Revue de l’Orient Chrétien (1896-1946) 9781463220877

Revue de l’Orient Chrétien, originally published between 1896 and 1946, is a collection of essays on the Christian East.

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French Pages 454 Year 2010

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Revue de l’Orient Chrétien (1896-1946)
 9781463220877

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Revue de l'Orient Chrétien (1896-1946)

Revue de POrient Chrétien (1896-1946)

Volume 24 Edited by

René Graffìn

•sTs*

1 gargtas press 2010

Gorgias Press LLC, 180 Centennial Ave., Piscataway, NJ, 08854, USA www.gorgiaspress.com Copyright © 2010 by Gorgias Press LLC

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ISBN 978-1-60724-763-0

Printed in the United States of America

REVUE DE

L'ORIENT CHRÉTIEN DIRIGÉE

Par R. GRAFFIN

TROISIÈME

SÉRIE

Tome I V ( X X I V )

24' volume. — 1924

LES

ÉCLAIRCISSEMENTS

DE SAINT ATHANASE SUR LES PSAUMES FRAGMENTS

D'UNE TRADUCTION

EN COPTK

SAHIDIQI.E.

AVANT-PROPOS L'histoire critique des commentaires de saint Atlianase sur les psaumes est encore loin d'être faite, et surtout le texte authentique n'en est pas établi. D'importants travaux ont pourtant déjà paru. Leurs résultats ont été enregistrés, critiqués, précisés et développés par Mcr Giovanni Mercati (1). Trois commentaires nous sont parvenus sous le nom de saint Athanase. Le premier a été publié pour la première fois dans l'édition bénédictine de ses œuvres, et complété par Montfaucon et par le cardinal Pitra. Ce commentaire est incorporé à de nombreuses chaînes grecques, mais surtout à celle de Nicétas d'Héraclée (xic siècle) (2). Le cardinal Antonelli publia en 1746 un commentaire différent auquel il appliqua le nom donné par saint Jérôme, dans le « De T'iris inlustribus », à l'œuvre de saint Athanase sur les Psaumes : De Titulis Psalmorum. Cet ouvrage a été rendu par Faulhaber et Mercati à son véritable auteur, qui est le prêtre Hésyehius de Jérusalem, du Ve siècle (3). (1) .MERCATI, Sole di letteratura biblica e cristiana antica. Studi e Testi de la Bibliothèque Vaticane, vol. V, pp. 144-170. Voir aussi do m i m e savant une importante recension du livre de JAOIC, cité plus bas. dans la Thcoloy ische Revue, 1905, col. 3G8-372. (2) S. ATHAKASII Opera omnia, Paris. IG9S, t. I, pars II, pp. 1004-1262. P.G., X X V I I , col. 547-590. — MONTFAICOS, .Viro bibliotheca l'ati-um, t. II. — PITRA, Analecta sacra et classica, Paris, ISSti, t. 1, pp. 3-20. (3) P.G., XXVII, col. C40-1344. — F.ULBABEK, Hetychii Hierosolimitani INterpretatio Isaiae, pp. xv-xxn, et Theologische Quartalschrift, LXX.XJI1, 1901, p. "227.

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L'église slave attribue à saint Athanase un commentaire conservé par plusieurs manuscrits grecs, et utilisé surtout dans les églises cyrilliennes. C'est celui dont s'est occupé Jagic (1). Le premier de ces trois ouvrages a seul le droit de revendiquer une authenticité attestée par des références et des citations anciennes et le témoignage des Chaînes les plus répandues. Mais si l'on reconnaît une sorte d'authenticité globale, il reste difficile de se prononcer sur celle de chaque glose en particulier. Les compilateurs de chaînes, et Nicétasd'Héraclée moins qu'un autre peut-être, n'étaient ni assez soigneux ni assez scrupuleux pour que l'on puisse prendre à la lettre toutes les attributions qu'ils font de telle glose à tel auteur; ils résument, ils bloquent, expliquent et parfois ajoutent de leur crû. Une édition critique de ces textes ne sera donc possible que le jour où l'on disposera d'un texte grec transmis par tradition directe. On pourra aussi utiliser une paraphrase arabe (2) et une version syriaque conservée au British Muséum dans un manuscrit du vi" siècle (3). C'est afin de fournir une contribution à ce travail que je crois utile de faire connaître quelques fragments de la paraphrase de saint Athanase sur les psaumes, dans une traduction en copte sahidique. * *



Le fragment sahidique Borgia XVIII, aujourd'hui à la Bibl. Vaticane, Cod. Copt. 10819, a été signalé plusieurs fois depuis que Zoega en donna le premier une description sommaire (4); le cardinal Ciasca a publié le texte du Psautier, en laissant de côté la paraphrase (3) ; Msr Tisserant en a reproduit une page (1) JAGIÏ, Ein unedierler Psalmmenkommenlar, Denhschriflen des K. Ah. d. Wisg. in Wien, Phil.-h.ist. niasse, Bd-52, t. (2) Cette p a r a p h r a s e arabe, déjà signalée dans la préface de l'édition bénédictine de saint Athanase, est à la Bibliothèque Ambrosienne. Voir P.G., XXVII, col. 49-50 et MERCATI, Note..., p. 174. (3) WiiHîHT, Catalogue..., p. 405. (4) ZOEGA, Catalvgus Codicum Copt. etc., p. 177. (5) CIASCA, Sacroruia H'Mivram fragmenta copto-sahidica Musaei Borgiani% t . II, Rome, 1889, pp. x s x y n ; 75-77; 85; 87-90 ; 99-101 ; 148-149.

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ÉCLAIRCISSEMENTS DE SAINT ATHAXASE SUR LES PSAl'MES.

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dans ses Specintina Codicum Orientalium, pl. LXX. M" Hebbelynck (1) a bien vu qu'il faut chercher, pour compléter éventuellement ce texte, parmi les fragments patrologiques des collections coptes. Le Musée d'antiquités des Pays-Bas à Leyde conserve, sous le numéro 27 du catalogue de Pleyte et Boeser (2), quelques feuillets d'un manuscrit copte contenant une paraphrase des Psaumes. M. le Dr Boeser, avec une extrême obligeance, m'en a procuré d'excellentes photographies. J'y ai reconnu sans doute possible dix pages du manuscrit même auquel appartenait le fragment Borgia. Le Borgia XVIII comprend treize feuillets de parchemin répartis en quatre groupes. Le premier n'a qu'un seul feuillet, paginé U Ï . - U H , qui formait la fin d'un cahier r ; la marge extérieure est détruite, et le texte a souffert des restaurations autant que de l'injure du temps. Le deuxième groupe comprend six feuillets consécutifs paginés q e - p i ; ce sont les trois feuilles intérieures d'un cahier qui devait être coté ¡r.. Le troisième compte quatre feuillets consécutifs paginés p u e - p n g ; mais la pagination n'existe qu'à la page p u s ; ce sont les deux feuilles intérieures d'un cahier i. Enfin nous trouvons deux feuillets consécutifs, mais détachés l'un de l'autre et dont la marge intérieure a disparu avec quelques lettres du texte: ils sont paginés C I H - [ C K A ] et appartenaient à la deuxième moitié d'un cahier IA. Le fait que le recto du folio C I H - C I O porte un nombre pair indique qu'une erreur de pagination s'était glissée dans les pages précédentes. Le fragment de Leyde comprend cinq feuillets en deux groupes. Le premier est de quatre feuillets consécutifs formant le milieu d'un quaternion A, et paginés [iir-qj; la pagination n'est visible qu'à la page m.. Le second n'a qu'un feuillet sans pagination apparente. Le parchemin (3) de teinte jaunâtre a été assez soigneuse(1) HEBBELYNCK, Les manuscrits copte» xahidiijvet du ifonatlère Blanc, Louvain, 1911, i. 37. (2) PLEVTI: et BOESER, Manuscrits copies du Mutée d'Antiquité! des Pays-Dan À Leyde, Leyde, 1897. (3) Noos croyons devoir d o n n e r une description détaillée de ces feuillets, pour a i d e r à l'identification d'autres feuillets du même manuscrit qui peuvent être [31

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ment préparé et poli. Les feuillets m e s u r e n t 265 x 210 mm La réglure préparatoire a été réduite au m i n i m u m ; le libraire, c'est-à-dire l'ouvrier qui préparait pour l'écriture les cahiers de parchemin, ayant ouvert chaque feuille, y a pratiqué au poinçon quatre trous dans la m a r g e supérieure et a u t a n t dans la m a r g e inférieure; il a ensuite réuni verticalement ces trous deux à deux par un trait à la pointe sèche, délimitant ainsi s u r chaque page la surface à couvrir d'écriture, de sorte que ces traits ont été Iracés au verso du premier feuillet et au recta du second feuillet de chaque feuille. La distance entre ces deux traits, s u r un même feuillet, est de 14 centimètres. Un troisième trait vertical a été parfois tiré à environ deux centimètres en deçà du premier, pour m a r q u e r le point de départ de la ligne consacrée au texte des p s a u m e s ; m a i s ce troisième trait a été tracé i n d é p e n d a m m e n t du travail préparatoire et selon le caprice du libraire, tantôt sur le recto, tantôt sur le verso. Les initiales du commentaire sont régulièrement en dehors du premier trait; les lettres finales de chaque ligne dépassent assez souvent le second trait vertical. Le texte du psaume, comme nous l'avons vu, commence normalement deux centimètres en deçà du premier trait, et chaque ligne est précédée d'un petit trait semi-circulaire, comme une sorte de grosse virgule. Mais le copiste n'a pas toujours été fidèle à son système;-à certaines pages, les lignes du psaume sont égales à celles du c o m m e n t a i r e ; parfois, le texte du psautier suit directement et dans la m ê m e ligne celui du c o m m e n t a i r e ; d'autres fois c'est la paraphrase qui est écrite en lignes courtes c o m m e celles du texte biblique. Il y a de 25 à 27 lignes p a r page. Ce manuscrit ne contient aucun o r n e m e n t ; les en-têtes de cahiers, s'il faut en j u g e r par la dernière page du cahier r , ne comportaient rien en dehors de la pagination et de la cote du quaternion. Les initiales sont peu développées; une seule fois, Te initial est décoré de deux petits fleurons noirs séparés par la barre médiane prolongée. La ponctuation, assez conservés (tans diverses rollecliojis, comme il arrive d'ordinaire pour les manuscrits saliidiques.

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capricieusement distribuée, consiste en un massif point noir. L'écriture est une onciale oblongue, du type sahidique, mais tendant vers les formes carrées des manuscrits bohaïriques, sans pleins ni déliés. C'est une écriture rapide et assez négligée, qui caractérise un manuscrit que j'appellerais de bibliothèque, par opposition aux manuscrits de chœur, de beaucoup les plus nombreux et les plus soignés. La date de ce manuscrit, d'après ses caractères paléographiques, ne doit pas être ramenée plus bas que le ixe siècle. Il me parait certain que le scribe travaillait sous la dictée. Cette hypothèse explique la leçon fantaisiste du ps. xxxiv, verset 7, comme il est dit en son lieu, en note. Elle rend compte aussi de l'orthographe capricieuse, qui confond constamment 0 avec ÏO, n avec GII ou zen, e r avec e o v . EI est écrit pour 1 et réciproquement, de sorte qu'on a souvent quelque peine à déterminer la vraie lecture et à distinguer par exemple l'article ru ou ni du démonstratif nei ou I I G I (1). Par un phénomène constant d'iotacisme, ei, i, parfois m»-me 0 1 , sont écrits l'un pour l'autre ainsi que A I et e ( I J K A I C O I I pour i i K o c o n ) . Le trait de la demi-voyelle sur o , o , p est presque toujours omis. La langue de ces fragments présente des contaminations bohaïriques. On trouve la forme U B T I I O V X pour u m n « v . \ . L'abréviation du mot Seigneur est le sigle I I O - C , alors que le sahidique a u s e - L'emploi de l'article est aussi plus près de l'usage bohaïrique : les formes mMI sont employées couramment, et sans avoir la valeur démonstrative qu'elles ont normalement dans le dialecte de la Haute-Égypte. Le nombre des mots grecs transcrits est considérable; le traducteur garde le mot grec alors même que le sahidique lui fournissait un équivalent exact et commun. Souvent aussi un mot d'origine grecque déjà naturalisé copte est employé pour traduire un mot grec de même sens. Les mots grecs depuis (1) L ' o r t h o g r a p h e exigée p a r le s e n s est rétablie d a n s le texte, m a i s on trouv e r a en noie la lecture du m a n u s c r i t .

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longtemps incorporés à la langue copte ont parfois une forme très simplifiée : àrrsiv s'écrit Les voyelles r , H, I sont interchangeables. Le verbe grec perd, comme toujours, la terminaison infmitive LV OU VA-. : \ o p r r e est l'équivalent de yop^dv, K A T I C T A de vtafiiTTcivai. Pour former un verbe tiré du substantif ou de l'adjectif grec, tantôt on se contente du mot lui-même, tantôt on le fait précéder du préfixe verbal p. Le préfixe U O T * • qui forme les noms abstraits s'ajoute aussi à des mots grecs, dans un-re,\AXICTOIJ, petitesse, par exemple.

Voici le contenu des six fragments de ce manuscrit : I. Borgia. U Î - U H - Psaumes xv, 1 1 - x v i , 8. II. Borgia. q o - p i • Psaumes xxvm, 6-11; xxxn; xxxin; xxxiv, 1-3, 7. III. Borgia. p u o - p i i t . . Psaumes XLIV, 13-18; X L V ; XLVI, 1-7. IV. Leyde. u r - q . Psaumes ex». 9; CXIII, 1-3; exiv; cxvi; cxvn, 1-18. V. Leyde. Psaume cxvm, 86-95. VI. Borgia. C I H - C K A . Psaume cxxxiv, 7 ; C X X X V I I I , 1-10. On voit au premier coup d'œil que notre manuscrit ne contenait pas le commentaire intégral du psautier. Les fragments II, IV et V, formés pourtant de feuillets consécutifs, omettent les psaumes xxix-xxxi, cxv et cxxxv-cxxxvn ; dans les psaumes que nous avons, tous les versets ne sont pas glosés; ainsi la paraphrase du psaume CXIII s'arrête au verset 3. Ces 36 pages donnent le texte et la glose d'environ 140 versets; sur ces bases la paraphrase complète du psautier aurait exigé 650 pages, c'est-à-dire pour le moins deux volumes de plus de 150 feuillets chacun. Le commentaire occupait en effet deux volumes : les fragments IV, V et VI appartenaient au second. Mais les lacunes constatées conduisent à penser que nous avons seulement le commentaire de nombreux psaumes, choisis sans doute d'après une préoccupation liturgique. Le texte biblique de ces fragments appartient nettement au [6]

ÉCLAIRCISSEMENTS DE SAINT ATHANASE SUR LES PSAUMES.

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type que Rahlfs (1) désigne comme ober agyptische, et qui est représenté par les papyrus grecs du British Muséum (U dans les LXX de SWETE), par des fragments anciens, de même provenance égyptienne, et par le psautier sahidique. C'est un texte antérieur à la recension d'Hésychius, librement traité, mais offrant des leçons intéressantes, qui qnt parfois chance d'être primitives. Quant à l'auteur du commentaire, personne n'a encore cherché à l'identifier. C'était pourtant chose facile : au premier coup de sonde on reconnaît les courtes scolies attribuées dans les Chaînes à saint Athanase. La concordance est si constante qu'elle dispense de recourir aux considérations de critique interne. Les traces ne manquent pas, cependant, de préoccupations et de sentiments qui conviennent au grand défenseur de la foi de Nicée. L'exégèse des versets 90 et 91 du psaume cxvm se retrouve déjà dans YOratio contra Gentes, 45 : ce qui est dit de la parole de Dieu est entendu du Verbe Créateur. Par ailleurs, on remarquera les fréquentes allusions à ceux qui combattent et souffrent persécution pour la vérité. La scolie du psaume xxxiv, Y. 1, rapproche de façon un peu inattendue les apôtres et les ascètes. Ce détail suggérera peut-être uneconjecture sur l'origine de ce commentaire. Cette œuvre sans apprêts n'aura pas été élaborée dans le silence des méditations érudites; on dirait bien plutôt un exposé oral, familier. N'aurait-il pas été fait, comme en conférences spirituelles, et devant quelqu'une de ces communautés monastiques où trouvait asile le patriarche poursuivi?

Je rassemble ici les leçons caractéristiques du texte biblique, en marquant la divergence ou l'accord entre le verset et la glose. xv, 11. VÎTTjïeç.

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avec Sah. et U, contre

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(1) Septuaginta Studien herausgegeben von Alfred RAULFS, 2 Heft : Oer Text des Septuaginta Psalter, Göttingen, 1907. Voir aussi l'édition donnée par Rahlfs, du psautier sahidique de Berlin : Abhandlungen des. Gesell, d. Wiss. zi Güttingen; Phil.-hist. Klasse. Neue Folge, iv, 1. Berlin, 1901.

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xvi, xvi. contre U qui

5. A I C O B T O , xor^pTisa, avec Sah. et U, contre /.atapTuat. 7. u a p o T a p."i 11 u p e , 9rj;j.iaTU)3av, avec S a h . et U, QxjpxtnwsY- — Mais en 7 e , notre fragment se sépare de ajoute p i x i ¡/.s, et de Sah. qui donne : IJA2U6T zn T 6 . K O V H A U ( ; I I E T A ? F I P A T O V O T B H I : « libéra me in dextera tua ab impugnantibus me » ; il garde donc la leçon de n, B A ; néanmoins il détache 7 e de 7 ab pour l'unir à 8" : « a resistentibus dexterae tuae custodi me ut pupillam oculi- » xxvm, 7, 8, 9. Les participes, au féminin, se rapportent à vox, contre K, A, U, S a h . qui les rapportent à Dominus, et les mettent au génitif. xxvin,

10. Avec

U et S a h . , notre fragment lit :

i i m : « m e iirifcATAK.vvcuoc

AVIII

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i i A p p p o ^IA e u e ? : « Dominus adducet diluvium et consistere facit iilud ; nam Dominus regnabit in ieternum. » XXXII,

7.

novAGKoo

: utrim, avec n A. U. contre Sah.

qui a litres, XXXII,

8".

Avec U et Sah. nous lisons ici :

IIA p«i II A l l l l l CTtOT 2MTCJ Ufl OVOII IIILI 6TOVH2 ll?MTOV : « universus (orbis) pavescat a b eo, cum omnibus habitantibus in eo ». xxxii, 13. (I11Av, te3 îîsiv, avec U et S a h . , contre sïSsv; mais notre fragment omet r n p o v , omnes, après n ^ n i p e n n j u o n e . xxxni, 4>. n T 6 T n x i G 6 , ù AIA'I'AAUA. 6t|^iAïe eiiAAoc ALiinm

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