nouvelle Chambre. Ebenda. Nr. 9770, 25. September 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 4; La Chambre de 1889. Ebenda. Nr. 9783, 8. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 3; La nouvelle Chambre. Ebenda. Nr. 9784, 9. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1–3. – Zur Verwertung des Materials siehe The French elections. In: The Labour Elector. London. Nr. 42, 19. Oktober 1889. S. 248, Sp. 1/2; Frankreich. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 40, 5. Oktober 1889. S. 4, Sp. 2; Aus Frankreich. Ebenda. Nr. 41, 12. Oktober 1889. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2; Noch einmal die Wahlen in Frankreich. I. Ebenda. Nr. 42, 19. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1. – Siehe auch „Resultatet af Valgkampen“. In: Social-Demokraten. København. Nr. 230, 27. September 1889. S. 1, Sp. 1–3, mit einer Übersicht über die possibilistischen Kandidaten und deren Wahlergebnisse. Der Pariser Korrespondent des „Social-

729

7. Paul Lafargue an Engels · 11. Oktober 1889

Demokraten“ errechnete mit Vorbehalten insgesamt 185 866 sozialistische Stimmen. 7.10–13

Antoine Jourde kandidierte in Bordeaux auf der boulangistischen Liste und wurde in der Stichwahl mit 7116 Stimmen gegen 6445 des Gegenkandidaten gewählt. Jourde war Gründungsmitglied des lokalen Parti ouvrier und ihr Vorsitzender. (Hutton: The impact of the boulangist crisis ... S. 227–230.) Obwohl er als Sozialist bekannt war, wurde er auch von Royalisten gewählt (Irvine: The Boulanger affair reconsidered. S. 148/149). Zur Diskussion um Jourde siehe den Briefwechsel zwischen Wilhelm Liebknecht und Engels vom 26. und 29. Oktober (Br. 18.11–15, Br. 20.33–39) sowie Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.44–58).

7.14–18

Engels hatte Laura Lafargue am 8. Oktober 1889 (Br. 6) seine Einschätzung und seine Erwartungen ausführlich dargelegt.

7.20–21

Ernest Constans war von 1889 bis 1892 mit Unterbrechungen Innenminister, Maurice Rouvier Finanzminister; Georges Clemenceau wurde nach dieser Wahl nicht in das Ministerium aufgenommen.

7.22

Ge´ne´ral ] Georges Boulanger.

7.23

Der byzantinische General Belisar mußte, einer Ende des 18., Anfang des 19. Jahrhunderts entstandenen Legende zufolge, seinen Lebensunterhalt auf den Straßen erbetteln, nachdem er in Ungnade gefallen und seines Augenlichts beraubt worden war.

7.31

4477 ] 4471 nach La nouvelle Chambre. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 9770, 25. September 1889. S. 2, Sp. 1.

730

8 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 12. Oktober 1889

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 138 × 88 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London N. W. [x] Oc 12 89“ und „E 89, New York Oct 20, Paid D All“, sowie eine aufgedruckte 1-PennyBriefmarke. Sorge antwortete Engels am 29. Oktober 1889 (Br. 21). Erstveröffentlichung: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 322/323; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

VARIANTENVERZEICHNIS 8.17

Bands; $de ñ

ERLÄUTERUNGEN 8.1

Labor Elector ] Gemeint ist der „Labour Elector“.

8.3–4

Dagegen bis Unterredakteur ] „Time. A Monthly Miscellany of Interesting and Amusing Literature“. London. Ernest Bax übernahm die Zeitschrift ab Januar 1890. Sie erschien unter seiner Leitung bis März 1891; Edward Aveling und Eleanor MarxAveling waren Redakteure (siehe Erl. 111.57–58). – Siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 7. Dezember 1889 (Br. 48.68–69), an Conrad Schmidt, 9. Dezember 1889 (Br. 51.72) und an Natalie Liebknecht, 24. Dezember 1889 (Br. 63.40–41).

8.4–7

Engels bezieht sich auf Auseinandersetzungen um die Politik der Socialist Labor Party, die im September 1889 begannen. Sorge hatte Engels u. a. durch Zusendung der „New Yorker Volkszeitung“ darüber informiert (Engels an Sorge, 26. September 1889, NYPL, Sorge Papers). – Auch in späteren Briefen diskutierten beide diese Frage (siehe Br. 12.8–17, Br. 21.16–17 sowie Br. 80.63–65). Die Socialist Labor Party war im Juli 1876 aus der Fusion der früheren nordamerikanischen Föderation der Internationalen

731

8. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 12. Oktober 1889

Arbeiterassoziation und der lassalleanischen Sozialdemokratischen Arbeiterpartei von Nordamerika in Philadelphia als Workingmen’s Party of the United States entstanden. Sie hatte sich ihren Namen auf dem ersten nationalen Kongreß im Dezember 1877 in Newark gegeben. Die Partei wurde im wesentlichen durch die Ideen deutscher Immigranten geprägt, wobei der lassalleanische Einfluß dominierte. Engels hatte im Januar 1887 ihre Bedeutung für die amerikanische Arbeiterbewegung betont, zugleich aber ihre ungenügende Integration in die englischsprachige Bewegung kritisiert (siehe „Preface to the American edition of ‘The condition of the working class in England in 1844’“. In: MEGA➁ I/31. S. 34.1– 22). Ende der 1880er Jahre kam es zu Auseinandersetzungen über die Frage, ob die Partei sich „gewerkschaftlich“ oder „politisch“ orientieren sollte, genauer, ob sie sich an Wahlen beteiligen oder sich auf gewerkschaftliche Forderungen konzentrieren sollte. Die Redaktion der „New Yorker Volkszeitung“ hielt politische Aktionen für verfrüht, während die Mehrheit des Nationalen Exekutivkomitees um Wilhelm Ludwig Rosenberg eine Teilnahme an Wahlen befürwortete. Die Mehrzahl der New Yorker Sektionen setzte die Mehrheit des Nationalen Exekutivkomitees ab, einschließlich Rosenbergs, der Redakteur des deutschsprachigen Parteiorgans „Der Sozialist“ war, und ernannte neue Mitglieder. Der Aufsichtsrat der Partei widersprach dieser Entscheidung der New Yorker Sektionen; er lehnte es aber auch ab, die Gruppe um Rosenberg in der Parteiführung zu bestätigen. Die Folge der Auseinandersetzung war die Abhaltung von zwei getrennten Kongressen in Chicago. Die Rosenberg-Gruppe tagte vom 28. September bis zum 3. Oktober 1889. Rosenberg war auf dem Kongreß „seiner“ Partei erneut zum Sekretär des Nationalen Exekutivkomitees der Socialist Labor Party gewählt worden (siehe zu seinem Wirken als Sekretär auch Erl. 21.16–17). Die Volkszeitungs-Gruppe begann ihren Kongreß am 12. Oktober 1889 und tagte bis zum 17. Oktober. (Quint: The forging of American socialism. S. 54–59; Perlman: Upheaval and reorganisation ... S. 271 und 514–516.) Die Auseinandersetzung wurde vor allem in den verschiedenen Presseorganen geführt. (Der Rumpfkongress. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 39, 29. September 1889. S. 1, Sp. 2; Niedriger hängen! In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 234, 30. September 1889. S. 1, Sp. 1/2; Rosenberg’s Kongreßchen. Ebenda. Nr. 235, 1. Oktober 1889. S. 1, Sp. 3; Stimmung unter Null. Ebenda. Nr. 236, 2. Oktober 1889. S. 1, Sp. 2; Alles abgesetzt. Ebenda. Nr. 237, 3. Oktober 1889. S. 1,

732

8. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 12. Oktober 1889

Sp. 4.) Auch nach den beiden Kongressen hielt die Debatte an. (The Convention. Complete report of its proceedings. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 43, 28. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1–4, S. 2, Sp. 3–6, S. 3, Sp. 2 und Der Partei-Kongreß. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 41, 13. Oktober 1889. S. 1, Sp. 2; Wiederaufleben der Bewegung. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 246, 14. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1–3; Der Kongreß an der Arbeit. Ebenda. Nr. 247, 15. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1/2; Eine neue Prinzipien-Erklärung. Ebenda. Nr. 248, 16. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1/2; Der Parteikongreß. Ebenda. Nr. 249, 17. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1; Nr. 250, 18. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1.) 8.7–8

Korrespondenz bis Advocate ] Sorge hatte sich mit Daniel De Leon über den Begriff des Sozialismus und über das Verhältnis von Sozialismus und Arbeiterklasse auseinandergesetzt. Die Artikel beider erschienen gemeinsam unter dem Titel: Socialism or nationalism? In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 39, 28. September 1889. S. 3, Sp. 1/2, und: Socialismus vs. Nationalismus. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 39, 29. September 1889. S. 4, Sp. 4–7. Siehe auch Engels an Sorge, 18. Oktober 1889 (Br. 12.23–28). Die Nationalisten bildeten eine kurzlebige sozialreformerische Bewegung in den USA. Sie war inspiriert worden durch den utopischen Roman von Edward Bellamy: Looking Backward. 2000–1887. Boston 1888. Die Nationalisten wollten nicht nur für die Arbeiter sprechen, sondern sahen sich als Vertreter einer organischen Nation. 1888 wurde der Boston Bellamy Club gegründet, der sich später in The First Nationalist Club of Boston umbenannte. Offizielles Organ der Bewegung, die sich schnell überregional ausbreitete – 1891 bestanden über 160 Lokalvereine –, war die Monatszeitschrift „The Nationalist“, die von Mai 1889 bis April 1891 erschien; sie vertrat die Ansichten des theosophischen Flügels der Bewegung. (Jaher: The new nation. S. 377; Lipow: Authoritarian socialism in America. Siehe auch Friedrich Adolph Sorge an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 87.7–11).)

8.11–13

Siehe Erl. 6.82. Im überlieferten Briefwechsel zwischen Engels und Sorge ab Juni 1889 ist eine entsprechende Mitteilung nicht enthalten. Der Brief von Samuel Moore an Engels, geschrieben vor dem 11. Oktober 1889, ist nicht überliefert.

8.16

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Mit der Arbeit am dritten Buch des „Kapitals“ hatte Engels 1885 begonnen; nach einer Unterbrechung von etwa drei Jah-

733

8. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 12. Oktober 1889

ren nahm er sie im Oktober 1888 wieder auf und führte sie bis Ende März 1889 fort. Nach kurzen Arbeitsphasen im November 1889 und im Oktober 1890 arbeitete er seit November 1891 mit längeren Unterbrechungen am Manuskript, dessen erste Redaktion er wahrscheinlich im Juli 1893 abschloß; mit der Schlußredaktion begann er im November 1893. Der Band erschien 1894. (Engels’ Redaktion des dritten Buches des „Kapitals“ 1883 bis 1894. In: MEGA➁ II/14. S. 463–489. Siehe auch Engels an Conrad Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.44 und 58–61) sowie an Ferdinand Domela Nieuwenhuis, 9. April 1890 (Br. 141.24–32).) 1883 hatte Engels die 3. deutsche Auflage des ersten Bandes des „Kapitals“ herausgegeben; danach hatte er an der Revision und Korrektur der von Samuel Moore und Edward Aveling übersetzten 1. englischen Ausgabe von „Capital“ (London 1887) sowie der 4. deutschen Auflage des ersten Bandes (Hamburg 1890) gearbeitet. 1884/1885 hatte er die Redaktion des zweiten Buches des „Kapitals“ abgeschlossen. 8.16

wohl in Afrika ins Englische übersetzt ] Samuel Moore hatte zusammen mit Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling den ersten Band des „Kapitals“ zwischen 1883 und 1886 ins Englische übersetzt, siehe Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9). Moore hatte Anfang 1888 überdies ein Gutachten und die Zusammenfassung einer Ausarbeitung, die Marx 1875 für das dritte Buch geschrieben hatte, für Engels verfaßt. (Samuel Moore: Mehrwertrate and Profitrate. Summary of Marx’s MS. In: MEGA➁ II/14. S. 351–356; derselbe: Gutachten zum Manuskript von 1875. Ebenda. S. 357–359.)

8.17

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). Der Band erschien Anfang November 1890.

8.17–18

Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9). Conrad Schmidt gegenüber äußerte Engels am 17. Oktober 1889, daß Eleanor Marx-Aveling alle englischsprachigen Zitate mit den Originalen verglichen habe und dadurch einige Änderungen notwendig geworden waren (Br. 11.54–56), ebenso auch gegenüber August Bebel am 15. November 1889 (Br. 29.4). Siehe auch Eleanor Marx-Aveling: Auszüge aus Torrens und einem Parlamentsbericht. In: MEGA➁ II/14. S. 360–362.

8.20

Jungen ] Jean und Edgar Longuet.

8.21

Opportunisten ] Siehe Erl. 5.16–17.

8.22

Zur Niederlage von Charles Longuet siehe Erl. 5.25–26.

734

8. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 12. Oktober 1889

8.22–23

Als Vertreter des Parti ouvrier wurden Christophe Thivrier und Joseph Ferroul gewählt, als Vertreter des Comite´ re´volutionaire central Euge`ne Baudin und Jean Lachize. (Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 110/111.) – Zu weiteren Vertretern siehe Erl. 28.3–4, zur Niederlage von Jules Guesde siehe Erl. 5.3–4.

735

9 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Donnerstag, 17. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 244/L I 97. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 284 × 217 mm. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage „nicht einer an. bis gut.“ (Z. 63–80) hat er auf den linken Seitenrändern quer geschrieben, angefangen von S. 4, dann S. 3, 2 und 1. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite links oben: „72“ (gestempelt). Die Beilage (Z. 73) ist nicht überliefert. Bebel beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 9. Oktober 1889 (siehe Z. 3). Engels’ Antwort erfolgte am 15. November 1889 (Br. 29). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 366–369. KORREKTURENVERZEICHNIS 9.67 9.69

die ] H die  die jetzt ] H jetz ERLÄUTERUNGEN

9.4

August Bebel hatte in seinem Brief an Engels vom 27. September 1889 im Zusammenhang mit der finanziellen Unterstützung der französischen Sozialisten durch die deutschen Sozialdemokraten beklagt, daß Wilhelm Liebknecht „in seinen mehr als oberflächlichen Korrespondenzen aus dem ,Ausland‘ Engländer und Franzosen auf Kosten der Deutschen in einer Weise lobt, daß die Schiefheit der Urteile der Dümmste einsieht“ (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 243). Bebel bezog sich dabei auf W[ilhelm] L[iebknecht]: Pariser Briefe. In: Berliner Volksblatt. 6. Jg. Nr. 220, 20. September 1889. Beil. S. 1, Sp. 1–3 und Nr. 221, 21. September 1889. Beil. S. 1, Sp. 1–2. Der zweite Artikel ist nicht gezeichnet.

9.12

Bebel war erstmals während des Internationalen Arbeiterkongresses im Juli 1889 in Paris. Engels lud Bebel ein, nach London zu kommen; dieser fuhr jedoch nach Abschluß des Kongresses direkt nach Zürich, um seine Tochter Frieda zu besuchen. (August Bebel an Engels, 7. Juli 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 242); Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 308–310 und 313.)

736

9. August Bebel an Engels · 17. Oktober 1889

9.21–23

Zur Niederlage von Jules Guesde siehe Erl. 5.3–4 sowie die Antwort von Engels vom 15. November 1889 (Br. 29.16–77). Hamburg war eine sozialdemokratische Hochburg. In der gerade laufenden Sitzungsperiode vertrat Bebel den Wahlkreis Hamburg 1 mit 14 497 Stimmen, erzielt bereits in der Hauptwahl, Dietz den Wahlkreis Hamburg 2 mit 18 672 Stimmen. Nur in Hamburg 3 unterlag die Sozialdemokratie mit 17 803 Stimmen in der Haupt- und mit 19 324 Stimmen in der Stichwahl. Insgesamt hatte die Partei bei der Wahl 1887 hier 52,6% erzielt. (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 2. S. 734 und 740.)

9.31

Am 15. Oktober 1889 war in einem Drittel der 45 sächsischen Wahlkreise gewählt worden. In drei Wahlkreisen hatten sich sozialdemokratische Abgeordnete gegen ihre Konkurrenten durchgesetzt. Sie hatten 20 219 Stimmen gegenüber 10 609 im Jahre 1883 erhalten; die Gesamtzahl der Landtagsabgeordneten stieg damit von fünf auf sieben. (Der Sieg unserer Partei bei den sächsischen Landtagswahlen. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 43, 26. Oktober 1889. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1; Das Verhältniß der sozialdemokratischen Wahlstimmen. Ebenda. S. 2, Sp. 2/3; Wahlgeschichtliches Arbeitsbuch. S. 172.)

9.34

Es dürfte sich um den Wahlkreis Crimmitschau-Werdau handeln, in dem die Sozialdemokratie 1506 Stimmen gegenüber 1575 für den bürgerlichen Kandidaten erhielt. (Das Verhältniß der sozialdemokratischen Wahlstimmen. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 43, 26. Oktober 1889. S. 2, Sp. 2/3.)

9.41

Bergarbeiterstreik ] Der Streik begann Anfang Mai 1889 und war begleitet von zum Teil blutigen Zusammenstößen mit Zechenbeamten, Polizisten und dem später eingesetzten Militär. Er breitete sich von Westfalen auf weitere Bergbaugebiete in Deutschland und Böhmen aus und umfaßte auf seinem Höhepunkt etwa 140 000 Arbeiter. (Tenfelde: Sozialgeschichte der Bergarbeiterschaft ... S. 573–597; Schröder: Klassenkämpfe und Gewerkschaftseinheit. S. 33–41.) – Zu Engels’ Einschätzung des Streiks siehe: Friedrich Engels: The German miners’ strike. In: The Labour Leader. [o. O.]. New ser. Vol. 1. Nr. 5, Juni 1889. S. 78, Sp. 1/2 (MEGA➁ I/31. S. 169/170 und Erl. 169.1). Siehe auch Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.47–53).

9.42–43

treibt uns die Leute mit Gewalt in die Arme ] Zu den Ergebnissen in der Reichstagswahl vom Februar 1890 siehe die Briefe zwischen dem 21. Februar und dem 9. März 1890 (Br. 105–112); Tenfelde: Sozialgeschichte der Bergarbeiterschaft ... S. 562– 572.

737

9. August Bebel an Engels · 17. Oktober 1889

9.44

Socialistenproceß in Elberfeld ] Der Geheimbundprozeß in Elberfeld, der letzte unter dem Sozialistengesetz, fand vom 18. November bis 30. Dezember 1889 statt. Die sozialdemokratische Reichstagsfraktion wurde beschuldigt, an der Spitze eines über das Deutsche Reich verbreiteten Geheimbunds zu stehen. Bebel war angeklagt, der Leiter einer solchen geheimen Verbindung zu sein; der Staatsanwalt beantragte für ihn 15 Monate Gefängnis. Bebel und 42 andere der insgesamt 87 Angeklagten wurden freigesprochen. Das Gericht sah lediglich die Existenz einer sozialdemokratischen Vereinigung in Barmen und Elberfeld sowie einer reichsweiten Organisation, die verbotene Schriften verbreitete, als erwiesen an. Die übrigen Angeklagten wurden zu Strafen von zwei Wochen bis zu sechs Monaten verurteilt. (Bergmann: Das Sozialistengesetz im rechtsrheinischen Industriegebiet. S. 90–94.) – Zur Sicht von Bebel auf den Prozeß siehe die Briefe an seine Frau Julie in: Bebel: Briefe einer Ehe. S. 553–571; Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 316/317. Zum Ausgang des Prozesses siehe auch August Bebel an Engels, 2. Januar 1890 (Br. 71 und Erl. 71.31–32).

9.52

das Gesetz ] Gemeint ist das Sozialistengesetz. Siehe Erl. 9.64.

9.52–53

Die V. Session des Deutschen Reichstags dauerte vom 22. Oktober 1889 bis zum 25. Januar 1890, d. h. der gesamte Prozeß fiel in diesen Zeitraum.

9.53–54

Gerichtspräsident ] David Traumann.

9.64

Das Sozialistengesetz wurde am 19. Oktober 1878 im Deutschen Reichstag angenommen und trat am 21. Oktober in Kraft (Gesetz gegen die gemeingefährlichen Bestrebungen der Sozialdemokratie. In: Deutscher Reichs-Anzeiger und Königlich Preußischer Staats-Anzeiger. Berlin. Nr. 249, 22. Oktober 1878. Abends. S. 1, Sp. 1–4). In dem Ausnahmegesetz wurde verfügt, alle Vereine, d. h. Organisationen der Partei und der Gewerkschaften, sofern sie sozialistische Ziele verfolgten, zu verbieten, desgleichen alle sozialistischen Zeitungen und Druckschriften sowie Versammlungen. Nach § 28 konnten der kleine Belagerungszustand verhängt und Sozialdemokraten ausgewiesen werden. Das Gesetz wurde mehrmals verlängert und galt bis zum 30. September 1890. In den Verhandlungen während der aktuellen ReichstagsSession ging es um eine Verlängerung des Gesetzes. Es sollte nach den Vorstellungen Bismarcks nun unbefristet gelten, und die Vorlage enthielt wie bisher einen Ausweisungsparagraphen. Die Nationalliberalen lehnten beide Forderungen mit Nach-

738

9. August Bebel an Engels · 17. Oktober 1889

druck ab. Die Konservativen wollten nur unter Vorbehalten für die Vorlage der Nationalliberalen stimmen, wenn die Regierung dies verlangte. Bismarck beharrte jedoch auf seinem Standpunkt. Nach der ersten Lesung im Reichstag am 5./6. November 1889 wurde die Vorlage an eine Kommission, bestehend aus nahezu allen Parteiführern, überwiesen, in deren Sitzung der Ausweisungsparagraph auf Druck der Nationalliberalen entfiel. Am 25. Januar 1890 wurde die Vorlage im Reichstag mit den Stimmen der Konservativen abgelehnt und das Sozialistengesetz nicht verlängert. Es blieb daher nur noch bis 30. September in Kraft. (Schippel: Sozialdemokratisches Reichstags-Handbuch. S. 1027–1054; Das Sozialistengesetz ... S. 297/298; Engelberg: Bismarck. Das Reich in der Mitte Europas. S. 558–560; Pack: Das parlamentarische Ringen um das Sozialistengesetz ... S. 263.) 9.70–71

die Bude ] Gemeint ist der Reichstag in Berlin.

9.71

Paul ] Paul Singer wurde im Juli 1886 aus Berlin ausgewiesen und wohnte bis zur Aufhebung des Sozialistengesetzes in Dresden. Als Reichstagsabgeordneter konnte er sich während der Sitzungen des Reichstages in Berlin aufhalten. (Reuter: Singer. S. 143–146 und 214.)

9.73

Julius ] Julius Motteler. ˙˙ ˙ Ignaz Auer litt an einer Neuralgie (Auer: Nach zehn Jahren. S. VII; London, 16. Oktober 1889. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 42, 19. Oktober 1889. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau).

9.73–74

9.80

Ede ] Eduard Bernstein war der Londoner Korrespondent des „Berliner Volksblatt“.

739

10 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 17. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5848. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Die ersten drei Seiten hat Engels vollständig beschrieben, die vierte zu einem Drittel. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „41“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance. 2 (1956). S. 342/ 343. VARIANTENVERZEICHNIS 10.27

dodgy. $The ñ ERLÄUTERUNGEN

10.9–18

740

Since the Dock Strike bis movement here ] Der Streik der Londoner Hafenarbeiter währte vom 13. August bis Mitte September 1889. Er übertraf an Ausmaß und Wirkung alle vorausgegangenen Arbeitskämpfe ungelernter Arbeiter. In seinem Gefolge erlebte die Gewerkschaftsbewegung durch Gründung der sogenannten New Unions, in denen sich erstmals ungelernte Arbeiter zusammenschlossen, die bisher als nicht organisierbar galten, nach Umfang und Qualität einen beträchtlichen Aufschwung. Trotz der Auseinandersetzungen mit den Berufsgewerkschaften von gelernten Arbeitern wurden die „neuen Gewerkschaften“ zu einem zentralen Bestandteil der britischen Gewerkschaftsbewegung, auch nachdem sie in den folgenden Jahren Rückschläge vor allem aufgrund von Kämpfen mit den Unternehmern hinnehmen mußten. (Matthews: 1889 and all that. S. 24–58; Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 55–77 und 87–96; Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 69–71, 78–95 und 100–103.) Engels bezeichnete den „Dockstrike“ als „das größte Ereignis in England seit den letzten Reformbills“ (Engels an Karl Kautsky, 15. September 1889, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 685). Siehe auch Friedrich Engels: The dock labourers’

10. Engels an Laura Lafargue · 17. Oktober 1889

strike. In: The Labour Elector. London. New ser. Vol. 2. Nr. 35, 31. August 1889. S. 131, Sp. 1, und derselbe: Der 4. Mai in London. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 21, 23. Mai 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 173 und Erl. 173.1 sowie S. 259–264, hier S. 260). 10.9–10

Tussy bis strikes ] Während des Streiks der Londoner Hafenarbeiter war Eleanor Marx-Aveling, zusammen mit zwei anderen Frauen (siehe Erl. 63.33–34), verantwortlich für die Verteilung der Unterstützungen (Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 260)). In seiner Mitteilung an Friedrich Adolph Sorge vom 26. September 1889 bemerkte Engels, daß sie am Streik „schwer mitgearbeitet“ hatte. Im Streik der Arbeiterinnen der Firma Silver in Silvertown „war sie mitten drin“, so Engels später an Natalie Liebknecht (Br. 63.32–43 und Erl. sowie Engels an Friedrich Adolph Sorge, 7. Dezember 1889, Br. 48.22–23 und Erl.); sie nahm eine führende Stellung ein und ermunterte die Arbeiterinnen durch ihre Ansprachen, wie Clara Zetkin berichtete (siehe Laura Lafargue an Engels, 14. November 1889, Br. 28.37–38 und Erl.). Die Forderungen konnten trotz des langandauernden Streiks nicht durchgesetzt werden, obwohl es Versuche gab, den Einsatz von Angehörigen des französischen Betriebs der Firma als Streikbrecher zu verhindern. (Siehe Engels an Jules Guesde 20. November 1889, Br. 38; Paul Lafargue an Engels, 22. Dezember 1889, Br. 61.21–22.) Es gelang Eleanor Marx-Aveling jedoch, eine gewerkschaftliche Organisation innerhalb des Betriebes in Silvertown zu gründen. Es handelte sich um die „Branch 54 Silvertown (women)“ der National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland. Marx-Aveling wurde in dieser Sektion zur Sekretärin gewählt, eine Funktion, die sie für längere Zeit wahrnahm. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 334/335 und 348; Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 65.) Ob sie auch an der Gründung einer zweiten Frauensektion beteiligt war, ließ sich nicht feststellen. Sicher ist, daß auf dem Gewerkschaftskongreß zwei Frauensektionen vertreten waren, von insgesamt 89 lokalen Vereinigungen, und daß im Juni 1890 in Chatham eine weitere Frauensektion gegründet wurde, nachdem Marx-Aveling eine Rede gehalten hatte. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 382 und 387/388.) Eleanor Marx-Aveling unterstützte nach dem Streik insbesondere die Führung der National Union of Gasworkers and General Labourers, in deren Vorstand sie gewählt wurde. So stammte etwa der Entwurf der Satzungen einschließlich der Präambel

741

10. Engels an Laura Lafargue · 17. Oktober 1889

von ihr und Edward Aveling (Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 92). Engels bezeichnete sie als die „Leiterin der Gasleute (im Stillen)“, so an Sorge am 19. April 1890 (Br. 153.21–22, siehe auch Br. 153.41–44 und Erl.), ähnlich auch am 30. April 1890 (Br. 158.5–7 und Erl.); Die Gewerkschaft spielte eine führende Rolle in der Vorbereitung der Demonstration am 4. Mai 1890 (siehe Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.53–83 und Erl. sowie an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169)). Nach den großen Streikbewegungen im Herbst 1889 wurde Eleanor Marx-Aveling eine sehr gefragte Rednerin, die an vielen Orten auftrat (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 387/388; siehe auch Engels an Laura Lafargue, 16. November 1889 (Br. 33.54–55)). – Zu weiteren Aktivitäten siehe Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.21–24 und Erl.) sowie National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union an Engels, 11. August 1890 (Br. 234 und Erl.). 10.19

742

The Federation ] Die Social Democratic Federation entstand im August 1884 aus der 1881 von Henry Mayers Hyndman gegründeten Democratic Federation. Sie war in England die erste moderne sozialistische Organisation von nationaler Bedeutung, die sich marxistisch verstand und einen friedlichen Übergang zum Sozialismus vertrat; zugleich stand sie in der Tradition der Radical Clubs (siehe Erl. 17.2). Ein führender Vertreter war neben Hyndman Ernest Belfort Bax. Die Organisation spaltete sich mehrmals und wurde nie eine Massenbewegung. Das Programm der SDF orientierte auf die Nationalisierung von Grund und Boden sowie der anderen Produktions- und Distributionsmittel und enthielt eine Reihe politischer und sozialer Forderungen. (Socialism Made Plain ... S. 3–5.) Die Ablehnung der Trade Unions, die mit einer Arbeiteraristokratie gleichgesetzt wurden, war in den 1880er Jahren – obwohl nicht durchgängig praktiziert – mit einer Unterschätzung des gewerkschaftlichen Kampfes überhaupt verbunden. Dies beruhte auf einem ökonomischen Determinismus und ließ praktische politische Aktivitäten überflüssig werden. Als gegen Ende des Jahrzehnts die Gewerkschaftsbewegung wuchs und der „New Unionism“ (siehe Erl. 10.9–18) entstand, kam es zu einer Umorientierung und Differenzierung in der Haltung der SDF gegenüber den Gewerkschaften. (Crick: The history of the Social Democratic Fedderation. S. 33, 36, 67 und 74–79; Collins: The marxism of the Social Democratic Federation. S. 53–57; Johnson: Social democratic politics in Britain ... S. 155–160; Lawrence: Popular radicalism and the Socialist revival in Britain. S. 175–179). – Zur Zusammenarbeit mit den französischen Possibilisten siehe

10. Engels an Laura Lafargue · 17. Oktober 1889

Erl. 29.38 sowie Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 54 und 60. – Zur späteren Einschätzung der SDF durch Engels siehe seinen Brief an Karl Kautsky vom 12. August 1892 (IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. K 727) sowie Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 190–193. 10.22

the last report of the French elections ] Socialists and the French elections. In: Justice. London. Nr. 300, 12. Oktober 1889. S. 3, Sp. 3/4.

10.28–29

Committee for Organizing the East End Women ] Es konnte nicht ermittelt werden, ob dieses Committee gegründet wurde.

10.30

the bishop of Bedford ] Robert Claudius Billing.

10.42–48

Siehe Erl. 6.82 und Br. 8.11. Der Brief von Samuel Moore an Engels, geschrieben vor dem 11. Oktober 1889, ist nicht überliefert.

743

11 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Donnerstag, 17. Oktober 1889

Originalhandschrift (H2): IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1463/K 555. Fotosign. 1811–1813. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 179 × 112 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Schmidts vom 26. September 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5571). Schmidt antwortete ihm am 10. November 1889 (Br. 27). Erstveröffentlichung: Engels: Briefe an Conrad Schmidt (1920). S. 741–743. Für die Zeilen 9 bis 20 ist ein variantenreicher Entwurf (H1) überliefert (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1462/K 555–1. Fotosign. 7006). Der Entwurf besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 134 mm. Wasserzeichen: „[A Pir]ie & Sons [Lim]ited“. Engels hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Vermerke mit Bleistift auf der ersten Seite: „An Conrad Schmidt“, „A13.“ sowie „(cf. brief 17. Octbr. 89). p. 1.“. Archivsignatur: „II 21 H 13“. Der Edierte Text folgt H2.

VARIANTENVERZEICHNIS 11.9–19

Wenn

bis

dürfen. ] Dem Text ging im handschriftlichen Entwurf (H1) die folgende Fassung voraus.

2 4 6 8 10

744

Wenn ich auch nicht grade sagen kann, daß Sie das fragliche Problem gelöst haben, so berührt sich doch Ihr Gedankengang & der des 3. Bandes in manchen & selbst in wichtigen Punkten in einer Weise, daß Ihnen die Lektüre dieses 3. Bandes ganz besondre Freude machen wird. Eine eingehende Kritik Ihrer Arbeit ist mir aus naheliegenden Gründen für jetzt untersagt, in der Vorrede zum 3 Band aber wird sie erfolgen; dort wird es mir zur besondren Genugthuung gereichen Ihrer Schrift die volle Anerkennung zu zollen die ihr gebührt. Bis dahin wollen Sie sich also gedulden.

Engels an Conrad Schmidt, 17. Oktober 1889 Entwurf

11. Engels an Conrad Schmidt · 17. Oktober 1889

12

Soviel ist aber jetzt schon sicher, daß Sie sich mit dieser Arbeit einen Platz in der ökonomischen Literatur erobert haben, um den die sämmtlichen Herren Professoren Sie beneiden dürfen. Dieser Text weist folgende Textentwicklung auf:

Z. 1 Z. 2

Z. 6 Z. 7

Z. 12

11.15

: grade : 1 berührt sich so $ doch Ihr Gedankengang in manchen & gerade 2 streift wichtigen $Punkten ñ $Punkten an den des 3. Bandes ñ Punkten an den 3. Band an, besonders in den ñ mir $unter den vorliegenden Umständen untersagt, $sie findet ñ der Platz dafür ist in der Vorrede zum 3 Band, wo ñ $aber ñ erfolgen $& Ihrer Schrift dort ñ$, es wird mir zur besondren Genugthuung gereichen, Ihrer Schrift dort die ihr gebührende Anerkennung vollauf zu Theil werden zu lassen. ñ der $deutschen % ökonomischen Genugthuung $zu ñ ERLÄUTERUNGEN

11.4

Conrad Schmidt: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. Zu Engels’ Einschätzung der Arbeit siehe Br. 29.6–13. Schmidt hatte Engels seine Arbeit mit einer Widmung am 26. September 1889 zugeschickt. Das Widmungsexemplar mit Marginalien von Engels ist überliefert. (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6534; siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 1198.)

11.9

das fragliche Problem ] Die Transformation von Werten, die bei der Produktion in die Waren eingegangen sind, in Produktionspreise, zu denen sie verkauft werden, und die darauf basierende Ermittlung der Durchschnittsprofitrate in einer kapitalistischen Wirtschaft. Engels hatte im Vorwort zum zweiten Band des „Kapitals“ angekündigt, daß Marx diese Frage, an der die Ricardianer gescheitert seien, bereits gelöst habe. Im dritten Band werde die Lösung präsentiert. Er hatte dann seine Leser aufgefordert zu zeigen, „wie ohne Verletzung des Werthgesetzes, sondern vielmehr auf Grundlage desselben eine gleiche Durchschnittsprofitrate sich bilden kann und muß“. Dies hatte eine rege „Preisrätselliteratur“ zur Folge, nicht zuletzt weil die Herausgabe des dritten Bandes bis 1894 dauerte. Siehe Friedrich Engels: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Zweiter Band. Hamburg 1885. S. XXII/XXIII (MEGA➁ II/13. S. 20/21). Zur „Preisrätselliteratur“ siehe auch Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ II/14. S. 482–488.

11.10–11

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15).

747

11. Engels an Conrad Schmidt · 17. Oktober 1889

11.14–15

Friedrich Engels: Vorwort. Ebenda. S. XIII–XV (MEGA➁ II/15. S. 14/15). Engels bezeichnete Schmidt als den ersten, der die Frage „wirklich“ zu beantworten gesucht habe und unterzog Schmidts Argumentation einer ausführlichen Kritik. Trotz seines „Irrwegs“ lobte Engels die Arbeit von Schmidt, weil sie wichtige Erkenntnisse über den tendenziellen Fall der Profitrate, über aus dem Mehrwert abgeleitete Profitformen und zur Deutung von Zins und Grundrente enthalte, mit denen Schmidt Marx „anticipirt“ habe. (Ebenda. S. 15; siehe auch Owetschkin: Conrad Schmidt ... S. 30–37.)

11.36–37

Georg Friedrich Knapp: Die Bauern-Befreiung und der Ursprung der Landarbeiter in den älteren Theilen Preußens. Th. 1.2. Leipzig 1887. – Eine Besprechung der Arbeit durch Schmidt in der „Neuen Zeit“ erfolgte nicht (siehe Br. 27.47).

11.37–39

Die Artikelserie von Wilhelm Wolff zur „Schlesischen Milliarde“ erschien ohne Angabe des Verfassers im März und April 1849: (Auch eine Milliarde.) In: Neue Rheinische Zeitung. Köln. Nr. 252, 22. März 1849. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1; * Köln, 24. März. Seit den letzten 30 Jahren ... Ebenda. Nr. 255, 25. März 1849. S. 1, Sp. 1–3; (Die schlesische Milliarde.) Ebenda. Nr. 256, 27. März 1849. S. 1, Sp. 1–3; (Zur schlesischen Milliarde.) Ebenda. Nr. 258, 29. März 1849. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1; (Zur schlesischen Milliarde. [Die „Rezesse“].) Ebenda. Nr. 264, 5. April 1849. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2; (Zur schlesischen Milliarde. [Das Schutzgeld].) Ebenda. Nr. 270, 12. April 1849. S. 1, Sp. 1–3; (Zur schlesischen Milliarde; Schutzgeld. [Schluß].) Ebenda. Nr. 271, 13. April 1849. S. 1, Sp. 1–3; (Zur schlesischen Milliarde. – Das raubritterliche Jagdrecht.) Ebenda. Nr. 272, 14. April 1849. S. 1, Sp. 1–3; (Zur „schlesischen Milliarde“. – Oberschlesien.) Ebenda. Nr. 281, 25. April 1849. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1. – 1886 wurde die Artikelserie mit geringfügigen Änderungen und einer Einleitung von Engels als Broschüre herausgegeben: Wilhelm Wolff: Die schlesische Milliarde. Hottingen-Zürich 1886. (Sozialdemokratische Bibliothek. H. 6.) Siehe auch MEGA➁ I/30. S. 773. – Zur Sozialdemokratischen Bibliothek siehe Schaaf: Die „Sozialdemokratische Bibliothek“ ...; Emig [u. a.]: Literatur für eine neue Wirklichkeit. S. 217–246.

11.44

Am III Band bis thun können. ] Zur Arbeit von Engels am dritten Band des „Kapitals“ siehe Erl. 8.16.

11.45

Pariser Kongreß ] Siehe Erl. 1.6.

11.53–54

Zur englischen Ausgabe und zur 4. Auflage des ersten Bandes des „Kapitals“ siehe Erl. 8.17–18 und 8.17.

748

12 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Freitag, 18. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5892/L VIII 537. Fotosign. 11173a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 252 × 200 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Die ersten drei Seiten wurden von Sorge vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf S. 4 mit schwarzer Tinte der quer geschriebene Vermerk: „Sorge 18 Oct. 89“. Sorge antwortet auf die Postkarte von Engels vom 26. September 1889 (NYPL, Sorge Papers); Engels’ Antwort erfolgte am 7. Dezember 1889 (Br. 48). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 12.3

„Labor Elector“ ] Gemeint ist der „Labour Elector“. – Die Zeitung hatte in den Auseinandersetzungen um den Internationalen Arbeiter-Kongreß in Paris (siehe Erl. 1.6) die Position von Engels unterstützt; im Herbst 1889 hatte sie nach Engels die Aussicht, sich zum Zentrum einer selbständigen Arbeiterpolitik zu entwikkeln. (Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 17. August 1889 (NYPL, Sorge Papers); Thompson: Socialists, Liberals and Labour. S. 149/150.)

12.5

Der belgische Journalist Victor Dave nahm am Haager Kongreß der Internationale teil. Er schloß sich der bakunistischen Richtung an.

12.6

Haag ] Der Kongreß der Internationalen Arbeiterassoziation fand vom 2. bis 7. September 1872 in Den Haag statt. Zentraler Tagesordnungspunkt war die Auseinandersetzung zwischen marxistischen und anarchistischen Kräften in der Internationale. Es wurde beschlossen, den Sitz des Generalrats von London nach New York zu verlegen. Sorge wurde im Oktober 1872 zum Generalsekretär des Generalrats der Internationale gewählt. (The Hague congress 1872. [Vol. 1.] S. 288 und 290; Bernstein: The First International in America. S. 145–160 und 163; Messer-Kruse: The Yankee International. S. 179–182.)

749

12. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 18. Oktober 1889

12.8–12

Zum „New Yorker Krakehl“ siehe Erl. 8.4–7. Sorges Kritik ist fast wortgetreu auch in früheren Briefen an Marx enthalten, siehe Sorge an Marx, 16. Oktober 1877, 19. Juli 1878 und 14. Dezember 1879 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. D 4151, D 4153 und D 4159). – Siehe auch Bernstein: The First International in America. S. 280–287; Messer-Kruse: The Yankee International. S. 254–255.

12.18–19

Das Material zu Sergej Egorovicˇ Sˇevicˇ ist nicht überliefert. Seit einer Affäre um den Gebrauch von Engels’ Telegramm an Sorge vom 14. März 1883 (NYPL, Sorge Papers) mit der Mitteilung über Marx’ Tod war das Verhältnis zwischen Engels und Sˇevicˇ getrübt.

12.20

4te Auflage ] Siehe Erl. 8.17.

12.21

Zur Herausgabe des dritten Bandes des „Kapitals“ siehe Erl. 8.16.

12.24–25

Zur Korrespondenz zwischen Sorge und De Leon über Sozialismus und Nationalismus siehe Erl. 8.7–8.

12.24–25

einem der Häupter des „Nationalismus“ ] Daniel De Leon.

12.26–27

Siehe Sorge an Engels, 10. Februar 1889 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 5881). Sorge kritisierte den Artikel von Philipp Rappaport „Ueber die Arbeiterbewegung in Amerika“, der in der „Neuen Zeit“ erschienen war (Stuttgart. Jg. 7. 1889. H. 2. S. 63–69).

12.27–28

Philipp Rappaport: Socialism or nationalism? In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 41, 12. Oktober 1889. S. 3, Sp. 1/2.

12.29–30

Zu den beiden Kongressen der Socialist Labor Party in Chicago siehe Erl. 8.4–7.

12.33–34

Zum Streik der Londoner Hafenarbeiter und dem Engagement von Eleanor Marx-Aveling siehe Br. 10.9–18 und Erl.

12.37–38

unser Sohn ] Adolph Sorge. Er arbeitete in einer Maschinenwerkstatt in Rochester.

750

13 Max Hildebrandt an Friedrich Engels in London Berlin, Samstag, 19. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2391/L IV 348. Fotosign. 9062a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 226 × 180 mm. Hildebrandt hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete Hildebrandt am 22. Oktober 1889 (Br. 16). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 13.11

Max Stirner: Der Einzige und sein Eigenthum. Leipzig 1845.

13.21

seiner Frau ] Marie Dähnhardt.

13.22

Max Stirner: Geschichte der Reaction. Abt. 1.2. Berlin 1852.

751

14 Otto Adolph Ellissen an Friedrich Engels in London Einbeck, vor Dienstag, 22. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1372/L III 232. Fotosign. 14793. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 285 × 219 mm. Auf der ersten Seite befindet sich das gedruckte Schreiben (hier in Kapitälchen wiedergegeben) mit einer handschriftlichen Passage von Ellissen. Die übrigen drei Seiten sind leer. Schreibmaterial der Handschrift: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 10“. Von Engels’ Hand: am linken Rand der ersten Seite die mit schwarzer Tinte quer geschriebenen Stichworte für seine Antwort (siehe Br. 15, Variante 15.3); auf der vierten Seite der mit schwarzer Tinte geschriebene Vermerk „Einbeck Oct 89 Dr. O. A. Ellissen wegen Lange’s Briefen“. Zur Datierung: Die Eingrenzung des Datums ergibt sich aus Engels’ Antwortbrief vom 22. Oktober 1889 (Br. 15). Es ist nicht bekannt, über wen das Schreiben an Engels gelangte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 14.3–4

Otto Adolph Ellissen: Friedrich Albert Lange. Eine Lebensbeschreibung. Leipzig 1891.

14.6–7

Es sind nur zwei Textzeugen eines brieflichen Kontakts zwischen Engels und Friedrich Albert Lange überliefert: Friedrich Albert Lange an Engels, 2. und 4. März 1865 und Engels an Friedrich Albert Lange, 29. März 1865 (MEGA➁ III/13. Br. 162 und 203. S. 293/294 und 361–364). Ellissen zitierte keinen der Briefe in seiner Biographie.

752

Otto Adolph Ellissen an Engels, 11. Oktober 1889 Erste Seite des Rundschreibens mit Notizen von Engels

15 Friedrich Engels an Otto Adolph Ellissen in Einbeck London, Dienstag, 22. Oktober 1889

Originalhandschrift H2: SAPMO, Sign. SgY 31/ME 12239. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 113 × 179 mm. Wasserzeichen: „[Brook]leigh [Fi]ne“. Die erste Seite hat Engels vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf dem Briefumschlag befinden sich die Adresse von Engels’ Hand, die Poststempel: „London N W 4 × OC 22 89“ und auf der Rückseite „Einbeck 24/10 89 1 – 8V“ sowie ein lila Stempel: „Dr. O. A. Ellissen Einbeck (Hannover.)“. Von unbekannter Hand: auf der Rückseite des Briefumschlags der mit schwarzer Tinte geschriebene Vermerk „Autogramm des Sozialökonomen Fr. Engels“ und ein Vermerk mit Bleistift „zu 1110“. Engels beantwortet das Schreiben von Ellissen, geschrieben vor dem 22. Oktober 1889 (Br. 14). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 155/156; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 294. VARIANTENVERZEICHNIS Ein stichwortartiger Entwurf (H1) befindet sich auf dem Brief von Ellissen an Engels, geschrieben vor dem 22. Oktober 1889 (Br. 14 und S. 752). Er lautet: 15.3

Briefe ungeordnet, kann nicht vor Vollendung Bd III, im Früh˙˙˙ daran gehen, dann stehen sie zur Verfügung jahr, ganz oder theilweise abdrucken, in letzterem Fall jedoch bitte ich die betr. Stellen in ihrem ganzen Zusammenhang geben zu wollen. ERLÄUTERUNGEN

15.5–7

Überliefert sind nur zwei Briefe, siehe Erl. 14.6–7.

15.9

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe Erl. 8.16.

755

16 Friedrich Engels an Max Hildebrandt in Berlin London, Dienstag, 22. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4846. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 221 × 178 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Der Brief wurde gelocht, die dadurch entstandenen Textverluste (Z. 7, 16, 36, 46 und 52) konnten rekonstruiert werden. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben rechts der mit roter Tinte geschriebene Vermerk „III“ und „60“; Numerierung aller beschriebenen Seiten: „264/1“ bis „264/4“. Engels antwortet auf den Brief Hildebrandts vom 19. Oktober 1889 (Br. 13). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Из неопубликованных рукописей Ф. Энгельса (1927). S. 16/17; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 292/293. ERLÄUTERUNGEN 16.9

Marx verließ Berlin Mitte April 1841.

16.12

von Leitner ] Gemeint sein könnte der Literaturkritiker Philipp von Leitner, der in den 1830er und 1840er Jahren Autor und Mitarbeiter mehrerer literarischer Zeitschriften war.

16.13

Mussak ] Eduard Mushacke.

16.14

Fritz Reuter: Ut mine Festungstid. In: Olle Kamellen. Th. 2. Wismar, Ludwigslust 1862. (Sämmtliche Werke. Bd. 5.)

16.17–18

Adolf Rutenberg, ein Freund von Marx aus der Berliner Zeit, war von Februar bis November 1842 Redakteur der „Rheinischen Zeitung“; er wurde durch Marx Mitte Oktober abgelöst ([Pelger]: Marx, Engels und die Rheinische Zeitung. S. XVIII–XX; Hundt: Zum Beginn von Marx’ Tätigkeit als Redakteur der „Rheinischen Zeitung“.)

16.18

Waldeck ] Julius Waldeck.

16.18

der Jurist & Obertribunalsrath ] Benedikt Waldeck.

16.21–22

mein Militärjahr ] Engels war von September 1841 bis Oktober 1842 als Einjährig-Freiwilliger in Berlin.

16.22

bei Stehely ] Konditorei und Lesekabinett in der Charlottenstra-

756

16. Engels an Max Hildebrandt · 22. Oktober 1889

ße in Berlin, in den frühen 1840er Jahren Treffpunkt radikal gesinnter Schriftsteller, Journalisten und Intellektuellen, diente den „Freien“ als Tagungslokal (Springer: Berlin’s Strassen ... 1848. S. 32 und 239). 16.26

seinem Einzigen ] Max Stirner: Der Einzige und sein Eigenthum. Leipzig 1845.

16.40

seinem Hauptwerk ] Ebenda.

16.41–42

Engels war von November 1842 bis Ende August 1844 zur Ergänzung seiner kaufmännischen Ausbildung in der Fabrik von Ermen & Engels in Manchester tätig. Eine „Wirkung“ seines Aufenthaltes zeigte sich u. a. in der im Mai 1845 erschienenen „Lage der arbeitenden Klasse in England“.

16.43

Marx wohnte von Februar 1845 bis Anfang März 1848 in Brüssel, Engels mit Unterbrechungen von April 1845 bis zur zweiten Hälfte März 1848. – Zu Engels’ Zeit in Brüssel siehe Mayer: Friedrich Engels. Bd. 1. S. 245–290.

16.44–46

kritisirten bis [Ms.] ] Das Manuskript zu Stirner blieb unveröffentlicht (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. A 14) und wurde gemeinsam mit den anderen überlieferten Manuskripten (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. A 11–17) 1932 unter dem Titel „Die Deutsche Ideologie. Kritik der neuesten deutschen Philosophie in ihren Repräsentanten Feuerbach, B. Bauer und Stirner, und des deutschen Sozialismus in seinen verschiedenen Propheten“ herausgegeben, siehe Karl Marx, Friedrich Engels: Historisch-kritische Gesamtausgabe. Im Auftrage des MarxEngels-Instituts Moskau hrsg. ... Erste Abteilung. Bd. 5. Berlin 1932 (MEGA➀ I/5). Den Auseinandersetzungen mit Stirner ist das Kapitel III, „Sankt Max“, gewidmet, mit 423 Handschriftenseiten der umfänglichste Teil der gesamten Kritik (ebenda. S. 97–428; IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. A 14). – Siehe auch Beschreibung der Manuskripte. Textvarianten. In: Marx, Engels: Historisch-kritische Gesamtausgabe. Erste Abteilung. Bd. 5. S. 564–640.

16.52

Mit Stirners „Empörung“ setzten sich Marx und Engels in einem eigenen Paragraphen auf den Seiten 90c bis 94b auseinander (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. A 14; MEGA➀ I/5. S. 355– 367). – Zur Definition von „Empörung“ im Unterschied zu „Revolution“ siehe Max Stirner: Der Einzige und sein Eigenthum. Leipzig 1845. S. 421–424.

16.58

seine Frau ] Marie Dähnhardt.

757

17 Thomas Binning an Friedrich Engels in London London, frühestens Donnerstag, 24. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 559/L II 2. Fotosign. 14798a. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 179 mm. Wasserzeichen: „The Ladies Club Note / J S & S“. Binning hat die erste Seite vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 19“. Zur Datierung: Das Rundschreiben, das vermutlich diesem Brief beigelegt wurde (siehe Beilage), ist mit „Oct. 24, 1889“ datiert. Es ist anzunehmen, daß es in beiden Dokumenten um dieselbe Versammlung des Central Democratic Club am 29. Oktober 1889 geht. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

Wiedergabe der Beilage Rundschreiben des Central Democratic Club vom 24. Oktober 1889. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 560/Beil. zu L V 490. Fotosign. 8862c. Private.î Central Democratic Club, 28 Gray’s Inn Road, W. C. Oct. 24, 1889. First General Meeting. Dear Sir, I beg to inform you that the First General Meeting of Members of the Club will be held on Tuesday next, the 29th of October, at 8 p.m. The term of office of the Committee which founded the Club will then lapse and the members generally will take control of affairs and instruct the new Committee, etc. The founding Committee have, owing chiefly to lack of capital, had very grave difficulties to contend with in starting and carrying on the Club. Despite the inevitable shortcomings which resulted from this, the Club has taken a prominent place among democratic clubs in London and has been a centre from which a great deal of useful work in the democratic cause has been done; and it is already evident that if properly sustained and its conveniences amplified, the Club will be of invaluable service to the democratic movement. A critical moment has, however, come, and the existence of the Club is seriously menaced by financial difficulties. These difficulties can be met if every member

758

17. Thomas Binning an Engels · frühestens 24. Oktober 1889

will attend the meeting on Tuesday and be prepared to give both personal and pecuniary help. The membership must be increased (it is now 130) to at least 300; and at least £ 200 will have to be raised to pay off liabilities and complete the furnishing of the Club. If the meeting is well attended and the right spirit shown, it will be possible to meet all the difficulties and put the Club on a sound footing. If this is not done it will be necessary to wind up the concern altogether. The importance of your attendance at the meeting will be obvious. Should, however, it be quite impossible for you to come, please write and state your views on the matter and say what you are willing to subscribe. Yours faithfully, THOMAS BINNING, Secretary. J. L. MAHON, Manager.

ERLÄUTERUNGEN 17.2

the Club ] Der Central Democratic Club war eine jener Vereinigungen (Radical Clubs), die in der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts entstanden, um demokratischen und politisch radikalen Forderungen Ausdruck zu verleihen. Ursprünglich standen diese Klubs häufig unter dem Einfluß der Liberalen Partei, für die sie politisches Gewicht hatten. Mitte der 1880er Jahre begannen sich die Beziehungen zwischen den radikalen Klubs und den Liberalen zu lockern. Die politischen Zielsetzungen der Radical Clubs wurden teilweise von den in den 1880er Jahren entstehenden sozialistischen Gruppierungen wie z. B. der Social Democratic Federation (siehe Erl. 10.19) wie auch der Fabian Society (siehe Erl. 97.4–5) aufgenommen. Einige der Klubs hatten unter ihren Mitgliedern eine bedeutende Zahl von Arbeitern, wie hier Thomas Binning und John Lincoln Mahon. Zugleich entstanden seit 1876/1877 neue „Arbeiterclubs“ in London und seinen Vororten in Zusammenarbeit mit dem Communistischen Arbeiterbildungverein (siehe Erl. 154.3–4). 1885 schlossen sich die radikalen Klubs zur Metropolitan Radical Federation zusammen. (Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 19–21 und 118/119; Thompson: Socialists, Liberals and Labour. S. 32 und 92/93; Thane: Labour and local politics. S. 245; Davis: Radical clubs and London politics ... S. 107–115; Lawrence: Popular radicalism and the Socialist revival in Britain; Becker: Johann Most. S. 35/36. – Siehe auch das Flugblatt „Central Democratic Club“ (etwa April 1889) (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. S 54). Zur Entwicklung des politischen Milieus des „political radicalism“ siehe Mares: Der Hebel für eine Revolution ... S. 168–171.

759

17. Thomas Binning an Engels · frühestens 24. Oktober 1889

Engels war im April 1889 von Mahon aufgefordert worden, dem Klub beizutreten und einer seiner Vizepräsidenten zu werden. Engels war Mitglied geworden, hatte die Übernahme einer Funktion jedoch abgelehnt. Auf dem Briefumschlag des Schreibens von Mahon an Engels vom 17. April 1889 befindet sich eine entsprechende Notiz von Engels (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 3700). Seine Mitgliedskarte Nr. 3 des Central Democratic Club für 1889 ist überliefert, quittiert für 12 Monate am 10. Juni 1889 (John Lincoln Mahon an Engels, 22. Mai 1889, ebenda, Beil. zu Sign. L 3701). 17.5

760

Das First General Meeting war für den kommenden Dienstag, den 29. Oktober 1889 vorgesehen (siehe Beilage).

18 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Samstag, 26. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3581/L V 417. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 268 × 212 mm. Liebknecht hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite der mit dem Datum „29 Oktbr. 89.“ versehene Entwurf für eine Passage, die in Br. 20 mit ausgeschriebenen Abkürzungen einging (Br. 20.40–48). Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben rechts das mit Bleistift geschriebene Datum „26 X 89“. Engels antwortete auf diesen Brief am 29. Oktober 1889 (Br. 20). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 349/350. ERLÄUTERUNGEN 18.2

Dr. Gottschall ] Andreas Gottschalk.

18.4–6

Eine ähnliche Äußerung könnte auf dem Kongreß der Demokraten-, Arbeiter- und Turnvereine (14. bis 17. Juni 1848) in Frankfurt gefallen sein. In einem Tadelsantrag des Kölner Arbeiter-Vereins heißt es unter anderem: „... daß der Dr. Gottschalk bei Gelegenheit des demokratischen Congresses zu Frankfurt, sich der Worte bedient hat, er könne die Arbeiter von Köln ebensowohl zur rothen Monarchie wie zur rothen Republik verwenden, also die Arbeiter selbst, als nur eine ihm blind gehorchende Maschine ausgab ... “ (Antrag. In: Freiheit, Brüderlichkeit, Arbeit. Köln. Nr. 24, 29. April 1849. S. 3, Sp. 1/2). Siehe auch Br. 59.4; Dowe: Aktion und Organisation. S. 166–169.

18.6

Vorparlament ] Das Vorparlament tagte vor der Konstituierung der Frankfurter Nationalversammlung vom 31. März bis zum 3. April 1848 und beanspruchte, die Neuordnung Deutschlands vorzubereiten. Seine 574 Vertreter, darunter die namhaftesten Liberalen und Demokraten, repräsentierten die deutschen Staaten allerdings sehr ungleichmäßig. Gegenstand der Beratungen waren die Stellung zur Revolution, die programmatische Bindung der kommenden Nationalversammlung, ihre Konstituierung durch Volkswahlen und die Stellung der Bewegung zum Bundestag. (Siemann: Die deutsche Revolution von 1848/49. S. 79.)

761

18. Wilhelm Liebknecht an Engels · 26. Oktober 1889

18.6

Gottschalk starb am 8. September 1849 an den Folgen der Cholera (Schmidt: Andreas Gottschalk. S. 144).

18.9

Es konnte nicht ermittelt werden, welches Manuskript Liebknecht meinte.

18.10–11

In Paris bis herbeizuführen ] Liebknecht könnte sich auf die Gründung des Conseil national (siehe Erl. 1.30–31) beziehen; möglicherweise war er auch informiert über die Überlegungen, die im November zur Gründung einer sozialistischen Parlamentsgruppe führten (siehe Br. 23.25–37 und Erl.).

18.12

Zum „Boulangisten Jourde“ siehe Paul Lafargue an Engels, 11. Oktober 1889 (Br. 7.10–13 und Erl.).

18.13–14

Lafargue’s Coquetterie mit dem Boulangismus ] Paul Lafargue protestierte gegen diesen Vorwurf in seinem Brief an Engels vom 4. November 1889 (Br. 23.3–4). Siehe auch Erl. 19.55–58.

18.14–15

Liebknecht meinte vermutlich zwei Briefe Paul Lafargues an ihn vom 16. Januar und 2. Februar 1889 (IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. 209/12–13 und 209/14–15).

18.18–19

Die französischen Wahlen. In: Berliner Volksblatt. Nr. 227, 28. September 1889. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 1.

18.21

[Wilhelm Liebknecht:] Noch einmal die französischen Wahlen. In: Der Wähler. Leipzig. Nr. 82, 9. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1.

18.23

Wilhelm Liebknecht: An die Abonnenten und Mitarbeiter ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 250, 25. Oktober 1889. S. 3, Sp. 2. – Siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 3. Oktober 1889 (Entwurf) (Br. 2.9–20 und Erl.).

18.26

meine Jungen ] Theodor, Karl, Otto, Wilhelm und Curt Liebknecht.

762

19 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Dienstag, 29. Oktober 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5835. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „42“. Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Laura Lafargue, vermutlich geschrieben zwischen dem 17. und 27. Oktober 1889 (Z. 3–5 und Br. 10). Paul Lafargue antwortete ihm am 4. November 1889 (Br. 23). Erstveröffentlichung: gekürzt in französischer Übersetzung: Bottigelli: Extraits ine´dits ... (1955). S. 22/23; vollständig: in russischer Übersetzung: Новые письма Фридриха Энгельса (1956). S. 20/21; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 345–347.

VARIANTENVERZEICHNIS 19.13

when $they passed ñ $the ñ

19.61

if > as

19.65

triumph $of ñ

19.67–68

: And

bis

party! :

ERLÄUTERUNGEN 19.7

The Christmas trip legend ] Siehe Br. 10.35.

19.8

little Marcel ] Marcel Longuet.

19.8

Longuets brain ] Charles Longuet.

19.10–11

I must bis class. ] Engels bezieht sich auf seine Einschätzung der französischen Wahlen in seinem Brief an Laura Lafargue vom 8. Oktober 1889 (Br. 6.3–78).

19.42

Cadettists ] Mitglieder der Socie´te´ des droits de l’homme et du citoyen, einer Sammelbewegung von republikanischen und sozialistischen Gegnern des Boulangismus. Siehe Erl. 1.49.

19.42

Zu den Boulangisten siehe Erl. 1.49.

763

19. Engels an Laura Lafargue · 29. Oktober 1889

19.47–49

Im August 1889, während des Wahlkampfes für die Wahl zur Deputiertenkammer im September 1889, spaltete sich das blanquistische Comite´ re´volutionnaire central (siehe Erl. 1.54), nachdem sich die Existenz zweier Gruppierungen bereits länger abgezeichnet hatte. Ein Teil um Ernest Granger schloß sich der boulangistischen Richtung an und weigerte sich, E´douard Vaillant ihre Stimmen zu geben, der dadurch nicht gewählt wurde. (Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 91 und 109.)

19.53–55

Zu Antoine Jourde siehe Paul Lafargue an Engels, 11. Oktober 1889 (Br. 7.10–13 und Erl.).

19.55–58, 67–68

Wilhelm Liebknecht hatte sich Engels gegenüber am 26. Oktober 1889 entsprechend geäußert (Br. 18.11–15). Zu den Diskussionen über die Haltung des Parti ouvrier zum Boulangismus siehe auch Br. 19.44–58; Noch einmal die Wahlen in Frankreich I. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 42, 19. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1; Dautry: Lafargue et le boulangisme. S. 26–34; Fülberth: Die Auseinandersetzung zwischen Engels und Lafargue ... S. 157–167. – Im August 1889 hatten die linken Organisationen in der französischen Arbeiterbewegung zu den Parlamentswahlen den Aufruf „Aux travailleurs de France. Ni Ferry, ni Boulanger!“ veröffentlicht (Louis: Le Parti socialiste en France. S. 360–362).

19.69

Engels hatte schon Ende 1888 mitgeteilt: „Percy’s affairs are going rather badly here“ (Engels an Paul Lafargue, 4. Dezember 1888, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6166).

19.71

his father ] Charles H. Rosher.

19.71

brothers ] Vermutlich Charles Howard, Frank E. und F. Howard Rosher.

19.75

the two younger boys ] Vermutlich F. Howard und Frank E. Rosher.

19.80

Karl Kautsky hatte Engels Ende September 1889 angekündigt, er würde in zwei bis drei Wochen nach London kommen (Karl Kautsky an Engels, 29. September 1889, IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 2638).

19.81

Diane ] Vermutlich ein Haustier.

764

20 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf London, Dienstag, 29. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1046/K 449. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Auf dem Briefumschlag befindet sich die Adresse, auf der Rückseite der Poststempel: „Borsdorf [xx] [x]0 89 7 –8 V.“. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten „90“ bis „92“. Vermerk mit Bleistift auf dem Umschlag: „29 X. 89“. Engels beantwortet den Brief Liebknechts vom 26. Oktober 1889 (Br. 18). Einen Teilentwurf für eine Passage (Z. 40–48) formulierte er mit der Datumsangabe „29 Oktbr 89“ auf der vierten Seite des Briefes von Liebknecht vom 26. Oktober 1889 (siehe S. 761). Diese Passage ging nahezu wörtlich – die Verkürzung „Volksbibl.“ wurde ausgeschrieben – in die endgültige Fassung des Briefes ein. Liebknecht antwortete am 20. Dezember 1889 (Br. 59). Erstveröffentlichung: gekürzt: Czo´bel: Der Kölner Arbeiterverein 1848–49 [1926]. S. 433; vollständig in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 156/157, in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 351/352. VARIANTENVERZEICHNIS 20.16

Ende April > im April ERLÄUTERUNGEN

20.3

Gottschalk ] Engels korrigierte die falsche Schreibung von Liebknecht und unterstrich den korrigierten Buchstaben k (siehe Br. 18.2).

20.4–5

den Bund ] Bund der Kommunisten.

20.5–6

Engels gibt in seinem privaten Brief an Liebknecht eine sehr subjektiv gefärbte Darstellung des Wirkens von Andreas Gottschalk in der Revolution von 1848. Gottschalk, den Marx bereits 1842 in Köln als Aktionär und Mitarbeiter der „Rheinischen Zeitung“ kennengelernt hatte, war zusammen mit Friedrich Anneke und anderen Mitgliedern des Bundes der Kommunisten führend an der Massendemonstration am 3. März 1848 betei-

765

20. Engels an Wilhelm Liebknecht · 29. Oktober 1889

ligt, die in Köln die Revolution einleitete. Auf Initiative Gottschalks wurde am 13. April 1848 der Kölner Arbeiterverein gegründet, zu dessen Präsidenten er gewählt wurde und dem sich bis Juli nach eigenen Angaben 7000 bis 8000 Arbeiter und Handwerker anschlossen (Zeitung des Arbeiter-Vereines zu Köln. Nr. 14, 13. Juli 1848. S. [113], Sp. 2). Gottschalk war bis zu seiner Verhaftung am 3. Juli 1848 (siehe Erl. 20.20–22) die überragende Führungspersönlichkeit des Vereins. Danach sank die Mitgliederzahl und betrug von Herbst 1848 bis Frühjahr 1849 zwischen 250 und 700. Im Mai 1848 hatte Gottschalk sich vom Bund der Kommunisten getrennt. (Hundt: Geschichte des Bundes der Kommunisten ... S. 444 und 471–473; Sperber: Rhineland radicals. S. 224–228, 230 und 299; Hammen: The red ’48ers. S. 375; Schmidt: Andreas Gottschalk. S. 62–67, 84 und 89.) – Zu den politischen Vorstellungen Gottschalks siehe Sperber: Rhineland radicals. S. 224–231 sowie die Einschätzung durch Mathilde Anneke in: Kiehnbaum. „Bleib gesund ...“ S. 27. 20.12

Zum Vorparlament und einer angeblichen Aussage Gottschalks siehe Br. 18.4–6.

20.16–18

Marx und Engels kamen am 11. April 1848 in Köln an. Die erste Nummer der „Neuen Rheinischen Zeitung“ erschien am 1. Juni 1848. Zur Gründungsgeschichte der Zeitung siehe auch Melis: Neue Rheinische Zeitung.

20.19

Zeitung ] Neue Rheinische Zeitung.

20.19

unser Arbeiterverein ] Gemeint ist der von Gottschalk gegründete Kölner Arbeiterverein (siehe Erl. 20.5–6), dem vermutlich auch Engels wie Marx angehört haben. Nach der Verhaftung Gottschalks (siehe Erl. 20.20–22) traten die Mitglieder des Bundes der Kommunisten Joseph Moll – als Vorsitzender – und Karl Schapper an die Spitze des Vereins. Im Oktober 1848 übernahm Marx selbst zeitweilig die Leitung. (Dowe: Aktion und Organisation. S. 145/146 und 177ff.; Czo´bel: Der Kölner Arbeiterverein 1848–49. S. 433/434; Sperber: Rhineland radicals. S. 263/264.)

20.20–22

Andreas Gottschalk und Friedrich Anneke wurden am 3. Juli 1848 verhaftet. Anlaß war Gottschalks auf der Generalversammlung des Arbeitervereins am 25. Juni 1848 gehaltene Rede, in der er sich dazu äußerte, wann in Deutschland die Verwirklichung der demokratisch-sozialen Republik zu erwarten sei. Gottschalk und Anneke wurden am 23. Dezember 1848 durch das Kölner Geschworenengericht freigesprochen. (Der

766

20. Engels an Wilhelm Liebknecht · 29. Oktober 1889

politische Tendenz-Prozeß gegen Gottschalk, Anneke und Esser. Hrsg. von M. F. Anneke. [Köln 1848.] S. 10ff.; Schmidt: Andreas Gottschalk. S. 89/90, 93 und 112; Dowe: Aktion und Organisation. S. 175ff.) 20.24–26

Gottschalk begab sich im Januar 1849 über Brüssel nach Paris und kehrte Ende Februar nach Deutschland zurück (Schmidt: Andreas Gottschalk. S. 118 und 124).

20.30–31

Zur Frage von Wilhelm Liebknecht siehe Br. 18.6.

20.33

Pariser Sachen ] Liebknecht hatte Paul Lafargues Haltung zum Boulangismus und zur Wahl von Antoine Jourde beklagt (Br. 18.11–15). Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 11. Oktober 1889 (Br. 7.10–13 und Erl.) sowie Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.44–58).

20.40

Siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, 26. Oktober 1889 (Br. 18.23–27).

20.49

Siehe Br. 19.69 und Erl.

20.51

dem Alten ] Charles H. Rosher, Vater von Percy Rosher.

20.52–53

Frei nach einem Volkslied, „Ach du lieber Augustin“, das während der Pest 1679 in Wien entstanden war.

767

21 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 29. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5893/L VIII 538. Fotosign. 11174a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 229 × 174 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite mit schwarzer Tinte quer geschrieben: „Sorge 29 Oct 89“. Sorge antwortet auf die Postkarte von Engels vom 12. Oktober 1889 (Br. 8). Engels’ Antwort erfolgte am 7. Dezember 1889 (Br. 48). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 21.4

Revüe ] „Time. A Monthly Miscellany of Interesting and Amusing Literature“. Ernest Bax übernahm die Herausgabe der Zeitschrift im Januar 1890. Siehe Erl. 8.3–4.

21.7–9

F[riedrich] Engels: Die Abdankung der Bourgeoisie (MEGA➁ I/31. S. 174–178 und 956/957). In den USA erschien der Artikel in der „Chicagoer Arbeiter-Zeitung“ (Nr. 145, 19. Oktober 1889. S. 2, Sp. 1/2) und im „Wochenblatt der New Yorker Volkszeitung“ (Nr. 43, 26. Oktober 1889. S. 3, Sp. 7/8). Siehe Erl. 4.3.

21.10–12

Zur Antwort von Engels siehe Br. 48.74–77. Die Liste und die Zeitungsausschnitte konnten nicht ermittelt werden. Marx und Engels waren von August 1851 bis März 1862 Mitarbeiter der Zeitung „New-York Tribune“. Die Liste der Artikel in der „New-York Tribune“ hatte Sorge an Marx übergeben, als er im August 1872 als Delegierter zum Haager Kongreß der Internationalen Arbeiterassoziation nach Europa kam. (Siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 24. August, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1014, und an Sorge, 21. September 1872, NYPL, Sorge Papers.) Die Artikelsammlung hatte Marx am 4. April 1876 von Sorge erbeten (ebenda), der sie ihm im Frühjahr 1877 sandte (Sorge an Marx, 18. März und 5. September 1877, RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 3764 und IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. D 4150).

768

21. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 29. Oktober 1889

Sie war, wie Engels am 1. Januar 1895 gegenüber Louis Kugelmann richtig vermutete, unvollständig. (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5408; Bochinski, Neuhaus: Marx und Engels und die „New-York Tribune“. S. 216.) 21.13–14

Siehe Engels an Sorge, 12. Oktober 1889 (Br. 8.7–10 und Erl.). Siehe auch Sorges Antwort (Br. 12.23–28).

21.16–17

die Epistel Rosenbergs ] Wilhelm Ludwig Rosenberg: To the mayor and citizens of Chicago. Der Brief, datiert auf den 15. Oktober 1889, wurde veröffentlicht innerhalb des Artikels: Rosenbergs suicide. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 43, 28. Oktober 1889. S. 3, Sp. 2. Auf dem Kongreß der Socialist Labor Party soll die amerikanische Fahne ausgepfiffen worden sein, was vom Kongreß zurückgewiesen wurde. Rosenberg distanzierte sich in seinem Brief von dem angeblichen Zwischenfall. Er unterzeichnete als Sekretär des Nationalen Exekutivkomitees der SLP. – Siehe auch Erl. 8.4–7.

21.17

Mayor von Chicago ] Dewitt Clinton Cregier.

21.18–19

Siehe Br. 8.11 und Erl.

21.23–24

Während der Vortragsreise von Eleanor Marx-Aveling und Edward Aveling 1888 durch die USA hatte Moses Merkin sich an Sorge gewandt, um über ihn Eleanor Marx-Aveling zu erreichen. Siehe Sorge an Engels, 27. August und 13. September 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5872 und L 5876).

21.24–25

M[oses] Merkin: Tschernischewsky. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 42, 20. Oktober 1889. S. 4, Sp. 5/6.

21.28

Frau ] Anna Schlüter.

21.30

Frau ] Katharina Sorge.

769

22 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 30. Oktober 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3745/L V 532. Fotosign. 8478a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 260 × 204 mm. Martignetti hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: violette Tinte. Von Engels’ Hand: am linken Rand der vierten Seite die mit schwarzer Tinte quer geschriebene Notiz: „Wenn er nach B. A. will, Fr. 200.– Beitrag. Dies ist das letzte was ich thun kann 9 Nov 89“ (siehe Br. 26.24–26). Engels beantwortete den Brief am 9. November 1889 (Br. 26). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 342/343. KORREKTURENVERZEICHNIS 22.26 22.27

conosce ] H conoscere mesi ] H mesi, ERLÄUTERUNGEN

22.2–7

Engels hatte sich seit 1887 mehrfach bemüht, Martignetti zu unterstützen, siehe Engels an Pasquale Martignetti, 26. Januar, 21. Mai und 20. Juni 1887, 10. Januar, 20. April 1888 sowie 9. und 20. Juli 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1101–K 1107). Das gegen ihn verhängte Urteil wurde vom Berufungsgericht in Neapel bestätigt. Der Kassationshof hob es im März 1890 auf und verwies das Verfahren an das Berufungsgericht zurück (siehe Br. 115.61–62). Dort wurde Martignetti endgültig am 17. Mai 1890 freigesprochen (siehe Br. 174.2–3). – Zur Unterstützung durch Paul Lafargue siehe Engels an Pasquale Martignetti, 30. November 1889 (Br. 43.3–7 und Erl.).

22.23–24

Der zitierte Satz stammt leicht geändert aus dem Brief von Engels an Martignetti vom 26. Januar 1887.

770

23 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 4. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/9 und d. 194. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 308 × 197 mm und einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 267 × 211 mm. Paul Lafargue hat die ersten vier Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage auf der vierten Seite und die Übersetzung des Gedichtes auf den übrigen Seiten (Z. 50–119) wurden von Laura Lafargue geschrieben; die fünfte und sechste Seite sind vollständig, die siebte zu drei Vierteln beschrieben, die achte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „161“; Bleistiftvermerke: auf der dritten Seite ist der Name „Chauvie`res“ (Z. 34) ausgeschrieben, auf der vierten Seite das Wort „[e´te´]“ (Z. 43) hinzugefügt und eine Passage (Z. 40–42) mit einem Kreuz am linken Rand versehen. Vermerke auf der fünften Seite: von Edward Avelings Hand oben rechts mit Tinte: „Delightful suitable for Time. N. A. “ (siehe auch Erl. 36.12); von unbekannter Hand oben links mit Bleistift: „traduit de Be´ranger“ Archivsignatur auf der fünften Seite: „I. 124.“ Paul und Laura Lafargue beantworten den Brief von Engels an Laura Lafargue vom 29. Oktober 1889 (Br. 19). Engels’ Antwort erfolgte am 16. November 1889 (Br. 32 und 33). Die Beilage (Z. 46–47) ist nicht überliefert (siehe auch Erl. 23.46–47). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 349– 351; die Übersetzung des Gedichtes wird hier erstmals veröffentlicht. KORREKTURENVERZEICHNIS 23.3

boulangistes ] H boulangiste ERLÄUTERUNGEN

23.3–4

Wilhelm Liebknecht hatte sich Engels gegenüber am 26. Oktober 1889 entsprechend geäußert, siehe Br. 18.11–15. Der Brief Liebknechts an Gabriel Deville ist nicht überliefert.

23.5

ge´ne´ral ] Georges Boulanger.

23.7–8

les cadettistes ] Siehe Erl. 1.49.

23.19–21

Franc¸ois Boule´, Mitglied des blanquistischen Comite´ re´volutionnaire central (siehe Erl. 1.54), wurde als Sekretär der Fe´de´-

771

23. Paul und Laura Lafargue an Engels · 4. November 1889

ration des chambres syndicales inde´pendantes abgesetzt, weil er bei den Wahlen zur Deputiertenkammer im Herbst 1889 auf der boulangistischen Liste kandidiert hatte. (Jean Vidal: Exe´cution d’un traıˆtre. Boule´ chasse´ des corporations ouvrie`res. In: Le Parti ouvrier. Paris. Nr. 299, 26. Oktober 1889. S. 1, Sp. 5/6.) Ernest Roche, dem Vidal ebenfalls vorgeworfen hatte, Boulanger zu unterstützen, verteidigte Boule´ in einem Artikel seiner Zeitung und führte an, daß Boule´ nicht von der Mehrzahl der 32 Mitglieder, sondern nur von einer knappen Mehrheit der anwesenden 18 Mitglieder abgesetzt worden sei (Ernest Roche: Le Citoyen Boule´. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3394, 29. Oktober 1889. S. 2, Sp. 3/4). 23.21–22

Engels hatte die Vermutung geäußert, Paul Lafargue wäre besonders an Antoine Jourde, einem führenden Mitglied des Parti ouvrier in Bordeaux, interessiert. Siehe Br. 19.53–55.

23.22–23

pendant la guerre franco-prussienne ] Gemeint ist der DeutschFranzösische Krieg 1870/1871.

23.25–37

Einige Tage später, am 14. November 1889, unterrichtete Laura Lafargue Engels über die Gründung einer parlamentarischen Gruppe mit sieben Mitgliedern und die Wahl von Jules Guesde zu deren Sekretär (siehe Br. 28.3–12 und Erl.). Zur Gruppe im Pariser Stadtrat siehe Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.70–74 und Erl.).

23.28

ce groupe ferait une de´claration ] Die Gruppe veröffentlichte eine Erklärung zur ihren Zielen und aktuellen Aufgaben; sie ist in einem nicht ermittelten Rundschreiben des Conseil national des Parti ouvrier Anfang November 1889 enthalten. Siehe: Les de´pute´s socialistes nouvellement e´lus ... In: L’Autonomie. Paris. Nr. 498, 17.–24. November 1889. S. 1, Sp. 2/3. Siehe auch die wenige Wochen später erschienene deutsche Übersetzung „Um jedoch, ihrer vollen Bedeutung nach ...“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 2, Sp. 1. Rubrik: Aus Frankreich.

23.31

du Congre`s international ] Siehe Erl. 1.6.

23.40–42

Ende 1889 erschienen folgende guesdistische Wochenzeitungen: „L’Action Sociale“ (Lyon), „Le Cri du Travailleur“ (Lille), „Le Salariat“ (Rouen), „Le Socialiste“ (Marseille), „Le Socialiste des Cevennes“ (Alais), in deren Redaktion Mitglieder des PO vertreten waren, und „La De´fense des travailleurs“ (St. Quentin). Laut einer Anzeige erschienen im September 1890 weiterhin Zeitungen der Partei in Lille, Rouen, Lyon; neu hinzugekommen waren „Le Reveil Social“ (Commentry), „La Question So-

772

Presseerzeugnisse des Parti ouvrier, Herbst 1890 Anzeige aus: Le Socialiste. Paris. Nr. 2, 28. September 1890. S. 4, Sp. 2 und 3

23. Paul und Laura Lafargue an Engels · 4. November 1889

ciale“ (Bordeaux) und „Le Peuple Picard“ (Amiens). (La Presse du Parti. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 2, 28. September 1890. S. 4, Sp. 3; Willard: Les guesdistes. S. 686, 688, 692, 695 und 697; Ze´vae`s: Jules Guesde. S. 104.) – Siehe auch die Briefe von Engels an Paul Lafargue vom 16. (Br. 32.37) und 18. November 1889 (Br. 36.4–10) sowie die Antwort von Paul Lafargue vom 17. November 1889 (Br. 35.42–43). Verschiedene Versuche, eine große sozialistische Pariser Tageszeitung zu veröffentlichen, konnten nicht oder nur für kurze Zeit verwirklicht werden. Das erneuerte Zentralorgan der Partei, „Le Socialiste“ (Paris), erschien wieder ab Mitte September 1890. Auch eine Pressekorrespondenz konnte nicht herausgegeben werden. (Siehe Erl. 35.18–25). 23.43

Zu Percy Roshers finanziellen Schwierigkeiten siehe Erl. 19.69.

23.46–47

ˇ ernysˇevskij Die Beilage ist nicht überliefert. Nikolaj Gavrilovicˇ C war am 29. Oktober 1889 gestorben. Wahrscheinlich handelt es sich bei der Beilage um den Nachruf von Ce´sar de Paepe: Tschernychevski. Nouvelles ine´dites sur sa vie et ses travaux; er erschien in: Le Peuple. Bruxelles. Nr. 307, 3. November 1889. Ausg. A. S. 1, Sp. 4, bis S. 2, Sp. 2. Zur Antwort von Engels am 16. November 1889 siehe Br. 32.50–54.

23.51–52

P[ierre]-J[ean] de Be´ranger: Le se´nateur. In: Derselbe: Chansons. Paris 1829. Siehe auch die Briefe von Engels an Laura Lafargue vom 16. November 1889 (Br. 33.10–15) und an Paul Lafargue vom 18. November (Br. 36.12–15) sowie die Antwort von Laura Lafargue vom 19. November 1889 (Br. 37.16).

775

24 A. Steinbach an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 5. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6019/L VIII 647–1. Fotosign. 14693a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 251 × 204 mm. Steinbach hat die erste Seite vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, Seite zwei und vier sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K“. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben links der Bleistiftvermerk „Bittbrief“. Die Beilage (Z. 10) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 24.10

776

Club in Bernerstr. ] Seit 1885 hatte die International Workingmen’s Educational Association, gegründet von jüdischen Sozialisten zur Unterstützung radikaler Bewegungen im Londoner East und West End, ihren Sitz in der Berner Street 40. Im Herbst 1890 begannen Auseinandersetzungen mit jüdischen Anarchisten, in deren Folge der Klub 1891 zerfiel. (Fishman: East End Jewish radicals ... S. 153, 193 und 197; Rocker: Aus den Memoiren ... S. 195 und 197.)

25 J. H. Johnson, Son & Ellis an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 7. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2514/L V 34. Fotosign. IZ 22, IZ 24. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, blauem Papier im Format 405 × 254 mm. Wasserzeichen: „Joynson Superfine“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Telegraphic Address ,Lincijohn‘, London. J. H. & J. Y. (gestrichen) Johnson, Son & Ellis. John Henry Johnson (gestrichen) James Yate Johnson. (gestrichen) Telephone No 2646. John Henry Johnson. James Yate Johnson. George Beloe Ellis.“ Oben rechts der Aufdruck: „47. Lincoln’s Inn Fields. London. W. C. ... 188 “ Die erste Seite hat ein Unbekannter vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Die Unterschrift stammt von einem Inhaber der Firma, Seite zwei und drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur auf der ersten Seite: „II 18 C III 20 a“, auf der zweiten Seite: „II 18 C III 20 a u. b.“ und „20 a“. Auf der zweiten Seite steht Engels’ Entwurf seines Antwortbriefes vom 15. November 1889 (siehe Br. 30). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 25.3–4

Engels unternahm zusammen mit Carl Schorlemmer in der Zeit vom 8. August bis 29. September 1888 eine Reise in die USA (Pohle: Engels in Amerika. S. 245–248). Der neue Dampfer „City of New York“ hatte einen Maschinenschaden, der die Abreise aus New York um einen Tag verzögerte. Siehe auch Friedrich Engels an Hermann Engels, 17. und 28. September 1888 (RGASPI Sign. f. 1. op. 1. d. 4776) und an Friedrich Adolph Sorge 10. Oktober 1888 (NYPL, Sorge Papers).

777

26 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Samstag, 9. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1108/K 474. Der Brief besteht aus einem Bogen starkem, weißem Papier im Format 218 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Viertel. Die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Martignettis vom 30. Oktober 1889 (Br. 22). Die Antwort Martignettis erfolgte am 23. November 1889 (Br. 40). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 344/345. ERLÄUTERUNGEN 26.17

Martignetti wurde im Mai 1890 freigesprochen. Siehe Erl. 22.2–7.

26.24–26

Einige Stichworte für diese Passage hatte Engels auf der vierten Seite des Briefes von Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889, notiert (siehe S. 770).

26.26–27

Engels bezog sich auf die Familien Rosher und Lafargue, siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.69).

778

27 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Berlin, Sonntag, 10. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5572/L VIII 213. Fotosign. 2216a–e. Der Brief besteht aus zwei Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 280 × 219 mm. Schmidt hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die Seiten sechs bis acht sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand auf der ersten Seite oben links der mit Tinte geschriebene Vermerk „Conr. Schmidt“. Schmidt beantwortet Engels’ Brief vom 17. Oktober 1889 (Br. 11). Die Antwort von Engels erfolgte am 9. Dezember 1889 (Br. 51). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 27.4–5

Engels hatte Schmidt vorgeschlagen, ihn formlos anzureden, siehe Br. 11.4–8.

27.6

Conrad Schmidt: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. Siehe Br. 11.4 und Erl.

27.8

meinen Eltern ] Heinrich Carl und Katharina Schmidt.

27.19–21

Von Schmidt fanden sich in dieser Zeit folgende Artikel: C[onrad] S[chmidt]: Die letzte Session des Kartellreichstages. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 43, 26. Oktober 1889. S. 1, Sp. 1/2; derselbe: Vor Sonnenaufgang. Ebenda. Nr. 44, 2. November 1889. Beibl. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1–3. In der Zeitung erschien weiterhin eine mit „X“ gezeichnete Artikelserie „Politische Übersicht“, von Nr. 44, 2. November bis Nr. 51, 21. Dezember 1889.

27.23

Voß bzw. Vossische Zeitung, eigentlich Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Die Zeitung war unter dem Namen des Besitzers als „Vossische Zeitung“ bekannt. Schmidt hatte zu diesem Zeitpunkt drei Beiträge veröffentlicht: Konrad Schmidt: Kant als Moralphilosoph. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 253, 2. Juni 1889. Morgenausg. Sonntags-Beil. Nr. 22. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1; derselbe: Bemerkungen zu

779

27. Conrad Schmidt an Engels · 10. November 1889

Ibsen’s bürgerlichen Schauspielen. Ebenda. Nr. 287. 23. Juni 1889. Morgenausg. Sonntags-Beil. Nr. 25. S. 3, Sp. 1, bis S. 4, Sp. 1; K[onrad] Schm[idt]: Paul Otto Schmidt: Das aristokratische Prinzip in Natur und Menschenleben. Ebenda. Nr. 443. 22. September 1889. Morgenausg. Sonntags-Beil. Nr. 38. S. 4, Sp. 3. Rubrik: Kunst, Wissenschaft und Literatur. 27.25 27.30

Redakteur der Vossischen Zeitung ] Georg Dumas. ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ ˙ ˙ ˙ Lewy ] Schmidt meinte vermutlich den Mitarbeiter der Zeitung Dr. Isidor Levy.

27.34–35

Der Artikel konnte nicht ermittelt werden.

27.35–36

Conrad Schmidt: Das Werthgesetz und die Profitrate. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 7. 1889. H. 10. S. 433–442. Schmidt hatte sich, wie er an Engels schrieb, in Leipzig als Privatdozent habilitieren wollen, aber die sächsische Regierung hatte sein Habilitationsgesuch in der zweiten Novemberhälfte 1888 nicht genehmigt (ebenda. S. 442, Anm.; Schmidt an Engels, 28. und 31. Dezember 1888, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5565)). Siehe auch Kampffmeyer: Die Lebensarbeit Conrad Schmidts. S. 899. August Bebel interpellierte im sächsischen Landtag wegen der Nichtzulassung Schmidts als Privatdozent. Der Kultusminister von Gerber erklärte, daß Schmidt nicht zugelassen worden wäre, weil er Mitglied der sozialdemokratischen Partei sei (Im sächsischen Landtag. In: Berliner Volksblatt. Nr. 26, 31. Januar 1890. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1).

27.36–37

Mehrings Artikel in der Volkszeitung konnte nicht ermittelt werden.

27.43

Wolffschen Broschüre ] Wilhelm Wolff: Die schlesische Milliarde. Siehe Br. 11.37–39 und Erl.

27.47

Georg Friedrich Knapp: Die Bauern-Befreiung ... 1887. Siehe Br. 11.36–37 und Erl.

27.52–53

Curt Baake: Die Tauben. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 28. Juli 1888. S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 31, 4. August 1888. Beibl. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp.1.

780

28 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 14. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 24/3. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 262 × 203 mm. Wasserzeichen: „L–J D L & Co“. Laura Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „63“; ein Bleistiftvermerk „[14. nov. 89]“ auf der ersten Seite oben rechts. Zur Datierung: Der an einem „Thursday“ geschriebene Brief steht im Zusammenhang mit dem Brief von Engels an Laura Lafargue vom 16. November 1889 (Br. 33), der offensichtlich der Antwortbrief ist. Der Donnerstag vor dem 16. November war der 14. November 1889. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 351/ 352.

ERLÄUTERUNGEN 28.3–4

Nach der Stichwahl hatte Paul Lafargue Verhandlungen über die Bildung einer sozialistischen Gruppe im Parlament mit E´douard Vaillant, Jules Guesde und Gabriel Deville aufgenommen, wie er Engels am 4. November schrieb (Br. 23.25–37 und Erl.). Er knüpfte damit an die sozialistische Gruppenbildung in der Deputiertenkammer während der vorangegangenen Legislaturperiode an, die jedoch vor 1889 gescheitert war. Jules Guesde sollte der Gruppe als Sekretär eine festere Struktur geben. Im überlieferten Briefwechsel hatte Engels zum ersten Mal im Brief an Paul Lafargue vom 3. Oktober (Br. 1.60–61) die Möglichkeit zur Bildung einer solchen Gruppe erwähnt. In Deutschland wurde bereits Anfang November über einen solchen Plan berichtet. („Die auf Grund eines ...“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 44, 2. November 1889. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Aus Frankreich.) – Eine ähnliche Gruppe sollte sich auch im Pariser Stadtrat konstituieren, siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November (Br. 23.32–36 und Erl. 23.25–37) sowie Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.70–74 und Erl.). Beide Gruppen sollte zudem in Kontakt miteinander und mit nicht gewählten Sozialisten treten und damit eine „repre´sentation centrale“ (Br. 23.36–37) der sozialistischen Partei bilden.

781

28. Laura Lafargue an Engels · 14. November 1889

In einem nicht ermittelten Rundschreiben des Comite´ national des Parti ouvrier von Anfang November 1889 wurden die Mitglieder dieser Gruppe – Engels sprach später, in Briefen an Friedrich Adolph Sorge und Natalie Liebknecht, von einer Fraktion (Br. 48.98–100 und Br. 63.51–52) – genannt. „Le Temps“ zählte acht Abgeordnete auf, die sich als Gruppe konstituierten: Gustave Cluseret, Christophe Thivrier, Euge`ne Baudin, Jean Benoıˆt Lachize, Valentin Couturier, Joseph Ferroul, Ferdinand The´ron und Antoine Boyer (Les de´pute´s ouvriers se constituent ... In: Le Temps. Paris. Nr. 10 416, 12. November 1889. S. 4, Sp. 3). Lafargue nannte später sieben Mitglieder, ohne The´ron (Lafargue: Die sozialistische Bewegung in Frankreich von 1876–1890. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 8. S. 337–353, hier S. 353). Der Abgeordnete The´ron, ein Vertreter linksbürgerlicher Gruppen (republikanische Linke, Radikalsozialisten), arbeitete von Fall zu Fall mit der sozialistischen Gruppe zusammen, siehe Charles Bonnier an Wilhelm Liebknecht, 25. November 1889 (IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. 75/15–16). Der „Sozialdemokrat“ berichtete von sechs Mitgliedern: The´ron und Couturier werden hier nicht genannt („Um jedoch, ihrer vollen Bedeutung nach ...“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 2, Sp. 1. Rubrik: Aus Frankreich). Zu der Gruppe gehörte zumindest später auch Gustave Franconie, der den Aufruf zum 1. Mai 1890 als Mitglied der Gruppe unterschrieb („Manifestation ouvrie`re des deux mondes“. IISG, Guesde-Nachlaß, Sign. 189/6; siehe auch S. 995). Siehe auch Laura Lafargue an Engels, 19. November 1889 (Br. 37.3–4 und Erl.). Ferroul und Thivrier traten nach der Wahl, Boyer 1890 dem Parti ouvrier (siehe Erl. 1.4) bei, dem Guesde und Dormoy bereits angehörten; Baudin war, wie Vaillant und Lachize, Mitglied des blanquistischen Comite´ re´volutionnaire central (siehe Erl. 1.54); Gustave Cluseret gehörte keiner Organisation an, ebenso Couturier. Zur Zugehörigkeit der gewählten Parlamentarier zu den verschiedenen sozialistischen Richtungen siehe Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 110/111; Willard: Les guesdistes. S. 607 und 614. Zu den Zielen der Gruppe siehe Erl. 23.28 und zu ihren Aktivitäten im Parlament Paul Lafargue an Engels, 17. November 1889 (Br. 35.35–36 und Erl.); zu den Einschätzungen von Engels siehe seine Briefe an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.70–74 und Erl.) und 23. Januar 1890 (Br. 96.85–88), an Paul Lafargue, 16. November 1889 (Br. 32.24–26), an Friedrich Adolph Sorge, 7. Dezember 1889 (Br. 48.98–100) und an Natalie Liebknecht, 24. Dezember 1889 (Br. 63.51–54).

782

Gesetzentwurf der Mitglieder der sozialistischen Gruppe in der französischen Deputiertenkammer im November 1889 Erste Seite der Vorlage

28. Laura Lafargue an Engels · 14. November 1889

28.7

Die Versammlung der Pariser Agglome´ration fand wahrscheinlich am 8. November 1889 statt. Die Agglome´ration bestand aus Organisationen in 10 Arrondissements, zwei literarischen Agenturen und den Jeunesses Socialistes (L’Agglome´ration parisienne. In: Parti Ouvrier. Paris. Nr. 265, 28. Dezember 1888. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 2). Die lokale Organisationsform der Agglome´ration in Paris bedeutete einen ersten Schritt hin zu einer föderalen Parteistruktur (Willard: Les guesdistes. S. 77, 107 und 117).

28.13–14

Christophe Thivrier trug angeblich auf Wunsch der Sozialisten von Commentry dieses Kleidungsstück, das die unterdrückten Arbeiter symbolisieren sollte (Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 58).

28.24

Das sozialistische Gemeinderatsmitglied von Cette, Martial Se´ne´gas, war 1889 Kandidat des Parti ouvrier im 3. Wahlkreis von Montpellier; er erhielt 16,7% der Stimmen. Se´ne´gas nahm als Delegierter am 3. Kongreß des Gewerkschaftsbundes 1888 in Bordeaux teil. (Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 17. S. 155.)

28.32–33

Engels hatte Laura Lafargue gegenüber am 8. Oktober 1889 geäußert, daß die französischen Sozialisten zu negativ auf den Wahlausgang reagierten. Siehe Br. 6.3–78.

28.36

Mme Zetkine & her boys ] Clara, Maxim und Konstantin Zetkin.

28.37–38

Eleanor Marx-Aveling unterstützte aktiv vor allem die GummiArbeiterinnen der Firma Silver in Silvertown. Der Streik um höheren Lohn und kürzere Arbeitszeit in der Gummi- und Kabelfabrik begann am 17. September 1889 und dauerte bis zum 10. Dezember 1889, insgesamt 85 Tage. Die Streikenden unterlagen, jedoch gelang es, einen Verband der Arbeiterinnen zu gründen, woran Eleanor Marx-Aveling beteiligt war. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 343/344, 347–350, 353 und 355–358; Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 97; Eleanor Marx (1855–1898). Life ... S. 7.) – Siehe auch Erl. 10.9–10.

28.43

the lilies of the field ] Die Bibel. Das Neue Testament. Evangelium des Matthäus 6, 28.

28.45

Kautsky is in London ] Siehe Erl. 19.80.

785

29 Friedrich Engels an August Bebel in Berlin London, Freitag, 15. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 95/K 57. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „47“ (gestempelt). Engels antwortet auf den Brief Bebels vom 17. Oktober 1889 (Br. 9). Die Beilage (Z. 58) ist nicht überliefert (siehe auch Erl. 29.58). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 157– 160; in der Sprache des Originals: Engels: Briefe an Bebel (1958). S. 160–162.

VARIANTENVERZEICHNIS

29.54–56

Ausgabe $berichtigten ñ ˙˙˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ meine Berichte gelesen über die Agitation von Guesde, Lafargue &c während der letzten Wochen > die Berichte bis Wochen erhalten

29.65

Kandidaten > Deputirten

29.5

ERLÄUTERUNGEN 29.4–7

Zu Engels’ Arbeit am „Kapital“ siehe Br. 8.15–19 und Erl.

29.8

Conrad Schmidt: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. Siehe Br. 11.4 und 9–19 sowie Erl. 11.9.

29.16–18

Siehe August Bebel an Engels, 17. Oktober 1889 (Br. 9.21–24).

29.24–25

in Form des Boulangismus ] Siehe Erl. 1.49.

29.26–27

Engels könnte mit der einen Leitung die Fe´de´ration nationale des syndicats gemeint haben, deren dritter Nationalkongreß vom 28. Oktober bis 4. November 1888 in Bordeaux und Le Bouscat getagt hatte. Der Parti ouvrier besaß großen Einfluß in diesem Gewerkschaftsbund. Siehe Erl. 5.38. Die Konferenz von Troyes vom 23.–30. Dezember 1888 war ursprünglich von der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France als zehnter Jahreskongreß der Partei geplant worden. Als die Arbeitervereine von Troyes darauf bestanden, Soziali-

786

29. Engels an August Bebel · 15. November 1889

sten aller Richtungen, also auch den Parti ouvrier, einzuladen, verweigerte das Comite´ national der FTSF die Teilnahme. (Zwei sozialistische Kongresse ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 52, 23. Dezember 1888. S. 3, Sp. 2; Blum: Les congre`s ouvriers ... T. 2. S. 110–112; Ze´vae`s: Le syndicalisme contemporain. S. 110/111; Seidel: Deutsche Sozialdemokratie und Parti ouvrier ... S. 169.) 29.34

einen Kongreß ] Der Internationale Arbeiter-Kongreß, der vom 14.–20. Juli 1889 in der Salle Pe´trelle tagte und vom Parti ouvrier sowie dem blanquistischen Comite´ re´volutionnaire central organisiert worden war. Siehe Erl. 1.6.

29.38

auf dem der Possibilisten ] Vom 15.–20. Juli fand in Paris in der Salle de l’Union du commerce et de l’industrie an der Rue de Lancry ein internationaler sozialistischer Arbeiterkongreß statt, der von den französischen Possibilisten (siehe Erl. 1.7) im Zusammenwirken mit der Social Democratic Federation (siehe Erl. 10.19) einberufen worden war. Sie waren von der internationalen Konferenz in London vom 6.–10. November 1888, die der Trades Union Congress organisiert hatte, damit beauftragt worden. (Report of the International Trades Union Congress ...; Compte-rendu Paris 1889. S. 28–43; zu den Resolutionen des Kongresses siehe ebenda. S. 68, 73, 79–81 und 84–88; Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 77–81. Siehe auch Erl. 1.6.)

29.44–45

das Soz. Gesetz ] „Gesetz gegen die gemeingefährlichen Bestrebungen der Sozialdemokratie“. Siehe Erl. 9.64.

29.57–62

Jules Guesde erhielt in der Stichwahl 2311, sein siegreicher Gegenkandidat, Auguste Bouge, 2881 Stimmen. Auf Euge`ne Protot entfielen 919 Stimmen. (Ze´vae`s: Jules Guesde. S. 103; Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 160/161. Siehe auch Erl. 5.3–4.)

29.58

Proklamation ] Flugblatt von Protot gegen Guesde. Ein Auszug ist in Ze´vae`s: Jules Guesde. S. 102 veröffentlicht. Es wurde vollständig in einem Flugblatt des Parti ouvrier, Section de Marseille unter der Überschrift „Aux groupes du Parti ouvrier et aux Organisations ouvrie`res de France“ wiedergegeben (IISG, Guesde-Nachlaß, Sign. 183/9). Das Flugblatt Protots erschien auf Deutsch, zitiert nach „Le Cri du Travailleur“, unter der Überschrift „Bürger!“ in: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 43, 26. Oktober 1889. S. 4, Sp. 2. Rubrik: Frankreich.

29.67–68

Antoine Boyer wurde im 5. Wahlbezirk von Marseille im zweiten Wahlgang mit 6551 Stimmen gegen 4367 Stimmen für seinen

787

29. Engels an August Bebel · 15. November 1889

Gegenkandidaten gewählt (Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 161). 29.69–70

Jetzt also bis gewählt ] Zur Bildung einer Gruppe in der Deputiertenkammer siehe Erl. 28.3–4.

29.70–74

Die Gruppe im Pariser Stadtrat bestand aus Augustin Daumas, Charles Longuet, E´douard Vaillant, Alphonse Humbert und Emmanuel Chauvie`re. Am 4. November hatte Paul Lafargue Engels gegenüber (Br. 23) eine solche Gruppenbildung durch Vaillant angekündigt und erklärt, daß diese Gruppe mit derjenigen im Parlament (siehe Erl. 28.3–4) zusammenarbeiten werde. Zu den Blanquisten siehe Erl. 1.54.

29.78

Bebel hatte erwähnt, daß Auer erkrankt war, siehe Br. 9.73–74 und Erl.

29.80–84

Siehe Erl. 29.8.

29.90

Deine Frau ] Julie Bebel.

29.90

Doktorin der Medizin ] Frieda Bebel.

788

30 Friedrich Engels an J. H. Johnson, Son & Ellis in London London, Freitag, 15. November 1889 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 598/L V 34. Fotosign. JZ23. Engels hat den Entwurf seiner Antwort auf der zweiten Seite des Briefes von J. H. Johnson, Son & Ellis vom 7. November 1889 (Br. 25) geschrieben (siehe S. 777). Er hat die zweite Seite des Bogens vollständig beschrieben, die dritte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Datierung ergibt sich aus der Antwort der Firma J. H. Johnson, Son & Ellis vom 16. November 1889 (Br. 34.3). Engels antwortet auf den Brief der Firma J. H. Johnson, Son & Ellis vom 7. November 1889 (Br. 25). Die Firma J. H. Johnson, Son Ellis antwortete am 16. November 1889 (Br. 34). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 160– 161; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 405. VARIANTENVERZEICHNIS 30.6–7

: and : eventually : name the author of :

30.7

expressions > reports.

30.7–8

passengers or officers > passengers, officers

30.8

1 detrimental toþ sailors 2 as far as they may have been disparaging to the officersþ ˙ ˙ ˙˙ 3 ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ disrespectful towards ˙the

30.10

were evidently > could only be

30.10

confidence > expectation

30.13

informer $out of p ñ

30.15

as such > in that case

30.19

: have the honour to :

30.21

shall > will ERLÄUTERUNG

30.17–20

Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 10. Oktober 1888 mit Engels’ Anmerkungen zum Dampfer und seiner Maschinerie (NYPL, Sorge Papers).

789

31 Swan Sonnenschein, Lowrey, & Co. an Friedrich Engels in London London, Freitag, 15. November 1889

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie (RGASPI, Sign. f. 458, op. 4, d. 190), angefertigt vom Kopiebuch des Verlags Swan Sonnenschein, Lowrey, & Co. Soweit aus der Kopie zu ersehen ist, nimmt der Brief die Hälfte einer Seite ein und ist wahrscheinlich von einem Mitarbeiter des Verlages, J. Tilney, geschrieben; die Unterschrift ist in der Fotokopie schlecht lesbar. Von unbekannter Hand oben in der Mitte, teilweise überliefert: „Not having heard from you we assume that there are no postal [...]“. Numerierung auf der ersten Seite oben rechts: „85“ (gestempelt). Der Absender ergibt sich aus dem Inhalt des Briefes: Der Verlag Swan Sonnenschein, Lowry, & Co. hatte die englische Ausgabe des ersten Bandes des „Kapitals“ von Marx 1887 verlegt. Die Beilage (Z. 6) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 31.4

790

Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9).

32 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 16. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5703. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 270 × 166 mm. Engels hat die erste und die dritte Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Wasserzeichen: „1884“. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „+G11“. Von unbekannter Hand: die Anstreichung (Z. 40–50) und ein Kreuz (Z. 40) mit Bleistift am linken Rand der zweiten Seite. Engels antwortet auf den Brief Paul Lafargues vom 4. November 1889 (Br. 23). Die Antwort Lafargues erfolgte am 17. November 1889 (Br. 35). Erstveröffentlichung: gekürzt: Bottigelli: Extraits ine´dits ... (1955). S. 24; vollständig: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 354–356. VARIANTENVERZEICHNIS 32.9

xx > s’il

32.53

avec > vu KORREKTURENVERZEICHNIS

32.44

course ] H Course ERLÄUTERUNGEN

32.3–4

Siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.3–4). Zur Diskussion über die Einschätzung des Boulangismus siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.55–58 und Erl.) sowie Erl. 1.49.

32.5

ge´ne´ral ] Georges Boulanger.

32.8

Euge´nie ] Eugenia Maria de Montijo de Guzman, condesa de Teba.

32.9–11

Ce soir bis deux. ] Vermutlich anonymer Spottvers aus Paris anläßlich der Hochzeit von Euge´nie und Napole´on III. (Ridley: Napole´on III and Euge´nie. S. 341–343.)

32.23

les possibilistes ] Siehe Erl. 1.7.

791

32. Engels an Paul Lafargue · 16. November 1889

32.24–26

Siehe Engels an Gerson Trier, 18. Dezember 1889 (Entwurf): „Damit am Tag der Entscheidung das Proletariat stark genug ist zu siegen, ist es nöthig – & das haben Marx & ich seit 1847 vertreten – daß es eine besondre Partei bildet, getrennt von allen andern & ihnen entgegengesetzt, eine selbstbewußte Klassenpartei.“ (Br. 57.13–16.) In diesem Brief setzte Engels sich ausführlich mit der Frage auseinander, ob und wenn ja, wann eine solche proletarische Partei mit anderen Parteien zusammenarbeiten oder, wie Engels es ausdrückte, „andre Parteien zu ihren Zwecken benutzen kann“ (Br. 57.17–18).

32.31–32

Zur Auseinandersetzung um Franc¸ois Boule´ siehe Br. 23.19–21 und Erl.

32.35

Votre plan est tre`s bon s’il est exe´cutable ] Zur Errichtung einer „repre´sentation centrale“ (Paul Lafargue) bzw. eines „Centralkomite´[s]“ (Engels) siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.36–37) und Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.70–74 und Erl.); siehe auch Laura Lafargue an Engels, 14. November 1889 (Br. 28.3–12 und Erl.).

32.37

Vous me parlez toujours de vos journaux de province ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.40–42 und Erl.).

32.50–52

Siehe Br. 23.46–47 und Erl.

32.52–53

Nikolaus Gawrilowitsch Tschernyschewsky. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 11, 8. November 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2.

32.55

Maintenant pour Laura ] Siehe Br. 33.

792

33 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 16. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5836. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 179 mm. Wasserzeichen: „Brookleigh Fine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „43“. Engels beantwortet den Brief Laura Lafargues vom 14. November 1889 (Br. 28). Laura Lafargue antwortete nach dem 19. November 1889 (Br. 37). Zur ersten Beilage (Z. 3) siehe Br. 32, die zweite (Z. 56) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: gekürzt in französischer Übersetzung: Bottigelli: Extraits ine´dits ... (1955). S. 24; vollständig in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 356/357. VARIANTENVERZEICHNIS 33.35

more than > about ERLÄUTERUNGEN

33.6

Sonnenschein’s cheque ] Siehe Br. 31.

33.10–15

P[ierre]-J[ean] de Be´ranger: Le Se´nateur. Zur Übersetzung durch Laura Lafargue siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.54–119 ) sowie Engels an Paul Lafargue, 18. November 1889 (Br. 36.12–15 und Erl.).

33.19

Thivrier’s blouse ] Siehe Br. 28.13–22 und Erl.

33.26

The wise men of Cette ] Siehe Br. 28.23–26 und Erl.

33.34

Kautsky is in London ] Siehe Br. 28.45.

33.40

my poor wife ] Elizabeth Burns. Zu der Beziehung siehe Mettele: Mary und Lizzie Burns. S. 140–149.

33.46–49

Siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.69).

33.47

Kilburn ] Die Adresse der Familie Rosher war 11 Burton Road, Kilburn, London N. W.

33.49

his brother Charlie ] Gemeint ist vermutlich Charles Howard Rosher, der im Januar 1890 Percy Rosher beschäftigte, siehe dessen Brief an Engels vom 7. Januar 1890 (Br. 75.15–27).

793

33. Engels an Laura Lafargue · 16. November 1889

33.52

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). Siehe Erl. 8.17.

33.52

to my III vol. ] Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe Erl. 8.16.

33.58

Die sozialdemokratische Frauenrechtlerin Gertrud Schack war nach ihrer Ausweisung aus Hessen-Darmstadt nach England emigriert und verkehrte dort bei Engels. Sie brach diesen Verkehr mit der Begründung ab, sie befürchte, dort Edward Aveling zu begegnen. Schack warf Aveling unehrenhaftes Verhalten vor, ohne ihre Vorwürfe weiter zu belegen. (Gebhardt, Wischermann: Gertrud Guillaume-Schack ... S. 36; Kautsky: Mein dritter Aufenthalt in London. S. 167/168.) – Die unter dem Pseudonym John Law bekannte Schriftstellerin Margaret Harkness verkehrte ebenfalls in Engels’ Haus und brach mit einer ähnlichen Begründung wie Schack diesen Kontakt ab. (Dictionary of Labour biography. Vol. 8. S. 108; Weissweiler: Tussy Marx. S. 273–275.)

794

34 J. H. Johnson, Son & Ellis an Friedrich Engels in London London, Samstag, 16. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2515/L V 35. Fotosign. IZ25. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, blauem Papier im Format 202 × 251 mm. Wasserzeichen: „Joynson Superfine“. Der Brief trägt den Aufdruck der Firma J. H. Johnson, Son & Ellis (siehe S. 777). Die erste Seite hat ein Unbekannter vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte. Die Unterschrift stammt wahrscheinlich von einem Inhaber der Firma. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Firma J. H. Johnson, Son & Ellis antwortet auf den Brief von Engels vom 15. November 1889 (Br. 30). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 34.7

Engels war über eine Anfrage der Kanzlei (siehe Br. 25) ungehalten. Siehe Br. 30.

795

35 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 17. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/10. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 308 × 197 mm. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „162“. Ein Bleistiftvermerk, vermutlich „113“, neben der Numerierung ist auf der Originalhandschrift ausradiert, die Striche mit lilafarbenen Stift neben der Unterschrift sind unlesbar. Lafargue beantwortet Engels’ Brief vom 16. November 1889 (Br. 32). Engels antwortete am 18. November 1889 (Br. 36). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 360/ 361.

ERLÄUTERUNGEN 35.4

Percy ] Percy Rosher. Siehe Br. 19.69.

35.4–6

Engels schickte einen Scheck über 20 £. Siehe Br. 36.3.

35.11–12

In den Dezember-Ausgaben 1889 der von Juliette Adam geleiteten Zeitschrift „La Nouvelle Revue“ ist kein Artikel von Paul Lafargue nachweisbar.

35.13

Annales ] „Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik“.

35.16–17

Paul Lafargue: Die Kriminalität in Frankreich von 1840 bis 1886. Untersuchungen über ihre Entwicklung und ihre Ursachen. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 1. S. 11–23; H. 2, S. 56–66; H. 3. S. 106–116.

35.18–25

Zur Vorbereitung der Gemeindewahlen im Frühjahr und der Agitation für den Ersten Mai 1890 suchten verschiedene Mitglieder des Parti ouvrier und des blanquistischen Comite´ re´volutionnaire central sowie Personen aus dem Umkreis dieser Organisationen nach Wegen, um eine große sozialistische Tageszeitung zu gründen und zu finanzieren. Es lassen sich vier Initiativen nachweisen: 1) Jules Guesde und der Abgeordnete Joseph Daumas planten, zunächst mit der Zustimmung von Paul Lafargue, einen in Argentinien tätigen spanischen Millionär, Pau´l y Angelo, als Fi-

796

35. Paul Lafargue an Engels · 17. November 1889

nanzier zu gewinnen. Im Januar 1890 stieg die erwartete Investition von 100 000 auf 500 000 Francs, die eine erste Rate einer Gesamtsumme von 5 Mio Francs darstellen sollte. (Siehe Charles Bonnier an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 84.13–14 und Erl.), Laura Lafargue an Engels, 19. November 1889 (Br. 37.26–28) und 11. Januar 1890 (Br. 81.27–41) sowie Paul Lafargue an Engels, 17. Januar 1890 (Br. 91.38–40).) 2) Der Druckereibesitzer Victor Peragallo, der die Tageszeitung „Le Combat“ veröffentlichte, bot an, diese Zeitung künftig von einer Redaktion aus Mitgliedern linker sozialistischer Organisationen gestalten zu lassen. (Siehe Charles Bonnier an Engels, 18. Dezember 1889 (Br. 56.4–23), Paul Lafargue an Engels, 24. Dezember 1889 (Br. 64.5–15), Laura Lafargue an Engels, 10. Januar (Br. 78.5–8) und 11. Januar 1890 (Br. 81.6–18).) ´ galite´“, 3) Jules Roques, der Finanzier der Tageszeitung „L’E verhandelte u. a. mit E´douard Vaillant über eine erneute Beteiligung von sozialistischen Redakteuren, die er im März 1889 entlassen hatte. (Siehe Laura Lafargue an Engels, 10. Januar (Br. 78.11–26) und 11. Januar 1890 (Br. 81.19–26) sowie Paul Lafargue an Engels, 17. Januar 1890 (Br. 91.4–37).) 4) Der Abgeordnete Gustave Cluseret, Mitglied der sozialistischen Parlamentsgruppe, suchte unabhängig von diesen Initiativen die Unterstützung von Unternehmern für die Gründung einer Zeitung zu gewinnen. (Siehe Laura Lafargue an Engels, 10. Januar (Br. 78.27–29) und 11. Januar 1890 (Br. 81.42).) – Engels betrachtete die Initiativen mit Skepsis. (Siehe Engels an Natalie Liebknecht, 24. Dezember 1889 (Br. 63.49) sowie an Laura Lafargue, 8. Januar (Br. 76.37–69) und 16. April 1890 (Br. 149.94–101).) Verwirklicht wurde im Frühjahr 1890 zum einen die redaktionelle Übernahme des „Combat“ durch eine sozialistische Redaktion. Sie wurde zwischen dem 19. März und dem 31. Mai 1890 von Antide Boyer geleitet. Während die Mehrheit der sozialistischen Redakteure ihre Mitarbeit an der Zeitung Ende Mai einstellte, verließ Boyer die Zeitung erst im August 1890. Weiterhin veröffentlichte das CRC ab 9. März 1890 die Wochenzeitung „Le Parti Socialiste“. (Siehe Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.83–84); Willard: Les guesdistes. S. 696. Siehe auch Paul und Laura Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.40–42 und Erl.) sowie Charles Bonnier an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 84).) Zudem plante Guesde in dieser Zeit, ein internationales sozialistisches Korrespondenzbüro einzurichten. (Bonnier: Les souvenirs ... S. 193/194; Erl. 84.75–76; Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.98).)

797

35. Paul Lafargue an Engels · 17. November 1889

35.18–19

Zur sozialistischen Gruppe in der Deputiertenkammer siehe Erl. 28.3–4.

35.27

Bei den Parlamentswahlen 1885 war Paul Lafargue u. a. im Bezirk Allier angetreten. Er erhielt ca. 2200 Stimmen in der Hauptwahl und kandidierte nicht in der Stichwahl. (Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 39/40.)

35.35–36

Der erste Antrag der sozialistischen Gruppe im Parlament betraf die Streiks in den Minen in der Region von Lens und an der Loire. Siehe „Der erste Antrag ...“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 2, Sp. 1/2. Rubrik: Aus Frankreich. – In diesem Artikel von Januar 1890 werden auch weitere Anträge der Gruppe vorgestellt.

35.40–41

Siehe Engels an Paul Lafargue, 16. November 1889 (Br. 32) sowie an Laura Lafargue, 16. November 1889 (Br. 33 und Erl. 33.6).

35.42–43

Engels hatte den Austausch der französischen Provinzpresse mit englischen und deutschen Zeitungen nachdrücklich befürwortet. Siehe Engels an Paul Lafargue, 16. November 1889 (Br. 32.35–48). – Zu den einzelnen Zeitungen siehe Paul Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.40–42 und Erl.) sowie Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149).

798

36 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Montag, 18. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5856. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 109 × 177 mm. Wasserzeichen: „ST Ma[rgarets] Sup[erfine]“ und eine Krone mit zwei Blumen. Engels hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Beilage (Z. 3) ist nicht überliefert. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „16“. Engels beantwortet den Brief Paul Lafargues vom 17. November 1889 (Br. 35). Laura Lafargue antwortete nach dem 19. November 1889 (Br. 37). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 361/ 362.

VARIANTENVERZEICHNIS 36.6

autres $retou ñ

ERLÄUTERUNGEN 36.3

Paul Lafargue hatte Engels am 17. November 1889 um finanzielle Unterstützung gebeten. Siehe Br. 35.3–6.

36.4–10

Siehe Br. 35.42–44 und Erl.

36.11

Les Pumps ] Mary und Percy Rosher mit ihrer Tochter Lilian und ihrem Sohn. Siehe auch Engels an Laura Lafargue, 16. November 1889 (Br. 33.46–49). – Ein spätestens im September 1883 geborener Sohn (Engels an Karl Kautsky, 18. September 1883, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 622) war bereits am 18. Mai 1884 gestorben (Engels an Laura Lafargue, 26. Mai 1884, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5809). Am 1. Januar 1885 berichtete Engels Laura Lafargue von einem gesunden Baby, einem Jungen (ebenda, d. 6136), der sich, wie Engels ihr am 7. Juni 1887 schrieb, prächtig entwickelte (ebenda, d. 5690).

36.12

P[ierre]-J[ean] de Be´ranger: Le Se´nateur. Zur Übersetzung von Laura Lafargue siehe Br. 23.54–119 und Erl. sowie Br. 33.10–15 und Erl. – Auf dem Blatt mit dem Gedicht hatte

799

36. Engels an Paul Lafargue · 18. November 1889

Edward Aveling vermerkt, dass es sehr geeignet für die „Time“ wäre (siehe S. 771). Ein Abdruck in der „Time“ konnte nicht ermittelt werden.

800

37 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, nach Dienstag, 19. November 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 24/4. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 221 × 177 mm. Laura Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Wasserzeichen: „Continental“ und eine Krone. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: mit Bleistift auf der ersten Seite Numerierung: „64“ und die Datierung: „[Fin novembre 89]“; „men“ (Z. 6), und „deathbed“ (Z. 20) über dem entsprechenden Wort im Manuskript ausgeschrieben; „[give]“ über dem Wort „are“ (Z. 17) hinzugefügt. Laura Lafargue beantwortet die Briefe von Engels an sie vom 16. November (Br. 33) und an Paul Lafargue vom 18. November 1889 (Br. 36). Zur Datierung: Der Brief steht im Zusammenhang mit den Briefen von Engels vom 16. November (Br. 33) und vom 18. November (Br. 36). Darin geht es um die Absendung der Schecks von Swan Sonnenschein (siehe Br. 33.6 und Br. 36.3), worauf Laura Lafargue nicht „at once“ antwortete (Z. 2). Weiterhin erwähnt Laura Lafargue hier „our Punch-Conference“ (Z. 3–4), die wahrscheinlich am 19. November stattfand, siehe Erl. 37.3–4. Daher ist der Brief vermutlich unmittelbar danach geschrieben worden. Datierung der Erstveröffentlichung: Ende November 1889. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 362/ 363.

ERLÄUTERUNGEN 37.2

Siehe Br. 33.6 und 36.3 sowie Paul Lafargue an Engels, 17. November 1889 (Br. 35.3–6).

37.3–4

our Punch-Conference ] Hiermit ist wahrscheinlich die öffentliche Versammlung der Pariser Sozialisten am 19. November 1889 gemeint, auf der die Bildung einer sozialistischen Gruppe in der Deputiertenkammer aus Abgeordneten des Parti ouvrier, der Blanquisten und unabhängiger Sozialisten (siehe Erl. 28.3–4) gefeiert wurde (Lafargue: Die sozialistische Bewegung ... 1890. S. 353).

37.12

Silvertown ] Zum Streik in Silvertown siehe Erl. 10.9–10, 28.37– 38 und 38.24–26.

37.16

Pierre Jean de Be´ranger: Le Se´nateur. Siehe Br. 33.10–15 und Erl.

801

37. Laura Lafargue an Engels · 19. November 1889

37.20

Lafargues waren Ende 1887/Anfang 1888 von Paris nach Le Perreux umgezogen, siehe Laura Lafargue an Engels, 16. Januar 1888 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 23/1).

37.21–23

Siehe William Morris an Laura Lafargue, 25. März 1889 (Morris: The collected letters. Vol. 3. S. 48/49). Folgende Übersetzungen von Gedichten Euge`ne Pottiers durch Laura Lafargue wurden veröffentlicht: Buried alive. In: The Commonweal. London. Nr. 170, 13. April 1889. S. 115, Sp. 2; Plenty. Ebenda. Nr. 185, 27. Juli 1889. S. 237, Sp. 2; Blanqui. Ebenda. Nr. 193, 21. September 1889. S. 301, Sp. 1; Marguerite. Ebenda. Nr. 196, 12. Oktober 1889. S. 325, Sp. 2; The Anthropophagite. Ebenda. Nr. 207, 28. Dezember 1889. S. 411, Sp. 2 und Don Quixote. Ebenda. Nr. 222, 12. April 1890, S. 115, Sp. 2.

37.26–28

Zu dem auf Joseph Daumas und Jules Guesde zurückgehenden und von Paul Lafargue unterstützten Plan zur Gründung einer sozialistischen Tageszeitung siehe Erl. 35.18–25.

37.29–30

William Shakespeare: Midsummer night’s dream. Act 5, Scene 1, Verse 17.

802

38 Friedrich Engels an Jules Guesde in Paris London, Mittwoch, 20. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 558/K 219. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „ST. Margarets Superfine“ und eine Krone mit zwei Blumen. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig, die vierte zur Hälfte beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965) S. 261– 265; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. VARIANTENVERZEICHNIS 38.11

chaıˆne longue > longue chaıˆne KORREKTURENVERZEICHNIS

38.43

Non, cela ] H Non cela ERLÄUTERUNGEN

38.4

Ein Brief von Eleanor Marx-Aveling an Engels vom 19. oder 20. November 1889 ist nicht überliefert.

38.5

Ein Brief von Charles Bonnier an Engels, geschrieben vor dem 20. November 1889, ist nicht überliefert.

38.7–10

Zum Streik in Silvertown siehe Erl. 28.37–38.

38.11

la gre`ve des docks ] Siehe Erl. 10.9–18.

38.24–26

Edward Aveling war am 16. Oktober 1889 nach Paris gereist, um zu verhindern, daß französische Streikbrecher in den Betrieb in Silvertown geschickt würden. Am 16. Oktober war er im Betrieb in Beaumont, ohne einen Erfolg zu erzielen. Siehe auch Edward Aveling: La gre`ve de Silvertown. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3396, 31. Oktober 1889. S. 2, Sp. 3. Aveling erklärte hier, daß französische Arbeiter direktes Interesse am Konflikt hätten, weil die Firma auch einen Betrieb in Frankreich habe. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 343/344, 347–350, 353 und 355– 358; Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 97.) Siehe auch Erl. 10.9–18.

803

38. Engels an Jules Guesde · 20. November 1889

38.29

Telegramme von Eleanor Marx-Aveling an Paul Lafargue und E´douard Vaillant, übersandt vor dem 20. November 1889, sind nicht überliefert.

38.40–41

Engels bezieht sich auf den Deutsch-Französischen Krieg 1870/1871.

38.46–49

Eine Korrespondenz mit Edouard Anseele zum Streik der Hafenarbeiter von 1889 ist nicht überliefert; siehe Vermote, Callesen: Brieven aan Engels. S. 22–24.

38.53–54

Zur Niederlage von Guesde in Marseille in den Wahlen im Herbst 1889 siehe Erl. 5.3–4 sowie den Austausch zwischen Bebel und Engels darüber im Oktober/November 1889 (Br. 9.21–24 und 29.57–68 sowie Erl. 29.57–62).

38.56

ni Ferry ni Boulanger ] Vor den Parlamentswahlen im Herbst 1889 hatten die linken Organisationen in der französischen Arbeiterbewegung (PO, CRC und Congre`s National Socialiste de Troyes) im August 1889 einen Aufruf „Aux travailleurs de France. Ni Ferry, ni Boulanger!“ erlassen (Louis: Le Parti socialiste en France. S. 360–362).

804

39 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 21. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5894/L VIII 539. Fotosign. 11175. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Die Rückseite hat Sorge vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „HOBOKEN / N. J. / NOV 21 / 330 PM“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Antwort von Engels erfolgte am 7. Dezember 1889 (Br. 48). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 39.1

xbd ] Kreuzband.

39.1

Die Nummer konnte nicht ermittelt werden, der Jahrgang der Zeitung ist nicht überliefert (Arndt, Olson: Die deutschsprachige Presse der Amerikas. S. 122).

39.3

Mitarbeiter an der „Neue Zeit“ ist ] Philipp Rappaport veröffent˙ lichte zwischen ˙1889 und 1907 mehrere Artikel in der „Neuen Zeit“.

39.4

Glückwünsche ] Engels hatte am 28. November Geburtstag.

805

40 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Samstag, 23. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3746/L V 533. Fotosign. 8479a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen feinem, weißem, liniertem Papier im Format 271 × 210 mm. Martignetti hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: violette Tinte. Martignetti beantwortet Engels’ Brief vom 9. November 1889 (Br. 26). Engels antwortete am 30. November 1889 (Br. 43). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 345/346.

KORREKTURENVERZEICHNIS 40.41

universitario ] H universatorio

ERLÄUTERUNGEN 40.3

Eine Druckausgabe der Verteidigung Martignettis 1889 durch Enrico Pessina war nicht zu ermitteln.

40.21

mia moglie ] Giuseppina Collarile.

40.21–22

due piccoli figli ] Salvatore und Igino Martignetti.

40.33–35

Quittung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 41, 12. Oktober 1889. S. 4, Sp. 3: „Genosse P. Lafargue bittet uns folgende Summen zu quittiren ... Professor A. Labriola in Rom Frk 10.–“.

40.36

Vorlesungsmanuskripte liegen nicht vor (Nikititsch: Antonio Labriola. S. 69). Auf der Grundlage seiner Vorlesungen veröffentlichte Labriola: La presa della Bastiglia. In: Satana. Roma. Nr. 7, 14. Juli 1889; Neudr. in: Derselbe: Scritti varii editi e inediti ... S. 336–343. Siehe Antonio Labriola an Engels, 3. April 1890 (Br. 132.36–42).

40.42–43

Labriola hielt am 20. Juni 1889 einen Vortrag vor dem Circolo operaio romano di studi sociali (Garin: Antonio Labriola. S. 26 und 28); Antonio Labriola: Del socialismo. Conferenza. Roma 1889.

806

40. Pasquale Martignetti an Engels · 23. November 1889

40.43

Labriola war seit 1877 Direktor des Museo di istruzione e di educazione. Das „Museo“ gehörte zum pädagogischen Lehrstuhl der Universität. (Garin: Antonio Labriola. S. 23.)

40.47–48

Engels veranlaßte Lafargue, sich bei Labriola für Martignetti einzusetzen, siehe Br. 43.3–7 und Erl.

807

41 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Dienstag, 26. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1033/L III 23–16. Fotosign. 1289. Der Brief besteht aus einem Bogen blauem, kariertem Papier im Format 270 × 208 mm. Daniel’son hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite bis vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Für den Brief (Z. 4–14) ist ein Entwurf in russischer Sprache überliefert (siehe Wiedergabe des Entwurfs). Daniel’son beantwortet den Brief von Engels vom 4. Juli 1889 (British Library. Add MSS.38075, f 50–51), Engels antwortete am 5. Dezember 1889 (Br. 46). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. Wiedergabe des Entwurfs Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 4969. Der Entwurf besteht aus einem Blatt weißem, mittelstarkem, liniertem Papier im Format 172 × 213 mm. Die erste Seite hat Daniel’son vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte. Auf der zweiten Seite befindet sich der Entwurf seines Briefes an Paul Lafargue, geschrieben vermutlich am gleichen Tag (siehe Erl. 41.12–13). Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite am unteren Rand der Bleistiftvermerk „14 ноября“; Paginierung der beiden Seiten „1“ und „2“. Archivsignatur: „17/180“. Der Entwurf wird hier erstmals veröffentlicht. Очень благодарю Васъ за Fullarton’s Regulation of currencies, сочиненіе ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ ˙ это у меня никогда не было въ рукахъ. Нынѣшней весной Вы прислали рукопись Лафарга для помѣщенія въ ˙ ˙˙ ˙ Сѣверном Вѣстнике Я тотчасъ же передалъ ее редактору, прося его са˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ мого написать объ условіяхъ автору по данному Вами адресу. Редакція тогда же написала ему 1) прося разрѣшенія выкинуть тѣ мѣста статьи, которыя по нашимъ цензурнымъ условіямъ не могутъ быть напечатаны у насъ, 2) спрашивая его нѣтъ ли у него еще какой нибудь экономич. работы для помѣщенія въ С. В. и если есть то что именно. На это письмо редакція не получила никакого отвѣта, возможно что или самое письмо или отвѣтъ на него пропали. Вотъ адресъ по которому было послано, ... а вотъ адресъ редакціи. Не будете ли Вы такъ добры разъяснить

808

41. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels · 26. November 1889

KORREKTURENVERZEICHNIS 41.4

currencies ] H currencys ERLÄUTERUNGEN

41.4

Siehe Engels an Daniel’son, 4. und 15. Juli 1889 (British Library. Add MSS.38075, f 50–51 und 52). Dort hatte Engels Daniel’son mitgeteilt, daß er ihm den Band „On the regulation of currencies ...“ schicken würde. Zum Exemplar in Engels’ Bibliothek siehe auch MEGA➁ IV/32. Nr. 454.

41.6–7

Siehe Engels an Daniel’son, 4. Juli und an Paul Lafargue, 5. Juli 1889. Engels hatte Lafargue mitgeteilt, daß er den Artikel geschickt habe (Kopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4828). In der Zeitschrift „Сѣверный Вѣстникъ“ erschien der Artikel nicht (siehe Br. 173.4 und Erl.; ferner К. Маркс, Ф. Энгельс и революционная Россия. S. 768, Anm. 309).

41.7

editor ] Anna Michajlovna Evreinova.

41.12–13

Überliefert ist der Entwurf eines Briefes Daniel’sons an Lafargue, geschrieben vermutlich auch am 26. November 1889 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 4969). Er befindet sich auf der Rückseite des Briefentwurfs von Daniel’son an Engels (siehe oben) und lautet: „My dear sir, I am very glad to inform you, that the editor of the Northern Review desires to publish your articles. Perhaps you have already received her letter. Your works as well as M. Kautsky’s are much read and discussed here. Permit me to request you to write me some words about the health of Mr. Engels, are his eyes recovered? Is his work on deciphering the Ms of the III Vol. far advanced? When he believes the Ms will be ready for publication? Excuse me in troubling you, I do not write directly to Mr. E., because I fear his eyes are not quite recovered; and I do not wish to weary them.“ Paul Lafargue antwortete Daniel’son am 14. Dezember 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 85/6; siehe auch zur deutschen Übersetzung MEW. Bd. 37. S. 537/538). Siehe auch Br. 46.4–5 und Erl. sowie Laura Lafargue an Engels, 13. Dezember 1889 (Br. 53.10–11).

41.14

Engels wandte sich umgehend an Paul Lafargue, siehe Br. 46.4–9.

809

42 Natalie Liebknecht an Friedrich Engels in London Borsdorf, Mittwoch, 27. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3412/L V 357–62. Fotosign. 8771a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 276 × 220 mm. Natalie Liebknecht hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Eine Passage (Z. 34–37) befindet sich am linken Rand der vierten Seite, die andere (Z. 39) kopfstehend am oberen Rand dieser Seite. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben rechts mit Bleistift das Datum „27.11.89“. Archivsignatur: „L Fq 6.“. Engels antwortete am 24. Dezember 1889 (Br. 63). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 352/353.

KORREKTURENVERZEICHNIS 42.4 42.5

die erste ] H der ersten sie ] H Sie

ERLÄUTERUNGEN 42.2

Engels wurde am 28. November 1820 geboren.

42.2

Theodor ] Theodor Liebknecht.

42.4–5

Theodor Liebknecht hielt sich ab 25. August 1889 vier Wochen in London auf, siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, 25. August 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3577) und 5. Oktober 1889 (Br. 3.7–8 und Erl.). Wilhelm Liebknecht kündigte an, am 4. September für ca. eine Woche nach London zu reisen (Wilhelm Liebknecht an Engels, 25. August 1889).

42.7

Gert. ] Gertrud Liebknecht hielt sich etwa seit dem 10. August 1889 in London auf, siehe Eduard und Regina Bernstein an Engels, 25. August 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 497).

42.9–10

Engels hatte die Familie Rosher, Mary, Percy, Lilian und den Sohn, aufgenommen, da Percy Rosher erhebliche finanzielle Probleme hatte. Siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober

810

42. Natalie Liebknecht an Engels · 27. November 1889

1889 (Br. 19.69 und Erl.) sowie William Burns an Engels, 8. Dezember 1889 (Br. 49.7–10). 42.10–11

vor 3 Jahren ] Natalie Liebknecht hatte Engels im Dezember 1886 in London besucht, siehe Engels an Laura Lafargue, 13. Dezember 1886 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5685).

42.11

Avelings ] Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling.

42.12–14

Natalie Liebknecht besuchte Paris zusammen mit Wilhelm Liebknecht, der sich etwa vom 10. bis zum 24. September dort aufhielt, siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, 25. August und 22. September 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3577 und L 3578). Laura Lafargue erwähnte die Zusammenkunft mit Natalie Liebknecht in einem Brief an Engels, geschrieben etwa am 11. September 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 115).

42.25–26

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64. Die Kommission beriet über das Gesetz zwischen dem 26. November und dem 4. Dezember 1889, der Reichstag in zweiter Lesung am 22./23. Januar 1890.

42.28

Zum Geheimbundprozeß in Elberfeld siehe Erl. 9.44.

811

43 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Samstag, 30. November 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1109/K 497. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 178 mm. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Martignettis Hand: „Ben. 22.1.94. Pasq. Martignetti“; von Unbekannten Unterschriften, von denen nur „Per traduzione Prof. Raff. Parisius“ lesbar ist. Die Unterschriften stehen möglicherweise in Zusammenhang mit der Beschlagnahme von Briefen von Engels, Paul Lafargue und anderen Freunden bei einer Durchsuchung der Wohnung Martignettis am 22. Januar 1894 (siehe Martignetti an Engels 26. Januar 1894 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3874); Schult: Zum Briefwechsel zwischen Friedrich Engels und Pasquale Martignetti. S. 53). Engels antwortet auf den Brief Martignettis vom 23. November 1889 (Br. 40). Die Antwort Martignettis erfolgte am 5. Dezember 1889 (Br. 47). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 347. ERLÄUTERUNGEN 43.3–4

Ein Brief von Engels an Paul Lafargue, geschrieben nach dem 23. November 1889, ist nicht überliefert.

43.4–5

Ein Brief Paul Lafargues an Antonio Labriola, geschrieben vor dem 30. November 1889, ist nicht überliefert.

43.8

Antonio Labriola erwähnte in einem Brief an Arcangelo Ghisleri vom 4. März 1890, daß der ihm unbekannte Martignetti von Lafargue empfohlen worden sei. Er habe Martignetti mit einer Verbindung zu einem Rechtsanwalt geholfen. Martignetti habe ihm darauf mehrmals gedankt (Labriola: Carteggio. Vol. 3. S. 11/12). Martignetti wurde am 17. Mai 1890 freigesprochen. Siehe Martignettis Brief an Engels vom 18. Mai 1890 (Br. 174.2–3) sowie Antonio Labriola an Engels, 19. Mai 1890 (Br. 175.2–4).

812

44 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Mittwoch, 4. Dezember 1889

Originalhandschrift: VGA, Adler-Archiv, Sign. M 113/T1. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 178 mm. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu drei Vierteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Adler antwortete auf diesen Brief am 21. Januar 1890 (Br. 94). Erstveröffentlichung: Adler: Aufsätze, Reden und Briefe. H. 1 (1922). S. 1–3. ERLÄUTERUNGEN 44.3

Georges Avenel: Anacharsis Cloots, l’orateur du genre humain. T. 1.2. Paris 1865. Ein Verzeichnis verschiedener Schriften von und über Anacharsis Cloots in Adlers Handschrift ist überliefert (VGA, Adler-Archiv, Sign. M 113/T2).

44.7–8

Am 10. August 1792 kam es in Paris zum Sturm auf die Tuilerien, der zur Absetzung des Königs und zur Einberufung des Nationalkonvents führte. Am 9. Thermidor (27. Juli 1794) beschloß die Mehrheit des Nationalkonvents den Sturz Maximilien Robespierres.

44.9

pariser Commüne ] Die Commune von Paris war das Organ der städtischen Selbstverwaltung von 1789 bis 1794. Der Sturz der jakobinischen Herrschaft bedeutete u. a. auch das Ende der Selbstverwaltung der Commune von Paris. (Bouloiseau: La Re´publique jacobine. S. 15–17 und 248–250.)

44.10

Comite´ de Salut public ] Das Comite´ wurde Anfang April 1793 vom Nationalkonvent eingesetzt. Es bestand aus 9, später 12 Personen, Danton übte in ihm zunächst entscheidenden Einfluß aus. Das Comite´ war zur Zeit der Jakobinerherrschaft wichtigstes Regierungsorgan.

44.12

Fox ] Der britische Außenminister Charles James Fox.

44.27–29

Der Sieg der Revolutionsarmee in der Schlacht von Fleurus in Belgien über die österreichischen Truppen am 26. Juni 1794. Damit nahm der militärische Druck der europäischen Mächte auf Frankreich erheblich ab, und die Herrschaft der Jakobiner wurde entbehrlich. Im Verlauf des Umsturzes am 9. Thermidor befahl der Nationalkonvent die Verhaftung Robespierres und seiner nächsten Mitstreiter.

813

44. Engels an Victor Adler · 4. Dezember 1889

44.41

der Baseler Friede ] Der am 5. April 1795 in Basel unterzeichnete Separatfrieden zwischen Frankreich und Preußen. Dieses schied damit unter Bruch der mit Österreich und Großbritannien geschlossenen Bündnisverträge und Verletzung seiner Pflichten als Reichsstand aus der ersten antifranzösischen Koalition aus.

44.41–42

die Bourgeoisorgie des Direktoriums ] Das fünfköpfige Direktorium wurde auf Grundlage der Verfassung von 1795 gebildet und bestand vom 2./3. November 1795 bis zum 9. November 1799. Es war das oberste Regierungsorgan in Frankreich. Engels hatte diesen Ausdruck auch in seinem Brief an Karl Kautsky vom 20. Februar 1889 verwendet (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 682).

44.46

Georges Avenel: Lundis re´volutionnaires. 1871–1874. Nouveaux e´claircissements sur la Re´volution franc¸aise. Paris 1875.

44.49–51

Eine historische Erklärung der Schreckensherrschaft sowie der Rolle der Schlacht von Fleurus für ihren Sturz gab Köppen in einer Polemik gegen Heinrich Leos Behandlung der französischen Revolution in den „Deutschen Jahrbüchern“: [Karl Friedrich] Koeppen: Noch ein Wort über Leo’s Geschichte der französischen Revolution. (Im 4. und 5. Bande seiner Universalgeschichte.) In: Deutsche Jahrbücher für Wissenschaft und Kunst. Leipzig. Nr. 129–133, 1. bis 6. Juni 1842. S. 513–532. – Siehe Schmidt: Karl Friedrich Köppen ... S. 18–20. In der „Rheinischen Zeitung“ hatte Köppen kurz zuvor ebenfalls eine Besprechung der Schrift von Leo veröffentlicht: [Karl Friedrich Köppen:] Leo’s Geschichte der Revolution. In: Rheinische Zeitung. Köln. Nr. 139, 19. Mai 1842. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2; Nr. 141, 21. Mai 1842. S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 142, 22. Mai 1842. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 3. – Noch im Jahr 1895 bezeichnete Engels die von Köppen verfaßte Kritik von Leos Geschichte der Französischen Revolution als eine „der besten Arbeiten in der ,Rheinischen Zeitung‘“ und erste ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙(Engels ˙˙ ˙ ˙ ˙ an Franz richtige Erklärung der Schreckensherrschaft Mehring, Ende April 1895, RGASPI, Sign. f. 1 , op. 1, d. 5512).

44.51–52

Heinrich Leo: Geschichte der französischen Revolution. Halle 1842. (Lehrbuch der Universalgeschichte zum Gebrauche in höheren Unterrichtsanstalten. Bd. 5.1.)

44.53

Deine Frau ] Emma Adler.

814

45 August Simon an Friedrich Engels in London London, Mittwoch, 4. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5720/L VIII 361–1. Fotosign. 14677a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 229 × 180 mm. Simon hat die erste Seite vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die zweite und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K“. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben links ein Vermerk mit Bleistift: „Bittbrief“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

815

46 Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son in Sankt Petersburg London, Donnerstag, 5. Dezember 1889

Originalhandschrift: British Library, Sign. Add MSS.38075, f 53. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 178 × 112 mm. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite unten links Numerierung: „15“ (durchgestrichen) mit Rotstift. Der Brief ist die Antwort auf das Schreiben von Daniel’son vom 26. November 1889 (Br. 41). Daniel’son antwortete am 30. Dezember 1889 (Br. 67). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Карла Маркса и Фридриха Энгельса к Николаю–ону (1908). S. 223; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 415/416. ERLÄUTERUNGEN 46.1

11 Burton Road Kilburn, N. W. ] Engels benutzte in seiner Korrespondenz mit Daniel’son zur Tarnung den Namen und die Adresse Percy Roshers (siehe Erl. 33.47).

46.4–5

Ein Brief von Engels an Paul Lafargue, geschrieben nach dem 26. November 1889, wie auch eine Antwort Lafargues, geschrieben vor dem 5. Dezember 1889, sind nicht überliefert.

46.5

he has written to you at once ] Überliefert ist Lafargues Antwort vom 14. Dezember 1889 (RGASPI, f. 10, op. 1, d. 85/6) auf den Brief von Daniel’son, den er am 12. Dezember erhielt, siehe Laura Lafargue an Engels, 13. Dezember 1889 (Br. 53.10–11). Zum vermutlich vom 26. November 1889 stammenden Entwurf von Daniel’son siehe Erl. 41.12–13.

46.6

Lady Editor ] Anna Michajlovna Evreinova.

46.8–9

Daniel’son hatte um Zustimmung Lafargues zu Kürzungen aufgrund der Zensur gebeten. Siehe Br. 41.8–9.

46.15–16

Thomas Tooke: An inquiry into the currency principle; the connection of the currency with prices, and the expediency of a separation of issue from banking. 2. ed. London 1844. Engels hatte schon am 15. Juli 1889 angekündigt, daß er den Band schicken würde (British Library, Add MSS.38075, f 52).

46.20

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10).

816

46. Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son · 5. Dezember 1889

46.21

the French edition ] Marx: Le Capital. Paris [1872–1875] (MEGA➁ II/7).

46.22

Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9). Eleanor Marx-Aveling hatte, wie Engels Conrad Schmidt am 17. Oktober 1889 mitteilte, alle englischsprachigen Zitaten für diese Ausgabe mit den Originalen verglichen, siehe Br. 11.54–56.

46.23–24

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890. S. 105/106, Fn. 108 (MEGA➁ II/10. S. 131/132).

817

47 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Donnerstag, 5. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3747/L V 534. Fotosign. 8480a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem, liniertem Papier im Format 271 × 210 mm. Martignetti hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: violette Tinte. Der Brief ist eine Antwort auf Engels’ Brief vom 30. November 1889 (Br. 43). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 347/348. KORREKTURENVERZEICHNIS 47.5 47.10

adoperera` ] H adopera ammannire ] H ammanire ERLÄUTERUNG

47.7–8

818

Martignetti erhielt weiterhin die „Neue Zeit“, siehe Martignetti an Engels, 5. Mai 1890 (Br. 163.2).

48 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 7. Dezember 1889

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 178 × 113 mm. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der vierten Seite oben Vermerk mit Bleistift „7 December 89“ und mit schwarzer Tinte „7 D“; zwei Streichungen (Z. 61–62 und 78–90) mit Rotstift entsprechen den Kürzungen der Erstveröffentlichung. Ein Brief Sorges vom 8. Oktober ist nicht überliefert. Der vorliegende Brief ist wahrscheinlich die Antwort auf die Briefe Sorges vom 18. Oktober (Br. 12, siehe Erl. 48.3) sowie vom 29. Oktober 1889 (Br. 21). Sorge antwortete am 14. Januar 1890 (Br. 87). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 323–326; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 164–167; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 320–323.

KORREKTURENVERZEICHNIS 48.91 48.102

langen ] H lagen 90 ] H 89

ERLÄUTERUNGEN 48.3

vom 8 ] Wahrscheinlich hat Engels sich verschrieben und den Brief vom 18. Oktober 1889 (Br. 12) gemeint. In diesem Brief werden nacheinander die 4. Auflage, Rappaport und Hepner erwähnt, also in der Reihenfolge, in der diese drei Fragen auch im vorliegenden Brief abgehandelt werden.

48.4

Zu den Auseinandersetzungen in der amerikanischen Sozialistischen Arbeiterpartei, der Socialist Labor Party, siehe Erl. 8.4–7 sowie Friedrich Adolph Sorge an Engels, 18. Oktober 1889 (Br. 12.8–17).

48.22–23

Die Gründung des Branch 54 Silvertown (women), einer Sektion der National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland, war am 10. Oktober 1889 erfolgt. Siehe dazu und zur Rolle von Eleanor Marx-Aveling in der neuen Gewerkschaftsbewegung Erl. 10.9–10 und 28.37–38.

819

48. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 7. Dezember 1889

48.31–32

Die nächsten allgemeinen Wahlen in Großbritannien fanden 1892 statt.

48.34

Czar ] Aleksandr III.

48.35–36

Home Rule für Irland ] Die Forderung nach politischer Selbstbestimmung der Iren war eine zentrale politische Frage in Großbritannien seit den siebziger Jahren des 19. Jahrhunderts. Zwischen den politischen Gruppierungen in England und Irland war die konkrete Gestaltung in Formen und Inhalten umstritten. Diese Forderung nach Unabhängigkeit Irlands hatten Marx und Engels bereits früh unterstützt, nicht zuletzt um die Entstehung einer einheitlichen Arbeiterklasse in den verschiedenen Teilen des Vereinigten Königreiches zu fördern. (Lane: The origins of modern Irish socialism ... S. 19–27.) – Eine von William Ewart Gladstone 1886 ins Unterhaus eingebrachte Vorlage zur Gewährung der Home Rule für Irland war gescheitert. (Ebenda. S. 131/132. Siehe auch Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.39 und Erl.) sowie Erl. 6.25.)

48.50

Lord Mayor ] Henry Aaron Isaacs.

48.60

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10).

48.61

Sorge hatte Engels am 21. November 1889 eine Nummer der „Indiana Tribüne“ mit einem Beitrag von Philipp Rappaport geschickt mit der Bitte, diese an Karl Kautsky weiterzuleiten. Die Nummer konnte nicht ermittelt werden. Siehe Sorge an Engels, 21. November 1889 (Br. 39.1–3 und Erl.).

48.63–66

Sorge hatte Engels am 18. Oktober 1889 mitgeteilt, daß Adolf Hepner an den Kongressen beider Fraktionen der Socialist Labor Party teilgenommen hatte. Siehe Br. 12.31–32.

48.68–69

Ernest Belfort Bax übernahm die Leitung der „Time“ zum 1. Januar 1890. Siehe Engels an Sorge, 12. Oktober 1890 (Br. 8.3–4 und Erl.).

48.74–77

Sorge hatte gefragt ob die Liste der Artikel in der „New York Tribune“, die er 1872 Marx übermittelt hatte, sowie die 1873 oder 1874 zusammengestellten Ausschnitte vorhanden wären. Siehe Sorge an Engels, 29. Oktober 1889 (Br. 21.10–12 und Erl.).

48.78

Schlüters Frau ] Anna Schlüter.

48.82–85

Engels ging später nochmals auf die Auseinandersetzung zwischen Schlüter und Motteler in seinem Brief an Sorge vom 29. Mai 1890 ein (Br. 183.17–51).

48.88

Archiv ] Archiv der deutschen Sozialdemokratie, das Hermann Schlüter geleitet hatte.

820

48. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 7. Dezember 1889

48.91

Ein Brief Samuel Moores an Engels, geschrieben vor dem 23. November 1889, ist nicht überliefert.

48.95

Wilhelmchen ] Wilhelm II.

48.97

Gemeint ist der Geheimbundprozeß in Elberfeld. Siehe Erl. 9.44.

48.98–100

Nach den Wahlen zur Deputiertenkammer im Herbst 1889 schlossen sich einige Mitglieder verschiedener sozialistischer Organisationen zu einer Arbeitsgruppe, von Engels als „unsre parlamentarische Fraktion“ bezeichnet, zusammen, siehe Erl. 28.3–4. In den Briefen von Laura Lafargue an Engels, 14. November 1889 (Br. 28.3–12) und Engels an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.69–70) ist von 7 Mitgliedern der Gruppe die Rede. – Zum „Pariser Marxisten-Kongreß “ siehe Erl. 1.6.

48.101–102

Gemeint sind die Beschlüsse des Internationalen Arbeiterkongresses in der Salle Pe´trelle (14.–20. Juli 1889), siehe Erl. 1.6. Zu den ersten Vorlagen der Gruppe siehe Paul Lafargue an Engels, 17. November 1889 (Br. 35.35–36 und Erl.). Weitere Vorlagen sind im Nachlaß Guesde im IISG überliefert.

48.107–108

Zum Streik in Silvertown und dem Engagement von Eleanor Marx-Aveling siehe Erl. 10.9–10 und 28.37–38.

48.109

Deine Frau ] Katharina Sorge.

821

49 William Burns an Friedrich Engels in London Roxbury, Sonntag, 8. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 876/L II 239. Fotosign. 15055a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem, liniertem Papier im Format 246 × 200 mm. Burns hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K 107“. Die Beilage (Z. 11–12) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 49.7

Zu Percy Roshers finanziellen Problemen siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.69.) Engels hatte Laura Lafargue geschrieben, daß Roshers aus diesem Grund bei ihm wohnten (ebenda).

49.8

Mother ] Mary Burns.

49.12–13

Engels hatte eine Reise in die USA vom 8. August bis 29. September 1888 unternommen.

49.14

Our Union ] Die Gründung der Gewerkschaft, The Steam Railroad Men’s Protective Union in Boston, fand im November 1888 statt. William Burns hatte sich seit Anfang Oktober 1888 aktiv an der Vorbereitung der Gründung beteiligt; Engels schätzte ihn u. a. dieser Aktivität wegen. Die Gewerkschaft entwickelte sich schnell, 1890 bestanden mehrere lokale Abteilungen in Boston. In Massachusetts erreichte sie ebenfalls hohe Mitgliedszahlen und faßte Fuß in weiteren Staaten der USA und in Kanada. Im Juni 1889 wurde sie in den Herausgeberkreis der Zeitung „The Labor Leader“ des Bostoner Gewerkschaftskartells aufgenommen. Im November 1890 entstand eine neue Gewerkschaft, The International Brotherhood of Railway Employes, getragen von bisherigen Mitgliedern der Steam Railroad Men’s Protective Union. (William Burns an Engels, 5. Oktober 1888 und Beilage (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 874); Engels an Friedrich Adolph Sorge, 31. August 1888 (NYPL, Sorge Papers); Wilm: Die gewerkschaftlichen und politischen Aktivitäten ... 1886–1895.)

822

49. William Burns an Engels · 8. Dezember 1889

49.15

Die britische General Railway Workers’ Union wurde im November 1889 gegründet. Innerhalb eines Jahres zählte sie ca. 11 000 Mitglieder, un- und angelernte Arbeiter, die bislang in keiner Gewerkschaft organisiert waren. (General Railway Workers Union. In: Labour Elector. London. Jg. 3. Nr. 53, 4. Januar 1890. S. 6, Sp. 2; Bagwell: The railwaymen. S. 132 und 335; Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 167.)

49.18–19

our General President and Vice Pres. ] Grand President der ˙ ˙ ˙ ˙˙ Steam ˙Railroad Men’s Protective Union in Boston war von 1889 bis August 1890 Charles H. Trenholm; Vice President war spätestens seit Januar 1890 William Davis.

49.20

Scholemere ] Carl Schorlemmer.

49.20

My Wife ] Charlotte Burns.

49.21

children ] Charlotte und William Burns hatten Ende 1889 drei Kinder (Engels an Friedrich Adolph Sorge, 31. August 1888, NYPL, Sorge Papers), den ältesten Sohn William (Burns an Engels, 17. Dezember 1892, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 886), der zweite Sohn hieß Arthur bzw. Joseph Arthur (geb. 1886), die Tochter Ada war 1888 geboren (Burns an Engels, 23. Juli 1888 und 9. März 1893, ebenda, Sign. L 872 und L 888). Frederick wurde 1890 geboren (Burns an Engels, 9. März 1893). Ende 1892 hatten Burns’ vier Söhne und eine Tochter (Burns an Engels, 17. Dezember 1892). Laut der Volkszählung von 1910 hatte das Ehepaar Burns insgesamt 7 Kinder. (Wilm: Die gewerkschaftlichen und politischen Aktivitäten ... 1886– 1895.)

49.21

Tom ] Michael Thomas Burns.

49.21

Walter ] Walter Burns.

49.22

Lydia ] Lydia Burns.

823

50 Gerson Trier an Friedrich Engels in London Kopenhagen, Sonntag, 8. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6112/L IX 29. Fotosign. 11674a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 270 bzw. 135 × 207 mm. Trier hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Trier benutzte eine von der damals gültigen dänischen Rechtschreibung abweichende modernisierte Schreibweise, die unverändert wiedergegeben wird. Engels beantwortete den Brief am 18. Dezember 1889 (Br. 57). Erstveröffentlichung: Callesen: Om revolutionær taktik ... (1973). S. 121/ 122.

ERLÄUTERUNGEN 50.5–6

Nach der Wahl zum Folketing 1887 entwickelte sich eine linke Opposition in der dänischen Sozialdemokratie. Diese gab seit April 1889 die Wochenzeitung „Arbejderen“ heraus und setzte durch, daß dänische Vertreter im Juli 1889 auch am Internationalen Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle in Paris teilnahmen (siehe Erl. 1.6). Ein Konfliktpunkt zwischen beiden Richtungen in der Partei war die Zusammenarbeit mit der liberalen Partei Venstre in Vorbereitung der Wahlen. Die oppositionelle Minderheit wurde Ende November 1889 nach einer Urabstimmung, an der knapp ein Drittel der Mitglieder teilnahmen, aus der sozialdemokratischen Partei ausgeschlossen. Die Opposition gründete daraufhin eine selbständige Partei, die jedoch nur wenige Jahre bestand. (Bryld: Den demokratiske socialismes gennembrudsa˚r ... S. 75–107; Callesen: Om revolutionær taktik ... S. 110. Siehe auch Erl. 50.46–49.)

50.7

Die Wahlen zum Folketing fanden am 21. Januar 1890 statt.

50.10–13

Diese Resolution des Pariser Kongresses vom 14.–20. Juli 1889 (siehe Erl. 1.6) war am letzten Kongreßtag verabschiedet worden. Sie forderte die Arbeiterparteien auf, in den Ländern, in denen dies möglich sei, die Eroberung der politischen Macht durch Wahlen, aber unter Ausschluß von Kompromissen mit anderen Parteien anzustreben. Die dänischen Delegierten hat-

824

50. Gerson Trier an Engels · 8. Dezember 1889

ten sich der Stimme enthalten, soweit sie bei der Sitzung anwesend waren. Die dänische Parteiführung billigte dieses Verhalten nicht und teilte daher dem Sekretariat des Kongresses mit, daß die Partei die Resolution unterstütze. (Protokoll Paris 1889. S. 124/125; Bertolt [u. a.]: En bygning ... S. 198/199.) 50.20

delegerede, Christensen og Nic. Petersen ] Peter Christensen und Nicolaj Petersen.

50.26

to opposisjonsmedlemmer ] Außer Gerson Trier gehörte die Lehrerin Signe Andersen zur Opposition (Sandvad: Signe Andersen).

50.32

Peter Holm war seit 1884 Mitglied des Folketings, er wurde bis 1898 wiedergewählt (Valgene til Rigsdagen ... S. 31).

50.35

Vort venstre ] Die oppositionelle demokratische Bauernpartei hieß Venstre (Linke). Ihre Anhänger bildeten in Kopenhagen den Liberalen Wählerverein. (Helms: Die socialdemokratische ... Bewegung in Dänemark. S. 73–77.)

50.45

Die sozialdemokratische Partei kandidierte bei den Wahlen von 1887 in drei Kopenhagener Wahlkreisen und in einem in der Provinz, bei den Wahlen 1890 in insgesamt zehn Wahlkreisen. Sie gewann 1890 drei Abgeordnetensitze, während sie 1887 nur einen besessen hatte. (Valgene til Rigsdagen ... S. 31.)

50.46–49

Nach dem Wahlerfolg der sozialdemokratischen Partei im Januar wandelte die Opposition den Literær sosialistisk forening zur selbständigen Det Revolutionære Socialistiske Arbejderparti um. (An unsere Bruderparteien, Genossen und Freunde im Auslande. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 11, 15. März 1890. S. 4, Sp. 2; Den danske arbejderbevægelses programmatiske ... S. 76–81.)

50.58–60

Die Opposition veröffentlichte die Broschüre von F[rits] J[ulius] Nielsen-Kolding: De Revolutionære. København 1890, in der Aussagen der ausländischen Arbeiterpresse, u. a. auch der schwedischen, wiedergegeben wurden (siehe auch Petersen: Danske revolutionære. S. 39–58).

825

51 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Montag, 9. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1464/K 556. Fotosign. 1814–1817. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 222 × 170 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief ist die Antwort auf den Brief Schmidts vom 10. November 1889 (Br. 27). Schmidt antwortete am 26. Februar 1890 (Br. 108) und am 1. April 1890 (Br. 128). Erstveröffentlichung: Engels: Briefe an Conrad Schmidt (1920). S. 743/744. VARIANTENVERZEICHNIS 51.36

können > müssen

51.58

sogenannte > erklärte ˙ ˙ ˙ ˙˙ ERLÄUTERUNGEN

51.29–31

[Friedrich Engels:] Le socialisme de M. Bismarck. I. II. In: L’E´galite´. Paris. 2. se´r. Nr. 7, 2. März 1880. S. 6, Sp. 1–3; Nr. 10, 24. März 1880. S. 4, Sp. 2/3 (MEGA➁ I/25. S. 188–197, Zitat hier S. 190.29).

51.58–60

Zu Eleanor Marx-Avelings Aktivitäten in der Streikbewegung siehe Erl. 10.9–10 und 28.37–38.

51.61

1886 hatte Schmidt sich für mehrere Monate in London aufgehalten und Engels regelmäßig besucht. (Owetschkin: Conrad Schmidt ... S. 24.)

51.62

Brauns Archiv ] „Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik“.

51.69–71

Von Edward Aveling sind drei Theaterstücke aus dem Jahr 1889 überliefert: „The landlady“, „The jackal“ (von Oktober–November 1889) und „Madcap“, alle unter dem Pseudonym Alex Nelson (British Library, Mss. Department, 53 437, Lic. Nr. 209, 53 425, Lic. Nr. 62 und 53 460, Lic. Nr. 203 ). „The jackal. Comedy in three acts, adopted from the French, by Alec Nelson“ wurde am 28. November 1889 aufgeführt. Siehe auch Engels

826

51. Engels an Conrad Schmidt · 9. Dezember 1889

an Laura Lafargue, 9. Mai 1888 und Engels an Paul Lafargue, 30. Juni 1888 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5819 und 4578). 51.71

Schweizer Expulsierten ] Die Leitung der in Deutschland verbotenen Wochenzeitung „Der Sozialdemokrat“ – Eduard Bernstein, Julius Motteler, Hermann Schlüter und Leonard Tauscher – war im April 1888 aus der Schweiz ausgewiesen worden; sie hatte Redaktion und Druckort der Zeitung daraufhin nach London verlegt. Engels unterstützte die Ausgewiesenen direkt: Er entwarf einen Brief, den er von Karl Kautsky unterzeichnen ließ und der in der englischen Presse die Hintergründe der Ausweisung aufklären und den Start der Redaktion in London erleichtern sollte. (Siehe Draft of a letter to English newspapers. In: MEGA➁ I/31. S. 139–142 und 893–896.) Schlüter war am 16. März 1889 von dort in die USA emigriert.

51.72

Ernest Belfort Bax übernahm die Leitung der Monatsschrift „Time“ ab Januar 1890. Siehe Erl. 8.3–4.

827

52 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Donnerstag, 12. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5545/L VIII 188. Fotosign. 12012a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 271 × 213 mm. Schlüter hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu drei Vierteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels’ Antwort erfolgte am 11. Januar 1890 (Br. 80). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 52.5–6

Hermann Schlüter täuschte sich. Sorge hatte nur am Rande erwähnt, daß Schlüter arbeitslos sei, siehe Friedrich Adolph Sorge an Engels, 15. und 23. April sowie 27. Mai 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5882–L 5884). Am 7. Juli 1889 teilte er Engels mit, daß Schlüters einen kleinen Laden übernommen hätten (ebenda, Sign. L 5886). Schlüter hatte Engels am 1. Juli ausführlich über seine Lage und die seiner Frau unterrichtet (ebenda, Sign. L 5544). In den Briefen vom 18. und 29. Oktober 1889 (Br. 12 und 21) hatte Sorge kurz über Schlüters Rolle in der New Yorker Volkszeitung berichtet.

52.6

Meine Frau ] Anna Schlüter.

52.8–9

Burnette G. Haskell: A pen picture of the Kaweah co-operative colony Co. Suppl. to „The Commonwealth“. Publ. monthly. San Francisco. 24. April 1889. S. 18. Siehe Engels an Schlüter, 11. Januar 1890 (Br. 80.5). Die utopisch-sozialistische Kaweah Colony entstand 1885 in Kalifornien, am Fuß der Sierra Nevada. Sie wurde 1891 aufgelöst, während ihre Zeitschrift, The Kaweah Commonwealth, bis 1892 erschien. Der im Sequoia National Park stehende KarlMarx-Baum wurde später in General-Sherman-Baum umbenannt. (O’Connell: Co-operative dreams. S. XI.)

52.11–12

Zu den Entwicklungen der Socialist Labor Party siehe Erl. 8.4–7.

52.15–16

das „Kommunistische Manifest“ hier in Englisch ] Das „Kommunistische Manifest“ war 1888 ins Englische übersetzt worden; Engels hatte ein Vorwort dazu verfaßt. (Siehe MEGA➁ I/31.

828

52. Hermann Schlüter an Engels · 12. Dezember 1889

S. 117–121 und 869–875.) 1890 erschienen zwei Ausgaben in den USA: Karl Marx, Frederick Engels: Manifesto of the Communist party. Authorized Engl. edition. Ed. and annot. by Frederick Engels. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 23–29, 7. Juni bis 19. Juli 1890; Carl Marx, Frederick Engels: Manifesto of the Communist party. Authorized Engl. transl. Ed. and annot. by Frederick Engels. New York 1890 (siehe Andre´as: Le manifeste communiste ... Nr. 254a und 257). 52.19

„Federation of Labor“ ] Die American Federation of Labor (AFL) war der im Dezember 1886 gegründete Dachverband amerikanischer Gewerkschaften, in denen im wesentlichen Facharbeiter organisiert waren. Er verstand sich als Alternative zu den „Knights of Labor“ (siehe Erl. 52.24), die auch ungelernte Arbeiter aufnahmen. Der Dachverband lehnte eine direkte Teilnahme an politischen Aktionen ab. (Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 171–188; Stromquist: United States of America. S. 552.)

52.20–21

etwa 500 000 bis kaum 100 000 ] Die Zahlenangeben schwanken stark bei verschiedenen Autoren. Perlman betrachtet die von der AFL für 1886 angegebene Mitgliederzahl von 600 000 kritisch und verweist auf eine Tabelle des Verbandes von 1912, in der für 1886 140 000 Mitglieder angegeben werden (Perlman: Upheaval and reorganisation. S. 396, Fn. 2). Foner führt die offiziellen Statistiken der Organisation an, wonach die Zahl ihrer Mitglieder zwischen 1886 und 1890 von 138 000 auf 225 000 stieg (Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 171). Stromquist bezeichnet diese Jahre als grosse Umbruchperiode. Auch daher schwanken die Mitgliederzahlen sehr, ohne falsch zu sein: Stromquist kommt für die Knights of Labor (siehe Erl. 52.24) auf über 1 Million (Stromquist: United States of America. S. 552); 1897 gibt er für die AFL eine Mitgliederzahl von 272 000 an, die innerhalb weniger Jahre auf 1 682 000 gestiegen sei, um danach schnell wieder zu fallen (ebenda. S. 562/563).

52.24

„Knight’s of Labor“ ] Die Knights of Labor wurden 1869 als Geheimorganisation gegründet, reorganisierten sich jedoch 1878 als öffentliche Organisation für gelernte und ungelernte Arbeiter. In der Rezession 1884/1885 konnte der Verband erfolgreich zahlreiche Streiks organisieren, und er wurde zur ersten umfassenden Arbeiterorganisation in den USA. (Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 157–170; Debouzy: Die sozialistische Bewegung ... S. 33–36; Stromquist: United States of America. S. 551–555. – Siehe auch Engels: Preface

829

52. Hermann Schlüter an Engels · 12. Dezember 1889

to the American edition of „The condition of the working class in England in 1844“. In: MEGA➁ I/31. S. 33.7–39 und Erl.) 52.24–25

unzweifelhaft bis Organisation ] Die Knights of Labor erreichten innerhalb kurzer Zeit eine sehr hohe Mitgliederzahl. Während der Verband im Juli 1883 fast 50 000 Mitglieder zählte, organisierte er im Sommer 1886 etwa eine Dreiviertel Million Arbeiter. Danach sanken die Zahlen rapide: für 1890 werden 120 000 bzw. 100 000 Mitglieder angegeben. (Voss: The making of American exceptionalism. S. 75–79 und 94; Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 167.) Stromquist weist darauf hin, daß die Knights 1890 etwa gleich viele Mitglieder organisierten wie die AFL und erst 1892 die Federation zur stärkeren Organisation wurde (Stromquist: United States of America. S. 552).

52.26–27

Auf ihrer Generalversammlung in Atlanta 1889 nahmen die Knights of Labor zentrale Forderungen der Farmer in ihr Programm auf. Im Laufe des Jahres 1890 begann der Verband eine Zusammenarbeit mit politischen Organisationen der Farmer. (Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 166; Fink: The uses of political power. S. 104–122; derselbe: Workingmen’s democracy ... S. 27.)

52.28–31

Wirtschaftliche Krisen und die Umstrukturierung der Industrie in den frühen 1880er Jahren hatten die Arbeiterbewegung geschwächt. Das Ende der Depression 1885 führte dagegen zu einem erkennbaren Aufschwung von Aktivitäten, häufig in Form von Boykotts. Diese erreichten 1886 einen Höhepunkt, als am 1. Mai nahezu landesweit gestreikt wurde. Vor allem in industriellen Zentren beteiligten sich bis zu 340 000 Arbeiter an den Aktionen. Wichtigste Forderung war die Verkürzung des Arbeitstages auf acht Stunden bei gleichbleibendem oder höherem Lohn. Diese Forderung wurde nach mehrtägigen Streiks in verschiedenen Orten und Branchen zunächst durchgesetzt, während andere Arbeitergruppen eine Herabsetzung der Arbeitszeit auf neun bis zehn Stunden erreichten. (Scobey: Boycotting the politics factory. S. 281, 293, 295–303 und 313; Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 128–131; Fink: The uses ... S. 104–122; Voss: The making of American exceptionalism. S. 77/78.) In New York, das in diesen Jahren eine Hochburg der sozialistischen Arbeiterbewegung war, entwickelte sich im Herbst 1886 eine breite Koalition unterschiedlicher Reformbewegungen, die zur Bürgermeisterwahl am 2. November 1886 die United Labor Party gründete. Der Kandidat der Partei, Henry

830

52. Hermann Schlüter an Engels · 12. Dezember 1889

George, erreichte zwar eine bedeutende Stimmenzahl, aber nicht die Mehrheit, trotz eines intensiven Wahlkampfes und der Unterstützung u. a. durch die Vorsitzenden der AFL bzw. der Knights of Labor. Nach der Wahl zerfiel die United Labor Party innerhalb eines Jahres. (Scobey: Boycotting ... S. 280–297; Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 119–122. – Siehe auch Engels: Preface to the American edition ... In: MEGA➁ I/31. S. 30.15–17 sowie Erl. 30.15–16 und 30.16–17.) In Chicago, wo die Arbeiterbewegung ebenfalls stark war, gab es, nach Zusammenstößen zwischen Polizei und streikenden Arbeitern am 3. Mai 1886, am folgenden Tag eine Massenversammlung auf dem Haymarket, in dessen Verlauf eine Bombe in das Polizeiaufgebot geschleudert wurde. Bei dem anschließenden Schußwechsel gab es auf beiden Seiten Tote und Verwundete. Ohne daß zweifelsfrei geklärt wurde, wer die Bombe geworfen hatte, wurde das Attentat der sozial-revolutionären (oft als anarchistisch bezeichneten) Arbeiterbewegung Chicagos zur Last gelegt. Acht ihrer Führer wurden daher angeklagt und sieben zum Tode verurteilt; die Bewegung wurde unterdrückt. (Foner: History of the labor movement ... Vol. 2. S. 105–114; Avrich: The bomb-thrower. S. 71–73. – Siehe auch Engels: Preface to the American edition ... In: MEGA➁ I/31. S. 30.12–20 sowie Erl. 30.12–13 und 30.13–15.) 52.35–36

Siehe Erl. 80.14–16.

52.38

Geist des alten Douai ] Adolf Douai war 1878 Mitbegründer der New Yorker Volkszeitung und Mitredakteur bis zu seinem Tode 1888. Schlüters Bewertung der politischen Rolle Douais entsprach nicht dessen tatsächlichen Leistungen. Während er Anfang der 1850er Jahre den Kommunismus Marxscher Prägung abgelehnt hatte, gehörte er seit den 1860er Jahren zu den tonangebenden Sozialisten Nordamerikas, die Marx’ Auffassungen verbreiteten. – Zu den Plänen einer englischen Übersetzung des ersten Bandes des „Kapitals“ durch Douai siehe Erl. 313.31–33.

52.45

Percy’s ] Percy and Mary Rosher.

831

53 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 13. Dezember 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 24/5 und d. 200. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 251 × 202 mm und einem Blatt festem, weißem Papier im Format 178 × 233 mm. Wasserzeichen des Bogens: „Imperial Treasury De la Rue“ und Monogramm „DLR“ unter einer Krone; Wasserzeichen des Blattes: eine Krone, Vignette und Aufschrift „Original Palet Mill“. Laura Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln, die fünfte und sechste jeweils zu drei Vierteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „65“. Archivsignatur auf der fünften Seite: „I. 126“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 364/ 365; die Übersetzung des Gedichtes wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 53.9

the colour of Paul’s poll ] Vermutlich eine Anspielung auf das Wahlergebnis Paul Lafargues bei den Wahlen vom September 1889. Zum Ergebnis von Paul Lafargue siehe Erl. 5.20.

53.10–11

Nikolaj Daniel’son bemühte sich um die Mitarbeit Lafargues an der Zeitschrift. Siehe seinen Brief an Engels vom 26. November 1889 (Br. 41.6–13 und Erl.).

53.14

Der Wahlsieg von General Georges Boulanger bei der Parlamentswahl war für ungültig erklärt worden. Die Deputiertenkammer verzichtete auf Nachwahlen und bestätigte am 9. Dezember Jules Joffrin als Nachfolger Boulangers. ( A u s F r a n k r e i c h . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 50, 14. Dezember 1889. S. 4, Sp. 1. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau; Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 110.) Siehe auch Erl. 2.36.

53.27–29

Zum Conseil national des Parti ouvrier siehe Erl. 1.30–31. Jules Guesde und Paul Lafargue waren die Sekretäre für nationale bzw. internationale Angelegenheiten.

53.31

Siehe auch den Briefwechsel zwischen Laura Lafargue und Engels vom 31. Dezember 1889 (Br. 69.20–54) und 8. Januar 1890 (Br. 76.3–7).

832

54 E. Williams an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 15. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6360/L IX 278. Fotosign. 15025a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Williams hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K 2“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

833

55 Emma Pfänder an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 17. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5256/L VII 268. Fotosign. 15098a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 181 × 127 mm. Pfänder hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K 197“. Pfänder antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 17. Dezember 1889 (Z. 5). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 55.7–8

my dear Mothers death ] Caroline Pfänder starb am 12. Dezember 1889 (Hans Müller: Ein Revolutionär aus Heilbronn. S. 174).

55.12

Engels hatte bei früherer Gelegenheit Caroline Pfänder unterstützt, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 23. Februar 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1035) und 29. Februar 1888 (RGASPI, f. 1, op. 1, d. 4745); Engels an August Bebel, 12. April 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 92).

834

56 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Paris, Mittwoch, 18. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 614/L II 17. Fotosign. 7425a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 180 mm. Bonnier hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Drittel, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand auf der vierten Seite der mit schwarzer Tinte quer geschriebene Vermerk: „Dec 89 Bonnier“. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite oben links „No 143“ mit schwarzer Tinte. Die Antwort von Engels ist nicht überliefert (siehe Erl. 56.23). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 56.4

Es handelt sich hier um die Tageszeitung „Le Combat“, deren Erscheinen sich verzögerte. (Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. Dezember 1889 (Br. 64).) Erst im März 1890 kam es zum Abschluß der Verhandlungen um die Neubesetzung der Redaktion. Dies war eine von mehreren Initiativen zur Gründung einer sozialistischen Tageszeitung. (Siehe Erl. 35.18–25.)

56.9

Es konnten keine Zirkulare ermittelt werden.

56.10

Burns ] John Burns.

56.23

Die Antwort von Engels, geschrieben zwischen dem 18. und 24. Dezember 1889, ist nicht überliefert. Zur Datierung und zum Inhalt siehe Engels an Laura Lafargue, 8. Januar 1890 (Br. 76.26–32). Zur Diskussion zwischen Engels und Bonnier siehe auch Charles Bonnier an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 84).

56.24–25

Es ließ sich nicht ermitteln, wer bzw. welche britische Zeitung Guesde eine Stellung als Korrespondent angeboten hatte.

835

57 Friedrich Engels an Gerson Trier in Kopenhagen London, Mittwoch, 18. Dezember 1889 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1675/K 646. Fotosign. 7012a–b. Der Entwurf besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 180 mm. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Die Passage „Und bis Grenze“ (Z. 35–37), mit dem Zuordnungszeichen „FF“ versehen, wurde am linken Rand der ersten Seite quer niedergeschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 H 18“. Mit dem Brief, von dem nur der Entwurf überliefert ist, antwortet Engels auf den Brief Triers vom 8. Dezember 1889 (Br. 50). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Неопубликованные письма Ф. Энгельса (1932). S. 83–85; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 326–328. VARIANTENVERZEICHNIS 57.4

Ansicht $über die letzte Kopenhagener Haupt & Staatsaktion ñ

57.7

momentanes > momentane

57.9 57.9

Mittel $unter Umständen ñ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ : absolut :

57.11

Daß $die ñ

57.11

: politische :

57.11

Herrschaft, $das ñ

57.11

in die $um ñ

57.13

836

1 Unsere Arbeit in Friedenszeiten besteht also darinþ einig. 2 Daß diesþ 3 Unsere Aufgabe ist dafür zu sorgen daß am Tag der 4 Damit ″ ″ ″ 3 Entscheidung das Proletariat stark genug ist zu siegenþ 4 ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ , a dazu 4 ist es nöthig b

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

57.15

: bildet, :

57.16

bewußte > selbstbewußte

57.19

kann, $wenn diese in das ñ

57.19–20

57.21 57.22–24

1 vor Aþ Maßregeln die 2 nicht unmittelbar dem Proletariat 3 entweder 1 gleichgültig, die aber Fortschritte 2 vortheilhaft oder die & > oder 1 Abschaffung der 2 für ″ ″ Majorate & andrer FeuSchutzzölle, des Sozialistengesetzes, 1 , ″ ″ , 2 dalreste, der Büreaukratie, ″ 1 der Beschränkung des Versammlungs- & Vereinsrechts 2 ″ ″ ″ ″ ″ ″ wirkfordert 1 2 lich kämpft Deutschland

57.25–26

Fortschrittspartei, wäre > Fortschrittspartei oder wäre

57.26

wirkliche radikal-bürgerliche Parteien > eine wirkliche radikalbürgerliche Partei

57.26

radikal-bürgerliche $Partei, die ñ

57.27

: elende :

57.28

unbedingt $von vorn herein % gegen

57.29–30

: für bestimmte Zwecke :

57.31

das $kommt ñ

57.32

dann $für ñ

57.33

Vortheil für uns – direkt > Vortheil – für uns direkt,

57.35

Und $wo der geringste Zweifel vorliegt, wäre ich dagegen, der proletarische Klassencharakter der Partei $muß aber ñ darf nicht ˙˙ gefährdet werden ñ $wo die geringste Gefahr vorliegt, daß der proletarische Klassencharakter der Partei gefährdet werde, wäre ich unbedingt dagegen ñ $dann ist Gefahr ñ

57.37–38

1 schon im Komm. Manifest; Sie 2 schon im Komm. Manifest 1847 ent3 entwickelt ″ 1847 ″ ″ Manifest; 1 2 wickeltþ 3 ˙ ˙˙ ˙ ˙˙˙

837

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

57.40

Abgesehen $vom ñ

57.44

erfordert $ : viel : % Einsicht

57.45

nicht? $Gibt es eine Politik, die eine Gesellschaft von Unwissenden, Dummköpfen, ñ

57.46–48

wir

57.47–48

korrumpirbaren > käuflichen

57.49

wir & das Proletariat > das Proletariat & wir

57.50

: am ehesten :

57.51

: ganz :

57.52–53

ersparen. š $Also ñ

57.53

: zunächst :

57.55

: ursprünglich :

57.55–56

: Aber

57.57

da $stehe ich unbedingt auf Ihrer Seite. ñ

57.58

von > der

57.59

Oppositionskomödie, $indem sie nicht müde ñ

57.59

jedes Jahr > immer

57.60 57.64

konstatiren. $Das Verlangen ñ $Kein Mensch ñ ˙ ˙ ˙˙ ˙ scheint mir $ jedes Zusammenwirken von Seiten einer proletarischen Partei unmöglich ñ

57.64

: wirklich :

57.66

Wenn > Soweit

57.67

bis

sind, > die Arbeiterklasse

bis

bis

ist,

endigen. :

1 falls hervorheben, $& meine Ansicht von den dänischen Lin2 soweit 1 nicht irrthümlich ist ñ ken 2 richtig

57.68

Ihnen $also % nur

57.69–70

: & Ihren Freunden :

57.71

aus > von

57.72

1840–51; $dort war sie aus begreiflichen ñ

57.73

unvermeidlich. $Je ñ

57.74

: physical force :

57.75

Chartisten $the physical force ñ

838

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

57.75

: direkt :

57.76

: deßhalb :

57.79–80

Organisation“$, was ñ $dort hat er die Partei desorganisirt ñ $dort fiel es zusammen: , der Zeit nach, : mit dem ñ

57.83

würde $kaum eine einzige – nachdem Herr Rosenberg in Amerika sich glücklich selbst beseitigt hat – Lust haben ihre ñ

57.85

: in ihrem eignen Schoß erwachsende :

57.85

Opposition $in Art ñ

57.86

Leben, Gedeihen > Leben & Gedeihen

57.87

& $radikalere, % extremere

57.90

lebt von > beruht auf

57.91

Lebenselement, $und wenn sie nicht selbst wieder die Kritik vertragen könnte ñ

57.92

wollen? $Eine Arbeiterpartei, $in ñ worin keine Opposition besteht, ñ

57.92–93

1 Wir verlangen 2 Verlangen wir denn von Andern

57.93

zu verbieten? > wieder zu verbieten? > wieder abzuschaffen?

57.95

diesen Brief ganz veröffentlichen > wünschen sollten diesen Brief ganz zu veröffentlichen

ERLÄUTERUNGEN 57.4–5

Engels meinte den Ausschluß der Opposition aus der dänischen Sozialdemokratie. Siehe Erl. 50.5–6.

57.23

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

57.25

deutsche Fortschrittspartei ] Die Deutsche Fortschrittspartei wurde 1861 gegründet und war bis zur Abspaltung der späteren Nationalliberalen 1866/1867 die Partei des aufstrebenden städtischen Bürgertums. Sie befürwortete nicht nur die Einigung Deutschlands unter preußischer Führung, sondern forderte auch die konsequente Verwirklichung des verfassungsmäßigen Rechtsstaates in Preußen. Sie sah ihre nationalen Wünsche durch Bismarck weitgehend erfüllt und bejahte daher die Gründung des Norddeutschen Bundes, versagte allerdings der Verfassung die Zustimmung, da sie ihr zu wenig demokratisch war. Trotz ihrer Gegnerschaft zur Sozialdemokratie lehnte sie das

839

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

Sozialistengesetz mehrheitlich ab. 1884 schloß sie sich mit der Liberalen Vereinigung zur Deutschen Freisinnigen Partei zusammen. (Lexikon der deutschen Geschichte. S. 368/369.) 57.26

Venstre ] Wörtlich: „Linke“. Sie war die Partei der selbständigen Bauern und vertrat politisch – obgleich stark fraktioniert – eine demokratische Politik; zu dieser Zeit näherte sie sich jedoch der Regierung Jacob Estrups an (Knudsen u. a.: Kampen for en bedre tilværelse. S. 87). Siehe auch Erl. 50.35.

57.28, 58–63 Der Gutsbesitzer Jacob Estrup vertrat als Staatsminister (1875–1894) eine konservative Politik. In seiner Regierungszeit entwickelte sich ein Konflikt über die Interpretation der Verfassung. Dieser Verfassungskonflikt hatte eine politische und eine soziale Seite und ähnelte in manchen Beziehungen Konflikten über die Verfassung in Dänemarks Nachbarländern. Die Verfassung von 1866 hatte zwei Kammern eingerichtet: Landsting (Senat) und Folketing. Das Folketing beruhte auf einem annähernd demokratischen Wahlrecht für Männer, das Landsting teils auf einem Zensuswahlrecht, teils auf Ernennungen durch den König. Laut Verfassung konnte das Folketing die Regierung weder abwählen noch stürzen, solange diese das Vertrauen des Königs und des Landstings hatte. Einen sozialen Konflikt gab es zwischen Gutsbesitzern und selbständigen Bauern. Die junge Arbeiterbewegung, seit 1884 im Parlament vertreten, unterstützte im Verfassungskonflikt die in mehrere Fraktionen geteilte Bauernpartei. Die Regierung Estrup nahm den Konflikt mit dem Folketing in Kauf und regierte seit 1885 mit provisorischen Budgets, da sie das Parlament nicht einberufen ließ. Venstre beließ es, obgleich es Unruhen in der Bevölkerung gab, bei einem folgenlosen Protest gegen diese Politik. (Hvidt: Det folkelige gennembrud ... S. 284–298.) 57.38

[Marx, Engels:] Manifest der Kommunistischen Partei. (1848). S. 23.

57.45–46

William Morris, 1884–1889 führendes Mitglied der Socialist League, lehnte grundsätzlich die Teilnahme an Wahlen zum Parlament ab; in den 1890er Jahren revidierte er jedoch seine Haltung teilweise. (Thompson: William Morris. S. 455–460 und 597–602.)

57.58

Hovedbestyrelsen ] Gemeint ist der auf den Kongressen gewählte Hauptvorstand der Sozialdemokratischen Partei; zu diesem Zeitpunkt waren auch Mitglieder der Opposition im Hauptvorstand vertreten, siehe Gerson Trier an Engels, 8. Dezember 1889 (Br. 50.21–28 und Erl.).

840

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

57.70–71

summarische Ausschließung der Opposition von der Partei ] Dabei bezog sich Engels möglicherweise auf die Auseinandersetzung im Bund der Gerechten im Vorfeld des ersten Kongresses des Bundes der Kommunisten im Juni 1847 und auf den Ausschluß des „Sonderbundes“ aus dem Bund der Kommunisten im November 1850. Seit Herbst 1846 war es im Kreis Paris zwischen Anhängern von Wilhelm Weitling, Karl Grün und Engels zu Auseinandersetzungen gekommen. Um die Wahl eines Delegierten – Engels – zum Kongreß zu ermöglichen, schlossen drei Gemeinden zwei andere, vorwiegend aus Anhängern Weitlings bestehende Gemeinden aus. Der Kongreß bestätigte diese Verfahrensweise. (Rundschreiben des ersten Kongresses des Bundes der Kommunisten an den Bund. 9. Juni 1847. In: Der Bund der Kommunisten. Dokumente ... Bd. 1. S. 478.) Nachdem wegen unüberbrückbarer Meinungsverschiedenheiten mit den Anhängern von August Willich und Karl Schapper am 15. September 1850 von der Londoner Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten auf Antrag von Marx der Beschluß gefaßt worden war, diese nach Köln zu verlegen, erklärte am folgenden Tag die Mehrheit des Kreises London um Willich und Schapper die Vollmachten der bisherigen Kreisbehörde für erloschen, schloß deren Mitglieder, die Marx unterstützten, aus und wählte eine neue Zentralbehörde. Daraufhin wurden von der Kölner Zentralbehörde am 11. November 1850 die Mitglieder des von Willich und Schapper angeführten „Sonderbundes“ aus dem Bund der Kommunisten ausgeschlossen. (Protokoll der Sitzung der Zentralbehörde ... In: MEGA➁ I/10. S. 577; Ansprache der Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten an den Bund, 1. Dezember 1850. In: Der Bund der Kommunisten. Dokumente ... Bd. 2. S. 326/327; Dlubek: August Willich ... S. 956/957.) – Zu einer differenzierten Einschätzung des „Sonderbundes“ siehe ebenda S. 956–964.

57.74–75

Der „physical force“-Flügel der Chartisten wollte seine Forderungen auch mit gewaltsamen Mitteln durchsetzen; Feargus O’Connor war einer der führenden Vertreter dieser Richtung (Belchem: 1848. Feargus O’Connor ... S. 271–275 und 299– 303). Die Verbindung von physical force und O’Connor findet sich in der chronologischen Tabelle, die Engels bei der Arbeit am Manuskript von Hermann Schlüter zur Geschichte der Chartistenbewegung angefertigt hatte (siehe Hermann Schlüter: Die Chartistenbewegung in England. In: MEGA➁ I/31. Erl. 428.39– 42). Auf der Grundlage des Hinweises von Engels (siehe eben-

841

57. Engels an Gerson Trier · 18. Dezember 1889 (Entwurf)

da. Variante 428.18–429.14) verarbeitete Schlüter diesen Gedanken in seiner Schrift (ebenda. S. 428.40–42). 57.79–80

der J. B. von Schweitzerschen „strammen Organisation“ ] Johann Baptist von Schweitzer war von 1867 bis 1871 Präsident des unter Ferdinand Lassalle 1863 gegründeten Allgemeinen Deutschen Arbeitervereins (ADAV). Das Statut des Vereins verlieh dem Präsidenten umfangreiche Befugnisse. (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 1. S. 95–97 und 101; Mayer: Johann Baptist von Schweitzer ... S. 256 und 278; Offermann: Die erste deutsche Arbeiterpartei ... S. 29–102 und 131–221.) – Zu Schweitzer als Präsident des ADAV siehe auch Marx an Engels, 29. September 1868.

57.83–84

Zur Spaltung der Socialist Labor Party siehe Erl. 8.4–7.

57.95

Der Brief wurde von Trier nicht veröffentlicht.

842

58 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 18. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3748/L V 535. Fotosign. 8481a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, liniertem Papier im Format 271 × 210 mm. Martignetti hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu zwei Dritteln, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: violette Tinte. Engels beantwortete den Brief am 13. Januar 1890 (Br. 82). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 348. ERLÄUTERUNGEN 58.2–4

Wahlfond-Quittung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 49, 7. Dezember 1889. S. 4, Sp. 4.

58.2–3

Siehe Br. 82.26–28. Der 1882 von deutschen Emigranten gegründete sozialistische Klub „Vorwärts“ in Buenos Aires veröffentlichte seit 1886 eine Zeitschrift, „Vorwärts“, die ab 1888 zweisprachig erschien. Der Verein ließ sich auf dem Internationalen Arbeiter-Kongreß in Paris 1889 (siehe Erl. 1.6) von Wilhelm Liebknecht vertreten. (Walter: The Socialist Party of Argentina ... S. 15; Rama: Mouvements ouvriers et socialistes ... S. 115 und 151.)

58.5–6

Martignetti wurde am 17. Mai 1890 in letzter Instanz freigesprochen. Siehe Erl. 22.2–7 und Martignetti an Engels, 18. Mai 1890 (Br. 174.2–3).

843

59 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Dresden, Freitag, 20. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3582/L V 418. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 286 × 220 mm. Liebknecht hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand auf der vierten Seite in der Mitte ein quer geschriebener Bleistiftvermerk: „Lbk 20/12/89“. Von unbekannter Hand: datierung mit Bleistift oben auf der ersten Seite „20 XII ’89“. Liebknecht antwortet auf Engels’ Brief vom 29. Oktober 1889 (Br. 20). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 354.

KORREKTURENVERZEICHNIS 59.31

zurück.) ] H zurück. ERLÄUTERUNGEN

59.2

Gottschalk ] Siehe Br. 20.3–31.

59.4

Demokratischen Congreß in Frankfurt ] Siehe Erl. 18.4–6.

59.5

das Protokoll ] Siehe Becker: Das Protokoll des ersten Demokratenkongresses vom Juni 1848.

59.6

Elberfelder Prozeß ] Siehe Erl. 9.44.

59.7–8

Während des Prozesses wurden Informanten der Polizei in der Mitgliedschaft der Partei aufgedeckt, u. a. ein Ewald Röllinghoff. Die Verteidiger und Angeklagten konnten seine Unglaubwürdigkeit nachweisen. (Bergmann: Das Sozialistengesetz im rechtsrheinischen Industriegebiet. S. 93; Bebel: Briefe einer Ehe. S. 565, Anm. 2.) Siehe auch Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.6–7 und Erl.).

59.15–17

Zum Elberfelder Prozeß aus der Sicht Bebels siehe August Bebel an Engels, 2. Januar 1890 (Br. 71).

59.21

Roshers ] Mary und Percy Rosher. Siehe Br. 20.49–53.

59.22

Das Zitat könnte aus mehreren Vorlagen stammen. Es könnte abgeleitet sein von Friedrich Schiller: „Und auch Du, mein

844

59. Wilhelm Liebknecht an Engels · 20. Dezember 1889

Franz, auch Du?“ (Die Räuber. 1. Akt, 1. Szene) oder von William Shakespeare: „Auch du, mein Brutus!“ (Julius Caesar. Act 3, Scene 1). 59.22–23

Zur Volksbibliothek siehe den Briefwechsel zwischen Engels und Liebknecht vom Oktober 1890 (Br. 2.9–20 und Erl.; Br. 3.3–7; Br. 18.23–27 und Erl.).

845

60 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 20. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5546/L VIII 189. Fotosign. 12013a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, liniertem Papier im Format 224 × 170 mm. Schlüter hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite in der Mitte ein mit schwarzer Tinte quer geschriebener Vermerk: „NY 20/12/89 Schlüter (Reid)“. Engels antwortete am 11. und 15. Januar 1890 (Br. 80 und 90). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 60.3–6

Möglicherweise ist George Reid gemeint, der in Hull für die National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland gearbeitet hatte. Er war äußerst aktiv und militant, wurde jedoch nach einer internen Auseinandersetzung im Sommer 1889 seines Postens enthoben. Auf dem neunten Kongreß der American Federation of Labor (siehe Erl. 52.19) in Boston im Dezember 1889 vertrat ein George W. Reid die Sailors’ and Firemen’s International Union, u. a. mit mehreren Resolutionen (Report of proceedings ... American Federation of Labor. S. 25, 37 und 43). Am 13. Dezember 1889 wurde ein Lokalverein der Gewerkschaft in Boston gegründet (ebenda. S. 44). Die Gewerkschaft engagierte sich um 1890 dafür, einen internationalen Verband zu organisieren. 1890 wurde eine Konferenz mit sieben Delegierten, u. a. aus New York, San Francisco und Boston durchgeführt. – Es könnte sich auch um einen englischen Arbeiter mit Namen Reed handeln, der im Winter 1890/1891 erfolglos den Versuch unternahm, eine Gewerkschaft zu gründen. 1895 und 1899 gab es weitere Organisationsversuche. (Marsh, Ryan: The seamen. S. 23/24 und 52/53; Brown: Waterfront organisation ... S. 39–43; Simon: Die Internationale Transportarbeiter-Föderation. S. 91/92; Barnes [u. a.]: The longshoremen. S. 109; Russell: Men along the shore. S. 48–52; Nelson: Workers on the Waterfront. S. 40.)

60.12–14

John Burns hatte in seiner Jugend in einem Hotel, The Winstanley Arms, gearbeitet. In den 1880er Jahren war er Mitglied

846

60. Hermann Schlüter an Engels · 20. Dezember 1889

der Social Democratic Federation, verließ die Partei aber 1889 während des Streiks der Hafenarbeiter. (Kent: John Burns. S. 7; Crick: The history of the Social Democratic Federation. S. 59–63.) 60.15–16

Engels bemühte sich darum, Informationen über George W. Reid zu bekommen. Siehe Engels an Hermann Schlüter, 11. Januar 1890 (Br. 80.8–10) und 15. Januar 1890 (Br. 90.1–2).

60.17

Es ließ sich nicht ermitteln, um welchen Artikel im „Workmen’s Advocate“ bzw. in „The Labour Elector“ es sich handelte.

847

61 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 22. Dezember 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/11. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 308 × 198 mm. Wasserzeichen: „Forest a` Chambe´ry“. Paul Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „163“; Bleistiftvermerke auf der ersten und dritten Seite: „[de]“ hinzugefügt (Z. 5), für zwei Wörter ist eine Entzifferung notiert: „dengue (?)“ und „Evreinoff“ (Z. 9 und 25). Lafargue beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 14. Dezember 1889 (Z. 10). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 366– 368.

ERLÄUTERUNGEN 61.4

les invalidations boulangistes ] Siehe Erl. 53.14.

61.10–11

Siehe Paul Lafargue an Nikolaj Daniel’son, 14. Dezember 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 85/6).

61.12–13

Den Entwurf dieses Briefes siehe in Erl. 41.12–13. Paul Lafargue erhielt den Brief am 12. Dezember 1889, siehe auch Laura Lafargue an Engels, 13. Dezember 1889 (Br. 53.10–11).

61.17–18

Friedrich Engels, Karl Marx: Die heilige Familie, oder Kritik der kritischen Kritik. Gegen Bruno Bauer & Consorten. Frankfurt/Main 1845.

61.21–22

Der Streik in Silvertown endete am 10. Dezember 1889 mit einer Niederlage. Siehe Erl. 28.37–38 und 38.24–26.

61.25

Revue ] „Сѣверный Вѣстникъ“. Anna Michajlovna Evreinova war die Herausgeberin und Redakteurin dieser Zeitschrift.

61.38–39

Es konnte nicht ermittelt werden, wo dieser Artikel erscheinen sollte. Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 27. April 1890 (Br. 157.44–46).

61.42–45

Anspielung auf Karl und Louise Kautsky. Ihre Ehe wurde am 24. Oktober 1889 geschieden, die Scheidung am 24. Dezember 1889 offiziell verkündet. Louise Kautsky hatte zwischen Oktober 1888 und März 1889 eine Ausbildung zur Hebamme

848

61. Paul Lafargue an Engels · 22. Dezember 1889

absolviert und übte diesen Beruf aus. (Koth: „Meine Zeit wird wieder kommen ...“ S. 58–60; siehe auch Schelz-Brandenburg: Eduard Bernstein und Karl Kautsky. S. 133–156; Victor Adler an Engels, 21. Januar 1890 (Br. 94.66–67 und Erl.).)

849

62 Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels in London London, Montag, 23. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6022/L VIII 649. Fotosign. 12348. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 180 mm. Wasserzeichen: „Old England Vellum Stratfort Mill“. Kravcˇinskij hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 15 09.a“. Engels beantwortete den Brief am 3. Januar 1890 (Br. 74). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма С. М. СтепнякаКравчинского Фридриху Энгельсу (1935). S. 112; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 62.5

Vera Zasulicˇ an Kravcˇinskij, um den 20. Dezember 1889 (RGASPI, Sign. f. 458, op. 1, d. 530).

62.6

promised article ] Friedrich Engels: „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums“ (MEGA➁ I/31. S. 179–209 und 961–970). Engels schrieb ihn auf Wunsch der russischen Gruppe „Osvobozˇdenie truda“ (Befreiung der Arbeit). Der erste Teil erschien unter dem Titel „Иностранная политика русскаго царства“ in der Zeitschrift: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн 1. Лондонъ 1890. S. 176–184. Siehe auch Engels’ Antwort (Br. 74) und Vera Zasulicˇ an Engels, 30. Jan. 1890 (Br. 98). Zum Abdruck in der „Neuen Zeit“ siehe Karl Kautsky an Engels, 3. April 1890 (Br. 131 und Erl. 131.14–17).

850

63 Friedrich Engels an Natalie Liebknecht in Leipzig London, Dienstag, 24. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 987/K 415–2. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 177 mm und einem Briefumschlag. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung aller Seiten: „Ea 22“ bis „Ea 25“ und des Briefumschlags: „Ea22a“ mit Rotstift. Auf dem überlieferten Briefumschlag befindet sich die Adresse; es fehlen die Briefmarke und der Poststempel. Auf einer Fotokopie (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4857) ist der Poststempel „London N. W. 34 De 24 89“ sowie eine Briefmarke zu 2 1/2 Pence erkennbar. Engels beantwortet den Brief Natalie Liebknechts vom 27. November 1889 (Br. 42). Natalie Liebknecht antwortete am 29. Dezember 1889 (Br. 66). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 172– 174; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 355–357; die Adresse wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 63.3

Ihres Hrn Sohnes ] Theodor Liebknecht.

63.18

den Kindern ] Liliane Rosher und ihr kleiner Bruder.

63.32

Dockstrike ] Siehe Erl. 10.9–18.

63.33–34

Neben Eleanor Marx-Aveling werden genannt: Martha ,Pattie‘ Burns und Jane Tillett (Kent: John Burns. S. 40; Henderson: The life of Friedrich Engels. S. 694; Torr: Tom Mann. S. 289).

63.35

Strike in Silvertown ] Siehe Erl. 28.37–38 und Engels an Jules Guesde, 20. November 1889 (Br. 38.7–52).

63.38–39

Gasstrike auf der Südseite ] Der Konflikt bei der South Metropolitan Gas Co. begann am 13. Dezember 1889 und dauerte bis zum 4. Februar 1890. Der Streik endete mit einer Niederlage, die u. a. zur Folge hatte, daß der Acht-Stunden-Tag wieder abgeschafft wurde. Siehe Engels an Hermann Schlüter, 11. Januar 1890 (Br. 80.19–27) und an Friedrich Adolph Sorge, 19. April 1890 (Br. 153.37); Hutchins, Thorne: The Gas Strike. In: Time. London. Nr. 1, Januar 1890. S. 47–51; Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 67/68.

851

63. Engels an Natalie Liebknecht · 24. Dezember 1889

63.40–41

Zur Gründung der Monatsschrift „Time“ und zur Mitarbeit der Avelings siehe Erl. 8.3–4.

63.42–43

Dabei bis weiblichen Fachvereinen ] Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 7. Dezember 1889 (Br. 48.22–23 und Erl.).

63.44

Brief von Liebknecht ] Siehe Wilhelm Liebknecht an Engels, ˙ ˙ ˙ ˙ (Br. ˙ 59). 20. Dezember 1889

63.46

Elberf. Prozeß ] Siehe Erl. 9.44.

63.49

tägliches Blatt ] Siehe Erl. 35.18–25.

63.51–52

Zur Bildung und zu den unterschiedlichen Mitgliederzahlen der sozialistischen Parlamentsgruppe siehe Erl. 28.3–4.

63.57–58

Siehe Hermann Schlüter an Engels, 12. Dezember 1889 (Br. 52).

852

64 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 24. Dezember 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/12. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 201 × 154 mm. Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, der Text auf der dritten Seite (Z. 13–17) steht quer geschrieben, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Bleistiftvermerk „24/XII/89“ auf der ersten Seite; Numerierung: „164“. Die Datierung ergibt sich aus dem Weihnachtsgruß und dem Dank für die Sendung des Schecks (Z. 3–4). Engels hatte damit, vermutlich zusammen mit einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 22. und 24. Dezember 1890, die Bitte Lafargues vom 22. Dezember 1889 (Br. 61.35) erfüllt. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 368. ERLÄUTERUNGEN 64.5–15

Charles Bonnier hatte Engels am 18. Dezember 1889 über die Einzelheiten zur Veröffentlichung einer sozialistischen Tageszeitung unterrichtet, siehe Br. 56 und Erl. 56.4. Zu den verschiedenen Plänen für ein solches Projekt siehe Erl. 35.18–25.

64.5

un capitaliste ] Victor Peragallo. Siehe Erl. 35.18–25 und Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890 (Br. 78.5–8 und Erl.).

853

65 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Sonntag, 29. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2840/L V 285. Fotosign. 3147. Die Postkarte hat das Format 93 × 140 mm. Kugelmann hat die untere Hälfte der Ansichtskarte vollständig beschrieben. Schreibmaterial: blaue Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich die Anschrift und ein Poststempel: „Hannover 29. 1 90 11–12 N. / 1 b“ sowie eine 10-Pfennig-Briefmarke. Die Ansichtskarte zeigt die Georgstraße, das Theater und Cafe Robby in Hannover. Die Karte trägt die Aufdrucke „Gruss aus Hannover“, „Herzlichste Gratulation“ (im Text in Kapitälchen wiedergegeben) und „Hannover“, wonach die Datumszeile folgt. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 65.3–4

854

Conrad Schmidt: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. – Zu Engels’ Meinung über die Schrift von Schmidt siehe Engels an Conrad Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.9–19) und an August Bebel, 15. November 1889 (Br. 29.8–10).

66 Natalie Liebknecht an Friedrich Engels in London Leipzig, Sonntag, 29. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3413/L V 357–63. Fotosign. 8774a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 279 × 220 mm. Natalie Liebknecht hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „L f q 9.“. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben rechts Bleistiftvermerk „29. 12. 89.“, oben links mit schwarzer Tinte „No 138 German etc Party Letters. 1890 “ und auf der vierten Seite: „Varia “. Natalie Liebknecht beantwortet Engels’ Brief vom 24. Dezember 1889 (Br. 63). Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 357. ERLÄUTERUNGEN 66.10

Roche’s ] Mary und Percy Rosher.

66.11–12

Pariser Congress ] Siehe Erl. 1.6.

66.14–15

Morgen bis verurteilt ] Zum Elberfelder Prozeß siehe Erl. 9.44. August Bebel wurde freigesprochen, siehe Bebels Brief an Engels, 2. Januar 1890 (Br. 71.6–32).

66.18

Sohn ] Theodor Liebknecht.

855

67 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Montag, 30. Dezember 1889

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1035/L III 23–17. Fotosign. 1290a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, blauem, kariertem Papier im Format 270 × 208 mm. Daniel’son hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Daniel’son beantwortet den Brief von Engels vom 5. Dezember 1889 (Br. 46). Daniel’sons Datierung (Z. 1) entspricht dem damals in Rußland gebräuchlichen julianischen Kalender. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка Ф. Энгельса с Николаем–оном (1930). S. 98/99; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 67.3

Thomas Tooke: An inquiry into the currency principle ... 2nd ed. London 1844. Siehe Br. 46.15–16 und Erl.

67.5–6

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890. S. 105/106, Fußnote 108 (MEGA➁ II/10. S. 131/132). Siehe Br. 46.20.

67.7–8

Marx: Capital. London 1887. S. 119 (MEGA➁ II/9. S. 124). Hervorhebung von Daniel’son.

67.16–18

Nach der Gerichtsordnung vom 20. November 1864 (Учрежденіе судебныхъ установленій. In: Полное собраніе законовъ Россійской имперіи. Собр. 2. Т. 39. Отд 2. 1864. Санктпетербургь 1867. S. 180–186), die Justiz und Verwaltung in Rußland trennte, wurden Friedensgerichte als erste Instanz eingeführt. Die Friedensrichter („мировые судьи“) sollten von der Kreislandversammlung der Abgeordneten (Zemstvo) aus den Bürgern verschiedener Stände gewählt werden. Sie wirkten als Einzelrichter; ihrem vereinfachten Gerichtsverfahren unterstanden kleinere Zivilstreitigkeiten und Strafsachen. Nach dem Gesetz über Bezirkshauptleute („земске участковые начальники“) vom 12. Juli 1889 (Положеніе о земскихъ участковыхъ начальникахъ. Ebenda. Собр. 3. Т. 9. 1889. Санктпетербургь 1891. S. 510–524) begann die Re-

856

67. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels · 30. Dezember 1889

organisation der gesellschaftlichen Selbstverwaltung. In deren Folge sollten die gewählten Friedensrichter durch die von den Gouverneuren ernannten und vom Innenminister bestätigten Beamten aus dem Adel ersetzt werden. Sie vertraten die administrative und richterliche Macht auf dem Lande, zu ihrem Aufgabenbereich gehörten auch die Befugnisse von Friedensrichtern. (Лаптева: Земские учреждения в России. S. 46/47 und 92–95.) 67.21–22

Emancipation act of 19 Feb. ’61 ] [Александр II] Александръ: Манифестъ 19 февраля 1861 года. О Всемилостивѣйшемъ дарованіи крѣпостнымъ людямъ правъ состоянія свободныхъ сельскихъ обывателей, и объ устройствѣ ихъ быта. In: Полное собраніе законовъ Россійской имперіи. Собр. 2. Т. 36. Отд. 1. 1861 Санктпетербургь 1863. S. 128 und 130–134. Die Bauernbefreiung in Rußland wurde mit dem Gesetz vom 19. Februar 1861 eingeleitet und betraf zunächst mit knapp 22 Millionen leibeigenen Adelsbauern etwa die Hälfte der gesamten Bauernschaft. Diese Bauern erhielten zwar persönliche Freiheit, doch blieben sie „zeitweilig verpflichtet“ und während einer Übergangszeit von der Gemeinde abhängig. Der Boden blieb zunächst Eigentum der Gutsbesitzer, und den befreiten Bauern wurde die Möglichkeit geboten, die Häuser nebst Zubehör sowie das Land als Eigentum zu erwerben. Da die Bauern bei der Landzuteilung zu wenig und zu schlechtes Land erhielten, waren sie häufig gezwungen, in zeitweilige Lohnarbeitsverhältnisse einzutreten. Der Staat gewährte den Bauern vier Fünftel der Ablösesumme als Darlehen, das in 49 Jahresraten zu tilgen war. Daraus entschädigte er den Adel. Während des Tilgungszeitraums durften die Bauern ihr Land weder verkaufen noch verpfänden. Bis zu einer Einigung mit den Adligen über die Landabgabe blieben die Bauern mindestens zwei und höchstens 20 Jahre „zeitweilig verpflichtet“. Das zugeteilte Land wurde nicht individuell, sondern als Kollektivgemeindebesitz vergeben und, wie schon bisher, von der Gemeinde regelmäßig umverteilt. Diese haftete auch kollektiv für die Rückzahlung des Darlehens. Aus der Umteilungsgemeinde konnte nur entlassen werden, wer seinen Anteil sofort bezahlte oder sich mit einem kostenlosen Viertel begnügte. Damit blieb die Mobilität zukünftiger ländlicher Lohnarbeiter stark eingeschränkt. Gleichzeitig waren zum Zeitpunkt der Reform rund drei Viertel des Landadels verarmt oder hoch verschuldet und zwei Drittel ihrer leibeigenen Bauern an die dem Staat gehörende Adelsbank verpfändet. Schon drei Jahrzehnte später

857

67. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels · 30. Dezember 1889

konnten etwa sechzig Prozent des ländlichen Adels nicht mehr vom agrarisch erzielten Einkommen leben. 1863 folgte die Befreiung der etwa 2 Millionen Apanagebauern und 1866 der etwa 19 Millionen Staatsbauern. Ihre Bedingungen für den Landerwerb waren günstiger. (Mironov: Social’naja istorija Rossii. T. 1. S. 389–391; Hosking: Russland. Nation und Imperium 1552–1917. S. 194 und 353; Torke: Einführung in die Geschichte Rußlands. S. 164/ 165). Siehe dazu auch Karl Marx: Manuskripte zum zweiten Buch des „Kapitals“ 1868 bis 1881 (MEGA➁ II/11. S. 695.1–2 und Erl.). 67.58

ˇ ernysˇevskij war am 29. (17.) Oktober 1889 gestorben. Nikolaj C Siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 4. November 1889 (Br. 23.46–47) und Engels an Paul Lafargue, 16. November 1889 (Br. 32.50–54).

67.59

Siehe Paul Lafargue an Daniel’son, 14. Dezember 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 85/6) und an Engels, 22. Dezember 1889 (Br. 61) sowie Erl. 41.12–13. Ein Antwortbrief Daniel’sons an Lafargue, geschrieben zwischen dem 14. und 30. Dezember 1889, war nicht zu ermitteln.

858

68 Friedrich Engels an Louis Kugelmann in Hannover London, Montag, 30. Dezember 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4858. Fotosign. 153a–b. Die Postkarte hat das Format 139 × 88 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich der Poststempel: „London–N. W. 54 DE 30 89“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Von Kugelmanns Hand: Vermerk mit lilafarbenen Stift auf der Vorderseite rechts, quer geschrieben: „empf. 1/1 1890 Nxx“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 174; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 331; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 68.3

Der Brief Kugelmanns an Engels mit dem Augenrezept, geschrieben vor dem 29. Dezember 1889 (siehe Br. 65), ist nicht überliefert.

859

69 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 31. Dezember 1889

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 24/6. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 263 × 202 mm. Laura Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „66“. Engels antwortete am 8. Januar 1890 (Br. 76). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 369/ 370. ERLÄUTERUNGEN 69.5–6

Paul’s mother ] Ana Virginia Lafargue.

69.9

batons m. ] baˆtons de merde.

69.17–18

absent Diane bis reach ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.81 und Erl.).

69.20

Walther von der Vogelweide: Unter der Linde. Siehe Laura Lafargue an Engels, 13. Dezember 1889 (Br. 53.31 und 35–75).

69.52–54

Engels schickte ihr eine Abschrift des Originals. Siehe Engels an Laura Lafargue, 8. Januar 1890 (Br. 76.3–7) sowie Laura Lafargue an Engels, 12. Januar 1890 (Br. 81.45 und 54–93).

69.57

apre`s nous le de´luge ] Ein der Marquise de Pompadour zugeschriebener Ausspruch.

860

70 Adam Weiler an Friedrich Engels in London London, wahrscheinlich Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6295/L IX 216–2. Fotosign. 14645a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Wasserzeichen: „J. R. Lockwood & Co Superfine“. Die ersten drei Seiten sind vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Der Brief wurde von einem bzw. einer Unbekannten, vermutlich Friederica Weiler, geschrieben und – nach dem handschriftlichen Befund – von Adam Weiler mit Bleistift unterzeichnet. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Weiler war 1889 erblindet (Rothstein: Adam Weiler ... Nr. 62. S. 16). Der Brief ist noch von Weiler selbst unterzeichnet, im Unterschied zu seinem Brief an Engels vom 28. Juli 1890 (Br. 229), der gänzlich von unbekannter Hand geschrieben und unterzeichnet wurde. Der vorliegende Brief dürfte daher vor Juli 1890 entstanden sein. Da Friederica Weiler seit Weihnachten auf Grund der schlechten Geschäftslage (siehe Z. 7–8) nicht mehr gearbeitet hatte, könnte der Brief im Januar 1890 geschrieben worden sein. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 70.7

Frau ] Friederica Weiler.

861

70 Adam Weiler an Friedrich Engels in London London, wahrscheinlich Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6295/L IX 216–2. Fotosign. 14645a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Wasserzeichen: „J. R. Lockwood & Co Superfine“. Die ersten drei Seiten sind vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Der Brief wurde von einem bzw. einer Unbekannten, vermutlich Friederica Weiler, geschrieben und – nach dem handschriftlichen Befund – von Adam Weiler mit Bleistift unterzeichnet. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Weiler war 1889 erblindet (Rothstein: Adam Weiler ... Nr. 62. S. 16). Der Brief ist noch von Weiler selbst unterzeichnet, im Unterschied zu seinem Brief an Engels vom 28. Juli 1890 (Br. 229), der gänzlich von unbekannter Hand geschrieben und unterzeichnet wurde. Der vorliegende Brief dürfte daher vor Juli 1890 entstanden sein. Da Friederica Weiler seit Weihnachten auf Grund der schlechten Geschäftslage (siehe Z. 7–8) nicht mehr gearbeitet hatte, könnte der Brief im Januar 1890 geschrieben worden sein. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 70.7

Frau ] Friederica Weiler.

861

71 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Donnerstag, 2. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 245/L I 98. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 228 × 180 mm. Bebel hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „73“ (gestempelt). Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite quer geschrieben „Bebel Jan 2/90 “. Bebel antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben um den 31. Dezember 1889 (Z. 3). Die Antwort von Engels erfolgte am 23. Januar 1890 (Br. 96). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 372–374.

ERLÄUTERUNGEN 71.6–7

Zum Geheimbundprozeß in Elberfeld siehe Erl. 9.44 und Bebel: Briefe einer Ehe. S. 568/569.

71.8

Siehe u. a.: Elberfelder Sozialistenprozeß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 305, 31. Dezember 1889. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 3 sowie Beil. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 2; Verkündung des Urteils. Ebenda. Nr. 2, 3. Januar 1890. S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 2. Das Urteil wurde in vielen Zeitungen referiert. Einige der Stellungnahmen wurden später im Londoner „Sozialdemokrat“ zitiert (siehe Aus Deutschland wird uns geschrieben ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 2, 12. Januar 1890. S. 2, Sp. 1/2).

71.14–15

In seiner Verteidigungsrede am 27. Dezember 1889 wies Bebel die Interpretation eines Artikels im „Sozialdemokrat“ durch den Staatsanwalt zurück. Bebel könnte sich auf den Artikel „Parteigenossen!“ In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 39, 26. September 1880. S. 1, Sp. 1–3, unterschrieben „Die Parteivertretung“ und datiert auf den 18. September 1880, bezogen haben. Dieser Artikel wurde u. a. während des Prozesses von der Staatsanwaltschaft mehrmals herangezogen. Siehe Sozialistenprozeß. In: Freie Presse. Elberfeld-Barmen. Nr. 302, 28. Dezember 1889. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1; Nr. 303, 29. Dezember 1889. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 4.

71.22

Vertheidigungsrede ] Zur Zusammenfassung der Rede Bebels siehe: Sozialistenprozeß. In: Freie Presse. Elberfeld-Barmen.

862

71. August Bebel an Engels · 2. Januar 1890

Nr. 302, 28. Dezember. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1; Nr. 303, 29. Dezember 1889. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 4 sowie: Elberfelder Sozialistenprozeß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 304, 29. Dezember 1889. S. 3, Sp. 1/2; Nr. 305, 31. Dezember 1889. S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 3; Beil. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 2. 71.23

Staatsanwalt ] Friedrich Rudolf Pinoff.

71.25

meine Frau ] Julie Bebel.

71.27

Der Staatsanwalt hatte für Bebel eine Strafe von 15 Monaten Haft beantragt (Bebel: Briefe einer Ehe. S. 568).

71.27

die Tochter ] Frieda Bebel. Sie wohnte seit April 1889 in Zürich (Bebel: Briefe einer Ehe. S. 556/557).

71.31–32

In der Reichstagsdebatte um die Verlängerung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) am 25. Januar 1890 ging Bebel u. a. auf den Elberfelder Prozeß ein (Sten. Ber. RT, 7/5. Bd. 2. S. 1233–1236). Durch das Sozialistengesetz – so führte er aus – sei ein System der „Demoralisation“ (ebenda. S. 1236) hervorgebracht worden.

71.33

Urteil der II. Strafkammer des Königlichen Landgerichts zu Elberfeld in der Strafsache c/a Arns und Genossen. Elberfeld, 30. Dezember 1889 (LA Nordrhein-Westfalen. HSTA Düsseldorf. Sign. Gerichte Rep. 5. Nr. 1124–1180).

71.35

Merkzeichen einer allg. geheimen Verbindung ] Bebel dürfte sich auf die im Urteil genannten Beweise beziehen: Die verschiedenen organisatorischen Formen, hierunter die der Vertrauensleute, die heimliche Verbreitung des „Sozialdemokrat“ und anderer verbotener Schriften und Flugblätter sowie die Wahl von Delegierten zum Parteitag in St. Gallen (siehe Bergmann: Das Sozialistengesetz im rechtsrheinischen Industriegebiet ... S. 93).

863

72 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Donnerstag, 2. Januar 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/18. Fotosign. 531a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Hermann Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben. Friedrich Engels beantwortete den Brief am 9. Januar 1890 (Br. 77). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 72.6

Unsere Clara ] Clara Pferdmenges.

72.6–7

mit ihren Kindern ] Lily, Harald, Paul und Clara Maria Pferdmenges.

72.7

ihr Mann ] Friedrich Wilhelm Pferdmenges.

72.22

Emma ] Emma Engels.

72.11

Unser Jüngster Walter ] Walter Engels.

72.26

Circular ] Siehe Br. 77.26–32. Ein entsprechendes Zirkular ist nicht überliefert.

72.27

unsere Söhne ] Hermann, Moritz und Emil Engels.

72.28

seit 1880 ] Der Übergang der Firma Ermen & Engels von Barmen nach Engelskirchen wurde juristisch erst im Jahre 1884 vollzogen.

72.30

Rudolf ] Rudolf Engels.

864

73 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Donnerstag, 2. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5460/L VIII 98–3. Fotosign. 11575a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Wasserzeichen: „London Herculaneum Note Paper“, ein Wappen und ein Tor. Rosher hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete in einem nicht überlieferten Brief, geschrieben am 3. Januar 1890. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 73.6

R. M. A. ] Royal Military Academy in Woolwich.

73.27

Rosher hatte seinen Kessel an die Royal Military Academy geliefert und sollte daher einen Scheck vom Kriegsministerium bekommen.

73.28

Zu den finanziellen Problemen Percy Roshers und des Vaters Charles H. Rosher siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober (Br. 19.69) und 16. November 1889 (Br. 33.46–49) sowie an Wilhelm Liebknecht, 29. Oktober 1889 (Br. 20.49–53). Vater Rosher hatte Engels früher um eine bedeutende Summe gebeten, siehe Charles H. Rosher an Engels, 1. Dezember 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5458).

865

74 Friedrich Engels an Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij in London London, Freitag, 3. Januar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4865. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 178 mm. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der ersten bzw. vierten Seite oben links befindet sich der Stempel „Дом Плеханова“ mit Archivangaben und -signatur „[...] No¯ 4216 колич. листов 2 лист No¯ 1 [S. 1 bzw.] 2 [S. 4] No¯ хран. Б.137.10.“. Engels beantwortet den Brief Kravcˇinskijs vom 23. Dezember 1889 (Br. 62). Zur Datierung: Die Jahresangabe 1890 ergibt sich aus der Tatsache, daß Engels auf den Brief Kravcˇinskijs vom 23. Dezember 1889 (Br. 62) antwortet. Zudem schickte er den ersten Teil des Manuskriptes „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums“, das im Februar 1890 erschien (siehe Die auswärtige Politik der russischen Zarentums. Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ I/31. S. 961 und 967/968). Datierung der Erstveröffentlichung: ohne Jahresangabe. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Дейч: Письма Фр. Энгельса к Вере Ивановне Засулич (1924). S. 141; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 430. ERLÄUTERUNGEN 74.2

Stepnjak (Stepniak) war der Deckname Kravcˇinskijs.

74.3

Vera Zasulicˇ wohnte zu dieser Zeit in Mornex (Monnetier-Mornex), Obersavoyen, in der Nähe von Genf.

74.3

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teil I als revidierter Abdruck aus H. 4, April. (MEGA➁ I/31. S. 179–186). Siehe auch Erl. 62.6.

74.5

the second article ] Teil II und III von „Die auswärtige Politik ...“. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teil II als revidierter Abdruck aus H. 4, April. (MEGA➁ I/31. S. 186–209). Siehe auch Vera Zasulicˇ an Engels, 30. Januar 1890 (Br. 98 sowie Erl. 98.2 und 98.6).

74.6

your Review ] „Соціаль-Демократъ“. Siehe auch Br. 98.5.

74.7

Mrs. S. ] Fanni Markovna Kravcˇinskaja.

866

75 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Dienstag, 7. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5461/L VIII 101. Fotosign. 11967a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Wasserzeichen: „London Herculaneum Note Paper“, ein Wappen und ein Tor. Rosher hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Rosher beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben am 3. Januar 1890 (Z. 5). Engels antwortete mit einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 7. und 10. Januar 1890. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 75.9–10

Zu den finanziellen Problemen Percy Roshers siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober (Br. 19.69) und 16. November 1889 (Br. 33.46–49) sowie an Wilhelm Liebknecht, 29. Oktober 1889 (Br. 20.49–53).

867

76 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 8. Januar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5704. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 222 × 178 bzw. 111 × 178 mm. Wasserzeichen: auf dem Bogen „Charta Aspera L & S“ und ein Ornament mit Krone und Posthorn; auf dem Blatt „ST Mar[garets] Supe[rfine]“ und zwei Lorbeerzweige. Engels hat die ersten drei Seiten sowie die fünfte vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte, die sechste ist leer. Die letzten Passagen (Z. 111–121) hat Engels quer am rechten Rand der fünften Seite niedergeschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „7. I. 28“. Engels beantwortet den Brief Laura Lafargues vom 31. Dezember 1889 (Br. 69). Die Antwort Laura Lafargues erfolgte am 18. Februar 1890 (Br. 104). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 373– 375. VARIANTENVERZEICHNIS 76.74

heiden > heide KORREKTURENVERZEICHNIS

76.76 76.100

muget ] H mugent laege ] H gelaege ERLÄUTERUNG

76.3–4

as I cannot bear bis modernization ] Laura Lafargue hatte eine Übersetzung von Walther von der Vogelweide „Unter der Linde“ am 13. Dezember 1889 an Engels geschickt, siehe Br. 53.31 und 35–75 sowie Br. 69.20–54.

76.11–12

Charley Rosher bis influenza ] Charles H. Rosher hatte sich an˙ ˙ ˙ ˙ ˙ seinen Brief an Engels, 2. Januar 1890 (Br. gesteckt. Siehe 73.18–20).

76.16

Edward Aveling war zusammen mit Eleanor Marx-Aveling von September bis Dezember 1886 auf einer Agitationsreise in den USA (Merkel-Melis: „... wir werden die Sache ...“. S. 42).

868

76. Engels an Laura Lafargue · 8. Januar 1890

76.26

Zum Plan für eine sozialistischen Tageszeitung in Frankreich siehe Paul Lafargue an Engels, 24. Dezember 1889 (Br. 64) sowie Erl. 35.18–25.

76.27

Der Brief von Engels an Charles Bonnier, geschrieben zwischen dem 18. und 24. Dezember 1889, ist nicht überliefert. Siehe auch Charles Bonnier an Engels, 18. Dezember 1889 (Br. 56.23 und Erl.).

76.40–41

Siehe Br. 56.12–13.

76.53

in the interest of the cause ] Siehe Br. 56.19: „dans l’inte´reˆt du parti“.

869

77 Friedrich Engels an Hermann Engels in Barmen London, Donnerstag, 9. Januar 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4866. Fotosign. 532a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Das Papier wurde gelocht, der dadurch entstandene Textverlust (Z. 14) konnte rekonstruiert werden. Engels beantwortet den Brief von Hermann Engels vom 2. Januar 1890 (Br. 72). Erstveröffentlichung: Mayer: Briefe von Engels an Mutter und Geschwister (1921). S. 70–72. ERLÄUTERUNGEN 77.26

Das Cirkular bis Jungen ] Hermann, Moritz und Emil Engels. Siehe Br. 72.26–28.

77.27–28

Salamander bis gerieben ] Zeitgenössischer studentischer Ausdruck für einen Ehrentrunk.

77.44

Hermann Engels’ Sohn Walter studierte Medizin (Die Herkunft des Friedrich Engels. S. 668).

77.47

Emma ] Emma Engels.

77.52

meine alte Haushälterin ] Helena Demuth.

77.62

Kinder ] Zu diesem Zeitpunkt dürften die zwei noch unverheirateten Kinder Walter und Erna im Haus von Hermann und Emma Engels gewohnt haben (Die Herkunft des Friedrich Engels. S. 668/669).

77.62

Rudolfs ] Rudolf und Mathilde Engels.

870

78 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 10. Januar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/1. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 310 × 201 mm. Paul Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „165“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 377/ 378.

ERLÄUTERUNGEN 78.3–4

Es handelt sich hier um die Tageszeitung „Le Combat“, mit deren Eigentümer über die Zusammensetzung und Entlohnung der Redaktion verhandelt wurde. Die Verhandlungen zogen sich bis März 1890 hin. (Siehe Erl. 35.18–25 und die dort genannten weiteren Briefe.) Lafargue riet Guesde davon ab, sich direkt an der Redaktion zu beteiligen (Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 85). – Zur Verzögerung des Erscheinens siehe auch Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.83–84). Zur Ankündigung durch Wilhelm Liebknecht in deutschen Blättern siehe Erl. 96.83–84.

78.5

un imprimeur ] Victor Peragallo. Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. Dezember 1889 (Br. 64.5–8).

78.5

consacrera 60 000 f. au journal ] Siehe auch Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 18. Januar 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 118): „... übrigens scheint mir, daß diesmal Laf. im Recht ist. Der Kapitalist, den Guesde in Aussicht hat, will 60 000 Franken anlegen, das ist nichts.“

78.11–12

Die damalige sozialistische Redaktion der Zeitung „L’E´galite´“ war von Jules Roques entlassen worden, siehe Paul Lafargue an Engels, 5. März 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/2). Jules Roques hatte vor den Wahlen im Herbst 1889 die Ligue socialiste re´volutionnaire gegründet, um den Zusammenschluß der sozialistischen Kräfte zu fördern. Er unterstützte die Bildung einer Ligue des femmes socialistes und stellte ihr Raum in seiner Zeitung zur Verfügung. Zudem wirkte er als Präsident einer Gewerkschaft von Gaswerkarbeitern. Roques kandidierte so-

871

78. Paul Lafargue an Engels · 10. Januar 1890

wohl bei der Wahl zur Deputiertenkammer im September 1889 als auch in der Nachwahl im Wahlkreis Clignancourt, die nach dem Tod des possibilistischen Abgeordneten Jules Joffrin am 16. November 1890 durchgeführt wurde, beide Male ohne Erfolg. Siehe Erl. 355.3. 78.15–16

Emmanuel Chauvie`re: Les e´pide´mies. In: L’E´galite´. Paris. Nr. 333, 6. Januar 1890. S. 1, Sp. 1/2.

78.26

le 12 Mai ] Paul Lafargue hat sich vermutlich verschrieben, gemeint ist wahrscheinlich „12 Mars“. Die Gemeindewahlen wurden in Paris am 27. April und 4. Mai 1890 durchgeführt (Seager: The Boulanger affair. S. 244), siehe auch Erl. 176.26–28.

78.32

Der nächste überlieferte Brief Paul Lafargues an Engels stammt vom 17. Januar 1890 (Br. 91). Laura Lafargue berichtete Engels am 11. Januar von dem Treffen (Br. 81).

78.35

que Boulanger recevait l’argent directement de l’ambassade russe ] Siehe Erl. 2.37.

872

79 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Freitag, 10. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5462/L VIII 103. Fotosign. 11968a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier, im Format 250 × 203 mm. Rosher hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Rosher beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 7. und 10. Januar 1890 (Z. 3 und Br. 75.5). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 79.6

Walmer ] Badeort im südöstlichen England, County Kent.

79.38

Percy ] Percy Rosher.

79.55

Rooshan ] vermutlich Russian.

873

80 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Samstag, 11. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1446/K 600. Fotosign. 246,8–9. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier, im Format 223 × 178 mm. Wasserzeichen: „Coldstream Superfine“. Engels hat alle Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben mit Bleistift ein Zeichen „V“ und „Sch.“; Streichungen mit Blaustift (Z. 3–13 und 74–81). Engels beantwortet die Briefe Schlüters vom 1. Juli 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign L 5544) sowie vom 12. und 20. Dezember 1889 (Br. 52 und 60). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 326–328; vollständig in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 177/179; vollständig in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 340–342.

VARIANTENVERZEICHNIS 80.39

sie > die Leute

80.69

werden $ihnen ñ

ERLÄUTERUNGEN 80.3

Deiner Frau ] Anna Schlüter.

80.5

Riesenbaum Marx ] Siehe Br. 52.8–9 und Erl.

80.7

Der Artikel über Georg Weerth konnte nicht ermittelt werden. Schlüter hatte ihn möglicherweise mit seinem Brief vom 1. Juli 1889 geschickt, auch wenn Schlüter dort explizit nur die Sendung einer Veröffentlichung über den Sturm der Bastille erwähnte. Der zweite Teil des Artikels, von dem Schlüter am 3. Juni 1890 sagte, daß er ihn noch nicht geschrieben habe (Br. 187.24–26), konnte für den Zeitraum 1890/1891 nicht nachgewiesen werden.

80.8

Zu George W. Reid siehe Br. 60.3–14 und Erl.

80.9

Eleanor Marx-Aveling an Henry Hyde Champion, 3. Januar 1890 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. G 11).

874

80. Engels an Hermann Schlüter · 11. Januar 1890

80.14–16

John Burns war offenbar von der American Federation of Labor zu einer Vortragsreise eingeladen worden. Im Januar 1890 teilte er mit, daß er die Reise nicht antreten könne (Burns can not come over. In: The Daily Argus News. Crawfordsville. 8. Jg. 8. Nr. 217, 15. Januar 1890. S. 4, Sp. 6).

80.16

County Council ] In Anwendung des Local Government Act von 1888 wurden County Councils geschaffen, die der lokalen Selbstverwaltung dienten. Im Januar 1889 wurden Wahlen hierzu durchgeführt, bei denen John Burns gewählt wurde. (Kent: John Burns. S. 36; Dictionary of labour biography ... Vol. 5. S. 40; Pennybacker: A vision for London .... S. 10. Siehe auch Schlüter an Engels, 12. Dezember 1889 (Br. 52.35–36).)

80.19–20

die gedankenlose bis Dockerstreik ] Zum Streik siehe Erl. 10.9– 18. Zur Unterstützung der Streikenden während des Hafenarbeiterkonflikts nicht nur durch Arbeiter, sondern auch durch andere Schichten der Bevölkerung Londons siehe Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 167. Siehe auch Erl. 153.23–24.

80.22–23

Gasstrike in Südlondon ] Siehe Erl. 63.38–39.

80.42–43

Silvertown Rubber Works ] Siehe Erl. 28.37–38.

80.59

London Trades Council ] Ende der 1850er Jahre waren Trades Councils als Zusammenschlüsse lokaler Gewerkschaften in mehreren Städten entstanden, in London offiziell 1860. Der Londoner Zusammenschluss erlangte großen Einfluß weit über die britische Hauptstadt hinaus. Nach der Gründung des Trades Union Council 1868 verlor der Londoner Zusammenschluß an Bedeutung, spielte aber weiterhin eine wichtige Rolle für die Londoner Gewerkschaften. Den „new unions“ (siehe Erl. 10.9–18) gegenüber verhielt sich der London Trades Council reserviert. (Pelling: A history of British trade unionism. S. 43–67.) (Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 40.)

80.62

Broadhursts ] Gemeint sind die Sprecher der seit 1868 im Trades Union Congress zusammengeschlossenen Gewerkschaften der Facharbeiter. Henry Broadhurst war seit 1875 Sekretär des Parliamentary Committee dieser Gewerkschaftsorganisation.

80.63–64

Zur Auseinandersetzung in der Socialist Labor Party siehe Erl. 8.4–7.

80.77

Die Redaktion des „Sozialdemokrat“ hatte ihren Sitz in dem Londoner Stadtteil Kentish Town.

875

80. Engels an Hermann Schlüter · 11. Januar 1890

80.78

Rüffeln aus Deutschland ] Damit sind wahrscheinlich Kontroversen zwischen der Redaktion des „Sozialdemokrat“ und der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion gemeint. Die Fraktion hatte während des Sozialistengesetzes die Funktion des Parteivorstandes inne. (Siehe Reuter: Singer. S. 124–130.)

80.78

Edes ] Eduard und Regina Bernstein.

876

81 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Samstag, 11., und Sonntag, 12. Januar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 25/9. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 252 × 201 bzw. 126 × 201 mm. Wasserzeichen: „Imperial Treasury De La Rue“, eine Krone und Monogramm „DLR“. Laura Lafargue hat alle vier Seiten des Bogens vollständig beschrieben. Die Abschrift von „Unter der Linde“ steht auf dem beigelegten Blatt. Siehe Erl. 81.45. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Der Brief ist eine Antwort auf den Brief von Engels vom 8. Januar 1890 (Br. 76). Zudem berichtet Laura Lafargue über eine Sitzung, die am 10. Januar 1890 stattfand (siehe Z. 5 und Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890, Br. 78.32). Der vorliegende Brief wurde daher am 11. und 12. Januar 1890 geschrieben. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 81.5

Zu dem bei dem Treffen besprochenen Plan für eine sozialistische Tageszeitung siehe Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890 (Br. 78.16–31).

81.6–8

Engels erhielt die erste Mitteilung über dieses Vorhaben und weitere Zeitungspläne im November 1889 (siehe Erl. 35.18–25) sowie Charles Bonnier an Engels, 18. Dezember 1889 (Br. 56.4–6 und Erl.).

81.12

his two babies ] Suzanne Deville und Marcelle Deville.

81.19

Vaillant’s venture ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890 (Br. 78.11–26).

81.27–28

Jose´ Pau´l y Angulo wurde verdächtigt, 1870 ein Attentat auf den spanischen Ministerpräsidenten Juan Prim y Prats veranlaßt zu haben.

81.32–40

Paul Lafargue hatte die Möglichkeit, Geld aus Argentinien zu bekommen, in seinem Brief an Engels vom 17. November 1889 (Br. 35.21–25) erwähnt. Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 17. Januar 1890 (Br. 91.38–40).

81.45

Walther von der Vogelweide: Unter der Linde. Siehe Br. 76.3–4 und Erl.

877

81. Laura Lafargue an Engels · 11./12. Januar 1890

81.48

Percy ] Percy Rosher.

81.49

Edgar ] Edgar Longuet.

81.50

Marcel ] Marcel Longuet.

878

82 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Montag, 13. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1110/K 498. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier, im Format 224 × 178 mm. Wasserzeichen: „St Margarets Superfine“ und eine Krone mit zwei Blumen. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Martignettis vom 18. Dezember 1889 (Br. 58). Martignettis Antwort erfolgte am 17. Januar 1890 (Br. 92). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 349–352. Engels legte dem Brief eine Empfehlung für Martignetti bei. Von ihr ist ein Entwurf überliefert, dessen Inhalt mit dem der Reinschrift fast wörtlich übereinstimmt, bis auf die Verdienste um die Arbeiterbewegung, die am Rand eingefügt waren (Variante 82.38).

Beschreibung der Empfehlung H1 Entwurf der Empfehlung: Der Standort der Orignalhandschrift ist nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4793. Fotosign. 3125a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht die Empfehlung aus einem Blatt. Engels hat die erste Seite vollständig, die zweite zu einem Drittel beschrieben. Der Text enthält zahlreiche Wortverkürzungen, die nicht im einzelnen im Variantenverzeichnis ausgewiesen werden (Pasq. für Pasquale, Soz. für Sozialismus, Wissensch. für Wissenschaft), die Ziffer 6 für sechs sowie Komma für Semikolon. H2 Reinschrift: Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1110/bei K 498. Die Empfehlung besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 270 × 220 mm. Wasserzeichen: „J Whatman“ (kopfstehend am oberen Ende des Bogens). Engels hat die erste und zweite Seite vollständig beschrieben, die dritte und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Edierte Text folgt H2.

VARIANTENVERZEICHNIS 82.11

nie > nicht

879

82. Engels an Pasquale Martignetti · 13. Januar 1890

VARIANTENVERZEICHNIS DER EMPFEHLUNG 82.29

Pasquale ] H1 Pasq.

82.29

aus Benevento (Italien) ] H1 : aus Benevent (Ital.) :

82.31

um ] H1 in der ausgesprochenen Absicht > um

82.32

Landsleuten ] H1 Landsleuten $die Schriften des deutschen wissenschaftlichen ñ

82.32

wissenschaftlichen ] H1 wissenschaftlichen $Übersetzungen ñ

82.35

ins Italienische ] H1 : ins Italienische :

82.36

veröffentlicht ] H1 xxx herausgegeben > veröffentlicht

82.38

worden. ] H1 worden. Durch diese Thätigkeit hat sich Hr M. unbestreitbare Verdienste erworben um die Arbeiterbewegung & namentlich um die gegenseitige Verständigung zwischen den italie˙˙ nischen & den deutschen Sozialisten. ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ Ab diese mit Einfügungszeichen am linken Rand.

82.39

Martignetti ] H1 P. M.

82.39–40

königlichen Notariatsbüreau – einer Gerichtsstelle – ] H1 kgl. Notariatsbüreau, einer Gerichtsstelle,

82.40

beschäftigt ] H1 angestellt > beschäftigt

82.40

wurde ] H1 wurde $ihm ein ñ $eine ñ $gegen ihn eine Anklage ñ

82.43

Herr Martignetti ] H1 Hr M.

82.43–44

von den italienischen Berufsrichtern in zwei Instanzen ] H1 in zwei 1 (ohne schuldig Instanzen von den italienischen Berufsrichtern 2 ˙˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ 1 gefunden &þ > von den italienischen Berufsrichtern in zwei In˙˙˙ 2 ˙˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ stanzen

82.45

noch die Berichte ] H1 noch Berichte

82.45–46

Gerichtsverhandlungen ] H1 Gerichtsverhandlung

82.46

gelesen, ] H1 gelesen$. Aber ñ

82.49 82.50

er angeklagt ] H1 er $ursprünglich % angeklagt ˙ ˙ ˙ ˙˙˙ ˙ Hauptschuldigen; ] H1 Hauptschuldigen; $& weil ñ

82.51

bloß dessen Mithelfer ] H1 bloß : dessen : Mithelfer

82.51

dessen ] H2 bloßer > bloß dessen

82.53–62

2) weil die angeblich

880

bis

unterschlagen konnte ] H1

82. Engels an Pasquale Martignetti · 13. Januar 1890

1 2) weil der Präfekt von Benevent – ein : hoher : Königlicher Ver2 3) ˙˙ ˙ ˙ ˙ waltungsbeamter – so sehr von seiner Unschuld überzeugt war, 1 während des Prozesses & nachdem er vom Notaridaß er ihn 2 1 in seinem Büatsamt entlassen, & selbst 2 während des Prozesses reau Beschäftigung gab, 1 3) aber weil ihm als bloßem Schreiber überhaupt keine Ge2 4) richtsgelder durch die Hände gingen, er also auch nicht gut welche unterschlagen konnte 1 4) weil die angeblich unterschlagene Summe zuerst auf : über : 2 2) 10 000 Fr. angegeben, im Lauf des Prozesses immer kleiner wurde & zuletzt nur noch : etwa : 500 Fr. unterschlagen sein sollten, 82.55

sollten, ] H1 sollten. $Diese Thatsachen bezeuge ich hiermit auf Wunsch des Hrn M. & stelle ihm nach einer frei von ñ $Falls ñ $fxxx ñ $der Herr M. glaubt mich frei ñ

82.63–64

Hr Martignetti wahrscheinlich vorziehn ] H1 Hr M. : wahrscheinlich : vorziehn

82.64

suchen. ] H1 suchen. $Zu diesem ñ

82.66

zu ] H1 zu $brauchen ñ ˙˙˙˙˙˙ finden, ] H1 finden $die auf meine Meinung ñ

82.67 82.69

ist. ] H1 ist. $Ich wünsche ihm nach seinen – wie ich glaube, unverdienten – Verfolgungen endlich ñ $Ich wünsche ihm nach seinen – wie ich glaube – unverdienten Verfolgungen alles ñ

82.70 82.71

einer Stellung ] H1 einem ehrlichen Broterwerb > einer Stellung ˙ ˙ ˙˙ ˙ verdienen ] H1 verdienen $kann, so würden sie nach meiner Ansicht der internationalen Arbeiterpartei einen Dienst erweisen dadurch ñ

82.72

Meinung ] H1 Meinung $für ñ $nur für seine % Thätigkeit

82.75–76

122

bis

Friedrich Engels. ] H1 122 R. P. R. Ld 13 Jan 89 š F. E.

KORREKTURENVERZEICHNIS DER EMPFEHLUNG 82.57

ihm ] H ihn Siehe Variante 82.53–62.

881

82. Engels an Pasquale Martignetti · 13. Januar 1890

ERLÄUTERUNGEN 82.3

Martignetti hatte Engels gegenüber geäußert, daß er, um einer Verurteilung zu entgehen, gezwungen wäre, nach Buenos Aires zu emigrieren (siehe Br. 58.5–6).

82.22

Martignetti wurde am 17. Mai 1890 in letzter Instanz freigesprochen, siehe Martignetti an Engels, 18. Mai 1890 (Br. 174.2–3).

82.26–28

Zum Klub Vorwärts in Buenos Aires siehe Br. 58.2–3 und Erl.

82.33–34

F[riedrich] Engels: Il socialismo utopico e il socialismo scientifico. Trad. da Pasquale Martignetti. Benevento 1883 (MEGA➁ I/30. S. 211–237).

82.35

Federico Engels: L’origine della famiglia, della proprieta` privata e dello stato. In relazione alle ricerche di Luigi H. Morgan. Versione riveduta dall’ autore di Pasquale Martignetti. Benevento 1885 (MEGA➁ I/29. S. 275–361).

82.36–38

Karl Marx: Lohnarbeit und Kapital. Separat-Abdruck aus der „Neuen Rheinischen Zeitung“ vom Jahre 1849. Hottingen-Zürich 1884. Die Übersetzung ins Italienische erschien 1893: Carlo Marx: Capitale e salario. Colla biografia dell’autore e con una introd. di F. Engels. Prima trad. italiana di P. Martignetti. Milano 1893. (Biblioteca della Critica sociale. Vol. 15.) Martignetti hatte seine Übersetzung zunächst nach der deutschen Ausgabe von 1884 angefertigt und das Manuskript am 8. Februar 1886 Engels mit der Bitte um Durchsicht geschickt (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3724). Engels teilte Martignetti mehrmals mit, daß er durch andere Aufgaben verhindert sei, diese zu kontrollieren, siehe z. B. Engels an Martignetti, 30. März 1890 (Br. 123.25–28). Am 19. Juni 1891 schickte Engels das Manuskript zurück (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1116). Gleichzeitig ließ er Martignetti die Korrekturbögen der Neuauflage von 1891 zukommen, in denen er die wichtigsten Zusätze seiner Überarbeitung mit Bleistift angestrichen hatte. Er versprach weiterhin, ihm ein vollständiges Exemplar von „Lohnarbeit und Kapital“ (1891) zu schicken. Auf dieser Grundlage besorgte Martignetti die Übersetzung von 1893. Er ergänzte die Ausgabe um Engels’ biographische Skizze zu Marx für das „Handwörterbuch der Staatswissenschaften“. (MEGA➁ I/32. S. 21–28, 182–188 und 637/638.) Siehe auch Erl. 92.23.

82.50

Hauptschuldigen ] Der Vorgesetzte von Martignetti, Savoia.

82.56

Präfekt von Benevent ] Diego Giorgetti.

882

83 Emma Wilhelms an Friedrich Engels in London London, Montag, 13. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6361/L IX 279. Fotosign. 15026a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier, im Format 228 × 179 mm. Wilhelms hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Emma Wilhelm gab den Brief bei Engels persönlich ab, wie sie ihm am 14. Januar 1890 mitteilte (siehe Brief 88). Archivsignatur: „II 21 K 2b“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

883

84 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Oxford, Dienstag, 14. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 615/L II 18. Fotosign. 7439a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier, im Format 226 × 180 mm bzw. 112 × 180 mm. Bonnier hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der letzten Seite unten befindet sich eine Notiz von Engels, die für Eleanor Marx-Aveling bestimmt war (siehe Br. 85). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 84.5

Zu den Plänen für eine sozialistische Tageszeitung siehe Erl. 35.18–25 und 56.4.

84.8

Zur Entlassung der Redaktion im März 1889 siehe Paul Lafargue an Engels, 10. Januar 1890 (Br. 78.11–12 und Erl.).

84.13–14

l’arrive´e des galions de Daumas ] Galione hieß ursprünglich das Registerschiff der spanischen Silberflotte, auf dem sich das Verzeichnis aller Waren der Flotte befand. Als Registerschiffe wurden auch die spanischen Fregatten bezeichnet, wenn sie Geld an Bord hatten. Daumas hatte gehofft, den spanischen Millionär Paul y Angelo für die Finanzierung einer sozialistischen Tageszeitung zu gewinnen. Siehe Laura Lafargue an Engels, 11. Januar 1890 (Br. 81.27–41).

84.75

Alphonse Daudet: Le petit chose. Paris 1868.

84.75–76

Bonnier berührte die Frage einer internationalen Korrespondenz auch in seinem Briefwechsel mit Wilhelm Liebknecht. Siehe Bonnier an Wilhelm Liebknecht, 5. April 1890 (IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. Nr. 75/24–25); Bonnier: Les souvenirs ... S. 193. Eduard Bernstein erwähnte Karl Kautsky gegenüber die Nachrichtenagentur am 12. März 1890 und bat Kautsky, Bonnier bei der Suche nach einem Korrespondenten für Österreich behilflich zu sein (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 119).

884

84. Charles Bonnier an Engels · 14. Januar 1890

84.79–81

Siehe: La gre`ve des gaziers a` Londres. In: Le Cri du Travailleur. Lille. Nr. 122, 26. Januar 1890. S. 2, Sp. 3. Rubrik: Mouvement socialiste. Angleterre. Die Notiz ist nicht gezeichnet, im Unterschied zu späteren Notizen in der Zeitung, die mit „B.“ gezeichnet waren, so auch die Rubrik „Mouvement socialiste. Allemagne“.

885

85 Friedrich Engels an Eleanor Marx-Aveling in London London, Dienstag, 14. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1124/L II 18. Fotosign. 7439d. Die Notiz befindet sich auf der letzten Seite des Briefes von Charles Bonnier an Engels vom 14. Januar 1890 (Br. 84). Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 884. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Engels erwähnt, daß er den Brief von Bonnier (Br. 84) „Tuesday“ erhalten habe und ihn weitersenden wolle (Z. 1). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 292; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 441. ERLÄUTERUNGEN 85.1

Charles Bonnier hatte vorgeschlagen, daß Eleanor Marx-Aveling eine Korrespondenz für die sozialistische Provinzpresse schreiben sollte (siehe Br. 84.79–81).

85.1–2

Ein sich auf den Brief Bonniers beziehendes Schreiben Eleanor Marx-Avelings ist nicht bekannt; siehe jedoch Erl. 84.79–81.

886

86 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Dienstag, 14. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5463/L VIII 99. Fotosign. 11969. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 250 × 203 mm. Rosher hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Rosher beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 10. und 14. Januar. 1890 (siehe Br. 79). Engels antwortete auf den vorliegenden Brief zwischen dem 14. und 19. Januar 1890 (Br. 89). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 86.17

my brothers ] Es könnte sich um Frank E. und F. Howard Rosher handeln.

887

87 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 14. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5895/L VIII 540. Fotosign. 11176a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 252 × 200 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, auf der vierten Seite zwei Zeilen. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Wahrscheinlich von Engels’ Hand: auf der vierten Seite Bleistiftvermerk „Sorge“. Sorge beantwortet Engels’ Brief vom 7. Dezember 1889 (Br. 48). Engels antwortete am 8. Februar 1890 (Br. 101). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 87.6–11

Zum Nationalismus und seinem Verhältnis zum Sozialismus siehe Erl. 8.7–8.

87.11–12

„die englische respectability“-Sucht ] Siehe Br. 48.43–48.

87.13

Die American Federation of Labor (siehe Erl. 52.19) hatte im Dezember 1888 eine Erklärung verabschiedet, die Einführung des Achstundentags mit verschiedenen Aktionen bis zum 1. Mai 1890 auf die Agenda der Gewerkschaften zu setzen (Perlman: Upheaval and reorganisation. S. 475/476). Auf Beschluß des Internationalen Arbeiterkongresses in Paris im Juli 1889 (siehe Erl. 1.6), auf dem die Vereinigten deutschen und jüdischen Gewerkschaften von New York vertreten waren, sollte am 1. Mai 1890 eine internationale Demonstration für den Achtstundentag durchgeführt werden (Protokoll Paris 1889. S. 123 und 130).

87.14

„Knights of Labor“ ] Siehe Erl. 52.20–21.

87.15

Schufterle ] Figur aus Friedrich Schillers Schauspiel „Die Räuber“.

87.21

Einfaltspinsels ] August Negendank. Das National Executive Committee der SLP wählte auf seiner Sitzung vom 27. Dezember 1889 Negendank einstimmig zum Redakteur der Zeitung.

888

87. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 14. Januar 1890

Siehe: Sitzung des National-Executiv-Comite. In: Der Sozialist. New York. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 3, Sp. 1. 87.22

Franzosen ] Lucien Sanial. – Siehe auch Hermann Schlüter an Engels, 20. Dezember 1889 (Br. 60.18–20).

87.23

L. Werner ] Louis Werner hatte mehrere Jahre in der österreichischen Arbeiterbewegung gewirkt, u. a. als Redakteur der „Gleichheit“ (Wiener Neustadt). Am „Philadelphia Tageblatt“ arbeitete er seit 1879, von 1882 bis 1918 als Redakteur. Er übernahm den Posten bei der „New Yorker Volkszeitung“ nicht, wurde aber Mitglied des National Board of Supervision, der Aufsichtsbehörde der SLP. (Siehe Sorge an Engels, 4. Februar 1890 (Br. 99); Brügel: Geschichte ... Bd. 5, S. 459; Immigrant labor press in North America ... Vol. 3. S. 476.)

87.28–29

Edward Bellamy: Looking forward. In: The Nationalist. Boston, Mass. Vol. 2. Nr. 1. Dezember 1889. S. 1–4.

87.29

den „retrospect“ ] C. F. Willard: A retrospect. Ebenda. S. 37–40.

87.31

Christensen ] Jens Lauritz Christensen war wahrscheinlich von April 1888 bis Juli 1889 Redakteur der „Chicagoer ArbeiterZeitung“ (Joseph Dietzgen an Friedrich Adolph Sorge, 9. April 1889 (Sorge: Briefe und Auszüge ... S. 296) und Friedrich Adolph Sorge an Engels, 1. August 1889 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 5889); Hess: Jens Lauritz Christensen ... S. 29).

87.36

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15).

87.36

Time ] Siehe Br. 48.68–73 und Erl.

87.37

Unser Sohn ] Adolph Sorge.

889

88 Emma Wilhelms an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 14. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6362/L IX 279–1. Fotosign. 14685a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 179 mm. Wilhelms hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die zweite und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 88.7

I left a Letter ] Es handelt sich um den Brief vom 13. Januar 1890 (Br. 83).

88.7

Housekeeper ] Helena Demuth.

890

89 Friedrich Engels an Charles Howard Rosher in Croydon London, zwischen Dienstag, 14. und Sonntag, 19. Januar 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1402/K 545. Fotosign. 7013. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 126 × 140 mm. Wasserzeichen: [...] „Kent [im]proved“. Engels hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 H 19“. Von Engels’ Hand: auf der Rückseite des Blattes befindet sich ein Entwurf für einen Textabschnitt über die Chancen eines künftigen Kriegs aus dem Artikel „Was nun?“; außerdem 2 Zeilen mit dem Entwurf eines Textabschnitts für den 24. Absatz des III. Abschnitts von „Die auswärtige Politik des russischen Zarentums“ quer an den rechten Rand geschrieben (siehe MEGA➁ I/31. S. 203.21–23, 215.23–30, 971 und 1011/1012). Zur Datierung: Engels’ Brief ist wahrscheinlich eine Antwort auf den Brief von Charles H. Rosher vom 14. Januar 1890 (Br. 86). Rosher beantwortete Engels’ Brief am 19. Januar 1890 (Br. 93). Der vorliegende Brief wurde demnach zwischen dem 14. und 19. Januar 1890 geschrieben. Datierung der Erstveröffentlichung: vor dem 19. Januar 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 293; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 442. VARIANTENVERZEICHNIS 89.3

and $in such terms that ñ

89.4

engagement $until ñ

89.4–5

no sooner had I replied > as soon as I had replied

89.6

will > can

89.7

acted > done

89.8

say $such ñ

89.8

: whatever :

891

90 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Mittwoch, 15. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1447/K 601. Fotosign. 246.25–26. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Die Rückseite hat Engels vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich drei Poststempel: „London–N. W. A6 JA 15 90“, „NW 1“ und „D 1–27–90 6 A N.Y“ sowie eine 1-Penny-Briefmarke. Engels’ Schreiben ist die Antwort auf Schlüters Anfrage vom 20. Dezember 1889 (Br. 60). Schlüters Antwort erfolgte am 3. Juni 1890 (Br. 187). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 292; in der Sprache des Originals: MEW (1967). S. 347; die Adresse wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 90.1

892

Gemeint ist George W. Reid. Siehe Br. 60.3–14 und Erl.

91 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 17. Januar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/2. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 267 × 212 mm. Paul Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „166“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 378/ 379. ERLÄUTERUNGEN 91.3

dans sa lettre ] Siehe Laura Lafargue an Engels, 11. Januar 1890 (Br. 81).

91.3

comite´ des sachems socialistes ] Laura Lafargue nannte in ihrem Brief als Teilnehmer der Besprechung am 11. Januar 1890: Paul Lafargue, Joseph Daumas, Gabriel Deville, Albert Duc Quercy, Jules Guesde und E´douard Vaillant.

91.7–11

Die Bedingungen ergaben sich aus den Konfliktpunkten in der Auseinandersetzung im Frühjahr 1889. Jules Roques hatte seinerzeit den weiblichen Druckern weniger Lohn als den männlichen bezahlt; die Redaktion hatte den Unterschied ausgeglichen. (Siehe Paul Lafargue an Engels, 5. März 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 64/2).)

91.18–19

manifestation du 1er Mai ] Siehe Erl. 87.13.

91.19

les e´lections municipales ] Siehe Erl. 78.26.

91.30–31

´ galite´. Paris. Emmanuel Chauvie`re: Les e´pide´mies. In: L’E Nr. 333, 6. Januar 1890. S. 1, Sp. 1/2.

91.40–41

Die Verhandlungen endeten, wie Paul Lafargue angestrebt hatte, ohne eine Vereinbarung mit Jules Roques.

893

92 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Freitag, 17. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3749/L V 536. Fotosign. 8407a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, liniertem Papier im Format 271 × 210 mm. Martignetti hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Martignetti beantwortet den Brief von Engels vom 13. Januar 1890 (Br. 82). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 352.

ERLÄUTERUNGEN 92.4

preziosissimo documento ] Siehe Br. 82.29–76.

92.20–21

«Giustizia» bis «Sozialdemokrat» ] Martignetti übersetzte zwischen dem 10. Februar und dem 26. Juli 1890 mehrere Artikel insbesondere aus dem „Sozialdemokrat“ für die Wochenzeitung „La Giustizia“. Hier handelt es sich um den Artikel „Zur Jahreswende“. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 18, 27. Dezember 1889. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1. Er wurde, gekürzt um den österreichischen Teil des Artikels, auch publiziert unter dem Titel: 1889 im Lichte der Entwicklung des Proletariats. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 1, Sp. 1/2. Martignettis Übersetzung erschien unter dem Titel: Il 1889 e lo sviluppo del proletariato. In: La Giustizia. Reggio Emilia. Nr. 199, 12. Januar 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1.

92.22

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10).

92.23

«biografia di Marx» ] Wahrscheinlich die Biographie von Engels über Karl Marx, die im Volks-Kalender 1878 (Braunschweig) erschienen war (siehe Erl. 187.10–18). Martignetti wollte ursprünglich seiner Übersetzung von „Lohnarbeit und Kapital“, die er bereits 1886 angefertigt hatte, nach einem Vorschlag von Engels dessen Biographie aus dem Volks-Kalender 1878 beigeben. Das Projekt kam in dieser Form nicht zustande; Martignetti ergänzte in seiner Übersetzung von 1893 vielmehr Engels’ mittlerweile erschienene Biographie über Marx von 1892. (Siehe Engels an Pasquale Martignetti,

894

92. Pasquale Martignetti an Engels · 17. Januar 1890

21. Dezember 1885 und 12. März 1886 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1096–K 1098) sowie Pasquale Martignetti an Engels, 8. Februar 1886 (ebenda, Sign. L 3724); Erl. 82.36–38; MEGA➁ I/32. S. 637 und 928.)

895

93 Charles Howard Rosher an Friedrich Engels in London Croydon, Sonntag, 19. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5464/L VIII 100. Fotosign. 11970. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 250 × 203 mm. Rosher hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Rosher beantwortet den Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 14. und 19. Januar 1890, von dem nur ein Entwurf überliefert ist (Br. 89). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 93.10

896

Woolwich people ] Royal Military Academy in Woolwich, siehe Erl. 73.6 und 73.27.

94 Victor Adler an Friedrich Engels in London Wien, Dienstag, 21. Januar 1890

Originalhandschrift: VGA, Adler-Archiv, Sign. M 113/T1. Der Brief besteht aus drei Bogen festem, weißem Papier im Format 255 × 204 mm. Wasserzeichen: „Margaret Mill Ivory Paper Vienna Manufacture“. Adler hat die ersten zehn Seiten vollständig beschrieben, die elfte zur Hälfte, die letzte Seite ist leer. Der zweite Bogen ist mit „2“ paginiert, der dritte mit „3“. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite, oben links Vermerk mit Tinte „V. Adler“; oben rechts mit Bleistift: Jahresangabe „89“ umkreist und in „90“ korrigiert. Zur Datierung: Die Jahresangabe 1890 ergibt sich aus der Tatsache, daß Adler auf den Brief von Engels vom 4. Dezember 1889 (Br. 44) antwortet. Zudem haben sich die beiden im Januar 1889 nicht geduzt. Zur Anlage (Z. 69) siehe Erl. 94.69–71. Datierung der Erstveröffentlichung: 21. Januar 1890. Erstveröffentlichung: gekürzt: F[riedrich] A[dler]: Aus Briefen Viktor Adlers an Friedrich Engels (1921), S. 3, Sp. 1, bis S. 5, Sp. 1; vollständig: Adler: Aufsätze, Reden und Briefe. H. 1 (1922). S. 3–6. ERLÄUTERUNGEN 94.4–5

Aufnahme im Sommer ] Adler hatte Engels im Anschluß an den Internationalen Arbeiter-Kongreß 1889 (siehe Erl. 1.6) in London besucht (Mayer: Friedrich Engels. Bd. 2. S. 413).

94.5

Siehe Br. 44; die Neujahrskarte von Engels an Adler, geschrieben vermutlich vor dem 31. Dezember 1889, ist nicht überliefert.

94.10–12

Adler war am 27. Juni 1889 zu einer Arreststrafe von vier Monaten verurteilt worden. In der Berufung vor dem Obersten Gericht wurde die Nichtigkeitsbeschwerde und die Berufung gegen das Strafmaß zurückgewiesen. Das Urteil wurde Adler am 24. Januar 1890 zugestellt. Adler trat die Strafe Ende Februar an und wurde am 21. Juni 1890 entlassen. (Die „Gleichheit“ vor dem Ausnahmsgericht. S. 44; Adler: Aufsätze, Reden ... H. 2. S. 104 und 260; Adler: Mein erster Mai. In: Maifestschrift 1909. Wien. S. 3–5; Am 24. Jänner ... In: Arbeiter-Zeitung. Wien. 31. Januar 1890. S. 7, Sp. 2. Rubrik: Inland; Braunthal: Victor und Friedrich Adler. S. 72.)

897

94. Victor Adler an Engels · 21. Januar 1890

94.15–16

Privatgeschäfte ] Adler hatte sein Vermögen für die Entwicklung der Zeitung „Gleichheit“ geopfert und seitdem Probleme bei der Finanzierung seines Lebensunterhalts.

94.18–19

Adler hatte aufgedeckt, daß der Polizeirat Bernhard Frankl Auftraggeber einer Münzfälschergruppe war, und er hatte ihm die Anwerbung von Provokateuren vorgeworfen (V[ictor] A[dler]: Wien. Am 10. d. M. spielte sich vor dem Ausnahmsgericht ... In: Gleichheit. Wien. Nr. 52, 17 Dezember 1887. S. 5, Sp. 1/2. Rubrik: Internationale Rundschau. Oesterreich-Ungarn).

94.23–24

Adler dürfte hier u. a. an die sozialrevolutionären bzw. anarchistischen Gruppierungen innerhalb und außerhalb der Sozialdemokratischen Partei Österreichs gedacht haben, die in früheren Jahren in der Bewegung eine beträchtliche Rolle gespielt hatten. Eine Übersicht solcher Vereine von 1883 führte u. a. eine Reihe von gewerkschaftlichen Bildungsvereinen an. Es gab heftige Auseinandersetzungen zwischen „Radikalen“ und „Gemäßigten“, die teilweise durch Konflikte zwischen zentralistischer Parteileitung und lokalen Organisationen überlagert wurden. Um 1890 fand die Fabian Society (siehe Erl. 97.4–5) ein gewisses Echo in Wien und anderen größeren Städten. So wurden in Wien beispielsweise „Fabier-Abende“ durchgeführt. Aus diesen Bestrebungen bildete sich 1893 eine „Wiener Fabier Gesellschaft“ und 1896 eine „Sozialpolitische Partei“, die wenig Rückhalt fand. Engelbert Pernerstorfer, der ursprünglich zur „Fabier Gesellschaft“ gehörte, schloß sich der Sozialdemokratie an. Der 1889 gegründete „Österreichische Studentenverein“ wurde tatsächlich schnell sozialdemokratisch und daraufhin von den Behörden aufgelöst. (Siehe Erl. 125.1; Studenten und Sozialdemokratie. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 26. Juli 1890. Beibl. S. 4, Sp. 2/3; Staudacher: Sozialrevolutionäre ... S. 654; Miersch: Die Arbeiterpresse ... S. 183; derselbe: Emil KalerRheinthal. S. 138; Brügel: Geschichte ... Bd. 4. S. 84–86.)

94.30

„Ausgleich“ ] Adler bezog sich mit dieser Bemerkung auf das geplante Abkommen über die Sprachenverordnungen in Böhmen und Mähren, das Anfang 1890 mit Unterstützung der Regierung zwischen Vertretern der deutschen Liberalen, zwei Parteien der Großgrundbesitzer und den staatspolitisch gemäßigten Alttschechen verhandelt wurde. Vertreter der jungtschechischen Partei waren nicht zu den Verhandlungen eingeladen und organisierten daraufhin eine Protestbewegung. Die Verhandlungen führten Ende Januar 1890 nach intensiven Be-

898

94. Victor Adler an Engels · 21. Januar 1890

ratungen zu einer Reihe von Beschlüssen, den sogenannten Wiener Punktuationen. Doch in den folgenden Monaten scheiterte ihre Umsetzung schließlich. Dies lag nicht zuletzt an den vehementen Protesten der Jungtschechen seit Anfang Januar, die auf große Resonanz in der tschechischen Bevölkerung stießen. Die zentrale Forderung der Jungtschechischen Partei war die Gleichstellung der deutschen, madjarischen und tschechischen Bevölkerung innerhalb der Gesamtmonarchie, d.h. die Föderalisierung der Monarchie, mit einem tschechischen Teilstaat, in dem Tschechisch Staatssprache sein sollte. (Mommsen: Die Sozialdemokratie und die Nationalitätenfrage ... S. 159–161; Urban: Die tschechische Gesellschaft ... Bd. 1. S. 574–579; Rumpler: Eine Chance für Mitteleuropa. S. 504– 508; Alexander: Kleine Geschichte der böhmischen Länder. S. 344/345.) 94.31–33

Siehe Zur politischen Lage in Oesterreich. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. 27. September 1889. Nr. 6. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 2. In diesem Artikel wurde argumentiert, daß die bisher national organisierten Parteien zunehmend durch wirtschaftliche Interessen gespalten würden (siehe auch Engels an Laura Lafargue, 8. Oktober 1889, Br. 6.24–29 und Erl.; Engels an August Bebel, 17. Februar 1890, Br. 103.54–59). Der Artikel wurde weitgehend übernommen als „Die immer mehr zu Tage tretende Zersetzung ...“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 41, 12. Oktober 1889. S. 4, Sp. 2/3. Die 1874 entstandene ursprünglich liberale jungtschechische Partei hatte bei den Prager Gemeindewahlen 1888 auf Kosten der regierungstreuen Alttschechen stark zugelegt; bei den böhmischen Landtagswahlen im Juli 1889 hatte sie nahezu die Hälfte der tschechischen Stimmen bekommen. Später, bei den Reichsratswahlen 1891, gewann die Partei dann eine große Mehrheit der tschechischen Abgeordneten. (Höbelt: Kornblume und Kaiseradler. S. 54; Urban: Die tschechische Gesellschaft ....Bd. 1. S. 564 und 570/571; Mommsen: Die Sozialdemokratie und die Nationalitätenfrage ... S. 166; Die Habsburgermonarchie 1848–1918. Bd. 8.1. S. 656–663; siehe auch Erl. 94.30.)

94.36

der Kaiser ] Franz Joseph I.

94.48

Georges Avenel: Anacharsis Cloots, l’orateur du genre humain. T. 1.2. Paris 1865. Siehe Br. 44.

94.50–51

Robert Owen: Lectures on the marriages of the priesthood of the old immoral world, delivered in the year 1835, before the passing of the New Marriage Act. 4th ed. With an app., con-

899

94. Victor Adler an Engels · 21. Januar 1890

taining the marriage system of the new moral world; and proving that the author never entertained the sentiments attr. to him by the opponents of socialism. Leeds 1840. Adler hat wahrscheinlich diese 4. Auflage zur Verfügung gehabt, die einen Anhang enthielt. Eine Auflage nach 1845 ist nicht nachweisbar. die 1. Auflage war 1835 erschienen. Eine Übersetzung durch Adler konnte nicht ermittelt werden. 94.51

Buch ] Es handelt sich um Sergius Stepniak: Der russische Bauer. Autoris. Übers. von Viktor Adler. Stuttgart 1893; Adler übersetzte die Schrift während seiner Haft (Adler an Engels, 22. September 1892, VGA, Adler-Archiv, Sign. M113/T1).

94.52–53

August Bebel: Charles Fourier. Sein Leben und seine Theorien. Stuttgart 1888.

94.53–54

Karl Kautsky: Thomas More und seine Utopie. Mit einer historischen Einl. Stuttgart 1888.

94.63

in corpore vivo ] In der Praxis (lat.).

94.64

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15).

94.66–67

Die schwere Wunde ] Louise und Karl Kautsky hatten sich im Sommer 1888 getrennt; im Juli 1889 reichte Karl Kautsky eine Scheidungsklage gegen Louise Kautsky ein; die Ehe wurde am 24.Oktober 1889 geschieden und die Scheidung am 24. Dezember 1889 mitgeteilt, siehe auch Erl. 61.42–45 sowie Koth: „Meine Zeit wird wieder kommen ...“ S. 59/60.

94.69–71

Es handelt sich um das Foto aus dem Jahr 1867, das Marx im Profil zeigt.

94.71

Hausfrau ] Helena Demuth.

94.73

meiner Frau ] Emma Adler.

900

95 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Mittwoch, 22. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1036/L III 23–18. Fotosign. 1291a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 262 × 209 mm. Daniel’son hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels Hand: auf der vierten Seite ein mit schwarzer Tinte quer geschriebener Vermerk „A 20 Jan 90“. Engels beantwortete den Brief Daniel’sons am 10. Juni 1890 (Br. 193). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка Ф. Энгельса с Николаем-оном (1930). S. 100; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 95.4–5

(Н. Н. Черненковъ): Крестьянскій кредитъ въ Московской губерніи по сообщеніямъ г.г. корреспондентовъ. In: Статистическій ежегодникъ по Московской губерніи за 1889 г. Москва 1889. S. 1–53.

95.5–6

Derselbe: Нѣкоторыя свѣдѣнія о крестьянскихъ общественныхъ займахъ въ Московской губерніи. (По изслѣдованіям 1876–1878 гг.). Ebenda. S. 54–75.

901

96 Friedrich Engels an August Bebel in Berlin London, Donnerstag, 23. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 96/K 58. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der vierten Seite befindet sich ein Tintenfleck, der Textverlust (Z. 85–88) konnte rekonstruiert werden. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite links oben ein Bleistiftvermerk „47a“. Engels beantwortet den Brief Bebels vom 2. Januar 1890 (Br. 71). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 180– 182; in der Sprache des Originals: Engels: Briefe an Bebel (1958). S. 163–165. VARIANTENVERZEICHNIS 96.24

: darunter :

96.52

heißt $wenn ñ KORREKTURENVERZEICHNIS

96.19

das ] H den ERLÄUTERUNGEN

96.3

Elberfelder Freisprechung ] Siehe Erl. 9.44 und 71.33.

96.6–7

Während des Prozesses wurde aufgedeckt, daß Ewald Röllinghoff als Informant der Polizei tätig war; die Namen weiterer Informanten wurden nicht preisgegeben. Siehe Bebel in seiner Reichstagsrede am 25. Januar 1890. In: Sten. Ber. RT, 7/5. Bd. 2. S. 1235; Erl. 59.7–8.

96.15–16

Die zweite Lesung des Sozialistengesetzes fand am 22. und 23. Januar statt. In der Abstimmung am 23. Januar wurde eine Verlängerung abgelehnt, was wenig später, in der dritten Lesung am 25. Januar, bestätigt wurde. Siehe auch Erl. 9.64 und Erl. 71.31–32.

96.16–19

[August Bebel:] Die Reichstagswahlen sind auf den 20. Febru-

902

96. Engels an August Bebel · 23. Januar 1890

ar ... [Korrespondenz:] Berlin, 14. Januar. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 3, 17. Januar 1890. S. 7, Sp. 1/2. Rubrik: Ausland. Deutschland. Nach Bebels Einschätzung würde ein beträchtlicher Stimmengewinn der Sozialdemokraten die bürgerlichen Parteien dazu zu bewegen, Otto von Bismarck zu bewilligen, was dieser fordere. 96.23

Die Fortschrittler ] Siehe Erl. 57.25.

96.24–25

den National Liberalen ] Die Nationalliberale Partei ging aus der ˙ ˙˙ ˙ ˙der ˙ ˙ Fortschrittspartei ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ Spaltung (siehe Erl. 57.25) hervor und veröffentlichte im Juni 1867 ihr Gründungsprogramm, in dem sie einen Ausbau des Parlamentarismus forderte. Bis zu Bismarcks Übergang zur Schutzzollpolitik 1877/78 war sie dessen wichtigste parlamentarische Stütze im Reich und in Preußen. Sie trat für eine liberale Wirtschaftsgesetzgebung ein und unterstützte die Regierung im Kulturkampf und beim Sozialistengesetz. Ihr Anhang rekrutierte sich aus dem Besitz- und Bildungsbürgertum wie auch aus dem kleinen Mittelstand, den Unterschichten und der Bauernschaft. (Lexikon der deutschen Geschichte. S. 875.)

96.26

Bei der zweiten Verlängerung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) hatte 1884 etwa ein Viertel der linksliberalen Abgeordneten für die Verlängerung des Gesetzes gestimmt, während weitere, insbesondere Gegner einer Annahme, nicht an der Abstimmung teilnahmen: Sie waren von Eugen Richter „abkommandiert“ worden. Durch dieses Manöver wurde die Verlängerung des Sozialistengesetzes gesichert. (Schippel: Sozialdemokratisches Reichstags-Handbuch. S. 1043/1044; Pack: Das parlamentarische Ringen um das Sozialistengesetz ... S. 153/154.)

96.34–38

infames Betragen von 87 bis liberales Stimmvieh zu agiren, ] Vor den Stichwahlen bei der Reichstagswahl 1887 hatte das sozialdemokratische Zentralwahlkomitee dazu aufgerufen, Kandidaten der Deutsch-Freisinnigen Partei – sie war 1884 durch den Zusammenschluß der Deutschen Fortschrittspartei mit der Liberalen Vereinigung entstanden – und des Zentrums zu wählen, wenn diese sich für die Aufhebung des Sozialistengesetzes und für das allgemeine Wahlrecht erklärten. Die Wähler der Deutsch-Freisinnigen Partei hatten jedoch die rechtsbürgerlichen Gegenkandidaten der Kartellparteien (siehe Erl. 107.8) bei den Stichwahlen unterstützt. (Bebel: Briefe einer Ehe. S. 393 und 407/408; Reuter: Singer. S. 174/175; Mehring: Geschichte der deutschen Sozialdemokratie. Teil 2. S. 642; Bendikat: Wahlkämpfe ... S. 314–327; Lidtke: The outlawed party.

903

96. Engels an August Bebel · 23. Januar 1890

S. 260.) – Engels zog aus dieser Situation die Schlußfolgerung, sich 1890 bei Stichwahlen gegen die Kandidaten der DeutschFreisinnigen auszusprechen. Er verwies dabei auf den Erfolg der irischen „Home Rule“-Anhänger. 96.39

Die Regierung William Ewart Gladstones hatte in der Absicht, die Bevölkerung Irlands durch eine Home-Rule-Regelung (siehe Erl. 48.35–36) zu befriedigen, im April 1886 einen Gesetzentwurf vorgelegt, der einen gewissen Grad von Selbstbestimmung für Irland vorsah. Der Entwurf wurde vom Parlament abgelehnt; dies führte zu einer Krise in der Liberalen Partei und trug zum Sturz der Regierung Gladstone bei. (Belchem: Popular Radicalism ... S. 141/142; Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 197, Anm.; siehe auch Erl. 6.25 sowie Goodlad: British Liberals and the Irish Home Rule crisis.)

96.43

Die Wahlen zum Deutschen Reichstag fanden am 20. Februar 1890 statt, die Stichwahlen am 1. März 1890.

96.47

Bewegung unter den Bergleuten ] Zum Bergarbeiterstreik 1889 siehe Erl. 9.41.

96.61

Hamburger Rede ] Siehe Reichstagsabgeordneter August Bebel vor seinen Wählern. In: Hamburger Echo. Nr. 18, 22. Januar 1890. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1. Die Versammlung in Hamburg war stark besucht, nach Schätzung von Bebel hatten sich 10–12 000 Anhänger in den Sälen und bis zu 40 000 davor eingefunden (Bebel: Briefe einer Ehe. S. 574).

96.63–64

Der Conseil national des Parti ouvrier erließ am 23. Januar 1890 einen Spendenaufruf an die Organisationen und Mitglieder der Partei zugunsten des Wahlkampfes der deutschen Sozialdemokraten. Aus Frankreich wurden von J. Laˆine´ am 10. und 17. Februar sowie am 2. März 1890 insgesamt 522,15 Francs überwiesen (Souscriptions pour les Elections allemandes de 1890. IISG, Guesde-Nachlaß, Sign. Nr. 626/10–11). In den Wahlfonds-Quittungen im „Sozialdemokrat“, London, von Januar bis Mai 1890 wurden keine Beiträge aus Frankreich angeführt. – Zu weiteren Ergebnissen von Sammlungen siehe Mit welch gespannter Erwartung die Sozialisten aller Länder ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 8, 22. Februar 1890. S. 3, Sp. 2; Der Nationalrath (Parteivorstand) der französischen sozialistischen Arbeiterpartei ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 22, 26. Januar 1890. S. 1, Sp. 3, Rubrik: Korrespondenzen; J. Laˆine´ an Wilhelm Liebknecht, 10. und 17. Februar, 2. März 1890 (IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. Nr. 211/1–6); Seidel: Deutsche Sozialdemokratie und Parti ouvrier ... S. 188, Anm. 6.

904

96. Engels an August Bebel · 23. Januar 1890

96.72–73

15 Mill. Franken hatten sie ihm zur Verfügung gestellt ] Siehe Erl. 2.37. – Zu russischen Zuwendungen an die französische Presse siehe auch Erl. 120.48–50 und Paul Lafargue an Engels, 28. Oktober 1890 (Br. 335.11–13).

96.73

Zu den Wahlergebnissen von Boulanger 1889 siehe Erl. 1.49.

96.75

Czar ] Aleksandr III.

96.77

Orle´ans ] Die Linie des 1848 gestürzten französischen Königshauses.

96.77–79

Mr. Gladstone at Chester. In: The Times. London. Nr. 32 916, 23. Januar 1890. S. 10, Sp. 1–5.

96.81

Väterchen ] Aleksandr III.

96.83–84

Das pariser Tagblatt bis angezeigt ] Wir haben unsere Leser bereits ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Aus Frankreich: „Zuletzt erhaltenen Mittheilung zufolge ist gegründete Aussicht vorhanden, daß die Genossen schon in allernächster Zeit über ein Tageblatt in Paris verfügen werden, dessen Mangel sich bisher so empfindlich bemerkbar gemacht hat.“ Siehe auch Erl. 35.18–25.

96.86

eine Fraktion in der K[ammer ] Siehe Erl. 28.3–4.

96.88–89

In den Bezirken Ardennes und Jura hatte die Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France zu dieser Zeit größeren Einfluß als der Parti ouvrier. (Rebe´rioux: Die sozialistischen Parteien Europas. S. 48; siehe auch Erl. 1.4.)

96.90

In den Wahlfonds-Quittungen im „Sozialdemokrat“, London, wurden von Januar bis Mai 1890 Beiträge aus einer Reihe amerikanischer Städte angeführt.

96.95–96

Clique Rosenberg ] Siehe Erl. 8.4–7.

905

97 Sidney Webb an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 23. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6228/L IX 153. Fotosign. 11605a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, grauem Papier, im Format 222 × 179 mm. Prägung: „4. Park Village East N. W.“ Webb hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 97.3

Fabian essays in socialism. Ed. by G[eorge] Bernard Shaw. London 1889. Die Aufsatzsammlung hatte unmittelbaren Erfolg (Cole: The story of Fabian socialism ... S. 25 und 26–33). – Das Exemplar ist überliefert und mit einer Reihe von Marginalien versehen, wahrscheinlich von Engels (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 405).

97.4–5

one of the youngest Socialist movements ] Die Fabian Society, eine auf evolutionäre Veränderungen und Reformen setzende sozialistische Organisation, wurde am 4. Januar 1884 hauptsächlich von Intellektuellen gegründet. Zu ihren bekanntesten und aktivsten Mitgliedern gehörten Sydney und Beatrice Webb sowie George Bernard Shaw. Zunächst vorwiegend ein interner Debattierklub, engagierte sich die Gesellschaft ab 1887 verstärkt in der Öffentlichkeit. Dafür nutzte sie zahlreiche Vorlesungen in den Liberal and Radical Working Men’s Clubs in London sowie die Londoner Zeitungen „The Daily Chronicle“ und „The Star“. In den frühen 1890er Jahren hatte sie einen nicht unbedeutenden Zustrom von außerhalb Londons aus den Radical Clubs (siehe Erl. 17.2). (Lawrence: Popular radicalism and the Socialist revival in Britain. S. 179–185; Hofmann: Ideengeschichte der sozialen Bewegung ... S. 194/195.)

97.9

Siehe die Einschätzung der Fabian Society durch Engels in seinem Brief an Friedrich Adolph Sorge, 8. Februar 1890 (Br. 101.101–107).

906

98 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, Donnerstag, 30. Januar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6468/L VIII 134. Fotosign. 2682a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 177 mm. Wasserzeichen: Teil eines Ringes mit der Inschrift „Vivienne“ und „JM“ in der Mitte. Zasulicˇ hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite ein Vermerk mit Bleistift quer geschrieben: „В.З. 30/1/90“. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite oben rechts „(6“ mit Bleistift. Engels’ Antwort, geschrieben zwischen dem 30. Januar und etwa Ende März 1890, ist nicht überliefert, siehe Zasulicˇ an Engels, vor dem 3. April 1890 (Br. 129.4). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма В. Засулич к Ф. Энгельсу. (1925). S. 224/225; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 98.2

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teil I als revidierter Abdruck aus H. 4, April. (MEGA➁ I/31. S. 179–186.) Siehe Erl. 62.6. Siehe auch Engels an Sergej Kravcˇinskij, 3. Januar 1890 (Br. 74).

98.5

Notre revue ] „Соціаль-Демократъ“.

98.6

Votre second article ] Friedrich Engels: Die auswärtige Politik ... II. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teil II als revidierter Abdruck aus H. 4, April. (MEGA➁ I/31. S. 186–209.) Der Artikel wurde unter demselben Titel wie Teil I veröffentlicht: Иностранная политика русскаго царства. In: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Августъ. Кн. 2. Женева 1890. S. 42–61.

98.8

Engels schloß die Arbeit am Artikel Ende Februar ab und schickte ihn Ende März/Anfang April 1890 an Zasulicˇ (siehe Br. 129.4–5 und 130.3–6. Siehe auch Erl. 111.40–41.

98.9

Eleanor Marx-Aveling schrieb über den Londoner Hafenarbeiterstreik 1889 (Элеонора Марксъ-Эвелингъ: По поводу стачки на лондонскихъ докахъ. Письмо въ редакцію „Соціаль-Демократа“. In: Соціаль-Демократъ. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 35–40). 907

99 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 4. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5896/L VIII 541. Fotosign 11177. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Die Rückseite hat Sorge vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befindet sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Feb 4 / 6 pm“ und eine aufgedruckte 2-CentBriefmarke mit einem Stempel. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 99.1

Chefred. ] Sergej Sˇevicˇ wurde zum Chefredakteur der „New Yorker Volkszeitung“ gewählt. Siehe Sorge an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 87.23).

99.3

Die Monatszeitschrift „L’Ide´e Nouvelle“ erschien seit Januar 1890; zu diesem Zeitpunkt konnte Sorge nur eine Nummer gesehen haben.

908

100 William Burns an Friedrich Engels in London Roxbury, Donnerstag, 6. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 878/L II 241. Fotosign. 7050a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, blau-liniertem Papier im Format 252 × 204 mm. Burns hat die ersten drei Seiten vollständig, die vierte zur Hälfte beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief ist die Antwort auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 8. Dezember 1889 und 6. Februar 1890 (siehe Burns an Engels, 8. Dezember 1889 (Br. 49) und Z. 6). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 100.7

I am much obliged for your Photograph ] William Burns hatte Engels in seinem Brief vom 8. Dezember 1889 (Br. 49) an das Versprechen erinnert, ihm eine Fotografie von sich zu schicken. Möglicherweise könnte es eine der Aufnahmen Engels’ von Mitte 1888 sein. Siehe Карл Маркс, Фридрих Энгельс. Собрание фотографий. Москва 1976. S. 200, 205, 209 und 265–270). Siehe auch Rudjak: Die Photographien von Engels ... Dokument 13–15. S. 436–440.

100.14

Our Organization ] Zur „Steam Railroad Men’s Protective Union“ siehe Br. 49.14 und Erl.

100.14–15

a Bill introduced into the Mass. Legislature ] Ein entsprechender Entwurf für ein Gesetz mit dem Titel „An act to protract railroad men“ wurde im Parlament des Staates Masssachusetts am 6. März 1890 vorgelegt. (To protect trainmen. Bill comes up for discussion today. In: Boston Daily Globe. 6. März 1890. S. 8, Sp. 2; Railroad Men’s Bill. Ebenda. 7. April 1890. S. 1, Sp. 6.) Siehe auch: Labor addresses Mr. Hart. Brotherhood of railroad employes desire immunity from death and accident while in the line of duty. Ebenda. 8. November 1890. S. 2, Sp. 6. William Burns war einer der beiden Unterzeichner des Briefes.

100.17

pinkerton Police ] Privater Sicherheitsdienst und Detektei; die Firma wurde u. a. von Unternehmen mit der Zerschlagung von Streiks beauftragt. Zu den Diskussionen im Parlament von Massachusetts und zu den weiteren politischen Aktivitäten von

909

100. William Burns an Engels · 6. Februar 1890

Burns siehe auch Wilm: Die gewerkschaftlichen und politischen Aktivitäten ... 1886–1895. 100.17–19

I suppose I will bis week or two ] Die Anhörungen zu dem Gesetz fanden am 6. und 13. März 1890 statt. William Burns sprach am 13. März zu den langen Arbeitszeiten von Bremsern. Im Laufe der Anhörung kam es zum offenen Streit mit dem ebenfalls geladenen Präsidenten der Old Colony Railroad, welcher der Darstellung seines Angestellten Burns widersprach. (The Labor Leader. Boston. 3. August 1890. S. 1, Sp. 5; Boston Daily Globe (Morgen-Ausg.) 14. März 1890. S. 4, Sp. 7/8.) Ein Protokoll oder Aufzeichnungen anderer Art von der Anhörung sind in der Bibliothek der Massachusetts State Library nicht vorhanden.

100.22

Mother ] Mary Burns.

100.23

Walter ] Walter Burns.

100.24

Lydia ] Lydia Burns.

100.27

Scholemere ] Carl Schorlemmer.

100.27–28

Children ] Lilian Rosher und ihr kleiner Bruder.

910

101 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 8. Februar 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 223 × 178 mm und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 110 × 178 mm. Wasserzeichen: „[Brook]leigh [Fin]e“. Engels hat alle sechs Seiten vollständig beschrieben, die fünfte Seite ist von Engels paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: eine Streichung (Z. 108–115) mit Rotstift entspricht der Kürzung der Erstveröffentlichung. Der Brief ist eine Antwort auf den Brief Sorges vom 14. Januar 1890 (Br. 87) und zwei nicht überlieferte Postkarten (Z. 3). Sorge beantwortete ihn am 3. und 6. März 1890 (Br. 109). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 328–331; vollständig in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 183–186; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 352–355. VARIANTENVERZEICHNIS 101.14

ob auf xx[wen]ig > ganz

101.105–106 xxxxxx > Constitutionally ERLÄUTERUNGEN 101.4–5

Siehe Br. 87.6–11 und Erl. – Zu den „Nationalisten“ siehe Erl. 8.7–8.

101.13

jahrelange Arbeit ] Siehe Sorge an Engels, 18. Oktober 1889 (Br. 12.8–12).

101.14–24

Mit der Bewegung in den Kohlenbezirken ist der Bergarbeiterstreik im Mai 1889 und seine Ausbreitung gemeint. Siehe Erl. 9.41.

101.26

Dockstreik ] Siehe Erl. 10.9–18.

101.35–36

SchleswigHolsteiner ] Anspielung auf die angelsächsische Einwanderung nach England im 3. bis 5. Jahrhundert; die größten Einwanderungsgruppen stammten aus Schleswig-Holstein. Die Nachfahren dieser Einwanderer wurden ebenfalls als Angelsachsen bezeichnet und die englischen Einwanderer in den

911

101. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 8. Februar 1890

nordamerikanischen Kolonien daher entsprechend als ihre Vettern. 101.54

Sozialistengesetz ] Siehe Erl. 9.64.

101.55–56

Knoten ] abfälliger Ausdruck für einen bestimmten Handwerkerund Arbeitertypus, oft wandernde Gesellen.

101.59–63

Im Herbst 1889 veröffentlichte die radikale Wochenzeitung „North London Press“ Artikel ihres Redakteurs Ernest Parke, in welchen er homosexuelle Übergriffe einiger Aristokraten, u. a. Henry James Fitzroy, Earl of Euston, anprangerte. Parke wurde in der darauf folgenden Gerichtsverhandlung zu zwölf Monaten Gefängnis verurteilt, ein Urteil, das im „Labour Elector“ nachdrücklich begrüßt wurde. Die Zeitung verteidigte Fitzroy gegenüber Parke. Siehe [Ernest Parke:] Our old nobility. In: The North London Press. Nr. 532, 28. September 1889. S. 5, Sp. 3; [derselbe:] West End scandal. Ebenda. Nr. 538, 16. November 1889. S. 5, Sp. 2; The new journalism. In: The Labour Elector. London. Nr. 56, 25. Januar 1890. S. 51, Sp. 2/3; Mr. Parke’s accusation against Lord Euston. Ebenda. Nr. 57, 1. Februar 1890. S. 1, Sp. 2; The Parke case. Ebenda. S. 67, Sp. 1/2.

101.65–66

John Burns: John Burns on the Parke case. To the editor of „The Star“. In: The Star. London. Nr. 627, 28. Januar 1890. S. 2, Sp. 4.

101.66–69

Das „Committee of Management“ des „Labour Elector“ brach auf Grund der Auseinandersetzung auseinander, und die Zeitung wurde im April 1890 eingestellt (Pelling: The origins of the Labour Party ... S. 91; Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 175).

101.69–71

Henry Hyde Champion war Besitzer und Redakteur des „Labour Elector“ (Pelling: The origins ... S. 91).

101.73

True patriots all. In: The Labour Elector. London. Nr. 56, 25. Januar 1890. S. 51, Sp. 1/2.

101.80–81

Champion hatte bei den Wahlen 1885 über Maltmann Barry Geld von Konservativen bekommen und dies an Labour-Kandidaten weitergeleitet. Die Vorwürfe wurden 1888 wieder erhoben. (Pelling: The origins ... S. 40/41, 67 und 150; Dictionary of labour biography Vol. 8. S. 24–32.)

101.87

Labour Electoral Association ] 1887 benannte sich die von Gewerkschaften ins Leben gerufene Labour Electoral Association in Labour Electoral Committee um. Champion war Sekretär in der Metropolitan Section dieses Komitees, jedoch verließen er

912

101. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 8. Februar 1890

und seine Anhänger das Komitee 1888 (Pelling: The origins ... S. 57/58, 69 und 72). 101.91

Niederlage der Gas Stokers ] Siehe Erl. 63.38–39 sowie Engels an Hermann Schlüter, 11. Januar 1890 (Br. 80.19–20 und Erl.).

101.94

daily ] Zu den Plänen für eine sozialistische Tageszeitung in Frankreich siehe Erl. 35.18–25, zu den jüngsten Bemühungen Charles Bonnier an Engels, 18. Dezember 1889 (Br. 56.4–6 und Erl.) sowie Laura Lafargue an Engels, 11. Januar 1890 (Br. 81.5–44).

101.95–96

Das Tageblatt „Le Parti Ouvrier“ wurde von einem radikalen Zeitungsherausgeber finanziert, der dies Ende Januar 1890 einstellte. Die Zeitung erschien dann wieder ab Mai 1890. (Reynolds: Allemane, the allemanists ... S. 48–53.)

101.101

die Fabians ] Siehe Erl. 97.4–5.

101.103

In seiner 1871 veröffentlichten Schrift „The theory of political economy“ entwickelte William Stanley Jevons eine neue Art der ökonomischen Analyse, die auf dem Prinzip des abnehmenden Grenznutzens basierte. Der Grenznutzen bezeichnet den Nutzenzuwachs, den ein Haushalt durch den Konsum einer zusätzlichen Einheit eines Gutes erhält. Vorausgesetzt wird, daß Güter knapp sind und eine Substitution zwischen zwei Gütern möglich ist. Jevons war einer der Begründer einer subjektiven Werttheorie, die den Wert eines Gutes aus den Einschätzungen ihres individuellen Nutzens für die Bedürfnisbefriedigung des einzelnen ableitet. Dies steht im Gegensatz zu der Konzeption von Marx und den Klassikern, wonach der Wert eines Gutes bestimmt wird durch die in diesem Gut enthaltene Arbeit. – Engels bemerkte später im Vorwort zum dritten Band des „Kapitals“, daß Jevons’ Theorie von führenden Mitgliedern der Fabian Society (siehe Erl. 97.4–5) angenommen und zur Grundlage einer konkurrierenden Theorie des Sozialismus gemacht worden sei. (Engels: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15. S. 13.8–14 und Erl.); siehe auch Maas: William Stanley Jevons ... S. 34.)

101.106–107 Fabian essays in socialism. Ed. by G[eorge] Bernard Shaw. London 1889. Sydney Webb hatte Engels das Buch am 23. Januar 1890 zugeschickt, siehe Br. 97 und Erl. 97.3. 101.110

Percy Rosher ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 29. Oktober 1889 (Br. 19.69).

101.110

Adolf ] Adolph Sorge.

913

102 Friedrich Engels an Doris Zadek in Berlin London, nach Donnerstag, 13. Februar 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1736/K 695. Fotosign. 7007. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 125 × 202 mm. Engels hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 H 14“. Auf der Rückseite: Entwurf für einen Textabschnitt von „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums“ (siehe Erl. 111.40–41). Zur Datierung: Doris Zadeks 70. Geburtstag war am 13. Februar 1890; Engels gratulierte ihr nachträglich und erwähnte, daß sein eigener 70. Geburtstag bevorstünde (Z. 11–15). Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Doris Zadek, geschrieben Ende 1889 oder Anfang 1890 (Z. 1–3). Datierung der Erstveröffentlichung: Anfang Januar 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 280; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 332. VARIANTENVERZEICHNIS 102.3

That $fast ñ

102.6

sich $f ñ

102.10

: Wir beide danken Ihnen aufs herzlichste. :

102.13

gratuliren. $Uns be ñ

914

103 Friedrich Engels an August Bebel in Plauen bei Dresden London, Montag, 17. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 97/K 59. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben, drei Seiten sind von ihm von „2“ bis „4“ paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „48“ (gestempelt). Bebel beantwortete Engels’ Brief am 7. März 1890 (Br. 110). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 186– 190; in der Sprache des Originals: Engels: Briefe an Bebel (1958). S. 166–168. VARIANTENVERZEICHNIS 103.30–31

: Im Nothfall

103.100

Wahlkreise $wie ñ

bis

Eseleien :

103.104–105 Dresden, usw. > Dresden eins, Leipzig Stadt usw. ERLÄUTERUNGEN 103.3

Karl Kautsky hielt sich von September 1889 bis März 1890 in London auf, siehe Erl. 19.80.

103.3–4

Resultate ] Gemeint sind die Resultate der Hauptwahl zum Deutschen Reichstag, die am 20. Februar 1890 stattfand.

103.9

Julius ] Julius Motteler.

103.13

Wiener Brief ] [August Bebel:] Das ganze öffentliche Interesse in Deutschland ... [Korrespondenz:] Berlin, 4. Februar. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 6, 7. Februar 1890. S. 4, Sp. 1/2. Rubrik: Ausland. Deutschland.

103.13

die Erlasse Jung-Wilhelms ] Wilhelm II. veröffentlichte am 4. Februar 1890 zwei sozialpolitische Erlasse ohne Gegenzeichnung durch den Reichskanzler Otto von Bismarck. Der erste betraf die Einberufung einer internationalen Konferenz zum Arbeiterschutz, der zweite enthielt eine Ankündigung umfangreicher Arbeiterschutzgesetze. (Siehe: Ich bin entschlossen ... In: Deutscher Reichs-Anzeiger und Königlich Preußischer StaatsAnzeiger. Berlin. Nr. 34, 5. Februar 1890. Abends. S. 1, Sp. 1– 2; Rall: Wilhelm II. S. 86–103.)

915

103. Engels an August Bebel · 17. Februar 1890

103.18

Friedrich ] Friedrich III.

103.18–21

August Willich soll gesagt haben, daß August Friedrich von Hohenzollern sein biologischer Vater sei (Dlubek: August Willich (1810–1878). S. 925).

103.20–21

Prinzen August ] Es ist unklar wer damit gemeint ist. Friedrich Wilhelm III. hatte keinen Bruder namens August. Es könnte sich um den Sohn August des Prinzen Ferdinand, des jüngsten Bruders Friedrichs II., handeln.

103.22–23

neuer Besen ] Die Thronbesteigung Wilhelms II. war 1888 erfolgt.

103.29

Attentaten ] Anspielung auf die Attentate auf Wilhelm I. 1878, die den Vorwand für das Sozialistengesetz geliefert hatten.

103.48–49

In den Verhandlungen des Reichstags um die Verlängerung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) hatten die Nationalliberalen (siehe Erl. 96.24–25) die Streichung des § 28, der u. a. die Ausweisungsbefugnis beinhaltete, gefordert. Da die Vorlage entgegen dem Beschluß der Kommissionssitzung auf Veranlassung Bismarcks mit diesem Paragraphen zur Abstimmung gebracht wurde, lehnten die Nationalliberalen sie ab und trugen so mit dazu bei, daß das Sozialistengesetz nicht verlängert wurde. (Das Sozialistengesetz ... S. 297/298; Engelberg: Bismarck. Das Reich in der Mitte Europas. S. 558–560; Pack: Das parlamentarische Ringen um das Sozialistengesetz ... S. 206/ 207, 210/211 und 223.)

103.50

das Centrum ] Das Zentrum, das im Dezember 1870 als organisierte Partei eines wesentlichen Teils des deutschen Katholizismus entstand, verortete sich aufgrund seines politischen Selbstverständnisses als Partei zwischen Konservativen und Liberalen. Seit 1878 stärkste Fraktion, besaß das Zentrum ab 1881 mit knapp 100 Abgeordneten eine Schlüsselstellung im Reichstag. Das Sozialistengesetz wurde von der Mehrheit der Fraktion wie der Partei abgelehnt. (Lexikon zur Parteiengeschichte. Bd. 4. S. 552–566.)

103.56

der Nationalitätenausgleich ] Siehe auch Victor Adler an Engels, 21. Januar 1890 (Br. 94.29–47 und Erl.) sowie Engels an Laura Lafargue, 8. Oktober 1889 (Br. 6.24–29).

103.67–68

In einer Wahlrede am 31. Januar 1890 in Stolp hatte Robert von Puttkamer erklärt, daß der große Belagerungszustand statt des kleinen eintreten müsse, an Stelle des § 28 müßten die Kanonen treten, wenn der nächste Reichstag das Sozialistengesetz nicht verlängern würde (Herr v. Puttkamer. In: Berliner Volks-

916

103. Engels an August Bebel · 17. Februar 1890

blatt. Nr. 29. 4. Februar 1890. S. 2, Sp. 2; Pack: Das parlamentarische Ringen um das Sozialistengesetz ... S. 263). 103.78

Am 16. Februar 1890 wurden u. a. in Paris, d. h. in mehreren Wahlkreisen des Bezirks Seine, Nachwahlen durchgeführt. Dort gewannen die boulangistischen Kandidaten. Siehe: Les e´lections. In: Le Figaro. Paris. Nr. 47, 16. Februar 1890. S. 2, Sp. 2; E´lections le´gislatives. Ebenda. Nr. 48, 17. Februar 1890. S. 1, Sp. 6.

917

104 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 18. Februar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 25/10. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 252 × 201 mm. Wasserzeichen: „Imperial Treasury De La Rue“, eine Krone und Monogramm „DLR“. Laura Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: ein Vermerk „?!“ am linken Rand der ersten Seite (Z. 9). Laura Lafargue beantwortet den Brief von Engels vom 8. Januar 1890 (Br. 76). Engels’ Antwort erfolgte am 26. Februar 1890 (Br. 107). Zur Datierung: Der Faschingsdienstag („Shrove Tuesday“) war 1890 der 18. Februar. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 104.3–4

Die Zeilen stammen aus dem französischen Volkslied „Marlborough s’en va-t-en guerre“, das aus Anlaß der Schlacht bei Malplaquet (1709) während des Spanischen Erbfolgekrieges (1701–1714) entstand.

104.6

daily ] Zu den verschiedenen Plänen für eine sozialistische Tageszeitung siehe Paul Lafargue an Engels, 17. November 1889 (Br. 35 und Erl. 35.18–25).

104.7–9

Eine Quelle für das Zitat konnte nicht ermittelt werden.

104.15–16

Ein Interview mit Paul Lafargue in „The Morning Post“ konnte nicht ermittelt werden.

104.28–29

Heinrich Heine: „Die Grenadiere“: Was schert mich Weib, was schert mich Kind, Ich trage weit beßres Verlangen; Laß sie betteln gehn, wenn sie hungrig sind – Mein Kaiser, mein Kaiser gefangen! (Heine: Buch der Lieder (1827). Junge Leiden. Romanzen. VI., Vers 5.)

104.29

918

acute attack

bis

beloved workmen ] Siehe Erl. 103.13.

104. Laura Lafargue an Engels · 18. Februar 1890

104.30

pelican son ] Gemeint ist Wilhelm II.

104.30

Frederick ] Friedrich III.

104.31–33

Ein Brief, in dem Engels die neue spanische Partei erwähnte, ist nicht bekannt. Siehe ferner Engels an Paul Lafargue, 7. März 1890 (Br. 111.64–68).

104.32

the Congress ] Der Internationale Arbeiter-Kongreß in Paris vom 14.–20. Juli 1889, siehe Erl. 1.6.

104.34

[Paul Lafargue:] Rousseau et l’e´galite´, re´ponse au professeur Huxley. [Gez.:] Fergus. In: La Nouvelle Revue. Paris. T. 63. März–April 1890. S. 319–332. Lafargue benutzte öfter das Pseudonym Fergus.

104.34–35

Thomas Henry Huxley: On the natural inequality of men. In: The Nineteenth Century. London. Nr. 155, January 1890. S. 1–23.

919

105 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Freitag, 21. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 246/L I 99. Die Postkarte hat das Format 142 × 91 mm. Die Rückseite hat Bebel vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befindet sich die Anschrift. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich eine aufgedruckte und eine aufgeklebte 5-Pfennig-Briefmarke, die jeweils den Poststempel: „Dresden-Altstadt C 9 21 2 90 7–8 N.“ tragen. Auf der Rückseite steht der Poststempel „London N. W. FE 24 90“. Numerierung auf der Rückseite oben links: „74“ (gestempelt). Bebel antwortet auf den Brief von Engels vom 17. Februar 1890 (Br. 103). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 381; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 105.3–14

920

Nach dem amtlichen Ergebnis errangen die Sozialdemokraten im ersten Wahlgang 20 Mandate, nicht 19. (Zu den Stichwahlen ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 9, 1. März 1890. S. 2, Sp. 3.) Stichwahlen mit einem sozialdemokratischen Kandidaten wurden schließlich in 58 Wahlkreisen durchgeführt. Zu den Wahlergebnissen im ersten Wahlgang siehe auch Wahlgeschichtliches Arbeitsbuch. S. 40, 89 und 125/126; Specht, Schwabe: Die Reichstags-Wahlen von 1867–1907. S. 319; Handbuch der Reichstagswahlen 1890–1918.

106 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Montag, 24. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1037/L III 23–19. Fotosign. 1292. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, kariertem, blauem Papier im Format 270 × 208 mm. Daniel’son hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortete den Brief am 10. Juni 1890 (Br. 193). Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: Aus Russland. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 10, 8. März 1890. S. 3, Sp. 2. Rubrik: Glückwunschadressen, Telegramme; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 106.3

success of your ideas ] Daniel’son meint das Ergebnis der Wahlen zum Deutschen Reichstag am 20. Februar 1890.

106.4

“ray of light in a realm of darkness” ] Der häufig zitierte Titel des Aufsatzes von Nikolaj Dobroljubov: Ein Lichtstrahl im finsteren Reich (1859).

921

107 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 26. Februar 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5838. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Wasserzeichen: „St Margarets Superfine“, eine Krone und zwei Zweige. Engels hat die zwei ersten Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu drei Vierteln, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „45“. Engels beantwortet den Brief Laura Lafargues vom 18. Februar 1890 (Br. 104). Laura Lafargue antwortete mit einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 7. und 14. März 1890. Der Brief weist nach Inhalt und Abfolge der Aussagen einige Parallelen mit dem Artikel auf, den Engels wahrscheinlich am Vortag, dem 25. Februar 1890, für die Zeitung „The Newcastle Daily Chronicle“ geschrieben hatte und der in dem Blatt am 3. März 1890 veröffentlicht wurde (siehe Engels: The German Social Democrats. In: MEGA➁ I/31. S. 210–212 und 1007–1010). Bezüge zu diesem Brief enthält auch der Artikel „Was nun?“, den Engels wahrscheinlich zwischen dem 26. und 28. Februar 1890 schrieb und der im „Sozialdemokrat“ am 8. März 1890 erschien (siehe ebenda. S. 213–216 und 1011–1014). Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: [Engels:] Einige unveröffentlichte Briefe (1955). S. 1074–1076; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 382/383.

VARIANTENVERZEICHNIS 107.14

:&:

107.24

Fritz“ > Fritz

107.32

That $government ñ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ &xxx > & by

107.50

ERLÄUTERUNGEN 107.3–4

922

Am 20. Februar 1890 fanden die Wahlen zum Deutschen Reichstag statt, bei denen die sozialdemokratische Partei knapp 20% der Stimmen erhielt. Zu den Erwartungen siehe Engels an August Bebel, 17. Februar 1890 (Br. 103); zu weiteren Ergebnissen und Reaktionen siehe August Bebel an Engels,

107. Engels an Laura Lafargue · 26. Februar 1890

21. Februar 1890 (Br. 105) und Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels, 24. Februar 1890 (Br. 106). Die Telegramme sind nicht überliefert. 107.6

1 341 500 votes ] Diese Angabe lag nur um 87 Stimmen unter dem am Folgetag publizierten Ergebnis. (Das Resultat der Zählung ... In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung ... Nr. 98, 27. Februar 1890. Morgen-Ausg. S. 2, Sp. 2.) Das Endergebnis nach der Stichwahl am Samstag, dem 1. März 1890 war 1 427 298 Stimmen. (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 1. S. 720.)

107.8

Kartell ] Vor den Reichstagswahlen im Januar 1887 schlossen sich die Deutschkonservative Partei, die Deutsche Reichspartei (Freikonservative) und die Nationalliberale Partei zu einem „Kartell“ zusammen, einem Wahlbündnis, bei dem jeweils ein gemeinsamer Kandidat unterstützt werden sollte. Die Kartellparteien errangen bei den Wahlen am 21. Februar 1887 die Mehrheit der Abgeordneten. Bis Januar 1890 bildete das Kartell die parlamentarische Grundlage für Bismarcks Regierung. (Lexikon der deutschen Geschichte ... S. 655; Bendikat: Wahlkämpfe ... S. 310–315.)

107.15–18

That stability bis in his saddle ] Siehe Engels: The German Social Democrats. 3. März 1890. In: MEGA➁ I/31. S. 212.20–24; derselbe: Was nun? 8. März 1890. Ebenda. S. 215.6–10.

107.16

William ] Wilhelm I.

107.17

Jardelieutenant ] Wilhelm II.

107.20

working men’s friend ] Zu den Erlassen Wilhelms II. siehe Erl. 103.13.

107.24–25

The “second bis greater” ] Friedrich II. von Preußen wurde im Volksmund „der alte Fritz“ genannt. Der „Sozialdemokrat“ hatte im Juli 1888 berichtet, daß Bismarck Wilhelm II. als „den neuen ,alten Fritz‘“ bezeichnet hatte. (Kaiser und Kanzler in einer Person. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 30, 21. Juli 1888. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1.) Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 7. März 1890 (Br. 111.12) sowie The German Social Democrats. In: MEGA➁ I/31. S. 212.24–25.

107.25–26

„in Preussen muss der König regieren“ ] Friedrich Wilhelm IV. in seinem Verfassungseid vom 6. Februar 1850 (siehe Huber: Dokumente zur deutschen Verfassungsgeschichte. Nr. 195. S. 515/516).

107.33–34

Teil eines bekannten englischen Kinderreims.

923

107. Engels an Laura Lafargue · 26. Februar 1890

107.35

Centre ] Siehe Erl. 103.50.

107.35–36

Freisinnigen ] Die 1884 durch den Zusammenschluß der Deutschen Fortschrittspartei mit der Liberalen Vereinigung entstandene Deutsche Freisinnige Partei war eine Partei des Besitzund Bildungs-, aber auch des Kleinbürgertums, die Bismarck und der Regierungspolitik der 1880er Jahre oppositionell gegenüberstand, zugleich aber ein Zusammengehen mit den Sozialdemokraten ablehnte. (Lexikon der deutschen Geschichte ... S. 253. Siehe auch Erl. 96.34–38.)

107.38

National Liberals ] Zur Nationalliberalen Partei siehe Erl. 96.24–25, als Mitglied des Kartells von 1887 Erl. 107.8, zu ihrer Haltung in der Debatte um die Verlängerung des Sozialistengesetzes siehe Erl. 103.48–49.

107.60

more about your dogs ] Siehe Br. 104.19–25.

107.61

Pauls’s articles ] Siehe Br. 104.34–39 und Erl.

924

108 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Mittwoch, 26. Februar 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5573/L VIII 215. Fotosign. 2217a–f. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 284 × 221 bzw. 142 × 221 mm. Schmidt hat alle sechs Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Beilage (Z. 9–11) ist nicht überliefert. Schmidt beantwortet Engels’ Brief vom 9. Dezember 1889 (Br. 51). Engels antwortete darauf am 12. April 1890 (Br. 145). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 108.9–11

Verzögerung bis Beichte. ] Schmidt hatte Karl Kautsky eine Besprechung der Arbeit von Georg Friedrich Knapp zugesagt, siehe Engels an Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.36–37 und Erl.).

108.11

Londoner Adresse ] Siehe Erl. 103.3.

108.14

nach London bis zusammen wäre ] Schmidt hielt sich 1887 nach Abschluss seines Studiums für mehrere Monate in London auf, wo er Engels regelmässig besuchte. (Owetschkin: Conrad Schmidt ... S. 24.)

108.19

Schmidt meinte möglicherweise die „Sonntags-Beilage“ der „Königlich privilegirten Berlinischen Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen“. Siehe Schmidt an Engels, 10. November 1889 (Br. 27.22–27 und Erl.), ferner Schmidt an Engels, 11. Juni 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5569). Es lassen sich keine weiteren Theaterkritiken Schmidts in der „SonntagsBeilage“ nachweisen.

108.35–36

Zu den Wahlen zum Deutschen Reichstag am 20. Februar 1890 siehe Engels an Laura Lafargue, 26. Februar 1890 (Br. 107.3– 52).

108.37–38

Ausnahmegesetzen gegen die Bewegung ] Siehe Erl. 9.64.

108.38

Kartellschädeln ] Zum „Kartell“ siehe Erl. 107.8.

108.45

Wilhelm II. hatte am 18. Juni, kurz nach seiner Thronbesteigung, eine Proklamation „An mein Volk!“ erlassen.

925

109 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 3., und Donnerstag, 6. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5897/L VIII 542. Fotosign. 11178a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 252 × 200 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge beantwortet Engels’ Brief vom 8. Februar 1890 (Br. 101). Engels antwortete am 12. April 1890 (Br. 146). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 109.4

Wahl in Deutschland ] Die Hauptwahl zum Deutschen Reichstag vom 20. Februar 1890. Siehe Erl. 107.3–4 und 107.6.

109.6

Wahrscheinlich meint Sorge die sogenannten Februar-Erlasse Wilhelms II. zum Arbeiterschutz. Siehe Erl. 103.13.

109.9

unser Wilhelm ] Wilhelm Liebknecht. Zur kritischen Haltung von Sorge Wilhelm Liebknecht gegenüber siehe Sorge an Engels, 18. Oktober 1889 (Br. 12.8–12) und 22. August 1890 (Br. 254.4).

109.9

Vermutlich eine Ableitung von „Du weißt ja, wie ich’s meine“ aus dem deutschen Kinderlied „Es geht eine Zipfelmütz ...“.

109.15–18

Deine Bemerkungen bis wegwischen ] Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 8. Februar 1890 (Br. 101.4–13) sowie Erl. 8.4–7. Vermutlich meinte Sorge seinen Brief an Marx vom 19. Juli 1878, in dem er einige Ansätze für eine Analyse der amerikanischen Arbeiterbewegung formuliert hatte (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. D 4153). Siehe auch Sorge: Die Arbeiterbewegung ... 1886–1892. S. 336–341.

109.19–21

das einzige einflußreiche Organ bis erhalten wissen ] Die „New Yorker Volkszeitung“ stand der Socialist Labor Party nahe. Beide waren durch das politische Verständnis deutscher Immigranten geprägt, wobei lassalleanische Einflüsse dominierten. (Siehe Erl. 8.4–7; Schneider: Trade unions and community. S. 47–49.)

926

109. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 3./6. März 1890

109.21–22

Darum bis gemacht ] Zur Auseinandersetzung Sorges mit den Nationalisten siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. Oktober 1889 (Br. 8.7–10 und Erl.).

109.23

Schewitsch ] Siehe Sorge an Engels, 4. Februar 1890 (Br. 99.1).

109.29

Weltausstellung ] Die Weltausstellung fand 1893 in Chicago statt.

109.31

Die Central Labor Union entstand Anfang der 1880er Jahre als Zusammenschluß von 14 New Yorker Gewerkschaften, darunter die der Setzer und der Bauarbeiter; das Kartell war in den folgenden Jahren rasch gewachsen; die Aufnahme verschiedener Gruppen und Verbände führte zu Kontroversen innerhalb der CLU. (Foner: History of the Labor movement ... Vol. 2. S. 33/34.) Zur weiteren Entwicklung der CLU siehe Erl. 221.16–17.

109.33–34

Johannes Miquel wurde am 24. Juni 1890 zum preußischen Finanzminister ernannt, siehe Rudolf Meyer an Engels, 29. Juni 1890 (Br. 208.45–46 und Erl.). Miquel hatte als Mitglied des Bundes der Kommunisten mit Marx korrespondiert, neun Briefe sind überliefert. Sie waren im Besitz von Engels (siehe Br. 146.4–19; Bernstein: Briefe von Miquel an Marx. S. 4; siehe auch: Genosse a. D. Miquel ist ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 27, 5. Juli 1890. S. 3, Sp. 1). Zu Lebzeiten von Engels wurden die Briefe nicht veröffentlicht. Vollständig publiziert ist der Briefwechsel in MEGA➁ III/3. S. 592/593, III/4. S. 310/311, 456–458 sowie III/8. S. 250–253, 313, 319/320, 332/333, 362/363 und 407–409.

109.39

in Amerika gewesen ] Siehe Erl. 25.3–4.

109.41–44

Daß Du

109.45

solatium miseris ] Solamen miseris socios habuisse malorum – Trost für jeden im Leid ist, Unglücksgefährten zu haben. (Im 19. Jh. oft gebrauchtes Zitat aus: Benedictus de Spinoza: Ethica IV, LVII.)

bis

ausdrücken ] Siehe Br. 101.118–120.

927

110 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Freitag, 7. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 247/L I 100. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 228 × 179 mm. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „75“ (gestempelt). Bebel antwortet auf den Brief von Engels vom 17. Februar 1890 (Br. 103). Engels’ Antwort vom 19. März (siehe Engels an Bebel, 31. März 1890 (Br. 124.5–6)) ist nicht überliefert. Die Beilagen (siehe Z. 43–44) sind nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 381–384.

KORREKTURENVERZEICHNIS 110.8

16. ] H 16 ERLÄUTERUNGEN

110.3

Wahlrummel ] Siehe Erl. 96.43.

110.14

Welfen ] Nach der Annexion des Königreichs Hannover durch Preußen 1866 wurde 1869 die konservativ agrarische DeutschHannoversche Partei gegründet. Sie strebte nach der Wiederherstellung des Königreichs Hannover innerhalb eines föderativen Deutschen Reiches und hatte ihren Schwerpunkt bei Adel, Bauern und Kleinbürgertum der althannoverschen Gebiete. (Lexikon zur Parteiengeschichte. Bd. 4. S. 482/483.)

110.16

unserem Candidaten ] Hermann Molkenbuhr kandidierte bei den Wahlen 1884, 1887 und 1890 im Wahlkreis 18 Stade-Bremervörde, in dem von Bennigsen gewählt wurde (Braun: Hermann Molkenbuhr. S. 120–123; Die Reichstagswahlergebnisse der Provinz Hannover 1867–1907. S. 44/45).

110.23

Freisinn ] Siehe Erl. 107.35–36.

110.23

Centrum ] Siehe Erl. 103.50.

110.28

Zum Sozialistengesetz, das nach der Ablehnung des Verlängerungsantrags im Reichstag im Januar 1890 noch bis zum 30. September in Kraft war, siehe Erl. 9.64.

928

110. August Bebel an Engels · 7. März 1890

110.32

Zum Elberfelder Prozeß siehe Erl. 9.44.

110.33

Bebel hatte in seinem Schlußwort gesagt: „Möglich, ja wahrscheinlich wird der nächste Sozialisten-Congreß in Deutschland sein.“ (Sozialistenprozeß. In: Freie Presse. Elberfeld-Barmen. Nr. 303, 29. Dezember 1889 S. 2, Sp. 1.) Der Parteitag tagte in Halle vom 12.–18. Oktober 1890. Siehe Erl. 310.4.

110.33–34

Die sozialdemokratische Reichstagsfraktion trat am Sonntag, dem 13. April 1890 in Halle zusammen. Im Vordergrund der Beratungen standen die künftige Organisation der Partei sowie Aktionen zum 1. Mai. Bebel hatte in einer früheren Korrespondenz in der Wiener „Arbeiter-Zeitung“ eine Neuorganisation der Partei angekündigt, sobald das Sozialistengesetz (siehe Erl. 9.64) außer Kraft treten würde ([August Bebel:] Aus dem Gewirr von widersprüchlichen ... [Korrespondenz:] Berlin, 18. März. In: ArbeiterZeitung. Wien. Nr. 12, 21. März 1890. S. 3, Sp. 2, bis S. 4, Sp. 2; Beyer: Bebels Statutenentwurf ... S. 421–426). Im Aufruf der Reichstagsfraktion vom 13. April 1890 wurde u. a. dazu aufgefordert, neue Arbeiterorganisationen zu gründen und die bestehenden Organisationen zu festigen. Weiterhin wurden Vorschläge zur Durchführung der Demonstrationen am 1. Mai angenommen. (Siehe [August Bebel:] Nunmehr ist in der Stellung ... [Korrespondenz:] Berlin, 14. April. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 16, 18. April 1890. S. 7, Sp. 1, bis S. 8, Sp. 1; Auer [Ignaz u. a.]: An die Arbeiter und Arbeiterinnen Deutschlands! [Gez.] Die sozialdemokratische Fraktion des deutschen Reichstages. In: Berliner Volksblatt. Nr. 87, 15. April 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1 (abgedruckt auch in: Dokumente und Materialien ... Bd. 3. S. 326–331); Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 324/325; siehe auch: „Ueber die Konferenz ...“ Ebenda. Nr. 90, 18. April 1890. S. 2, Sp. 1. Rubrik: Politische Uebersicht; Bebel an Engels, 9. April 1890 (Br. 140.30–34); Erl. 168.51–52.

110.36

Kaiser ] Wilhelm II.

110.39

ein großer Socialreformer ] Siehe Erl. 103.13.

110.47–48

Otto von Bismarck erhielt am 20. März 1890 seinen Abschied. (Engelberg: Bismarck. Das Reich in der Mitte Europas. S. 574.)

110.58–59

Die Krise hatte im Frühjahr 1890 begonnen und dauerte bis 1895. Sie erwies sich als weniger gravierend als frühere Krisen, insbesondere als die sogenannte Gründerkrise 1873–1876. 1896 begann eine neue Aufschwungphase. Siehe Wehler: Deutsche Gesellschaftsgeschichte. Bd. 3. S. 577–579.

929

110. August Bebel an Engels · 7. März 1890

110.70

Bebel besuchte Engels zu dessen Geburtstag im November 1890 (Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 342).

110.70–71

August und Julie Bebel waren zur Verlobung ihrer Tochter Frieda mit Ferdinand Simon in Zürich (ebenda. S. 324).

930

111 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 7. März 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5857. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 222 × 178 mm. Wasserzeichen: „ST Margarets Superfine“, eine Krone und zwei Zweige. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „17“. Paul Lafargue antwortete am 12. März 1890 (Br. 115). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 386– 388. VARIANTENVERZEICHNIS 111.17

e´craser $pre´sent ñ

111.24

ce´der > re´pondre ERLÄUTERUNGEN

111.3

la pe´riode e´lectorale ] Engels meinte damit die Haupt- und Stichwahlen zum Deutschen Reichstag, siehe Erl. 96.43.

111.5

l’empereur d’Allemagne ] Wilhelm II.

111.5–6

travailler pour le roi de Prusse ] umsonst arbeiten.

111.6

[Paul Lafargue:] En Allemagne. In: Le Gaulois. Paris. Nr. 2743, 3. März 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 2. [Interview mit Paul Roche]. Siehe auch Br. 115.25–30.

111.10

le grand-pe`re du jeune ] Wilhelm I.

111.12

(Fre´de´ric II)2 ] Engels hatte Wilhelm II. auch Laura Lafargue gegenüber am 26. Februar 1890 als einen zweiten Friedrich II. bezeichnet (Br. 107.24–25 und Erl.).

111.19–21

Nous pe´ne´trons bis prouve´. ] In Schleswig-Holstein war die Zahl der Wähler von 39 876 (1887) auf 61 746 gestiegen, in Mecklenburg-Schwerin von 5653 (1887) auf 26 548 und in Ostpreußen von 8223 (1887) auf 18 058 (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 2. S. 739). Engels erwähnte den Gewinn von Wählern in ländlichen Wahl-

931

111. Engels an Paul Lafargue · 7. März 1890

kreisen in den Briefen an Wilhelm Liebknecht vom 9. März (Br. 112.13–17), an Laura Lafargue vom 14. März (Br. 116.23– 24 und Erl.) und an Friedrich Adolph Sorge vom 12. April 1890 (Br. 146.47–53). Siehe auch Conrad Schmidt an Engels, 26. Februar 1890 (Br. 108.60–70). 111.40–41

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209 und 961–970). Frederick Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. In: Time. London. New ser. Nr. 4, April 1890. S. 353–369; Part III. Nr. 5, Mai 1890. S. 525–545 (MEGA➁ I/31. S. 217–248 und 1015–1018).

111.41–44

Nous taˆchons bis sur ce ton. ] Engels spielte an auf die weit beachtete Artikelserie von George Kennan: Siberia and the exile system. In: The Century. Illustrated monthly magazine. New York. Vol. 37. 1888–1889; Vol. 38. 1889; Vol. 39. 1889– 1890. Die Artikel erschienen auch in Buchform (George Kennan: Siberia and the exile system. Vol. 1.2. New York 1891). Der amerikanische Journalist und Forschungsreisende George Kennan hatte authentische Berichte über die unmenschliche Behandlung politischer Gefangener in Sibirien veröffentlicht, die großes Aufsehen erregten. Der britische Premierminister William Ewart Gladstone äußerte daraufhin am 12. Februar 1890 im Unterhaus die Hoffnung, daß es sich bei diesen Berichten um Übertreibungen und ernsthafte Mißverständnisse handele (Hansard. Vol. 341. London 1890. Sp. 143). Siehe Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ, 3. April 1890 (Br. 130.35). Siehe auch MEGA➁ I/31. S. 1015 sowie zum Rußlandbild von Engels und Marx 1870/1871 MEGA➁ I/21. S. 1193–1196.

111.55–56

l’article est place´ ] Siehe Laura Lafargue an Engels, 18. Februar 1890 (Br. 104.34–39 und Erl.) sowie Paul Lafargue an Engels, 12. März 1890 (Br. 115.33–48).

111.57–58

Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling arbeiteten an der Monatschrift „Time“ als Redakteure (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 362 und 366).

111.59

Paul Lafargue: Darwinism on the French stage. In: Time. London. New ser. London. Nr. 2, Februar 1890. S. 149–156.

111.64

affaire a` Castelar ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 22. Dez. 1889 (Br. 61.38–41 und Erl.). Siehe auch Lafargues Brief vom 27. April 1890 (Br. 157.44–46).

932

111. Engels an Paul Lafargue · 7. März 1890

111.65–66

Simon von Trier ] Ludwig Simon.

111.69

lettre d’Iglesias ] Siehe Br. 104.31–33.

111.70

Ernst Bark war ein russischer Journalist und Publizist deutschbaltischer Herkunft; er verließ ohne Genehmigung Rußland und studierte ab 1878 u. a. an der Universität Leipzig. 1882 gründete er die Baltische Föderative Bewegung und veröffentlichte 1882–1883 in der Schweiz die Zeitschrift „Der Baltische Föderalist. Politisch uncensirte liberale Monatschrift“. Er kehrte später nach Rußland zurück, wo er umgehend nach Sibirien verbannt wurde. Nach seiner Flucht ließ er sich in Spanien nieder. Karl Kautsky erwähnte Bark in seinem Brief an Victor Adler vom 29. November 1890. (Eesti biograafilise leksikon. Tartu 1926– 1929 und Eesti biograafilise leksikoni täiendusköide. Tartu 1940; Soriano-Molla´: Ernesto Bark; Adler: Bw mit Bebel und Kautsky ... S. 64.)

111.72–74

Kautsky veröffentlichte zwei Abhandlungen Barks zu Fragen des spanischen Sozialismus, die auch die Parteigründung von Bark behandelten, siehe Ernst Bark: Der Sozialismus in Spanien. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 7. 1889. H. 11. S. 515– 519; Das Aktionsprogramm der spanischen Sozialdemokratie. Ebenda. Jg. 9. 1890/1891. H. 13. S. 411–418.

111.77

les chiens de Laura ] Siehe Br. 104.19–25.

933

112 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Dresden London, Sonntag, 9. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1047/K 450. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Wasserzeichen: ST Margarets Superfine, eine Krone, zwei Zweige. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten von „93“ bis „96“. Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Wilhelm Liebknecht, geschrieben vor dem 9. März 1890 (siehe Z. 57). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 190– 192; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 366–368.

ERLÄUTERUNGEN 112.3–4

Liebknecht erreichte unter allen deutschen Abgeordneten die höchste Stimmenzahl (Geschichte der revolutionären Berliner Arbeiterbewegung. S. 319; Eisner: Wilhelm Liebknecht. S. 92).

112.4–5

Kar-, Hell- oder sonstiger Junkerdorf ] Gemeint sind Wilhelm von Kardorff und Otto Heinrich von Helldorff.

112.9–10

1 200 000 Stimmen ] Siehe Engels an August Bebel, 17. Februar 1890 (Br. 103.109). Die Partei erhielt bei den Reichstagswahlen insgesamt 1 427 298 Stimmen (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 2. S. 720).

112.17

Strohfeuer von vor 12 Jahren ] Der Allgemeine Deutsche Arbeiterverein erhielt bei den Reichstagswahlen von 1874 in Schleswig-Holstein ein Drittel der Stimmen und zwei Abgeordnete; 1877 blieb die Stimmenzahl insgesamt knapp gehalten, die Abgeordneten waren jedoch nicht wiedergewählt worden; 1878 ging die Stimmenzahl in Schleswig-Holstein stark zurück (Regling: Die Anfänge des Sozialismus in Schleswig-Holstein. S. 189/190 und 234/235; Fricke: Handbuch ... Bd. 2. S. 724). Der Stimmenzuwachs in den vorwiegend agrarisch geprägten Gebieten blieb bei den kommenden Wahlen hinter der Zuwachsrate zurück (Die Reichstagsfraktion der deutschen Sozialdemokratie 1898 bis 1918 ... S. XVII).

934

112. Engels an Wilhelm Liebknecht · 9. März 1890

112.23

Puttkamers „Kanonen“ ] Siehe Erl. 103.67–68.

112.33–34

Engels bezog sich möglicherweise auf eine Rede Wilhelm Liebknechts am 13. Februar 1890 im sächsischen Landtag, wo er unter anderem sagte: „Zeigen Sie mir eine einzige Stelle in einer Parteischrift, nennen Sie mir einen Redner unserer Partei, der gesagt hat, daß wir den gewaltsamen Umsturz wollen.“ (Mittheilungen über die Verhandlungen des ordentlichen Landtags ... S. 520.) Er könnte auch die Ende 1889 erschienen Ausgabe einer Schrift Liebknechts gemeint haben, in der dieser erklärte, die Sozialdemokratie sei eine Partei der revolutionären Aktion, und zugleich auf die friedliche Umgestaltung der Gesellschaft verwies (siehe [Liebknecht:] Trutz – Eisenstirn. I. S. 15; derselbe: Trutz – Eisenstirn. II. S. 4; siehe auch Eisner: Wilhelm Liebknecht. S. 83).

112.37–38

die linke Backe bis hauen sollte ] Die Bibel. Das Neue Testament. Evangelium des Matthäus. 5, 39.

112.40

[Cornelis Croll:] In Duitschland zijn onze ... In: Recht voor Allen. ’s-Gravenhage. Nr. 22, 26./27. Januar 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Buitenlandsche Overzicht.

112.40–41

Wilhelm Liebknecht: Erklärung. Von Herrn W. Liebknecht geht ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 26, 31. Januar 1890. S. 3, Sp. 1. Siehe auch Liebknecht tegen ons. In: Recht voor Allen. ’s-Gravenhage. Nr. 27 (vielm. Nr. 29), 4. Februar 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1.

112.41

Aus Holland geht uns ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 7, 15. Februar 1890. S. 4, Sp. 1/2.

112.43–49

Diese Kleinstaatler bis darauf die Holländer ] Engels war zu dieser Zeit der Ansicht, daß eine gesamteuropäische Revolution nur durch ein Zusammenwirken der Arbeiterparteien in den drei großen Ländern (Frankreich, Großbritannien und Deutschland) durchführbar sei. Ihm war jedoch gleichzeitig bewußt, daß es weder in Frankreich noch in Großbritannien solche Parteien gab. (Engels an Laura Lafargue, 17. August 1891, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5951). Der Arbeiterbewegung in den kleineren Ländern stand er in dieser Zeit skeptisch gegenüber (siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September 1890, Br. 300.47–49, sowie Engels an Laura Lafargue, 9. September 1889, RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5834, und 19. Oktober 1890, Br. 324.74–82). Nach Bürgi glaubte Engels, daß die kleinen Nationen eher den Possibilisten gegenüber zu Kompromissen bereit waren (Bürgi: Hintergründe und Bedeutung des Entscheides für einen internationalen Arbeiterkongreß in

935

112. Engels an Wilhelm Liebknecht · 9. März 1890

Zürich. S. 336–354; derselbe: Anfänge der II. Internationale. S. 67/68, 88, 132/133, 167/170, 189/190 und 223/224). Bürgi umreißt dort auch die Gegenposition von Ferdinand Domela Nieuwenhuis. Engels modifizierte später seinen Standpunkt. Er hob u. a. Vandervelde gegenüber die Bedeutung der kleinen Länder als „die modernen politischen Laboratorien“ hervor, als „die Versuchsfelder, wo man die Erfahrungen sammelt, die später in den großen Staaten angewandt werden“ (Engels an E´mile Vandervelde, nach dem 21. Oktober 1894, IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1702). 112.47

Der Internationale Arbeiter-Kongreß in Paris vom 14.–20. Juli 1889, siehe Erl. 1.6.

112.52–53

Liebknecht kam erst im November 1890 zu Engels’ 70. Geburtstag nach London.

112.59–66

Ein Artikel von Liebknecht ließ sich 1890 in keiner der beiden Zeitschriften nachweisen.

112.71

Edes ] Eduard und Regina Bernstein.

936

113 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Sonntag, 9. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2841/L V 284. Fotosign. 3151. Die Postkarte hat das Format 140 × 92 mm. Die Rückseite hat Kugelmann vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: blaue Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „Hannover 9 3 90 10–11 N 1 b“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Kugelmann beantwortet vermutlich einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 9. März 1890. Die Beilage ist ebenfalls nicht überliefert (Z. 2–3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 113.2

„Das war des Freundes Stimme!“ ] Johann Wolfgang von Goethe: Faust. Der Tragödie erster Teil. Kerker.

113.8

Meinigen ] Gertrud und Franziska Kugelmann.

937

114 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Dienstag, 11. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3750/L V 537. Fotosign. 8402a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, blauem, kariertem Papier im Format 268 × 210 mm. Martignetti hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 353/354.

KORREKTURENVERZEICHNIS 114.24

Stato, ] H Stato

ERLÄUTERUNGEN 114.2

vittoria della democrazia sociale ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 26. Februar 1890 (Br. 107.3–11) und August Bebel an Engels, 7. März 1890 (Br. 110.3–29).

114.20–21

Siehe Mit welch gespannter Erwartung ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 8, 22. Februar 1890. S. 3, Sp. 2. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau: „Aus Rom sendet uns Professor Labriola 50 Franken als Zeichen der Liebe für die deutsche Sozialdemokratie, die, schreibt er, nach meiner festen Überzeugung als einzig zukunftsfähig und geschichtlich begründet, die allgemeinen Interessen vertritt der Menschheit.“ Siehe auch: Wahlfond-Quittung. Ebenda S. 4, Sp. 3; Labriola: Carteggio. Vol. 5. S. 384.

114.21–23

[Antonio Labriola:] An die Redaktion des „Sozialdemokrat“. [Gez.:] Ettore Tocci (eigtl. Socci). In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 10, 8. März 1890. S. 3, Sp. 2/3. Labriola war VizePräsident des Circolo Radicale und der eigentliche Verfasser der Adresse. Die Festnummer der Zeitung war dem Sieg der deutschen Sozialdemokratie bei den Reichstagswahlen gewidmet und auf rotem Papier gedruckt. (Siehe Antonio Labriola an Eduard Bernstein, 27. Februar 1890. In: Labriola: Carteggio. Vol. 3. S. 8–10; zum Ergebnis der Reichstagswahlen siehe Erl. 107.6.)

938

114. Pasquale Martignetti an Engels · 11. März 1890

114.30–31

Engels: Was nun? 8. März 1890. (MEGA➁ I/31. S. 213–216). Eine Veröffentlichung der Übersetzung Martignettis ist nicht bekannt (Gianni: Diffusione ... del marxismo in Italia. S. 55–75).

939

115 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 12. März 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/17. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 270 × 210 mm. Wasserzeichen: „BFK Rives“. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Lafargue beantwortet Engels’ Brief vom 7. März 1890 (Br. 111). Engels antwortete in einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 14. und 25. März 1890. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 115.3

Vos lettres ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 26. Februar (Br. 107) und an Paul Lafargue, 7. März 1890 (Br. 111.3–32).

115.5

La confe´rence ] Die Internationale Arbeiterschutzkonferenz wurde auf Initiative Wilhelms II. vom 15. bis 29 März 1890 in Berlin durchgeführt. Zur Sozialpolitik Wilhelms II. siehe auch Erl. 103.13.

115.18

des horreurs des prisons sibe´riennes ] Siehe Erl. 111.42–43.

115.19

Czar ] Aleksandr III.

115.25–30

Il a e´te´ bis confe´rence ] Zum Interview von Paul Lafargue siehe Erl. 111.6.

115.33

article bis courant ] Siehe Laura Lafargue an Engels, 18. Februar 1890 (Br. 104.34 und Erl.)

115.36

Ein Artikel von Paul Lafargue in „The Nineteenth Century“ 1890 ließ sich nicht nachweisen. Siehe auch Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 (Br. 112.59–66).

115.50–51

fre`re du pe`re de Marx ] Jacob Marx war der Bruder des Vaters Heinrich Marx.

115.51

Madame Weil ] Eva Weill.

115.51

son pe`re ] Jacob Marx.

115.55

une fille ] Jeanne Weill.

115.61–62

jugement contre Martignetti ] Der Kassationshof hob das Urteil gegen Martignetti im März 1890 auf und verwies das Verfahren an das Berufungsgericht in Neapel zurück, siehe Erl. 22.2–7.

940

116 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 14. März 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5837. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 178 mm. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Wasserzeichen: ST Margarets Superfine, eine Krone und zwei Zweige. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „44“. Zur Datierung: Engels schreibt, daß er „heute“ das Grab der Familie Marx auf dem Highgate Friedhof besucht und Tussy das Grab mit Blumen bepflanzt habe (Z. 27–29). Der Anlaß war wahrscheinlich der Todestag von Karl Marx, der 14. März. Der Brief muß daher auf diesen Tag datiert werden. Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Laura Lafargue, geschrieben zwischen dem 7. und 14. März 1890 (Z. 3–4). Datierung der Erstveröffentlichung: 14. Februar 1890. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 380.

ERLÄUTERUNGEN 116.3–4

Eine diesbezügliche Anfrage Laura Lafargues an Engels oder Eduard Bernstein konnte nicht ermittelt werden.

116.4

Deutscher Parlaments-Almanach. Begr. und hrsg. von Georg Hirth. 16. Ausg. Leipzig 1887.

116.5

Secretary ] Gustav Adolf Gladewitz.

116.8–11

Die vier Genannten waren Reichstagsabgeordnete und Redakteure bzw. Journalisten der sozialdemokratischen Presse.

116.11

Die sozialdemokratische Wochenzeitung, die von 1887 bis 1890 in Breslau erschien, hieß „Schlesische Nachrichten“.

116.14

I will ask bis about ] Eva Weill. Siehe Paul Lafargue an Engels, 12. März 1890 (Br. 115.50–58).

116.17–18

Die Sozialdemokratie und das Ausnahmegesetz. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 122, 13. März 1890. Abendausg. S. 1, Sp. 1/2.

116.18

the Socialist law ] Siehe Erl. 9.64.

116.19–21

Puttkamer’s word

bis

expulsions ] Siehe Erl. 103.67–68.

941

116. Engels an Laura Lafargue · 14. März 1890

116.23

Bis 1893 wurden alle drei Jahre Wahlen zum Deutschen Reichstag abgehalten.

116.24

the agricultural laborers ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 7. März (Br. 111.19–21 und Erl.), an Wilhelm Liebknecht, 9. März (Br. 112.13–17) und an Friedrich Adolph Sorge, 12. April 1890 (Br. 146.47–53).

116.27

Der Besuch des Friedhofs erfolgte wahrscheinlich anläßlich des Todestages von Karl Marx am 14. März.

116.28

your Mama’s ] Jenny Marx.

942

117 F. A. Brockhaus an Friedrich Engels in London Leipzig, Donnerstag, 20. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 848/L II 212–1. Fotosign. 14862. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 143 × 225 mm. Die erste Seite ist vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Der Text ist gedruckt (hier wiedergegeben in Kapitälchen), die Anschrift und das Datum sind von unbekannter Hand eingefügt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 D 3“. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite unten links ein Vermerk mit schwarzer Tinte: „Beil. f.“. Die Beilage (Z. 11–12) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 117.7–10

Der Artikel erschien 1893: Engels, Friedr[ich] ... In: Brockhaus’ Konversations-Lexikon. 14., vollst. neubearb. Aufl. Bd. 6. Leipzig 1893. S. 115, Sp. 1/2 (MEGA➁ I/32. S. 175 und 525/526).

117.11

Engels (Friedr[ich]) ... In: Brockhaus’ Conversations-Lexikon. Allgemeine deutsche Real-Encyklopädie. 13., vollst. umgearb. Aufl. Bd. 6. Leipzig 1883. S. 138/139.

943

118 Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 21. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1331/L III 193. Fotosign. 7643a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 420 × 248 mm. Auf der ersten Seite oben links trägt der Brief den Aufdruck: „Club der Beamten der Wiener Bank- und Credit-Institute“ in der Form eines Wappenschildes, oben rechts den Aufdruck: „Wien, ....18.“, dem das handgeschriebene Datum folgt. Ehrenfreund hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Ehrenfreund beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 27. August 1889 (siehe Erl. 118.3–5). Engels’ Antwort vom 19. April 1890 ist teilweise überliefert (siehe Friedrich Engels über den Antisemitismus. Aus einem Privatbriefe nach Wien. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 19, 9. Mai 1890. S. 2, Sp. 2, bis S. 3, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 249–251)). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 118.3

Siehe Isidor Ehrenfreund an Engels, etwa Mitte August 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1330).

118.3–5

Zum Inhalt des nicht überlieferten Briefes von Engels siehe Engels an Laura Lafargue, 27. August 1889 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5832).

118.11

Friedrich Engels: Herrn Eugen Dühring’s Umwälzung der Wissenschaft. Philosophie. Politische Oekonomie. Sozialismus. Leipzig 1878 (MEGA➁ I/27. S. 217–483). Die 2. Auflage erschien 1886 in Hottingen-Zürich.

118.14

Johann Wolfgang von Goethe: Faust.

118.23

Der „Club der Beamten der Wiener Bank- und Creditinstitute“ wurde 1888 gegründet (Geschäftsbuch NÖ Statthalterei 104/3A. In: Niederösterreichisches Landesarchiv. Sign. 1193). Akten des Clubs sind nicht überliefert.

118.66–67

Karl Kautsky: Karl Marx’s Oekonomische Lehren. Stuttgart 1887 (Internationale Bibliothek. Bd. 2).

944

118. Isidor Ehrenfreund an Engels · 21. März 1890

118.68

Friedrich Engels: Der Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats. Im Anschluß an Lewis H. Morgan’s Forschungen. Hottingen-Zürich 1884 (MEGA➁ I/29. S. 7–114).

118.76

des Wettiner Cönigsstammes ] Die Wettiner waren ein deutsches Adelsgeschlecht, das seit dem hohen Mittelalter mehrere Herrscher u. a. in Sachsen und Thüringen stellte.

118.95

Ehrenfreund war Beamter des Wiener Giro- und Cassen-Vereins.

945

119 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Prag, Montag, 24. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4979/L VII 76. Fotosign. 8829a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 251 × 200 mm. Wasserzeichen: „Japanese Linen 1887“ und ein Vogel. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben in der Mitte den durchgestrichenen Aufdruck „Rolandrie P. O. Whitewood Assiniboia Canada“. Meyer hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 119.4

Siehe Rudolf Meyer an Engels, 25. Januar 1889 (IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. L 4978). Meyer versuchte zwischen 1886 und 1889, eine Farm in Kanada zu bewirtschaften (Schröder: Rudolf Meyer und Engels. S. 57).

119.7

Frau ] Mathilde Meyer.

119.8

Knaben ] Otto Meyer.

119.14–15

Nachdem Fürst Bismarck gestürzt ist ] Siehe Erl. 110.47–48.

119.18–20

Miquel bis Staatssozialist ] Johannes Miquel. Siehe Meyer an Engels, 29. Juni 1890 (Br. 208.45–46). (Kassner: Der Steuerreformer Johannes von Miquel. S. 22–30.)

946

120 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 25. März 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/18. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 266 × 210 mm. Wasserzeichen: „BFK Rives“. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Lafargue beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 14. und 25. März 1890 (Z. 3). Engels antwortete am 21. Mai 1890 (Br. 176). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 120.8–9

le manifeste communiste ] [Marx, Engels:] Manifest der Kommunistischen Partei. (1848).

120.9

Marx: Mise`re de la philosophie. 1847.

120.16–17

[Paul Lafargue:] The claims of Hobbes to the darwinian struggle for life. [Gez.:] Fergus. In: The Academy. A weekly review of literature, science, and art. London. New ser. Nr. 934, 29. März 1890. S. 223, Sp. 3, bis S. 224, Sp. 2.

120.18–19

Die Notiz in den Daily News konnte nicht ermittelt werden.

120.21–22

un article bis Spencer ] Siehe Laura Lafargue an Engels, 18. Februar 1890 (Br. 104.34–39 und Erl.).

120.28–29

Lewis H[enry] Morgan: Houses and house-life of the American aborigines. Washington 1881. (Contributions to North American ethnology. Vol. 4.) – Engels bat Friedrich Adolph Sorge am 29. Mai 1890, ihm das Buch zu beschaffen, siehe Br. 183.61– 71.

120.30–36

Je n’ai pas bis mate´rialiste-socialiste ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 12. März 1890 (Br. 115.50–58).

120.30

la cousine germaine de Marx ] Eva Weill.

120.30

fille ] Jeanne Weill.

120.33

rabbin ] Jacob Marx.

120.37–38

Zu den Kommunalwahlen, die am 27. April und 4. Mai 1890 stattfanden, und zu den Ergebnissen der Boulangisten siehe Erl. 78.26 und 176.26–28.

947

120. Paul Lafargue an Engels · 25. März 1890

120.41–47

La masse ouvrie`re Erl. 1.49.

120.48–50

Seit etwa 1887 begann aus strategischen Gründen eine Annäherung zwischen Rußland und Frankreich, als Gegenstück zu dem 1882 entstandenen Dreibund zwischen dem Deutschen Reich, Österreich-Ungarn und Italien. In Frankreich, das in dieser Zeit weitgehend isoliert war, fand diese Politik Unterstützung und Verbreitung in Politik und Gesellschaft. Außerdem entwickelten sich wirtschaftliche Verbindungen zwischen beiden Ländern; eine große Rolle spielten dabei russische Anleihen in Frankreich. Die französische Presse wurde teils durch diese Stimmungen beeinflußt, teils schuf sie sie selber. Diese Entwicklung verstärkte sich nach 1891 zunehmend. Von 1889 bis 1904 wurden ca. 5,5 Milliarden Franc von Rußland an die französische Presse gezahlt. Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 28. Oktober 1890 (Br. 335.11–13 und Erl.); [Paul Lafargue:] Der Schuß Padlewsky’s. [Gez.:] X. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 19. S. 593–599; Handbuch der Geschichte Rußlands. S. 186–189; Bellanger [u. a.]: Histoire ge´ne´rale de la presse ... S. 270.

120.50

le Galli ] Henri Galli.

120.51

Czar ] Aleksandr III.

120.51

L’Action sociale ] Es könnte die guesdistische Wochenzeitung „L’Action Sociale“ in Lyon gemeint sein, jedoch enthielt die Zeitung nur sehr begrenzt Beiträge zu Entwicklungen im Ausland. Ein Artikel zur Behandlung der Gefangenen in Sibirien konnte dort im März 1890 nicht ermittelt werden. Im Katalog der Bibliothe`que Nationale sind keine weiteren Zeitungen dieses Namens aus den Jahren 1889–1890 nachweisbar.

120.52

des infamies de Sibe´rie ] Siehe Erl. 111.41–44.

948

bis

c’est ainsi. ] Zum Boulangismus siehe

121 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 26. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3751/L V 538. Fotosign 8403 a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, blauem, kariertem Papier im Format 268 × 210 mm. Martignetti hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortete den Brief am 30. März 1890 (Br. 123). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 354/355. ERLÄUTERUNGEN 121.2–3

che mando` bis Germania ] Siehe Martignetti an Engels, 11. März 1890 (Br. 114.20–21 und Erl.).

121.4

indirizzo

121.4–6

Wilhelm Liebknecht: Al Circolo radicale. In: Il Messaggero. Roma. Nr. 82, 23. März 1890. S. 3, Sp. 1. Rubrik: Cronaca di Roma.

121.17–18

una parola

121.20

della prima bis Lafargue ] Siehe Erl. 22.2–7 und Engels an Martignetti, 30. November 1889 (Br. 43).

121.30–39

Auszug aus dem Brief Antonio Labriolas an Pasquale Martignetti vom März 1890. Frage- und Ausrufezeichen stammen von Martignettis Hand. Siehe Labriola: Carteggio. Vol. 3. S. 20.

121.44–46

Antonio Labriola: La terra a chi la lavora – La colonia Eritrea e la questione sociale. In: Il Messaggero. Rom. Nr. 74, 15. März 1890. 1. Ausg. S. 2, Sp. 1/2. Der Artikel war ursprünglich ein Auszug aus einem Brief Labriolas an Alfredo Baccarini vom 24. Februar 1890 (Labriola: Carteggio. Vol. 3. S. 14); siehe Dal Pane: Labriola ... S. 218.

bis

tedeschi ] Siehe Erl. 114.21–23.

bis

Lollini ] Siehe Brief 123.

949

122 Friedrich Engels an Antonio Labriola in Rom London, Sonntag, 30. März 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 828/H 82. Fotosign. IS 21. Der Entwurf H1 besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 125 × 201 mm. Wasserzeichen: „Orion Turkey Kin“. Engels hat die erste Seite zu zwei Dritteln beschrieben, auf der zweiten Seite befindet sich der Entwurf von Textpassagen für seinen Artikel „The Foreign Policy of Russian Tsardom“ (siehe MEGA➁ I/31. S. 217.3–4, 13–14 und 217.15–218.22 sowie S. 1017/ 1018). Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Bleistiftvermerk „N 10“ unter dem Text. Von dem nicht überlieferten Reintext von Engels, den er seinem Brief an Pasquale Martignetti vom 30. März 1890 beigelegt hatte (siehe Br. 123.3), ist eine Abschrift durch die Hand Martignettis überliefert, h2, die er mit dem Vermerk „Copia“ gekennzeichnet hatte (Originalhandschrift: IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 828/K 465). Diese Abschrift besteht aus einem Blatt dünnem, blaukariertem Papier im Format 136 × 209 mm. Martignetti hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Abschrift enthält einige wenige Varianten: das Kürzel „&“ wird als „und“ ausgeschrieben, „ß“ wird durch „ss“, „s“ durch „ß“ ersetzt. Unterschiede in der Kommasetzung und Lesefehler von Martignetti werden nicht ausgewiesen. Der Edierte Text folgt H1. Labriola antwortete Engels am 3. April 1890 (Br. 132). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 28 (1940). S. 192; in der Sprache des Originals: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 357. VARIANTENVERZEICHNIS 122.1

London bis Prof. – ] h2 Copie ec. London li 30. 4. 1890. š Sehr geehrter Herr. š Erlauben

122.6

von jeher uns ] h2 uns jederzeit

122.6

interessirten ] H1 interessirten $& ñ

122.7

Vico’s & ] h2 Vicos, und

122.7

Gelehrten ] H1 Mann > Gelehrten

950

122. Engels an Antonio Labriola · 30. März 1890 (Entwurf)

122.8

der auch ] H1 der auch $unsere klassischen Philosophen $kennt ñ studirt hat, der auf ñ hat versehentlich nicht gestrichen.

122.11–12

ihre freundlichen Bemühungen ] H1 die Bemühungen > Ihre freundlichen Bemühungen

122.12

P. ] h2 Pasq.

122.13

worden. Ich ] h2 worden. š Ich

122.14

M. ] h2 Martignetti

122.14

er ] H1 er $den ñ

122.16

geworden ist ] H1 ist > geworden ist

122.16

gelegentlich ] H1 gelegentlich $meinem ñ $seinem Vertheidiger ñ

122.17–18

bereitwillige, talentvolle & erfolgreiche ] H1 großmüthige > bereitwillige, talentvolle & erfolgreiche

122.20

schützen ] H1 retten > schützen

122.21

deutsch an Sie ] h2 Ihnen deutsch

122.21

schreibe. Aber ] h2 schreibe, aber

122.22

Übung ] H1 Geschick > Übung

122.26

F. E. ] h2 F. Engels. š Egregio Sig. Professore š Antonio Labriola š Roma ERLÄUTERUNGEN

122.3

Antonio Labriola: Del socialismo. Roma 1889.

122.4

A[ntonio] Labriola: I problemi della filosofia della storia. Prelezione letta nella Universita di Roma, il 28 Febbraio 1887. Roma 1887.

122.9–10

Gemeint ist: Friedrich Engels: Ludwig Feuerbach und der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie. Rev. SonderAbdruck aus der „Neuen Zeit“. Mit Anh.: Karl Marx über Feuerbach vom Jahre 1845. Stuttgart 1888 (MEGA➁ I/30. S. 122– 162). Siehe auch Br. 132.4–6.

122.13

ersten großen Erfolg ] Der Kassationshof hatte das Urteil gegen Martignetti im März 1890 aufgehoben und das Verfahren an das Berufungsgericht in Neapel zurückverwiesen. Siehe Erl. 22.2–7.

951

123 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Benevento London, Sonntag, 30. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1111/K 484. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 177 mm. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Martignettis vom 26. März 1890 (Br. 121). Martignetti antwortete am 4. April 1890 (Br. 135). Einige Passagen des Briefes (Z. 4–9, 12–20 und 22–23) hatte Martignetti ins Italienische übersetzt und veröffentlicht (siehe L’opinione di F. Engels. In: Cuore e Critica. Bergamo. Jg. 4. Nr. 7, 16. März [vielm. April] 1890. S. 75, Sp. 2). Der Auszug wurde mit einer kurzen Einleitung versehen: „La proposta del prof. Labriola sull’ordinamento della colonia Eritrea, trova eco anche all’estero. Dopo d’aver lette nel Messaggero le lettere dei professori Labriola e Loria, Federico Engels scrisse da Londra in data 30 marzo ultimo al nostro collaboratore P. Martignetti“. Engels’ Brief war ein Beitrag zu einer Diskussion zwischen Antonio Labriola und Achille Loria einerseits und Filippo Turati andererseits. Siehe: La questione sociale e la colonia Eritrea. Ebenda. S. 73, Sp. 1, bis S. 75, Sp. 2. (Siehe Nikititsch: Antonio Labriola. S. 73–75.) Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 355/356. ERLÄUTERUNGEN 123.3

Siehe Br. 122.

123.4

Antonio Labriola: La terra a chi la lavora – La colonia Eritrea e la questione sociale. In: Il Messaggero. Roma. Nr. 74, 15. März 1890. 1. Ausg. S. 2, Sp. 1/2. Siehe Br. 121.30–46 und Erl.

123.17

Die bisherigen italienischen Kolonien am Roten Meer wurden 1890 mit weiteren Gebieten zur Kolonie Eritrea vereinigt.

123.10–11

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1883 (MEGA➁ II/8. S. 713–722).

123.25

Marx: Capitale e salario. Siehe Engels an Martignetti, 13. Januar 1890 (Br. 82.36–38 und Erl.).

123.27

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe Erl. 8.16.

123.28

Bereits Laura Lafargue gegenüber hatte Engels sich am

952

123. Engels an Pasquale Martignetti · 30. März 1890

26. Februar über Möglichkeiten einer revolutionären Entwicklung in Deutschland als Folge der Reichstagswahlen geäußert (Br. 107.12–59).

953

124 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Montag, 31. März 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 248/L I 101. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 279 × 220 mm. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „76“ (gestempelt). Bebel antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 19. März 1890 (Z. 4). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 384–386.

KORREKTURENVERZEICHNIS 124.10

Massen ] H Maßen

ERLÄUTERUNGEN 124.3

August und Julie Bebel reisten vom 1. bis zum 12. April 1890 nach Zürich (siehe Erl. 140.37; Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 323).

124.5–6

Zu Engels’ Einschätzung der aktuellen Situation in Deutschland siehe auch seine Briefe an Wilhelm Liebknecht vom 9. März (Br. 112), an Friedrich Adolph Sorge vom 12. April (Br. 146.20–68) und an Laura Lafargue vom 16. April 1890 (Br. 149.86–91).

124.7–8

Der Beschluß, am 1. Mai in allen Ländern Demonstrationen und Kundgebungen für den Achtstundentag zu organisieren, war vom Internationalen Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle im Juli 1889 (siehe Erl. 1.6) gefaßt worden. Über die Realisierung der Resolution in den verschiedenen Ländern sollte unter Berücksichtigung der lokalen Voraussetzungen entschieden werden; sie erfolgte daher in unterschiedlichen Formen. Engels hatte diesem Beschluß – „the best our congress did“ (am 16. April 1890 an Laura Lafargue, Br. 149.74, ähnlich bereits im August 1889, siehe S. 693) – große Bedeutung beigemessen, und er akzeptierte die unterschiedlichen Vorgehensweisen in Frankreich, Großbritannien, Österreich und Deutschland. Besonders in Deutschland sah er in einem zu

954

124. August Bebel an Engels · 31. März 1890

raschen Vorpreschen nach dem Wahlerfolg vom Februar 1890 eine Gefahr. Notwendig war hier nach Engels, daß die Bewegung sich nicht auf einen aussichtslosen Kampf mit dem Militär einließ, das nur auf eine solche Gelegenheit warte. Bebel und im wesentlichen auch die Reichstagsfraktion teilten diese Einschätzung. In Deutschland versuchte Engels, die Entwicklung durch aktives Eingreifen zu steuern, während er in den anderen Ländern eher beobachtete und vor allem den Erfolg der Demonstrationen kommentierte. Die Entwicklung in Wien und London analysierte er ausführlich in seinem Artikel „Der 4. Mai in London“; die Londoner und Pariser Ereignisse diskutierte er mehrmals in Briefen u. a. am 19. und 30. April an Friedrich Adolph Sorge (Br. 153.72–91 und 158.3–63) und am 16. April und 10. Mai an Laura Lafargue (Br. 149.71–74 und 169.6–54) sowohl vor als auch nach dem 1. bzw. 4. Mai 1890. In Frankreich betrachtete er die Demonstrationen als einen möglichen Wendepunkt, weil die Possibilisten sich nicht daran beteiligten. Paul Lafargue teilte diese Einschätzung und vermutete u. a. (am 16. September 1890 an Engels), daß sich die Possibilisten in diesem Zusammenhang auch bei den Holländern und Belgiern diskreditierten (Br. 273.6–8; siehe auch Paul Lafargues Briefe vom 27. April (Br. 157.8–37) und vom 1. Mai 1890 (Br. 160)). In gleicher Weise sah Engels die unterschiedlichen englischen Kleingruppen, „the Sects“, vor die Entscheidung gestellt, sich der neu aufbrechenden Arbeiterbewegung anzuschließen oder unterzugehen (Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890, Br. 169.48–50). – Siehe auch Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.31– 107); Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 259–264); The memory of May Day; Protokoll Paris 1889 ... S. 124/125; Compte-rendu Paris 1889. S. 91. Zu Entstehung und Folgen der Manifestationen zum 1. Mai siehe Boll: Arbeitskämpfe ... S. 429–488. 124.10

Wahlen ] Die Wahlen zum Deutschen Reichstag am 20. Februar und 1. März 1890. Siehe auch Erl. 108.9–11 und 108.19.

124.14–15

Zum Wachstum der Zahl beschäftigter Arbeiter bis 1890 siehe Wehler: Deutsche Gesellschaftsgeschichte. Bd. 3. S. 576; Ritter, Tenfelde: Arbeiter im Deutschen Kaiserreich. S. 62–65.

124.18

Conflikt mit den Berlinern ] Im Dezember 1889 hatten mehrere lokale Gewerkschaften in Berlin auf einer Reihe von Versammlungen Resolutionen verabschiedet mit der Forderung, den 1. Mai, einen Donnerstag, zu einem Feiertag zu machen und die Arbeit ruhen zu lassen. (Siehe Internationaler Feiertag am

955

124. August Bebel an Engels · 31. März 1890

1. Mai 1890. I. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 49, 7. Dezember 1889. Beibl. S 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 1; Internationaler Feiertag am 1. Mai 1890. II. Ebenda. Nr. 50, 14. Dezember 1889. S. 4, Sp. 1.) Auf den Versammlungen hatten oft gewerkschaftliche Vertrauensleute referiert, die gleichzeitig Mitglieder der geheimen „inneren Organisation“ der sozialdemokratischen Partei (siehe Erl. 240.29) waren. Anfang 1890 erhielt diese Initiative Unterstützung durch weitere gewerkschaftliche Organisationen aus verschiedenen Städten Deutschlands, u.a. Mannheim, Altona, Nürnberg, Halle, Dresden und Leipzig. Die Diskussionen zwischen Anhängern und Gegnern einer allgemeinen Arbeitseinstellung am 1. Mai 1890 fanden in mehreren Zeitungen statt, u.a. in der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ und im „Hamburger Echo“. Ende März veröffentlichte eine Gruppe von Vertrauensleuten, die ebenfalls der geheimen „inneren Organisation“ der Sozialdemokraten Berlins angehörten, unter ihnen Max Schippel, Max Baginski und Theodor Glocke, einen Aufruf: Was soll am 1. Mai geschehen? In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 12, 22. März 1890. S. 4, Sp. 1/2. Sie riefen dazu auf, „in allen Industriestädten, in denen starke Organisationen bestehen“, den 1. Mai zu einem Feiertag zu machen. In „allen anderen Orten“ sollten in einer den lokalen Verhältnissen angepaßten Form Versammlungen durchgeführt werden. Zu den Gegnern einer solchen Aktion zählte vor allem die Reichstagsfraktion. Sie forderte nach ihrer Sitzung am 13. April 1890 (siehe Erl. 110.33–34) in einem Aufruf vom selben Tag die Arbeiter dazu auf, legale Formen des Kampfes anzuwenden und eine Verschärfung von Konflikten mit der Staatsanwaltschaft zu vermeiden. Engels unterstützte die Parteileitung in dieser Frage (Engels an Friedrich Adolph Sorge, 19. April 1890 (Br. 153.72–84) und an Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.39–52)). Bebel maß dieser Initiative der Opposition jedoch keine große Bedeutung zu (Bebel an Engels, 9. April 1890 (Br. 140.30–34)). Die Spannungen innerhalb der Partei blieben bestehen, so daß sich im Vorfeld des Parteitages im Oktober 1890 eine neue oppositionelle Richtung formierte, in der sich Teile der bisherigen Opposition und ebenso neue Gegner eines Führungsanspruches der Reichstagsfraktion sammelten. Zentrale Kritikpunkte waren zum einen das von ihnen als autoritär empfundene Auftreten der Parteiführung, zum anderen erschien ihnen das Vorgehen dieser Führung zu moderat. Ähnliche oppositionelle Strömungen entstanden in dieser Zeit auch in anderen europäischen Arbeiterparteien. Zur Entwicklung der Auseinandersetzung zwischen der heterogenen Opposition und

956

124. August Bebel an Engels · 31. März 1890

der Parteiführung siehe Erl. 240.29. Siehe auch Eduard Bernstein an Engels, 30. August 1890 (Br. 259.39–52 und Erl.); Auer [u. a.]: An die Arbeiter ... 15. April 1890; Bernstein: Die Geschichte der Berliner Arbeiter-Bewegung. Bd. 2. S. 304–314; Geschichte der revolutionären Berliner ... Bd. 1. S. 322–332; Boll: Arbeitskämpfe ... S. 464–467; Müller: Idealismus und Revolution. S. 24–31; Schröder: Klassenkämpfe und Gewerk˙ ngel’s i marksistskoe schaftseinheit. S. 103–109; Vasin: F. E jadro SDPG. S. 40–56. 124.21–23

[Franz Mehring:] Der erste Mai. In: Volks-Zeitung. Berlin. Nr. 76, 30. März 1890. S. 1, Sp. 1–3. Dieser Artikel war ein Kommentar zum Aufruf „Was soll am 1. Mai geschehen?“ Siehe Erl. 124.18.

124.24–25

Die Fraktion

124.26–27

Sicher bis fällt ] Die Vorlage zur Verlängerung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) wurde am 25. Januar 1890 im Reichstag abgelehnt. Das Gesetz galt noch bis zum 30. September.

124.27–28

man bis machen ] Zu den sozialpolitischen Erlassen Wilhelms II. siehe Erl. 103.13 und 115.5.

124.38

Freisinnigen ] Siehe Erl. 107.35–36.

bis

faßen. ] Siehe Erl. 110.33–34.

957

125 Ausschuß des Österreichischen Studentenvereins an Friedrich Engels in London Wien, April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. M 43/L VIII 96. Fotosign. 14791. Die Einladung besteht aus einem Bogen mittelstarkem, gelblichem Papier im Format 284 × 222 mm. Der Text ist gedruckt (hier in Kapitälchen), der Name von unbekannter Hand mit schwarzer Tinte eingefügt. Die erste Seite ist vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Von Engels Hand: auf der vierten Seite Vermerk mit schwarzer Tinte: „Wien April 90 Oesterr. Studenten Verein Einladung zum Gründungsfest“. ˙ ˙˙ Archivsignatur: „II 21 F 8“. Die Einladung wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 125.1

958

Der Österreichische Studentenverein wurde im April 1889 als Verein fortschrittlicher Studenten gegründet, wurde jedoch schnell sowohl in den Grundsätzen wie in der Leitung sozialdemokratisch. Der Verein, dem auch slawische Studenten in größerer Zahl angehörten, wurde Anfang 1890 von der Polizei aufgelöst, weil ihm Verbindungen zum Communistischen Arbeiterbildungsverein in London (siehe Erl. 154.3–4), dem Circolo radicale in Rom (siehe Erl. 114.21–23) und besonders zu sozialdemokratischen Persönlichkeiten in Wien vorgeworfen wurden. Der Verein hatte sich am 22. August 1889 an Engels gewandt (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5456) mit der Bitte um dessen Schriften für die Bibliothek des Vereins. Engels hatte dem Verein ein Exemplar seiner Arbeit „Herrn Eugen Dühring’s Umwälzung der Wissenschaft“ (MEGA➁ I/27) geschickt. (Siehe seine Notiz ebenda und Engels an Laura Lafargue, 27. August 1889 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5832); Studenten und Sozialdemokratie. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 26. Juli 1890. Beibl. S. 4, Sp. 2/3; Brügel: Geschichte ... Bd. 4. S. 86; Zoitl: „Student kommt von Studieren“. S. 48/49.)

126 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Dienstag, 1. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 686/K 323. Fotosign. 2423a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 218 × 135 mm. Wasserzeichen: Teil eines Ornaments (Französische Lilie). Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu einem Drittel, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Kautsky beantwortete Engels’ Brief am 3. April 1890 (Br. 131). Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 252/253. ERLÄUTERUNGEN 126.3

Ф[ридрих] Энгельсъ: Иностранная политика русскаго царства. In: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 176–184. Siehe auch den Briefwechsel zwischen Engels und Sergej Kravcˇinskij, 23. Dezember 1889 (Br. 62), und 3. Januar 1890 (Br. 74) sowie Vera Zasulicˇ an Engels, 30. Januar 1890 (Br. 99 und Erl.) – In dieser Nummer erschien auch der Artikel von Friedrich Engels: Die Abdankung der Bourgeoisie (MEGA➁ I/31. S. 174–178).

126.4

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154. – Zu Abfassung und Druck siehe auch MEGA➁ I/31. S. 961–968.

126.4–8

Da finde bis zu stark. ] Siehe Engels an Heinrich Dietz, 1. April 1890 (Br. 127) und Heinrich Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138).

126.7

sozialistengesetzlich ] Siehe Erl. 9.64.

126.12

Siehe Br. 127.

959

127 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Dienstag, 1. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 387/K 182. Fotosign. 3272a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 177 mm. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu einem Drittel, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Dietz antwortete am 7. April 1890 (Br. 138). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung МЭС ➀ 28 (1940). S. 193/ 194; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 373. ERLÄUTERUNGEN 127.3–4

der Redaktion Einwilligung ] Gemeint ist die Redaktion der „Neuen Zeit“.

127.4–5

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154. Siehe Engels an Karl Kautsky, 1. April 1890 (Br. 126.3–8 und Erl.).

127.5–6

sozialistengesetzlich ] Siehe Erl. 9.64.

127.8–12

Das Manuskript gelangte Anfang März über Karl Kautsky an den Verlag, Kautsky war bis Ende März in London.

960

128 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Dienstag, 1. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5574/L VIII 214. Fotosign. 2218a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 285 × 222 mm. Schmidt hat die vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Schmidt beantwortet Engels’ Brief vom 9. Dezember 1889 (Br. 51). Engels antwortete am 12. April 1890 (Br. 145). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 128.5–8

Sie schrieben

128.10

wie ich Ihnen schrieb ] Siehe Schmidt an Engels, 26. Februar 1890 (Br. 108.14–16).

128.12

des Archivs ] „Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik“.

128.12

Braun ] Heinrich Braun.

128.23

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Zur Arbeit von Engels am dritten Band siehe Erl. 8.16.

128.30

meine Eltern ] Heinrich und Katharina Schmidt.

128.33–34

Engels: Was nun? 8. März 1890. (MEGA➁ I/31. S. 213–216). Otto von Bismarck wurde am 20. März 1890 entlassen. Siehe Erl. 110.47–48.

128.35

Monarchen ] Wilhelm II.

128.37

tertius gaudens ] Der lachende Dritte (lat.).

bis

könnte ] Siehe Br. 51.21–24.

961

129 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, vor Donnerstag, 3. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6471/L VIII 133. Fotosign. 2683a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, blaukariertem Papier im Format 270 × 212 mm. Zasulicˇ hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu drei Vierteln, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben links ein Zeichen mit Tinte Z2 und rechts Numerierung: „(9“ mit Kopierstift. Die Datierung ergibt sich aus der Antwort von Engels vom 3. April. 1890 (Br. 130). Zasulicˇ beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 30. Januar 1890 und etwa Ende März 1890 (Zasulicˇ an Engels, 30. Januar 1890 (Br. 98) und Z. 4). Datierung der Erstveröffentlichung: März 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма В. Засулич к Ф. Энгельсу (1925). S. 225/226; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

KORREKTURENVERZEICHNIS 129.12 129.30

transport est ] H transport et choque´s ] H chque´s

ERLÄUTERUNGEN 129.4–5

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai (MEGA➁ I/31. S. 193–209 und 961–970). Siehe Erl. 62.6.

129.5–7

Ф[ридрих] Энгельсъ: Иностранная политика русскаго царства. II. III. In: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Августъ. Кн. 2. Женева 1890. S. 42–61.

129.8

Sergej Kravcˇinskij übergab Engels die Nummer, siehe Br. 130.7–8.

129.15–16

Engels stimmte dem Vorschlag von Zasulicˇ zu, siehe Br. 130.3–6 und 10–14.

962

129. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Engels · 3. April 1890

129.21

народничество ] Narodnicˇestvo – Ideologie und Bewegung der Narodniki (Volkstümler) in der zweiten Hälfte des 19. Jh. in Rußland. Ihren Ansichten lag eine Theorie der nichtkapitalistischen Entwicklung des Landes durch Erhaltung und schrittweise Umgestaltung der bäuerlichen Dorfgemeinde (Obsˇcˇina) zugrunde. Die Bewegung entstand nach der Bauernbefreiung von 1861 (siehe Erl. 67.21–22); sie wandte sich gegen die zarische Autokratie ebenso wie gegen Erscheinungsformen des zeitgenössischen westeuropäischen Kapitalismus und strebte einen auf den Strukturen der Umteilungsgemeinde aufbauenden bäuerlichen Sozialismus an. Ausgehend von der Hegemonie der Massen über die Elite gehörten eine ständige Volksvertretung bei örtlicher Selbstverwaltung, die Gewährung demokratischer Freiheiten, die Übergabe allen Bodens in die Verwaltung der Obsˇcˇina mit Bewirtschaftung durch die Bauern und eine Übergabe der Fabriken in Arbeiterselbstverwaltung zu den wichtigsten Zielen der Narodniki. Im Narodnicˇestvo gab es von Anfang an eine radikale und eine gemäßigte Strömung. Während für die 1860–1870er Jahre die radikale Tendenz prägend war, dominierte in den 1880–1890er Jahren die gemäßigte Richtung, die auch das geistige Leben Rußlands Ende des 19. Jh. stark beeinflußte. Zasulicˇ und G. V. Plechanov, beide ursprünglich aus unterschiedlichen Lagern der Volkstümler, gehörten in dieser Zeit zu jenen russischen Revolutionären, die sich marxistischen Ideen anschlossen. – Siehe Br. 130.15–32.

129.22

Lev Aleksandrovicˇ Tichomirov, revolutionärer Volkstümler, gehörte den Leitungsgremien und Redaktionen der Presseorgane der Gruppen „Zemlja i volja“ (Land und Freiheitswille) und „Narodnaja volja“ (Volksfreiheitswille) an. Er war mehr als vier Jahre in der Peter-Pauls-Festung inhaftiert und 1882 aus Rußland emigriert. 1888 sagte er sich von seinen revolutionären Überzeugungen los. Er erbat von der Zarenregierung seine Begnadigung, kehrte 1889 nach Rußland zurück und wurde Monarchist.

963

130 Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ in Mornex London, Donnerstag, 3. April 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4882. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 176 mm. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln. Auf der dritten Seite befinden sich mehrere Tintenflecke, ein dadurch entstandener Textverlust (Z. 37) konnte rekonstruiert werden. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der ersten bzw. vierten Seite oben befindet sich der Stempel „Дом Плеханова“ mit Archivangaben und -signatur: „[...] N0 4217[колич.] листов 2 лист N0 1 [S. 1 bzw.] 2 [S. 4] N0 хран. Б.137.11“. Engels beantwortet die Briefe von Zasulicˇ, geschrieben am 30. Januar und vor dem 3. April 1890 (Br. 98 und 129). Zasulicˇ antwortete auf Engels’ Brief nach dem 5. April 1890 (Br. 137). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Дейч: Письма Фр. Энельса к Вере Ивановне Засулич (1924). S. 142/143; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. VARIANTENVERZEICHNIS 130.23

: et :

130.47

xxx

130.50

xxxxxx

> une > me paraıˆt KORREKTURENVERZEICHNIS

130.60

agents ] H agens ERLÄUTERUNGEN

130.3–6

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai (MEGA➁ I/31. S. 193–209). Siehe Erl. 62.6 und Br. 129.4–7.

130.7–8

Stepniak

130.8–9

В[ера] Засуличъ: Революціонеры изъ буржазной среды. In: Соціаль-Демократь. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890 S. 49–78.

964

bis

remercie; ] Siehe Br. 129.8.

130. Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ · 3. April 1890

Г[еоргий] Плехановъ: Наши Беллетристы-народники. Статья вторая (С. Каронинъ). Ebenda. S. 12–48; derselbe: Н. Г. Чернышевский. Ebenda. S. 79–174. Siehe auch Engels an Zasulicˇ, 17. April 1890 (Br. 150.79–80 und Erl.). 130.10–14

Vous avez

bis

130.15–16

Je suis

russe. ] Siehe Br. 129.17–23 und Erl.

130.19

Die erste Teilung Polens wurde am 5. August 1772 mit der St. Petersburger Konvention von Rußland, Brandenburg-Preußen und Österreich beschlossen; die zweite und die dritte Teilung erfolgten 1793 und 1795.

130.33–34

Eine solche redaktionelle Notiz erschien nicht. Siehe Br. 137.4–5.

130.35

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. April, Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–248).

130.36

du Tsar ] Aleksandr III.

130.37

le livre de Kennan ] George Kennan: Siberia and the exile system. Vol. 1.2. New York 1891. Siehe Erl. 111.41–44.

130.38

Ende 1887 kam es zu großen Studentenunruhen in Moskau, Char’kov, Odessa, Kazan und Sankt Petersburg auf Grund der Beschränkungen der Autonomie der Universitäten durch die 1884 eingeführten Statuten. Sie wurden durch Polizei und Gendarmen unterdrückt. Zahlreiche Studenten wurden verhaftet, ausgeschlossen und ausgewiesen; die besonders aktiven wurˇ . 2. S. 287– den zum Militärdienst einberufen (Istorija Rossii. C 289).

130.45–46

de Tsare´grad ] Caregrad-a – alter russischer Name für Istanbul. Siehe auch Zasulicˇ an Engels, zwischen 17. und 26. April 1890 (Br. 151.41).

130.49–51

Unter der Leitung von Sergej Kravcˇinskij erschien ab Juni 1890 in London die Zeitschrift „Free Russia“ als Organ der „Russian Freedom Friends’ Society“.

130.61

les constitutionnels ] Engels meint wahrscheinlich die Anhänger einer liberalen Verfassungsreform, u. a. die Zemstvo-Bewegung (Sekirinskij, Sˇelochaev: Liberalizm v Rossii. S. 106–123).

bis

le temps. ] Siehe Br. 129.13–16.

965

131 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Donnerstag, 3. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2639/L V 131. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 126 × 292 mm und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 120 × 107 mm. Wasserzeichen: „Sphinx“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „J. H. W. Dietz. Verlagsbuchhandlung. Stuttgart. Furthbachstr. 12.“ und oben rechts „Stuttgart, den 18“. Kautsky hat beide Seiten des ersten Blattes vollständig beschrieben, die erste des zweiten Blattes zu zwei Dritteln, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Beilage (Z. 29) ist nicht überliefert. Kautsky beantwortet Engels’ Brief vom 1. April 1890 (Br. 126). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 252/253.

ERLÄUTERUNGEN 131.3

Am 30. März 1890 verließ Kautsky London, um über Stuttgart nach Wien zu fahren. Siehe auch Erl. 19.80.

131.3–4

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In. Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

131.10

die Stichwahlen ] Die Stichwahlen zum Deutschen Reichstag fanden am 1. März 1890 statt. Siehe Erl. 96.43.

131.14–17

Engels nahm den Vorschlag an. Siehe Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209). Die redaktionelle Notiz lautete: „In dem Abdruck von I. und II. im Aprilheft der ,Neuen Zeit‘ haben sich durch ein Mißverständniß mehrere Abweichungen vom Original eingeschlichen, die den Karakter des Artikels wesentlich beeinflussen. Unsere Leser werden uns sicher Dank wissen, wenn wir anstatt in einer Berichtigung die einzelnen Stellen aufzuführen, den ganzen Artikel in der ursprünglichen Form nochmals reproduziren. Er ist im vorliegenden Heft jetzt ganz enthalten. Die Redaktion der ,Neuen Zeit‘“. – Zu den ver-

966

131. Karl Kautsky an Engels · 3. April 1890

schiedenen Korrekturen siehe auch Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ I/31. S. 964–966. 131.38

Wahlen und Stichwahlen ] Siehe Erl. 96.43.

131.47

Schorlemeyer ] Carl Schorlemmer.

967

132 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Donnerstag, 3. April 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5000. Fotosign. 1388a–b bzw. 1389a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus zwei Bogen. Labriola hat alle acht Seiten vollständig beschrieben. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten „117“ bis „124“. Labriola beantwortet Engels’ Brief vom 30. März 1890 (Br. 122). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Антонио Лабриолы к Ф. Энгельсу (1924). S. 41/42; in der Sprache des Originals: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 358/359.

KORREKTURENVERZEICHNIS 132.44

Auditorium ] H Uditorium

ERLÄUTERUNGEN 132.4–6

der neuen bis „Neuen Zeit“ ] Friedrich Engels: Ludwig Feuerbach und der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie. Rev. Sonder-Abdruck aus der „Neuen Zeit“. Mit Anh.: Karl Marx über Feuerbach vom Jahre 1845. Stuttgart 1888. (Siehe Br. 122.9–10 und Erl.). In der „Neuen Zeit“ war der Text 1886 unter demselben Titel erschienen (Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 4. 1886. H. 4 und 5 (MEGA➁ I/30. S. 122–162, 590–592 und 780–788).) Zur Vorbemerkung von Engels siehe auch MEGA➁ I/31. S. 122/123 und 876. Siehe auch das Verzeichnis der Änderungen von Engels am Text von Marx über Feuerbach (MEGA➁ I/30. S. 794–796).

132.22–23

Labriola hatte seit 1874 einen Lehrstuhl an der Universität Rom inne (Nikititsch: Antonio Labriola. S. 39 und 178).

132.34–35

Labriola könnte die Antrittsvorlesung für das Studienjahr 1886/1887 gemeint haben, deren Text er für Engels übersetzte (ebenda. S. 179).

132.36–38

da ich Vorlesungen bis Publikum hielt ] Vorlesungsmanuskripte liegen nicht vor (ebenda. S. 69). Siehe Erl. 40.36.

968

132. Antonio Labriola an Engels · 3. April 1890

132.39–40

Während des Besuchs Wilhelm II. in Rom im Oktober 1888 trat Labriola öffentlich gegen die Triple-Allianz auf; das PresseEcho war gering, siehe jedoch: La diagrazia di Santa Marinella. In: Capitan Fracassa. Roma. Nr. 281, 9. Oktober 1888. S. 3, Sp. 2; Il caso del professor Labriola. Ebenda. Nr. 18 [vielm. Nr. 282] 10. Oktober 1888. S. 1, Sp. 1/2; Ciarle e scarabocci. Ebenda. Nr. 288, 16. Oktober 1888. S. 1, Sp. 1/2; Associazione Giovanni Prati. In: Il Messaggero. Roma. Nr. 283, 10. Oktober 1888. S. 3, Sp. 1; siehe auch Dal Pane: Labriola ... S. 213–215.

132.39–40

Kaiser ] Wilhelm II.

132.40–42

Am 9. Februar 1889 fand eine Studentendemonstration gegen Labriola statt; die Studenten warfen Labriola vor, Demonstrationen von Arbeitern gegen die Krise im Bauhandwerk unterstützt zu haben. Die Affäre hatte zahlreiche Pressekommentare zur Folge. (Siehe [Antonio Labriola:] Ich fürchte die Arbeiter nicht ... [Gez.:] x.y.o. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 24, 14. Juni 1890. S. 1, Sp. 1–3. Rubrik: Aus Italien; Antonio Labriola an Barzilai, 13. Februar 1889. In: Labriola: Carteggio. Vol. 2. S. 479–482; All’Universita`. In: La Tribuna. Roma. Nr. 41, 10. Februar 1889. S. 2, Sp. 3/4. Rubrik: Cronaca di Roma; A Roma e altrove. I fischi moderati. Ebenda. Nr. 43, 12. Februar 1889. S. 2, Sp. 5, bis S. 3, Sp. 2; L’adunanza degli studenti all’universita`. In: Il Messaggero. Roma. Nr. 44, 13. Februar 1889. S. 4, Sp. 2, und Nr. 45, 14. Februar 1889. S. 3, Sp. 3/4; Gli anarchici a Roma. In: Fanfulla. Roma. Nr. 39, 9./10. Februar 1889. S. 2, Sp. 4, bis S. 3, Sp. 2; All’Universita`. Ebenda. Nr. 40, 10./11. Februar 1889. S. 2, Sp. 4/5. Rubrik: Roma; Labrioleide. Ebenda. Nr. 41, 11./12.Februar 1889. S. 3, Sp. 3. Rubrik: Roma; Il prof. Labriola, il Fanfulla e gli studenti. In: Don Chisciotte della Mancia. Roma. Nr. 41, 11. Februar 1889. S. 3, Sp. 2/3. Rubrik: Esse Pi Qu Erre.)

132.46–48

Labriola schloß sich, ohne stark engagiert zu sein, der Demonstration zur Einweihung des Giordano Bruno-Denkmals in Rom am 9. Juni 1889 an (siehe Per Giordano Bruno. In: La Tribuna. Roma. Nr. 157, 9. Juni 1889. S. 1, Sp. 4/5; Adriano Colecci: Le origini del monumento (Riccordi personale). Ebenda. S. 1, Sp. 5, bis S. 2, Sp. 2; Inaugurazione del monumento a Giordano Bruno. Ebenda. Nr. 158, 10. Juni 1890. S. 1, bis S. 2, Sp. 1. Siehe Labriola: Il significato della commemorazione di Giordano Bruno. In: Derselbe: Scritti vari. Bari 1906. S. 327–333.

132.50

Es könnte sich um die beiden Schriften handeln, die Labriola Engels geschickt hatte: Antonio Labriola: Del socialismo. Conferenza. Roma 1889 (MEGA➁ IV/32. Nr. 708); derselbe: I pro-

969

132. Antonio Labriola an Engels · 3. April 1890

blemi della filosofia ... 1887, eventuell auch um die Vorlesung zur Französischen Revolution, Labriola: La presa della Bastiglia, 1889 (siehe Erl. 122.4 und 40.36). 132.54

970

ex tempore ] Aus dem Stegreif (lat.).

133 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 3. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5898/L VIII 543. Fotosign. 11179. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Hoboken N. J. Apr 3 1 PM 90“ und eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke. Engels beantwortete die Postkarte am 19. April 1890 (Br. 153). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 133.4–5

Zur Besetzung des Redakteurpostens der „New Yorker Volkszeitung“ siehe Sorge an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 87.16–27) und Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.29).

971

134 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Freitag, 4. April 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London–N. W. APS 90“, „C 90 New York Apr 14, Paid H All“, sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Sorge antwortete Engels am 14. April 1890 (Br. 147). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 332; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 196; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 376; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 134.1

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. April 1890. (MEGA➁ I/31. S. 217–231). – Engels schickte den Artikel auch an Gerson Trier, siehe Br. 136.

134.1–2

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154. Siehe Erl. 111.40–41.

134.2–3

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209). Siehe auch Engels an Karl Kautsky und an Heinrich Dietz vom 1. April 1890 (Br. 126 und 127) sowie Karl Kautsky an Engels, 3. April 1890 (Br. 131.3–21 und Erl.).

134.5

Wilhelmchen ] Wilhelm II.

134.7

Deine Frau ] Katharina Sorge.

972

135 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Freitag, 4. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3752/L V 539. Fotosign. 8404a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 265 × 209 mm. Martignetti hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Martignetti beantwortet Engels’ Brief vom 30. März 1890 (Br. 123). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 354/355.

ERLÄUTERUNGEN 135.2–5

Zum Prozeß gegen Martignetti siehe Erl. 22.2–7 sowie Engels an Antonio Labriola und Pasquale Martignetti vom 30. März 1890 (Br. 122 und 123). – Zum Artikel von Labriola „La terra ...“ siehe Br. 121.44–46 und Erl.

135.6–9

Engels hatte sich bei Antonio Labriola für dessen Unterstützung Martignettis bedankt. Siehe Martignetti an Engels, 26. März 1890 (Br. 121.17–18 und Erl.) sowie Engels an Labriola (Entwurf), 30. März 1890 (Br. 122 und 123.4–24).

135.10–11

Zum italienischen Abdruck in „Cuore e Critica“ siehe Br. 123.4–20 und S. 952. Eine Billigung der Veröffentlichung durch Engels ist nicht überliefert, auch keine nachträgliche.

135.14–17

Siehe Antonio Labriola an Engels, 3. April 1890 (Br. 132.36–42 und Erl.). Die Vorlesungen Labriolas wurden durch eine Entscheidung des akademischen Rats für die Zeit vom 13. Februar bis etwa 15. März 1890 suspendiert. Die offizielle Mitteilung der Suspendierung erfolgte brieflich mit Verweis auf ein Dekret vom 22. Oktober 1885. (Siehe Labriola: Carteggio. Vol. 2. S. 478– 479. Br. 100.)

135.17–21

Labriolas Versuch, Martignetti wieder zu seiner früheren Arbeit in der Gemeindeverwaltung zu verhelfen, war vergeblich; er konnte ihn jedoch in seiner Tätigkeit als Übersetzer unterstützen (Ragionieri: Socialdemocrazia tedesca e socialisti italiani ... S. 216–219).

973

136 Friedrich Engels an Gerson Trier in Kopenhagen London, zwischen Freitag, 4. und Montag, 14. April 1890

Die Originalhandschrift des Briefes ist nicht überliefert. Die Wiedergabe erfolgt nach der Erstveröffentlichung: Arbejderen. København. Nr. 55, 14. April 1890. S. 2, Sp. 3. Zur Datierung: Der Brief ist vermutlich nach dem Brief an Friedrich Adolph Sorge vom 4. April, der ähnliche Formulierungen enthält und eine Sendung der „Time“ vom April 1890 begleitete (siehe Br. 134 und Erl. 134.1), und vor dem 14. April 1890 geschrieben. Zur Beilage siehe Erl. 136.1. Erstveröffentlichung: in dänischer Übersetzung: Arbejderen. København. Nr. 55, 14. April 1890. S. 2, Sp. 3. ERLÄUTERUNGEN 136.1

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. April 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–231). Engels hatte diese Nummer der Time bereits am 4. April an Sorge geschickt, siehe Br. 134.1. Die dänische Übersetzung des Artikels erschien mit Unterbrechungen unter dem Titel „Det russiske sardømmes udenlandske politik“ in: Arbejderen. København. Nr. 55 bis 72, 14. April bis 11. August 1890.

136.1

Dem ] Der Adressat war höchstwahrscheinlich der Redakteur der Zeitung „Arbejderen“ Gerson Trier. Trier war die einzige Person in Kopenhagen, mit der Engels zu dieser Zeit korrespondierte.

136.1–2

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. III. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 231–248).

136.3

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

136.3–4

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209).

974

137 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, nach Samstag, 5. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6469/L VIII 129. Fotosign. 2684a–h. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, blaukariertem Papier im Format 427 × 270 mm. Zasulicˇ hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben links quer zum Text mit Bleistift Numerierung „(7“, und ein Bleistiftstiftvermerk „IV. 1890“. Zur Datierung: Zasulicˇ beantwortet Engels’ Brief vom 3. April 1890 (Br. 130). Der Brief muß nach Erscheinen der angeführten Ausgabe des „Sozialdemokrat“, London, Nr. 14, 5. April 1890 (Z. 8), geschrieben worden sein (siehe Erl. 137.8–9). Engels antwortete Zasulicˇ am 17. April 1890 (Br. 150). Datierung der Erstveröffentlichung: April 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма В. Засулич к Ф. Энгельсу (1925). S. 226–231; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

KORREKTURENVERZEICHNIS 137.133

serait ] H serai

ERLÄUTERUNGEN 137.3

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai (MEGA➁ I/31. S. 193–209). Siehe Erl. 62.6 sowie Br. 130.3–6 und Erl.

137.4–5

ne croyons

137.8–9

G[rigorij] Beck: Erwiderung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 14, 5. April 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Becks Artikel war eine Kritik des Artikels von Zkw: Aus der russischen Bewegung. (Korrespondenz.) In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 12, 22. März 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. In der Korrespondenz unterstützte der Verfasser, wahrscheinlich Clara Zetkin, die Ansicht Georgij Plechanovs in seinem Vorwort zur Broschüre: Речь П. А. Алексѣева. Женева 1889 (Рабочная

bis

parlez. ] Siehe Br. 130.33–34.

975

137. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Engels · nach 5. April 1890

библиотека. Вып. 3). In diesem Vorwort betonte Plechanov die wichtige Rolle der politischen Propaganda unter den Arbeitern und warnte diese vor „falschen Freunden“ unter den liberalen Intellektuellen. (Siehe Hohberg: Probleme der Entwicklung ... S. 234. Anm. 23; Br. 150.41). Zasulicˇ wies die Kritik Becks zurück (siehe Erl. 150.11–12), ebenso auch Plechanov in einer abschließenden Stellungnahme (G[eorgij], Plechanov: Noch einmal die Grundsätze und Taktik der russischen Sozialisten. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 19, 10. Mai 1890. S. 2, Sp. 2/3). Siehe auch Zasulicˇ an Engels, zwischen Donnerstag, 17., und Samstag, 26. April 1890 (Br. 151). 137.24–25

Die Mitglieder der „Narodnaja volja“ Nikolaj Zˇelvakov und Stepan Chalturin verübten am 18. März 1882 ein Attentat auf den Militärstaatsanwalt Vasilij Strel’nikov. Die „Narodnaja volja“ hatte ihn wegen seines brutalen Vorgehens gegen ihre Mitglieder zum Tode verurteilt.

137.26

Tzar ] Aleksandr III.

137.38–43

И. А.: По основнымъ нашимъ убѣжденіямъ ... In: Самоуправленіе. Органъ социалистовъ-революционеровъ. [o. O.] Nr. 1, декабрь 1887. S. 3/4.

137.48–49

Am 5. Juli 1788 wurden die Generalstände (E´tats ge´ne´raux) für den 1. Mai 1789 einberufen. Sie berieten über die Vertretung der drei Stände in der gemeinsamen Ständeversammlung. (Vovelle: La chute de la monarchie ... S. 107–109 und 265.)

137.49

Zur Bewilligung einer Staatsanleihe wurden in Preußen durch ein königliches Patent vom 3. Februar 1847 die acht Provinziallandtage zu einem Vereinigten Landtag zum 11. April einberufen. (Lexikon der deutschen Geschichte S. 1290.)

137.49–50

Am 12. März 1848 erließ Kaiser Ferdinand I. ein Handschreiben über die Einberufung eines ständigen Ausschusses. Die März-Revolution begann in Wien am 13. März. (Häusler: Von der Massenarmut zur Arbeiterbewegung. S. 135; Rumpler: Eine Chance für Mitteleuropa. S. 276–279.)

137.57–58

Очерки соціальнаго движенія. In: Свободная Россія. [Женева.] Nr. 2, апрель 1889. S. 14–17.

137.60

Zum Vereinigten Landtag in Preußen von 1847 siehe Erl. 137.49.

137.93

народничество ] Siehe Erl. 129.21.

137.107–108 Zkw: Aus der russischen Bewegung. Siehe Erl. 137.8–9.

976

138 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Montag, 7. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1136/L III 42. Fotosign. 7615a–b Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 229 × 294 mm. Wasserzeichen: „Welt-Post“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck der Verlagsbuchhandlung von J. H. W. Dietz (siehe S. 966). Dietz hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: blaue Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite unten links eine mit schwarzer Tinte geschriebene Notiz, die Inhaltswiedergabe einer nicht überlieferten Antwort von Engels an Dietz vom 10. April 1890 (siehe Br. 143). Dietz beantwortet die Briefe von Engels an Karl Kautsky und an ihn vom 1. April 1890 (Br. 126 und 127) sowie einen nicht überlieferten Brief von Engels an Dietz, geschrieben zwischen dem 3. und 7. April 1890 (138.5). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 138.3–5

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209). Siehe auch Karl Kautsky an Engels, 3. April 1890 (Br. 131.3–21).

138.5

Siehe Br.132 .8–12. Wilhelm Blos’ Stellung bei der „Neuen Zeit“ war seit 1886 darauf beschränkt „die Revision nur in Bezug auf unser Straf- und Sozialistengesetz“ zu lesen. Das Verhältnis zwischen Kautsky und Blos war seit Gründung der „Neuen Zeit“ gespannt. (Graf: J. H. W. Dietz 1843–1922. S. 118– 122 und 160; Schaaf: Der Verlag der deutschen Sozialdemokratie ... S. 621–624.)

138.8

Zu den Stichwahlen siehe Erl. 131.10. Dietz war seit 1882 Reichstagsabgeordneter im Wahlkreis Hamburg II.

138.12–14

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In. Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

138.17–18

Ihr sackgrober Brief ] Siehe Br. 127.

977

138. Heinrich Dietz an Engels · 7. April 1890

138.20

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

138.25–34

Friedrich Engels: Der Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats. Im Anschluss an Lewis H. Morgan’s Forschungen. Hottingen-Zürich 1884 (MEGA➁ I/29. S. 7–114). Die Arbeit war 1886 in 2. Auflage im Dietz-Verlag erschienen, die 3. Auflage 1889. Beide bestanden aus einem Restposten der 1. Auflage, den Dietz erworben hatte; der neue Verleger hatte nur das Titelblatt geändert (MEGA➁ I/29. S. 615/616). Für die 4. Auflage revidierte Engels den Text im Juni 1891 und schrieb ein neues Vorwort („II. Zur vierten Auflage 1891.“). Die 4. Auflage erschien Ende 1891 als Band 11 der Internationalen Bibliothek mit der Angabe 1892 auf dem Titelblatt: Friedrich Engels: Der Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats. Im Anschluß an Lewis H. Morgan’s Forschungen. 4. Aufl. Stuttgart 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125–271). Siehe auch MEGA➁ I/29. S. 609–616 sowie 713–730; Herrmann: Engels’ Schrift „Der Ursprung der Familie ....“ S. 70 und 80/81.

138.28–30

Engels stimmte einer Neuveröffentlichung des „Ursprung der Familie ...“ zu. Siehe Engels an Karl Kautsky, 11. April 1890 (Br. 144.10–12 und Erl.).

138.41–42

August Bebel hatte Engels am 31. März 1890 geschrieben, daß er und seine Frau Julie für zehn bis zwölf Tage nach Zürich reisen wollten (Br. 124.3). Sie verließen Zürich am 10. April, so Bebel an Engels, 9. April (Br. 140.5).

138.42

seine Tochter ] Frieda Bebel.

978

139 Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels in London Den Haag, Montag, 7. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5114/L VII 172. Fotosign. 3253a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 210 × 135 mm. Domela Nieuwenhuis hat die erste und vierte Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortete den Brief am 9. April 1890 (Br. 141). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка К. Маркса и Ф. Энгельса с Домела-Нивенгейсом (1934). S. 57/58; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 139.7

meinen Sohn ] Ferdinand Jacobus Domela Nieuwenhuis.

139.18

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15).

139.21–22

Zusammen mit der Verfassungsänderung von 1887 wurde das Wahlrecht für Männer im Alter von über 23 Jahren in den Niederlanden erweitert, indem das Zensuswahlrecht abgeschafft wurde. Insgesamt erhielten danach knapp 14% der Bevölkerung das Wahlrecht. (Grote Winkler Prins. Encyclopedie in twintig delen. S. 62/63; Lademacher: Geschichte der Niederlande. S. 224–228 und 297–299.) – In Deutschland galt das allgemeine Wahlrecht nur für die Wahlen zum Reichstag, nicht für die Wahlen in den Bundesstaaten.

979

140 August Bebel an Friedrich Engels in London Zürich, Mittwoch, 9. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 249/L I 102. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 279 × 220 mm. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 62–67) steht am linken Rand der vierten Seite quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung: auf der ersten Seite oben links: „77“ (gestempelt). Bebel beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 31. März (siehe Bebel an Engels, 31. März 1890 (Br. 124)) und 9. April 1890 (Z. 3). Engels antwortete am 9. Mai 1890 (Br. 168). Erstveröffentlichung: Bebel Bw (1965). S. 386–389. ERLÄUTERUNGEN 140.3–4

Bebel und seine Frau hatten sich etwa 10 Tage in Zürich aufgehalten, siehe Br. 124.3 sowie Heinrich Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138.41–42 und Erl.).

140.5–12

Der Geisteszustand von Wilhelm II. gab offensichtlich auch in der Umgebung der Regierung zu Befürchtungen Anlaß, er würde möglicherweise an erblich bedingter Porphyrie leiden (Röhl: Wilhelm II. S. 1169–1182).

140.5

Wilhelm’s ] Wilhelm II. ˙˙ ˙ ˙˙ ˙ So lange bis Zeit ] Zu den sozialpolitischen Erlassen Wilhelms II. siehe Erl. 103.13.

140.13 140.24–25

Am 30. September 1890 endete das Sozialistengesetz (siehe Erl. 9.64). Siehe Erl. 124.26–27.

140.30–34

Zur Beratung der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion am 13. April 1890, die neben den Aktionen zum 1. Mai auch die Neuorganisation der Partei behandelte, siehe Erl. 110.33–34; zum Streit mit den Berlinern um die Gestaltung des 1. Mai siehe Erl. 124.18.

140.37

Wilhelm Blos hatte an den ersten beiden Abschnitten des Artikels von Engels „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums“ in etwa einem Dutzend Fällen eigenmächtig sinnverändernde Eingriffe vorgenommen (siehe MEGA➁ I/31. S. 964/ 965). Zu Engels’ Reaktion siehe seine Briefe an Karl Kautksy

980

140. August Bebel an Engels · 9. April 1890

und Heinrich Dietz von Anfang April (Br. 126.3–8, Br. 127.3–5 sowie Br. 138.5 und Erl.). 140.38

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In. Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

140.44–49

„Die Neue Zeit“ erschien ab Oktober 1890 wöchentlich, Kautsky übersiedelte daraufhin nach Stuttgart (Graf: J. H. W. Dietz 1843–1922. S. 198/199). Siehe Karl Kautsky an Engels, 9. April 1890 (Br. 142.17–45).

140.50

Frau ] Julie Bebel.

140.50

Tochter ] Friederike Bebel.

140.50–52

Friederike Bebel hatte sich Ostern 1890 verlobt (siehe Erl. 110.70–71).

140.53–54

Vom 7. bis 17. November 1887 fand in Breslau ein Geheimbundprozeß gegen Sozialdemokraten statt. Ferdinand Simon war am Rande darin verwickelt. (Siehe Herrmann: Ferdinand Simon (1862–1912). S. 227/228 und 235.)

140.60–62

Die Familie Simon ließ sich in Zürich nieder (siehe ebenda. S. 254).

981

141 Friedrich Engels an Ferdinand Domela Nieuwenhuis in Den Haag London, Mittwoch, 9. April 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4884. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 112 × 176 mm. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Das Blatt wurde gelocht, der dadurch entstandene Textverlust (Z. 26) konnte rekonstruiert werden. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der zweiten Seite: „243/2“. Engels beantwortet den Brief von Domela Nieuwenhuis vom 7. April 1890 (Br. 139). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка К. Маркса и Ф. Энгельса с Ф. Домела-Нивенгейсом (1934). S. 58; in der Sprache des Originals: MEW 37(1967). S. 377/378. ERLÄUTERUNGEN 141.3

Ihren Sohn ] Ferdinand Jacobus Domela Nieuwenhuis.

141.5

mein Bruder ] Emil Engels.

141.15

Engels meint vermutlich den Streik der Londoner Hafenarbeiter (siehe Erl. 10.9–18).

141.24

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe Br. 139.18–20.

982

142 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Mittwoch, 9. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2640/L V 132. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt festem, weißem Papier im Format 225 × 175 bzw. 113 × 175 mm. Kautsky hat die ersten fünf Seiten vollständig, die sechste zur Hälfte beschrieben. Die erste Seite des Blatts hat er mit „2“ paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf dem Briefumschlag befinden sich zwei Poststempel „Wieden in Wien 9 4 6 A 7 90“ (auf der Vorderseite) und „[L]ondon N. W. MC AP 11 90“ (auf der Rückseite) sowie zwei Briefmarken. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten „1“ bis „6“. Engels antwortete am 11. April 1890 (Br. 144). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 253–256; die Adresse wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 142.11

Karl Kautsky und Luise Ronsperger heirateten am 23. April 1890 (Koth: „Meine Zeit wird wieder kommen ...“. S. 60).

142.14

das dummdreiste Vorgehn von Blos ] Siehe Erl. 140.37.

142.15

den russischen Artikel ] Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In. Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

142.15–16

Dietz’ Vorschlag bis gefunden hat ] Siehe Karl Kautsky an Engels, 3. April 1890 (Br. 131.14–17 und Erl.) sowie Heinrich Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138.3–5 und Erl.).

142.26

Sozialistengesetz ] Siehe Erl. 9.64.

142.41

Stukkert ] Stuttgart.

142.66–68

Kautsky war am 30. März nach Wien gefahren. Siehe Erl. 131.3.

983

143 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Donnerstag, 10. April 1890 (Inhalt)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1136/L III 42. Fotosign. 7615a–b. Die Inhaltswiedergabe eines nicht überlieferten Briefes von Engels an Dietz vom 10. April 1890 befindet sich auf der letzten Seite des Briefes von Dietz an Engels vom 7. April 1890 (Br. 138). Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 977. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Dietz antwortete am 22. April 1890 (Br. 155). Die Passage wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 143.1

Zum weiteren Inhalt der Antwort von Engels siehe seinen Brief an Karl Kautsky, 11. April 1890 (Br. 144.10–12).

143.1–2

Zur Anzahl der Exemplare und der Höhe des Honorars siehe Heinrich Dietz an Engels, 22. April 1890 (Br. 155.3–6).

984

144 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Wien London, Freitag, 11. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 687/K 324. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 177 mm. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „168“ bzw. „169“. Engels beantwortet die Briefe Kautskys vom 3. und 9. April 1890 (Br. 131 und 142). Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 254/255. ERLÄUTERUNGEN 144.3–4

Vor allem

144.8

Deinen Brief ] Siehe Br. 131.

144.8

Stuckart ] Stuttgart.

144.8–9

einen von Dietz ] Siehe Heinrich Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138).

144.9

Der Brief von Engels an Heinrich Dietz vom 10. April 1890 ist nicht überliefert, zum Inhalt siehe die Notiz dazu (Br. 143).

144.10–12

Zur Neuauflage von „Der Ursprung der Familie ...“, die 1892 erschien, siehe Br. 138.25–34 und Erl. sowie Br. 143.

144.13

Kautsky zog im August nach Stuttgart, siehe Br. 142.17–45 und Karl Kautsky an Engels, 8. September 1890 (Br. 267.4–5).

144.15

Im Londoner Stadtteil Kentish Town befand sich die Redaktion der Zeitung „Der Sozialdemokrat“.

bis

Verlobung ] Siehe Br. 142.4–12.

985

145 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Pankow bei Berlin London, Samstag, 12. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1465/K 557. Fotosign.1818–1821. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 226 × 179 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet die Briefe Schmidts vom 26. Februar 1890 (Br. 108) und 1. April 1890 (Br. 128). Erstveröffentlichung: Engels: Briefe an Conrad Schmidt (1920). S. 794/795. VARIANTENVERZEICHNIS 145.7

Ede $& K ñ

145.47

fühlen > zeigen

145.68

So $schickte ñ KORREKTURENVERZEICHNIS

145.3

26/2 ] H 25/2 ERLÄUTERUNGEN

145.4

Schmidt hatte angeboten, bei der Arbeit an Marx’ Manuskripten mitzuwirken. Siehe Br. 128.22–32.

145.7–9

Siehe Engels an Karl Kautsky, 28. Januar 1889 (IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. K 680).

145.9–10

Vorrede bis Buch ] Engels beschrieb im Vorwort zu Karl Marx: Das Kapital. Zweiter Band. Hamburg 1885. S. III–V (MEGA➁ II/13. S. 5–6) das Manuskript von Marx: Zur Kritik der politischen Ökonomie (Manuskript 1861–1863). Teil 2–4 (MEGA➁ II/3.2 bis 3.4), in dem Materialien zum vierten Buch des „Kapitals“ enthalten sind. Engels hatte dazu ein Inhaltsverzeichnis angefertigt (Friedrich Engels: Inhaltsverzeichnis zu Marx’ Manuskript 1861–1863. In: MEGA➁ II/14. S. 345/346 und 1022–1030). Siehe auch Karl Kautsky an Engels, 25. November 1890 (Br. 360.14–42 und Erl.).

986

145. Engels an Conrad Schmidt · 12. April 1890

145.13

Zu Kautskys Plänen siehe seinen Brief an Engels, 9. April 1890 (Br. 142.17–59).

145.15

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

145.32

Zum Wahlsieg der Sozialdemokraten siehe Erl. 107.3–4.

145.42

Königgrätz & Sedan ] Siege der preußischen über die österreichischen Truppen 1866 bei Königgrätz bzw. der deutschen Truppen über die französischen 1870 bei Sedan.

145.51–52

Zu den sozialpolitischen Erlassen Wilhelms II. siehe Erl. 103.13.

145.57–58

Die Robert von Puttkamer zugeschriebene Aussage konnte nicht ermittelt werden. Jedoch findet sich in einem Artikel im „Sozialdemokrat“ ein Hinweis ohne Quellenangabe auf die „erzieherische Wirkung des Sozialistengesetzes“: Man schreibt uns ... In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 34, 19. August 1887. S. 2, Sp. 3. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau.

145.60–62

Achille Loria: [Rezension zu:] Die Durchschnittsprofitrate auf der Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Von Dr. Conrad Schmidt. Stuttgart 1889. In: Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik. Jena. N. F. Bd. 20. 1890. S. 272–274. Auf seinem Handexemplar dieser Rezension machte Engels einige Notizen (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 798; Friedrich Engels: Notizen in Loria: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marxschen Wertgesetzes. In: MEGA➁ II/14. S. 229 und 830). Später kommentierte Engels eingehend Lorias Erklärung der Durchschnittsprofitrate im Vorwort zum dritten Buch des „Kapitals“. (Engels: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15. S. 20.12–21.16)).

145.63

Zur Korrespondenz zwischen Loria und Marx zwischen November 1879 und April 1881 siehe Marx, Engels: La corrispondenza con italiani. Br. 181–183 und 186–189.

145.65–66

Damals bis Bauerngrundeigenthum ] Achille Loria: La rendita fondiaria e la sua elisione naturale. Milano, Napoli, Pisa 1880 (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 803).

145.68

ein Büchlein ] Achille Loria: La teoria economica della costituzione politica. Roma, Torino, Firenze 1886 (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 805). Engels polemisierte 1895 in seinem Manuskript „Wertgesetz und Profitrate. Erster Nachtrag zu Buch 3 des ,Kapitals‘“ gegen dieses Buch (MEGA➁ II/14. S. 326/327).

145.70–71

einen Artikel ] Achille Loria: Karl Marx. In: Nuova antologia di scienze, lettere ed arti. Roma. Ser. 2. Vol. 38, fasc. 7. 1. April 1883. S. 509–542 (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 801).

987

145. Engels an Conrad Schmidt · 12. April 1890

145.71–76

1) bis seien! ] Ebenda. S. 510 und 520. Beide Stellen hatte Engels in seinem Handexemplar (siehe MEGA➁ IV/32. Nr. 801) unterstrichen und in seinen Notizen hervorgehoben (Friedrich Engels: Zu Lorias „Sophismus“-Vorwurf in: Karl Marx (MEGA➁ II/14. S. 166.6–15). – Engels hatte die Notizen in seinem Nachruf auf Marx 1883 benutzt, der am 3. und 17. Mai im „Sozialdemokrat“ erschienen war, und ebenso später, 1894, im Vorwort zum dritten Band des „Kapitals“ (Friedrich Engels: Zum Tode von Karl Marx. I. II. In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 19, 3. Mai 1883. S. 1, Sp. 1/2; Nr. 21, 17. Mai 1883. S. 1, Sp. 1–3 (MEGA➁ I/25, S. 415–422, hier S. 421/422); derselbe: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15. S. 19)).

145.73–74

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15. S. 19).

145.76–77

Zu den „Zurückweisungen & Grobheiten“ siehe Engels an Achille Loria, 20. Mai 1883 (Kopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4333) sowie Friedrich Engels: Zum Tode von Karl Marx (MEGA➁ I/25. S. 420–422). Zur weiteren Polemik zwischen Engels und Loria siehe MEGA➁ II/14. S. 483 und 710–712.

988

146 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 12. April 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 211 × 177 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: doppelte Randanstreichungen mit Tinte (Z. 36–40 und 47–59). Engels antwortet auf Sorges Brief vom 3. und 6. März 1890 (Br. 109). Die Antwort von Sorge erfolgte am 30. April 1890 (Br. 159). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 332–334; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 198–201; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 380–382. KORREKTURENVERZEICHNIS 146.45

geringsten ] H gerigsten VARIANTENVERZEICHNIS

146.35

über $die ñ

146.47

hat > bekommt. ERLÄUTERUNGEN

146.4

die Sache mit Miquels Briefen hat große Haken ] Siehe Br. 109.33 und Erl.

146.4

„Wilhelm“ ] Wilhelm Liebknecht.

146.10–11

Johannes Miquel war um 1850 Mitglied des Bundes der Kommunisten.

146.12–13

Engels könnte sein Interview gemeint haben, das in der „New Yorker Volkszeitung“. Nr. 226, 20. September 1888. S. 1, Sp. 1/2, veröffentlicht worden war (MEGA2 I/31. S. 387/388).

146.20–21

Der junge Wilhelm ] Wilhelm II.

146.25

Arbeiterfreundlichkeitsgelüste ] Siehe Erl. 103.13.

146.28

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

989

146. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 12. April 1890

146.41

am 20 Febr. ] Am 20. Februar 1890 fanden die Wahlen zum Deutschen Reichstag statt. Siehe Erl. 107.3–4.

146.45–46

beim geringsten Widerstand bis schießen lassen ] Die Times“ berichtete, unter Berufung auf die „Freisinnige Zeitung“, über den Empfang einer Delegation streikender Bergarbeiter an der Ruhr am 14. Mai durch Wilhelm II., daß der Kaiser gewarnt habe, bei dem geringsten Widerstand „he would have all of them who did so shot down ,lasse Er Alles über den Haufen schießen‘).“ (The Westphalian strike. In: The Times. London. Nr. 32 699, 15. Mai 1889. S. 5, Sp. 1.) Auch der „Sozialdemokrat“ berichtete am 25. Mai 1889 darüber (Des Kaisers Bescheid. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 21, 25. Mai 1889. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 1). Er fügte, ähnlich wie die „Times“, hinzu: „Die Worte sind nicht genau [...] der Sinn ist’s aber“ (ebenda). Engels verwendete diese Worte Wilhelms II. in seinen Artikeln: The German miners’ strike. In: The Labour Leader. [o. O.] New ser. Vol. 1. Nr. 5, Juni 1889. S. 78, Sp. 1/2. Rubrik: Mining Notes (MEGA➁ I/31. S. 169/170, hier S. 169.27–29); Was nun? 8. März 1890 (MEGA➁ I/31. S. 213–216, hier S. 215.36–37). Siehe auch Erl. 9.41.

146.47–50

Wir haben

146.69

Die oben am Rand angestrichnen Stellen ] Siehe Zeugenbeschreibung.

146.77–78

Mitte März 1890 berief Wilhelm II. eine Konferenz der Kommandeure aller Armeekorps ein; nach Bebels Einschätzung stand dies im Zusammenhang mit den Demonstrationen zum 1. Mai. Engels schloß sich der Meinung Bebels an. (Siehe [August Bebel:] Der Fall Bismarcks zittert noch ... [Korrespondenz] Berlin 25. März. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 13, 28. März 1890. S. 4, Sp. 1/2. Rubrik. Ausland, Deutschland; siehe Schröder: Klassenkämpfe und Gewerkschaftseinheit. S. 109–111, 113; Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 324/325.) Die Lage wurde anscheinend von der Berliner Polizeibehörde als weniger zugespitzt angesehen (Hemmersam, Thing: 1. maj 1890. S. 81).

146.83–84

[August Bebel:] Deutschland ohne Bismarck. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 14, 4. April 1890. S. 2, Sp. 1, bis S. 4, Sp. 1.

146.85–86

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. April 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–231). Engels hatte den Artikel am 4. April an Sorge gesandt (siehe Br. 134.1).

146.90

Deine Frau ] Katharina Sorge.

990

bis

enorm gewesen ] Siehe Erl. 111.19–21.

147 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 14. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5899/L VIII 544. Fotosign. 11180. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben und die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Hoboken N. J. Apr 14 6 pm 90“ und eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke, die abgestempelt ist. Sorge beantwortet Engels’ Brief vom 4. April 1890 (Br. 134). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 147.2

Eine Warnung vor dem von Wilhelm Blos veränderten Artikel konnte in der „New Yorker Volkszeitung“ nicht ermittelt werden.

147.4

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154.

147.4–5

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209).

991

148 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London vor Mittwoch, 16. April 1890 (Anfang fehlt)

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 2/3. Der überlieferte Teil des Briefes besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 175 × 220 mm. Wasserzeichen: „[...]mps [...]nis Paris“. Laura Lafargue hat die beiden Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Anfang des Briefes ist nicht überliefert. Engels antwortete am 16. April 1890 (Br. 149). Die Datierung ergibt sich aus dieser Antwort von Engels. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 148.15

Primrose Hill ] Bezeichnung für ein Stadtviertel in London nördlich von Regent’s Park, wo Engels wohnte.

148.19

turned sixty-nine ] Am 28. November 1889 war Engels 69 Jahre alt geworden.

992

149 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 16. April 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5839. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt festem, weißem Papier im Format 224 × 172 bzw. 114 × 172 mm. Engels hat vier Seiten vollständig beschrieben, die fünfte zur Hälfte, die sechste ist leer. Die fünfte Seite hat Engels paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „46“. Engels beantwortet den teilweise überlieferten Brief von Laura Lafargue, geschrieben vor dem 16. April 1890 (Br. 148). Die Beilage (Z. 16) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Новые письма Фридриха Энгельса (1956). S. 18–20; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 388–391.

VARIANTENVERZEICHNIS 149.12

edition > publisher’s

149.40

but : against :

149.44 149.58

due to Paris > belonging to Paris ˙ ˙˙˙ the > an

149.63

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149.89

discharged––$h ñ

ERLÄUTERUNGEN 149.7

your poem ] Siehe Br. 148.

149.13

Code Napole´on ] Unter Napole´on Ier entstandene Sammlung von fünf Gesetzbüchern: Code civil (1804), Code de proce´dure civile (1806), Code de commerce (1807), Code d’instruction criminelle (1808) und Code pe´nal (1810).

149.19–20

Zur Diskussion zwischen Engels und Paul Lafargue siehe Lafargues Brief vom 25. März 1890 (Br. 120.41–47) sowie Erl. 1.49 und 19.55–58.

149.23

young William ] Wilhelm II.

993

149. Engels an Laura Lafargue · 16. April 1890

149.31

fellows at the Citoyen & Cri ] Die beiden Pariser Tageszeitungen „Le Citoyen“ und „Le Cri du Peuple“ waren zeitweise mit Redakteuren unterschiedlicher sozialistischer Richtungen besetzt.

149.38

Der konservative Präsident Marschall Patrice MacMahon hatte im Mai 1877 versucht, eine konservative Regierung ohne Rückhalt in der Deputiertenkammer einzusetzen und die dagegen opponierende Kammer aufgelöst. Aus den Wahlen im Oktober 1877 gingen jedoch die Republikaner als Sieger hervor, und MacMahon mußte ein republikanisches Ministerium berufen. Nachdem die Republikaner auch im Senat eine Mehrheit errungen hatten, nahm er im Januar 1879 seinen Abschied. (Majeur: La vie politique ... S. 58–69.)

149.40

Czar ] Aleksandr III.

149.71–74

In Paris und anderen Städten kam es am 1. Mai zu zahlreichen und mitunter stürmischen Demonstrationen. Sie wurden in Paris vom Parti ouvrier, dem Comite´ re´volutionnaire central und den Vertretern dieser Parteien im Parlament (siehe Erl. 28.3–4) und im Pariser Gemeinderat (siehe Erl. 29.70–74) organisiert. („Manifestation ouvrie`re des deux mondes“ (IISG, GuesdeNachlaß, Sign. Nr. 189/6); Parti ouvrier. Le Conseil national aux fe´de´rations, groupes & membres du parti. Avril 1890 (ebenda. Sign. Nr. 189/4); siehe auch Paul Lafargue an Engels, 1. Mai 1890 (Br. 160).) Die Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France nahm an der Demonstration nicht teil. (Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 114.)

149.74

Der Internationale Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle (siehe Erl. 1.6) faßte in seiner letzten Sitzung den Beschluß, am 1. Mai 1890 in allen Ländern eine Kundgebung zu organisieren, auf der „die Arbeiter an die öffentlichen Gewalten (Behörden) die Forderung richten, den Arbeitstag auf acht Stunden festzusetzen“, wobei die Arbeiter der verschiedenen Nationen diese Kundgebung jeweils entsprechend den Verhältnissen ihres Landes „ins Werk ... setzen“ sollten. (Protokoll Paris 1889. S. 123.) Der Kongreß berief sich auf einen Beschluß der American Federation of Labor (siehe Erl. 87.13). (Siehe auch S. 1178.) Zur gleichen Zeit hatte in Paris ein von der possibilistischen Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France einberufener Arbeiterkongreß getagt. Beide Kongresse beanspruchten, alleiniger Vertreter der internationalen Arbeiterbewegung zu sein. Auch hier waren Arbeiterschutz und Achtstundentag zentrale Themen, nicht jedoch eine Kundgebung zum 1. Mai. (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 81/82 und 85–88.)

994

Manifestation ouvrie`re des deux mondes Flugblatt 1890

Aufruf des Conseil national des Parti ouvrier im April 1890 zu Demonstrationen am 1. Mai. Erste Seite des Aufrufs

149. Engels an Laura Lafargue · 16. April 1890

149.76–77

The two congresses ] Siehe Erl. 1.6.

149.78

Laura Lafargue hatte Engels am 18. Februar 1890 einen ihrer neuerworbenen Hunde angeboten. Siehe Br. 104.19–25.

149.86–88

Zur Maidemonstration 1890 in Deutschland siehe August Bebel an Engels, 31. März 1890 (Br. 124.5–17 und Erl.) sowie Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. April 1890 (Br. 146.75–78 und Erl.).

149.90

Reuter ] Reuters Nachrichtenagentur.

149.94–100

Zu den Plänen zur Schaffung einer Zeitung für die Agitation vor den Gemeindewahlen im Frühjahr und für den 1. Mai 1890 siehe Erl. 35.18–25 und 56.4. Zum Plan von Jules Guesde zur Schaffung einer Pressekorrespondenz siehe Erl. 84.75–76.

997

150 Friedrich Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ in Mornex London, Donnerstag, 17. April 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer maschinenschriftlichen Abschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4890. Engels beantwortet den Brief von Zasulicˇ, geschrieben nach dem 5. April 1890 (Br. 133). Zasulicˇ antwortete in einem zwischen dem 17. und 26. April 1890 (Br. 151) geschriebenen Brief. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 204–206; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. KORREKTURENVERZEICHNIS 150.3

citoyenne ] H citoyen ERLÄUTERUNGEN

150.4

G[rigorij] Beck: Erwiderung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 14, 5. April 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Siehe Zasulicˇ an Engels, nach dem 5. April 1890 (Br. 137.8–9 und Erl.).

150.9

Zkw: Aus der russischen Bewegung. (Korrespondenz.) In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 12, 22. März 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Siehe Br. 137.8–9 und Erl.

150.11–12, 46–47

Die Antwort von Zasulicˇ erschien in der Zeitung unter Pseudonym: Ossipowitsch: Ueber die Propaganda unter den russischen Arbeitern. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 17, 26. April 1890. S. 2, Sp. 1–3.

150.20–21

des possibilistes ] Siehe Erl. 1.7.

150.19–23

Prenez les luttes bis des «re´volutionnaires» ] Siehe den Briefwechsel zwischen Gerson Trier und Engels im Dezember 1889 (Br. 50, 57 und Erl.).

150.24–25

Il n’y a pas

150.36–37

j’ai ignore´

150.42

[Георгий] Плехановъ: Предисловіе. In: Рѣчь П. А. Алексѣева. Женева 1889. Siehe Erl. 137.8–9.

150.79–80

G[eorgij] Plechanow: N. G. Tschernischewsky. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 8. S. 353–376; H. 9. S. 404–442.

998

bis

bis

e´gard; ] Siehe Br. 137.8–11 und 125–131.

nommez. ] Siehe Br. 137.35–45.

151 Vera Ivanovna Zasulicˇ an Friedrich Engels in London Mornex, zwischen Donnerstag, 17. und Samstag, 26. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6470/L VIII 132. Fotosign. 2685a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, blaukariertem Papier im Format 270 × 212 mm. Zasulicˇ hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte mit vier Zeilen. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Zasulicˇ beantwortet Engels’ Brief vom 17. April 1890 (Br. 150) und stellt fest, daß die Gruppe „Osvobozˇdenie truda“ nicht auf den Beitrag von Grigorij Beck antworten wolle (Z. 31–32). Eine solche Antwort erfolgte jedoch in dem am 26. April erschienenen Artikel von Ossipowitsch (d. i. Zasulicˇ) „Ueber die Propaganda unter den russischen Arbeitern“. Der Brief muß also vor dem Erscheinen dieses Artikels geschrieben worden sein und kann somit auf den Zeitraum zwischen 17. und 26. April 1890 datiert werden. Datierung der Erstveröffentlichung: Ende April 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма В. Засулич к Ф. Энгельсу (1925). S. 231/232; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 151.4

Vous nous

151.5–6

G[rigorij] Beck: Erwiderung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 14, 5. April 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Siehe den Briefwechsel zwischen Zasulicˇ und Engels vom April 1890 (Br. 137 und 150.4).

151.9–10

«s’il

151.32–33

Zasulicˇ und Geogij Plechanov schrieben Erwiderungen, siehe Erl. 137.8–9; siehe auch Sergej Kravcˇinskij an Engels, 6. Mai 1890 (Br. 165.15–17).

151.34–35

notre groupe ] „Osvobozˇdenie truda“ (Befreiung der Arbeit) die erste russische marxistische Gruppe, gegründet in Genf im September 1883 zur Verbreitung der Marxschen Theorie in der russischen revolutionären Bewegung. Sie unterstützte Kontakte zu den Teilnehmern der europäischen Arbeiterbewegung und auch zu Engels. Die Gruppe existierte bis 1903; Mitglieder waren u. a. Zasulicˇ und Plechanov.

bis

bis

Beck. ] Siehe Br. 150.11–12, 46–47 und Erl.

occidental» ] Siehe Br. 150.68–69.

999

151. Vera Ivanovna Zasulicˇ an Engels · zwischen 17. und 26. April 1890

151.41

Siehe Engels an Zasulicˇ, 3. April 1890 (Br. 130.42–52 und Erl.).

151.43

Ф[ридрих] Энгельсъ: Иностранная политика русскаго царства. I. In: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 176–184. Siehe Sergej Kravcˇinskij an Engels, 23. Dezember 1889 (Br. 62), Engels’ Antwort vom 3. Januar 1890 (Br. 74) sowie Zasulicˇ an Engels, 30. Januar 1890 (Br. 98).

1000

152 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Karlsbad, Freitag, 18. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4980/L VII 77. Fotosign. 8830a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, blauem Papier im Format 304 × 201 mm. Wasserzeichen: „T. Delarue & Co“. Meyer hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den roten Aufdruck: „Rolandrie P. O. Whitewood Assiniboia. Canada“, der wahrscheinlich von Meyer eingeklammert worden war. Meyer beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 18. April 1890 (Z. 5). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 152.6

meine Frau ] Mathilde Meyer.

152.6–7

den Jungen ] Otto Meyer.

152.21–23

Engels schickte Meyer zwei Fotografien. Siehe Meyer an Engels, 29. Juni 1890 (Br. 208.4).

152.24

Meyer zeigte in seinen Briefen an Engels ein großes Interesse an der Herausgabe der von Marx zum „Kapital“ hinterlassenen Manuskripte. (Engels’ Redaktion des dritten Buches des „Kapitals“ 1883 bis 1894. In: MEGA➁ II/14. S. 479.) Er hatte ein Widmungsexemplar des zweiten Bandes des „Kapitals“ bei einem Besuch in London von Engels persönlich erhalten. (Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ II/13. S. 558.) Ebenso erhielt er 1894 ein Widmungsexemplar des dritten Bandes des „Kapitals“, über das er sich sehr erfreut zeigte. (Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ II/15. S. 933 und 935.) – Zur Arbeit von Engels am „Kapital“ siehe Erl. 8.17.

152.24

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209). Siehe auch Rudolf Meyer an Engels, 29. Juni und 15. November 1890

1001

152. Rudolf Meyer an Engels · 18. April 1890

(Br. 208.13–40 und 351.33–37) sowie 3. Januar 1891 (lISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4983). 152.39

Es könnte sich um das in Engels’ Bibliothek vorhandene Buch von Rudolf Meyer: Der Capitalismus fin de sie`cle. Wien, Leipzig 1894 mit Widmung des Verfassers handeln, dessen erstes Kapitel die europäische Wirtschaftsentwicklung bis zur Frühen Neuzeit behandelte (MEGA➁ IV/32. Nr. 889). Siehe auch Meyers Brief an Engels vom 15. November 1890 (Br. 351.62–63).

152.41

babylonischen Gefangenschaft der Paepste in Avignon ] Der Aufenthalt der Päpste in Avignon von 1308 bis 1377, der erzwungen wurde, um sie den Interessen der französischen Königsmacht unterzuordnen, wurde in Anlehnung an die israelische Geschichte die „babylonische Gefangenschaft“ genannt.

1002

153 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 19. April 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 219 × 177 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortet auf Sorges Brief vom 3. April 1890 (Br. 133). Die Antwort von Sorge erfolgte am 30. April 1890 (Br. 159). Erstveröffentlichung: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 335–337. VARIANTENVERZEICHNIS 153.10

Vorzug > Einfluß ERLÄUTERUNGEN

153.3

Sorge hatte gefragt, ob Engels die Zeitschrift bekomme (siehe Br. 133.2–3).

153.4

Fabians ] Siehe Erl. 97.4–5. Zur Einschätzung der Fabian Society durch Engels siehe seine Bemerkungen Sorge gegenüber vom 8. Februar 1890 (Br. 101.101–107).

153.4–5

Dismal Swamp ] Sumpflandschaft im Staat Virginia in den USA.

153.14–17

Zur Auseinandersetzung um den „Labour Elector“ siehe Br. 101.59–90 sowie Erl. 101.59–63 und 101.66–69.

153.17

Burns ] John Burns.

153.20

der Pfaff Morris ] William A. Morris.

153.21–22

Zu den Aktivitäten von Eleanor Marx-Aveling unter den Gasarbeitern siehe Erl. 10.9–10 sowie Engels’ Brief an Sorge vom 7. Dezember 1889 (Br. 48.22–23 und Erl.).

153.23–24

Die Dockers bis nicht verderben. ] Während des Hafenarbeiterstreiks im August/September 1889 erhielten die Streikenden moralische und materielle Unterstützung durch weite Kreise der Londoner Bevölkerung, nicht nur von Arbeitern. (Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 167.) In seinem am 5. Oktober 1889 in Nr. 40 des „Sozialdemokrat“ (S. 1, Sp. 1–3) erschienenen Artikel „Die Abdankung der Bour-

1003

153. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 19. April 1890

geoisie“ wies Engels darauf hin, daß die streikenden Arbeiter indirekt auch im Interesse der Bourgeoisie den Kampf aufgenommen hätten, und schrieb: „Das ist das Geheimniß der Sympathie des Publikums mit dem Streik, und der bisher unerhört freigebigen Geldbeiträge aus bürgerlichen Kreisen.“ (MEGA➁ I/31. S. 176.32–34.) Siehe auch Erl. 80.19–20 153.24–26

Benjamin Tillett hatte für den Posten des Sekretärs der National Union of Gasworkers and General Labourers kandidiert, die Wahl jedoch verloren (Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 54). – Er war ursprünglich die treibende Kraft einer kleinen HafenarbeiterGewerkschaft, der Tea Operatives and General Labourers Association, die sich während des großen Hafenarbeiterstreiks (siehe Erl. 10.9–18) in Dock, Wharf and General Labourers Union umbenannte. In den folgenden Jahren entwickelte sich die neue Gewerkschaft zu einer der umfassendsten Massengewerkschaften der britischen Gewerkschaftsbewegung.

153.35–36

Michael Davitt war eine der zentralen Führungspersönlichkeiten in der irischen Bauernbewegung, der sich in Anlehnung an Henry George für eine Landreform einsetzte. Er versuchte soziale Forderungen und nationale Befreiungsbestrebungen zu vereinen. Dadurch geriet er in Konflikt mit der seit Ende der 1880er Jahre entstehenden Gewerkschaftsbewegung. (Siehe Lane: The origins of modern Irish socialism ... S. 78–80 und 84/85; Be´darida [u. a]: Die sozialistischen Parteien Europas ... S. 71; Labour’s turning point ... S. 30; siehe auch Erl. 159.37.)

153.38–39

Zum Konflikt bei der South Metropolitan Gas Co. siehe Erl. 63.38–39.

153.41–44

Siehe Erl. 48.22–23. Zum Streik in Silvertown und der Rolle von Eleanor Marx-Aveling siehe Erl. 28.37–38. Sie war von 1890 bis 1895 Mitglied des Vorstands (Executive Council) der National Union of Gasworkers and General Labourers, nicht des London Trades Council. (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 335; siehe auch Erl. 10.9–10.)

153.55–56

Soc. League ] Aus der „Social Democratic Federation“ (siehe Erl. 10.19) ausgetretene Mitglieder gründeten am 30. Dezember 1884 die „Socialist League“. Zu ihnen gehörten William Morris, Eleanor Marx-Aveling, Edward Aveling und Ernest Belfort Bax. In der Organisation, die zeitweise Engels nahestand, gewannen jedoch in den folgenden Jahren anarchistische Auffassungen die Oberhand, so daß sich führende Mitglieder, u. a. Morris, von ihr abwandten. (Siehe Be´darida [u. a.]: Die soziali-

1004

153. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 19. April 1890

stischen Parteien Europas ... S. 25–28; Labour’s turning point ... S. 46–50; Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 77/78, 80–86, 113–115 und 129/130; Thompson: William Morris. S. 512–579.) 153.58

die Föderation ] Zur Social Democratic Federation siehe Erl. 10.19.

153.72–73

In Deutschland bis entgegenzutreten. ] Zur Auseinandersetzung der Reichstagsfraktion mit dem Aufruf zu allgemeiner Arbeitsruhe siehe Erl. 124.18.

153.76

dem jungen Wilhelm ] Wilhelm II.

153.78

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

153.80–82

Auer [u. a.]: An die Arbeiter ... 15. April 1890.

153.83

den 20. Febr. ] Zum Wahlerfolg der Sozialdemokraten am 20. Februar 1890 siehe Erl. 107.3–4.

153.88–90

Zur Kritik von Engels am Parti ouvrier, der es versäumt habe, gegen den Chauvinismus zu kämpfen, siehe Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.27–66).

153.96

Deine Frau ] Katharina Sorge.

153.96

Schlüters ] Hermann und Anna Schlüter.

1005

154 August Heinemann an Friedrich Engels in London London, Montag, 21. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2319/L IV 305. Fotosign. 8349a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 180 mm. Heinemann hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die zweite und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der zweiten Seite den Stempel „Communistischer Arbeiterbildungsverein Communist Working Men’s Club 49, Tottenham St. W.“ (kopfstehend). Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite der mit schwarzer Tinte geschriebene Vermerk „April 90 Comm. Verein Aufforderung zu Reden“. Die Beilage (Z. 3) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 154.3–4

1006

Der Deutsche Bildungsverein für Arbeiter in London war 1840 auf Initiative von Karl Schapper gegründet worden. Er wechselte in der Folgezeit mehrfach die Bezeichnung und trug seit 1871 den Namen „Communistischer Arbeiter-Bildungs-Verein“ (CABV). Anfang der 1840er Jahre unterstützte er das internationale Zusammenwirken von demokratischen und Arbeiterorganisationen. Seine Mitglieder nahmen an den revolutionären Ereignissen auf dem Kontinent teil. Marx und Engels waren in den Jahren 1847 bis 1848/1849 in ihm aktiv. Als die Mehrheit des Vereins bei der Spaltung des Bundes der Kommunisten im September 1850 die Gruppe um Willich und Schapper unterstützte (siehe Erl. 57.70–71), traten Marx und Engels mit anderen aus; sie wurden wieder Mitglieder, als sich der CABV im Januar 1865 der I. Internationale anschloß. Der Verein teilte sich um 1880 in eine Mehrheit, die der politischen Linie des späteren Anarchisten Johann Most folgte, und in eine sozialdemokratische Minderheit. Diese organisierte im März 1880 einen Verein gleichen Namens neu, der sich der sozialdemokratischen Bewegung anschloß. Während des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) wurde er ein Zentrum für die Aktivitäten der deutschen Sozialdemokratie. Der CABV war der älteste deutsche Arbeiterverein im Ausland. Er stellte 1914/1918 zwangs-

154. August Heinemann an Engels · 21. April 1890

weise seine Tätigkeit ein. (Statuten des „Communistischen Arbeiter-Bildungs-Vereins“ ... S. 5 und 7/8; Grandjonc: Communisme ... S. 205; Lattek: Revolutionary refugees. S. 22–47 und 223–230.) 154.8–9

In der überlieferten Korrespondenz des CABV ist kein Hinweis auf die Teilnahme von Engels an der Mai-Feier enthalten. Ein Protokoll konnte nicht ermittelt werden. Zur Überlieferung des CABV-Archivs siehe Kuczynski: Archivmitteilung „CABV“ ... S. 100–104.

1007

155 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 22. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1137/L III 43. Fotosign. 7617a–b Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 229 × 294 mm. Wasserzeichen: „Sphinx“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck der Verlagsbuchhandlung von J. H. W. Dietz (siehe S. 966.) Dietz hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite: zwei mit Tinte geschriebene Notizen: „22 April 90 – Dietz Honorar“ und Inhaltswiedergabe seines nicht überlieferten Briefes an Dietz vom 22. Juli 1891 über die Änderung der Honorarauszahlung. Siehe Engels an Victor Adler, 22. Juli 1891 (VGA, Adler-Archiv, Sign. M113/T1) und Dietz an Engels, 24. Juli 1891 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1143) sowie MEGA➁ I/29 S. 720–723. Dietz beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 10. April 1890 (Br. 143). Die Antwort von Engels vom 22. Mai 1890 (siehe Br. 179.3) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 155.3

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125– 271). Siehe Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138.25–34 und Erl.).

155.4–5

Engels hatte Dietz um einen Vorschlag für die Höhe des Honorars gebeten (siehe Br. 143). Er beauftragte Dietz im folgenden Jahr, die Hälfte des Honorars an die österreichische Partei auszuzahlen (Engels an Victor Adler, 22. Juli 1891).

155.7–8

Dietz hatte Engels am 7. April gefragt, ob er Änderungen und Zusätze wünsche und eine neue Vorrede schreiben wolle; es würde genügen, wenn sie bis Juli oder August einträfen (siehe Br. 138.28–30). Wie Engels am 5. August 1890 an Dietz schrieb, erhob Richard Fischer Einwände gegen eine sofortige Neuauflage des „Ursprungs“ (siehe Br. 236.3–4).

155.9–10

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154. Siehe auch Engels an Karl Kautsky und Dietz, 1. April 1890 (Br. 126 und 127).

1008

156 Isidor Ehrenfreund an Friedrich Engels in London Wien, Dienstag, 22. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1332/L III 194. Fotosign. 7645a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Ehrenfreund hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu drei Vierteln, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Ehrenfreund antwortet auf den teilweise überlieferten Brief von Engels vom 19. April 1890 (siehe S. 944). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 156.3–5

Ehrenfreund hatte in seinem Brief an Engels geschrieben, daß der Antisemitismus eine positive Rolle spielen könne; Engels hatte diese Einschätzung kritisiert. Siehe Br. 118.42–54 und Erl. 156.19–20.

156.11–12

Karl Georg von Schönerer war ursprünglich als fortschrittlicher Liberaler Mitglied des österreichischen Abgeordnetenhauses. Als sich ab 1879 die deutsch-freiheitliche Richtung mehr und mehr differenzierte und zunehmend antisemitische, antikatholische („Los von Rom“) und antisozialistische Züge entwickelte, trennten sich spätere Sozialdemokraten von ihr. Die unmittelbare politische Zielsetzung der Anhänger Schönerers war die Abtrennung von den Teilen Österreichs, die überwiegend von einer nicht-deutschsprachigen Bevölkerung bewohnt waren (Galizien, Bukowina, Bosnien-Herzegowina, Dalmatien), um die verbliebenen geschlossenen deutschen Siedlungsgebiete Cisleithaniens (einschließlich der nicht-deutschsprachigen Krain, des Trentino, ganz Mährens und Böhmens und weiterer Provinzen) mit dem Deutschen Reich zu vereinigen. Teile der Bewegung lösten sich vollständig vom Christentum und propagierten einen Glauben an die Götterwelt der nordischen Völker. (Rumpler: Eine Chance für Mitteleuropa. S. 489–491 und 502–504; Whiteside: The socialism of fools. S. 107–140; Höbelt: Kornblume und Kaiseradler. S. 27 und 39–52.)

156.19–20

Friedrich Engels über den Antisemitismus. Aus einem Privatbriefe nach Wien. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 19, 9. Mai

1009

156. Isidor Ehrenfreund an Engels · 22. April 1890

1890. S. 2, Sp. 2, bis S. 3, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 249–251, hier S. 249.3–4). 156.20

bezweifeln ] Bei Engels: Ihnen zu bedenken geben

156.35

In den nordgermanischen Sprachen heißt Weihnachten „Jul“. Da die nordgermanischen Völker bei den Anhängern Schönerers und entsprechenden politischen Gruppierungen als besonders rein-germanisch galten, übernahmen diese solche Worte wie „Jul“, um ihre politische Gesinnung zu demonstrieren.

156.36–37

So bis Farce! ] Möglicherweise eine Anspielung von Ehrenfreund auf Marx’ Schrift „Der 18. Brumaire des Louis Bonaparte“ (siehe MEGA➁ I/11. S. 96.6–8). Sie war 1885 in 3. Auflage erschienen.

156.38

„Donnerer“ ] In der germanischen Mythologie der Donnergott Thor.

1010

157 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 27. April 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/19. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 270 × 210 mm. Wasserzeichen: „BFK [Rives]“. Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. KORREKTURENVERZEICHNIS 157.13 157.14

prouvent ] H prouve Les ] H Le ERLÄUTERUNGEN

157.3–18

Zur Situation am 1. Mai in Paris siehe Paul Lafargue an Engels, 1. Mai 1890 (Br. 160). Lafargue erweiterte später die im Brief gegebene Einschätzung (siehe Paul Lafargue: Paris 1890. In: Festschrift zur Maifeier. Wien 1895. S. 3).

157.35–37

Entsprechende Artikel konnten nicht ermittelt werden.

157.38–43

Maurice La Chaˆtre war der Inhaber des Verlages, der die Erstausgabe des „Kapitals“ in Frankreich publizierte (Marx: Le Capital. Paris [1872–1875]. MEGA➁ II/7). Sein Vertrag mit Marx war 1872 unterschrieben worden (ebenda. S. 724), er ist nicht überliefert. Henry Oriol hatte Anfang der 1880er Jahre den Verlag übernommen und u. a. 1885 einen Nachdruck der Erstauflage herausgegeben. Eine Neuauflage des Bandes kam vor 1895 nicht zustande. (Ebenda. S. 731; Uroyeva: For all time and all men. S. 152–154 und 158–160; Uroeva: Kniga, zˇivusˇcˇaja v vekach. S. 188–195.)

157.44–46

Laura bis ecrit. ] Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 22. Dezember 1889 (Br. 61.38–39 und Erl.).

157.47–48

Lafargue hat die Mitteilung offensichtlich mißverstanden. Karl Kautsky und Luise Ronsperger heirateten am 23. April 1890. Siehe Erl. 142.11.

157.48–49

la fille de Bebel ] Frieda Bebel.

157.49

un fiance´ ] Ferdinand Simon. Siehe August Bebel an Engels, 9. April 1890 (Br. 140.50–52).

1011

158 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 30. April 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 222 × 172 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 105–106) ist quer am linken Rand der vierten Seite geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Entsprechend dem Hinweis von Engels (Z. 64–66) ließ Sorge einen Teil des Briefes in der „New Yorker Volkszeitung“ sowie im „Workmen’s Advocate“ veröffentlichen (siehe Erl. 158.64–66). Sorge beantwortete den Brief am 15. Mai 1890 (Br. 172). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 338–340; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 210–213; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 396–398. VARIANTENVERZEICHNIS 158.56

Andern > Herren ERLÄUTERUNGEN

158.5–6

Tussy bis Union ] Siehe Engels an Sorge, 19. April 1890 (Br. 153.41–44 und Erl.) sowie Erl. 10.9–10.

158.6

Gasworkers & General Laborers Union ] Die National Union of Gas Workers and General Labourers of Great Britain and Ireland war am 31. März 1889 gegründet und am 7. Juni unter diesem Namen registriert worden. (Hyman: Massenorganisation und Basismilitanz in Großbritannien ... S. 313; Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... Vol. 1. S. 83.)

158.7–11

Die National Union of Gas Workers (siehe Erl. 158.6) hatte bereits bei ihrer Gründung die Herabsetzung der Arbeitszeit von zwölf auf acht Stunden als erstes Ziel proklamiert. Im Sommer 1889 war der Achtstundentag unter dem Druck der Gewerkschaft in den großen Gaswerken Londons eingeführt, nach dem verlorenen Streik in den South Metropolitan Gaswerken vom Dezember 1889 bis Februar 1890 (siehe Erl. 63.38–39) jedoch wieder abgeschafft worden. Siehe auch Engels an Sorge, 19. April 1890 (Br. 153.26–35); Engels an August Bebel,

1012

158. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 30. April 1890

9. Mai 1890 (Br. 168.78–83); Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169.8). 158.13

Bloomsbury Socialist Society ] Unter diesem Namen konstituierte sich im August 1888 eine lokale Organisation in Bloomsbury, nachdem sie von der Socialist League (siehe Erl. 153.55–56), in der Anarchisten die Oberhand gewonnen hatten, suspendiert worden war. Eleanor Marx-Aveling und Edward Aveling legten einen Schwerpunkt auf die Agitations- und Propagandaarbeit unter den Arbeitern des Londoner Ostens. (Thompson: William Morris. S. 564/565; Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 130.)

158.16

Radical Clubs ] Siehe Erl. 17.2.

158.18

London Trades Council ] Zum Zusammenschluß von Londoner Gewerkschaften siehe Erl. 80.59.

158.24

S. D. Federation ] Siehe Erl. 10.19.

158.25

Commissioner of Works ] David Robert Plunket.

158.31

Comite´ ] Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day Demonstration. Das Komitee war Anfang 1890 auf Initiative der Bloomsbury Socialist Society (siehe Erl. 158.13) und der National Union of Gasworkers and General Labourers (siehe Erl. 158.6) entstanden, die zum 16. März 1890 zu einer ersten Konferenz eingeladen hatten. Formell wurde das Central Committee am 6. April 1890 als Vertretung von 94 Trade Unions, radikalen Klubs und sozialistischen Gruppen gegründet. Auf seiner Grundlage entstand am 13. Juli 1890 die Legal Eight Hours and International Labour League. Engels berichtete detailliert über die Entwicklung in seinen Briefen an August Bebel, 9. Mai (Br. 168.83), an Laura Lafargue, 10. Mai (Br. 169.39–54), an Paul Lafargue am 21. Mai (Br. 176.17–19) und an Friedrich Adolph Sorge, 29. Mai 1890 (Br. 183.56 und 78–88). Zur Berichterstattung in „The People’s Press“ siehe Erl. 168.83. Siehe auch Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 12. April 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 119); Zur Achtstundenbewegung in England. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 26, 28. Juni 1890. S. 4, Sp. 1; Am Sonntag hat ... Ebenda. Nr. 29, 19. Juli 1890. S. 4, Sp. 1. Rubrik: England; Aveling: Zur Geschichte der Maidemonstration ... S. 137–143; derselbe: The eight hours’ working-day. S. 638; Bünger: Engels und die britische ... S. 174/175, 180/181, 183/184, 188 und 194/195; Henderson: The life of Friedrich Engels. S. 700. – Zur Rolle des Komitees in der Maidemonstration 1891 siehe MEGA➁ I/32. Erl. 519.9–10 und 519.11–15.

1013

158. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 30. April 1890

158.37

the legal 8 Hours Day ] Der gesetzlich verankerte Achtstundentag war einer der Streitpunkte zwischen der National Union of Gas Workers (siehe Erl. 158.6) und den Facharbeitergewerkschaften, die den Londoner Trades Council (siehe Erl. 80.59) beherrschten. Die Facharbeiter forderten zwar ebenfalls den Achtstundentag; ihnen war jedoch wenig an einer gesetzlichen Absicherung gelegen, was für die ungelernten Arbeiter eine hohe Priorität hatte. (Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 200; Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 370–373.) Siehe auch Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 259–264, hier S. 261.8–38).

158.64–66

Engels’ Bericht (Z. 3–63) wurde in amerikanischen Zeitungen als Artikel veröffentlicht: [Friedrich Engels:] Die Socialisten und die Hydepark-Demonstration. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 112, 10. Mai 1890. S. 2, Sp. 2/3 (MEGA➁ I/31. S. 252/253) und [Friedrich Engels:] Hyde Park. Socialists at the helm in London. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 20, 17. Mai 1890. S. 1, Sp. 1/2 (MEGA➁ I/31. S. 1039).

158.71

Auch ein Paket Combats ] Siehe Engels an August Bebel, 23. Januar 1890 (Br. 96.83–84) und Erl. 56.4. Siehe auch Erl. 35.18–25.

158.72–73

[August Bebel:] Bismarck frondiert. Der abgedankte Reichskanzler ... [Korrespondenz:] Berlin, 22. April. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 17, 25. April 1890. S. 7, Sp. 2, bis S. 8, Sp. 1. Rubrik: Ausland. Deutschland.

158.97

[Karl Marx, Friedrich Engels:] Das Kommunistische Manifest. 4. autoris. dt. Ausg. Mit e. neuen Vorw. von Friedrich Engels. London 1890.

158.97

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

158.102

Frau ] Katharina Sorge.

158.105–106 Zur Auseinandersetzung um den „Labour Elector“ siehe Engels an Sorge, 8. Februar 1890 (Br. 101.59–90) sowie Erl. 101.59– 63 und 101.66–69. 158.106

1014

Zum Streik der Hafenarbeiter siehe Erl. 10.9–18.

159 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 30. April 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5900/L VIII 545. Fotosign. 11181a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 252 × 200 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu zwei Dritteln, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge beantwortet Engels’ Postkarte vom 4. und dessen Briefe vom 12. und 19. April 1890 (Br. 134, 146 und 153). Engels antwortete am 29. Mai 1890 (Br. 183). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 159.3

Postkarte ] Engels hatte Sorge vor dem Abdruck seines Artikels „Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II.“ in der Aprilausgabe der „Neuen Zeit“ gewarnt. Siehe Br. 134.

159.4

die bis beantwortet ] Siehe Friedrich Adolph Sorge an Engels, 14. April 1890 (Br. 147).

159.5–6

Daß du dich bis mitgetheilt ] Siehe Engels an Sorge, 12. April 1890 (Br. 109.33 und Erl.) sowie Br. 146.4–19.

159.6–7

Mir selbst

159.13

Deine Beurteilung

159.14–17

Die Sequestrierung des Vermögen von Sergej Egorovicˇ Sˇevicˇ wurde 1890 aufgehoben, im Sommer zog er mit seiner Frau Helene Sˇevicˇ nach Riga. Eine differenzierte Einschätzung seiner Arbeit findet sich in der Notiz: S. E. Schewitsch. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 28, 12. Juli 1890. S. 4, Sp. 2. (Racowitza: Von Anderen und mir. S. 285/286.)

159.16

Bruders ] Ivan Egorovicˇ Sˇevicˇ.

159.20–21

seine Frau, die bekannte Lassallische Helene ] Helene von Schewitsch, geborene von Dönniges, war vor ihrer ersten Heirat eine Geliebte von Ferdinand Lassalle gewesen.

159.24

Sorge erinnert hier vermutlich an die Mai-Demonstrationen auf dem Haymarket in Chicago 1886 und die darauf folgende Hin-

bis

geschrieben ] Siehe Br. 109.36–37. bis

richtig ] Siehe Br. 146.12–13 und Erl.

1015

159. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 30. April 1890

richtung der Sprecher der Arbeiterbewegung. Siehe auch Erl. 52.28–31. 159.28

Nationalisten ] Siehe Erl. 8.7–8.

159.28

die christlichen Socialisten ] Seit etwa 1840 entstanden unterschiedliche Richtungen christlicher Sozialisten, die ein breites Spektrum politisch-gesellschaftlicher Forderungen vertraten. Sorge könnte eine in den USA vertretene Richtung, zu der Richard T. Ely gehörte, gemeint haben. Siehe Br. 183.67–71 und Engels an Sorge, 30. Juli 1890 (Br. 231.4–5).

159.29

Fabians ] Siehe Erl. 97.4–5.

159.35–36

Zur Rolle von Eleanor Marx-Aveling in der Streikbewegung siehe Erl. 10.9–10 und 28.37–38.

159.37

Anläßlich der Vorbereitung einer Demonstration in Dublin am 30. März 1890 machte Michael Davitt seine Bedenken, die er gegen die Ausbreitung der neuen britischen Gewerkschaft der Gasarbeiter (siehe Erl. 10.9–10) in Irland hegte, öffentlich bekannt, in einem offenen Brief an den Vertreter dieser Gewerkschaft in Dublin. Siehe Edward Aveling: The Labour Movement in Ireland. In: The People’s Press. London. Nr. 6, 12. April 1890. S. 4, Sp. 1/2. (Lane: The origins of modern Irish socialism ... S. 167–169.) – Zu Engels’ Einschätzung siehe seinen Brief an Friedrich Adolph Sorge vom 19. April 1890 (Br. 153.35–36 und Erl.).

159.37

„neuen Minus“ ] Sorge spielt vermutlich auf die neuen Staatsbürger an, die im Lauf der Entwicklung von Rom unterworfen worden waren. Diesen wurde das römische Bürgerrecht (ius Latii) verliehen, das jedoch im Vergleich zu dem der in Rom geborenen Vollbürger ein geringeres Bürgerrecht (minus Latium) war.

1016

160 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 1. Mai 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5705. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 258 × 209 mm. Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Er beschrieb nacheinander die erste, dritte und zuletzt die zweite Seite, diese quer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite quer geschrieben ein Vermerk mit Bleistift „1 May 90 Paul“. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben rechts ein Vermerk mit Tinte „1. Mai 1890“. Archivsignatur: „8 K 6“. Zur Datierung: Die Jahresangabe stützt sich auf die Notiz von Engels und auf den Zusammenhang des vorliegenden Briefes mit dem Brief von Paul Lafargue an Engels vom 27. April 1890 (Br. 157). Datierung der Erstveröffentlichung: 1. Mai 1890. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 394/ 395. ERLÄUTERUNGEN 160.10–12

Zur Situation in Paris am Vorabend des 1. Mai 1890 siehe Br. 157.3–18 und Erl.

160.19

Die Mai-Demonstrationen 1890 hatten großen Zulauf, sowohl in Paris wie auch in der Provinz, siehe The memory of May Day. S. 120–126.

1017

161 Das Redaktionskomitee von „L’Ide´e Nouvelle“ an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 4. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5477A/L VIII 119. Fotosign. 12503. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 265 × 208 mm. Wasserzeichen: Riffelmuster. Die erste Seite ist von einem Unbekannten vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Die Nachschrift (Z. 20–21) steht quer zum übrigen Text am linken Rand. Datum und Adressat sind vermutlich von F. Roux (siehe Br. 162) ergänzt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „L’Ide´e Nouvelle Revue Sociale et Litte´raire 8, Rue du Croissant, 8. Paris“ und rechts „Paris, le 189 “. Archivsignatur: „II 21 F 4a“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 161.11–15

1018

Die Zeitschrift sandte Engels Mitte September 1890 eine Subskriptionsliste, siehe Jules Le´pine an Engels, 14. September 1890 (Br. 271 und Beilage) sowie Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.52). – Siehe auch F. Roux an Engels, 4. Mai 1890 (Br. 162).

162 F. Roux an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 4. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5477B/L VIII 119. Fotosign. 12504. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 262 × 205 mm. Roux hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „L’Ide´e Nouvelle Revue Sociale et Litte´raire 8, Rue du Croissant, 8. Paris“ und rechts „Paris, le 189 “, worin Roux das Datum handschriftlich ergänzt hat. Archivsignatur: „II 21 F 4b“. Von Engels’ Hand: Vermerk mit Tinte „4/5 – 90 Ide´e Nouvelle R 22 Mai “ auf der vierten Seite. Die Antwort von Engels vom 22. Mai 1890 ist nicht überliefert, zum Inhalt vergleiche Jules Le´pine an Engels, 9. Juni 1890 (Br. 192). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 162.4–6

Engels schrieb keinen Beitrag für „L’Ide´e Nouvelle“ über den 1. Mai 1890. Er bot stattdessen den Artikel „The foreign policy of Russian tsardom” an, von dem die Zeitschrift Abschnitt I und Teile von Abschnitt II unter dem Titel „La politique exte´rieure du czarisme russe“ veröffentlichte (L’Ide´e Nouvelle. Paris. Nr. 8, 5. August. S. 117/118; Nr. 9, 5. September. S. 131–134; Nr. 10, 5. Oktober 1890. S. 149–151). Siehe Br. 192.5–6 und Erl. 203.3.

162.10–11

Die auf den 5. Mai 1890 datierte Ausgabe von „L’Ide´e Nouvelle“ veröffentlichte eine andere Zusammensetzung des Redaktionskomitees, z. B. fehlten Foure`s und Euge`ne Baudin.

1019

163 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Montag, 5. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3753/L V 540. Fotosign. 8405. Die Postkarte hat das Format 84 × 139 mm. Martignetti hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Benevento 5 5–90 12 M“ und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 362; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 163.2

Martignetti hatte Engels am 5. Dezember 1889 um Hilfe beim Weiterbezug der „Neuen Zeit“ und des „Sozialdemokrat“ gebeten. Siehe Br. 47.7–13.

163.5

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209).

163.6–7

Eine Übersetzung des Artikels ist nicht nachgewiesen (Gianni: Diffusione ... del marxismo in Italia. S. 55–75 und 314/315).

1020

164 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Riva, Dienstag, 6. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2641/L V 133. Die Postkarte hat das Format 84 × 139 mm. Kautsky hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Riva 5 3. N 90“, eine aufgedruckte Briefmarke zu 2 Kreuzern und eine aufgeklebte Briefmarke zu 3 Kreuzern. Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 256; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 164.3–4

Vermutlich waren es die Aushängebogen zur letzten Korrektur von: [Karl Marx, Friedrich Engels:] Das Kommunistische Manifest. 4. autoris. dt. Ausg. London 1890. Die Schrift erschien im August des Jahres. Das Vorwort datierte vom 1. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 254–258).

164.5–6

Karl Kautsky und Luise Ronsperger hatten am 23. April 1890 geheiratet (Koth: „Meine Zeit wird wieder kommen ...“. S. 60).

164.6–7

Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 26. April 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 122).

164.7–8

Engels bewertete die 1. Mai-Demonstration in Wien als einen großen Erfolg der seit 1889 wieder geeinten Sozialdemokratischen Arbeiterpartei in Österreich. Siehe Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31 S. 259–264, hier S. 259). Siehe auch The memory of May Day. S. 346/347; Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 326.

164.9

meiner Frau ] Luise Kautsky.

1021

165 Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 6. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6023/L VIII 650. Fotosign. 12349a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 180 mm. Wasserzeichen: Wappenschild mit Inschriften „William Lepard 1776“ und „Ancient Style“. Kravcˇinskij hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die zweite und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 15 C 9b“. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite eine mit schwarzer Tinte geschriebene Notiz: „Stepniak “ (durchgestrichen) und der Bleistiftvermerk „RT Ely Johns Hopkins Uni Baltimore“. Siehe Br. 183.67–71. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Таратута: Фридрих Энгельс и С. М. Степняк-Кравчинский (1965). S. 59; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 165.5–6

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. April 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–231).

165.7

Times ] Hier ist die von Ernest Belfort Bax redigierte Monatsschrift „Time“ gemeint.

165.9–12

Der Schlußteil von Engels’ Artikel wurde nicht in der Zeitschrift „Free Russia“ veröffentlicht.

165.15–17

Der Brief von Kravcˇinskij an Vera Zasulicˇ ist nicht bekannt. Zu Engels’ Ansicht über die Rolle der Polemik im „Sozialdemokrat“ siehe seinen Brief an Vera Zasulicˇ vom 17. April 1890 (Br. 150.4–31) und ihre Antwort an Engels, zwischen 17. und 26. April 1890 (Br. 151.4–33). Siehe auch Vera Zasulicˇ an Engels, nach dem 5. April 1890 (Br. 137.107).

1022

166 Wilhelm Hoffmann an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 8. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2424/L IV 381. Fotosign. 15102. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 113 × 180 mm. Hoffmann hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: Tintenvermerk auf der zweiten Seite quer geschrieben: „8 Mai 90 W Hoffmann wegen Kullrich“. Von unbekannter Hand: Bleistiftunterstreichung (Z. 7). Archivsignatur: „II 21 K 201“. Hoffman beantwortet Engels’ nicht überlieferten Brief vom 15. April 1890 (Z. 7). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 166.5–6

Hoffmann hatte eine Buchhandlung und Zigarrengeschäft in Carburton Street 31, Great Portland Str. W. (Siehe: Für London. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 26, 28. Juni 1890. S. 4, Sp. 3.)

166.7–8

Friedrich Kullrich aus Proschwitz bei Reichenberg in Böhmen hatte sich am 30. November 1888 an Engels gewandt, um sich von ihm eine Fotografie zu erbitten, die er als Vorlage für einen Druck benutzen wollte. Ebenfalls bat er um die Hilfe von Engels beim Verkauf der von ihm hergestellten Drucke. (IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. L 2862). Das von Engels weitergeleitete kleine Paket dürfte aus entsprechenden Waren bestanden haben. In der „Arbeiter–Zeitung“, Wien, Nr. 18, 30. April 1890, S. 7, Sp. 2, bot Kullrich sein Sortiment an: u. a. Ordner-Nadeln, Manschettenknöpfe, Medaillons, Uhrbilder mit Bildnissen von Lassalle, Marx, Bebel und Liebknecht.

1023

167 Sophie Scherzer an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 8. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5495/L VIII 143. Fotosign. 12525a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 225 × 177 mm. Scherzer hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Vermutlich von Engels’ Hand: Bleistiftvermerk „ M u t t e r S c h e r z e r “ auf der ersten Seite oben. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 167.11–12

1024

Engels hatte bei früherer Gelegenheit auf die Notwendigkeit hingewiesen, eine „Witwenpension für unsre Veteranen“ einzurichten, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 23. Februar 1888 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1035). Andreas Scherzer war ein langjähriges Mitglied des Bundes der Kommunisten und des Deutschen Arbeiterbildungsverein gewesen. Angeblich wurde er 1871 aus diesem ausgeschlossen, nach anderen Aussagen war er bis zu seinem Tod 1880 ununterbrochen Mitglied des Vereins. (Siehe Lattek: Revolutionary refugees. S. 173, 320 und Anm. 45.) Sophie Scherzer hatte sich bereits nach dem Tod ihres Mannes mit der Bitte um Unterstützung an Marx gewandt (siehe Sophie Scherzer an Marx, 11. Oktober 1880, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. D 3919). – Engels unterstützte auch Caroline Pfänder, die Witwe Carl Pfänders (siehe Erl. 55.12).

168 Friedrich Engels an August Bebel in Plauen bei Dresden London, Freitag, 9. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 98/K 60. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „49“ (gestempelt). Engels beantwortet den Brief Bebels vom 9. April 1890 (Br. 140). Bebel antwortete am 2. Juni 1890 (Br. 186). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 213– 216; in der Sprache des Originals: Engels: Briefe an Bebel (1958). S. 169–172. KORREKTURENVERZEICHNIS 168.66

Trades Council ] H Trade Council VARIANTENVERZEICHNIS

168.62

: je :

168.66

7>6 ERLÄUTERUNGEN

168.3

Züricher Mittheilungen ] Siehe Br. 140.5–26 und 30–36 und Erl. Siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 12. April 1890 (Br. 146.20–21).

168.10

Deiner Tochter ] Frieda Bebel. Siehe Erl. 110.70–71 und Br. 140.50–52.

168.11

Deiner Frau ] Julie Bebel.

168.11

Übersiedlung nach Amerika ] Siehe Br. 140.60–62.

168.17

meiner Spritztour ] Zu Engels’ Reise nach Amerika siehe Erl. 25.3–4.

168.22–23

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145–154. Zu den Änderungen von Blos siehe Erl. 140.37. Zur Einschätzung Bebels siehe Br. 140.37–40.

1025

168. Engels an August Bebel · 9. Mai 1890

168.28–29

Deine kritischen Noten ] Zu Bebels Meinung über Engels’ Artikel siehe Br. 186.9.

168.33–38

To-Day’s Demonstrations. In: The Daily News. London. Nr. 13 750, 1. Mai 1890. S. 7, Sp. 6/7; May-Day Abroad. Peaceful Demonstrations. Ebenda. Nr. 13 751, 2. Mai 1890. S. 5, Sp. 7/8; The May Day Demonstrations. Rioting on the Continent. Ebenda. Nr. 13 752, 3. Mai 1890. S. 5, Sp. 6/7.

168.40

Am 20. Februar fanden die Hauptwahlen zum Deutschen Reichstag statt.

168.43–44

Max Schippel war Mitverfasser des Aufrufs „Was soll am 1. Mai geschehen?“ in der Berliner Volks-Tribüne vom 22. März 1890, in dem, wo dies möglich war, zu allgemeiner Arbeitsruhe zur Unterstützung der Achtstundenbewegung aufgefordert worden war. Dazu und zur Reaktion der Reichstagsfraktion siehe Erl. 124.18.

168.51–52

Am 30. September 1890 endete das Sozialistengesetz (siehe Erl. 9.64). Über die Organisation der Partei danach sollte ein Parteitag beraten, der im Oktober 1890 in Halle zusammentrat (siehe Erl. 310.4). Zur Diskussion über ein neues Organisationsstatut siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242.25–49 und Erl.).

168.53–69

Siehe Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31 S. 259–264). Siehe auch The memory of May Day. S. 83–108. Zur Auseinandersetzung mit dem London Trades Council um die „Platforms“ im Vorfeld der Maidemonstration in London siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 30. April 1890 (Br. 158.13–63).

168.62

Ein Auszug aus der Rede von Eleanor Marx-Aveling am 4. Mai in: Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 735/736.

168.70–71

[Eduard Bernstein:] Die Achtstundendemonstration in London. In: Berliner Volksblatt. Nr. 104, 7. Mai 1890. 2. Beil. S. 1, Sp. 1/2.

168.73

Minister der öffentl. Arbeiten ] David Robert Plunket.

168.79

Achtstundengesetz ] Siehe Erl. 158.37.

168.83

Comite´ ] Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day Demonstration (siehe Erl. 158.31). Es führte am Abend des 9. Mai 1890 die erste Versammlung nach dem 4. Mai 1890 durch. (Eight Hours’ Legal Working Day Committee. In: The People’s Press. London. Nr. 10, 10. Mai 1890. S. 11, Sp. 1.) Die Versammlung beschloß nach dem Vortrag von Edward Aveling, ein Komitee einzusetzen, das einen Entwurf einer Satzung

1026

168. Engels an August Bebel · 9. Mai 1890

für die noch zu gründende Organisation innerhalb von 14 Tagen vorlegen sollte. Der Entwurf wurde am 31. Mai veröffentlicht. (Eight Hours’ Legal Working Day. Important Meeting – A New Labour Organisation. Ebenda. Nr. 11, 17. Mai 1890. S. 12, Sp. 1/2; The Legal Eight Hours’ and International Labour League. Draft of Proposed Constitution. Ebenda Nr. 13, 31. Mai 1890. S. 14, Sp. 2, bis S. 15, Sp. 1. Siehe auch Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169.39–47) und an Friedrich Adolph Sorge, 29. Mai 1890 (Br. 183.78–88); Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 180/181.)

1027

169 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 10. Mai 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5840. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 177 mm. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „47“. Engels antwortet auf eine nicht überlieferte Karte von Laura Lafargue, geschrieben zwischen dem 16. April (Br. 149) und 10. Mai 1890 (Z. 4). Erstveröffentlichung: Unpublished letters of Frederick Engels (1955). S. 373– 375. ERLÄUTERUNGEN 169.4

Engels hatte Laura Lafargue um die Adresse von Charles Longuet gebeten (Br. 149.11).

169.5–6

Eight Hours Legal Working Day Demonstration. In: The People’s Press. London. Nr. 9, 3. Mai 1890. S. 4, Sp. 2, bis S. 6, Sp. 1; Programme of the Eight Hours Legal Working Day Demonstration. Ebenda S. 6, Sp. 1, bis S. 7, Sp. 1; The eight hours demonstration. In: Suppl. to The People’s Press. London. Nr. 9, 3. Mai 1890. S. 17–19; The demonstration – and after. In: The People’s Press. London. Nr. 10, 10. Mai 1890. S. 5, Sp.1/2; The great demonstration. Ebenda S. 5, Sp. 2, bis S. 10, Sp. 2.

169.7–23

Siehe Engels: Der 4. Mai in London. 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31 S. 259–264). Siehe auch Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.53–69 und Erl.). Zur Forderung nach dem Achtstundentag siehe auch Erl. 158.37.

169.8

Union ] National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland (siehe Erl. 158.6).

169.24–31

Siehe Eight Hours’ Legal Working Day Committee. In: The People’s Press. London. Nr. 10, 10. Mai 1890. S. 6, Sp. 1; S. 11, Sp. 1, und Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.59–61).

169.39–47

the Central Committee bis so on. ] Zum Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day siehe Erl. 158.31 und 168.83.

169.47

Gemeint sind die Beschlüsse des Internationalen Arbeiterkongresses im Juli 1889 in Paris (siehe Erl. 1.6).

1028

169. Engels an Laura Lafargue · 10. Mai 1890

169.55–57

Laura Lafargue kam Anfang Juni 1890 nach London und fuhr etwa am 1. Juli 1890 in Begleitung von Helena Demuth nach Paris zurück. Siehe Engels an Nikolaj Daniel’son, 10. Juni 1890 (Br. 193.7) und an Laura Lafargue, 4. Juli 1890 (Br. 218.3).

1029

170 Robert Edward Dell an Friedrich Engels in London London, Montag, 12. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1106/L III 32–1. Fotosign. 8139. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, grauem Papier im Format 112 × 178 mm. Dell hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „10, Delamere Terrace, Westbourne Square. W.“. Archivsignatur: „II 21 K 160a“. Von Engels’ Hand: auf der Rückseite ein Bleistiftvermerk „Dell“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 170.3

1030

Robert Dell veröffentlichte in „The People’s Press“ (London) Nr. 9, 3. Mai 1890, u. a. Abbildungen von Eleanor Marx-Aveling (S. 5, Sp. 1) und Paul Lafargue (S. 7, Sp. 1).

171 Paul Singer an Friedrich Engels in London Berlin, Dienstag, 13. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5735/L VIII 366. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 282 × 222 mm. Singer hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Antwort von Engels, geschrieben zwischen dem 13. Mai und 19. Juni 1890 (Z. 31–32 und Engels an Natalie Liebknecht, 19. Juni 1890 (Br. 201.14)), ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 171.4–6

Friedrich Engels über den Antisemitismus. Aus einem Privatbriefe nach Wien. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 19, 9. Mai 1890. S. 2, Sp. 2, bis S. 3, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 249–251). Der Artikel erschien unter demselben Titel auch in: Berliner Volksblatt. Nr. 109, 13. Mai 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Engels nannte unter den Leuten, auf deren Freundschaft er stolz sei, u. a. Paul Singer, einen „unserer besten Reichstagsmänner“ (MEGA➁ I/31. S. 251.2). – Die Veröffentlichung von Engels war ein Auszug aus der Antwort auf den Brief von Isidor Ehrenfreund an Engels vom 21. März 1890 (Br. 118). Der Artikel erschien in weiteren Arbeiterzeitungen, siehe MEGA➁ I/31. S. 1034/1035; Jacobs: Engels and „the Jewish Question“ ... S. 11.

171.9

Socialreformer auf dem Thron ] Wilhelm II.

171.11–12

Zum Sozialistengesetz siehe Erl. 9.64.

171.12

Neuorganisation der Partei ] Siehe Erl. 110.33–34 und 168.51–52.

171.13

Alten ] Wilhelm Liebknecht.

171.17

„Höhle des Löwen“ ] Der Ausdruck geht auf Aisopos’ Fabel „Der Löwe und der Fuchs“ zurück.

171.25

die Schippel’schen ] Siehe Erl. 168.43–44.

171.29

Nazi ] Ignaz Auer.

171.32

Julius ] Julius Motteler.

1031

171. Paul Singer an Engels · 13. Mai 1890

171.33–37

Im September 1890 erschienen 60 sozialdemokratische Zeitungen. (Fricke: Handbuch zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung ... Bd. 1. S. 536.) Auf dem Parteitag in Halle 1890 wurde eine Resolution zur Frage der Parteipresse diskutiert und angenommen. (Protokoll Halle 1890. S. 230–240. Siehe auch Kupfer: Geheime Zirkel .... S. 56–58.)

171.50

Die militairischen Vorbereitungen ] Siehe Erl. 146.77–78.

171.57

Am 20. Februar fanden die Wahlen zum Deutschen Reichstag statt, am 1. Mai wurden zahlreiche Demonstrationen und Veranstaltungen zur Feier des Ersten Mai durchgeführt, und am 30. September 1890 würde das Sozialistengesetz enden. Zur Diskussion über den 1. Mai in Deutschland siehe Erl. 124.7–8 und 124.18, zum 1. Mai in Frankreich siehe Erl. 149.71–74. Siehe auch S. 693.

171.59

im Sommer ] Schorlemmer schlug Engels spätestens Mitte Juni 1890 für Juli eine Seereise vor, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 19. Juni 1890 (Br. 202.3–4). Die Reise wurde in der Zeit vom 1. bis 26. Juli unternommen.

171.60–61

Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12. bis 18. Oktober 1890 in Halle siehe Erl. 310.4.

171.62

meiner Schwester ] Mathilde Singer.

1032

172 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 15. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5901/L VIII 546. Fotosign. 11182. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 200 × 123 mm. Wasserzeichen: Spinnrad und Crane’s Distaff Linen. Sorge hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf den Brief von Engels vom 30. April 1890 (Br. 158). Engels antwortete Sorge am 29. Mai 1890 (Br. 183). Zur Beilage (Z. 6) siehe Erl. 172.6–7. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 172.3

Engels hatte vorgeschlagen, Teile seines Briefes vom 30. April 1890 in der amerikanischen Arbeiterpresse erscheinen zu lassen. Zu den Veröffentlichungen siehe Erl. 158.64–66.

172.3–4

[Friedrich Engels:] Die Socialisten und die Hydepark-Demonstration. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 112, 10. Mai 1890. S. 2, Sp. 2/3 (MEGA➁ I/31. S. 252/253).

172.6–7

F[riedrich] A[dolph] Sorge, H[ermann] Schlüter: Erklärung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 22, 31. Mai 1890. S. 4, Sp. 2. Sorge und Schlüter bedauerten in dem Brief, daß sie August Sartorius von Waltershausen Material zur Verfügung gestellt hätten, weil dieser in seiner Arbeit „Der moderne Socialismus in den Vereinigten Staaten von Amerika“, Berlin 1890, gehässige und unwahre Urteile über Marx’ Charakter gefällt habe. Siehe auch E[duard] B[ernstein]: Herr Sartorius von Waltershausen ... In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 3. S. 70–76. – Sartorius von Waltershausen beschäftigte sich um 1890 intensiv mit verschiedenen Aspekten der Entwicklung der USA, vor allem mit der Arbeiterbewegung (siehe Sartorius von Waltershausen: The workers’ movement in the US).

1033

173 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Samstag, 17. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1038/L III 23–20. Fotosign. 1293a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, blauem, kariertem Papier im Format 270 × 208 mm. Daniel’son hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete Daniel’son am 10. Juni 1890 (Br. 193). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка Ф. Энгельса с Николаем-оном (1930). S. 100/101; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 173.4

the article of Mr. Lafargue ] Siehe Daniel’sons Brief an Engels ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ (Br. ˙ vom 26. November ˙1889 41.6–13 und Erl.); Paul Lafargue an Engels vom 22. Dezember 1889 (Br. 61.24–26 und Erl. 61.12–13).

173.7

my letters ] Von den Briefen von Daniel’son an Paul Lafargue ist nur ein Entwurf auf der Rückseite des Briefes von Daniel’son an Engels vom 26. November 1889 überliefert (siehe Erl. 41.12–13). Zu einer Rückfrage von Engels an Paul Lafargue vom 21. Mai 1890 siehe Br. 176.11.

173.9–10

You know bis government. ] Vermutlich hatte Daniel’son darüber in seinem nicht überlieferten Brief an Engels, vom 3.(15.) Juni 1888 berichtet, siehe Engels an Daniel’son, 15. Oktober 1888 (British Library Add MSS.38075 f 48–49). Statistische Forschungen der Zemstvos entstanden aus dem Bedürfnis, genauere Kenntnisse über den Wert und die Ertragsfähigkeit der Immobilien verschiedener Art in den Regionen nach der Aufhebung der Leibeigenschaft in Rußland (siehe Erl. 67.21–22) zu gewinnen. Sie begannen in den 1870er Jahren in den Gouvernements von Vjatka und Tver, später entstanden spezielle statistische Büros in den Gouvernements von ˇ ernigov und Cherson, obwohl die zentrale Regierung Moskau, C die Selbständigkeit der regionalen Behörden zu begrenzen und ihrer Kontrolle zu unterstellen suchte. 1893 waren bereits

1034

173. Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Engels · 17. Mai 1890

17 Gouvernements im europäischen Rußland statistisch erfaßt, 1913 war diese Arbeit in 34 Gouvernements nahezu abgeschlossen. (Gozulov: Ocˇerki istorii otecˇestvennoj statistiki. S. 151–157 und 166/167; Anisimov: Istorija zemleustrojstva. S. 129–132.) – Zur russischen Statistik siehe auch Daniel’son an Engels, 22. Januar 1890 (Br. 95.7).

1035

174 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Rom, Sonntag, 18. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3754/L V 541. Fotosign. 8406. Die grüne Postkarte mit rotem Aufdruck auf der Vorderseite hat das Format 138 × 79 mm. Martignetti hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Roma 18 5–90 11 S Ferrovia“ und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Engels antwortete Martignetti am 24. Mai 1890 (Br. 180). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 363; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 174.2–3

Martignetti wurde am 17. Mai 1890 endgültig freigesprochen. Zur Anklage siehe Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889 (Br. 22.2–7).

174.7–8

Engels bedankte sich in einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Mai 1890, bei Antonio Labriola. Siehe Br. 180.3–4.

1036

175 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Montag, 19. Mai 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5021. Fotosign. 1117a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, hat Labriola die Rückseite einer Postkarte vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Roma 19 5–90 9 S“ und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Engels antwortete in einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Mai 1890 (siehe Engels an Pasquale Martignetti, 24. Mai 1890 (Br. 180.3–4)). Labriolas Antwort erfolgte am 27. Mai 1890 (Br. 181). Erstveröffentlichung: Labriola: Lettere a Engels (1927). S. 799/800; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 175.2

Martignetti wurde am 17. Mai 1890 endgültig freigesprochen. Zur Anklage siehe Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889 (Br. 22.2–7).

175.5–6

Antonio Labriola: Proletariato e Radicali. Lettere ad Ettore Socci a proposito del Congresso Democratico. Roma 1890.

175.10

x.y.o. ] Ein Namenszeichen, das Labriola vor allem in deutschen Zeitungen benutzte, siehe z. B. A[ntonio] Labriola: Aus R o m schreibt uns unser italienischer Mitarbeiter. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. S. 4, Sp. 2.

1037

176 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 21. Mai 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5937. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 176 mm. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „28“. Zur Datierung: Auf Grund des Zitats (Z. 4–10) aus dem Brief von Nikolaj Daniel’son an Engels vom 17. Mai 1890 (Br. 173), der Bemerkung zum Buch von L. H. Morgan (Z. 3 und Erl.) und zum Freispruch von Pasquale Martignetti (Z. 35 und Erl.) ist der Brief eindeutig dem Jahr 1890 zuzuordnen. Engels antwortet auf den Brief von Paul Lafargue vom 25. März 1890 (Br. 120). Datierung der Erstveröffentlichung: 21. Mai 1891. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 3 (1959). S. 58/59. VARIANTENVERZEICHNIS 176.23

: ne : ERLÄUTERUNGEN

176.3

le livre de Morgan ] Engels bedankte sich für den Hinweis auf Morgan: Houses and house-life ... 1881, siehe Paul Lafargue an Engels, 25. März 1890 (Br. 120.28–29 und Erl.).

176.4–10

Zum Brief von Daniel’son siehe Br. 173.3–8.

176.7

I send ] Bei Daniel’son: I will send

176.11–13

Lafargue unterzeichnete mit P. Fargaule. Siehe Paul Lafargue an Nikolaj Daniel’son, 14. Dezember 1889 (RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 85/6).

176.17–19

la Ligue des 8 h. le´gales ] Zum weiteren Wirken des Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day siehe Erl. 158.31 und 168.83.

1038

176. Engels an Paul Lafargue · 21. Mai 1890

176.26–28

Bei den Gemeindewahlen in Paris am 27. April und 4. Mai 1890 erhielt die boulangistische Partei nur 160 000 Stimmen und 2 Abgeordnete, während Boulanger allein in der Nachwahl vom 27. Januar 1889 über 245 000 Stimmen gesammelt hatte. Zur Niederlage der Boulangisten bei den Wahlen zur Deputiertenkammer im Herbst 1889 siehe Erl. 5.3; Irvine: The Boulanger affair reconsidered. S. 157; Seager: The Boulanger affair. S. 244. Der erneute Mißerfolg führte am 21. Mai 1890 zur Auflösung des boulangistischen Comite´ re´publicain national. (Garrigues: Le boulangisme. S. 96/97; Rudelle: La Re´publique absolue. S. 232.)

176.29

la visite de Frank Rosher ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.67–70).

176.31

des pre´parations pour venir? ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169.55–57 und Erl.).

176.35

Martignetti wurde am 17. Mai 1890 endgültig freigesprochen. Zur Anklage siehe Martignetti an Engels, 30. Oktober 1889 (Br. 22.2–7).

1039

177 Emil Bruck an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 22. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 852/L II 214. Fotosign. 7530. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 203 × 263 mm. Bruck hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „The Amstel Lager Beer Brewery, De Pesters, Kooy & Co., Amsterdam. Gold Medal International Exhibition, Amsterdam, 1883. Telegraphic Address ,Amstel,‘ London. Highest Award International Food Exhibition, Amsterdam, 1887. The Amstel Lager Beer is supplied to the House of Commons“, oben rechts den Aufdruck: „London Office: 1, Gresham Buildings, Basinghall Street, London, E. C., 188 “, darunter in der Mitte „Diploma of Honor (Highest Award) International Exhibition, Brussels, 1888“. Von Engels’ Hand: auf der Rückseite ein mit schwarzer Tinte geschriebener Vermerk „May 22/90 – Bruck “. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 177.5–8

[Emil Bruck:] Die erste socialistische Productiv-Association für das Deutsche Reich. Von einem Sozialdemokraten. Leipzig 1890.

177.10–12

Eine Antwort von Engels ist nicht bekannt.

1040

178 Oscar Eisengarten an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 22. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1364/L III 228. Fotosign. 7274a–b. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 178 mm. Eisengarten hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu einem Viertel. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 178.14–17

Oscar Eisengarten zahlte den Betrag etwas verspätet, am 5. Juli 1890, zurück. Siehe seinen Brief an Engels, zwischen 1. und 5. Juli 1890 (Br. 214). – Siehe auch Hayasaka: Oscar Eisengarten – Eine Lebensskizze.

1041

179 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Samstag, 24. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1138/L III 44. Fotosign. 7618. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 227 × 293 mm. Wasserzeichen: „Sphinx“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck der Verlagsbuchhandlung von J. H. W. Dietz (siehe S. 966). Dietz hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite ein mit Tinte geschriebener Vermerk „24 Mai 90 – Dietz “. Dietz beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 22. Mai 1890 (Z. 3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 179.3–4

Dietz hatte vorgeschlagen, für die Neuauflage des „Ursprungs der Familie ...“ der Parteikasse ein Honorar in Höhe von 100,– M. für 1000 Ex. zu überweisen. Siehe Dietz an Engels, 22. April 1890 (Br. 155.3–6).

179.8

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125–271). Siehe Erl. 138.25–34. Dietz hatte am 22. April 1890 Engels geschrieben, die Neuauflage könne im September erscheinen, wenn die Änderungen und Zusätze in ca. zehn Wochen einträfen (siehe Br. 155.7–8). Durch andere Arbeiten abgehalten, war Engels jedoch bis zum 22. Juli 1891 mit dem Manuskript beschäftigt. (Siehe Engels an Laura Lafargue, 20. Juli 1891 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5710); Engels: Der Ursprung der Familie ... 4. Auflage. Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ I/29. S. 721.)

1042

180 Friedrich Engels an Pasquale Martignetti in Rom London, Samstag, 24. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1112/K 473. Die Postkarte hat das Format 139 × 88 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befindet sich die Anschrift. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite ein Poststempel: „Londo[n] A 4[xx] 90“. Die Briefmarke auf der Karte ist abgeschnitten, die dadurch entstandenen Textverluste (Z. 2–4) konnten rekonstruiert werden. Engels beantwortet den Brief Martignettis vom 18. Mai 1890 (Br. 174). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 364; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. VARIANTENVERZEICHNIS 180.3

: A. : ERLÄUTERUNGEN

180.3–4

Der Brief von Engels an Antonio Labriola, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Mai 1890, ist nicht überliefert.

180.6

Martignetti hatte um die Jahreswende 1889/1890 erwogen, nach Argentinien auszuwandern. Siehe seinen Brief an Engels, 18. Dezember 1889 (Br. 58.5–7 und Erl.).

1043

181 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Rom, Dienstag, 27. Mai 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5024. Fotosign. 1118a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, hat Labriola die Rückseite einer Postkarte vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Roma 28 5–90 8 M Ferrovia“ (zweimal) und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Labriola antwortet auf den nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Mai 1890 (siehe Br. 180.3–4). Erstveröffentlichung: Labriola: Lettere a Engels (1927). S. 800; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 181.5

1044

Labriola wandte sich in der kommenden Zeit zweimal an Eduard Bernstein. Am 6. Juni 1890 schrieb er in der Form eines Briefes eine Korrespondenz aus Rom (siehe [Antonio Labriola:] Ich fürchte die Arbeit nicht ... [Gez.:] x.y.o. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 24, 14. Juni 1890. S. 1, Sp. 1–3. Rubrik: Aus Italien). Zum Schreiben vom 16. Juni 1890 siehe Labriola: Carteggio. Vol. 3. Brief Nr. 1085. S. 43/44 und S. 44, Anm. 2.

182 Pasquale Martignetti an Friedrich Engels in London Benevento, Mittwoch, 28. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3755/L V 542. Fotosign. 8407. Die Postkarte hat das Format 138 × 79 mm. Martignetti hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Benevento 28. 5–90 S 11“ und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Martignetti antwortet auf den Brief von Engels vom 24. Mai 1890 (Br. 180). Erstveröffentlichung: Marx, Engels: La corrispondenza con italiani (1964). S. 365; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 182.2–3

Engels hatte, einer Bitte Martignettis folgend, sich bei Labriola und Vittorio Lollini bedankt. Siehe Br. 180.3–4.

182.5

mia moglie ] Giuseppina Collarile.

1045

183 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Donnerstag, 29. Mai 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 223 × 177 mm. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Streichungen mit Rotstift (Z. 3–60 und 73–77), die den Kürzungen in der Erstveröffentlichung entsprechen. Engels antwortet auf die Briefe Sorges vom 30. April (Br. 159) und 15. Mai 1890 (Br. 172). Sorge antwortete am 5. Juni 1890 (Br. 189). Zwei beigelegte Briefe von Engels, wahrscheinlich gleichfalls vom 29. Mai 1890 (Z. 64 sowie Z. 70 und Erl.), sind nicht überliefert, da Engels sie nach der Rücksendung durch Sorge vernichtet hat (siehe Engels an Sorge, 30. Juni 1890 (Br. 231.6–7)). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 341/342; vollständig: in russischer Übersetzung МЭС ➀ 28 (1940). S. 216–219; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 408–410. VARIANTENVERZEICHNIS 183.83

&c $auf ñ

183.84

: Durchführung : ERLÄUTERUNGEN

183.3–4

[Friedrich Engels:] Die Socialisten und die Hydepark-Demonstration. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 112, 10. Mai 1890. S. 2, Sp. 2/3 (MEGA➁ I/31. S. 252/253). Engels hatte vorgeschlagen, Teile seines Briefes an Sorge vom 30. April 1890 (siehe Br. 158.3–63) in der amerikanischen Arbeiterpresse zu veröffentlichen (siehe Br. 158.64–66).

183.4

F[riedrich] A[dolph] Sorge, H[ermann] Schlüter: Erklärung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 22, 31. Mai 1890. S. 4, Sp. 2. Siehe Erl. 172.6–7.

183.5–6

Ein Abdruck der Erklärung im „Berliner Volksblatt“ konnte nicht ermittelt werden.

183.17

Motteler ist ein Krippenbeißer ] Siehe Engels an Sorge, 7. Dezember 1889 (Br. 48.82–85).

1046

183. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 29. Mai 1890

183.55

Hyde Park Meeting ] Die Demonstration am 4. Mai 1890, siehe Engels an August Bebel, 9. Mai 1890 (Br. 168.53–83) und an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169.6–33).

183.56

Zur weiteren Entwicklung des Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day siehe Erl. 158.31.

183.57–58

Die „New Yorker Volkszeitung“ berichtete in dem Konflikt zwischen Edward Aveling und der amerikanischen Socialist Labor Party Ende 1886 zugunsten des National Executive Committee der SLP (Merkel-Melis: „... wir werden die Sache ...“ S. 51).

183.59

Bernsteins ] Eduard und Regina Bernstein.

183.59

ihrer Kinder ] Ernst und Käte Schattner.

183.61

Ursprung ] Engels: Der Ursprung der Familie ... 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125–271). Siehe Erl. 138.25–34.

183.61–62

das letzte Werk von Morgan ] Morgan: Houses and house-life ... 1881. Paul Lafargue hatte Engels am 25. März 1890 auf das Buch aufmerksam gemacht, siehe Br. 120.23–29. Zu den Bemühungen Sorges, es ihm zu beschaffen, siehe Sorge an Engels, 5. Juni (Br. 189), 17. Juni (Br. 199.1–2), 24. Juni (Br. 204.1), 30. Juni (Br. 211.1–2) und 3. Juli 1890 (Br. 216.1–2).

183.64

inl. Brief ] Der Brief an das Departement ist nicht überliefert. Siehe S. 1046.

183.64

zwei Ex. des Buchs ] Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884. Siehe auch Br. 231.4–5 und Erl.

183.70

zwei Zeilen an Ely ] Der Brief ist nicht überliefert. Siehe Br. 231.6–7 und S. 1046.

183.72–73

die Sache über die Einleitung zum Hydepark Meeting ] Siehe Br. 158.3–63 und Erl. 158.64–66.

183.79–81

Zur Berichterstattung über das Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day in „The People’s Press“ siehe Erl. 168.83.

183.84

Pariser Kongresses ] Der Internationale Arbeiter-Kongreß in Paris vom 14.–20. Juli 1889 (siehe Erl. 1.6).

183.88–89

Eine Veröffentlichung dieser Briefstelle ließ sich nicht ermitteln.

183.90–91

einen längeren Artikel über die hiesigen Geschichten ] Engels: ˙ ˙ ˙˙23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 259–264). Der 4. Mai in London.

183.92

Deine Frau ] Katharina Sorge.

1047

184 Robert Edward Dell an Friedrich Engels in London London, Samstag, 31. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1107/L III 32–2. Fotosign. 8140. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, grauem Papier im Format 224 × 178 mm. Dell hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „10, Delamere Terrace, Westbourne Square. W.“ Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Vermerk mit Bleistift auf der zweiten Seite: „Dell“. Archivsignatur: „II 21 K 160 b“. Die überlieferte Beilage (Z. 4) siehe unten. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. Wiedergabe der Beilage Einladung für eine Veranstaltung der Fabian Society. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1108/L III 32. Fotosign. 14794. The Fabian Society Soire´e at the Banqueting Hall, St. James’s Restaurant, Regent Street, W., on Monday, June 9th, 1890, at 8 p.m. Admit Mr F. Engels Introduced by Robert E. Dell Music.

Tea and Coffee. ERLÄUTERUNG

184.3

1048

Zur Fabian Society siehe Erl. 97.4–5.

185 Paul Ernst an Friedrich Engels in London Görbersdorf, Samstag, 31. Mai 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1799/L III 264. Fotosign. 7300a–b. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 115 × 180 mm. Ernst hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite ein mit schwarzer Tinte quer geschriebener Vermerk „P. Ernst – 2 Juni 90 Btw. 5.?“ Engels beantwortete den Brief am 5. Juni 1890 (Br. 188). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Ф. Энгельсу по вопросам исторического материализма (1982). S. 456; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 185.6–7

Paul Ernst: Frauenfrage und sociale Frage. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. H. 15, 14. Mai 1890. S. 423–426. Zu Paul Ernst als Literaturkritiker siehe Fülberth: Proletarische Partei und bürgerliche Literatur. S. 55–62.

185.7–8

Hermann Bahr: Die Epigonen des Marxismus. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. H. 17, 28. Mai 1890. S. 469–472. Rubrik: Zur Frauenfrage. – Ernst antwortete auf Bahrs Artikel unter Bezugnahme auf die Antwort von Engels vom 5. Juni 1890 (Br. 188). Siehe Paul Ernst: Frauenfrage und Geschlechtsfrage. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. H. 21, 25. Juni 1890. S. 569/570.

185.12–13

P[aul] E[rnst]: Die skandinavische Frauenbewegung und ihr Ausgang. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 21, 24. Mai 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 22, 31. Mai 1890. S. 2, Sp. 2/3.

1049

186 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Montag, 2. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 250/L I 103. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 bzw. 140 × 224 mm. Bebel hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste ist leer. Die fünfte Seite hat Bebel paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „78“ (gestempelt). Bebel beantwortet Engels’ Brief vom 9. Mai 1890 (Br. 168). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 392–395. ERLÄUTERUNGEN 186.3

Glückwünsche zur Verlobung ] Siehe Br. 168.10 und Erl.

186.3

unserer Kleinen ] Frieda Bebel.

186.4

meiner Frau ] Julie Bebel.

186.4

Reise nach den Ver. Staaten ] Siehe Br. 168.12–14.

186.6

Schwiegersohn ] Ferdinand Simon.

186.9

Russenartikel ] Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179– 209). Siehe Br. 168.27–30.

186.12–16

A[ugust] B[ebel]: Die russische Anleihe. In: Vorwärts. Berlin. Nr. 226, 27. September 1891. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 2; derselbe: Die europäische Lage und der Sozialismus. [Bericht.] Ebenda. Nr. 235, 8. Oktober 1891. Beil. S. 3, Sp. 1–3. Engels begrüßte den Artikel Bebels ausdrücklich (Engels an Bebel, 29. September 1891, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 101).

186.19–22

Wilhelm Liebknecht: [Rede am 16. Mai 1890 im Reichstag bei der ersten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. In: Sten. Ber. RT, 8/1. Bd. 1. S. 99–105.

186.24

August Bebel: [Rede am 25. Juni 1890 im Reichstag bei der zweiten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. Ebenda. S. 565– 574.

1050

186 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Montag, 2. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 250/L I 103. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 bzw. 140 × 224 mm. Bebel hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste ist leer. Die fünfte Seite hat Bebel paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „78“ (gestempelt). Bebel beantwortet Engels’ Brief vom 9. Mai 1890 (Br. 168). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 392–395. ERLÄUTERUNGEN 186.3

Glückwünsche zur Verlobung ] Siehe Br. 168.10 und Erl.

186.3

unserer Kleinen ] Frieda Bebel.

186.4

meiner Frau ] Julie Bebel.

186.4

Reise nach den Ver. Staaten ] Siehe Br. 168.12–14.

186.6

Schwiegersohn ] Ferdinand Simon.

186.9

Russenartikel ] Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I–III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. Teile I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, Teil III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179– 209). Siehe Br. 168.27–30.

186.12–16

A[ugust] B[ebel]: Die russische Anleihe. In: Vorwärts. Berlin. Nr. 226, 27. September 1891. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 2; derselbe: Die europäische Lage und der Sozialismus. [Bericht.] Ebenda. Nr. 235, 8. Oktober 1891. Beil. S. 3, Sp. 1–3. Engels begrüßte den Artikel Bebels ausdrücklich (Engels an Bebel, 29. September 1891, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 101).

186.19–22

Wilhelm Liebknecht: [Rede am 16. Mai 1890 im Reichstag bei der ersten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. In: Sten. Ber. RT, 8/1. Bd. 1. S. 99–105.

186.24

August Bebel: [Rede am 25. Juni 1890 im Reichstag bei der zweiten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. Ebenda. S. 565– 574.

1050

186. August Bebel an Engels · 2. Juni 1890

186.25–30

[Friedrich von Bernhardi:] Videant consules ne quid respublica detrimenti capiat. Kassel 1890. Bebel ging auf die Broschüre in seiner Reichstagsrede am 25. Juni 1890 ein (Sten. Ber. RT, 8/1. Bd. 1. S. 567/568).

186.32

Wahlen vom 20. Febr. ] Siehe Erl. 107.3–4.

186.36

die kaiserlichen Erlaße ] Siehe Erl. 103.13. Siehe auch [August Bebel:] Die Internationale Konferenz der Regierungen ... [Korrespondenz:] Berlin, 31. März. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 14, 4. April 1890. S. 10, Sp. 2, bis S. 11, Sp. 1. Rubrik: Ausland. Deutschland.

186.41–42

Die sozialdemokratische Fraktion brachte im Mai 1890 im Reichstag einen Entwurf für ein Arbeiterschutzgesetz ein (Gesetz, betreffend die Abänderung der Titel I, II, VII, IX, X und der Schlußbestimmungen der Gewerbeordnung für das Deutsche Reich (Anl. 25). In: Sten. Ber. RT, 8/1. Anlagebd. 1. S. 128– 134). Der Entwurf wurde von einer Kommission des Reichstages beraten, die zwischen dem 3. und 21. Juni 1890 tagte. Am 3. Juni 1890 fand die erste Sitzung der Kommission statt, die am 20. Mai 1890 vom Reichstag eingesetzt worden war. Sie sollte eine Gesetzesvorlage zur Novellierung der Arbeiterschutzbestimmungen in der Gewerbeordnung beraten – Inhalt einer von Kaiser Wilhelm II. initiierten Novelle Preußens im Bundesrat, der sie an der Reichstag überwiesen hatte. Kommissionsmitglieder aus der sozialdemokratischen Fraktion waren August Bebel, Heinrich Dietz und Karl Grillenberger. In dieser Sitzung wurde auch darüber debattiert, ob ein bereits im Mai von den Sozialdemokraten eingebrachter Gesetzesentwurf zugelassen werden sollte. (Ebenda; Ausbau und Differenzierung der Sozialpolitik ... S. XXIII/XXIV und 93/94; Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 326.)

186.46

Elberf. Prozeß ] Siehe Erl. 9.44 und Bebel an Engels, 2. Januar 1890 (Br. 71.6–32).

186.49–50

Zu den bevorstehenden Veränderungen siehe Paul Singer an Engels, 13. Mai 1890 (Br. 171.7–44) sowie Erl. 110.33–34 und 168.51–52.

186.51–52

Julius Motteler wurde bis 1901 in Deutschland steckbrieflich verfolgt und blieb so lange in London. Die SPD beschäftigte ihn mit verschiedenen Arbeiten. (Siehe Pospiech: Julius Motteler ... S. 177–190.)

186.53–54

Auf dem Parteitag in Halle (12.–18. Oktober 1890) wurde ein Organisationsstatut beschlossen; im § 17 wurde das „Berliner

1051

186. August Bebel an Engels · 2. Juni 1890

Volksblatt“ unter dem Haupttitel „Vorwärts“ zum Zentralorgan der Partei bestimmt. Die Zeitung erschien ab 1. Januar 1891 mit dem neuen Namen: „Vorwärts. Berliner Volksblatt“. (Protokoll Halle 1890. S. 8.) 186.57

seine Frau ] Natalie Liebknecht.

186.62–64

Zu Engels’ Bemühungen, Natalie Liebknecht für einen Umzug nach Berlin zu gewinnen, siehe Engels an Natalie Liebknecht, 19. Juni 1890 (Br. 201.3–24).

186.69

meiner Frau ] Julie Bebel.

1052

187 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London New York, Dienstag, 3. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5547/L VIII 191. Fotosign. 12014a–d. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt festem, weißem, liniertem Papier im Format 250 × 201 bzw. 125 × 201 mm. Schlüter hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste zur Hälfte. Die erste Seite des Blatts hat er mit „2“ paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Schlüter beantwortet Engels’ Briefe vom 11. und 15. Januar 1890 (Br. 80 und 90). Engels antwortete ihm am 14. Juni 1890 (Br. 196). Die Beilagen (Z. 27) sind nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

KORREKTURENVERZEICHNIS 187.10

Marx ] H Marx’

ERLÄUTERUNGEN 187.6

Reid betreffend ] Siehe Br. 80.8–10 und 90.1–2 sowie Erl. 60.3–6.

187.10–18

F[riedrich] Engels: Karl Marx. In: Volks-Kalender 1878. Braunschweig [1877]. S. 90–95 (MEGA➁ I/25. S. 100–111). Engels gab die gewünschte Erlaubnis (Br. 196.3) und Schlüter ergänzte den Artikel durch den Abdruck des größten Teils von Engels’ Nachruf auf Marx aus dem Bericht im „Sozialdemokrat“ (Fr[iedrich ] Engels: Das Begräbniß von Karl Marx. In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 13, 22. März 1883. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1 (MEGA➁ I/25. S. 407–413 und S. 643/644)) sowie durch zwei eigene Anmerkungen, die auf den Seiten 44/45 des Kalenders erschienen. Der ergänzte Abdruck wurde unter demselben Titel veröffentlicht in: Pionier. Illustrirter Volks-Kalender für 1891. New York [1890]. S. 41–44. Schlüter schickte den Kalender an Engels, der den Empfang am 29. Januar 1891 bestätigte (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1449). Zu Schlüters Bemerkungen dazu siehe seinen Brief an Engels vom 19. November 1890 (Br. 356.24–28).

187.24

2. Artikel über G. Weerth ] Siehe Br. 80.7 und Erl.

1053

187. Hermann Schlüter an Engels · 3. Juni 1890

187.25

den „Schnaphahnsky“ ] Georg Weerth: Leben und Thaten des berühmten Ritters Schnapphahnski. Hamburg 1849.

187.27

2 kleine Sachen über unsern Silberschwindel ] Es konnte nicht ermittelt werden, um welche Texte es sich handelte. Siehe auch Schlüter an Engels, 19. November 1890 (Br. 356.21–22) und Engels an Schlüter 29. Januar 1891. 1878 wurde ein Gesetz beschlossen, daß das Finanzministerium (Treasury) verpflichtete, Silber zu vermünzen, um die Geldmenge zu erhöhen; dies führte kurzzeitig zur einer Verbesserung der Lage des Agrarsektors. 1887 brachen die Preise für Land und Farmen ein, und der Congress beschloß 1890 einen neuen Silver Purchase Act. Dieser befriedigte weder die Vertreter des Agrarsektors noch die Befürworter einer unbeschränkten Ausmünzung von Silber. (Siehe The Pullman strike and the crisis of the 1890s. S. 4; siehe auch M. Gramm, P. Gramm: The free silver movement in America. S. 1108–1129 und Ford: The Cleveland era. Kap. 8 und 9).

187.29–30

Zur Rückkehr von Sergej Sˇevicˇ nach Rußland siehe Erl. 159.14–17.

187.33

Jonasleben ] Alexander Jonas.

187.37

Die hiesige Partei ] Zur Socialist Labor Party siehe Erl. 8.4–7.

187.41–43

Zur Entwicklung der Central Labor Union siehe Erl. 221.16–17.

187.52

Im Herbst 1890 wurden Kommunal-, Staats- und Bundeswahlen durchgeführt. Daniel De Leon von der nationalistischen Bewegung trat für die Gründung einer allgemeinen Oppositionspartei ein. Diese Versuche scheiterten, und De Leon schloß sich mit seiner kleinen Anhängerschaft der Socialist Labor Party an. (Seretan: Daniel de Leon. S. 42–44.) Siehe auch Friedrich Adolph Sorge an Engels, 9. Juli und 14. Oktober 1890 (Br. 221.15–19 und 313.44–55).

187.56

der Laden ] Siehe Schlüter an Engels, 12. Dezember 1889 (Br. 52.5–6). Schlüter hatte Engels am 1. Juli 1889 mitgeteilt, daß er einen Laden für Geschenkartikel („Fancy Store“) übernommen habe (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign L 5544).

187.60

Meine Frau ] Anna Schlüter.

1054

188 Friedrich Engels an Paul Ernst in Berlin London, Donnerstag, 5. Juni 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 502/K 200. Fotosign. IS 38a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 177 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 18 A 3 II m“. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten „1a“ bis „1r“; ein Vermerk mit Bleistift auf der ersten Seite oben rechts: „N = 25“. Engels beantwortet den Brief von Ernst vom 31. Mai 1890 (Br. 185). Erstveröffentlichung: gekürzt: Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst. In: Berliner Volksblatt. Nr. 232, 5. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2 (siehe Erl. 188.18–89); vollständig in russischer Übersetzung: Фридрих Энгельс о литературе (1931). S. 7–10, 13 und 15; vollständig in der Sprache des Originals: In: Friedrich Engels über Literatur (1932). S. 274–276.

VARIANTENVERZEICHNIS 188.3–4

188.4–5

Ich bedaure Ihren Wunsch nicht erfüllen zu können, Ihnen einen Brief zu schreiben den Sie gegen Herrn Bahr benutzen könnten. > Ich kann leider bis Herrn Bahr. müßte mich in eine öffentliche Polemik mit demselben verwickeln

> verwickelte mich in eine öffentliche Polemik mit demselben 1 wir wollenþ 188.11–12

Bestrebungen mehr oder weniger alter,

norwegi2 gischer Jungfern > Lukubrationen bürgerlicher & spießbürgerlicher Streberinnen

188.17

nachsagt > zumuthet

188.18

Was $Ihre Auffassung resp. % Ihren Versuch

188.20–21

Studium, sondern als fertige Schablone behandelt wird > Studium behandelt wird, sondern als fertige Schablone

188.22

sie > Sie

188.23

mir $verm ñ

1055

188. Engels an Paul Ernst · 5. Juni 1890 (Entwurf)

188.23

: kleinen :

188.27

Vorstellung > Anschauung

188.30

Erstens $daß ñ

188.33

abzunöthigen, $daß ñ

188.33–34

da Norwegen die Gelegenheit benutzte > da Norwegen die Gelegenheit fand > da fand Norwegen die Gelegenheit

188.34

: weit :

188.35

irgend $etwas, das ñ

188.35

: gleichzeitige :

188.36–37

daß Norwegen in den letzten 20 Jahren einen literarischen Aufschwung erlebt hat > hat Norwegen bis Aufschwung erlebt

188.41

1 Wenn Sie diese Thatsachen erwägen so werden Sie zugeben 2 ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ 3 Diese ″ 4 ″ ″ machen es in meinen Augen nö1 müssen daß mit der Einrangirung der Norweger unter die ″ diese ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ 2 ″ 3 sind ″ ″ ″ ″ ″ ″ ″ 4 thig, 1 Klasse der Spießbürger, & speciell der Spießbürger nach deut″ ″ , ″ ″ ″ ″ ″ ″ 2 ″ 3 ″ ″ ″ , ″ ″ ″ ″ ″ ″ 4 1 schem Musterþ 2 ″ ″ nicht grade verträglich sind, daß es also Noth ″ ″ ″ ″ ; es tut also Noth, 3 ″ 4 2 thut, das 3 ″ 4 ″

188.42

auf seine Besonderheiten näher zu untersuchen > einigermaßen bis zu untersuchen

188.46

entwickelten > ausgebildeten

188.49

alle andern Völker > fast alle andern großen Völker

188.51

ergriff $& hat ñ

188.52

specifisch > allgemein

188.58

: auf die Spitze getriebne :

1056

188. Engels an Paul Ernst · 5. Juni 1890 (Entwurf)

188.59

ist. $Es ist klassisch nur durch das auf die äußerste Spitze getriebne, outrirte Kleinbürgerthum. % Der

188.60

ist > steht

188.65

Gesellschaft$, und x ñ$. Hier war der Bauer ñ

188.65–66

von keiner gewaltsamen Unterwerfung, keinem Zurückwerfen in $eben % veraltete Zustände die Rede. Das Land ist vermöge seiner 1 die Rede von keinem Isolirung hinter andern zurückgeblieben > 2 nicht die Rede von gewaltsamem Zurückwerfen in veraltete Zustände

188.67–68

isolirt & deßhalb > durch Isolirung & Naturbedingungen

188.68–69

ist vollständig seinen Produktionsbedingungen angemessen geblieben > war bis angemessen

188.71 188.72

großen > stärksten ˙˙ : gerade :

188.73

das Dampfschiff > der Dampf

188.74

Segelflotte mit jedem Jahr > Segelschiffahrt

188.75

Welt, $die ñ

188.77

in $das ñ

188.81

aus dem freien Bauern hervorgegangen > der Sohn des freien Bauern

188.82

: Spießer :

188.85

kleine, > kleine &

188.88

sonderbar > absonderlich

188.88

handeln können > handeln

188.89 188.91

aburtheile. š $Übrigens ñ ˙˙˙ jetzige Generation von deutschen Schriftstellern > Leute in Deutschland

188.92

Der Witz > Witz & Humor

188.92

scheinen $in Deutschland % mehr

188.93

& selbst die Juden scheinen alles Mögliche zu thun um ihren angebornen Witz im tiefsten Schacht zu vergraben. > & Langweiligkeit Bürgerpflicht zu sein.

188.96–97

denn ob sie weiß, schwarz, gelb, braun oder roth ist > denn sie muß entweder weiß, : oder : schwarz, gelb, braun oder roth sein

1057

188. Engels an Paul Ernst · 5. Juni 1890 (Entwurf)

188.100

Was bleibt > Was > Was bleibt

188.100

sie > Sie

188.101–102 : , und „die Frau

bis

zeigt sich? :

188.102

: anthropopitheca :

188.103

: „rein handgreiflich & durchschaulich“, : ERLÄUTERUNGEN

188.8

nordische Frauenbewegung ] Siehe Br. 185.6–7 und Erl. – Siehe auch Hoock-Demarle: Frauen und Frauenempanzipation in Engels’ Briefen.

188.18–89

Diese Passagen hat Engels in seine öffentliche Erwiderung übernommen. Siehe Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst. In: Berliner Volksblatt. Nr. 232, 5. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 281.4–282.35).

188.33

Gemeint ist „La Charte constitutionelle du 4 juin 1814“. Siehe auch Jardin, Tudesqu: La France des notables. T. 1. S. 18–20.

188.33–34

Im Februar 1814 versammelten sich 112 gewählte Vertreter verschiedener sozialer Schichten in dem Ort Eidsvoll und nahmen nach längeren Verhandlungen eine vergleichsweise liberale Verfassung an. Diese Verfassung wurde weitgehend die Grundlage für die neue Verfassung nach der im November 1814 beschlossenen Union mit Schweden (Arbeidernes Leksikon. Bd. 5. Sp. 586–588).

188.54–55

„vaterlandslos“ ] Möglicherweise bezog Engels sich auf die Bezeichnung der Sozialdemokraten als „Vaterlandslose“ im deutsch-französischen Krieg; sie fand seit September 1870 bei Nationalliberalen, Konservativen, der Presse und in Regierungskreisen Verbreitung, nachdem die Sozialdemokraten sich gegen eine Fortführung des Krieges nach der Gefangennahme Napole´ons III. ausgesprochen hatten. (Groh, Brandt: Vaterlandslose Gesellen. S. 23; siehe auch Manifest des Ausschusses der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei zum Deutsch-Französischen Krieg von Anfang September 1870 (MEGA➁ I/21. S. 1062–1066 und 2268–2279).) – Wilhelm II. hat später bei verschiedenen Anlässen diese Formulierung aufgegriffen ([Wilhelm II.:] Das persönliche Regiment. S. 25 (1897), 59 (1895) und 65 (1900); Fesser: Vaterlandslose Gesellen. S. 269).

188.94–95

Hermann Bahr: Die Epigonen des Marxismus. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. H. 17, 28. Mai 1890. S. 469–472. Rubrik: Zur Frauenfrage. Siehe Erl. 185.7–8 und 199.8–9.

1058

189 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 5. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5902/L VIII 547. Fotosign. 11183. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „Hoboken N. J. Jun 6 6 AM 90“ und „London-N. T 7 Ju 16 90“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke. Auf der Rückseite steht ein Teil des Stempels: „Lo[ndon] Ju[ ] 90“. Sorge antwortet auf den Brief von Engels vom 29. Mai 1890 (Br. 183). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 189.2

Einlagen ] Zwei Briefe, um das letzte Buch von Morgan (siehe Erl. 189.3) für die Neuauflage des „Ursprungs ...“ zu erhalten. Siehe Engels an Sorge, 29. Mai 1890 (Br. 183.61–71).

189.3

das Buch ] Morgan: Houses and house-life ... 1881, siehe ebenda. Zu den Bemühungen Sorges, Engels das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

1059

190 John Lincoln Mahon an Friedrich Engels in London London, Freitag, 6. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3702/L V 491. Fotosign. 8864. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 177 mm. Wasserzeichen: „[Joy]nson [Supe]rfine“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „J. L. Mahon, 5, Claremont Sq., London, N.“ Mahon hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite ein mit Tinte geschriebener Vermerk „6 June 90 JLMahon not answered“. ˙ ˙ ˙irrtümlicherweise ˙ Datierung der Erstveröffentlichung: 8. Juni 1890. Erstveröffentlichung: Thompson: William Morris (1955). S. 874. ERLÄUTERUNG 190.3–4

1060

Die Ursache der Unstimmigkeit zwischen Engels und Mahon ließ sich nicht ermitteln.

191 Paul Engelmann an Friedrich Engels in London Budapest, Samstag, 7. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1388/L III 244. Fotosign. 7304a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 175 mm. Er trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Paul Engelmann, Redacteur der „Arbeiter-Wochen-Chronik“, VII., Lindengasse 59 b.“ Engelmann hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite ein mit schwarzer Tinte geschriebener Vermerk: „Engelmann Budapest 7/6/90“. Erstveröffentlichung: in ungarischer Übersetzung: Vincze: Engelman Pa´l ke´t – Edding ismeretlen – Levele Engels frigyeshez (1958). S. 166; in der Sprache des Originals: Vincze: Briefwechsel zwischen Friedrich Engels und den ungarländischen Sozialdemokraten (1890–1895) (1970). S. 345. ERLÄUTERUNG 191.3–4

Die Reorganisation der ungarischen Arbeiterbewegung in den Jahren 1889/1890 fand mit dem Gründungskongreß der Ungarländischen Sozialdemokratischen Partei am 7. und 8. Dezember 1890 ihren Abschluß (siehe Lengyel: Die Einwirkung der deutschen und österreichischen Sozialdemokratie ... S. 174–185; Hitchins: Hungary. S. 352/353).

1061

192 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Montag, 9. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3333/L V 354–1. Fotosign. 8877. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 260 × 205 mm. Er trägt auf der ersten Seite oben links den aufgedruckten Briefkopf der Zeitung „L’Ide´e Nouvelle“ (siehe S. 1018). Le´pine hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite ein Vermerk mit schwarzer Tinte „9 June 90 – Idee Nouvle“. Le´pine antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 22. Mai 1890 (siehe S. 1019). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 192.3–4

In seinem nicht überlieferten Brief hatte Engels offensichtlich auf seine Augenkrankheit verwiesen, der Redaktion jedoch einen anderen Text zur Veröffentlichung angeboten. Siehe Erl. 162.4–6.

192.5–6

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. April, Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–248).

192.7–9

Die französische Übersetzung des Artikels erschien in „L’Ide´e Nouvelle“ von August bis Oktober 1890 unter dem Titel „La politique exte´rieure du czarisme russe“. Siehe Jules Le´pine an Engels, 24. Juni 1890 (Br. 203 und Erl.).

1062

193 Friedrich Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son in Sankt Petersburg London, Dienstag, 10. Juni 1890

Originalhandschrift: British Library, Sign. Add MSS. 38075, f 54–55. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 178 ×114 mm. Wasserzeichen: „Bodlein Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu drei Vierteln, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite unten links Numerierung: „16“ (gestrichen) mit Rotstift. Zur Datierung: Der Brief ist die Antwort auf die Schreiben Daniel’sons vom 30. Dezember 1889 (Br. 67), 22. Januar 1890 (Br. 95), 24. Februar 1890 (Br. 106) und 17. Mai 1890 (Br. 173). Die angeführten Briefe und der Stand der Arbeiten an der 4. Auflage des ersten Bandes des „Kapitals“ sprechen eindeutig für das Jahr 1890. Daniel’son antwortete Engels am 18. Juni 1890 (Br. 200). Datierung der Erstveröffentlichung: 10. Juni 1891. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Карла Маркса и Фридриха Энгельса к Николаю-ону (1908). S. 223–225; in der Sprache des Originals: MECW 48 (2001). S. 506/507. VARIANTENVERZEICHNIS

193.48

feudal > landlord ˙ ˙˙ transformed > declared

193.48

into > to be

193.52

common > clan-land

193.40

ERLÄUTERUNGEN 193.3

18th Decbr. ] Daniel’son hatte seinen Brief nach dem damals in Rußland gebräuchlichen julianischen Kalender datiert (Br. 67.1).

193.4 193.5

Mr. Lafargue’s article ] Siehe Br. 173.4 und Erl. ˙˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ I wrote to him ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 21. Mai 1890 (Br. 176.4–10).

193.7

His wife ] Laura Lafargue.

193.11–13

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). Der Band erschien Anfang November 1890.

1063

193. Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son · 10. Juni 1890

193.14–15

Nach Marx’ Tod hatte Daniel’son in seinem Brief an Eleanor Marx-Aveling vom 16. (28). März 1883 vorgeschlagen, Marx’ Briefe an ihn zum Kopieren zur Verfügung zu stellen (Kopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 3, d. 176). Zur Übersendung der Briefe nach London siehe Daniel’son an Engels, 7. (19.) April 1887 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1029) sowie Engels’ Antwort vom 24. April 1887 (British Library. Add MSS.38075, f 45). Am 8. April 1889 hatte Daniel’son Engels um die Rücksendung der Briefe gebeten (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1031). Siehe auch Daniel’son an Engels, 18. Juni 1890 (Br. 200.26). Die Rücksendung zog sich noch bis 1891 hin. Siehe Engels an Daniel’son, 2. September 1891 (British Library. Add MSS. 38075, f 56–56v) und Daniel’son an Engels, 21. September 1891 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1043).

193.15

the author’s youngest daughter ] Eleanor Marx-Aveling.

193.24

ˇ ernysˇevskij. Н. Г. Ч. ] Nikolaj Gavrilovicˇ C

193.26

your congratulations ] Engels meint die Glückwünsche Daniel’sons zum Ergebnis der Reichstagswahlen in dessen Brief vom 24. Februar 1890 (Br. 106).

193.30–32

(Н. Н. Черненковъ) Крестьянскій кредитъ въ Московской губерніи по сообщеніямъ г.г. корреспондентовъ. In: Статистическій ежегодникъ по Московской губерніи за 1889 г. Москва 1889. S. 1–53. Siehe Daniel’son an Engels, 22. Januar 1890 (Br. 95.22–23).

193.48

John Davies: Historical tracts. Dublin 1787. – Engels hat Auszüge aus diesem Werk angefertigt. (Siehe Engels: Exzerptheft V. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. J. 16. S. 1–8 und 13–15; siehe auch MEGA➁ I/21. Erl. 208.13.)

193.49–50

Gemeint ist der niedergeschlagene Jacobitische Aufstand von 1745/46.

193.58

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1883. S. 754 (MEGA➁ II/8. S. 683/684, Fußnote 217). Die Textstelle befindet sich im 2., nicht im 3. Unterpunkt des 24. Kapitels.

193.61

P. W. Rosher ] Siehe Erl. 46.1.

1064

194 Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels in London Nizza, Donnerstag, 12. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6349/L IX 269. Fotosign. 11634a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 179 mm. Wasserzeichen: „Verge Franc¸ais“ und Ornament. Wierzejski hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: violette Tinte. Engels antwortete mit einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 12. und 16. Juni 1890 (Wierzejski an Engels, 16. Juni 1890 (Br. 198.4–5 und 32)). Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce. T. 2 (1960). S. 290/291; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 280/281.

1065

195 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Freitag, 13. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2842/L V 283. Fotosign. 3152. Die Postkarte hat das Format 140 × 92 mm. Kugelmann hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: blaue Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „Hannover 14 6 90 8–9 V 2b“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Engels antwortete am 30. Juni 1890 (Br. 209). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 195.4–5

[William Beatty Kingston: ] Prince Bismarck at Friedrichsruh. In: The Daily Telegraph. London. Nr. 10 938, 10. Juni. S. 7, Sp. 5– 7; Nr. 10 939, 11. Juni 1890. S. 7, Sp. 5–7.

195.6–7

den Meinigen ] Gertrud und Franziska Kugelmann.

1066

196 Friedrich Engels an Hermann Schlüter in New York London, Samstag, 14. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1448/K 602. Fotosign. 246,7. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 178 × 126 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Schlüters vom 3. Juni 1890 (Br. 187). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 224; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 416. ERLÄUTERUNGEN 196.3

Biographie von Marx ] F[riedrich] Engels: Karl Marx. In: Volks˙ ˙ ˙ ˙˙1878. Braunschweig [1877]. S. 90–95 (MEGA➁ I/25. Kalender S. 100–111). Siehe Erl. 187.10–18.

196.5

Fr[iedrich ] Engels: Das Begräbniß von Karl Marx. In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 13, 22. März 1883. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1 (MEGA➁ I/25. S. 407–413).

196.6

Zur Ernennung Schlüters zum Chefredakteur der „New Yorker Volkszeitung“ siehe Br. 187.34–36. Siehe auch Friedrich Adolph Sorge an Engels, 13. August 1890 (Br. 244.4–5 und Erl.)

196.7–8

Unter Freikonservativen und Nationalliberalen sowie in höfischen Kreisen erhoben sich Stimmen gegen das allgemeine, gleiche, direkte und geheime Stimmrecht. Sie schlugen sich in Presseorganen wie der „Kölnischen Zeitung“ und der „National-Zeitung“ und in Äußerungen des freikonservativen Abgeordneten Wilhelm von Kardorff nieder; auch in der Umgebung Wilhelms II. wurde eine derartige Forderung u. a. seitens Friedrich von Holsteins laut. (Engelberg: Bismarck. Das Reich in der Mitte Europas. S. 567; Röhl: Wilhelm II. S. 330–332 und 450.)

196.11

Deine Frau ] Anna Schlüter.

196.11–12

daß sie gesunder ist ] Siehe Br. 187.60–61.

1067

197 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Oxford, Montag, 16. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 616/L II 19. Fotosign. 7419. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 178 mm. Bonnier hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der dritten Seite der quer geschriebene Vermerk „16 June 90 – Bonnier A 18 “. Die Beilage (Z. 4–5) ist nicht überliefert (siehe Erl. 197.4–5). Engels’ Antwort vom 18. Juni 1890 ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 197.4–5

Bei dem Brief von Jules Guesde an Charles Bonnier könnte es sich um einen durch Wasserschaden weitgehend unleserlichen Brief mit dem vermuteten Datum [Juni 1890] handeln (IISG, Guesde-Nachlaß, Sign. Nr. 191/1).

197.5–6

Jules Guesde trat eine solche Reise Ende August an. Sie führte ihn zunächst nach Marseille und am 21. September 1890 nach Troyes. Auf der Versammlung der Pariser Agglome´ration (siehe Erl. 28.7) vom 4. September 1890 berichtete Guesde laut einem Polizeibericht über seine Agitationsreise. Zudem war er nach eigener Auskunft auch in Lyon und St. Etienne und wollte ab Ende September zu weiteren Stationen reisen. (A Marseille. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 32, 31. August 1890. S. 3, Sp. 2 ; Troyes. Ebenda. Nr. 35, 21. September 1890. S. 3, Sp. 1/2. Rubrik: Le Parti ouvrier en France; Archives de la pre´fecture de police, Dossier Agglome´ration parisienne 1888–1890, Sign. APP Ba 1484; Archives Nationales, Police generale, Sign. F 7, 13966).

197.13–14

Charles Bonnier hatte Wilhelm Liebknecht im Frühjahr eine Agitationsreise in Frankreich vorgeschlagen. Siehe Charles Bonnier an Wilhelm Liebknecht, 29. April 1890 (IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. Nr. 75/30–31). Tatsächlich beabsichtigte Liebknecht im Sommer, nach London und Paris zu fahren; er ließ den Plan jedoch auf Grund anderer Verpflichtungen fallen.

1068

197. Charles Bonnier an Engels · 16. Juni 1890

197.15–16

Zwischen dem 9. März und dem 19. Juni 1890 ist der Briefwechsel zwischen Engels und Wilhelm Liebknecht nicht überliefert. Offensichtlich hatte Liebknecht vor dem 9. März 1890 Engels mitgeteilt, daß er nach London kommen wolle. Am 9. März bat Engels ihn um genauere Angaben (Br. 112.52–53), und am 19. Juni 1890 ließ er Liebknecht wissen, wann er nach London kommen und bei ihm wohnen könne (Br. 202.3–26). Die geplante Reise kam jedoch auf Grund des Umzugs der Familie Liebknecht von Leipzig nach Berlin nicht zustande. Siehe Liebknecht an Gabriel Deville 28. August 1890 (Archives Nationales. Paris, Fonds G[abriel] Deville, Sign. 51 AP 3, E 12– 14).

197.21–26

Richard Wagner: Der Ring des Nibelungen. Erster Tag. Die Walküre. 2. Aufzug, 1. Auftritt.

197.27

Vermutlich bezog sich Bonnier auf: Die Edda, die ältere und die jüngere nebst den mythischen Erzählungen der Skalda. Übers. und mit Erl. begl. von Karl Simrock. Tübingen, Stuttgart 1851; dort dürfte wahrscheinlich die Wölsungen Sage gemeint sein, in der die Frage der Geschwisterliebe auftaucht, um die es im Wagnerschen Duett zwischen Wotan und Fricka geht.

1069

198 Jo´zef Wierzejski an Friedrich Engels in London Nizza, Montag, 16. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6350/L IX 268. Fotosign. 11633a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 179 mm. Wasserzeichen: „Verge Franc¸ais“ und Ornament. Wierzejski hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: violette Tinte. Wierzejski antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 12. und 16. Juni 1890 (Z. 4–5 und 32 sowie Wierzejski an Engels, 12. Juni 1890 (Br. 194)). Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce. T. 2 (1960). S. 292–294; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 282/283. ERLÄUTERUNGEN 198.34

Sa premie`re lettre ] Siehe Walery Wro´blewski an Engels, 6. Juli 1890 (Br. 219).

198.36

les tristes personnages dont je vous ai dit ] Siehe Br. 194.6–11.

1070

199 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 17. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5903/L VIII 548. Fotosign. 11184. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Jun 17 10 AM“ sowie eine aufgedruckte und abgestempelte 2-Cent-Briefmarke. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf Engels’ Brief vom 29. Mai 1890 (Br. 183). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 199.1

Morgan’s Buch ] Morgan: Houses and house-life ... 1881. Zu den Bemühungen Sorges, Engels das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

199.3

Sonntagsblätter ] Die geschickten Sonntagsblätter der „New Yorker Volkszeitung“ sind nicht überliefert. Von Sorge könnte stammen: Der Klassenkampf. Ein Br. an einen Gegner desselben. [Gez.:] A. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 24, 15. Juni 1890. S. 4, Sp. 4/5.

199.8–9

Eine Zeitschrift dieses Namens aus den USA ist nicht bekannt (Arndt und Olson: Die deutschsprachige Presse der Amerikas). Möglicherweise handelt es sich um die „Freie Bühne für modernes Leben“ aus Berlin; zwei Hefte von 1890 waren Engels bereits von Paul Ernst zugeschickt worden (siehe Br. 185.5–8 und Erl.).

1071

200 Nikolaj Francevicˇ Daniel’son an Friedrich Engels in London Sankt Petersburg, Mittwoch, 18. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1039/L III 23–21. Fotosign. 1295a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, blauem, kariertem Papier im Format 270 × 208 mm. Daniel’son hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite ein mit schwarzer Tinte geschriebener Vermerk: „18/6/90 Dan“. Von unbekannter Hand: „Daniels No 90 “. Daniel’son beantwortet Engels’ Brief vom 10. Juni 1890 (Br. 193). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка Ф. Энгельса с Николаем-оном (1930). S. 102/103; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 200.3

Daniel’son hatte Engels ein unveröffentlichte Manuskript von Paul Lafargue übersandt, das der Zensur zum Opfer gefallen war. Engels hatte das Manuskript an Lafargue zurückgeschickt, siehe Br. 193.4–7 sowie Daniel’son an Engels, 17. Mai 1890 (Br. 173.4 und Erl.).

200.8

Daniel’son hatte Engels mitgeteilt, daß Anna Evreinova die Zeitschrift „Сѣверный Вѣстникъ“ verkauft habe. Siehe Br. 173.3–4.

200.12–13

“there is bis country” ] Siehe Br. 193.18–19: „I thank you very much for your continued & interesting information respecting the economic condition of your great country.“

200.22–25

Siehe Nikolaj Alekseevicˇ Kablukov an Daniel’son, 1. Juni 1890 (RGASPI, Sign. f. 199, op. 1, d. 70).

200.26

the letters of our author ] Siehe Br. 193.14–15 und Erl.

1072

201 Friedrich Engels an Natalie Liebknecht in Berlin London, Donnerstag, 19. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 988/K 415–3. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „Ea30“ bis „Ea32“. Engels beantwortet vermutlich einen nicht überlieferten Brief von Natalie Liebknecht, geschrieben vor dem 19. Juni 1890 (Z. 3–4 und 13). Engels hat den Brief wahrscheinlich in einem Umschlag mit dem Brief an Wilhelm Liebknecht vom 19. Juni 1890 (Br. 202) geschickt. Siehe S. 1075. Datierung der Erstveröffentlichung: September 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 250/ 251; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 369–371. VARIANTENVERZEICHNIS 201.35

ist, $& durch die ñ ERLÄUTERUNGEN

201.11–12

August Bebel hatte Engels am 2. Juni 1890 gebeten, Wilhelm Liebknecht aufzufordern, nach Berlin umzuziehen; Bebel hatte darauf hingewiesen, besonders Natalie Liebknecht hänge an Leipzig, siehe August Bebel an Engels, 2. Juni 1890 (Br. 186.57).

201.13

märkischen Sahara ] Die Mark Brandenburg bestand weitgehend aus Sandboden, sie wurde gelegentlich auch „des Heiligen Römischen Reichs Streusandbüchse“ genannt.

201.14

Die Briefe von Engels an Paul Singer, geschrieben zwischen dem 13. Mai und 19. Juni, sowie an Wilhelm Liebknecht, geschrieben zwischen dem 2. und 19. Juni 1890, sind nicht überliefert. Zum Bemühen Singers, Liebknecht und Bebel für einen Umzug nach Berlin zu gewinnen, siehe Paul Singer an Engels, 13. Mai 1890 (Br. 171.13–15 und 31–32); zum Entschluß Bebels siehe August Bebel an Engels, 2. Juni 1890 (Br. 186.54–56). Siehe auch Reuter: Singer. S. 209.

1073

201. Engels an Natalie Liebknecht · 19. Juni 1890

201.18

Zur Neuorganisation der sozialdemokratischen Partei siehe Br. 186.53–54 und Erl. sowie Erl. 310.4.

201.25–28

Ein Plan zu einer von Ferdinand Lassalle und Marx gemeinsam redigierten Tageszeitung in der Tradition der „Neuen Rheinischen Zeitung“ wurde 1861 in Berlin diskutiert, nicht 1858. Siehe auch Lassalle an Marx, 19. Januar, Marx an Engels 29. Januar, Engels an Marx 6. Februar, Marx an Engels 14. Februar, 27. Februar und 7. Mai, Marx an Lassalle, 8. und 29. Mai 1861 (MEGA➁ III/11. Br. 205.147–149, 211.23–30, 220.24–31, 228.11–18, 243.15–18, 294.77–117, 296.30–37 und 302.16– 22). (Siehe Dlubek: Auf der Suche nach neuen politischen Wirkungsmöglichkeiten ... S. 156–161; derselbe: Marx’ Hinwendung ... S. 266–270.)

1074

202 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Donnerstag, 19. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1048/K 451. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 220 × 135 mm. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Viertel, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf dem Briefumschlag befinden sich die Adresse, ein Poststempel: „London-N. [...]“ und eine Briefmarke zu 2 1/2 Penny. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „Ea33“ bis „Ea35“ sowie des Briefumschlages „Ea30b“. Engels beantwortet einen vermutlich vor dem 19. Juni 1890 geschriebenen, nicht überlieferten Brief Liebknechts; dieser war eine Antwort auf einen zuvor geschriebenen, nicht überlieferten Brief von Engels, der ebenfalls vor dem 19. Juni 1890 geschrieben wurde. Beide werden von Charles Bonnier in seinem Brief an Engels vom 16. Juni 1890 erwähnt (Br. 197.15–16 und Erl.); Engels selbst erwähnt seinen Brief an Wilhelm Liebknecht im Brief an Natalie Liebknecht vom 19. Juni 1890 (Br. 201.14). Siehe auch Verzeichnis der nicht überlieferten Briefe S. 1381–1387. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: К 40-летию со дня смерти Энгельса (1935). S. 112/113; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 368/369; die Adresse auf dem Briefumschlag wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 202.4

Engels und Carl Schorlemmer unternahmen vom 1. bis 26. Juli 1890 eine Kreuzfahrt nach Norwegen. Siehe auch Engels an Liebknecht, 22. Juli 1890 (Br. 226.6–8).

202.5

Mein Arzt ] Vermutlich Dr. Read, siehe Engels an Paul Lafargue, 2. November 1890 (Br. 337.5).

202.10–11

Laura Lafargue war im Juni 1890 in London, siehe Engels an Nikolaj Daniel’son, 10. Juni 1890 (Br. 193.7). Sie reiste etwa am 1. Juli 1890 zusammen mit Helena Demuth und Jenny Longuet zurück nach Paris, siehe Engels an Laura Lafargue, 4. Juli 1890 (Br. 218.3 und 24).

202.14

Die Sitzung des Reichstags wurde am 2. Juli 1890 vertagt.

202.27

Eine der politischen Nachwirkungen des Sturzes Bismarcks war eine Neuorientierung der Außenpolitik des Deutschen Rei-

1075

202. Engels an Wilhelm Liebknecht · 19. Juni 1890

ches; hierzu gehörte der Abschluß des Helgoland-SansibarVertrages am 1. Juli 1890. In diesem überließ Großbritannien dem Deutschen Reich die Insel Helgoland im Austausch gegen die Insel Sansibar. (Mommsen: Großmachtstellung und Weltpolitik. S. 113.) 202.34

1076

O nein bis größer sein ] Kehrreim der ersten fünf Strophen in dem Gedicht „Was ist des Deutschen Vaterland?“ von Ernst Moritz Arndt.

203 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Dienstag, 24. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3334/L V 354–2. Fotosign. 8678. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 260 × 205 mm. Er trägt auf der ersten Seite den Aufdruck „L’Ide´e Nouvelle Revue Sociale et Litte´raire 8, Rue du Croissant, 8. Paris“ und rechts „Paris, le 189 “. Le´pine hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: Vermerke mit schwarzer Tinte: „Sent 28 June“ auf der ersten Seite unten links und „27 June 90 L’Idee´ Nouvelle “ auf der vierten Seite. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 203.3

Le´pine wiederholt hier seine am 9. Juni 1890 geäußerte Bitte (Br. 192.7–9). Engels schickte – seiner Notiz auf dem Brief zufolge am 28. Juni – offensichtlich die deutsche Fassung (siehe Erl. 136.3–4) und nicht, wie wie Le´pine erwartet hatte, die englische (Br. 192.5–6 und Erl.). Die deutsche Fassung lag der französischen Übersetzung in „L’Ide´e Nouvelle“ zugrunde (siehe Erl. 162.4–6).

1077

204 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 24. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5904/L VIII 549. Fotosign. 11185 Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Jun 25 8 30 AM“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf den Brief von Engels vom 29. Mai 1890 (Br. 183). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 204.1–2

Bis jetzt bis nehmen, ] Zu den Bemühungen Sorges, Engels das Buch von Morgan über „Houses and house-life ...“ zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

204.5

Die Zeitung „Le Combat“, Paris, erschien bis 1895; Sorge meint vermutlich den Rücktritt der sozialistischen Redaktion am 31. Mai 1890. Siehe auch Erl. 35.18–25.

1078

205 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Pankow bei Berlin, Mittwoch, 25. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5575/L VIII 216. Fotosign. 2219a–f. Der Brief besteht aus zwei Bogen festem, weißem Papier im Format 284 × 219 mm. Schmidt hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Die Passage „Eindruck bis gelesen.“ (Z. 54–55) ist auf der vierten Seite am linken Rand quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der achten Seite ein mit Tinte geschriebener Vermerk „A 5/6 Aug “. Schmidt beantwortet Engels’ Brief vom 12. April 1890 (Br. 145). Engels antwortete ihm am 5. August 1890 (Br. 237). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Ф. Энгельсу по вопросам исторического материализма (1982). S. 457–459; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 205.13–14

Es ließ sich nicht ermitteln, welche Artikel von Schmidt stammen könnten.

205.15–17

Bevor Max Schippel eine Haft für politische Vergehen antrat, zog er sich Ende Juli 1890 von der Redaktion der „Berliner Volks-Tribüne“ zurück. Der Posten des Redakteurs wurde Conrad Schmidt übertragen. Ende des Jahres 1890 wurde Schmidt als Redakteur durch Paul Ernst abgelöst. (Siehe Max Schippel: Nachdem ich tatsächlich bereits ... In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 32, 9. August 1890. S. 1, Sp. 3. Rubrik: An die Leser!; Conrad Schmidt: Ich brauche nach den Worten ... ebenda. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Rubrik: An die Leser!; Bernstein: Die Geschichte der Berliner Arbeiter-Bewegung. Bd. 2. S. 316–318. Siehe auch Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 57.)

205.17–18

Socialistengesetzes ] Siehe Erl. 9.64.

205.20

schnelle, freundliche Auskunft ] Siehe Br. 145.6–29.

205.29–30

Siehe Schmidt an Engels, 26. September 1889 (IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. L 5571) sowie Engels an Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.36–43 und Erl.).

1079

205. Conrad Schmidt an Engels · 25. Juni 1890

205.32

Tribüne ] „Berliner Volks-Tribüne“.

205.32–34

Conrad Schmidt: Soziale Frage und Bodenverstaatlichung. Berlin 1890. (Berliner Arbeiterbibliothek. Ser. 2. H. 3.)

205.38

den beiden Brauns ] Heinrich und Adolf Braun.

205.38–39

des Archivs ] „Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik“.

205.42

die Blaubücher ] Offizielle Publikationen von Untersuchungskommissionen und Regierungsbehörden im Auftrag des britischen Parlaments, „Blue books“ genannt nach ihrem blauen Einband. Berichte von Kommissionen und Behörden über die Untersuchung z. B. von sozialen Problemen oder von Fragen der auswärtigen Politik werden seit dem 17. Jahrhundert herausgegeben.

205.47

Loria: [Rezension zu: ] Die Durchschnittsprofitrate ... Siehe Br. 145.60–76 und Erl.

205.49–50

Conrad Schmidt: Ein Wort zur Abwehr. In: Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik. Jena. N. F. Bd. 21. 1890. S. 49– 51.

205.52–55

Schmidt meinte wahrscheinlich die Ausgabe aus dem ReclamVerlag: Edward Bellamy: Ein Rückblick aus dem Jahre 2000 auf 1887. Übers. nach ... der ... Originalausg. Leipzig 1890. In Deutschland erschienen 1890 und 1891 sechs verschiedene Übersetzungen von bzw. Auszüge aus Bellamy: „Looking backward ...“. (Bowman [u. a.]: Bellamy abroad. S. 494.) Siehe auch Erl. 8.7–8 und Friedrich Adolph Sorge an Engels, 14. Januar 1890 (Br. 87.28–30).

205.57–58

Paul Barth: Die Geschichtsphilosophie Hegel’s und der Hegelianer bis auf Marx und Hartmann. Ein kritischer Versuch. Leipzig 1890. Siehe auch die Briefe zwischen Schmidt und Engels vom 5. August, 20. und 27. Oktober 1890 (Br. 237.29–45, 326.59–77 sowie 333.214–225 und Erl.).

205.67–68

Das Referat konnte nicht ermittelt werden.

205.71–72

von denen bis schrieb ] Siehe Schmidt an Engels, 1. April 1890 (Br. 128.12–21).

1080

206 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Samstag, 28. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 645/L II 50. Fotosign. 10037a–b. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 212 × 274 mm. Wasserzeichen: „F. M.“ unter Ritter mit Schwert von Zweigen umkränzt. Der Brief trägt auf der ersten Seite links den Aufdruck: „Agence Maritime Transports Ge´ne´raux Transit Commission – Consignation Affreˆtements Grains Engrais Charbons Agents du Service Re´gulier a` Vapeur entre Hull & Dunkerque Armateurs: Thos. Wilson, Sons & Co, Hull Transports Directs pour toutes les villes de L’Angleterre, de L’E´cosse et de L’Irlande Correspondance avec Hambourg, Anvers, Rotterdam, Gothenbourg, Stockholm, Christiansand, Christiania, Stavanger, Bergen, Drontheim, Copenhague, Stettin, Dantzig, Libau, Riga, Cronstadt, St-Petersbourg, Constantinople, Odessa, Taganrog, Naples, Messine, Palerme, Trieste, Venise, Bari, Alexandrie, Bombay, Boston, New York Entrepots Concessionaire des Magasins Ge´ne´raux Warrants Adresse te´le´graphique: Bourdon, Dunkerque – Te´le´phone“ (links). „Ct Bourdon & Cie, Dunkerque, le ... 18.“ (rechts). Borkheim hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite oben ein mit Tinte geschriebener Vermerk: „F. Borkheim 1 July 90. “ Die Antwort von Engels vom 30. Juni bzw. 1. Juli 1890 ist nicht überliefert (siehe Borkheim an Engels, 1. Juli 1890 (Br. 212.3)). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 206.3–4

Sig[is]mund Borkheim: Erinnerungen eines deutschen Achtundvierzigers. Bearb. von Reinhold Rüegg. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 3. S. 125–139; H. 5. S. 204–222; H. 6. S. 253–271; H. 7. S. 305–325.

206.3–4

Frederick Borkheim hatte Engels mehrmals besucht und kannte offenbar die Hausbewohner (siehe Gemkow: Der alte Engels und der junge Borkheim. S. 226 und 228).

1081

207 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in London London, Sonntag, 29. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 498/L I 294. Fotosign. 7147. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 113 × 177 mm. Bernstein hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels Hand: auf der zweiten Seite ein Vermerk mit Bleistift: „Ede Jüd Sektion“. Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 363. ERLÄUTERUNGEN 207.5–6

Der jüdische sozialdemokratische Verein „Vorwärts“ in London bereitete eine Übersetzung des „Kommunistischen Manifests“ von Marx und Engels ins Jiddische vor. Siehe [Eduard Bernstein:] Eine Neu-Auflage des Kommunistischen Manifestes. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 33, 16. August 1890. S. 1, Sp. 1–3. (Andre´as: Le manifeste communiste ... S. 148, 153/ 154 und 198/199; Siehe auch Jacobs: Engels and „the Jewish Question“ ... S. 19.)

207.7

Pariser Congreß ] Siehe Erl. 1.6.

1082

208 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Eichwald, Sonntag, 29. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4981/L VII 78. Fotosign. 8831a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 288 × 226 mm. Meyer hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der ersten Seite oben befindet sich ein aufgedruckter Briefkopf mit einer Ansicht und dem Aufdruck: „Curhaus ,Theresienbad‘ in Eichwald bei Teplitz in Böhmen“ und darunter die Datumszeile „Eichwald, den ... 188 .“, in die Meyer das Briefdatum einfügte. Meyer beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen Anfang Mai und 29. Juni 1890 (siehe Z. 4 und Meyer an Engels, 18. April 1890 (Br. 152.22–23)). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 208.4

Meyer hatte Engels um Fotografien von Engels, Marx, Jenny Marx und Laura Lafargue gebeten. Siehe Br. 152.6.

208.9

meine Familie ] Mathilde und Otto Meyer.

208.13

Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. I und II als revidierter Abdruck aus H. 4, April, S. 145–154, III. S. 193–203 (MEGA➁ I/31. S. 179–209). Vermutlich hatte Engels ihm das Mai-Heft der „Neuen Zeit“ mit dem vollständigen Abdruck des Artikels geschickt.

208.13–15

[Johann Karl] Rodbertus-Jagetzow: Briefe und Socialpolitische Aufsaetze. Hrsg. von R[udolph] Meyer. Bd. 1.2. Berlin (1880); (R[udolph] Meyer:) Schlusswort des Herausgebers. Ebenda. Bd. 2. S. 699–752, insbesondere S. 715–718.

208.16–17

die Bismarckschen Zeitungen bis Ephialtes ] Ein entsprechender Artikel konnte nicht ermittelt werden. Ein Grieche namens Ephialtes soll der Überlieferung nach durch seinen Verrat dem persischen Heer ermöglicht haben, die Schlacht bei Thermopylä (480 v. Chr.) nach zwei Tagen erfolgloser Angriffe noch zu gewinnen.

1083

208. Rudolf Meyer an Engels · 29. Juni 1890

208.18–24

Wahrscheinlich bezieht sich Rudolf Meyer auf zwei seiner Schriften. In der ersten, Rudolf Meyer: Der Emancipationskampf des vierten Standes. Bd. 1. 2. verm. Aufl. Berlin 1882. S. 461–463, weist er die „Beschuldigung des Landesverrathes“ (S. 461) zurück. Er wiederholt seine früheren Äußerungen mit dem Hinweis, daß man Behauptungen nicht widerlegen könne durch die Bezeichnung als Verräter (S. 462) und verweist erneut auf die „vom Reichskanzleramt publicirten Handelsausweise(n)“ (S. 463). In der zweiten Schrift, in seinem Nachwort zu Rudolf Meyer: Das Heimstätten- und andere Wirtschaftsgesetze ... Berlin 1883. S. 624–627, fordert er, nach einer eher allgemeinen Polemik gegen die „Norddeutsche Allgemeine Zeitung“, die „jetzigen Grossgrundbesitzer(n)“ auf, nur Produkte anzubauen, „die das Volk gebraucht, nicht Schnaps und Zucker für das Ausland“ (S. 627). Ebensowenig dürften sie „eine künstliche Erhöhung der Grundrente durch agrarische Schutzzölle“ betreiben (ebenda).

208.25–28

Siehe Friedrich Engels: Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai (MEGA➁ I/31. S. 203.38–204.12).

208.29–32

Mit der Thronbesteigung Kaiser Aleksandrs III (1881) und der Rückkehr zur uneingeschränkten Autokratie kam es in Rußland zu einer „Nationalisierung“ am Hof und in der Verwaltung. Diese ging mit einer Russifizierung in Behörden, Schulen und weiteren staatlichen Einrichtungen einher. Panslawische Ideen hatten im Zarenreich seit den 1860er Jahren zunehmend Verbreitung gefunden. Die Idee eines panslawischen Imperiums war jedoch nie Bestandteil offizieller russischer Regierungspolitik. (Siehe Torke: Einführung in die Geschichte Rußlands. S. 170–175; Kohn: Die Slawen und der Westen. S. 190/191.)

208.46

Johannes Miquel war am 24. Juni 1890 zum preußischen Finanzminister ernannt worden (Kassner: Der Steuerreformer Johannes von Miquel. S. 38–40). – Siehe auch Meyer an Engels, 24. März 1890 (Br. 119.18–20).

208.48

die Gothaher ] Im damaligen Sprachgebrauch wurden die Mitglieder der ehemaligen Mehrheit der Deutschen Nationalversammlung als Gothaer bezeichnet. Nach der gescheiterten Revolution 1848/1849 erklärten sie sich auf einer Versammlung vom 26. bis 28. Juni 1849, dem Gothaer Nachparlament, im Sinne Preußens für den Entwurf einer bundesstaatlichen Verfassung für Deutschland. Gothaer hießen seitdem alle, die eine bundesstaatliche Verfassung für Deutschland unter konstitutio-

1084

208. Rudolf Meyer an Engels · 29. Juni 1890

nellen Formen mit einem preußischen Erbkaisertum (Erbkaiserpartei) anstrebten und damit auch eine „kleindeutsche“ Lösung akzeptierten. (Lexikon zur Parteiengeschichte. Bd. 1. S. 626; Lexikon der deutschen Geschichte. S. 475.) 208.48

die Welfen ] Siehe Erl. 110.14.

208.50

Zu den sozialpolitischen Erlassen von Wilhelm II. siehe Erl. 103.13.

1085

209 Friedrich Engels an Louis Kugelmann in Hannover London, Montag, 30. Juni 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4904. Fotosign. 154a–b. Die Postkarte hat das Format 140 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke und der Poststempel: „London N. W. 46 Ju 30 90“. Von Engels’ Hand: auf der Vorderseite: ein mit lila Tinte quer geschriebener Vermerk „empf. h. A.1/7 1890.“. Engels beantwortet Kugelmanns Postkarte vom 13. Juni 1890 (Br. 195). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 359; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 421; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 209.2

1086

die No des Daily Telegraph ] Siehe Erl. 195.4–5. ˙ ˙˙ ˙ ˙˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙

210 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Montag, 30. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1049/K 452. Die Postkarte hat das Format 140 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke sowie die Poststempel: „London N. W. 4 6 Ju 30 90“ und „Bestellt vom Postamte 29 2. 7. 90 7 [xxx] 9 1/2 V“. Von unbekannter Hand: auf der Vorderseite oben mit Bleistift das Datum: „30. VI 1890“; auf der Rückseite die Numerierung: „97“. Engels antwortet auf einen nicht überlieferten Brief Liebknechts, den dieser vermutlich zwischen dem 19. und 30. Juni 1890 (Engels an Liebknecht, 19. Juni 1890 (Br. 202) und Z. 1) geschrieben hat. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung МЭС ➀ 28 (1940). S. 226; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 371; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 210.1

Engels antwortete auf die vermutliche Bitte Wilhelm Liebknechts, eine Gegendarstellung zur Notiz „Make a note of this!“ (Justice. London. Nr. 336, 21. Juni 1890. S. 2, Sp. 4) zu veröffentlichen. Die Wochenzeitung hatte dort unter Berufung auf Paul Brousse behauptet, daß Liebknecht im Namen der deutschen Sozialdemokratie gesagt habe: „Wir sind keine Revolutionäre.“ Siehe „Vor einigen Wochen veröffentlichte ...“ In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 27, 5. Juli 1890. S. 4, Sp. 1/2.

210.4–5

Ferdinand Gilles: German Social-Democrats still revolutionists. To the editor of Justice. In: Justice. London. Nr. 337, 28. Juni 1890. S. 3, Sp. 3. Gilles erklärte, daß die deutsche Partei weiterhin eine revolutionäre Partei sei. Kurze Zeit später widerrief er teilweise seine Kritik an Liebknecht: Ferdinand Gilles: To the editor of Justice. Ebenda. Nr. 339, 12. Juli 1890. S. 3, Sp. 4. – Siehe auch die anschließende Polemik zwischen Gilles und dem „Sozialdemokrat“: Der Bürger Gilles läßt nicht nach ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 29, 19. Juli 1890. S. 4, Sp. 1/2; Der „Sächsischen Arbeiterzeitung “ wird a u s L o n d o n geschrieben ... Ebenda. S. 3, Sp. 1/2.

1087

210. Engels an Wilhelm Liebknecht · 30. Juni 1890

210.6

Liebknecht befolgte den Rat von Engels vom 1. August 1890 (siehe Br. 232.3–4 und Erl.).

210.7

Richard Dell ] Robert E. Dell.

210.9–10

Nach der Aufhebung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) sollten Leitung und Zentralorgan der Sozialdemokratie nach Berlin verlegt werden. Wilhelm Liebknecht und namentlich seine Frau wollten zunächst in Leipzig bleiben. Auf Bitte von August Bebel (siehe Bebel an Engels, 2. Juni 1890 (Br. 186.57)) riet Engels am 19. Juni in einem Brief an Natalie Liebknecht zu einem Umzug (siehe Br. 201), zu dem sich die Familie letztlich entschloß.

1088

211 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Montag, 30. Juni 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5905/L VIII 550. Fotosign. 11186. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Jul 1 6 AM“ sowie eine aufgedruckte 2-CentBriefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 30. Juli 1890 (Br. 231). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 211.1

Morgan: Houses and house-life ... 1881. Zu den Bemühungen Sorges, Engels das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

1089

212 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Dienstag, 1. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 646/L II 51. Fotosign. 10039. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 222 × 179 mm. Borkheim hat zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „5“. Borkheim beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 30. Juni 1890 (Z. 3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 212.4

The „Neue Zeit“ numbers ] Siehe Br. 206.3–4 und Erl.

212.5

C. B. & Co ] Ct. Bourdon & Cie.

1090

213 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Dienstag, 1. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2843/L V 282. Fotosign. 3153. Die Postkarte hat das Format 140 × 92 mm. Kugelmann hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: blaue Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „Hannover 1. 7. 90. 9–10 V /2b“ (zweimal) und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Kugelmann beantwortet den Brief von Engels vom 30. Juni 1890 (Br. 209). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 213.2–3

Kugelmann hatte Engels gebeten, ihm zwei Nummern des „Daily Telegraph“ zu besorgen. Siehe Br. 195.4–5 und Erl.

213.3

der Artikel ] Siehe Erl. .

213.4

M. de Bismarck. In: Le Petit Journal. Paris. Nr. 10 030, 12. Juni 1890. S. 2, Sp. 3/4. In „Le Figaro“ war ein Auszug bzw. eine Wiedergabe des Interviews nicht zu ermitteln.

213.5–6

Als 62jähriger Mann hat ... In: Frankfurter Zeitung und Handelsblatt. Nr. 175, 24. Juni 1890. S. 1, Sp. 1/2. Rubrik: Politische Übersicht. Zur Ernennung Johannes Miquels zum preußischen Finanzminister siehe Erl. 208.46. Zur früheren Einschätzung Kugelmanns von Miquel siehe Louis Kugelmann an Marx, 19. Februar 1865 (MEGA➁ III/13. S. 257/258).

213.7

ceteris paribus ] Unter sonst gleichen Umständen (lat.).

213.7

Jacques Necker hatte versucht, vor der Revolution 1789 in Frankreich Reformen zur Aufrechterhaltung der bestehenden Ordnung durchzuführen (Vovelle: La chute de la monarchie ... S. 106–108).

1091

214 Oscar Eisengarten an Friedrich Engels in London London, zwischen Dienstag, 1. und Samstag, 5. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1365/L III 227. Fotosign. 7283. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Eisengarten hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Eisengarten hatte 2 £ von Engels geliehen, die er bis zum 1. Juli zurückzahlen wollte (Br. 178.9–10). Am Samstag, dem 5. Juli, wollte er den Betrag persönlich vorbeibringen (Br. 214.8). Der Brief ist demnach zwischen dem 1. und 5. Juli 1890 geschrieben. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1092

215 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London St. Gilgen bei Salzburg, Donnerstag, 3. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2642/L V 134. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 176 mm. Wasserzeichen: „Victoria Mill“ und eine Krone über Wappenschild mit Anker. Kautsky hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: ein Vermerk „60“ mit Bleistift eingesetzt nach dem Wort „nun“ (Z. 12). Engels antwortete am 5. August 1890 (Br. 235). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 256/257. ERLÄUTERUNGEN 215.4

Kautsky hatte Engels zuletzt am 6. Mai 1890 geschrieben (Br. 164).

215.7

„Die Neue Zeit“ erschien ab dem 1. Oktober 1890 nicht mehr monatlich, sondern wöchentlich.

215.15–17

Die Wochenzeitung „Der Sozialdemokrat“ (London) wurde Ende September 1890 eingestellt. Ihr Redakteur Eduard Bernstein arbeitete danach u. a. als Korrespondent für „Die Neue Zeit“.

215.22

Bernstein hatte sich bei Kautsky über Wilhelm Liebknechts unzuverlässige Mitarbeit am „Sozialdemokrat“ beklagt, siehe Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 18. Januar und 1. Juni 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 118 und D V 124).

215.38

Apokalypse ] Offenbarung des Johannes, wichtigste neutestamentliche Quelle zur Geschichte des Urchristentums. Engels wie auch Kautsky hatten sich mit der Geschichte des frühen Christentums befaßt (siehe Friedrich Engels: Zur Geschichte des Urchristentums. Entstehung und Überlieferung. In: MEGA➁ I/32. S. 1118). Die Johannes-Apokalypse war Gegenstand des wahrscheinlich im Juli 1883 entstandenen Artikels von Engels „The Book of Revelation“ (MEGA➁ I/30. S. 8–13).

215.42

Sozialistengesetzes ] Siehe Erl. 9.64.

215.43–44

Engels sagte einen Beitrag für die „Neue Zeit“ unter dem Titel „Von den letzten Dingen“ zu (siehe Br. 235.8–13 und Erl.).

1093

215. Karl Kautsky an Engels · 3. Juli 1890

215.45–47

Engels schickte Kautsky die Adresse von Sorge und schrieb selbst an ihn. Siehe Engels an Kautsky, 5. August 1890 (Br. 235.17–18) und Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. August 1890 (Br. 258.16–17). Sorge veröffentlichte in der „Neuen Zeit“ in den kommenden Jahren mehrere Artikel über die amerikanische Arbeiterbewegung.

215.51

meiner Frau ] Luise Kautsky.

1094

216 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 3. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5906/L VIII 551. Fotosign. 11187. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Jul 3 6 PM“ sowie eine aufgedruckte 2-CentBriefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 30. Juli 1890 (Br. 231). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 216.1

Morgan: Houses and house-life ... 1881. Zu den Bemühungen Sorges, Engels das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

1095

217 Edouard Anseele an Friedrich Engels in London Gent, Freitag, 4. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 95/L I 11–1. Fotosign. 7026. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 214 × 270 mm. Anseele hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Samenwerkende Maatschappij Vooruit No 1 Hoofdbureel Garenmarkt, Gent Broodfabriek Apotheken Magazijn van Kleederen en Ellegoederen Kruidenierswaren Boteren Kaashandel Kolen Schoen- en Ledermagazijn Telegraphisch Adres: Vooruit, Gent Telefoon“. Von Engels’ Hand: auf der Rückseite quer geschrieben ein Vermerk mit Tinte: „Juli 90 – Anseele A. 5 Aug.“ Engels’ Antwort vom 5. August 1890 ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Vermote, Callesen: Brieven aan Engels (2004). S. 22.

ERLÄUTERUNGEN 217.3

In dem Jahrzehnt von 1885 bis 1895 wuchs die Arbeiterbewegung in Gent zu einer weitverzweigten Massenbewegung an, die bei Wahlen von etwa zwei Dritteln der Arbeiter gestützt wurde. Die Mitgliederzahl der Genossenschaften (10 000), der Gewerkschaften (12 000) und der Versicherungsgesellschaften (35 000) war beträchtlich. (Vanschoenbeek: Novecento in Gent. S. 67 und 146.)

217.3–5

1884 gewann die Katholieke Partij/Parti catholique die Parlamentswahlen und behielt für 30 Jahre die Regierungsgewalt (Renard: La conqueˆte du suffrage universel ... S. 73; siehe auch De Christelijke Arbeidersbewegung in Belgie. Bd. 1. S. 62–81).

217.12–14

Zu den Aufständen in den flämischen Gebieten im 13. und 14. Jahrhundert siehe Berings [u. a.]: De middeleeuwse revoltes. S. 3–17; Blockmans: Revolutionaire mechanismen in Vlaanderen ... S. 123–140.

217.17–18

Siehe Exage´rations socialistes. In: La Flandre Libe´rale. Gent. Nr. 170, 19. Juni 1890. S. 1, Sp. 3/4; die Zeitung führte ihre Kritik in den folgenden Nummern weiter (Nr. 183, 2. Juli; Nr. 191,

1096

217. Edouard Anseele an Engels · 4. Juli 1890

10. Juli und Nr. 205, 24. Juli 1890). Anseele schrieb unmittelbar darauf eine zweiteilige Antwort: Aan M. R. van de „Flandre“. In: Vooruit. Gent. Nr. 157, 7. Juli 1890. S. 1, Sp.1–3, und derselbe: Antwoord aan M. R. uit de „Flandre Libe´rale“. Ebenda. Nr. 167, 19. Juli 1890. S. 1, Sp. 2–4; im Anschluß verfaßte Anseele eine zehnteilige Antwort: Wat is kapitaal? In: Vooruit. Gent. Nr. 169, 22. Juli. S. 1, Sp. 3/4; Nr. 170, 23. Juli. S. 2, Sp. 3/4; Nr. 171, 24. Juli. S. 1, Sp. 3/4; Nr. 172, 25. Juli. S. 1, Sp. 2/3; Nr. 173, 26. Juli. S. 1, Sp. 2–4; Nr. 174, 28. Juli. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 175, 29. Juli. S. 2, Sp. 1/2; Nr. 176, 30. Juli. S. 2, Sp. 1–3; Nr. 177, 31. Juli. S. 2, Sp. 1–3; Nr. 180, 4. August. S. 1, Sp. 2/3. (Der erste Teil der zehnteiligen Antwort führte den Obertitel „De theorie der waarde“.) 217.19–20

Paul Fischer: Die Marx’sche Werttheorie. Zur Einführung in das Studium von Marx. Berlin 1889 (Berliner Arbeiterbibliothek. H. 9). Anseele könnte die Schrift aus einer kurzen, positiven Besprechung gekannt haben: Sozialistische Presse und Literatur. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 6, 8. Februar 1890. S. 4, Sp. 2. Siehe auch die Anzeige dazu: Ebenda. S. 4, Sp. 3. Eine flämische Übersetzung konnte nicht nachgewiesen werden. Fischer hielt sich 1889–1890 in London auf, siehe Paul Fischer an Engels, 21. und 23. August 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1828, L 1829).

1097

218 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux Odde, Freitag, 4. Juli 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5841. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S.“ Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „48“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 399. ERLÄUTERUNGEN 218.3

Nach ihrem Aufenthalt in London im Juni 1890 war Laura Lafargue mit ihrer Nichte Jenny Longuet und Helena Demuth nach Frankreich zurückgekehrt. Letztere blieb etwa drei Wochen dort, siehe Br. 202.16–17.

218.3

Engels und Carl Schorlemmer unternahmen vom 1. bis 26. Juli 1890 eine Kreuzfahrt nach Norwegen.

218.22

skolehus ] Schule.

1098

219 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Sonntag, 6. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6438/L IX 394. Fotosign. 11947a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wro´blewski hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die Nachschrift (Z. 14) steht auf der zweiten Seite des Bogens quer geschrieben; die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce (1960). S. 295; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 284. ERLÄUTERUNGEN 219.8–9

je recevrais mon argent ] Zu den Schwierigkeiten Wro´blewskis bei der Geldbeschaffung siehe seine Briefe an Engels, 12. Juli und 30. August 1890 (Br. 223.4–5 und 261.10–11).

219.14

Pums ] Mary Ellen Rosher.

1099

220 Friedrich Engels an Hermann Engels in Engelskirchen Trondhjem, Dienstag, 8. Juli 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4907. Fotosign. 533. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, ist das Schreiben eine Postkarte. Engels hat die (Rück)seite vollständig beschrieben. Die Karte wurde gelocht, die entstandenen Textverluste (Z. 2 und 9) konnten rekonstruiert werden. Von unbekannter Hand: Vermerke oben: „Juli 1890“, unten: „Postkarte an Hermann“ (auf dem Negativ). Hermann Engels antwortete am 20. September 1890 (Br. 282). Erstveröffentlichung: Mayer: Briefe von Engels an Mutter und Geschwister (1921). S. 151. ERLÄUTERUNGEN 220.1

nach dem Nordkap ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

220.11

Emma ] Emma Engels.

220.11

Deine Kinder ] Walter und Erna Engels. Siehe Erl. 77.62.

220.11

Rudolf ] Rudolf Engels.

220.11

Matilde ] Mathilde Engels.

220.11

Hedwig ] Hedwig Boelling.

1100

221 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 9. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5907/L VIII 552. Fotosign. 11188a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 252 × 200 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf den Brief von Engels vom 29. Mai 1890 (Br. 183). Engels antwortete am 30. Juli 1890 (Br. 231). Die Beilagen (Z. 7) sind nicht überliefert, sie wurden von Engels vernichtet (siehe Br. 231.6–7). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 221.6

Morgan: Houses and house-life ... 1881. Zu Sorges Bemühungen, das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

221.7

Lewis H[enry] Morgan: Ancient society, or researches in the lines of human progress from savagery, through barbarism to civilization. London 1877.

221.7

Begleitbriefe ] Siehe Br. 183.61–71.

221.8

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884 (MEGA➁ I/29. S. 7– 117).

221.10–12

Richard Theodore Ely: The needs of the city. An address delivered before the Boston conference of the Evangelical Alliance, December 4, 1889. New York 1890. Das von Sorge an Engels geschickte Exemplar konnte nicht ermittelt werden.

221.13

„Klatsch“ über Schlueter ] Siehe Br. 183.12–51.

221.16

Wahlkampagne eröffnet ] Zum Vorgehen der Sozialisten bei den Kommunal-, Staats- und Bundeswahlen im Herbst 1890 siehe Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.52 und Erl.)

221.16–17

Central Labor Union gesprengt ] Sorge spielt wahrscheinlich auf Auseinandersetzungen zwischen den beiden New Yorker Ge-

1101

221. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 9. Juli 1890

werkschaftskartellen, der Central Labor Union (CLU, siehe Erl. 109.31) und der Central Labor Federation (CLF), an. Einer der im Vordergrund stehenden Streitpunkte war die politische Tätigkeit von Gewerkschaften. Ein Teil der Gewerkschaften wollte zwar Einzelpersonen aus Parteien, nicht aber Parteien als institutionelle Mitglieder zulassen, andere befürworteten solche Mitgliedschaften. Im Februar 1889 hatte sich die CLF von der CLU abgespalten, beide Organisationen waren Mitglieder der überregionalen American Federation of Labor (AFL), des Dachverbandes der amerikanischen Gewerkschaften (siehe Erl. 52.19). Nach längeren Verhandlungen vereinigten sich die beiden Kartelle im Dezember 1889 erneut. Die Konflikte zwischen beiden Gruppen waren jedoch nicht beigelegt, so daß es im Juni 1890 zu einem erneuten Bruch kam. Zwischen der wiedergegründeten CLF und der Socialist Labor Party einerseits und dem Flügel um den Vorsitzenden der AFL, Samuel Gompers, andererseits entwickelte sich eine Auseinandersetzung, die sich bis zum Zehnten Kongreß der AFL im Dezember 1890 hinzog. Der Kongreß beschloß mit großer Mehrheit, die Aufnahme politischer Organisationen in gewerkschaftliche Vereinigungen abzulehnen. Lucien Sanial war hier Sprecher der Gruppe, die der SLP nahestand. Diese konnte in den kommenden Jahren ihre Position in der AFL zwar ausbauen, ihren Einfluß gegen Samuel Gompers jedoch auf Dauer nicht durchsetzen, zumal in der SLP selbst keine Einigkeit in dieser Frage bestand. 1893 erreichte der Einfluß der sozialistischen Gewerkschafter seinen Höhepunkt. (Gompers papers. Vol. 2. S. 191–195, 206/207, 358–363, 367–371, 377–383, 386–409 und 418–421; Gompers papers. Vol. 3. S. 7–11, hier Anm. 4; Levin: Jewish socialist movements ... S. 149; Foner: History of the Labor movement ... Vol. 2. S. 281–284; Greene: Pure and simple politics. The American Federation of Labor ... S. 37 und 60; Perrier: The socialists and the working class ... S. 113–120; Quint: The forging of American socialism. S. 59–63; Schneider: Trade unions and community. S. 214/215; Scobey: Boycotting the politics factory S. 287–295; Taft: The American Federation of Labor ... S. 67–71. – Siehe auch Erl. 366.31–32 zur Einschätzung des Konfliktes durch Engels sowie Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.41–43). 221.17

1102

quem Deus vult perdere etc etc. ] Quem Deus vult perdere, prius dementat. – Wen Gott verderben will, den verwirrt er zuerst. (Nach Publilius Syrus: Sententiae 612.)

221. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 9. Juli 1890

221.17–18

Die Nationalisten bis begonnen ] Zur Wahlkampagne der Nationalisten siehe Erl. 187.52.

221.22

Siehe Sorge an Engels, 30. Juni 1890 (Br. 211.3).

221.33

Meine Frau ] Katharina Sorge.

1103

222 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Donnerstag, 10. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5908/L VIII 553. Fotosign. 11189. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Jul 10 1 PM“ sowie eine aufgedruckte 2-CentBriefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 30. Juli 1890 (Br. 231). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 222.1–2

Sorge hatte ausstehende Sendungen von Engels am 30. Juni 1890 angemahnt (siehe Br. 211.3).

222.3

Archiv ] Sorge dürfte das sozialdemokratische Parteiarchiv gemeint haben, das nach dem Umzug Schlüters nach New York keinen Verwalter hatte. Siehe auch Engels an Sorge, 7. Dezember 1889 (Br. 48.78–90).

1104

223 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 12. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6439/L IX 386. Fotosign. 11944a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wro´blewski hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Die letzten Passagen (Z. 13–20) stehen auf der zweiten Seite des Bogens quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce (1960). S. 296; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 285/286. ERLÄUTERUNGEN 223.4

mes cousins ] Die Verwandten Wro´blewskis konnten nicht identifiziert werden.

223.5

mon beau-fre`re ] Der Schwager Wro´blewskis konnte nicht identifiziert werden.

223.14–15

la meˆme somme bis maladie. ] Wro´blewski hatte Engels um „une vingtaine de livres“ gebeten, siehe Jo´zef Wierzejski an Engels, 12. Juni (Br. 194.5) und 16. Juni 1890 (Br. 198.4–5). Siehe auch Wro´blewski an Engels, 6. Juli 1890 (Br. 219.6–7).

1105

224 Heinrich Dietz an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 15. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1139/L III 45. Fotosign. 7619. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 229 × 294 mm. Wasserzeichen: „Sphinx“. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck der Verlagsbuchhandlung von J. H. W. Dietz (siehe S. 966). Dietz hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite leer gelassen. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Antwort von Engels erfolgte am 5. August 1890 (Br. 236). Von Engels’ Hand: auf der zweiten Seite eine Notiz mit Tinte: „Dietz 15/7/90 wegen Fred Borkheim“ und einige Berechnungen mit Bleistift: I c+v=y m m c+v

II c–x+v+x=y m m c+v

a+b=c 2a + 2b = 2a + 2b 3a + 3b = 2a + 2b + c 3c = 3c 3a + 3b – 3c = 2a + 2b – 2c 3(a + b – c) = 2(a + b – c) 3=2 Die Berechnungen beziehen sich auf eine Lösung des „Preisrätsels“ durch George Christian Stiebeling. Siehe George C. Stiebeling: Das Werthgesetz und die Profit-Rate. New York (1890). S. I (MEGA➁ IV/32. Nr. 1280); Engels: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15. S. 22/23) sowie Erl. 11.9. Darunter befindet sich kopfstehend ein Vermerk mit Bleistift: „Ges 1.13.9 Schorl = 3.2.8“ und am rechten Rand quer geschrieben Vermerke mit Bleistift und Tinte (siehe dazu auch Engels an Paul Lafargue (27. August 1890, Br. 257.12–13)). „27/8 an Paul ch £ 10.– 29/8 ″ Edward ″ 5.– ˙˙ 10/9 ″ ″ ″10.– “

1106

Heinrich Dietz an Engels, 15. Juli 1890 Zweite Seite der Handschrift mit Notizen und Vermerken von Engels

224. Heinrich Dietz an Engels · 15. Juli 1890

Weitere Notizen, mit verschiedenem Schreibmaterial und zu unterschiedlichen Zeitpunkten abgefaßt, stellen Geldabrechnungen mit verschiedenen Personen dar. Siehe S. 1107. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 224.3–5

Zur Angelegenheit Borkheims siehe Frederick Borkheim an Engels, 28. Juni 1890 (Br. 206).

224.5

Ex. der Neuen Zeit ] Zu den dort abgedruckten „Erinnerungen eines deutschen Achtundvierzigers“ von Sigismund Borkheim, bearbeitet von Reinhold Rüegg siehe Erl. 206.3–4.

224.8

Es handelt sich um das Manuskript für die 4. Auflage von „Der Ursprung der Familie ...“, die Ende 1891 als Band 11 der Internationalen Bibliothek mit der Angabe 1892 auf dem Titelblatt erschien: Engels: Der Ursprung der Familie ... 1892 (MEGA➁ I/29. S. 125–271). Zur Arbeit von Engels daran siehe Erl. 179.8.

1109

225 Frederick Borkheim an Friedrich Engels in London Dunkerque, Sonntag, 20. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 644/L II 49. Fotosign. 10038a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 175 mm. Wasserzeichen: „Lion Paper“ und ein Löwe mit Wappenschild. Borkheim hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „3“. Zur Datierung: Die Monatsangabe Juli ergibt sich aus dem Zusammenhang mit den Briefen von Borkheim an Engels vom 28. Juni 1890 (Br. 206) und von Heinrich Dietz an Engels vom 15. Juli 1890 (Br. 224). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 225.3

Mr. Dietz bis „Neue Zeit“ ] Sig[is]mund Borkheim: Erinnerungen eines deutschen Achtundvierzigers. Bearb. von Reinhold Rüegg. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 3. S. 125– 139; H. 5. S. 204–222; H. 6. S. 253–271; H. 7. S. 305–325.

225.4

Zum Honorar für Frederick Borkheim siehe Heinrich Dietz an Engels, 15. Juli 1890 (Br. 224.3–5.)

225.12–13

Das Original des Manuskripts der Erinnerungen gilt als verschollen (Gemkow: Der alte Engels und der junge Borkheim. S. 230).

1110

226 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Borsdorf Bergen, Dienstag, 22. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1050/K 453. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 177 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf dem Briefumschlag befinden sich die Adresse, Poststempel: „Bergen 22 VII 90“ (zweimal), „L. 3. 26/7 9–10 V.“, „[I] 26. 7 12–1 N. b.“ sowie Aufschriften von unbekannter Hand: auf der Vorderseite mit violetter Tinte: „Dörienstr bei Thiele Buchdruckerei“ und „wenden“, auf der Rückseite mit violetter Tinte: „Abzugeben in Buchdruckerei Herrn Thiele Doerienstr Beweis 21“, „Seidel“, „27/9“. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „98“ bis „100“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 227/ 228; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 372/373; die Adresse wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 226.6–8

Samstag 26 ds. bis sehn. ] Zu Engels’ geplanter Rückkehr nach London siehe seinen Brief an Liebknecht vom 19. Juni 1890 (Br. 202.16–20).

226.13–15

Seit Ende 1889 war über die Abhaltung des nächsten Parteitages in Deutschland diskutiert worden. – Die Vorlage zur Verlängerung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) war am 25. Januar 1890 im Reichstag abgelehnt worden. Das Gesetz galt noch bis zum 30. September. Damit war die Voraussetzung gegeben, daß der nächste Kongreß der sozialdemokratischen Partei in Deutschland stattfinden konnte. Er wurde vom 12. bis 18. Oktober 1890 in Halle abgehalten. (Siehe dazu und zu den Auseinandersetzungen im Vorfeld des Parteitages Erl. 310.4.) – Zu Entwurf und Diskussion über ein neues Organisationsstatut der Partei siehe Engels an Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242.25–49 und Erl.) sowie Eleanor Marx-Aveling an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 319.19 und Erl.).

1111

226. Engels an Wilhelm Liebknecht · 22. Juli 1890

226.18–33

der junge Wilhelm bis Dreimaster ] Zu Engels’ Eindrücken von der Reise siehe auch seinen Brief an Karl Kautsky vom 18. September 1890 (Br. 275.61–78 und Erl. und die dort genannten Briefe).

226.56

Deine Frau & Kinder ] Natalie, Theodor, Karl, Otto, Wilhelm und Curt Liebknecht.

226.58–60

Am Südplatz 11 in Leipzig befand sich die Wohnung, in die Natalie Liebknecht mit den Kindern nach der Ausweisung Liebknechts aus Leipzig (1881) gezogen war. Wilhelm Liebknecht hatte sich in Borsdorf niedergelassen.

1112

227 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Freitag, 25. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3388/L V 357–43. Fotosign. 8636. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 251 × 203 mm. Leßner hat die erste und vierte Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 227.5

Familie Weiler ] Adam und Friederica Weiler.

227.10

Meine Frau ] Maria Leßner.

1113

228 Carl Geibel an Friedrich Engels in London Leipzig, Sonntag, 27. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1974/L IV 5. Fotosign. 8332a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 285 × 220 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck „Verlagsbuchhandlung Duncker & Humblot in Leipzig Inhaber: Carl Geibel“ und „Leipzig, den 18 , Dresdnerstraße 17.“. Geibel hat die Datierung vervollständigt und die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 5a & 5 b“. Die Antwort von Engels vom 30. Juli 1890 ist nicht überliefert (siehe Br. 233.3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 228.7

Ferdinand Lassalle hatte Lothar Bucher testamentarisch die Rechte an seinen sämtlichen schriftstellerischen und gelehrten Werken vermacht (Andre´as: Ferdinand Lassalle ... S. 28).

228.7–8

Die Ausgabe erschien nicht. Sie ist in der Bibliographie von Andre´as nicht erfaßt (siehe Andre´as: Ferdinand Lassalle ...). Zu einer Gesamtausgabe der Schriften Lassalles siehe auch Erl. 346.15–16.

228.9–10

ihren Gatten ] Ferdinand Freiligrath.

228.11

Es ließ sich nicht ermitteln, welcher Brief von Lassalle gemeint war.

228.17

ihrer Tochter ] Luise Wiens.

1114

229 Adam Weiler an Friedrich Engels in London London, Montag, 28. Juli 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6294/L IX 216–1. Fotosign. 14644a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 221 × 178 mm. Die ersten zwei Seiten sind vollständig beschrieben, auf der dritten steht die Nachschrift (Z. 17–18) quer geschrieben, die vierte ist leer. Der Brief ist von unbekannter Hand geschrieben, Weiler war seit 1889 erblindet (Rothstein: Adam Weiler ... 2. S. 16). Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite Vermerke mit Bleistift: „Juli 90 Weiler“ und Adressen: „Harney 2 Clarence Villas St Mary’s Grove Richd“ und „South Sta[...]“, „Strutt + Parker 43 Finsbury Circus (zur Agente)“. Archivsignatur: „II 21 I 95“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 229.6–7

Am 17. März 1888 war im Communistischen Arbeiterbildungsverein (siehe Erl. 154.3–4) ein Konzert zugunsten Adam Weilers veranstaltet worden (Friedrich Leßner an Engels, vor dem 14. März 1888, RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 4907). – Im Juli 1890 hatte Friedrich Leßner eine Listensammlung zur unmittelbaren Hilfe für Weiler durchgeführt. Siehe Friedrich Leßner an Engels, 25. Juli 1890 (Br. 227.19–21).

229.18

Scholleimer ] Carl Schorlemmer.

1115

230 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Mittwoch, 30. Juli 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5849. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 224 × 176 mm. Wasserzeichen: „Bodl[eian] Ivory [Wove] H M & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Vom zweiten Bogenblatt ist ein Stück Papier im Format 112 × 90 mm abgerissen. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite Numerierung „49“. Die Beilage (Z. 19) ist nicht überliefert. Paul Lafargue antwortete am 4. August 1890 (Br. 234). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 401. VARIANTENVERZEICHNIS 230.23

neither > none ERLÄUTERUNGEN

230.3

regions of the North ] Siehe Erl. 218.3.

230.6

Engels hielt sich ab etwa 14. August bis 11. September 1890 in Folkestone, in der Nähe von Dover auf. Siehe Br. 242.5–13 und 245.2–3.

230.7

I found Nim quite enthusiastic ] Zum Aufenthalt von Helena Demuth in Paris siehe Erl. 218.3.

230.10

young William ] Wilhelm II.

230.14–15

the reorganization of the German party ] Zu Entwurf und Diskussion des Organisationsstatuts der sozialdemokratischen Partei siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242.25–49 und Erl.).

230.16–17

Anfang Juli versuchten die Gasgesellschaften, die Konzessionen, die sie ihren Arbeitern seit Mitte 1889 hatten gewähren müssen, wieder rückgängig zu machen. In Leeds kam es zu gewalttätigen Auseinandersetzungen zwischen streikenden Arbeitern und angeworbenen, unter Polizeischutz stehenden Streikbrechern. Den Mitgliedern der Gewerkschaft gelang es,

1116

230. Engels an Laura Lafargue · 30. Juli 1890

den Einsatz von Streikbrechern zu verhindern; Will Thorne spielte dabei eine wesentliche Rolle. (Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 181/182.) 230.20–21

information about that de Lavigerie ] Zu de Lavigerie siehe Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.12–13 und 15–20) sowie Charles Bonnier an Engels, 9. September 1890 (Br. 268.13–18); siehe auch Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 399/400.

230.31–33

Clara Zetkin: Die Pariser Weltausstellung. In: Der Illustrierte Neue Welt-Kalender für das Jahr 1891. Stuttgart. 1890. S. 36–57. Der Artikel enthält auf S. 55 Abbildungen von Paul Lafargue, Jules Guesde, Gabriel Deville und E´douard Vaillant. Zudem waren auf S. 54 die auf dem Internationalen ArbeiterKongreß Paris 1889 (siehe Erl. 1.6) vertretenen Frauen abgebildet, mit Ausnahme von Gertrud Guillaume-Schack.

1117

231 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 30. Juli 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Der durch einen Tintenfleck entstandene Textverlust (Z. 19) konnte rekonstruiert werden. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London-N. [W.] AX Jy 30 90“, „G 90 New York Aug 8 Paid F All“ und „Hoboken N. J. Aug 9 I PM“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Streichung in der Anschrift (Z. 25–27) und stattdessen Einfügung von „Mt Desert Maine“. Engels antwortet auf die Briefe Sorges vom 30. Juni (Br. 211), 3. Juli (Br. 216), 9. Juli (Br. 221) und 10. Juli 1890 (Br. 222). Sorge antwortete Engels am 13. August 1890 (Br. 244). Erstveröffentlichung: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 342; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

VARIANTENVERZEICHNIS 231.11

Erfahrung$, so daß ñ ERLÄUTERUNGEN

231.2

Reise nach dem Nordkap & Norwegen ] Siehe Erl. 218.3.

231.4–5

Morgan: Houses and house-life ... 1881. Sorge wollte sich, einem Vorschlag Edward Avelings folgend, gegebenenfalls an Richard Ely wenden, siehe Engels an Sorge, 29. Mai 1890 (Br. 183.67–71) und Sorge an Engels, 5. Juni 1890 (Br. 189.4–5). Zu Sorges Bemühungen, das Buch zu beschaffen, siehe Erl. 183.61–62.

231.6–7

Engels hatte seinem Brief vom 29. Mai 1890 an Sorge, in dem er ihn um die Beschaffung des Buches bat, zwei Begleitschreiben beigelegt. Siehe Br. 183.64 und 69–70.

231.8

People’s Press 1891.

231.9

der Fabians ] Zur Fabian Society siehe Erl. 97.4–5, zur Ein-

1118

bis

kaput sein ] Die Zeitung erschien bis Februar

231. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 30. Juli 1890

schätzung durch Engels seinen Brief an Sorge vom 8. Februar 1890 (Br. 101.101–107). 231.11

den 2 eigentlichen Machern ] Robert E. Dell und William A. Morris.

231.13

neuen Unions ] Siehe Erl. 10.9–18.

231.14

Gefechte in Leeds ] Siehe Erl. 230.16–17.

231.16–19

Bergens Sosialistiske Arbeiderforening, gegründet 1885 als Den demokratiske Arbeiderforening (Terjesen: Arbeiderbevegelse og politikk i 1890-a˚rene. S. 29). Daneben bestanden zwei nicht-sozialistische Arbeitervereine, „Bergens Arbeiderforening“ und „Bergens Arbeidersamfund“. Siehe auch Engels an Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.24).

231.21

Sch. ] Carl Schorlemmer.

231.23

Deine Frau ] Katharina Sorge.

1119

232 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Leipzig London, Freitag, 1. August 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4912. Engels hat die Rückseite einer Postkarte vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Auf der Vorderseite befinden sich zwei Poststempel: „London N. W. 2X Au 1 90“ und „I. 2/8 11–12 N [...]“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten: „43“ bzw. „44“. Engels antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Liebknecht, geschrieben zwischen dem 22. Juli (Br. 226) und dem 1. August 1890. Die Datierung ergibt sich aus dem Poststempel: London 1. August 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 229; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 431; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

VARIANTENVERZEICHNIS 232.5

: in Justice : ˙˙ ˙ ERLÄUTERUNGEN

232.2

Engels hielt sich ab etwa 14. August 1890 bis um den 11. September in Folkestone auf. Siehe Br. 242.5–13, 245.2–3 und 275.4.

232.3–4

Wilhelm Liebknecht: To the editor of The People’s Press. In: The People’s Press. London. Nr. 22, 2. August 1890. S. 13, Sp. 1/2. – Liebknecht war dem Rat von Engels vom 30. Juni 1890 gefolgt (Br. 210.6). Es war in der britischen Wochenpresse der Zeit nicht unüblich, Veröffentlichungen vorzudatieren, um eine längere Verkaufszeit zu haben. Zum Anlaß der Erklärung, der Behauptung, die deutsche Sozialdemokratie sei nicht revolutionär, siehe Erl. 210.1.

232.7–8

Sie bis Bundesgenossen ] Zur Rolle von Ferdinand Gilles in der Debatte siehe Engels an Liebknecht, 30. Juni 1890 (Br. 210.1–5 und Erl.).

1120

233 Carl Geibel an Friedrich Engels in London Leipzig, Samstag, 2. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1975/L IV 6. Fotosign. 8333a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 285 × 220 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck der Firma Duncker & Humblot (siehe S. 1114). Geibel hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 5 b“. Von unbekannter Hand: auf der vierten Seite ein Vermerk mit Tinte „Varia 89–90“. Geibel beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 30. Juli 1890 (Z. 3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 233.5

Abschriften der Lassalle’schen Briefe ] Siehe Geibel an Engels, 27. Juli 1890 (Br. 228.20–23).

233.9

Gesammtausgabe der Werke L.’s ] Zu der geplanten Ausgabe siehe Br. 228.6–9 und Erl.

233.12–13

Geibel hatte sich am 27. Juli 1890 nach einem Brief von Lassalle – an Freiligrath erkundigt, den er im Marxschen Nachlaß vermutete, siehe Br. 228.11 und Erl.

233.13

in dem Marx’schen Nachlaß ] Engels sah die Korrespondenz von Marx im Oktober 1890 durch, siehe Br. 324.3–6.

233.14

deren Tochter ] Luise Wiens.

233.22

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Der Band erschien wie die vorherigen Bände im Verlag Otto Meißner in Hamburg.

1121

234 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 4. August 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/3. Der Brief besteht aus zwei Blättern mittelstarkem, weißem Papier im Format 156 × 201 mm. Wasserzeichen auf dem zweiten Blatt: „Fores[t a` Chambe´ry]“. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben, die dritte Seite hat er paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung des Briefes auf der ersten und dritten Seite: „167“. Lafargue antwortet auf den Brief von Engels an Laura Lafargue vom 30. Juli 1890 (Br. 230). Engels antwortete am 27. August 1890 (Br. 257). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 403– 405.

ERLÄUTERUNGEN 234.5–7

au lieu de venir bis sea side anglais ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 30. Juli 1890 (Br. 230.6) und Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.3–4).

234.12–20

Engels hatte sich nach Louis de Lavigerie erkundigt, siehe Engels an Laura Lafargue, 30. Juli 1890 (Br. 230.20–28). Zu Informationen über ihn siehe auch Charles Bonnier an Engels, 9. September 1890 (Br. 268.13–18). Auguste Coulon, seit Januar 1890 in London, war Agent der englischen Polizei und in deren Auftrag u. a. in der Socialist League (siehe Erl. 10.19) tätig. (Quail: The slow burning fuse. Kapitel 6.)

234.21–24

J’ai e´crit, bis ne´cessaire ] Der Streik der englischen Matrosen und des Maschinenpersonals der Kanalfähren begann am 26. Juli 1890 aus Protest gegen die Entlassung von sechs gewerkschaftlich organisierten Heizern (Engels, Lafargue: Correspondance. T. 2. S. 404, Anm. 1). Siehe auch National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Engels, 11. August 1890 (Br. 243 und Erl.).

234.25–31

Zu Engels’ Einschätzung der Pariser Arbeiter siehe seinen Brief an Laura Lafargue vom 16. April 1890 (Br. 149.17–66).

234.32–33

Charles Edme Chabert starb im Mai, Jules Joffrin im September 1890. Die Auseinandersetzungen um die Nachfolge im Pa-

1122

234. Paul Lafargue an Engels · 4. August 1890

riser Gemeinderat bzw. in der Nationalversammlung trugen zur Spaltung der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France (siehe Erl. 1.7) bei. Zu dieser Spaltung siehe Erl. 273.15–19. 234.37–38

Zu Wahl und Niederlage von Charles Longuet siehe Paul Lafargue an Engels, 19. November 1890 (Br. 355.3–23 und Erl.).

1123

235 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Dienstag, 5. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 688/K 328. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Die erste Seite hat Engels vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte. Auf der dritten Seite befindet sich der Brief Engels’ an Heinrich Dietz vom 5. August 1890 (Br. 236), die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „170“ bis „172“. Engels antwortet auf den Brief Kautskys vom 3. Juli 1890 (Br. 215), Kautsky antwortete ihm am 22. August 1890 aus Wien (Br. 253). Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 255/256.

ERLÄUTERUNGEN 235.3–4

während bis in Norwegen bummelten ] Zur Kreuzfahrt von Engels und Carl Schorlemmer nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

235.5

wohin schreiben ] Karl Kautsky hatte Engels am 3. Juli 1890 geschrieben, daß er bereits im August nach Stuttgart müsse, siehe Br. 215.12–13.

235.5

schicke ich dies an Dietz ] Siehe Engels an Heinrich Dietz, 5. August 1890 (Br. 236.8–9).

235.6–7

Prospekt der neuen Neuen Zeit ] Karl Kautsky hatte Engels am 3. Juli 1890 um einen Beitrag für den neuen Jahrgang gebeten, siehe Br. 215.35. Der Prospekt konnte nicht ermittelt werden.

235.8–13

einen Art. „Von den letzten Dingen“ bis Jahrgang. ] Siehe Kautsky an Engels, 3. Juli 1890 (Br. 215.36–44 und Erl.). Dieses Versprechen löste Engels jedoch erst im Sommer 1894 ein: Friedrich Engels: Zur Geschichte des Urchristenthums. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 13. 1894–1895. Bd. 1. Nr. 1. S. 4–13; Nr. 2. S. 36–43 (MEGA➁ I/32. S. 277–299). 1890 erschienen in der Wochenzeitung zwei andere Publikationen von Engels: zu seinem 70. Geburtstag der Abdruck eines Artikels aus dem Jahr 1844, Friedrich Engels: Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 8. S. 236–254; der Aufsatz war zu-

1124

235. Engels an Karl Kautsky · 5. August 1890

erst erschienen in: Deutsch-Französische Jahrbücher. Paris. 1844. Lfg. 1/2. S. 86–114 (MEGA➁ I/3. S. 467–494), sowie derselbe: In Sachen Brentano contra Marx. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 13. S. 425 (MEGA➁ I/31. S. 290/291). Siehe auch Br. 360.44–47 und Erl. 235.14–15

August Bebel veröffentlichte in der „Neuen Zeit“ mehrere Artikel, jedoch keine regelmäßige Wochenübersicht.

235.18–19

Engels schrieb Friedrich Adolph Sorge am 27. August 1890, siehe Br. 258.16–17.

1125

236 Friedrich Engels an Heinrich Dietz in Stuttgart London, Dienstag, 5. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 388/K 328. Der Brief befindet sich auf der dritten Seite des Briefes von Engels an Karl Kautsky (Br. 235). Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 1124. Engels beantwortet den Brief von Dietz vom 15. Juli 1890 (Br. 224). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 229/ 230; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 432. ERLÄUTERUNGEN 236.3–4

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884. Siehe Br. 138.25–40 und Erl. Es ließ sich nicht ermitteln, welche Einwände Richard Fischer erhob. Zur Neuauflage 1892 siehe Erl. 179.8.

236.4–5

ich noch nach der See zu gehn habe ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

236.8–9

Zeilen an K. Kautsky bis veranlassen. ] Dietz schickte den Brief ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ weiter und nahm daher den Vorschlag ungelesen an Kautsky von Engels für einen Artikel im neuen Jahrgang der „Neuen Zeit“, den Engels dort machte, nicht zur Kenntnis. Siehe Karl Kautsky an Engels, 22. August 1890 (Br. 253.6–9).

1126

237 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Dienstag, 5. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1466/K 558. Fotosign. 1822–1827. Der Brief besteht aus einem Bogen und einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 223 bzw. 112 × 179 mm. Engels hat alle sechs Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 115) steht auf der ersten Seite oben links. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Anstreichungen mit Tinte (Z. 11, 15–16, 23–24, 29–30 und 46–61). Engels antwortet auf den Brief Schmidts vom 25. Juni 1890 (Br. 205). Schmidts Antwort erfolgte am 20. Oktober 1890 (Br. 326). Erstveröffentlichung: gekürzt und leicht verändert: (Friedrich Engels:) „Da hat in der ,Volks-Tribüne’‘ eine Diskussion ...“ (1890). S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 1 (siehe Erl. 237.46–61); vollständig: Engels: Briefe an Conrad Schmidt (1920). S. 795–797.

VARIANTENVERZEICHNIS 237.16

Die $Nat ñ

237.33

: darin :

ERLÄUTERUNGEN 237.3–4

bis zum Nordkap bis gewandert ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

237.9

Schmidt beabsichtigte, einen Artikel über die Arbeit von Georg Friedrich Knapp, Die Bauern-Befreiung ..., 1887, zu schreiben. Siehe Engels an Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.36–43 und Erl.) und Schmidt an Engels, 25. Juni 1890 (Br. 205.28–37 und Erl.) sowie 20. Oktober 1890 (Br. 326.82–85).

237.13

Die engl. Blaubücher ] Siehe Br. 205.41–46 und Erl.

237.13

das Archiv ] Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik.

237.29

Buch von Paul Barth ] Paul Barth: Die Geschichtsphilosophie Hegel’s und der Hegelianer ... 1890. Siehe Br. 205.56–70 und Erl.

1127

237. Engels an Conrad Schmidt · 5. August 1890

237.29–30

Moritz Wirth: Hegelunfug und Hegelaustreibung im modernen Deutschland. In: Deutsche Worte. Wien. Jg. 10. 1890. Nr. 5. S. 204–207. Siehe auch Br. 326.62–63.

237.38

primum agens ] Das erste handelnde Element (lat.).

237.44–45

Nach Engels’ Zeugnis äußerte Marx diese Worte gegenüber Paul Lafargue angesichts der sich Ende der 1870er Jahre unter den französischen Kollektivisten abzeichnenden gegensätzlichen Strömungen, die 1882 zur Spaltung in die possibilistische und guesdistische Richtung führten. (Siehe Engels an Eduard Bernstein, 2. und 3. November 1882 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4266) und an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.22–23). Siehe auch Engels: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“ vom 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267– 269, hier S. 268.1–11).

237.46–61

Diesen Auszug veröffentlichte Schmidt ohne Wissen von Engels leicht geändert: (Friedrich Engels:) „Da hat in der ,VolksTribüne‘ eine Diskussion ...“ In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 39, 27. September 1890. S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 1. Rubrik: Schnitzel. Siehe Br. 326.79–82 und Engels an Schmidt, 27. Oktober 1890 (Br. 333.268).

237.46–47

Unter der Überschrift „Jedem der volle Ertrag seiner Arbeit“ erschienen in der „Berliner Volks-Tribüne“ mehrere Artikel von Ferdinand Domela Nieuwenhuis (Nr. 24, 14. Juni 1890. Beibl. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 2), Paul Ernst (Nr. 26, 28. Juni 1890. Beibl. S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 1), von einem Arbeiter (Nr. 28, 12. Juli 1890. Beibl. S. 3, Sp. 1–3) sowie ein Artikel von Paul Fischer: Nochmals das „Recht auf den vollen Arbeitsertrag“ (Nr. 27, 5. Juli 1890. Beibl. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 3) und ein „Schlußwort zur Debatte“ (Nr. 28, 12. Juli 1890. Beibl. S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 3).

237.85

das Soz.gesetz ] Siehe Erl. 9.64.

237.92

Georg Ludwig von Maurer arbeitete insbesondere über die Rechtsverhältnisse Deutschlands in der Frühzeit und im Mittelalter; Engels stützte sich auf Arbeiten von Maurer u. a in der als Entwurf überlieferten Schrift „Fränkische Zeit“ (MEGA➁ I/25. S. 352, 370), in „Die Entwicklung des Sozialismus ...“ (MEGA➁ I/27 S. 628, 631–634, 636 und 638/639) und in „Der Ursprung der Familie ...“ 1884 (MEGA➁ I/29. S. 51 und 82). Siehe auch Tairako: Neue Akzente von Marx’ Forschungen ...

1128

238 Strutt & Parker an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 7. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6042/L VIII 681. Fotosign. 14789. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 251 × 202 mm. Wasserzeichen: „Waterlow & Sons Limited“ „London Royal English Vellum“ und ein Wappenschild mit Turm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck: „43, Finsbury Circus, E. C., London, ... 18 ...“. Die ersten zwei Seiten hat vermutlich ein Unbekannter vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Die Unterschrift stammt wahrscheinlich von einem Inhaber der Firma. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 6“. Die Firma Strutt & Parker beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 2. August 1890 (Z. 4). Der Brief wird hier erstmal veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 238.3

Das von Engels gemietete Haus gehörte dem Marquis de Rothwell, Strutt & Parker war die Hausverwaltungsgesellschaft.

1129

239 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels in London Eastbourne, Freitag, 8. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 499/L I 295. Die Postkarte hat das Format 74 × 121 mm. Eduard und Regina Bernstein haben die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Eastbourne U A 8 90“ und eine aufgedruckte 1/2-Penny-Briefmarke. Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 364; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

1130

240 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 9. August 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Wasserzeichen „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Streichung mit Rotstift (Z. 71–72), die einer der Kürzungen in der Erstveröffentlichung entspricht. Die Beilage (Z. 73–74) ist nicht überliefert. Siehe Erl. 240.73. Sorge antwortete am 22. August 1890 (Br. 254). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 343–345; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 234–237; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 439–443.

VARIANTENVERZEICHNIS 240.45

Zorn $&x ñ

240.48

: (Dresden) : ERLÄUTERUNGEN

240.3

Postkarte ] Siehe Br. 231.

240.3–4

von Morgan ] Siehe Engels an Sorge, 30. Juli 1890 (Br. 231.4–5 und Erl.).

240.6

Reise nach dem Nordkap ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

240.7

Nachkur an der See ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

240.14

Tussy bis Norwegen ] Die Reise der Avelings dauerte vom 6. bis 27. August 1890 (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 393/394).

240.17

wie in Amerika ] Engels meinte vermutlich Auseinandersetzungen zwischen Edward Aveling und dem Nationalen Exekutivkomitee der Socialist Labor Party. Sie waren entstanden nach einer Vortragsreise durch die USA, die Eleanor Marx-Aveling und Edward Aveling – zum Teil gemeinsam mit Wilhelm Lieb-

1131

240. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 9. August 1890

knecht – von September bis Dezember 1886 unternommen hatten, auf Einladung des Exekutivkomitees und von der Partei finanziert. Unmittelbar vor der Rückreise beschuldigte das Exekutivkomitee Aveling der unexakten Abrechnung von Reisegeldern; Engels unterstützte Aveling. (Siehe MEGA➁ I/31. S. 1217– 1222, 1227, 1231 und 1235–1237.) 240.24

soz. dem. Genossenschaft ] Bergens Sosialistiske Arbeiderforening, siehe auch Engels an Sorge, 30. Juli 1890 (Br. 231.16–19 und Erl.).

240.27

Kongreß ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie, der vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle stattfand (siehe Erl. 310.4).

240.29

Seit etwa 1885 waren immer wieder Konflikte innerhalb der sozialdemokratischen Partei aufgeflammt, meist zwischen der Reichstagsfraktion – die während des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) die Funktionen der Parteiführung wahrnahm – und Gruppen von Parteimitgliedern, vor allem in Berlin. Diskussionspunkte waren u. a. die Beteiligung an den Stadtverordnetenwahlen in Berlin, die Dampfersubventionen und die Rolle des „Sozialdemokrat“. Ebenso war die Gründung der „Berliner Volks-Tribüne“ 1887 Ergebnis solcher Auseinandersetzungen innerhalb der Berliner Organisation. Aufgrund der Ausnahmegesetze gab es, neben Vereinen und den vor Wahlen legalen Wahlkomitees, geheime Organisationen, die sogenannte „innere Organisation“. Obwohl ihre Mitglieder besonders von Verfolgungen durch die Behörden bedroht waren, spielten diese Organisationen eine wichtige Rolle, gerade in den Zentren der Bewegung, vor allem auch in Berlin. Nachdem bereits seit Dezember 1889 die Frage, wie der 1. Mai begangen werden sollte, sehr kontrovers diskutiert worden war (siehe Erl. 124.18), zeichnete sich im Juli/August 1890 eine weitere Auseinandersetzung über die künftige Organisation und Politik des Partei ab. In Vorbereitung auf den Parteitag in Halle im Oktober 1890 (siehe Erl. 310.4) sammelte sich eine oppositionelle Strömung, ohne feste organisatorische Form, die zuerst in bürgerlichen Zeitungen als „die Jungen“ bezeichnet wurde. Kritikpunkte waren die parlamentarische Taktik und die Unterdrückung oppositioneller Standpunkte durch die Parteiführung. Die Kontroverse begann als Pressepolemik vor allem in der „Berliner Volks-Tribüne“, der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ (Dresden) und der „Volksstimme“ (Magdeburg) und entzündete sich an der Diskussion um ein künftiges Organisationsstatut der Partei (siehe Erl. 242.6). Wortführer waren vor allem der Schriftsteller Bruno Wille und der Student und Redak-

1132

240. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 9. August 1890

teur der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ Hans Müller. Die Bewegung wies eine heterogene soziale Zusammensetzung auf und fand in Berlin auch durch Partei- und Gewerkschaftsfunktionäre Unterstützung. Beendet wurden die Auseinandersetzungen durch mehrere Versammlungen in Dresden, Magdeburg und Berlin (siehe Erl. 250.25–27 und 256.8–9). – Engels äußerte sich vorwiegend privat in seinen Briefen zur Oppositionsbewegung, so am 10. August 1890 an Wilhelm Liebknecht (Br. 242), am 27. August an Paul Lafargue (Br. 257) und an Sorge (Br. 258) sowie am 18. September an Karl Kautsky (Br. 275); im September nahm er auch öffentlich in einem Artikel Stellung dazu (siehe Erl. 275.52–53). Zur Opposition auf dem Parteitag im Oktober siehe Richard Fischer an Engels, 13. Oktober 1890 (Br. 310.14–25 und Erl.), zu ihrer Entwicklung danach siehe Erl. 328.12–13 und zur Einschätzung durch Conrad Schmidt siehe dessen Brief an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.8–27). Siehe Bernstein: Die Geschichte der Berliner Arbeiterbewegung. Bd. 2. S. 165/166, 184–187, 196–204 und 212–242; Bock: Geschichte des ,linken Radikalismus‘ ... S. 38–58 und 62–73; Kupfer: Geheime Zirkel ... S. 15–35, 67–69, (Dokumente 1887–1891:) 136–139, 144 und 154; Müller: Idealismus und Revolution. S. 46–64. Siehe auch Müller: Der Klassenkampf in der deutschen Sozialdemokratie; Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 11–34; Vasin: F. E˙ngel’s i marksistskoe jadro SDPG. S. 40–48, 57–113 und 197. 240.30

Soz.Gesetzes ] Siehe Erl. 9.64.

240.44–46

A[ugust] Bebel: Erklärung. In: Berliner Volksblatt. Nr. 173, 29. Juli 1890. S. 3, Sp. 3. Sie richtete sich gegen einen Artikel von B[runo] W[ille]: Der 1. Oktober. In: Sächsische Arbeiterzeitung. Dresden. Nr. 88, 23. Juli 1890. S. 1, Sp. 1–3 (siehe Müller: Idealismus und Revolution. S. 51–55, 57 und 59). Willes gekürzter Artikel und Bebels Erklärung erschienen gemeinsam unter dem Titel: Zum Kongresse. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 31, 2. August 1890. S. 2, Sp. 1/2.

240.51–55

Ich werde Bebel & Liebk. bis gegründet sind. ] Siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242.25–49 und 60–65). Der Besuch Bebels und Liebknechts vor dem Parteitag kam nicht zustande. Siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.43–44).

240.57

Zum diktatorischen Vorgehen Johann Baptist von Schweitzers als Präsident des Allgemeinen Deutschen Arbeitervereins siehe Engels an Gerson Trier (Entwurf), 18. Dezember 1889 (Br. 57.79–80 und Erl.).

1133

240. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 9. August 1890

240.61–63

[Henry Mayers Hyndman:] Why, by the way, should Bebel and Liebknecht ... In: Justice. London. Nr. 337, 28. Juni 1890. S. 2, Sp. 3/4. Rubrik: Tell Tale Straws; [derselbe:] Several comrades want to know ... Ebenda. Nr. 338, 5. Juli 1890. S. 2, Sp. 4.

240.61–62

meinen Maiartikel in der Wiener Arb. Ztg. ] Engels: Der 4. Mai in London. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 21, 23. Mai 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 259–264).

240.65–66

Lafargue bis Krieg. ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.45–49).

240.70

Lafargue: Die sozialistische Bewegung ... 1890.

240.73

[Marx, Engels:] Kommunistisches Manifest. 4. autoris dt. Ausg. London 1890. Siehe auch das Vorwort von Engels zur dieser Ausgabe. In: MEGA➁ I/31. S. 254–258.

240.75

Deine Frau ] Katharina Sorge.

240.76

Schlüters ] Hermann und Anna Schlüter.

1134

241 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Samstag, 9. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5909/L VIII 554. Fotosign. 11190. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Mount Desert Maine Aug 9 1890“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 30. Juli (Br. 231) und am 27. August 1890 (Br. 258). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 241.2

das Morgan’sche Buch ] Morgan: Houses and house-life ... 1881. Zum Erhalt durch Engels siehe Br. 231.4–5.

241.4–5

Im Hinblick auf die Sozialisten bezog Sorge sich vermutlich u. a. auf die Auseinandersetzungen zwischen den beiden New Yorker Gewerkschaftskartellen, der Central Labor Union und der Central Labor Federation, siehe Sorge an Engels, 9. Juli 1890 (Br. 221.15–19 und Erl.). Bei den Nationalisten (siehe Erl. 8.7–8) fanden ebenfalls Fraktionsbildungen statt, etwa zwischen einer theosophischen Richtung und einer Gruppierung um Daniel De Leon, die sich später der Socialist Labor Party anschloß, siehe auch Sorge an Engels, 14. Januar (Br. 87.7–11) sowie 30. April (Br. 159.26–34) und 14. Oktober 1890 (Br. 313.44–55).

1135

242 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Leipzig London, Sonntag, 10. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1052/K 454. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 177 mm. Wasserzeichen „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten von „101)“ bis „104)“. Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Liebknecht, geschrieben zwischen dem 1. und 10. August 1890 (Z. 8–10), der wahrscheinlich Liebknechts Antwort auf Engels’ Brief an ihn vom 1. August 1890 (Br. 232) war. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 237– 239; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 374–376. VARIANTENVERZEICHNIS 242.36

Delegation $xx ñ

242.38

: durch sie vertretenen :

242.48

aber $Ent ñ

242.60

Aber $legt ñ ERLÄUTERUNGEN

242.3

Der frühere Besitzer des von Engels gemieteten Hauses, der Marquis de Rothwell, war im März 1890 gestorben. Engels verlangte einige Änderungen im Haus als Voraussetzung für eine Mietverlängerung, siehe Strutt & Parker an Engels, 7. August 1890 (Br. 238.4–5) und Engels an Jakins (Entwurf), 23. September 1890 (Br. 290). Siehe auch Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 424.

242.4–5

Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

242.6

Office, Kentish Town ] Engels meinte das Redaktionslokal des „Sozialdemokrat“ in London.

242.25

Kongreß ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

242.25–49

Euer Entwurf

1136

bis

dürfte besser sein. ] August Bebel hatte in der

242. Engels an Wilhelm Liebknecht · 10. August 1890

Reichstagsfraktion einen Entwurf für ein neues Organisationsstatut vorgelegt, der heftig debattiert wurde (Bebel: ARS. Bd. 2/2. S. 379–384); Ignaz Auer legte einen weiteren Entwurf vor. Danach wurde am 8. und 9. August ein gemeinsamer Entwurf der Fraktion in mehreren Blättern veröffentlicht (u. a.: Organisationsentwurf für die sozial-demokratische Partei Deutschlands. In: Sächsische Arbeiter-Zeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. S. 1, Sp. 1–3; Organisations-Entwurf für die sozial-demokratische Partei Deutschlands. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 32, 9. August 1890. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 2.), den Engels hier kritisch beleuchtete. Siehe auch Beyer: Bebels Statutenentwurf ... S. 421–426. Neben den Einwänden von Engels und denjenigen der oppositionellen „Jungen“ (siehe Erl. 242.29–30 und 240.29) gab es weitere kritische Stimmen zu Bebels Vorschlag, das „Berliner Volksblatt“ zum offiziellen Parteiorgan auszubauen; auf diese ging Bebel später ein (A[ugust] Bebel: Der OrganisationsEntwurf der Fraktion. In: Berliner Volksblatt. Nr. 192, 20. August 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 1; A[ugust] B[ebel]: Das offizielle Parteiorgan. Ebenda. Nr. 213, 13. September 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2). Zu weiteren Auseinandersetzungen um den Entwurf siehe Erl. 252.36–37; August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.24–40); Müller: Idealismus und Revolution. S. 69–80. Der Entwurf für das Organisationsstatut wurde auf dem Parteitag in Halle im Oktober 1890 diskutiert und an die Fünfundzwanziger-Kommission überwiesen (siehe Erl. 319.19). Engels’ Einwände wurden dort aufgegriffen und der veränderte Entwurf angenommen. Zur Diskussion siehe Protokoll Halle 1890. S. 131–157 und 242–249; zum Ergebnis siehe ebenda. S. 5–8 (abgedruckt in: Dokumente und Materialien zur Geschichte der deutschen Arbeiterbewegung. Bd. 3. S. 340–344). Siehe auch August Bebel an Victor Adler, 5. September 1890. In: Adler: Bw mit Bebel und Kautsky ... S. 54/55; Müller: Idealismus und Revolution. S. 69–76; Kupfer: Geheime Zirkel ... S. 20/21. 242.29–30

Ein Geheimbild. In: Sächsische Arbeiter-Zeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. S. 2, Sp. 2/3. Die Diskussion um das Organisationsstatut war ein zentraler Punkt in der Formierung der Opposition der „Jungen“ (siehe Erl. 124.18 und 240.29).

242.33

Der Finanzier Ignaz Bahlmann unterstützte die Sozialistische Arbeiterpartei Deutschlands während des Sozialistengesetzes. Der Schriftsteller Karl Höchberg hatte u. a. sozialistische Zeitschriften finanziert, die sich gegen die theoretischen und praktisch-politischen Einschätzungen von Marx und Engels wandten.

1137

242. Engels an Wilhelm Liebknecht · 10. August 1890

242.51

Soz.Gesetz ] Siehe Erl. 9.64.

242.58

Die Magdeburger „Volksstimme“ war ein Zentrum der „Jungen“. Der Redaktion gehörte u. a. Hans Müller an, ein Student und einer der bekanntesten Vertretern dieser Opposition (Müller: Idealismus und Revolution. S. 57–59).

242.68

Frau & Theodor ] Natalie und Theodor Liebknecht.

1138

243 National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels in London London, Montag, 11. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6374/L IX 290. Fotosign. 15029a–b. Der Brief besteht aus zwei Blatt festem, weißem Papier im Format 200 × 252 mm. Wasserzeichen: „Original Culter Mill“ und ein Wappenschild. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck „National Amalgamated Sailors’ and Firemen’s Union of Great Britain & Ireland. Branches in all Ports. Established in September 1887. Central Office, 19, Buckingham Street, Strand, London, 189“. Ein Unbekannter hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die Unterschrift ist mit violettem Stempel eingesetzt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der Rückseite des zweiten Blattes ein mit Tinte geschriebener Vermerk: „Aug 11/90 – Wilson (Sailors & firemen)“. Das Schreiben ist die Antwort auf einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 9. August 1890 (Z. 6). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 243.7

Dover strike ] Siehe Erl. 234.21–24.

243.13–14

Paul Lafargue hatte nach Erhalt eines Briefes von Eleanor Marx-Aveling an Alfred Delcluze geschrieben und um Unterstützung gebeten (Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.21–24). Der Parti ouvrier führte u. a. am 14. August 1890 eine Solidaritätsversammlung durch, die von Delcluze einberufen worden war. (Une note du citoyen Delcluze. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 31, 24. August 1890, S. 3, Sp. 3/4.) Weiterhin wurde ein Streikbrecher, Henri Altazin, aus der Gewerkschaft ausgeschlossen. (Autre exemple de solidarite´. Ebenda. Nr. 35, 21. September 1890. S. 3, Sp. 3.) Siehe auch Alfred Delcluze an Engels, 6. September 1890 (Br. 266.9–11).

1139

244 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 13. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5910/L VIII 555. Fotosign. 11191. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Mount Desert Maine Aug 13 1890“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf das Schreiben von Engels vom 30. Juli 1890 (Br. 231). Engels antwortete am 27. August 1890 (Br. 258). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 244.4–5

Hermann Schlüter hatte Engels am 3. Juni 1890 mitgeteilt, daß er nach dem Rücktritt von Sergej Sˇevicˇ provisorisch die Funktion des Chefredakteurs der „New Yorker Volkszeitung“ übernommen habe, er aber diese Funktion wieder loswerden wolle (Br. 187.34–36). Zum Chefredakteur wurde Julius Grunzig gewählt, der 1891 zurücktrat, worauf Schlüter den Posten bis 1919 erhielt. Siehe Sorge an Engels, 10. September 1890 (Br. 269.4–5); The German-American radical press. S. 215 und 218.

244.6

der jetzige Chefred. ] Julius Grunzig.

1140

245 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Leipzig Folkestone, Freitag, 15. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1053/K 455. Die Postkarte hat das Format 89 × 139 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Folkestone [ ] Aug 15 90“ und eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Auf der Rückseite ein Poststempel: „[Cn]inf–ST B.O [Fol]kestone E Au 15 90“. Von unbekannter Hand: auf der Vorderseite: „15 VIII 1890“ und Numerierung auf der Rückseite „105“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 239; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 376; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. VARIANTENVERZEICHNIS 245.5

Tagen $was ñ ERLÄUTERUNGEN

245.2–3

Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

245.8

Leute in Kentish Town ] Engels meinte damit die Mitarbeiter des „Sozialdemokrat“ in London. Siehe auch Br. 242.6 und Erl.

1141

246 Otto von Boenigk an Friedrich Engels in London Breslau, Samstag, 16. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 606/L III 19–6. Fotosign. 14654a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 230 × 180 mm. Von Boenigk hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: blaue Tinte. Archivsignatur: „II 21 K“. Von unbekannter Hand: Unterstreichungen mit Bleistift (Z. 11–12, 17–18 und 22). Vermutlich übersandte Richard Fischer diesen Brief als Beilage in seinem Brief an Engels vom 18. August 1890 (Br. 249.3). Engels beantwortete den Brief am 21. August 1890 (Br. 251). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 246.5

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884.

246.6–7

Reinhold Bernhard Brehm: Das Inka-Reich. Beiträge zur Staatsund Sittengeschichte des Kaiserthums Tahuantinsuyu. Jena 1885.

246.22

Gattin ] Jenny Marx, geb. von Westphalen.

1142

247 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Samstag, 16. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1830/L III 284. Fotosign. 7678. Die Postkarte hat das Format 88 × 139 mm. Fischer hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „Kentish Town N. W. 4 Au 16 90“ und eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die abgestempelt ist. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 247.3

Der „Alte“ schreibt heute ] Wilhelm Liebknechts Brief an die Redaktion des „Sozialdemokrat“, geschrieben zwischen dem 10. und 16. August 1890, ist nicht überliefert.

247.3

Deinen Brief ] Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242).

247.4

Deine Auffassung ] Engels’ kritische Bemerkungen zum Entwurf des Organisationsstatuts der Sozialdemokratischen Partei (siehe Br. 242.25–65).

1143

248 Julius Motteler an Friedrich Engels in Folkestone London, Sonntag, 17. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5079/L VII 148. Fotosign. 12330. Die Postkarte hat das Format 121 × 73 mm. Motteler hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „London N. W. 77 Au 18 90“ und eine aufgedruckte 1/2-Penny-Briefmarke, die abgestempelt ist. Die letzte Passage (Z. 6–8) ist quer am linken Rand geschrieben. Motteler beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, wahrscheinlich vom 15. August 1890 (Z. 4). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 248.5

Sold: ] Wilhelm Liebknecht.

248.6

Deinen Brief ] Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242).

248.6

mit Dir einverstanden sei ] Das bezieht sich auf Engels’ kritische Bemerkungen zum Entwurf des Organisationsstatuts der Sozialdemokratischen Partei, siehe Br. 242.25–65. Ähnlich hatte sich Liebknecht auch gegenüber Richard Fischer geäußert (siehe Br. 247.3–4 und Erl.).

248.7

Frau ] Emilie Motteler.

1144

249 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Montag, 18. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1831/L III 285. Fotosign. 7602. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, blaukariertem Papier im Format 135 × 211 mm. Fischer hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Beilage siehe Erl. 249.3. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 249.3

Vermutlich handelt es sich um den Brief Otto von Boenigks an Engels, 16. August 1890 (Br. 246).

249.4

Die Demonstration am 17. August 1890 fand aus Anlaß des ersten Jahrestages des Hafenarbeiterstreiks (siehe Erl. 10.9–18) statt. (Siehe: The Festive Docker Demonstrates. In: The People’s Press. London. Nr. 25, 23. August 1890. S. 5, Sp. 1; Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 112/113, Anm. 74.)

249.5–7

Frank Kitz war Mitglied der „Socialist League“ (siehe Erl. 153.55–56) und von 1890 bis 1891 Mitarbeiter des „Commonweal“. 1889 hatte er als Delegierter am Internationalen Arbeiterkongress in Paris in der Salle Pe´trelle (siehe Erl. 1.6) teilgenommen.

249.6

Burns ] John Burns.

1145

250 Eduard und Regina Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone Eastbourne, Dienstag, 19. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 500/L I 296. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 224 × 177 mm. Eduard Bernstein hat die ersten zweieinhalb Seiten beschrieben, Regina Bernstein die letzten anderthalb. Die Anmerkung (Z. 48) ist von Eduard Bernstein geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Bernstein antwortet auf eine nicht überlieferte Karte von Engels, geschrieben vor dem 19. August 1890 (Z. 4). Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 365/366. ERLÄUTERUNGEN 250.17

Krakehlereien in Deutschland ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl.).

250.20

Herr Hans Müller ] Der Student Hans Müller gehörte der Redaktion der Magdeburger „Volksstimme“ an, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 10. August 1890 (Br. 242.55–58 und Erl.). Siehe A[ugust] Bebel: Die „Sächsische Arbeiter-Zeitung“ und tutti quanti. In: Berliner Volksblatt. Nr. 181, 7. August 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2, auszugsweise veröffentlicht in der Korrespondenz: Mit Bezug auf die in voriger Nummer bereits erwähnte Polemik ... in: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 33, 16. August 1890. S. 3, Sp. 2, bis S. 4, Sp. 1.

250.25–27

Siehe die Berichte über die Parteiversammlungen in Dresden am 10. und in Magdeburg am 13. August 1890: Die in der Bebel’schen Erklärung ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 185, 12. August 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Korrespondenzen; Die zweite Versammlung ... Ebenda. Nr. 189, 16. August 1890. S. 3, Sp. 1/2. Rubrik: Politische Uebersicht. Nachdr. in dem Artikel: Zur „Spaltung“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 34, 23. August 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Siehe auch Müller: Idealismus und Revolution. S. 55–59 sowie Erl. 256.8–9.

250.27

Berlin, wo der Krakehl traditionell ist ] Zum „Conflict mit den Berlinern“ im Vorfeld des 1. Mai siehe August Bebel an Engels,

1146

250. Eduard und Regina Bernstein an Engels · 19. August 1890

31. März 1890 (Br. 124.18 und Erl.), zur Opposition der „Jungen“ in Berlin siehe Erl. 240.29. 250.38

Matlock ] Ein Badeort in Derbyshire.

250.45

Kinder ] Ernst und Käte Schattner.

1147

251 Friedrich Engels an Otto von Boenigk in Breslau Folkestone, Donnerstag, 21. August 1890

Originalhandschrift: SAPMO, Sign. SgY 31/ME 499. Der Brief besteht aus einem Bogen (getrennt) festem, weißem Papier im Format 230 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der durch verblasste Tinte entstandene Textverlust (Z. 11) konnte rekonstruiert werden. Auf dem Briefumschlag befinden sich drei Poststempel: „[...] Folkestone K 1“, „Tontine F St B. O. Au 21 90 Folkestone“ und „Breslau 8 238 90 a 4–5 M“ sowie eine 21/2-Penny-Briefmarke. Von v. Boenigks Hand: ein Vermerk mit blauer Tinte auf der Rückseite des Umschlags: „pr. 23. August 890 Couvert v. Friedrich Engels Boenigk“. Von unbekannter Hand: am oberen Rand der ersten Seite eine teilweise ausradierte Bleistiftnotiz „[...] 23 Aug 890 B“; Numerierung der Blätter: „1“ bzw. „2“ und des Umschlags: „3“. Engels antwortet auf von Boenigks Brief vom 16. August 1890 (Br. 246). Erstveröffentlichung: in Auszügen: Antiquariat J. A. Stargardt, Marburg. Auktionskatalog, Nr. 563 (1963). S. 157, Tafel 41; vollständig: in russischer Übersetzung: Новый документ Ф. Энгельса. 1964. S. 3/4; in der Sprache des Originals: [Engels:] Ein bisher unbekannter Brief (1964). S. 279/280; der Adresse: Gemkow: Postalisches von Marx und Engels (1984).

VARIANTENVERZEICHNIS 251.9

: als :

251.28

wir $auch %

ERLÄUTERUNGEN 251.7

Ad I. ] Otto von Boenigk hatte Engels zunächst nach dessen und Marx’ Meinung zur gegenwärtigen Verwirklichung sozialistischer Ideen gefragt, siehe Br. 246.16.

251.19–20

das Soz. Gesetz ] Siehe Erl. 9.64.

251.29–30

starke Andrang von Literaten & Studenten ] Eine ähnliche Wendung hatte Engels im Brief an Wilhelm Liebknecht, 10. August

1148

251. Engels an Otto von Boenigk · 21. August 1890

1890 (Br. 242.56–57) gebraucht. Zur Opposition der „Jungen“ siehe auch Erl. 240.29. 251.48–49

Siehe Engels: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“. 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267–269, hier S. 269.4–6).

251.50

Ad II. ] Von Boenigk hatte nach der Herkunft von Marx’ Ehefrau Jenny gefragt, siehe Br. 246.22.

1149

252 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone Eastbourne, Freitag, 22. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 501/L I 297. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Bernstein hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Bernstein antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 20. August 1890 und eine nicht überlieferte Karte vom 21. August 1890 (Z. 4). Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 367/368.

ERLÄUTERUNGEN 252.9

„Ferscht“ ] Fürst.

252.19

für’s Blatt ] „Der Sozialdemokrat“. Soldaten ] Wilhelm Liebknecht.

252.23

[Wilhelm Liebknecht:] Das unerquickliche Zwischenspiel ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 3, Sp. 1–3. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau.

252.27–28

Sozialdemokratie und Antisemitismus. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 26. Juli 1890. S. 3, Sp. 2, bis S. 4, Sp.1. In einer redaktionellen Anmerkung hieß es: „Wir theilen dies ,Eingesandt‘ eines jüdischen Parteigenossen gerne mit, ohne im Uebrigen die von ihm befürwortete Taktik durchaus zu billigen.“

252.28–29

Wahrscheinlich gemeint: P[aul] E[rnst]: Gefahren des Marxismus. Ebenda. Nr. 32, 9. August 1890. Beibl. S. 4, Sp. 1–3. In einer Anmerkung schrieb die Redaktion: „Wir stellen diesen Artikel zur Diskussion“. Engels kritisierte den Artikel später, siehe Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst. In: Berliner Volksblatt. Nr. 232, 5. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 280–285, hier S. 383.25–34).

252.30

an C. Schmidt geschrieben ] Siehe Engels an Conrad Schmidt, 5. August 1890 (Br. 237). Engels hatte Bernstein wahrscheinlich am 20. August über diesen Brief informiert. Siehe auch Bernsteins Brief an Engels, 30. August 1890 (Br. 259.30–36) sowie Conrad Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.8–27).

1150

252. Eduard Bernstein an Engels · 22. August 1890

252.30–31

Zu Conrad Schmidt siehe auch Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 46–52.

252.35–36

Organisationsentwurf ] Organisationsentwurf für die sozialdemokratische Partei Deutschlands. In: Sächsische ArbeiterZeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. S. 1, Sp. 1–3 (siehe Erl. 242.25–49). – Zu Engels’ Einschätzung des Entwurfs siehe seinen Brief an Wilhelm Liebknecht vom 10. August 1890 (Br. 242.25–49).

252.36–37

Siehe I[gnaz] Auer: Obwohl es nicht angeht ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 34, 23. August 1890. S. 2, Sp. 1/2. Rubrik: Zur „Spaltung“. „Der Sozialdemokrat“ brachte diese Erklärung als Nachdruck des Artikels: Zum Parteitag. In: Berliner Volksblatt. Nr. 189, 16. August 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1. Auer verwies auf den Artikel: Zum Parteitag. In: Berliner Volksblatt. Nr. 185, 12. August 1890. S. 2, Sp. 1/2. Die Erklärung, unterzeichnet von A[ugust] Bebel: Obgleich es mir sehr zuwider ist ... Ebenda. Nr. 185. 12. August 1890. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1. Rubrik: Politische Übersicht.

252.40–41

Siehe [Eduard Bernstein:] Wir haben dieser Zuschrift ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1. Er äußerte sich kritisch über die Zuschrift aus Kopenhagen (siehe Erl. 252.42–44) und weitere Artikel in der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“.

252.42–44

E. Bolz: Wir sehen uns veranlaßt ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2. [U.d.T.:] Aus Dänemark erhalten wir folgendes Eingesandt. Die seit April 1882 bestehende Deutsche Lesegesellschaft in Kopenhagen in deren Auftrag Bolz schrieb, stand der Opposition innerhalb des Socialdemokratisk Forbund, später Det Revolutionære Socialistiske Arbejderparti, nahe; sie hatte zusammen mit anderen sozialdemokratischen Vereinen in Kopenhagen Nicolaj Lorents Petersen als Delegierten zum Internationalen Arbeiter-Kongreß im Juli 1889 in Paris (siehe Erl. 1.6) entsandt (Bertolt [u. a.]: En bygning ... S. 196). – Joseph Lane war ein führender Vertreter der antiparlamentarischen Gruppierung in der Socialist League, die er 1889 verließ.

252.47

von uns Allen ] Regina Bernstein, Ernst und Käte Schattner.

252.47

Roshers ] Mary, Percy, Lilian und Sohn Rosher.

1151

253 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 22. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2643/L V 135. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 229 × 177 mm. Kautsky hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu zwei Dritteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Kautsky antwortet auf den Brief von Engels vom 5. August 1890 (Br. 235), der ihm von Stuttgart aus nachgeschickt worden war. Engels antwortete am 18. September 1890 (Br. 275). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 258/259.

ERLÄUTERUNGEN 253.4

beantworte bis Stuttgart ] Siehe Kautsky an Engels, 8. September 1890 (Br. 267).

253.6–7

Deinen Artikel ] Auf Bitte von Kautsky (siehe Kautsky an Engels, 3. Juli 1890, Br. 215.35–44) hatte Engels ihm einen Artikel „Von den letzten Dingen“ vorgeschlagen und seinen Brief offen gelassen, damit dieser Artikel im Prospekt der „Neuen Zeit“ berücksichtigt werden könne (siehe Engels an Kautsky, 5. August 1890, Br. 235.5–13 und Erl.).

253.8

Deinen Brief ] Engels an Kautsky, 5. August 1890 (Br. 235).

253.10

An Sorge schreibe ich ] Siehe Br. 215.45–47 und Erl.; siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. August 1890 (Br. 258.16–17).

253.13

Paul ] Paul Lafargue.

253.14–16

Dadurch

253.20

Parteikrakehlerein ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl. 240.29).

253.28

Konrad ] Conrad Schmidt. Siehe auch Erl. 252.30–31.

253.31

Engels und Conrad Schmidt korrespondierten in den Jahren 1887–1895 in Abständen von mehreren Monaten regelmäßig.

253.33

Augusts ] August Bebel.

1152

bis

beschränken ] Siehe Br. 235.14–15 und Erl.

253. Karl Kautsky an Engels · 22. August 1890

253.38

in Eastbourne ] Eduard und Regina Bernstein hielten sich in Eastbourne, Engels in Folkestone auf, siehe Erl. 259.5 und 232.2.

253.43

Deinen Brief an Dietz ] Engels an Heinrich Dietz, 5. August 1890 (Br. 236).

253.43

Engels hatte Dietz über „neue Einwendungen“ Richard Fischers gegen „die sofortige Neuauflage des ,Ursprung‘“ unterrichtet (Br. 236.3–4 und Erl.).

1153

254 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Mount Desert, Freitag, 22. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5911/L VIII 556. Fotosign. 11192. Die Postkarte hat das Format 130 × 78 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Mount Desert Maine Aug 22 1890“ sowie eine aufgedruckte 2-Cent-Briefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf den Brief von Engels vom 9. August 1890 (Br. 240). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 254.3

1154

Krakehlern ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Br. 240.27–60 und Erl.

255 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 24. August 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/4. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 310 × 200 mm. Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „168“. Engels antwortete am 27. August 1890 (Br. 257). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 405/ 406.

KORREKTURENVERZEICHNIS 255.6

e´loigne´s ] H e´loigne´

ERLÄUTERUNGEN 255.3

au sea-side ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

255.4–5

Die Reise Wilhelm Liebknechts war seit Frühjahr 1890 geplant, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 (Br. 112.52–53 und Erl.). Liebknecht wollte nicht vor dem 15. August 1890 nach London kommen, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 1. August 1890 (Br. 232.1) und 10. August 1890 (Br. 242.8–10). August Bebel schrieb, Engels werde ihn nicht vor Oktober, vielleicht erst nach Neujahr sehen, siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.43–44). Beide kamen im November 1890 zu Engels’ Geburtstag, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890 (Br. 366.8–9); Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 342.

255.8–11

La Presse bis allemands ] Entsprechende Artikel in der französische Presse konnten nicht ermittelt werden. Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.14–42). Zu den Auseinandersetzungen innerhalb der sozialdemokratischen Partei siehe auch Erl. 240.29 und 242.25–49.

255.15

le congre`s ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

1155

255. Paul Lafargue an Engels · 24. August 1890

255.18

[Mermeix, d. i. Gabriel Terrail:] Coulisses du boulangisme. [Gez.:] X ... In: Le Figaro. Paris. In 15 Folgen zwischen dem 20. August und 22. Oktober 1890. Auch selbständig erschienen: [Derselbe:] X ... du Figaro: Les coulisses du Boulangisme. Paris. 1890. Siehe außerdem: Hinter den Koulissen. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 38, 20. September 1890. S. 2, Sp. 1–3, und Paul Lafargue: Der boulangistische Zusammenbruch. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 5. S. 145–149.

255.24

jeunes Rosher ] Frank Rosher. Siehe Engels an Laura Lafargue, 16. April 1890 (Br. 149.67–70) und an Paul Lafargue, 21. Mai 1890 (Br. 176.29).

255.26

la brochure sur l’e´volution de la proprie´te´ ] Lafargue: Die Entwikkelung des Eigenthums. London 1890. In englischer Übersetzung von Laura Lafargue erschien ebenfalls 1890 unter dem Titel: The origin and evolution of property, siehe Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.28–30). Eine französische Fassung der Arbeit erschien 1895: Lafargue: The`se communiste (MEGA➁ IV/32. Nr. 716).

255.30–31

Engels schickte den gewünschten Scheck, siehe Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.12–13).

255.32

Der Artikel ließ sich nicht nachweisen. 1894 erschien von Paul Lafargue: Le mythe d’Adam et E`ve. In: La Revue socialiste. Paris. Bd. 20. Nr. 115, Juli 1894. S. 26–44.

255.33–34

Der Artikel konnte nicht mit Sicherheit ermittelt werden. 1890 erschienen in der von Juliette Adam geleiteten Zeitschrift „La Nouvelle Revue“: [Lafargue:] La proprie´te´ primitive; [derselbe:] Rousseau et l’e´galite´ (siehe Laura Lafargue an Engels, 18. Februar 1890, Br. 104.34–39 und Erl.); 1891 wurde veröffentlicht: [Lafargue:] La Proprie´te´ fe´odale (MEGA➁ IV/32. Nr. 715).

255.34–35

article sur le mythe d’Athe´na ] Paul Lafargue: The myth of Athena. In: Time. London: Nr. 9, September 1890.

255.36

Kovalevsky: Tableau des origines ... Stockholm 1890. Die Arbeit befand sich in der Bibliothek von Engels (MEGA➁ IV/32. Nr. 701). Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.47–56), Paul Lafargue an Engels, 31. August 1890 (Br. 262.8–20). Engels ging auch in der 4. Auflage des „Ursprungs der Familie ...“ (MEGA➁ I/29. S. 172/173) auf das Buch von Kovalesky ein, siehe Br. 257.54–55.

255.37

Morgan ] Morgan: Ancient society ... London 1877.

1156

256 August Bebel an Friedrich Engels in London Plauen bei Dresden, Mittwoch, 27. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 251/L I 104. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 285 × 214 mm. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „79“ (gestempelt). Bebel antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels vom 12. August 1890 (Z. 3). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 395–397. ERLÄUTERUNGEN 256.3

Zu Engels’ Einschätzung der Situation in der deutschen Sozialdemokratie siehe auch seinen Brief an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl.).

256.8–9

Am 25. August 1890 fand in Berlin eine öffentliche Parteiversammlung zur Diskussion über die Kritik der Opposition (siehe Erl. 240.29) statt, mit Bebel als Hauptredner und Vertreter der Parteiführung. Dieser Versammlung waren andere in Dresden (10. August) und Magdeburg (13. August) vorausgegangen (siehe Eduard und Regina Bernstein an Engels, 19. August 1890 (Br. 250.25–27 und Erl.)). Auf beiden hatte Bebel ebenfalls gesprochen; alle Versammlungen billigten die Linie der Parteiführung gegenüber den Vorschlägen der Opposition. (August Bebel: Zur Taktik unserer Partei. In: Berliner Volksblatt. Nr. 198, 27. August 1890. Beil. S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 1. Rubrik: Versammlungen; Ueber Parteifragen. III. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 1, Sp. 1–3; Bernstein: Die Geschichte der Berliner Arbeiter-Bewegung. Bd. 2. S. 322–325. Siehe auch Müller: Idealismus und Revolution. S. 58–64.)

256.18

Fehler vom 1 Mai ] Zu den Auseinandersetzungen um den 1. Mai siehe Erl. 124.18.

256.21–23

Bebel könnte Wilhelm Werner gemeint haben; gegen ihn wurde der Vorwurf unlauterer Geschäftspraktiken erhoben, den eine Kommission auf dem Parteitag im Oktober 1890 prüfte, siehe Protokoll Halle 1890. S. 45–47 und 280–294; Müller: Idealismus und Revolution. S. 67/68; siehe auch Erl. 319.19.

1157

256. August Bebel an Engels · 27. August 1890

256.24

Organisationsentwurf ] Organisationsentwurf für die sozialdemokratische Partei Deutschlands. In: Sächsische ArbeiterZeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. S. 1, Sp. 1–3 (siehe Erl. 242.25–49). – Zu Engels’ Einschätzung des Entwurfs siehe seinen Brief an Wilhelm Liebknecht vom 10. August 1890 (Br. 242.25–65).

256.31

Der preußische Innenminister Ludwig Herrfurth wies in einem Zirkular vom 18. Juli 1890 die Behörden an, alle rechtlichen Möglichkeiten zur Bekämpfung der Sozialdemokratie anzuwenden. Siehe: Das Zirkular des Herrn Herrfurth. In: Berliner Volksblatt. Nr. 185, 12. August 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1.

256.37

trotz alledem und alledem ] Refrain eines bekannten Gedichtes von Ferdinand Freiligrath aus der Revolution von 1848.

256.39

dem Soc Gesetz ] Siehe Erl. 9.64.

256.43–44

Bebel war vom 26. November bis 2. Dezember 1890 zu Engels’ 70. Geburtstag in London (Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 342).

256.46

Parteitag ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

256.47–48

Arbeiter-Schutzges.Kommission ] Siehe Erl. 186.41–42.

256.55

Zur Reise von Bebels Tochter Frieda nach Paris siehe August Bebel an Engels, 9. April 1890 (Br. 140.57–58).

256.56

ihr Bräutigam ] Ferdinand Simon.

256.61

unsern Wilhelm ] Wilhelm II.

256.61–62

nach Norwegen ] Zu Engels’ Kreuzfahrt im Juli 1890 mit Carl Schorlemmer siehe Erl. 218.3.

1158

257 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux Folkestone, Mittwoch, 27. August 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5858. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 176 mm. Wasserzeichen: „British Empire Note“ und ein Löwe über einer Krone. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „18“. Engels antwortete auf die Briefe von Paul Lafargue vom 4. (Br. 234) und 24. August 1890 (Br. 255). Lafargue antwortete am 31. August 1890 (Br. 262). Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: [Engels:] Einige unveröffentlichte Briefe (1955). S. 1076/1077; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 407/408. VARIANTENVERZEICHNIS 257.6

: paraissait :

257.26

un $e´le´ment ñ

257.37

: en avant : ERLÄUTERUNGEN

257.3

au sea side ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

257.3–4

jusqu’a` l’arrive´e bis d’aller au Perreux ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.5–7).

257.12–13

un cheque que pour dix livres ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.30–31). Engels vermerkte die Überweisung auf dem Brief von Heinrich Dietz vom 15. Juli 1890 (siehe S. 1106).

257.14

re´volte d’e´tudiants ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Br. 240.27–60 und Erl. 240.29.

257.14–29

Depuis bis les e´tudiants ] Diese Passagen wurden unter dem Titel „Engels et les ,Jeunes‘“ zusammen mit weiteren Auszügen aus Briefen von Engels an Paul Lafargue mit dem Datum des 27. Oktober 1890 veröffentlicht: Quelques lettres d’Engels. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 115, 24. November 1900. S. 1, Sp. 3/4.

1159

257. Engels an Paul Lafargue · 27. August 1890

257.18–19

e´cole de Saint Cyr ] Französische Militärakademie bzw. Offizierschule.

257.22–23

Marx disait

257.23–24

Das Zitat läßt sich nicht als Aussage Heinrich Heines nachweisen.

257.34–37

Zu den Versammlungen der Sozialdemokraten in Dresden, Magdeburg und Berlin sowie zur Rolle August Bebels siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.7–23 und Erl.).

257.36

deux de leurs journaux ] „Sächsische Arbeiter-Zeitung“ (Dresden) und „Volksstimme“ (Magdeburg).

257.38

le congre`s ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

257.38–39

Zur Opposition auf dem Parteitag siehe Erl. 310.14–15.

257.43

Zum Artikel von Mermeix, d. i. Gabriel Terrail, über „Coulisses du boulangisme“ siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.18–23 und Erl.).

257.44–46

Bei der Nachwahl vom 27. Januar 1889 zur Deputiertenkammer in Paris hatte Georges Boulanger 244 070 Stimmen erreicht (Dautry: Lafargue et le boulangisme. S. 32; Derfler: Lafargue and the flowering of French socialism ... S. 66).

257.47

Kovalevsky: Tableau des origines ... Stockholm 1890. Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.36–41 und Erl.). Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 31. August 1890 (Br. 262.8–20).

257.54–55

Engels: Der Ursprung der Familie ... Stuttgart 1892. Siehe MEGA➁ I/29. S. 172/173). Zur Neuauflage siehe auch Heinrich Dietz an Engels, 7. April 1890 (Br. 138.25–40).

1160

bis

moi»! ] Siehe Erl. 237.44–45.

258 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken Folkestone, Mittwoch, 27. August 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben; die Nachschrift (Z. 16–17) steht quer am linken Rand geschrieben, die Vorderseite hat er für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich der Poststempel: „Folkestone E Au 27 90“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Engels antwortet auf die Postkarte Sorges vom 9. (Br. 241) und dessen Brief vom 13. August 1890 (Br. 244). Sorge antwortete Engels am 10. September 1890 (Br. 269). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 345; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 239/240; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 449; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 258.1

Abreise ] Engels und Carl Schorlemmer unternahmen vom 1. bis 26. Juli 1890 eine Kreuzfahrt nach Norwegen.

258.3

der junge Wilhelm ] Wilhelm II.

258.6

Redacteur en chef ] Siehe Br. 269.4–5. Zum Wechsel der Chefredakteure siehe Erl. 244.4–5.

258.10–11

kleine Studentenrevolte bis gesprengt worden ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Erl. 240.29, zur Rolle Bebels siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.7–23 und Erl.).

258.16–17

Die N. Zeit bis zu berichten ] Auf Anfrage Karl Kautskys hatte Engels Sorge für die Berichterstattung in der „Neuen Zeit“ empfohlen, siehe Karl Kautsky an Engels, 3. Juli 1890 (Br. 215.45–47 und Erl.) sowie Engels an Karl Kautsky, 5. August 1890 (Br. 235.17–19).

1161

259 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone London, Samstag, 30. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 502/L I 298. Der Brief besteht aus zwei Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 226 × 177 mm. Bernstein hat alle acht Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Bernstein antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 21. und 30. August 1890 (Z. 7–8 und Br. 252.4). Die Beilage (Z. 72) ist nicht überliefert (siehe Erl. 259.71–73). Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 369–372. ERLÄUTERUNGEN 259.5

Die Familie Bernstein war vom 7. bis 30. August im Urlaub in Eastbourne, siehe Eduard und Regina Bernstein an Engels, 8. und 19. August 1890 (Br. 239 und 250) sowie Eduard Bernstein an Engels, 22. August 1890 (Br. 252).

259.9

Deinen Auseinandersetzungen ] In seinem nicht überlieferten Brief hatte sich Engels wahrscheinlich mit der Opposition der „Jungen“ (siehe Erl. 240.29) auseinandergesetzt. Vermutlich sind seine diesbezüglichen Aussagen eingegangen in den Artikel: „An die Redaktion des ,Sozialdemokrat‘“ vom 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267–269, hier S. 269.4–6).

259.13

Berliner Versammlung ] Zur öffentlichen Parteiversammlung am 25. August 1890 in Berlin siehe Erl. 256.8–9.

259.18

Soldat ] Wilhelm Liebknecht.

259.15–16

Bernstein könnte sich auf einen Vortrag Bruno Willes in einer Schuhmacherversammlung zwischen Ende Juli und Mitte August 1890 beziehen. August Bebel berief sich auf den Vortrag in der Versammlung vom 25. August 1890 (Bruno Wille: Der Mensch als Massenglied. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. Jg. 1. 1890. S. 865–869; Sollmann: Literarische Intelligenz ... S. 117).

259.20–21

Auf dem Parteitag im Oktober 1890 in Halle wies Wilhelm Werner die Behauptung zurück, er habe in Wernigerode im Harz die ganze Opposition zu einer geheimen Sitzung eingeladen. Die sogenannte Brockenverschwörung sei eine gewöhnliche Landpartie gewesen (Protokoll Halle 1890. S. 285 und 294).

1162

259. Eduard Bernstein an Engels · 30. August 1890

259.22

Alten ] Wilhelm Liebknecht.

259.30

was C. Schmidt dir geantwortet ] Siehe Conrad Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.8–27). Siehe auch Bernsteins Brief an Engels vom 22. August 1890 (Br. 252.30 und Erl.).

259.30–31

[Conrad Schmidt:] Ein Skandal. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 34, 23. August 1890. S. 2, Sp. 3, bis S. 3, Sp. 1. Siehe auch Conrad Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.13–17).

259.33–34

[Wilhelm Liebknecht:] Breve fra Tyskland. [Gez.:] L. In: SocialDemokraten. København. Nr. 181, 3. August 1890. S. 1, Sp. 1/2; Liebknecht hatte hier u. a. von „vereinzelten räudigen Schafen“ geschrieben, die sich in die Partei eingeschlichen hätten und die ebenso schnell wieder heraus kämen, wie sie hereingekommen wären, und daß die „zweifelhaften Existenzen, die ... ihr Wesen in der Berliner Volkstribüne und der Sächsischen Arbeiter-Zeitung ... getrieben hätten, im Vergleich mit Hasselmann von geradezu komischer Bedeutungslosigkeit“ wären.

259.36–37

[Max Schippel:] Erklärung. In: Berliner Volks-Tribüne Nr. 26, 28. Juni 1890. S. 1, Sp. 1. Siehe auch Müller: Idealismus und Revolution. S. 67/68.

259.39

[Eduard Bernstein:] Der Vollständigkeit halber ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 34, 23. August 1890, S. 3, Sp. 1/2.

259.46

„innere Partei“ ] Zur „inneren Organisation“ der Sozialdemokraten siehe Erl. 240.29.

259.58–65

Als die Dresdener Krakehler bis unterlegen. ] Zu den Versammlungen in Dresden, Magdeburg und Berlin siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.7–23 und Erl.).

259.63–64

Bogus-Versammlung ] Schein-Versammlung.

259.67–68

Wilhelm Werners Aussage war nicht zu ermitteln, sie fiel laut dem Referat im Berliner Volksblatt nicht in der Versammlung vom 25. August, siehe: Zur Taktik unserer Partei. In: Berliner Volksblatt. Nr. 198, 27. August 1890. Beil. S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 1. Rubrik: Versammlungen. Siehe auch Herrmann [u. a.]: August Bebel. S. 330.

259.71–73

In Hamburg wurden nach den 1. Mai-Demonstrationen 1890 langwierige und umfassende Arbeitskämpfe geführt, die auch grundsätzliche Fragen des Organisationsrechtes umfaßten; der Konflikt wurde Mitte August 1890 mit einer teilweisen Niederlage der Streikenden beendet, jedoch wurde das Koalitionsrecht aufrechterhalten. Das „Berliner Volksblatt“ veröffentlichte

1163

259. Eduard Bernstein an Engels · 30. August 1890

regelmäßig vom 15. Juli bis 30. August 1890 Listen der Spendensammlungen für die Streikenden und Ausgesperrten in Hamburg. Zu einer der größten dieser Listen siehe: Für die ausgesperrten Bauhandwerker Hamburgs. In: Berliner Volksblatt. Nr. 191, 19. August 1890. Beibl. S. 4, Sp. 1–3. Rubrik: Briefkasten der Redaktion. (Der Hamburger Massenausschluß. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 35, 30. August 1890. S. 4, Sp. 1/2; Die Hamburger Gewerkschaften und deren Kämpfe von 1865 bis 1890. S. 492–512; Schröder: Klassenkämpfe und Gewerkschaftseinheit. S. 118–135.) 259.85

Friedrich Engels: Man erlaube auch mir ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. S. 2, Sp. 1/2 (MEGA➁ I/31. S. 270–273).

259.88

Parteikongreß ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

259.92

Roshers ] Mary, Percy, Lilian und Sohn Rosher.

1164

260 Antonio Labriola an Friedrich Engels in London Neapel, Samstag, 30. August 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5061. Fotosign. 1119a–b. Labriola hat die Rückseite einer Postkarte vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Napoli 30 [...] 8–90 12 Ferrovia“ und eine aufgedruckte 10-Centesimi-Briefmarke. Erstveröffentlichung: Labriola: Lettere a Engels (1927). S. 801; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 260.2–3

[Bernstein:] Eine Neu-Auflage des ... Manifestes. 16. August 1890. In der Vorbemerkung zum Auszug aus Engels’ Vorwort zur Neuauflage (siehe Erl. 240.73 und MEGA➁ I/31. S. 254– 258) erwähnte Bernstein, daß Engels „in wenigen Monaten sein siebzigstes Lebensjahr zurücklegt“.

260.4

Engels wurde am 28. November 1820 geboren.

1165

261 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 30. August 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6440/L IX 397. Fotosign. 11935 –b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wro´blewski hat alle vier Seiten vollständig beschrieben, die Nachschrift (Z. 28) steht quer am linken Rand der vierten Seite geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce (1960). S. 296; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 287/288. ERLÄUTERUNGEN 261.10–11

j’ai de´pense´s bis cousins ] Siehe Walery Wro´blewski an Engels, 12. Juli 1890 (Br. 223.4–5).

261.28

«Pumes» ] Mary Rosher.

1166

262 Paul Lafargue an Friedrich Engels in Folkestone Le Perreux, Sonntag, 31. August 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/5. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 308 × 200 mm. Wasserzeichen: „Forest a` chambe´ry“. Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „169“. Lafargue beantwortet Engels’ Brief vom 27. August 1890 (Br. 257). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 409/ 410. ERLÄUTERUNGEN 262.3–4

dans un petit public house bis tre`s belle femme ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.7–8).

262.8–20

Kovalevsky: Tableau des origines ... Stockholm 1890. Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.36–41 und Erl.) sowie Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.47–56 und Erl.).

262.32

Morgan ] Morgan: Ancient society ... London 1877.

262.45

les coulisses du Boulangisme ] [Mermeix, d. i. Gabriel Terrail:] Coulisses du boulangisme. [Gez.:] X ... In: Le Figaro. Paris. In 15 Folgen zwischen dem 20. August und 22. Oktober 1890. Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.18–23 und Erl.).

1167

263 Eduard Bernstein an Friedrich Engels in Folkestone London, Mittwoch, 3. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 503/L I 299. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 269 × 214 mm. Bernstein hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zu den Beilagen siehe Erl. 263.3 und 263.4. Bernstein antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 30. August (Br. 259.7–8) und 3. September 1890 (Z. 22). Erstveröffentlichung: Bernstein: Bw mit Engels (1970). S. 372–374. ERLÄUTERUNGEN 263.3

Karte von Labriola ] Antonio Labriola an Engels, 30. August 1890 (Br. 260).

263.4

Brief von Aug. Bebel ] August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256).

263.7

Krakehl ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl. 240.29). Zu den Versammlungen in Dresden, Magdeburg und Berlin siehe Erl. 256.8–9.

263.8

Affäre Krüger ] Ernst Krüger hatte sich während seines Exils in Zürich mit der Mehrheit der deutschen Sozialdemokraten überworfen und war aus der dortigen Parteiorganisation ausgeschlossen worden. Siehe Die Redakteure der „Magdeburger Volksstimme“ ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 35, 30. August 1890. S. 3, Sp. 2/3; [Liebknecht, Wilhelm]: Das unerquickliche Zwischenspiel ... Ebenda. Nr. 36, 6. September 1890. S. 3, Sp. 1/2; Von Herrn Emil Krüger .... Ebenda. Nr. 38, 20. September 1890. S. 4, Sp. 1.

263.11, 33

Mit dem „Soldaten“ ist Wilhelm Liebknecht gemeint.

263.12, 15

Alte ] Wilhelm Liebknecht.

263.13

Auers Notiz ] I[gnaz] Auer: Also ich bin der Mittelpunkt ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 197, 26. August 1890. S. 2, Sp. 2/3. Rubrik: Politische Uebersicht. Im „Sozialdemokrat“, London, erschien die Erklärung mit dem gleichen Titel. In: Nr. 35, 30. August 1890. S. 3, Sp. 3.

1168

263. Eduard Bernstein an Engels · 3. September 1890

263.18

Kentish Town Rd 114 ] Adresse der Redaktion des „Sozialdemokrat“ in London.

263.23–24

Einsendung der Kopenhagener ] E. Bolz: Wir sehen uns veranlaßt ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2. [U.d.T.:] Aus Dänemark erhalten wir folgendes Eingesandt. Siehe Eduard Bernstein an Engels, 22. August 1890 (Br. 252.42–44 und Erl.).

263.25

Der Jahreskongreß des Trades Union Congress fand vom 1. bis 6. September 1890 in Liverpool statt. Die Delegierten faßten einen Beschluß für den Kampf um die Einführung des gesetzlichen Acht-Stunden-Tages. Das war ein – zeitweiliger – Sieg der neuen Gewerkschaften (siehe Erl. 10.9–18). Eleanor MarxAveling war von der National Union of Gas Workers and General Labourers delegiert worden, doch ihr Mandat war nicht anerkannt worden, weil sie keine Arbeiterin sei. In einem offenen Brief protestierte sie dagegen und verwies darauf, daβ sie ihren Unterhalt durch Lohnarbeit verdiene: „Now, to begin with, I am a working woman – I work a typewriter“ (zitiert nach: Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 394–396). Am Kongreß nahm sie dann als Korrespondentin des Londoner „Sozialdemokrat“ teil. (Der Kongreß der englischen Gewerkvereine ... [Korrespondenz:] London, 10. September 1890. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 37, 13. September 1890. S. 1, Sp. 3. Rubrik: Sozialpolitische Rundschau; Eleanor Marx Aveling: The Liverpool congress. In: Time. London. Nr. 10. Oktober 1890. S. 1088–1097; siehe auch Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 256/257 und 293; Bünger: Engels und die britische sozialistische Bewegung ... S. 182/183; Coates, Topham: The making of the Transport and General Workers’ Union. Pt. 1. S. 233. Siehe auch Erl. 313.35–37. – Zu den Zulassungsbedingungen des Trades Union Congress siehe auch Erl. 296.18.

263.26

Korrespondenz im „Berl. Volksblatt“ ] [Eduard Bernstein:] Das Interesse an dem übermorgen in Liverpool zusammentretenden Gewerkschaftskongreß ... [Korrespondenz:] London, 30. August 1890. In: Berliner Volksblatt. Nr. 204, 3. September 1890. S. 2, Sp. 1–3.

263.33–34

Die Reise war seit Frühjahr 1890 geplant, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 (Br. 112.52–53). Siehe auch Erl. 255.4–5. Liebknecht kam Ende November 1890 zu Engels’ 70. Geburtstag nach London, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890 (Br. 366.8–9) und an Laura Lafargue, 1. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5843).

1169

263. Eduard Bernstein an Engels · 3. September 1890

263.35

„Hambg. Echo“ ] Zu den Folgen der Demonstrationen zum 1. Mai in Hamburg siehe auch Erl. 259.71–73.

263.38

Hausgenossen ] Helena Demuth, Percy, Mary und Lilian sowie Sohn Rosher.

263.40

Familie ] Regina Bernstein, Ernst und Käte Schattner.

1170

264 Joseph Bloch an Friedrich Engels in London Königsberg, Mittwoch, 3. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 577/L II 5–1. Fotosign. 7451a–d. Der Brief besteht aus zwei Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 230 × 185 mm. Wasserzeichen: „Fein Billet-Post“ und eine Brieftaube mit Brief im Schnabel. Bloch hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste zu drei Vierteln, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortete den Brief am 21. und 22. September 1890 (Br. 286). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Ф. Энгельсу по вопросам исторического материализма (1982). S. 459/460; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 264.7–8

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884.

264.10–12

„Neque bis instituto.“ ] Zitat aus Cornelius Nepos: Liber de excellentibus ducibus exterarum gentium. Praefatio: Und es war nämlich dem Cimon, dem höchsten Mann der Athener, nicht schändlich, seine leibliche (Halb-)Schwester zu heiraten, da ja seine Mitbürger dieselbe Sitte gebrauchten.

1171

265 Richard Fischer an Friedrich Engels in Folkestone London, Donnerstag, 4. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1832/L III 286. Fotosign. 8294. Die Postkarte hat das Format 74 × 121 mm. Fischer hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „Kentish Town N. W. 3 Sp 4 90“ und eine aufgedruckte 1/2-Penny-Briefmarke, die abgestempelt ist. Archivsignatur: „II 21 F 15“. Fischer beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 4. September 1890 (Z. 2). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 265.6

seinem Sohne ] Möglicherweise ist William Augustus Petzler gemeint, der 1857 in Manchester geboren wurde, wo Johann Petzler mehrere Jahre wohnte. Dieser war in der Chartistenbewegung aktiv. Er hatte u. a. am Labour Parliament von 1854 teilgenommen. (Lattek: Revolutionary refugees. S. 161 und 299.)

265.6–7

Johann Petzler: Life in Utopia. Being a faithful and accurate description of the institutions that regulate labour, art, science, agriculture, education, habitation, matrimony, law, government, and religion, in this delightful region of human imagination. London 1890. Siehe auch: „Life in Utopia“ ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 37, 13. September 1890. S. 4, Sp. 1; die dort angekündigte Besprechung konnte nicht ermittelt werden.

265.8–9

Nordlandsfahrt u. jetzt dorten ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3, zu seinem Aufenthalt in Folkestone Erl. 232.2.

1172

266 Alfred Delcluze an Friedrich Engels in London Calais, Samstag, 6. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1100/L III 30–6. Fotosign. 8355. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 208 × 271 mm. Delcluze hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der ersten Seite oben links befindet sich ein Stempel „Union des Chambres Syndicales ouvrie`res de Calais (Pas-de-Calais)“. Von Engels’ Hand: mit Tinte auf der ersten Seite Anstreichung am linken Rand (Z. 9–11) und Vermerk „to Wilson 28/9“, auf der zweiten Seite „Delcluze Calais 7/9/90“. Archivsignatur: „II 21 B 12“. Die Beilage (Z. 3) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 266.9

Un ouvrier Calaisien ] Henri Altazin.

266.14–22

Siehe A[lfred] Delcluze: Il fut un temps ... In: Le Socialiste. Paris. Nr. 1, 21. September 1890. S. 3, Sp. 2/3. Rubrik: Le Parti ouvrier en France. Calais. Siehe auch Paul Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais. S. 291.

266.23–24

Die Tüllarbeiter von Calais erhielten eine bedeutende finanzielle Unterstützung von den Tüllarbeitern in Nottingham; in verschiedenen Berichten wurden unterschiedlich hohe Zahlen genannt, laut einer Zeitungsmeldung handelte es sich um 75 000 Francs, laut einer anderen um 30 000 Francs (Ces de´tails sur la situation de Calais ... In: Le Temps. Paris. Nr. 10 728, 30. September 1890. S. 3, Sp. 4; „Le congre`s de Lille“. Ebenda Nr. 10 740, 12. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3). Andere Angaben zu Überweisungen aus Nottingham finden sich in: Calais. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 41, 2. November 1890. S. 3, Sp. 1 und 4me Congre`s national. Tenu a` Calais du 13 au 19 octobre 1890. S. 8. Siehe auch Solidarite´ ouvrie`re. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 38, 12. Oktober 1890. S. 2, Sp. 2; Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais. S. 291; Jules Guesde: Brief aus Frankreich. In: Berliner Volksblatt. Nr. 262, 9. November 1890. S. 2, Sp. 2/3, bis S. 3, Sp. 1; Perrot: Les ouvriers en gre`ve. S. 530.

1173

267 Karl Kautsky an Friedrich Engels in Folkestone Stuttgart, Montag, 8. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2644/L V 136. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 285 × 224 mm. Kautsky hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 18. September 1890 (Br. 275). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 260/261. ERLÄUTERUNGEN 267.4–5

Umzug und Einrichtung ] Karl und Luise Kautsky zogen im August nach Stuttgart, siehe Karl Kautsky an Engels, 22. August 1890 (Br. 253.4–5).

267.5–6

„Die Neue Zeit“. Stuttgart erschien ab 1. Oktober 1890 wöchentlich.

267.7

der Kongreß ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4).

267.7–16

Ignaz Auer, August Bebel und Engels beteiligten sich nicht an der geplanten Serie. Das Vorhaben wurde in einer vierteiligen Artikelreihe realisiert. Kautsky verfaßte die ersten drei Teile: [Karl Kautsky:] Der Entwurf des neuen Parteiprogramms. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 2. Nr. 49. S. 723–730; Nr. 50. S. 749–758; Nr. 51. S. 780–791; Bernstein schrieb den vierten Artikel: [Eduard Bernstein:] Der Entwurf des neuen Parteiprogramms. IV. Ebenda. Nr. 52. S. 814–827.

267.17

Der Brief ist nicht überliefert. Zur Arbeit von Friedrich Adolph Sorge für die „Neue Zeit“ siehe Erl. 215.45–47.

267.20–21

letzten Krakehlereien in Berlin ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl. 240.29), zur Versammlung vom 25. August in Berlin siehe August Bebel an Engels, 27. August 1890 (Br. 256.7–23 und Erl.). Zu Schippel siehe auch Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 35–41.

267.21–22

Siehe Max Schippel: Nachdem ich tatsächlich ... In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 32, 9. August 1890. S. 1, Sp. 3. Rubrik: An die Leser!; siehe Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 11. September 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 128).

1174

267. Karl Kautsky an Engels · 8. September 1890

267.25

der Soldat ] Wilhelm Liebknecht.

267.25

Sd. ] „Der Sozialdemokrat“. London.

267.28

Tr. ] „Berliner Volks-Tribüne“.

267.44

der rothe Krüger ] Zur „Affäre Krüger“ siehe Erl. 263.8.

267.47

Liverpooler Kongreß ] Zum Jahreskongreß des Trades Union Congress vom 1. bis 6. September 1890 in Liverpool siehe Erl. 263.25.

267.48

Von Eleanor Marx-Aveling erschien kein Bericht über den Kongreß des TUC in der „Neuen Zeit“. Jedoch veröffentlichte Bernstein einen Beitrag: [Eduard Bernstein:] Brief aus England. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 1. S. 23– 29; Nr. 4. S. 102–109. Siehe Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 11. September 1890.

1175

268 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Templeuve, Dienstag, 9. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 617/L II 20. Fotosign. 7442a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 180 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Bonnier hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die in der Nachschrift erwähnte Beilage (Z. 62–63) ist nicht überliefert (siehe Erl. 268.62–63). Eine weitere Beilage ist überliefert, sie enthält einen Auszug aus dem Bericht des Internationalen Arbeiter-Kongresses vom Juli 1889 (siehe Erl. 1.6). Zur Datierung: Die Monatsangabe September ergibt sich aus der Chronologie der im Brief erwähnten Ereignisse (z. B. der Kongreß des Trades Union Congress in Liverpool vom 1.–6. September 1890, siehe Z. 34) sowie aus der Tatsache, daß Engels sich in den Briefen an Paul Lafargue am 15. und 19. September 1890 (Br. 272.45–46 und Br. 276.40) auf diesen Brief und auf seine Antwort darauf bezog. Die Antwort von Engels, geschrieben zwischen dem 9. und 15. September 1890, ist nicht überliefert; der Inhalt ist teilweise enthalten in Br. 276.6–39 und in dem Manuskript „Congre`s ouvrier international de 1891“ (MEGA➁ I/31. S. 274–279). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. Wiedergabe einer Beilage Die überlieferte Beilage ist ein Auszug aus folgender Veröffentlichung mit Materialien des Internationalen Arbeiter-Kongresses vom Juli 1889 (siehe Erl. 1.6): Congre`s international ouvrier socialiste de Paris (du 14 Juillet au 21 Juillet 1889). Appel de la Commission d’organisation. Liste des de´le´gue´s et des associations ouvrie`res et partis socialistes repre´sente´s. Te´le´grammes et lettres d’a´dhe´sion. Re´solutions. Paris 1889. S. 19/20. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 617/bei L II 20. Fotosign. 7445a–b. Von unbekannter Hand: mit schwarzer Tinte: Anstreichung am linken Rand: Il est cre´e´ bis du ulte´rieurement.; Unterstreichung: Cette Commission bis ulte´rieurement. [...] 19 b) Interdiction du travail des enfants au-dessous de 14 ans, et, de 14 a` 18 ans, re´duction de la journe´e a` six heures pour les deux sexes; (c) Suppression du travail de nuit, sauf pour certaines branches d’industrie dont la nature exige un fonctionnement ininterrompu;

1176

268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

(d) Interdiction du travail des femmes dans toutes les branches d’industrie qui affectent plus particulie`rement l’organisme fe´minin; (e) Suppression du travail de nuit pour les femmes et les ouvriers de moins de 18 ans; (f) Repos ininterrompu de 36 heures au moins, par semaine, pour tous les travailleurs; (g) Interdiction de certains genres d’industrie et de certains modes de fabrication pre´judiciables a` la sante´ des travailleurs; (h) Suppression du marchandage; (i) Suppression du paiement en nature, ainsi que des coope´ratives patronales; (j) Suppression des bureaux de placements; (k) Surveillance de tous les ateliers et e´tablissements industriels, y compris 1’industrie domestique, par des inspecteurs re´tribue´s par l’Etat et e´lus, au moins pour moitie´, par les ouvriers eux-meˆmes. Le Congre`s de´clare que toutes ces mesures d’hygie`ne sociale doivent faire l’objet de lois et de traite´s internationaux, que les prole´taires de tous les pays sont invite´s a` imposer a` leurs gouvernants. Ces lois et traite´s, obtenus de la fac¸on qu’ils jugeront la plus efficace, ils auront a` en surveiller l’application. Le Congre`s de´clare en outre qu’il est du devoir des ouvriers d’admettre les ouvrie`res dans leurs rangs, sur le pied d’e´galite´, et de faire pre´valoir le principe: a` travail e´gal, salaire e´gal pour les travailleurs des deux sexes et sans distinction de nationalite´. Pour cela, de meˆme que pour 1’e´mancipation comple`te du prole´tariat, le Congre`s conside`re comme essentielle l’organisation des travailleurs sur tous les terrains et re´clame, en conse´quence, la liberte´ absolue d’association et de coalition. Troisie`me question Voies et moyens pour faire aboutir ces revendications Le Congre`s international ouvrier socialiste de Paris: Invite les organisations ouvrie`res et les partis socialistes de tous les pays a` se mettre imme´diatement a` 1’œuvre et a` user de tous les moyens (re´unions, 20 journaux, pe´titions, manifestations, etc.) pour amener leurs gouvernants respectifs: 1° A adhe´rer a` la confe´rence intergouvernementale de Berne, propose´e par le gouvernement Suisse; 2° A soutenir dans cette confe´rence les re´solutions du Congre`s international de Paris. Dans tous les pays qui comptent des e´lus socialistes, ces derniers devront, sous la forme de vœux dans 1es Conseils municipaux, sous la forme de dispositions le´gislatives dans les Parlements, saisir les assemble´es dont ils font partie des re´solutions du Congre`s de Paris. Dans toutes les e´lections, tant municipales que le´gislatives, ces meˆmes re´solutions devront figurer au programme des candidats socialistes,

1177

268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

Il est cre´e´ une Commission exe´cutive des re´solutions du Congre`s de Paris, en ce qui concerne la le´gislation internationale du travail projete´e par la Re´publique helve´tique. Cette Commission, compose´e de cinq membres, est charge´e de transmettre directement a` la confe´rence de Berne les bases sur lesquelles les organisations ouvrie`res et les partis socialistes d’Europe et d’Ame´rique, re´unis a` Paris du 14 au 21 juillet, ont juge´ indispensable d’asseoir une protection internationale du travail. Cette Commission rec¸oit, en outre, le mandat de convoquer le prochain Congre`s international, lequel devra avoir lieu dans une localite´ de la Suisse ou de la Belgique a` de´signer ulte´rieurement. Sous le titre: La journe´e de huit heures, il sera publie´, avec le concours des partis socialistes repre´sente´s au Congre`s international de Paris, un organe hebdomadaire destine´ a` centraliser tous les renseignements sur les divers mouvements nationaux en vue de la re´duction le´gale de la journe´e de travail. Manifestation internationale du 1er mai 1890 Il sera organise´ une grande manifestation internationale a` date fixe, de manie`re que, dans tous les pays et dans toutes les villes a` la fois, le meˆme jour convenu, les travailleurs mettent les pouvoirs publics en demeure de re´duire le´galement a` huit heures la journe´e de travail, et d’appliquer les autres re´solutions du Congre`s international de Paris. Attendu qu’une semblable manifestation a de´ja` e´te´ de´cide´e pour le 1er mai 1890 par l’American Federation of labour, dans son congre`s de de´cembre 1888 tenu a` St-Louis, cette date est adopte´e pour la manifestation internationale. [...] KORREKTURENVERZEICHNIS 268.39 268.62

reconnaissants ] H reconnaissant une ] H (une ERLÄUTERUNGEN

268.4

Die dritte Serie des „Socialiste“ erschien mit ihrer ersten Nummer vor dem Kongreß in Lille am 21. September 1890.

268.7

Congre`s du parti ] Zum Kongreß des Parti ouvrier am 11. und 12. Oktober 1890 in Lille siehe Erl. 288.17.

268.13–18

Engels hatte sich nach Louis de Lavigerie erkundigt, siehe Engels an Laura Lafargue, 30. Juli 1890 (Br. 230.20–28). Zu Informationen über ihn siehe Paul Lafargue an Engels, 4. August 1890 (Br. 234.12–13 und 15–20). Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 20. September 1890 (Br. 281.9–15) sowie Paul und Laura Lafargue an Engels, 22. September 1890 (Br. 288.35–38).

1178

268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

268.15–16

Louis D. de Lavigerie: French labour intelligence. In: The People’s Press. London. Nr. 26, 30. August 1890. S. 4, Sp. 1.

268.21–22

Edward Aveling nahm an beiden Kongressen, in Lille und in Calais, teil, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 18. Oktober 1890 (Br. 320.14). Zur Legal Eight Hours League siehe Engels an Sorge, 29. Mai 1890 (Br. 183.78–88) sowie Erl. 158.31 und 176.17–19.

268.23

Es konnte nicht ermittelt werden, auf welchen Kongreß Bonnier sich bezog.

268.26–30

Jeder der beiden im Juli 1889 in Paris tagenden Internationalen Kongresse (siehe Erl. 1.6) hatte eine Fortsetzung geplant. Der Possibilistenkongreß (siehe Erl. 29.38) hatte dem Vorschlag der belgischen Delegation zugestimmt, den nächsten internationalen Arbeiterkongreß 1891 in Brüssel abzuhalten und das Nationalkomitee der Belgischen Werklieden Partij/Parti ouvrier belge mit der Einberufung zu beauftragen (Compte-rendu Paris 1889. S. 89/90). Der Kongreß in der Salle Pe´trelle hatte ein aus fünf Mitgliedern bestehendes Exekutivkomitee mit Sitz in der Schweiz ernannt, das den nächsten internationalen Arbeiterkongreß an einem später zu bestimmenden Ort in der Schweiz oder in Belgien einberufen sollte. (Siehe Br. 268.26–30 und S. 1178.) Anfang September 1890 hatte die Belgische Werklieden Partij die Initiative ergriffen und den Trades Union Congress zu einem internationalen Kongreß 1891 in Brüssel eingeladen; dieser hatte die Einladung angenommen (siehe Erl. 272.10–11). Im Auftrag der belgischen Partei wandte sich Jean Volders am 12. September an Wilhelm Liebknecht, um den Deutschen einen gemeinsamen Kongreß in Brüssel vorzuschlagen (RGASPI, Sign. f. 200, op. 4, d. 2636, siehe auch August Bebel an Engels, 23. September 1890, Br. 289). Im Unterschied zu Bonnier, der Zurückhaltung anmahnte, sah Engels dringenden Handlungsbedarf. In seinen Augen drohten die Aktivitäten der Belgier den künftigen Kongreß der Marxisten ernsthaft zu gefährden. Einen Ausweg sah er in einer von letzteren initiierten Fusion unter bestimmten Bedingungen. Seine Überlegungen teilte er Paul Lafargue am 15. und 19. September 1890 mit (siehe Br. 272 und 276.6–51) und formulierte sie in einem Text (Congre`s ouvrier international de 1891. In: MEGA➁ I/31. S. 274–279). Dessen Reinschrift schickte er über Bonnier an Jules Guesde, zur Diskussion mit Paul Lafargue, E´douard Vaillant und anderen. Zu seiner Motivation siehe auch seine Briefe an Karl Kautsky und Friedrich Adolph Sorge

1179

268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

vom 18. und 27. September 1890 (Br. 275 und 300) sowie die Korrespondenzen mit Paul Lafargue (Br. 273, 288, 293 und 296) und Jules Guesde (Br. 294 und 297). Anschließend wandte Engels sich an die deutsche Partei mit dem Vorschlag, während des Parteitags der Sozialdemokraten im Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4) eine internationale Vorkonferenz mit den anwesenden ausländischen Delegierten durchzuführen, um die Bedingungen für eine Einigung in der Kongreßfrage auszuarbeiten (siehe Br. 276.44–45 sowie August Bebel an Engels, 23. und 29. September 1890, Br. 289.10–29 und 302.4–16). Er hatte dies Paul Lafargue bereits am 15. September mitgeteilt (Br. 272.30–34, siehe auch Engels an Friedrich Adolph Sorge, 4. Oktober 1890, Br. 305.14–16). Es liegt kein Bericht über die Vorkonferenz (siehe Erl. 272.30–34) vor, sondern nur die vorgeschlagene Tagesordnung für den 1891 geplanten internationalen Kongreß. In seinem Bericht an die Pariser Agglome´ration des Parti ouvrier (siehe Erl. 28.7) über den Parteitag in Halle ging Joseph Ferroul auch kurz auf die Entscheidungen der Vorkonferenz ein. Ferroul zufolge wurde nur der Tagungsort bestimmt. (APP, Dossier Agglome´ration parisienne 1888–1890, Sign. APP Ba 1484.) Nach anderen Berichten wurde auch der Termin festgelegt, und der internationale Kongreß sollte ab dem 16. August für acht Tage in Brüssel tagen. Er fand vom 16.–22. August 1891 in Brüssel statt. Zur Durchführung der Vorkonferenz siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels am 14./15. und 16. Oktober (Br. 314.128–129 sowie 319.28–34 und 56). In den Beschlüssen der Vorkonferenz wurden Engels’ Vorschläge für die Verfahrensweisen aufgegriffen. (Der nächste internationale Arbeiterkongreß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 243, 18. Oktober 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Politische Übersicht und 1. Beil. S. 2, Sp. 3; Für den nächsten internationalen Arbeiterkongreß ... Ebenda. Nr. 244, 19. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3. Rubrik: Politische Übersicht; Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 119–121; siehe auch Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890, Br. 324.42 und Erl., und an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890, Br. 366.19–24.) Auch wenn diese Beschlüsse nicht so schnell verwirklicht wurden, wie in Halle vorgesehen, erwiesen sie sich für die weitere Entwicklung als entscheidend. (Siehe Bürgi: Anfänge ... S. 114–121.) 268.34

1180

Congre`s de Liverpool ] Zum Jahreskongreß des Trades Union Congress vom 1. bis 6. September 1890 in Liverpool siehe Erl. 263.25. Zu Engels’ sehr positiver Einschätzung siehe Engels an Karl Kautsky, 18. September 1890 (Br. 275.18–30).

268. Charles Bonnier an Engels · 9. September 1890

268.34–35

John Burns hatte auf dem Kongreß in Liverpool u. a. die Rolle der Arbeiterabgeordneten kritisiert und desweiteren für die Annahme der Acht-Stunden-Resolution plädiert, ohne eine neue Linie zu vertreten (Davis: The British Trades Union Congress. S. 30/31 und 37).

268.35

nouvel Unionisme ] Zu den „New Unions“ siehe Erl. 10.9–18.

268.37–38

Eleanor Marx-Aveling: Nous trouvons dans la People’s Press ... In: Le Socialiste. Paris. Nr. 1, 21. September 1890. S. 3, Sp. 4, bis S. 4, Sp. 1. Rubrik: Le Parti Ouvrier a l’E´tranger. Angleterre. Siehe auch dieselbe: Congre`s des ouvriers des Docks. Ebenda. Nr. 4, 12. Oktober 1890. S. 3, Sp. 3/4. Rubrik: Le Parti Ouvrier a l’E´tranger. Angleterre.

268.40–41

Bei den Kommunalwahlen 1889 erhielt der Parti ouvrier im Bezirk Nord 4948 Stimmen (11 %), bei den folgenden Wahlen 1892 25 526 Stimmen (38,85 %). Die Wahl vom 20. Juli 1890 wurde eine Protestwahl gegen Gustave Delorys Verhaftung am 1. Mai 1890. (Hubert-Rouger: La France socialiste. T. 2. S. 418/ 419; Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 12. S. 14.)

268.45–46

Le prochain Congre`s ] Zum Kongreß des Parti ouvrier vom 11. und 12. Oktober 1890 in Lille siehe Erl. 288.17.

268.48–49

Jules Guesde nahm am Kongreß in Halle teil, siehe Protokoll Halle 1890. S. 10. Siehe auch Erl. 272.30–34.

268.58–59

Bonnier meinte wahrscheinlich die Legal Eight Hours and International Labour League (siehe Erl. 158.31).

268.62–63

Die Beilage ist nicht überliefert. Siehe: [Charles Bonnier:] An die Mitarbeiter des „Sozialdemokrat“. [Gez.:] Bernard. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. S. 4, Sp. 2.

1181

269 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 10. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5912/L VIII 557. Fotosign. 11193. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 174 mm. Wasserzeichen: Crane’s Distaff Linen und ein Spinnrad. Sorge hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: Vermerk mit Tinte auf der zweiten Seite quer geschrieben: „Sorge 10. Sept 90 “. Sorge antwortet auf die Postkarte von Engels vom 27. August 1890 (Br. 258). Die Antwort von Engels erfolgte am 27. September 1890 (Br. 300). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 269.6–7

Gnade vom Zaren anbettelt ] Siehe Sorge an Engels, 30. April 1890 (Br. 159.14–21 und Erl.).

269.6

vom Zaren ] Aleksandr III.

269.9

Berichte für die „Neue Zeit“ ] Zur Gewinnung Sorges für die Berichterstattung in der „Neuen Zeit“ siehe Karl Kautsky an Engels, 3. Juli und 22. August 1890 (Br. 215.45–47 und Erl. sowie Br. 253.10–13); siehe auch Engels an Sorge, 27. August 1890 (Br. 258.16–17 und Erl.).

269.11

Dietzgen’s Töchter ] Anna und Pauline Dietzgen.

1182

270 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 10. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5913/L VIII 558. Fotosign. 11194a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 174 mm. Sorge hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: Vermerk mit Tinte auf der vierten Seite quer geschrieben: „Sorge 10 Sept 90“. Engels antwortete am 27. September 1890 (Br. 300). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 270.4

ein Paar Zeilen ] Siehe Sorge an Engels, 10. September 1890 (Br. 269).

270.6–7

den elenden Krakehl ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl. 240.29).

270.8

[Julius Grunzig:] Die Vorgänge im Lager der deutschen Sozialdemokratie. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 217, 10. September 1890. S. 2, Sp. 1/2.

270.14

Was ich bis mittheilte ] Siehe Sorge an Engels, 10. September 1890 Br. 269.6–8.

270.15

seiner Frau ] Helene von Schewitsch.

270.15–18

Nachsendung bis haben. ] Siehe Sorge an Engels, 30. April 1890 (Br. 159.14–21 und Erl.) sowie Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.29–30).

1183

271 Jules Le´pine an Friedrich Engels in London Paris, Sonntag, 14. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3335/L V 354–3. Fotosign. 8679a. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 224 × 130 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck der Redaktion von „L’Ide´e Nouvelle“ (siehe S. 1018). Le´pine hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Dem Brief lag eine Subskriptionsliste der Zeitschrift bei (Z. 3–4). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. Wiedergabe der Beilage Prospekt und Subskriptionsliste der Zeitschrift „L’Ide´e Nouvelle“. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3335/bei L V 354–3. Fotosign. 8679b. Abonnements Paris et De´partements Un an Six mois Trois mois

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1184

271. Jules Le´pine an Engels · 14. September 1890

Aussi pour la faire vivre et pour favoriser l’augmentatiou de son format, nous adressons-nous a` tous ceux qui, convaincus que la Re´volution sociale ne saurait eˆtre qu’internationale, cherchent dans la communaute´ de but la pre´face indispensable a` une action commune. Re´dige´e et administre´e gratuitement, l’Ide´e Nouvelle est suˆre de mener son œuvre a` bonne fin, si tous ceux qui l’ont accompagne´e jusqu’a pre´sent de leur sympathie font leur devoir et lui apportent le concours mate´riel ne´cessaire. Le comite´ de publication: Baudin, Thivrier, de´pute´s, E. Vaillant, conseiller municipal, L. Alexandre, Jules Le´pine, G. Robelet, G. Maze´re, J. Ropartz, C. Caron, G. Fe´line, Degay. Imprimerie du Parti ouvrier, Lille, Rue de Be´thune, 21 Noms et pre´noms

Sommes

Noms et pre´noms

Sommes

N.B. Adresser les fonds au citoyen Jules Le´pine, 8, rue du Croissant. ERLÄUTERUNGEN 271.3–4

Siehe die Beilage.

271.8–9

Engels bat Paul Lafargue um Rat, siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.52) sowie Paul und Laura Lafargue an Engels, 22. September 1890 (Br. 288.26–28). Das Redaktionskomitee von „L’Ide´e Nouvelle“ sowie F. Roux hatten sich zuvor, am 4. Mai, bereits an Engels gewandt (Br. 161 und 162).

1185

272 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Montag, 15. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5859. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 177 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „19“. Paul Lafargue antwortete am 16. September 1890 (Br. 273). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 410– 412.

VARIANTENVERZEICHNIS 272.18

avis; $et ñ

272.26

nous $les ñ

ERLÄUTERUNGEN 272.4–5

sujet du Congre`s bis les Belges. ] Zum geplanten internationalen Arbeiterkongreß siehe Charles Bonnier an Engels, 9. September 1890 (Br. 268.26–30 und Erl.).

272.5

re´pondu dans une lettre ] Die Antwort von Engels ist nicht überliefert. Siehe S. 1176.

272.10–11

Die Belgische Werklieden Partij hatte den Trades Union Congress in einem Telegramm zu dessen Jahresversammlung Anfang September 1890 in Liverpool (siehe Erl. 263.25) zu einem internationalen Arbeiterkongreß in Brüssel 1891 eingeladen, und dieser hatte die Einladung angenommen (Report of the 23rd Annual TUC ... 1890. S. 24 und 38; Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 110–113).

272.16

possibilistes ] Siehe Erl. 1.7.

272.29

Engels meinte damit den Conseil national des Parti ouvrier (siehe Erl. 1.30–31) und die blanquistischen Verbündeten. Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.50–51).

1186

272. Engels an Paul Lafargue · 15. September 1890

272.30–34

Während des Parteitages der Sozialdemokratie in Halle (siehe Erl. 310.4) wurde eine Vorkonferenz mit den anwesenden ausländischen Gastdelegierten aus neun Ländern (Belgien, Dänemark, England, Frankreich, Niederlande, Österreich, Polen, Schweden und der Schweiz) durchgeführt. Nach Eleanor MarxAveling war sie zunächst für den 15. Oktober geplant, fand aber am 16. Oktober statt (Br. 319.28–34); spätere Berichten nennen auch den 17. Oktober (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 119). Teilnehmer waren: Victor Adler, Edouard Anseele, Emil Beck, Hjalmar Branting, Frl. Cohen, Ferdinand Domela Nieuwenhuis, Albert Duc Quercy, Joseph Ferroul, Jules Guesde, Rudolf Hanser, Eleanor Marx-Aveling, Anton Mundberg, Rudolf Pokorny, Heinrich Scherrer, Wobsky, Eugen Wullschleger sowie die Mitglieder der Reichstagsfraktion. (Siehe Protokoll Halle. S. 10.) Dort wurden Vorschläge für den Einberufungsmodus, die Zeit und den Ort sowie über die Souveränität des bevorstehenden internationalen Kongresses diskutiert. (Bürgi: Anfänge ... S. 89–91 und 93–143.) Zu Vorgeschichte, Durchführung und Beschlüssen siehe Erl. 268.26–30 und 324.42.

272.38

S. D. Federation ] Zur Social Democratic Federation siehe Erl. 10.19. ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙

272.41–42

Anspielung auf die Schrift Paul Lafargues: Le droit a` la paresse. [Paris] 1883.

1187

273 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 16. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/6. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 266 × 210 mm. Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, auf der vierten steht die Nachschrift (Z. 37–39). Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite „170“. Lafargue beantwortet Engels’ Brief vom 15. September 1890 (Br. 272). Die Antwort von Engels erfolgte am 19. September 1890 (Br. 276). Erstveröffentlichung (gekürzt): Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 412/413; vollständig wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

KORREKTURENVERZEICHNIS 273.29 273.29

aller aux deux ] H aller au deux j’irai aux deux ] H j’irai au deux

ERLÄUTERUNGEN 273.6–7

Die Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France hatte sich nicht an den Demonstrationen am 1. Mai 1890 beteiligt (Stafford: From Anarchism to reformism. S. 229).

273.9–10

Die ursprünglich von der FTSF als Jahreskongreß geplante Konferenz von Troyes vom 23.–30. Dezember 1888 wurde von der Partei nicht beschickt, weil auch der Parti ouvrier von den Arbeitervereinen von Troyes eingeladen worden war. Siehe Erl. 29.26–27.

273.15–19

Die Auseinandersetzungen in der FTSF zwischen den beiden Fraktionen, die von Paul Brousse bzw. von Jean Allemane geführt wurden, hatten im Laufe des Jahres 1890 zugenommen. Der offene Konflikt wurde ausgelöst durch den Tod des Abgeordneten Jules Joffrin im September 1890. Seine Nachfolge wurde, wie schon im Mai die von Charles Edme Chabert kontrovers diskutiert (siehe Erl. 234.32–33), insbesondere ging es um die Frage, ob die gewählten Abgeordneten mehr ihren Wählern oder eher der Partei gegenüber verantwortlich sein sollten. Dahinter standen zum einen politische Gegensätze, die

1188

273. Paul Lafargue an Engels · 16. September 1890

sich im Lauf der boulangistischen Krise entwickelt hatten: Eine Mehrheit war mit den bürgerlichen „Radikalen“ ein Bündnis gegen Georges Boulanger eingegangen, während sich eine Minderheit um Allemane von diesem Bündnis distanziert hatte. Zum anderen kamen weitere Konflikte um die politische Taktik hinzu. Brousse und seine Anhänger vertraten eine parlamentarische Reformpolitik, gestützt auf die Gruppe possibilistischer Abgeordneter im Pariser Gemeinderat; sie waren auch bereit zur Zusammenharbeit mit den Republikanern. Dagegen setzten sich die Allemanisten, die die Pariser Organisation, die Union fe´de´rative du Centre, beherrschten, dafür ein, das Ziel einer Revolution wieder stärker in den Blick zu nehmen. Auch dürften persönliche Konflikte eine Rolle gespielt haben. Die Spaltung der FTSF in zwei Organisationen fand endgültig auf dem zehnten Kongreß in Chaˆtellerault vom 9.–14. Oktober 1890 (siehe Erl. 273.37–38) statt. Sie begünstigte den Aufstieg des Parti ouvrier (siehe Erl. 1.4). Im Unterschied zum PO – für den die Partei den revolutionären Kampf organisieren sollte, während die Gewerkschaften sich unterordnen sollten – räumten die Allemanisten den Gewerkschaften eine zentrale Rolle für die Durchsetzung der revolutionären Ziele ein. Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September (Br. 300.50–60 und Erl.) und 18. Oktober 1890 (Br. 320.3–11); Les congre`s socialistes en France. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 737, 9. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3–6; Nr. 10 738, 10. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3–6; Nr. 10 739, 11. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3–5; Stafford: From Anarchism to reformism. S. 236–238; Winock: La scission de Chaˆtellerault et la naissance ... S. 36–46; Blum: Les congre`s ouvrier ... T. 2. S. 115–124. 273.21–22

Im deutschen von Wilhelm Liebknecht herausgegebenen Protokoll des Kongresses in der Salle Pe´trelle wurde die Schweiz als Sitz der „Executiv-Commission“ bestimmt (Protokoll Paris 1889. S. 121 und 123); in der von den französischen Organisatoren veröffentlichten Publikation „Congre`s international ouvrier socialiste de Paris (du 14 Juillet au 21 Juillet 1889)“ wurden sowohl die Schweiz wie Belgien angeführt (S. 19–20), siehe S. 1178 und Erl. 268.26–30. Der possibilistische Kongreß (vom 15.–20. Juli) sprach sich mehrheitlich für Belgien aus (Compte-rendu Paris 1889. S. 91). Siehe auch Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 89.

273.23–24

congre´s bis Liverpool. ] Die Belgische Werklieden Partij hatte den Trades Union Congress Anfang September zu einem internationalen Kongreß 1891 in Brüssel eingeladen, und dieser hatte die Einladung angenommen (siehe Erl. 272.10–11).

1189

273. Paul Lafargue an Engels · 16. September 1890

273.25

vous adresser a` Bonnier ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 (Br. 272.45–46).

273.27

Zum achten Kongreß des Parti ouvrier am 11. und 12. Oktober 1890 in Lille siehe Erl. 288.17.

273.28

chambres syndicales ] Zum vierten Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France vom 13. bis 18. Oktober 1890 in Calais siehe Erl. 288.17.

273.30–32

Zur Teilnahme von Guesde am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle und seiner Rede auf dem Kongreß siehe Protokoll Halle 1890. S. 10 und 109/110. Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.6–7) und Jules Guesde an Engels, 25. September 1890 (Br. 297.3–9).

273.37–38

Der zehnte Kongreß der FTSF fand vom 9.–14. Oktober 1890 in Chaˆtellerault statt. Die Pariser Organisation der FTSF, die Union Fe´de´rative du Centre, trat kurz vor dieser Tagung in Chaˆtelleraut zu ihrem zehnten Kongreß in Paris zusammen. Am 13. Oktober 1890 versammelten sich die Anhänger von Allemane, die den Kongreß in Chaˆtelleraut verlassen hatten. Zur Einschätzung der possibilistischen Kongresse siehe: Die Possibilisten haben die Abhaltung ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. S. 4, Sp. 2. (Blum: Les congre`s ... T. 2. S. 118–121; Stafford: From anarchism to reformism. S. 238.) Siehe auch Erl. 273.15–19.

273.39

Le Socialiste va reparaıˆtre ] Die dritte Serie des „Socialiste“ erschien mit ihrer ersten Nummer vor dem Kongreß in Lille am 21. September 1890. Siehe Charles Bonnier an Engels, 9. September 1890 (Br. 268.4–7) und Paul Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.21–25).

1190

274 Charles Caron an Friedrich Engels in London Paris, Mittwoch, 17. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 915/L III 3–1. Fotosign. 7605a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 227 × 170 mm. Wasserzeichen: „Universal“ und Ornament. Caron hat die erste Seite vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der zweiten und dritten Seite befindet sich der Entwurf seiner Antwort an Caron vom 20. September 1890 (Br. 280). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. Wiedergabe der Beilage Prospekt und Subskriptionsliste der Zeitschrift „L’Œuvre socialiste“. IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. S 64/Q 41. Fotosign. 14886. Abonnements Paris et De´partements Un an 10 fr. Six mois 5 fr. Trois mois 2 fr. 50 Le nume´ro 0 fr. 30

Revue politique & litte´raire Abonnements L’Œuvre Socialiste E´tranger 12 fr. Paraissant les 1er et 15 de chaque mois Un an Paris – 8, rue du Croissant, 8 – Paris Six mois 6 fr. Le nume´ro 0 fr. 35

Nous avons l’honneur de vous informer que sous le titre L’Œuvre Socialiste, nous ferons paraitre bimensuellement a` partir du 15 octobre une revue qui a pour but de re´unir dans une meˆme collection, tous les ouvrages et brochures parus traitant du socialisme moderne, tels que les œuvres des citoyens Bebel, Paul Brousse, Blanqui, Bertrand, Gabriel Deville, Engels, Dumay, Se´bastien Faure, Jules Guesde, Emile Gautier, Pierre Kropotkine, Paul Lafargue, Benoıˆt Malon, Malato, Karl Marx, de Pae¨pe, etc., etc. La partie litte´raire comprendra des œuvres de Le´on Cladel, Paul Alexis, Emile Zola, Charles Delon, Octave Mirbeau, etc., etc. La revue ne publiant rien d’ine´dit ne laisse aucune place aux attaques d’e´coles ou de personnes. Elle ne sera purement qu’un recueil bibliographique. Sommaire du premier nume´ro I II III IV

L e D r o i t a` l a p a r e s s e p a r Paul Lafargue. L e s S e r v i c e s p u b l i c s p a r Paul Brousse. P o e´ s i e s o c i a l i s t e p a r Euge`ne Pottier. L e D a r v i n i s m e s o c i a l p a r E´mile Gautier.

1191

274. Charles Caron an Engels · 17. September 1890

V N o u v e l l e p a r Le´on Cladel. VI L e N o u v e a u P a r t i p a r Benoit Malon. Tre`s prochainement la publication d’une œuvre tre`s rare et presque inconnu en France: La Mise`re de la philosophie par Karl Marx. Imprimerie du Parti ouvrier, Lille, Rue de Be´thune, 21 Souscriptions facultatives Noms & adresses Francs

Abonnements Noms & adresses Dure´e de l’abonnement Francs

Nous espe´rons citoyen que vous voudrez bien preˆter votre concours a` cette œuvre de propagande socialiste, soit en nous recueillant des souscriptions, soit en nous facilitant la vente. Adresser les fonds au citoyen Ch. Caron, administrateur, 8, rue de Croissant, Paris.

ERLÄUTERUNGEN 274.3

une circulaire ] Siehe die Beilage.

274.5–10

Zur Frage der Autorisierung siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.53–59 und Erl.) sowie Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.3–12).

274.11–12

Karl Marx: Mise`re de la philosophie. Re´ponse a` la Philosophie de la mise`re de M. Proudhon. Paris, Bruxelles 1847. Ein Versuch, die Schrift erneut zu veröffentlichen, war 1880 erfolgt (Karl Marx: La mise`re de la philosophie. Re´ponse a` la Philo´ galite´. Paris. 2. Ser. Nr. 12, 7. April. sophie de la mise`re. In: L’E S. 6, Sp. 2/3; Nr. 14, 21. April. S. 6, Sp. 3, bis S. 7, Sp. 3; Nr. 16, 5. Mai 1880. S. 6, Sp. 3, bis S. 7, Sp. 3). Marx hatte hierfür eine Einleitung geschrieben (ebenda. Nr. 12, 7. April. S. 6, Sp. 2; siehe MEGA➁ I/25. S. 198 und 791–793). Es erschienen nur diese und § 1.

274.12–13

Die französische Übersetzung des „Achtzehnten Brumaire“ durch E´douard Fortin erschien 1891 zuerst in: Le Socialiste. Organe central du Parti Ouvrier. Paris. 1890. Nr. 15 [vielm. Nr. 16, 7. Januar 1891]; Nr. 17, 14. Januar; Nr. 18, 21. Januar; Nr. 19, 28. Januar; Nr. 20, 4. Februar; Nr. 21, 11. Februar; Nr. 22, 18. Februar; Nr. 23, 25. Februar; Nr. 24, 4. März; Nr. 26, 18. März; Nr. 27, 25. März; Nr. 28, 1. April; Nr. 29, 8. April; Nr. 37, 3. Juni; Nr. 38, 10. Juni; Nr. 39, 17. Juni – jeweils S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 41, 1. Juli, S. 2, Sp. 1–3; Nr. 42, 8. Juli; Nr. 44, 22. Juli; Nr. 45, 29. Juli; Nr. 46, 5. August; Nr. 47, 12. August – jeweils S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 49, 26. Au-

1192

274. Charles Caron an Engels · 17. September 1890

gust; Nr. 51, 12. September – jeweils S. 2, Sp. 1–3; Nr. 52, 19. September, S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 53, 26. September; Nr. 54, 3. Oktober; Nr. 55, 10. Oktober; Nr. 56, 17. Oktober – jeweils S. 2, Sp. 1–3; Nr. 58, 31. Oktober, S. 2, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 3; Nr. 59, 7. November; Nr. 61, 21. November – jeweils S. 2, Sp. 1–3. Als selbständiger Abdruck derselben Publikation: Karl Marx: Le dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte. Lille 1891. Siehe MEGA➁ I/30. S. 340/341 und 981–989; Merkel-Melis: Zur Entstehung der franz. Ausg. des 18. Brumaire ... S. 100–112. 274.15–16

Engels: La politique exte´rieure du czarisme russe. Siehe Erl. 162.4–6.

274.16–17

Zum Verhältnis der neuen Zeitschrift zu „L’Ide´e Nouvelle“ siehe Erl. 276.53–59.

1193

275 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Donnerstag, 18. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 689/K 327. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung der Seiten „173“ bis „176“. Engels beantwortet die Briefe Kautskys vom 22. August 1890 (Br. 253) und vom 8. September 1890 (Br. 267). Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 256–259.

VARIANTENVERZEICHNIS 275.15

: schw. :

275.37

Dank $unsrer Verrücktheit ñ

275.52

zwangen, $ihnen ñ

ERLÄUTERUNGEN 275.4

wo ich 4 Wochen war ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

275.5

Stuckart ] Stuttgart.

275.7

Studentenkrakehl ] Zur Opposition der „Jungen“ siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl. 240.29).

275.7

K. Schmidt ] Zur Haltung Conrad Schmidts gegenüber den „Jungen“ siehe Karl Kautsky an Engels, 22. August 1890 (Br. 253.28–31) und Erl. 252.30–31.

275.8

Der Brief August Bebels an Engels, geschrieben zwischen dem 27. August und 18. September 1890, ist nicht überliefert.

275.10–11

Es ist bis verwickeln zu wollen ] Siehe Kautsky an Engels, 8. September 1890 (Br. 267.7–16 und Erl.).

275.14–16

Kautsky hatte angefragt, ob es in London einen Ersatzmann für die „Neue Zeit“ gäbe, der auch für die „Schwäbische Tagwacht“

1194

275. Engels an Karl Kautsky · 18. September 1890

arbeiten könne, siehe Kautsky an Engels, 8. September 1890 (Br. 267.31–43). 275.18

Zum Jahreskongreß des Trades Union Congress vom 1. bis 6. September 1890 in Liverpool siehe Erl. 263.25.

275.18–19

Ironie der Geschichte ] Engels gebraucht diesen Begriff vermutlich in Anlehnung an Georg Wilhelm Friedrich Hegel. Engels hatte den Ausdruck „Ironie der Geschichte“ mit Bezugnahme auf Hegel in Briefen an Vera Zasulicˇ vom 23. April 1885 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1739) und an Nikolaj Daniel’son vom 13. November 1885 (British Library, Add MSS.38075, f 38) verwendet, wo er von „Ironie der Weltgeschichte“ sprach. Zu einem Exemplar von Hegel in Marx’ Bibliothek mit einer entsprechenden Anstreichung siehe auch MEGA➁ IV/32. Nr. 551.

275.19–22

Siehe Lujo Brentano: Die Arbeitergilden der Gegenwart. Bd. 2. Zur Kritik der englischen Gewerkvereine. Leipzig 1872. S. 332.

275.29

Der 4 Mai ] Zur Mai-Demonstration in London siehe Engels an Laura Lafargue, 10. Mai 1890 (Br. 169.6–54 und Erl.).

275.31–32

Die Belgier bis einzuladen ] Zur Einladung der Belgischen Werklieden Partij an den Trades Union Congress siehe Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 (Br. 272.9–20 und Erl.).

275.34–36

Die Belgier bis einladen können ] Die Belgische Werklieden Partij konnte sich nur auf ein Mandat des Possibilistenkongresses berufen, siehe Erl. 273.21–22.

275.37–38

Pariser Beschlüsse ] Zu den Beschlüssen des Kongresses in der Salle Pe´trelle (siehe Erl. 1.6) über den nächsten internationalen Kongreß siehe Erl. 273.21–22.

275.40–41

Engels hatte an den Parti ouvrier geschrieben, siehe Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 (Br. 272).

275.45–46

Kautsky nahm nicht am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie im Oktober 1890 in Halle teil, siehe Protokoll Halle 1890. S. 10. Siehe auch Erl. 310.4.

275.47

Art. von mir ] Friedrich Engels: Man erlaube auch mir ... In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. S. 2, Sp. 1/2 (MEGA➁ I/31. S. 270–273). Eduard Bernstein hatte Engels am 30. August 1890 um einen Artikel gebeten, siehe Br. 259.83–88.

275.52–53

daß die Literaten bis abzurechnen ] Siehe Engels: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“ vom 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267–269, hier S. 269.4–6). Zu den Reaktionen darauf siehe die Briefe an Engels vom 23. September von August Bebel (Br. 289) und Friedrich Adolph Sorge (Br. 292).

1195

275. Engels an Karl Kautsky · 18. September 1890

275.58

nach der norweg. Reise ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

275.63

Skudesnäs ] Skudenes.

275.61–78

Siehe auch Engels’ Schilderungen von der Reise in seinen Briefen an Laura Lafargue, 4. Juli (Br. 218.3–23), Hermann Engels, 8. Juli (Br. 220.1–9), Wilhelm Liebknecht, 22. Juli (Br. 226.18–53), Karl Kautsky, 5. August (Br. 235.24–31) und Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.6–26).

275.68

der junge Mann ] Wilhelm II.

275.68

Sunelesfjord ] Sunnylvsfjord.

275.70

Moldehaj ] Moldeheia.

275.71–72

Henrik Ibsen: Fruen fra Havet. 1888, Erstaufführung 1889.

275.74–75

Janz die alte Jardesprache ] Ganz die alte Gardesprache (Berliner Mundart).

1196

276 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 19. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6168. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 230 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 88–90) steht am linken Rand der zweiten Seite quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite des Umschlages befindet sich die Anschrift und der Poststempel: „Calais a` Paris 1 F 20 [s]e[pt] 90“. Die Briefmarke ist herausgerissen. Auf der Rückseite der Poststempel: „Le Perreux Seine 3[...] 20 sept 90“. Von unbekannter Hand: Bleistiftvermerk auf der Rückseite des Umschlags: „Raspail – Rue du temple“. Die Beilage (Z. 61–62) ist nicht überliefert. Engels beantwortet den Brief Paul Lafargues vom 16. September 1890 (Br. 273). Lafargue antwortete am 22. September 1890 (Br. 288). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 389– 391 ohne die letzte Passage; vollständig und in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. VARIANTENVERZEICHNIS 276.13

lui-meˆme. $Tous les ñ

276.18

pouvoirs $& ñ

276.26

bases > ordres

276.29

jeter > rejeter

276.34

entraves $que ñ

276.37

: amender, :

276.46

: des repre´sentants officieux de :

276.53

de $la Revue ñ ERLÄUTERUNGEN

276.3

bonnes nouvelles ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 18. September 1890 (Br. 273).

1197

276. Engels an Paul Lafargue · 19. September 1890

276.4–5

un congre`s ] Gemeint ist der für 1891 geplante internationale Arbeiterkongreß. Siehe auch Engels an Karl Kautsky, 18. September 1890 (Br. 275.31–46).

276.7–23

Diese vier Punkte waren weitgehend in das Manuskript von Engels: Congre`s ouvrier international de 1891 (MEGA➁ I/31. S. 274–279, hier S. 279.1–17) eingegangen, dessen Reinschrift er zur Verständigung mit den Franzosen in einem nicht überlieferten Brief zwischen dem 9. und 15. September an Charles Bonnier gesandt hatte. Siehe Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 (Br. 272.5 und Erl.).

276.8

deux congre`s de 1889 ] Siehe Erl. 1.6.

276.39–40

Der Brief von Engels an Charles Bonnier, geschrieben zwischen dem 9. und 15. September 1890, ist nicht überliefert. Paul Lafargue hatte Engels geraten, sich künftig nicht an Bonnier zu werden, siehe Paul Lafargue an Engels, 16. September 1890 (Br. 273.25).

276.44–45

Der Brief von Engels an August Bebel, geschrieben zwischen dem 9. und 19. September 1890, ist nicht überliefert. Bebel stimmte dem Vorschlag von Engels zu, siehe August Bebel an Engels, 23. September 1890 (Br. 289.22–24); zu seinen Vorstellungen über die Konferenz siehe August Bebel an Engels, 29. September 1890 (Br. 302.4–16 und Erl.). Zur Vorkonferenz in Halle siehe Erl. 272.30–34.

276.48–49

Der belgische Delegierte auf der Vorkonferenz in Halle war Edouard Anseele aus Gent.

276.52

L’Ide´e nouvelle bis faire ] Siehe Jules Le´pine an Engels, 14. September 1890 (Br. 271).

276.53–59

Un monsieur Ch. Caron bis 4–5 jours ] Siehe Charles Caron an Engels, 17. September 1890 (Br. 274). Siehe auch Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.3–12). Zu Engels’ Antwort siehe seinen Brief an Caron vom 20. September 1890 (Br. 280). – In einer Notiz distanzierten sich Jules Le´pine und Louis Alexandre von Carons Unternehmen. Siehe: L’Ide´e Nouvelle nous prie d’annoncer ... In: L’Autonomie. Paris. Nr. 538, 28. September bis 5. Oktober 1890. S. 3, Sp. 4.

276.60

Die Abrechnung erfolgte für Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9).

276.61

les enfants ] Edgar, Jean, Jenny und Marcel Longuet.

276.61

les traducteurs ] Samuel Moore und Edward Aveling.

276.63

la 4e e´dition ] Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10).

1198

276. Engels an Paul Lafargue · 19. September 1890

276.65

Les re´ve´lations boulangistes ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.18–23), Engels an Paul Lafargue, 27. August 1890 (Br. 257.43–46 und Erl.) sowie 31. August 1890 (Br. 262.45–46).

276.72

[Henry Mayers Hyndman:] The death of a hero. In: Justice. London. Nr. 349, 20. September 1890. S. 1, Sp. 1/2.

276.80

Die letzte Ausgabe des „Sozialdemokrat“ (Nr. 39) erschien am 27. September 1890. Siehe auch Br. 298.11–13.

276.81–82

Richard Fischer wurde nicht vom „Vorwärts“ – weder dem Verlag noch der Zeitung – eingestellt. Zum Reichstagsabgeordneten wurde er 1893 gewählt.

276.87–88

Jules Guesde nahm am Parteitag in Halle teil, E´douard Vaillant nicht (Protokoll Halle 1890. S. 10). Charles Bonnier war verhindert, siehe Charles Bonnier an Engels, 21. September 1890 (Br. 284.3–5).

276.88–90

Zu dieser Bedingung siehe Z. 24–36.

1199

277 Jules Guesde an Friedrich Engels in London Paris, Freitag, 19. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2045/L IV 50. Fotosign. 7731a–b. Der Brief besteht aus einem Blatt dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 170 × 222 mm. Guesde hat beide Seiten vollständig beschrieben, die Unterschrift (Z. 33–34) steht quer am rechten Rand der zweiten Seite. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite ein Vermerk mit Bleistift unter dem Datum „1890 (?)“. Der Brief ist eine Antwort auf den nicht überlieferten Brief von Engels an Charles Bonnier, geschrieben zwischen dem 9. und 15. September 1890 (siehe S. 1176 und Br. 272.5); zu dessen vermutlichem Inhalt siehe auch Br. 276.6–39. Wahrscheinlich lag der Brief von Guesde dem Brief Bonniers an Engels vom 20. September 1890 (siehe Br. 279.4) bei. Engels antwortete am 25. September 1890 (Br. 294). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 277.4

le Conseil national du Parti ] Siehe Erl. 1.30–31.

277.4–5

une de´cision ] Zur Entscheidung über die Bedingungen für einen internationalen Arbeiterkongreß 1891 siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.6–39).

277.6–8

Mais bis 1891 ] Zu den Festlegungen des Kongresses in der Salle Pe´trelle (siehe Erl. 1.6) zur Vorbereitung des nächsten internationalen Arbeiterkongresses siehe Erl. 268.26–30 und 273.21–22.

277.16

Die auf dem Pariser Arbeiterkongreß beschlossene „ExecutivCommission“ (Protokoll Paris 1889. S. 121) hatte sich am 4. August 1890 als Exekutivkomitee in Zürich konstituiert. In Basel befanden sich Redaktion und Expedition der Zeitschrift „Der achtstündige Arbeitstag“. (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 93–102.)

277.31–32

Der achte Kongreß des Parti ouvrier fand am 11./12. Oktober 1890 in Lille statt; der anschließende vierte Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs

1200

277. Jules Guesde an Engels · 19. September 1890

ouvriers de France wurde vom 13.–18. Oktober 1890 in Calais durchgeführt (siehe Erl. 288.17). Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie tagte vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4 und Protokoll Halle 1890).

1201

278 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 19. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/7. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 267 × 208 mm. Lafargue hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Die letzten Absätze (Z. 25–33) hat Lafargue auf der dritten Seite quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „171“. Engels beantwortete den Brief am 20. September 1890 (Br. 281). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 413/ 414. ERLÄUTERUNGEN 278.3

d’une circulaire ] Siehe die Beilage zu Br. 274.

278.4

Marx: Mise`re de la Philosophie. Paris, Brüssel 1847.

278.4–5

Lafargue: Le droit a` la paresse. [Paris] 1883.

278.7

Caron me dit qu’il vous e´crit ] Siehe Charles Caron an Engels, 17. September 1890 (Br. 274).

278.8

Engels antwortete Charles Caron am 20. September 1890 (Br. 280), nahm aber die Argumente von Paul Lafargue auf. Er schickte Lafargue eine Kopie dieses Briefes (siehe Engels an Paul Lafargue, 20. September 1890 (Br. 281.3). Zu dessen Einschätzung siehe Paul Lafargue an Engels, 22. September 1890 (Br. 288.22–25).

278.12–13

Die neue Folge der Bibliothe`que socialiste erschien laut Anzeigen in „Le Socialiste“ seit September 1890. Die Zahl der dort publizierten Bände wuchs schnell. Siehe: Librairie du Parti ouvrier. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 1, 21. September 1890. S. 4, Sp. 3/4 und weitere Nummern; siehe auch: Librairie du Parti ouvrier. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 38, 12. Oktober 1890. S. 4, Sp. 3.

278.16

Jules Joffrin wurde am 18. September 1890 beerdigt. In den Berichten in „Le Figaro“ und „Le Temps“ wurde Paul Brousse nicht erwähnt (Charles Chincholle: Obse`ques de Joffrin. In: Le Figaro. Paris. Nr. 262, 19. September 1890. S. 2, Sp. 1/2; Les obse`ques de M. Joffrin. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 718,

1202

Librairie du Parti ouvrier. Anzeige aus: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 38, 12. Oktober 1890. S. 4, Sp. 3

278. Paul Lafargue an Engels · 19. September 1890

20. September 1890. S. 3, Sp. 2). Zu den Konflikten zwischen den verschiedenen Fraktionen der Possibilisten (siehe Erl. 1.7) siehe Erl. 273.15–19 und 273.37–38. 278.24

Longuet bis serait joue´ ] Zum Ergebnis von Charles Longuet bei der Nachwahl zur Deputiertenkammer am 16. November 1890 siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 18. November 1890 (Br. 355.3–23 und Erl. 355.3).

278.26–27

Engels schickte einen Scheck von £ 20.–, siehe Engels an Paul Lafargue, 20. September 1890 (Br. 281.16).

278.28–30

ma brochure sur la Proprie´te´ ] Lafargue: Die Entwickelung des Eigenthums. London 1890. (Sozialdemokratische Bibliothek. Bd. 31.) In englischer Übersetzung von Laura Lafargue: Paul Lafargue: The origin and evolution of property. From savagery to civilization. London 1890. Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.26 und Erl.).

278.31

Lafargues Artikel „The myth of Athena“ war im September 1890 in der „Time“ erschienen, siehe Erl. 255.34–35.

1205

279 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Wimereux, Samstag, 20. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 618/L II 42. Fotosign. 7444a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 248 × 168 mm. Bonnier hat die erste Seite vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Ergänzung des Datums „IX 90“ mit Bleistift. Zur Datierung: Die Monats- und Jahresangabe stützen sich auf den Inhalt des Briefes und seinen Zusammenhang mit dem Brief Bonniers an Engels vom 9. September 1890 (Br. 268). Dem Brief Bonniers war wahrscheinlich der Brief von Jules Guesde an Engels vom 19. September 1890 (Br. 277) beigelegt (Z. 4), was ebenfalls die Datierung auf September 1890 nahelegt. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 279.6–7

Bonnier konnte nicht am Parteitag in Halle (siehe Erl. 310.4) teilnehmen, siehe Charles Bonnier an Engels, 21. September 1890 (Br. 284.3–5).

279.7

les Aveling ] Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling.

279.8–9

Eleanor Marx-Aveling nahm am Kongreß des Parti ouvrier in Lille am 11./12. Oktober 1890 teil und fuhr mit Jules Guesde und Joseph Ferroul von dort nach Halle. Edward Aveling nahm am Kongreß des Parti ouvrier wie auch dem anschließenden Gewerkschaftskongreß in Calais vom 13.–18. Oktober teil und sprach hier ein Grußwort. Zu den Kongressen in Lille und Calais siehe Erl. 288.17. Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314) sowie 19. Oktober 1890 (Br. 319). Siehe auch Bre´cy: Le mouvement syndical en France 1871–1921. S. 23; Seilhac: Les Congre`s ouvriers en France ... S. 218.

1206

280 Friedrich Engels an Charles Caron in Paris London, Samstag, 20. September 1890

Originalhandschrift des Entwurfs H1: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 319/L III 3–1. Fotosign. 7605b. Der Entwurf befindet sich auf der zweiten und dritten Seite des Briefes von Caron an Engels vom 17. September 1890 (Br. 274). Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 1191. Die zweite Seite hat Engels vollständig beschrieben, die dritte am unteren Rand. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Reintext des Briefes ist nicht überliefert, aber eine Abschrift H2 (Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6169), die Engels seinem Brief an Paul Lafargue vom 20. September 1890 (Br. 281) beilegte. Die Abschrift besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 178 mm. Wasserzeichen: „[Bodl]eian [Ivory] Wove [H M] & S“. Die erste Seite hat Engels vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Edierte Text folgt H2. Zur Datierung: Die Jahresangabe 1890 stützt sich auf die Tatsache, daß Engels den Entwurf auf der zweiten und dritten Seite des Briefes von Caron vom 17. September 1890 (Br. 274) schrieb. Datierung der Erstveröffentlichung: zweite Hälfte September 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 240/ 241; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

VARIANTENVERZEICHNIS 280.2

En ] H1 Cher citoyen š En

280.2

17, je ] H1 17 $rec¸ue hier, % je

280.3

sur plus d’un point ] H1 sur plusieurs points > sur plus d’un point

280.4

paraıˆt ] H1 paraıˆt $une ide´e par ñ

280.4

toute ] H1 la > toute

280.4

brochures devrait ] H1 brochures $indique´es par vous % devrait

280.6

un me´lange de fragments ] H1 de petits fragments > une olla podrida de petits fragments > une me´lange de petits fragments

280.6–7

incohe´rents d’ouvrages le plus souvent ] H1 incohe´rents de cinq ou sept ouvrages diffe´rents, et meˆme > incohe´rents d’ouvrages le plus souvent

1207

280. Engels an Charles Caron · 20. September 1890

280.9

forme. ] H1 forme d’olla-podrida. > forme.

280.10

republier ] H1 republier $de ñ

280.12

cas, bis prive´e. ] H1 cas, $vous $devrez ñ concevrez que l’entreprise du parti doit avoir le pas sur l’entreprise prive´e. ñ

280.13–14

La seule bis annonce´es ] H1 Commencer la publication de six brochures a` la fois que dans votre annonce > La seule publication des six brochures annonce´es

280.15

4 ] H1 5 > 4

280.15

mois. ] H1 mois. $Chauvie`re avant d’avoir

280.16 280.16

publication d’un ] H1 publication d’$une brochure ñ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ que moi je ] H1 que : moi : je

280.17

autorise´ ] H1 autorise´ $de ñ

280.17

a` reproduire, ] H1 a` re´imprimer, $j’a ñ

280.18

moi. Avez ] H1 moi. $Quels fonds ñ š Avez

280.18

donc les ] H1 donc $oui ou non % les

280.20

Pour ] H1 Enfin pour > Pour

280.20

cit. ] H1 citoyen

280.21

lettre. ] H1 lettre$, et qui je prie d’examiner les conditions tous ñ

280.22

Je

280.23

mon nom en ] H1 mon nom en $public. Je autre ñ $public; la prochaine fois je vous de´savouerais certainement ñ $public; autrement vous me forceriez a` des de´marches tout aussi publiques, et je ñ

280.25

publiques. – Agre´ez &c. ] H1 publiques.

bis

ass ñ

l’avenir ] H1 A l’avenir, je vous serais reconnaissant si

ERLÄUTERUNGEN 280.10–12

In dieser Passage berücksichtigte Engels Informationen von Paul Lafargue, siehe Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.12–13 und Erl.).

280.13–14

seule publication des six brochures annonce´es ] Siehe die Beilage zu Br. 274.

280.15

la revue ] „L’Œuvre socialiste“.

280.20

Auch diese Bitte ging auf Paul Lafargue zurück, siehe Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.8).

1208

281 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Samstag, 20. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6169. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bod[leian] Ivory [Wove] HM [& S]“. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Dem Brief legte Engels die Abschrift seines Briefes an Charles Caron vom 20. September 1890 (Br. 280) bei (Z. 3). Engels beantwortet den Brief Paul Lafargues vom 19. September 1890 (Br. 278). Lafargue antwortete am 22. September 1890 (Br. 288). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965). S. 392/ 393; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 281.3

Siehe Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.3–12).

281.3

ma re´ponse ] Siehe Engels an Charles Caron, 20. September 1890 (Br. 280).

281.4

«ne doute nullement de ma re´ponse affirmative» ] Siehe Charles Caron an Engels, 17. September 1890 (Br. 274.5).

281.9

Engels hatte sich schon am 30. Juli 1890 bei Laura Lafargue erkundigt, wer Louis de Lavigerie sei und verschiedene Auskünfte erhalten (siehe Br. 230.20–28 und Erl.). Zu Edward Avelings Auskunft über ihn siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 22. und 24. September 1890 (Br. 288.35–38 und 293.29).

281.12–13

Die Einladung ist in dem Artikel: French labour intelligence. In: The People’s Press. London. Nr. 28, 13. September 1890. S. 12, Sp. 2 enthalten; der Brief von Martin Coulomb mit der Einladung der Avelings zum Kongreß in Lille (siehe Erl. 288.17) ist nicht überliefert.

281.16

che`que ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 19. September 1890 (Br. 278.26–27).

1209

282 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Samstag, 20. September 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/19. Fotosign. 534a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Hermann Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Von unbekannter Hand: ein Vermerk „Sept. 90.“ auf der ersten Seite oben rechts. Hermann Engels beantwortet Engels’ Postkarte vom 9. Juli 1890 (Br. 220). Engels antwortete am 22. September 1890 (Br. 287). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 282.3

Reise nach dem Nordkap ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

282.6

Der Brief von Hermann Engels an Engels vom 30. Mai 1890 mit einem Rechnungsauszug ist nicht überliefert. Friedrich Engels nannte in seiner Antwort vom 22. September 1890 (siehe Br. 287.1) den 28. Mai 1890 als Briefdatum.

282.7–8

Gisbert von Griesheim, Bruder von Adolf von Griesheim, des Schwagers von Engels, war schon in den 1840er Jahren von der Familie Engels unterstützt worden; aus den überlieferten Kontoauszügen von Friedrich Engels geht hervor, daß er zumindest in den Jahren 1883 bis 1892 wahrscheinlich zur Unterstützung von Gisbert und zeitweise auch seiner Schwester Lily (Elise) von Griesheim beitrug. (Die Herkunft des Friedrich Engels. S. 591; Knieriem: „Gewinn unter Gottes Segen“. S. 94– 102 und 114.)

282.20

Die Liverpooler Familie ] Wilhelm und Clara Pferdmenges mit ihren Kindern Lily, Harald, Paul und Clara Maria.

282.24 282.27

meinem Hermann ] Hermann Engels junior. ˙˙ ˙ ˙ ˙ Rudolfs ] Rudolf und Mathilde Engels.

282.28

Hedwig ] Hedwig Boelling.

1210

282. Hermann Engels an Engels · 20. September 1890

282.29

einer ihrer Töchter ] Vermutlich Marie Boelling.

282.30

Anna ] Anna Boelling.

282.31

Blanks ] Emil und Marie Blank.

282.33

Sohn Rudolf ] Rudolf Blank, Neffe von Engels.

282.34

seine Frau ] Getrud Blank.

1211

283 Walery Wro´blewski an Friedrich Engels in London Nizza, Samstag, 20. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6441/L IX 393. Fotosign. 11945°–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wro´blewski hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die letzten Passagen (Z. 14–18) stehen auf der zweiten Seite des Bogens quer geschrieben, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Wro´blewski beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 30. August (siehe Br. 261) und 20. September 1890 (Z. 4). Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Marks i Engels o Polsce (1960). S. 300; in der Sprache des Originals: Borejsza: W kre˛gu wielkich wygnan´co´w (1963). S. 289. ERLÄUTERUNGEN 283.5

mon cousin ] Der Cousin Wro´blewskis konnte nicht ermittelt werden.

283.13

ma me`re ] Zur Mutter Wro´blewskis konnten keine Angaben ermittelt werden.

1212

284 Charles Bonnier an Friedrich Engels in London Wimereux, Sonntag, 21. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 619/L II 36. Fotosign. 7443. Die Postkarte hat das Format 140 × 90 mm. Bonnier hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich die Anschrift, der Poststempel: „Gare de Calais [...]“ und eine aufgedruckte 10-Centimes-Briefmarke. Von unbekannter Hand: Vermerk mit Bleistift „Anf. X 1890“ auf der Rückseite. Zur Datierung: Die Monats- und Jahresangabe ergibt sich aus der Erwähnung der Rückreise Bonniers im Brief von Engels an Jules Guesde vom 25. September 1890 (Br. 294.14–15). Daher wurde die Postkarte wahrscheinlich am 21. September 1890 geschrieben. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 284.3

Jules Guesde nahm am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12. bis 18. Oktober 1890 in Halle teil, ebenso an der dortigen Vorkonferenz für den internationalen Kongreß 1891. Siehe Protokoll Halle 1890. S. 10; Erl. 310.4 und 272.30–34.

1213

285 Paul Stumpf an Friedrich Engels in London Mainz, Sonntag, 21. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6053/L VIII 673. Fotosign. 12049a–d. Der Brief besteht aus zwei Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 284 × 220 mm. Stumpf hat alle acht Seiten vollständig beschrieben. Die Anfangsseite des zweiten Bogens hat er mit „2“ paginiert. Die Worte „mit den Namensunterschriften“ (Z. 41) stehen, mit dem Zuordnungszeichen „+“ versehen, auf der fünften Seite unten. Die letzte Passage (Z. 74–75) steht quer am linken Rand der achten Seite geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Beilage (Z. 69) siehe Erl. 285.69. Erstveröffentlichung: Monz: Der Mainzer Paul Stumpf ... (1986). S. 306–308.

ERLÄUTERUNGEN 285.4–5

Johann Philipp Becker war Ende September/Anfang Oktober 1886 zehn Tage in London bei Engels zu Besuch gewesen (siehe Engels an August Bebel, 8. Oktober 1886, IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 88). Becker starb am 7. Dezember 1886 in Genf.

285.9

Weingesetzfrage ] In den ersten Weingesetzen (1892 und spätere) stand die Weinherstellung im Zentrum der Kodifizierung. Weinqualität wurde danach über die Menge des in der Traube assimilierten Fruchtzuckers bestimmt. 1892 wurden erstmals Kellerkontrollen eingeführt, die den Gebrauch des bei der Weinherstellung unerlaubten Zuckerwassers unterbinden sollten. (Siehe auch Zimmer: Weinbaupolitik in Deutschland. S. 13.) Im März 1888 hatte eine Kommission über die Beratung eines Entwurfs für ein Gesetz über den Verkehr mit Wein im Reichstag berichtet (Sten. Ber. RT, 7/2. Anlagebd. 2. S. 752–778).

285.24

Deine Ansichten ] Ein entsprechender Brief von Engels an Paul Stumpf ist nicht überliefert.

285.34–42

Le comite´ ... du club des ... Ouvriers allemands. In: La Re´forme. Paris. 10. März 1848. S. 4, Sp. 2; Club des ouvriers allemands. Ebenda. 13. März 1848. S. 4, Sp. 2. Stumpf präzisierte seine Anfrage später, siehe Paul Stumpf an Engels, 30. Oktober 1891 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6055). Siehe auch Monz: Der Mainzer Paul Stumpf ... S. 307, 309 und 355,

1214

285. Paul Stumpf an Engels · 21. September 1890

Anm. 505 und 506; Unbekanntes von Engels und Marx. Teil 1. S. 40–42. 285.43

Engels war in Kirchheim Anfang Juni 1849 für kurze Zeit verhaftet worden. Siehe Friedrich Engels: Die deutsche Reichsverfassungs-Campagne. In: Neue Rheinische Zeitung. Politisch-ökonomische Revue. H. 1–3. Januar bis März 1850 (MEGA➁ I/10. S. 37–118, hier S. 82/83).

285.43–44

Zum Inhalt des Theaterstückes und dessen Verbleib siehe Paul Stumpf an August Bebel, 24. September 1895 (Monz: Der Mainzer ... S. 316/317) und Engels an Paul Stumpf, 30. November 1892 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1666).

285.56

verbappele ] Hessischer Dialektausdruck, hier im Sinn von „zuviel reden“.

285.61

Engels: Herrn Eugen Dühring’s Umwälzung ... 1878. Einleitung. I. Allgemeines (MEGA➁ I/27. S. 226–241).

285.61–62

Scizze über Marx ] Zu Engels’ Artikel über „Karl Marx“ im VolksKalender 1878 siehe Erl. 187.10–18.

285.62–63

das kommunistische 48er Manifest ] [Marx, Engels:] Manifest der Kommunistischen Partei. (1848).

285.69

Vermutlich handelt es sich um eine im IISG erhaltene Fotografie (Sign. BG A 13/618). Siehe auch Monz: Der Mainzer ... S. 239.

1215

286 Friedrich Engels an Joseph Bloch in Königsberg London, Sonntag, 21., und Montag, 22. September 1890

Originalhandschrift: Muse´e de l’histoire vivante, Montreuil-sous-Bois, Sign. Nr. 8180100. Der Brief besteht aus drei Blättern mittelstarkem, weißem Papier im Format 113 × 178 mm. Der ursprüngliche erste Bogen ist jetzt in zwei Blätter getrennt, von dem zweiten ist nur ein Blatt überliefert. Wasserzeichen: „[Bodl]eian [Ivory] Wove HM & S“. Engels hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste zu einem Drittel. Die Anfangsseite des zweiten Bogens hat er mit „5“ paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Vermerk auf der ersten Seite oben rechts „25/9 1890“ mit roter Tinte; auf der dritten Seite am linken Rand (bei Z. 61) ein Kreuz mit Bleistift. Engels antwortet auf den Brief Blochs vom 3. September 1890 (Br. 264). Erstveröffentlichung: [Engels:] Ein Brief (1895). S. 351–353. VARIANTENVERZEICHNIS 286.12

: in Hawaii :

286.13

wir $nicht nur einzelne % Beispiele

286.29

Sprung $gri ñ

286.30

ändert. š $Ad. II. ñ

286.61

aber $xxxx ñ

286.71

: politischen :

286.77–79

unter der geographischen bis gebildeten Scheidewand > die geographische bis gebildete Scheidewand

286.82

hervorgeht, $die jeder wieder ñ

286.87

: & willenlos : KORREKTURENVERZEICHNIS

286.16

1216

αÆ δελϕο ς, αÆ δελϕη ] H αδελϕο ς, αδελϕηÂ

286. Engels an Joseph Bloch · 21./22. September 1890

ERLÄUTERUNGEN 286.3

Ihr Brief bis nachgeschickt ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

286.3

Ihr Brief vom 3 cr ] Siehe Joseph Bloch an Engels, 3. September 1890 (Br. 264).

286.4

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884 (MEGA➁ I/29).

286.9

Siehe Ebenda. S. 19 (MEGA➁ I/29. S. 23/24).

286.16

αÆ δελϕο ς, αÆ δελϕη ] Bruder, Schwester (griech.).

286.31–35

Wilhelm Wachsmuth: Hellenische Alterthumskunde aus dem Gesichtspunkt des Staats. Th. 2. Abth. 1. Halle 1829. Die Ausgabe befand sich im Besitz von Engels (MEGA➁ IV/32. Nr. 1387).

286.34

III p. 156 ] Ebenda. Th. 2. S. 157.

286.35

Strabo: Geographica.

286.102

Marx: Der Achtzehnte Brumaire des Louis Bonaparte. Hamburg 1885.

286.103

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1867 (MEGA➁ II/5).

286.104–105 Hrn E. Dührings Umwälzung der Wissenschaft ] Siehe Erl. 118.11 und MEGA➁ I/27. 286.105–106 Zu Engels’ Schrift über Feuerbach von 1888 siehe Erl. 122.9–10 und MEGA➁ I/30. 286.124–126 Georg Friedrich Schoemann: Griechische Alterthümer. Bd. 1. Berlin 1855. Hervorhebung von Engels.

1217

287 Friedrich Engels an Hermann Engels in Engelskirchen London, Montag, 22. September 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4925. Fotosign. 535. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, handelt es sich bei dem Schreiben um eine Postkarte. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben. Die Karte wurde gelocht, die dadurch entstandenen Textverluste (Z. 2) konnten rekonstruiert werden. Von unbekannter Hand: ein Vermerk auf dem Negativ unten rechts: „Postkarte aus London“. Engels antwortet auf den Brief von Hermann Engels vom 20. September 1890 (Br. 282). Erstveröffentlichung: Mayer: Briefe von Engels an Mutter und Geschwister (1921). S. 151/152. ERLÄUTERUNGEN 287.1

Der Brief war möglicherweise vom 30. Mai 1890, siehe Hermann Engels an Engels, 20. September 1890 (Br. 282.6 und Erl.).

287.2

Dubliner Weinhändlers ] William B. Brett.

287.4

Abreise ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

287.9

Der Brief von Engels an den Weinhändler Brett, wahrscheinlich frühestens am 22. September 1890 geschrieben, konnte nicht ermittelt werden. Siehe auch Hermann Engels an Engels, 15. Oktober 1890 (Br. 315).

287.13

Folkestone am Kanal ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

287.15

die Deinigen ] Emma, Walter und Erna Engels.

1218

288 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Montag, 22. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/8. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 260 bzw. 267 × 207 mm. Paul Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben; die vierte zu einem Drittel. Eine Passage von Laura Lafargue und ihr Gruß (Z. 32–34) stehen auf der dritten Seite unten. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „172“ auf der ersten Seite. Lafargue beantwortet Engels’ Briefe vom 5. und 20. September 1890 (Br. 272 und 285) und dessen Kopie seines Schreibens an Charles Caron (Br. 280). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 414/ 415.

ERLÄUTERUNGEN 288.3

Der Conseil national des Parti ouvrier (siehe Erl. 1.30–31) und die verbündeten Blanquisten (siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890, Br. 276.48–49) traten am 23. September 1890 zusammen, um über den internationalen Arbeiterkongreß 1891 zu beraten. Siehe auch Erl. 268.26–30.

288.5

votre lettre ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276). Ähnlich hatte Engels auch an Charles Bonnier geschrieben, siehe Engels’ Hinweis an Paul Lafargue (Br. 272.5–8).

288.8

confe´rence de la Haye ] Gemeint ist die internationale Konferenz in Den Haag vom 28. Februar 1889 zur Vorbereitung eines einheitlichen internationalen Arbeiterkongresses im Juli 1889 in Paris (siehe Erl. 1.6). Hier waren auf Einladung der deutschen Partei Sozialisten aus Frankreich, Belgien, den Niederlanden und der Schweiz zusammengekommen. Die Possibilisten (siehe Erl. 1.7) hatten die Teilnahme an der Konferenz verweigert und daher deren Beschlüsse nicht anerkannt. Sie beriefen sich auf den Beschluß der Londoner Konferenz von 1888, der ihnen den Auftrag zur Einberufung erteilt hatte. Die Marxisten, die 1888 nicht an der Konferenz hatten teilnehmen dürfen, fühlten sich nicht an diesen Beschluß gebunden und forderten u. a. die

1219

288. Paul und Laura Lafargue an Engels · 22. September 1890

Öffnung des Kongresses auch für sozialistische Parteien, nicht nur für Gewerkschaften. Die Konferenz in Den Haag erarbeitete einen Vorschlag für ein Programm, die Tagesordnung und den Zeitpunkt des Kongresses. Die Delegierten der Haager Konferenz hatten ihrerseits die Bedingungen formuliert, unter denen sie das Mandat der Possibilisten zur Einberufung des Kongresses anerkennen und den vorgeschlagenen Termin akzeptieren könnten. Zu diesen Bedingungen gehörte die vollständige Souveränität des Kongresses hinsichtlich der Überprüfung der Mandate. (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 78; Seidel: Deutsche Sozialdemokratie und Parti ouvrier ... S. 171/172. Siehe auch: Eduard Bernstein: The International Working Men’s Congress of 1889. A reply to “Justice”. [London 1889] (MEGA➁ I/31. S. 511–519, besonders S. 515.31–517.39); derselbe: The International Working Men’s Congress of 1889. II. A reply to the “Manifesto of the Social Democratic Federation”. [London 1889]. (MEGA➁ I/31. S. 526– 539, besonders S. 534.37–535.24). 288.10–11

la date et le lieu soient fixe´s a` Halle ] Zur Vorkonferenz in Halle und ihren 17 Teilnehmern siehe Erl. 272.30–34.

288.17

Der achte Kongreß des Parti ouvrier am 11./12. Oktober 1890 fand in Lille statt. (Zur Einberufung siehe auch Erl. 1.30–31.) Der Kongreß nahm Beschlüsse zur Festigung der Organisation an und legte die Funktionen des Conseil national fest. Weiterhin wurde die Vorbereitung der Demonstration am 1. Mai 1891 diskutiert und eine Resolution zu Rußland angenommen, die in der französischen Presse Aufmerksamkeit erregte. (Siehe Huitie`me congre`s national du Parti ouvrier ... 1890. S. 18/19 und 24–27.) Der anschließende vierte Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France wurde vom 13.–18. Oktober 1890 in Calais durchgeführt. Der Gewerkschaftsbund wurde in den Jahren 1887 bis 1894 vom Parti ouvrier dominiert. Edward Aveling nahm als englischer Vertreter am Kongreß teil. (Siehe 4me Congre`s national. Tenu a` Calais du 13 au 19 octobre 1890. S. 31; Blum: Les congre`s ouvriers .... T. 2. S. 124–127; Les Congre`s Socialistes en France. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 741, 13. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3; Nr.10 742, 14. Oktober 1890. S. 2, Sp. 6; Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais; Ligou: Histoire du socialisme en France ... S. 57/58; siehe auch Lafargues Einschätzung zum Kongreß in Calais in seinem Brief an Engels vom 23. Oktober 1890 (Br. 327.29–33) sowie den Bericht von Eleanor Marx-Aveling über den Kongreß von Lille an Engels, 14. Oktober 1890 (Br. 314.6–34 und Erl.).)

1220

288. Paul und Laura Lafargue an Engels · 22. September 1890

288.20

Liverpool ] Zur Einladung der belgischen Arbeiterpartei an den Trades Union Congress in Liverpool siehe Erl. 272.10–11.

288.22

Vous avez bis Caron ] Siehe Engels an Charles Caron, 20. September 1890 (Br. 280). Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.53–59 und Erl.).

288.26

Ne re´pondez pas a` l’Ide´e nouvelle ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.52–59 und Erl.).

288.28

Die Bemerkung wurde von Laura Lafargue hinzugefügt.

288.32

che`que ] Siehe Engels an Paul Lafargue, 20. September 1890 (Br. 281.16 und Erl.).

288.35

de Lavigerie ] Siehe Erl. 281.9.

288.37–38

Eine öffentliche Distanzierung von de Lavigerie ließ sich weder in „Le Socialiste“ noch in „The People’s Press“ ermitteln.

1221

289 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Dienstag, 23. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 252/L I 105. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 285 × 220 mm. Bebel hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „80“ (gestempelt). Bebel antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 9. und 19. September 1890 (siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.40), siehe auch Engels an Paul Lafargue, 15. September 1890 (Br. 272.43–44). Engels’ Antwort, geschrieben zwischen dem 23. und 25. September 1890 (siehe Engels an Jules Guesde, 25. September (Br. 294.7) und an Paul Lafargue, 25. September (Br. 296.4–7)) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 397–398.

ERLÄUTERUNGEN 289.5

Wir bis angelangt ] Zu Bebels Wohnsitz in Berlin siehe auch August Bebel an Engels, 29. September 1890 (Br. 302.17–22).

289.8

Vermutlich meinte Bebel den Artikel von Engels: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“ vom 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267–269), siehe Erl. 251.48–49.

289.11

Jean Volders hatte sich am 12. September 1890 im Auftrag der Belgischen Werklieden Partij an Wilhelm Liebknecht gewandt, um einen gemeinsamen internationalen sozialistischen Arbeiterkongreß in Brüssel vorzuschlagen (RGASPI, Sign. f. 200, op. 4, d. 2636).

289.13–14

Die 1885 gegründete Belgische Werklieden Partij hatte den Kampf um das allgemeine Stimmrecht zu ihrem zentralen politischen Anliegen gemacht; im August 1890 waren in diesem Zusammenhang große Demonstrationen und am 14. September 1890 ein außerordentlicher Kongreß der Partei durchgeführt worden (Renard: La conqueˆte du suffrage universel ... S. 52–57 und 95–98).

289.15

Gewerkschaftskongreß ] Zur Annahme der Einladung nach Brüssel durch den Trades Union Congress siehe Erl. 272.10–11.

1222

289. August Bebel an Engels · 23. September 1890

289.17–18

Bebel stellte auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle (siehe Erl. 310.4) den Antrag, daß der Einladung der Belgischen Werklieden Partij, den kommenden Internationalen Kongreß in Brüssel durchzuführen, Folge geleistet werden solle. Der Antrag wurde angenommen. (Protokoll Halle 1890. S. 266 und 275.)

289.22–24

Eine Art Conferenz in Halle bis vertreten sein. ] Zur Vorkonferenz ˙ ˙˙˙ in Halle siehe Erl. 272.30–34.

289.22–23

den Franzosen ] Albert Duc-Quercy, Joseph Ferroul, Jules Guesde und Lucien Ladour. Guesde und Ferroul waren die offiziellen Delegierten des Parti ouvrier, Duc-Quercy der Berichterstatter von „Le Temps“ (siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.113) sowie Laura und Paul Lafargue an Engels, 28. September 1890 (Br. 301.13–16)) und Ladour der Korrespondent von „La Bataille“ (siehe Prosper Olivier Lissagaray an Wilhelm Liebknecht, 4. Oktober 1890, IISG, Liebknecht-Nachlaß, Sign. Nr. 237/3).

289.23

die Oesterreicher ] Victor Adler, Rudolf Hanser und Rudolf Pokorny.

289.25–26

einigen Vertretern bis Deutschen ] Emil Beck. Zur Organisation der deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz siehe Bürgi: Zürich: Stützpunkt ... S. 157/158.

289.26–27

Außer Eugen Wullschleger vertrat auch Heinrich Scherrer die Sozialdemokratische Partei der Schweiz auf dem Parteitag (Protokoll Halle 1890. S. 10).

289.35

der Kaiser ] Wilhelm II.

289.38–39

Bebel könnte einen Artikel von Eduard Bernstein gemeint habe, der ohne Angabe des Verfassers erschien: Was uns groß gemacht hat. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 38, 20. September 1890. S. 1, Sp. 1–3.

1223

290 Friedrich Engels an Jakins in London London, Dienstag, 23. September 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1665/K 638. Fotosign. 7017. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 126 × 226 mm. Wasserzeichen: „Origin[al] Turkey[Mill] Ken[t]“. Engels hat die erste Seite zu zwei Dritteln beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 H 22“. Zur Datierung: Die Datierung ergibt sich aus dem Zusammenhang mit dem Brief von Engels an Strutt & Parker vom 23. September 1890 (Br. 291.4–6). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 37 (1965). S. 398; in der Sprache des Originals: MECW 49 (2001). S. 38/39.

VARIANTENVERZEICHNIS 290.4

: & at the rent of £ 60.– a year :

290.6

Besides the necessary repairs, papering &c, there would be two points upon which I should have to insist, viz. > Besides bis class, viz.

290.6

such repairs, papering &c > smaller repairs, such as papering &c

290.6

necessary $to put the house into proper order ñ

290.7

I consider > in my opinion

290.11–12

1 useless 2) the replacing of the

bath by a proper bath 2 present $for h ñ with appliances for hot & cold water > 2) : efficient : arrangements bis to turn on. 290.11 290.13

bath, $in place of the present bath ñ ˙˙ ˙ I do not think > I hope

ERLÄUTERUNG 290.9–12

1224

1) bis to turn on ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 26. September 1890 (Br. 298.18–25).

291 Friedrich Engels an Strutt & Parker in London London, Dienstag, 23. September 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1664/K 637. Fotosign. 7016. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem Papier im Format 126 × 226 mm. Wasserzeichen: „Origin[al] Turkey[Mill] Ken[t]“. Engels hat die erste Seite zu zwei Dritteln beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 H 21“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 37 (1965). S. 398/ 399; in der Sprache des Originals: MECW 49 (2001). S. 39/40. VARIANTENVERZEICHNIS 291.4–5

gave him > wrote to him

291.7

you. š $At the same time ñ $As he never ñ

291.8–9

: As this question cannot well be settled before the impending

291.9

He also > Mr Jakins

291.8–9

: As this question cannot well be settled before the impending quarterday, :

291.9

that$, under the circumstances, ñ

291.10

: This notice I beg to enclose. :

291.11

willing to $continue the tenancy on a three years agreement ñ

291.11

that > such

291.11

: again :

291.12

I would > we shall

291.13

agreement$, which I hope will not $take us ñ $cause an ñ be a matter of difficulty ñ

291.14

Hoping > Trusting

291.14

will > may > will ERLÄUTERUNG

291.4–6

I wrote bis agreement ] Siehe Engels an Jakins, 23. September 1890 (Br. 290, Entwurf).

1225

292 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 23. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5914/L VIII 559. Fotosign. 11195. Die Postkarte hat das Format 130 × 76 mm. Sorge hat die Rückseite vollständig beschrieben, auf der Vorderseite befinden sich die Anschrift und der Poststempel: „Hoboken N. J. Sep 24 6 AM“ sowie eine aufgedruckte 2-CentBriefmarke, die abgestempelt ist. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „N 77“ auf der Vorderseite oben links. Engels beantwortete das Schreiben am 4. und 18. Oktober 1890 (Br. 305 und 320). Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 292.1

Volkszeitungskalender ] Zum Inhalt des von der „New Yorker Volkszeitung“ herausgegebenen „Pionier-Kalenders“ siehe Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.10–18 und Erl.). Zum Dank für den Erhalt siehe Engels an Sorge, 4. Oktober 1890 (Br. 305.19).

292.3

Tussy bis Schläge geholt hat ] Sorge meinte die Ablehnung des Mandats von Eleanor Marx-Aveling durch den Jahreskongreß des Trades Union Congress Anfang September in Liverpool (siehe Erl. 263.25), wie er am 14. Oktober (Br. 313.8) auf Engels’ Nachfrage vom 4. Oktober (Br. 305.24) erklärte.

292.5

Dein Brief an die Sächs. Arbterztg. ] Engels: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“ vom 13. September 1890 (MEGA➁ I/31. S. 267–269), siehe Erl. 251.48–49. Siehe auch Sorge an Engels, 10. September 1890 (Br. 270.5–8).

292.6

Engels über die „Spaltung“. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 228, 23. September 1890. S. 2, Sp. 3/4.

292.7

Strandleben ] Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

1226

293 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 24. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/9. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 260 bzw. 267 × 207 mm. Paul Lafargue hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte. Laura Lafargue hat die letzten anderthalb Seiten beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „173“. Paul Lafargues Brief knüpft an seinen Brief vom 22. September 1890 (Br. 288) an. Engels antwortete ihm am 25. September (Br. 296), an Laura Lafargue schrieb er ebenfalls am 25. September 1890 (Br. 295). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 416/ 417.

ERLÄUTERUNGEN 293.3–4

Gemeint ist die Sitzung des Conseil national des Parti ouvrier und verbündeter Blanquisten (siehe Jules Guesde an Engels, 19. September 1890, Br. 277.3, sowie Paul Lafargue an Engels, 22. September 1890, Br. 288.3 und Erl.). Bei den vorgelegten Briefen handelte es sich um die nicht überlieferte Antwort von Engels an Charles Bonnier, geschrieben zwischen dem 9. und 15. September 1890 (siehe Erl. 272.5), die dieser an Jules Guesde übergeben hatte (siehe Jules Guesde an Engels, 19. September 1890 (Br. 277.3), sowie um Engels’ Brief an Paul Lafargue vom 19. September 1890 (Br. 276.6–39), den dieser den anderen zur Kenntnis geben wollte (siehe Paul Lafargue an Engels, 22. September 1890, Br. 288.5 und Erl.).

293.6–7

Jules Guesde nahm am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie (siehe Erl. 310.4) und der Vorkonferenz in Halle (siehe Erl. 272.30–34) teil. Zu den Resolutionen der Kongresse des Parti ouvrier in Lille und der Fe´de´ration nationale des syndicats in Calais siehe Erl. 288.17.

293.8

la souverainete´ du congre`s ] Engels’ Antwort zu dieser Frage siehe in seinem Brief an Paul Lafargue vom 25. September 1890 (Br. 296.11–29).

293.21, 28

journal ] Le Socialiste. Paris. Siehe Erl. 268.4.

1227

293. Paul und Laura Lafargue an Engels · 24. September 1890

293.29

au sujet de Lavigerie ] Siehe Erl. 281.9.

293.41

Helena Demuth hatte die Familie Lafargue im Juli 1890 besucht. Siehe Erl. 218.3.

293.43

the Generals „nas“ ] Siehe auch Engels an Laura Lafargue, 4. Juli 1890 (Br. 218.24–26) sowie Laura Lafargue und Jenny Longuet an Engels, vor dem 1. Dezember 1890 (Br. 406.9).

293.45

“the father” ] Charles Longuet.

1228

294 Friedrich Engels an Jules Guesde in Paris London, Donnerstag, 25. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Guesde-Nachlaß, Sign. Nr. 191/4. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 89 × 115 mm. Engels hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Die Monatsangabe September ergibt sich daraus, daß Engels den Brief von Guesde vom 19. September 1890 (Br. 277) beantwortete. Datierung der Erstveröffentlichung: 25. September 1890. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 37 (1965). S. 399/ 400; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 294.3

votre rectification ] Siehe Jules Guesde an Engels, 19. September 1890 (Br. 277.6–17). Zu den Festlegungen des Internationalen Kongresses in der Salle Pe´trelle (siehe Erl. 1.6) zur Vorbereitung des nächsten internationalen Arbeiterkongresses siehe Erl. 268.26–30.

294.7

Der Brief von Engels an August Bebel, geschrieben zwischen dem 23. und 25. September 1890, ist nicht überliefert. Siehe August Bebel an Engels, 23. September und 29. September 1890 (Br. 289 und 302). Zum Vorschlag einer Vorkonferenz in Halle siehe auch Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.44–45 und Erl.)

294.7–9

Zur Vorkonferenz in Halle siehe Erl. 272.30–34, zur Meinung von Bebel siehe dessen Brief an Engels vom 23. September 1890 (Br. 289.17–18) sowie vom 29. September (Br. 302.4–16).

294.10

La Haye 1889 ] Zur internationalen Konferenz in Den Haag vom 28. Februar 1889 siehe Erl. 288.8.

294.13

Si Vaillant bis avantageux ] Diesen Wunsch hatte Engels schon am 19. September 1890 gegenüber Paul Lafargue geäußert (siehe Br. 276.87–88).

294.14–15

qu’il doit bis accompagner ] Siehe Charles Bonnier an Engels, 21. September 1890 (Br. 284.3–5).

294.16–17

Mme Aveling bis y aller ] Zur Teilnahme von Eleanor MarxAveling siehe Erl. 279.8–9.

1229

295 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 25. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5844. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 220 × 135 mm. Wasserzeichen: Ornament mit Krone und Posthorn. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu Hälfte, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „50“. Engels beantwortet den Brief Laura Lafargues vom 24. September 1890 (Br. 293). Sie antwortete Engels am 28. September 1890 (Br. 301). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 419/ 420. ERLÄUTERUNGEN 295.3

Laura Lafargue war am 26. September 1845 geboren worden. Siehe auch Laura Lafargue an Engels, 26. September 1890 (Br. 298.3–5).

295.6

the pears ] Siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.31–38).

295.10–11

angefangen bis heiligen Registern ] Friedrich Schiller: Don Carlos. 5. Akt, 10. Auftritt. Mit der „Santa Casa“ ist die Inquisition gemeint.

295.12

the last No of the Socialdemokrat ] Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890.

295.15–17

Motteler bis longer ] Julius Motteler wurde bis 1901 steckbrieflich gesucht und konnte erst in diesem Jahr nach Deutschland zurückkehren.

295.16

elegantly-bred missus ] Emilie Motteler.

295.29–30

Ein ernstes Wort. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 442, 22. September 1890. Abendausg. S. 1, Sp. 2/3.

295.29–30

upon bis nous!“ ] Der Ausspruch „Apre`s nous le de´luge!“ wird der Marquise de Pompadour zugeschrieben.

1230

296 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Donnerstag, 25. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5860. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 112 × 177 mm. Wasserzeichen: „[Bodle]ian Ivory Wove [H M] & S“. Engels hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „20“ auf der ersten Seite. Engels beantwortet den Brief Paul Lafargues vom 24. September 1890 (Br. 293). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 418/ 419.

VARIANTENVERZEICHNIS 296.19

et $le notre ñ

296.20

re´bellion $renverse´ ñ ˙˙ ˙ possibiliste $il y ñ

296.23

ERLÄUTERUNGEN 296.3

Bebel bis Belgique ] Siehe August Bebel an Engels, 23. September 1890 (Br. 289.10–29).

296.4–7

Der Brief von Engels an Bebel, geschrieben zwischen dem 23. und 25. September 1890, ist nicht überliefert. Das Zitat könnte diesem Brief entnommen sein. Zu Bebels Antwort hierauf siehe seinen Brief an Engels vom 29. September 1890 (Br. 302.4–16).

296.7

les deux partis Danois ] Der eigentliche Name der sozialdemokratischen Partei war Socialdemokratisk forbund. Die Opposition war als Literær sosialistisk forening bekannt, im Januar 1890 nannte sie sich in Revolutionært Socialistisk Arbejderparti um. Siehe Erl. 50.5–6 und 50.46–49.

296.8

Hjalmar Branting nahm als schwedischer Vertreter am Parteitag in Halle teil (Protokoll Halle 1890. S. 10).

296.8–9

Das Parliamentary Committee des Trades Union Congress war das ausführende Organ des britischen Gewerkschaftsbundes (Clegg [u. a.]: A history of British trade unions ... S. 42).

1231

296. Engels an Paul Lafargue · 25. September 1890

296.9

Eight Hours League ] Siehe Erl. 158.31.

296.9

S. D. Federation ] Siehe Erl. 10.19. ˙ ˙˙ ˙ ˙ Socialist League ] Siehe Erl. 153.55–56; siehe auch Erl. 158.13. ˙ ˙˙ ˙ ˙˙˙˙ votre re´solution bis dangereux ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.7–11).

296.10 296.11–14 296.18

Londres 1888 ] Der Internationale Gewerkschaftskongreß in London vom 6.–10. November 1888. Der einberufende Trades Union Congress hatte nur von gewerkschaftlichen Organisationen gewählte Delegierte zugelassen. Vertretern sozialdemokratischer Parteien, darunter August Bebel und Eduard Bernstein, wurde die Teilnahme verwehrt. Zur Begründung wurde angeführt, „that only bonaˆ fide working men or those who had been working men should have the right to represent labour“ (Report of the International Trades Union Congress London 1888. S. 20). Siehe Eduard Bernstein: The International Working Men’s Congress of 1889. A reply to „Justice“ (MEGA➁ I/31. S. 511–519, hier S. 514.6–515.2).

296.19

le noˆtre de 1889 ] Internationaler Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle vom 14.–20. Juli 1889 (siehe Erl. 1.6).

296.22–23

dernier congre`s possibiliste ] Der Internationale Arbeiterkongreß vom 15.–20. Juli 1889 in Paris, der von der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France im Zusammenwirken mit der Social Democratic Federation einberufen worden war (siehe Erl. 1.6 und 29.38).

296.30

la de´baˆcle possibiliste ] Gemeint ist die Spaltung der FTSF in zwei Organisationen (siehe Erl. 273.15–19).

296.36

votre journal ] Le Socialiste. Paris. Siehe Br. 293.21 und 28 sowie Erl. 268.4.

1232

297 Jules Guesde an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 25. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2046/L IV 52 Fotosign. 7733a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 220 × 170 mm. Guesde hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die Grußformel und die Unterschrift (Z. 19–21) stehen quer auf der zweiten Seite, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: auf der vierten Seite quer geschrieben: „Guesde 25/9/90“. Der Brief ist eine Weiterführung des Briefes von Guesde an Engels vom 19. September 1890 (Br. 277). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 297.3

re´uni le Conseil national ] Die Zusammenkunft des Conseil national des Parti ouvrier mit verbündeten Blanquisten hatte am 23. September 1890 stattgefunden. Siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.3–4 und Erl.).

297.4

votre lettre a` Bonnier ] Es handelt sich um die nicht überlieferte Antwort von Engels an Charles Bonnier, geschrieben zwischen dem 9. und 15. September 1890 (siehe Erl. 272.5), die dieser an Jules Guesde übergeben hatte (siehe Jules Guesde an Engels, 19. September 1890 (Br. 277.3).

297.4–7

Gemeint sind der achte Kongreß des Parti ouvrier am 11. und 12. Oktober 1890 in Lille und der vierte Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France vom 13.–18. Oktober 1890 in Calais (siehe Erl. 288.17).

297.8

Gemeint ist der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle vom 12.–18. Oktober 1890 (siehe Erl. 310.4).

297.13

Congre`s de Paris ] Gemeint ist der Internationale Arbeiter-Kongreß, der vom 14.–20. Juli 1889 in der Salle Pe´trelle tagte (siehe Erl. 1.6).

297.15

Zur Konstituierung des Exekutivkomitees in Zürich sowie von Redaktion und Expedition der Zeitschrift „Der achtstündige Ar-

1233

297. Jules Guesde an Engels · 25. September 1890

beitstag“ in Basel siehe Erl. 277.16. Das Züricher Exekutivkomitee akzeptierte die Tatsache, daß die Initiative für die Einberufung des Internationalen Kongresses von 1891 auf die Belgische Werklieden Partij übergegangen war (Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 117).

1234

298 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Freitag, 26. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5842. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite oben: „51“. Laura Lafargue antwortete am 28. September 1890 (Br. 301). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 421/ 422.

VARIANTENVERZEICHNIS 298.27

they > it ERLÄUTERUNGEN

298.3

your impending birthday ] Zu Laura Lafargues Geburtstag am 26. September siehe auch Laura Lafargue an Engels, 25. September 1890 (Br. 295.3–5 und Erl.).

298.7

Frei nach Dante Alighieri: La Divina Commedia. Inferno. 1. Canto, 1. Terzine: „Nel mezzo del cammin di nostra vita mi ritrovai per una selva oscura, che´ la diritta via era smarrita“.

298.11

The last No of the S. D. ] Die letzte Ausgabe des „Sozialdemokrat“ (Nr. 39) erschien am 27. September 1890, siehe auch Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.80 und Erl.).

298.11–12

[Edward Aveling:] The new era in German socialism. In: The Daily Chronicle. London. Nr. 8903, 25. September 1890. S. 3, Sp. 3. Der Artikel enthielt die Übersetzung eines Auszugs aus Engels’ „Abschiedsbrief an die Leser des ,Sozialdemokrat‘“ (MEGA➁ I/31. S. 270–273 und 1064).

298.12–13

[Edward Aveling:] Socialist smugglers. Germany flooded with papers from Kentish Town. A talk with the editor [Eduard Bern-

1235

298. Engels an Laura Lafargue · 26. September 1890

stein]. In: The Star. London. Nr. 832, 29. September 1890. S. 2, Sp. 6. Siehe auch Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 30. September 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 131). 298.19

The old Marquis ] Richard R. Marquis de Rothwell.

298.20–21

I posais la question bis was put in ] Siehe Engels an Jakins (Entwurf), 23. September 1890 (Br. 290.9–12) und an Strutt & Parker (Entwurf), 23. September 1890 (Br. 291.4–6).

298.26

box of pears ] Siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.31–38).

1236

299 Michael Maltman Barry an Friedrich Engels in London London, Samstag, 27. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 155/L I 19–15. Fotosign. 7162. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 113 × 171 mm. Wasserzeichen: „Royal Nonpareil Ove“ und eine Blume. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „‘Springfield’, Queen’s Road, South Norwood.“ Barry hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: ein mit Tinte geschriebener Vermerk auf der zweiten Seite „Barry 27/9/90 ans. 29.“. Engels’ Antwort vom 29. September ist nicht überliefert. Zur Beilage siehe Erl. 299.3. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 299.3

Michael Maltman Barry: The Labour day. Aberdeen 1890.

1237

300 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 27. September 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 229°×°178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Eine Passage (Z. 59–60) wurde ohne Zuordnungszeichen quer am linken Rand der dritten Seite geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Streichungen mit Rotstift (Z. 7–12, 15, 18, 19–20, 72–75 und 78–81), die den Kürzungen in der Erstveröffentlichung entsprechen. Engels beantwortet Sorges Briefe vom 10. September 1890 (Br. 269 und 270). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 345–347; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 247–250; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 476–478. VARIANTENVERZEICHNIS 300.47

: (Belgiern, Holländern &c.) : ERLÄUTERUNGEN

300.4–5

der letzten No des Sozialdemokrat ] Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. Siehe auch Eduard Bernstein an Engels, 30. August (Br. 259.76–89), Engels an Karl Kautsky, 18. September (Br. 275.47–51) und an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.80–83) sowie an Laura Lafargue, 26. September 1890 (Br. 298.11–13).

300.7

Wegen Schewitsch bis richtig sein ] Siehe Br. 269.6–7 und 270.14–18; siehe auch Erl. 159.14–17.

300.17–18

Zum Artikel von Julius Grunzig über „Die Vorgänge im Lager der deutschen Sozialdemokratie“ siehe Br. 270.4–13 und Erl.

300.21–22

Zu Engels’ Aufenthalt in Folkestone siehe Erl. 232.2.

300.22

Nordkapreise ] Zu Engels’ Kreuzfahrt nach Norwegen siehe Erl. 218.3.

300.25–26

In Lille fand am 11./12. Oktober 1890 der achte Kongreß des Parti ouvrier statt, in Calais vom 13.–18. Oktober 1890 der vier-

1238

300. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 27. September 1890

te Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France (siehe Erl. 288.17); in Halle tagte nach Aufhebung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64) vom 12. bis 18. Oktober 1890 der erste Parteitag der deutschen Sozialdemokratie (siehe Erl. 310.4). 300.29–31

Die Brüssler bis annahm ] Zur Einladung der Belgier an den Trades Union Congress in Liverpool siehe Erl. 272.10–11; zur Zustimmung der Franzosen siehe Paul Lafargue an Engels, 22. September 1890 (Br. 288.3–20).

300.32–39

Engels hatte diese Fragen in seinem Brief an Paul Lafargue vom 19. September 1890 (Br. 276.6–51) und in einem nicht überlieferten Brief an August Bebel, geschrieben zwischen dem 9. und 19. September 1890 (siehe August Bebel an Engels, 23. September 1890 (Br. 289.10–29)) behandelt.

300.39–41

Zur Vorkonferenz auf dem Parteitag in Halle im Oktober 1890 siehe Engels an Paul Lafargue am 15. (Br. 272.30–34 und Erl.) sowie am 19. September 1890 (Br. 276.44–45 und Erl.).

300.47–48

Gemeint ist der Internationale Arbeiter-Kongreß, der vom 14.–20. Juli 1889 in der Salle Pe´trelle tagte (siehe Erl. 1.6). Zu Engels’ Haltung den kleinen Staaten gegenüber siehe auch Erl. 112.43–49.

300.50–58

Zweitens bis Krakehl ] Zu den Auseinandersetzungen in der FTSF und der schließlichen Spaltung siehe Erl. 234.32–33 und 273.15–19.

300.58–59

Zur Haltung der Possibilisten anläßlich der 1. Mai-Demonstration siehe Erl. 273.6–7.

300.59–60

Paul Brousse standen die Wochenzeitung „Le Prole´tariat“ und die Monatszeitschrift „La France Socialiste“ zur Verfügung; Jean Allemane redigierte die Tageszeitung „Le Parti Ouvrier“ (Stafford: From anarchism to reformism. S. 236, 238 und 336; Winock: La scission de Chaˆtellerault et la naissance ... S. 39).

300.62

durch ihren Wahlsieg ] Zu den Reichtagswahlen am 20. Februar 1890 in Deutschland siehe August Bebel an Engels, 21. Februar 1890 (Br. 105) sowie Erl. 107.3–4.

300.63

Sturz Bismarks ] Siehe Erl. 110.47–48.

300.63

Zum Ende des Sozialistengesetzes siehe Erl. 9.64 und 124.26– 27.

300.69

neuen Trades Unions ] Siehe Erl. 10.9–18.

1239

300. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 27. September 1890

300.70

Engels dachte hier wahrscheinlich an die Vorbereitung des Internationalen Arbeiterkongresses 1889 in Paris. Siehe Friedrich Engels: Seeing the constant interest ... In: The Labour Elector. London. Nr. 18, 4. Mai 1889. S. 5, Sp. 1 (MEGA➁ I/31. S. 167/ 168); Internationaler Sozialistischer Arbeiterkongreß 14. bis 21. Juli 1889. Aufruf an die Arbeiter und Sozialisten Europas und Amerikas. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 19, 11. Mai 1889. S. 2, Sp. 2/3 (MEGA➁ I/31. S. 579–581). Siehe auch Erl. 288.8.

300.72

daß Du für die N. Z. schreiben willst ] Zu Engels’ Bemühungen, Sorge für die Berichterstattung in der „Neuen Zeit“ zu gewinnen, siehe Erl. 258.16–17. Sorges Zusage siehe Br. 269.9–10 und Erl. Siehe auch Karl Kautsky an Engels, 22. August 1890 (Br. 253.10–13).

300.76–77

die Wochenübersicht über Deutschland ] Zur Richtigstellung dieser Aussage siehe Erl. 235.14–15.

300.83

Wilhelmchen ] Wilhelm II.

300.88

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). Der Band erschien Ende Oktober 1890. Engels schickte ihn am 17. Januar 1891 an Sorge, siehe Engels an Sorge, 17. Januar 1891 (NYPL, Sorge Papers).

300.89

Friedrich Engels: Zur vierten Auflage. In: Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890. S. XXII–XXVII (MEGA➁ II/10. S. 22–27). Eine Veröffentlichung in der „New Yorker Volkszeitung“ konnte nicht nachgewiesen werden.

1240

301 Laura und Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 28. September 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 6007. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 222 × 224 mm. Wasserzeichen: „L–J D L & C“. Laura Lafargue hat die ersten anderthalb Seiten, Paul Lafargue die letzte halbe Seite beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „67“ auf der ersten Seite. Laura Lafargue antwortet auf die Briefe von Engels vom 25. und 26. September 1890 (Br. 295 und 298) sowie eine nicht überlieferte Postkarte, geschrieben spätestens am 27. September 1890 (Z. 32). Die Beilage (Z. 31) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 423/ 424.

KORREKTURENVERZEICHNIS 301.12 301.44

faintest ] H fainest gouˆtaˆt ] H gouta ERLÄUTERUNGEN

301.3–4

Zum Geburtstag von Laura Lafargue siehe Engels an Laura Lafargue, 25. und 26. September 1890 (Br. 295.3–5 und 298.3–5).

301.5

Laura Lafargue hatte sich im Juni 1890 in London aufgehalten, siehe Engels an Nikolaj Daniel’son, 10. Juni 1890 (Br. 193.5).

301.8

Zum Scheck über den Anteil an den Tantiemen für „Das Kapital“ vom Verlag Karl Otto Meißners siehe Br. 298.8–10.

301.11

a letter from Guesde ] Siehe Jules Guesde an Engels, 25. September 1890 (Br. 297).

301.11

Jules Guesde nahm an dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie teil (Protokoll Halle 1889. S. 10).

301.13–14

Albert Duc-Quercy berichtete aus Halle für „Le Temps“. Siehe auch den Bericht: Les socialistes en Allemagne et en France. In: L’Illustration. Paris. Nr. 2487, 25. Oktober 1890. S. 349, Sp. 1–3.

1241

301. Laura und Paul Lafargue an Engels · 28. September 1890

301.17–18

Zu den Konflikten in der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France im Herbst 1890, u. a. darüber, wer in der Nachfolge von Jules Joffrin für das Parlament kandidieren sollte, siehe Erl. 273.15–19 sowie zur Auseinandersetzung in der Presse Erl. 300.59–60.

301.20

the revelations ] Siehe Erl. 276.65.

301.21

Duchess d’Uze`s’ favourite ] Marie Adrienne de RochechouartMortemart duchesse d’Uze`s. Die Herzogin, eine Anhängerin der Monarchisten, unterstützte die Kampagne Boulangers (siehe Erl. 1.49) mit 3 Millionen Franc. (Irvine: The Boulanger affair reconsidered. S. 96.)

301.22–23

„les temps bis sont venus“ ] Henri Rochefort: L’Impossible. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3727, 27. September 1890. S. 1, Sp. 1/2.

301.25

Sozial Demokrat ] Siehe Erl. 276.80.

301.28–29

Walt Whitman war bekannt als Verfasser langer erzählender Gedichte. Siehe auch Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.19–21).

301.31

Zur Überlieferung der Einladung von Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling zum Kongreß des Parti ouvrier in Lille siehe Engels an Laura Lafargue, 20. September 1890 (Br. 281.12–13 und Erl.). Zu ihrer Teilnahme an den Kongressen in Lille und Calais siehe Erl. 279.8–9.

301.39

Le manuscrit pour Sonnenschein ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 24. August 1890 (Br. 255.26 und Erl.).

301.41

Engels hatte Lafargue aufgefordert die Zeitung „Le Socialiste“ an Sorge zu schicken. Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 4. Oktober 1890 (Br. 305.12–13).

301.46

Chloromayer ] Carl Schorlemmer.

301.48

Der 10. Kongreß der Union Fe´de´rative du Centre fand Anfang Oktober 1890 statt (siehe Erl. 273.37–38).

1242

302 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 29. September 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 253/L I 106. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 230 × 179 mm. Bebel hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu einem Drittel. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „81“ (gestempelt). Bebel antwortet wahrscheinlich auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 23. und 25. September 1890 (siehe Engels an Paul Lafargue, 25. September 1890 (Br. 296.4–7). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 399–400.

KORREKTURENVERZEICHNIS 302.4

beriethen ] H berathen ERLÄUTERUNGEN

302.4

internationalen Conferenz ] Zur Vorkonferenz in Halle siehe ˙ ˙˙ ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ Erl. 272.30–34.

302.4–7

Engels hatte in seinem nicht überlieferten Brief an Bebel, geschrieben zwischen dem 23. und 25. September 1890, vermutlich vorgeschlagen, Vertreter möglichst vieler Länder zur Konferenz einzuladen. Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 25. September 1890 (Br. 296.3–10).

302.8

ein Belgier ] Edouard Anseele. Siehe Engels an Paul Lafargue, 19. September 1890 (Br. 276.45–49 und Erl.).

302.9

ein Schweizer Comite´mitglied ] Eugen Wullschleger war Mitglied im Zürcher Exekutivkomitee. Siehe auch Erl. 289.26–27.

302.9–10

Letzteres bis herbeizuführen ] Siehe Jules Guesde an Engels, 25. September 1890 (Br. 297.15–18 und Erl.).

302.17–18

August Bebel und seine Frau waren im September 1890 aus Plauen nach Berlin in die Groß-Görschenstraße umgezogen, siehe August Bebel an Engels, 27. August und 23. September 1890 (Br. 256.45 und 289.5). Im Krieg gegen Napole´on Ier hatte die preußisch-russische Armee in der Schlacht am 2. Mai 1813 das Dorf Großgörschen

1243

302. August Bebel an Engels · 29. September 1890

und einige umliegende Ansiedlungen erobert, zog sich aber dann zurück, weil Napole´on seine stark überlegenen Kräfte für den folgenden Tag zu einem Gegenangriff konzentrierte. 302.23–24

Eduard Bernstein: Unser Scheidegruß. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1.

302.26–27

Die Berliner Sozialdemokratie veranstaltete aus Anlaß des Auslaufens des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 9.64 und 124.26–27) Feste in sieben Sälen. Bebel sprach in der Bockbrauerei für die Berliner Wahlkreise I und II (Zum 30. September. In: Berliner Volksblatt. Nr. 227, 30. September 1890. S. 1, Sp. 2, bis S. 2, Sp. 1; Der 1. Oktober. Ebenda. Nr. 228, 1. Oktober 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 2).

302.33

Tussi nach Halle kommt ] Zur Teilnahme Eleanor Marx-Avelings ˙˙˙ Halle siehe Erl. 310.4 und 279.8–9. am Parteitag˙in

1244

303 National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 2. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6375/L IX 291. Fotosign. 15028. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 200 × 252 mm. Wasserzeichen: „Original Culter Mill“ und ein Wappenschild. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck der „National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland“ (siehe S. 1139.) Ein Unbekannter hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer, die Unterschrift ist mit violettem Stempel eingetragen. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: ein Vermerk mit Tinte „Wilson Sailors & f. Union“ auf der zweiten Seite. Der Brief ist die Antwort auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, vermutlich geschrieben am 28. September 1890 (siehe Engels’ Vermerk auf dem Brief von Alfred Delcluze an Engels vom 6. September 1890 S. 1173). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 303.6–8

Vermutlich ist ein nicht überlieferter Brief von Engels an Paul Lafargue gemeint, geschrieben vor dem 28. September 1890. Siehe Br. 304.4–10.

1245

304 Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 3. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 25/1. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 252 × 201 mm. Wasserzeichen: „Imperial Treasury De La Rue“, eine Krone und Monogramm „DLR“. Laura Lafargue hat die erste und vierte Seite vollständig beschrieben, die zweite und dritte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „68“ auf der ersten Seite. Laura Lafargue antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 28. September 1890, dessen Inhalt teilweise aus dem Brief der „National Amalgamated Sailors’ and Firemen’s Union ...“ an Engels vom 2. Oktober 1890 (Br. 303) hervorgeht. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 426. ERLÄUTERUNGEN 304.5

Glasgow meeting ] Die National Amalgamated Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland führte ihren Jahreskongreß (Annual General Meeting) 1890 in Glasgow durch. Siehe auch ihren Brief an Engels, 2. Oktober 1890 (Br. 303).

304.9

Gemeint ist der Internationale Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle im Juli 1889 (siehe Erl. 1.6).

1246

305 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 4. Oktober 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Nachschrift (Z. 24) steht am linken Rand der Rückseite quer geschrieben, die Vorderseite hat er für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London N. W. X Oc 4 90“ und „D 90 New York Oct 12 Paid A All“ sowie eine aufgedruckte 1-PennyBriefmarke, die den Stempel „[N]W 3“ trägt. Von unbekannter Hand: Streichung (Z. 1–11), die der Kürzung in der Erstveröffentlichung entspricht. Engels antwortet auf den Brief Sorges vom 23. September 1890 (Br. 292). Sorges Antwort erfolgte am 14. Oktober 1890 (Br. 313). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 347/348; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 251/252; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 479; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 305.1

Engels meinte seinen Brief an Sorge vom 27. September 1890 (Br. 300).

305.2

die beiden Romms ] Julie und Maxim Romm.

305.2

eine Empfehlung ] Die Empfehlung ist nicht überliefert.

305.12

Die dritte Serie von „Le Socialiste“ erschien seit dem 21. September 1890. Siehe auch Paul und Laura Lafargue an Engels, 24. September 1890 (Br. 293.21–25).

305.12–13

Engels hatte sich wahrscheinlich wegen der Übersendung des „Socialiste“ an Sorge schon an Paul Lafargue gewandt, siehe Laura und Paul Lafargue an Engels, 28. September 1890 (Br. 301.41 und Erl.).

305.14–16

Zur Vorbereitung eines internationalen Arbeiterkongresses 1891 siehe Erl. 268.26–30 und 272.30–34.

305.15

Nieuwenhuis ] Ferdinand Domela Nieuwenhuis.

305.15

ein Belgier ] Edouard Anseele.

1247

305. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 4. Oktober 1890

305.15–16

ein Schweizer ] Aus der Schweiz nahmen Emil Beck, Heinrich Scherrer und Eugen Wullschleger am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie teil (Protokoll Halle 1890. S. 10). Zur Vorkonferenz in Halle siehe auch Erl. 272.30–34.

305.16–18

Vom 9.–14. Oktober 1890 fand der zehnte Kongreß der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France in Chaˆtellerault statt, und kurz zuvor tagte der Pariser Zweig, siehe Paul Lafargue an Engels, 16. September 1890 (Br. 273.37–38 und Erl.). Zu den Auseinandersetzungen der Possibilisten siehe Erl. 273.15–19 sowie Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September 1890 (Br. 300.50–60 und Erl.).

305.19

Nim bis Kalender ] Zum „Pionier. Illustrirter Volks-Kalender für 1891“ siehe Erl. 187.10–18 sowie Sorge an Engels, 23. September 1890 (Br. 292.1) und Engels an Sorge, 18. Oktober 1890 (Br. 320.1).

305.24

Schlägen Tussys ] Zur Ablehnung des Mandats von Eleanor Marx-Aveling durch den Jahreskongreß des Trades Union Congress Anfang September in Liverpool siehe Sorge an Engels, 23. September und 14. Oktober 1890 (Br. 292.3 und 313.35–37) sowie Erl. 263.25.

1248

306 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Sonntag, 5. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 690/K 326. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London-N. W. C 7 Oc 6 90“, „[Stuttga]rt [B] 3 [...] 10.“, ein Stempel „VI“ und eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke. Von unbekannter Hand: Numerierung der Rückseite: „176a“. Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 259/260; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 306.2

unsern Freund Sam ] Samuel Moore.

306.3–4

Heinrich Heine: Vorrede. In: Atta Troll. Ein Sommernachtstraum.

306.4

Wo er noch jagt den Löwen, den Tiger ] Bei Heine: und daß er gejagt den Löwen, den Tiger –“.

306.7

Jollymeier ] Carl Schorlemmer.

1249

307 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Dienstag, 7. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1054/K 456. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 202 × 177 mm. Wasserzeichen: „John Allen Fine“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf dem Briefumschlag befinden sich auf der Vorderseite die Adresse, der Stempel „London ZX Oc 7 90“ und eine abgestempelte Briefmarke zu 2 1/2 Pence sowie ein Vermerk mit Bleistift von unbekannter Hand: „7.X.1890“ und auf der Rückseite der Vermerk: „Bestellt vom Postamte 2/9/10. 90 / 8 – 9 1/2 V.“ Von unbekannter Hand: Numerierung der beschriebenen Seiten: „106“ und „107“. Engels antwortet auf einen nicht überlieferten Brief Liebknechts, geschrieben zwischen dem 20. September und 7. Oktober 1890 (Z. 3, 21 und 25). Liebknechts Antwort erfolgte am 14. Oktober 1890 (Br. 312). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 252/ 253; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 376/377; die Adresse wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 307.3

Volksblatt ] Es handelt sich vermutlich um die ersten Nummern des „Berliner Volksblatts“ nach Aufhebung des Sozialistengesetzes (siehe Erl. 124.26–27). In der Nummer 232 vom 5. Oktober 1890 erschien der Artikel von Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst (siehe Erl. 188.18–89).

307.6

III Band ] Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe auch Erl. 8.16.

307.17

Det

307.18

unser Staatsanzeiger ] „Berliner Volksblatt“.

307.18–19

dem preußisch-deutschen ] „Deutscher Reichs-Anzeiger und Königlich Preußischer Staats-Anzeiger“.

307.21–24

The Beckton gas works. Strange rumors. In: The Daily Chronicleand Clerkenwell News. London. Nr. 8911, 4. Oktober 1890. S. 5, Sp. 7, bis S. 6, Sp. 1.

1250

bis

nanu!! ] Nachgeahmte Berliner Mundart.

307. Engels an Wilhelm Liebknecht · 7. Oktober 1890

307.25

Wilhelm Liebknecht war am 20. September 1890 nach Berlin übersiedelt, siehe August Bebel an Engels, 23. September 1890 (Br. 289.6).

307.26

Eleanor Marx-Aveling nahm am Kongreß des Parti ouvrier in Lille teil und fuhr mit Jules Guesde und Joseph Ferroul von dort zum Parteitag der Sozialdemokratie in Halle, siehe Erl. 279.8–9.

307.29

Frau & Kinder ] Natalie Liebknecht und die Söhne Theodor, Karl, Otto, Wilhelm und Curt.

1251

308 John Darbyshire an Friedrich Engels in London Manchester, Samstag, 11. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1076/L III 23–58. Fotosign. 8143a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 230 × 180 mm. Darbyshire hat die drei ersten Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Die zweite und dritte Seite hat er paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 F 29“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 308.3–4

1252

Marx: Capital. London 1887 (MEGA➁ II/9).

309 Michael Maltman Barry an Friedrich Engels in London London, Montag, 13. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 156/L I 19–16. Fotosign. 7160. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 129 × 205 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck der Adresse (siehe S. 1237). Barry hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: ein Vermerk mit schwarzer Tinte: „M. M. Barry“ auf der Rückseite. Barry beantwortet vermutlich einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben am 29. September 1890, siehe Engels’ Vermerk auf dem Brief von Barry an Engels vom 27. September 1890 (S. 1237). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 309.3–4

Die Notiz konnte nicht ermittelt werden.

309.5

N. ] Vermutlich David J. Nicoll, der Ende Mai 1890 auf der sechsten Jahreskonferenz der Socialist League zum Redakteur des „Commonweal“ gewählt worden war.

309.7

Zu Barrys Schrift „The Labour Day“ siehe Michael Maltman Barry an Engels, 27. September 1890 (Br. 299.3–6 und Erl.).

1253

310 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Halle, Montag, 13. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1833/L III 287. Fotosign. 7695a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 269 × 214 mm. Fischer hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite Seite zu einem Viertel, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: sopierstift. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 310.4

1254

den Kongreß ] Gemeint ist der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle. Er fand erstmals nach dreizehn Jahren wieder in Deutschland statt (siehe August Bebel an Engels, 7. März 1890, Br. 110.32–34 und Erl. 110.33). – Richard Fischers Bericht an Engels ist der erste überlieferte von Halle aus; ihm folgten ein weiterer am 15. Oktober (Br. 316) sowie zwei ausführliche Berichte von Eleanor Marx-Aveling vom 14./15. und 16. Oktober (Br. 314 und 319). Mitteilungen über den Parteitag erhielt Engels zudem von Wilhelm Liebknecht (Br. 312 und 323), August Bebel (Br. 328) und Paul Lafargue (Br. 335). Siehe auch Conrad Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326). – Engels äußerte seine Zufriedenheit mit dem Verlauf des Kongresses mehrfach: gegenüber Friedrich Adolph Sorge am 18. Oktober und 26. November (Br. 320 und 366), Laura Lafargue am 19. Oktober (Br. 324) und Eduard Bernstein am 20. Oktober (Br. 325). Auf dem Parteitag wurde über einen neuen Namen der Partei (siehe Br. 328.27–34 und Erl.), ein neues Organisationsstatut (siehe Br. 319.19, 51–52 und Erl. 319.19 sowie Br. 242.25–49 und Erl.), das Programm (siehe Br. 319.24–28 und Erl.), ein neues Zentralorgan sowie über Stellung und Tätigkeit der Reichstagsfraktion (siehe Br. 312.10–11 und Erl. sowie Erl. 314.118–119 und 314.120–121) verhandelt. Angenommen wurde auch ein Antrag Wilhelm Liebknechts, den 1. Mai zum Feiertag zu machen (siehe Br. 312.7–10 und Erl.; siehe auch Erl. 124.18). Zur innerparteilichen Opposition, die sich bereits seit der Jahreswende 1889/1890 zu formieren begonnen hatte,

310. Richard Fischer an Engels · 13. Oktober 1890

siehe Erl. 310.14–15 und 240.29. Zu den Verhandlungen und Beschlüssen siehe Protokoll Halle 1890; zur Berichterstattung in britischen und französischen Presseorganen Erl. 316.6–7 und 317.53–55. – Am Rande des Parteitages fand ein Treffen der ausländischen Delegierten mit Vertretern der deutschen Partei statt, auf dem über die Einberufung des für 1891 geplanten internationalen Arbeiterkongresses beraten wurde (siehe Erl. 272.30–34). 310.14–15

Anspielung auf die Opposition der sogenannten „Jungen“, die von ihren Kontrahenten im und um den Parteivorstand des öfteren als „Krakehler“ bezeichnet wurden. Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 9. August 1890 (Br. 240.27–60 und Erl.) oder an Karl Kautsky, 18. September 1890 (Br. 275.7), Eduard und Regina Bernstein an Engels, 19. August 1890 (Br. 250.17), August Bebel an Engels, 27. August (Br. 256.7–23) sowie Karl Kautsky an Engels, 8. September 1890 (Br. 267.20–21). – Ähnliche Einschätzungen zur Opposition auf dem Parteitag auch in Fischers Brief an Engels vom 15. Oktober 1890 (Br. 316.7–13, 23–26 und Erl.), Wilhelm Liebknecht an Engels, 14. Oktober 1890 (Br. 312.4–6), Eleanor MarxAveling an Engels, 14./15. Oktober 1890 (Br. 314.114–116 und Erl.), Br. 319.8–13 und 20–23) sowie August Bebel an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 328.12–13). Siehe auch Engels an Eduard Bernstein, 20. Oktober 1890 (Br. 325.7–8). Zur Opposition siehe auch Erl. 240.29 sowie Erl. 242.25–49, zur Rolle der „inneren Organisation“ in Berlin siehe Erl. 124.18.

310.15

Zum Antrag von Wilhelm Werner und der Diskussion dazu siehe Protokoll Halle 1890. S. 14–16.

310.19–20

Wilhelm Werner aus Berlin wurde nicht in die Mandatsprüfungskommission gewählt (ebenda. S. 10 und 17).

310.31

Die Vorversammlung tagte am 12. Oktober 1890 (siehe ebenda. S. 9 und 11–18).

310.33

Liebknechts Eröffnungswort ] Wilhelm Liebknechts Eröffnungsrede siehe ebenda. S. 11–14.

310.47

sein Schwager Bam ] Jakob Bamberger. Bamberger war in erster Ehe mit Elise, einer Schwester von Eduard Bernstein verheiratet, und nach deren Tod in zweiter Ehe mit Caroline, einer weiteren Schwester Bernsteins. (Tennstedt: Arbeiterbewegung und Familiengeschichte ... S. 479.)

310.48

Antisemit Werner ] Ludwig Werner war 1890 für die antisemitische Deutsche Reformpartei angetreten und im Wahlkreis Kas-

1255

310. Richard Fischer an Engels · 13. Oktober 1890

sel I (Rinteln, Hofgeismar) in den Reichstag gewählt worden (Handbuch des Antisemitismus. Bd. 2/2. S. 883; Handbuch der Reichstagswahlen 1890–1918. S. 789.) Diesen Wahlkreis vertrat Jakob Bamberger auf dem Parteitag (Protokoll Halle 1890. S. 305). 310.50

1256

die beiden Braun ] Adolf und Heinrich Braun.

311 Henry Engel an Friedrich Engels in London London, Dienstag, 14. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1387/L III 243–1. Fotosign. 14707. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Engel hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Die Initialen am Ende des Briefes haben die Form eines Buchstabenzirkels. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K“. Von unbekannter Hand: Vermerk mit Bleistift „Bittbrief“ auf der ersten Seite oben links und Unterstreichung der Namen „Herrn Bernstein“ (Z. 9) und „Henry Engel“ (Z. 15). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 311.7

Verein in Tottenham Street ] Gemeint ist der Communistische Arbeiterbildungsverein (CABV), der zu diesem Zeitpunkt sein Lokal in der Tottenham Street Nr. 49 hatte. Siehe Erl. 154.3–4.

311.8

Herrn Georges ] Wahrscheinlich ist Richard George gemeint. George wurde 1882 aus Leipzig ausgewiesen und emigrierte anschließend nach England, wo er im CABV zeitweise Vorstandsmitglied war. (Berndt: Eine Dokumentation zum 100. Jahrestag des Sozialistengesetzes ... S. 126 (Nr. 39); Thümmler: Sozialistengesetz § 28. S. 189.)

1257

312 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Halle, Dienstag, 14. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3583/L V 423–22. Fotosign. 3004a–d. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem, liniertem Papier im Format 211 × 280 mm. Liebknecht hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck: „Sozialdemokratischer Parteitag, Halle a. S. Hofjäger. Halle a. S., den ... Oktober 1890“. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „L Pg 20“. Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 378.

ERLÄUTERUNGEN 312.3

glorreicher Congreß ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle siehe Erl. 310.4.

312.4

Gemeint ist der Erfolg der sozialdemokratischen Partei bei den Reichstagswahlen (siehe Erl. 107.3–4).

312.5

Der Berliner Delegierte Wilhelm Werner war der Hauptsprecher der Parteiopposition (siehe Erl. 240.29) auf dem Parteitag. Siehe dazu auch Erl. 310.14–15. – Ein Beleg für Liebknechts Behauptung, daß Werner ein Spitzel sei, ließ sich nicht ermitteln. Zur Rechtfertigung Werners und zur Einsetzung einer Kommission zur Untersuchung der von Werner vorgebrachten Beschwerden siehe Protokoll Halle 1890. S. 47; zur Auseinandersetzung mit ihm siehe auch Müller: Idealismus und Revolution. S. 65–68.

312.7

Jules Guesde und Eleanor Marx-Aveling wurden am 14. Oktober in der Nachmittagssitzung offiziell begrüßt (siehe Protokoll Halle 1890. S. 109). Siehe auch Marx-Avelings Bericht an Engels vom 14. Oktober 1890 (Br. 314.125–126).

312.7–10

Zu dem von Wilhelm Liebknecht und anderen eingebrachten Antrag 15 und dessen Annahme siehe Protokoll Halle 1890. S. 273/274; siehe auch: Antrag. Der Kongreß beschließt ... In: Berliner Volksblatt. Nr. 241, 16. Oktober 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Politische Übersicht.

1258

312. Wilhelm Liebknecht an Engels · 14. Oktober 1890

312.10–11

Zu dem von Paul Singer vorgetragenen „Bericht über die parlamentarische Thätigkeit der Fraktion“ siehe Protokoll Halle 1890. S. 80–90.

312.15

Lenchen ] Helena Demuth.

312.15

Roshers ] Mary und Percy Rosher.

1259

313 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 14. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5915/L VIII 560. Fotosign. 11196a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen starkem, weißem Papier im Format 250 × 200 mm. Sorge hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf Engels’ Brief vom 27. September 1890 (Br. 300) und die Karte vom 4. Oktober (Br. 305). Engels antwortete am 26. November 1890 (Br. 366). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 313.3–4

Einführungsschreiben für Romm u. Frau ] Siehe Br. 305.1–11 und Erl.

313.7

Kongress in Halle ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 siehe Erl. 310.4.

313.8

nächstjährigen Int. Kongr. ] Zum internationalen Arbeiterkongreß 1891 siehe Erl. 268.26–30 und 272.30–34.

313.10–12

Verbindung bis versucht werden. ] Zu Engels Antwort an Sorge vom 26. November 1890 siehe Br. 366.31–32 und Erl.; zur American Federation of Labor siehe auch Erl. 52.19.

313.13

Als erster Artikel erschien: F[riedrich] A[dolph] Sorge: Briefe aus Nordamerika. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890– 1891. Bd. 1. Nr. 8. S. 255–258.

313.15–17

Das gebotene Honorar bis widerstrebt ] Auf Anfrage Karl Kautskys hatte Engels Sorge für die Berichterstattung in der „Neuen Zeit“ empfohlen und Sorge davon unterrichtet, siehe Engels an Karl Kautsky, 5. August 1890, (Br. 235.17–19) und Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. August 1890 (Br. 258.16–17 und Erl.). Kautsky wandte sich dann selbst an Sorge, siehe Karl Kautsky an Engels, 22. August und 8. September 1890 (Br. 253.10–13 und 267.17–18). Engels hatte Sorge bestärkt, ein gutes Honorar zu fordern und sich erforderlichenfalls auf ihn zu berufen, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September 1890 (Br. 300.72–75).

1260

313. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 14. Oktober 1890

313.23–24

Empfehlung der Romm’s ] Siehe Br. 305.1–11.

313.28

Ich werde mich sehr freuen bis zahle gern dafür, ] Siehe Engels an Sorge, 4. Oktober 1890 (Br. 305.12–13 und Erl.).

313.30

Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10); siehe Engels an Sorge, 27. September 1890 (Br. 300.88 und Erl.).

313.31

Sorge hatte Engels bereits früher geschrieben, daß er ein Exemplar von „Le Capital“ besitze, siehe Sorge an Engels, 29. Mai 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5885).

313.31–33

ein Exemplar des Capital bis besitze ] Marx hatte Sorge im Oktober 1877 ein vollständiges Exemplar der französischen Ausgabe (Le Capital. Paris [1872–1875]) geschickt, das für die geplante Übersetzung ins Englische durch Adolf Douai bestimmt war, siehe Marx an Friedrich Adolph Sorge, 19. Oktober 1877 (NYPL, Sorge Papers). Der Band scheint nicht überliefert zu sein. Entgegen seinem ursprünglichen Vorschlag entwickelte Sorge in der Folgezeit Vorbehalte gegen Douai, denen Marx dann folgte, siehe Marx an Sorge, 4. September 1878 (NYPL, Sorge Papers). Darüber hinaus hatte Sorge 1872 ein Exemplar der ersten Lieferung von „Le Capital“ erhalten (siehe Hecker, Mis’kevicˇ: Das „Kapital“ mit Widmungen ... S. 122/123). Siehe Kuczynski: Die von Marx rev. franz. Ausg. von Bd. I ... S. 222. Siehe auch Erl. 52.38. – Sorge hatte auch ein Verzeichnis von Änderungen, das Marx 1877 für eine amerikanische Ausgabe angefertigt hatte, besessen. Er hatte es Engels bereits am 15. Februar 1886 geschickt (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5830). Siehe dazu Kuczynski: Welche Einträge ... S. 101/102.

313.35–37

Was „Tussy’s Schläge“ bis Meinung. ] Sorge erklärte auf Engels’ Nachfrage vom 4. Oktober (Br. 305.24), daß er damit die Ablehnung des Mandats von Eleanor Marx-Aveling durch den Jahreskongreß des Trades Union Congress Anfang September in Liverpool (siehe Erl. 263.25) gemeint habe. Siehe auch die Leserzuschriften von Clementina Black und Eleanor Marx-Aveling unter dem Titel: The Trades congress and Mrs. Aveling. In: The People’s Press. London. Nr. 28, 13. September 1890. S. 13, Sp. 2.

313.38–41

Von den hiesigen bis werden. ] Siehe Erl. 187.52 und Sorge an Engels, 9. Juli 1890 (Br. 221.15–19).

313.44–55

Zu den Nationalisten und zur Diskussion zwischen deren Vertreter Daniel De Leon und Sorge im Herbst 1889 siehe Engels an Sorge, 12. Oktober 1889 (Br. 8.7–10 und Erl. 8.7–8); zum

1261

313. Friedrich Adolph Sorge an Engels · 14. Oktober 1890

„boycott“ gegen Engels dessen Brief an Sorge vom 26. November 1890 (Br. 366.54–55). 313.52

der eitle Comtist L. Saniel ] Lucien Sanial.

313.56

Sorge bezog sich wahrscheinlich auf die Mitteilung von Engels in dessen Brief an ihn vom 7. Dezember 1889 (Br. 48.78–90). Gemeint war das sozialdemokratische Parteiarchiv, das ursprünglich 1883 von Hermann Schlüter in Zürich aufgebaut und im Juni 1888 in London in der Wohnung von Eduard Bernstein untergebracht worden war. Schlüter emigrierte im März 1889 in die USA. Das Archiv wurde erst im Februar/März 1891 nach Berlin verlagert. (Mayer: Die Geschichte des sozialdemokratischen Parteiarchivs ... S. 30; Merkel-Melis: Hermann Schlüter. S. 300 und 304.)

313.57

Welche Nummer der „Freiheit“ gemeint war, ließ sich nicht ermitteln.

313.59–60

Die Nummer des „Paterson Labor Standard“ konnte nicht ermittelt werden. Wie aus der Antwort von Engels hervorgeht, enthielt diese Nummer einen Artikel über Henry George, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890 (Br. 366.59 und Erl.). Der Artikel von Adolph Sorge handelte vermutlich von dem in Rochester patentierten und hergestellten Perfection Sash Balance Fenster.

313.63

Frau ] Katharina Sorge.

1262

314 Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels in London Halle, Dienstag, 14., und Mittwoch, 15. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3803/L V 589. Fotosign. 8233a–d und 8234a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 450 × 286 mm und aus einem Blatt festem, weißem, liniertem Papier im Format 172 × 119 mm. Eleanor Marx-Aveling hat alle sechs Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 168–172) steht quer auf der ersten Seite oben links geschrieben. Der Bogen trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Hoˆtel Goldene Kugel F. W. Fischmann“, und rechts „Halle a. S., den 189 “. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: Gemkow: Zwei Briefe Eleanor Marx-Avelings an Friedrich Engels ... (1965). S. 1198–1203; in der Sprache des Originals: Unpublished letter of Eleanor Marx to Frederick Engels ... (1966). S. 338–341.

KORREKTURENVERZEICHNIS 314.4 314.22 314.23

I’ve ] H I’v Possibilists ] H Posibilists them ] H then

ERLÄUTERUNGEN 314.4

Zur Reise nach Lille siehe Erl. 279.8–9.

314.7

Congress ] Gemeint ist der Kongreß des Parti ouvrier in Lille vom 11./12. Oktober 1890 (siehe Erl. 288.17).

314.18–19

Brousse-Allemane Congresses ] Zu den Kongressen in Chaˆtellerault und Paris im Oktober 1890 siehe Paul Lafargue an Engels, 16. September 1890 (Br. 273.37–38 und Erl.). Siehe auch Erl. 273.15–19.

314.20

Zur Vorbereitung des geplanten internationalen Arbeiterkongresses 1891 siehe Erl. 268.26–30.

314.20

“Universal Strike” ] Zur Resolution zu diesem Punkt siehe Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais. S. 261. Die beiden Kongresse unterschieden sich damit in der Frage des Generalstreiks vom Kongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats

1263

314. Eleanor Marx-Aveling an Engels · 14./15. Oktober 1890

in Bordeaux 1888 (Blum: Les congre`s ouvriers ... T. 2. S. 125/ 126). 314.30–31

Paul Lafargue hatte Eleanor Marx-Aveling für den Vorsitz vorgeschlagen und bezeichnete ihren Auftritt als großen Erfolg, siehe Paul Lafargue an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 317.60– 64) und Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais. S. 263. Siehe auch Congre`s National de Lille. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 39, 19. Oktober 1890. S. 1, Sp. 4; Le Congre`s Socialiste en France. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 742, 14. Oktober 1890. S. 2, Sp. 6.

314.112

some one from Copenhagen ] Anton Mundberg.

314.112–113 from Switzerland ] Emil Beck, Heinrich Scherrer und Eugen Wullschleger. 314.113

the Frenchies ] Joseph Ferroul und Jules Guesde. Siehe Erl. 289.22–23.

314.114–116 the opposition bis alone ] Zur Opposition auf dem Parteitag siehe auch Erl. 310.14–15 und 312.5. 314.118–119 Zu Richard Fischers Resolution zur parlamentarischen Tätigkeit der Reichstagsfraktion siehe Protokoll Halle 1890. S. 90; zum Abstimmungsergebnis ebenda. S. 108. 314.120–121 Zum Auftreten Wilhelm Werners siehe ebenda. S. 69–73. 314.122

Vollmar

bis

Werner ] Ebenda. S. 131–135.

314.125–126 Guesde & Ferroul spoke admirably ] Ebenda. S. 109–111. 314.128–129 Zur Vorkonferenz für die Vorbereitung des internationalen Arbeiterkongresses 1891 siehe Erl. 272.30–34. 314.131

you both ] Helena Demuth und Friedrich Engels.

314.136–140 Good luck to the Social-Democrats at Halle. In: Justice. London. Nr. 352, 11. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1/2; Zum Parteikongreß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 241, 16. Oktober 1890. S. 2, Sp. 2. Rubrik: Politische Übersicht. 314.147–148 Die gesonderte Zusammenkunft war in einer Pressemitteilung des „General-Anzeigers“ als „geheime Berathung“ dargestellt worden, was Paul Singer als „verleumderische Lüge“ bezeichnete. Der Chefredakteur des Blattes protestierte bei Singer und forderte eine Richtigstellung, die dieser mit Berufung auf den Wortlaut der Notiz verweigerte. (Protokoll Halle 1890. S. 182 und 241/242.) 314.151

1264

Liverpoolers ] Vermutlich sind damit die Delegierten des Kon-

314. Eleanor Marx-Aveling an Engels · 14./15. Oktober 1890

gresses des Trades Union Congress in Liverpool vom 1. bis 6. September 1890 gemeint, siehe Erl. 263.25. 314.152–153 a strong sprinkling of philistines ] Siehe auch Eleanor MarxAveling an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 319.5–6) und Engels’ Meinung zu dieser Beobachtung in seinem Brief an Laura Lafargue vom 19. Oktober 1890 (Br. 324.49–54). 314.155

about the Kautskys ] Karl und Louise Kautsky waren im Oktober 1889 geschieden worden, im Dezember 1890 wurde die Scheidung rechtskräftig, siehe Victor Adler an Engels, 21. Januar 1890 (Br. 94.66–68 und Erl.).

314.168

Schack ] Gertrud Guillaume-Schack.

314.169–170 As to Schack bis come ] Gertrud Guillaume-Schack war laut einem Zeitungsbericht auf einer öffentlichen Frauenversammlung am 17. Oktober anwesend, ebenso Eleanor Marx-Aveling (Oeffentliche Frauenversammlung. In: Saale-Zeitung. Halle/Saale. Jg. 24. Nr. 244, 18. Oktober 1890. 3. Beil. [S. 2], Sp. 2/3).

1265

315 Hermann Engels an Friedrich Engels in London München Gladbach, Mittwoch, 15. Oktober 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/20. Fotosign. 536a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Hermann Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Viertel, die vierte ist leer. Hermann Engels beantwortet Engels’ Brief vom 22. September 1890 (Br. 287). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 315.1

M.Gladbach ] Bis 1960 München Gladbach, heute Mönchengladbach; Stadt in Nordrhein-Westfalen.

315.4

mit Emma ] Emma Engels.

315.13

Weinhändler ] William B. Brett.

1266

316 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Halle, Mittwoch, 15. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1834/L III 288. Fotosign. 7694. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 217 × 282 mm. Fischer hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck des Sozialdemokratischen Parteitages (siehe S. 1258). Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 316.4–5

Tussy bis ankam ] Siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.78). Sie wurde mit Jules Guesde und Joseph Ferroul am Nachmittag des 14. Oktober auf dem Parteitag begrüßt (Protokoll Halle 1890. S. 109).

316.6–7

Germany: Profiting by their reacquired liberty. In: The Times. London. Nr. 33 141, 13. Oktober 1890. S. 5, Sp. 4; The German socialists. Ebenda. Nr. 33 142, 14. Oktober 1890. S. 3, Sp. 3; German and French socialists. Ebenda. Nr. 33 143, 15. Oktober 1890. S. 5, Sp. 3; German and French socialists. Ebenda. Nr. 33 144, 16. Oktober 1890. S. 3, Sp. 3; The Socialist congress at Halle. Ebenda. Nr. 33 146, 18. Oktober 1890. S. 5, Sp. 4; The Socialist congress at Halle. Ebenda. Nr. 33 147, 20. Oktober 1890. S. 5, Sp. 6, bis S. 6, Sp. 1.

316.7–8

Von einer Opposition ist absolut keine Rede ] Zu ähnlichen Einschätzungen siehe Richard Fischer an Engels, 13. Oktober 1890 (Br. 310.14–25) sowie Erl. 310.14–15.

316.9

Werner ] Wilhelm Werner.

316.11

Grillo ] Karl Grillenberger. Siehe Protokoll Halle 1890. S. 54–56.

316.12–13

er will bis wollen ] Den Beitrag von Wilhelm Werner siehe ebenda. S. 69/70.

316.19–22

Zu Conrad Schmidts Überlegungen siehe seinen Brief an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.42–58).

316.20

der Tribüne ] „Berliner Volks-Tribüne“.

1267

316. Richard Fischer an Engels · 15. Oktober 1890

316.25

1268

Müller oder Kampfm. ] Hans Müller und Paul Kampffmeyer gehörten für wenige Wochen der Redaktion der Magdeburger „Volksstimme“ an, einem Zentrum der „Jungen“. Siehe Erl. 242.58 und 250.20. Zu Kampffmeyer siehe auch Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 41–46.

317 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 16. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/10. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 308 × 197 mm. Wasserzeichen: „Forest a` Chambe´ry“. Paul Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung auf der ersten Seite: „174“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 427/ 429.

ERLÄUTERUNGEN 317.3–4

[Edward Aveling:] Socialist congresses on the continent. In: The Daily Chronicle and Clerkenwell News. London. Nr. 8919, 14. Oktober 1890. S. 5, Sp. 1/2. Zum Kongreß des Parti ouvrier in Lille siehe Erl. 288.17.

317.6

Congre`s International ] Zum Internationalen Arbeiter-Kongreß in der Salle Pe´trelle im Juli 1889 siehe Erl. 1.6.

317.6

Congre`s de Marseille ] In Marseille fand im Oktober 1879 der 3. Arbeiterkongreß statt, auf dem die Fe´de´ration du parti des travailleurs socialistes de France gegründet wurde. (Willard: Les guesdistes. S. 15/16; Blum: Les congre`s ouvriers ... T. 1. S. 31– 54).

317.9–52

Dieser Teil des Briefes ist weitgehend in einen Artikel eingegangen: Paul Lafargue: Die Kongresse von Lille und Calais. S. 259/260.

317.23–27

Zum Einfluß der Sozialisten auf kommunaler Ebene siehe Erl. 5.9–11.

317.53–55

Gemeint ist der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle (siehe Erl. 310.4). Zur Berichterstattung darüber in der französischen Presse siehe: Le congre`s socialiste de Halle. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 742; 14. Oktober 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 10 743, 15. Oktober 1890. S. 2, Sp. 1/2; Nr. 10 744, 16. Oktober 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 10 745, 17. Oktober 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 10 746, 18. Oktober 1890. S. 2, Sp. 1/2; Nr. 10 747, 19. Oktober 1890. S. 1, Sp. 4–6; Nr. 10 748, 20. Oktober 1890. S. 2,

1269

317. Paul Lafargue an Engels · 16. Oktober 1890

Sp. 5; Les socialistes en Allemagne et en France. In: L’Illustration. Paris. Nr. 2487, 25. Oktober 1890. S. 349, Sp. 1–3; Le Congre`s socialiste. In: Le Figaro. Paris. Nr. 286, 13. Oktober 1890. S. 2, Sp. 6, bis S. 3, Sp. 1; Nr. 287, 14. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3; Le congre`s de Halle. Ebenda. Nr. 288, 15. Oktober 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1; Le Congre`s socialiste. Ebenda. Nr. 289, 16. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3; Nr. 290, 17. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3; Nr. 291, 18. Oktober 1890. S. 2, Sp. 2; Nr. 292, 19. Oktober 1890. S. 2, Sp. 5; Les socialistes allemands. Ebenda. Nr. 293, 20. Oktober 1890. S. 2, Sp. 4/5. 317.55

une interview de Bebel ] S.: Les socialistes allemands. Interview avec M. Bebel. In: Gil Blas. Paris. Nr. 3986, 17. Oktober 1890. S. 2, Sp. 4–6. Engels schickte Bebel das Interview in einem nicht überlieferten Brief, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Oktober 1890, siehe August Bebel an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 328.3–5).

317.60–62

Tussy bis pre´sidente ] Siehe auch Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.26–31).

1270

318 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 16. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3389/L V 357–44. Fotosign. 8637. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 228 × 178 mm. Leßner hat die erste und vierte Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels’ vermutliche Antwort an Leßner, geschrieben zwischen dem 16. und 18. Oktober 1890 (siehe Leßner an Engels, 18. Oktober 1890, Br. 322.3), ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1271

319 Eleanor Marx-Aveling an Friedrich Engels in London Halle, Donnerstag, 16. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3804/L V 590. Fotosign. 8232a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 450 × 286 mm. Eleanor Marx-Aveling hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Drittel, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck des Hotels (siehe S. 1263). Von Engels’ Hand: auf der dritten Seite eine Mitteilung vom 20. Oktober 1890, wahrscheinlich für Eduard Bernstein (siehe Br. 325), an den er den Brief vermutlich weiterleitete. Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: Gemkow: Zwei Briefe Eleanor Marx-Avelings an Friedrich Engels ... (1965). S. 1203–1205; in der Sprache des Originals: Unpublished letter of Eleanor Marx to Frederick Engels ... (1966). S. 383/384.

ERLÄUTERUNGEN 319.3

the Congress ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle siehe Erl. 310.4.

319.5–6

a very strong current of philistinism ] Siehe auch Eleanor MarxAveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.152–153 und Erl.).

319.8–9

opposition bis done ] Zur Opposition und ihrem Hauptsprecher Wilhelm Werner siehe Erl. 240.29, zu ihrer Position auf dem Parteitag siehe auch Erl. 310.14–15.

319.19

two Commissions ] Die Fünfundzwanziger-Kommission befaßte sich mit dem Organisationsstatut, die Neuner-Kommission mit den Vorwürfen von und gegen Werner, siehe Protokoll Halle 1890. S. 242–248 und 276–295; die Mitglieder beider Kommissionen ebenda. S. 10.

319.21

Bamberger (Ede’s brother-in-law) ] Siehe Erl. 310.47.

319.24–28

Wilhelm Liebknecht erstattete Bericht zum Programm der Partei, siehe Protokoll Halle 1890. S. 157–181; er brachte einen Resolutionsvorschlag ein, in dem es hieß: „Der Parteivorstand wird beauftragt, dem nächsten Parteitag einen Entwurf eines

1272

319. Eleanor Marx-Aveling an Engels · 16. Oktober 1890

revidirten Parteiprogramms vorzulegen und den Entwurf mindestens 3 Monate vor Zusammentritt des nächsten Parteitages zu veröffentlichen, damit die Partei hinreichende Zeit zur Prüfung habe.“ (Ebenda. S. 181.) 319.28

the International Conference ] Gemeint ist die Vorkonferenz zur Beratung über den internationalen Arbeiterkongreß 1891, siehe Erl. 272.30–34.

319.32–33

the whole Fraktion ] Gemeint ist die 35-köpfige sozialdemokratische Fraktion im Deutschen Reichstag.

319.34

consider bis forth ] Zu den Planungen für den internationalen Arbeiterkongreß 1891 siehe Erl. 268.26–30 sowie Engels an Friedrich Adolph Sorge, 27. September und 4. Oktober 1890 (Br. 300.29–71, 305.14–16 und Erl.).

319.36–38

Albert Duc-Quercy war Mitglied des Parti ouvrier seit Gründung der Partei 1882 (Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 12. S. 90/91).

319.60

I would bis Edgar ] Edgar von Westphalen war am 30. Septem˙ ˙ gestorben (Gemkow: Edgar von Westphalen. S. 509). ber ˙1890

319.63

my Frenchmen ] Jules Guesde und Joseph Ferroul.

319.64–66

three big Paris papers bis German! ] Gemeint sind u. a. DucQuercy, der für die Zeitung „Le Temps“ arbeitete und vermutlich Lucien Ladour von „La Bataille“ (siehe Erl. 289.22–23). Wer die dritte Person war, ließ sich nicht ermitteln.

319.76–77

Siehe Protokoll Halle 1890. S. 207.

1273

320 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Samstag, 18. Oktober 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London-N. W. A X.Oc 18 ’90“ und „D 90 New York Oct 26 Paid P All“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die einen Stempel „N[W] 3“ trägt. Von unbekannter Hand: ein Vermerk mit Bleistift „336 Washington“ auf der Vorderseite. Engels beantwortet die Postkarte Sorges vom 23. September 1890 (Br. 292). Erstveröffentlichung: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 348; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 320.1

Kalender ] Zum „Pionier. Illustrirter Volks-Kalender für 1891“ siehe Erl. 187.10–18 sowie Sorge an Engels, 23. September und 4. Oktober 1890 (Br. 292.1 und 305.19).

320.3–5

Die Possibilisten bis Spaltung ] Zu den Auseinandersetzungen in ˙˙˙˙˙ ˙ ˙ des travailleurs socialistes de France und zur der Fe´de´˙ ˙ration Spaltung siehe Erl. 273.15–19 sowie Laura und Paul Lafargue an Engels, 28. September 1890 (Br. 301.17–18, 48 und Erl.).

320.8–9

[Henry Mayers Hyndman:] The split in France. In: Justice. London. Nr. 353, 18. Oktober 1890. S. 1, Sp. 3. Rubrik: Critical chronicle.

320.11–14

Unsre Kongresse bis whole. ] Zu den französischen Kongressen siehe Erl. 288.17, zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle siehe Erl. 310.4.

320.15

die internat. Verhandlung ] Zur Vorkonferenz für den internationalen Arbeiterkongreß 1891 siehe Erl. 272.30–34 und Eleanor Marx-Aveling an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 319.28–34).

1274

321 Isaac Salomon van der Hout an Friedrich Engels in London London, Samstag, 18. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2462/L IV 408–7. Fotosign. 14706. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem Papier im Format 112 × 180 mm. Van der Hout hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: ein mit schwarzer Tinte quer geschriebener Vermerk „vd Hout 18/10/90 10/–“ auf der zweiten Seite. Von unbekannter Hand: Numerierung: „41“ auf der ersten Seite. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 321.9

my wife ] Sara van der Hout.

1275

322 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Samstag, 18. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3390/L V 357–45. Fotosign. 8638. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 114 × 178. Leßner hat die erste Seite fast vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Leßner beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 16. und 18. Oktober 1890 (Friedrich Leßner an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 318) und Z. 3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 322.5

den charle ] Vermutlich Charles Leßner.

322.6

meine frau ] Maria Leßner.

1276

323 Wilhelm Liebknecht an Friedrich Engels in London Halle, Samstag, 18. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3584/L V 423–23. Fotosign. 3003a–b. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, liniertem Papier im Format 211 × 280 mm. Liebknecht hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck des sozialdemokratischen Parteitages (siehe S. 1258). Schreibmaterial: schwarze Tinte, die Nachschrift (Z. 9–11) mit Bleistift. Archivsignatur: „L Pg 21“. Von unbekannter Hand: Vermerk mit Tinte „No. 83 Parteitag – Halle “ auf der zweiten Seite. Die Beilage (Z. 4) ist nicht überliefert. Erstveröffentlichung: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 379. ERLÄUTERUNGEN 323.3

der Congreß ] Der Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle (siehe Erl. 310.4).

323.10–11

der „Völkerschlacht“ ] Die Völkerschlacht bei Leipzig vom 16. bis 18. Oktober 1813 war die entscheidende Schlacht der alliierten Heere (russische, preußische, schwedische und österreichische Truppenteile) gegen die französische Armee unter Napole´on Ier, die zur Kapitulation Frankreichs führte.

1277

324 Friedrich Engels an Laura Lafargue in Le Perreux London, Sonntag, 19. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5706. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 177 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Die Nachschrift (Z. 82–84) steht am linken Rand der ersten Seite quer geschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „7. I. 29“. Die Beilage (Z. 83–84) ist nicht überliefert. Engels antwortet auf den Brief Paul Lafargues vom 16. Oktober 1890 (Br. 317). Laura und Paul Lafargue antworteten am 26. Oktober 1890 (Br. 332). Erstveröffentlichung: in deutscher Übersetzung: [Engels:] Einige unveröffentlichte Briefe (1955). S. 1077–1079; in der Sprache des Originals: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 429–431. VARIANTENVERZEICHNIS 324.50

men, $to %

324.69

: de : ERLÄUTERUNGEN

324.3–6

Der Verleger Carl Geibel hatte Engels am 2. August 1890 um einen Brief von Ferdinand Lassalle an Ferdinand Freiligrath gebeten, der möglicherweise an Marx weitergeleitet worden war, siehe Br. 233.12–14.

324.11

Zu den Kongressen in Lille und Calais siehe Erl. 288.17, zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle siehe Erl. 310.4.

324.13

Doctor ] Vermutlich Dr. Read, der von Engels im Brief an Paul Lafargue am 2. November (Br. 337.5) genannte Arzt.

324.19

his intimate friend inside ] Siehe Laura und Paul Lafargue an Engels, 28. September 1890 (Br. 301.28–30 und Erl.)

324.23

the Possibilists ] Zu den Kongressen der Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France in Chaˆtellereault und in Paris im Oktober 1890 siehe Erl. 273.37–38, zu den Auseinandersetzungen innerhalb der Partei siehe Erl. 273.15–19.

1278

324. Engels an Laura Lafargue · 19. Oktober 1890

324.23–28

That nuisance bis pourriture ] Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 18. Oktober 1890 (Br. 320.3–11).

324.31–32

Zu Engels’ Kritik am Zusammenschluß von Lassalleanern und Eisenachern auf dem Kongreß von Gotha 1875 siehe seinen Brief an Paul Lafargue vom 3. Oktober 1889 (Br. 1.62–65 und Erl.) sowie Erl. 2.28–31.

324.36–37

Hyndman declares for Brousse ] Zu Hyndmans Artikel über „The split in France“ vom 18. Oktober 1890 siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 18. Oktober 1890 (Br. 320.8–9 und Erl.).

324.41–42

the Possibilists bis Congress ] Engels bezog sich möglicherweise ˙ ˙ ˙˙˙˙˙˙ auf die Konferenz in Troyes vom 23.–30. Dezember 1888 (siehe Erl. 29.26–27).

324.42

The date & place ] Es liegt kein Bericht über die Vorkonferenz zur Beratung über den internationalen Kongreß 1891 vor, die auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle (siehe Erl. 310.4) stattgefunden hatte. Zu Vorgeschichte, Durchführung und Beschlüssen der Vorkonferenz siehe Erl. 268.26–30, zu den Teilnehmern Erl. 272.30–34.

324.44

her return ticket ] Siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 319.58–59).

324.46

Fischer ] Richard Fischer.

324.49–51

Tussy writes bis upon her ] Siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.152–153 und Erl.).

324.49

the Lille Congress ] Zum Kongreß des Parti ouvrier am 11. und 12. Oktober 1890 siehe Erl. 288.17.

324.55–56

Möglicherweise meinte Engels damit auch Mitglieder der Opposition der „Jungen“ (siehe Erl. 240.29).

324.59–62

Zur Frage von Paul Lafargue nach einem Interview von Bebel im „Gil Blas“ siehe Lafargues Brief an Engels vom 16. Oktober (Br. 317.55–56 und Erl.) sowie Bebels Antwort an Engels vom 24. Oktober 1890 (Br. 328.3–5).

324.69–71

Zu den Ausführungen von Paul Lafargue siehe seinen Brief an Engels vom 16. Oktober (Br. 317.9–52 und Erl.). Zu Engels’ Versuch, die Informationen Paul Lafargues in der englischen Presse zu veröffentlichen siehe Labour Congresses Abroad. In: The People’s Press. London. Nr. 33, 18. Oktober 1890. S. 9, Sp. 1.

324.79

Only bis well spare. ] Siehe auch Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 (Br. 112.43–49 und Erl.).

1279

324. Engels an Laura Lafargue · 19. Oktober 1890

324.82–83

1280

Paul Lafargue: Karl Marx. Persönliche Erinnerungen. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 1. S. 10–17; Nr. 2. S. 37–42. Zum Bau der Papierschiffchen siehe S. 37.

325 Friedrich Engels an Eduard Bernstein in London London, Montag, 20. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1125/L V 590. Fotosign. 8232c. Der Brief ist auf der dritten Seite des Briefes von Eleanor Marx-Aveling an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 319) geschrieben. Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 1272. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➁ 37 (1965) S. 413; in der Sprache des Originals: Gemkow: Zwei Briefe Eleanor Marx-Avelings an Friedrich Engels ... (1965). S. 1205. ERLÄUTERUNGEN 325.1

Eleanor Marx-Aveling hatte vom 14.–18. Oktober am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle teilgenommen. Siehe Protokoll Halle 1890. S. 10 und Erl. 310.4 sowie ihre Berichte an Engels vom 14. und 15. bzw. 16. Oktober (Br. 314 und 319).

325.4

die Fraktion der Mehrzahl nach philiströs ] Siehe ähnlich Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.152–153) und Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.49–54).

325.6–7

Der Brief von Engels ist nicht überliefert.

325.7–8

Siehe auch Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.57–58).

325.11

ein Hamb. Blatt ] Engels meinte vermutlich die Berichterstattung in den sozialdemokratischen Zeitungen aus Hamburg. Siehe auch Eduard Bernstein an Engels, 3. September 1890 (Br. 263.35 und Erl.) sowie an Wilhelm Liebknecht, 7. Oktober 1890 (Br. 307.12–14).

325.12

Der Partei-Kongreß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 239, 14. Oktober 1890. Beil. S. 1, Sp. 1, bis S. 3, Sp. 1; Der Kongreß der deutschen Sozialdemokratie. Ebenda. Nr. 241, 16. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1–3.

1281

326 Conrad Schmidt an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 20. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5576/L VIII 217. Fotosign. 2220a–h. Der Brief besteht aus zwei Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 277 × 222 mm. Schmidt hat alle acht Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Vermerk mit schwarzer Tinte „Conr. Schmidt“ auf der ersten Seite oben links. Schmidt antwortet auf Engels’ Brief vom 5. August 1890 (Br. 237). Engels antwortete ihm am 27. Oktober 1890 (Br. 333). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма Ф. Энгельсу по вопросам исторического материализма (1982). S. 460–463; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 326.5

Kongresse ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle siehe Erl. 310.4.

326.14–15

Zur Notiz von Schmidt „Ein Skandal“ vom 23. August und Liebknechts Korrespondenz „Breve fra Tyskland“ vom 3. August 1890 siehe Eduard Bernstein an Engels, 30. August 1890 (Br. 259.30–36 und Erl.).

326.15–16

gegen den Willen bis hereingebracht ] Zur Diskussion über Liebknechts Behauptung siehe Protokoll Halle 1890. S. 57 und 67.

326.17

dementirte ich. ] Die Berichtigung Conrad Schmidts auf dem Parteitag siehe ebenda. S. 80.

326.17–19

Zur erneuten Behauptung Liebknechts siehe ebenda. S. 294.

326.28–29

Siehe Br. 237.42–82.

326.31–32

P[aul] E[rnst]: Zur Kunstgeschichte. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 39, 27. September 1890. Beibl. S. 2, Sp. 2, bis S. 3, Sp. 2; Nr. 40, 4. Oktober 1890. S. 4, Sp. 1–3.

326.38–39

Paul Ernst veröffentliche zwischen 1888 und 1890 eine Reihe literaturkritischer Artikel, z. B. „Tolstoi über das Leben“. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 35, 1. September 1889. Sonntagsbeil. S. 4,

1282

326. Conrad Schmidt an Engels · 20. Oktober 1890

Sp. 2/3; „Leo Tolstoi’s ,Kreutzersonate‘“. Ebenda. Nr. 16, 20. April 1890. S. 3, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 3; „Balzac I. II.“ Ebenda. Nr. 35, 31. August 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1; Nr. 36, 7. September 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 3, Sp.1. 326.42–44

Die „Berliner Volks-Tribüne“ erschien bis 1892. – Zur sozialdemokratischen Presse siehe auch Paul Singer an Engels, 13. Mai 1890 (Br. 171.33–44 und Erl.).

326.44–45

Ich möchte bis kündigen. ] Siehe Richard Fischer an Engels, 15. Oktober 1890 (Br. 316.19–22 und Erl.).

326.45

Der jüngere Braun ] Adolf Braun.

326.59

Zu Paul Barths Buch über die Geschichtsphilosophie Hegel’s und der Hegelianer von 1890 siehe Schmidt an Engels, 25. Juni und 27. Oktober 1890 (Br. 205.56–70 und Erl.; Br. 333.214–225 und Erl.).

326.62–63

Zur Besprechung von Moritz Wirth siehe Engels an Schmidt, 5. August 1890 (Br. 237.29–45 und Erl.).

326.78–79

Zu Bernsteins möglicher Mitarbeit am „Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik“ siehe Br. 237.13.

326.79

dem älteren Braun ] Heinrich Braun.

326.79–82

Ihr Urtheil bis gewesen ] Siehe Br. 237.46–61 und Erl. sowie Br. 333.268 und Erl.

326.82–85

Zu Schmidts Absicht, das Buch von Georg Friedrich Knapp über die Bauernbefreiung von 1887 zu besprechen siehe Engels an Schmidt, 17. Oktober 1889 (Br. 11.36–37 und Erl.) sowie Br. 237.9–12 und Erl.

326.86–87

Siehe Richard Fischer an Engels, 15. Oktober 1890 (Br. 316.19–22).

326.87–88

Geburtstag ] Engels wurde am 28. November 1820 geboren.

326.91–92

Vielleicht bis empfehlenswerth halten. ] Engels’ Antwort siehe Br. 333.3–4 und Erl.

1283

327 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Donnerstag, 23. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/11. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 261 × 208 mm. Paul Lafargue hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „175“ auf der ersten Seite. Lafargue antwortet auf den Brief von Engels an Laura Lafargue vom 19. Oktober 1890 (Br. 324). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 434/ 435. KORREKTURENVERZEICHNIS 327.32

abstenu ] H abtenu ERLÄUTERUNGEN

327.8

l’he´ritage e´lectoral de Joffrin et de Chabert ] Die beiden possibilistischen Abgeordneten waren im Mai bzw. im Juni 1890 gestorben. Zu den Folgen siehe Erl. 234.32–33 und 273.15–19.

327.12

Pauvre Helene ] Siehe Br. 324.12–18.

327.20

Bebel donne un de´menti au Gil-Blas ] Zu einem angeblichen Interview von August Bebel für die Zeitung „Gil-Blas“ siehe Erl. 317.55 und Br. 324.59–62, zur Reaktion von Bebel siehe August Bebel an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 328.3–5 und Erl.).

327.23

le congre`s de Halle ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 siehe Erl. 310.4.

327.25–27

Versammlungen dieser Art ließen sich nicht ermitteln.

327.31

Zum vierten Nationalkongreß der Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France vom 13. bis 18. Oktober 1890 in Calais und zur Dominanz des Parti ouvrier über den Gewerkschaftsbund siehe Erl. 288.17. Siehe auch Erl. 266.14–22 sowie die Berichterstattung in der Pariser Zeitung „Le Temps“ über „Les Congre`s socialistes en France“ bzw. über den „Congre`s ouvrier de Calais“ zwischen dem 15. und 21. Oktober 1890.

1284

327. Paul Lafargue an Engels · 23. Oktober 1890

327.36–39

Je suis tre`s peu heureux bis dans deux mois ] Siehe Br. 324.19–21 und Erl.

327.44

Me´me´ ] Jenny Longuet.

1285

328 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 24. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 254/L I 107. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 286 × 219 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „Berlin. W., Groß-Görschenstraße 22a den ...“. Bebel hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Numerierung auf der ersten Seite oben links: „82“ (gestempelt). Bebel antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Oktober 1890 (siehe Z. 3 und Br. 324.59–62). Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 400–402.

ERLÄUTERUNGEN 328.3–4

Der „Gil Blas“ bis erfunden ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 16. Oktober 1890 Br. 317.55–56 und Erl., Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.59–62) und Paul Lafargue an Engels, 23. Oktober 1890 (Br. 327.20).

328.7

Chefredakteur ] Rene´ d’Hubert.

328.7–9

Zu Bebels Dementi siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 26. Oktober 1890 (Br. 332.4–12), sowie Paul Lafargue: Le Gil Blas interviewer. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 6, 26. Oktober 1890. S. 1, Sp. 3/4 und in: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 41, 2. November 1890. S. 3, Sp. 4. Siehe auch Le Gil Blas publia ... Ebenda. Nr. 41, 2. November 1890. S. 2, Sp. 4; die Notiz enthält das veröffentlichte Dementi Bebels.

328.10

dem Verlauf in Halle ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 siehe Erl. 310.4.

328.12–13

Die Opposition bis was sie wollte ] Zur Opposition auf dem Parteitag siehe Richard Fischer an Engels, 13. Oktober 1890 (Br. 310.14–25) sowie Erl. 310.14–15. – Auch danach gab es oppositionelle Stimmen, die auf dem Parteitag in Erfurt 1891 zu erneuten Diskussionen führte sowie zu Austritten und Ausschlüssen aus der Partei. (Siehe Müller: Idealismus und Revolution. S. 108/109; Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 23–29.)

328.15

Fall des Socialistengesetzes ] Siehe Erl. 124.26–27 und Erl. 9.64.

1286

328. August Bebel an Engels · 24. Oktober 1890

328.20

Bebel besuchte Engels zu dessen 70. Geburtstag am 28. November 1890.

328.22

Richard Fischer war in den Parteivorstand gewählt worden.

328.27

Die als Eisenacher bezeichneten Sozialdemokraten hatten sich den Namen „Sozialdemokratische Arbeiterpartei“ gegeben, die Lassalleaner waren im „Allgemeinen Deutschen Arbeiterverein“ zusammengeschlossen, und die 1875 vereinigte Partei beider Organisationen hatte sich „Sozialistische Arbeiterpartei Deutschlands“ genannt. Auf dem Parteitag in Halle im Oktober 1890 nahm die Partei den Namen „Sozialdemokratische Partei Deutschlands“ an.

328.38

Herr Werner ] Wilhelm Werner.

328.41–44

Siehe Bebel an Engels, 7. März 1890 (Br. 110.58–59 und Erl.).

1287

329 Ludwik Krzywicki an Friedrich Engels in London Warschau, Freitag, 24. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2819/L V 266. Fotosign. 2989a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 203 × 155 mm. Krzywicki hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von Engels’ Hand: ein Entwurf des Antwortbriefes, auf der dritten Seite oben (siehe Br. 330). Erstveröffentlichung: in polnischer Übersetzung: Holland: „Wielka emigracja“ Ludwika Krzywickiego (1956). S. 56; in der Sprache des Originals: K. Marks, F. Engels: Listy o „Kapitale“ (1957). Faksimile zwischen S. 306/307. ERLÄUTERUNGEN 329.3–4

Karol Marks: Kapitał. Krytyka ekonomii politycznej. Tom pierwszy. Ksie˛ga I. Wytwarzanie kapitału. Lipsk 1884–1889 [vielm. 1890]. Die Ausgabe erschien im Verlag von Erazm Łukasz Kasprowicz in drei Lieferungen, die letzte Ende 1890. (Siehe Prizˇiznennye izdanija i publikacii proizvedenij K. Marksa i F. E˙nˇ . 2. S. 54; Feyl: Der polnische Verleger Kasprowicz in gel’sa. C Leipzig. S. 534/535.) Die polnische Ausgabe war eine gekürzte Ausgabe (siehe Uroyeva: For all time and all men. S. 203).

329.4

Die 1884 erschienene erste Lieferung der polnischen „Kapital“-Ausgabe war nach der französischen Ausgabe übersetzt worden, die zweite Lieferung erschien 1886, die dritte 1890 (Titelblatt: 1889). Die zwei letzten Lieferungen waren unter Berücksichtigung der 3. deutschen Auflage übersetzt worden. Um den Druck in Deutschland zu ermöglichen, wandte Krzywicki sich an Engels, und bat um die Übersetzungsrechte (siehe Krzywicki an Engels, 23. Januar 1884, IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 2818). Engels erteilte die Erlaubnis (siehe Engels an Krzywicki, 28. Januar 1884, ebenda, Sign. L K 805), aber auf Grund finanzieller und politischer Hindernisse verzögerte sich der Abschluß bis 1890 (Hryniewicz: Bibliophile MarxAusgaben ... S. 26; Radlak: Die Popularisierung des „Kapitals“. ... S. 79/80).

329.6

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Zu Engels’ Arbeit am dritten Band siehe auch Erl. 8.16 sowie

1288

329. Ludwik Krzywicki an Engels · 24. Oktober 1890

Karl Marx, Friedrich Engels: Manuskripte und redaktionelle Texte zum dritten Buch des „Kapitals“ 1871 bis 1895 (MEGA➁ II/14). 329.7–8

1890 wurde die Übersetzung des zweiten Bandes ins Polnische begonnen, jedoch wurden die Manuskripte von der Polizei beschlagnahmt; ein zweiter Versuch 1894/1895 scheiterte aus dem gleichen Grund (Radlak: Die Popularisierung des „Kapitals“ ... S. 80).

1289

330 Friedrich Engels an Ludwik Krzywicki in Warschau London, nach Freitag, 24. Oktober 1890 (Entwurf)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2819/L V 266. Fotosign. 2989c. Der Entwurf befindet sich auf der dritten Seite des Briefes von Ludwik Krzywicki an Engels vom 24. Oktober 1890 (Br. 329). Zur Zeugenbeschreibung siehe S. 1288. Die Datierung ergibt sich aus dem Zusammenhang des Entwurfs mit dem Brief von Krzywicki vom 24. Oktober 1890 (Br. 329), auf den Engels seine Notiz schrieb. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Уроева: Из истории первого польского издания „Капитала“ Маркса (1955). S. 114; in der Sprache des Originals: dieselbe: Книга, живущая в веках (1967). S. 200. VARIANTENVERZEICHNIS 330.1

einerseits $eine ñ ERLÄUTERUNGEN

330.1–2

Zur polnischen Ausgabe des ersten Bandes von Marx’ „Kapital“ siehe Erl. 329.3–4 und 329.4.

330.2–3

Auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle (siehe Erl. 310.4) waren zwei Anträge aus Bromberg und Breslau, eine polnischsprachige Zeitung herauszugeben, dem Parteivorstand zur Berücksichtigung überwiesen worden (Protokoll Halle 1890. S. 301).

1290

331 Friedrich Engels an Wilhelm Liebknecht in Berlin London, Samstag, 25. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1055/K 457. Die Postkarte hat das Format 89 × 134 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „London N. W. X Oc 25 90“ und eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die die Stempel „NW 3“ und „Bestellt vom Postamte 2 27/10.90 7–9 V“ trägt. Von unbekannter Hand: ein Vermerk mit Bleistift auf der Vorderseite „25.X 90“; Numerierung auf der Rückseite oben rechts: „108“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 254; in der Sprache des Originals: Liebknecht: Bw mit M/E (1963). S. 379/380; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 331.1–3

A[dolphe] S[mith] Headingley: French and German possibilists. In: Justice. London. Nr. 354, 25. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3/4.

331.8–11

Engels meint damit die Section fe´de´raliste franc¸aise de 1871, die von Flüchtlingen nach der Niederschlagung der Pariser Commune in London gegründet wurde. Bereits Ende 1865 war eine Branche franc¸aise de Londre de L’A.I.T. (French Branch) gegründet worden, die 1870 von der Internationalen Arbeiterassoziation (IAA) ausgeschlossen worden war. Beide Gruppierungen wandten sich gegen den Generalrat der IAA. Dieser beschäftigte sich auf mehreren Sitzungen mit der französischen Sektion und ihren Aktivitäten (The General Council of the First International 1870–1871. Minutes. Bd. 4. S. 207; The General Council of the First International 1871–1872. Minutes. Bd. 5. S. 138, 147, 202/203 und 375–381). Pierre Ve´sinier veröffentlichte zwischen August und September 1872 die ersten sechs Nummern der Zeitung „La Fe´de´ration. Journal re´volutionnaire socialiste, franc¸ais-anglais“ im Auftrag der Sektion. Zu diesen Auseinandersetzungen siehe auch MEGA➁ I/20. Erl. 373.3 und MEGA➁ I/21. Erl. 779.2–5.

331.12

der S. D. F. ] Siehe Erl. 10.19.

1291

331. Engels an Wilhelm Liebknecht · 25. Oktober 1890

331.12–14

Zur Rolle von Adolphe Smith Headingley als Vermittler zwischen den verschiedenen possibilistischen Organisationen siehe Bürgi: Anfänge der II. Internationale. S. 123, Anm. 135, und S. 611/612. Mit „Bergarbeiter-Internat. Kongresse“ meint Engels vermutlich den Gründungskongreß der „Internationalen Föderation der Bergarbeiter“ in Joliment im Mai 1890, ebenda.

331.15–17

Engels bezieht sich auf den einstimmig angenommenen Antrag Bebels auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle zur Einberufung eines internationalen Arbeiterkongresses 1891 in Belgien. Er lautete: „Der Parteitag wolle beschließen, der Einladung des Generalraths der belgischen Arbeiterpartei, den nächstjährigen internationalen Arbeiterkongreß in Brüssel abzuhalten, Folge zu leisten ...“. (Protokoll Halle 1890. S. 266 und 275; zum internationalen Kongreß 1891 siehe auch Erl. 268.26–30.) Smith Headingley hatte geschrieben, „... the German Social Democrats have resolved to attend the congress decided upon by the possibilists ...“ (French and German possibilists. In: Justice. London. Nr. 354, 25. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3/4).

1292

332 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Sonntag, 26. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/12. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 267 × 209 mm. Paul Lafargue hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, auf der dritten Seite stehen die letzten vier Zeilen seines Briefes. Laura Lafargue hat den Rest der dritten Seite beschrieben, auf der vierten Seite befindet sich nur eine Zeile, Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „8 K 7“. Lafargues antworten auf Engels’ Brief vom 19. Oktober 1890 (Br. 324) und vermutlich auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 19. und 26. Oktober 1890 (Z. 26–27). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 435/ 436. KORREKTURENVERZEICHNIS 332.3 332.15 332.16

envoye´e ] H envoye de´concerte´s ] H deconcerte´ envoyaˆt ] H envoya ERLÄUTERUNGEN

332.3

J’ai rec¸u de Bebel bis Gil Blas ] Siehe August Bebel an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 328.3–5).

332.6–7

Le Gil Blas

332.12–13

je la ferai publier dans le Socialiste ] Zur Veröffentlichung in „Le Socialiste“ und in „La De´fense des travailleurs“ siehe Erl. 328.7–9.

332.32

Madame Tanty, the mother of Gingerbread ] Vermutlich Haustiere (Katzen) Laura Lafargues.

332.36

Eleanor Marx-Aveling war auf dem Internationalen ArbeiterKongreß in Paris 1889 (siehe Erl. 1.6) anwesend.

332.39

this Gil Blas business ] Siehe Paul Lafargue an Engels, 16. Oktober 1890 (Br. 317.55–56 und Erl.).

bis

«Interview avec Mr Bebel» ] Siehe Erl. 317.55.

1293

333 Friedrich Engels an Conrad Schmidt in Berlin London, Montag, 27. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1467/K 559. Fotosign. 1828–1837. Der Brief besteht aus drei Bogen festem, weißem Papier im Format 230 × 178 mm. Engels hat die ersten neun Seiten vollständig beschrieben, die zehnte zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Die fünfte und neunte Seite hat Engels paginiert. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der ersten Seite oben Vermerk mit Bleistift „S ...“; Anstreichung mit Bleistift am linken Rand der ersten Seite (Z. 10–12); eine Passage (Z. 226–228) ist mit Bleistift eingeklammert. Engels antwortet auf den Brief Conrad Schmidts vom 20. Oktober 1890 (Br. 326). Die Antwort Schmidts erfolgte am 5. März 1891 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. L 5577). Erstveröffentlichung: gekürzt: Friedrich Engels über die materialistische Geschichtsauffassung ([Oktober] 1895); vollständig: Engels: Briefe an Conrad Schmidt (1920). S. 871–876.

VARIANTENVERZEICHNIS 333.14–15

: verkehrt, :

333.28

: direkte :

333.32

: auf gesellschaftlichen Maßstab :

333.68 333.78

Bahninteressen > Bahn & ihren Interessen ˙ ˙ ˙ ˙˙ ˙ ˙ geantwortet $über ñ

333.88

oder > d.h.

333.92

strebenden $politischen, ñ

333.117

Lokalentwicklung > Lokal- & Nationalentwicklung

333.119

: politisch & :

333.129

oft > mehr & mehr

333.135

: täglich :

333.136–137 ihn > den Code Napole´on 333.158

1294

: nur :

Engels an Conrad Schmidt, 27. Oktober 1890 Erste Seite der Handschrift

333. Engels an Conrad Schmidt · 27. Oktober 1890

333.180–181 : rückwirkenden : 333.191

diese > die

333.200

: auch :

333.201

auch $Aus ñ

333.206

wieder $als politische ñ

333.218

Ereignisse$, manch ñ

333.264

rein $zwangsläufig ñ

ERLÄUTERUNGEN 333.3–4

Zum Züricher Posten siehe Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.42–58). Schmidt hielt sich seit Ende Dezember 1890 in Zürich auf und arbeitete dort bis Mitte Juni 1891 als Journalist (Kampffmeyer: Die Lebensarbeit Conrad Schmidts. S. 901; Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 49–52).

333.19–20

Das habe ich bis in Manchester gesehn ] Zu Engels’ Aufenthalt in Manchester siehe Erl. 16.41–42.

333.42–43

Adolf Soetbeer: Edelmetall-Produktion und Wertverhältnis zwischen Gold und Silber seit der Entdeckung Amerikas bis zur Gegenwart, Gotha 1879. – Engels besaß ein Exemplar dieser Schrift (MEGA➁ IV/32. Nr. 1254) und hatte in einem Heft von November 1879 (IISG, Marx-Engels-Nachlass, Sign. J 34) daraus Exzerpte angefertigt.

333.134

Code Napole´on ] Siehe Erl. 149.13.

333.188–189 Klassenkompromisses von 1688 ] Infolge der als „Glorious Revolution“ bezeichneten Auseinandersetzung zwischen Krone und Parlament von 1688 verlagerte sich die Souveränität auf das Parlament, und die Macht des Monarchen wurde beschränkt. Dies wurde möglich aufgrund eines Bündnisses der beiden Parteien, der Tories, die vornehmlich die landsässige „gentry“ repräsentierten, und der Whigs, deren Anhänger sich vorwiegend aus den städtischen Führungsschichten rekrutierten, gegen den regierenden König. Die daraus entstandene englische konstitutionelle Monarchie beruhte auf der Akzeptanz der „Declaration of Rights“ – im Oktober 1689 als Bill of Rights zum Gesetz erhoben – durch den neuen König Willem von Oranje, Erbstatthalter der Niederlande. Siehe auch Wende: Großbritannien 1500–2000. S. 126–136.

1297

333. Engels an Conrad Schmidt · 27. Oktober 1890

333.212–213 Zu Engels’ Arbeit über Ludwig Feuerbach von 1888 (MEGA➁ I/30. S. 122–162, hier S. 158.36–161.21) siehe Erl. 122.9–10. 333.214–216 Wenn also bis Bewegung selbst ] Paul Barth: Die Geschichtsphilosophie Hegel’s und der Hegelianer ... 1890. 333.217

Marx: Der Achtzehnte Brumaire ... 1885.

333.220–222 Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1883. 8. Kapitel. Der Arbeitstag. S. 212–299 (MEGA➁ II/8. S. 237–303); 24. Kapitel. Die sog. ursprüngliche Akkumulation. S. 737–792 (MEGA➁ II/8. S. 667–713). 333.226

Engels las die Arbeit Barths später. Zu seiner Einschätzung siehe Engels an Schmidt, 1. Juli 1891 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1468); siehe auch Schmidt an Engels, 25. Juni 1890 (Br. 205.56–70 und Erl.), Engels an Schmidt, 5. August 1890 (Br. 237.29–45) und Schmidt an Engels, 20. Oktober 1890 (Br. 326.59–77).

333.226

Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe auch Erl. 8.16.

333.237–239 Engels meint hier einen Artikel von Paul Ernst in der „Volksstimme“, Magdeburg, vom 16. September 1890 (die Nummer konnte nicht ermittelt werden). Er interpretierte den Artikel als Versuch, ihn mit den Einschätzungen der innerparteilichen Opposition zu identifizieren. Dies nahm er als Anlaß für eine öffentliche Auseinandersetzung. Siehe Friedrich Engels: Antwort an Herrn Paul Ernst. In: Berliner Volksblatt. Nr. 232, 5. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 2 (MEGA➁ I/31. S. 280–285 und 1074/1075). Für diesen Artikel verwandte er Passagen aus seinem Brief an Paul Ernst vom 5. Juni 1890, der als Entwurf überliefert ist (Br. 188.18–89). Zur innerparteilichen Opposition der „Jungen“ siehe Erl. 240.29; siehe auch Pierson: Marxist intellectuals and the working-class mentality ... S. 30/31 und 52–56. 333.258

Wenn die Volkstrib. bis leid thun ] Zur Zukunft der „Berliner Volks-Tribüne“ siehe Br. 326.42–44 und Erl.

333.268

Der Abdruck bis geschadet ] Siehe Br. 237.46–61 und Erl. sowie Br. 326.79–82.

333.274

Glückwünsche ] Siehe Br. 326.87–90 und Erl.

1298

334 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Montag, 27. Oktober 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4939. Fotosign. 537a–b. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Prägung: „HE“ (Monogramm). Hermann Engels hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Von Engels’ Hand: Vermerk „Hermann 27/10/90“ auf der vierten Seite quer geschrieben. Hermann Engels beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 15. und 27. Oktober 1890 (Z. 3). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 334.6–13

Zur Sherrybestellung siehe den Briefwechsel vom 20. und 22. September sowie vom 15. Oktober 1890 (Br. 282.11–19, 287 und 315.9–14).

334.31

Emma ] Emma Engels.

1299

335 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Dienstag, 28. Oktober 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/13. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 267 × 209 mm. Paul Lafargue hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „176“ auf der ersten Seite oben links, auf der vierten Seite Vermerke mit Bleistift quer geschrieben: „Lettres Lafargue a` Engels“ und „Classe´ non lu“. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 437.

KORREKTURENVERZEICHNIS 335.18 335.20

enthousiasme´s ] H enthousiasme´ laisse´e ] H laisse´

ERLÄUTERUNGEN 335.6–7

Ein Artikel von Lafargue in der „Nouvelle Revue“ vom November 1890 ließ sich nicht ermitteln.

335.10

Jules Guesde hatte in Halle auf eine Erklärung des Kongresses des Parti ouvrier in Lille vom 11. und 12. Oktober 1890 (siehe Erl. 288.17) hingewiesen. Dieser Kongreß hatte gegen die Verhaftung und Verurteilung polnischer und russischer Flüchtlinge durch die bürgerliche Regierung der Republik Frankreich protestiert wie auch gegen die Mißhandlung politischer Gefangener und das Stillschweigen der bürgerlichen Presse. (Huitie`me Congre`s national du Parti ouvrier ... 1890. S. 17; Protokoll Halle 1890. S. 110; siehe auch Le congre`s socialiste de Halle. In: Le Temps. Paris. Nr. 10 744, 16. Oktober 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1.)

335.11–13

Siehe [Charles] B[onnier]: Traıˆtres a` la patrie. In: La De´fense des travailleurs. St. Quentin. Nr. 40, 26. Oktober 1890. S. 2, Sp. 4. Auf der Versammlung der Pariser Agglome´ration vom 27. Oktober 1890 berichtete Joseph Ferroul laut einem Polizeibericht über den Parteitag in Halle. Er verwies dabei auf seinen Protestbrief in „Le Temps“; danach war ihm und Guesde vorge-

1300

335. Paul Lafargue an Engels · 28. Oktober 1890

worfen worden, auf dem Parteitag die französisch-russische Allianz heftig angegriffen zu haben. (Joseph Ferroul: Je n’ai pas vise´ l’alliance russe ... in: Le Temps. Paris. Nr. 10 754, 26. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3. Rubrik: Bulletin de l’e´tranger. Allemagne; siehe auch: Nos socialistes ont jure´ de supprimer l’ide´e de patrie ... In: Le Figaro. Paris. Nr. 291, 18. Oktober 1890. S. 2, Sp. 3/4; Archives de la pre´fecture de police, Dossier Agglome´ration parisienne 1888–1890, Sign. APP. Ba 1484). Die Neuorientierung der russischen Außenpolitik war etwa 1887 mit einer finanzpolitischen Hinwendung zu Frankreich eingeleitet worden, die ab 1891 verstärkt wurde (siehe Handbuch der Geschichte Russlands. S. 186–189). 335.11–12

La presse

335.16–17

Eine Rücktrittsforderung konnte nicht ermittelt werden; Joseph Ferroul behielt seinen Sitz in der Kammer (Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier franc¸ais. T. 12. S. 186–189). Anschuldigungen gegen ihn in der Presse wies er in einem Brief in „Le Temps“ (siehe Erl. 335.11–13) zurück.

335.18

de Halle ] Zum Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle vom 12.–18. Oktober 1890 siehe Erl. 310.4.

335.18–19

le congre`s de Lille ] Kongreß des Parti ouvrier in Lille vom 11. und 12. Oktober 1890, siehe Erl. 288.17.

335.23

les Werner et Co ] Zum Auftreten der Opposition um Wilhelm Werner auf dem Parteitag siehe Richard Fischer an Engels, 13. Oktober 1890 (Br. 310.14–25 sowie Erl. 310.14–15).

335.23–24

Zur Einschätzung Georg von Vollmars siehe auch Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober sowie 16. Oktober 1890 (Br. 314.122 und Erl. sowie Br. 319.8–13).

bis

vendue a` la Russie ] Siehe Erl. 120.48–50.

1301

336 Georg Lesemann an Friedrich Engels in London Herford, Freitag, 31. Oktober 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3337/L V 354–4. Fotosign. 8157a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 286 × 222 mm. Lesemann hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite den Aufdruck: „Georg Lesemann aus Bremen begründet 1864 Cigarrenfabriken auf den Dörfern um und in Herford. Versandtort: Herford Telegramm-Adresse: ,Lesemann.‘ Herford/Westfalen, den ...“. Der überlieferte Teil des Briefumschlages enthält neben der Anschrift den Aufdruck: „Bremer Cigarrenfabriken von Georg Lesemann, Herford, Westfalen“ und den Poststempel „Herford. I / II 90 12 IN b“ sowie eine 10-PfennigBriefmarke. Von unbekannter Hand: Unterstreichung mit Bleistift „August Görz Celle“ (Z. 5); Numerierung: „125a“ auf der ersten Seite oben rechts. Archivsignatur: „II 21 K“. Der Brief wurde zuerst nach Barmen an die Firma „Ermen & Engels“ gesandt und von Hermann Engels am 2. November nach London weitergeschickt (siehe Br. 338.3–5). Engels beantwortete ihn in einem nicht überlieferten Brief am 25. November 1890 (siehe Georg Lesemann an Engels, 12. Dezember 1890, IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. L 3338.) Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 336.3–4

1302

Artikel aus Ihrer Feder ] Zu Engels’ Artikel „Man erlaube auch mir ...“ vom 27. September 1890 siehe Erl. 259.85. Er war, gekürzt um die ersten beiden Abschnitte, in der Bielefelder Zeitung abgedruckt worden unter der Überschrift: Friedrich Engels schreibt in der letzten Nummer des „Sozialdemokrat“ ... In: Volkswacht. Bielefeld. Nr. 84, 6. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1–3.

337 Friedrich Engels an Paul Lafargue in Le Perreux London, Sonntag, 2. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5861. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 230 × 178 mm. Wasserzeichen: „Bodleian Ivory Wove HM & S“. Engels hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Drittel, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „21“ auf der ersten Seite oben links. Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 438/ 439.

1303

338 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Dienstag, 4. November 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/21. Fotosign. 538. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Blatt. Hermann Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben. Die Beilage (Z. 3) ist überliefert, siehe den Brief von Georg Lesemann an Engels, 31. Oktober 1890 (Br. 336). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 338.5

Vater ] Friedrich Engels sen.

338.6–7

Der frühere Angestellte der Firma Görz Georg Lesemann berief sich auf diese Verbindung in seinem Brief an Engels. Siehe Georg Lesemann an Engels, 31. Oktober 1890 (Br. 336.5–6).

338.10

Hermann Engels hatte über Engels Sherry bestellt. Siehe Hermann Engels an Engels, 27. Oktober 1890 (Br. 334.9–26 und Erl.).

1304

339 Friedrich Engels an Karl Kautsky in Stuttgart London, Mittwoch, 5. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 691/K 325. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite zur Hälfte beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich ein Poststempel: „VI“, „[Lon]don-N. W. 2 No 5 90“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die den Stempel „Stuttgart B.1 7 11.“ trägt. Von unbekannter Hand: Numerierung: „177“ auf der Rückseite rechts. Kautsky antwortete am 7. November 1890 (Br. 343). Erstveröffentlichung: Aus der Frühzeit des Marxismus (1935). S. 260; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht.

1305

340 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 5. November 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Die Postkarte hat das Format 139 × 89 mm. Engels hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich die Poststempel: „London N. W. 2 No 5 90“, „A 90 New York Nov 16 Paid C All“, „Paterson N. J. 1890 No 17 7 am Rec’d“, gestempelt „Missent to Paterson. N. J.“ sowie eine aufgedruckte 1-Penny-Briefmarke, die den Stempel „NW 1“ trägt. Sorge beantwortete die Postkarte am 18. November 1890 (Br. 354). Erstveröffentlichung: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 348/349; die Adreßseite wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 340.3–7

1306

Helena Demuth war seit 1845 im Haushalt von Karl und Jenny Marx tätig gewesen und eine Vertraute sämtlicher Familienmitglieder geworden. Nach dem Tode von Marx 1883 war sie die Haushälterin bzw. Hausdame von Engels. (Gemkow: Helena Demuth ... S. 325.)

341 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Mittwoch, 5. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 178, op. 1, d. 30/14. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 180 mm. Leßner hat die erste Seite vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte, die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „10 M 7“. Leßner antwortete auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben am 4. oder 5. November 1890. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. KORREKTURENVERZEICHNIS 341.8 341.13

missen ] H müssen Schmeichlerin ] H Schmeilerin ERLÄUTERUNGEN

341.8–10

waß sie

341.10–12

in der Neuen Zeit bis geschrieben hat ] Zu Paul Lafargues Artikel „Karl Marx. Persönliche Erinnerungen“ siehe Erl. 324.82–83. Zu Helena Demuth siehe S. 38/39.

bis

Diech war ] Siehe Erl. 340.3–7.

1307

342 August Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 5., oder Donnerstag, 6. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 202, op. 1, d. 9. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 276 × 212 mm. Prägung: „Deutscher Reichstag“ und Wappen des Deutschen Reiches. Bebel hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte Seite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: auf der vierten Seite eine Notiz mit Bleistift „Bebel a` Engels“ quer geschrieben. Archivsignatur: „10 M 2“. Zur Datierung: Helena Demuth starb am Nachmittag des 4. November 1890. Engels hätte das Telegramm noch am selben oder am nächsten Tag schicken können. Bebel erhielt es am 4. oder 5. November 1890 gegen 22.00 Uhr. Er antwortete auf dieses nicht überlieferte Telegramm am folgenden Tag, dem 5. oder 6. November 1890. Datierung der Erstveröffentlichung: 5. oder 6. November 1890. Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 402/403. KORREKTURENVERZEICHNIS 342.4

lebhafteste ] H lebhaftesten ERLÄUTERUNGEN

342.9

Bebel dürfte einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 19. und 24. Oktober 1890, gemeint haben (siehe S. 1286). Engels hatte über Helena Demuths Krankheit das erste Mal in seinem Brief an Laura Lafargue vom 19. Oktober 1890 berichtet (Br. 324.12–18); Bebel erwähnte in seinem Brief an Engels vom 24. Oktober 1890 (Br. 328) seine Befürchtungen nicht. Siehe auch Engels an Paul Lafargue, 2. November 1890 (Br. 337).

342.11

Frieda ] Frieda Bebel.

342.11–12

Während Engels’ Norwegen-Reise (siehe Erl. 218.3) war Helena Demuth mit Laura Lafargue nach Le Perreux gefahren, siehe Engels an Laura Lafargue, 30. Juli 1890 (Br. 230.7) und Erl. 218.3. Frieda Bebel hatte sich 3 Monate bis Anfang August 1890 in Paris aufgehalten, siehe August Bebel an Engels, 9. April und 27. August 1890 (Br. 140.67 und 256.47–48).

1308

342. August Bebel an Engels · 5. oder 6. November 1890

342.14

ihr Bräutigam ] Ferdinand Simon.

342.18

Bebel vertrat die SPD in der Arbeiterschutzgesetzkommission. Siehe Erl. 186.41–42.

342.21

zweiten Hälfte dieses Monats hinüber kommen ] Zu Bebels Aufenthalt in London anläßlich des 70. Geburtstags von Engels siehe Erl. 256.43–44; zur Reise Wilhelm Liebknechts siehe Erl. 263.33–34.

1309

343 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Freitag, 7. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5975. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 284 × 223 mm. Kautsky hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Kautsky antwortet auf den Brief von Engels vom 5. November 1890 (Br. 339). Engels beantwortete den Brief am 13. Dezember 1890 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 692). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 343.8–9

Lafargues Artikel über Marx ] Paul Lafargue: Karl Marx. Persönliche Erinnerungen. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890– 1891. Bd. 1. Nr. 1. S. 10–17; Nr. 2. S. 37–42.

343.10

Passus über Nimmi ] Ebenda. S. 38/39.

343.21

meine arme Frau ] Luise Kautsky.

1310

344 Friedrich Engels an Louise Kautsky in Wien London, Sonntag, 9. November 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach der von Gustav Mayer angefertigten Abschrift: IISG, Mayer-Nachlaß, Sign. Nr. 34. Die Abschrift besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 325 × 205 mm. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortet auf ein nicht überliefertes Telegramm von Louise Kautsky, abgeschickt zwischen dem 5. und 9. November 1890 (Z. 3). Erstveröffentlichung: gekürzt: Mayer: Friedrich Engels. Bd. 2 (1934). S. 474/ 475; der ergänzte Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 344.8–9

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben und wurde am 7. November beigesetzt, siehe Engels an Adolf Riefer, 12. November 1890 (Br. 348.12–14).

344.15–16

einen neuen Beruf ] Louise Kautsky arbeitete als Hebamme, siehe Erl. 61.42–45.

344.32–33

Marx Töchtern ] Laura Lafargue und Eleanor Marx-Aveling.

344.66–67

Über Probleme bei einem möglichen Verbleib Louise Kautskys in London siehe auch August Bebel an Victor Adler, 20. Dezember 1890. In: Adler: Bw mit Bebel und Kautsky ... S. 66.

344.67

Adlers ] Victor und Emma Adler.

344.72

in der schweren Zeit ] Im Sommer 1888 trennten sich Louise und Karl Kautsky, siehe Erl. 94.66–67.

344.80

Eduard Bernstein teilte Karl Kautsky auf Wunsch von Engels mit, daß Engels Louise Kautsky auf ein paar Wochen eingeladen habe. Bernstein bedauerte die Einladung, u. a. weil er der Ansicht war, daß Louise Kautsky die ihr zugedachte Aufgabe nicht erfüllen könne. Siehe Bernstein an Kautsky, 11. November und 11. Dezember 1890 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 143, D V 138). Kautsky erinnerte sich später, daß Engels ihm im November 1890 geschrieben habe, der Brief sei aber verloren gegangen: „Engels teilte mir mit, er wisse niemand besseren, der ihm Nim ersetzen könne, als meine erste Frau. Er habe ihr nach Wien geschrieben und sie aufgefordert, ihn in London zu besuchen. Vielleicht werde sie bei ihm bleiben.“ Kautsky begrüßte eine solche Entscheidung. (Engels: Bw mit Kautsky. S. 265.)

1311

345 Victor Adler an Friedrich Engels in London Wien, Montag, 10. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 5086. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 174 mm. Adler hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „35 V H“. Engels antwortete am 15. November 1890 (Br. 350). Erstveröffentlichung: Adler, Engels: Bw (2009). S. 24. ERLÄUTERUNGEN 345.3

Luise ] Louise Kautsky.

345.3–4

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben. Engels hatte Louise Kautsky vermutlich am 4. oder 5. November in einem nicht überlieferten Brief oder Telegramm darüber unterrichtet.

345.4

Victor Adler hatte Engels nach dem Internationalen ArbeiterKongreß in Paris 1889 (siehe Erl. 1.6) besucht (Mayer: Friedrich Engels. Bd. 2. S. 413).

345.18

meiner Frau ] Emma Adler.

1312

346 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Berlin, Montag, 10. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1835/L III 289. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 283 × 222 mm. Fischer hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck: „Berlin SW., Katzbach-Straße 9, I. den ... 189 .“ Von Engels’ Hand: Vermerke auf der vierten Seite quer geschrieben „Fischer“ mit schwarzer Tinte; „Alice W., 14 Southampton Rd“ und „Emmy Richards 141 Ro[ther]f[ie]ld Rd“ mit Bleistift. Von unbekannter Hand: Vermerke mit schwarzer Tinte auf der ersten Seite: oben links „R. Fischer“, auf der vierten Seite quer geschrieben „Richard Fischer an Fr. Engels“. Die Beilage (Z. 35) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 346.3–6

Fischer wurde auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle vom 12. bis 18. Oktober 1890 (Erl. 310.4) in den Vorstand der SPD gewählt, siehe Engels an Laura Lafargue, 19. Oktober 1890 (Br. 324.46) und August Bebel an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 328.21–23). Nachdem das Sozialistengesetz nicht mehr galt (siehe Erl. 9.64), konnte er nach Deutschland zurückkehren.

346.3–4

die Elsa ] Vermutlich eine der Töchter von Richard und Julie Fischer.

346.9–11

Die Ausgabe ließ sich nicht ermitteln. Es könnte sich um einen Sonderdruck von „Das Programm der Partei“ und „Die Organisation der Partei“ (siehe Protokoll Halle 1890. S. 3–8) handeln. Das Protokoll wurde ebenfalls durch Max Bading gedruckt.

346.13–14

der Heiligen Hermandad ] Im Sprachgebrauch der Zeit ein Syn˙˙˙ ˙ Geheimpolizei. ˙˙ onym ˙für

346.15–16

Ferdinand Lassalle hatte Lothar Bucher testamentarisch die Rechte an seinen sämtlichen schriftstellerischen und gelehrten

1313

346. Richard Fischer an Engels · 10. November 1890

Werken übertragen (siehe Erl. 228.7). Eine von Bucher autorisierte Ausgabe erschien nicht (siehe Erl. 228.7–8). 346.25

Verlagsrecht ] Der Inhaber der Firma Duncker und Humblot Carl Geibel hatte Engels am 27. Juli 1890 nach einem Brief von Lassalle an Ferdinand Freiligrath für die geplante LassalleAusgabe gefragt (siehe Br. 228.6–9 und Erl.).

346.28–32

Eduard Bernstein entwickelte im März 1891 gegenüber Fischer einen Plan einer Lassalle-Ausgabe zur Vorlage beim Parteivorstand. Es sollte eine kritische Ausgabe werden, ohne eine Einflußnahme seitens der Parteiführung. Probleme erwartete Bernstein für ein solches Vorhaben nicht. Siehe Eduard Bernstein an Karl Kautsky, 1. April 1891 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D V 152); siehe auch Bebel an Karl Kautsky, 26. März 1891 (Bebel: Bw mit Kautsky. S. 75/76).

346.32–33

Zum Besuch von August Bebel im November 1890 siehe Erl. 328.20.

346.36–37

Das Konzilium in Halle. In: Freiheit. New York. Nr. 43, 25. Oktober 1890. S. 1, Sp. 1–5.

346.37

gerade wie den letzten ] Anarchistisches. In: Berliner Volksblatt. Nr. 261, 8. November 1890. Beil. 1. S. 1, Sp. 1, bis S. 2, Sp. 1. Nachdr. von: Eine neue Fortschrittspartei. In: Freiheit. New York. Nr. 38, 20. September 1890. S. 1, Sp. 1–4.

346.38

Avelings ] Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling.

346.38–39

meiner Familie ] Julie und Elsa Fischer, wahrscheinlich auch die beiden anderen Töchter Clara und Inke.

1314

347 Eduard und Mathilde Gumpert an Friedrich Engels in London Manchester, Dienstag, 11. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 6814. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 176 mm. Wasserzeichen: „Polton Air-Dried Vellum“. Eduard Gumpert hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, auf der vierten zwei Zeilen; Mathilde Gumpert hat den Rest der Seite vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „10 M 6“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 347.4–5

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben. Ein Brief von Engels an Carl Schorlemmer aus dieser Zeit ist nicht bekannt.

347.6

meine Frau ] Mathilde Gumpert.

347.10

Imandts Schwägerin ] Es könnte sich um eine Schwester von Peter Imandts Frau Anna Imandt, geb. MacKenzie, handeln.

347.17–18

Laura Lafargue war nach dem Tod von Helena Demuth nach London gekommen und reiste am 7. November 1890 zurück nach Le Perreux (Kapp: Eleanor Marx. Vol. 2. S. 441).

1315

348 Friedrich Engels an Adolf Riefer in Saarburg London, Mittwoch, 12. November 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Kopie: RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 7053. Laut der Beschreibung der Originalhandschrift (ebenda) besteht der Brief mit Abschrift und Übersetzung des Testaments von Helena Demuth aus einem Bogen im Format 220 × 177 mm. Wasserzeichen: „St Margarets’ Superfine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben, auch Abschrift und Übersetzung des Testaments auf S. 3 und 4. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: gekürzt: Antiquariat H. Tenner, Heidelberg. Auktionskatalog, Nr. 149/I (1984). S. 4 und Tafel IV/V (Faksimile); vollständig: Knieriem: Ein unveröffentlichter Brief ... (1984). ERLÄUTERUNGEN 348.11

meiner Frau ] Elisabeth Burns.

348.14

Töchtern von Marx ] Laura Lafargue und Eleanor Marx-Aveling.

348.17–23

Frederick Demuth war wahrscheinlich der Sohn von Helena Demuth und Karl Marx. Engels hatte offiziell die Vaterschaft übernommen, der Sohn wurde Pflegeeltern übergeben, deren Namen, Lewis, er trug. (Gemkow, Hecker: Unbekannte Dokumente über Marx’ Sohn Frederick Demuth. S. 43–59; Carver: Marx’s ’illegitimate son’ ... or Gresham’s Law in the world of scolarship.)

348.25–26

Engels war Testamentsvollstrecker von Helena Demuth.

1316

349 Julie und Maxim Romm an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 14. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5448/L VIII 69. Fotosign. 12459a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 174 mm. Julie Romm hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte ist von Maxim Romm vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 I 11“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 349.13–14

Julie und Maxim Romm waren am 25. September 1890 von Southampton nach New York gereist, wo sie am 10. Oktober ankamen (Tennstedt: Arbeiterbewegung und Familiengeschichte ... S. 475).

349.17–18

Für die liebenswürdigen Zeilen bis bei Herrn Sorge einführten ] Siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 4. Oktober 1890 Br. 305.1–11), Friedrich Adolph Sorge an Engels, 14. Oktober 1890 (Br. 313.3–4 und 23–27); siehe auch Tennstedt: Arbeiterbewegung ... S. 476.

349.24–26

Maxim Romm hatte sich als Kinderarzt niedergelassen (ebenda).

349.27–28

In New York bis so bald nicht ] Maxim und Julie Romm hatten bald auch einen regen Kontakt u. a. zu Sorge und Hermann Schlüter (ebenda. S. 475/476).

1317

350 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Samstag, 15. November 1890

Originalhandschrift: VGA, Adler-Archiv, Sign. M 113/T1. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wasserzeichen: „St Margarets’ Superfine“ und zwei gekreuzte Blumen. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu drei Vierteln, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortet den Brief Adlers vom 10. November 1890 (Br. 345). Erstveröffentlichung: Adler: Aufsätze, Reden und Briefe. H. 1 (1922). S. 15/ 16. ERLÄUTERUNGEN 350.4

Avelings ] Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling.

350.5

Das Telegramm Louise Kautskys vom 15. November 1890 ist nicht überliefert.

350.19

schicken wirs am Montag ] Siehe Engels an Victor Adler, 17. November 1890 (Br. 352.16–17).

1318

351 Rudolf Meyer an Friedrich Engels in London Türmitz, Samstag, 15. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4982/L VII 79. Fotosign. 8832 a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 285 × 228 mm. Meyer hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Meyer beantwortet einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 4. und 15. November 1890 (Z. 17). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

ERLÄUTERUNGEN 351.13–14

Lorenz von Stein: Verwaltungslehre. Bd. 1–8. Stuttgart 1865– 1884; eine Zusammenfassung dieses Werkes: derselbe: Handbuch der Verwaltungslehre. Bd. 1–3. Stuttgart 1870.

351.21

meine Cousine-Frau ] Mathilde Meyer.

351.25

Frau Laura ] Zu Laura Lafargues Aufenthalt in London siehe Erl. 347.17–18.

351.33

Engels: The foreign policy of Russian tsardom. April, Mai 1890 (MEGA➁ I/31. S. 217–248). Siehe auch Rudolf Meyer an Engels, 29. Juni 1890 (Br. 208.13–40 und Erl.).

351.34

Lord Lansdowne ] Henry Fitzmaurice.

351.37–38

Nach der Niederlage Frankreichs wurden die staatlichen Verhältnisse in Europa auf dem Wiener Kongreß 1814/1815 neu geordnet. Maßgeblich für dessen Beschlüsse, die in der Wiener Kongreßakte am 9. Juni 1815 veröffentlicht wurden, war das Komitee der Großmächte, in dem Großbritannien, Österreich, Preußen und Rußland, später auch Frankreich vertreten waren.

351.57–58

Möglicherweise bezog sich Meyer auf folgende Passage in: Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1883. S. 361 (MEGA➁ II/8. S. 354): „Die Zunftgesetze, wie schon früher bemerkt, verhinderten planmäßig, durch äußerste Beschränkung der Gesellenzahl, die ein einzelner Zunftmeister beschäftigen durfte, seine Verwandlung in einen Kapitalisten. [...] Die Zunft wehrte eifersüchtig jeden Übergriff des Kaufmannskapitals ab,

1319

351. Rudolf Meyer an Engels · 15. November 1890

der einzig freien Form des Kapitals, die ihr gegenüberstand. Der Kaufmann konnte alle Waaren kaufen, nur nicht die Arbeit als Waare. Er war nur geduldet als Verleger der Handwerksprodukte.“

1320

352 Friedrich Engels an Victor Adler in Wien London, Montag, 17. November 1890

Originalhandschrift: VGA, Adler-Archiv, Sign. M 113/T1. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „St Margarets’ Superfine“ und zwei gekreuzte Blumen. Engels hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu einem Viertel, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: Adler: Aufsätze, Reden und Briefe. H. 1 (1922). S. 16. ERLÄUTERUNGEN 352.3

Engels hatte Adler am 15. November 1890 eine Geldsendung angekündigt. Siehe Br. 350.8–13.

352.4

Das Telegramm von Louise Kautsky, gesandt am 16. November 1890, ist nicht überliefert.

352.5–6

Louise Kautsky kam am Dienstag, dem 18. November 1890, in London an. Siehe Engels an Laura Lafargue, 1. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d 5843).

352.10–12

Das Telegramm von Engels an Adler vom 16. November 1890 ist nicht überliefert.

352.16–17

es unterbleibt also ] Siehe Engels an Victor Adler, 15. November 1890 (Br. 350.19).

1321

353 Eduard Gumpert an Friedrich Engels in London Manchester, Dienstag, 18. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2085/L IV 87. Fotosign. 8114. Die Postkarte hat das Format 74 × 121 mm. Gumpert hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befinden sich der Poststempel: „Manchester S. A 2 No 18 90“ sowie eine aufgedruckte 1/2-Penny-Briefmarke, die den Stempel „498“ trägt. Archivsignatur: „II 21 F 14a“. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 353.2–3

Kochsche Verfahren bis Tuberkulose ] Siehe auch Paul und Laura Lafargue an Engels, 19. November 1890 (Br. 355.24–38).

353.7–8

die Patientin ] Gemeint ist die Schwägerin von Peter Imandt, siehe Eduard und Mathilde Gumpert an Engels, 11. November 1890 (Br. 347.10 und Erl.).

353.8–9

auf ein paar Wochen ] Eduard und Mathilde Gumpert hatten Engels zu sich nach Manchester eingeladen, siehe Br. 347.7–8.

1322

354 Friedrich Adolph Sorge an Friedrich Engels in London Hoboken, Dienstag, 18. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5916/L VIII 561. Fotosign. 11197a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 176 mm. Wasserzeichen: „Crane’s Distaff Linen“ und ein Spinnrad. Sorge hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Sorge antwortet auf Engels’ Brief vom 5. November 1890 (Br. 340). Engels Antwort erfolgte am 26. November 1890 (Br. 366). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 354.3

Trauerbotschaft ] Gemeint ist die Nachricht vom Tod Helena Demuths, siehe Engels an Sorge, 5. November 1890 (Br. 340.1– 3). Die Postkarte war fälschlich nach Paterson N. J., geschickt worden, so daß sie verspätet bei Sorge eintraf.

354.18

Engels und Carl Schorlemmer hatten Sorges während ihres Aufenthaltes in den USA von August bis September 1888 (siehe Erl. 25.3–4) besucht.

354.31

Romm’s ] Zum Besuch von Julie und Maxim Romm bei Sorge siehe Sorge an Engels, 14. Oktober 1890 (Br. 313.23–27) und Julie und Maxim Romm an Engels, 14. November 1890 (Br. 349.17–23).

354.32

Engels wurde am 28. November 1820 geboren.

1323

355 Paul und Laura Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Mittwoch, 19. November 1890

Originalhandschrift: RGASPI, Sign. f. 10, op. 1, d. 65/14. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 267 × 207 mm. Paul Lafargue hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu drei Vierteln, Laura Lafargue hat das letzte Viertel beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „177“ auf der ersten Seite. Engels antwortete am 1. und 17. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5843 und 5844). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 2 (1956). S. 439– 441.

ERLÄUTERUNGEN 355.3

Es handelt sich um die Nachwahl zur Deputiertenkammer, die am 16. November 1890 nach dem Tod des possibilistischen Abgeordneten Jules Joffrin (siehe Erl. 234.32–33) durchgeführt wurde. Der possibilistische Kandidat Aime´ Lavy und Prosper Lissagaray erhielten die meisten Stimmen, Charles Longuet erreichte den dritten Platz. Im zweiten Wahlgang am 30. November 1890 siegte Lavy mit 3220 Stimmen über Lissagaray, der 2121 Stimmen erhielt. (Ligou: Histoire du Socialisme en France ... S. 111.)

355.7–9

Alphonse Fouroux war in einen Aufsehen erregenden Skandal um Ehebruch und Abtreibung verwickelt (Florens: En fouillant dans le passe´. S. 112/113). Siehe auch Engels an Paul Lafargue, [31.] Januar 1891 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5938).

355.18

Charles Longuet hielt seine Kandidatur aufrecht, siehe Paul Lafargue an Engels, 28. November 1890 (Br. 390.11).

355.24

Gris: Chez le Docteur Mathieu. In: Le Figaro. Paris. Nr. 321, 17. November 1890. S. 2, Sp. 1/2.

355.35–37

Charles E´douard Brown-Se´quard hatte Experimente mit lebensverlängernder Medizin durchgeführt.

355.46–48

Notre argent. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3784, 20. November 1890. S. 1, Sp. 6, bis S. 2, Sp. 1. Der Artikel referiert eine Rede von Francis Laur, die dieser am Vortag in der Deputiertenkam-

1324

355. Paul und Laura Lafargue an Engels · 19. November 1890

mer über die Frage der Anleihe von 75 Millionen Francs zur Lösung der Krise der Londoner Bank Baring Brothers & Co. gehalten hatte. Der Bank drohte aufgrund einer rapiden Entwertung ihrer argentinischen Wertpapiere im Oktober 1890 Illiquidität. Die rasche Unterstützung der Bank of England mit Hilfe ihrer Goldreserven, Anleihen aus Rußland und Frankreich sowie einem Garantiefonds verhinderte den Zusammenbruch der Baring-Bank. (Business Cycles and Depressions. S. 50/51.) 355.48

Qu’en pensez-vous? ] Siehe Engels an Laura Lafargue, 17. Dezember 1890, und Tsuzuki: Hyndman ... S. 92/93.

355.50

Si Madame Kautsky est arrive´e ] Louise Kautsky kam am Dienstag, dem 18. November 1890, in London an, siehe Erl. 352.5–6.

355.53

Me´me´’s ] Jenny Longuet.

1325

356 Hermann Schlüter an Friedrich Engels in London Hoboken, Mittwoch, 19. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5548/L VIII 192. Fotosign. 12015a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem, liniertem Papier im Format 230 × 176 mm. Schlüter hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels beantwortete den Brief am 29. Januar 1891 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 1449). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 356.3

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben; Engels hatte dies Sorge am 5. November 1890 mitgeteilt, siehe Br. 340.

356.8

Engels wurde am 28. November 1820 geboren.

356.11 356.16–17

Sorge bis Dich eingeladen hat ] Siehe Friedrich Adolph Sorge, 18. November 1890 (Br. 354.14). Sorge hatte Engels vom Weggang Sergej Sˇevicˇs und der Wahl Grunzigs zum Chefredakteur berichtet. Siehe Friedrich Adolph Sorge an Engels, 10. September 1890 (Br. 269.4–5 und 270.14–18).

356.18

Nationalisten ] Siehe Erl. 8.7–8.

356.19

Knights ] Knights of Labor. Siehe Erl. 52.24.

356.20

Zu den Mitgliederzahlen der Knights of Labor siehe Erl. 52.24– 25.

356.21–22

Drucksachen bis berührten. ] Siehe Hermann Schlüter an Engels, 3. Juni 1890 (Br. 187.27 und Erl.).

356.24–25

Kalender bis Artikel ] Schlüter hatte den Beitrag von Engels im „Volks-Kalender 1878“ mit Ergänzungen im „Pionier. Illustrirter Volks-Kalender für 1891“ abgedruckt, siehe Erl. 187.10–18. Zur Absendung durch Sorge siehe dessen Brief an Engels vom 23. September 1890 (Br. 292.1 und Erl.), zum Erhalt durch Engels dessen Briefe an Friedrich Adolph Sorge vom 4. und 18. Oktober 1890 (Br. 305.19 und 320.1).

356.29–31

The New American Cyclopædia. A popular dictionary of general knowledge. Ed. by George Ripley and Charles A. Dana. Offiziell

1326

356. Hermann Schlüter an Engels · 19. November 1890

hatte Marx von 1857 bis 1860 die Mitarbeit an der Enzyklopädie übernommen, jedoch dürfte die Mehrzahl der über 70 Artikel von Engels stammen (Inna Osobova: Chronik der Mitarbeit von Marx und Engels ...). 356.33–34

Zu Engels’ Einschätzung dieser Artikel siehe Inna Osobowa: Zu Engels’ Autorschaft an einigen Artikeln ... S. 178–180).

356.36–37

Karl Marx: Rede über den Freihandel, gehalten in dem demokratischen Verein zu Brüssel in der öffentlichen Sitzung vom 9. Januar 1848. In: Derselbe: Zwei Reden über die Freihandelsund Schutzzollfrage. Aus dem Franz. übersetzt und mit e. Vorw. und erl. Anm. versehen von J[oseph] Weydemeyer. Hamm 1848. S. 1–18. Dieser Übersetzung lag die Broschüre: Charles Marx: Discours sur la question du libre e´change, prononce´ a` l’Association De´mocratique de Bruxelles, dans la se´ance publique du 9 Janvier 1848, [Bruxelles 1848], zugrunde.

356.37–40

Karl Marx: Die Schutzzöllner, die Freihandelsmänner und die arbeitende Klasse. In: Derselbe: Zwei Reden über die Freihandels- und Schutzzollfrage. S. 18–20. Das französische Original erschien unter dem Titel „Les protectionistes, les libres e´changistes et la classe ouvrie`re“ zuerst im Supplement der Brüsseler Zeitung „L’Atelier De´mocratique“ Nr. 60 vom 29. September 1847 (Grandjonc: L’Atelier De´mocratique ... S. 95 und 104). Weydemeyer hatte die letzten Passagen der Rede ausgelassen, weil sie mit denen der „Rede über den Freihandel ...“ identisch waren.

356.41–42

Engels hatte Marx’ Beitrag unter dem Titel Rede über die Frage des Freihandels, gehalten am 9. Januar 1849 (eigtl. 1848) in der demokratischen Gesellschaft zu Brüssel als „Anhang 2“ veröffentlicht in: Karl Marx: Das Elend der Philosophie. Stuttgart 1885. S. 188–209, sowie in englischer Übersetzung: Free trade. A speech delivered before the Democratic Club, Brussels, Belgium, Jan. 9, 1848. With extract from ‘La Mise`re de la Philosophie’ by Karl Marx. Transl. into Engl. by Florence Kelley Wischnewetzky. With preface by Frederick Engels. Boston 1888. Engels hatte die Übersetzung von Kelley Wischnewetzky unter Hinzuziehung des in seinem Besitz befindlichen französischen Originals redigiert (siehe MEGA➁ I/31. S. 1320–1322; siehe auch MEGA➁ IV/32. Nr. 398). Das „Preface“ von Engels siehe MEGA➁ I/31. S. 124–138, zum „Anhang 2“ im „Elend der Philosophie“ siehe MEGA➁ I/30. S. 928/929.

356.43–44

unser einziger Verkehr ] Siehe Erl. 349.27–28.

356.44

die Zeitung ] „New Yorker Volkszeitung“.

1327

357 Otto Wegener an Friedrich Engels in London New York, Freitag, 21. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6263/L IX 187. Fotosign. 14987a–e. Der Brief besteht aus 3 Blättern dünnem, weißem, liniertem Papier im Format 147 × 226 mm. Wegener hat die ersten fünf Seiten vollständig beschrieben, die sechste ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 L 8“. Von unbekannter Hand: Unterstreichungen mit Bleistift auf der ersten Seite (Z. 4–5). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 357.4–5

[Bernstein:] Eine Neu-Auflage des ... Manifestes. 16. August 1890. Die Würdigung bezog sich auf die 4. Auflage: [Marx, Engels:] Das Kommunistische Manifest. 1890.

357.6

Engels wurde am 28. November 1890 70 Jahre alt.

357.7–8

Engels: Der Ursprung der Familie ... 1884 (MEGA➁ I/29); derselbe: Zur Wohnungsfrage. H. 1–3. Leipzig 1872–1873 (MEGA➁ I/24. S. 3–81) bzw. Separatabdruck aus dem „Volksstaat“ von 1872. 2. durchges. Aufl. Hottingen-Zürich 1887; derselbe: Die Entwicklung des Sozialismus von der Utopie zur Wissenschaft. Hottingen-Zürich 1882 (MEGA➁ I/27. S. 583–627).

1328

358 Die Redaktionen der „Arbeiter-Wochen-Chronik“ und der „Ne´pszava“ an Friedrich Engels in London Budapest, Montag, 24. November 1890

Orgiginalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. M 44/M 10a. Fotosign. 14944. Die Einladung besteht aus einer Karte im Format 147 × 112 mm. Die Vorderseite ist bedruckt, die Rückseite ist leer. Stempel auf der Vorderseite unten links: „Ne´pszava Arbeiter Wochen-Chronik Budapest“. Der Text ist gedruckt (hier in Kapitälchen wiedergegeben), mit handschriftlichen Einfügungen mit schwarzer Tinte (siehe (Z. 1 und 2) von unbekannter Hand, vermutlich von Paul Engelmann (siehe Paul Engelmann an Engels, 26. November 1890, Br. 365.17–19). Die Einladung wurde vermutlich dem Brief Engelmanns an Engels vom 26. November 1890 (Br. 365) beigelegt. Erstveröffentlichung (Faksimile): МЭС ➁ 37 (1965). S. 431. ERLÄUTERUNG 358.2–8

Engels nahm an dem Parteitag nicht teil. Er bedankte sich u. a. auch für diese Einladung in seinem Brief: An die Redaktion der „Arbeiter-Wochen-Chronik“, Budapest. In: Arbeiter-WochenChronik. Budapest. Nr. 50, 14. Dezember 1890. S. 1, Sp. 3, bis S. 2, Sp. 1 (MEGA➁ I/31. S. 288/289). Siehe auch Br. 365.17–19 und Erl.

1329

359 Carl Hirsch an Friedrich Engels in London Paris, Dienstag, 25. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2410/L IV 367. Fotosign. 9035. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 225 × 179 mm. Wasserzeichen: „Imperial Century“ und eine Krone. Hirsch hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 359.4–7

1330

Die Beziehungen zwischen Engels und Marx einerseits und Hirsch andererseits hatten sich seit einem Konflikt 1882 über Mitteilungen Hirschs an Franz Mehring zur Einschätzung des „Sozialdemokrat“ durch Marx und Engels gelockert (Herrmann: Carl Hirsch. S. 164). Siehe auch Engels’ Briefe an Eduard Bernstein vom 15. Juli und 9. August 1882 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4226 und 4234). Der zuletzt geschriebene Brief von Hirsch an Engels, der überliefert ist, datiert vom 19. Juli 1885 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2409).

360 Karl Kautsky an Friedrich Engels in London Stuttgart, Dienstag, 25. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2645/L V 137. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 283 × 224 mm. Kautsky hat die ersten drei Seiten vollständig beschrieben, die vierte zu drei Vierteln. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt oben auf der ersten Seite den Aufdruck: „Die Neue Zeit. Revue des geistigen und öffentlichen Lebens. (Erscheint wöchentlich einmal.) Stuttgart, den 189 .“ Engels beantwortete den Brief am 13. Dezember 1890 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. K 692). Erstveröffentlichung: Engels: Bw mit Kautsky (1955). S. 264/265. ERLÄUTERUNGEN 360.3

des herben Verlustes ] Gemeint ist der Tod von Helena Demuth, siehe Engels an Karl Kautsky, 5. November 1890 (Br. 339).

360.9

ans Blatt ] „Die Neue Zeit“.

360.11

in Stukkert ] Stuttgart.

360.14–15

Kautsky arbeitete an der Entzifferung von Marx’ Manuskript zum geplanten vierten Buch bzw. Band des „Kapitals“ (siehe Z. 29–30 und Erl.). Siehe auch Engels an Karl Kautsky, 28. Januar und 15. September 1889 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 680 und K 685) sowie Engels an Conrad Schmidt, 12. April 1890 (Br. 145.6–29 und Erl. 145.7–9).

360.21–23

Eduard Bernstein war bis Ende September 1890 Redakteur des „Sozialdemokrat“ in London. Danach wurde er Londoner Korrespondent des „Berliner Volks-Blatt“ bzw. ab 1891 des „Vorwärts“ und ständiger Mitarbeiter der „Neuen Zeit“. Kautsky war seit 1883 Redakteur der „Neuen Zeit“.

360.27–28

der Morgan ] Lewis H[enry] Morgan: Die Urgesellschaft. Untersuchungen über den Fortschritt der Menschheit aus der Wildheit durch die Barbarei zur Zivilisation. Stuttgart 1891. Kautsky war an der Übersetzung beteiligt.

360.29–30

Es handelte sich um ein nicht genau bezeichnetes Heft aus Marx’ Manuskript „Zur Kritik der politischen Ökonomie (Manuskript 1861–1863)“, wahrscheinlich eines der Hefte VI–XV der

1331

360. Karl Kautsky an Engels · 25. November 1890

„Theorien über den Mehrwert“ (MEGA➁ II/3.2. S. 333 bis II/3.5. S. 1597), das Engels Kautsky zur Abschrift übergeben hatte (Vollgraf: Engels wegen Band IV des Kapital ... S. 121–125). – Marx hatte mehrfach von der Absicht gesprochen, das „Kapital“ in vier Büchern herauszugeben. Er hatte aber die Arbeit am vierten Buch zur Geschichte der politischen Ökonomie nicht weiter forciert, so daß seine Ausführungen im Manuskript 1861–1863 als die letzte überlieferte Behandlung dieses Themas gelten können. Engels wollte diese Texte aus dem Nachlaß zugänglich machen, doch erst Karl Kautsky veröffentlichte später einen Teil des Manuskripts. (Siehe Engels: Vorwort. In: Marx. Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894. S. X (MEGA➁ II/15. S. 11.17–18 und Erl.); Marx: Theorien über den Mehrwert. Hrsg. von Karl Kautsky. Bd. 1–3. Stuttgart 1905–1910.) 360.43

Kautsky hatte Engels am 7. November 1890 zum Tod von Helena Demuth kondoliert. Siehe Br. 343.

360.44

Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 1 und 2. Siehe Engels an Kautsky, 5. Oktober 1890 (Br. 306.2).

360.45

Engels bat um sechs Exemplare der „Neuen Zeit“. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 8. Siehe Engels an Kautsky, 13. Dezember 1890.

360.45–46

Dein Artikel ] Zu Engels’ 70. Geburtstag wurde der Aufsatz „Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie“, der zuerst in den „Deutsch-Französischen Jahrbüchern“, Paris, 1844, Lfg. 1/2, S. 86–114 (MEGA➁ I/3. S. 467–494), erschienen war, abgedruckt in: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 8. S. 236–254. Siehe Erl. 215.43–44.

360.48–49

[Karl Kautsky:] Friedrich Engels. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890–1891. Bd. 1. Nr. 8. S. 225–235.

360.56

Schorlemeyer ] Carl Schorlemmer.

1332

361 Julie und Frieda Bebel an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 372/L I 223. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 228 × 179 mm. Julie Bebel hat die erste Seite vollständig beschrieben, Frieda Bebel die dritte. Die übrigen zwei Seiten sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: Bebel: Bw mit Engels (1965). S. 403.

1333

362 Anna Beust an Friedrich Engels in London Zürich, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 526/L I 1–4. Fotosign. 11162a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 269 × 210 mm. Beust hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 18 A 6 b“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 362.17

„alt und thörigt“ ] Nach Heinrich Heine: Aus den Memoiren des Herrn von Schnabelewopski. Berlin 1887.

362.25–26

meines Mannes ] Friedrich Beust.

362.30

Onkel Ludewig ] Ludwig van Haar.

362.41

den Söhnen ] Adolf und Friedrich Anton Beust.

1334

363 Wilhelm Blos an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 599/L II 6–12. Fotosign. 7101. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 286 × 225 mm. Blos hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1335

364 Wilhelm Eichhoff an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1353/L III 215. Fotosign. 7058. Die Postkarte hat das Format 141 × 90 mm. Eichhoff hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Stuttgart No 2 26 Nov 90 7–8N“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Von unbekannter Hand: Numerierung: „14“ auf der Rückseite links. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht.

1336

365 Paul Engelmann an Friedrich Engels in London Budapest, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1389/L III 245. Fotosign. 8297a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 288 × 225 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck: „Ne´pszava Szerkesztöse´g e´s Kiado´hivatal Redaktion u. Administration ,Arbeiter-Wochen-Chronik‘ Budapest, VII. ker., külsö dob-utcza 33. Budapest, 189 “. Engelmann hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zur Hälfte, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „15.“ auf der ersten Seite oben links mit Bleistift. Dem Brief wurde vermutlich die Einladung zum Parteitag der ungarländischen Sozialdemokratie (siehe Br. 358) beigelegt. Engels antwortete am 3. Dezember 1890 mit einem Grußschreiben an den Parteitag. Siehe Friedrich Engels: An die Redaktion der „Arbeiter-WochenChronik“, Budapest (MEGA➁ I/31. S. 288/289). Erstveröffentlichung: in ungarischer Übersetzung: Vincze: Engelman Pa´l ke´t – Edding ismeretlen – Levele Engels frigyeshez (1958). S. 167; in der Sprache des Originals: Vincze: Briefwechsel zwischen Friedrich Engels und den ungarländischen Sozialdemokraten (1890–1895) (1970). S. 346. ERLÄUTERUNG 365.17–19

Der Parteitag fand am 7. und 8. Dezember statt (Protokoll Budapest 1890). Siehe auch Erl. 191.3–4 sowie Die Redaktionen der „Arbeiter-Wochen-Chronik“ und der „Ne´pszava“ an Engels, 24. November 1890 (Br. 358 und Erl.).

1337

366 Friedrich Engels an Friedrich Adolph Sorge in Hoboken London, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: NYPL, Sorge Papers. Der Brief besteht aus zwei Blättern mittelstarkem, weißem Papier im Format 112 × 179 mm. Wasserzeichen: „St. Margaret’s Superfine“. Engels hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Streichungen (Z. 5–6, 16–18, 33–36 und 37–53) mit Rotstift, die den Kürzungen der Erstveröffentlichung entsprechen. Engels beantwortet die Briefe Sorges vom 14. Oktober (Br. 313) und 18. November 1890 (Br. 354). Sorge antwortete am 9. Dezember 1890 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5918). Erstveröffentlichung: gekürzt: Briefe an Sorge u. a. (1906). S. 349/350; vollständig: in russischer Übersetzung: МЭС ➀ 28 (1940). S. 263/264; in der Sprache des Originals: MEW 37 (1967). S. 505/506.

ERLÄUTERUNGEN 366.3

Tod meines guten Lenchens ] Zum Tod von Helena Demuth siehe Engels an Sorge, 5. November 1890 (Br. 340.1–3).

366.4

die No II ] Luise Kautsky, geb. Ronsperger.

366.10

der unnütze Fuss ] Engels benutzte das englische Wort „Fuss“ für Ärger, Aufheben, Theater.

366.13

Haller Kongreß ] Parteitag der deutschen Sozialdemokratie in Halle vom 12.–18. Oktober 1890, siehe Erl. 310.4.

366.13–15

Tussy bis vielerlei Philister. ] Siehe Eleanor Marx-Aveling an Engels, 14. und 15. Oktober 1890 (Br. 314.152–153 und Erl.).

366.19–24

Unsre Kampagne bis ausstellen. ] Zu Engels’ Vorgehen, zu den Beschlüssen der Vorkonferenz in Halle und zu den Mandaten der Schweizer und Belgier, die sie auf den beiden Arbeiterkongressen in Paris im Juli 1889 (siehe Erl. 1.6) für die Einberufung des nächsten Internationalen Kongresses erhalten hatten siehe Erl. 268.26–30.

366.24–25

Possibilisten ] Zum Zerfall der Possibilisten siehe Erl. 273.15–19 und 273.37–38.

366.28–30

Hyndman bis Allemane; ] Siehe Engels an Sorge, 18. Oktober 1890 (Br. 320.8–9 und Erl.).

1338

366. Engels an Friedrich Adolph Sorge · 26. November 1890

366.31–33

Sorge hatte am 14. Oktober 1890 angeregt (Br. 313.10–12), daß eine Verbindung zwischen der SPD und der AFL (siehe Erl. 52.19) hergestellt werden solle. – Auf Engels’ positive Einschätzung der AFL deutet auch ein Brief von Januar 1891. Gompers wandte sich an Engels mit einer Darstellung seiner Sicht auf die Frage der Mitgliedschaft von politischen Parteien in Gewerkschaften und bat ihn um eine Stellungnahme. Eine Antwort von Engels ist nicht überliefert. Hermann Schlüter gegenüber äußerte Engels jedoch Verständnis für die Position von Gompers. (Siehe Engels an Hermann Schlüter, 29. Januar 1891 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1449); Foner: Gompers to Engels. S. 207–211; Laslett: Gompers to Engels. S. 531– 535.)

366.37–41

Dein Anfang in der N. Z. Erl.

366.43–44

Ich selbst bis bieten ] Siehe Engels an Karl Kautsky, 5. August 1890 (Br. 235.17–19).

366.44–45

Schlüter schwatzt manchmal ] Siehe Br. 313.18–19.

366.54–55

Der Boykott

366.57

mit den Fabians ] Zur Fabian Society siehe Erl. 97.4–5 und Engels an Sorge, 8. Februar 1890 (Br. 101.101–107).

366.57–58

die „Jebildeten“ ] Gebildeten (Berliner Mundart).

366.59

Art. des Labor Standard über George ] Siehe Br. 313.59–60 und ˙˙˙ Erl.

366.62–63

Kapital I ist polnisch erschienen ] Siehe Ludwik Krzywicki an Engels, 24. Oktober 1890 (Br. 329.3–5 und Erl.).

bis

bis

finden ] Siehe Br. 313.13–22 und

hineinfallen, ] Siehe Br. 313.44–55.

1339

367 Richard Fischer an Friedrich Engels in London Berlin, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1836/L III 290. Fotosign. 7696a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 282 × 222 mm. Fischer hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu drei Vierteln, die übrigen zwei sind leer. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „Berlin SW., Katzbach-Straße 9, I. den 189 “. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Beilage (Z. 28) ist nicht überliefert. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. KORREKTURENVERZEICHNIS 367.6

als ] H an ERLÄUTERUNGEN

367.5

die Meinen ] Julie Fischer und die Töchter Elsa, Inke, Clara und Julie. Zu den Töchtern Elsa und Inke siehe Bebel: Bw. mit Engels ... S. 625; zu den Töchtern Clara und Julie siehe Julie Fischer an Karl Kautsky, 14. Oktober 1929 (IISG, Kautsky-Nachlaß, Sign. D X 364).

367.9–12

Fischer hatte nach der Ausweisung aus Zürich bis etwa Oktober 1890 in London gewohnt; während seines dortigen Aufenthaltes hatte sich ein gutes Verhältnis zu Engels entwickelt, siehe Engels an Friedrich Adolph Sorge, 26. November 1890 (Br. 366.33–36). Auf dem Parteitag in Halle (siehe Erl. 310.4) wurde er in den Vorstand der SPD gewählt und konnte nach dem Auslaufen des Sozialistengesetzes nach Berlin übersiedeln, siehe Richard Fischer an Engels, 10. November 1890 (Br. 346.3–6).

367.13

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben.

367.21

Ueber allgemeine Dinge bis zusammen ] Zu Engels’ Geburtstag waren August Bebel, Wilhelm Liebknecht und Paul Singer nach London gekommen, siehe August Bebel an Engels, 5. oder 6. November 1890 (Br. 342.21) und Carl Schorlemmer an Engels, 27. November 1890 (Br. 377.3 und Erl.).

367.28

an Julius ] Julius Motteler.

1340

368 Amand Goegg an Friedrich Engels in London Renchen, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2014/L IV 25. Fotosign. 7408a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 227 × 178 mm. Goegg hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 4. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4945). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 368.11

Helena Demuth war am 4. November 1890 gestorben.

368.12–13

amerikanischen Reise ] Siehe Erl. 25.3–4.

1341

369 Louis Kugelmann an Friedrich Engels in London Hannover, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2844/L V 281. Fotosign. 3154. Die Postkarte hat das Format 140 × 92 mm. Kugelmann hat die Rückseite zur Hälfte beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: blaue Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Hannover 26 11 90 8–9 V 2b“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht.

1342

370 Max Oppenheim an Friedrich Engels in London Dresden, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5160/L VII 200. Fotosign. 8582 a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 281 × 217 mm. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Max Oppenheim Dresden.“. Oppenheim hat alle vier Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 24. März 1891 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1350). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 370.3–4

Aus der Neuen Zeit bis erreichen ] Zur Veröffentlichung eines 1844 erschienenen Artikels von Engels anläßlich seines 70. Geburtstages siehe Karl Kautsky an Engels, 25. November 1890 (Br. 360.44–47 und Erl.).

370.27–28

Engels: Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Zweiter Band. 1885. S. III–XXIII (MEGA➁ II/13. S. 5–21).

370.35–36

Engels wollte wieder am dritten Band des „Kapitals“ arbeiten, „sobald die vermaledeiten kleinen Zwischenarbeiten und die endlose Korrespondenz mit aller Herren Länder“ ihm Zeit ließen (Engels an Max Oppenheim, 24. März 1891, IISG, MarxEngels-Nachlaß, Sign. K 1350). Der Band erschien 1894, Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). Siehe auch Erl. 8.16.

370.37–39

Oppenheim war Ende Mai 1875 in London gewesen, wo er Marx besucht und bei dieser Gelegenheit Engels kennengelernt hatte (Gemkow: Max Oppenheim ... S. 129). Siehe auch Max Oppenheim an Karl Marx, 26. Januar 1875 (IISG, Marx-EngelsNachlaß, Sign. D 3556).

1343

371 Adolf Rheinbold an Friedrich Engels in London Stuttgart, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5409/L VIII 61. Das Schreiben ist eine Karte mit vorgedrucktem Text (hier wiedergegeben in Kapitälchen) und Blumen im Format 74 × 111 mm. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung „20“ auf der Rückseite unten rechts mit Bleistift. Die Karte wird hier erstmals veröffentlicht.

1344

372 Ludwig Schorlemmer an Friedrich Engels in London Darmstadt, Mittwoch, 26. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5610/L VIII 249. Fotosign. 11868. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 220 × 175 mm. Prägung: „LS“ (Monogramm). Schorlemmer hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Engels antwortete am 4. Dezember 1890 (IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. K 1479). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 372.4

Carl ] Carl Schorlemmer.

1345

373 Le Conseil national du Parti ouvrier franc¸ais an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3214/L V 312. Fotosign. 8712. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 265 × 208 mm. Paul Lafargue hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Das Schreiben lag dem Brief Lafargues an Engels vom 28. November 1890 (Br. 390.3–4) bei. Engels beantwortete den Brief am 2. Dezember 1890 (siehe Engels: Au Conseil national du Parti Ouvrier Franc¸ais. In: MEGA➁ I/31. S. 287). Erstveröffentlichung: gekürzt und leicht geändert: Une lettre de Fre´deric Engels (1890). S. 1, Sp. 2; vollständig: Engels, Lafargue: Correspondance 3 (1959). S. 505/506.

1346

374 Ferdinand Domela Nieuwenhuis an Friedrich Engels in London Den Haag, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5115/L VII 173. Fotosign. 3254a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 216 × 137 mm. Domela Nieuwenhuis hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die zweite und vierte sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben den Aufdruck:: „Sociaal-Demokratische Bond in Nederland. (Niet goodgekeurd bij kon. besl. van 23 Maart 1884.) Redaktie ,Recht voor Allen‘. ’s-Gravenhage, ... 18 “. Engels antwortete Domela Nieuwenhuis am 3. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4944). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка К. Маркса и Ф. Энгельса с Ф. Домела-Нивенгейсом (1934). S. 58/59; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 374.14–22

Ferdinand Jacobus Domela Nieuwenhuis löste das Problem, indem er 1891 nach Australien auswanderte (Domela Nieuwenhuis: ,en al beschouwen ...‘ S. 35).

1347

375 Petr Lavrovicˇ Lavrov an Friedrich Engels in London Paris, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3314/L V 341. Fotosign. 2643a–c. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 223 × 179 mm. Wasserzeichen: „Old Style“ und eine Krone mit Monogramm. Lavrov hat die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die dritte zu einem Drittel, die vierte ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte Engels antwortete Lavrov am 5. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 4947). Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка К. Маркса и Ф. Энгельса с русскими политическими деятелями (1947). S. 233; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 375.23–24

«Manifeste des Communistes» ] [Marx, Engels] Manifest der Kommunistischen Partei. Veröff. im Februar 1848. London (1848).

375.24–25

congre`s de Halle de 1890 ] Parteitag der deutschen Sozialdemokratie vom 12.–18. Oktober 1890 in Halle. Siehe Erl. 310.4.

1348

376 Heinrich Scheu an Friedrich Engels in London London, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5497/L VIII 145. Fotosign. 11728. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 250 × 201 mm. Wasserzeichen: „Aldine C. G. S“ als Rahmen um ein Anker. Scheu hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben rechts den Aufdruck: „2, College Terrace, Harrow on the Hill.“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1349

377 Carl Schorlemmer an Friedrich Engels in London Manchester, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5609/L VIII 247. Fotosign. 15026a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 215 × 180 mm. Wasserzeichen: „Hieratica (a veritable Parchment) J, S & Co“. Schorlemmer hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zur Hälfte, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Archivsignatur: „II 21 K 37“. Schorlemmer antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben vor dem 27. November 1890 (Z. 3 und 11–12). Zur Datierung: Die Verweise auf „die Berliner“ (Z. 3), die Feier am 27. November (Z. 4) und auf Louise Kautsky (Z. 13–14) sind deutliche Indizien dafür, daß der Brief 1890 geschrieben wurde. Datierung der Erstveröffentlichung: 27. November 1879. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Письма К. Шорлеммера К. Марксу и Ф. Энгельсу; in der Sprache des Originals wird der Brief hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 377.3

die Berliner ] Schorlemmer meinte damit August Bebel, Wilhelm Liebknecht und Paul Singer vom SPD-Parteivorstand aus Berlin. Siehe August Bebel an Engels, 5. oder 6. November 1890 (Br. 342.21).

377.13–14

an Luise ] Louise Kautsky, geb. Strasser.

1350

378 Paul Stumpf an Friedrich Engels in London Mainz, Donnerstag, 27. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6054/L VIII 674. Fotosign. 12045a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 441 × 285 mm. Stumpf hat die erste und zweite Seite vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: Monz: Der Mainzer Paul Stumpf ... (1986). S. 308/309. ERLÄUTERUNGEN 378.7

Lehrer und Meister bis schafft ] Abwandlung der Worte von Mephistopheles, er sei „ein Teil von jener Kraft, die stets das Böse will und stets das Gute schafft“ (Johann Wolfgang von Goethe: Faust. Der Tragödie Erster Teil. Studierzimmer).

378.14

„diesen Kuß der ganzen Welt“ ] Friedrich Schiller: Ode „An die Freude“.

378.25

In einer dreizeiligen Meldung vom 25. November 1890 aus Berlin teilte die Zeitung mit, daß Engels seinen 70. Geburtstag feiere: Friedrich Engels feiert am Freitag ... In: Mainzer Volkszeitung. Nr. 74, 27. November 1890. S. 2, Sp. 1.

1351

379 Bundeskomitee des Schweizerischen Gewerkschaftsbundes an Friedrich Engels in London Zürich, vor Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5641/L VIII 281. Fotosign. 14901. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 207 × 258 mm. Die erste Seite ist zu einem Drittel beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Schweizerischer Gewerkschaftsbund. Fe´de´ration suisse des syndicats professionels. Bundescomite“. Unter dem Text steht der Stempel des „Comite des Gewerkschaftsbundes Schweiz“. Von unbekannter Hand: Vermerke mit Blaustift auf der ersten Seite: „pr. E. B. & C “ oben links; Unterstreichung der Datumszeile; „30/ “ „f (Egg)“ unter der Datumszeile. Der Beschreibstoff, die Handschrift und die weitgehende Übereinstimmung des Textes mit Br. 380 sowie die Notiz auf Br. 380 lassen vermuten, daß auch dieser Brief von Emil Beck, dem damaligen Sekretär des Bundeskomitees, geschrieben wurde. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1352

380 Landesausschuß der organisierten deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz an Friedrich Engels in London Zürich, vor Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 388/L I 235. Fotosign. 14902. Der Brief besteht aus einem Blatt mittelstarkem, weißem, kariertem Papier im Format 207 × 258 mm. Emil Beck hat die erste Seite zu einem Drittel beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Vermerke mit Blaustift auf der ersten Seite: „pr. E. B. & C.“ oben links; Unterstreichung der Datumszeile; „30/ “ „f (Eggs)“ unter der Datumszeile; auf der Rückseite: „D. Soz. der Schweiz“ und „Schweiz. Gewerksch. Bund“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 380.5

Die deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz hatten eine eigene Organisation, deren leitendes Organ der „Landesausschuß der organisierten deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz“ war (Dommer, Gruner: Entstehung und Entwicklung der schweizerischen Sozialdemokratie. Bd. 3. S. 209/210).

1353

381 Caroline Schoeler an Friedrich Engels in London Koblenz, vor Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5603/L VIII 241. Fotosign. 11977xa–b. Der Brief besteht aus einem Blatt weißem Karton im Format 90 × 112 mm. Schoeler hat beide Seiten vollständig beschrieben. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 381.7–8

1354

Caroline Schoeler und Engels kannten sich wahrscheinlich seit 1848; 1887 hatte sie während eines Aufenthalts in London bei Engels gewohnt (Gemkow: Caroline Schoeler ... S. 243 und 248).

382 Ignaz Zadek an Friedrich Engels in London London, vor Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6455/L IX 403. Das Schreiben ist eine Visitenkarte auf weißem Karton im Format 101 × 60 mm. Zadek hat die Rückseite vollständig beschrieben. Auf der Vorderseite ist der Aufdruck: „Dr. Ignaz Zadek Arzt Berlin, S. Annen Str. 46, Ecke Prinzenstrasse.“. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Die Karte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 382.2–3

Zadek kannte Engels persönlich, spätestens seit einem Besuch in London im März 1890 zusammen mit Julie Romm, siehe Engels an Wilhelm Liebknecht, 9. März 1890 (Br. 112.71); Zadek war Engels jedoch schon vorher bekannt, siehe Engels an Doris Zadek, 13. Februar 1890 (Entwurf) (Br. 102.16).

382.4

des schweren Verlustes ] Gemeint ist der Tod von Helena Demuth am 4. November 1890, siehe Erl. 344.8–9.

1355

383 Victor und Emma Adler an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 10/L I 2–1. Fotosign. 2148. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Engels antwortete am 12. Dezember 1890 (VGA, Adler-Archiv, Sign. M113/T1). Erstveröffentlichung: Adler, Engels: Bw (2009). S. 26.

1356

384 Heinrich Braun an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 833/L II 197. Fotosign. 17126. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1357

385 Hermann Engels an Friedrich Engels in London Barmen, Freitag, 28. November 1890

Der Standort der Originalhandschrift ist zur Zeit nicht bekannt. Die Veröffentlichung erfolgt nach einer Fotokopie: RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/22. Fotosign. 539. Soweit aus der Fotokopie zu ersehen ist, besteht der Brief aus einem Bogen. Hermann Engels hat zwei Seiten vollständig beschrieben. Die letzte Passage (Z. 26–29) steht quer am linken Rand der zweiten Seite geschrieben. Der Brief ist am oberen Rand gelocht. Hermann Engels antwortet auf einen nicht überlieferten Brief von Engels, geschrieben zwischen dem 18. und 28. November 1890 (Z. 3 und 5–6). Engels’ Antwort erfolgte zwischen dem 28. November und 8. Dezember 1890, sie ist nicht überliefert (Hermann Engels an Engels, 8. Dezember 1890, RGASPI, Sign. f. 9, op. 1, d. 12/23 [Fotokopie]). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 385.3

Trauernachricht ] Gemeint ist die Nachricht vom Tod von Helena Demuth am 4. November 1890, siehe Erl. 344.8–9.

385.5–6

Nun einstweilen bis Ersatz ] Zur Ankunft von Louise Kautsky in London siehe Erl. 352.5–6.

385.8

Schreibereien wegen unseres Sherry ] Siehe Hermann Engels an Engels, 20. September 1890 (Br. 282.11–19), Engels an Hermann Engels, 22. September 1890 (Br. 287.1), Hermann Engels an Engels, 15. und 27. Oktober 1890 (Br. 315.3–18 und 334.9–26).

385.20

Emil ] Karl Emil Blank.

385.21

Frau u. Kind ] Betty und Robert Blank.

385.24

Emma ] Emma Engels.

1358

386 Leo Frankel an Friedrich Engels in London Paris, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 1909/L III 364. Fotosign. 17120. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Engels antwortete am 25. Dezember 1890 (veröffentlicht in: Levelek Frankel Leo´hoz. Közli e´s forditotta Me´rö Gyla. In: Ne´pszava. Budapest. 3. Juni 1906. S. 2, Sp. 3, bis S. 4, Sp. 1). Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1359

387 August Heinemann an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2320/L IV 306. Fotosign. 8350. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 112 × 180 mm. Heinemann hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Von unbekannter Hand: Numerierung: „15“ mit Bleistift auf der ersten Seite; Unterstreichung von „70. jährigen“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht.

1360

388 Emma Ihrer, Wolfgang Wunderlich und Johann Meyer an Friedrich Engels in London Bochum, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5987/L VIII 426. Fotosign. 17117a–b. Das Telegramm besteht aus zwei Blättern dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Camden Rd B. O. N. W C N 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1361

389 Minna Kautsky an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2724/L V 210. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1362

390 Paul Lafargue an Friedrich Engels in London Le Perreux, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3215/L V 311. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem, kariertem Papier im Format 265 × 208 mm. Lafargue hat die erste Seite vollständig beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Dem Brief wurde das Glückwunschschreiben des Conseil national du Parti ouvrier vom 27. November 1890 (Br. 373) beigelegt (Z. 3–4). Erstveröffentlichung: Engels, Lafargue: Correspondance 3 (1959). S. 505. ERLÄUTERUNGEN 390.9

Ludovic Hale´vy: Monsieur et Madame Cardinal. Paris 1872.

390.11

Longuet maintien sa candidature ] Bei der Nachwahl zur Deputiertenkammer am 16. November 1890 hatte Charles Longuet nur den dritten Platz erreicht. Er sollte durch einen anderen Kandidaten ersetzt werden. Siehe Paul und Laura Lafargue an Engels, 19. November 1890 (Br. 355.3–23 und Erl.).

1363

391 Friedrich Leßner an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 3392/L V 357–46. Fotosign. 8639a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 252 × 222 mm. Leßner hat die erste und dritte Seite vollständig beschrieben, die vierte zur Hälfte, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Erstveröffentlichung: Leßner: Ich brachte das „Kommunistische Manifest“ zum Drucker (1975). S. 207–209. ERLÄUTERUNGEN 391.5

Meine Frau ] Maria Leßner.

391.5

die Kinder ] Charles, Emilie, Kate, Louise, Laura und Maria Leßner.

391.25

Lieben Frau ] Elizabeth Burns.

391.26

Frau Lanque ] Jenny Longuet.

391.28

Philipp Backer ] Philipp Becker.

391.30

die treue Helene ] Helena Demuth.

1364

392 Mitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 960/L III 19. Fotosign. 17119a. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Der Schluß des Telegramms fehlt. Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Die Fotosignatur deutet darauf hin, daß das Telegramm aus zwei Blättern bestanden hat (RGASPI, Sign. f. 374, op. 1, d. 44, l. 46), auf der zweiten Seite befand sich der ergänzte Text. Als Beleg dazu ist nur eine Abschrift überliefert (RGASPI, Sign. f. 1, op. 5, d. 2290, l. 18). Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 392.5–6

com arb [bil verein ] Zum Communistischen Arbeiterbildungsverein siehe Erl. 154.3–4.

1365

393 Österreichische Sozialdemokratie, „Arbeiter-Zeitung“ und „Volkspresse“ an Friedrich Engels in London Wien, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 103/L I 14. Fotosign. 17116. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Auf dem Blatt unten sind die Wörter „brudergruss“ und „arbeiterzeitung“ (Z. 3–5) wiederholt ausgeschrieben. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1366

394 Eugen Oswald an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5198/L VII 225. Fotosign. 8569. Der Brief besteht aus einem Blatt festem, weißem Papier im Format 113 × 180 mm. Oswald hat die erste Seite zur Hälfte beschrieben, die zweite ist leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: “16, St. Mark’s Crescent, Regent’s Park. N. W.“ Archivsignatur: „II 21 K 190“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 394.5

Oswald nahm an der Feier teil, siehe Engels an Laura Lafargue 1. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5843).

1367

395 Philipp Viktor und Ida Pauli an Friedrich Engels in London Höchst/Main Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5211/L VII 245. Fotosign. 17122. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 395.6

1368

Frau ] Ida Pauli.

396 Redaktion des „Berliner Volksblatt“ an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 431/L IX 132. Fotosign. 17125. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1369

397 Russische Sozialdemokraten in Bern an Friedrich Engels in London Bern, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5994/L VIII 425. Fotosign. 17115a–b. Das Telegramm besteht aus zwei Blättern dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Erstveröffentlichung: in russischer Übersetzung: Переписка К. Маркса и Ф. Энгельса с русскими политическими деятелями (1947). S. 234; in der Sprache des Originals wird das Telegramm hier erstmals veröffentlicht.

1370

398 Sozialdemokraten aus Fürth an Friedrich Engels in London Fürth, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5988/L VIII 429. Fotosign. 17123. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1371

399 Sozialdemokraten Württembergs an Friedrich Engels in London Stuttgart, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5983/L VIII 434. Fotosign. 17121. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1372

400 Die Sozialdemokratie Leipzig Stadt und Land an Friedrich Engels in London Leipzig, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5990/L VIII 432. Fotosign. 17118. Das Telegramm besteht aus einem Blatt dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich der Poststempel: „Camden Rd B. O. N. W. C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1373

401 Sozialdemokratischer Verein des Ersten Hamburger Wahlkreises an Friedrich Engels in London Hamburg, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5989/L VIII 430. Fotosign. 17124a–b. Das Telegramm besteht aus zwei Blättern dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf dem Telegramm befindet sich auf jedem Blatt der Poststempel: „London Western Office P No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht.

1374

402 Sozialdemokratischer Wahlverein für den Zweiten Berliner Reichstagswahlkreis an Friedrich Engels in London Berlin, Freitag, 28. November 1890 (Telegramm)

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 5986/L VIII 424. Fotosign. 17114a–b. Das Telegramm besteht aus zwei Blättern dünnem, weißem Papier im Format 220 × 140 mm. Ort, Zeit, Adresse und Text wurden von einem Postbeamten in das Formular eingetragen (hier in Kapitälchen wiedergegeben). Schreibmaterial: Bleistift. Auf beiden Blättern befindet sich der Poststempel: „Chalk Farm Rd B. O. N. W C No 28 90“. Das Telegramm wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 402.7

Otto Klein könnte 1885 Metallarbeiter und Vorsitzender der „Vereinigung Berliner Metallarbeiter“ gewesen sein, 1889 war er Zigarrenhändler, Delegierter des Parteitages in Halle 1890 und Stadtverordneter in Berlin zwischen 1890 und Mai 1893. (Reuter: Singer. S. 622; „Die gemeingefährlichen Bestrebungen der Sozialdemokratie.“ Teil 1. S. 269.)

1375

403 E´douard Vaillant an Friedrich Engels in London Paris, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 6143/L IX 79. Fotosign. 12078a–b. Der Brief besteht aus einem Bogen mittelstarkem, weißem Papier im Format 208 × 134 mm. Vaillant hat die erste Seite vollständig beschrieben, die zweite zu drei Vierteln, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Der Brief trägt auf der ersten Seite oben links den Aufdruck: „Ville de Paris Conseil Municipal“. Engels beantwortete den Brief am 5. Dezember 1890 ( RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5708). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 403.5–6

le malheur bis Madame He´le`ne ] Gemeint ist der Tod von Helena Demuth am 4. November 1890, siehe Erl. 344.8–9.

403.6

content de voir ] Zur Reise von Helena Demuth mit Laura Lafargue nach Frankreich siehe Erl. 218.3.

403.26

Toute ma famille ] Gemeint sind Vaillants Mutter Marie Anne Vaillant, seine Lebensgefährtin Charlotte Rose Franc¸oise und beider Sohn Jacques Vaillant.

1376

404 Vorstandsmitglieder des Communistischen Arbeiterbildungsvereins an Friedrich Engels in London London, Freitag, 28. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 959/L III 17. Fotosign. 14905. Der Brief besteht aus einem Bogen festem, weißem Papier im Format 226 × 180 mm. Wahrscheinlich hat das Vorstandsmitglied Richard George die ersten zwei Seiten vollständig beschrieben, die übrigen zwei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der ersten Seite oben rechts trägt der Brief den Stempel: „Communistischer Arbeiter Bildungs Verein Communist Working Men’s Club 49, Tottenham St, W.“ Von Engels’ Hand: Vermerk mit Tinte: „C.A.B. Verein“ auf der dritten Seite quer geschrieben. Archivsignatur: „II 21 I 12“. Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNG 404.13–14

Com. Arb. Bild. Vereins ] Zum Communistischen Arbeiterbildungsverein in London siehe Erl. 154.3–4.

1377

405 Eduard Gumpert an Friedrich Engels in London Berlin, Sonntag, 30. November 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 2086/L IV 88. Fotosign. 8115. Die Postkarte hat das Format 91 × 140 mm. Gumpert hat die Rückseite vollständig beschrieben, die Vorderseite für die Anschrift verwandt. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Auf der Vorderseite befindet sich ein Poststempel: „Berlin, N. W. 6. 30 11 90 a 8–9 N“ und eine aufgedruckte 10-Pfennig-Briefmarke. Archivsignatur: „II 21 F 14 b“. Die Postkarte wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 405.7

Zu Eduard Gumperts Besuch in Berlin siehe seinen Brief an Engels vom 18. November 1890 (Br. 353.2–3).

405.8–9

kommst bis zu uns ] Eduard und Mathilde Gumpert hatten Engels nach dem Tod von Helena Demuth zu sich nach Manchester eingeladen, siehe ihren Brief an Engels vom 11. November 1890 (Br. 347.7–8).

1378

406 Laura Lafargue und Jenny Longuet an Friedrich Engels in London Le Perreux, vor Montag, 1. Dezember 1890

Originalhandschrift: IISG, Marx-Engels-Nachlaß, Sign. L 4851/L VII 1–1. Fotosign. 14942. Der Brief besteht aus einem Bogen dünnem, weißem Papier im Format 251 × 202 mm. Wasserzeichen: „Imperial Treasury De La Rue“ und eine Krone über Monogramm. Laura Lafargue und Jenny (Me´me´) Longuet haben die erste Seite zu zwei Dritteln beschrieben, die übrigen drei sind leer. Schreibmaterial: schwarze Tinte. Zur Datierung: Engels beantwortet die Frage von Jenny Longuet (Z. 9) in seinem Brief an Laura Lafargue vom 1. Dezember 1890 (RGASPI, Sign. f. 1, op. 1, d. 5843). Daher ist der Brief wahrscheinlich vor dem 1. Dezember 1890 geschrieben worden. Siehe auch Engels’ Briefe an Laura und Paul Lafargue vom 4. Juli (Br. 218.24–26) und vom 24. September 1890 (Br. 293.43). Der Brief wird hier erstmals veröffentlicht. ERLÄUTERUNGEN 406.1

Me´me´ ] Jenny Longuet.

406.3–4

Abgewandelt vom englischen Kinderreim „Sing a song of sixpence“.

406.9

Zu Engels’ sonnenverbrannter Nase und Me´me´s Interesse dafür siehe Br. 218.24–26 und 293.43.

1379

VERZEICHNIS NICHT ÜBERLIEFERTER BRIEFE VON UND AN ENGELS (OKTOBER 1889 BIS NOVEMBER 1890)

Verfasser und Empfänger

Datierung

Quelle

E. an Wilhelm Liebknecht

3. Oktober 1889 (Original)

Br. 2

Friedrich Adolph Sorge an E. 8. Oktober 1889

Br. 48.3

E. an August Bebel

9. Oktober 1889

Br. 9.3

Samuel Moore an E.

vor dem 11. Oktober 1889

Br. 8.13–15; Br. 10.42–48

Laura Lafargue an E.

zwischen dem 17. und 27. Oktober 1889

Br. 10, Br. 19.4

E. an J. H. Johnson, Son & Ellis

15. November 1889 (Original)

Br. 30

Eleanor Marx Aveling an E.

19. oder 20. November 1889

Br. 38.4

Charles Bonnier an E.

vor dem 20. November 1889

Br. 38.5–6, 54–55

Samuel Moore an E.

vor dem 23. November 1889

Br. 48.91

E. an Paul Lafargue

nach dem 23. November 1889

Br. 43.3–5

E. an Paul Lafargue

nach dem 26. November 1889

Br. 46.4–5

Paul Lafargue an E.

vor dem 30. November 1889

Br. 43.4–5

Paul Lafargue an E.

vor dem 5. Dezember 1889

Br. 46.5

E. an Paul Lafargue

vor dem 14. Dezember 1889

Br. 61.10–11 und Erl.

E. an Emma Pfänder

vor dem 17. Dezember 1889

Br. 55.5

E. an Gerson Trier

18. Dezember 1889 (Original)

Br. 57

E. an Charles Bonnier

zwischen 18. und 24. Dezember 1889

Br. 56.22–24 und Erl.; Br. 76.26–27

E. an Paul Lafargue

zwischen 22. und 24. Dezember 1889

Br. 61.35; Br. 64.4 und ZB

Louis Kugelmann an E.

vor dem 29. Dezember 1889

E. an Victor Adler E. an August Bebel

Br. 65; Br. 68.3 und Erl. vermutlich vor dem 31. Dezember Br. 94.5 1889 um den 31. Dezember 1889

Br. 71.3 und ZB

1383

Verzeichnis nicht überlieferter Briefe von und an Engels Verfasser und Empfänger

Datierung

Quelle

Doris Zadek an E. und Helena Demuth E. an Charles H. Rosher

Ende 1889 oder Anfang 1890

Br. 102.1–3

3. Januar 1890

Br. 75.5

zwischen 7. und 10. Januar 1890 zwischen 10. und 14. Januar

Br. 75; Br. 79.4

zwischen 14. und 19. Januar 1890 (Original) zwischen 8. Dezember 1889 und 6. Februar 1890

Br. 89 und ZB; Br. 93.5 Br. 49; Br. 100.6

zwischen 30. Januar und etwa Ende März 1890

Br. 98; Br. 130.4

E. an Charles H. Rosher E. an Charles H. Rosher E. an Charles H. Rosher E. an William Burns E. an Vera Ivanovna Zasulicˇ

Friedrich Adolph Sorge an E. vor dem 8. Febr. 1890 (zwei Postkarten) E. an Doris Zadek nach dem 13. Februar 1890 (Original) Laura Lafargue an E.

Br. 101.3 Br. 102

E. an Louis Kugelmann

vor dem 9. März 1890

Br. 111; Br. 116.3–4 und Erl. Br. 113.2–4

Wilhelm Liebknecht an E.

vor dem 9. März 1890

Br. 112.57–58

E. an Paul Lafargue E. an August Bebel

zwischen 14. und 25. März 1890 19. März 1890

Br. 116; Br. 120.3 Br. 124.4–5

E. an Conrad Schmidt

nach dem 8. März 1890

E. an Antonio Labriola

30. März 1890 (Original)

Br. 128.33–34 und Erl. Br. 122

E. an August Bebel E. an Heinrich Dietz

zwischen 31. März und 9. April 1890 zwischen 3. und 7. April 1890

E. an Heinrich Dietz

10. April 1890 (Original)

Br. 143 und ZB; Br. 144.8–12

E. an Wilhelm Hoffmann Laura Lafargue an E.

15. April 1890 vor dem 16. April 1890 (Anfang des Briefes)

Br. 166.7 Br. 148; Br. 149.7

Laura Lafargue an E.

zwischen 16. April und 10. Mai 1890 vor dem 18. April 1890

Br. 149.11; Br. 169.4

zwischen 18. April und 29. Juni 1890

Br. 152.21–23; Br. 208.4–5

E. an Rudolf Meyer E. an Rudolf Meyer

1384

zwischen 7. und 14. März 1890

Br. 79.4; Br. 86

Br. 124; Br. 140.3 Br. 131.13–21; Br. 138.3–5 und ZB

Br. 152.5

Verzeichnis nicht überlieferter Briefe von und an Engels Verfasser und Empfänger

Datierung

Quelle

E. an Isidor Ehrenfreund

19. April 1890 (Original)

E. an Antonio Labriola

zwischen 19. und 24. Mai 1890

Br. 156.21; Br. 118.3–5 und Erl; Br. 118.ZB; MEGA➁ I/31 S. 249–251 und 1033–1034 Br. 180.3–4; Br. 181.1

E. an Heinrich Dietz E. an F. Roux

22. Mai 1890 22. Mai 1890

Br. 179.3 Br. 162.ZB; Br. 192

Hermann Engels an E.

28. bzw. 30. Mai 1890

E. an Unbekannt

nicht später als 29. Mai 1890

Br. 282.6, 11; Br. 287.1 Br. 183.65–67

E. an Richard Theodore Ely

nicht später als 29. Mai 1890

Br. 183.70–71

E. an Natalie Liebknecht

zwischen 2. und 19. Juni 1890

E. an Wilhelm Liebknecht

zwischen 2. und 19. Juni 1890

Br. 186.57–68; Br. 201.3 Br. 186.57–68; Br. 197.15–16 und Erl.; Br. 201.14

Natalie Liebknecht an E. (zwei Briefe) E. an Paul Ernst

zwischen 2. und 19. Juni 1890 5. Juni 1890 (Original)

Br. 186.57–68; Br. 201.3–6, 11–13 Br. 188

E. an Jo´zef Wierzejski

zwischen 12. und 16. Juni 1890

Br. 194; Br. 198.4, 33

E. an Charles Bonnier E. an Paul Singer

18. Juni 1890 vor dem 19. Juni 1890

Br. 197.ZB Br. 201.14

Wilhelm Liebknecht an E. E. an Frederick Borkheim

zwischen 19. und 30. Juni 1890 30. Juni bzw. 1. Juli 1890

Br. 202; Br. 210 Br. 206.ZB; Br. 212.3

E. an Heinrich Dietz

zwischen 28. Juni und 15. Juli 1890 zwischen 22. Juli und 1. August 1890

Br. 206; Br. 224.3

Wilhelm Liebknecht an E.

Br. 226; Br. 232.ZB

E. an Carl Geibel

30. Juli 1890

Br. 233.3

Wilhelm Liebknecht an E.

zwischen 1. und 10. August 1890

Br. 232; Br. 242.8

E. an Strutt & Parker

2. August 1890

Br. 238.4

E. an Edouard Anseele

5. August 1890

Br. 217.ZB

E. an National Amalgamated 9. August 1890 Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland

Br. 243.6

E. an August Bebel

12. August 1890

Br. 256.3

E. an die Redaktion des „Sozialdemokrat“

15. oder 16. August 1890

Br. 248.4

1385

Verzeichnis nicht überlieferter Briefe von und an Engels Verfasser und Empfänger

Datierung

Quelle

E. an Eduard Bernstein E. an Eduard Bernstein

vor dem 19. August 1890 20. August 1890

Br. 250.4 Br. 252.4

E. an Eduard Bernstein E. an Eduard Bernstein

21. August 1890 zwischen 21. und 30. August 1890

Br. 252.4 Br. 252.4; Br. 259.7–8

August Bebel an E.

zwischen 27. August und 18. September 1890

Br. 256; Br. 275.8 und Erl.

E. an Eduard Bernstein

zwischen 30. August und 3. September 1890

Br. 259; Br. 263.22–23

E. an Walery Wro´blewski

zwischen 30. August und 20. September 1890

Br. 261; Br. 283.4

E. an Richard Fischer E. an Charles Bonnier

vor dem 4. September 1890 zwischen 9. und 15. September 1890

Br. 265.2 Br. 268; Br. 272.5 und Erl.

E. an August Bebel

zwischen 9. und 19. September 1890 zwischen 20. September und 7. Oktober 1890

Br. 268; Br. 276.44–45 Br. 307.3, 25 und Erl.

E. an William H. Brett

frühestens 22. September 1890

Br. 287.9; Br. 315

E. an Jakins E. an Strutt & Parker

23. September 1890 (Original) 23. September 1890 (Original)

Br. 290 Br. 291

E. an August Bebel E. an Laura Lafargue

zwischen 23. und 25. September Br. 289; Br. 294.7– 1890 10; Br. 296.3–10 spätestens 27. September 1890 Br. 301.32

E. an Paul Lafargue

vor dem 28. September 1890

Wilhelm Liebknecht an E.

Br. 303.6 und Erl.; Br. 304.4

E. an National Amalgamated 28. September 1890 Sailors’ & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland

Br. 266.ZB

E. an Michael Maltman Barry 29. September 1890

Br. 299.ZB

E. an Michael Maltman Barry vor dem 13. Oktober 1890

Br. 309.3

E. an Hermann Engels

zwischen 15. und 27. Oktober 1890

Br. 315; Br. 334.3

E. an Friedrich Leßner

zwischen 16. und 18. Oktober 1890

Br. 318; Br. 322.3

E. an August Bebel

zwischen 19. und 24. Oktober 1890

Br. 324.61–62; Br. 325.6–7; Br. 328.3 und ZB; Br. 342.9 und Erl.

E. an Paul und Laura Lafargue

zwischen 19. und 26. Oktober 1890

Br. 332.26–27, 37

1386

Verzeichnis nicht überlieferter Briefe von und an Engels Verfasser und Empfänger

Datierung

Quelle

E. an Ludwik Krzywicki

nach dem 24. Oktober 1890 (Original) 4. oder 5. November 1890

Br. 330

E. an Friedrich Leßner E. an Louise Kautsky

4. oder 5. November 1890 vermutlich 4. oder 5. November 1890

Br. 341.3–4 und ZB Br. 345.3–4 und Erl.

E. an Carl Schorlemmer

vermutlich 4. oder 5. November 1890 zwischen 4. und 15. November 1890

Br. 347.4–5

Louise Kautsky an E. (Telegramm)

zwischen 5. und 9. November 1890

Br. 344.3–5

E. an Louise Kautsky E. an Karl Kautsky

9. November 1890 (Original) zwischen 9. und 30. November 1890

Br. 344 Engels: Bw. mit Kautsky S. 265; Erl. 344.80

E. an Victor Adler (Telegramm) E. an Hermann Engels

16. November 1890

Br. 352.10–13 und Erl. Br. 352.3–10 und Erl. 352.5–6; Br. 385.3–5, 5–7

E. an Georg Lesemann

25. November 1890

Br. 336.ZB; Georg Lesemann an E., 12. Dezember 1890

E. an Carl Schorlemmer E. an Hermann Engels

vor dem 27. November 1890 zwischen 28. November und 8. Dezember 1890

Br. 377.3, 12–13 Br. 385.ZB; Hermann Engels an E., 8. Dezember 1890

E. an August Bebel (Telegramm)

E. an Rudolf Meyer

zwischen 18. und 28. November 1890

Br. 339.3–4; Br. 342.3–4 und ZB

Br. 351.17

1387

Namenregister Adam Gestalt aus der Bibel, im Alten Testament der erste, von Gott erschaffene Mensch. 321 417 Adam, Juliette (geb. Lamber) (1836−1936) französische Schriftstellerin und Publizistin; gründete 1879 die Zeitschrift „La Nouvelle Revue“ und leitete sie bis 1890. 66 186 199 205 385 417 796 1156 Adler, Emma (geb. Braun) (1858−1935) österreichische Schriftstellerin und Publizistin; Sozialdemokratin; Mitarbeiterin an der „Arbeiter-Zeitung“; aktive Teilnahme an der internationalen sozialistischen Frauenbewegung; Ehefrau von Victor Adler. 85 169 560 562 614 814 900 1311 1312 1356 Adler, Victor (1852−1918) österreichischer Arzt, Journalist und Politiker; Mitbegründer und führendes Mitglied der österreichischen Sozialdemokratie, Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1893; Redakteur der „Gleichheit“ und der „Arbeiter-Zeitung“; Mitglied des Reichsrats (1905−1918). 82–85 91 94 168 169 249 414 501 508−510 518 519 527–529 560 561 562 570 573 614 674 678 680 688 689 697–699 701 727 849 897 899 900 916 933 1008 1137 1187 1223 1265 1311 1312 1318 1321 1356 Aisopos (Aesop) (6. Jh. v. Chr.) griechischer Fabeldichter. 1031 Aleksandr III (Väterchen) (1845−1894) Kaiser von Rußland (1881−1894). 90 173 173 205 214 228 237 262 441 820 905 940 948 965 976 994 1084 1182 Alexandre, Louis französischer Sozialist; Sekretär der Pariser Agglome´ration des POF; Mitglied des Redaktionskomitees von „L’Ide´e Nouvelle“. 288 289 1185 1198 Alexis, Paul (1847−1901) französischer Schriftsteller und Dramatiker. 1191 Alisov (Alisoff), Petr Fedoseevicˇ (1846 bis nach 1928) russischer revolutionärer Publizist; 1870−1917 Emigrant in Westeuropa. 1184 Allemane, Jean (Alemane, Allemanne) (1843−1935) französischer Typograph; Sozialist; Teilnehmer der Pariser Kommune; 1880 nach seiner Rückkehr von der Deportation Mitglied des PO, 1882−1890 Mitglied der possibilistischen FTSF, 1890 Mitbegründer des Parti ouvrier socialiste re´volutionnaire; Herausgeber und Redakteur der Zeitung „Le Parti Ouvrier“. 446 447 456 488 506 520 531 595 1188 1190 1239 Altazin, Henri französischer Arbeiter. 436 1173 Andersen, Signe (Jensigne) (1851−1928) dänische Lehrerin; Mitarbeiterin der revolutionären Wochenzeitung „Arbejderen. Socialistisk Ugeblad“; 1889 Mitglied des Hauptvorstandes des Socialdemokratisk Forbund und des Pressevorstandes; Mitglied der revolutionären Opposition innerhalb des Socialdemokratisk Forbund, 1889 Austritt aus der Partei, 1890 Beitritt und Mitglied des Zentralkomitees der Revolutionære Socialistiske Arbejderparti. 93 825

1391

Namenregister Andre´-Ge´ly, Emmanuel (1852−1895) französischer Gewerkschafter; Sozialist; seit 1879 Mitglied des PO, 1882 Mitglied der FTSF; Mitglied des Stadtrats von Paris; Teilnehmer des International Trades Unions Congress London (1888). 488 Anneke, Friedrich (1818−1872) preußischer Artillerieoffizier; 1846 wegen revolutionärer Tätigkeit aus der Armee entlassen; Mitglied des Bundes der Kommunisten; 1848 Mitbegründer und Sekretär des Kölner Arbeitervereins; Herausgeber der „Neuen Kölnischen Zeitung“; Teilnehmer der Revolution 1848/49; emigrierte in die Schweiz, dann in die USA; nahm auf Seiten der Nordstaaten am Amerikanischen Bürgerkrieg teil. 37 765 766 Anseele, Edouard (Eduard) (1856−1938) belgischer Buchdrucker und Publizist; Sozialdemokrat; 1885 Mitbegründer der Belgischen Werklieden Partij/Parti ouvrier belge; Begründer des „Volkswil“, des „Vooruit“ und der Genossenschaft „Vooruit“; Vizepräsident des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889, Teilnehmer des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und der Internationalen Konferenz während des Parteitages; Mitglied des Parlaments (seit 1894). 72 364 445 455 457 492 495 508 509 595 804 1096 1187 1198 1243 1247 Argyriades, Panajionis (Paul) (1849−1901) französischer Advokat und Publizist mazedonischer Herkunft; Mitglied des CRC; Herausgeber des „Almanach de la Question Sociale“, Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891 und 1893. 1184 Aristeides (Aristides) (etwa 530 bis um 467 v. Chr.) athenischer Politiker und Feldherr. 269 Arndt, Ernst Moritz (1769−1860) deutscher Schriftsteller, Historiker und Philologe; Professor in Greifswald und Bonn; 1849 Mitglied der Frankfurter Nationalversammlung. 346 1076 Auer, Ignatz (Ignaz, Nazi) (1846−1907) deutscher Sattler, Publizist und Politiker; seit 1869 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei, 1874 Sekretär des Parteiausschusses, 1875−1877 einer von zwei Sekretären der Partei; 1890 Mitglied im Parteivorstand der SPD; Mitglied des Reichstags (1877/1878, 1880/1881, 1884− 1887, 1890−1907). 18 58 245 303 413 419 431 437 473 509 518 563 597 739 788 1031 1137 1151 1174 August (1779−1843) Prinz von Preußen, Sohn des Prinzen Ferdinand, des jüngsten Bruders Friedrichs II. 916 August Görz Kaufhaus in Celle; Kunde der Firma Ermen & Engels, Barmen (Wuppertal). 549 Aveling, Edward Bibbins (Pseudonym Alex Nelson) (1849−1898) englischer Arzt, Schriftsteller und Publizist; Sozialist; beteiligt an der Übersetzung des ersten Bandes des „Kapitals“ ins Englische; 1884 Mitglied der Social Democratic Federation, 1884 Mitbegründer der Socialist League, 1893 der Independent Labour Party; beteiligte sich Ende der 1880er Jahre an der Gründung von „New Unions“; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse von 1889, 1891 und 1893; seit 1884 Lebensgefährte von Eleanor Marx. 9 34 39 55 68 79 80 96 99 104 110 114 118 123 134 146 157 177 195 199 200 202 206 230 282 283 296 299 300 318 319 325 352 381 395 409 439 440 444 457 459 472 478 480 485 490 506 515 520 531 558 564 567 568 570 573 576 580 597 691 731 734 769 794 803 811 826 852 868 932 1004 1013 1026 1047 1106 1118 1131 1179 1184 1198 1206 1209 1220 1242 1314 1318 Aveling, Eleanor siehe Marx-Aveling, Eleanor Avenel, Georges (1828−1876) französischer Historiker und Publizist; Verfasser mehrerer Werke zur Geschichte der Französischen Revolution. 82 85 169 Baake, Curt (Kurt) (1864−1938 oder 1940) deutscher Publizist; seit 1884 Redakteur des „Berliner Volksblatt“, 1892/1893 der „Neuen Welt“; 1896−1917 Herausgeber der „Parlaments- Kongreß- und Gerichtsberichterstattung“ für die sozialdemokratische Presse; 1890 Mitbegründer des Vereins „Freie Volksbühne“. 53

1392

Namenregister Baccarini, Alfredo (1828−1890) italienischer Politiker; Minister für öffentliche Arbeiten (1878–1883); nach seinem Rücktritt einer der Führer der Opposition. 949 Bading, Max (geb. 1852) deutscher Kaufmann; juristischer Inhaber der Allgemeinen deutschen Associations-Buchdruckerei, in der seit 1884 das „Berliner Volksblatt“ hergestellt wurde. 563 1313 Baginski, Max (1864−1943) deutscher Schuhmacher und Publizist; Sozialdemokrat; gehörte 1889/1890 der Opposition der „Jungen“ an, später Anarchist und Syndikalist; emigrierte 1893 in die USA; Mitarbeiter der „Chicagoer Arbeiter-Zeitung“, Herausgeber anarchistischer Zeitungen. 408 424 425 956 Bahlmann, Ignatius (gen. Ignaz) (1852−1934) niederländischer Finanzier; lebte seit 1882 in Dresden, seit 1891 in Weimar; unterstützte die sozialdemokratische Partei während des Sozialistengesetzes; über Ferdinand Domela Nieuwenhuis Kontakte zwischen deutschen und niederländischen Sozialdemokraten. 400 1137 Bahr, Hermann (1863−1934) österreichischer Kunst- und Literaturkritiker, Schriftsteller und Dramaturg. 321 326 328 1049 1055 Bakunin, Michail Aleksandrovicˇ (1814−1876) russischer Revolutionär und Publizist; Theoretiker des Anarchismus. 31 Bamberger, Caroline (geb. Bernstein) (1855−1884) Schwester von Eduard Bernstein, zweite Ehefrau von Jakob Bamberger. 1255 Bamberger, Elise (geb. Bernstein) (1853−1875) Schwester von Eduard Bernstein, erste Ehefrau von Jakob Bamberger. 1255 Bamberger, Jakob (Bam) (1847−1907) deutscher Sozialdemokrat; Mitbegründer und Drucker des „Berliner Volksblatt“, Geschäftsführer der Druckerei; Delegierter des Parteitags der Sozialdemokratie 1890 in Halle für den Wahlkreis Rinteln-Hofgeismar; verheiratet mit Elise, später mit Caroline Bernstein. 501 1255 1272 Baring Brothers & Co, Londoner Bankhaus seit 1807; Emmission von Staatsanleihen verschiedener Regierungen; 1890 nach der „Baring Krise“ Reorganisation als Baring Brothers & Co. Ltd. 578 1325 Bark, Ernst (Ernesto) (1858 bis vor 1924) Journalist und Publizist deutsch-baltischer Herkunft aus Rußland; seit 1880 Emigrant in der Schweiz, danach in Spanien. 199 933 Barnay, Marius Antonin um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“; Verfasser mehrerer medizinischer Schriften. 1184 Baron siehe Kautsky, Karl Barry, Michael Maltman (1842−1909) britischer Journalist; 1871/1872 Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation, Delegierter des Haager Kongresses (1872); freier Mitarbeiter verschiedener Zeitungen, vor allem des konservativen „The Standard“; langjährige Zusammenarbeit mit Marx und Engels, die 1893 von Engels abgebrochen wurde. 180 486 499 912 1237 1253 Barth, Paul (1858−1922) deutscher Philosoph, Soziologe und Pädagoge; Professor in Leipzig (seit 1897). 350 389 529 545 700 Barzilai, Salvatore (1860−1939) italienischer Politiker und Redakteur; Republikaner; 1889 Redakteur der Zeitung „La Tribuna“ (Rom); Mitglied der Abgeordnetenkammer (1890–1919), danach des Senats. 969 Basly, E´mile Joseph (1854−1928) französischer Bergarbeiter und Gewerkschafter; Sozialist; Organisator der Bergarbeiterstreiks 1880 und 1884; Präsident des Bergarbeiterverbandes; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Mitglied der Deputiertenkammer für die Republikaner (1885−1889), für den POF (seit 1891). 4 10 713 723 Bateman, George S. (etwa 1852−1935) englischer Schriftsetzer, Buchbinder und Journalist; Sozialist; Mitglied der Social Democratic Federation; Mitarbeiter von „Justice“ und „Labour Elector“; veröffentlichte 1887 „Socialism and Soldiering“. 179 Baudin, Euge`ne (1853−1918) französischer Porzellanarbeiter; Sozialist; 1870 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune; Emigration

1393

Namenregister über die Schweiz und Deutschland nach England, 1880 Rückkehr nach Frankreich; Mitglied des CRC; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1898). 4 6 10–12 42 54 289 379 713 735 782 1019 1184 Bauer, Bruno (1809−1882) deutscher Religionsforscher, Philosoph und Publizist; nach 1839 führender Theoretiker der Junghegelianer; nach der Revolution 1848/49 Mitarbeiter der „Neuen Preußischen Zeitung“ („Kreuz-Zeitung“) (Berlin); nach 1866 Nationalliberaler; Bruder von Edgar Bauer. 26 30 Bauer, Edgar (1820−1886) deutscher Publizist; Junghegelianer; emigrierte nach der Revolution 1848/49 nach England; Informant der dänischen Polizei in London; 1859 Redakteur der „Neuen Zeit“ (London); nach der Amnestie von 1861 preußischer Beamter; Bruder von Bruno Bauer. 26 30 Bax, Ernest Belfort (1854−1926) englischer Historiker, Philosoph, Schriftsteller und Journalist; Sozialist; 1884 Mitbegründer der Social Democratic Federation, der Socialist League, 1911 der British Socialist Party; Redakteur der Zeitungen „Justice“ und „Today“; 1890−1891 Herausgeber der Monatszeitschrift „Time“. 16 39 89 90 97 115 160 180 199 206 510 731 742 768 820 827 1004 1184 Bebel, August (1840−1913) deutscher Drechsler und Politiker; seit 1866 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1869 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; seit 1892 Vorsitzender der SPD; Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867−1870) und des Deutschen Reichstags (1871−1881, 1883−1913). 4 6 10 17–19 22 24 56–58 62 104 109 115 118 127 128 169 171 183 188 196 197 207 219 220 242 244 245 257 283 295 303 322 323 386 396 408 413 414 416 417 419 420 422 423 431 437 440 442 449 453 471 473 474 480−482 489 492 508 509 514 516 518 519 525 527 531 533 534 538 546 557 563 595 637 674 677–679 688 689 695 697 701 710 711 716 717 736 738 786 844 862 902 915 920 928 930 954 978 980 990 1025 1050 1051 1073 1125 1133 1151 1157 1174 1184 1191 1194 1198 1222 1229 1239 1243 1244 1270 1286 1292 1308 Bebel, Friederike (Frieda, Friede) (1869−1948) Tochter von August und Julie Bebel, heiratete 1891 den Arzt Ferdinand Simon. 58 242 245 281 295 322 420 519 557 589 678 736 Bebel, Julie (geb. Otto) (1843−1910) Putzmacherin; seit 1866 Ehefrau von August Bebel. 58 127 128 173 197 219 245 295 299 322 323 473 589 678 738 788 863 930 954 978 980 981 1025 1050 1052 1333 Beck, Emil (1848−1896) deutscher Schneider in der Schweiz; 1880−1896 Sprecher des Landesausschusses deutscher Sozialisten in der Schweiz, 1890−1893 Sekretär des Bundeskomitees des Gewerkschaftsbundes; Delegierter des Landesausschusses auf dem Parteitag der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 473 508 611 975 999 1187 1223 1248 1264 1352 1353 Beck, G. siehe Bek, Grigorij Gustavovicˇ Becker (Backer), Johann Philipp (1809−1886) deutscher Bürstenbinder und Publizist; lebte seit 1838 in der Schweiz; 1864 Mitbegründer der Genfer Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation, 1866 Präsident der Sektionsgruppe deutscher Sprache, bis 1873 Delegierter aller Kongresse; 1866−1871 Herausgeber und Redakteur des „Vorboten“, 1877−1882 Redakteur der sozialistischen Wochenschrift „Le Pre´curseur“; 1878 Mitbegründer der Schweizer Sozialdemokratischen Partei. 199 464 622 1214 1364 Bek (Beck), Grigorij Gustavovicˇ (geb. 1860) Teilnehmer an der Volkstümlerbewegung in Rußland und im Ausland; 1885 Emigration in die Schweiz und danach nach Frankreich, Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; zog sich Ende der 1890er Jahre aus der Politik zurück. 237 238–240 264 265 267 Belisar (um 505−565) (Be´lisaire) Befehlshaber des byzantinischen Heeres in den persischen Kriegen und der Expedition gegen die Vandalen und Ostgoten. 15 730

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Namenregister Bellamy, Edward (1850−1898) US-amerikanischer Schriftsteller und Journalist; Sozialreformer; Verfasser des utopischen Romans „Looking Backward 2000−1887“, Boston 1888. 159 350 733 1080 Belli, Joseph (1849−1927) deutscher Schuhmacher; Sozialdemokrat; bis 1890 Organisator des illegalen Vertriebs des „Sozialdemokrat“, lebte seit 1890 in Stuttgart; einer der leitenden Mitarbeiter des J. H. W. Dietz Verlages. 438 Bennigsen, Rudolf von (1824−1902) deutscher Großgrundbesitzer, Jurist und Politiker; Nationalliberaler; 1859−1867 Mitbegründer und Vorsitzender des Deutschen Nationalvereins; seit 1888 Oberpräsident von Hannover; Mitglied des preußischen Abgeordnetenhauses (1867−1888), Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867−1870) und des Deutschen Reichstags (1871–1883, 1887−1898), dessen Präsident (1873−1879). 196 928 Be´ranger, Pierre-Jean de (1780−1857) französischer Dichter; Verfasser populärer politischer und sozialkritischer Satiren. 43 63 68 69 775 793 799 801 Bernhardi, Friedrich von (1849−1930) deutscher General baltischer Herkunft, seit 1890er Jahren Militärschriftsteller; Vertreter alldeutscher Positionen. 1051 Bernstein, Eduard (Ede) (1850−1932) deutscher Publizist und Politiker; seit 1872 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei, führendes Mitglied der deutschen Sozialdemokratie; lebte 1888–1901 in London; 1881−1890 Redakteur des „Sozialdemokrat“, Korrespondent des „Berliner Volksblatt“ und des „Vorwärts“ in London; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1893; seit 1887 Ehemann von Regina Bernstein. 19 22 62 91 97 104 114 146 171 183 185 202 207 229 240 249 251 252 264–266 291 296 303 305 308 318 349 352 361 386 389 394 396 406 408 409 412 413 414 415 424–426 431 432 435 437 450 454 457 474 481 485 489 492 495 501 502 518 527 529 545 558 564 580 587 588 674 678 679 687 702 739 827 871 876 884 936 941 1044 1047 1082 1093 1130 1146 1150 1162 1165 1168 1174 1175 1257 1262 1272 1281 1311 1331 Bernstein, Regina (Gina, Gine) (geb. Zadek, gesch. Schattner) (1849−1923) deutsche Übersetzerin; übersetzte u. a. 1895 ein Werk von Sidney und Beatrice Webb ins Deutsche; seit 1887 Ehefrau von Eduard Bernstein, Schwester von Ignaz Zadek und Julie Romm. 114 146 202 318 394 408 409 413 432 558 580 876 936 1130 1151 1162 1170 Bertrand um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 1191 Beust, Adolf von (1855−1929) schweizerischer praktischer Arzt; Sohn von Friedrich und Anna von Beust. 679 1334 Beust, Anna von (geb. Lipka) (1827−1900) seit 1854 verheiratet mit Friedrich von Beust, Cousine von Engels. 590 591 679 1334 Beust, Friedrich Anton von (1856−1908) schweizerischer Lehrer; Sohn von Friedrich und Anna von Beust. 591 679 1334 Beust, Friedrich von (1817−1899), preußischer Offizier; Demokrat; 1848 Mitglied im Komitee des Kölner Arbeitervereins, Redakteur der „Neuen Kölnischen Zeitung“; 1849 Teilnehmer der Erhebungen in der Pfalz und in Baden; Emigrant in der Schweiz; Lehrer und Schulreformer in Seefeld bei Zürich; 1867 Mitbegründer der Sektion Zürich der Internationalen Arbeiterassoziation; seit 1854 Ehemann von Anna von Beust. 590 591 679 1334 Billing, Robert Claudius (1834−1898) britischer Geistlicher; 1888−1895 Suffragan Bischof von Bedford. 20 743 Binning, Thomas englischer Setzer und Gewerkschafter; führendes Mitglied der Socialist League, 1885/1886 ihr Gewerkschaftssekretär; gehörte dem sog. parlamentarischen Flügel an; 1889 Austritt; veröffentlichte 1886 die Schrift „Organised Labour. The Duty of Trade Unions in Relation to Socialism“. 32 758 759 Bismarck (Bismark), Otto, Fürst von (1815−1898) deutscher Staatsmann und Diplomat; preußischer Ministerpräsident und Außenminister (1862−1890), Bundeskanzler (1867−1870) und Reichskanzler (1871−1890). 91 105 171 183 184 190 197 198 201

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Namenregister 212 224 232 253 257 261 269 279 322 336 353 385 417 433 488 563 571 683 684 739 839 903 915 929 961 1075 1239 Black, Clementina (1854−1922) britische Schriftstellerin; seit 1886 Sekretärin der Women’s Trade Union League; später aktiv u. a. in der 1889 gegründeten Women’s Trade Union Association; Bekannte der Familie Marx und besonders von Eleanor Marx-Aveling. 1261 Blanc, Louis (1811−1882) französischer Sozialist, Historiker und Publizist; 1848 Mitglied der provisorischen Regierung; emigrierte im August 1848 nach Belgien, 1854 nach England, ein Führer der französischen Emigration in London; 1870 Rückkehr nach Frankreich; distanzierte sich 1871 von der Pariser Kommune; Mitglied der Nationalversammlung (1871). 281 Blanck, C. um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Blank, Emil (1817−1893) Kaufmann in Barmen und London; seit 1845 Ehemann von Engels’ Schwester Marie. 460 616 1211 1358 Blank, Gertrud (geb. Alscher) (1864 bis nach 1888) seit 1884 verheiratet mit Engels’ Neffen Rudolf Blank. 460 461 616 1211 Blank, Marie (geb. Engels) (1824−1901) Schwester von Engels, seit 1845 verheiratet mit Emil Blank. 460 1211 Blank, Robert (geb. 1888) Sohn von Gertrud und Rudolf Blank, 1910 preußischer Referendar. 616 1358 Blank, Rudolf (Rudolph) (geb. 1851 bis nach 1901) Kaufmann in London und Barmen, Sohn von Karl Emil und Marie Blank, Neffe von Engels, seit 1884 mit Gertrud Blank verheiratet; 1901 Inhaber der Firmen Blank & Co, Barmen und E. Blank, London. 460 616 1211 Blanqui, Auguste (1805−1881) französischer Sozialist; Organisator mehrerer Geheimgesellschaften und Verschwörungen; Teilnehmer der Revolutionen von 1830 und 1848; 1871 Teilnehmer der Pariser Kommune. 689 1191 Bloch, Joseph (1871−1936) deutscher Journalist, um 1890 Mathematikstudent in Berlin; Sozialdemokrat; Redakteur des „Sozialistischen Akademiker“ und der „Sozialistischen Monatshefte“. 433 434 466–469 675 700 1171 1216 Blos, Wilhelm (1849−1927) deutscher Journalist, Schriftsteller und Historiker; seit 1872 Mitglied der deutschen Sozialdemokratie; ein Redakteur des „Volksfreund“ (Braunschweig), des „Volksstaat“, Mitarbeiter der „Neuen Zeit“ und der „Neuen Welt“; Mitglied des Reichstags (1877/1878, 1881–1887, 1890–1906, 1912–1918). 229 230 241 245 248 249 255 295 361 592 977 980 991 1335 Blücher, Gebhard Leberecht von, Fürst von Wahlstatt (1742−1819) preußischer Generalfeldmarschall. 270 Boag um 1890 Assistent von Charles Howard Rosher. 130 Boelling, Anna (1852−1935) älteste Tochter von Friedrich Wilhelm (Fritz) und Hedwig Boelling, Nichte von Engels. 460 1211 Boelling, August (1809 oder 1810 bis 1889) Bruder von Friedrich Wilhelm (Fritz) Boelling, des Schwagers von Engels. 129 139 Boelling, Friedrich Wilhelm (Fritz) (1816−1884) Kaufmann in Barmen; seit 1850 verheiratet mit Engels’ Schwester Hedwig. 139 Boelling, Hedwig (geb. Engels) (1830−1904) Schwester von Engels, seit 1850 verheiratet mit Friedrich Wilhelm (Fritz) Boelling. 367 460 1100 1210 Boelling, Marie (1864−1951) Tochter von Friedrich Wilhelm (Fritz) und Hedwig Boelling. 460 1211 Boenigk, Otto Freiherr von (1867−1930) deutscher Jurist, 1889−1892 Student in Breslau; 1898–1911 Syndikus der Handelskammer in Halle/Saale. 404 410 411 1142 1145 1148 Börner, Wilhelm deutscher Sattler, Zigarrenfabrikant, Tabakarbeiter; Kandidat bei den Berliner Stadtverordnetenwahlen; 1889 gewählter Vertrauensmann im III. Berliner Wahlkreis; Delegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1891; gehörte der Opposition der „Jungen“ an. 408 425

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Namenregister Bolz, E. deutscher Arbeiter; lebte in Kopenhagen; spätestens 1887 Vertrauensmann der seit April 1882 bestehenden Deutschen Lesegesellschaft in Kopenhagen. 413 431 1151 1169 Bonaparte siehe Napole´on I Bonaparte siehe Napole´on III Bonnier, Charles (Deckname Bernard) (1863−1926) französischer Wissenschaftler und Journalist; Sozialist; Mitarbeiter verschiedener sozialdemokratischer Presseorgane; Mitveranstalter und Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891, 1893 und 1896 sowie von Kongressen des POF. 62 71 72 104 111 134 135 154–156 338 439 440 444–446 453–455 457 463 480 484 678 803 835 853 869 884 886 1068 1176 1198 1199 1206 1213 1219 1227 1233 Borgne französischer Schneider oder Maurer; bei den Wahlen 1889 Kandidat des POF im Distrikt Marne, Arrondissement d’Epernay. 15 Borgnini, Giuseppe (1823−1911) italienischer Jurist; Oberstaatsanwalt des Berufungsgerichts in Neapel (1879−1896); Mitglied des Senats (1884). 204 215 Borkheim, Frederick (geb. 1866) Sohn von Sigismund Ludwig Borkheim; seit 1881 Angestellter des Transportunternehmens Messieurs Ct Bourdon & Cie in Dunkerque. 351 358 372 373 678 1081 1090 1106 1109 1110 Borkheim, Sigismund Ludwig (1826−1885) deutscher Publizist; Demokrat, später Sozialist; 1849 Teilnehmer an der Erhebung in Baden, seit 1851 Kaufmann in London; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; seit Ende der 1860er Jahre Mitarbeiter sozialdemokratischer und demokratischer Presseorgane in Deutschland; seit 1860 in freundschaftlicher Beziehung zu Marx und Engels. 351 373 1109 Boudeau, Elie (1852−1912) französischer Abgeordneter; Boulangist; Mitglied der Deputiertenkammer für den Distrikt Seine (Courbevoie) (1889−1893). 10 724 Bouge, Auguste (1853−1931) französischer Politiker; Radikalsozialist; Mitglied der Deputiertenkammer für Marseille (1889−1898, 1910−1919). 723 787 Boulanger, Georges (1837−1891) französischer General; Kriegsminister 1886/1887 (siehe Erl. 1.49). 5 7 12 15 42 61 72 140 141 172 173 214 262 309 385 417 422 454 490 577 689 690 695 702 712 714 718 727 730 771 791 804 832 872 1039 1160 1242 Boule´, Franc¸ois Fre´de´ric (geb. 1843) französischer Steinmetz und Gewerkschafter; Sozialist; Mitglied des blanquistischen CRC; bei den Wahlen zur Deputiertenkammer 1885 und 1889 sozialistischer Kandidat; zeitweilig Redakteur von „Le Cri du peuple“; unterstützte mit Ernest Granger Georges Boulanger, scheiterte als boulangistischer Kandidat bei den Pariser Kommunalwahlen 1890 und 1893; Mitorganisator und Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889. 42 62 771 Ct Bourdon & Cie Großhandels- und Transportunternehmen in Dunkerque; Inhaber der Firma bis 1888 war Constant Bourdon. 358 1090 Boyer, Antoine (gen. Antide) (1850−1918) französischer Arbeiter, später Buchhalter und Publizist; Sozialist; Mitglied der Kommune in Marseille; während der 1880− 1890er Jahre Redakteur verschiedener regionaler sozialistischer Blätter; Mitarbeiter von „La Revue Socialiste“, 1890 von „Le Combat“; Mitglied der Deputiertenkammer (1885−1909). 4 6 57 263 713 782 787 797 Branting, Hjalmar (1860−1925) schwedischer Publizist und Sozialdemokrat, seit 1886 Redakteur der Zeitung „Social-Demokraten“ (Stockholm). 501 508 1187 1231 Braun, Adolf (1862−1929) österreichischer Journalist und Schriftsteller; Sozialdemokrat, Theoretiker der Gewerkschaftsbewegung; Redakteur verschiedener sozialdemokratischer Zeitungen in Österreich und Deutschland; nach 1898 Arbeitersekretär in Nürnberg; Bruder von Heinrich Braun und Emma Adler. 437 501 529 1080 1256 1283 Braun, Heinrich (1854−1927) österreichischer Journalist; Sozialdemokrat; Mitbegründer der „Neuen Zeit“, Herausgeber des „Archivs für soziale Gesetzgebung und Statistik“ (1888−1903) und anderer Zeitschriften; Bruder von Adolf Braun und Emma Adler. 66 96 224 350 389 501 529 615 961 1080 1256 1283 1357

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Namenregister Brehm, Reinhold Bernhard (1830−1891) seit 1856 als Arzt in Spanien tätig, 1875− 1888 deutscher Botschaftsarzt in Madrid. 404 Brentano, Lujo (eigtl. Ludwig Josef) (1844−1931) deutscher Ökonom und Sozialpolitiker; einer der Hauptvertreter der jüngeren Historischen Schule der Nationalökonomie. 449 Brett, William B. Engels’ Weinhändler (Twigg & Brett, Wine Merchants) in Dublin. 470 513 1218 1266 Brisme´e, De´sire´ (1822−1888) belgischer Buchdrucker und Verleger; Proudhonist, später Anhänger Bakunins; Mitbegründer der Section belge de l’A.I.T. und der Gesellschaft Le Peuple (1865), Delegierter des Brüsseler (1868), des Baseler (1869) und des Haager Kongresses (1872) der Internationale; 1879 Mitbegründer des Parti socialiste belge, der Brabantse socialistische Partij und 1885 der Belgischen Werkleijden Partij/Parti ouvrier belge. 24 Broadhurst, Henry (1840−1911) englischer Bauarbeiter, Politiker und Gewerkschaftsführer; 1875−1890 Sekretär des Parliamentary Committee des TUC; Mitglied des Parlaments für die Liberalen (1880−1892, 1894−1896). 145 875 Brockhaus, F. A. Verlagsbuchhandlung in Leipzig. 208 943 Brousse, Paul (1844−1912) französischer Arzt und Politiker; Teilnehmer der Pariser Kommune, 1872 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; lebte 1872/1873 in Spanien; 1873−1877 Redakteur verschiedener anarchistischer Zeitschriften und Mitarbeiter von anderen sozialistischen Zeitungen; 1880 Rückkehr nach Frankreich; Mitbegründer des PO, nach dessen Spaltung 1882 führender Vertreter der possibilistischen FTSF; Mitglied und Vizepräsident des Stadtrats von Paris (1887−1908). 384 446 447 456 471 478 488 491 506 520 525 531 537 595 709 712 716 1087 1188 1191 1202 1239 Brown-Se´quard (Brown-Sequard), Charles E´douard (1817−1894) französischer Arzt und Anatom; Mitglied der Acade´mie de me´dicine. 578 1324 Bruck, Emil in London lebender deutscher Publizist und Sozialdemokrat. 311 1040 Bruno, Giordano (1548−1600) italienischer Philosoph und Naturforscher; Pantheist. 232 969 Bucher, Lothar (1817−1892) preußischer Justizbeamter und Publizist; 1848 Mitglied der Preußischen Nationalversammlung (linkes Zentrum), 1849 der Zweiten Kammer; Emigrant in London (1850−1861); Mitarbeiter des Wochenblatts „Herrmann“ (London) und Korrespondent der „National-Zeitung“ (Berlin); später Nationalliberaler; seit 1864 enger Mitarbeiter Otto von Bismarcks. 377 563 1114 1313 Buhl, Ludwig Heinrich Franz (1814−1882) deutscher Schriftsteller und Publizist; Junghegelianer; 1842 Mitarbeiter der „Rheinischen Zeitung“. 26 30 Bunting, Percy William (1836−1911) englischer Sozialreformer und seit 1882 Herausgeber der „Contemporary Review“. 202 Burns, Ada (geb. 1888) Tochter von Charlotte und William Burns. 92 823 Burns, Arthur (J.) (1886−1969) Sohn von Charlotte und William Burns. 92 823 Burns, Charlotte (geb. Roberts) (geb. etwa 1863) Ehefrau von William Burns. 92 823 Burns, Elizabeth Lydia (Lizzy) (1827−1878) irische Arbeiterin; Lebensgefährtin und 1878 Ehefrau von Engels, Tante von William Burns und Mary Rosher. 64 566 622 793 1316 1364 Burns, Frederick (Fred, genannt Frity) (geb. 1890) Sohn von Charlotte und William Burns. 92 823 Burns, John (Jack) (1858−1943) britischer Metallarbeiter, Gewerkschafter und Politiker; 1889 Mitorganisator des Streiks der Londoner Hafenarbeiter, anschließend spielte er eine wesentliche Rolle in der Entwicklung der „New Unions“; 1884 Mitbegründer der Social Democratic Federation; später Vertreter des liberalen Tradeunionismus; Mitglied des London County Council (seit 1889), des Parlaments (seit 1892). 691 835 846 875 1003 1145 1181

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Namenregister Burns, Lydia (Lizzy) (geb. 1874) Schwester von William Burns und Mary Rosher, in den USA lebende britische Arbeiterin. 92 177 823 910 Burns, Martha Charlotte (Pattie) (geb. Gail) (1860−1936) heiratete 1882 John Burns, aktiv im Streikunterstützungs-Komitee 1889. 823 910 Burns, Mary (geb. Moran) (geb. etwa 1836) Mutter von William Burns und seinen Geschwistern. 92 177 822 851 910 Burns, Michael Thomas (Tom) (geb. 1865) Bruder von Williams Burns und Mary Rosher, in den USA lebender britischer Arbeiter. 92 823 Burns, Walter (geb. 1863) Bruder von William Burns und Mary Rosher, in den USA lebender britischer Arbeiter. 92 177 823 910 Burns, William (Willie) (1861−1934) in Boston lebender ungelernter Arbeiter britischer Herkunft; arbeitete als car inspector bei der Old Colony Railroad; November 1889 Mitbegründer der Steam Railroad Men’s Protective Union (Boston); 1890 Grand Secretary und Treasurer der Gewerkschaft; Bruder von Mary Rosher, Neffe von Engels’ Ehefrau Lizzy Burns (siehe Erl. 49.14). 92 177 678–680 822 823 909 910 Burns, William (geb. 1883) Sohn von Charlotte und William Burns. 92 823 Byron, George Gordon Noe¨l, 6th Baron Byron (1788−1824) englischer Dichter. 123 Came´linat (Camelinat), Ze´phirin (1840−1932) französischer Bronzegießer; aktiv in der sozialistischen Arbeiterbewegung; einer der Führer der Pariser Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation; nach der Niederlage der Pariser Kommune Emigration nach England; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“; Mitglied der Deputiertenkammer für die republikanischen Liste (1885). 1184 Caria, Gustave Le´opold (geb. 1841) französischer Metallarbeiter; Teilnehmer der Pariser Kommune, Kapitän der Nationalgarde; Emigration nach England, dort Mitglied der „Socie´te´ des Re´fugie´s“. 537 Caron, Charles französischer Verleger; Sozialist; trat 1890 vom POF zum CRC über. 448 453 456 458 459 471 1184 1191 1198 1207 1209 1219 1221 Cassard um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Castelar y Ripoll (Castellar, Kastellar), Emilio (1832−1899) spanischer Politiker, Historiker und Philosoph; Führer der rechten Republikaner; September 1873 bis Januar 1874 Präsident der spanischen Republik; durch einen Militärputsch gestürzt; Anfang der 1870er Jahre in Kontakt zu Paul Lafargue. 112 199 281 Catilina, Lucius Sergius (etwa 108 bis 62 v. Chr.) römischer Politiker und Feldherr, Patrizier; Organisator der nach ihm benannten Verschwörung gegen die aristokratische Republik. 42 ˇ ernenkov, Nikolaj Nikolaevicˇ (1863 bis nach 1907) russischer Statistiker. 170 901 C ˇ ernysˇevskij (Chernishevsky, Tschernichewsky), Nikolaj Gavrilovicˇ (1828−1889) C russischer Schriftsteller, Literaturkritiker und Philosoph. 39 43 62 120 266 333 775 792 858 1064 Chabert, Charles Edme (1818−1890) französischer Metallstecher, Sozialist; Teilnehmer der Revolution 1848/49; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1884−1890 Mitbegründer und Mitarbeiter der possibilistischen Wochenzeitung „Le Prole´tariat“; Mitglied des Stadtrats von Paris (1884−1890). 384 531 1122 1188 Chalturin, Stepan Nikolaevicˇ (1856−1882) russischer Arbeiter und Revolutionär; Mitbegründer des „Severnyj Sojuz russkich rabocˇich“ („Nordbund der russischen Arbeiter“); seit 1881 Mitglied des Exekutivkomitees der „Narodnaja volja“, verübte zusammen mit N. A. Zˇelvakov am 18. März 1882 in Odessa ein Attentat auf den Militärstaatsanwalt Vasilij Stepanovicˇ Strel’nikov. 237 976 Champion, Henry Hyde (1857−1928) englischer Verleger und Publizist; Sozialist; bis 1887 Mitglied der Social Democratic Federation, führendes Mitglied der Labour Electoral Association der Londoner Gewerkschaften; Redakteur und Herausgeber der „Justice“ (1884−1887) und des „Labour Elector“ (1888−1890, 1893/1894). 9 20 21 90 144 179 273 721 912

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Namenregister Chauvie`re (Chauvie`res), Emmanuel (1850−1910) französischer Typograph und Publizist; Freimaurer; Teilnehmer der Pariser Kommune; seit 1881 Mitglied des CRC; Unterzeichner des Einberufungsschreibens zum Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongreß 1889; Mitglied des Stadtrats von Paris (seit 1888); Mitglied der Deputiertenkammer (1893−1910). 43 140 155 164 788 Christensen, Anders Peter (Pierre) (etwa 1850−1901) dänischer Bildschnitzer; Sozialdemokrat; schloß sich in Paris der Arbeiterbewegung an; Vorsitzender der Gewerkschaft der Bildschnitzer; Teilnehmer des International Trades Unions Congress London (1888); Teilnehmer des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; 1889 Mitbegründer des „Literær socialistisk Forening“ und Redaktionsmitglied von „Arbejderen“; gehörte dem oppositionellen Flügel des Socialdemokratisk Forbund an, 1889 ausgeschlossen, danach aktiv in der Revolutionært Socialistisk Arbejderparti und in seiner Gewerkschaft. 93 825 Christensen, Jens Lauritz (1856−1902) deutscher Lehrer, Schriftsteller und Journalist; 1885/1886 aktiv in der Berliner Sozialdemokratie, 1887 in der thüringischen Sozialdemokratie; bei den Wahlen zum Reichstag 1886 und 1887 Kandidat in Berlin und Meiningen; emigrierte 1887 in die USA; wahrscheinlich von April 1888 bis Juli 1889 Redakteur der „Chicagoer Arbeiter-Zeitung“; in der Auseinandersetzung in der SLP auf Seiten der Redaktion der „New Yorker Volkszeitung“ (siehe Erl. 8.4–7); später Labor Lawyer in New York. 159 889 Cladel, Leon (1835−1892) französischer Schriftsteller; Radikaler; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 1191 Clemenceau, Georges (1841−1929) französischer Politiker und Publizist; 1871 Mitglied der Nationalversammlung; seit 1876 Chefredakteur der Tageszeitung „La Justice“; seit den 1880er Jahren führender Vertreter der Radikalen (siehe Erl. 1.8 und 1.49); Ministerpräsident (1906−1909, 1917−1920); Mitglied der Deputiertenkammer (1876− 1893). 15 456 577 709 712 730 Cle´ment, Jean Baptiste (1836−1903) französischer Journalist und Dichter; Sozialist, Freimaurer; Teilnehmer der Pariser Kommune, nach der Emigration Mitarbeiter von „Le Prole´tariat“, von „Le Cri du Peuple“ und von „Le Socialiste“; die Stärke der Possibilisten im Bezirk Ardennes war auf ihn zurückzuführen. 15 520 Cloots, Jean Baptiste du Val de Graˆce, baron de (gen. Anarcharsis Cloots) (1755−1794) französischer Schriftsteller und Politiker preußischer Herkunft; gehörte seit Beginn der französischen Revolution dem Jakobinerklub an; Mitglied des Konvents. 82 85 813 Cluseret, Gustave Paul (1823−1900) französischer Politiker und Schriftsteller; Teilnehmer der Pariser Kommune, schloß sich nach der Emigration in die Schweiz den Sozialisten an; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Mitglied der Deputiertenkammer (seit 1888). 4 6 10 12 42 66 140 148 713 782 797 Cluß, Adolf (1825−1905) deutscher Ingenieur und Architekt; spielte in Mainz eine zentrale Rolle während der Revolution 1848; Mitglied des Bundes der Kommunisten; Ende 1848 Emigration in die USA; Mitarbeiter verschiedener Arbeiterzeitungen; zog sich später von der politischen Tätigkeit zurück; stand in den 1850er Jahren in Briefwechsel mit Marx. 465 Cohen niederländische Gastdelegierte des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmerin an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 1187 Collarile, Giuseppina (1853−1919) italienische Lehrerin; frühestens seit 1867 Ehefrau von Pasquale Martignetti und Mutter von zwei Kindern. 41 74 316 806 1045 Conrad, Johannes Ernst (1839−1915) deutscher Agrarökonom; 1870 Professor in Jena, seit 1872 in Halle; Herausgeber der „Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik“. 253 350 Constans, Ernest (1833−1913) französischer Politiker; Republikaner; Innenminister (1880/1881, 1889−1892). 15 140 141 214 280 287 385 730

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Namenregister Cornelius, Wilhelm (geb. 1809) deutscher Buchhändler und Publizist; Teilnehmer des Hambacher Festes 1832; nach mehrjähriger Emigration nach London; gehörte in den 1850er Jahren zu Marx’ Freundeskreis. 30 Coulet, Jean (geb. 1865) französischer Journalist und Gewerkschafter; Sozialist; seit 1886 Mitglied der Union socialiste re´volutionnaire, bis 1895 Generalsekretär des Conseil national de la fe´de´ration des syndicats; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Coulomb, Martin französischer Schneider; vertrat die Schneidergewerkschaft in Nimes auf dem possibilistischen Internationalen Arbeiterkongreß Paris 1889; Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“; Teilnehmer des Gewerkschaftskongresses in Calais im Oktober 1890. 439 459 1209 Coulon, Auguste französischer Sprachlehrer in Dublin; seit 1885 Mitglied der Socialist League in Dublin und 1889 ihr Vertreter auf dem possibilistischen Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongreß Paris 1889; Mitarbeiter von „The Commonweal“; verließ Ende 1889 Irland, kam im Januar 1890 nach London über Frankreich, wo er Kontakte zu Possibilisten aufnahm (siehe Erl. 234.12–14). 384 1122 Coupey, Le´on um 1890 Freund von Charles Bonnier in London. 338 Couturier, Valentin (1829−1902) französischer Politiker; Mitglied der Deputiertenkammer für Lyon (Rhone) (1889−1898). 782 Crawford, Emily (Mother) (geb. Johnstone) (1831−1915) aus Irland stammende britische Journalistin; Korrespondentin britischer und amerikanischer Zeitungen in Paris, u. a. „The Daily News“, „Weekly Dispatch“ und „Chicago Daily News“. 13 63 213 280 Cregier, Dewitt Clinton (1829−1898) US-amerikanischer Politiker; 1889−1891 Bürgermeister von Chicago; Mitglied der Demokratischen Partei. 39 769 Cremer, (seit 1907) Sir William Randall (1838−1908) britischer Zimmermann und führender Gewerkschafter; seit 1860 Mitglied des London Trades Council; 1864 Teilnehmer der Gründungsversammlung der Internationalen Arbeiterassoziation, Mitglied des Generalrats, 1864−1866 Generalsekretär; 1865 Teilnehmer der Londoner Konferenz und 1866 Delegierter des Genfer Kongresses; brach 1871 mit der Internationale; später Mitglied der Liberal Party; Mitglied des Parlaments (1885−1895, 1900− 1908). 90 354 Crispi, Francesco (1819−1901) italienischer Politiker und Staatsmann; Republikaner, später Monarchist; Anhänger Garibaldis, 1859/1860 dessen Berater; Innenminister (1877−1878); Innenminister, Außenminister und Ministerpräsident (1887−1891); Ministerpräsident (1893−1896). 232 308 Croll, Cornelis (Kees) (1857−1895) niederländischer Publizist; Sozialdemokrat; Mitredakteur des „Recht voor Allen“ (1886−1890); 1885 Mitglied des Zentralrats des niederländischen Socialisten Bond und dessen Vertreter auf der Vorkonferenz von Den Haag (1889), 1890 Sekretär, im Juni 1890 Austritt. 202 Croon, Robert (1833−1917) Bruder von Emma Engels (geb. Croon), Schwager von Hermann Engels. 513 547 Cunninghame Graham, Robert (bis 1883) Bontine (1852−1936) schottischer Schriftsteller; vor 1883 Rancher in Argentinien, in den 1880er und 1890er Jahren Teilnahme an der sozialistischen Bewegung; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Mitglied des Parlaments (1886−1892). 180 347 Cuno, Theodor Friedrich (1847−1934) deutscher Maschinenbauingenieur und Journalist; 1871 Gründer der Mailänder Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation, Delegierter des Haager Kongresses 1872; ab 1872 für die Internationale in den USA tätig; 1883 Mitarbeiter der „New Yorker Volkszeitung“. 285 Dana, Charles Anderson (1819−1897) US-amerikanischer Journalist; 1847–1862 Redakteur der „New York Tribune“, 1858–1863 der „New American Cyclopaedia“, seit 1868 von „The Sun“. 579

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Namenregister Dähnhardt, Marie (1818−1902) Ehefrau von Max Stirner (1843−1846); lebte nach der Scheidung in London, ging 1852 mit Gustav Techow nach Australien, kehrte 1870 oder 1871 nach London zurück. 26 31 751 757 Daniel’son, Nikolaj Francevicˇ (Danielson) (1844−1918) russischer leitender Bankangestellter, Ökonom und Publizist; Volkstümler; Übersetzer der drei Bände des „Kapitals“ ins Russische. 76 77 87 100 111 119 120 170 189 306 309 333 334 342 696 701 808 809 816 832 856 858 901 921 1034 1038 1063 1072 Dante Alighieri (1265−1321) italienischer Dichter. 485 Danton, Georges (1759−1794) französischer Jurist und Politiker; Führer des rechten Flügels der Jakobiner in der Französischen Revolution; 1792 Justizminister, 1793 Mitglied im Comite´ de salut public. 82 Darbyshire, John (geb. 1837) britischer Fleischer; Sozialist; in den 1860er und 1870er Jahren Mitglied der Central Section Manchester der Internationalen Arbeiterassoziation und des Committee for the Reorganisation of the Central Section in Manchester; später Mitglied der Social Democratic Federation und der Socialist League. 498 678 1252 Darwin, Charles (1809−1882) britischer Naturforscher. 213 Daudet, Alphonse (1840−1897) französischer Schriftsteller und Dramatiker. 155 Daumas, Joseph (geb. 1841) französischer Kaufmann; lebte 1858–1884 im Ausland, 1884 Rückkehr nach Frankreich; Mitglied des Organisationskomitees des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Mitglied des Stadtrats von Paris (1887−1890) und dort der Gruppe der „autonomistes socialistes“. 43 66 69 140 147 148 154 155 164 165 577 788 796 802 884 893 Dave, Victor (1847−1922) belgischer Journalist; Anarchist; Mitarbeiter zahlreicher Zeitungen; 1868 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1872/1873 Mitglied des Conseil ge´ne´ral belge; Delegierter des Haager Kongresses (1872); schloß sich der bakunistischen Richtung an; 1873 Teilnehmer des bakunistischen Genfer Kongresses; 1880−1884 wegen seiner anarchistischen Tätigkeiten in Deutschland inhaftiert; lebte danach in London bis um 1900. 24 749 Davies, Sir John (1569−1626) britischer Publizist und Dichter, Kronanwalt (AttorneyGeneral) für Irland (1609−1619); Verfasser von Schriften zur Geschichte Irlands; Anhänger der Kolonialisierung Irlands durch England. 334 Davis, William US-amerikanischer Eisenbahnarbeiter bei der Boston & Maine Railroad Company und Gewerkschafter; 1890 Grand Vice President von The Steam Railroad Men’s Protective Union (Boston). 823 Davitt, Michael (1846−1906) irischer Arbeiter; führendes Mitglied der irischen nationalen Befreiungsbewegung; 1879 Mitorganisator der Irish Land League; stand zeitweise der Social Democratic Federation nahe; Mitglied des Parlaments (1895−1899). 274 286 1004 1016 Dayre französischer Publizist; Sozialist; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 De´chaud, Jean (1854 bis nach 1912) französischer Sozialist, seit 1892 Blanquist; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Kandidat bei den Wahlen 1889 und 1893. 15 De´gay (Degay), Edmond (1862 bis nach 1924) französischer Journalist; unabhängiger Sozialist; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 1185 Delcluze, Alfred (1857−1923) französischer Gastwirt und Journalist; Sozialist; Mitarbeiter an nordfranzösischen sozialistischen Wochenzeitungen redigierte zeitweise die Lokalzeitung „Le Petit Calaisien“; 1882 Gründer des POF in Calais; Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1896; Mitglied des Gemeinderats in Calais (1888−1904). 384 436 457 1139 1173 1245 De Leon, Daniel (1852−1914) US-amerikanischer Journalist und Professor (1883− 1889); schloß sich 1889 der Nationalistischen Bewegung Edward Bellamys an; seit 1890 Mitglied der SLP, bald in führender Position; 1892−1914 Redakteur von „The

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Namenregister (Daily) People“; Teilnahme an den Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen 1893, 1904, 1907 und 1910. 16 24 39 505 733 750 1054 Dell, Robert Edward (1865−1940) britischer Journalist; Redakteur der Wochenzeitung „The People’s Press“; seit 1889 Mitglied der Fabian Society in London. 273 302 320 356 381 1030 1048 1088 1119 Delory, Gustave Emile (1857−1925) französischer Sozialist; Mitglied des POF; Organisator der Partei im Bezirk Nord, aktiver Genossenschafter; Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1896, 1900, 1904; Mitglied des Stadtrats und Bürgermeister von Lille; Mitglied der Deputiertenkammer. 440 457 1181 Delon, Charles (1839−1900) französischer Publizist; potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“ und von „L’Œuvre socialiste“. 1184 1191 Demuth, Frederick (adoptiert Lewis) (1851−1929) englischer Metallarbeiter und Gewerkschafter, Sohn von Helena Demuth (siehe Erl. 348.17–23). 566 567 1316 Demuth, Helena (Helene, He´le`ne, Lehnchen, Lenchen, Nym, Nim, Nimi, Nimmi, Nimmy, Father Nim) (1820−1890) Haushälterin der Familie Marx, seit 1883 von Engels. 5 8 14 20 21 33 36 38 55 63 64 68 70 80 99 100 103 109 111 114 115 118 122 123 139 146 148 158 160 161 169 182 187 191 200 202 212 214 230 251 263 269 301 310 325 344 345 354 362 365 379 380 384 385 403 409 413 415 418 422 426 430 432 454 472 477 479 481 485 491 495 497 501 503 519 520 523 524 526 531 532 538 548 551 554–562 565–568 571 575 579 595 597 598 616 622 637 680 870 890 900 1029 1075 1098 1116 1170 1228 1259 1264 1306 1308 1310–1312 1315 1316 1323 1326 1331 1332 1338 1340 1341 1355 1358 1364 1376 1378 De Paepe, Ce´sar (1841−1890) belgischer Schriftsetzer, später Arzt; Mitbegründer der belgischen Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation, Mitglied des belgischen Föderalrats, Delegierter der Londoner Konferenzen (1865 und 1871), der Kongresse von Lausanne (1867), Brüssel (1868) und Basel (1869); 1885 Mitbegründer der Belgischen Werklieden Partij/Parti ouvrier belge. 43 62 1191 Derossi, Carl (1844−1910) deutscher Hutmacher und Journalist; 1871−1878 Funktionär des ADAV und der Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands; seit 1879 in der Schweiz beteiligt am illegalen Vertrieb des „Sozialdemokrat“; emigrierte 1883 in die USA, Mitarbeiter von deutschsprachigen Arbeiterzeitungen und von Arbeitergesangvereinen. 317 De´roule`de, Paul (1846−1914) französischer Schriftsteller und Politiker; Rechtskonservativer, später Boulangist; nahm an der Niederschlagung der Pariser Kommune teil; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1892, 1898); 1899 nach einem mißglückten Staatsstreich zu zehn Jahren Verbannung verurteilt. 15 Descartes, Rene´ (1596−1650) französischer Mathematiker, Physiker und Philosoph. 390 Deutscher Michel seit dem 16. Jh. allegorische Darstellung des deutschen Nationalcharakters, meist als Bauer mit Zipfelmütze. 191 Deville, Gabriel (1854−1940) französischer Rechtsanwalt und Publizist; Sozialist; Mitglied des POF; Verfasser philosophischer, ökonomischer und historischer Schriften sowie einer populären Zusammenfassung des ersten Bandes des „Kapitals“ (1883); Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1896; Mitglied der Deputiertenkammer (1896−1898, 1903−1906); seit 1907 im diplomatischen Dienst tätig, Rückzug aus der Arbeiterbewegung; Ehemann von Marie Franc¸oise Deville. 17 42 58 135 147 155 186 281 338 444 453 455 459 471 710 771 781 893 1117 1184 1191 Deville, Marie Franc¸oise (geb. Losset) (1864−1938) 1886 Lebensgefährtin, seit 1902 Ehefrau von Gabriel Deville. 186 877 Deville, Marcelle (1888−1931) Tochter von Marie Franc¸oise und Gabriel Deville. 147 877 Deville, Suzanne (1886−1908) Tochter von Marie Franc¸oise und Gabriel Deville. 147 877

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Namenregister J. H. W. Dietz von Heinrich Dietz 1881 in Stuttgart gegründeter Verlag für sozialistische Literatur; 1906 von der SPD als Parteiverlag (J. H. W. Dietz Nachf.) übernommen und von Dietz bis zu seinem Tod weiter geleitet. 207 249 Dietz, Johann Wilhelm Heinrich (1843−1922) deutscher Schriftsetzer und Verleger; Sozialdemokrat; 1875 Mitbegründer des sozialdemokratischen „Hamburger-Altonaer Volksblattes“, 1876 Leiter der Hamburger Genossenschaftsdruckerei, 1881 Übernahme der Leipziger Genossenschaftsdruckerei und Gründung des Verlags J. H. W. Dietz in Stuttgart; Mitglied des Reichstags (1881−1918). 169 207 222 223 229 241 242 245 248 250 251 277 313 361 372 373 386 388 414 415 437 438 496 596 680 696 719 960 977 984 985 1008 1042 1051 1106 1110 1124 1126 1159 Dietz, Oswald (1823−1898) deutscher Architekt und Ingenieur; Teilnehmer der Revolution 1848/49; seit 1850 Emigrant in London; Mitglied der Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten, schloß sich bei dessen Spaltung 1850 dem Kommunistenbund von August Willich und Karl Schapper an; ging 1852 in die USA, nahm auf seiten der Nordstaaten am Amerikanischen Bürgerkrieg teil; später Ingenieur in Cincinnati. 465 Dietzgen, Anna jüngste Tochter Josef Dietzgens, seit 1884 in den USA. 441 1182 Dietzgen, Joseph (1828−1888) deutscher Lohgerber, Journalist und Philosoph; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1864–1868 Leiter einer Lohgerberei in Rußland, seit 1869 Besitzer einer Lohgerberei in Siegburg; Mitglied der Sozialdemokratischen Partei und der Internationalen Arbeiterassoziation; emigrierte 1884 in die USA; Redakteur des „Sozialist“ (New York) und der „Arbeiter-Zeitung“ (Chicago). 441 Dietzgen, Pauline (vor 1869−) zweitälteste Tochter Josef Dietzgens, lebte seit 1884 in den USA. 441 1182 Disraeli (Disraely), Benjamin, (seit 1876) 1st Earl of Beaconsfield (1804−1881) britischer Staatsmann und Schriftsteller; Tory; ab 1837 Unterhausabgeordneter; Parteivorsitzender seit 1846, Finanzminister (1852, 1858/1859, 1866−68), Premierminister (1868 und 1874−1880). 354 Dobroljubov (Dobroljubov, Dobroljuboff), Nikolaj Aleksandrovicˇ (1836−1861) russischer Literaturkritiker und Publizist; revolutionärer Demokrat. 189 Domela Nieuwenhuis, Ferdinand (1846−1919) niederländischer Pfarrer (bis 1879); Sozialdemokrat, seit 1898 Anarchist; 1881 Mitbegründer und führendes Mitglied des Sozialdemokratischen Bundes (Sociaal Democratische Bond); 1880 Verfasser einer Einführung in das „Kapital“; Teilnehmer an den Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen 1889, 1891, 1893 und 1896; 1888−1891 Mitglied des Parlaments. 202 243 246 247 444 473 495 508 509 605 979 982 1128 1184 1187 1247 Domela Nieuwenhuis, Ferdinand Jacobus (1871−1911) ältester Sohn von Ferdinand Domela Nieuwenhuis. 243 246 605 979 982 1347 Dormoy, Jean (1851−1898) französischer Metallarbeiter und Publizist; Mitglied des POF; 1889 Departementsrat und Bürgermeister von Montluc¸on; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1896; Mitarbeiter bei französischen sozialistischen Zeitungen; Mitorganisator der 1. Mai-Feier 1890. 10 15 782 1184 Douai, Adolf (1819−1888) deutscher Lehrer, Schriftsteller und Publizist; Teilnehmer an der Revolution 1848/49; 1852 Emigration über Mexiko in die USA; beteiligt an der Modernisierung des Schulwesens in Boston, Begründer der ersten Kindergärten; 1876 Mitbegründer der Workingmen’s Party of the United States, eines Vorläufers der SLP; Redakteur ihrer drei Organe „Labor Standard“, „Arbeiterstimme“ und „Vorbote“; 1878−1888 Mitredakteur der „New Yorker Volkszeitung“. 99 1261 Dragomanov (Dragomanoff), Michail Petrovicˇ (1841−1895) ukrainischer Historiker und Publizist, 1870−1875 Professor in Kiev; 1876 Emigration in die Schweiz; 1878/1879 Herausgeber der in Genf erscheinenden Zeitschrift „Gromada“; Rückkehr in die Ukraine, 1881 Mitarbeit an der Zeitschrift „Vol’noe slovo“; seit 1889 Professor in Sofja. 238

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Namenregister Duc-Quercy, Albert (1854−1934) französischer Journalist; Sozialist; Mitglied des POF; Mitarbeiter und Redakteur von „Le Cri du Peuple“ und „Le Socialiste“; Teilnahme am Parteitag der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle. 100 893 1187 1223 1241 1273 Duc-Quercy, Ange`le Euge´nie (geb. Diesners) (1859−1934) französische Journalistin; Mitarbeiterin an Pariser Modezeitungen; mehrere politische Veröffentlichungen; beteiligte sich 1890 an der Befreiung Stanisław Padlewskis, der in Paris den russischen Gendarmeriechef Seliverstov erschossen hatte; wurde zu zwei Monaten Gefängnis verurteilt, anschließend jedoch amnestiert; 1891 Vorsitzende beim 20. Jahrestag der Pariser Agglome´ration; Ehefrau von Albert Duc-Quercy. 100 Duddenhausen, Hermann (etwa 1825−1912) deutscher Beamter, Geheimrat, bis 1899 Ministerialdirektor im Ministerium der Öffentlichen Arbeiten, Schwager von Hermann Engels. 553 Dühring, Eugen (Düring) (1833−1921) deutscher Philosoph, Ökonom und Wissenschaftstheoretiker. 465 Dumas, George (1825−1890) deutscher Privatlehrer und Publizist; Demokrat; 1868−1890 Redakteur der „Vossischen Zeitung“. 52 780 Dumay, Jean-Baptiste (1841−1926) französischer Metallarbeiter; Sozialist, Possibilist; leitete 1871 die Kommune in Le Creusot; Emigration in die Schweiz; Mitglied des Stadtrats von Paris (seit 1887); Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1893); Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891. 4 6 35 713 726 1191 Duncker & Humblot (Dunker & Humblott) deutsches Verlagshaus, 1866−1922 in Leipzig. 377 383 563 Dupont (oder Dupon), Charles französischer Handelskapitän; Vorsitzender der Seemanns-Gewerkschaft in Bordeaux; Teilnehmer des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Kandidat bei den Wahlen 1893 in Rochefort; 1894 Mitglied des Conseil fe´de´ral des POF; Mitarbeiter der Zeitung „Le Travail“; setzte sich bei der Wahl 1889 für die Zusammenarbeit zwischen POF und Boulangisten ein. 494 Dusch, Karl 1890 Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Dutauziet, H. französischer Sozialist; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 Ede siehe Bernstein, Eduard Edward siehe Aveling, Edward Ehrenfreund, Isidor (Dory) (1854 bis nach 1909) österreichischer aus Gewitsch (Jevicko) stammender Bankangestellter in Wien; Verfasser der Schrift „Beamtennervosität“, Wien 1891. 209–211 278 279 674 678 699 944 1009 Eichhoff, Wilhelm (1833−1895) deutscher Kaufmann, Journalist und Schriftsteller; 1861−1866 Emigration nach England; wirkte seit 1868 in der deutschen Arbeiterbewegung; Mitglied und einer der ersten Historiker der Internationalen Arbeiterassoziation; 1869 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei. 593 1336 Eisengarten, Oscar (1857−1906) deutscher Schriftsetzer; Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei in Leipzig; seit etwa 1882 Emigrant in London, Mitglied des CABV; 1884/1885 Sekretär von Engels, Anfertigung von Abschriften der Manuskripte von Marx für das zweite und dritte Buch des „Kapitals“. 312 360 1041 1092 Ellis, George Bedoe Mitinhaber der Rechtsanwaltskanzlei Johnson, Son & Ellis. 47 59 Ellissen, Otto Adolph (1859−1943) deutscher Schriftsteller, Übersetzer und Gymnasiallehrer; Biograph von Friedrich Albert Lange, Herausgeber seiner Schriften. 28 29 752 755 Ely, Richard Theodore (1854−1943) US-amerikanischer Ökonom und Publizist; christlicher Sozialist; veröffentlichte u. a. mehrere Schriften über die Entwicklung der sozialistischen Bewegung in Deutschland, Frankreich und den USA; seit 1892 Professor in Wisconsin. 318 329 348 368 381 1022 1118

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Namenregister Engel, Henry Sozialdemokrat aus Frankfurt/Main; um 1890 Emigrant in England. 502 1257 Engelmann, Pa´l (Paul) (1854−1916) ungarischer Klempner und Journalist; seit 1874 aktiv in der Arbeiterbewegung in Deutschland, Österreich und Ungarn; Redakteur der „Arbeiter-Wochen-Chronik“ (Budapest), 1893−1916 Mitarbeiter des „Neues Politisches Volksblatt“; 1890 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Partei Ungarns, Führer des linken Flügels der Partei, 1892 ausgeschlossen; 1892−1894 Mitbegründer und einer der Führer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei Ungarns. 331 594 680 1061 1337 Engels, Emil (senior) (1828−1884) Bruder von Engels; Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Barmen (Wuppertal). 246 982 Engels, Emil (junior) (1858−1907) Neffe von Friedrich Engels, Sohn von Emil und Charlotte Engels (geb. Bredt); seit 1889 Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Engelskirchen. 129 138 864 870 Engels, Emma (geb. Croon) (1834−1916) Ehefrau von Hermann Engels (seit 1855), Schwägerin von Engels. 129 139 367 470 513 547 616 864 870 1100 1218 1266 1299 1358 Engels, Erna (1874−1963) Tochter von Hermann und Emma Engels, Nichte von Engels. 139 367 470 870 1100 1218 Engels, Friedrich (senior) (1796−1860) Vater von Engels; Mitbegründer und Teilhaber der Firmen Ermen & Engels in Manchester und Barmen (Wuppertal). 553 1304 Engels, Hermann (senior) (1822−1905) Bruder von Engels; Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Barmen (Wuppertal), seit 1884 in Engelskirchen; Ehemann (seit 1855) von Emma Engels (geb. Croon). 129 138 367 460 461 470 513 547 553 616 679 864 870 1100 1210 1218 1266 1299 1302 1304 1358 Engels, Hermann (junior) (1858−1926) Sohn von Hermann und Emma Engels, Neffe von Engels; seit 1889 Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Engelskirchen. 129 138 367 460 864 870 1210 Engels, Mathilde (geb. Remkes) (1831−1905) Ehefrau von Rudolf Engels (seit 1856), Schwägerin von Engels. 129 139 367 460 870 1100 1210 Engels, Moritz (1858−1893) Sohn von Rudolf und Mathilde Engels, Neffe von Engels; seit 1889 Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Engelskirchen. 129 138 864 870 1100 1211 Engels, Rudolf (1831−1903) Bruder von Engels; Teilhaber der Firma Ermen & Engels in Barmen (Wuppertal), seit 1884 in Engelskirchen; Ehemann (seit 1856) von Mathilde Engels (geb. Remkes). 129 139 367 460 870 1100 1210 Engels, Walter (1869−1943) deutscher Mediziner, praktischer Arzt; Sohn von Hermann und Emma Engels, Neffe von Engels. 129 138 367 470 864 870 1100 1218 Ephialtes (Ephialtus) Gestalt aus der Überlieferung zur Schlacht bei den Thermopylä (siehe Erl. 208.16–17). 353 1083 Ermen & Engels Engelskirchen, Fabrik für Näh- und Strickgarn; gegründet 1837, firmierte in Barmen (Wuppertal), seit 1884 in Engelskirchen; Produktionsstandort war immer Engelskirchen. 129 138 549 553 864 1302 Ermen & Engels Manchester, Fabrik für Näh- und Strickgarn; gegründet 1837. 757 Ernst, Paul (1866−1933) deutscher Journalist, Schriftsteller, Literaturkritiker und Dramatiker; 1890 Redakteur der „Berliner Volks-Tribüne“; schloß sich Ende der 1880er Jahre der Sozialdemokratie an; einer der Wortführer der Opposition der „Jungen“, 1896 Austritt aus der SPD. 321 326–328 412 413 424 433 528 546 674 700 1049 1055 1079 1128 1282 1298 Estrup, Jacob Brønnum Scavenius (1825−1913), dänischer Politiker; Konservativer; Innenminister (1865−1869), Finanz- und Staatsminister (1875−1894). 105 106 840 Euge´nie (geb. Eugenia Maria de Montijo de Guzman, condesa de Teba) (1826−1920) Kaiserin der Franzosen, Ehefrau von Napole´on III. 61 791

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Namenregister Euston, Earl of siehe Fitzroy, Henry James Eva (E`ve) Gestalt aus der Bibel, im Alten Testament die erste, von Gott erschaffene Frau. 321 417 Evreinova (Evreinoff, Evreinov), Anna Michajlovna (1844−1919) russische Juristin und Publizistin; 1875 Promotion zum Dr. jur. in Leipzig; 1885−1890 Redakteurin und Herausgeberin der Monatsschrift „Severnyj Veˇstnik “ (Sankt Petersburg). 76 87 111 306 309 342 808 809 816 1072 Father Nim siehe Demuth, Helena Faillet, Marius Euge`ne (Deckname Dumont) (1840−1912) französischer Angestellter; Teilnehmer der Pariser Kommune; 1872 Delegierter des Haager Kongresses; Mitglied des Stadtrats von Paris (1886) für die FTSF; 1890 Mitglied des Parti ouvrier socialiste re´volutionnaire. 520 Fargaule siehe Lafargue, Paul Faucher, Julius (Jules) (1820−1878) deutscher Publizist und Ökonom; Junghegelianer, Anhänger des Freihandels; seit 1850 Emigrant in England, 1861 Rückkehr nach Deutschland; Mitglied der Fortschrittspartei und nach 1866 der Nationalliberalen Partei; Mitglied des preußischen Abgeordnetenhauses (1862−1870). 26 30 Faure, Se´bastien (1858−1942) französischer Journalist und Publizist; Mitglied des POF, seit 1888 Anarchist; um 1890 potentieller Mitarbeiter der Zeitschrift „L’Œuvre socialiste“. 1191 Fe´line (Feline), Georges Germain (1858 bis nach 1916) französischer Schuhmacher und Restaurantbesitzer; Sozialist, Unterzeichner des Einberufungsschreibens zum internationalen Sozialistischen Arbeiterkongreß 1889 in Paris; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 1185 Ferdinand (1730−1813) Prinz von Preußen, jüngster Bruder Friedrichs II., Vater des Prinzen August. 916 Ferdinand I. (1793−1875) Kaiser von Österreich (1835−1848); dankte 1848 zu Gunsten seines Neffen Franz Joseph ab. 238 976 Fergus siehe Lafargue, Paul Ferroul, Joseph (gen. Le´on Stern) (1853−1921) französischer Arzt, Politiker und Publizist; Sozialist; 1882 Mitarbeiter von „L’E´galite´ “, später Redakteur von „La re´publique sociale“; schloß sich nach der Wahl 1889 dem POF an, 1890 Mitglied des Conseil national; Delegierter der internationalen sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891; Mitglied der Deputiertenkammer (1888−1893, 1899−1902). 6 10 12 42 379 473 507−509 514 519 548 735 782 1180 1187 1206 1223 1251 1264 1267 1273 1300 Ferry, Jules (1832−1893) französischer Advokat und Politiker; führendes Mitglied der gemäßigten bürgerlichen Republikaner; befürwortete als Unterrichtsminister (1879− 1883) eine laizistische Schulgesetzgebung; Ministerpräsident (1880/1881, 1883− 1885); fiel 1893 einem Attentat zum Opfer. 13 34 42 72 723 727 764 804 Feuerbach, Ludwig (1804−1872) deutscher Philosoph. 231 545 Fiaux, Franc¸ois Louis (1847−1936) französischer Arzt, Schriftsteller und Politiker; stand den Sozialisten nahe; Mitglied des Stadtrats von Paris (1882−1884). 155 Fischer, Clara Tochter von Richard und Julie Fischer. 597 1314 1340 Fischer, Elsa Tochter von Richard und Julie Fischer. 563 564 597 1313 1314 1340 Fischer, Inke Tochter von Richard und Julie Fischer. 597 1314 1340 Fischer, Julie (1857 bis nach 1929) Ehefrau von Richard Fischer. 114 146 563 564 597 1313 1314 1340 Fischer, Julie Tochter von Richard und Julie Fischer. 597 1340 Fischer, Paul (geb. 1866) deutscher Publizist; Sozialdemokrat, seit 1887 Bekannter von Karl Kautsky; Mitarbeiter der „Berliner Volks-Tribüne“, des Londoner „Sozialdemokrat“ und der Berliner Arbeiter-Bibliothek, in der seine Schriften „Die Marxsche Werttheorie“, 1889, und „Das Ostende von London“ 1891 veröffentlicht wurden (siehe Erl. 217.19–20). 364 1097 1128

1407

Namenregister Fischer, Richard (1855−1926) deutscher Schriftsetzer, Redakteur, Verlagsleiter und Politiker; Sozialdemokrat; 1879−1890 Mitarbeiter des „Sozialdemokrat“; 1890–1894 Mitglied im Vorstand der SPD; Teilnehmer an den Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen 1889, 1893, 1896, 1900, 1904, 1907, 1910 und 1912; Mitglied des Reichstags (1893−1918). 114 146 183 388 405 407 412 435 438 454 481 500 508 510 514 519 525 530 533 563 564 596 597 1126 1142 1143 1145 1172 1199 1254 1264 1267 1279 1287 1313 1340 Fitzmaurice, Henry Petty, 5th Marquis of Lansdowne (1845−1927) britischer Staatsmann, Vizekönig von Indien (1888−1893). 572 1319 Fitzroy, Henry James, Earl of Euston (1848−1912) britischer Aristokrat (siehe Erl. 101.59–63). 179 912 Floquet, Charles Thomas (1828−1896) französischer Anwalt und Politiker; Radikaler; Ministerpräsident (1888/1889), danach Senator; Mitglied der Deputiertenkammer (seit 1876), deren Präsident (1885−1888, 1889−1893). 10 456 Flürscheim, Michael (1844−1912) deutscher Fabrikant und Schriftsteller; Demokrat; 1869−1872 in den USA; Redakteur der Zeitschrift „Deutsch Land“, Mitarbeiter der „Neuen Zeit“; Anhänger einer Bodenbesitzreform in Deutschland. 349 Fortin, E´douard (1854−1947) französischer Publizist; Sozialist; einer der führenden Vertreter des POF im Departement Oise, Mitglied des Stadtrats von Beauvais (1888); 1895−1896 Redakteur von „La Socie´te´ nouvelle“ (siehe Erl. 274.12–13). 448 1192 Foure`s französischer Sozialist; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 1019 Fourier, Charles (1772−1837) französischer Kaufmann und Sozialphilosoph. 169 210 Fouroux, Alphonse (1860−1937) französischer Marineoffizier, Politiker und Journalist; Radikaler; 1888−1890 Bürgermeister von Toulon (siehe Erl. 355.7–9). 577 813 1324 Fox, Charles James (1749−1806) britischer Staatsmann; Whig; Außenminister (1782/ 1783, 1806). 82 Franc¸oise, Charlotte Rose (1838−1921) Lebensgefährtin von E´douard Vaillant (siehe Erl. 403.26). 637 1376 Franconie, Gustave (1845−1910) französischer Kaufmann aus Guyana; Mitglied der Deputiertenkammer für Guyana (1885−1899, 1902−1910). 782 1184 Frankel, Leo´ (1844−1896) ungarischer Goldschmied und Journalist; Sozialdemokrat; 1871 einer der führenden Teilnehmer der Pariser Kommune; Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation; 1876 Rückkehr nach Ungarn, 1877−1881 Chefredakteur der „Ne´pszava“ und „Arbeiter-Wochenchronik“; einer der Vorsitzenden des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889. 617 680 1359 Frankl, Bernhard (1846−1907) österreichischer Polizeirat bei der Wiener Polizeidirektion, im Nachrichtendienst tätig. 168 680 898 Franz Joseph I. (1830−1916) Kaiser von Österreich (1848−1916), König von Ungarn (1867−1916). 168 898 Freia siehe Fricka Freiligrath, Ferdinand (1810−1876) deutscher Kaufmann, Dichter und Übersetzer, später Bankangestellter; 1848/49 Redakteur der „Neuen Rheinischen Zeitung“; Mitglied des Bundes der Kommunisten; 1851−1868 Emigrant in London; nach 1870 Abkehr von der Arbeiterbewegung. 377 383 1114 1121 1158 1278 1314 Freiligrath, Ida (geb. Melos) (1817−1899) deutsche Erzieherin in Unkel am Rhein, Dichterin, heiratete 1841 Ferdinand Freiligrath. 377 383 Freycinet, Charles de (1828−1923) französischer Ingenieur und Politiker; Republikaner; Premierminister (1879–1880, 1882, 1886); Kriegsminister (1888−1890, 1892− 1893, 1898−1899) (siehe Erl. 5.17). 724 Fricka (Freia) Göttin der Liebe und Fruchtbarkeit in der nordischen Mythologie. 338 1069 Friedrich II. der Große (1712−1786) König von Preußen (1740−1786). 923 931 Friedrich III. (1831−1888) Kronprinz von Preußen (1861−1888), deutscher Kaiser und König von Preußen (1888). 190 198 916 919

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Namenregister Friedrich Wilhelm III. (1770−1840) König von Preußen (1797−1840). 183 255 916 Fullarton, John (etwa 1780 bis 1849) britischer Arzt, Bankier und Ökonom; Verfasser von Schriften über Geldumlauf und Kredit, führender Vertreter der Banking-School. 76 808 Galli, Henri (1854−1922), französischer Journalist; 1882 Mitbegründer der „Ligue des patriotes“; Mitarbeiter der von Henri Rochefort redigierten Zeitung „L’Intransigeant“; unterstützte 1890 Georges Boulanger. 214 948 Gautier, E´mile (etwa 1856 bis nach 1921) französischer Journalist und Publizist; bis etwa 1888 Anarchist; Teilnehmer des anarchistischen Kongresses in London 1881; potentieller Mitarbeiter von „L’Œuvre socialiste“. 1191 Geibel, Carl (1842−1910) Verleger in Leipzig, Inhaber der Firma Duncker & Humblot. 377 383 1114 1121 1278 Geiser, Alice (1857−1933) älteste Tochter von Wilhelm und Ernestine Liebknecht, Ehefrau von Bruno Geiser. 115 Geiser, Bruno (1846−1898) deutscher Journalist und Schriftsteller; 1869 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei, Vertreter des rechten Flügels, 1887 von allen Funktionen in der Partei entbunden; 1875 Redakteur des „Volksstaat“, 1877−1886 der „Neuen Welt“; Mitglied des Reichstags (1881−1887); Ehemann von Alice Geiser, Schwiegersohn von Wilhelm Liebknecht. 38 361 716 Gelvakoff siehe Zˇelvakov, Nikolaj Aleksandrovicˇ Ge´ly, Andre siehe Andre´-Ge´ly, Emmanuel George, Henry (1839−1897) US-amerikanischer Ökonom, Journalist und Bodenreformer; 1886 bei der Bürgermeisterwahl in New York Kandidat der United Labor Party. 274 596 831 1004 1262 George, Richard (geb. 1852) deutscher Tischler; Emigrant in England; Vorstandsmitglied und Sekretär des CABV (London) (siehe Erl. 311.7). 502 638 1257 1377 Gerber, Karl von (1823−1891) deutscher Jurist; Kultusminister von Sachsen (seit 1871). 780 Gervaise um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Ghisleri, Arcangelo (1855−1938) italienischer Journalist; Sozialist; Redakteur der Zeitschrift „Cuore e Critica“; Bekannter von Antonio Labriola. 812 Gilles, Ferdinand (1856−1895) deutscher Journalist und Schriftsteller; seit 1886 Sozialdemokrat; emigrierte 1887 nach London; Mitarbeiter der Londoner „Arbeiter-Zeitung“, tätig im CABV (London); Delegierter der von ihm gegründeten International Federation of all Trades and Industries auf dem Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongress Brüssel 1891; gehörte nach der Aufhebung des Sozialistengesetzes der Opposition der „Jungen“ an. 356 382 510 1087 Giorgetti, Diego (geb. 1826) italienischer Jurist; Rechtsanwalt; 1878−1883 und 1886−1889 Polizeipräfekt in Benevent, danach bis 1893 in anderen Städten. 151 882 Gladewitz, Gustav Adolf (1850−1904) deutscher Weber, später Journalist aus Mittweida; Delegierter des Parteitages in Gotha 1875; seit August 1889 Sekretär August Bebels; 1890 Redakteur der „Presse“ (Chemnitz) und weiterer sozialdemokratischer Zeitungen. 207 941 Gladstone, William Ewart (1809−1898) britischer Staatsmann; Tory, Peelit, seit 1867 Führer der Liberalen Partei; Schatzkanzler (1852−1855, 1859−1866), Premierminister (1868−1874, 1880−1885, 1886, 1892−1894). 90 172 173 199 202 228 269 354 820 904 905 Glocke, Theodor (1859−1933) deutscher Tischler; 1884–1895 aktiv in der Berliner Gewerkschaftsbewegung, u. a. als Vorsitzender der Tischler−Gewerkschaft; Kandidat bei den Reichstagswahlen 1890, 1893, 1898, 1903 und 1907; seit Ende 1890 Expedient, danach Geschäftsführer des Verlages „Berliner Volksblatt“ bzw. „Vorwärts“. 956 Goblet, Rene´ Marie (1828−1905) französischer Anwalt, Journalist und Politiker; Radikaler; 1901 Mitbegründer der radikalsozialistischen Partei; Außenminister (1888− 1889). 724

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Namenregister Goegg, Amand (1820−1897) deutscher Publizist; 1849 Finanzminister der provisorischen Regierung Badens; emigrierte nach England und in die USA; schloß sich in den 1870er Jahren nach seiner Rückkehr nach Deutschland der Sozialdemokratie an. 598 1341 Goegg, Anna (1866−1933) Stiefschwester und seit 1883 Haushälterin von Amand Goegg. 598 Görz, August Inhaber eines Kaufhauses in Celle; Kunde der Firma Ermen & Engels (Barmen). 553 1304 Goethe, Johann Wolfgang von (1749−1832) deutscher Dichter und Staatsmann. 203 944 Gompers, Samuel (1850−1924) US-amerikanischer Zigarrenmacher britischer Herkunft; 1863 Auswanderung in die USA; seit 1875 aktiv in der Gewerkschaftsbewegung; 1886−1924 mit kurzer Unterbrechung Vorsitzender der American Federation of Labor. 1102 1339 Gottschalk, Andreas (1815−1849) deutscher Arzt; Aktionär und Mitarbeiter der „Rheinischen Zeitung“; 1847 bis Mai 1848 Mitglied des Bundes der Kommunisten; von April bis Juni 1848 Präsident des Kölner Arbeitervereins (siehe Erl. 20.5–6). 33 37 109 675 761 762 765–767 Gould, Jay (1836−1892) US-amerikanischer Unternehmer und Finanzier; Eigentümer von Eisenbahn- und Telegraphindustrien. 541 Goulle´ (Goulle), Albert (1844−1918) französischer Journalist und Schriftsteller; Blanquist; Teilnehmer der Pariser Kommune; Emigrant in London; Mitarbeiter von „Le Cri du Peuple“ und anderen Zeitungen; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Granger, Ernest (1844−1914) französischer Journalist; Sozialist; Teilnehmer der Pariser Kommune; Emigration; 1880 Mitorganisator des CRC; schloß sich 1889 den Boulangisten an; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1893); zog sich danach ins Privatleben zurück. 35 531 713 764 Gretchen (eigtl. Margarete) Gestalt aus der Tragödie „Faust“ von Johann Wolfgang von Goethe. 203 Greulich, Hermann (1842−1925) aus Deutschland stammender schweizerischer Buchbinder und Journalist; seit 1865 in Zürich; 1887−1920 Leiter des „Schweizerischen Arbeitersekretariats“; Teilnehmer an Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen; Vertreter in mehreren parlamentarischen Versammlungen der Schweiz. 487 Griesheim, Elise (Lily) von (geb. Engels) (1834−1912) Schwester von Engels, seit 1854 zweite Ehefrau von Adolf von Griesheim. 460 1210 Griesheim, Gisbert Friedrich Wilhelm Karl von (1813−1900) deutscher Kaufmann; Bruder von Adolf von Griesheim. 460 1210 Grillenberger, Carl (Karl), (gen. Grillo) (1848−1897) deutscher Schlosser, Redakteur und Verleger; seit 1869 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei, gehörte zum rechten Flügel der sozialdemokratischen Fraktion; beteiligt am illegalen Vertrieb des „Sozialdemokrat“ im süddeutschen Raum; 1884, 1887 und 1890 Mitglied des Zentralwahlkomitees; Mitglied des Deutschen Reichstags (1881−1897) und des bayerischen Landtags (1892−1897). 18 109 207 419 424 514 1051 1267 Gris französischer Journalist; Mitarbeiter von „Le Figaro“. 1324 Grothe, Wilhelm (1850 oder 1851 bis 1904) deutscher Tischler; Sozialdemokrat; während des Sozialistengesetzes aktiv in der „inneren Organisation“ in Berlin; 1884 ausgewiesen; 1890 Vorsitzender der lokalen Parteiorganisation in Halle, Delegierter der Parteitage 1890 und 1891. 508 Grünfeld, Albert Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Grunzig, Julius (1855−1901) US-amerikanischer Journalist deutscher Herkunft; während des Sozialistengesetzes aus Berlin ausgewiesen; 1890/1891 Chefredakteur der „New Yorker Volkszeitung“. 402 441 442 477 487 1140 1326

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Namenregister Guesde, Jules (eigtl. Mathieu Jules Basile) (1845−1922) französischer Journalist; bis 1868 Mitarbeiter republikanischer Zeitungen; dann Anarchist; 1879 Mitbegründer des POF; seit 1887 Chefredakteur von „Le Cri du Peuple“, seit 1889 von „L’Egalite´ “ und Mitarbeiter zahlreicher Zeitschriften; Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891; Mitglied der Deputiertenkammer (1893−1896, 1906−1922); Minister ohne Geschäftsbereich (1914−1916). 4 6 8 10 12 15–17 35 42 54 57 66 71 72 75 91 100 104 116 135 140 147 154 155 164 186 263 283 287 300 338 439 440 444 446 453 454 455 457 459 463 472 473 478 480 484 490 495 497 503 506–509 514 519 528 531 548 688 689 708 710 713 718 719 723 724 735 737 781 782 786 787 796 797 802 803 832 835 871 893 997 1068 1117 1181 1184 1187 1190 1191 1199 1200 1206 1213 1223 1227 1229 1233 1241 1251 1258 1264 1267 1273 1300 Guillaume siehe Wilhelm II. Guillaume-Schack, Gertrud (Mother Schack) (geb. Gräfin Schack von Wittenau) (1845−1903) deutsche Frauenrechtlerin und Publizistin; 1885 Beitritt zur Sozialdemokratie; Mitbegründerin des Berliner Arbeiterinnenvereins; 1886 Herausgeberin der „Staatsbürgerin“; emigrierte 1886 nach England; 1887−1890 aktiv in der Socialist League; Teilnehmerin des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889 als Vertreterin des International Working Men’s Club; verkehrte bei Engels, brach aber 1887 den Kontakt ab; Ehefrau von Edouard Guillaume. 64 202 510 794 1117 1265 Guizot, Franc¸ois (1787−1874) französischer Historiker und Staatsmann; Orleanist; Außenminister (1840−1847); Ministerpräsident (1847/1848). 13 727 728 Gumpert, Eduard (1834−1893) deutscher Arzt; seit 1857 in Manchester, 1858 Leiter des Clinical Hospital for the Diseases of Children; 1864 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Freund und Arzt von Marx und Engels; Ehemann von Mathilde Gumpert. 64 565 574 639 679 1315 1322 1378 Gumpert, Mathilde (geb. Böcker) (1857−1950) zweite Ehefrau von Eduard Gumpert. 565 679 1315 1322 1378 Haar, Ludwig van (1790−1873) preußischer Oberförster in Moers und Xanten; Bruder von Elisabeth Engels, Onkel von Engels. 590 1334 Hale´vy, Ludovic (1834−1908) französischer Schriftsteller, seit 1855 Librettist für Jacques Offenbach; seit 1884 Mitglied der Academie franc¸aise. 621 Haltourine siehe Chalturin, Stepan Aleksandrovicˇ Hanrion um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Hanser, Rudolf (1859−1909) österreichischer Schriftsetzer; Sozialdemokrat; Herausgeber verschiedener Zeitschriften; Teilnehmer der Parteitage der sozialdemokratischen Partei in Österreich von 1891 und 1892; 1892 Ausschluß aus der Partei; Gastdelegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 501 1187 1223 Harkness, Margaret (Pseudonym John Law) (1854−1923) britische sozialistische Schriftstellerin und Journalistin, Autorin von Erzählungen aus dem Arbeiterleben; zeitweilig Mitglied der Social Democratic Federation, Mitarbeiterin der „Justice“. 64 794 Harm, Friedrich (1844−1905) deutscher Kaufmann; vor 1875 Mitglied des ADAV; Mitglied des Deutschen Reichstags für Elberfeld-Barmen (1884−1898). 18 Harney, George Julian (1817−1897) britischer Journalist; radikaler Chartist; 1845 Gründungsmitglied der Fraternal Democrats; 1843−1850 Herausgeber und Redakteur des „Northern Star“ und anderer chartistischer Zeitungen; Mitbegründer des Bundes der Gerechten, dann Mitglied des Bundes der Kommunisten, seit 1869 der Internationalen Arbeiterassoziation; lebte von 1863−1888 in den USA. 134 Hasselmann, Wilhelm (1844−1916) deutscher Publizist; Sozialist; 1867−1871 Redaktionsmitglied des „Social-Demokrat“, 1871−1876 Mitredakteur des „Neuen SocialDemokrat“ und weiterer Zeitungen; führte für den ADAV die Einigungsverhandlungen mit den Eisenachern; 1876/1877 Herausgeber der „Rothen Fahne“, einer in Opposi-

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Namenregister tion zur Parteiführung stehenden Wochenzeitung; Mitglied des Deutschen Reichstags (1874−1876, 1878−1880); 1880 wegen Anarchismus aus der Partei ausgeschlossen; emigrierte danach in die USA. 109 245 414 525 1163 Headingley, Adolphe Smith siehe Smith, Adolphe Heath, Christopher (1835−1905) englischer Arzt. 551 He´bert, Jacques (1755−1794) französischer Journalist und Politiker; Wortführer des radikalen Flügels der Jakobiner in der Französischen Revolution; Herausgeber der Zeitschrift „Le pe`re Duchesne“. 82 Hegel, Georg Wilhelm Friedrich (1770−1831) deutscher Philosoph. 30 231 544 545 Heine, Heinrich (1797−1856) deutscher Dichter und Publizist. 68 186 421 496 590 918 1160 1249 Heinemann, August deutscher Sozialdemokrat, lebte in London; um 1890 zweiter Sekretär des CABV. 276 618 638 1006 1360 Helen, Helene, He´le`ne siehe Demuth, Helena Helldorff, Otto Heinrich von (1833−1908) deutscher Politiker; Mitglied des Reichstags, Fraktionsvorsitzender der Deutschkonservativen Partei (1871−1874, 1877−1881, 1884−1893). 201 Henryot um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Hepner, Adolf (Hepnerchen) (1846−1923) deutscher Buchhändler und Journalist; Sozialist; Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; 1869−1873 Mitredakteur des „Volksstaat“; Teilnehmer des Haager Kongresses (1872); 1882 Auswanderung in die USA; Redakteur sozialistischer Zeitungen; Mitglied der SLP; Mitarbeit an der „Neuen Zeit“ und den „Sozialistischen Monatsheften“. 24 90 159 819 820 Herbart, Johann Friedrich (1776−1841) deutscher Philosoph, Psychologe und Pädagoge; Schüler von Kant und Gegner von Hegel. 231 Herkules (Hercules) in der griechischen Sage Sohn des Zeus und der Alkmene. 147 Herrfurth, Ludwig (1830−1900) deutscher Politiker; seit 1882 Vorsitzender der Reichskommission zur Handhabung des Ausnahmegesetzes; preußischer Innenminister (1888−1892); Mitglied des preußischen Abgeordnetenhauses (1888−1893). 419 1158 Herwegh, Georg (1817−1875) deutscher Schriftsteller, Journalist und Dichter; Mitarbeiter an mehreren Presseorganen, darunter der „Rheinischen Zeitung“; Teilnehmer der Revolution 1848/49 in Deutschland; danach langjähriges Exil in der Schweiz; 1863 Bevollmächtigter des ADAV in der Schweiz, später Mitarbeiter der sozialistischen Presse in Deutschland; seit 1869 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei. 465 Heß, Moses (1812−1875) deutscher Publizist und Sozialphilosoph; Mitbegründer, Redakteur und Korrespondent der „Rheinischen Zeitung“; Mitglied des Bundes der Gerechten, danach des Bundes der Kommunisten, seit 1863 des ADAV, später der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei Deutschlands; 1869/1870 Mitarbeiter des „Volksstaat“; von Marx und Engels Mitte der 1840er Jahre der Richtung der „wahren Sozialisten“ zugeordnet. 37 Hildebrandt, Max (etwa 1850 bis etwa 1921) Volksschullehrer und Schriftsteller in Berlin. 26 27 30 31 751 756 Hirsch, Carl (1841−1900) deutscher Publizist und Politiker; 1869 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei Deutschlands; veröffentlichte 1878/1879 in Brüssel „Die Laterne“; lebte zeitweise in Paris und London; 1896 Rückkehr nach Deutschland. 586 1330 Hobbes, Thomas (1588−1679) englischer Philosoph. 213 544 Höchberg, Karl (Pseudonym Dr. Ludwig Richter) (1853−1885) deutscher Schriftsteller und Verleger; Herausgeber u. a. der „Zukunft“ und des „Jahrbuchs für Socialwissenschaft und Socialpolitik“; seit 1876 Mitglied der Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands. 400 1137 Hoehn, Gottlieb A. (auch Gustav bzw. Gus) (1865−1951), US-amerikanischer Schuster deutscher Herkunft; seit 1885 Gewerkschafter; Mitglied der SLP, seit 1891 in

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Namenregister St. Louis, 1896 Delegierter des 9. Parteitages der SLP; spätestens seit 1895 Redakteur der lokalen Parteizeitung „St. Louis Labor“. 1184 Hoffmann, Wilhelm deutscher Arbeiter; Emigrant in London; Inhaber einer Buchhandlung und eines Zigarrengeschäfts in London; um 1890 Mitglied und Funktionär des CABV. 293 1023 Hofmann, Jean deutscher Hotelier in Sprendlingen (Rheinhessen). 616 Hohenzollern Dynastie brandenburgischer Kurfürsten (1415−1701), preußischer Könige (1701−1918) und deutscher Kaiser (1871−1918). 183 530 Holm, Peter Thygesen (1848−1898) dänischer Schneider und sozialdemokratischer Politiker; 1873 Mitbegründer der Schneidergewerkschaft, zeitweise ihr Vorsitzender; 1875 Vorsitzender des Schneiderverbandes; 1878 beteiligt an der Gründung des Socialdemokratisk Forbund; Mitglied der Fraternal Democrats; Mitglied des Parlaments (1884−1898). 93 825 Hout, Isaac Salomon van der (1843−1918) niederländischer Schneider; Teilnehmer des Haager Kongresses (1872); seit 1877 aktiv in englischen sozialistischen Organisationen; Mitglied u. a. der Socialist League; korrespondierte über 20 Jahre mit Engels; Ehemann von Sara van der Hout. 521 1275 Hout, Sara van der (geb. Harpman) seit 1868 Ehefrau von Isaac Salomon van der Hout. 521 1275 Hubert (d’Hubert), Rene´ d’ französischer Journalist; um 1890 Direktor der Zeitung „Gil Blas“. 1286 Humbert, Alphonse (1844−1922) französischer Politiker und Publizist; Teilnehmer der Pariser Kommune, danach nach Neu-Kaledonien deportiert; Mitglied des Stadtrats von Paris (seit 1886); Mitglied der Deputiertenkammer (1893). 43 788 Huxley, Thomas Henry (1825−1895) englischer Naturforscher und Zoologe; Mitarbeiter Darwins. 186 199 206 213 Hyndman, Henry Mayers (1842−1921) englischer Rechtsanwalt; Sozialist; 1881 Gründer und führendes Mitglied der Democratic Federation, danach der Social Democratic Federation; Verfasser von popularisierenden Schriften über den Marxismus. 3 16 61 89 110 180 282 300 356 396 454 510 520 525 595 742 1199 1274 1279 Ibsen, Henrik (1828−1906) norwegischer Dichter und Dramatiker. 326 328 395 450 1196 Igle´sias Posse, Pablo (1850−1925) spanischer Drucker und Publizist; 1868 Mitglied der spanischen Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation; 1879 Mitbegründer der Partido Socialista Obrero Espan˜ol; seit 1885 Redakteur von „El Socialista“; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1893. 186 199 1184 Ihrer, Emma (1857−1911) deutsche Politikerin; seit Mitte der 1880er Jahre Sozialdemokratin; 1890−1892 Mitglied der Generalkommission der Gewerkschaften Deutschlands; 1891 Gründerin der Zeitschrift „Die Arbeiterin“ (seit 1892 „Die Gleichheit“). 619 1361 Imandt eine Schwester von Peter Imandts Frau Anna Imandt (geb. MacKenzie), lebte in Stamford. 565 574 1315 1322 Imandt, Anna (geb. MacKenzie) (geb. etwa 1833), seit 1859 Ehefrau von Peter Imandt. 1315 Imandt, Peter (1823−1897) deutscher Lehrer; Teilnehmer der Revolution 1848/49; emigrierte zunächst in die Schweiz, 1852 nach England; seit Juli 1852 Mitglied des Bundes der Kommunisten; seit 1855 Lehrer in Dundee; Ehemann von Anna Imandt. 565 1315 1322 Isaacs, Sir Henry Aaron (1830−1909) Stadtrat der City of London; 1889−1890 Oberbürgermeister von London. 90 820

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Namenregister Jaclard, Charles Victor (1840−1903) französischer Mathematiker, Arzt und Publizist; Freimaurer; Blanquist; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune, Kommandeur einer Legion der Nationalgarde; Emigration; Redaktionssekretär von „La Justice“; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1893; Mitglied des Stadtrats von Alfortville (1889). 4 707 711 Jakins britischer Hausbesitzer; übernahm das Haus in 122 Regent’s Park Road, in dem Engels wohnte, nach dem Tod des Marquis de Rothwell. 475 476 1224 1225 Jankowska, Maria (geb. Zaleska) (Pseudonyme Stefan Leonowicz, Maria Schopar, Sofia Schopar) (1850−1909) polnische Sozialistin; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Delegierte der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889, 1891 und 1893; Teilnehmerin des Gründungsparteitags der Polska Partia Socjalistyczna; zog sich Mitte der 1890er Jahre aus der Arbeiterbewegung zurück; Ehefrau von Stanisław Mendelson. 55 Jesus Jesus Christus 278 Jevons, William Stanley (1835−1882) englischer Ökonom und Philosoph; einer der Begründer der Grenznutzentheorie; Professor in Manchester und London. 180 913 Joffrin, Jules (1846−1890) französischer Mechaniker; Sozialist; 1868 Mitbegründer der Gewerkschaft der Mechaniker; Teilnehmer der Pariser Kommune, danach Emigration; nach seiner Rückkehr nach Frankreich ein führender Vertreter der Possibilisten; Mitglied des Stadtrats von Paris (1882−1884, 1886−1890) Mitglied der Deputiertenkammer (1889/1890). 4 6 12 35 100 384 446 454 456 488 490 531 712 713 718 726 832 872 1122 1188 1202 1242 1284 1324 Johnson, James Yate Mitinhaber der Rechtsanwaltskanzlei Johnson, Son & Ellis. 47 59 679 Johnson, John Henry Mitinhaber der Rechtsanwaltskanzlei Johnson, Son & Ellis. 47 59 679 Johnson, Son & Ellis Rechtanwaltskanzlei in London. 47 59 65 679 777 789 795 Jollymeier siehe Schorlemmer, Carl Jonas, Alexander (Jonasleben) (1834−1912) Buchhändler und Journalist deutscher Herkunft; Sozialist; 1869 Übersiedlung in die USA; 1877 Mitglied der SLP; 1877/1878 Redakteur des Parteiorgans „Arbeiterstimme“, 1878 Mitbegründer, 1878−1889 Mitherausgeber und Redakteur der „New Yorker Volkszeitung“. 98 194 318 319 324 325 368 423 487 1054 Jones, Ernest Charles (1819−1869) englischer Jurist, Publizist und Dichter; Chartistenführer (linker Flügel); Mitglied des Bundes der Kommunisten; Redakteur des „Northern Star“, Herausgeber chartistischer Wochenzeitungen; seit 1864 Korrespondent der Internationalen Arbeiterassoziation in Manchester; seit 1866 Mitglied der Reform League. 110 Jourde, Antoine (1848−1923) französischer Handelsangestellter; führendes Mitglied des POF in Bordeaux; 1889 Wahl in die Deputiertenkammer in Zusammenarbeit mit den Boulangisten; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1902). 15 33 35 38 42 730 762 764 767 772 Juliet (Juliette) französisches Dienstmädchen von Laura Lafargue. 100 122 Jung, Hermann (1830−1901) Schweizer Uhrmacher; Teilnehmer der Revolution 1848/49; lebte seit 1856 in London; führendes Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1865 Vizepräsident der Londoner Konferenz, 1866 Präsident des Genfer, 1868 des Brüsseler, 1869 des Baseler Kongresses und 1871 der Londoner Konferenz; Mitglied des British Federal Council, schloß sich dessen reformistischem Flügel an; später in britischen Gewerkschaften aktiv. 180 Jungnitz, Ernst (1818−1848) deutscher Publizist, Historiker und Schriftsteller; Junghegelianer; Verfasser zahlreicher Arbeiten über die Französische Revolution. 26 30

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Namenregister Kablukov, Nikolaj Alekseevicˇ (1849−1919) russischer Statistiker und Ökonom; 1874− 1879 Mitarbeiter, 1885−1907 Leiter der Statistischen Abteilung in der Landverwaltung des Moskauer Gouvernements. 342 1072 Kakadou siehe Lafargue, Laura Kampffmeyer, Paul (1864−1945) deutscher Sozialdemokrat seit Ende der 1880er Jahre; unterstützte 1890 die Opposition der „Jungen“; um 1890 kurzfristig Redakteur der Magdeburger „Volksstimme“. 514 1268 Kant, Immanuel (1724−1804) deutscher Philosoph. 26 231 544 Kardorff, Wilhelm von (1828−1907) deutscher Großgrundbesitzer, Unternehmer und Politiker; Gründer des Zentralverbandes Deutscher Industrieller; Mitbegründer und Führer der Reichs- und Freikonservativen Partei; Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1868−1870) und des Deutschen Reichstags (1871−1906). 201 1067 Kasprowicz (Kasprovicz), Erazm Łukasz (1835−1922) polnischer Buchhändler und Verleger, seit 1855 in Leipzig, 1859–1909 in der Verlagsbuchhandlung Brockhaus; seit 1864 Inhaber einer Verlagsbuchhandlung für polnischsprachige Veröffentlichungen (siehe Erl. 329.3–4). 596 1288 Kautsky, Karl (Baron) (1854−1938) österreichischer Publizist und Redakteur, Theoretiker der Sozialdemokratie und der II. Internationale; 1882–1924 in der deutschen Sozialdemokratie tätig; Mitbegründer und bis 1917 Chefredakteur der „Neuen Zeit“ (1883−1917); Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891, 1893 und 1896. 6 22 23 36 53 55 64 66 73 90 91 112 169 171 183 192 199 222 223 229 230 241 245 248 249 251 252 281 291 349 350 361 362 386–388 396 414 415 437 438 449 450 496 504 554 558 559 587 588 595 596 678 679 687 715 717 764 809 814 820 848 871 884 900 915 933 959 966 977 981 983 985 987 1011 1021 1093 1124 1126 1152 1161 1174 1194 1195 1249 1260 1265 1305 1310 1311 1331 Kautsky, Louise (Luise) (eigtl. Ludowika Josefa) (geb. Strasser, verh. Freyberger) (1860−1950) österreichische Sozialistin; Hebamme; erste Ehefrau von Karl Kautsky (bis 1889), seit 1894 mit Ludwig Freyberger verheiratet; seit November 1890 Sekretärin von Engels; Delegierte der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891 und 1893. 85 112 202 281 527 562 570 573 578 595 597 608 680 848 900 1265 1311 1312 1318 1321 1350 1358 Kautsky, Luise (geb. Ronsperger) (1864−1944) österreichische Politikerin; Sozialistin; Übersetzerin u. a. von Marx und Engels; Herausgeberin der Briefe Rosa Luxemburgs an Karl Kautsky; zweite Ehefrau von Karl Kautsky (seit 1890). 248 291 362 558 595 983 1011 1021 1094 1174 1310 1338 Kautsky, Minna (1837−1912) österreichische sozialistische Schriftstellerin; veröffentlichte neben Romanen häufig Artikel in verschiedenen sozialdemokratischen Zeitschriften; Mutter von Karl Kautsky. 620 1362 Kennan, George (1845−1924) US-amerikanischer Journalist und Forschungsreisender; unternahm 1885/1886 eine Reise nach Sibirien (siehe Erl. 111.41–44). 228 932 965 Keßler, Gustav (1832−1904) deutscher Regierungsbaumeister; bis 1883 Mitglied der Deutschen Fortschrittspartei, danach Sozialdemokrat und Gewerkschafter, zuerst in Berliner Gewerkschaften, später in der Freien Vereinigung deutscher Gewerkschaften; tätig in der Organisierung der Bauhandwerker; 1884−1886 Redakteur des „Bauhandwerker“; 1886 Ausweisung aus Berlin. 424 Kingston, William Beatty (1837−1900) britischer Journalist; Mitarbeiter, seit 1879 Mitglied der Redaktion des „Daily Telegraph“. 336 Kittler, Gustav (1849−1929) deutscher Schreiner; während des Sozialistengesetzes führender Sozialdemokrat in Heilbronn; Delegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle; unterstützte die Opposition der „Jungen“; Mitglied des Gemeinderats von Heilbronn (seit 1885); Mitglied des Landtages in Württemberg (1919−1924). 500

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Namenregister Kitz, Frank (eigtl. Francis Platt) (1849−1923) britischer Färber; Sozialist; seit 1871 in radikalen Organisationen tätig; 1882 Mitbegründer der Labour Emancipation League, 1888–1891 Sekretär der Socialist League. 407 1145 Klein, Julius Leopold (1810−1876) deutscher Arzt, Dramatiker und Theaterkritiker, Junghegelianer. 30 Klein, Otto deutscher Metallarbeiter und Zigarrenhändler; aktiv im sozialdemokratischen Wahlverein des zweiten Berliner Reichstagswahlkreises; Mitglied der Stadtverordnetenversammlung von Berlin (1890−1893). 636 1375 Knapp, Georg Friedrich (1842−1926) deutscher Nationalökonom, Wirtschaftshistoriker und Statistiker; seit 1867 Direktor des statistischen Büros der Stadt Leipzig; 1874− 1918 Professor in Straßburg; Mitbegründer des „Vereins für Socialpolitik“. 23 349 389 530 748 925 1127 1283 Knowles, Sir James (1831−1908) britischer Architekt und Verleger; Gründer und seit 1877 Redakteur der Zeitschrift „Nineteenth Century“. 202 205 Koch, Robert (1843−1910) deutscher Arzt; Entdecker des Tuberkulosebazillus und des Choleraerregers; Professor in Berlin. 574 577 Köppen, Karl (Carl) Friedrich (1808−1863) deutscher Pädagoge, Historiker und Publizist; Junghegelianer; 1842 Mitarbeiter der „Rheinischen Zeitung“; Teilnehmer an der Revolution 1848/49. 30 85 Kovalevskij (Kovalevsky, Kovalewski, Kovalewsky), Maksim Maksimovicˇ (1851− 1916) russischer Rechtshistoriker und Politiker; 1877−1887 Professor in Moskau; seit 1875 Bekannter von Marx. 418 422 429 702 Kranz (Krantz), Philipp (eigtl. Jakob Rombro) (1858−1922) jüdisch-litauischer Schriftsteller und Publizist, sozialistischer Politiker; emigrierte 1881 nach Paris, 1883 nach London; 1885−1889 Redakteur der sozialistischen Zeitschrift „Arbeter fraynd“ in London; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; übersiedelte 1890 nach New York; Redakteur der „Arbeter tsaytung“ und Mitarbeiter der „Workers’ Times“. 352 Kravcˇinskaja, Fanni Markovna (geb. Licˇkus) (etwa 1853 bis 1945) russische Krankenschwester; Anhängerin der Narodniki; Ehefrau von Sergej Kravcˇinskij. 131 866 Kravcˇinskij, Sergej Michajlovicˇ (Pseudonym Sergius Stepnjak) (1851−1895) russischer Publizist und Schriftsteller; zunächst radikaler Narodnik, später Anhänger Kropotkins; lebte seit 1884 in London; Herausgeber der Zeitschrift „Free Russia“; Ehemann von Fanny Kravcˇinskaja. 113 131 226−228 292 296 850 866 962 965 1022 Kropotkin (Kropotkine), Petr (Pierre) Alekseevicˇ, Fürst (1842−1921) russischer Geograph, Schriftsteller und Publizist; 1876−1917 in der Emigration; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Œuvre socialiste“. 1191 1168 1175 Krüger, Ernst (auch gen. Emil) deutscher Gymnasiallehrer in Hannover; Sozialdemokrat; nach Erlaß des Sozialistengesetzes in die Schweiz emigriert; Lehrer am Institut Beust in Zürich; Mitarbeiter der „Arbeiterstimme“; aktiv in der Gruppe der deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz, aus der er Ende der 1880er Jahre ausgeschlossen wurde (siehe Erl. 263.8); 1888 Übersiedlung nach London, 1890 Rückkehr nach Deutschland. 431 438 Krzywicki, Ludwik (1859−1941) polnischer Soziologe und Redakteur; Emigrant in Leipzig, Genf, Zürich, Paris; aktiv in der sozialdemokratischen Bewegung; beteiligte sich an der Übersetzung des ersten Bandes des „Kapitals“ und weiterer Schriften von Marx und Engels ins Polnische. 535 536 1288 1290 1339 Kugelmann, Franziska (1858−1939) Tochter von Gertrud und Louis Kugelmann. 203 336 937 1066 Kugelmann, Gertrud (geb. Oppenheim) (1839−1920 oder 1921) Ehefrau von Louis Kugelmann. 203 336 937 1066 Kugelmann, Louis (1828−1902) deutscher Arzt; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1848 Mitbegründer des Düsseldorfer Arbeitervereins, 1866 Beitritt zur Internationalen Arbeiterassoziation, Delegierter der Kongresse in Lausanne (1867) und in Den Haag

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Namenregister (1872); Ehemann von Gertrud Kugelmann. 117 121 203 336 355 359 599 679 854 859 937 1066 1086 1091 1342 Kullrich, Friedrich Steindrucker in Proschwitz bei Reichenberg (Böhmen). 293 1023 Kunert, Fritz (1850−1932) deutscher Volksschullehrer; Sozialdemokrat; 1889−1891 Redakteur sozialdemokratischer Zeitungen in Breslau; 1894−1917 Redaktionssekretär des „Vorwärts“; Mitglied des Deutschen Reichstags (1890−1893, 1896−1907, 1909− 1924). 207 Labriola, Antonio (1843−1904) italienischer Philosoph und Publizist; Sozialist; seit 1874 Professor in Rom; Delegierter des Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses 1893. 74 81 88 166 204 206 215 217 218 231 232 235 307 308 315 316 427 431 678 679 806 807 812 938 949–951 952 968 973 1036 1037 1043–1045 1165 La Chaˆtre (Lachaˆtre), Maurice (1814−1900) französischer Schriftsteller, Journalist, Verleger und Buchhändler; Teilnehmer der Pariser Kommune, danach Emigrant u. a. in Spanien; verlegte die französische Erstausgabe des ersten Bandes des „Kapitals“. 281 1011 Lachize, Jean Benoıˆt (1859−1921) französischer Weber, Sozialist und Gewerkschafter; Blanquist; aktiv in der gewerkschaftlichen Organisierung der Weber; Mitorganisator des großen Streiks in Cours 1890/1891; Mitglied der Deputiertenkammer (1889), dort der sozialistischen Gruppe. 11 12 42 54 735 782 Ladour, Lucien französischer Journalist; Korrespondent für „La Bataille“ beim Parteitag der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle. 473 1223 1273 Lafargue, Ana Virginia (geb. Armagnac) (1805−1899) Mutter von Paul Lafargue. 122 860 Lafargue, Laura (Laure) (gen. Löhr, Kakadou) (geb. Marx) (1845−1911) aktiv in der französischen Arbeiterbewegung, übersetzte 1886 „Das kommunistische Manifest“ ins Französische; veröffentlichte 1889/1890 Übersetzungen von Pottier und eigene Gedichte in „The Commonweal“; zweite Tochter von Karl und Jenny Marx, Ehefrau von Paul Lafargue (seit 1868). 5 12 20 21 34–36 42–45 54 55 61–64 67 68 69 70 79 100 101 112 122 123 134–137 147–149 164 169 186 187 190 191 199 202 207 259 260 261 269 281 287 300 301 310 333 344 345 365 379 417 418 421 422 445 453 454 456 471 472 478 479 481 485 490 491 494 524–526 533 538 539 551 560 565 566 571 572 577 578 621 640 678 680 688–690 718 726 729 740 763 771 778 781 785 791 793 801 802 811 832 860 868 877 893 918 922 941 992 993 1028 1063 1075 1083 1098 1116 1122 1209 1219 1221 1227 1230 1235 1241 1246 1278 1293 1311 1315 1316 1319 1321 1324 1367 1379 Lafargue, Paul (Pseudonyme Fergus, Fergaule) (1842−1911) französischer Arzt und Sozialist; Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation; Delegierter auf den Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen seit 1889; 1879 Mitbegründer der Fe´de´ration du Parti des Travailleurs Socialistes de France, seit 1882 neben Jules Guesde führender Vertreter des POF; Mitglied der Deputiertenkammer (1891−1893); Ehemann von Laura Lafargue (seit 1868). 3 10 11 12 14 15 17 33 35 38 41 42–45 54 55 57 63 64 66 67 68 71 75 76 81 87 88 100 111 112 116 120 122 134 135 140 141 147 155 160 162 164 165 186 191 198–200 202 204 205 206 207 213 214 215 261 280 281 287 296 300–302 306 309 333 338 365 379 384 385 396 414 417 418 421 429 430 439 444 446 447 448 452 455 456 457–459 471 472 478 479 482 484 489 490 491 494 495 506 515 516 524–526 531 532 533 538 539 548 551 552 556 558 571 577 578 604 621 678 680 688–690 695 701 702 707–710 722 727–729 762 763 767 770–772 778 786 788 791 796 799 802 804 806 808 809 812 816 832 848 853 858 871 893 918 931 940 947 993 1011 1017 1030 1034 1038 1047 1106 1116 1117 1122 1128 1152 1155 1159 1167 1176 1184–1186 1188 1191 1197 1202 1207–1209 1219 1227 1231 1239 1241 1242 1245 1247 1264 1269 1279 1284 1293 1300 1303 1324 1363 1379

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Namenregister Lahr, Johanna (geb. Klebow) (geb. etwa 1867 bis 1904) deutsche Emigrantin in London; seit 1888 Mitglied der Socialist League. 678 Laˆine´, J. französischer Sozialist; 1890 Kassierer des Conseil national des POF. 904 Laisant, Charles-Ange (1841−1920) französischer Mathematiker und Politiker; Freimaurer; Herausgeber von Zeitschriften und Autor zahlreicher Artikel zu Ausbildungsfragen; Mitglied der Deputiertenkammer für bürgerliche Parteien (1876−1893). 15 Lane, Joseph (1851−1920) englischer Sozialist; Mitglied der englischen Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation; 1882 Mitbegründer und Sprecher der Labour Emancipation League (London); von Mitte der 1880er Jahre bis 1889 Mitglied der Socialist League; Mitarbeiter von „The Commonweal“. 413 Lange, Friedrich Albert (1828−1875) deutscher Lehrer, Philosoph und Sozialwissenschaftler; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation, Delegierter des Lausanner Kongresses (1867); 1866−1872 Lehrer in Winterthur, seit 1872 Professor in Marburg. 28 29 752 Langrand, Jean-Baptiste (1855−1898) französischer Gewerkschafter und Sozialist; 1888 Teilnehmer des Kongresses der FTSF in Troyes, 1890 des Gewerkschaftskongressess in Calais und des Kongresses des POF in Lille; Teilnehmer des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; nach dem 1. Mai 1891 zu einem Jahr Gefängnis verurteilt. 516 Lansac, M. um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Lassalle (eigtl. Lassal), Ferdinand (1825−1864) deutscher Jurist, Publizist und Politiker; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1863 Mitbegründer und erster Präsident des ADAV. 325 343 377 383 563 581 713 842 1015 1074 1114 1121 1278 1313 1314 Laur, Francis (1844−1934) französischer Politiker; Republikaner; Anhänger von Georges Boulangers; Mitglied der Deputiertenkammer (1885–1893). 578 1324 Laure siehe Lafargue, Laura Lavigerie, Louis de französischer Sekretär eines nicht weiter bekannten French Trade Labour Intelligence Office in London. 379 384 439 459 472 478 1117 1122 1178 1209 1221 Lavrov (Lavrof, Lavroff, Lawroff), Petr Lavrovicˇ (Pierre) (1823−1900) russischer Sozialphilosoph, Soziologe und Publizist; seit 1870 Emigrant in Frankreich; Theoretiker der Narodniki; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune; 1873−1876 Redakteur der Zeitschrift „Vpered“ und 1875/1876 der gleichnamigen Zeitung; einer der Vizepräsidenten des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889. 239 265 267 606 1184 1348 Lavy, Aime´ (1850−1898) französischer Sozialist; Possibilist; Mitglied der Deputiertenkammer (1890−1898). 446 488 491 1324 Lehnchen siehe Demuth, Helena Leitner, Philipp von (1809−1879) deutscher Literaturkritiker; Junghegelianer, in den 1840er Jahren gehörte er zur Gesellschaft der „Freien“ in Berlin; starb in Odden (Dänemark). 30 756 Leo, Heinrich (1799−1878) deutscher Historiker und Publizist; Konservativer, Gegner der Junghegelianer. 85 814 Le´pine, Jules (etwa 1861 bis nach 1899) französischer Graveur und Handelsangestellter; Sozialist, zeitweilig Sekretär der Pariser Agglome´ration des POF; Mitglied der 1888 entstandenen politischen Richtung L’Ide´e Nouvelle innerhalb des POF; 1889 Ausschluß aus der Partei; 1890 Mitglied der Redaktion der Zeitschrift von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 332 347 443 1019 1062 1077 1184 1185 1198 Lesemann, Georg kaufmännischer Angestellter in Celle, später selbständig. 549 553 1302 Leßner, Charles (Karl) (geb. 1880) Sohn von Friedrich und Maria Leßner. 1276 1364 Leßner, Emilie (geb. 1879) Tochter von Friedrich und Maria Leßner. 1364 Leßner, Friedrich (1825−1910) deutscher Schneider; 1847 Mitglied des Bundes der Kommunisten; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1852 im Kölner Kommunisten-

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Namenregister prozeß zu drei Jahren Festungshaft verurteilt; seit 1856 Emigrant in London; Mitglied des Deutschen Arbeiterbildungsvereins in London; 1864−1872 Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation, Delegierter der Kongresse der Internationale von 1867 bis 1872; 1882 Mitglied der Social Democratic Federation, seit 1884 der Socialist League. 376 517 522 556 622 623 692 718 1113 1115 1271 1276 1307 1364 Leßner, Kate (geb. 1872) Tochter von Friedrich und Maria Leßner. 1364 Leßner, Laura (geb. nach 1881) Tochter von Friedrich und Maria Leßner. 1364 Leßner, Louise (geb. 1875) Tochter von Friedrich und Maria Leßner. 1364 Leßner, Maria (geb. Breitenbach) (1844 bis nach 1909) zweite Ehefrau von Friedrich Leßner (seit 1869). 1113 1276 Leßner, Maria (geb. 1874) Tochter von Friedrich und Maria Leßner. 1364 Levy, Isidor (1852−1929) aus Ostpreußen stammender deutscher Journalist; Mitarbeiter mehrerer liberaler Zeitungen; lebte 1882−1886 in Österreich; seit 1887 Mitarbeiter der „Vossischen Zeitung“. 52 780 Lewis, Frederick siehe Demuth, Frederick Library siehe Liebknecht, Wilhelm Liebknecht, Curt (1879−1966) deutscher Facharzt für Dermatologie; jüngster Sohn von Wilhelm und Natalie Liebknecht. 33 375 497 762 1112 1251 Liebknecht, Gertrud (1863−1936) deutsche Erzieherin; Tochter von Wilhelm und Ernestine Liebknecht, lebte ab 1886 einige Jahre in den USA; heiratete Wilhelm Swienty, Redakteur des „Volksblatts“ (Halle). 79 115 810 Liebknecht, Karl (1871−1919) deutscher Rechtsanwalt; Sozialdemokrat; zweiter Sohn von Wilhelm und Natalie Liebknecht. 33 115 375 497 762 1112 1251 Liebknecht, Natalie (geb. Reh) (1835−1909) deutsche Übersetzerin und Journalistin; seit Mitte der 1880er Jahre Übersetzerin aus dem Englischen; Verfasserin von Theater- und Konzertkritiken für Zeitungen und Zeitschriften; zweite Ehefrau (seit 1868) von Wilhelm Liebknecht. 7 8 79 80 114 115 118 323 343 375 400 403 497 678 679 718 720 810 851 855 1052 1073 1112 1138 1251 Liebknecht, Otto (1876−1951) deutscher Chemiker; dritter Sohn von Wilhelm und Natalie Liebknecht. 33 115 375 497 762 1112 1251 Liebknecht, Theodor (1870−1948) deutscher Rechtsanwalt; Sozialdemokrat; Strafverteidiger in politischen Prozessen; ältester Sohn von Wilhelm und Natalie Liebknecht. 7 8 33 79 80 114 115 118 375 400 497 718 720 762 810 851 855 1112 1138 1251 Liebknecht, Wilhelm (William) (gen. Library, Soldat, Sold, der Alte) (1826−1900) deutscher Journalist und Politiker; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1850–1862 Emigration in England; 1863−1865 Mitglied des ADAV; 1869 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; 1875 maßgeblich an der Vereinigung des ADAV mit der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei sowie am Gothaer Programm beteiligt; Redakteur des „Volksstaats“, später des „Vorwärts“; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889−1896; Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867−1870) und des Deutschen Reichstags (1874−1887, 1888− 1900). 6 7 8 17 24 33 35 37 38 42 57 62 79 104 109 115 118 173 194 201 202 205 215 255 275 284 303 322 323 338 343−346 356 361 374 375 382 395 396 399 400 403 405 406 412 416 417 422 424 431 437 440 473 481 484 497 501 503 508 509 514 518 519 523 524 528 531 537 557 595 596 637 675 678 679 688–690 700 701 710 715–717 719 736 761 762 765 767 771 810 844 926 934 935 989 1031 1068 1069 1073 1075 1087 1093 1111 1112 1120 1132 1133 1136 1141 1143 1144 1150 1155 1162 1163 1168 1169 1175 1184 1222 1250 1251 1255 1258 1272 1277 1282 1291 Liebknecht, Wilhelm (1877−1972) deutscher Rechtsanwalt; zweitjüngster Sohn von Wilhelm und Natalie Liebknecht. 33 115 375 497 762 1112 1251 Lily, Miss siehe Rosher, Mary Lilian

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Namenregister Lissagaray, Prosper Olivier (1838−1901) französischer Journalist und Schriftsteller; Teilnehmer und Historiker der Pariser Kommune; 1871 Emigration nach London, 1880 Rückkehr; Redakteur und Mitarbeiter von verschiedenen Zeitungen, darunter 1882− 1885 und 1888−1893 „La Bataille“. 141 1223 1324 Locke, John (1632−1704) englischer Philosoph und Ökonom. 544 Loge Gottheit in der nordischen Mythologie. 338 Löhr siehe Lafargue, Laura Lohr, Johann von (1797−1890) deutscher Lehrer. 461 Lollini, Vittorio (1860−1924) italienischer Jurist; Sozialist; Mitarbeiter sozialistischer Zeitungen in Italien. 88 166 204 215 217 235 307 316 London, Brighton and South Coast Railway britische Eisenbahngesellschaft 412 Longuet, Charles (the father) (1839−1903) französischer Politiker; Proudhonist, Freimaurer, Sozialist; 1866/1867, 1871/1872 Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune; emigrierte nach England; Redakteur der „Justice“ und seit 1889 von „L’Egalite´ “; Mitglied des Stadtrats von Paris (1886−1893); 1872–1883 mit Marx’ Tochter Jenny verheiratet. 724 728 734 763 788 1028 1228 1324 1363 Longuet, Edgar (1879−1950) französischer Arzt; Sohn von Jenny und Charles Longuet; 734 878 1198 Longuet, Jean (1876−1938) französischer Rechtsanwalt und Journalist; Sohn von Jenny und Charles Longuet. 734 1198 Longuet (Lanque), Jenny (geb. Marx) (1844−1883) französische Journalistin; älteste Tochter von Jenny und Karl Marx, seit 1872 mit Charles Longuet verheiratet. 1198 1379 Longuet, Jenny (Me´me´) (1882−1952) Tochter von Jenny und Charles Longuet. 640 1075 1098 1198 1285 1325 1364 1379 Longuet, Marcel (1881−1949) französischer Journalist; Sohn von Jenny und Charles Longuet. 763 878 1198 Loria, Achille (1857−1943) italienischer Soziologe und Ökonom; Professor in Siena, Padua und Turin. 253 350 952 Louis Philippe Ier (Louis Philippe), duc d’Orle´ans (1773−1850) König der Franzosen (1830−1848). 13 Luise siehe Kautsky, Louise McDonnell, Joseph Patrick (1846−1906) irischer Sozialist und Publizist; Mitglied des Generalrates der Internationalen Arbeiterassoziation, Sekretär für Irland; 1872 Auswanderung in die USA; Mitglied der Workingmen’s Party of the United States; Redakteur, später Herausgeber des „Labor Standard“; Organisator der Gewerkschaften in New Jersey; 1878−1887 mit Friedrich Adolph Sorge in der International Labor Union. 505 Mac-Mahon (MacMahon), Maurice, comte de, duc de Magenta (1808−1893) französischer General und Politiker, seit 1859 Marschall von Frankreich; Monarchist, Bonapartist; Oberbefehlshaber der Truppen zur Niederschlagung der Pariser Kommune; Präsident der Dritten Republik (1873−1879). 262 994 Mahon, John Lincoln (1865−1933) britischer Mechaniker und Publizist irischer Herkunft; 1884 Mitglied des Exekutivkomitees der Social Democratic Federation, seit 1884 Mitglied der Socialist League, 1885 ihr Sekretär, 1887 Mitorganisator der North of England Socialist Federation; 1890−1896 Herausgeber der Zeitschrift „United Labour“ (Leeds); Verfasser der Schrift „A Labour Programme“ (1888). 330 759 760 1060 Malavant um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Malato de Corne´ (Malato), Charles (Pseudonym Talamo) (1857−1938) französischer Publizist italienischer Herkunft; Verfasser anarchistisch beeinflußter Werke; potentieller Mitarbeiter von „L’Œuvre socialiste“. 1191

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Namenregister Malon, Benoıˆt (1841−1893) französischer Färbereiarbeiter und Publizist; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune; Mitglied der Fe´de´ration du parti des travailleurs socialistes de France, schloß sich 1882 der Richtung von Paul Brousse an; 1880, 1885−1893 Herausgeber und Redakteur von „La Revue Socialiste“. 531 577 1191 Mann, Thomas (gen. Tom) (1856−1941) britischer Metallarbeiter, Gewerkschafter und radikaler Politiker; Sozialist; Mitorganisator des Londoner Hafenarbeiterstreiks 1889; seit 1893 Mitglied der Independent Labour Party. 90 145 273 691 Manning, Henry Edward (1808−1892) britischer Geistlicher; trat 1851 zum Katholizismus über, seit 1875 Kardinal; stand dem christlichen Sozialismus nahe. 90 Manteuffel, Otto, Freiherr von (1805−1882) preußischer Staatsmann; Landwirtschaftsund Innenminister (1848−1850), Ministerpräsident und Außenminister (1850−1858). 411 Martignetti, Igino (geb. 1883) Sohn von Pasquale Martignetti und Giuseppina Collarile. 48–51 74 81 88 691 812 818 Martignetti, Pasquale (1844−1920) italienischer Justizangestellter und sozialistischer Publizist; Mitarbeiter von „La Plebe“, „La Giustizia“ und „Critica Sociale“; Übersetzer einiger Schriften von Marx und Engels. 40 41 74 75 88 108 150–152 162 166 204 206 215 216 218 235 290 307 308 310 314 316 678 770 778 806 807 812 818 843 879 882 894 938 940 949 951 952 973 1020 1036–1038 1043 1045 1184 Martignetti, Salvatore (1879−1900) Sohn von Pasquale Martignetti und Giuseppina Collarile. 74 806 Marx, Heinrich (bis etwa 1814 Heschel) (1777−1838) Anwalt in Trier, Justizrat; Vater von Karl Marx. 940 Marx, Jacob (Jacques) (1800−1850) Bruder von Heinrich Marx, gestorben in Schlettstadt (Elsaß), Vater von Eva (Henriette) Weill. 940 947 Marx, Jenny (geb. von Westphalen) (1814−1881) seit 1843 Ehefrau von Karl Marx. 942 1142 1149 1083 1306 Marx, Karl (Mohr) (1818−1883). 29−31 39 40 43 82 91 98 105 111 144 166 169 180 192 202 206 207 209 210 213 217 218 225 238 243 252 253 265 269 279 281 299 321 324 326 333 337 342 343 349 364 377 383 390 404 418 421 448 453 456 465 467 468 471 486 498 504 516 524 526 529 531 545 555 556 558−560 563 566 567 569 572 575 579 580 587 595 596 598 600 601 604 606 622 637 638 674–677 680 681 688 690 696–698 701 716–718 747 757 766 820 927 942 986 1006 1011 1024 1033 1053 1064 1074 1083 1149 1191 1192 1261 1278 1306 1316 1330 1331 1137 1343 Marx-Aveling (Marx Aveling, Aveling, Eveling), Eleanor (gen. Thussy, Tusi, Tussi, Tussy) (1855−1898) jüngste Tochter von Karl und Jenny Marx; Publizistin; 1884 Mitglied der Social Democratic Federation, Mitbegründerin der Socialist League; engagierte sich für die Organisation der ungelernten Arbeiter und Arbeiterinnen, Mitorganisatorin der Streiks der Gas- und Hafenarbeiter Londons (1889) und der Demonstrationen am 1. Mai 1890; Mitorganisatorin der Kongresse der II. Internationale, Delegierte der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891 und 1893; seit 1884 Lebensgefährtin von Edward Aveling. 14 16 20 23 24 39 55 56 64 68 71 72 79 80 89 90–92 96 99 104 110 114 115 118 134 144 154 155–157 160 175 177 179 195 199 202 207 230 273 282–284 286 296 299 300 302 318 319 325 333 352 366 377 381 383 384 395 401 409 423 428 431 438 439 444 445 453 423 428 431 438 480 487 488 490 492 495 497 498 503 505 506−512 514 516 518 519 520 523 525 527 534 535 539 558 564 559 560 564 566–568 570 573 576 580 595 597 601 637 674 678 680 691 731 734 741 750 769 785 803 804 811 817 819 821 851 852 868 886 907 932 1003 1004 1013 1016 1026 1030 1064 1131 1139 1169 1175 1187 1206 1209 1226 1229 1242 1244 1248 1251 1258 1261 1263 1265 1272 1281 1293 1311 1314 1316 1318

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Namenregister Mathieu, Victor französischer Arzt; Vertreter der elektro-homöopathischen Schule in Estissac (Aube), entwickelte eine Methode zur Bekämpfung der Tuberkulose. 577 1324 Matthias, Otto Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Maurer, Georg Ludwig, Ritter von (1790−1872) deutscher Jurist, Rechtshistoriker und bayrischer Staatsmann; Professor in München. 391 1128 Maximilian von Habsburg (1832−1867) Erzherzog von Österreich, Bruder von Kaiser Franz Joseph I.; als Maximilian I. Kaiser von Mexiko (1864−1867). 112 Maze`re, G. französischer Sozialist; zeitweise Sekretär der Pariser Agglome´ration des POF; um 1890 Initiator und Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 1185 Mehring, Franz (1846−1919) deutscher Journalist und Historiker; seit 1891 Mitglied der SPD; 1891−1917 Mitarbeiter der „Neuen Zeit“. 53 219 1330 Meißner, Otto (1819−1902) deutscher Verleger und Buchhändler in Hamburg; gehörte in der Revolution 1848/49 der demokratischen Richtung an; verlegte die drei Bände des „Kapitals“ und weitere Werke von Marx und Engels. 453 485 680 1241 Mendelson (Mendelsohn), Stanisław (1858−1913) polnischer Publizist; Sozialist; seit 1878/1879 in Genf Herausgeber polnischer sozialistischer Zeitschriften; 1890 aus Frankreich ausgewiesen, lebte dann in London; Delegierter der internationalen sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891; 1892 Mitbegründer der Polnischen Sozialistischen Partei (PPS); trennte sich Mitte der 1890er Jahre von der Arbeiterbewegung und wanderte in die USA aus; Ehemann von Maria Jankowska. 55 446 Merkin, Moses (1851 bis etwa 1908) aus Lettland stammender Chemiker; 1874/1875 Studium in Zürich, 1881 Promotion in Tübingen; übersiedelte 1884 in die USA; Mitglied der sozialdemokratischen Partei; nach 1881 Emigration in die USA; 1885 Lehrer am Russian Labor Lyceum in New York; 1886 beteiligt an der Gründung einer Textilarbeitergewerkschaft und jüdischer Gewerkschaften in New York; führte hier eine Auseinandersetzung mit Anarchisten; Mitarbeiter der „New Yorker Volkszeitung“; nach 1900 Rückkehr nach Deutschland, wo er verarmt starb. 39 769 Mermeix siehe Terrail, Gabriel Me´ry, Ce´sar Paulin Auguste (gen. Paulin-Me´ry) (1860−1913) französischer Politiker; Boulangist; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1902). 10 723 Meyen, Eduard (1812−1870) deutscher Publizist; Junghegelianer; vor 1848 Korrespondent oppositioneller Blätter; 1848 Mitglied des Zentralausschusses der demokratischen Vereine Deutschlands; emigrierte nach der Revolution 1848/49 nach England; 1861 Rückkehr nach Deutschland; 1861−1863 Redakteur der „Berliner Reform“; später Nationalliberaler. 30 Meyer, Adolph Charles (1858−1938) dänischer Stuckateur, Journalist, Schriftsteller und Politiker; 1878 Mitbegründer des Socialdemokratisk Forbund und dessen Vorsitzender; seit 1884 Mitarbeiter des „Social-Demokraten“ (Kopenhagen); Mitglied des dänischen Reichstages (1895−1932). 93 Meyer, Johann (1859−1920) deutscher Bergarbeiter; Mitglied des Zentralstreikkomitees während des Bergarbeiterstreiks 1889; 1890−1895, 1899−1903 Hauptkassierer des Bergarbeiterverbandes, 1894−1896 stellvertretender Vorsitzender des Verbandes; bei den Wahlen zum Deutschen Reichstag 1890, 1893 und 1898 sozialdemokratischer Kandidat; 1895 Mitangeklagter im Essener Meineidsprozess. 619 1361 Meyer, Joseph Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Meyer, Mathilde (1844−1913) seit 1885 verheiratet mit Rudolf Meyer. 212 269 353 571 572 946 1001 1083 1319 Meyer, Otto (geb. etwa 1887) Sohn von Mathilde und Rudolf Meyer. 212 269 353 946 1001 1083 Meyer, Rudolf (1839−1899) deutscher Publizist, Politiker und Ökonom; Beobachter der Arbeiterbewegung; 1877−1881 Wirtschaftsredakteur der katholischen Zeitung „Vaterland“ (Wien); 1892−1896 Mitarbeiter der „Neuen Zeit“; Verfasser sozialreformerischer Schriften; lernte 1879 in London Marx und Engels kennen; lebte 1884−1889 in

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Namenregister Kanada, danach in Österreich und Deutschland. 212 269–272 353 354 571 572 679 946 1001 1083 1319 Michajlovskij (Michaı¨lovsky), Nikolaj Konstantinovicˇ (1842−1904) russischer Soziologe, Publizist und Literaturkritiker; 1869−1884 Mitarbeiter und Redakteur der Zeitschrift „Otecˇestvennyja Zapiski“ und seit 1893 von „Russkoe Bogatstvo“. 226 Michel siehe Deutscher Michel Miquel, Johannes (seit 1897) von (1828−1901) deutscher Rechtsanwalt und Politiker; 1850 Mitglied des Bundes der Kommunisten; 1859 Mitbegründer des Deutschen Nationalvereins; seit 1867 führendes Mitglied der Nationalliberalen Partei; 1870−1873 Direktor der Berliner Disconto-Gesellschaft; Oberbürgermeister von Osnabrück (1865−1870, 1876−1880) und Frankfurt/Main (1880−1890); preußischer Finanzminister (1890−1901); Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867−1870) und des Deutschen Reichstags (1871−1877, 1887−1890). 194 212 255 285 354 359 927 946 989 1084 1091 Mirbeau, Octave (1848−1917) französischer Schriftsteller. 1191 Moise (Moses) Prophet aus der Bibel. 604 Mohr siehe Marx, Karl Molkenbuhr, Hermann (1851−1927) deutscher Zigarrenmacher; Sozialdemokrat; seit 1872 Mitglied des ADAV; lebte 1881−1884 in den USA; Teilnehmer des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; Mitglied des Deutschen Reichstags (seit 1890). 928 Møller, Ferdinand (1852−1938) aus Schleswig-Holstein stammender dänischer Tabakarbeiter; seit 1885 Mitglied der Deutschen Lesegesellschaft in Kopenhagen; 1888 Vorsitzender einer Lokalorganisation des Socialdemokratisk Forbund, gehörte der Opposition an, 1889 Ausschluß aus der Partei; 1899−1905 Kassierer, später Vorsitzender der Tabakarbeitergewerkschaft bzw. der Arbeitslosenkasse. 93 Moll, Joseph (1813−1849) deutscher Uhrmacher; Mitglied des Bundes der Gerechten, 1840 Mitbegründer des Deutschen Arbeiterbildungsvereins in London, 1845 der Fraternal Democrats, Mitglied der Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten; Teilnehmer der Revolution 1848/49; nahm 1849 an den Erhebungen in der Pfalz und in Baden teil, fiel 1849. 766 Moltke, Helmuth, Graf von (1800−1891) preußischer Generalfeldmarschall und Militärschriftsteller; Chef des preußischen (1857−1871) und des kaiserlichen Generalstabs (1871−1888); Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867–1870) und des Deutschen Reichstags (1871−1891). 190 269 Moore, Samuel (Sam) (1838−1911) englischer Baumwollfabrikant in Manchester (bis 1879), seit 1882 Rechtsanwalt; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Übersetzer des „Kommunistischen Manifests“ und gemeinsam mit Edward Aveling des ersten Bandes des „Kapitals“ ins Englische; 1889−1897 als Richter (Chief Justice) in Asaba im Territorium der Royal Niger Company tätig. 14 16 21 39 91 96 257 261 450 453 496 588 680 728 733 821 1198 1249 Moore, William Cameron (1845−1927) englischer Rechtsanwalt, Bruder von Samuel Moore. 14 728 More (Morus), Sir Thomas (1478−1535) englischer Jurist, Staatsmann und Schriftsteller. 169 Morgan, Lewis Henry (1818−1881) US-amerikanischer Ethnologe, Archäologe und Historiker. 213 309 318 329 341 368 381 395 418 429 587 1038 1071 Morris, William (1834−1896) britischer Dichter, Schriftsteller und Kunsthandwerker; 1883 Mitbegründer der Social Democratic Federation, 1884−1889 führender Vertreter der Socialist League; Delegierter des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889; 1890 Begründer der Hammersmith Socialist Society. 69 106 840 1004 Morris, William A. (1856−1904) englischer Geistlicher; Redakteur der „People’s Press“; etwa 1882 Gründer und Vorsitzender des Vauxhall Working Men’s Club. 273 381 1003 1119

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Namenregister Most, Johann (1846−1906) deutscher Buchbinder, Redakteur und Publizist; seit 1868 in der österreichischen Arbeiterbewegung tätig, seit 1871 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei in Österreich und der Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands; 1871 Redakteur der „Chemnitzer Freien Presse“, 1873 der „Süddeutschen Volksstimme“, 1876 Mitredakteur der „Berliner Freien Presse“; 1878 aus Berlin ausgewiesen; seit Januar 1879 Herausgeber und Redakteur der Wochenzeitung „Freiheit“ (London); 1880 aus der Partei ausgeschlossen; 1883 Übersiedlung in die USA; Mitbegründer der anarchistischen International Working People’s Association; Mitglied des Deutschen Reichstages (1874−1878). 414 1006 Motteler, Emilie (geb. Schwarz) (Madame Julius Caesar Motteler) (1850−1919) seit 1878 zweite Ehefrau und Mitarbeiterin von Julius Motteler. 114 406 481 490 1144 1230 Motteler, Julius (1838−1907) deutscher Tuchmacher und Buchhalter; seit 1863 Mitglied des Verbandes Deutscher Arbeitervereine, seit 1867/1868 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1869 Mitbegründer der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; Mitglied des Deutschen Reichstags (1874−1878 und 1903−1907); während des Sozialistengesetzes Emigration nach Zürich, leitete die Expedition des „Sozialdemokrat“ und illegaler Literatur nach Deutschland, seit 1888 in London; 1901 Rückkehr nach Deutschland; seit 1878 Ehemann von Emilie Motteler. 18 91 97 114 183 303 317 318 323 399 406 412 454 481 597 720 739 820 827 915 1031 1051 1144 1230 1340 Mügge, Theodor (1806−1861) deutscher Schriftsteller und Publizist; 1848 Mitbegründer der „Nationalzeitung“. 30 Müller, Hans (1867−1950) deutscher Ökonom und Journalist; 1888−1893 Student in Zürich; Mitarbeiter der „Berliner Volks-Tribüne“, 1890 zeitweise Redakteur der Magdeburger „Volksstimme“; gehörte der Opposition der „Jungen“ an. 408 514 1133 1138 1146 1268 Mundberg, Anton (1836−1901) dänischer Sozialdemokrat und Redakteur; Gastdelegierter des Parteitags der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages; Mitglied des dänischen Reichstages (1898−1901). 508 1187 1264 Mushacke (Mussak), Eduard (1812−1873) deutscher Gymnasiallehrer in Berlin und Schriftsteller; Junghegelianer; 1853−1873 Herausgeber des „Preußischen LehrerAlmanachs“. 30 756 Napole´on Ier (Bonaparte) (1769−1821) Kaiser der Franzosen (1804−1814, 1815). 4 149 152 188 262 264 270 323 326 351 433 572 714 993 1243 1277 Napole´on III (Bonaparte, Louis Bonaparte) (1808−1873) Präsident der Zweiten französischen Republik (1848−1852), Kaiser der Franzosen (1852−1870). 4 34 42 61 261 262 571 714 728 791 Necker, Jacques (1732−1804) französischer Bankier, Staatsmann und Ökonom; 1777− 1781, 1788−1790 Finanzminister (Generalkontrolleur der Finanzen). 359 1091 Negendank, August US-amerikanischer Sozialist deutscher Herkunft; seit Ende 1889 Redakteur des deutschsprachigen Organs der SLP „Der Sozialist“ (New York). 159 888 Nepos, Cornelius (100−25 v. Chr.) römischer Historiker. 433 1171 Nicoll, David J. (1859−1919) britischer Sozialist; seit 1885 Mitglied der Socialist League, gehörte dem anarchistischen Flügel an; seit Mai 1890 zusammen mit Frank Kitz Redakteur von „The Commonweal“ (siehe Erl. 309.5). 499 1253 Nielsen-Kolding, Frits-Julius (1868−1937) dänischer Buchdrucker und Publizist; Mitglied des Socialdemokratisk Forbund, schloß sich 1888 der Opposition an und wurde eines ihrer führenden Mitglieder, 1889 Ausschluß aus der Partei; 1891−1893 Redakteur der Wochenzeitung „Arbejderen“. 825 Nieuwenhuis siehe Domela Nieuwenhuis Nim, Nimm, Nimmi, Nimmy, Nym siehe Demuth, Helena

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Namenregister O’Connor, Feargus Edward (1794−1855) irischer Jurist, Politiker, Journalist; Chartist, Sprecher des physical force-Flügels; 1837 Gründer und Redakteur der Zeitung „The Northern Star“ (Leeds); Mitglied des Parlaments (1832−1835, 1847−1852); 1852 Rückzug aus dem öffentlichen Leben. 107 841 Okecki, Alexandre de (eigtl. Radwan de Okecki) (geb. 1839) französischer Offizier und Politiker polnischer Herkunft; Sozialist; 1889 Kassierer im Wahlkomitee von Franc¸ois Fre´de´ric Boule´; Redakteur und Verleger der Wochenzeitung „L’Autonomie“; Mitarbeiter von „La De´fense des travailleurs“; Generalsekretär von „L’Union des groupes socialiste de Libre-Pense´e de la Seine“; Delegierter des Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses 1891. 186 263 Oppenheim, Max (1834 bis nach 1900) österreichischer Inhaber einer Handelsfirma in Prag, später in Dresden; Bekannter von Karl und Eleanor Marx. 600 601 1343 Oriol, Henry (eigtl. Henri) (1857 bis um 1908) französischer Verleger; Schwiegersohn von Maurice La Chaˆtre; ursprünglich Angestellter in dessen Verlag, führte den Verlag seit 1883 selbständig weiter; in den 1880er Jahren Mitglied des POF. 281 1011 Orle´ans Dynastie französischer Könige 1830−1848, der jüngere Zweig der Bourbonen. 173 905 Osang, Friedrich (geb. 1855) sächsischer Schumacher; 1879 Mitglied des Deutschen Lesevereins (Brüssel), seit 1885 Mitglied des CABV (London); arbeitete 1892 als Bootmaker in London. 597 Ossipowitsch siehe Zasulicˇ, Vera Ivanovna Osterroth (Osteroth), Friedrich (eigtl. Blank, nahm 1846 durch Adoption den Namen Osterroth an) (1815−1889) deutscher Kaufmann in Barmen. 129 139 Oswald, Eugen (1826−1912) deutscher Journalist, Schriftsteller und Lehrer in London; Teilnehmer der Revolution in Baden 1848/49; emigrierte 1851 nach London; Bekannter von Engels. 465 626 1367 Owen, Robert (1771−1858) britischer Unternehmer und Sozialreformer. 169 P. L. um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“ aus Argentinien. 1184 Pakard britischer Arzt. 551 Paradies, Louis (1843−1910) deutscher Bankier und Kaufmann; stand seit Anfang der 1870er Jahre der Sozialdemokratie nahe, wurde Parteimitglied; lebte seit etwa 1883 in Berlin; befreundet mit Wilhelm Liebknecht, Schwiegervater von Karl Liebknecht. 501 Parisius, Raff. Übersetzer der Polizei in Benevento. 812 Parke, Ernest (1860−1944) britischer Journalist; Redakteur von „The North London Press“, später von „The Star“; nach 1900 Herausgeber der liberalen Zeitung „Morning Leader“ (London). 179 912 Parnell, Charles Stewart (1846−1891) irischer Politiker und Staatsmann; Liberaler; Mitglied des Parlaments (seit 1875); 1877−1890 Vorsitzender der Home Rule League, 1879 Mitbegründer und 1880/1881 Präsident der Irish Land League. 172 286 Pasteur, Louis (1822−1895) französischer Chemiker und Mikrobiologe. 577 Pau´l y Angulo, Jose´ (1838−1892) spanischer Politiker und Unternehmer; Mitglied des spanischen Parlaments; lebte seit 1870 in Südamerika, 1880 in Argentinien; kehrte später nach Paris zurück. 147 165 796 884 Paulard Stylite, Alexandre (1848−1909) französischer Publizist und Gewerkschafter; Sozialist; 1879 Redakteur von „Le Proletaire“; bei der Parteispaltung 1882 unterstützte er die possibilistische Richtung; Mitglied des Nationalkomitees. 491 Pauli, Ida (geb. Forster) (1854 bis nach 1922) seit 1873 Ehefrau von Philipp Pauli. 627 1368 Pauli, Philipp Viktor (1836−1920) deutscher Chemiker, Leiter einer chemischen Fabrik in Rheinau bei Mannheim; Freund von Carl Schorlemmer und Engels; Ehemann von Ida Pauli. 627 1368

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Namenregister Pe´dron, Etienne (1849−1930) französischer Uhrmacher und Dichter; Mitglied des POF und dessen Kandidat bei verschiedenen Wahlen; Redakteur sozialistischer Wochenzeitungen; Delegierter des Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses in London 1896. 15 1184 Perikles (etwa 495 bis 429 v. Chr.) athenischer Staatsmann, führte ab 461 an der Spitze der demokratischen Partei Reformen durch, die die Macht der Aristokratie begrenzten. 269 Peragallo, Victor französischer Drucker; Eigentümer der Zeitung „Le Combat“. 116 140 147 797 853 871 Pernerstorfer, Engelbert (1850−1918) österreichischer Journalist und Politiker; Vertreter einer deutschnationalen Richtung in der österreichischen Arbeiterbewegung; Redakteur der Zeitschrift „Deutsche Worte“; Mitglied des Reichsrats als Unabhängiger für den Wahlbezirk Wiener Neustadt-Neunkirchen (1885); Mitglied der Fabier Gesellschaft (Wien); seit 1896 Mitglied der SDAP; Jugendfreund von Victor Adler. 898 Pessina, Enrico (1828−1916) italienischer Jurist und Professor; Mitglied des Abgeordnetenhauses, seit 1871 des Senats; Minister für Landwirtschaft, Industrie und Handel, Justizminister (1879, 1885); verteidigte 1889 Pasquale Martignetti vor dem Berufungsgericht in Neapel. 74 806 Petersen, Nicolaj Lorents (1854 bis etwa 1916) dänischer Stockdreher, Sozialist; lebte 1875−1888 im Ausland, u. a. in Frankreich und England, wo er Engels kennenlernte; Mitbegründer und Redakteur von „Arbejderen. Socialistisk Ugeblad“; Mitglied des Socialdemokratisk Forbund, 1889 aus der Partei ausgeschlossen, Mitbegründer von Det Revolutionære Socialistiske Arbejderparti, 1901 wieder Mitglied des Socialdemokratisk Forbund, aktiv auf dem linken Flügel der Partei. 93 104 825 1151 Petzler, Johann (John) (1814 oder vor 1820 bis 1898) aus Österreich stammender Musiklehrer und Schriftsteller; Mitglied des Bundes der Kommunisten und des Deutschen Arbeiterbildungsvereins in London; lebte einige Jahre in Manchester (siehe Erl. 265.5). 435 1172 Petzler, William Augustus (1857−1912) in Manchester geborener Sohn von Johann Petzler (siehe Erl. 265.5). 435 1172 Pfänder, Caroline Luise (geb. Ruckwied) (1820−1889) heiratete 1845 Carl Pfänder, Mutter von Emma Pfänder. 834 1024 Pfänder (Pfander), Emma (1851−1931) Dekorateurin, in London lebende Tochter des 1876 verstorbenen Carl Pfänder und seiner Ehefrau Caroline Luise. 103 679 834 Pferdmenges, Albert (1844−1898) Schwager von Hermann Engels (senior), lebte in München Gladbach (Mönchengladbach). 460 513 547 616 Pferdmenges, Clara Maria (1887−1949) Tochter von Klara Maria und Wilhelm Pferdmenges. 864 1210 Pferdmenges, Wilhelm (1851−1930) aus Deutschland stammender Teilhaber der Baumwollfirma „Pferdmenges, Preyer & Co.“ in Liverpool; Ehemann von Klara Maria Engels (seit 1880). 864 1210 Pferdmenges, Harald Erich Wilhelm (1882−1956) deutscher Kaufmann, Sohn von Klara Maria und Wilhelm Pferdmenges. 864 1210 Pferdmenges, Klara (Clara) Maria (geb. Engels) (1860−1955) Tochter von Hermann Engels; Ehefrau von Wilhelm Pferdmenges (seit 1880). 864 1210 Pferdmenges, Lily Emma Charlotte (1881−1941) Tochter von Klara Maria und Wilhelm Pferdmenges. 864 1210 Pferdmenges, Paul Hermann (1884−1912) deutscher Kaufmann, Sohn von Klara und Wilhelm Pferdmenges. 864 1210 Pferdmenges, Preyer & Co, Baumwollfirma in Liverpool. 513 Philippos II. (Philipp) (382−336 v. Chr.) seit 359 v. Chr. Regent, dann König von Makedonien (355−336 v. Chr.), Vater Alexanders des Großen. 269 Pinkerton, Allan (1819−1884) US-amerikanischer Kriminalist; Begründer eines privaten Sicherheitsdienstes und Detektei. 177 909

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Namenregister Pinoff, Friedrich Rudolf (1849−1916) deutscher Jurist; Freikonservativer; in den 1880er Jahren Staatsanwalt in Elberfeld; 1889 Vertreter der Anklage im Elberfelder Prozeß. 127 171 863 Pitt, William (gen. Pitt the Younger) (1759−1806) britischer Staatsmann; zuerst Whig, dann Tory; Premierminister (1783−1801, 1804−1806). 82 Plechanov (Plechanoff, Plekhanoff), Georgij Valentinovicˇ (1856−1918) russischer Publizist, Philosoph und Revolutionär; 1880 in die Schweiz emigriert; Mitarbeiter der „Neuen Zeit“; 1883 Gründer der Gruppe „Osvobozˇdenie truda“; Delegierter der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891. 227 228 237–239 265–267 963 975 998 999 Plunket, David Robert, 1st Baron Rathmore (1838−1919) britischer Politiker; Konservativer; Minister für öffentliche Arbeiten (1885, 1886−1892); Mitglied des Parlaments für die Universität Dublin. 282 283 299 1013 1026 Pokorny, Rudolf (1862−1912) österreichischer Metallarbeiter; beteiligt an der Reorganisation der österreichischen Sozialdemokratie vor 1889, 1892 Wahl in die Parteileitung der österreichischen Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; Teilnehmer der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1889 und 1891; Gastdelegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 473 501 1187 1223 Pompadour, Jeanne Antoinette Poisson, marquise de (1721−1764) einflußreiche Maitresse von Louis XV; Förderin von Künstlern und Aufklärern (Enzyklopädisten) am französischen Hof. 481 860 1230 Potter, George (1832−1893) englischer Zimmermann; seit 1853 Mitglied der Progressive Society of Carpenters and Joiners; 1859/1860 Mitorganisator der Streikbewegung für den Neunstundentag; Mitglied des London Trades Council; Gründer der London Working Men’s Association; Mitglied der Labour Representation League; 1861−1877 Mitherausgeber und Mitredakteur von „The Bee-Hive Newspaper“. 90 Pottier, Euge`ne (1816−1886) französischer Musterzeichner und Dichter; Sozialist; Dichter der „Internationale“; Teilnehmer der Revolution von 1848/49; 1871 Mitglied der Pariser Kommune; Emigration, 1880 Rückkehr nach Frankreich. 69 802 1191 Prim y Prats, Juan, conde de Reus (1814−1870) spanischer General und Politiker; Teilnehmer der Revolutionen in Spanien 1834−1843 und 1854−1856; schlug 1843/ 1844 den Aufstand der Republikaner und der Progresistas in Katalonien nieder; 1868 Rückkehr nach Spanien; Anhänger der konstitutionellen Monarchie; Kriegsminister (1869/1870); Ministerpräsident in der provisorischen Regierung; 1870 einem Attentat zum Opfer gefallen. 147 877 Protot, Euge`ne (1839−1921) französischer Advokat, Arzt und Journalist; Blanquist; seit 1866 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Teilnehmer der Pariser Kommune; Emigration, 1880 Rückkehr nach Frankreich; zog sich aus dem politischen Leben zurück. 15 57 787 Proudhon, Pierre-Joseph (1809−1865) französischer sozialistischer Philosoph, Ökonom und Publizist; ein Begründer des Anarchismus; Mitglied der Nationalversammlung (1848). 31 Publilius Syrus (1. Jh. v. Chr.) römischer Verfasser von Mimen und Sentenzen. 368 1102 Pumps siehe Rosher, Mary Puttkamer (Puttkammer), Robert von (1828−1900) preußischer Gutsbesitzer und Politiker; Konservativer; Oberpräsident von Schlesien (1876/1877) und von Pommern (1891−1899); preußischer Kultusminister (1879−1881), Innenminister (1881−1888); Mitglied des Deutschen Reichstags (1874−1876, 1878/1879, 1890/1891), Mitglied des preußischen Abgeordnetenhauses (seit 1879). 184 201 207 253 916 987 Pyat, Fe´lix (1810−1889) französischer Publizist, Dramatiker und Politiker; radikaler Demokrat; 1852 Emigration nach England; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; 1869 Rückkehr nach Frankreich; Gründer von „Le Combat“; Mitglied der Nati-

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Namenregister onalversammlung (1871); Teilnehmer der Pariser Kommune, danach Emigration nach England, 1880 Rückkehr; Mitglied der Deputiertenkammer (1888/1889). 57 Ranc, Arthur (1831−1908) französischer Publizist und Politiker; Republikaner; in den 1880er Jahren Mitarbeiter verschiedener republikanischer Zeitungen; Mitglied der Deputiertenkammer (1881−1885); Mitglied des Senats (1891−1908). 186 712 Rappaport, Philipp (1844−1913) aus Fürth in Franken stammender US-amerikanischer Publizist; Freidenker, Sozialist; 1868 in die USA eingewandert; Gründer und Herausgeber (bis 1900) der deutschsprachigen Zeitung „Telegraph-Tribüne“ in Indianapolis; Ende der 1880er und Anfang der 1890er Jahre Mitarbeiter der „Neuen Zeit“; Delegierter der Kongresse der SLP 1887 und 1889. 24 73 90 750 805 820 Read um 1890 Arzt in London. 345 524 551 552 1075 1278 Reed um 1890 britischer Arbeiter in New York. 846 Reid, George W. britischer Arbeiter; Gründer einer Hafenarbeitergewerkschaft in New York (siehe Erl. 60.3–6). 110 144 324 846 847 874 892 Reisland Verlagsbuchhandlung in Leipzig. 350 Reuter, Fritz (1810−1874) niederdeutscher Schriftsteller und Dichter; 1833 wegen Aktivitäten in einer Burschenschaft zum Tode verurteilt, später zu 30-jähriger Festungshaft begnadigt und 1840 amnestiert. 30 Reuters (Reuter) Nachrichtenagentur und Informationsunternehmen, 1849 in Aachen gegründet von Paul Julius Reuter, 1851 nach London umgesiedelt; seit 1865 Reuters Telegraphic Company. 263 997 Rheinbold, Adolf Gratulant zu Engels’ 70. Geburtstag aus Stuttgart. 602 1344 Ricardo, David (1772−1823) britischer Ökonom; Hauptvertreter der klassischen politischen Ökonomie. 270 279 Richards, Emmy 1313 Richter, Eugen (1838−1906) deutscher Politiker; führendes Mitglied der Fortschrittspartei, Mitbegründer (1884) der Deutsch-Freisinnigen Partei; Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867–1870) und des Deutschen Reichstags (1871− 1906). 903 Riefer, Adolf (geb. nach 1852) Neffe von Helena Demuth, Sohn ihrer Schwester Katharina und Peter Riefer. 566 567 1316 Robelet, Gustave französischer Chemiearbeiter und Handelsangestellter; Sozialist; Mitglied des POF in Paris, bei den Wahlen 1886, 1887 Kandidat; 1880 Pariser Delegierter des Kongresses in Le Havre; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 1184 Robespierre, Maximilien de (1758−1794) französischer Jurist und Politiker; während der Französischen Revolution ein führender Jakobiner; stand 1793/1794 an der Spitze der revolutionären Regierung. 82 813 Roche, Ernest (1850−1917) französischer Graveur, später Journalist; Blanquist; unterstützte Georges Boulanger; Mitglied der Deputiertenkammer (seit 1889 mehrfach); 1881−1906 Redakteur für Arbeiterfragen der Zeitung „L’Intransigeant“. 42 772 Roche, Paul (gest. nach 1901) französischer Journalist, Mitarbeiter der Zeitung „Le Gaulois“. 198 931 Rochechouart-Mortemart, Marie Adrienne de, duchesse d’Uze`s (1847−1933) französische Aristokratin; Royalistin; vermittelte bedeutende Geldbeträge an Georges Boulanger; 1907 Urheberin eines Gesetzes, das verheirateten Frauen das Verfügungsrecht über ihren Lohn einräumte. 490 Rochefort, Victor Henri, marquis de Rochefort-Luc¸ay (1830−1913) französischer Publizist und Politiker; linker Republikaner; nach der Pariser Kommune 1871 zu lebenslänglicher Deportation nach Neukaledonien verurteilt, 1880 Rückkehr nach Frankreich; 1880−1910 Gründer und Chefredakteur der Zeitung „L’Intransigeant“; unterstützte zeitweise Georges Boulanger. 490 1242

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Namenregister Rodbertus, Johann Karl (1805−1875) deutscher Gutsbesitzer, Ökonom und Politiker; 1848 Mitglied der preußischen Nationalversammlung (linkes Zentrum), 1849 der Zweiten Kammer, Juni/Juli 1848 preußischer Kultusminister; Vertreter staatssozialistischer Ideen. 210 Röllinghoff, Ewald (geb. 1849) deutscher Polizeiagent, Angeklagter im Elberfelder Prozeß (1889) (siehe Erl. 59.5–7). 171 844 902 Rohde, Robert Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Romeo Titelgestalt aus William Shakespeares Tragödie „Romeo and Juliet“. 100 Romm (Romm-Zadek), Julie (geb. Zadek) (1853−1916) deutsche Ärztin und Schriftstellerin; Sozialistin; Mitarbeiterin der „Neuen Zeit“ und weiterer deutscher und amerikanischer sozialistischer Presseorgane; 1890 Übersiedlung in die USA, engagierte sich dort in der sozialistischen Bewegung; 1910−1916 Redakteurin der Frauenseite der „New Yorker Volkszeitung“; Schwester von Ignaz Zadek und Regina Schattner, der zweiten Ehefrau von Eduard Bernstein, seit 1882 mit Maxim Romm verheiratet. 202 495 504 568 569 575 1247 1317 1323 1355 Romm, Maxim (1853−1921) aus Rußland stammender US-amerikanischer Arzt, lebte seit 1890 in den USA; dort Mitarbeiter der jiddischen sozialistischen Presse; seit 1882 Ehemann von Julie Romm. 495 504 568 569 575 1247 1317 1323 Ronsperger, Luise siehe Kautsky, Luise Ropartz, J. 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 1185 Roques, Jules (1850−1909) französischer Journalist und Sozialist; Finanzier der Zeitung „L’Egalite´ “, an deren Redaktion sich die Guesdisten im Februar/März 1889 beteiligten (siehe Erl. 78.11–12). 140 141 147 154 155 164 797 871 893 Roscher siehe Rosher Rosenberg, Wilhelm Ludwig (Pseudonym von der Mark) (1850−1934) deutsch-amerikanischer Journalist und Schriftsteller; Sozialist; seit 1875 Mitarbeiter der „Neuen Welt“; 1880 Emigration in die USA; Mitherausgeber mehrerer sozialistischer Zeitungen; 1885−1888 Sekretär des Exekutivkomitees der SLP, 1885−1890 Mitherausgeber ihrer Zeitung „Der Sozialist“. 16 39 89 98 107 145 596 732 769 905 1184 Rosher (Rocher, Roscher) (geb. etwa Dezember 1884) drittes Kind (Sohn) von Mary und Percy White Rosher. 793 799 810 851 910 1151 1164 1170 Rosher Mutter von Percy White Rosher. 793 Rosher, Charles H. (der Alte) Vater von Percy White Rosher. 764 767 793 865 867 873 887 Rosher, Charles Howard (Charley, Charlie) britischer Unternehmer, Bruder von Percy White Rosher. 130 132 133 142 143 158 162 167 680 764 793 799 865 867 873 887 891 896 Rosher, F. Howard jüngerer Bruder von Percy White Rosher. 764 793 887 Rosher, Frank E. (geb. 1868 oder 1869) jüngerer Bruder von Percy White Rosher. 764 793 887 1156 Rosher (Rocher, Roscher), Mary Lilian (Lily, Lili, Miss Lily) (geb. 1882) Tochter von Mary und Percy White Rosher. 793 799 810 851 910 1151 1164 1170 Rosher (Roche, Rocher, Roscher), Mary Ellen (geb. Burns) (gen. Pumps) (geb. 1859) Nichte von Engels’ Frau Elizabeth Lydia Burns, seit 1881 Ehefrau von Percy Rosher. 680 793 799 810 831 844 855 1099 1151 1164 1166 1170 1259 Rosher (Roche, Rocher, Roscher), Percy White (geb. etwa 1859) englischer Kaufmann und Buchhalter, seit 1881 Ehemann von Mary Rosher. 680 764 767 775 778 793 796 810 816 822 831 844 855 865 867 873 878 913 1151 1164 1170 1259 Rothschild internationales Bankhaus in Paris, Messieurs de Rothschild Fre`res. 578 Rothwell, Richard Rainshaw, marquis de (1809−1890) Eigentümer des Hauses 122 Regent’s Park Road, in dem Engels wohnte. 475 476 485 1129 1136 1236 Rousseau, Jean Jacques (1712−1778) französischer Schriftsteller und Philosoph. 186 199

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Namenregister Rouvier, Pierre-Maurice (1842−1911) französischer Staatsmann und Politiker; Republikaner; mehrmals Minister, 1887 und 1905/1906 Ministerpräsident; entließ Georges Boulanger aus der Regierung. 15 385 578 730 Roux, F. französischer Sozialist; 1890 Mitherausgeber von „L’Ide´e Nouvelle“. 289 1018 1019 1184 Rüegg, Reinhold (1842−1923) schweizerischer Lehrer, Journalist und Schriftsteller; 1879 Mitbegründer und bis 1915 Redakteur der „Züricher Post“; Mitarbeiter der „Neuen Zeit“ (1888−1894) und anderer sozialdemokratischer Zeitschriften. 372 1109 Rutenberg, Adolf (1808−1869) deutscher Lehrer und Publizist; Junghegelianer; 1842 Redakteur der „Rheinischen Zeitung“ (Köln), 1848 der „National-Zeitung“; nach 1866 Nationalliberaler. 30 756 Salisbury, Robert Arthur Talbot Gascoyne-Cecil, 3rd Marquis of (1830−1903) britischer Staatsmann; Tory; 1881−1902 Parteivorsitzender; Außenminister (1878−1880); Premierminister (1885/1886, 1886−1892, 1895−1902). 354 Sanial, Lucien (Saniel) (eigtl. Delabarre) (1836−1927) US-amerikanischer Sozialist französischer Herkunft; Mitglied der SLP; Redakteur und Mitarbeiter der Parteiorgane „The Workmen’s Advocate“ (1889−1891) und „The People“ (1891); Verfasser des Parteiprogramms von 1894; Delegierter der Partei auf dem Kongreß der AFL 1890 und den Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongressen 1891, 1893, 1896 und 1900. 110 159 505 889 1102 1262 Sartorius von Waltershausen, August, Freiherr (1852−1938) deutscher Ökonom; rechter Nationalliberaler; Professor in Straßburg (1888−1918). 305 1033 Savoia italienischer Beamter, Vorgesetzter von Pasquale Martignetti im Katasteramt in Benevento. 151 882 Say, Jean Baptiste Le´on (1826−1896) französischer Staatsmann und Ökonom; bürgerlicher Republikaner; Redakteur der Zeitung „Journal des De´bats“; Mitglied der Nationalversammlung (seit 1872), Finanzminister (1871−1882 mit Unterbrechung); Senatspräsident (1880). 34 Schack, Gertrud siehe Guillaume-Schack, Gertrud Schapper, Karl (1812−1870) deutscher Schriftsetzer; Mitglied des Bundes der Geächteten und des Bund der Gerechten; lebte 1840−1848 in London, dort Mitbegründer des Deutschen Arbeiterbildungsvereins und 1845 der Fraternal Democrats; Mitglied der Zentralbehörde der Bundes der Kommunisten; Teilnehmer der Revolution 1848/49; Präsident des Kölner Arbeitervereins; Mitarbeiter der „Neuen Rheinischen Zeitung“; bei der Spaltung des Bundes der Kommunisten 1850 zusammen mit August Willich Leiter des „Sonderbundes“; nahm 1856 wieder den Kontakt zu Marx auf; 1865 Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation. 766 841 1006 Schattner, Ernst (1879−1944) Sohn von Regina Bernstein (geb. Zadek) und Carl Schattner. 318 409 413 432 1047 1147 1151 1170 Schattner, Käte (Kitty) (1882−1925) Tochter von Regina Bernstein (geb. Zadek) und Carl Schattner. 318 409 413 432 1047 1147 1151 1170 Scherrer, Heinrich (1847−1919) Schweizer Advokat und Politiker; Sozialdemokrat; 1886 Mitbegründer des Schweizerischen Arbeiterbundes, 1888 der Demokratischen und Arbeiterpartei St. Gallen, 1870 Mitbegründer der ersten Sozialdemokratischen Partei der Schweiz; 1882−1890 Präsident des Grütlivereins; inoffizielle Teilnahme am Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongreß 1889 in Paris; Gastdelegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 501 508 1187 1223 1248 1264 Scherzer, Andreas (1807−1879) deutscher Schneider; Mitglied der Pariser Gemeinde des Bundes der Kommunisten; schloß sich bei dessen Spaltung 1850 dem „Sonderbund“ an; 1855 Emigration nach England; aktiv im Deutschen Arbeiterbildungsverein in London; Ehemann von Sophie Scherzer (siehe Erl. 167.11–12). 294 1024

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Namenregister Scherzer, Sophie (geb. 1822 oder 1823) Witwe von Andreas Scherzer. 294 1024 Schewitsch, Helene von (geb. von Doenniges) (1843 oder 1845 bis 1911) deutsche Schauspielerin und Schriftstellerin; heiratete 1865 Iancu von Racowit¸aˇ, der sich ihretwegen mit Ferdinand Lassalle duellierte; seit Mitte der 1870er Jahre Ehefrau von Sergej Sˇevicˇ. 285 442 1015 1183 Schewitsch siehe auch Sˇevicˇ Scheu, Heinrich (1845−1926) österreichischer Xylograph und Holzschneider; aktiv in der Arbeiterbewegung in Leipzig, seit 1870/1871 in Wien, dort Herausgeber des „Volkswille“; in den folgenden 20 Jahren Aufenthalte in verschiedenen europäischen Ländern, u. a. in Großbritannien, wo er ebenfalls in der Arbeiterbewegung tätig war. 607 1349 Schickel, Johann (1827−1909) deutscher kaufmännischer Angestellter; 1847 Mitglied des deutschen Arbeitervereins in Brüssel, 1848 Mitglied des Bundes der Kommunisten in Mainz; Teilnehmer der Revolution 1848/49; 1849 Emigrant in Brüssel, seit 1850 in den USA, wo er zuerst als Farmer arbeitete, später als Weinhändler in Milwaukee. 465 Schiller, Friedrich von (1759−1805) deutscher Dichter und Dramatiker. 109 159 199 481 609 888 1230 Schippel, Max (1859−1928) deutscher Ökonom und Publizist; seit 1886 Sozialdemokrat; 1886/1887 Redakteur des „Berliner Volksblatts“ und 1887−1890 der „Berliner Volks-Tribüne“, 1890−1899 Mitarbeiter der „Neuen Zeit“; Mitglied des Reichstags (1890−1905). 52 245 284 296 303 349 395 396 425 437 438 503 956 1026 1031 1079 Schlesinger, Maximilian (1855−1902) deutscher Publizist; Sozialdemokrat; 1876−1878 Redakteur der Breslauer Zeitung „Die Wahrheit“, 1877 verhaftet; Mitarbeiter der Zeitungen „Neuer Social-Demokrat“, „Der Volksstaat“, „Die Zukunft“ sowie des „Jahrbuchs für Socialwissenschaft und Socialpolitik“; verließ nach Erlaß des Sozialistengesetzes die sozialdemokratische Partei; in den folgenden Jahren Auseinandersetzungen mit der Breslauer Parteiorganisation. 6 8 38 679 716 717 719 Schlueter siehe Schlüter Schlüter, Anna (geb. Möller, später verh. Hoppe) (geb. 1859) heiratete 1879 Hermann Schlüter; ging mit ihm nach Zürich, London und in die USA, seit 1892 wieder in Dresden, arbeitete als Damenschneiderin, später Masseurin; etwa 1895 Scheidung von Hermann Schlüter. 39 91 98 99 110 115 144 146 180 275 325 337 363 397 555 579 580 769 820 828 874 1005 1054 1067 1134 Schlüter (Schlueter), Hermann (1851−1919) deutscher Schreiner, Publizist und Redakteur; Sozialdemokrat; ab 1866 in Dresden Mitarbeit an verschiedenen sozialdemokratischen Presseorganen; lebte 1873−1876 in Chicago, um 1876 Rückkehr nach Deutschland, lebte 1883 bis 1888 in der Schweiz; Leiter des sozialdemokratischen Verlags in Zürich, 1885 Herausgeber der „Sozialdemokratischen Bibliothek“, Begründer des Parteiarchivs; 1888 Ausweisung, Emigration nach London, 1889 in die USA; Teilnahme an der amerikanischen Arbeiterbewegung; Mitarbeiter der „New Yorker Volkszeitung“, 1891−1919 deren Chefredakteur. 24 39 91 97 98 99 110 115 144–146 159 163 178 180 194 234 255 256 258 274 275 317 318 324 325 337 341 363 368 389 397 402 442 477 504 505 555 575 579 580 596 679 701 820 827 828 846 874 892 1005 1033 1053 1067 1127 1134 1140 1262 1317 1326 Schmidt, Conrad (Konrad) (1863−1932) deutscher Ökonom und Journalist; Sozialdemokrat; 1890 Redakteur der „Berliner Volks-Tribüne“; 1891 Privatdozent Zürich; 1895 Rückkehr nach Deutschland; später Mitarbeiter des „Vorwärts“. 22 23 52 53 95–97 192 193 224 225 252 349 350 528–530 540–546 675 678 684 700 701 744 779 826 925 961 986 1079 1127 1151 1152 1194 1282 1294 Schmidt, Heinrich Carl (1825−1898) deutscher Kaufmann, später Bauunternehmer und Prediger; 1853 Entlassung aus dem Staatsdienst wegen Zugehörigkeit zur Königsberger „freien Gemeinde“; aktiv in der ostpreußischen Arbeiterbewegung; 1884 Nach-

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Namenregister folger von Julius Rupp im Predigeramt der „freien Gemeinde“; Vater von Conrad Schmidt, Ehemann von Katharina Schmidt (geb. Rupp). 52 224 779 961 Schmidt, Johann Caspar siehe Stirner, Max Schmidt, Katharina (geb. Rupp) (1837−1925) Mutter von Conrad Schmidt, Ehefrau von Heinrich Carl Schmidt, Tochter von Julius Rupp. 52 224 779 961 Schoeler, Caroline (Lina) (1819−1891) deutsche Gouvernante und Hauslehrerin in Köln, später in London, Freundin der Familie Marx und von Engels. 612 1354 Schoemann, Georg Friedrich (1793−1879) deutscher Altphilologe und Althistoriker. 469 Schönerer, Georg, (bis 1888) Ritter von (1842−1921) österreichischer Gutsbesitzer und Politiker; seit 1879 Führer der ursprünglich liberalen, deutschfreiheitlichen Bewegung in Österreich; trat für einen Anschluß von Teilen Österreichs an das Deutschen Reich ein, Vertreter eines radikalen Antisemitismus; Mitglied des Reichsrates (1873−1888, 1897−1907, mit kurzen Unterbrechungen) (siehe Erl. 156.11–12). 278 1009 1010 Schoenlank, Bruno (1859−1901) deutscher Journalist; Sozialdemokrat; 1891−1893 Redakteur des „Vorwärts“, 1894−1901 Chefredakteur der „Leipziger Volkszeitung“, mit Karl Kautsky Kommentator des Erfurter Programms. 563 Schorlemmer (Chloromayer, Jollymeier, Scholleimer, Schorlemer), Carl (1834− 1892) deutscher Chemiker; seit 1859 in England, seit 1874 Professor in Manchester; seit Beginn der 1860er Jahre befreundet mit Marx und Engels; Mitglied der Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands und der Internationalen Arbeiterassoziation; Bruder von Ludwig Schorlemmer. 92 114 123 160 177 181 195 202 230 234 251 257 258 275 286 345 354 374 375 378 380 381 386 389 397 450 454 472 481 485 489 491 495 496 505 558 565 571 576 588 603 608 678 777 823 910 967 1032 1075 1098 1115 1119 1158 1161 1242 1249 1315 1323 1332 1345 1350 Schorlemmer, Ludwig (1847−1926) deutscher Drechslermeister und Kaufmann; Sozialdemokrat; Bruder des von Carl Schorlemmer. 603 1345 Schumacher, Georg (1844−1917) deutscher Gerber, später Unternehmer; 1876−1878 Redakteur der „Kölner Freien Presse“; Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei und der Internationalen Arbeiterassoziation; tätig in der Sozialdemokratie in Solingen; 1889 Angeklagter im Elberfelder Prozeß; Mitglied des Reichstags (1884− 1898). 18 Schweitzer (Schweizer), Johann Baptist von (1833−1875) deutscher Rechtsanwalt, Journalist und Schriftsteller; 1861/1862 Mitbegründer und Präsident des Frankfurter Arbeiterbildungsvereins, seit 1863 Mitglied, 1864−1866 Vorstandsmitglied und 1867− 1871 Präsident des ADAV; 1864−1871 Miteigentümer und Chefredakteur des „Social-Demokrat“; Mitglied des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867–1870) und des Deutschen Reichstags (1871); 1872 aus dem ADAV ausgeschlossen. 109 842 1133 Seneca, Lucius Annaeus, der Jüngere (etwa 4 v. Chr. bis 65 n Chr.) römischer Politiker, Schriftsteller und Philosoph; Vertreter des Stoizismus. 63 Se´ne´gas, Martial französischer Lithograph; Sozialist; bei den Wahlen 1889 Kandidat des POF (siehe Erl. 28.24). 54 54 63 785 Sˇevicˇ (Schewitsch), Ivan Egorovicˇ (1841 bis nach 1912) russischer Beamter, seit 1885 Senator; 1871−1873 Gouverneur von Kaluga, 1882−1885 Gouverneur von Livland; älterer Bruder von Sergej Sˇevicˇ. 285 1015 Sˇevicˇ (Schewitsch), Sergej Egorovicˇ (1844−1911) russischer Beamter; emigrierte 1877 in die USA; arbeitete als Journalist, zuerst für die Zeitungen „World“, „Sun“ und „Herald“ in New York, später Redakteur der „New Yorker Volkszeitung“ (1878−1886), des „Leader“ (1886−1887), 1890 des Sonntagsblattes der „New Yorker Volkszeitung“, 1890 ihr Chefredakteur; Redner und Schriftsteller in deutsch-amerikanischen sozialistischen Kreisen; Mitglied der SLP; 1890 Rückkehr nach Rußland; Bruder von Ivan Sˇevicˇ (siehe Erl. 159.14–17). 24 89 194 285 324 423 441 442 487 750 908 1015 1140 1326

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Namenregister Shakespeare, William (1564−1616) englischer Dramatiker, Schauspieler und Lyriker. 69 100 109 802 Shipton, George (1839−1911) britischer Maler und Gewerkschafter; Gründer und Sekretär der Amalgamated Society of Housepainters and Decorators; 1872−1896 Sekretär des London Trades Council; 1881−1885 Redakteur des „Labour Standard“. 283 Siegel, Max 1890 Vorstandsmitglied des CABV (London). 638 Silver’s, Messrs. India Rubber, Gutta Percha and Telegraph Works Ltd. eine 1852 gegründete Londoner Fabrik mit Abteilungen in ganz England und in Frankreich (siehe Erl. 28.37–38). 71 785 Simon Ehefrau von August Simon. 86 Simon, August 1890 in London lebender Deutscher, Ehemann der Vorigen. 86 815 Simon, Ferdinand (1862−1912) deutscher Arzt und Bakteriologe; Sozialdemokrat; Verfasser des Werkes „Die Gesundheitspflege des Weibes“; heiratete 1891 Bebels Tochter Friederike. 245 281 322 420 557 930 981 1011 1050 1158 1309 Simon, Ludwig (1819−1872) deutscher Advokat aus Trier; Demokrat; Schulkamerad von Marx; 1848/49 demokratischer Abgeordneter der Frankfurter Nationalversammlung; emigrierte 1849 in die Schweiz; 1855−1870 Emigrant in Paris. 199 933 Simrock, Karl Joseph (1802−1876) deutscher Dichter und Germanist; Professor in Bonn; übersetzte u. a. das „Nibelungenlied“ und die „Edda“ in modernes Deutsch. 338 Singer, Mathilde (1842−1902) Schwester von Paul Singer. 304 1032 Singer, Paul (1844−1911) deutscher Textilfabrikant; seit 1869 Mitglied der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei; 1884 Gründer des „Berliner Volksblatts“; seit 1884 Mitglied des Deutschen Reichstags, seit 1885 Vorsitzender der sozialdemokratischen Reichstagsfraktion; 1886 aus Berlin ausgewiesen; seit 1887 Mitglied des Parteivorstandes; Stadtverordneter in Berlin (1884−1911); seit 1890 Vorsitzender der SPD; Vorsitzender der Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresse 1891, 1893, 1896 und 1907. 18 196 299 303 304 343 419 503 509 518 525 557 595 678 739 1031 1259 1264 Smith, Adam (1723−1790) schottischer politischer Ökonom und Moralphilosoph. 210 270 279 1292 Smith (Smythe-Headingley), Adolphe (Adolphus) (1846−1924) britischer Journalist; während der Pariser Kommune als Sanitäter tätig, danach Rückkehr nach London; dort Mitglied der „Ligue re´publicaine universelle“; in den 1880er Jahren Mitglied der Social Democratic Federation; stand den französischen Possibilisten nahe; zwischen 1883 und 1910 bei internationalen Arbeiter- und Sozialistenkongressen sowie bei Gewerkschaftskongressen als Dolmetscher tätig. 61 537 Socci, Ettore (1846−1905) italienischer Journalist und Schriftsteller; Anhänger von Mazzini und Garibaldi; Teilnehmer am deutsch-französischen Krieg 1870/1871 in Frankreich; nach seiner Rückkehr nach Italien Gründung internationalistisch-republikanischer Vereine; Mitglied der Abgeordnetenkammer (1892−1905), setzte sich dort vor allem für Frauenemanzipation ein. 938 Soetbeer, Adolf Georg (1814−1892) deutscher Währungspolitiker, Ökonom und Statistiker; Professor in Göttingen. 541 Sold, Soldat siehe Liebknecht, Wilhelm Soleil, Victor französischer Kaufmann; Sozialist; Kandidat bei den Wahlen 1889 im Distrikt Droˆme in Valence. 15 729 Sorge, Adolph (Adolf) (1857−1907) amerikanischer Maschinenbauingenieur, ältester Sohn von Friedrich Adolph und Katharina Sorge. 25 160 180 505 750 889 913 1262 Sorge, Friedrich Adolph (Adolf) (1828−1906) deutscher Musiklehrer und Journalist in den USA; nach Teilnahme an den Erhebungen in der Pfalz und in Baden 1849 Emigration in die Schweiz, 1852 in die USA; seit 1858 Präsident des Kommunistenklubs in New York; 1867 Begründer einer Sektion der Internationalen Arbeiterassoziation,

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Namenregister Mitglied des 1870 gewählten Zentralkomitees, seit 1871 des Föderalrats der Sektionen Nordamerikas; Delegierter des Haager Kongresses (1872); 1872−1874 Sekretär des nach New York verlegten Generalrats der Internationale; führendes Mitglied der Workingmen’s Party of the United States; 1890−1904 Mitarbeit an der „Neuen Zeit“ (siehe Erl. 8.4–7). 16 24 25 39 73 89–91 98 110 146 159 160 176 178 194 195 233 234 255–257 258 273–275 282–284 285 286 305 317 329 341 348 357 362 363 368−370 381 386 395 398 402 414 416 423 437 441 442 477 487–489 491 495 504 520 555 568 575 576 579 580 595 678 679 692 701 731 733 749 750 768 805 819 820 888 908 911 926 927 947 971 972 989–991 1001 1003 1004 1012 1015 1033 1046 1059 1071 1078 1182 1183 1089 1094 1095 1101 1104 1118 1131 1135 1140 1154 1161 1174 1182 1183 1226 1238 1240 1242 1247 1260 1274 1306 1317 1323 1338 Sorge, Katharina Mathilde (etwa 1837 bis 1914) aus Oldenburg, heiratete 1854 Friedrich Adolph Sorge. 39 91 160 181 195 234 257 275 284 319 369 381 397 416 489 495 505 555 575 576 596 769 821 972 990 1005 1014 1047 1103 1119 1134 1262 South Eastern Railway britische Eisenbahngesellschaft 412 South Metropolitan Gas Co. 851 1004 1012 Spencer, Herbert (1820−1903) englischer Philosoph und Soziologe; Positivist. 213 Speyer, Karl (Charles) (geb. 1845) deutscher Tischler; seit 1860 Mitglied lokaler deutscher Arbeitervereine; 1868 Sekretär des Deutschen Arbeiterbildungsvereins in London; 1870 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation in New York; 1873 Mitbegründer der Furniture Workers’ Union of North America, 1878 Mitbegründer der International Labor Union, 1879−1881 Redakteur der „Gewerkschaftszeitung“ (New York). 258 Spinoza, Benedictus (eigtl. Baruch de) (1632−1677) niederländischer Philosoph. 195 927 Stehely, Johann (gest. 1836) Inhaber einer Konditorei und eines Lesekabinetts in der Charlottenstraße in Berlin; im Vormärz der bekannteste Treffpunkt radikaler Intellektueller, Schriftsteller und Journalisten in Berlin, diente den „Freien“ als Tagungslokal. 30 756 Stein, Karl, Reichsfreiherr vom und zum (1757−1831) preußischer Staatsmann; Finanz- und Handelsminister (1804−1807), leitender Minister (1807/1808). 270 Stein, Lorenz, Ritter von (1815−1890) deutscher Jurist und Soziologe, Professor in Kiel und Wien. 571 Steinbach, A. deutscher Arbeiter in London. 46 776 Stepniak siehe Kravcˇinskij, Sergej Michajlovicˇ Stern, Alfred (1846−1936) aus Göttingen stammender Schweizer Historiker; Professor in Bern (1873−1887), in Zürich (1887−1927). 590 Stiebeling, George Christian (1830−1895) US-amerikanischer Arzt und sozialpolitischer Schriftsteller deutscher Herkunft; emigrierte 1851 in die USA; Freidenker; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation und der SLP. 1106 Stieren Student der Nationalökonomie aus Königsberg. 225 Stirner, Max (eigtl. Johann Caspar Schmidt) (1806−1856) deutscher Philosoph und Schriftsteller; Junghegelianer. 26 30 31 675 Strabon (Strabo) (etwa v. Chr. 64 bis etwa 23 n. Chr.) aus Griechenland stammender Geograph und Historiker. 467 Strel’nikov, Vasilij Stepanovicˇ (1839−1882) russischer Staatsbeamter; Generalmajor; Professor an der Militär- und Rechtsakademie (1869−1873), Militärstaatsanwalt des Militärbezirksgerichtes in Kiev (1873−1882) (siehe Erl. 137.24–25). 237 976 Strochwasser 294 Strong britischer Journalist; Mitarbeiter der „Morning Post“. 186 Strutt & Parker Hausverwaltungsgesellschaft, gegründet 1855, seit 1860 in London. 393 476 679 1129 1224 1225

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Namenregister Stumpf, Peter Paul (1826−1912) deutscher Mechaniker aus Mainz, später Kaufmann; Mitglied des Bundes der Kommunisten, Teilnehmer der Revolution von 1848/49; seit 1864 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation, seit 1869 der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei und ihren Nachfolgern. 464 465 609 1214 1351 Summerfield, Mrs. Freundin von E. Williams. 102 Swan Sonnenschein, Lowrey, & Co. britischer Verlag, in dem die englische Übersetzung des ersten Bandes des „Kapitals“ erschien. 60 63 67 417 453 491 679 790 793 1242 Szeliga (Szeliha) siehe Zychlinski, Franz Zychlin von Taaffe, Eduard, Graf (1833−1895) österreichischer Politiker; Innenminister (1863−1867, 1879), Ministerpräsident (1879). 571 Tauscher, Leonhard (1840−1914) deutscher Schriftsetzer und Redakteur; Sozialdemokrat; 1880−1888 Leiter der Züricher Genossenschaftsdruckerei, 1888−1890 der Druckerei des „Sozialdemokrat“ in London, seit 1890 im J. H. W. Dietz Verlag in Stuttgart; 1893−1903 Redakteur der „Schwäbischen Tagwacht“. 97 438 454 481 558 827 Techow, Gustav (1815−1890) preußischer Offizier; Demokrat; 1849 Generalstabschef der pfälzischen Volkswehr; emigrierte 1849 in die Schweiz; führendes Mitglied der Geheimgesellschaft Revolutionäre Zentralisation; ging 1851 nach London, 1852 nach Australien. 31 Teistler, Hermann August (1867−1937) deutscher Schriftsteller und Sozialdemokrat; einer der Sprecher der Opposition der „Jungen“; Redakteur der „Sächsischen Arbeiter-Zeitung“ (1890), der „Volksstimme“ (Magdeburg) und des „Sozialist“ (Berlin) (1891/1892); veröffentlichte 1892 „Der Parlamentarismus und die Arbeiterklasse“. 414 Terrail, Gabriel (Pseudonym Mermeix) (1859−1930) französischer Journalist; Anhänger von Georges Boulanger; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1893); distanzierte sich 1890 von Boulanger. 1156 1160 1167 Themistokles (etwa 525 bis etwa 460 v. Chr.) athenischer Feldherr und demokratischer Politiker; Organisator der Verteidigung gegen Persien, entscheidend am Sieg von Salamis 480 beteiligt; 470 wegen Zusammenarbeit mit den Persern exiliert. 269 The´ron, Ferdinand (1834−1911) französischer Grundbesitzer; Republikaner; Mitglied der Deputiertenkammer (1885−1893, 1898−1910) für die republikanische Linke bzw. die Radikalsozialisten. 782 Thiele, Carl Friedrich (1837 bis vor 1900) deutscher Schriftsetzer, Prokurist der Buchdruckerei Emilie Thiele; Drucker des „Demokratischen Wochenblatt“, dann des „Volksstaat“; seit Ende der 1860er Jahre mit Wilhelm Liebknecht befreundet. 1111 Thiele, Emilie 1111 Thiers, Adolphe (1797−1877) französischer Staatsmann, Politiker und Historiker; Orle´anist; Innenminister (1832, 1834), Ministerpräsident (1836, 1840); 1848 Mitglied der konstituierenden und 1849−1851 der gesetzgebenden Nationalversammlung; erster Präsident der Dritten Republik (1871−1873). 13 Thivrier, Christophe (1841−1895) französischer Bergarbeiter, Eisenbahnarbeiter, Bäcker und Weinhändler; Sozialist; 1882−1888 in Commentry erster sozialistischer Bürgermeister Frankreichs; 1889 als Boulangist gewählt; schloß sich dem POF an; Mitglied der Deputiertenkammer (1889−1895); Delegierter des Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses 1891. 4 10–12 42 54 637 735 782 785 1184 Thorne, William James (gen. Will) (1857−1946) britischer Gasarbeiter, Gewerkschafter und Politiker; Mitglied der Social Democratic Federation; 1889 Gründer der Gasworkers’ Union, um 1890 Mitorganisator der „New Unions“. 379 691 1117 Thussy, Tusi, Tussi, Tussy siehe Marx-Aveling, Eleanor Tichomirov, Lev Aleksandrovicˇ (1852−1923) russischer Publizist; Mitglied der Gruppe „Narodnaja volja“, verließ Ende der 1880er Jahre die revolutionäre Bewegung, danach Monarchist. 226 963

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Namenregister Tillett (Tillet), Benjamin (Ben) (1860−1943) englischer Sozialist, Gewerkschaftsführer und Politiker; 1887−1922 Mitbegründer und Sekretär der Tea Operatives and General Labourers Union, umbenannt in Dock, Wharf and General Labourers Union; Mitorganisator des Londoner Hafenarbeiterstreiks von 1889 und der „New Unions“; Mitbegründer der Independent Labour Party (1893); Ehemann von Jane Tillett (seit 1882). 273 1004 Tillett, Jane (geb. Tomkins) (etwa 1858 bis 1936) britische Bürstenmacherin; Mitglied der Bristol Socialist Society; aktiv im Unterstützungs-Komitee für die streikenden Hafenarbeiter 1889; Ehefrau von Benjamin Tillett (seit 1882). 115 691 851 Tilney, J. um 1890 Angestellter im Verlag Swan Sonnenschein, Lowry, & Co. 60 790 Tooke, Thomas (1774−1858) englischer Kaufmann, Ökonom und Statistiker; führender Vertreter der Banking-School. 87 119 1004 Traumann, David (1845−1906) deutscher Jurist; 1889−1891 Landgerichtsdirektor in Elberfeld, danach bis 1906 in Köln; 1889 Gerichtspräsident im Elberfelder Prozeß. 18 738 Trenholm, Charles H. amerikanischer Eisenbahner und Gewerkschafter; 1889/1890 Grand President von The Steam Railroad Men’s Protective Union (Boston). 823 Trier, Gerson (1851−1918) dänischer Romanist und Physiker; Sozialist; lebte 1879− 1888 in Paris und London, wo er Engels kennen lernte; als Dolmetscher Teilnahme am International Trades Unions Congress London (1888); führendes Mitglied der revolutionären Opposition innerhalb des Socialdemokratisk Forbund; 1889 in den Vorstand der Partei gewählt; 1889 ausgeschlossen, danach Mitglied der Revolutionært Socialistisk Arbejderparti; übersetzte „Der Ursprung der Familie, des Privateigentums und des Staats“ ins Dänische. 93 94 105–107 236 674 686 824 825 836 974 ˇ ernysˇevskij, Nikolaj Gavrilovicˇ Tschernischewsky siehe C Turati, Filippo (1857−1932) italienischer Advokat und Journalist; Redakteur der Zeitschrift „Critica sociale“; 1892 Mitbegründer des Partito socialista italiano; führender italienischer Sozialdemokrat. 952 Uze`s (D’Uze`s), Duchesse d’ siehe Rochechouart-Mortemart, Marie Adrienne de Vaillant, E´douard (1840−1915) französischer Ingenieur und Arzt; Sozialist, Blanquist; Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation; Delegierter auf ihren Kongressen 1867, 1871 und 1872; Teilnehmer der Pariser Kommune; emigrierte nach England; 1871/1872 Mitglied des Generalrats der Internationale; Begründer des CRC; 1888 Redakteur der sozialistischen Tageszeitung „L’homme libre“; Mitglied des Stadtrats von Paris und der Deputiertenkammer (1884−1890); Vizepräsident des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889, Delegierter des Internationalen Sozialistischen Arbeiterkongresses von 1891. 10 17 35 42 57 71 140 147 155 384 385 440 454 471 480 637 713 764 781 782 788 797 804 877 893 1117 1179 1184 1185 1199 1229 1376 Vaillant, Jacques (1875−1946) Sohn von E´douard Vaillant und Charlotte Rose Franc¸oise. 637 1376 Vaillant, Marie Anne Ce´cile Ambroisine (geb. Lachouille) (1813−1899) Mutter von E´douard Vaillant, seit 1832 Ehefrau von Michel Vaillant. 637 1376 Vanderbilt, Cornelius (1843−1899) US-amerikanischer Unternehmer; Präsident der New York and Harlem Railroad und Vorsitzender der New York Central and Hudson River Railroad. 541 Vandervelde, E´mile (1866–1938) belgischer Jurist und Sozialdemokrat; seit 1885 Mitglied der Belgischen Werklieden Partij/Parti ouvrier belge, in der er später eine führende Stellung einnahm; tendierte ursprünglich zur marxistischen Richtung. 1184 Vandorme, Em. um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 Ve´sinier, Pierre (1820−1903) französischer Journalist und Publizist; 1864 Mitglied der Internationalen Arbeiterassoziation, 1868 ausgeschlossen; Teilnehmer der Pariser

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Namenregister Kommune; Direktor des „Journal officiel“; flüchtete nach England; in London Mitbegründer der Section fe´de´raliste franc¸aise de 1871; Auseinandersetzung mit dem Generalrat der Internationalen Arbeiterassoziation; 1872 Redakteur der Zeitschrift „La Fe´de´ration“; 1880 Rückkehr nach Frankreich (siehe Erl. 331.8–11). 537 1291 Vico, Giovanni Battista (1668−1744) italienischer Philosoph und Historiograph. 217 950 Vidal, Jean Mitarbeiter der Zeitung „Le Parti Ouvrier“. 772 Vogelsang, Karl, Freiherr von (1818−1890) deutscher Publizist; Chefredakteur der katholischen Wiener Zeitung „Vaterland“ und Gründer der „Monatschrift für christliche Socialreform“; Vertreter eines berufsständischen Katholizismus. 571 Vogelweide siehe Walter von der Vogelweide Volders, Jean (1855−1896) belgischer Publizist; Sozialist; 1885 Mitbegründer der Belgischen Werklieden Partij/Parti ouvrier belge; 1885−1894 Mitbegründer und Chefredakteur des Parteiorgans „Le Peuple“; 1889 Administrator des „Maison du Peuple“ in Brüssel. 473 1222 Vollmar (Wollmar), Georg von (1850−1922) bayerischer Offizier und Beamter, später Politiker; nach 1871 Hinwendung zur Sozialdemokratie; 1877/1878 Mitarbeiter der „Dresdener Presse“; 1879 bis Ende 1880 Redakteur des „Sozialdemokrat“; Mitglied des Reichstags (1881−1887, 1890−1918), des Sächsischen (1883−1889) und des Bayrischen Landtags (1893−1918); Herausgeber der „Münchener Post“; vertrat seit den 1890er Jahren eine Art Reformismus. 207 503 509 509 518 548 1264 1301 W., Alice 1313 Wachenhusen, Hans (1822−1898) deutscher Publizist und Schriftsteller. 30 Wachsmuth, Wilhelm (1784−1866) deutscher Historiker, Professor in Kiel und Leipzig. 467 Wagner, Richard (1813−1883) deutscher Komponist, Dirigent und Schriftsteller. 338 1069 Waldeck, Benedikt (1802−1870) preußischer Jurist und liberaler Politiker; 1848 Vizepräsident der preußischen Nationalversammlung, Sprecher der Linken; schloß sich der Fortschrittspartei an; Mitglied des preußischen Abgeordnetenhauses (1861−1869) und des Reichstags des Norddeutschen Bundes (1867−1869). 30 Waldeck, Julius (1811−1857) Arzt in Berlin, Junghegelianer, gehörte zu den „Freien“ in Berlin. 30 756 Wallau, Carl (1823−1877) Schriftsetzer aus Mainz; 1847 Präsident des Deutschen Arbeitervereins in Brüssel, 1848 Mitglied der Zentralbehörde des Bundes der Kommunisten; Vorsitzender des Bildungsvereins für Arbeiter in Mainz; Teilnehmer der Revolution 1848/49; Emigrant in England, später Rückkehr nach Mainz; 1872 Oberbürgermeister von Mainz. 465 Walther von der Vogelweide (etwa 1170 bis etwa 1230) deutscher Dichter, Minnesänger. 100 101 122 134 135 136 148 860 868 877 Webb, Sidney, (seit 1929) 1st Baron Passfield (1859−1947) englischer Soziologe, Politiker und Schriftsteller; Mitbegründer und führendes Mitglied der Fabian Society; mit seiner Ehefrau Beatrice Webb beteiligt an der Gründung der Labour Party sowie an der Gründung der London School of Economics. 174 906 Weerth, Georg (1822−1856) deutscher Dichter und Journalist, Kaufmann; seit 1847 Vorstandsmitglied der Association de´mocratique; 1848 Teilnahme an der Revolution in Paris; Mitglied des Bundes der Kommunisten; 1848/1849 Redaktionsmitglied der „Neuen Rheinischen Zeitung“; nach 1850 wieder als Kaufmann tätig. 144 324 590 874 Wegener, Otto (geb. nach 1864) aus Deutschland stammender US-amerikanischer Kellner; Sozialist. 581–584 1328 Weiler, Friederica (geb. Sonnenstedt) (etwa 1858 bis 1937) aus Sachsen stammende Ehefrau von Adam Weiler; zog 1905 zu ihren Söhnen nach Seattle. 124 376 861 1113

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Namenregister Weiler, G. Adam (1841−1894) deutscher Tischler und Gewerkschafter; kurzfristig Teilnehmer am Amerikanischen Bürgerkrieg unter dem Kommando von Joseph Weydemeyer; lebte seit 1861 in London; 1872/1873 Mitglied des britischen Föderalrats der Internationalen Arbeiterassoziation; Sekretär der Kunsttischler-Gewerkschaft; Mitglied der Social Democratic Federation; Ehemann von Friederica Weiler. 124–126 378 692 861 1113 1115 Weill, Abraham (gen. Alexandre) (1811−1899) Schriftsteller und Journalist; Demokrat; stammte aus dem Elsaß, lebte seit 1838 in Paris; Mitarbeiter an deutschen und französischen Zeitungen, u. a. der „Rheinischen Zeitung“. 207 Weill (Weil), Eva (geb. Marx) (gen. Henriette) (1826−1919) Cousine von Karl Marx, Tochter seines Onkels Jacob Marx; Ehefrau des früheren Oberrabbiners in Algier, Michael Aron Weill, wohnhaft in Schlettstadt (Elsaß); die Familie zog 1871 nach Frankreich. 940 941 947 Weill (Weil), Jeanne (1860−1925) französische Schriftstellerin und Journalistin; veröffentlichte seit 1892 mehrere Romane und Schriften unter dem Namen Dick May; aktiv in der sozialen Bildungsarbeit u. a. bei der Gründung des Muse´e social; Tochter von Eva (Henriette) Weill. 940 947 Wellington, Arthur Wellesley, 1st Duke of (1769−1852) britischer Feldmarschall und Staatsmann; Tory; Premierminister (1828−1830), Außenminister (1834/1835). 270 Werder, Karl Friedrich (1806−1893) deutscher Philosoph und Dichter; Junghegelianer. 31 Werner, Louis (1850 bis nach 1927) württembergischer Tapezierer; seit 1872 aktiv in der Arbeiterbewegung in Wien (Neustadt); 1876 Ausweisung aus Österreich; arbeitete danach in der Genossenschaftsbuchdruckerei in Leipzig; nach Erlaß des Sozialistengesetzes Emigration in die USA, 1879−1926 Mitarbeiter der sozialdemokratischen Zeitung „Philadelphia Tageblatt“; 1889 in das National Board of Supervision der SLP gewählt (siehe Erl. 87.23). 159 889 Werner, Ludwig (1855−1923) deutscher Redakteur; 1890 gewählter Kandidat der Antisemitischen Volkspartei (ab 1893 Deutsche Reformpartei) in Kassel, Mitglied des Deutschen Reichstags (1890–1918) (siehe Erl. 310.48). 501 1255 1256 Werner, Wilhelm (1859 bis nach 1941) deutscher Buchdrucker; 1883 Beitritt zur Berliner Sozialdemokratie; seit 1890 einer der Verleger und Drucker der „Berliner Volks-Tribüne“, seit 1891 Verleger des „Sozialist“ (Berlin); Kandidat bei der Reichstagswahl 1890; gehörte der Opposition der „Jungen“ in Berlin an. 425 500 503 508 509 514 518 528 534 548 687 1157 1162 1163 1255 1258 1264 1267 1272 1287 1301 Westphalen, Edgar von (1819−1890) deutscher Justizbeamter; 1846 für das Brüsseler Kommunistische Korrespondenzkomitee tätig; lebte von 1847 bis 1849 und von 1851 bis 1865 in den USA; Farmer und Teilnehmer am Amerikanischen Bürgerkrieg; nach seiner Rückkehr bis 1879 Angestellter am Stadtgericht in Berlin; Bruder von Jenny Marx. 519 1273 Westphalen, Ferdinand von (1799−1876) preußischer Beamter, Innenminister (1850− 1858); Halbbruder von Jenny Marx. 411 Westphalen, Ludwig von (1770−1842) preußischer Beamter, Erster Rat bei der Regierung in Trier (seit 1816), Geheimer Regierungsrat (seit 1834); Vater von Jenny Marx. 411 Wettiner Dynastie sächsischer Markgrafen, Kurfürsten und Könige. 210 945 Weydemeyer (Weydemeier), Joseph (1818−1866) preußischer Offizier bis 1845, Publizist; Mitglied des Bundes der Kommunisten; Teilnehmer der Revolution 1848/49 in Deutschland; emigrierte 1851 in die USA; zwischen 1852 und dem Ausbruch des Bürgerkrieges beteiligt an der Organisierung von Arbeitern; Teilnahme am Amerikanischen Bürgerkrieg als Oberst auf Seiten der Nordstaaten. 580 1327 Whitman, Walt (1819−1892) amerikanischer Dichter und Publizist. 490 1242 Wiener Giro- und Cassen-Verein österreichische Bank. 211 945

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Namenregister Wiens, Luise (geb. Freiligrath) (1849 bis etwa 1938) jüngste Tochter von Ferdinand Freiligrath, verheiratet mit dem in London ansässigen deutschen Kaufmann Heinrich Wiens; Herausgeberin der Familienbriefe Freiligraths (1910). 377 383 1114 1121 Wierzejski, Jo´zef (1835−1918) aus Polen stammender Archäologe und Altphilologe; lebte zeitweise in Nizza; seit 1894 in Algier tätig. 335 339 340 1065 1070 Wildberger, Karl deutscher Tapezierer, ab 1888 Kleinfabrikant von Polstermöbeln; Sozialdemokrat, Kandidat bei der Reichstagswahl 1890; Wortführer der Opposition der „Jungen“ in Berlin; 1891 Austritt aus der Partei; seit 1890 Kassierer der „Freien Volksbühne“, ab 1892 der „Neuen Freien Volksbühne“. 425 Wilhelm I. (1797−1888) König von Preußen (seit 1861) und Deutscher Kaiser (seit 1871). 190 198 269 916 923 931 Wilhelm II. (William, Guillaume, Wilhelmchen) (1859−1941) König von Preußen und Deutscher Kaiser (1888−1918). 5 91 183 184 186 190 191 197 198 201 224 232 234 244 255 256 261 275 303 337 354 374 379 385 420 423 450 474 489 571 683 685 714 821 915 916 919 923 925 926 929 931 940 957 961 969 972 980 987 989 990 993 1005 1031 1058 1067 1158 1161 1196 1223 1240 Wilhelms, Emma in London lebende Deutsche. 153 161 883 890 Willard, C. F. Publizist, Mitarbeiter der US-amerikanischen Zeitschrift „The Nationalist“ (siehe Erl. 8.7–8). 159 829 Wille, Bruno (1860−1928) deutscher Schriftsteller; 1890 Gründer und Leiter der „Freien Volksbühne“, seit 1892 der „Neuen Freien Volksbühne“; zeitweilig Mitglied der Sozialdemokratie, 1890−1893 einer der Sprecher der Opposition der „Jungen“; später Mitglied verschiedener freireligiöser und freidenkerischer Organisationen. 414 424 529 534 1132 1133 1162 Williams, E. Gesellschafterin. 102 833 Willich (Willig), August (eigtl. von Willich) (1810−1878) preußischer Leutnant, später Politiker und Journalist; seit 1847 Mitglied der Kölner Gemeinde des Bundes der Kommunisten; Teilnehmer der Revolution 1848/49, danach Emigrant in der Schweiz und in England; bei der Spaltung des Bundes der Kommunisten 1850 zusammen mit Karl Schapper Leiter des „Sonderbundes“; seit 1853 in den USA, zuerst Angestellter einer Regierungsbehörde; 1858−1861 Redakteur des „Cincinnati-Republikaner“; 1861−1865 während des Amerikanischen Bürgerkrieges General auf Seiten der Nordstaaten. 183 841 916 1006 Wilson, John Havelock (1858−1929) englischer Gewerkschafter; 1887 Organisator und Generalsekretär der National Amalgamated Sailors’ and Firemen’s Union; seit 1892 mehrmals Mitglied des Parlaments. 1139 1173 1245 Wirth, Moritz (1849−1917) deutscher Publizist und Literaturkritiker. 389 529 Wobsky polnischer Gastdelegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 1187 Wolff, Wilhelm (gen. Lupus) (1809−1864) deutscher Lehrer und Publizist; Mitglied des Brüsseler Kommunistischen Korrespondenzkomitees; Mitbegründer des Bundes der Kommunisten und Mitglied seiner Zentralbehörde; 1848/49 Redaktionsmitglied der „Neuen Rheinischen Zeitung“; emigrierte Mitte 1851 nach England, seit 1853 Lehrer in Manchester. 23 53 465 622 748 780 Wotan höchster Gott in der nordischen Mythologie 1069 Wro´blewski Cousin von Walery Wro´blewski. 371 1105 1212 Wro´blewski Mutter von Walery Wro´blewski. 462 1212 Wro´blewski Schwager von Walery Wro´blewski. 371 1105 Wro´blewski Verwandte von Walery Wro´blewski. 371 1105 Wro´blewski (Wro´blewsky), Walery (1836−1908) polnischer revolutionärer Demokrat; ein Führer des polnischen Aufstandes 1863/1864, danach Emigration nach Paris; 1870 Mitglied der Nationalgarde, General der Pariser Kommune; danach Flucht nach London; 1871/1872 Mitglied des Generalrats der Internationalen Arbeiterassoziation,

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Namenregister 1872 korrespondierender Sekretär für Polen; Delegierter des Haager Kongresses (1872); 1880 Rückkehr nach Frankreich. 366 371 428 462 679 1099 1105 1166 1212 Wullschleger, Eugen (1862−1931) schweizerischer Kaufmann; Präsident der Sozialdemokratischen Partei Basel, 1892−1894 der Sozialdemokratischen Partei der Schweiz, Redakteur des „Basler Arbeiterfreunds“ (1887−1893) und des Nachfolgeorgan „Vorwärts“ (1893−1897); Redakteur der Zeitschrift „Der achtstündige Arbeitstag“, Gastdelegierter des Parteitages der deutschen Sozialdemokratie 1890 in Halle und Teilnehmer an der Internationalen Konferenz während des Parteitages. 473 492 508 1187 1223 1243 1248 1264 Wunderlich, Wolfgang (geb. 1859) deutscher Maschinenstricker und Schuhmacher; Sozialdemokrat; 1882 zu zwei Jahren Zuchthaus verurteilt, veröffentlichte 1890 „Aus dem Tagebuch eines politischen Zuchthäuslers“ im „Sozialdemokrat“ (London); seit 1884 in Bochum, beteiligt am Vertrieb des „Sozialdemokrat“, zeitweise Vorsitzender der sozialdemokratischen Parteiorganisation, Ende der 1890er Jahre Expedient des „Volksblatt“ (Bochum); nach 1904 Angestellter. 619 1361 Zabel, Friedrich (1802−1875) preußischer Publizist; Nationalliberaler; 1848−1875 erster Chefredakteur der „National-Zeitung“ (Berlin); Mitglied des Deutschen Nationalvereins. 30 Zadek, Doris (geb. Kronthal) (1820−1916) Mutter von Julie Romm, Regina Bernstein und Ignaz Zadek. 182 914 Zadek, Ignaz (1858−1931) deutscher Arzt; Sozialdemokrat; 1892 Vorsitzender der Berliner Arbeiter-Sanitäts-Kommission, später Herausgeber der Arbeiter-GesundheitsBibliothek; Mitglied der Stadtverordnetenversammlung von Berlin (1892−1897 und seit 1906); Bruder von Regina Bernstein und Julie Romm. 182 202 295 613 1355 Zannini, Tommaso 1890 Sekretär von Giuseppe Borgnini in Neapel. 204 215 Zasulicˇ (Zassulich), Vera Ivanovna (Pseudonym Ossipowitsch) (1849−1919) russische Revolutionärin; 1883 Mitbegründerin der Gruppe „Osvobozˇdenie truda“; wirkte führend in der Volkstümler-, später in der sozialdemokratischen Bewegung Rußlands; übersetzte Schriften von Marx und Engels ins Russische. 113 175 226 227 228 237–240 264 267 268 292 696 866 907 962 963 964 975 998 999 Zˇelvakov, Nikolaj Aleksandrovicˇ (1860–1882) russischer Revolutionär; Mitglied der „Narodnaja volja“; Propagandist unter Arbeitern im Süden Rußlands; verübte am 18. März 1882 in Odessa zusammen mit S. N. Chalturin ein Attentat auf den Militärstaatsanwalt Vasilij Stepanovicˇ Strel’nikov. 237 976 Zetkin (Zetkine), Clara (geb. Eißner) (1857−1933) deutsche Lehrerin und Politikerin; seit 1878 Mitglied der Sozialistischen Arbeiterpartei Deutschlands; beteiligte sich an der Vorbereitung des Internationalen Arbeiter-Kongresses Paris 1889, nahm bis 1912 an allen Kongressen der II. Internationale teil; 1891 Rückkehr nach Deutschland, 1892−1917 Redakteurin der sozialdemokratischen Frauenzeitschrift „Die Gleichheit“; Mitbegründerin der internationalen sozialdemokratischen Frauenbewegung. 55 438 785 Zetkin, Konstantin (1885−1980) deutscher Arzt, Sohn von Clara Zetkin. 55 785 Zetkin, Maxim (1883−1965) deutscher Arzt, Sohn von Clara Zetkin. 55 785 Zola, E´mile (1840−1902) französischer Schriftsteller; um 1890 potentieller Mitarbeiter von „L’Ide´e Nouvelle“. 1184 1191 Zychlinski, Franz Zychlin von (Pseudonym Szeliga, Szeliha) (1816−1900) preußischer Offizier, später General der Infanterie; Junghegelianer; 1843−1845 Mitarbeiter der „Allgemeinen Literatur-Zeitung“, 1843−1846 der „Norddeutschen Blätter“. 26 30

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Literaturregister 1. Arbeiten von Marx und Engels a. Gedruckte Schriften Engels, Federico: L’origine della famiglia, della proprieta` privata e dello stato. In relazione alle ricerche di Luigi H. Morgan. Versione riveduta dall’ autore di Pasquale Martignetti. Benevento 1885 (MEGA➁ I/29). (Erl. 82.35) 151 882 Engels, Frederick: The foreign policy of Russian tsardom. I. II. In: Time. London. New ser. Nr. 4, April 1890; III. Nr. 5, Mai 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 111.40–41) 199 228 234 236 257 292 332 347 471 932 950 965 972 974 990 1019 1022 1062 1077 1319 Engels, Frederick: Preface. In: Derselbe: The condition of the working class in England in 1844. With app. written 1886, and preface 1887. Transl. by Florence Kelley Wischnewetzky. New York [1887] (MEGA➁ I/31). (Erl. 8.4–7) 830 831 732 830 831 Engels, F[riedrich]: Die Abdankung der Bourgeoisie. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 40, 5. Oktober 1889 (MEGA➁ I/31). (Erl. 4.3) 9 39 721 768 959 1003 1004 Engels, Friedrich: Die Abdankung der Bourgeoisie. In: Chicagoer Arbeiter-Zeitung. Nr. 145, 19. Oktober 1889. (Erl. 21.7–9) 39 768 – Die Abdankung der Bourgeoisie. In: Wochenblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 43, 26. Oktober 1889. (Erl. 21.7–9) 39 768 Engels, F[riedrich]: The abdication of the middle class. In: The Labour Elector. London. Nr. 41, 12. Oktober 1889. (Erl. 4.3) 9 721 Engels, Friedrich: An die Redaktion des „Sozialdemokrat“. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 37, 13. September 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 251.48–49) 424 450 473 477 1128 1149 1162 1195 1222 1226 – Antwort an Herrn Paul Ernst. In: Berliner Volksblatt. Nr. 232, 5. Oktober 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 188.18–89) 326–328 497 546 1058 1058 1150 1250 1298 – Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 4, April. S. 145−154 [nicht autorisierte Veröffentlichung]. (Erl. 126.4) 222 223 229 234 241 245 248 258 277 285 295 866 907 932 959 960 966 972 974 977 980 981 983 991 1008 1015 1020 1025 1050 – Die auswärtige Politik des russischen Zarenthums. I.−III. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 5, Mai. S. 145−154 [revidierter Abdruck aus H. 4], 193−203 (MEGA➁ I/31. S. 179−209). (Erl. 111.40–41) 113 131 175 199 226 227 229 234 236 237 241 258 269 277 290 322 353 850 866 891 907 914 932 962 964 966 972 974 975 977 991 1001 1020 1050 1077 1083 1084

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Literaturregister Engels, Fr[iedrich]: Das Begräbniß von Karl Marx. In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 13, 22. März 1883 (MEGA➁ I/25). (Erl.187.10–18) 324 337 1053 1067 (Engels, Friedrich:) Da hat in der „Volks-Tribüne“ eine Diskussion . . . In: Berliner VolksTribüne. Nr. 39, 27. September 1890. (Erl. 237.46–61) 390 529 530 546 1127 1128 Engels, Friedrich: Die deutsche Reichsverfassungs-Campagne. In: Neue Rheinische Zeitung. Politisch-ökonomische Revue. London, Hamburg, New York. H. 1−3. Januar−März 1850 (MEGA➁ I/10). (Erl. 285.43) 1215 [Engels, Friedrich:] Engels über die „Spaltung“. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 228, 23. September 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 292.5) 477 1226 Engels, Friedrich: Die Entwicklung des Sozialismus von der Utopie zur Wissenschaft. Hottingen-Zürich 1882 (MEGA➁ I/27). (Erl. 357.7–8) 151 581 1128 1328 Engels, Friedrich: Fränkische Zeit [zw. Mitte 1878 und Anf. 1882] (MEGA➁ I/25). (Erl. 237.92) 1128 – Friedrich Engels schreibt in der letzten Nummer des „Sozialdemokrat“. In: Volkswacht. Bielefeld. Nr. 84, 6. Oktober 1890. (Erl. 336.3–4) 549 1302 – Friedrich Engels über den Antisemitismus. Aus einem Privatbriefe nach Wien. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 19, 9. Mai 1890 (MEGA➁ I/31) 278 303 944 1009 1031 – Friedrich Engels über den Antisemitismus. Aus einem Privatbriefe nach Wien. In: Berliner Volksblatt. Nr. 109, 13. Mai 1890. (Erl. 171.4–6) 303 1031 – The German miners’ strike. In: The Labour Leader. [Cumnock] New ser. Vol. 1. Nr. 5, Juni 1889 (MEGA➁ I/31). (Erl. 9.41) 737 990 [Engels, Friedrich:] The German Social Democrats. In: The Newcastle Daily Chronicle. Nr. 9945, 3. März 1890 (MEGA➁ I/31). 922 923 Engels, Friedrich: Herrn Eugen Dühring’s Umwälzung der Wissenschaft. Leipzig 1878 (MEGA➁ I/27). (Erl. 118.11) 209 465 468 944 958 1215 1217 – Herrn Eugen Dühring’s Umwälzung der Wissenschaft. 2. Aufl. Hottingen-Zürich 1886 (MEGA➁ I/27). (Erl. 118.11) 209 944 [Engels, Friedrich:] Hyde Park. Socialists at the helm in London. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 20, 17. Mai 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 158.64–66) 283 1014 1047 Engels, Friedrich: I envy you your work in the Dock Strike . . ., publ. als: . . . The dock labourers’ strike. In: The Labour Elector. London. New ser. Vol. 2. Nr. 35, 31. August 1889 (MEGA➁ I/31). (Erl. 10.9–18) 740 741 Engels, F[riedrich]: In Sachen Brentano contra Marx. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890−1891. Bd. 1. Nr. 13, S. 425 (MEGA➁ I/31). 1125 Engels, Friedrich: Karl Marx. In: Volks-Kalender 1878. Braunschweig [1877] (MEGA➁ I/25). (Erl. 187.10–18) 324 337 465 894 1035 1067 1215 1326 – Karl Marx. In: Pionier. Illustrirter Volks-Kalender für 1891. New York [1890] (MEGA➁ I/25). (Erl. 187.10–18) 324 495 520 579 1053 1226 1248 1274 1326 – Ludwig Feuerbach und der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie. I. II. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 4. 1886. H. 4. S. 145−157; H. 5. 193−209 (MEGA➁ I/30). (Erl. 132.4–6) 231 968 – Ludwig Feuerbach und der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie. Rev. Sonder-Abdruck aus der „Neuen Zeit“. Mit Anh.: Karl Marx über Feuerbach vom Jahre 1845. Stuttgart 1888 (MEGA➁ I/30). (Erl. 122.9–10) 217 231 468 545 951 968 1217 1298 – Man erlaube auch mir . . . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 39, 27. September 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 259.85) 426 450 485 549 1164 1195 1235 1302 – Notizen in Loria: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marxschen Wertgesetzes (MEGA➁ II/14). 987 [Engels, Friedrich:] L’opinione di F. Engels. In: Cuore e Critica. Bergamo. Jg. 4. Nr. 7, 16. März [vielm. April] 1890. 218 952 973 Engels, Friedrich: La politique exte´rieure du czarisme russe. In: L’Ide´e Nouvelle. Paris. Nr. 8, 5. August; Nr. 9, 5. September; Nr. 10, 5. Oktober 1890. (Erl. 162.4–6) 289 332 448 1019 1062 1077 1193

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Literaturregister Engels, Friedrich: Det russiske sardømmes udenlandske politik. In: Arbejderen (København). Nr. 55 bis Nr. 72, 14. April bis 11. August 1890. (Erl. 136.1) 974 [Engels, Friedrich:] Seeing the constant interest . . . [To the Editor of the „Labour Elector“]. In: The Labour Elector. London. New ser. Vol. 1. Nr. 18, 4. Mai 1889 (MEGA➁ I/31). 1240 Engels, F[riedrich]: Situation politique de l’Europe. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 63, 6. November 1886 (MEGA➁ I/31). (Erl. 1.49) 712 718 [Engels, Friedrich:] Le socialisme de M. Bismarck. I. II. In: L’E´galite´. Paris. 2. se´r. Nr. 7, 2. März; Nr. 10, 24. März 1880 (MEGA➁ I/25). (Erl. 51.69–71) 95 826 Engels, F[riedrich]: Il socialismo utopico e il socialismo scientifico. Trad. da Pasquale Martignetti. Benevento 1883 (MEGA➁ I/30). (Erl. 82.33–34) 151 882 [Engels, Friedrich:] Die Socialisten und die Hydepark-Demonstration. In: New Yorker Volkszeitung. Nr. 112, 10. Mai 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 158.64–66) 282 283 305 817 1014 1033 1046 Engels, Friedrich: Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie. In: Deutsch-Französische Jahrbücher. Paris. 1844. Lfg. 1/2 (MEGA➁ I/3). (Erl. 360.45–46) 588 1124 1332 – Umrisse zu einer Kritik der Nationalökonomie. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890−1891. Bd. 1. Nr. 8, S. 236−254. (Erl. 360.45–46) 588 600 1124 1332 1343 – Der Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats. Im Anschluss an Lewis H. Morgan’s Forschungen. Hottingen-Zürich 1884 (MEGA➁ I/29). (Erl. 138.25–34) 210 241 318 368 388 404 433 466 581 945 978 1047 1101 1126 1128 1142 1171 1217 1328 – Der Ursprung der Familie, des Privateigenthums und des Staats. Im Anschluss an Lewis H. Morgan’s Forschungen. 4. Aufl. Stuttgart 1892 (MEGA➁ I/29). (Erl. 179.8) 241 251 277 313 318 372 388 415 422 978 985 1008 1042 1047 1059 1109 1126 1153 1156 1160 – Der 4. Mai in London. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 21, 23. Mai 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 158.37) 319 396 741 955 1014 1021 1026 1028 1047 1134 – Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Zweiter Band. Hamburg 1885 (MEGA➁ II/13. S. 5−21). (Erl. 145.9–10) 252 600 747 986 1343 – Vorwort. In: Marx: Das Kapital. Dritter Band. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). (Erl. 11.14–15) 22 744 748 913 987 988 1106 – Was nun? In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 10, 8. März 1890 (MEGA➁ I/31). (Erl. 114.30–31) 204 224 891 922 923 939 961 990 – Zum Tode von Karl Marx. I.II. In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 19, 3. Mai; Nr. 21, 17. Mai 1883 (MEGA➁ I/25). (Erl. 145.71–76) 988 – Zur Geschichte des Urchristenthums. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 13. 1894−1895. Bd. 1. Nr. 1.2 (MEGA➁ I/32). (Erl. 235.8–13) 386 414 1093 1124 1152 – Zur vierten Auflage. In: Marx: Das Kapital. Erster Band. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). (Erl. 300.89) 489 1240 – Zur Wohnungsfrage. H. 1−3. Leipzig 1872−1873 (MEGA➁ I/24). (Erl. 357.7–8) 581 1328 – Zur Wohnungsfrage. Separatabdruck aus dem „Volksstaat“ von 1872. 2. durchges. Aufl. Hottingen-Zürich 1887. (Sozialdemokratische Bibliothek. 13.) (Erl. 357.7–8) 581 1328 Engels, Friedrich, Karl Marx: Die heilige Familie, oder Kritik der kritischen Kritik. Gegen Bruno Bauer & Consorten. Frankfurt/Main 1845. (Erl. 61.17–18) 111 848 Marx, Charles: Discours sur la question du libre e´change, prononce´ a` l’Association De´mocratique de Bruxelles, dans la se´ance publique du 9 Janvier 1848. [Bruxelles 1848.] (Erl. 356.36–37) 1327 Marx, Karl: Der Achtzehnte Brumaire des Louis Bonaparte. 3. Aufl. Hamburg 1885 (MEGA➁ I/11). (Erl. 286.102) 468 545 1010 1217 1298 – Capital. A critical analysis of capitalist production. Transl. from the 3. German edition,

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Literaturregister

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by Samuel Moore and Edward Aveling and ed. by Frederick Engels. Vol. 1.2. London 1887 (MEGA➁ II/9). (Erl. 8.16) 16 23 56 60 87 498 734 748 786 790 817 856 1198 1252 Le Capital. Trad. de M. J. Roy, entie`rement rev. par l’auteur. Paris [1872−1875] (MEGA➁ II/7). (Erl. 157.38–43) 87 281 504 817 1011 1261 Capitale e salario colla biografia dell’autore e con una introd. di F. Engels. Prima trad. italiana di P. Martignetti. Milano 1893. (Biblioteca della Critica sociale. Vol. 15.) (Erl. 82.36–38) 218 882 894 952 Le dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 15 [vielm. 16] bis 61, 7. Januar bis 21. November 1891 (MEGA➁ I/30). (Erl. 274.12–13) 448 1193 Le dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte. Lille 1891 (MEGA➁ I/30). (Erl. 274.12–13) 448 1193 Free trade. A speech delivered before the Democratic Club, Brussels, Belgium, Jan. 9, 1848. With extract from ,La mise`re de la philosophie‘. Transl. into English by Florence Kelley Wischnewetzky. With pref. by Frederick Engels. Boston 1888. (Erl. 356.41–42) 1327 Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. Hamburg 1867 (MEGA➁ II/5). (Erl. 286.103) 1217 Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. 3., verm. Aufl. Hamburg 1883 (MEGA➁ II/8). (Erl. 351.57–58) 218 334 545 572 734 952 1064 1298 1319 Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Erster Band. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. 4., durchges. Aufl. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1890 (MEGA➁ II/10). (Erl. 8.17) 16 23 24 56 64 87 90 119 166 333 453 489 490 504 734 748 750 786 794 816 817 820 856 894 1063 1198 1240 1241 1261 Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Zweiter Band. Buch 2: Der Cirkulationsprozess des Kapitals. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1885 (MEGA➁ II/13). (Erl. 11.9) 252 600 747 986 1343 Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Dritter Band. Th. 1.2. Buch 3: Der Gesammtprocess der kapitalistischen Produktion. Hrsg. von Friedrich Engels. Hamburg 1894 (MEGA➁ II/15). (Erl. 8.16) 16 23 24 29 56 64 160 169 218 224 243 246 254 383 497 535 545 601 733 747 750 755 786 794 889 900 913 952 961 979 982 987 988 1106 1121 1250 1288 1298 1332 1343 Lohnarbeit und Kapital. Separat-Abdruck aus der „Neuen Rheinischen Zeitung“ vom Jahre 1849. Hottingen-Zürich 1884. (Erl. 82.36–38) 151 218 882 894 Mise`re de la philosophie. Re´ponse a` la philosophie de la mise`re de M. Proudhon. Paris, Bruxelles 1847. (Erl. 120.9) 213 448 456 947 1192 1202 La mise`re de la philosophie. Re´ponse a` la philosophie de la mise`re. [Mit Einl.] In: L’E´galite´. Paris. 2. Serie. Nr. 12, 7. April; Nr. 14, 21. April; Nr. 16, 5. Mai 1880. (Erl. 274.11–12) 448 1192 Les protectionistes, les libres e´changistes et la classe ouvrie`re. In: L’Atelier De´mocratique. Bruxelles. Nr. 60, 29. September 1847. (Erl. 356.37–40) 580 1327 Rede über den Freihandel, gehalten in dem demokratischen Verein zu Brüssel in der öffentlichen Sitzung vom 9. Januar 1848. In: Marx: Zwei Reden über die Freihandelsund Schutzzollfrage. S. 1−18. (Erl. 356.36–37) 580 1327 Rede über den Freihandel . . . In: Karl Marx: Das Elend der Philosophie. Antwort auf Proudhons „Philosophie des Elends“. Dt. von E. Bernstein und K. Kautsky, mit Vorwort u. Noten von Friedrich Engels. Stuttgart 1885. Anh. 2, S. 188−209. (Erl. 356.41– 42) 1372 Die Schutzzöllner, die Freihandelsmänner und die arbeitende Klasse. In: Karl Marx: Zwei Reden über die Freihandels- und Schutzzollfrage. S. 18−20. (Erl. 356.37–40) 1327 Zur Kritik der politischen Ökonomie (Manuskript 1861−1863) (MEGA➁ II/3). 587 986 1331

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Literaturregister – Zwei Reden über die Freihandels- und Schutzzollfrage. Aus dem Franz. übersetzt und mit e. Vorwort und erl. Anmerkungen versehen von J. Weydemeyer. Hamm 1848. (Erl. 356.36–37) 580 1327 Marx, Karol: Kapitał. Krytyka ekonomii politycznej. Tom pierwszy. Ksie˛ga I. Wytwarzanie kapitału. Lipsk 1884−1889 [vielm. 1890]. (Erl. 329.3–4) 535 536 596 1288 1290 1339 Marx, Carl, Frederick Engels: Manifesto of the Communist party. Authorized Engl. ed. Ed. and ann. by Frederick Engels. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 23−29, 7. Juni bis 19. Juli 1890. (Erl. 52.15–16) 98 828 Marx, Karl, Frederick Engels: Manifesto of the Communist party. Authorized Engl. transl. Ed. and ann. by Frederick Engels. New York 1890. (Erl. 52.15–16) 98 828 [Marx, Karl, Friedrich Engels:] Das Kommunistische Manifest. 4. autoris. dt. Ausg. Mit e. neuen Vorw. von Friedrich Engels. London 1890. (Sozialdemokratische Bibliothek. H. 33.) (Erl. 158.97) 284 291 397 581 1014 1021 1134 1165 1328 – Manifest der Kommunistischen Partei. Veröff. im Februar 1848. London (1848). (Erl. 57.38) 98 106 213 465 606 837 840 947 1215 1348 1364 Энгельсъ, Ф[ридрих]: Иностранная политика русскаго царства [I.] In: Соціаль Демократъ. Трехмѣсячное литературно политическое обозрѣніе. Фефраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 175−184. [II. III]. Ebenda. Август. Кн. 2. Женева 1890. S. 42−61. (Erl. 62.6) 113 131 175 226 227 287 268

b. Manuskripte [Engels, Friedrich:] Congre`s ouvrier international de 1891 (MEGA➁ I/31). (Erl. 268.26–30) 444 452 453 1178 1179 1186 1198 Engels, Friedrich: Inhaltsverzeichnis zu Marx’ Manuskript 1861−1863 (MEGA➁ II/14). (Erl. 145.9–10) 986 Marx, Karl, Friedrich Engels: [Manuskript zu Max Stirner, 1844/1845] (IISG. Marx-Engels-Nachlaß, Sign. A 14). (Erl. 16.44–46) 31 757

2. Arbeiten anderer Autoren 1889 im Lichte der Entwicklung des Proletariats. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 1, 4. Januar 1890. (Erl. 92.20–21) 166 894 Aisopos: Der Löwe und der Fuchs. 303 1031 Als 62jähriger Mann hat . . . In: Frankfurter Zeitung und Handelsblatt. Nr. 175, 24. Juni 1890. (Erl. 213.5–6) 359 1091 Anarchistisches. In: Berliner Volksblatt. Nr. 261, 8. November 1890. Beil. 1. (Erl. 346.37) 564 1314 Antrag. In: Freiheit, Brüderlichkeit, Arbeit. Köln. Nr. 24, 29. April 1849. (Erl. 18.4–6) 761 Arndt, Ernst Moritz: Was ist des Deutschen Vaterland? In: Derselbe: Gedichte. Frankfurt/Main 1818. (Erl. 202.34) 346 1076 Auer, I[gnaz]: Also ich bin der Mittelpunkt . . . In: Berliner Volksblatt. Nr. 197, 26. August 1890. (Erl. 263.13) 431 1168 Auer, I[gnaz]: Also ich bin der Mittelpunkt . . . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 35, 30. August 1890. (Erl. 263.13) 431 1168 Auer, [Ignaz] [u. a.]: An die Arbeiter und Arbeiterinnen Deutschlands! [Gez.:] Die sozialdemokratische Fraktion des deutschen Reichstages. In: Berliner Volksblatt. Nr. 87, 15. April 1890. (Erl. 111.33–34) 275 929 957 1005 Auer, I[gnaz]: Obwohl es nicht angeht. In: Sozialdemokrat. London. Nr. 34, 23. August 1890. (Erl. 252.36–37) 413 1151

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Literaturregister Aus Holland geht uns . . . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 7, 15. Februar 1890. (Erl. 113.41) 202 935 Aux travailleurs de France. Ni Ferry, ni Boulanger! 1889 (August 1889). (Erl. 38.56) 72 764 804 [Aveling, Edward:] Alex Nelson: The jackal. (Erl. 51.69–71) 96 97 826 [Aveling, Edward:] Alex Nelson: The landlady. (Erl. 51.69–71) 96 97 826 Aveling, Edward: La gre`ve de Silvertown. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3396, 31. Oktober 1889. (Erl. 38.24–26) 803 [Aveling, Edward:] The new era in German socialism. In: The Daily Chronicle. London. Nr. 8903, 25. September 1890. (Erl. 298.11–12) 485 1235 [Aveling, Edward:] Socialist congresses on the continent. In: The Daily Chronicle. London. Nr. 8919, 14. Oktober 1890. (Erl. 317.3–4) 515 1269 [Aveling, Edward:] Socialist smugglers. Germany flooded with papers from Kentish Town. In: The Star. London. Nr. 832, 29. September 1890. (Erl. 298.12–13) 485 1235 Avenel, Georges: Anacharsis Cloots, l’orateur du genre humain. T. 1.2. Paris 1865. (Erl. 44.3) 82 169 813 899 Avenel, Georges: Lundis re´volutionnaires. 1871−1874. Paris 1875. (Erl. 44.46) 85 814 Baake, Curt: Die Tauben. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 28. Juli; Nr. 31, 4. August 1888. (Erl. 27.52–53). 53 780 Bahr, Hermann: Die Epigonen des Marxismus. In: Freie Bühne für modernes Leben. Berlin. H. 17. 28. Mai 1890. (Erl. 185.7–8) 321 326 1049 Barry, Michael Maltman: The Labour day. Aberdeen 1890. (Erl. 299.3) 486 499 1237 1253 Barth, Paul: Die Geschichtsphilosophie Hegel’s und der Hegelianer bis auf Marx und Hartmann. Ein kritischer Versuch. Leipzig 1890. (Erl. 205.57–58) 350 389 529 545 1080 1127 1283 1298 [Bebel, August:] Bismarck frondiert. Der abgedankte Reichskanzler . . . In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 17, 25. April 1890. (Erl. 158.72–73) 283 284 1014 Bebel, August: Charles Fourier. Sein Leben und seine Theorien. Stuttgart 1888. (Erl. 94.52–53) 169 900 [Bebel, August:] Deutschland ohne Bismarck. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 14, 4. April 1890. (Erl. 146.83–84) 257 990 Bebel, A[ugust]: Erklärung. In: Berliner Volksblatt. Nr. 220, 20. September 1889. (Erl. 2.11–12) 717 Bebel, August: Erklärung. In: Berliner Volksblatt. Nr. 173, 29. Juli 1890. (Erl. 240.44–46) 396 1133 B[ebel], A[ugust]: Die europäische Lage und der Sozialismus. In: Vorwärts. Berlin. Nr. 235, 8. Oktober 1891. Beil. (Erl. 186.12–16) 1050 [Bebel, August:] Das ganze öffentliche Interesse in Deutschland . . . In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 6, 7. Februar 1890. (Erl. 104.13) 183 915 Bebel, A[ugust]: Obgleich es mir sehr zuwider ist . . . In: Berliner Volksblatt. Nr. 185, 12. August 1890. (Erl. 252.36–37) 413 1151 Bebel, August: [Rede am 25. Juni 1890 im Reichstag bei der zweiten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. In: Stenographische Berichte über die Verhandlungen des Reichstages. 8. Legislaturperiode. 1. Session 1890/1891. 26. Sitzung. Bd. 1. Berlin 1890. S. 565−574. (Erl. 186.24) 322 1050 [Bebel, August:] Reichstagsabgeordneter August Bebel vor seinen Wählern. In: Hamburger Echo. Nr. 18, 22. Januar 1890. (Erl. 96.61) 172 904 [Bebel, August:] Die Reichstagswahlen sind auf den 20. Februar . . . In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 3, 17. Januar 1890. (Erl. 96.16–19) 171 902 903 B[ebel], A[ugust]: Die russische Anleihe. In: Vorwärts. Berlin. Nr. 226, 27. September 1891. (Erl. 186.12–16) 322 1050

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Literaturregister E[rnst], P[aul]: Jedem der volle Ertrag seiner Arbeit. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 26, 28. Juni 1890. Beibl. (Erl. 237.46–47) 390 1128 Ernst, Paul: Leo Tolstoi’s „Kreutzersonate“. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 16, 20. April 1890. (Erl. 326.38–39) 529 1283 E[rnst], P[aul]: Die skandinavische Frauenbewegung und ihr Ausgang. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 21, 24. Mai; Nr. 22, 31. Mai 1890. (Erl. 185.12–13) 321 1049 Ernst, Paul: Tolstoi über das Leben. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 35, 1. September 1889. (Erl. 326.38–39) 529 1282 E[rnst], P[aul]: Zur Kunstgeschichte. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 39, 27. September; Beibl.; Nr. 40, 4. Oktober 1890. (Erl. 326.31–32) 528 1282 Ein ernstes Wort. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 442, 22. September 1890. Abendausg. (Erl. 295.29–30) 481 1230 Ein sozialdemokratischer Antimarxist. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 435, 18. September 1889. Morgen-Ausg. (Erl. 2.11–12) 6 717 719 Eine neue Fortschrittspartei. In: Freiheit. New York. Nr. 38, 20. September 1890. (Erl. 346.37) 564 1314 Es geht eine Zipfelmütz . . . 194 926 Exage´rations socialistes. In: La Flandre libe´rale. Gent. Nr. 170, 19. Juni 1890. (Erl. 217.17–18) 364 1096 Fabian essays in socialism. Ed. by G[eorge] Bernard Shaw. London 1889. (Erl. 97.3) 174 180 906 913 Fischer, Paul: Die Marx’sche Werttheorie. Zur Einführung in das Studium von Marx. Berlin 1889. (Berliner Arbeiterbibliothek. H. 9.) (Erl. 217.19–20) 364 1097 Fischer, Paul: Nochmals das „Recht auf den vollen Arbeitsertrag“. In: Berliner VolksTribüne. Nr. 27, 5. Juli 1890. Beibl. (Erl. 237.46–47) 390 1128 Die französischen Wahlen. In: Berliner Volksblatt. Nr. 227, 28. September 1889. (Erl. 18.18–19) 33 762 French labour intelligence. In: The People’s Press. London. Nr. 28, 13. September 1890. (Erl. 281.15–16) 459 1178 Friedrich Engels feiert am Freitag . . . In: Mainzer Volkszeitung. Nr. 74, 27. November 1890. (Erl. 378.25) 609 1351 Fullarton, John: On the regulation of currencies; being an examination of the principles, on which it is proposed to restrict, within certain fixed limits, the future issues on credit of the Bank of England, and of other banking establishments throughout the country. London 1844. (Erl. 41.4) 76 808 809 Ein Geheimbild. In: Sächsische Arbeiter-Zeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. (Erl. 242.29–30) 399 1137 German and French socialists. In: The Times. London. Nr. 33 143, 15. Oktober; Nr. 33 144, 16. Oktober 1890. (Erl. 316.6–7) 514 1267 The German socialists. In: The Times. London. Nr. 33 142, 14. Oktober 1890. (Erl. 316.6–7) 514 1267 Germany: Profiting by their reacquired liberty. In: The Times. London. Nr. 33 141. 13. Oktober 1890. (Erl. 316.6–7) 514 1267 Gilles, Ferdinand: To the editor of Justice. In: Justice. London. Nr. 339, 12. Juli 1890. (Erl. 210.4–5) 356 1087 Gilles, Ferdinand: German Social-Democrats still revolutionists. To the editor of Justice. In: Justice. London. Nr. 337, 28. Juni 1890. (Erl. 210.4–5) 356 1087 Goethe, Johann Wolfgang von: Faust. (Erl. 113.2) 203 209 937 944 1351 Good luck to the Social-Democrats at Halle. In: Justice. London. Nr. 352, 11. Oktober 1890. (Erl. 314.136–140) 509 1264 The great demonstration. In: The People’s Press. London. Nr. 10, 10. Mai 1890. (Erl. 169.5–6) 300 1028

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Literaturregister Lafargue, Paul: The origin and evolution of property. From savagery to civilization. [Übers. Laura Lafargue.] London 1890. (Erl. 255.26) 417 456 1156 1205 1242 [Lafargue, Paul:] La proprie´te´ fe´odale. [Gez.:] Fergus. In: La Nouvelle Revue. Paris. T. 68. Januar−Februar 1891. (Erl. 255.33–34) 417 418 1156 [Lafargue, Paul:] La proprie´te´ primitive. Recherches sur les origines de la proprie´te´. [Gez.:] Fergus. In: La Nouvelle Revue. Paris. T. 62. Januar−Februar 1890. 417 418 456 1156 [Lafargue, Paul:] Rousseau et l’e´galite´, re´ponse au professeur Huxley. [Gez.:] Fergus. In: La Nouvelle Revue. Paris. T. 63. März−April 1890. (Erl. 104.34) 186 191 199 417 418 919 924 932 940 1156 Lafargue, Paul: Die sozialistische Bewegung in Frankreich von 1876−1890. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 8. S. 337−353. (Erl. 28.3–4) 396 782 801 1134 Lafargue, Paul: The`se communiste. In: La Proprie´te´. Origine et e´volution. The`se communiste par Paul Lafargue. Re´futation par Yves Guyot. Paris 1895. (Erl. 255.26) 1156 Lavigerie, Louis D. de: French labour intelligence. In: The People’s Press. London. Nr. 26, 30. August 1890. (Erl. 268.15–16) 439 1179 Leo, Heinrich: Geschichte der französischen Revolution. Halle 1842. (Erl. 44.51–52) 85 814 Liebknecht, Wilhelm: Al Circolo radicale. In: Il Messaggero. Roma. Nr. 82, 23. März 1890. (Erl. 121.4–6) 215 949 [Liebknecht, Wilhelm:] Breve fra Tyskland. [Gez.:] L. In: Social-Demokraten. København. Nr. 101, 3. August 1890. (Erl. 259.33–34) 528 1163 1282 Liebknecht, Wilhelm: Erklärung. In: Berliner Volksblatt. Nr. 26. 31. Januar 1890. (Erl. 112.40–41) 202 935 Liebknecht, Wilhelm: Eröffnungsrede. In: Protokoll über die Verhandlungen des Parteitages . . . Halle 1890. S. 11−14. (Erl. 310.33) 501 1255 [Liebknecht, Wilhelm:] Noch einmal die französischen Wahlen. In: Der Wähler. Leipzig. Nr. 82, 9. Oktober 1889. (Erl. 18.21) 33 762 Liebknecht, Wilhelm: [Rede am 16. Mai 1890 im Reichstag bei der ersten Beratung des Entwurfs eines Gesetzes, betreffend die Friedenspräsenzstärke des deutschen Heeres]. In: Stenographische Berichte über die Verhandlungen des Reichstages. 8. Legislaturperiode. 1. Session. 1890/1891. 7. Sitzung. Bd. 1. Berlin 1890. S. 99−105. (Erl. 186.19–22) 322 1050 Liebknecht, Wilhelm: To the editor of The People’s Press. In: The People’s Press. London. Nr. 22, 2. August 1890. (Erl. 232.3–4) 382 1120 [Liebknecht, Wilhelm:] Das unerquickliche Zwischenspiel . . . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 36, 6. September 1890. (Erl. 252.23) 412 1150 1168 [Liebknecht, Wilhelm:] Von dem Reichstagsabgeordneten Herrn W. Liebknecht . . . In: Berliner Volksblatt. Nr. 228, 29. September 1889. (Erl. 2.11–12) 717 Loria, Achille: Karl Marx. In: Nuova antologia di scienze, lettere ed arti. Roma. Ser. 2. Vol. 38, fasc. 7. 1. April 1883. (Erl. 145.70–71) 253 987 Loria, Achille: [Rezension zu:] Die Durchschnittsprofitrate auf der Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Von Dr. Conrad Schmidt. Stuttgart 1889. In: Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik. Jena. N.F. Bd. 20. 1890. S. 272−274. (Erl. 145.60–62) 253 350 987 1080 Loria, Achille: La teoria economica della costituzione politica. Roma, Torino, Firenze 1886. (Erl. 145.65–66) 253 987 Make a note of this! In: Justice. London. Nr. 336, 21. Juni 1890. (Erl. 210.1) 356 1087 Marlborough s’en va-t-en guerre. 186 918 Marx-Aveling, Eleanor: Congre`s des ouvriers des Docks. In: Le Socialiste. Paris. Nr. 4, 12. Oktober 1890. (Erl. 268.37–38) 440 1181 Marx-Aveling, Eleanor: Nous trouvons dans la People’s Press . . . In: Le Socialiste. Paris. Nr. 1, 21. September 1890. (Erl. 268.37–38) 440 1181

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Literaturregister [Mehring, Franz:] Der erste Mai. In: Volks-Zeitung. Berlin. Nr. 76, 30. März 1890. (Erl. 124.21–23) 219 957 Merkin, M[oses]: Tschernischewsky. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 42, 20. Oktober 1889. (Erl. 21.24–25) 39 769 [Mermeix, d. i. Gabriel Terrail:] Coulisses du boulangisme. [Gez.:] X. In: Le Figaro. Paris. Nr. 239, 246, 253, 260, 267, 274 und 295, 20. August bis 22. Oktober 1890. (Erl. 255.18) 417 422 430 1156 1160 1167 [Mermeix, d. i. Gabriel Terrail:] X . . . du Figaro: Les coulisses du Boulangisme. Paris 1890. (Erl 255.18) 417 1156 Meyer, Rudolf: Der Capitalismus fin de sie`cle. Wien, Leipzig 1894. (Erl. 152.39) 270 1002 Meyer, Rudolf: Der Emancipationskampf des vierten Standes. Bd. 1. 2., verm. Aufl. Berlin 1882. (Erl. 208.18–24) 353 1084 Meyer, Rudolf: Heimstätten- und andere Wirtschaftsgesetze der Vereinigten Staaten von Amerika, von Canada, Russland, China, Indien, Rumänien, Serbien und England. Hrsg. u. mit einl. und erl. Abhandlungen von Rudolf Meyer. Berlin 1883. (Erl. 208.18–24) 353 1084 (Meyer, R[udolph]:) Schlusswort des Herausgebers. In: Rodbertus-Jagetzow: Briefe und Socialpolitische Aufsaetze. Bd. 2. S. 699−752. (Erl. 208.13–15) 353 1083 Mit welch gespannter Erwartung . . . In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 8, 22. Februar 1890. (Erl. 96.63–64) 204 904 938 Morgan, Lewis H[enry]: Ancient society, or researches in the lines of human progress from savagery, through barbarism to civilization. London 1877. (Erl. 221.6) 368 418 429 1101 1156 1167 Morgan, Lewis H[enry]: Houses and house-life of the American aborigines. Washington 1881. (Erl. 120.28–29) 213 309 318 329 241 348 357 363 368 381 395 398 947 1038 1047 1059 1071 1078 1089 1095 1101 1118 1131 1135 Morgan, Lewis H[enry]: Die Urgesellschaft. Untersuchungen über den Fortschritt der Menschheit aus der Wildheit durch die Barbarei zur Zivilisation. Stuttgart 1891. (Erl. 360.27–28) 587 1331 Mr. Gladstone at Chester. In: The Times. London. Nr. 32 916, 23. Januar 1890. (Erl. 96.77–79) 173 905 Mr. Parke’s accusation against Lord Euston. In: The Labour Elector. London. Nr. 57, 1. Februar 1890. (Erl. 101.59–63) 179 912 Nepos, Cornelius: Liber de excellentibus ducibus exterarum gentium. Praefatio. (Erl. 264.10–12) 433 1171 The New American Cyclopædia. A popular dictionary of general knowledge. Ed. by George Ripley and Charles A. Dana. Vol. 1−16. New York 1858−1863. (Erl. 356.29–31) 579 1326 The new journalism. In: The Labour Elector. Nr. 56, 25. Januar; Nr. 57, 1. Februar 1890. (Erl. 101.59–63) 179 912 Nikolaus Gawrilowitsch Tschernyschewsky. In: Arbeiter-Zeitung. Wien. Nr. 11, 8. November 1889. (Erl. 32.52–53) 62 792 Notre argent. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3784, 20. November 1890. (Erl. 355.46–48) 578 1324 Organisationsentwurf für die sozial-demokratische Partei Deutschlands. In: Sächsische Arbeiter-Zeitung. Dresden. Nr. 95, 8. August 1890. (Erl. 242.25–49) 399 413 419 1137 1151 1158 Organisations-Entwurf für die sozial-demokratische Partei Deutschlands. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 32, 9. August 1890. (Erl. 242.25–49) 399 413 419 1137 1151 1158

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Literaturregister Ossipowitsch [d. i. Vera Zasulicˇ]: Ueber die Propaganda unter den russischen Arbeitern. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 17, 26. April 1890. (Erl. 150.11–12, 46–47) 264 265 998 999 Owen, Robert: Lectures on the marriages of the priesthood of the old immoral world, delivered in the year 1835, before the passing of the New Marriage Act. Leeds 1840. (Erl. 94.50–51) 169 899 The Parke case. In: Labour Elector. London. Nr. 57, 1. Februar 1890. (Erl. 101.59–63) 179 912 [Parke, Ernest:] Our old nobility. In: The North London Press. Nr. 532, 28. September 1889. (Erl. 101.59–63) 179 912 [Parke, Ernest:] West End scandal. In: The North London Press. Nr. 538, 16. November 1889. (Erl. 101.59–63) 179 912 Parteigenossen! In: Der Sozialdemokrat. Zürich. Nr. 39, 26. September 1880. (Erl. 71.14–15) 127 862 Der Partei-Kongreß. In: Berliner Volksblatt. Nr. 239, 14. Oktober 1890. Beil. (Erl. 325.12) 527 1281 Petzler, Johann: Life in Utopia. London 1890. (Erl. 265.6–7) 435 1172 Plechanow, G[eorgij]: „Im Jahre 1877 hat . . .“ [Vorwort zur „Rede von Peter Alexejeff“]. In: Ossipowitsch: Ueber die Propaganda unter den russischen Arbeitern. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 17, 26. April 1890. (Erl. 139.8–9) 265 975 998 Plechanow, G[eorgij]: N. G. Tschernischewsky. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 8. 1890. H. 8. S. 353−376; H. 9. S. 404−442. (Erl. 150.79–80) 266 998 Pottier, Euge`ne: The Anthropophagite. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 207, 28. Dezember 1889. 69 802 Pottier, Euge`ne: Blanqui. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 193, 21. September 1889. 69 802 Pottier, Euge`ne: Buried alive. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 170, 13. April 1889. 69 802 Pottier, Euge`ne: Don Quixote. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 222, 12. April 1890. 69 802 Pottier, Euge`ne: Marguerite. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 196, 12. Oktober 1889. 69 802 Pottier, Euge`ne: Plenty. [Übers. Laura Lafargue.] In: The Commonweal. London. Nr. 185, 27. Juli 1889. 69 802 Programme of the Eight Hours Legal Working Day Demonstration. In: The People’s Press. London. Nr. 9, 3. Mai 1890. (Erl. 169.5–6) 300 1023 Publilius Syrus: Sententiae. 368 1102 Quittung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 41, 12 Oktober 1889. (Erl. 40.33–35) 74 75 806 Rappaport, Philipp: Socialism or nationalism? In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 41, 12 Oktober 1889. (Erl. 12.27–28) 24 750 Rappaport, Philipp: Ueber die Arbeiterbewegung in Amerika. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 7. 1889. H. 2. S. 63−69. (Erl. 12.26–27) 24 750 Reuter, Fritz: Ut mine Festungstid. In: Olle Kamellen. Theil 2. Wismar, Ludwigslust 1862. (Sämmtliche Werke. Bd. 5.) (Erl. 16.14) 30 756 Roche, Ernest: Le Citoyen Boule´. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3394, 29. Oktober 1889. (Erl. 23.19–21) 42 772 Rochefort, Henri: L’Impossible. In: L’Intransigeant. Paris. Nr. 3727, 27. September 1890. (Erl. 301.22–23) 490 1242 Rodbertus-Jagetzow, [Johann Karl]: Briefe und Socialpolitische Aufsaetze. Hrsg. von R[udolph] Meyer. Bd. 1.2. Berlin (1880). (Erl. 208.12–15) 353 1083

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Literaturregister Rosenbergs suicide. To the mayor and citizens of Chicago. In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 43, 28. Oktober 1889. (Erl. 21.16–17) 39 769 S.: Les socialistes allemands. Interview avec M. Bebel. In: Gil Blas. Paris. Nr. 3986, 17. Oktober 1890. (Erl. 317.55) 516 525 531 533 538 1270 1279 1286 1293 Schiller, Friedrich von: Don Carlos. 481 1230 Schiller, Friedrich von: Die Räuber. 109 159 844 845 888 [Schippel, Max:] Erklärung. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 26, 28. Juni 1890. (Erl. 259.36–37) 425 1163 Schlesinger, Maximilian: Die soziale Frage. Eine volkswirtschaftliche Untersuchung. Breslau 1889. (Erl. 2.9–11) 8 716 717 719 [Schlüter, Hermann:] Die Chartistenbewegung in England. Mit Anlagen. Hottingen-Zürich 1887. (Sozialdemokratische Bibliothek. H. 16.) (MEGA➁ I/31). (Erl. 57.74–75). 841 Schlußwort zur Debatte. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 28, 12. Juli 1890. Beibl. (Erl. 237.46–47) 390 1128 Schmidt, Conrad: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. (Erl. 11.4) 22 52 56 117 747 779 786 854 987 [Schmidt, Conrad:] Ein Skandal. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 34, 23. August 1890. (Erl. 259.30–31) 424 528 1163 1282 Schmidt, Conrad: Ein Wort zur Abwehr. In: Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik. Jena. N.F. Bd. 21. 1890. (Erl. 205.49–50) 350 1080 S[chmidt], C[onrad]: Die letzte Session des Kartellreichstages. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 43, 26. Oktober 1889. (Erl. 27.19–21) 52 779 [Schmidt, Conrad]: Politische Übersicht. [Gez.:] X. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 44, 2. November 1889 bis Nr. 51, 21. Dezember 1889. 52 779 Schmidt, Conrad: Soziale Frage und Bodenverstaatlichung. Berlin 1890. (Erl. 205.32–34) 1080 S[chmidt], C[onrad]: Vor Sonnenaufgang. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 44, 2. November 1889. Beibl. (Erl. 27.19–21) 52 779 Schmidt, Conrad: Das Werthgesetz und die Profitrate. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 7. 1889. H. 10. S. 433−442. (Erl. 27.35–36) 53 780 Schmidt, Konrad: Bemerkungen zu Ibsen’s bürgerlichen Schauspielen. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 287, 23. Juni 1889. Morgenausg. Sonntags-Beil. (Erl. 27.23) 52 779 780 Schmidt, Konrad: Kant als Moralphilosoph. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 253, 2. Juni 1889. Morgenausg. SonntagsBeil. (Erl. 27.23) 52 779 Schm[idt], K[onrad]: Paul Otto Schmidt: Das aristokratische Prinzip in Natur und Menschenleben. In: Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen. Nr. 443, 22. September 1890. Morgenausg. Sonntags-Beil. (Erl. 27.23) 52 780 Schoemann, Georg Friedrich: Griechische Alterthümer. Bd. 1. Berlin 1855. 469 1217 Shakespeare, William: Julius Caesar. 109 845 Shakespeare, William: Midsummer night’s dream. 69 802 Shakespeare, William: Romeo and Juliet. 100 Sing a song of sixpence. 640 1379 Socialism or nationalism? In: Workmen’s Advocate. New York. Nr. 39, 28. September 1889. (Erl. 8.7–8) 16 39 505 733 750 769 1261 Socialismus vs. Nationalismus. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 39, 29. September 1889. (Erl. 8.7–8) 24 39 505 733 750 1261 The Socialist congress at Halle. In: The Times. London. Nr. 33 146, 18. Oktober; 33 147, 20. Oktober 1890. (Erl. 316.6–7) 514 1267 Socialists and the French elections. In: Justice. London. Nr. 300, 12. Oktober 1889. (Erl. 10.22) 20 743

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Literaturregister Soetbeer, Adolf: Edelmetall-Produktion und Wertverhältnis zwischen Gold und Silber seit der Entdeckung Amerikas bis zur Gegenwart. Gotha 1879. 541 1297 Sorge, F[riedrich] A[dolph]: Briefe aus Nordamerika. In: Die Neue Zeit. Stuttgart. Jg. 9. 1890−1891. Bd. 1. Nr. 8. S. 255−258; Nr. 12. S. 375−380. (Erl. 313.13) 504 596 1260 1339 [Sorge, Friedrich Adolph:] Der Klassenkampf. Ein Br. an einen Gegner desselben. [Gez.:] A. In: Sonntagsblatt der New Yorker Volkszeitung. Nr. 24. 15. Juni 1890. (Erl. 199.3) 341 1071 Sorge, F[riedrich] [Adolph], H[ermann] Schlüter: Erklärung. In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 22, 31. Mai 1890. (Erl. 172.6–7) 305 317 1033 1046 Sozialdemokratie und Antisemitismus. In: Berliner Volks-Tribüne. Nr. 30, 26. Juli 1890. (Erl. 252.27–28) 412 1150 Die Sozialdemokratie und das Ausnahmegesetz. In: Neue Preußische Zeitung. Berlin. Nr. 122, 13. März 1890. Abendausg. (Erl. 116.17–18) 207 941 Sozialistenprozeß. In: Freie Presse. Elberfeld-Barmen. Nr. 302, 28. Dezember; Nr. 303, 29. Dezember 1889. (Erl. 71.14–15) 862 863 Spinoza, Benedictus de: Ethica. 195 927 Stein, Lorenz von: Handbuch der Verwaltungslehre. Bd. 1−3. Stuttgart 1870. 571 1319 Stein, Lorenz von: Verwaltungslehre. Bd. 1−8. Stuttgart 1865−1884. 571 1319 Stepniak, Sergius [d. i. Sergej Kravcˇinskij]: Der russische Bauer. Autoris. Übersetzung von Viktor Adler. Stuttgart 1893. (Erl. 94.51) 169 900 Stiebeling, George C.: Das Werthgesetz und die Profit-Rate. New York (1890). 1106 Stirner, Max: Der Einzige und sein Eigenthum. Leipzig 1845. (Erl. 13.11) 26 30 751 757 Stirner, Max: Geschichte der Reaction. Abt. 1.2. Berlin 1852. (Erl. 13.22) 26 751 Strabo: Geographica. 467 1217 Tooke, Thomas: An inquiry into the currency principle; the connection of the currency with prices, and the expediency of a separation of issue from banking. 2. ed. London 1844. (Erl. 46.15–16) 87 119 816 856 True patriots all. In: The Labour Elector. London. Nr 56, 25. Januar 1890. (Erl. 101.73) 179 912 The 22nd september has come and gone . . . In: The Labour Elector. London. Nr. 38 [vielm. 39], 28. September 1889. (Erl. 1.32–34) 4 710 Verkündung des Urteils. In: Berliner Volksblatt. Nr. 2, 3. Januar 1890. (Erl. 71.8) 127 862 Vidal, Jean: Exe´cution d’un traıˆtre. Boule´ chasse´ des corporations ouvrie`res. In: Le Parti ouvrier. Paris. Nr. 299, 26. Oktober 1889. (Erl. 23.19–21) 772 Wachsmuth, Wilhelm: Hellenische Alterthumskunde aus dem Gesichtspunkt des Staates. Theil 2. Abth. 1. Halle 1829. (Erl. 286.31–35) 467 1217 Wagner, Richard: Der Ring des Nibelungen. Erster Tag. Die Walküre. 338 1069 Wahlfond-Quittung. In: Der Sozialdemokrat. London Nr. 49, 7. Dezember 1889. (Erl. 58.2–4) 108 843 Wahlfond-Quittung. In: Der Sozialdemokrat. London Nr. 8, 22. Februar 1890. (Erl. 114.20–21) 204 938 Walther von der Vogelweide: Under the linden-tree. [Übersetzung von Laura Lafargue.] (Br. 53) 100 101 122 123 134 832 868 Walther von der Vogelweide: Unter der Linde. (Erl. 69.20) 100 122 134 832 860 868 877 Weerth, Georg: Leben und Thaten des berühmten Ritters Schnapphahnski. Hamburg 1849. 324 1054 The Westphalian strike. In: The Times. London. Nr. 32 699, 15. Mai 1889. (Erl. 146.45–46) 256 990 Willard, C. F.: A retrospect. In: The Nationalist. Boston, Mass. Vol. 2. Nr. 1. December 1889. (Erl. 87.29) 159 889

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Literaturregister Wirth, Moritz: Hegelunfug und Hegelaustreibung im modernen Deutschland. In: Deutsche Worte. Wien. Jg. 10. 1890. Nr. 5. (Erl. 237.29–30) 389 529 1128 1283 [Wolff, Wilhelm]: Die schlesische Milliarde. In: Neue Rheinische Zeitung. Nr. 252, 255 (2. Ausg.), 256, 258, 264, 270−272, 281, vom 22. März bis 25. April 1849. (Erl. 11.37–39) 23 748 Wolff, Wilhelm: Die schlesische Milliarde. Abdruck aus der „Neuen Rheinischen Zeitung“ März-April 1849. Mit Einl. von Friedrich Engels. Hottingen-Zürich 1886. (Sozialdemokratische Bibliothek. H. 6.) (Erl. 11.37–39) 23 53 748 780 Zetkin, Clara: Die Pariser Weltausstellung. In: Der Illustrierte Neue Welt-Kalender für das Jahr 1891. Stuttgart 1890. (Erl. 230.31–33) 379 380 1117 Zkw: Aus der russischen Bewegung. (Korrespondenz.) In: Der Sozialdemokrat. London. Nr. 12, 22. März 1890. (Erl. 137.8–9) 237 239 264 975 976 998 [Александр Второй] Александръ: Манифестъ 19 февраля 1861 года. О Всемилостивѣйшемъ дарованіи крѣпостнымъ людямъ правъ состоянія свободныхъ сельскихъ обывателей, и объ устройствѣ ихъ быта. In: Полное собраніе законовъ Россійской имперіи. Собр. 2. Т. 36. Отд. 1. 1861. Санктпетербургъ 1865. S. 128, 130−134. 119 857 Добролюбов, Николай Александрович: Луч света в темном царстве. 189 921 Засуличъ В[ера Ивановна]: Революціонеры изъ буржуазной среды. In: СоціальДемократъ. Трехмѣсячное литературно-полтическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 49−78. 227 964 И. А. По основнымъ нашимъ убѣжденіямъ . . . In: Самоуправленіе. Органъ социалистовъ-революционеровъ. [o. O.] Nr. 1, декабрь 1887. 238 Марксъ-Эвелингъ, Элеонора: По поводу стачку на лондонскихъ докахъ. Письмо въ редакцію „Социаль-демократа“. In: Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе, Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 35−40. 175 907 976 Очерки соціальнаго движенія. In: Свободная Россія. [Женева] Nr. 2, апрель 1889. S. 14–17. 238 976 Плехановъ, Г[еоргий Валентинович]: Наши беллетристы-народники. Статья вторая (С. Каронинъ). In: Социаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 12−48. 227 965 Плехановъ, Г[еоргий Валентинович]: Н. Г. Чернышевскій. In: Социаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Февраль. Кн. 1. Лондонъ 1890. S. 79−174. 227 266 965 Плехановъ, Г[еоргий Валентинович]: Предисловіе. In: Рѣчь П. А. Алексѣева. Женева 1889. (Рабочая библіотека. Вып. 3). 266 975 976 998 Положеніе о земскихъ участковыхъ начальникахъ. In: Полное собраніе законовъ Россійской имперіи. Собр. 3. Т. 9. 1889. Санктпетербургъ 1891. S. 510–524. 119 856 Учрежденіе судебныхъ установленій. In: Полное собраніе законовъ Россійской имперіи. Собр. 2. Т. 39. Отд. 2. 1864. Санктпетербургъ 1867. S. 180–186. 119 856 (Черненковъ, Н. Н.:) Крестьянскій кредитъ въ Московской губерніи по сообщеніямъ г.г. корреспондентовъ. In: Статистическій ежегодникъ по Московской губерніи за 1889 г. Москва 1889. S. 1–53. 170 901 (Черненковъ, Н. Н.:) Нѣкоторыя свѣдѣнія о крестьянскихъ общественныхъ займахъ въ Московской губерніи. (По изслѣдованіям 1876–1878 гг.) In: Статистическій ежегодникъ по Московской губерніи за 1889 г. Москва 1889. S. 54−75. 170 901

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Literaturregister

3. Periodika The Academy. A weekly review of literature, science, and art (London) − erschien teils monatlich, teils wöchentlich mit leicht wechselnden Untertiteln zwischen 1869 und 1902. 213 947 Der achtstündige Arbeitstag (Zürich, Basel) − herausgegeben auf Beschluß des Internationalen Arbeiter-Kongresses 1889 (Paris), erschien unregelmäßig auf deutsch, französisch und englisch zwischen 1889 und 1891. 4 711 1200 L’Action Sociale. L’Organe des travailleurs de la re´gion de l’Est (Lyon) − guesdistische Wochenzeitung, erschien mit 74 Nummern vom 7. Juli 1889 bis 30. November 1890. 214 772 948 Arbeiterstimme. Wochenblatt für das arbeitende Volk in der Schweiz. Offizielles Organ der Sozialdemokratischen Partei der Schweiz und des Allgemeinen Gewerkschaftsbundes (Zürich, Bern) − Wochenzeitung, erschien von 1880 bis 1906, Redakteur war bis 1890 Conrad Conzett, danach Robert Seidel. 591 Arbeiter-Wochen-Chronik. Sozial-ökonomisches Volksblatt (Budapest), − Wochenzeitung, erschien mit wechselnden Untertiteln von Januar 1873 bis Dezember 1890; Organ der ungarländischen Arbeiter-Partei; fortgeführt unter dem Titel „Arbeiterpresse“ von 1891 bis 1894, unter dem Titel „Volksstimme“ von 1894 bis 1924. 331 585 594 1061 1329 1337 Arbeiter-Zeitung. Organ der österreichischen Sozialdemokratie (Wien) − erschien nach dem Verbot der „Gleichheit“ vom 12. Juli 1889 bis 1893 erst 14-tägig, später wöchentlich, 1894 zweimal wöchentlich und ab Januar 1895 täglich; Redakteur war Victor Adler; veröffentlichte in den 1890er Jahren mehrere Artikel von Engels; zu den Mitarbeitern gehörten u. a. August Bebel und Eleanor Marx-Aveling. 62 171 183 257 278 283 284 303 319 386 396 489 546 625 741 792 894 897 899 903 915 929 944 990 1009 1014 1023 1031 1047 1051 1134 1366 Arbejderen. Socialistisk Ugeblad (Kopenhagen) − erschien wöchentlich von April 1889 bis März 1893, im April 1893 monatlich; seit Juli 1890 Organ der Revolutionære Socialistiske Arbejderparti; Redakteure waren zunächst Nicolaj L. Petersen und Gerson Trier, ab Oktober 1889 wurde von Literær socialistisk Forening ein Redaktionskomitee ernannt; veröffentlichte 1889 und 1890 einige Artikel von Engels. 93 236 824 974 Archiv für soziale Gesetzgebung und Statistik. Vierteljahresschrift zur Erforschung der gesellschaftlichen Zustände aller Länder (Tübingen, Berlin) − politisch-ökonomische Zeitschrift, erschien vierteljährlich von 1888 bis 1890 in Tübingen, von 1891 bis 1903 in Berlin; herausgegeben von Heinrich Braun. 66 96 224 350 389 529 796 826 961 1080 1127 1283 L’Atelier De´mocratique (Brüssel) − erschien von Juli 1846 bis Februar 1848, in den zwei letzten Monaten unter dem Titel „L’Avenir“; gegründet von Jacques Imbert; stand der Association De´mocratique de Bruxelles nahe. 580 1327 L’Autonomie. Journal Re´publicain Socialiste (Paris) − sozialistisch-republikanisches Wochenblatt, erschien seit 1883. Redakteur und Herausgeber war Alexandre de Okecki. 263 772 1198 Der Baltische Föderalist. Politisch uncensirte liberale Monatsschrift (Genf) − erschien in 6 Ausgaben von August 1882 bis Mai 1883 unter der Redaktion von Ernst Bark als Monatsschrift der baltischen Sektion der russischen Revolutionäre. 199 933 La Bataille (Paris) − unabhängige sozialistische Zeitung, später antiboulangistischer und republikanischer Richtung, gegründet von Prosper Lissagaray; die erste Serie erschien von Mai 1882 bis Januar 1886, die zweite Serie von Januar 1889 bis Juli 1914. 519 1223 1273 Bergensposten. Tidende for Bergens By og Stift (Bergen) − Tageszeitung, erschien von 1854 bis 1893, danach vereinigt mit „Bergens Tidende“; die Zeitung wurde 1858−

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Literaturregister 1859 von Bjørnsterne Bjørnson redigiert, seit 1884 von Christian Michelsen; 1890 galt die Zeitung als überparteilich. 395 Berliner Volksblatt. Organ für die Interessen der Arbeiter − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien vom 1. April 1884 bis 31. Dezember 1890, ab 1. Januar 1891 unter dem Titel „Vorwärts. Berliner Volksblatt“; gegründet von Paul Singer; der Redaktion gehörte u. a. Wilhelm Blos an. 19 33 53 127 202 296 303 317 323 396 413 425 431 497 527 564 717 736 739 762 780 862 863 904 916 917 929 935 1026 1031 1046 1052 1055 1058 1133 1137 1146 1150 1151 1157 1158 1163 1164 1168 1169 1173 1180 1244 1250 1258 1264 1281 1298 1314 1331 1369 Berliner Volks-Tribüne. Social-Politisches Wochenblatt − sozialdemokratische Wochenzeitung, erschien vom 1. August 1887 bis 1892; herausgegeben von Max Schippel; der Redaktion gehörten u. a. Paul Ernst und Conrad Schmidt an; die Zeitung stand 1889/1890 der innerparteilichen Opposition nahe. 52 53 224 349 390 396 412 414 425 437 514 523 546 779 780 898 956 958 1026 1079 1080 1128 1132 1133 1150 1163 1174 1175 1267 1282 1283 1298 Le Citoyen (Paris) − ursprünglich eine radikale, später guesdistische Tageszeitung, erschien unter verschiedenen Titeln 1880 und 1881 sowie von 1. Oktober 1881 bis 8. März 1884; der Redaktion gehörten u. a. Gabriel Deville, Paul Lafargue, Benoıˆt Malon und Jules Guesde an. 154 261 994 Le Combat. Organe quotidien des travailleurs socialistes (Paris) − Tageszeitung, erschien mit Unterbrechungen zwischen 1882 und 1895; vom 23. März bis 31. Mai 1890 gehörten der Redaktion u. a. Antoine Boyer, Jules Guesde, E´douard Vaillant, Joseph Ferroul, Paul Lafargue und Emmanuel Chauvie`re an; die Redaktion benutzte die Zeitung insbesondere für die Popularisierung des 1. Mai 1890; August 1890 Austritt von Antoine Boyer; danach konservative Positionen vertretend; veröffentlichte im Frühjahr 1890 Artikel von Engels. 104 140 283 305 348 797 835 871 1078 The Commonweal. The official journal of the Socialist League (London) − Monatsschrift, ab Mai 1886 wöchentlich; erschien vom 2. Februar 1885 bis 1894, vom 1. Mai 1891 bis 1894 mit dem Untertitel „A revolutionary journal of anarchist communism“; Organ der Socialist League; bis November 1890 von William Morris finanziert bis 1889 von ihm auch redigiert; von Mai 1890 bis Januar 1891 von Frank Kitz und David Nicoll redigiert; veröffentlichte 1885/1886 einige Artikel von Engels und 1889 Übersetzungen von Laura Lafargue. 16 24 69 92 368 499 802 1145 Commonwealth (San Francisco) − erschien 1888/1889 monatlich; Redaktion Burnette Gregor Haskell; fortgesetzt als „The Kaweah Commonwealth“. 828 The Contemporary Review (London) − liberale Monatsschrift, gegründet 1866. 202 Le Cri du Peuple (Paris) − sozialistische Tageszeitung, erschien von Februar bis Mai 1871; von Oktober 1883 bis Februar 1889 neu gegründet von Jules Valle`s; der Redaktion gehörten zwischen 1885 und Januar 1887 u. a. Jules Guesde, Gabriel Deville und Albert Duc-Quercy an; sie erreichte kurzfristig hohe Auflagen und war den verschiedenen sozialistischen Richtungen gegenüber offen, seit April 1888 von der possiblistischen Richtung dominiert. 159 261 994 Le Cri du Travailleur (Lille) − sozialistische Wochenzeitung, erschien von 1887 bis 1891, danach unter dem Titel „Le Travailleur“ bis 1895 weitergeführt; herausgegeben vom Parti ouvrier in Lille. 43 156 305 772 787 885 Cuore e Critica. Rivista quindicinale di studi e discussioni di vario argomento (Savona, Bergamo) − Monatsschrift, erschien von 1887 bis 1890; redigiert von Arcangelo Ghisleri; veröffentlichte Beiträge u. a. von Antonio Labriola, Pasquale Martignetti, Filippo Turati und Friedrich Engels; seit 1891 von Turati unter dem Titel „Critica Sociale“ weitergeführt. 218 235 952 973 The Daily Chronicle and Clerkenwell News (London) − liberal-radikale Tageszeitung, erschien von 1872 bis 1930; gegründet 1855 als Wochenzeitung mit dem Titel „Cler-

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Literaturregister kenwell News“, von 1869 bis 1872 als „The London Daily Chronicle and Clerkenwell News“; veröffentlichte Anfang der 1890er Jahre Artikel von Eduard Aveling. 485 497 515 906 1235 1270 1296 The Daily News (London) − radikale, um 1890 liberale Tageszeitung, erschien von 1846 bis 1912. 13 213 281 296 727 1026 The Daily Telegraph (London) − Tageszeitung, erschien von 1856 bis 1937, zunächst liberaler, später konservativer Richtung; nach Fusion mit „The Morning Post“ 1937 als „Daily Telegraph and Morning Post“ weitergeführt. 336 355 359 1066 1086 1091 La De´fense des travailleurs. Organe socialiste de Saint-Quentin et de l’Aisne, (später Organe socialiste de la re´gion de Fourmies et de l’Aisne) − Wochenzeitung des Parti ouvrier, erschien mit Unterbrechungen von Februar 1890 bis September 1892. 772 1068 1139 1173 1202 1203 1264 1286 1293 1300 Deutsche Worte. Monatshefte (Wien) − gesellschaftspolitische und ökonomische Zeitschrift, erschien von 1881 bis Juni 1883 wöchentlich, danach bis 1904 monatlich; herausgegeben von Engelbert Pernerstorfer. 389 529 1128 1283 Deutscher Parlaments-Almanach (München, Leipzig) − erschien seit 1867; begründet und herausgegeben von Georg Hirsch. 207 941 Deutscher Reichs-Anzeiger und Königlich Preußischer Staats-Anzeiger (Berlin) − Tageszeitung, erschien vom 4. März 1871 bis 9. November 1918 als offizielles Regierungsorgan. 738 915 1250 Deutsch-Französische Jahrbücher. (Paris) − 1844 herausgegeben von Arnold Ruge und Karl Marx. 588 1125 1332 L’E´galite´. Organe collectiviste re´volutionnaire (Paris) − sozialistische Zeitung, 1877 von Jules Guesde gegründet, 1880 bis 1883 Organ der französischen Arbeiterpartei; es erschienen sechs Serien, die 1., 2. und 3. Serie wöchentlich (113 Nummern), die 4. und 5. Serie täglich (56 Nummern), von der 6. Serie, die wöchentlich erscheinen sollte, wurde nur eine Nummer veröffentlicht (April 1886). 826 1192 L’E´galite´. Organe de concentration socialiste (Paris) − sozialistische Tageszeitung, erschien zwischen Februar 1889 und Oktober 1891 unter der Leitung von Jules Roques; dem Redaktionskomitee gehörten Redakteure mehrerer sozialistischer Richtungen an; am 3. März 1889 trat die politische Redaktion, darunter auch die Guesdisten, zurück. 140 154 164 797 871 872 893 The Eight Hour Working Day siehe Der Achtstündige Arbeitstag Il Fascio operaio. Organo del Partito operaio italiano (Mailand, Alexandria) − erschien von 1883 bis 1890. 215 La Fe´de´ration. Journal re´volutionnaire socialiste (London) − erschien von 1872 bis 1875 in acht Nummern; die ersten sechs Nummern von August bis September 1872 redigiert von Pierre Ve´sinier. 537 1291 Le Figaro (Paris) − konservative Zeitung, erschien seit 1854 als literarisch-politische Wochenzeitung, seit 1866 als Tageszeitung. 359 417 422 430 577 917 1091 1156 1167 1202 1270 1301 La Flandre Libe´rale (Gent) − liberale Tageszeitung, erschien von 1874 bis 1974. 364 1096 La France Socialiste (Paris) − sozialistische Monatsschrift; 1890 von Paul Brousse redigiert. 446 488 1239 Frankfurter Zeitung und Handelsblatt (Frankfurt/Main) − liberale Tageszeitung, erschien von 1856, seit 1866 unter diesem Titel, bis 1943; in den 1880er Jahren Organ der Deutschen Volkspartei. 224 359 1091 Free Russia (London) − erschien ab Juni 1890 als Organ der „English Society of Friends of Russian Freedom“ unter der Leitung von S. M. Kravcˇinskij, ab Januar 1892 auch in deutscher Sprache als „Frei-Russland. Deutsches Organ der Freunde der russischen Freiheit“. 292 965 1022

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Literaturregister Freie Bühne für modernes Leben (Berlin) − literarische Zeitschrift, erschien von 1890 bis 1893 zunächst wöchentlich, seit 1892 monatlich. 321 326 341 1049 1058 1071 1162 Freiheit, (Brüderlichkeit,) Arbeit. Organ des Arbeiter-Vereins (Köln) − erschien zweimal wöchentlich zwischen dem 26. Oktober 1848 mit Unterbrechungen bis Ende Juni 1849; herausgegeben von Peter Gerhard Röser und Christian Joseph Esser. 33 761 Freiheit. Socialdemokratisches Organ, (seit 1885) Internationales Organ der Anarchisten deutscher Sprache (London, New York) − deutschsprachige Wochenzeitung, erschien zwischen Januar 1879 und 1910 unter der Redaktion von Johann Most, seit Ende 1882 in den USA; die Sozialdemokratische Arbeiter Partei Deutschland distanzierte sich 1880 von Most und der „Freiheit“. 505 564 1262 1314 Le Gaulois (Paris) − konservativ-monarchistische Tageszeitung, erschien von 1867 bis 1929. 198 205 931 940 Gil Blas (Paris) − Boulevardzeitung, erschien von November 1879 bis Juli 1914; unterstützte 1889 Georges Boulanger. 516 525 531 533 538 1270 1279 1284 1286 1293 La Giustizia. Difesa dagli sfruttati. Organo della Lega Socialista (Reggio Emilia) − Wochenzeitung, ab 1904 Tageszeitung, erschien von 1886 bis 1925 unter der Leitung ihres Gründers Camillo Prampolini und von 1945 bis 1950. 166 894 Die Gleichheit. Sozialdemokratisches Wochenblatt (Wien) − erschien von Dezember 1886 bis zu ihrem Verbot Juni 1889; herausgegeben und redigiert von Victor Adler; Fortsetzung als „Arbeiter-Zeitung“. 168 Hamburger Echo. Hamburg-Altonaer Volksblatt (Hamburg) − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien von 1887−1933; der Redaktion gehörten u. a. Johannes Wedde, Karl Frohme und Jacob Audorf an. 172 432 497 527 904 956 1281 L’Ide´e Nouvelle. Revue rouge. Revue socialiste et litte´raire (Paris) − sozialistische Monatsschrift, erschien von Januar bis Oktober 1890; vereinigte sich im Februar 1890 mit der „Revue sociale et litte´raire. La revue rouge“; veröffentlichte Artikel u. a. von Jules Guesde, Paul Lafargue und E´douard Vaillant; bis Februar 1891 Versuche, die Zeitschrift weiterzuführen. 176 288 289 322 443 448 453 471 908 1018 1019 1062 1077 1184 1185 1193 1198 1221 L’Illustration. Journal universel (Paris) − Wochenzeitung, erschien seit 1843. 490 1241 1270 Der Illustrierte Neue Welt-Kalender (Stuttgart) − erschien von 1877 bis 1933 für das jeweils folgende Jahr, 1885 bis 1892 im Verlag J. H. W. Dietz. 379 380 1117 Indiana Tribüne (Indianapolis) − deutschsprachige unabhängige Tageszeitung, erschien 1877 bis 1907; redigiert von Philip Rappaport (1882 bis 1900); von 1887 bis 1894 stand sie der sozialistischen Arbeiterbewegung nahe. 73 90 820 The International Review (London) − sozialistische Monatsschrift, erschien von Juli bis September 1889 unter der Redaktion von Henry Mayers Hyndman; Fortsetzung von „To-Day“ (redigiert u. a. von Ernest Belfort Bax). 16 L’Intransigeant (Paris) − radikal-republikanische Tageszeitung, erschien von 1880 bis 1948; bis 1910 redigiert vom Gründer Henri de Rochefort; unterstützte Ende der 1880er Jahre Georges Boulanger. 490 578 772 803 1242 1324 Jahrbücher für Nationalökonomie und Statistik (Jena, ab 1897 Leipzig und Stuttgart) − Fachzeitschrift, erschien von 1863 bis 1897 alle ein bis zwei Monate. 253 350 987 1080 Journal officiel de la Re´publique Franc¸aise (Paris) − Tageszeitung, erschien von 1870 bis 1940 als regierungsamtliches Organ, vom 20. März bis 24. Mai 1871 offizielles Organ der Pariser Kommune. 15

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Literaturregister La Journe´e de huit heures siehe Der Achtstündige Arbeitstag Justice. The organ of social democracy (London) − Wochenzeitung, erschien von 1884 bis 1925, danach als „Social Democrat incorporating Justice“; Organ der Social Democratic Federation, später der Social Democratic Party. 454 509 520 525 537 564 577 743 1087 1134 1199 1264 1274 1291 1292 Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen − liberale Tageszeitung, erschien 1785 bis 1934, bekannt als „Vossische Zeitung“ nach dem Namen ihres Eigentümers Christian Friedrich Voss. 52 224 529 779 923 925 1282 Kreuz-Zeitung siehe Neue Preußische Zeitung The Labor Standard (New York, später Boston, Paterson NJ) − amerikanische Wochenzeitung, erschien unter verschiedenen Jahrgangsbezeichnungen von 1876 bis 1906 mit verschiedenen Lokalausgaben für die Neu-England Staaten und einer monatlichen Ausgabe unter dem Titel „National Labor Standard“; 1876/1877 Organ of the Working Men’s Party of the United States, danach of the Wage Workers of the United States; Organ der Amalgamated Trade and Labor Union und der International Labor Union; herausgegeben und bis 1906 redigiert von Joseph Patrick McDonnell. 505 596 1262 The Labour Elector. The organ of practical socialism (London) − sozialistische Wochenzeitung, erschien von Juni 1888 bis April 1890 und von Januar 1893 bis Januar 1894 teils monatlich, teils 14-tägig, teils wöchentlich; zeitweise Organ der Gasworkers’ Union und der Dockers’ Union; herausgegeben von Henry Hyde Champion; veröffentlichte einige Beiträge von Engels. 16 24 92 110 144 159 179 384 710 721 729 731 741 749 823 847 912 1003 1014 1240 The Labour Leader. An advanced political and trade journal New series (Cumnock) − erschien monatlich von Februar 1889 bis Dezember 1891 und ab 1894 unter der Redaktion von James Keir Hardie; Fortsetzung von „The Miner“. A journal for underground workers (1887 bis Januar 1889). 737 990 Mainzer Volkszeitung. Sozialpolitisches Organ für Mainz und Umgegend, später Sozialdemokratisches Organ für die Reichstagswahlkreise Mainz, Oppenheim, Bingen und Alzey − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien von 1890 bis 1904. 609 1351 Il Messaggero (Rom) − radikal-demokratische Tageszeitung, erscheint seit 1878; entwickelte ein neues und erfolgreiches Zeitungskonzept. 215 218 949 952 969 The Morning Post (London) − konservative Tageszeitung, erschien von 1803 bis 1937. 186 918 Nationalist (Boston Mass.) − Monatszeitschrift, erschien von Mai 1889 bis April 1891; herausgegeben von der Nationalist Educational Association; entstanden nach Erscheinen des Romans „Looking Backward 2000−1887“ von Edward Bellamy. 159 233 273 285 733 889 National-Zeitung (Berlin) − Tageszeitung erschien von 1848 bis 1915; Organ der Nationalliberalen Partei. 30 1067 Ne´pszava (Budapest) − sozialdemokratische Zeitung, erscheint seit 1878; seit 1880 Organ der Allgemeinen Arbeiterpartei Ungarns. 585 594 1359 Neue Preußische Zeitung (Berlin) − konservative Tageszeitung, erschien von 1848 bis 1939; häufig „Kreuz-Zeitung“ genannt, weil sie ein eisernes Kreuz im Titelkopf trug. 6 207 481 717 719 941 1230 Neue Rheinische Zeitung. Organ der Demokratie (Köln) − Tageszeitung, erschien vom 1. Juni 1848 bis 19. Mai 1849; herausgegeben und redigiert von Marx (Chefredakteur), Engels, Georg Weerth u. a. 23 37 481 590 748 766 1215

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Literaturregister Die Neue Zeit. Revue des geistigen und öffentlichen Lebens (Stuttgart) − theoretische Zeitschrift der deutschen Sozialdemokratie, erschien von Januar 1883 bis Oktober 1890 monatlich, bis 1922 wöchentlich, und bis August 1923 zwei Mal monatlich; bis September 1917 herausgegeben und redigiert von Karl Kautsky im J. H. W. Dietz Verlag; veröffentlichte von 1885 bis 1894 Artikel von Engels. 23 24 53 66 73 88 96 113 131 175 192 199 215 222–224 226 227 229 231 236 237 241 245 248 251 258 266 269 277 290 295 322 350 351 353 358 361 372 373 386 396 414 415 423 437 438 441 449 454 489 496 497 504 526 529 546 556 558 588 596 600 750 780 782 796 805 818 850 866 891 907 914 925 932 933 948 959 960 962 964 966 968 972 974 975 977 981 983 991 998 1001 1008 1015 1020 1025 1033 1050 1077 1081 1083 1084 1090 1093 1109 1110 1124 1125 1152 1156 1174 1175 1182 1194 1260 1280 1307 1310 1331 1332 1339 1343 New-York Tribune − Tageszeitung: „New-York Daily Tribune“, halbwöchentliche Ausgabe: „New-York Semi-Weekly Tribune“, Wochenblatt: „New-York Weekly Tribune“, erschien von 1841 bis 1924, gegründet und bis 1872 herausgegeben von Horace Greely; bis Mitte der 1850er Jahre Organ der linken amerikanischen Whigs, später der Republikaner; Marx und Engels schrieben für sie von August 1851 bis März 1862. 768 769 New Yorker Volkszeitung. Den Interessen des arbeitenden Volkes gewidmet − deutschsprachige, sozialistische Tages- und Wochenzeitung, erschien von Januar 1878 mit bis 1932 mit einer Sonntagsausgabe und dem Jahreskalender „Pionier“; stand der Sozialistischen Arbeiterpartei und der Socialist Labor Party (USA), später der Socialist Party nahe; redigiert u. a. von Alexander Jonas (1878−1889), Sergej Sˇevicˇ (1890), Julius Grunzig (1890/1891) und Hermann Schlüter (1891−1919). 24 39 98 159 160 194 232 234 255 256 274 283 285 305 317–319 324 325 341 402 423 441 442 477 487 489 505 579 596 727 731–733 768 769 828 831 889 908 926 971 989 991 1012 1014 1033 1046 1047 1067 1071 1140 1183 1226 1240 1327 The Nineteenth Century. A monthly review (London) − liberale Monatsschrift, erschien von 1877 bis 1900, ab 1900 unter dem Titel „The Nineteenth Century & After“, seit 1951 als „The Twentieth Century“. 113 205 206 919 936 940 The North London Press (London) − radikale Wochenzeitung, erschien mit leicht variierenden Namen vom 30. März 1889 bis 25. Januar 1890; redigiert von Ernest Parke; vereinigte sich im März 1890 mit der Wochenzeitung „The People’s Press“. 179 912 Northern Review siehe Сѣверный Вѣстникъ La Nouvelle Revue (Paris) − republikanische Zeitschrift, erschien bis 1899 14-tägig, später in drei weiteren Reihen bis Mai 1940; 1879 gegründet von Juliette Lamber Adam und bis Ende der 1890er Jahre von ihr geleitet; unterstützte eine französischrussische Allianz. 494 548 796 919 940 1156 1300 L’Œuvre Socialiste. Revue politique et litte´raire (Paris). 448 458 1191 1208 The Pall Mall Gazette. An evening newspaper and review (London) − konservativliberale Tageszeitung, erschien von Februar 1865 bis 1921; veröffentlichte von Juli 1870 bis Juni 1871 Artikel von Marx und Engels. 68 Le Parti Ouvrier. Organe des travailleurs socialistes de France et d’Alge´rie (Paris) − erschien in drei Serien von 1888 bis Januar 1890 und von Mai bis November 1890 täglich, von November 1890 bis 1902 als Wochenzeitung; Organ der Possibilisten um Jean Allemane. 772 913 1239 Le Parti Socialiste. Organ du Comite´ re´volutionnaire central (Paris) − Wochenzeitung, erschien seit dem 9. März 1890; der Redaktion gehörten u. a. E´douard Vaillant, Emmanuel Chauvie`re, Euge`ne Baudin und Jean Benoıˆt Lachize an. 116 263 797 Paterson Labor Standard siehe Labor Standard

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Literaturregister The People’s Press. With which is incorporated The North London Press. A weekly paper devoted to the interests of labour (London) − Wochenzeitung, erschien vom 8. März 1890 bis 28. Februar 1891; offizielles Organ der General Railway Workers, der Gas Workers’ and General Labourers’ Union und der Legal Eight Hours League; redigiert von Robert Edward Dell, zeitweise zusammen mit William A. Morris; veröffentlichte u. a. Artikel von Eleanor Marx-Aveling, Edward Aveling und Cunningham Grahame. 273 286 300 319 356 368 370 381 382 439 505 597 1013 1016 1026 1028 1030 1047 1118 1120 1145 1179 1209 1221 1261 1279 Le Petit Journal (Paris) − republikanische Tageszeitung, erschien von März 1863 bis 1943. 15 359 723–725 727 729 730 1091 Philadelphia Tageblatt. Offizielles Organ der Vereinigten Deutschen Gewerkschaften − sozialdemokratische, deutschsprachige Tageszeitung, erschien von 1877 bis 1944; redigiert u. a. von Louis Werner (1904−1918). 159 889 Pionier. Illustrirter Volks-Kalender (New York) − deutschsprachiges Jahrbuch, erschien für die Jahre 1882−1933; herausgegeben von der Redaktion der „New Yorker Volkszeitung“. 324 477 495 520 579 1053 1226 1248 1274 1326 Le Prole´tariat. Organe officiel de la Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France (Paris) − Wochen- bzw. Tageszeitung, erschien von April 1884 bis Oktober 1890; Organ der Possibilisten. 488 1239 Recht voor Allen (’s-Gravenhage) − sozialistische Wochenzeitung, seit 1889 Tageszeitung, erschien von 1879 bis 1900; redigiert von Ferdinand Domela Nieuwenhuis; Organ der Sociaaldemokratische Partij van Nederland (bis 1894), danach des Socialistenbond. 202 935 1347 Revue bleue. Revue politique et litte´raire (Paris) − akademische Zeitschrift, erschien von 1863 bis 1939; 1890 redigiert von dem Historiker Alfred Rambaud. 417 Rheinische Zeitung für Politik, Handel und Gewerbe (Köln) − Tageszeitung, erschien vom 1. Januar 1842 bis 31. März 1843; ab April 1842 von Marx redigiert, seit Oktober als Chefredakteur. 30 85 814 Sächsische Arbeiter-Zeitung. Organ zur Wahrung der Interessen der Arbeiter (Dresden) − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien Dezember 1889 bis März 1908; Sommer 1890 redigiert von Hermann August Teistler, bis 1896 von Georg Gradnauer. 396 399 408 422 437 477 501 529 956 1132 1133 1137 1146 1151 1158 1160 1165 1226 Le Salariat (Rouen) − guesdistische Wochenzeitung, erschien vom 10. August 1889 bis 25. Januar 1890; eine zweite Reihe erschien vom 24. Januar bis 14. Februar 1892. 43 772 Sankt Johann − Saarbrücker Volkszeitung (St. Johann, Saarbrücken) − Tageszeitung, erschien von 1876 bis 1902. 497 Schlesische Nachrichten (Breslau) − Wochenzeitung, erschien von 1887 bis 1890, fortgeführt als „Schlesische Volkswacht“; der Redaktion gehörten u. a. Bruno Geiser (seit 1888) und Fritz Kunert (seit 12. Oktober 1889) an. 207 941 Schwäbische Tagwacht. Organ der Sozialdemokratie Württembergs (Stuttgart) − sozialdemokratische Tageszeitung für Württemberg, erschien von 1890 bis 1933; redigiert von Wilhelm Eichhoff, Johannes Geyer und Wilhelm Keil (seit 1893). 438 449 1194 Schwäbisches Wochenblatt (Stuttgart) − erschien vom 1. April 1882 bis 31. August 1890 dreimal wöchentlich, fortgeführt als „Schwäbische Tagwacht“; redigiert von Georg Baßler. 248 Social-Demokraten (Kopenhagen) − Tageszeitung, erschien unter diesem Titel von 1874 bis 1959, gegründet 1871 als „Socialisten. Et Dagblad for Arbejdernes berettigede Fordringer“; redigiert von Emil Wiinblad; herausgegeben von Kopenhagener Gewerkschaften; Hauptorgan der dänischen Sozialdemokratie. 94 424 528 729 1163 1282

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Literaturregister El Socialista. Organo del Partido Obrero (Madrid) − Wochenzeitung, erscheint seit 1885; Zentralorgan der Partido Socialista Obrero Espan˜ol; redigiert von Pablo Igle´sias. 4 710 Le Socialiste (Marseille) − guesdistische Wochenzeitung, erschien vom 7. September bis 14. Dezember 1889. 43 772 Le Socialiste. Organe du Parti Ouvrier (Paris) − sozialistische Wochenzeitung, gegründet 1885 von Jules Guesde, erschien in erster Serie bis März 1887, in zweiter Serie von Juni 1887 bis Februar 1888, in dritter Serie ab September 1890; bis 1902 Organ des Parti ouvrier franc¸ais, von 1902 bis 1905 Organ des Parti socialiste franc¸ais, seit 1905 Organ der Section franc¸aise de l’Internationale ouvrie`re; veröffentlichte in den 1880er und 1890er Jahren Beiträge von Engels. 338 440 447 448 478 483 495 504 533 538 710 712 773 775 1159 1173 1181 1190 1192 1202 1221 1227 1232 1242 1247 1286 1293 Le Socialiste des Cevennes (Alais) − sozialistische Wochenzeitung, erschien vom 14. April 1889 bis 5. Januar 1890; der Redaktion gehörten Mitglieder des Parti ouvrier an, 43 772 Der Sozialdemokrat. Organ der Sozialdemokratie deutscher Zunge (Zürich, London) − Wochenzeitung, erschien von Oktober 1879 bis September 1888 in Zürich, ab Oktober 1888 bis 27. September 1890 in London; 1879/1880 redigiert von Georg von Vollmar, 1881−1890 von Eduard Bernstein; Organ der Sozialistischen Arbeiterpartei während des Sozialistengesetzes; veröffentlichte seit 1881 mehrmals Beiträge von Marx und Engels. 4 9 12 39 41 62 74 88 108 127 146 166 175 202 204 215 224 237 239 240 264–267 305 317 321 324 337 399 413 417 424–427 431 435 437 440 450 454 473 474 477 481 485 487 490 492 495 549 581 711 717 718 721 729 737 739 764 768 772 781 782 787 798 806 825 827 832 843 862 876 894 898 899 904 905 920 921 923 927 935 938 939 969 975 976 985 987 988 990 998 999 1005 1013 1015 1023 1033 1037 1044 1046 1049 1053 1067 1082 1087 1088 1093 1097 1132 1137 1141 1146 1150 1151 1156 1157 1163 1164 1168 1169 1172 1175 1181 1190 1195 1199 1222 1223 1226 1230 1235 1238 1240 1244 1302 1330 1331 Der Sozialist. Zentral-Organ der Sozialistischen Arbeiter-Partei von Nord-Amerika (New York) − deutschsprachige Wochenzeitung, erschien von Januar 1885 bis November 1892; der Redaktion gehörten u. a. Wilhelm Ludwig Rosenberg, später Hermann Schlüter an; veröffentlichte u. a. Artikel von Eleanor Marx-Aveling, Paul Lafargue und Friedrich Adolph Sorge. 159 596 The Star (London) − radikal-liberale Tageszeitung, erschien von Januar 1888 bis 1960. 179 283 305 485 906 912 1236 Le Temps (Paris) − Tageszeitung, erschien von 1829 bis 1842 und von 1861 bis 1940. 457 519 782 965 1173 1189 1202 1220 1223 1241 1264 1269 1273 1284 1300 1301 Time. A monthly miscellany of interesting and amusing literature (London) − Monatsschrift, erschien von April 1875 bis 1891; 1890/1891 erschienen Bd. 1 und 2 sowie Nr. 1−3 von Bd. 3; seit 1890 sozialistisch orientiert; redigiert von Ernest Belfort Bax, unter Mitarbeit von Edward Aveling und Eleanor Marx-Aveling. 16 39 90 97 115 160 180 199 205 206 234 236 283 285 292 305 332 347 418 456 571 731 768 799 800 820 827 851 852 889 932 947 990 1022 1062 1077 1156 1169 1205 1319 The Times (London) − Tageszeitung, erscheint seit 1785, unter diesem Titel seit 1788. 173 256 514 905 990 1267 Vaterland (Wien) − konservative Zeitung, erschien von 1860 bis 1911; seit 1874 unter der Leitung von Karl von Vogelsang; mit Rudolf Meyer von 1877 bis 1881 als Wirtschaftsredakteur; Organ der katholischen Reformbewegung. 571 La Voix. Journal politique quotidien (Paris) − radikal-republikanische Tageszeitung, erschien vom 20. August bis 9. November 1889 und ab September 1890; redigiert von Alexandre Millerand. 4 711

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Literaturregister Volksblatt siehe Berliner Volksblatt Volks-Kalender (Braunschweig) − erschien jährlich von 1875 bis 1879; herausgegeben von Wilhelm Bracke; als Bauernkalender gedacht. 324 337 465 894 1053 1067 1217 1326 Volkspresse. Organ für die Interessen des arbeitenden Volkes (Wien) − Zeitung, erschien von November 1889 bis 1892; unterstützte die linke Opposition in der österreichischen Sozialdemokratie; später unabhängig-sozialistisch. 625 1366 Der Volksstaat. Organ der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei und der Gewerksgenossenschaften (Leipzig) − sozialdemokratische Zeitung, erschien von 1869 bis 1876 zwei-, später dreimal wöchentlich; redigiert von Wilhelm Liebknecht. 591 1328 Volksstimme. Sozialdemokratisches Organ für Magdeburg und Umgebung − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien von 1890 bis 1933, redigiert von Hans Müller und Paul Kampffmeyer; unterstützte im Sommer 1890 die Opposition der „Jungen“. 396 400 408 422 1132 1138 1146 1160 Volkstribüne siehe Berliner Volks-Tribüne Volkswacht. Organ für das arbeitende Volk (Bielefeld) − sozialdemokratische Tageszeitung, erschien von Juli 1890 bis Februar 1933. 549 1302 Volkszeitung siehe New Yorker Volkszeitung Volks-Zeitung. Organ für Jedermann aus dem Volke (Berlin) − liberal-demokratische Tageszeitung, erschien von 1853 bis 1904; gegründet von Aaron Bernstein; redigiert von Dr. Phillips (Chefredakteur) und seit 1889/1890 von Franz Mehring; veröffentlichte seit 1884 Artikel von Franz Mehring. 53 219 591 780 957 Vorwärts. Berliner Volksblatt. − Tageszeitung, ging aus dem „Berliner Volksblatt“ hervor, erschien von 1891 bis 1933; Organ der Sozialdemokratischen Partei Deutschlands. 322 1050 1052 1199 1331 Vorwärts. Organ für die Interessen der Arbeiter und des Volkes (Buenos Aires) − zweisprachige Zeitschrift (deutsch und spanisch), erschien zwischen dem 2. Oktober 1886 und 1901. 322 843 Vossische Zeitung siehe Königlich privilegirte Berlinische Zeitung von Staats- und gelehrten Sachen Der Wähler. Organ für die Interessen aller Wähler zum Reichstag, zu den Landtagen und zu den Gemeindevertretungen (Leipzig) − sozialdemokratische Zeitung, erschien von 1888−1895 zweimal wöchentlich; 1890 redigiert von Manfred Wittich; fortgeführt als „Leipziger Volkszeitung“. 33 762 Der wahre Jacob. Illustrierte humoristisch-satirische Zeitschrift mit einem Beiblatt für Unterhaltung und Belehrung (Stuttgart) − erschien vom 2. Januar 1884 bis September 1923; gegründet und herausgegeben vom J. H. W. Dietz Verlag; zeitweise redigiert von Wilhelm Blos. 248 511 Workmen’s Advocate (New York) − Wochenzeitung, erschien von 1883 bis 1891; 1889−1891 redigiert von Lucien Sanial; veröffentlichte ab 1890 Beiträge von Daniel De Leon; zunächst Organ des Trades Council New Haven in Connecticut, seit 1887 englischsprachiges Organ der Sozialistischen Arbeiter-Partei von Nord-Amerika, später der Socialist Labor Party; 1891 fortgeführt als „The People“. 24 39 98 110 159 283 319 505 733 750 769 829 847 1012 1014 1047 Züricher Post − demokratische Tageszeitung; gegründet u. a. von Reinhold Rüegg; von Rüegg bis 1915 redigiert. 514 529 540 1297 Борьба. Политическая общественная газета (Genf) − russische Zeitung, erschienen sind zwei Nummern, herausgegeben von K. M. Turskij. 238 Самоуправленіе. Органъ социалистовъ-революционеровъ. L’Organe des socialistes fe´de´ralistes (Genf) − russische Zeitung, herausgegeben von 1887 bis 1889, es erschienen insgesamt vier Nummern; Redakteur war A. S. Belevskij, Mitar-

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Literaturregister beiter u. a. S. M. Kravcˇinskij (Stepnjak), P. L. Lavrov, M. P. Dragomanov, I. I. Dobrovol’skij. 238 976 Свобода. Политическій органъ русской интеллигенціи. La liberte´ (Genf, Paris) − russische Zeitung, erschien 1888/1889, insgesamt 16 Nummern herausgegeben unter der Redaktion von S. Knjazˇnin und K. M. Turskij; in den zwei letzten Nummern ein Beitrag von Plechanov. 238 Свободная Россія. La Russie libre (Genf) − russische Zeitschrift, erschien 1889, in drei Nummern; Redakteure waren V. L. Burcev und V. K. Debogorij-Mokrievicˇ; Mitarbeiter u. a. I. I. Dobrovol’skij, M. P. Dragomanov. 238 976 Соціаль-Демократъ. Трехмѣсячное литературно-политическое обозрѣніе. Le De´mocrate-socialiste. Revue trimestrielle (London, Genf) − erste russischsprachige sozialdemokratische Zeitschrift, herausgegeben.1890−1892 von der Gruppe „Osvobozˇdenie truda“; Nr. 1 erschien im Februar, Nr. 2 im August 1890, insgesamt erschienen bis 1892 vier Nummern. Zur Redaktion gehörten Vera Zasulicˇ, Georgij Plechanov und Pavel Aksel’rod. 260 850 866 907 959 962 964 1000 Статистическій ежегодникъ по Московской губерніи за 1889 г. (Moskau) Statistisches Jahrbuch für das Gouvernement Moskau; erschien seit 1884. 170 333 901 1064 Сѣверный Вѣстникъ. Журналъ литературно-научный и политическій. (St. Petersburg) − literaturwissenschaftliche und politische Monatsschrift, erschien von 1885 bis 1898; bis Mitte 1891 liberal-volkstümlerische Richtung, Redakteurin und Herausgeberin war Anna Michajlovna Evreinova. 809 848 1072

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Organisationsregister Allgemeiner deutscher Arbeiterverein (ADAV, Lassalleaner) 107 713 718 842 934 1133 1279 1287 Alttschechen [Starocˇesˇi] 898 899 Amalgamated Engineers Trades Union 111 145 246 274 American Federation of Labor 98 504 596 829–831 846 875 888 994 1102 1178 1260 1339 Association Internationale des Travailleurs (French Branch) siehe Internationale Arbeiterassoziation Baltische Föderative Bewegung 933 Belgische Werklieden Partij/Parti ouvrier belge 439 444 482 484 1179 1186 1189 1195 1222 1223 1234 Bloomsbury Socialist Society 282 1013 Boulangisten siehe Comite´ republicain national Bund der Gerechten 841 Bund der Kommunisten 37 765 766 841 927 989 1006 1024 Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day 282 297 299 301 309 318 1013 1026–1028 1038 1047 – siehe auch Legal Eight Hours and International Labour League Central Democratic Club 9 32 721 758–760 Central Labor Federation 1101 1102 1135 Central Labor Union 194 325 368 927 1054 1101 1102 1135 Centrum siehe Zentrum Chartisten 107 194 841 1172 Circolo Radicale 204 215 938 949 958 Club der Beamten der Wiener Bank- und Credit-Institutionen 209 944 Le comite´ du club des ouvriers allemands (Deutscher Arbeiterverein), Paris 1214 Comite´ re´publicain national (Boulangisten, Boulangismus) 4 5 7 10 12 13 15 17 33 35 38 42 56 58 61 62 111 140 141 164 165 172 185 205 214 261 262 275 287 309 384 385 430 453 478 490 577 595 712 718 722–724 727 730 764 772 917 947 1039 1189 Comite´ revolutionnaire central (Blanquisten) 4 35 58 69 147 155 164 165 439 444 453 531 707 708 712 713 764 771 782 787 788 796 801 804 994 1186 1219 1227 1233 Comite´ de la rue de Poitiers 13 728 Comite´ (Ligue) des 8 heures 309 384 439 1038 1178 Committee for Organizing the East End Women 20 743

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Organisationsregister Communist Working Men’s Club, Tottenham Street siehe Communistischer Arbeiterbildungsverein (CABV) Communistischer Arbeiterbildungsverein, London 276 502 624 638 759 958 1006 1007 1024 1115 1258 Congre`s National Socialiste de Troyes 56 446 786 787 804 1188 Comite´ national der FTSF siehe Fe´de´ration (du parti) des travailleurs socialistes de France Democratic Federation siehe Social Democratic Federation Deutsche Freisinnige Partei siehe Freisinnige Partei Deutsche Fortschrittspartei siehe Freisinnige Partei Deutsche Lesegesellschaft, Kopenhagen 413 1151 Deutsche Reichspartei 923 Deutscher Arbeiterbildungsverein siehe Communistischer Arbeiterbildungsverein Deutscher Bildungsverein für Arbeiter, London siehe Communistischer Arbeiterbildungsverein Deutsch-Hannoversche Partei (Welfen) 196 354 928 Deutschkonservative Partei 923 Deutschliberale Partei, in Österreich 898 899 The Dock, Wharf, Riverside and General Labourers Union (Hafenarbeiter) 144 145 273 274 740 741 875 1003 1004 1145 Eigth Hours Legal Working Day Committee siehe Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day. Fabian Society 174 180 273 285 320 381 596 759 898 906 913 1003 1048 1118 1119 1339 Fe´de´ration des chambres syndicales indepe´ndantes 771 772 Fe´de´ration nationale des syndicats et groupes corporatifs ouvriers de France 11 439 446 484 531 708 724 786 787 1190 1200 1201 1220 1227 1233 1239 1263 1284 Fe´de´ration (du parti) des travailleurs socialistes de France (Possibilisten) 3 4 12 56–58 180 202 214 384 385 444–447 450 456 482 483 488 490 491 495 707 708 709 713 718 726 787 905 994 1123 1188–1190 1205 1232 1239 1242 1248 1269 1278 1338 – Union fe´de´rative du Centre 446 1123 1189 1190 1242 1248 – Comite´ national der FTSF 787 – siehe auch Parti ouvrier socialiste re´volutionnaire (Allemanisten) Freisinnige Partei (Deutsche Fortschrittspartei, Fortschrittler, Gothaher) 105 171 172 191 196 220 354 549 839 840 903 904 924 General Railway Workers’ Union 92 823 International Brotherhood of Railroad Employes 822 International Workingmen’s Educational Association (Berner Street Club) 46 776 Internationale Arbeiterassoziation 731 732 749 768 1291 – L’Association Internationale des Travailleurs (French Branch) 537 1291 Jungtschechen [Mladocˇesˇi] 168 898 899 Knights of Labor 98 159 579 829 830 831 Kölner Arbeiterverein (Arbeiterverein zu Köln) 37 765 766 Kommunistischer Arbeiterbildungsverein London siehe Communistischer Arbeiterbildungsverein

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Organisationsregister Labour Electoral Association und Labour Electoral Committee 180 913 914 Landesausschuß der organisierten deutschen Sozialdemokraten in der Schweiz 611 1353 Legal Eight Hours and International Labour League 297 309 318 439 440 482 1013 1026 1047 1179 1181 – siehe auch Central Committee for the Eight Hours Legal Working Day Liberal Party (GB) 172 759 904 Liberale Vereinigung 840 903 924 Ligue des femmes socialistes 871 Ligue Socialiste Re´volutionnaire 871 Literær sosialistisk forening 94 825 1231 London Trades Council 145 274 282–284 296 300 301 875 1004 1013 1014 1026 Narodnaja volja [Volksfreiheitswille] 963 976 National Amalgamated Sailor’s & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland 401 493 846 1122 1139 1245 1246 National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland 89 273 274 282 284 299 300 741 819 1004 1012–1014 1016 1169 National Union of Gasworkers and General Labourers of Great Britain and Ireland, Branch 54 Silvertown 89 115 273 274 282 284 741 819 Nationalist Educational Association, auch Nationalist Club [of Boston] 159 178 194 285 368 505 579 733 927 1054 1135 Nationalliberale Partei 171 184 191 738 739 839 903 916 923 924 1058 1067 Österreichischer Studentenverein, Wien 221 898 958 Osvobozˇdenie truda (Освобождение труда, Befreiung der Arbeit) 268 850 999 Parti ouvrier belge siehe Belgische Werklieden Partij Parti ouvrier franc¸ais 3 42 43 91 115 116 154 173 439 440 446 484 515 604 707 708 710 723 724 730 735 764 772 773 782 786 801 804 994 1005 1139 1180 1181 1189 1120 1203 1220 1263 1284 1300 – Conseil national du Parti ouvrier 3 100 455 484 604 621 710 762 772 832 904 995 996 1186 1219 1220 1227 1232 1233 – Agglome´ration Paris du Parti ouvrier 785 1180 Parti ouvrier socialiste re´volutionnaire (Allemanisten) 520 726 1188 1189 Possibilisten siehe Fe´de´ration des travailleurs socialistes de France Radical Clubs 32 282 301 742 759 906 Radicaux socialistes 3 709 Det Revolutionære Socialistiske Arbejderparti 413 824 825 1151 1231 Russian Freedom Friends’ Society, London 965 Schweizerischer Gewerkschaftsbund [Comite des Gewerkschaftsbundes Schweiz] 610 1352 Sailors’ and Firemen’s International Union, siehe National Amalgamated Sailor’s & Firemen’s Union of Great Britain & Ireland Section fe´de´raliste franc¸aise de 1871 537 1291 Social Democratic Federation 20 274 282 296 445 482 708 742 759 787 847 1004 1005 1232 Socialdemokratisk Forbund [Sozialdemokratische Partei Dänemarks] 93 94 482 824 825 840 1151 1231 Socialist Labor Party (Sozialistische Arbeiter Partei, SLP, S.A.P., Soz. Arb. Partei) 89 98 178 325 731 732 750 769 819 820 828 842 875 888 889 926 1047 1054 1102 1131 1135

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Organisationsregister Socialist League 274 282 407 482 840 1004 1013 1122 1145 1151 1232 1253 Societe´ des droits de l’homme et du citoyen (radicadets, Cadetisten) 4 35 42 712 763 771 Sozialdemokratische Partei Deutschlands, Sozialdemokratische Arbeiterpartei, Sozialistische Arbeiterpartei 193 303 323 361 395 396 399 400 425 488 711 713 717 736–739 876 929 935 955–957 1132 1133 1287 – Opposition 395 396 408 419 421 422 424 500 508 514 533 546 955 956 1132 1133 1136 1137 1157 1162 1254 1255 1264 1265 1267 – Parteitag 396 473 500 503 508 509 514 516 518 519 956 1026 1032 1051 1111 1132 1137 1157 1180 1187 1190 1223 1254 1255 1258 1269 1270 1272 1273 1286 1287 1290 1292 1313 – Reichstagsfraktion 219 253 275 296 399 400 527 528 713 717 876 929 956 980 1005 1026 1051 1132 1136 1137 1281 – Wahlergebnisse 1890 172 185 188–191 193 196 198 201 904 920 922 923 931 934 Sozialdemokratische Partei in Österreich 625 898 1021 Sozialdemokratische Partei der Schweiz 482 1223 Sozialdemokratische Partei Schwedens 482 Sozialdemokratische Partei Spaniens [Agrupacio´n Demo´crata-Socialista] 186 199 919 933 Sozialdemokratische Partei in Ungarn (Ungarländische Sozialdemokratie, Ungarländische Sozialdemokratische Partei, Ungarische Sozialdemokratische Partei) 583 585 1061 1329 Sozialistische Arbeiterpartei, in Spanien 482 Sozialistische Arbeiter Partei, USA siehe Socialist Labor Party Sozialistische Organisationen, in Italien 482 The Steam Railroad Men’s Protective Union, Boston 92 177 822 823 Trades Council siehe London Trades Council Trade Unions, Grossbritannien 20 89 96 145 179 273 283 299 444 449 478 488 740 Trades Union Congress 482 487 488 787 875 1169 1180 1186 1189 1226 1231 1232 1248 1261 1263 1264 L’Union de´mocratique 723 L’Union fe´de´rative du Centre siehe Fe´de´ration (du parti) des travailleurs socialistes de France L’Union re´publicaine 723 United Labor Party, New York 830 831 Venstre [Bauernpartei in Dänemark] 94 105 824 825 840 Vereinigung Berliner Metallarbeiter 1375 Vorwärts, Buenos Aires 108 150 843 Vorwärts, London (jüdische Sozialisten) 352 1082 Welfen siehe Deutsch-Hannoversche Partei Zemlja i volja [Land und Freiheitswille] 963 Zentrum (Centrum, Centre) 184 191 196 903 916 Zürcher Exekutivkomitee [8 Stunden Comite´] 484 492 711 1178 1179 1233 1234 1243

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Verzeichnis der im Apparat ausgewerteten Quellen und der benutzten Literatur 1. Archivalien a. IISG Marx-Engels-Nachlaß – „Central Democratic Club“, Flugblatt (S 54). – Drucksachen (S 54). – Engels, Friedrich: Exzerptheft von 1879 (J 34). – Engels, Friedrich: Exzerptheft V (J 16). – Karl Marx, Friedrich Engels: [Manuskripte zur deutschen Ideologie] (A 10−17). – Mitgliedskarte Nr. 3 des Central Democratic Club für 1889 für Engels (Beilage zu L 3701). – – – – – – – – – – – – –

Bebel, August an Engels, 7. Juli 1889 (L 242), 27. September 1889 (L 243). Bernstein, Eduard und Regina an Engels, 25. August 1889 (L 497). Borkheim, Frederick an Engels, 11., 15. und 23. Juli 1892 (L 647−L 649). Burns, William an Engels, 23. Juli 1888 (L 872), 5. Oktober 1888 (L 874), 17. Dezember 1892 (L 886), 9. März 1893 (L 888). Daniel’son, Nikolaj Francevicˇ an Engels, 7. (19.) April 1887 (L 1029), 8. April 1889 (L 1031), 21. September 1891 (L 1043). Dietz, Heinrich an Engels, 24. Juli 1891 (L 1143). Ehrenfreund, Isidor an Engels, etwa Mitte August 1889 (L 1330). Engels an August Bebel, 30. April 1883 (K 65), 8. Oktober 1886 (K 88), 12. April 1888 (K 92), 29. September 1891 (K 101). Engels an Karl Kautsky, 18. September 1883 (K 622), 28. Januar 1889 (K 680), 20. Februar 1889 (K 682), 15. September 1889 (K 685), 13. Dezember 1890 (K 692), 12. August 1892 (K 727). Engels an Ludwik Krzywicki, 28. Januar 1884 (K 805). Engels an Wilhelm Liebknecht, 24. August 1872 (K 1014), 23. Februar 1888 (K 1035), 4. April 1889 (K 1039), 5. April 1889 (K 1040), 17. April 1889 (K 1041), 17. August 1889 (K 1042, K 1043, K 447). Engels an Achille Loria, 20. Mai 1883 (K 1077). Engels an Pasquale Martignetti, 21. Dezember 1885 (K 1096), 12. März 1886 (K 1097, K 1098), 26. Januar, 21. Mai, 20. Juni 1887, 10. Januar, 20. April 1888, 9. und 20. Juli 1889 (K 1101−K 1107), 19. Juni 1891 (K 1116).

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1. Archivalien – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – –

– – –

Engels an Max Oppenheim, 24. März 1891 (K 1350). Engels an Hermann Schlüter, 29. Januar 1891 (K 1449). Engels an Conrad Schmidt, 1. Juli 1891 (K 1468). Engels an Ludwig Schorlemmer, 4. Dezember 1890 (K 1479). Engels an Paul Stumpf, 30. November 1892 (K 1666). Engels an E´mile Vandervelde, nach dem 21. Oktober 1894 (K 1702). Engels an Vera Ivanovna Zasulicˇ, 23. April 1885 (K 1739). Fischer, Paul an Engels, 21. August (L 1828), 23. August 1889 (L 1829). Hirsch, Carl an Engels, 19. Juli 1885 (L 2409). Kautsky, Karl an Engels, 3. April 1889 (L 2633), 17. April 1889 (L 2634), 23. April 1889 (L 2636), 29. September 1889 (L 2638). Krzywicki, Ludwik an Engels, 23. Januar 1884 (L 2818). Kullrich, Friedrich an Engels, 30. November 1888 (L 2862). Lahr, Johanna an Engels, 8. April 1889 (L 3263). Lesemann, Georg an Engels, 12. Dezember 1890 (L 3338). Liebknecht, Wilhelm an Engels, 28. März 1889 (L 3573), nach dem 9. April 1889 (L 3574), 19. April 1889 (L 3576), 25. August 1889 (L 3577), 22. September 1889 (L 3578), 27. September 1889 (L 3579). Mahon, John Lincoln an Engels, 17. April 1889 (L 3700), 22. Mai 1889 (L 3701). Martignetti, Pasquale an Engels, 8. Februar 1886 (L 3724), 26. Januar 1894 (L 3784). Marx-Aveling, Eleanor an Henry Hyde Champion, 3. Januar 1890 (G 11). Meyer, Rudolf an Engels, 25. Januar 1889 (L 4978). Der Österreichische Studentenverein an Engels, 22. August 1889 (L 5456). Oppenheim, Max an Marx, 26. Januar 1875 (D 3556). Rosher, Charles H. an Engels, 1. Dezember 1888 (L 5458). Scherzer, Sophie an Marx, 11. Oktober 1880 (D 3919). Schlüter, Hermann an Engels, 1. Juli 1889 (Sign L 5544). Schmidt, Conrad an Engels, 28. und 31. Dezember 1888 (L 5565), 11. Juni 1889 (L 5569), 26. September 1889 (L 5571), 5. März 1891 (L 5577). Sorge, Friedrich Adolph an Engels, 28. Februar 1886 (L 5831), 27. August 1888 (L 5872), 13. September 1888 (L 5876), 10. Februar 1889 (L 5881), 15. und 23. April, 27. Mai, 29. Mai, 7. Juli 1889 (L 5882−L 5886), 1. August 1889 (L 5889), 9. Dezember 1890 (L 5918). Sorge, Friedrich Adolph an Marx, 5. September 1877 (D 4150), 16. Oktober 1877 (D 4151), 19. Juli 1878 (D 4153), 14. Dezember 1879 (D 4159). Stumpf, Paul an Engels, 30. Oktober 1891 (L 6055). Trier, Gerson an Engels, 13. März 1889 (L 6106), 26. Mai 1889 (L 6107).

– Langkau, Götz: Einleitung zum Inventar des Marx-Engels-Nachlasses. Amsterdam 2003. Online im Internet: http://www.iisg.nl/archives/en/files/m/ARCH00860full. php#N1013B (Stand 31.05.2013). Nachlaß Jules Guesde – Aux groupes du Parti ouvrier et aux Organisations ouvrie`res de France. Flugblatt des Parti ouvrier section de Marseille (Nr. 183/9). – Chambre de de´pute´s. Proposition de loi Nr. 32, von Gustave Paul Cluseret und Anderen (Nr. 184/4). – Chambre de de´pute´s. Proposition de loi Nr. 109, von Euge`ne Baudin und Anderen (Nr. 184/9). – Chambre de de´pute´s. Proposition de re´solution Nr. 166, von Joseph Ferroul und Anderen (Nr. 185/1). – Manifestation ouvrie`re des deux mondes [Aufruf zum 1. Mai 1890] (Sign. Nr. 189/6). – Parti ouvrier. Le Conseil national aux fe´de´rations, groupes & membres du parti. Avril 1890 (Nr. 189/4). – Parti ouvrier. Programme e´lectoral (Nr. 182/13).

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Verzeichnis der im Apparat ausgewerteten Quellen – Souscriptions pour les elections allemandes de 1890 [Januar 1890] (Nr. 626/10, 626/11). – Guesde, Jules, an Charles Bonnier, [Juni 1890] (Sign. Nr. 191/1). Nachlaß Karl Kautsky – Bernstein, Eduard an Karl Kautsky, 18. Januar 1890 (D V 118), 12. März 1890 (D V 119), 26. April 1890 (D V 122), 1. Juni 1890 (D V 124), 11. September 1890 (D V 128), 30. September 1890 (D V 131), 11. November 1890 (D V 143), 11. Dezember 1890 (D V 138), 1. April 1891 (D V 152). – Fischer, Julie an Karl Kautsky, 14. Oktober 1929 (D X 364). Nachlaß Wilhelm Liebknecht – Bonnier, Charles an Wilhelm Liebknecht, 25. November 1889 (75/15−16), 5. April 1890 (75/24−25), 29. April 1890 (75/30−31). – Lafargue, Paul an Wilhelm Liebknecht, 16. Januar (209/12−13), 2. Februar 1889 (209/14−15). – Laˆine´, J. an Wilhelm Liebknecht, 10. und 17. Februar, 2. März 1890 (211). – Lissagaray, Hippolyte an Wilhelm Liebknecht, 4. Oktober 1890 (237/3). Sammlung Beeld en Geluid Photographie – Paul Stumpf, Foto (BG A 13/618).

b. RGASPI Fond 1 (Karl Marx, Friedrich Engels) op. 1 – Protokoll des 5ten allgemeinen Congresses der I.A.A. in Haag Sptbr. 1872 (d. 5926). – Schmidt, Conrad: Die Durchschnittsprofitrate auf Grundlage des Marx’schen Werthgesetzes. Stuttgart 1889. Mit Widmung an und Marginalien von Engels und im Buch (d. 6534). – Marx [Foto, aufgenommen Ende Februar 1882 in Algier] (d. 5665). – Engels an Eduard Bernstein, 15. Juli 1882 (d. 4226), 9. August 1882 (d. 4234), 2. und 3. November 1882 (d. 4266). – Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son, 4. Juli 1889 (d. 4828). – Engels an Ferdinand Domela Nieuwenhuis, 3. Dezember 1890 (d. 4944). – Engels an Hermann Engels, 17. und 28. September 1888 (d. 4776). – Engels an Amand Goegg, 4. Dezember 1890 (d. 4945). – Engels an Louis Kugelmann, 1. Januar 1895 (d. 5408). – Engels an Laura Lafargue, 26. Mai 1884 (d. 5809), 1. Januar 1885 (d. 6136), 13. Dezember 1886 (d. 5685), 7. Juni 1887 (d. 5690), 9. Mai 1888 (d. 5819), 11. Juni 1889 (d. 5830), 28. Juni 1889 (d. 5831), 27. August 1889 (d. 5832), 1. September 1889 (d. 5833), 9. September 1889 (d. 5834), 1. Dezember 1890 (d. 5843), 17. Dezember 1890 (d. 5844), 20. Juli 1891 (d. 5710), 17. August 1891 (d. 5951), 17. Dezember 1894 (d. 5985). – Engels an Paul Lafargue, 30. Juni 1888 (d. 4578), 4. Dezember 1888 (d. 6166), 15. Juni 1889 (d. 5883), 5. Juli 1889 (Kopie: d. 4828), [31.] Januar 1891 (d. 5938). – Engels an Petr Lavrovicˇ Lavrov, 5. Dezember 1890 (d. 4947). – Engels an Wilhelm Liebknecht, 29. Februar 1888 (d. 4745). – Engels an Achille Loria, 20. Mai 1883 (d. 4333). – Engels an Franz Mehring, Ende April 1895 (d. 5512). – Engels an Marie E´douard Vaillant, 5. Dezember 1890 (d. 5708). Fond 1 (Karl Marx, Friedrich Engels) op. 3 – Daniel’son, Nikolaj Francevicˇ an Eleanor Marx, 16. (28). März 1883 (d. 176). Fond 1 (Karl Marx, Friedrich Engels) op. 5 – Daniel’son, Nikolaj Francevicˇ an Paul Lafargue, vermutl. 26. November 1889 (d. 4969).

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1. Archivalien – Leßner, Friedrich an Engels, vor dem 14. März 1888 (d. 4907). – Sorge, Friedrich Adolph an Marx, 18. März 1877 (d. 3764). Fond 8 (Eleanor und Edward Aveling) op. 1 – Marx Aveling, Eleanor an Laura Lafargue, 25. Dezember 1889 (d. 250). Fond 10 (Laura und Paul Lafargue) op. 1 – Lafargue, Laura an Engels, 16. Januar 1888 (d. 23/1), etwa 11. September 1889 (d. 115). – Lafargue, Paul an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son, 14. Dezember 1889 (d. 85/6). – Lafargue, Paul an Engels, 5. März 1889 (d. 64/2), 25. September 1889 (d. 64/7). Fond 71 (Institut für Marxismus-Leninismus beim ZK der KPdSU) op. 50 – Guillain, Alix an Marx-Engels-Institut, 19. November 1929 (d. 132). Fond 199 (Nikolaj Francevicˇ Daniel’son) op. 1 – Kablukov, Nikolaj Aleksejevicˇ an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son, 1. Juni 1890 (d. 70). Fond 200 (Wilhelm Liebknecht) op. 4 – Volders, Jean an Wilhelm Liebknecht, 12. September 1890 (d. 2636). Fond 374 (Institut für K. Marx und F. Engels beim ZEK der UdSSR−IME. 1921−1931) op. 1 – Eintragung der Fotosignaturen der Briefe von und an Marx und Engels (d. 31, 47−50). Fond 458 (Dokumentensammlung zur politischen und sozialen Geschichte westeuropäischer Länder 17.−20. Jh.) op. 1 – Zasulicˇ, Vera Ivanovna an Sergej Michajlovicˇ Kravcˇinskij, um 20. Dezember 1889 (d. 530).

c. Andere Archive Archives Nationales. Paris Fonds Gabriel Deville – Police generale. (F 7. 13966). – Liebknecht, Wilhelm an Gabriel Deville, 28. August 1890 (51 AP 3, E 12−14). Archives de la prefecture de police. Paris – Dossier Agglome´ration parisienne 1888−1890 (APP. Ba 1484). – Dossier Congre`s de Calais 1890 (APP. Ba 40). – Dossier L’E´galite´ (APP. Da 185). – Dossier L’Ide´e nouvelle (APP. Da 185 (Pe´riodiques divers)). – Dossier Jules Roques (APP. Ba 905). The British Library. London, Manuscripts Department – [Aveling, Edward:] Nelson, A.: The Jackal (53437, Lic. Nr. 209). – [Aveling, Edward:] Nelson, A.: The Landlady (53425, Lic. Nr. 62). – [Aveling, Edward:] Nelson, A.: Madcap (53460, Lic. Nr. 203). – Engels an Nikolaj Francevicˇ Daniel’son (Add MSS. 38075) 13. November 1885 (f 38), 24. April 1887 (f 45), 15. Oktober 1880 (f 48−49), 4. Juli 1889 (f 50−51), 15. Juli 1889 (f 52), 2. September 1891 (f 56−56v). Landesarchiv Nordrhein-Westfalen. Hauptstaatsarchiv Düsseldorf – Urteil der II. Strafkammer des Königlichen Landgerichts zu Elberfeld in der Strafsache c/a Arns und Genossen. Elberfeld, 30. Dezember 1889 (Gerichte Rep. 5. Nr. 1124– 1180). Muse´e de l’Histoire vivante. Montreuil – Engels an Joseph Bloch, 21.−22. September 1890 (Nr. 81 80 100).

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Verzeichnis der im Apparat ausgewerteten Quellen The New York Public Library, Manuscripts and Archive Division The Friedrich Adolph Sorge Papers – Engels an Friedrich Adolph Sorge, 21. September 1872, 14. März 1883, 31. August 1888, 10. Oktober 1888, 17. August 1889, 26. September 1889, 17. Januar 1891. – Marx an Friedrich Adolph Sorge, 19. Oktober 1877, 4. September 1878. Niederösterreichisches Landesarchiv. St. Pölten – Bericht der k.k. Polizei Direktion in Wien an die NÖ Statthalterei vom 12. September 1876 über die Person Louis Werner. Statthalterei Präsidium 1876 (P 7 ad 272, Zahl 3879, und 4639, Karton 363). – Geschäftsbuch NÖ Statthalterei (9104/3A, Nr. 1193). Stadtarchiv Mönchen-Gladbach – Müllers, Heinrich: Familiengeschichte und Stammbaum der Familie Pferdmenges. Stammliste, Quellenbezüge und Bemerkungen (15/30/563). Verein für die Geschichte der Arbeiterbewegung. Wien Adler-Archiv – Liste verschiedener Schriften von und über Anacharsis Cloots (M 113/T2). – Adler, Victor an Engels, 22. September 1892 (M113/T1). – Engels an Victor Adler, 22. Juli 1891 (M113/T1). – Engels an Victor und Emma Adler, 12. Dezember 1890 (M113/T1).

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å Band III/30 Diakritische Zeichen und Siglen íî

Eckige Klammern in der Textgrundlage

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Redaktionelle Ergänzung Beginn bzw. Ende einer unpaginierten Seite der Textgrundlage

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Beginn bzw. Ende einer unpaginierten Seite der Textgrundlage, wenn diese nicht mit dem Beginn bzw. Ende einer Handschriftenseite zusammenfällt

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Beginn einer paginierten Seite der Textgrundlage

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Textreduzierung (Tilgung)

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Textergänzung (Einfügung, Zusatz)

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Textersetzung, Textumstellung (verändert in, wurde zu)

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Abbrechung unleserliche Buchstaben Abgrenzung der Wiederholung aus dem Edierten Text (Lemmazeichen)

š

Absatz

H

eigenhändige Niederschrift

Abkürzungen aus dem Apparat Bebel: Bw mit Engels

August Bebel: Briefwechsel mit Friedrich Engels. Hrsg. von Werner Blumenberg. London, The Hague, Paris 1965. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 6.)

Bernstein: Bw Eduard Bernstein: Briefwechsel mit Engels mit Friedrich Engels. Hrsg. von Helmut Hirsch. Assen 1970. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. N.F. Bd. 1.) Briefe an Sorge u.a.

Briefe und Auszüge aus Briefen von Joh. Phil. Becker, Jos. Dietzgen, Friedrich Engels, Karl Marx u. A. an F. A. Sorge und Andere. Stuttgart 1906.

Engels: Bw mit Kautsky

Friedrich Engels: Briefwechsel mit Karl Kautsky. 2., durch die Briefe Karl Kautskys vervollst. Ausg. von „Aus der Frühzeit des Marxismus“. Hrsg. und bearb. von Benedikt Kautsky. Wien 1955. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 1.)

Engels, Lafargue: Correspondance

Friedrich Engels, Paul et Laura Lafargue: Correspondance. Textes recueillis, ann. et pre´s. par ´ mile Bottigelli. Trad. de l’anglais E par Paul Maier. T. 2.3. Paris 1956, 1959.

Liebknecht: Bw mit M/E

Wilhelm Liebknecht: Briefwechsel mit Karl Marx und Friedrich Engels. Hrsg. und bearb. von Georg Eckert. The Hague 1963. (Quellen und Untersuchungen zur Geschichte der deutschen und österreichischen Arbeiterbewegung. Bd. 5.)

Marx, Engels: La corrispondenza con italiani

Karl Marx, Friedrich Engels: La corrispondenza con italiani 1848− 1895. A cura di Giuseppe Del Bo. Milano 1964.