Gesamtausgabe (MEGA): BAND 7 Karl Marx: Le Capital, Paris 1872-1875 9783050076539, 9783050033792

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Gesamtausgabe (MEGA): BAND 7 Karl Marx: Le Capital, Paris 1872-1875
 9783050076539, 9783050033792

Table of contents :
Inhalt
Einleitung
Editorische Hinweise
Le capital. Traduction de M.J. Roy, entièrement revisée par l’auteur. Paris 1872–1875
Marx an Maurice La Châtre, 18. März 1872
Maurice La Châtre an Marx
Préface de la première édition
LIVRE PREMIER. Développement de la production capitaliste
PREMIÈRE SECTION. Marchandise et monnaie
DEUXIÈME SECTION. La transformation de l'argent en capital
TROISIÈME SECTION. La production de la plus-value absolue
QUATRIÈME SECTION. La production de la plus-value relative
CINQUIÈME SECTION. Recherches ultérieures sur la production de la plus-value
SIXIÈME SECTION. Le salaire
SEPTIÈME SECTION. Accumulation du capital
HUITIÈME SECTION. L’accumulation primitive
Avis au lecteur
Extraits de la postface de la seconde édition allemande
Table des matières
ZWEITE ABTEILUNG. „DAS KAPITAL“ UND VORARBEITEN
Inhalt
Verzeichnis der Abkürzungen, Siglen und Zeichen
ENTSTEHUNG UND ÜBERLIEFERUNG
VERZEICHNIS DER AUTORKORREKTUREN IN KF2-KF6
Ausgewählte Seiten des Widmungsexemplars der französischen Ausgabe für Jenny Longuet mit Korrekturen von Marx
VERZEICHNIS DER RANDANSTREICHUNGEN UND SONSTIGEN BEMERKUNGEN IN KF6
VERZEICHNIS VON ABWEICHUNGEN DER FRANZÖSISCHEN ÜBERSETZUNG VON DER DEUTSCHEN VORLAGE
KORREKTURENVERZEICHNIS
ERLÄUTERUNGEN
REGISTER
Literaturregister
Namenregister
Sachregister

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MEGA!

KARL MARX FRIEDRICH ENGELS GESAMTAUSGABE (MEGA) ZWEITE ABTEILUNG „DAS KAPITAL" U N D VORARBEITEN BAND 7

Herausgegeben vom Institut für Marxismus-Leninismus beim Zentralkomitee der Kommunistischen Partei der Sowjetunion und vom Institut für Marxismus-Leninismus beim Zentralkomitee der Sozialistischen Einheitspartei Deutschlands

KARL MARX LE CAPITAL PARIS 1872-1875 TEXT

dont la moitié est nous avons assez.» (William Petty, Poli5 millions ¡4 de sorte que si nous avons 5 millions tical anatomy of Ireland, 1672, édit. London, 1691, p. 13, 14.) 106 C'est ce qui démontre l'absurdité de toute législation qui prescrit aux banques nationales de ne tenir en réserve que le métal précieux qui fonctionne comme monnaie dans l'intérieur du pays. Les difficultés que s'est ainsi créées volontairement la banque d'Angleterre, par exemple, sont connues. Dans le Bank-act de 1844, Sir Robert Peel chercha à remédier aux inconvénients, en permettant à la banque d'émettre des billets sur des lingots d'argent, à la condition cependant que la réserve d'argent ne dépasserait jamais d'un quart la réserve d'or. Dans ces circonstances, la valeur de l'argent est estimée chaque fois d'après son prix en or sur le marché de Londres. - Sur les grandes époques historiques du changement de la valeur relative de l'or et de l'argent, V. Karl Marx, 1. c., p. 136 et suivantes. 107 Les adversaires du système mercantile, d'après lequel le but du commerce international

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Chapitre III • La monnaie ou la circulation des marchandises

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moyen d'achat international toutes les fois que l'équilibre ordinaire dans l'échange des matières entre diverses nations se dérange. Enfin, ils fonctionnent comme forme absolue de la richesse, quand il ne s'agit plus ni d'achat ni de payement, mais d'un transfert de richesse d'un pays à un autre, et que ce transfert, sous forme de marchandise, est empêché, soit par les éventualités du marché, soit par le but même qu'on veut atteindre108. Chaque pays a besoin d'un fonds de réserve pour son commerce étranger, aussi bien que pour sa circulation intérieure. Les fonctions de ces réserves se rattachent donc en partie à la fonction de la monnaie comme moyen de circulation et de payement à l'intérieur, et en partie à sa fonction de monnaie universelle109. Dans cette dernière fonction, la monnaie matérielle, c'est-à-dire l'or et l'argent, est toujours exigée; c'est pourquoi James Steuart, pour distinguer l'or et l'argent de leurs remplaçants purement locaux, les désigne expressément sous le nom de money of the world.

Le fleuve aux vagues d'argent et d'or possède un double courant. D'un côté, il se répand à partir de sa source sur tout le marché du monde où les différentes enceintes nationales le détournent en proportions diverses, pour qu'il pénètre leurs canaux de circulation intérieure, remplace leurs mon20 naies usées, fournisse la matière des articles de luxe, et enfin se pétrifie

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n'est pas autre chose que le solde en or ou en argent de l'excédant d'une balance de commerce sur l'autre, méconnaissaient complètement de leur côté la fonction de la monnaie universelle. La fausse interprétation du mouvement international des métaux précieux, n'est que le reflet de la fausse interprétation des lois qui règlent la masse des moyens de la circulation intérieure, ainsi que je l'ai montré par l'exemple de Ricardo (l.c., p. 150). Son dogme erroné: «Une balance de commerce défavorable ne provient jamais que de la surabondance de la monnaie courante ...» «L'exportation de la monnaie est causée par son bas prix, et n'est point l'effet, mais la cause d'une balance défavorable» se trouve déjà chez Barbon: «La balance du commerce, s'il y en a une, n'est point ¡a cause de l'exportation de la monnaie d'une nation à l'étranger; mais elle provient de la différence de valeur de l'or ou de l'argent en lingots dans chaque pays.» (N. Barbon, 1. c., p. 59.) Mac Culloch, dans sa Literature ofPolitical Economy, a classified catalogue, London, 1845, loue Barbon pour cette anticipation, mais évite avec soin de dire un seul mot des formes naïves sous lesquelles se montrent encore chez ce dernier les suppositions absurdes du «currency principle». L'absence de critique et même la déloyauté de ce catalogue éclatent surtout dans la partie qui traite de l'histoire de la théorie de l'argent. La raison en est que le sycophante Mac Culloch fait ici sa cour à lord Overstone (l'ex-banquier Loyd), qu'il désigne sous le nom de «facile princeps argentariorum». 108

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Par exemple, la forme monnaie de la valeur peut être de rigueur dans les cas de subsides, d'emprunts contractés pour faire la guerre ou mettre une banque à même de reprendre le payement de ses billets, etc. 109 «Il n'est pas, selon moi, de preuve plus convaincante de l'aptitude des fonds de réserve à mener à bon terme toutes les affaires internationales, sans aucun recours à la circulation générale, que la facilité avec laquelle la France, à peine revenue du choc d'une invasion étrangère, compléta dans l'espace de vingt-sept mois le payement d'une contribution forcée de près de 20 millions de livres exigés par les puissances alliées, et en fournit la plus grande partie en espèces, sans le moindre dérangement dans son commerce intérieur et même sans fluctuations alarmantes dans ses échanges.» (Fullarton, l.c., p. 141.)

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Première section • Marchandise et monnaie sous forme de trésor 110 . Cette première direction lui est imprimée par les pays dont les marchandises s'échangent directement avec l'or et l'argent aux sources de leur production. E n même temps, les métaux précieux courent de côté ||60| et d'autre, sans fin ni trêve, entre les sphères de circulation des différents pays, et ce mouvement suit les oscillations incessantes

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du cours du change 1 1 1 . Les pays dans lesquels la production a atteint un haut degré de développement restreignent au minimum exigé par leurs fonctions spécifiques les trésors entassés dans les réservoirs de banque 1 1 2 . A part certaines exceptions, le débordement de ces réservoirs par trop au-dessus de leur niveau

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moyen est un signe de stagnation dans la circulation des marchandises ou d'une interruption dans le cours de leurs métamorphoses 1 1 3 . | 110 «L'argent se partage entre les nations relativement au besoin qu'elles en ont ... étant toujours attiré par les productions.» (Le Trosne, l.c., p. 916.) «Les mines qui fournissent continuellement de l'argent et de l'or en fournissent assez pour subvenir aux besoins de tous les pays.» (Vanderlint, l.c., p.40.) 111 «Le change subit chaque semaine des alternations de hausse et de baisse; il se tourne à certaines époques de l'année contre un pays et se tourne en sa faveur à d'autres époques.» (N. Barbon, 1. c., p. 39.) 112 Ces diverses fonctions peuvent entrer en un conflit dangereux, dès qu'il s'y joint la fonction d'un fonds de conversion pour les billets de banque. 113 «Tout ce qui, en fait de monnaie, dépasse le strict nécessaire pour un commerce intérieur, est un capital mort et ne porte aucun profit au pays dans lequel il est retenu. » (John Bellers, l.c., p. 13.) - «Si nous avons trop de monnaie, que faire? Il faut fondre celle qui a le plus de poids et la transformer en vaisselle splendide, en vases ou ustensiles d'or et d'argent, ou l'exporter comme une marchandise là où on la désire, ou la placer à intérêt là où l'intérêt est élevé.» (W. Petty, Quantulumcunque, p. 39.) - «La monnaie n'est, pour ainsi dire, que la graisse du corps politique; trop nuit à son agilité, trop peu le rend malade de même que la graisse lubrifie les muscles et favorise leurs mouvements, entretient le corps quand la nourriture fait défaut, remplit les cavités et donne un aspect de beauté à tout l'ensemble ; de même la monnaie, dans un État accélère son action, le fait vivre du dehors dans un temps de disette au dedans, règle les comptes et embellit le tout, mais plus spécialement, ajoute Petty avec ironie, les particuliers qui la possèdent en abondance. » (W. Petty, Politicai anatomy of Ireland, p. 14 [, 15].)

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Chapitre IV • La formule générale du capital

|61| DEUXIÈME SECTION La transformation de l'argent en capital

CHAPITRE IV

La formule générale du capital 5 La circulation des marchandises est le point de départ du capital. Il n'apparaît que là où la production marchande et le commerce ont déjà atteint un certain degré de développement. L'histoire moderne du capital date de la création du commerce et du marché des deux mondes au seizième siècle. 10 Si nous faisons abstraction de l'échange des valeurs d'usage, c'est-à-dire du côté matériel de la circulation des marchandises, pour ne considérer que les formes économiques qu'elle engendre, nous trouvons pour dernier résultat l'argent. Ce produit final de la circulation est la première forme d'apparition du capital. 15 Lorsqu'on étudie le capital historiquement, dans ses origines, on le voit partout se poser en face de la propriété foncière sous forme d'argent, soit comme fortune monétaire, soit comme capital commercial et comme capital usuraire1. Mais nous n'avons pas besoin de regarder dans le passé, il nous suffira d'observer ce qui se passe aujourd'hui même sous nos yeux. 20 Aujourd'hui comme jadis chaque capital nouveau entre en scène, c'est-àdire sur le marché, marché des produits, marché du travail, marché de la

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1 L'opposition qui existe entre la puissance de la propriété foncière basée sur des rapports personnels de domination et de dépendance et la puissance impersonnelle de l'argent se trouve clairement exprimée dans les deux dictons français: «Nulle terre sans seigneur.» «L'argent n'a pas de maître.»

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Deuxième section • La transformation de l'argent en capital

monnaie, sous forme d'argent, d'argent qui par des procédés spéciaux doit se transformer en capital. L'argent en tant qu'argent et l'argent en tant que capital ne se distinguent de prime abord que par leurs différentes formes de circulation. La forme immédiate de la circulation des marchandises est M-A-M, transformation de la marchandise en argent et retransformation de l'argent en marchandise, vendre pour acheter. Mais à côté de cette forme nous en trouvons une autre, tout à fait distincte, la forme A

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argent - marchandise - argent

transformation de l'argent en marchandise et retransformation de la marchandise en argent, acheter pour vendre. Tout argent qui dans son mouvement décrit ce dernier cercle, se transforme en capital, devient capital et est déjà par destination capital. Considérons de plus près la circulation A-M-A. Comme la circulation simple, elle parcourt deux phases opposées. Dans la première phase A-M, achat, l'argent est transformé en marchandise. Dans la seconde M-A, vente, la marchandise est transformée en argent. L'ensemble de ces deux phases s'exprime par le mouvement qui échange monnaie contre marchandise et de nouveau la même marchandise contre de la monnaie, achète pour vendre, ou bien, si on néglige les différences formelles d'achat et de vente, achète avec de l'argent la marchandise et avec la marchandise l'argent 2 . | \62\ Ce mouvement aboutit à l'échange d'argent contre argent, A-A. Si j'achète pour 100 /. st. 2000 livres de coton, et qu'ensuite je vende ces 2000 livres de coton pour 110/. st., j'ai en définitive échangé 100/. st. contre 110 liv. st., monnaie contre monnaie. Il va sans dire que la circulation A-M-A serait un procédé bizarre, si l'on voulait par un semblable détour échanger des sommes d'argent équivalentes, 100 /. st., par exemple, contre 100 /. st. Mieux vaudrait encore la méthode du thésauriseur qui garde solidement ses 100 /.st. au lieu de les exposer aux risques de la circulation. Mais d'un autre côté, que le marchand revende pour 110 /. st. le coton qu'il a acheté avec 100 /. st., ou qu'il soit obligé de le livrer à 100 et même à 50 /.st., dans tous ces cas son argent décrit toujours un mouvement particulier et original, tout à fait différent de celui que parcourt par exemple l'argent du fermier qui vend du froment et achète un habit. Il nous faut donc tout d'abord constater les différences caractéristiques entre les deux formes de circulation A-M-A et M-A-M. Nous 2 «Avec de l'argent on achète des marchandises, et avec des marchandises on achète de l'argent.» (Mercier de la Rivière: L'Ordre naturel et essentiel des sociétés politiques, p. 543.)

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Chapitre IV • La formule générale du capital

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verrons en même temps quelle différence réelle gît sous cette différence formelle. Considérons en premier lieu ce que les deux formes ont de commun. Les deux mouvements se décomposent dans les deux mêmes phases opposées, M-A, vente, et A-M, achat. Dans chacune des deux phases les deux mêmes éléments matériels se font face, marchandise et argent, ainsi que deux personnes sous les mêmes masques économiques, acheteur et vendeur. Chaque mouvement est l'unité des mêmes phases opposées, de l'achat et de la vente, et chaque fois il s'accomplit par l'intervention de trois contractants, dont l'un ne fait que vendre, l'autre qu'acheter, tandis que le troisième achète et vend tour à tour. Ce qui distingue cependant tout d'abord les mouvements M-A-M et AM-A, c'est l'ordre inverse des mêmes phases opposées. La circulation simple commence par la vente et finit par l'achat; la circulation de l'argent comme capital commence par l'achat et finit par la vente. Là c'est la marchandise qui forme le point de départ et le point de retour, ici c'est l'argent. Dans la première forme, c'est l'argent qui sert d'intermédiaire; dans la seconde, c'est la marchandise. Dans la circulation M-A-M, l'argent est enfin converti en marchandise qui sert de valeur d'usage; il est donc définitivement - dépensé. Dans la forme inverse A-M-A, l'acheteur donne son argent pour le reprendre comme vendeur. Par l'achat de la marchandise, il jette dans la circulation de l'argent, qu'il en retire ensuite par la vente de la même marchandise. S'il le laisse partir, c'est seulement avec l'arrière-pensée perfide de la rattraper. Cet argent est donc simplement - avancé3. Dans la forme M-A-M, la même pièce de monnaie change deux fois de place. Le vendeur la reçoit de l'acheteur et la fait passer à un autre vendeur. Le mouvement commence par une recette d'argent pour marchandise et finit par une livraison d'argent pour marchandise! Le contraire a lieu dans la forme A-M-A. Ce n'est pas la même pièce de monnaie, mais la même marchandise qui change ici deux fois de place. L'acheteur la reçoit de la main du vendeur et la transmet à un autre acheteur. De même que dans la circulation simple le changement de place par deux fois de la même pièce de monnaie a pour résultat son passage définitif d'une main dans l'autre, de même ici le changement de place par deux fois de la même marchandise a pour résultat le reflux de l'argent à son premier point de départ. 3

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« Quand une chose est achetée pour être vendue ensuite, la somme employée à l'achat est dite monnaie avancée; si elle n'est pas achetée pour être vendue, la somme peut être dite dépensée.» (James Steuart: Works, etc., edited by General Sir James Steuart, his son. Lond., 1805, v. I, p. 274.)

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Deuxième section • La transformation de l'argent en capital

Le reflux de l'argent à son point de départ ne dépend pas de ce que la marchandise est vendue plus cher qu'elle n'a été achetée. Cette circonstance n'influe que sur la grandeur de la somme qui revient. Le phénomène du reflux lui-même a lieu dès que la marchandise achetée est de nouveau vendue, c'est-à-dire dès que le cercle A-M-A est complètement décrit. C'est là une différence palpable entre la circulation de l'argent comme capital et sa circulation comme simple monnaie. Le cercle M-A-M est complètement parcouru dès que la vente d'une marchandise apporte de l'argent que remporte l'achat d'une autre marchandise. Si néanmoins un reflux d'argent a lieu ensuite, ce ne peut être que parce que le parcours tout entier du cercle est de nouveau décrit. Si je vends un quart de froment pour 3 /.st. et que j'achète des habits avec cet argent, les 3 /. st. sont pour moi définitivement dépensées. Elles ne me regardent plus ; le marchand d'habits les a dans sa poche. J'ai beau vendre un second quart de froment, l'argent que je reçois ne provient pas de la première transaction, mais de son renouvellement. Il s'éloigne encore de moi si je mène à terme la seconde transaction et que j'achète de nouveau. Dans la circulation M-A-M, la dépense de l'argent n'a donc rien de commun avec son retour. C'est tout le contraire dans la circulation A-M-A. Là, si l'argent ne reflue pas, l'opération est manquée; le mouvement est interrompu ou inachevé, parce que sa seconde phase, c'est-à-dire la vente qui complète l'achat, fait défaut. Le cercle M-A-M a pour point initial une marchandise et pour point final une autre marchandise qui ne circule plus et tombe dans la consommation. La satisfaction d'un besoin, une valeur d'usage, tel est donc son but définitif. Le cercle A-M-A, au contraire, a pour point de départ l'argent et y revient; son motif, son but déterminant est donc la valeur d'échange. Dans la circulation simple, les deux termes extrêmes ont la même forme économique; ils sont tous deux marchandise. Ils sont aussi des marchandises de même valeur. Mais ils sont en même ||63| temps des valeurs d'usage de qualité différente, par exemple, froment et habit. Le mouvement aboutit à l'échange des produits, à la permutation des matières diverses dans lesquelles se manifeste le travail social. La circulation A-M-A, au contraire, paraît vide de sens au premier coup-d'œil parce qu'elle est tautologique. Les deux extrêmes ont la même forme économique. Ils sont tous deux argent. Ils ne se distinguent point qualitativement, comme valeurs d'usage, car l'argent est l'aspect transformé des marchandises dans lequel leurs valeurs d'usage particulières sont éteintes. Échanger 100 l. st. contre du coton et de nouveau le même coton contre 100 /. st., c'est-à-dire échanger par un détour argent contre argent, idem contre idem, une telle

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Chapitre IV • La formule générale du capital

opération semble aussi sotte qu'inutile 4 . Une somme d'argent, en tant qu'elle représente de la valeur, ne peut se distinguer d'une autre somme que par sa quantité. Le mouvement A-M-A ne tire sa raison d'être d'aucune différence qualitative de ses extrêmes, car ils sont argent tous 5 deux, mais seulement de leur différence quantitative. Finalement il est soustrait à la circulation plus d'argent qu'il n'y en a été jeté. Le coton acheté 100 l.st. est revendu 100 + 10 ou 110 l. st. La forme complète de ce mouvement est donc A-M-A' dans laquelle A' = A + AA, c'est-à-dire égale à la somme primitivement avancée plus un excédant. Cet excédant ou ce 10 surcroît, je l'appelle plus-value (en anglais surplus value). Non seulement donc la valeur avancée se conserve dans la circulation; mais elle y change encore sa grandeur, y ajoute un plus, se fait valoir davantage, et c'est ce mouvement qui la transforme en capital. Il se peut que les extrêmes M, M, de la circulation M-A-M, froment 15 argent - habit par exemple, soient aussi de valeur inégale. Le fermier peut vendre son froment au-dessus de sa valeur ou acheter l'habit au-dessous de la sienne. A son tour il peut être floué par le marchand d'habits. Mais l'inégalité des valeurs échangées n'est qu'un accident pour cette forme de circulation. Son caractère normal, c'est l'équivalence de ses deux extrêmes, la20 quelle au contraire enlèverait tout sens au mouvement A-M-A. Le renouvellement ou la répétition de la vente de marchandises pour l'achat d'autres marchandises rencontre, en dehors de la circulation, une limite dans la consommation, dans la satisfaction de besoins déterminés. Dans l'achat pour la vente, au contraire, le commencement et la fin sont 25 une seule et même chose, argent, valeur d'échange, et cette identité même de ses deux termes extrêmes fait que le mouvement n'a pas de fin. Il est 4

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« O n n'échange pas de l'argent contre de l'argent» crie Mercier de la Rivière aux mercantilistes (1. c. p. 486). Voici ce qu'on lit dans un ouvrage qui traite ex professo du commerce et de la spéculation: «Tout commerce consiste dans l'échange de choses d'espèce différente; et le profit (pour le marchand?) provient précisément de cette différence. Il n'y aurait aucun profit à échanger une livre de pain contre une livre de pain .... c'est ce qui explique le contraste avantageux qui existe entre le commerce et le jeu, ce dernier n'étant que Y échange d'argent contre argent» (Th. Corbet: An Inquiry into the Causes and Modes of the Wealth of Individuals; or the Principles of Trade and Speculation explained. London 1841). Bien que Corbet ne voie pas que A - A , l'échange d'argent contre argent, est la forme de circulation caractéristique nonseulement du capital commercial, mais encore de tout capital, il admet cependant que cette forme d'un genre de commerce particulier, de la spéculation, est la forme du jeu; mais ensuite vient Mac Culloch, qui trouve qu'acheter pour vendre, c'est spéculer, et qui fait tomber ainsi toute différence entre la spéculation et le commerce: «Toute transaction dans laquelle u n individu achète des produits pour les revendre, est en fait une spéculation.» (Mac Culloch: A Dictionary practical, etc. of Commerce. London, 1847, p. 1058.) Bien plus naïf sans contredit est Pinto, le Pindare de la bourse d'Amsterdam: «Le commerce est un jeu (proposition empruntée à Locke) ; et ce n'est pas avec des gueux qu'on peut gagner. Si l'on gagnait longtemps en tout avec tous, il faudrait rendre de bon accord les plus grandes parties du profit, pour recommencer le jeu.» (Pinto: Traité de la Circulation et du Crédit. Amsterdam, 1771, p. 231.)

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D e u x i è m e section • La transformation d e l'argent en capital

vrai que A est devenu A + AA, que nous avons 100 + 10 /. st., au lieu de 100; mais sous le rapport de la qualité, 110 /.st. sont la même chose que 100 /. st., c'est-à-dire argent, et sous le rapport de la quantité, la première somme n'est qu'une valeur limitée aussi bien que la seconde. Si les 100 /. st. sont dépensées comme argent, elles changent aussitôt de rôle et cessent de fonctionner comme capital. Si elles sont dérobées à la circulation, elles se pétrifient sous forme trésor et ne grossiront pas d'un liard quand elles dormiraient là jusqu'au jugement dernier. Dès que l'augmentation quand même de la valeur forme donc le but final du mouvement, 110 /.st. ressentent le même besoin de s'accroître que 100 /.st. La valeur primitivement avancée se distingue bien, il est vrai, pour un instant, de la plus-value qui s'ajoute à elle dans la circulation; mais cette distinction s'évanouit aussitôt. Ce qui, finalement, sort de la circulation, ce n'est pas d'un côté la valeur première de 100 /.st., et de l'autre la plus-value de 10 /. st.; c'est une valeur de 110 /. st., laquelle se trouve dans la même forme et les mêmes conditions que les 100 premières /. st., prête à recommencer le même jeu5. Le dernier terme de chaque cercle A-M-A, acheter pour vendre, est le premier terme d'une nouvelle circulation du même genre. La circulation simple - vendre pour acheter - ne sert que de moyen d'atteindre un but situé en dehors d'elle-même, c'est-à-dire l'appropriation de valeurs d'usage, de choses propres à satisfaire des besoins déterminés. La circulation de l'argent comme capital possède au contraire son but en elle-même; car ce n'est que par ce mouvement toujours renouvelé que la valeur continue à se faire valoir. Le mouvement du capital n'a donc pas de limites6. |

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«Le capital se divise en deux parties, le capital primitif et le gain, le surcroît du capital ... Mais dans la pratique le gain est réuni de nouveau au capital et mis en circulation avec lui. » (F. Engels : Umrisse zu einer Kritik der Nationalœconomie dans les Deutsch-Französische Jahrbücher, herausgegeben von Arnold Rüge und Karl Marx, Paris, 1844, p. 99.) 6 Aristote oppose l'Économique à la Chrématistique. La première est son point de départ. En tant qu'elle est l'art d'acquérir, elle se borne à procurer les biens nécessaires à la vie et utiles soit au foyer domestique, soit à l'État. «La vraie richesse (ó àXr|9ivôç ttàoùtoç) consiste en des valeurs d'usage de ce genre, car la quantité des choses qui peuvent suffire pour rendre la vie heureuse n'est pas illimitée. Mais il est un autre art d'acquérir auquel on peut donner à juste titre le nom de Chrématistique, qui fait qu'il semble n'y avoir aucune limite à la richesse et à la possession. Le commerce des marchandises (Y) kccjttiXiki1), mot à mot commerce de détail, et Aristote adopte cette forme parce que la valeur d'usage y prédomine) n'appartient pas de sa nature à la Chrématistique, parce que l'échange n'y a en vue que ce qui est nécessaire aux acheteurs et aux vendeurs.» Plus loin il démontre que le troc a été la forme primitive du commerce, mais que son extension a fait naître l'argent. A partir de la découverte de l'argent l'échange dut nécessairement se développer, devenir KcturiÀiKiì ou commerce de marchandises, et celui-ci, en contradiction avec sa tendance première, se transforma en Chrématistique ou en art de faire de l'argent. La Chrématistique se distingue de l'Économique en ce sens, que, «pour elle la circulation est la source de la richesse (rroitiTticfi xPII^Tiov .... ôià xeiM&Twv METaßoXfig), et elle semble pivoter autour de l'argent, car l'argent est le commence-

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Chapitre IV • La formule générale du capital

|64| C'est comme représentant, comme support conscient de ce mouvement que le possesseur d'argent devient capitaliste. Sa personne, ou plutôt sa poche, est le point de départ de l'argent et son point de retour. Le contenu objectif de la circulation A-M-A', c'est-à-dire la plus-value qu'en5 fante la valeur, tel est son but subjectif, intime. Ce n'est qu'autant que l'appropriation toujours croissante de la richesse abstraite est le seul motif déterminant de ses opérations, qu'il fonctionne comme capitaliste ou, si l'on veut, comme capital personnifié, doué de conscience et de volonté. La valeur d'usage ne doit donc jamais être considérée comme le but immédiat 10 du capitaliste, pas plus que le gain isolé7, mais bien le mouvement incessant du gain toujours renouvelé. Cette tendance absolue à l'enrichissement, cette chasse passionnée à la valeur d'échange8, lui sont communes avec le thésauriseur. Mais tandis que celui-ci n'est qu'un capitaliste maniaque, le capitaliste est un thésauriseur rationnel. La vie éternelle de la va15 leur que le thésauriseur croit s'assurer en sauvant l'argent des dangers de la circulation9, plus habile, le capitaliste la gagne en lançant toujours de nouveau l'argent dans la circulation10.

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Les formes indépendantes, c'est-à-dire les formes argent ou monnaie que revêt la valeur des marchandises dans la circulation simple, servent seulement d'intermédiaire pour l'échange des produits et disparaissent dans le résultat final du mouvement. Dans la circulation A-M-A', au contraire, marchandise et argent ne fonctionnent l'une et l'autre que comme des formes différentes de la valeur elle-même, de manière que l'un ment et la fin de ce genre d'échange (tò y qui vous est si chère38. Quand, une bonne fois, votre dernière heure 38

Si Senior a prouvé que le bénéfice net des fabricants, l'existence de l'industrie cotonnière anglaise et le marché de la Grande-Bretagne dépendent «de la Dernière heure de travail», le docteur Andrew Ure a par-dessus le marché démontré pour sa part, que si, au lieu d'exténuer de travail les enfants et les adolescents au-dessous de 18 ans dans l'atmosphère brûlante mais morale de la fabrique, on les renvoyait une heure plus tôt dans le monde extérieur aussi froid que frivole, l'oisiveté et le vice leur feraient perdre le salut de leurs âmes. Depuis 1848 les inspecteurs ne se lassent jamais dans leurs rapports semestriels de railler et d'agacer les fabricants avec «la dernière, la fatale dernière heure». On lit, par exemple, dans le rapport de M.Howell, du 31 mai 1855 : «Si l'ingénieux calcul suivant (il cite Senior) était juste, toutes les fabriques de coton dans le Royaume-Uni auraient travaillé avec perte depuis 1850.» (Reports of the Insp. of Fact. for the halfyear ending 30th April 1855, p. 19.) Lorsque le bill des dix heures passa au Parlement en 1848, les fabricants firent signer par quelques travailleurs des localités disséminées entre les comtés de Dorset et de Somerset une contre-pétition, dans laquelle on lit entre autres choses ce qui suit: «Vos pétitionnaires, tous pères de familles, croient qu'une heure de loisir additionnelle n'aurait d'autre effet que de démoraliser leurs enfants, car l'oisiveté est la mère de tous les vices.» Le rapport de fabrique du 31 octobre 1848 fait à ce propos quelques observations: «L'atmosphère des filatures de lin, dans lesquelles travaillent les enfants de ces tendres et vertueux parents, est remplie d'une si énorme quantité de particules de poussière, de fil et autres matières, qu'il est extraordinairement désagréable d'y passer seulement 10 minutes ; on ne le peut même pas sans éprouver la sensation la plus pénible, car les yeux, les oreilles, les narines et la bouche se remplissent aussitôt de nuages de poussière de lin, dont il est impossible de se garer. Le travail lui-même exige, en raison de la marche vertigineuse de la machine, une dépense continue de mouvements rapides et faits à propos, soumis à une attention infatigable, et il semble assez cruel de faire appliquer par des parents le terme de < fainéantise > à leurs enfants qui, déduction faite du temps des repas, sont cloués

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10 heures entières à une pareille occupation et dans une telle atmosphère Ces enfants travaillent plus longtemps que les garçons de ferme des villages voisins Ces propos sans 40 cesse rebattus sur d'oisiveté et la paresse > sont du cartt le plus pur et doivent être flétris comme l'hypocrisie la plus èhontée La partie du public qui, il y a quelques années, fut si stupéfaite de l'assurance avec laquelle on proclama ouvertement et publiquement, sous la sanction des plus hautes autorités, que le des fabricants provenait tout entier du travail de la dernière heure, de sorte qu'une réduction d'une heure sur la journée de travail 45 anéantirait ce bénéfice, cette partie du public en croira à peine ses yeux quand elle verra quels progrès a fait depuis cette théorie qui comprend maintenant dans les vertus de la dernière heure la morale et le profit ex cequo, si bien que la réduction du travail des enfants à 10 heures pleines ferait aller à la dérive la morale des petits enfants et le profit net de leurs patrons, mo-

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Chapitre IX - Le taux de la plus-value

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sonnera, pensez au professeur d'Oxford. Et maintenant, c'est dans un monde meilleur que je désire faire avec vous plus ample connaissance. Salut 39 .» C'est en 1836 que Senior avait fait la découverte de sa «Dernière heure». Huit ans plus tard, le 15 avril 1848, un des principaux mandarins de la science économique officielle, James Wilson, dans VÉconomiste, de Londres, à propos de la loi des dix heures, entonna la même ritournelle sur le même air. IV Le produit net

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Nous nommons produit net (surplus produce) la partie du produit qui représente la plus-value. De même que le taux de celle-ci se détermine par son rapport, non avec la somme totale, mais avec la partie variable du capital, de même le montant du produit net est déterminé par son rapport, non avec la somme restante, mais avec la partie du produit qui représente le travail nécessaire. De même que la production d'une plus-value est le but déterminant de la production capitaliste, de même le degré d'élévation de la richesse se mesure, non d'après la grandeur absolue du produit brut, mais d'après la grandeur relative du produit net 40 . raie et profit qui dépendent tous deux de cette heure fatale.» (Rpts Irtsp. of Fact. 31 il Oct. 1848, p. 101.) Le même rapport nous fournit ensuite des échantillons de la «morale» et de la «vertu» de messieurs les fabricants; il mentionne tout au long les intrigues, les détours, les menées, les ruses, les séductions, les menaces, les falsifications, etc., qu'ils emploient pour faire signer des pétitions de ce genre par un petit nombre d'ouvriers intimidés et les présenter ensuite au Parlement comme pétitions de toute une branche d'industrie et de tout un comté ou de plusieurs. - Reste un fait qui caractérise fort bien l'état actuel de la «science» soi-disant économique ; c'est que ni Senior lui-même qui, à son honneur, se déclara plus tard énergiquement pour la limitation légale de la journée de travail, ni ses premiers et récents contradicteurs n'ont su découvrir les paralogismes de la «découverte originale». Force leur a été d'en appeler à l'expérience pour toute solution. Le comment et le pourquoi sont restés un mystère. 39 M. le professeur a pourtant tiré quelque profit de sa brillante campagne à Manchester. Dans ses «Letters on the Factory act» le bénéfice net tout entier «profit» et «intérêt» et même «quelque chose de plus» dépendent d'une heure de travail non payée de l'ouvrier. Une année auparavant, dans son livre intitulé : Outlines of Political Economy, composé pour la délectation des étudiants d'Oxford et des «classes éclairées», il avait «découvert», contrairement à la doctrine de Ricardo, suivant laquelle la valeur est déterminée par le temps de travail, que le profit provient du travail du capitaliste et l'intérêt de son abstinence. La bourde était vieille, mais le mot nouveau. Maître Roscher l'a assez bien traduit et germanisé par le mot Enthaltung qui a le même sens. Ses compatriotes moins frottés de latin, les Wirth, les Schulze et autres Michel, l'ont vainement encapuchonné. L'abstinence (Enthaltung) est devenue renoncement (Entsagung.) 40 «Pour un individu qui possède un capital de 20000 /. st. et dont les profits se montent annuellement à 2000 /. st., ce serait chose absolument indifférente, si son capital occupait 100 ou 1000 ouvriers et si les marchandises produites se vendaient à 10 000 ou à 20 000 I. st., pourvu que dans tous les cas ses profits ne tombassent pas au-dessous de 2000 /. st. Est-ce

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

La somme du travail nécessaire et du surtravail, des parties de temps dans lesquelles l'ouvrier produit l'équivalent de sa force de travail et la plus-value, cette somme forme la grandeur absolue de son temps de travail, c'est-à-dire la journée de travail (working day). \

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La journée de travail I

Limite de la journée de travail

Nous sommes partis de la supposition que la force de travail est achetée et vendue à sa valeur. Cette valeur, comme celle de toute autre marchandise, 10 est déterminée par le temps de travail nécessaire à sa production. Si donc la production des moyens de subsistance journaliers, tels qu'il les faut en moyenne pour le travailleur, coûte 6 heures, il doit travailler en moyenne 6 heures par jour pour produire journellement sa force de travail, ou pour reproduire la valeur qu'il a obtenue en la vendant. La partie nécessaire de 15 sa journée comprend alors 6 heures ; toutes circonstances restant égales, c'est une grandeur donnée. Mais il ne s'ensuit pas que la grandeur de la journée elle-même soit donnée. Admettons que la ligne a b représente la durée ou la longueur du temps de travail nécessaire, soit six heures. Suivant que le travail 20 sera prolongé au delà de ab de 1, de 3 ou de 6 heures, nous obtiendrons trois lignes différentes: Journée de travail I a b—c

Journée de travail II a b c

Journée de travail III a b c

qui représentent trois journées de travail différentes de sept, de neuf et de 25 qu'il n'en est pas de même de l'intérêt réel d'une nation? En supposant que ses revenus nets, ses rentes et ses profits restent les mêmes, il n'y a pas la moindre importance à ce que la nation se compose de 10 ou 12 millions d'habitants.» (Ricardo, l.c. p.416.) Longtemps avant Ricardo, un fanatique du produit net, Arthur Young, écrivain aussi prolixe et bavard que dépourvu de jugement, dont la renommée est en raison inverse de son mérite, disait entre autres : « De quelle utilité serait dans un pays moderne une province entière dont le sol serait cultivé, selon l'ancien mode romain, par de petits paysans indépendants, fût-il même le mieux cultivé possible? A quoi cela aboutirait-il? sinon uniquement à élever des hommes (the mere purpose of breeding men) ce qui en soi n'a pas le moindre but (is a useless purpose). » Arthur Young: Political arithmetic, etc. London, 1774, p.47. - Hopkins fait cette remarque fort juste: «Il est étrange que l'on soit si fortement enclin à représenter le produit net comme avantageux pour la classe ouvrière, parce qu'il permet de la faire travailler. Il est pourtant bien évident que s'il a ce pouvoir, ce n'est point parce qu'il est net.» (Thomas Hopkins: On Rent of Land, etc. London, 1828, p. 126.)

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douze heures. La ligne de prolongation bc représente la longueur du travail extra. Puisque la journée de travail = ab + bc ou bien est ac, elle varie avec la grandeur variable de bc. Puisque ab nous est donné, le rapport de bc à ab peut toujours être mesuré. Ce rapport s'élève dans la journée de travail I à dans la journée de travail II à %, et dans le journée de travail III à % de . , temps de travail extra ,, . , „ ~ ab. Enfin, puisque la proportion —; : — determine le temps de travail nécessaire taux de la plus-value, ce taux est donné par le rapport ci-dessus. Il est respectivement dans les trois différentes journées de travail de 16 %, de 50 et de 100 %. Mais le taux de la plus-value seul ne nous donnerait point réciproquement la grandeur de la journée de travail. S'il était, par exemple, de 100%, la journée de travail pourrait être de son côté de 8, de 10, de 12 heures, et ainsi de suite. Il indiquerait que les deux parties constitutives de la journée, travail nécessaire et surtravail, sont de grandeur égale ; mais il n'indiquerait pas la grandeur de chacune de ces parties. La journée de travail n'est donc pas une grandeur ||100| constante, mais une grandeur variable. Une de ses parties est bien déterminée par le temps de travail qu'exige la reproduction continue de l'ouvrier lui-même ; mais sa grandeur totale varie suivant la longueur ou la durée du surtravail. La journée de travail est donc déterminable ; mais, par elle-même, elle est indéterminée 41 . Bien que la journée de travail ne soit rien de fixe, elle ne peut néanmoins varier que dans certaines limites. Sa limite minima, cependant, ne peut être déterminée. Assurément, si nous posons la ligne de prolongation bc, ou le surtravail = 0, nous obtenons ainsi une limite minima, c'est-à-dire la partie de la journée pendant laquelle l'ouvrier doit nécessairement travailler pour sa propre conservation. Mais le mode de production capitaliste une fois donné, le travail nécessaire ne peut jamais former qu'une partie de la journée de travail, et cette journée elle-même ne peut, par conséquent, être réduite à ce minimum. Par contre, la journée de travail possède une limite maxima. Elle ne peut être prolongée au delà d'un certain point. Cette limite maxima est doublement déterminée, et d'abord par les bornes physiques de la force de travail. Un homme ne peut dépenser pendant le jour naturel de 24 heures qu'un certain quantum de sa force vitale. C'est ainsi qu'un cheval ne peut, en moyenne, travailler que 8 heures par jour. Pendant une partie du jour, la force doit se reposer, dormir; pendant une autre partie, l'homme a des besoins physiques à satisfaire; il lui faut se nourrir, se vêtir, etc. Cette limitation purement physique n'est pas la seule. La prolongation de la journée de travail rencontre des limites morales. Il faut au 41

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«Travail d'un jour, c'est très-vague; ça peut être long ou court.» (An Essay on Trade and Commerce, containing Observations on Taxation, etc. London, 1770, p. 73.)

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

travailleur du temps pour satisfaire ses besoins intellectuels et sociaux, dont le nombre et le caractère dépendent de l'état général de la civilisation. Les variations de la journée de travail ne dépassent donc pas le cercle formé par ces limites qu'imposent la nature et la société. Mais ces limites sont par elles-mêmes très-élastiques et laissent la plus grande latitude. Aussi trouvons-nous des journées de travail de 10, 12, 14, 16, 18 heures, c'est-à-dire avec les plus diverses longueurs. Le capitaliste a acheté la force de travail à sa valeur journalière. Il a donc acquis le droit de faire travailler pendant tout un jour le travailleur à son service. Mais qu'est-ce qu'un jour de travail42? Dans tous les cas, il est moindre qu'un jour naturel. De combien? Le capitaliste a sa propre manière de voir sur cette ultima Thule, la limite nécessaire de la journée de travail. En tant que capitaliste, il n'est que capital personnifié; son âme et l'âme du capital ne font qu'un. Or le capital n'a qu'un penchant naturel, qu'un mobile unique; il tend à s'accroître, à créer une plus-value, à absorber, au moyen de sa partie constante, les moyens de production, la plus grande masse possible de travail extra43. Le capital est du travail mort, qui, semblable au vampire, ne s'anime qu'en suçant le travail vivant, et sa vie est d'autant plus allègre qu'il en pompe davantage. Le temps pendant lequel l'ouvrier travaille, est le temps pendant lequel le capitaliste consomme la force de travail qu'il lui a achetée44. Si le salarié consomme pour luimême le temps qu'il a de disponible, il vole le capitaliste45. Le capitaliste en appelle donc à la loi de l'échange des marchandises. Il cherche, lui, comme tout autre acheteur, à tirer de la valeur d'usage de sa marchandise le plus grand parti possible. Mais tout à coup s'élève la voix du travailleur qui jusque-là était comme perdu dans le tourbillon de la production : La marchandise que je t'ai vendue se distingue de la tourbe des autres marchandises, parce que son usage crée de la valeur, et une valeur plus 42

Cette question est infiniment plus importante que la célèbre question de Sir Robert Peel à la chambre de commerce de Birmingham: «Qu'est-ce qu'une livre sterling?» question qui ne pouvait être posée, que parce que Robert Peel n'en savait pas plus sur la nature de la monnaie que les «little shilling men» auxquels il s'adressait. 43 «C'est la tâche du capitaliste d'obtenir du capital dépensé la plus forte somme de travail possible.» (J. G. Courcelle-Seneuil: Traité théorique et pratique des entreprises industrielles. 2 e édit., Paris, 1857, p. 62.) 44 «Une heure de travail perdue par jour porte un immense préjudice à un état commercial.» - «Il se fait une consommation de luxe extraordinaire parmi les pauvres travailleurs du royaume et particulièrement dans la populace manufacturière : elle consiste dans la consommation de leur temps, consommation la plus fatale de toutes. » (An Essay on Trade and Commerce, etc., p. 47 et 153.) 45 « Si le manouvrier libre prend un instant de repos, l'économie sordide qui le suit des yeux avec inquiétude, prétend qu'il la vole.» N.Linguet: Théorie des lois civiles, etc. Londres, 1767, t. II, p. 466.

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grande qu'elle ne coûte elle-même. C'est pour cela que tu l'as achetée. Ce qui pour toi semble accroissement de capital, est pour moi, excédant de travail. Toi et moi, nous ne connaissons sur le marché qu'une loi, celle de l'échange des marchandises. La consommation de la marchandise appartient non au vendeur qui l'aliène, mais à l'acheteur qui l'acquiert. L'usage de ma force de travail t'appartient donc. Mais par le prix quotidien de sa vente, je dois chaque jour pouvoir la reproduire et la vendre de nouveau. Abstraction faite de l'âge et d'autres causes naturelles de dépérissement, je dois être aussi vigoureux et dispos demain qu'aujourd'hui, pour reprendre mon travail avec la même force. Tu me prêches constamment l'évangile de «l'épargne», de «l'abstinence» et de «l'économie». Fort bien! Je veux, en administrateur sage et intelligent, économiser mon unique fortune, ma force de travail, et m'abstenir de toute folle prodigalité. Je veux chaque jour n'en mettre en mouvement, n'en convertir en travail, en un mot n'en dépenser que juste ce qui sera compatible avec sa durée normale et son développement régulier. Par une prolongation outre mesure de la journée de travail, tu peux en un seul jour mobiliser une plus grande quantité de ma force que je n'en puis remplacer en trois. Ce que tu gagnes en travail je le perds en substance. Or, l'emploi de ma force et sa spoliation sont deux choses entièrement différentes. Si la période ordinaire de la vie d'un ouvrier, étant donnée une moyenne raisonnable de travail, est de trente ans, la valeur moyenne ||101| de ma force que tu me payes par jour, forme * 365 x 30

ou

m i e n de s a 10950

va eur

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totale. La consommes-tu dans dix ans, eh

1 .. . 1 au lieu de 10 950 — — 3 6 5 0 25 de sa valeur entière, c'est-à-dire tu ne me payes que % de sa valeur journalière, tu me voles donc chaque jour % de ma marchandise. Tu payes une force de travail d'un jour quand tu en uses une de trois. Tu violes notre contrat et la loi des échanges. Je demande donc une journée de travail de durée normale, et je la demande sans faire appel à ton cœur, car, dans les 30 affaires, il n'y a pas de place pour le sentiment. Tu peux être un bourgeois modèle, peut-être membre de la société protectrice des animaux, et, pardessus le marché, en odeur de sainteté ; peu importe. La chose que tu représentes vis-à-vis de moi n'a rien dans la poitrine ; ce qui semble y palpiter, ce sont les battements de mon propre cœur. J'exige la journée de 35 travail normal, parce que je veux la valeur de ma marchandise, comme tout autre vendeur46. bien ! tu ne payes, dans ce cas, chaque jour, que

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46 Pendant la grande agitation des ouvriers en bâtiment à Londres, 1860-61, pour la réduction de la journée de travail à 9 heures, leur comité publia un manifeste qui contient à peu de chose près le plaidoyer de notre travailleur. Il y est fait allusion, non sans ironie, à ce que Sir

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

Comme on le voit, à part des limites tout élastiques, la nature même de l'échange des marchandises n'impose aucune limitation à la journée de travail, et au travail extra. Le capitaliste soutient son droit comme acheteur, quand il cherche à prolonger cette journée aussi longtemps que possible et à faire deux jours d'un. D'autre part, la nature spéciale de la marchandise vendue exige que sa consommation par l'acheteur ne soit pas illimitée, et le travailleur soutient son droit comme vendeur quand il veut restreindre la journée de travail à une durée normalement déterminée. Il y a donc ici une antinomie, droit contre droit, tous deux portent le sceau de la loi qui règle l'échange des marchandises. Entre deux droits égaux qui décide? La Force. Voilà pourquoi la réglementation de la journée de travail se présente dans l'histoire de la production capitaliste comme une lutte séculaire pour les limites de la journée de travail, lutte entre le capitaliste, c'est-à-dire la classe capitaliste, et le travailleur, c'est-à-dire la classe ouvrière.

II Le Capital affamé de surtravail - Boyard et Fabricant Le capital n'a point inventé le surtravail. Partout où une partie de la société possède le monopole des moyens de production, le travailleur, libre ou non, est forcé d'ajouter au temps de travail nécessaire à son propre entretien un surplus destiné à produire la subsistance du possesseur des moyens de production 47 . Que ce propriétaire soit KOCÀÔÇ nàyadôç athénien, théocrate étrusque, citoyen romain, baron normand, maître d'esclaves américain, boyard valaque, seigneur foncier ou capitaliste moderne, peu importe 48 ! Avant d'aller plus loin, constatons d'abord un fait. Quand la forme d'une société est telle, au point de vue économique, que ce n'est point la valeur d'échange mais la valeur d'usage qui y prédomine, le surtravail est plus ou moins circonscrit par le cercle de besoins déterminés ; mais le caractère de la production elle-même n'en fait point naître un appétit dévorant. Quand il s'agit d'obtenir la valeur d'échange sous sa forme spécifique, par la production de l'or et de l'argent, nous trouvons déjà dans l'antiquité M. Peto, le maître entrepreneur le plus âpre au gain, devenu depuis célèbre par sa gigantesque banqueroute, était en odeur de sainteté. 47 «Ceux qui travaillent nourrissent en réalité tout à la fois et les pensionnaires qu'on appelle les riches, et eux-mêmes.» (Edmund Burke, 1. c., p. 2 [,3].) 48 Niebuhr, dans son Histoire romaine, laisse échapper cette naïve remarque : « On ne peut se dissimuler que des ouvrages, comme ceux des Étrusques, dont les ruines nous étonnent encore aujourd'hui, supposent dans les petits États des seigneurs et des serfs. » Sismondi est bien plus dans le vrai quand il dit que les «dentelles de Bruxelles» supposent des capitalistes et des salariés.

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le travail le plus excessif et le plus effroyable. Travailler jusqu'à ce que mort s'en suive devient alors la loi. Qu'on lise seulement à ce sujet Diodore de Sicile49. Cependant dans le monde antique ce sont là des exceptions. Mais dès que des peuples, dont la production se meut encore dans les 5 formes inférieures de l'esclavage et du servage, sont entraînés sur un marché international dominé par le mode de production capitaliste, et qu'à cause de ce fait la vente de leurs produits à l'étranger devient leur principal intérêt, dès ce moment les horreurs du surtravail, ce produit de la civilisation, viennent s'enter sur la barbarie de l'esclavage et du servage. Tant que 10 la production dans les États du sud de l'Union américaine était dirigée principalement vers la satisfaction des besoins immédiats, le travail des nègres présentait un caractère modéré et patriarcal. Mais à mesure que l'exportation du coton devint l'intérêt vital de ces États, le nègre fut surmené et la consommation de sa vie en sept années de travail devint partie inté15 grante d'un système froidement calculé. Il ne s'agissait plus d'obtenir de lui une certaine masse de produits utiles. Il s'agissait de la production de la plus-value quand même. Il en a été de même pour le serf, par exemple dans les principautés danubiennes. Comparons maintenant le surtravail dans les fabriques anglaises avec le 20 surtravail dans les campagnes danubiennes où le servage lui donne une forme indépendante et qui tombe sous les sens. Étant admis que la journée de travail compte 6 heures de travail nécessaire et 6 heures de travail ||102| extra, le travailleur libre fournit au capitaliste 6 x 6 ou 36 heures de surtravail par semaine. C'est la même chose que 25 s'il travaillait 3 jours pour lui-même et 3 jours gratis pour le capitaliste. Mais ceci ne saute pas aux yeux; surtravail et travail nécessaire se confondent l'un dans l'autre. On pourrait, en effet, exprimer le même rapport en disant, par exemple, que l'ouvrier travaille dans chaque minute 30 secondes pour le capitaliste et 30 pour lui-même. Il en est autrement avec la 30 corvée. L'espace sépare le travail nécessaire que le paysan valaque, par exemple, exécute pour son propre entretien, de son travail extra pour le boyard. Il exécute l'un sur son champ à lui et l'autre sur la terre seigneuriale. Les deux parties du temps de travail existent ainsi l'une à côté de l'autre d'une manière indépendante. Sous la forme de corvée, le surtravail 35 est rigoureusement distinct du travail nécessaire. Cette différence de forme ne modifie assurément en rien le rapport quantitatif des deux travaux. 49

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«Il est impossible de voir ces malheureux (dans les m i n e s d'or situées entre l'Égypte, l'Éthiopie et l'Arabie) qui ne peuvent pas m ê m e entretenir la propreté de leur corps, ni couvrir leur nudité, sans être forcé de s'apitoyer sur leur lamentable destin. Là point d'égards ni de pitié pour les malades, les estropiés, les vieillards, ni m ê m e pour la faiblesse des femmes. Tous, forcés par les coups, doivent travailler et travailler encore jusqu'à ce que la mort mette u n terme à leur misère et à leurs tourments.» (Diod. Sic. Bibliothèque historique, liv.III, ch. 13.)

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

Trois jours de surtravail par semaine restent toujours trois jours d'un travail qui ne forme aucun équivalent pour le travailleur lui-même, quel que soit leur nom, corvée ou profit. Chez le capitaliste, cependant, l'appétit de surtravail se manifeste par son âpre passion à prolonger la journée de travail outre mesure ; chez le boyard, c'est tout simplement une chasse aux jours corvéables50. Dans les provinces danubiennes, la corvée se trouvait côte à côte des rentes en nature et autres redevances ; mais elle formait le tribut essentiel payé à la classe régnante. Dans de pareilles conditions, la corvée provient rarement du servage; mais le servage, au contraire, a la plupart du temps la corvée pour origine. Ainsi en était-il dans les provinces roumaines. Leur forme de production primitive était fondée sur la propriété commune, différente cependant des formes slaves et indiennes. Une partie des terres était cultivée comme propriété privée, par les membres indépendants de la communauté; une autre partie, - l'agerpubliais, - était travaillée par eux en commun. Les produits de ce travail commun servaient d'une part comme fonds d'assurance contre les mauvaises récoltes et autres accidents ; d'autre part, comme trésor public pour couvrir les frais de guerre, de culte et autres dépenses communales. Dans le cours du temps, de grands dignitaires de l'armée et de l'Église usurpèrent la propriété commune et avec elle les prestations en usage. Le travail du paysan, libre cultivateur du sol commun, se transforma en corvée pour les voleurs de ce sol. De là naquirent et se développèrent des rapports de servage, qui ne reçurent de sanction légale que lorsque la libératrice du monde, la Sainte Russie, sous prétexte d'abolir le servage, l'érigea en loi. Le Code de la corvée, proclamé en 1831 par le général russe Kisseleff, fut dicté par les boyards. La Russie conquit ainsi du même coup les magnats des provinces du Danube et les applaudissements du crétinisme libéral de l'Europe entière. D'après le Règlement organique, tel est le nom que porte ce code, tout paysan valaque doit au soi-disant propriétaire foncier, outre une masse très-détaillée de prestations en nature: 1° 12 jours de travail en général; 2° 1 jour pour le travail des champs, et 3° 1 jour pour le charriage du bois. En tout 14 jours par an. Or, avec une profonde sagacité économique, on a eu soin d'entendre par journée de travail non pas ce qu'on entend ordinairement par ce mot, mais la journée de travail nécessaire pour obtenir un produit journalier moyen, et ce produit journalier moyen a été déterminé avec tant de rouerie, qu'un cyclope n'en viendrait pas à bout en 24 heures. Le «règlement» lui-même déclare donc, avec un sans-façon d'ironie vraiment russe, qu'il faut entendre par 12 jours de travail le produit d'un travail ma50

Ce qui suit se rapporte aux conditions des provinces roumaines avant les changements opérés depuis la guerre de Crimée.

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nuel de 36 jours; par un jour de travail des champs, trois jours; et par un jour de charriage de bois, trois jours également. Total: 42 jours de corvée. Mais il faut ajouter à ceci ce qu'on appelle la jobagie, ensemble de prestations dues au propriétaire foncier pour services agricoles extraordinaires. Chaque village, en raison de sa population, doit fournir pour la jobagie un contingent annuel. Ce travail de corvée supplémentaire est estimé à 14 jours pour chaque paysan valaque. Ces 14 jours, ajoutés aux 42 ci-dessus, forment ainsi 56 jours de travail par an. Mais l'année agricole ne compte, en Valachie, que 210 jours, à cause du climat. Si l'on en déduit 40 jours pour dimanches et fêtes, 30 en moyenne pour mauvais temps, soit 70 jours, il en reste 140. Le rapport du travail de corvée au travail nécessaire 5%4 ou 66% % exprime un taux de plus-value beaucoup moins élevé que celui qui règle le travail des ouvriers manufacturiers et agricoles de l'Angleterre. Mais ce n'est encore là que la corvée prescrite légalement. Et le «règlement organique», dans un esprit encore plus «libéral» que la législation manufacturière anglaise, a su faciliter sa propre violation. Ce n'était pas assez d'avoir fait 54 jours avec 12, on a de nouveau déterminé de telle sorte l'œuvre nominale qui incombe à chacun des 54 jours de corvée, qu'il faut toujours un supplément à prendre sur les jours suivants. Tel jour, par exemple, une certaine étendue de terre doit être sarclée, et cette opération, surtout dans les plantations de maïs, exige le double de temps. Pour quelques travaux agricoles particuliers, la besogne légale de la journée se prête à une interprétation si large, que souvent cette journée commence en mai et finit en octobre. Pour la Moldavie, les conditions sont encore plus dures. Aussi un boyard s'est-il écrié, dans l'enivrement du triomphe: «Les 12 jours de corvée du Règlement organique s'élèvent à 365 jours par an!» 51

Si le Règlement organique des provinces danubiennes atteste et légalise article par article une faim canine de surtravail, les Factory acts (lois de fa30 briques), en Angleterre, révèlent la même maladie, mais d'une manière négative. Ces lois réfrènent la passion désordonnée du capital à absorber | 11031 le travail en imposant une limitation officielle à la journée de travail et cela au nom d'un État gouverné par les capitalistes et les landlords. Sans parler du mouvement des classes ouvrières, de jour en jour plus menaçant, 35 la limitation du travail manufacturier a été dictée par la nécessité, par la même nécessité qui a fait répandre le guano sur les champs de l'Angleterre. La même cupidité aveugle qui épuise le sol, attaquait jusqu'à sa racine la force vitale de la nation. Des épidémies périodiques attestaient ce dépéris51

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P o u r plus de détails consulter E. R e g n a u l t : Histoire politique et sociale des principautés

Danu-

biennes. Paris, 1855.

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

sement d'une manière aussi claire que le fait la diminution de la taille du soldat en Allemagne et en France52. Le Factory Act de 1850 maintenant en vigueur accorde pour le jour moyen 10 heures, 12 heures pour les 5 premiers jours de la semaine, de 6 heures du matin à 6 heures du soir, sur lesquelles une demi-heure pour le 5 déjeuner et une heure pour le dîner sont prises légalement, de sorte qu'il reste 10 heures et demie de travail, - et 8 heures pour le samedi, de 6 heures du matin à 2 heures de l'après-midi, dont une demi-heure est déduite pour le déjeuner. Restent 60 heures de travail, 10 heures et demie pour les 5 premiers jours de la semaine, 7 heures et demie pour le dernier53. 10 Pour faire observer cette loi, on a nommé des fonctionnaires spéciaux, les inspecteurs de fabrique, directement subordonnés au ministère de l'intérieur, dont les rapports sont publiés tous les six mois par ordre du Parlement. Ces rapports fournissent une statistique courante et officielle qui in15 dique le degré de l'appétit capitaliste. 54 Écoutons un instant les inspecteurs : 52

«En général et dans de certaines limites, c'est un témoignage en faveur de la bonne venue et de la prospérité des êtres organisés, quand ils dépassent la taille moyenne de leur espèce. Pour ce qui est de l'homme, sa taille s'amoindrit dès que sa croissance régulière trouve des obstacles dans n'importe quelles circonstances, soit physiques, soit sociales. Dans tous les pays de l'Europe où règne la conscription, depuis son établissement, la taille moyenne des hommes faits s'est amoindrie et ils sont en général devenus moins propres au service militaire. Avant la Révolution (1789) la taille minimum du soldat d'infanterie en France était de 165 centimètres; en 1818 (loi du 10 mars) de 157; enfin après la loi du 21 mars 1832, de 156 seulement. Plus de la moitié des hommes sont généralement déclarés impropres au service pour défaut de taille et vices de constitution. La taille militaire en Saxe était en 1780 de 178 centimètres; elle est aujourd'hui de 155; en Prusse de 157. D'après les données fournies par le docteur Meyer dans la Gazette de Bavière du 9 mai 1862, il résulte d'une moyenne de 9 ans qu'en Prusse sur 1000 conscrits 716 sont impropres au service, 317 pour défaut de taille et 399 pour vices de constitution, etc. En 1858, Berlin ne put fournir son contingent pour la réserve, il manquait 156 hommes.» (J.v.Liebig: La chimie dans son application à l'agriculutre et à la physiologie, 1862, 7 c édition, v.I, p. 117, 118.) 53 On trouvera l'histoire du Factory Act de 1850 dans le cours de ce chapitre. 54 Je ne m'occupe que de temps à autre de la période qui s'étend du début de la grande industrie en Angleterre jusqu'en 1845, et sur cette matière je renvoie le lecteur au livre de Friedrich Engels sur la situation des classes ouvrières anglaises. (Die Lage der arbeitenden Klasse in England, von Friedrich Engels. Leipzig, 1845.) Les Factory Reports, Reports on Mines, etc., qui ont paru depuis 1845 témoignent de la profondeur avec laquelle il a saisi l'esprit du mode de production capitaliste, et la comparaison la plus superficielle de son écrit avec les rapports officiels de la «Children's Employment Commission» publiés 20 ans plus tard, montrent avec quel art admirable il a su peindre la situation dans tous ses détails. Ces derniers rapports traitent spécialement de branches d'industrie où la législation manufacturière n'était pas encore introduite en 1862 et en partie ne l'est même pas aujourd'hui. L'état des choses, tel que l'a dépeint Engels, n'y a donc pas subi de modification bien sensible. J'emprunte mes exemples principalement à la période de liberté commerciale qui a suivi 1848, à cette époque paradisiaque dont les commis-voyageurs du libre-échange aussi terriblement bavards que pitoyablement ignorants racontent tant de merveilles. - Du reste, si l'Anglererre figure au premier rang, c'est qu'elle est la terre classique de la production capitaliste, et qu'elle possède seule une statistique continue et officielle des matières que nous traitons.

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«Le perfide fabricant fait commencer le travail environ quinze minutes, tantôt plus, tantôt moins, avant 6 heures du matin, et le fait terminer quinze minutes, tantôt plus, tantôt moins, après 6 heures de l'après-midi. Il dérobe 5 minutes sur le commencement et la fin de la demi-heure accordée pour le déjeuner et en escamote 10 sur le commencement et la fin de l'heure accordée pour le dîner. Le samedi, il fait travailler environ quinze minutes, après 2 heures de l'après-midi. Voici donc son bénéfice : Avant Après Sur le Sur le

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6 h. du matin 6 h. du soir temps du déjeuner temps du dîner

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Le samedi Avant 6 h. du matin Au déjeuner Après 2 h. de l'après-midi

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Somme en 5 jours : 300 m.

Profit de toute la semaine: 340m. 40 m.

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Ou 5 heures 40 minutes, ce qui, multiplié par 50 semaines de travail, déduction faite de 2 semaines pour jours de fête et quelques interruptions accidentelles, donne 27 journées de travail 55 .» «La journée de travail est-elle prolongée de 5 minutes chaque jour audelà de sa durée normale, cela fournit 2 jours et demi de production par an 56 .» «Une heure de plus, gagnée en attrapant par ci par là et à plusieurs reprises quelques lambeaux de temps, ajoute un treizième mois aux douze dont se compose chaque année 57 .» Les crises, pendant lesquelles la production est suspendue, où on ne travaille que peu de temps et même très-peu de jours de la semaine, ne changent naturellement rien au penchant qui porte le capital à prolonger la journée de travail. Moins il se fait d'affaires, plus le bénéfice doit être grand sur les affaires faites; moins on travaille de temps, plus ce temps doit se composer de surtravail. C'est ce que prouvent les rapports des inspecteurs sur la période de crise de 1857-58: «On peut trouver une inconséquence à ce qu'il y ait quelque part un travail excessif, alors que le commerce va si mal; mais c'est précisément ce mauvais état du commerce qui pousse aux infractions les gens sans scrupules; ils s'assurent par ce moyen un profit extra.» «Au moment même, dit 55

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«Suggestions, etc., by M.L.Horner, Inspector of Factories» dans le: «Factory Regulation act, ordered by the House of Commons to be printed, 9 août 1859», p. 4, 5. 56 Reports of the Insp. of Fact, for the half year ended [31st Oct.] 1856, p. 35. 57 Reports, etc., 30 April 1858, p. 9, 10.

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Troisième section • La production de la plus-value absolue

Léonard Horner, où 122 fabriques de mon district ||104| sont tout à fait abandonnées, où 143 chôment et toutes les autres travaillent très-peu de temps, le travail est prolongé au-delà des bornes prescrites par la loi 5 8 .» M.Howell s'exprime de la même manière: «Bien que dans la plupart des fabriques on ne travaille que la moitié du temps, à cause du mauvais état 5 des affaires, je n'en reçois pas moins comme par le passé le même nombre de plaintes, sur ce que tantôt une demi-heure, tantôt trois quarts d'heure sont journellement extorqués (snatched) aux ouvriers sur les moments de répit que leur accorde la loi pour leurs repas et leurs délassements 59 .» Le même phénomène s'est reproduit sur une plus petite échelle pendant 10 la terrible crise cotonnière de 1861-65 6 0 . «Quand nous surprenons des ouvriers en train de travailler pendant les heures de repas ou dans tout autre moment illégal, on nous donne pour prétexte qu'ils ne veulent pas pour rien au monde abandonner la fabrique, et que l'on est même obligé de les forcer à interrompre le travail (nettoyage 15 des machines, etc.), particulièrement le samedi dans l'après-midi. Mais si des bras> restent dans la fabrique quand les machines sont arrêtées, cela provient tout simplement de ce qu'entre 6 heures du matin et 6 heures du soir, dans les heures de travail légales, il ne leur a été accordé aucun mo20 ment de répit pour accomplir ces sortes d'opérations 61 .» «Le profit extra que donne le travail prolongé au delà du temps fixé par 58

Reports, etc., 1. c., p. 10. Reports, etc., 1. c., p. 25. 60 Reports, etc., for [the] halfyear ending 30th April 1861. V.Appendix n°2; Reports, etc., 31st Octob. 1862, p.7, 52, 53. Les infractions deviennent plus nombreuses dans le dernier semestre de 1863. Comp. Reports, etc. ending 31 Oct. 1863, p.7.) 61 Reports, etc., 31st Oct. 1860, p.23. Pour montrer avec quel fanatisme, d'après les dépositions des fabricants devant la justice, «leurs bras» s'opposent à toute interruption du travail dans la fabrique, il suffit de citer ce cas curieux: Au commencement de juin 1836, des dénonciations furent adressées aux magistrats de Dewsbury (Yorkshire) d'après lesquelles les propriétaires de huit grandes fabriques dans le voisinage de Butley auraient violé le Factoiy Act. Une partie de ces messieurs étaient accusés d'avoir exténué de travail 5 garçons âgés de 12 à 15 ans, depuis vendredi, 6 heures du matin jusqu'au samedi, 4 heures du soir, sans leur permettre le moindre répit excepté pour les repas, et une heure de sommeil vers minuit. Et ces enfants avaient eu à exécuter ce travail incessant de 30 heures dans le « shoddy hole », ainsi se nomme le bouge où les chiffons de laine sont mis en pièces et où une épaisse atmosphère de poussière force même le travailleur adulte à se couvrir constamment la bouche avec des mouchoirs pour protéger ses poumons ! Les accusés certifièrent - en qualité de quakers ils étaient trop scrupuleusement religieux pour prêter serment - que dans leur grande compassion pour ces pauvres enfants ils leur avaient permis de dormir 4 heures, mais que ces entêtés n'avaient absolument pas voulu aller au lit! MM. les quakers furent condamnés à une amende de 201iv. st.. Dryden pressentait ces quakers, quand il disait : «Renard tout fourré de sainteté, Qui craint un serment, mais mentirait comme le diable, Qui, avec un air de carême, roule pieusement des regards obliques, Et n'oserait commettre un péché, non ! sans avoir dit sa prière. » 59

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la loi semble être pour beaucoup de fabricants une tentation trop grande pour qu'ils puissent y résister. Ils comptent sur la chance de n'être pas surpris en flagrant délit et calculent, que même dans le cas où ils seraient découverts, l'insignifiance des amendes et des frais de justice leur assure en5 core un bilan en leur faveur 62 .» «Quand le temps additionnel est obtenu dans le cours de la journée par une multiplication de petits vols (a multiplication of small thefts), les inspecteurs éprouvent, pour constater les délits et établir leurs preuves, des difficultés presque insurmontables 63 .» Ils désignent aussi ces petits vols du capital sur le temps des repas et les instants 10 de délassement des travailleurs sous le nom de «petty pilferings of minutes», petits filoutages de minutes 64 , «snatching a few minutes», escamotage de minutes 65 ; ou bien encore ils emploient les termes techniques des ouvriers : «Nibbling and cribbling at meal times66 ». On le voit, dans cette atmosphère, la formation de la plus-value par le 15 surtravail ou le travail extra n'est pas un secret. «Si vous me permettez, me disait un honorable fabricant, de faire travailler chaque jour 10 minutes de plus que le temps légal, vous mettrez chaque année 1000 liv. st. dans ma poche 67 .» «Les atomes du temps sont les éléments du gain69 !» Rien n'est plus caractéristique que la distinction entre les «full times» 20 les ouvriers qui travaillent la journée entière - et les «half times69» - les enfants au-dessous de treize ans, qui ne doivent travailler que 6 heures. Le travailleur n'est plus ici que du temps de travail personnifié. Toutes les différences individuelles se résolvent en une seule; il n'y a plus que des «temps entiers» et des «demi-temps».

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III La journée de travail dans les branches de l'industrie anglaise où l'exploitation n'est pas limitée par la loi

Jusqu'ici nous n'avons étudié l'excès de travail que là où les exactions monstrueuses du capital, à peine surpassées par les cruautés des Espagnols 30 contre les Peaux-rouges de l'Amérique 70 , l'ont fait enchaîner par la loi. Je62

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Rep., etc., 31 Oct. 1856, p. 34. « L. c„ p. 35. 64 L.c., p. 48. 65 L. c. 66 L. c. 67 L. c., p. 48. 68 «Moments are the elemento of Profit.» Rep. of the Inspect., etc., 30th Aprii 1860, p. 56. 69 Cette expression est admise officiellement, aussi bien dans la fabrique que dans les rapports des inspecteurs. 70 C'est un économiste bourgeois qui s'exprime ainsi: «La cupidité des maîtres de fabriques

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tons maintenant un coup d'oeil sur quelques branches d'industrie où l'exploitation de la force de travail est aujourd'hui sans entraves ou l'était hier encore. «M. Broughton, magistrat de comté, déclarait comme président d'un meeting, tenu à la mairie de Nottingham le 14 janvier 1860, qu'il règne dans la ||105| partie de la population de la ville occupée à la fabrication des dentelles un degré de misère et de dénuement inconnu au reste du monde civilisé Vers 2, 3 et 4 heures du matin, des enfants de 9 à 10 ans, sont arrachés de leurs lits malpropres et forcés à travailler pour leur simple subsistance jusqu'à 10, 11 et 12 heures de la nuit. La maigreur les réduit à l'état de squelettes, leur taille se rabougrit, les traits de leur visage s'effacent et tout leur être se raidit dans une torpeur telle que l'aspect seul en donne le frisson Nous ne sommes pas étonnés que M. Mallett et d'autres fabricants se soient présentés pour protester contre toute espèce de discussion Le système, tel que l'a décrit le Rév. M.Montagu Valpy, est un système d'esclavage sans limites, esclavage à tous les points de vue, social, physique, moral et intellectuel Que doit-on penser d'une ville qui organise un meeting public pour demander que le temps de travail quotidien pour les adultes soit réduit à 18 heures!.... Nous déclamons contre les planteurs de la Virginie et de la Caroline. Leur marché d'esclaves nègres avec toutes les horreurs des coups de fouet, leur trafic de chair humaine sont-ils donc plus horribles que cette lente immolation d'hommes qui n'a lieu que dans le but de fabriquer des voiles et des cols de chemise, pour le profit des capitalistes 71 ? » La poterie de Staffordshire, a pendant les 22 dernières années donné lieu à trois enquêtes parlementaires. Les résultats en sont contenus dans le rapport de M. Scriven adressé en 1841 aux «Children's Employment Commissioners», dans celui du docteur Greenhow publié en 1860 sur l'ordre du fonctionnaire médical du Privy Council (Public Health, 3d. Report, I, 102-113), enfin dans celui de M. Longe adjoint au First Report of the Children's Employment Commission, du 15 juin 1863. Il nous suffit pour notre but d'emprunter aux rapports de 1860 et 1863 quelques dépositions des enfants mêmes qui travaillaient dans la fabrique. D'après les enfants on pourra juger des adultes, et surtout des femmes et des jeunes filles, dans une branche d'industrie à côté de laquelle, il faut l'avouer, les filaleur fait commettre dans la poursuite du gain des cruautés que les Espagnols, lors de la conquête de l'Amérique, ont à peine surpassées dans leur poursuite de l'or. » (John Wade : History of the Middle and Working Classes, 3 e édit. Lond. 1835, p. 114.) La partie théorique de cet ouvrage, sorte d'esquisse de l'économie politique, contient pour son époque, des choses originales, principalement sur les crises commerciales. La partie historique est trop souvent un impudent plagiat de l'ouvrage de Sir M. Eden, History of the Poor. London, 1797. 71 London Daily Telegraph du 17 janvier 1860.

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tures de coton, peuvent paraître des lieux admirablement sains et agréables72. Wilhelm Wood, âgé de neuf ans, «avait 7 ans et 10 mois quand il commença à travailler». Il «ran moulds» (portait les pots dans le séchoir et rap5 portait ensuite le moule vide). C'est ce qu'il a toujours fait. Il vient chaque jour de la semaine vers 6 h. du matin et cesse de travailler environ vers 9 h. du soir. «Je travaille tous les jours jusqu'à 9 h. du soir; ainsi par exemple pendant les 7 à 8 dernières semaines. » Voilà donc un enfant qui, dès l'âge de 7 ans a travaillé quinze heures ! - J. Murray, un enfant de 12 ans s'ex10 prime ainsi: «I run moulds and turn th' jigger» Ce porte les moules et tourne la roue). «Je viens à 6 h., quelquefois à 4 h. du matin. J'ai travaillé toute la nuit dernière jusqu'à ce matin 6 heures. Je ne me suis pas couché depuis ; 8 ou 9 autres garçons ont travaillé comme moi toute cette nuit. Je reçois chaque semaine 3 sh. 6 pences (4 fr. 40 c.) Je ne reçois pas davantage 15 quand je travaille toute la nuit. J'ai travaillé deux nuits dans la dernière semaine.» - Fernyhough, un enfant de 10ans: «Je n'ai pas toujours une heure pour le dîner: je n'ai qu'une demi-heure, les jeudis, vendredis et samedis 73 .» Le docteur Greenhow déclare que dans les districts de Stoke-upon-Trent et de Wolstanton, où se trouvent les poteries, la vie est extraordinairement courte. Quoique il n'y ait d'occupés aux poteries dans le district de Stoke que 36,6 pour cent et dans celui de Wolstanton que 30,4 pour cent de la population mâle au-dessus de 20 ans, plus de la moitié des cas de mort causés par les maladies de poitrine se rencontrent parmi les potiers du pre25 mier district, et environ les parmi ceux du second. Le docteur Boothroyd médecin à Hanley affirme de son côté que « chaque génération nouvelle des potiers est plus petite et plus faible que la précédente». De même un autre médecin M.Mac Bean: «Depuis 25 ans que j'exerce ma profession parmi les potiers, la dégénérescence de cette classe 30 s'est manifestée d'une manière frappante par la diminution de la taille et du poids du corps.» Ces dépositions sont empruntées au rapport du docteur Greenhow en 186074. Extrait du rapport des commissaires publié en 1863: le docteur J.T.Arledge, médecin en chef de la maison de santé du North Staffordshire, dit 35 dans sa déposition : «Comme classe, les potiers hommes et femmes . . . ^ r e présentent une population dégénérée au moral et au physique. Ils sont en général de taille rabougrie, mal faits et déformés de la poitrine. Ils vieillissent vite et vivent peu de temps ; phlegmatiques et anémiques ils trahissent

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Voy. Engels: Lage, etc., p . 2 4 9 - 2 5 1 . Children's Employment Commission. First Report, etc., 1863, Appendix, p. 16, 19, 18. Public Health. 3 rd Report, etc., p. 102, 104, 105.

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la faiblesse de leur constitution par des attaques opiniâtres de dyspepsie, des dérangements du foie et des reins, et des rhumatismes. Ils sont avant tout sujets aux maladies de poitrine, pneumonie, phthisie, bronchite et asthme. La scrofulose qui attaque les glandes, les os et d'autres parties du corps est la maladie de plus des deux tiers des potiers. Si la dégénérescence de la population de ce district n'est pas beaucoup plus grande, elle le doit exclusivement à son recrutement dans les campagnes avoisinantes et à son croisement par des mariages avec des races plus saines » M. Charles Parsons, chirurgien du même hospice, écrit entre autres dans une lettre adressée au commissaire Longe: «Je ne puis parler que d'après mes observations personnelles et non d'après la statistique; mais je certifie que j'ai été souvent on ne peut plus révolté à la vue de ces pauvres enfants, dont la santé est sacrifiée, pour satisfaire par un travail excessif la cupidité de leurs parents et de ceux qui les emploient.» Il énumère les causes de maladies des potiers et clôt sa liste par la principale, «The Long Hours» (les longues heures de travail). La commission dans son rapport exprime l'espoir « qu'une industrie qui a une si haute position aux yeux du monde, ne supportera ||106| pas plus longtemps l'opprobre de voir ses brillants résultats accompagnés de la dégénérescence physique, des innombrables souffrances corporelles et de la mort précoce de la population ouvrière par le travail et l'habileté de laquelle ils ont été obtenus75». Ce qui est vrai des fabriques de poterie d'Angleterre, l'est également de celles d'Écosse76. La fabrication des allumettes chimiques date de 1833, époque où l'on a trouvé le moyen de fixer le phosphore sur le bois. Depuis 1845 elle s'est rapidement développée en Angleterre, où des quartiers les plus populeux de Londres elle s'est ensuite répandue à Manchester, Birmingham, Liverpool, Bristol, Norwich, Newcastle, Glasgow, accompagnée partout de cette maladie des mâchoires qu'un médecin de Vienne déclarait déjà en 1845 être spéciale aux faiseurs d'allumettes chimiques. La moitié des travailleurs sont des enfants au-dessous de 13 ans et des adolescents au-dessous de 18. Cette industrie est tellement insalubre et répugnante, et par cela même tellement décriée, qu'il n'y a que la partie la plus misérable de la classe ouvrière qui lui fournisse des enfants, « des enfants déguenillés, à moitié morts de faim et corrompus77». Parmi les témoins que le commissaire White entendit (1863), il y en avait deux cent soixante-dix au-dessous de 18 ans, quarante au-dessous de 10, douze de 8 ans et cinq de 6 ans seulement. La journée de travail varie entre douze, quatorze et quinze heures ; on travaille la nuit ; les repas irréguliers se pren75 76 77

Children's Employment Commission, 1863, p. 22, [24,] et XI. L. c., p. XLVII. L. c., p. LIV.

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nent la plupart du temps dans le local de la fabrique empoisonné par le phosphore. - Dante trouverait les tortures de son enfer dépassées par celles de ces manufactures. Dans la fabrique de tapisseries, les genres les plus grossiers de tentures sont imprimés avec des machines, les plus fines avec la main (block printing). La saison la plus active commence en octobre et finit en avril. Pendant cette période le travail dure fréquemment et presque sans interruption de 6 h. du matin à 10 h. du soir et se prolonge même dans la nuit. Écoutons quelques déposants. - J. Leach: «L'hiver dernier (1862), sur dix-neuf jeunes filles six ne parurent plus par suite de maladies causées par l'excès de travail. Pour tenir les autres éveillées je suis obligé de les secouer.» - W.Duffy : «Les enfants sont tellement fatigués qu'ils ne peuvent tenir les yeux ouverts, et en réalité souvent nous-mêmes nous ne le pouvons pas davantage.» - J. Lightbourne : «Je suis âgé de 13 ans.... Nous avons travaillé l'hiver dernier jusqu'à 9 h. du soir et l'hiver précédent jusqu'à 10 h. Presque tous les soirs, cet hiver, mes pieds étaient tellement blessés, que j'en pleurais de douleur.» - G. Aspden: «Mon petit garçon que voici, j'avais coutume de le porter sur mon dos, lorsqu'il avait sept ans, aller et retour de la fabrique, à cause de la neige, et il travaillait ordinairement seize heures!... Bien souvent je me suis agenouillé pour le faire manger pendant qu'il était à la machine, parce qu'il ne devait ni l'abandonner, ni interrompre son travail. » - Smith, l'associé gérant d'une fabrique de Manchester: «Nous (il veut dire ses qui travaillent pour ) travaillons sans suspension de travail pour les repas, de sorte que la journée habituelle de dix heures et demie est terminée vers 4 h. % de l'après-midi; et tout le reste est temps de travail en plus79. (On se demande si ce M. Smith ne prend réellement aucun repas pendant dix heures et demie !) Nous (le laborieux Smith) finissons rarement avant 6 heures du soir (de consommer

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V Mit. Leipzig, 18», p. t u .

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CHAPITRE

XVI

s'il avait les moyens nécessaires pour subsister dans l'intervalle. Mais dans ce dernier cas, le travailleur serait réellement dans une certaine mesure un capitaliste qui placerait du capital dans l'entreprise en fournissant une portion des fonds nécessaires pour la mener à bonne lin ». M. Jllili aurait pu alter plus loin et affirmer que l'ouvrier, qui se fait l'avance non-seulement des vivres, mais aussi des moyen« do production, ne serait en réalité que son propre salarié. XI aure.it pu dire de même que le paysan américain n'est qu'un serf qui fait la corvée pour lui-môme, au lieu de la faire pour son propriétaire. Après nous avoir prouvé si clairement que la production capitaliste, mémo si elle n'existait pas, existerait toujours, M. Mill est assez conséquent en prouvant, par contre, qu'elle n'existe pas même quand elle existe.

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à la limite minima do m nouvelle valeur de deux tacs, mai« à 3 fir. 80, 3 fr. 40, 3 fr. 20, etc., ce —; prix décroissant représenterait cependant une masse | i^îtitpéricuro de subsistances. Avec un accroissement éonlinuci dans la productivité du travail, le pris de la force de travail pourrait ainsi tomber de plus eu ; plus, en même temps que les subsistances à la disl p o s i t i o n de l'ouvrier continueraient à augmenter. Mais, même dans ce cas, la baisse continuelle dans 10 prix de la force de travail, en amenant une hausse continuelle de ht plus-value, élargirait l'abîme entre •^les conditions de vie du travailleur et du capitaliste 1 . Les trois lois que nous venons de développer ont été rigoureusement formulées, pour la première loi», par Ricardo ; mais il commet l'erreur de faire l^des conditions particulières dans lesquelles elles sont vrais», les conditions générales et exclusives de la production capitaliste. Pour lui, la journée de ..travail ne change jamais do grandeur ni le travail •^d'intensité, do sorte que la productivité du travail ' reste le seul facteur variable. Ce n'est pas tout. A l'instar de ton» les autres économistes, il n'est jamais parvenu à analyser la Mfolus-valuo en général, indépendamment de ses »Mine» particulière», profit, rente foncière, etc. 11 confond lo toux do la plus-value avec le taux \ du- profit, et traite, par conséquent, celui-ci Qfecoiûme s'il exprimait directement le degré d'exploitalion- du travail. Nous avons déjà indiqué * que le taux du profit est la proportion de la plus-value avec t f total du capital avancé, tandis que le taux I f t V ï l e la plus-value est la proportion do la plus-value [ ^ Ç v e c l a partie variable du capital avancé. Supposez qu'un capital do 500 1, st. (C) se décompose on maI tièrespremière», instruments, etc., d'une valeur de \ ^ J W O 1. »t. («), «t en 1001. st. payés aux ouvriers (»), "WWJfc qu'en outre la plu»-valué\(p) est de lOt) l.st.; alors W * * - " * * ^ le taux do la plus-value, jj =

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pour cent; mais le taux du profit = g =

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cent

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vingt pour cent. A part cette différence do gran1 deur, il 'est évident que le taux du profil peut être affecté par des circonstances tout à fait étrangères au taux de la plus-value. Je démontrerai plu» tard, ^ d a n s l e troisième livre, que donné lc.tauxdoia41lu.sv & j U B i le taux du profit peut varier Hulélininient, i t a t o v â j p ^ v c t 1 u 0 donneTêTaux du profit, il [mut correspondre taux de plus-value les plus divers.

temps non-seulement plus de produits, mais annui plus de valeur, parce que l'excédant de produit* 1 provient alors d'un excédant do travail. Stt durée et sa productivité étant données, le travail se réalise donc en d'autant plus de valeur qua son degré d'intensité dépasse, celui de la moyenneV^t»*^ sociale. Comme la valeur produite durant tute jour1 née de doute heures, par exemple, cesse ainsi d'être constante et devient variable, il s'ensuit que plus- % value et valeur de la force de travail peuvent varier dans le même Bons, l'une à côté du l'autre, eu pro¡tortion égale ou inégale. La même journée pro-'O. duit-ella huit francs an lieu de six, alors la part do l'ouvrier et celle du capitaliste peuvent évidemment la fois de troisJriUlt'fiÀi|»flli»t'—:— Une "pareille hïnSséTâûs le prix de la force do travail n'implique pas qu'elle est payée au-dessus de sa valeur. 'La hausse de prix peut au contraire être accompagnée d'une baisse de valeur. Cela arrive toujours quand l'élévation du prix ne suffit pas pour compenser le surcroît d'usure de la force de travail. On sait que les seul» changement» de productivité qui influent sur la valeur du la forcé ouvrière sont ceux qui affectent des industries dont les produits entrent dans la consommation ordinaire de 1 ouvrier. Toute variation dans la grandeur, oxtensive ou intensive, du travail affecte au contraire la valeur do la force ouvrière, dès qu'elle en accélère l'usure. — Si le travail atteignait simultanément dans toutes le» industrie» d'un pays le même degré supérieur d'intensité, cela deviendrait désormais le degré d'intensité ordinaire du travail national et fesserait d'ent-er en ligne de compte. Cependant, même dans ce cas, les degrés de l'intensité moyenne du travai resteraient différents chez diverses nations et modifieraient ainsi la loi de la valeur dan» son application internationale, la journée de travail plus intense d'une nation créant plus de valeur et s'expvimant en plus d'argent que la journée moins intense d'une autre*.

1

:

mées : Durée et productivité du travail commîtes. Intensité variable.

, Si sa productivité augmente, lo travail rend dans Je même tomps plus do produits, mais non plus do (valeur. Si son intensité croit, il rond dans le même J . « Quanti une altération a lieu date! la productivité de l'industrie, et qu'une quantité donnée de travail et de capital fournit «oit plus, «oit moins de produits, ta proportion îles salaires peut sensiblement varier, tandii que la quantité que cette proportion représente reste la même, ou la quantité peut varier tandis que la proportion ne change pas. - (OuUinn o/

Militai imumy, etc., p. 67.) - 2. Vov. p. » .

m Données : Productivité et intensité du travail constantes.

r-

Durée du travail variable.

Sous le rapport do la durée, le travail peut va rier ep deux sens, être raccourci ou prolongé Nous obtenons dans nos données nouvelles les lois que voici : 1" la journée de travail se réalise, en raison directe de sa durée, en une valeur plus oit moins grande - cartable donc et non constante. 2° fyjau variation dans le rapport de grandeur entre la plus-value et la valeur de la forte de travail provient d'un changement dam la grandeur absolue du surtravail, cl, par consiquent, de la plus-value. 1 . A conditions è finies, le manufacturier anplals peut-dan» un temps donné evéeuUr une bien plus grande somme de travail que le m a n u b c l u t i e r étranger, au point de contrebalancer la différence des journées de travail, la semaine comptant Ici soixante heures, mais ailleurs sétxaatiMlouM 0» quatre-vingts. » ¡«»porta o f f t u p . e f f o a . ht S I * . Ont. l«oa, p. tiâ.j

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DIFFÉRENCE DANS LE TAUX DES SALAIRES NATIONAUX E n comparant le taux du salaire chez différentes nations, il i a u ^ U m t . d ' a b o r d tenir compta di-s circonstances dont dépend, chez chacune d'elles, la valeur, soit absolu«, soit relative de la forca de travail,-tellos que l'étendue des besoins ordinaires, le prix des subsistances, la grandeur moyenne des familles ouvrières, les frais d'éducation du travailleur, le rôle que joue le travail des femmes et des enfants, enfin la productivité, la durée et l'intensité du travail.

le travail national plus intense produit donc dan 9 le même temps plus de valeur qui s'exprime en plus d'argent. Dans son application internationale, la loi de la valeur est encore plus profondément modifiée, parce que sur le marché universel le travail national plus productif compte aussi comme travail plus intense, toutes les fois que la nation plus productive n'est pas forcée par la concurrence à rabaisser le prix de vente de ses marchandises au niveau de leur valeur.

iS" ¿¿s mêmes branches d'industrie la durée quotidienne d u travail varie d'un pays à l'autre, mais en divisant le salaire à la journée par le nombre d'heures do la journée, on trouve le-prix payé en chaque pays pour un certain quantum de travail, l'heure. Ces deux facteurs, le prix et la durée du travail, étant ainsi donnés, on est à même do comparer les taux nationaux du salaire au temps.

Suivant que la production capitaliste est plus d é veloppée dans un pays, l'intensité moyenno et la productivité du travail (national) y dépassent d'autant le niveau international 1 . Les différentes q u a n tités de marchandises d e l à même espèce, qu'on p r o duit en différents pays dans le môme temps de-travail, possèdent donc des valeurs internationales différentes qui s'expriment en prix différents, c'est-à-dire en sommes d'argent dont la grandeur varie avec celle de la valeur internationale. La valeur relative de l'argent sera, par conséquent, plus polite chez la nation où la production capitaliste est plus développée que là où elle l'est moins. Il s'ensuit que le salaire nominal, l'équivalent du travail exprimé en argent, sera aussi en moyenne plus élevé chez la première nation que chez la seconde, ce qui n ' i m plique pas du tout qu'il en soit de même du salaire réel, c'est-à-dire de la somme de subsistances

P u i s il faut convertir le salaire au temps en salaire aux pièces, puisque lui seul indique les différents u _ . d e g r é s d'intensité et de productivité du travail. ^ ^ E n chaque pays 3 y a une certaine intensité moyenne, ordinaire, à défaut de laquelle le travail consomme dans la production d'une marchandise plus que lo temps socialement nécessaire, et, par conséquent, ne compte pas comme travail de qualité normale. Ce n'est q u ' u n degré d'intensité supérieur à la moyenne nationale qui, dans un pays donné, modiiie la mesure do la valeur par la seule durée du travail.Mais il n'en est pas ainsi sur le marché universel dont chaque pays ne forme qu'une partie intégrante. L'intensité moyenne ou ordinaire du travail national n'est pas la même en différents pays. Là elle est plus grande, ici plus petite. Ces moyennes nationales forment donc une échelle dont l ' i n tensité ordinaire du travail universel est l'unité de mesure. Comparé au travail national moins intense, l . C'est-à-dire, sa valeur comparée 4 la plus-value.

mises à la disposition du travailleur. —"liais a p a r t cette i n s a l i l e de la valeur relative de l'argent en différents pays, on trouvera fréquemment que le salaire journalier, hebdomadaire, etc., est plus élevé chez la nation A que chez la nation B, taudis que lo prix proportionnel du travail, c'està-dire son prix comparé.soit à la plus-value, soit à I. Nous examinerons ailleurs les circonstances qui, par rapport à la productivité, peuvent modifier catto loi pour des branches de production particulières.

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I» valeur d u p r o d u i t , est plu» élevé chez la n t l k u 1! q u e cliez la nation A . U « « « » o i u u n o contemporain d ' A d i r a SœitU, ¿ « B « A n d e r s o n , dit d é j à * Il b u t m m u q u c r y m q u e le prix a p p a r e n t d u travail soit g é n é r a l e m e n t m o i n s élevé d a n s les p a y s pauvre», où le» p r o d u i t » d u m I , et s u r t o u t le» grains, »ont à bon m a r c h é , il y e»t cependant en realité aujiérieur à celui d ' a u t r e » pay». Ce n ' m t p u , en effet, le «alairo donné au travailleur q u i constitue le prix réel d u travail, b i e n q u ' i l e n soit le prix a p p a r e n t . Le prix réel c e s t co que coûte a u capitaliste uuo certaine q u a n tité de travail accompli ; considéré à ce point de vue le travail e»t, dan» p r e s q u e tous les cas, meilleur m a r c h é dan» les pay» riche» q u e dan» le» pays pauvre», b i e n quo le prix de» grain» et autre» denrée» alimentaire» »oit o r d i n a i r e m e n t b e a u c o u p moins élevé dan» ceux-ci quo dan» c e u x - l à . . . . L e travail e s t i m é 1 la j o u r n é o est beaucoup moin» c h e r en Ëco»»o q u ' e n A n g l e t e r r e , le travail à la pièce est g é n é r a l e m e n t meilleur m a r c h é dan» ce d e r n i e r pays'. » J . W . Cowell, m e m b r e d e l a Commission d ' e n q u i t e »ur le» fabrique» (1633), arriva, par une s a t o e « û i g n e u a M e l a filaturo, à ce r é s u l t a t •: « en Angleterre, le» salaires sont virtuellement inférieurs p o u r le capitaliste, q u o i q u e p o u r l'ouvrier ils soient p o u t - i l r e plus élevés que »ur le continent européen'. » — M . A. Kcdgravo, inspecteur do fabriquo, d é m o n t r e , a a m o y e n d ' a n o s t * t i a t i q a e ' e o m p a r M t q u o malgré de» salaire» plu» b a s et de» journées de travail p i n s l o n g u e s , l e travail continental est, p a r r a p p o r t à la valeur produite, plus cher que le travail anglais. Il cite e n t r a n t r e s les d'innées à l u i c o m m u n i q u é e s 1 " " ' , m d i r e c l e u r anglais d ' u n e filature de coton en O l d e n b o u r g , d ' a p r è s lesquelles le t e m p s do travail d u r e lit quatorze heures i:t demie p a r j o u r ( d e 5 h. 30 d u matin jusqu à 8 h . du soir), niais los ouvriers, q u a n d ils sont placés sous des contre-maîtres a n glais, n'y font pas tout à fait notant d'ouvrage q u e de* o u v r i e r s a n g l a i s travaillant dix heure», e t beauc o u p m o i n s encore, q u a n d lotira c o n t r e - m a î t r e s »ont d c s A l l e m a n d s . L e u r aalairc est beaucoup plu» b u , souvent de 50 p . 100, q u e le salaire anglais, m a t s le n o m b r e d'ouvrier» employés p a r machine est plu» g r a n d , p o u r q u e l q u e s d é p a r t e m e n t s de la fabriquo d a n s la raison do cinq il trois*. M . lledgravc donne le tableau suivant de l'intensité comparative d u travail d a n s lus liltiturcs a t y j ^ a i s e * et c o n t i n e n t a l e s - —

Sombre

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Angleterre Suisse l'etit» Etat» allemand» Base Belgique ; Autriche Baviéro • O ru»so Russio Franco

74 55 55 50 50 49 tj 37 sb 14

M . Redgravo remarque qu'il a recueilli ce» chiffres quelque» année» avant 1866, date do son rapport, et quo d e p u i s ce t e m p s - l à la filature anglaise a-fiiit d e g r a n d i prSIflfcr; m a i s i l eappOSë q u ' u n progrès pareil a ou liou dans le» filature» Mntinentales, do sorte quo les chiffres m a i n t i e n d r a i ® ! toujours ietir valeur relative. M a i s co f u i , d ' a p r è s l u i , n e l a i t p u u s e z ressor tir la supériorité d u travail anglais, c'est qu'on Angleterre un t r è s - g r a n d n o m b r e de fabriques c o m b i nent le tissage mécanique avec la filature, et q u e , j dans lo tableau précédent, aucune tète n'est déduite p o u r les métier» à tisser. Le» fabriques c o n t i n c n - ! tfffesi-fiuoaaUaire, n o s o n U m général q u i des lila- ' tures1.. " ; 4» On sait que dans l ' E u r o p e occidentale aussi bien • qu'en A»ic, des compagnies anglaises o n t e n t r e p r i s lacoustruetion d o c i t e m i n s d e fer où elle» emploient e n général, à côté des ouvriers du pay», un certain i " n o m b r e d'ouvrier» anglais. Aiusi obligée» p a r des • nécessité» pratique» à tenir compte d e s différences j nationales dans l'intensité d u travail, tilles n'y ont pas failli, et il résulte de leurs expériences q u e si l'élévation d u salaire correspond plus ou moins à l'intensité moyenne du travail, le prix proportionnel du travail mari-lisjpfruiwilniinnii-ar, u,.,lr, T ^ l M i i î iutl ËSM'sur

le taux

du solaire',

un de

p r e m i e r » écrits économiques, M . H . Caroy cherche à démontrer que les différent» salaires nationaux sont entre eux comme les d e g r é s de productivité d u t. James Audeijon : O t a r e e U a M 0» 1ht mrani of «uiting travail national. La conclusion q u ' i l veut tirer do a rpiril of national l'nhuuy, île. EVIiabilrgh, 1777, ce r a p p o r t international, c'est q u ' e n g é n é r a l l a r é p. 3j0, Soi.) — U coauBiasioa royale, chargée d'uno empiète tribution d u travailleur suit la m ê m e proportion q u e

sar les chemina ¿e fer, dit nu contraire : « La travail e n plus cher en Irlande qu'enAngletcrre, p a n » ! i peoduction jjar rapport à la masse du travail em-,

%

1 fli'S'i-. Le premier mouvfttmat aoit la d e n u a / à ' i t ì » t riloiudre degni da vilesse. j K n f a , l'Olii éviter lini erreors, il faut " f e i à le progiè» de l'iccumalafion, en fairHv saut dt'CJuSirft 1« j^aud.-ur relative du capital r a m b l R , n'en exclut ¿-oint l'accroiswnîent ubsoln, valeur KjÉjfai divi«*« d'abord moitié e a A ! j.^rtio çoftsiaiite, moitié en ]«artie variable, et que ^»Ufi tard la parti«; variable n'en forme plu» qu un éiu (uiènie : quand, au m o m y i t où ce «Rangement a lieu, la vajmïi -i.tpitai primitive, soit 6000 francs, a atteint!! chiffre de tf4 OOOfrançs, la parlâe variable «est accrue d'une c i m j u l b j e . Elle s'est élevée de 'é'iu franc« à àtibQ, ni;tî» auparavant un surcroît (« areumnlitrion de 3 0 j x w r • , aurait stiflî pour augmèiiver U demande dr Ua- C/J^M mes et leurs incursions continuelles daus lee p l a i n e * ^ \ ~ 2.Anlnquirg inlo the Connection betvecn the present Priées limitrophes de la basse Ecosse, ils n ' a b a n d o n n é e \ of Provisions, etc., p. 124,129. Un écrivain contemporain conrent point leur ancien métier brigand ;"jjs n'en» state les mômes faits, mais avec une tendance opposée : Des \\ travailleurs sont chassés do leurs cottages cl forcés d'aller changèrent que la forme. De l|ur propre autorité i k ^ chercher de l'emploi flans les villes, mais alors on obUent convertirent leur droit de propriété titulaire em droit—* un plus fort produit net et par cela même le capital est de propriété privée, et, ayant trouvé que les gene» * augmenté. • The Périls of Ihe Nation. 2* éd. Lond., 1843, du clan dont ils n'avaient.plus à répandre lo san^ P41 ^

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LE



CAPITAL

faisaient obstacle il leurs projets d'enrichissement, ils résolurent de les chasser de vive force. rtfsse ¿es colons devenus désormais inutiles. RojetSi" & n s f d u sol natal, ceux-ci vont cherchor leur subsis-. "tanM dans leé villes manufacturières, e t c . ' . » 1 George Ensor dit dans un livre publié en 1818 : " V Les •grands d'Ecosse ont exproprié des familles comme ils feraient sarcler de mauvaises herbes ; ils ont traité des Villages et leurs habitants comme les ""indiens ivres de vengeance traitent les bêtes féroj j ces et leur$ tanières. Un homme est vendu pour

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une toison de brebis, ponr un gigot de mouton et "pour moins'encore.... Lors de l'invasion de laChme I , F a septentrionale, le grand conseil des Mongols dis-

" 3 Î - A A ^ ^ j j u i U a a ï B a ^ i A , p. 132. -JLAiV, J . James Andersen : OHenatiom an Uw

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j p i n l of m i m a i Matin/, etc. Edlmburgb, 1717. J. L.O., 1.1, ch. tir.

4. En 1860, d e s g e n s r i o l e t n m e n t w p r o p r i é s f u r e n t t r a n s p o r «tés au Çattada sotu de Jausses promesses. Qiirlqnos-un i s'eiiHnrent dans les montagnes et dans les ¡les voisines. Poursui^ Jia par fa agents da poliie, ils en vinrent aux mains avec o u i * el finirent par leur échapper.

• ' 5. David Buchanan : Obrenatimt HVolD. of JïotiuM. É i i m b . , 1814.

on, etc., À, SmitKi

eut» s'il ne fallait pas extirper du pays tous les habitants et le convertir en uu vaste pâturage. Nombre de landlords écossais ont mis ce dessein k exécution dans leur propre pays, contre leurs propres compatriotes*. » Mais à tout seigneur tout honneur. L'initiative la plus mongolique revient à la duchesse de Suthorland. Cette femme, dressée de bonne main, avait à peine pris les rênes do l'administration qu'elle résolut d'avoir recoum aux grands moyens et de convertir en pâturage tout le comté, dont la population, grtlco à des expériences analogues, mais faites sur une plus potite échelle, se trouvait déjà réduite au chiffre de quinze mille. De 1814 à 18S0, ces quinze mille i n # v i d u s , formant environ trois mille familles, furent systématiquement expulsées. Leurs villages furent détroits et brûlés, leurs champs convertis en pâturages. Des soldats anglais, commandés pour prêter main-forte, en vinrent aux prises avec les indigènes. Une vieille fournie qui refusait d'abandonner sa hutte périt dans les ilammes. C'est ainsi que la noble damo accapara 794 000 acrc3 do terres qui appartenaient au clan do temps immémorial. Une partie des dépossédés fut absolument chassée ; à l'autre on assigna environ 6000 acres sur le bord de la mer, terres jusquc-liiucultes ot n'ayant jamais rapporté un denier. Madame la duchesse poussa la grandeur d'urne jusqu'à les affermer, à une rente moyenne de 2 s h . 6 d . par acre, aux membres du clan qui avait depuis des siècles versé son sang au service des Ëutherland. Lo terrain ainsi conquis, elle le partagea en vingt-neuf grosses fermes à moutons, établissant sur chacune une seule famille composée presque toujours de valets de forme anglais. En 1825, les quinze millo proscrits avaient déjà fait place à 131 000 moutons. Ceux qu'on avait jetés sur le rivage do la mer s'adonnèrent à la pèche et devinrent, d'après l'expression d'un écrivain anglais, do vrais amphibies, vivant à demi sur terre, à demi sur eau, mais, avec tout cela, ne vivant qu'à moitié*. Mais il était écrit que lesbrnvesGaéls auraient à expier plus sévèrement encore leur idolâtrie romantiquo et montagnarde pour les « grands hommes de clan. » L'odeur do leur poisson vint chatouiller les narines de ces grands hommes, qui y flairèrent des profits à réaliser, ot ne tardèrent pas à affermer lo rivage aux gros mareyeurs de Londres. Les GaSls furent une seconde fois chassés'. 1. George Ensor : /ln Jnquiry inlo the Population of A'atitmt. LomL, 1815, p. 315, J16. 2. Lorsque Mme liecchor Slotve, l'auteur do la Cote de COiiclc Tom, fut reçue & Londres arec une véritable magniliconco par l'actuelle duebesso de Snthcrlsnd, lieureuso de cotte occasion d'cxlialcr sa haine contre la république atnérinaine el d'étaler son amour pour les esclaves noirs, amour qu'elle savait prudemment suspendre plus tard, au temps de la guerre du Sud, quaud tout coeur do noble battait en Angleterre pour les esclavagistes, — j e pris la liberté de racon-

ter dans le Nnc-York Tribune l'histoire dos esclaves sutberl.mdals. Celle esquisse (Carey l'a partiellement reproduite dans son Slnte ftaitr, Lond., 1»:,.% p. 50!, 503) fui rtimprimeo par un journal écossais. Do là une polémique agréable entre c c l u U i e l l e s svcopbanles des Sutlierland. 3. On trouve des détails intéressants sur ce commerce de

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Verzeichnis der Randanstreichungen und sonstigen Bemerkungen in KF6

VERZEICHNIS DER RANDANSTREICHUNGEN UND SONSTIGEN BEMERKUNGEN IN KF6

Soweit nicht anders angegeben, sind Zeichen und Bemerkungen mit schwarzer Tinte ausgeführt. - Hervorhebungen durch Unterstreichen im handschriftlichen Text sind kursiv gesetzt. 367.8—29 u. 368.1-23 367.10 368.9 373.15—29 u. 374.1—20 374.32—35 u. 375.1-8 377.30—37 u. 378.1—3 378.12—19 379.8-34 380.20-34 u. 381.1—24

427.35—36 u. 428.1-436.27 440.1 440.6—443.5 441.26 442.27-28

Randanstreichung des Textes; am Rand der linken Spalte a) Begrenzungszeichen I vor Elle und Zeilenzähler 8) am Rand. Begrenzungszeichen I nach fois. Einrahmung des Abschnitts mit Zeilenzähler 12) am Rand für die letzte Zeile (12. Zeile des Textes v. u. in der linken Spalte von Seite 188). Einrahmung des Abschnitts mit Zeilenzähler 6) oben und 23) unten am Rand der rechten Spalte von Seite 188. Einrahmung des Abschnitts mit (verte) am Ende der rechten Spalte von Seite 189 und a) am Rand neben jedem der beiden Teile des markierten Abschnitts. Einrahmung des Abschnitts mit Zeilenzähler 15) und 26) der linken Spalte von Seite 190; am Rand daneben a) Les faits bis vivres. ] Einrahmung des Abschnitts und b) am Rand. Einrahmung des Abschnitts in der linken und rechten Spalte mit Zeilenzähler 17) am Rand neben der ersten Zeile. Die Einrahmung ist verbunden mit der angekreuzten Fußnote 229 (Fußnote 2 in der linken Spalte von Seite 191). Einrahmung des Textabschnitts mit Zeilenzähler 13) am Rand (13. Textzeile v. u. in der rechten Spalte von Seite 212). In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 219 Einrahmung des Abschnitts einschließlich der Fußnoten. Einfügungskreuz x vor L i , dieses Wort ist unterstrichen. Dazu am linken Rand x (d. h. in d. Produktion des relativen Mehrwerths) devenir bis l'autre.] Bleistiftanstreichung über drei Zeilen am Innenrand der rechten Spalte von Seite 220.

757

Le capital. Paris 1872-1875 443.5 445.3—12

Nach siècles, steht das Zeichen x . Einrahmung des Abschnitts mit Zeilenzähler 14) am Rand der rechten Spalte und Einfügungskreuz x am Ende der Einrahmung nach c e l u i - l à . Das Kreuz ist am Rand wiederholt: X (Sieh Note)

und Verbindungslinie

zum unteren Rand zu: x aus d. deutschen Text p. 537 hier zuzusetzen: nähmlich durch die Bestimmung des Punktes, wo d. Arbeit für Andre beginnen kann. 446.12—448.19 Einrahmung mit Zeilenzähler 30) am Rand neben der ersten Zeile, zu deu. 448.35

ren Ermittlung jede vierte Zeile der linken Spalte von Seite 222 mit + angekreuzt ist.

446.34 446.35

Vor « L a cause ist 1) eingefügt. Nach e n t r e t i e n . » führt von einem dicken Punkt eine Verbindungslinie . zu der Bemerkung am Rand über der rechten Spalte von Seite 222:1) Im

Original: "The cause of profit is, that labour produces more than is required for its support." 446.36

Zu « P o u r führt ein zuordnender Strich vom Rand über der linken Spalte

von Seite 222 mit der Bemerkung: 2) In Mill: "To vary the form of the theorem: the reason why capital yields a profit, is because food, clothing, materials and tools, last (Ion) longer than the time which was required to produce them." 447.7

Vor « N o u s steht 3) mit Verbindungsstrich zur gegenüberliegenden

Seite 223 und der Bemerkung: D. hier citirte Passus bei Mill: "We thus see that profit arises, not from the incident of exchange, but from the productive power of labour; and the general profit of the country is always what the productive power of labour makes it, wether any exchange takes place or not. If there were no division of employments, there would be no buying and selling, but there would still be profit." 447.15—17

Vor « S i steht 4) in der Einrahmung des Absatzes, die mit der Bemerkung auf Seite 223 verbunden ist: bei Mill

"If t h e l a b o u r e r s of t h e

country collectively produce twenty per cent more than their wages, profit will be twenty per cent, whatever prices may or not be." 447.31

Das hier beginnende Zitat ist mit 5) vor «Je und dem Zeilenzähler 12) (12. Zeile v. u. am Ende der Zeile nach actuel) x

markiert und mit

x zur gegenüberliegenden Seite 223 mit der Bemerkung

verbunden: "I assume, throughout, the state of things, which, where the labourers and capitalists are separate classes, prevails, with few exceptions, universally; namely, that the capitalist(s) advances the whole expenses, including the entire remuneration of labour." Im freien Raum rechts neben diesem englischen Text steht auf Seite 223

dazu die Bemerkung: Dieser Satz nicht exact übersetzt. Mill unterstellt was er sagt, was dort der Fall, wo Arbeiter u. Capitalisten verschiedne Klassen bilden, nämlich dass d. Kapitalist ^ ^

758

J

^r*3e'tem

Verzeichnis der Randanstreichungen und sonstigen Bemerkungen in KF6 1 d. Lebensmittel vorschiesst. 2 d. ganzen Auslagen » (.) eingeschlossen

447.31

447.33-35 447.36

447.37

447.37

448.10

448.20 449.18—30

1 Dies reine Tautologie 2 d. Lebensmittel d. Arbeiter. » » » Das Zeichen T zwischen qui und prédomine bezieht sich auf einen die fehlerhafte Übersetzung korrigierenden Zusatz am Rand unter der rechten Spalte von Seite 222: là, où leh s (capitaliste) travailleurs et les capitalistes l: dans le système actuel :l sont des classes séparées, Die Sätze Étrange bis outre, sind durchgestrichen, die Tilgung ist aber durch Punkte am Rand offenbar wieder rückgängig gemacht. Mit 6) vor «que ist auf die englische Entsprechung des hier beginnenden Zitats verwiesen, die Marx auf der gegenüberliegenden Seite 223 wiedergibt: "That he should do so, is not a matter of inherent necessity." Das Zeichen T nach ainsi», ist am äußersten unteren Rand der Seite 222 wiederholt und beide sind mit einer Bogenlinie verbunden. 1 là Dazu auf dem Rand: même „ , , où les ( c ) tra2 — dans le systeme actuel vailleurs et les capitalistes [sont] des classes [séparées] Die Worte dans le système actuel stehen als Sofortvariante über là où ... und sind zugleich als Einfügung in den Zusatz auf S. 447.31 markiert. Mit 7) vor «jusqu'à ist auf die englische Entsprechung des hier beginnenden Zitats verwiesen, die auf der gegenüberliegenden Seite 223 wiedergegeben ist: "the labourer might wait until the production is complete ... even for the whole (of his wages], if he has funds in hand, sufficient for his temporary support("). But in the latter case, the labourer is to that extent really a capitalist, investing capital in the concern, by supplying a portion of the funds necessary for carrying it on." Mit 8) x vor « E t ist auf die englische Entsprechung des hier beginnenden Zitats verwiesen, die unter der kurzen rechten Spalte von Seite 223 1 wiedergegeben ist: x "And even in the former case „ , 2 when labourer 1 [when the capitalist advances the 2 is a wages labourer to whom 1 entire remuneration of the labourer] s , 2 ..., he (the labourer) may be looked (as) upon in the same light, since, contributing his labour at less than the market price, he may be regarded as lending the difference to his employer etc" in die linke obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl: 224 Nach unten offene Einrahmung auf Seite 224, Randanstreichung auf Seite 225; auf beiden Seiten am Rand: a)

759

Le capital. Paris 1872-1875 Toute bis plus-value.] Die Zeilen 6, 9, 13, 17 und 22 der linken Spalte von Seite 225 sind mit Zeilenzähler versehen: 6) bzw. jeweils + . 4 5 0 . 3 1 - 3 3 u. La journée bis celle-ci.] Dieser erste Absatz der rechten Spalte von 451.1-9 Seite 225 ist mit Zeilenzählern versehen: - 4 - 8 - 1 2 - 1 6 . 451.10-452.27 Nous bis divers.] Zeilenzähler 19 zu Beginn (Seite 225 rechte Spalte) und 4) 8) 12) 16) 20) 24) 28) 32) 36) 40) 44) 47) sowie durchgehende Randanstreichung. Neben divers, steht als Schlußzeichen^^. 451.22-24 Randbemerkung neben den Zeilen 37-41 der rechten Spalte von Seite 225: (überall = | in 1 shilling u. pence umzusetzen, cf. d. Deutsche) 451.36—37 Randbemerkung: sh. u. d. 452.20 Vor (p) ist eingefügt, dazu auf dem Rand: zu setzen m (f. Mehrwerth) 449.31-450.5

452.21

Am Rand: — für - im französischen Text. v v

452.21

Am Rand: ^ für ^ im französischen Text.

452.25

taux de la plus-value und taux du profit sind unterstrichen, dazu auf dem Rand: the rate of surplusvalue the rate of profit Rahmende Randanstreichung und Zeilenzähler 3) 6) 9) 12 15) in der rechten Spalte von Seite 226. Randbemerkung zu la moyenne sociale im französischen Text: The social average Ein Strich unter der letzten Zeile des hier endenden Absatzes dient möglicherweise der Verkürzung der längeren Randanstreichung. Rahmende Anstreichung durch | . Randanstreichung der letzten 7 Zeilen des Teilkapitels III mit — und + als Zeilenzähler bei Zeile 3 bzw. 6 in der rechten Spalte von Seite 227. Die Geltung der Anstreichung für das ganze Teilkapitel III wird durch einen Querstrich am Schluß nahegelegt. In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl: 243 Geschlossene Einrahmung des Textes sowie zusätzlich des Fußnotenblocks der linken Spalte von Seite 244 (Fußnoten 51-53). Die Einrahmung auf Seite 243 ist vermutlich entstanden durch Ergänzung der Absatzmarkierungen (S. 483.6, 13 und 484.25). Das Zeichen | nach i l faut ist ohne erkennbare Funktion, vermutlich hier versehentlich eingetragen, wenn der große Punkt am Rand als getilgte Wiederholung zu deuten ist. Der Beginn des Absatzes ist mit -X- - am Rand markiert. Am Rand des hier endenden Absatzes: X . Die Absatzmarkierung endet am Rand mit x. Randanstreichung mit + vor « I l faut und Bemerkung am Rand: + ) 1 Dieser Passus steht A «»T^^ . , englisch in dtsch Ausgabe 2 Die Citate in diesem » stehn p. 584 n. 65 (mit Ausschluss d. Zusatzes)

452.29—32 U. 453.1-20 453.4-5 453.11 453.29—31 455.7-11

483.3 483.6—29, 4 8 4 . 1 - 3 9 u. 485.1-486.29 483.6

483.22 484.24 484.25 4 8 4 . 3 2 - 3 9 u. 485.1-4

760

Verzeichnis der Randanstreichungen und sonstigen Bemerkungen in KF6 485.10

Anstreichung neben der ersten Zeile des Absatzes, darunter die Zeichen T | am Rand mit anschließender Bemerkung: Dieser Passus, so wie d. folgende Tabelle in dtscher Ausgabe im Nachtrag als Nie p. 810.

811.

«Le travail bis bas.»] Dazu am Rand: + Dieses Citat englisch deutsche Ausgabe p. 584, Zusatz zu Nte 65. 486.22-29 Am Rand dieses Absatzes: Steht nicht in deutscher Ausgabe 487.30 In die linke obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 246) 487.33-488.39 Einrahmung. 491.1 In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 247) 491.33-39 u. Einrahmung der Fußnote. 492.36-39 495.3—10 Einrahmung des Absatzes und Zeilenzähler 4— 8— 12— sowie bis zum Ende der linken Spalte mit - (Zeile 55 und 59) und + (Zeile 64). 495.22—29 La séparation bis renouvelé. ] Einrahmung mit Markierung des Beginns am Rand: x 24) O u ] Absatzmarkierung mit korrigiertem Zeilenzähler 8 (10)) am linken Rand mit Anstreichung der letzten acht Textzeilen der linken Spalte. Nach l'autre, und am rechten Rand+ + (Sieh dtsche Ausg.) + nach peu. Auf dem oberen Rand über dieser ersten Zeile der linken Spalte von Seite 273 ( I m deutschen Exemplar: In der That ist) mit nicht getilgter Einfügungslinie zu Le rapport T vor capital und daneben auf dem linken Rand Surpluscapital Am linken Rand Zeilenzähler + + (Zeile 4, 8) 12) 16) 20) 24) 27) 30) 33) Nach contre-coup, ist + eingefügt, das am Ende des Absatzes wiederholt wurde mit der anschließenden, auf dem linken Rand fortgesetzten Bemerkung hier d. deutschen Satz hinzusetzen Das i n ein Naturgesetz etc p. 646)

540.9 540.40 541.13 541.16

541.18 541.18-34 u. 542.1-3 541.31

541.32-33

capitaliste bis progressive 93 .] Nach capitaliste hat Marx einen Punkt gesetzt und den folgenden Text durchgestrichen, außer der Fußnotenziffer.

542.4—13

Anstreichung des hier beginnenden Textabschnitts bis zum Fußnotenblock der linken Spalte von Seite 273. 96 L. c., trad. Garnier, ] Auf dem Rand unter dieser letzten Zeile der rechten Spalte von Seite 273 steht als Bemerkung zu der angekreuzten Fußnotenziffer Die Stelle lautet englisch: "The same cause, however, which raises the wages of labour, the increase of stock, tends to increase its productive powers, and to make a smaller quantity of labour produce a greater quantity of work." (b. II, ( E n d ) ch. VIII.) In meiner Ausgabe Smith's p. 66.

542.40

544.16—24 544.25

544.36—39 u. 545.1-14 545.15-25 545.32

Absatzmarkierung; daneben auf dem linken Rand (a) Auf dem Rand neben dem hier beginnenden Absatz (b) fehlt i m Deutschen Die Bemerkung bezieht sich zweifellos auf den ganzen Absatz (bis S. 544.35). Anstreichung des ganzen Absatzes. Daneben auf dem rechten Rand bleibt ( d ) stehn Dt. Text Daneben auf dem rechten Rand fehlt im Deutschen od. kommt später en passant Anstreichung des Absatzendes. Neben préalable auf dem rechten Rand (previous) Dazu auf dem Rand unter der rechten Spalte von Seite 274 "The accumulation of stock is previously necessary for carrying on this great improvement i n the productive powers of labour." (book II introduction (I.e.) p. 194.

763

Le capital. Paris 1872-1875 5 4 9 . 3 6 - 3 7 u.

Vollständige gegliederte Anstreichung, auf Seite 276 rechte Spalte oben

550.1—557.27

und links, dann jeweils am Außenrand der Spalten.

550.15

Am Ende der Zeile nach grandeur, steht das Zeichen X ohne erkennbare Funktion; am linken Rand des hier beginnenden Absatzes (a)

554.31-32,

Markierungen in der Randanstreichung zur Hervorhebung von D a n s bis

555.20-24

dit: bzw. C i t o n s bis travailleur 1 0 8 .» Dazu am oberen Rand von Seite 279 i n Nie 79 d. dtschen

D i e e i n g e k l a m m e r t e n Citate englisch

Ausgabe

p. 6 5 5 u. 6 5 6 . 557.24-27

Markierung des Absatzes.

558.2

A m rechten Rand der Zeile 22 von Seite 280, rechte Spalte, mit Bezug auf

558.20—36 u.

Anstreichung

559.1—38

Seite 281, linke Spalte, durchgehend am linken Rand, mit

Malthus

steht x Sieh unten mit |

zu

Nie Beginn auf Seite 280, rechte

Spalte, | am

Ende des Abschnitts auf Seite 281, rechte Spalte, und Zeilenzählung (Zeile 4, 8, 10) mit — . 558.38

110

Malthus:

bis 320.] A m rechten Rand dieser Zeile x mit Verweislinie

zum unteren Rand der Seite und der Bemerkung x English

i n deut.

A u s g . p. 6 5 9 , n. 81 559.39

Anstreichung des hier beginnenden Absatzes mit

561.31

(a) am linken Rand neben dem hier beginnenden Absatz.

561.38

|.

Begrenzung des vorher durch (a) gekennzeichneten Abschnitts mit dem Zeichen | nach encore.

561.38—40

A l o r s bis d ' i n d u s t r i e . ] Anstreichung der ersten drei Zeilen in der rechten Spalte von Seite 282, daneben am rechten Rand (b)

562.26—40

Einrahmung des Absatzes und - vielleicht zunächst versehentlich - der drei nachfolgenden, die rechte Spalte von Seite 282 abschließenden Zeilen. Vor Les ouvriers steht 2) Am Ende nach travail steht x c)

563.36

A m linken Rand des hier beginnenden Absatzes A b s a t z h i e r n i c h t i m

564.17-29

L ' e x p l o i t a t i o n bis f a v o r i s é s 1 1 6 . » ] Einrahmung mit Bleistift, daneben auf

D e u t s c h e n mit Bleistift. dem rechten Rand

Andrerseits mit Bleistift am Anfang des Absatzes,

und a) in der Mitte des Absatzes in Höhe von E n outre 564.29

C e s bis c e t t e ] Trennstrich über dieser Zeile. Die Wörter C e s c o n d i t i o n s sind mit Bleistift unterstrichen. Dazu am rechten Rand mit Bleistift Unter diesen Bedingungen

mit neuem

Absatz

564.36—39

115

566.5-12

II rappelle bis l'arrêter.»] Anstreichung am linken Rand, daneben Sieh

5 6 8 . 2 9 - 3 4 u.

L e b i e n bis r i c h e s s e 1 2 1 . » ] Auf dem rechten Rand steht (a) Die linke

«II bis 81.)] Ungenau plazierte Randanstreichung, dazu am rechten

Rand Englisch d. Citate 569.1—3

deut. A u s g . 667. nte. 85

i m Original dt. Ausg. p. 6 6 9 , n. 87

Klammer dient als Anstreichung und verläuft durch einen Punkt in Höhe von Le b i e n und einen zweiten Punkt gegenüber von « i l b e n e über zwölf Zeilen. Neben der letzten Zeile des Absatzes befindet sich ein weiterer Punkt.

569.23—27

764

Si bis p a r o i s s e . ] Anstreichung am linken Rand, daneben ( x )

Verzeichnis der Randanstreichungen und sonstigen Bemerkungen in KF6 570.7-21 585.21 592.18—22 598.33 618.6—8 622.37—42 623.39 624.3—7

624.8—628.11 627.20 631.1 631.8—11 631.22 632.4—8 633.3 633.4—634.3

634.4-5 634.27—34 634.36—39

641.29-30 u. 642.1—2 646.9—30

Sismondi bis sa/a/res.125» ] Anstreichung am linken Rand, daneben (a) Anstreichung am linken Rand. Randanstreichung der ersten acht Zeilen der Fußnote. Vor De 1851 ist T eingefügt und am rechten Rand wiederholt, von diesem Zeichen bis zum Ende der Fußnote Randanstreichung. Randanstreichung der Zeilen 1-4 von Seite 308, linke Spalte, mit Bleistift. Randanstreichung. Randanstreichung. L e vide bis table E.] Einrahmung, auf dem rechten Rand dazu a) und Zeilenzählung vom Beginn der rechten Spalte mit — (Zeile 4, 8, 12, 16) sowie 17 18 24) Durchgehende Randanstreichung von Seite 310, rechte Spalte, bis Seite 312, rechte Spalte, Zeile 6 mit (a) am Rand. Erin. ] Nach dem hier endenden Absatz ist ein Trennstrich gezogen. In die linke obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 314) qui, bis sortir] Randanstreichung mit Bleistift und x am linken Rand mit Bleistift. intelligents, bis ménagères;] Unterstreichung und Randanstreichung mit Bleistift. Anstreichung und x am rechten Rand mit Bleistift. partiellement au moins,] Unterstreichung mit Bleistift. Randanstreichung mit Bleistift bis zum Ende der linken Spalte und von Zeile 3 der rechten Spalte an. Zu Beginn am linken Rand 744) X und am Rand der rechten Spalte bei Pour en faire jeweils mit Bleistift —-— 744 régime bis moyen âge,] Unterstreichung mit Bleistift und am rechten Rand x . Randanstreichung mit Bleistift bis contraire. Les aber wohl auch auf den letzten Satz der Fußnote zu beziehen. Am Rand neben und unter der die linke Spalte von Seite 316 abschließenden Fußnote Zu corrigiren nach deutschem Zusatz (p. 26 für die erste Zeile des angestrichenen Abschnitts auf Seite 321, rechte Spalte, d. h. die 26. Zeile v. u.; ferner 8 bei Zeile 46, 12 bei Zeile 50, 16 bei Zeile 54, 12 bei Zeile 58, 6 bei Zeile 62.

765

Le capital. Paris 1872-1875 646.12 646.39 649.31—34, 41—42 u. 650.1—651.3 651.17 658.17-659.5

661.44-47 u. 662.19-32

662.32 664.35—39 u. 665.1—15 667.4 667.21—34 u. 668.1—2

668.16—17

671.7-9 671.14—17 671.20

673.20—38

674.20—21 674.39

766

Unmittelbar vor L à ist das Zeichen x angebracht. F. W.Newman, I.e., p. 132.] Unterstreichung und daneben auf dem linken Rand English. 759, nt. 213. Anstreichung am rechten Rand der rechten Spalte von Seite 323, Zeile 3 bis unten. Am Ende des Textes in der linken Spalte von Seite 324 am Rand Zeilenzähler 10) Der Beginn des Abschnitts ist am Rand mit^£markiert. Anstreichung des Anfangs der Fußnote am linken Rand. Anstreichung des Abschnitts oben und unten, am rechten Rand (a) und Zeilenzählung durch Ankreuzen jeder vierten Zeile der rechten Spalte von Seite 328 bis Zeile 44. Zeilenzählung am rechten Rand der rechten Spalte von Seite 331, und zwar mit — bei der ersten bis dritten Zeile der Fußnote sowie bei Zeile 16, ferner mit - 4 - 8 - 12 - 17 > 18 20 24 26 > 27 Sie diente sicher der Ermittlung des letzten Satzes in diesem Abschnitt O n bis ouailles. Darauf deutet ein Markierungsstrich bei Zeilenzähler 18 hin wie auch eine geschweifte Klammer mit der Spitze beim Zeilenzähler 27. Neben der Klammer a). Am linken Rand der mit les grands beginnenden Zeile steht 28 als Zeilenzähler der Fußnote. Randanstreichung mit Zählstrichen an jeder vierten Zeile in der rechten Spalte von Seite 333. Am Rand neben der ersten Zeile (in der linken Spalte) steht a) das am Rand der rechten Spalte wiederholt ist. In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 335) A présent bis loi.] Randanstreichung und a) am Rand neben dem Beginn des Abschnitts in der linken Spalte und am Rand der rechten Spalte von Seite 335. Zeilenzählstriche bei jeder dritten Zeile der rechten Spalte und Zeilenzähler 19) bei der letzten Zeile. Der Satz Dans bis rois, ist in [ ] eingeschlossen. Die Zeilenzahl für den markierten Satz ist durch Zählstriche am Rand der Zeilen 4, 8, 12 und 13 der linken Spalte von Seite 336 ermittelt. La vraie bis grandeur.] Einrahmung, vielleicht versehentlich, da der obere Begrenzungsstrich wieder durchgestrichen ist. De nos bis colonial.] Einrahmung mit a) am Rand der linken Spalte unten und der rechten Spalte von Seite 337 oben. Trennungsstrich über der Zeile, mit der der Absatz beginnt, möglicherweise zur Verstärkung einer vorherigen Anstreichung. Am Rand der rechten Spalte von Seite 337 Zeilenzähler 6) und (b) Randanstreichung mit Zählstrichen an jeder dritten Zeile der rechten Spalte von Seite 338 bis Zeile 21 sowie Zeilenzähler 26 am Schluß. Der Trennstrich unter dieser letzten Zeile dient offenbar als Endmarkierung. L e bis presse!] Einrahmung, dazu am rechten Rand (a) Der Zeilenzähler 26 könnte sich auf den Nebensatz qui était lui-même filateur beziehen, der im Text der deutschen Ausgabe fehlt.

27

Verzeichnis der Randanstreichungen und sonstigen Bemerkungen in KF6 677.4 677.10—15 678.15—16 679.28-33

680.1 680.3—7

In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 341) Randanstreichung mit a) am linken Rand und Zeilenzähler 6) für die erste Zeile des Absatzes. L'éterniser, bis tout».] Einrahmung mit b) am rechten Rand der rechten Spalte von Seite 341. Mais bis soi.] Randanstreichung mit geschweifter Klammer und b) am rechten Rand. Zeilenzähler 8 und 16 für die erste und die letzte Zeile. Die Wörter Mais la am Ende von Zeile 8 in der rechten Spalte von Seite 342 sind unterstrichen. In die rechte obere Ecke der nicht paginierten Seite schrieb Marx die Seitenzahl 343) L'économie bis tombe.] Randanstreichung, dazu auf dem linken Rand

a) 688.11 — 13 688.16-24

panacée bis stagnants] Randanstreichung dieser drei Zeilen der linken Spalte von Seite 347. D'autre part bis européen.] Klammermarkierung des Anfangs und Randanstreichung mit a) am Rand der linken Spalte und a am Rand der rechten Spalte. Zählstriche am Ende der Zeilen in der linken Spalte.

767

Le capital. Paris 1872-1875

V E R Z E I C H N I S VON A B W E I C H U N G E N DER F R A N Z Ö S I S C H E N Ü B E R S E T Z U N G VON DER D E U T S C H E N VORLAGE Gliederung in DF1 und D4 Préface de la première édition

Vorwort zur ersten Auflage.

Livre premier. Développement de la production capitaliste

Erstes Buch. Der Produktionsproceß des Kapitals.

Première section. Marchandise et Monnaie Chapitre premier. La marchandise I - Les deux facteurs de la marchandise: Valeur d'usage et valeur d'échange ou valeur proprement dite (Substance de la valeur Grandeur de la valeur) II - Double caractère du travail présenté par la marchandise III - Forme de la Valeur

Erster Abschnitt. Waare und Geld.

A. Forme simple ou accidentelle de la valeur a) Les deux pôles de l'expression de la valeur: sa forme relative et sa forme équivalente b) La forme relative de la valeur

768

Erstes Kapitel. Die Waare. 1) Die zwei Faktoren der Waare: Gebrauchswerth und Werth (Werthsubstanz, Werthgröße).

2) Doppelcharakter der in den Waaren dargestellten Arbeit. 3) Die Werthform oder der Tauschwerth. A. Einfache oder einzelne Werthform. 1) Die beiden Pole des Werthausdrucks: Relative Werthform und Aequivalentform. 2) Die relative Werthform.

Verzeichnis von Abweichungen

1) Contenu de cette forme 2) Détermination quantitative de la valeur relative c) La forme d'équivalent et ses particularités d) Ensemble de la forme valeur simple B. Forme valeur totale ou développée a) La forme développée de la valeur relative b) La forme équivalent particulière c) Défauts de la forme valeur totale ou développée C. Forme valeur générale a) Changement de caractère de la forme valeur b) Rapport de développement de la forme valeur relative et de la forme équivalent c) Transition de la forme valeur générale à la forme argent D. Forme monnaie ou argent IV - Le caractère fétiche de la marchandise et son secret Chapitre II. Des échanges Chapitre III. La monnaie ou la circulation des marchandises I - Mesure des valeurs II - Moyen de circulation a) La métamorphose des marchandises b) Cours de la monnaie c) Le numéraire ou les espèces Le signe de valeur III - La monnaie ou l'argent a) Thésaurisation b) Moyen de payement c) La monnaie universelle

a) Gehalt der relativen Werthform. b) Quantitative Bestimmtheit der relativen Werthform. 3) Die Aequivalentform. 4) Das Ganze der einfachen Werthform. B. Totale oder entfaltete Werthform. 1. Die entfaltete relative Werthform. 2. Die besondre Aequivalentform. 3. Mängel der totalen oder entfalteten Werthform. C. Allgemeine Werthform. 1. Veränderter Charakter der Werthform. 2. Entwicklungsverhältniß von relativer Werthform und Aequivalentform. 3. Uebergang aus der allgemeinen Werthform zur Geldform. D. Geldform. 4. Der Fetischcharakter der Waare und sein Geheimniß. Zweites Kapitel. Der Austauschproceß. Drittes Kapitel. Das Geld oder die Waarencirkulation. 1. Maß der Werthe. 2. Cirkulationsmittel. a) Die Metamorphose der Waaren. b) Der Umlauf des Geldes. c) Die Münze. Das Werthzeichen. 3. Geld. a) Schatzbildung. b) Zahlungsmittel. c) Weltgeld.

769

Le capital. Paris 1872-1875

Deuxième section. La transformation de l'argent en capital

Chapitre IV. La formule générale du capital Chapitre V. Contradictions de la formule générale du capital Chapitre VI. Achat et vente de la force de travail Troisième section. La production de la plus-value absolue Chapitre VII. Production de valeurs d'usage et production de la plus-value I - Production de valeurs d'usage II - Production de la plus-value Chapitre VIII. Capital constant et capital variable Chapitre IX. Le taux de la plus-value I

- Le degré d'exploitation de la force de travail II - Expression de la valeur du produit en parties proportionnelles du même produit III - La Dernière heure de Senior IV - Le produit net Chapitre X. La journée de travail I - Limite de la journée de travail II - Le Capital affamé de surtravail - Boyard et Fabricant III - La journée de travail dans les branches de l'industrie anglaise où l'exploitation n'est pas limitée par la loi IV - Travail de jour et de nuit - Le système des relais V - Lois coercitives pour la prolongation de la journée de travail depuis le milieu du quatorzième jusqu'à la fin du dix-septième siècle VI - Lutte pour la journée de travail normale - Limitation légale coer-

770

Zweiter Abschnitt. Die Verwandlung von Geld in Kapital. Viertes Kapitel. Verwandlung von Geld in Kapital. 1. Die allgemeine Formel des Kapitals. 2. Widersprüche der allgemeinen Formel. 3. Kauf und Verkauf der Arbeitskraft.

Dritter Abschnitt. Die Produktion des absoluten Mehrwerths. Fünftes Kapitel. Arbeitsproceß und Verwerthungsproceß.

Sechstes Kapitel. Konstantes Kapital und variables Kapital. Siebentes Kapitel. Die Rate des Mehrwerths. 1. Der Exploitationsgrad der Arbeitskraft. 2. Darstellung des Produktenwerths in proportionellen Theilen des Produkts. 3. Senior's „Letzte Stunde". 4. Das Mehrprodukt. Achtes Kapitel. Der Arbeitstag. 1) Die Grenzen des Arbeitstags. 2. Der Heißhunger nach Mehrarbeit. Fabrikant und Bojar. 3. Englische Industriezweige ohne legale Schranke der Exploitation.

4. Tag- und Nachtarbeit. Das Ablösungssystem. 5. Der Kampf um den Normalarbeitstag. Zwangsgesetze zur Verlängerung des Arbeitstags von der Mitte des 14. bis zu Ende des 17. Jahrhunderts. 6. Der Kampf um den Normalarbeitstag. Zwangsgesetzliche

Verzeichnis von Abweichungen

citive du temps de travail - La législation manufacturière anglaise de 1833 à 1864 VII - La lutte pour la journée de travail normale - Contre-coup de la législation anglaise sur les autres pays Chapitre XI. Taux et masse de la plusvalue

Beschränkung der Arbeitszeit. Die englische Fabrikgesetzgebung von 1833-1864. 7. Der Kampf um den Normalarbeitstag. Rückwirkung der englischen Fabrikgesetzgebung auf andre Länder. Neuntes Kapitel. Rate und Masse des Mehrwerths.

Quatrième section. La production de la plus-value relative Chapitre XII. La plus-value relative

Vierter Abschnitt. Die Produktion des relativen Mehrwerths. Zehntes Kapitel. Begriff des relativen Mehrwerths. Elftes Kapitel. Kooperation. Zwölftes Kapitel. Theilung der Arbeit und Manufaktur. 1. Doppelter Ursprung der Manufaktur. 2. Der Theilarbeiter und sein Werkzeug. 3. Die beiden Grundformen der Manufaktur - Heterogene Manufaktur und organische Manufaktur.

Chapitre XIII. Coopération Chapitre XIV. Division du travail et manufacture I - Double origine de la manufacture II - Le travailleur parcellaire et son outil III - Mécanisme général de la manufacture - Ses deux formes fondamentales: Manufacture hétérogène et manufacture sérielle IV - Division du travail dans la manufacture et dans la société V - Caractère capitaliste de la manufacture Chapitre XV. Machinisme et grande industrie I - Développement des machines et de la production mécanique II - Valeur transmise par la machine au produit III - Réaction immédiate de l'industrie mécanique sur le travailleur a) Appropriation des forces de travail supplémentaires - Travail des femmes et des enfants b) Prolongation de la journée de travail c) Intensification du travail

4. Theilung der Arbeit innerhalb der Manufaktur und Theilung der Arbeit innerhalb der Gesellschaft. 5. Der kapitalistische Charakter der Manufaktur. Dreizehntes Kapitel. Maschinerie und große Industrie. 1. Entwicklung der Maschinerie. 2. Werthabgabe der Maschinerie an das Produkt. 3. Nächste Wirkungen des maschinenmäßigen Betriebs auf den Arbeiter. a) Aneignung zuschüssiger Arbeitskräfte durch das Kapital. Weiber- und Kinderarbeit. b) Verlängerung des Arbeitstags. c) Intensifikation der Arbeit.

771

Le capital. Paris 1872-1875

IV V VI

VII

- La Fabrique - Lutte entre travailleur et machine - Théorie de la compensation

- Répulsion et attraction des ouvriers par la fabrique - Crises de l'industrie cotonnière

VIII - Révolution opérée dans la manufacture, le métier et le travail à domicile par la grande industrie a) Suppression de la coopération fondée sur le métier et la division du travail b) Réaction de la fabrique sur la manufacture et le travail à domicile c) La manufacture moderne d) Le travail moderne à domicile e) Passage de la manufacture moderne et du travail à domicile à la grande industrie

IX

- Législation de fabrique

X

- Grande industrie et agriculture

Cinquième section. Recherches ultérieures sur la production de la plusvalue Chapitre XVI. Plus-value absolue et plus-value relative Chapitre XVII. Variations dans le rapport de grandeur entre la plus-value et la valeur de la force de travail I - Données: Durée et intensité de travail constantes - Productivité variable II - Données: Durée et productivité

772

4. Die Fabrik. 5. Kampf zwischen Arbeiter und Maschine. 6. Die Kompensationstheorie bezüglich der durch Maschinerie verdrängten Arbeiter. 7. Repulsion und Attraktion von Arbeitern mit Entwicklung des Maschinenbetriebs. Krisen der Baumwollindustrie. 8. Revolutionirung von Manufaktur, Handwerk und Hausarbeit durch die große Industrie. a) Aufhebung der auf Handwerk und Theilung der Arbeit beruhenden Kooperation. b) Rückwirkung des Fabrikwesens auf Manufaktur und Hausarbeit. c) Die moderne Manufaktur. d) Die moderne Hausarbeit. e) Uebergang der modernen Manufaktur und Hausarbeit zur großen Industrie. Beschleunigung dieser Revolution durch Anwendung der Fabrikgesetze auf jene Betriebsweisen. 9. Fabrikgesetzgebung. (Gesundheitsund Erziehungsklauseln.) Ihre Verallgemeinerung in England. 10. Große Industrie und Agrikultur. Fünfter Abschnitt. Die Produktion des absoluten und relativen Mehrwerths. Vierzehntes Kapitel. Absoluter und relativer Mehrwerth. Fünfzehntes Kapitel. Größenwechsel von Preis der Arbeitskraft und Mehrwerth. A) Größe des Arbeitstags und Intensivität der Arbeit konstant (gegeben), Produktivkraft der Arbeit variabel. B) Konstanter Arbeitstag, konstante

Verzeichnis von Abweichungen

du travail constantes - Intensité variable III - Données: Productivité et intensité du travail constantes - Durée du travail variable IV - Données: Variations simultanées dans la durée, la productivité et l'intensité du travail Chapitre XVIII. Formules diverses pour le taux de la plus-value

Produktivkraft der Arbeit, Intensivität der Arbeit variabel. C) Produktivkraft und Intensivität der Arbeit konstant, Arbeitstag variabel. D) Gleichzeitige Variationen in Dauer, Produktivkraft und Intensivität der Arbeit. Sechszehntes Kapitel. Verschiedne Formeln für die Rate des Mehrwerths.

Sixième section. Le salaire Chapitre XIX. Transformation de la valeur ou du prix de la force de travail en salaire Chapitre XX. Le salaire au temps Chapitre XXI. Le salaire aux pièces Chapitre XXII. Différence dans le taux des salaires nationaux

Sechster Abschnitt. Der Arbeitslohn. Siebzehntes Kapitel. Verwandlung von Werth, resp. Preis der Arbeitskraft in Arbeitslohn. Achtzehntes Kapitel. Der Zeitlohn. Neunzehntes Kapitel. Der Stücklohn. Zwanzigstes Kapitel. Nationale Verschiedenheit der Arbeitslöhne.

Septième section. Accumulation du capital Introduction Chapitre XXIII. Reproduction simple

Siebenter Abschnitt. Der Akkumulationsproceß des Kapitals.

Chapitre XXIV. Transformation de la plus-value en capital I - Reproduction sur une échelle progressive - Comment le droit de propriété de la production marchande devient le droit d'appropriation capitaliste II - Fausse interprétation de la production sur une échelle progressive III - Division de la plus-value en capital et en revenu - Théorie de l'abstinence IV - Circonstances qui, indépendamment de la division proportionnelle de la plus-value en capital et en revenu, déterminent l'étendue de l'accumulation - Degré d'exploitation de la force ouvrière - Productivité du travail - Différence crois-

Einundzwanzigstes Kapitel. Einfache Reproduktion. Zweiundzwanzigstes Kapitel. Verwandlung von Mehrwerth in Kapital. 1. Kapitalistischer Produktionsproceß auf erweiterter Stufenleiter. Umschlag der Eigenthumsgesetze der Waarenproduktion in Gesetze der kapitalistischen Aneignung. 2. Irrige Auffassung der Reproduktion auf erweiterter Stufenleiter seitens der politischen Oekonomie. 3. Theilung des Mehrwerths in Kapital und Revenue. - Die Abstinenztheorie. 4. Umstände, welche unabhängig von der proportioneilen Theilung des Mehrwerths in Kapital und Revenue den Umfang der Akkumulation bestimmen: Exploitationsgrad der Arbeitskraft. - Produktivkraft der Arbeit. - Größe des vorgeschoßnen

773

Le capital. Paris 1872-1875

sante entre le capital employé et le capital consommé - Grandeur du capital avancé V - Le prétendu fonds du travail (labour-fund) Chapitre XXV. Loi générale de l'accumulation capitaliste I

- La composition du capital restant la même, le progrès de l'accumulation tend à faire monter le taux des salaires II - Changements successifs de la composition du capital dans le progrès de l'accumulation et diminution relative de cette partie du capital qui s'échange contre la force ouvrière III - Production croissante d'une surpopulation relative ou d'une armée industrielle de réserve IV - Formes d'existence de la surpopulation relative - La loi générale de l'accumulation capitaliste V

- Illustration de la loi générale de l'accumulation capitaliste a) L'Angleterre de 1846 à 1866 b) Les couches industrielles mal payées c) La population nomade - Les mineurs d) Effet des crises sur la partie la mieux payée de la classe ouvrière e) Le prolétariat agricole anglais f) Irlande

Huitième section. L'accumulation primitive Chapitre XXVI. Le secret de l'accumulation primitive

774

Kapitals. - Wachsende Differenz zwischen angewandtem und konsumirtem Kapital. 5. Der sogenannte Arbeitsfonds. Dreiundzwanzigstes Kapitel. Das allgemeine Gesetz der kapitalistischen Akkumulation. 1. Wachsende Nachfrage nach Arbeitskraft mit der Akkumulation, bei gleichbleibender Zusammensetzung des Kapitals. 2. Relative Abnahme des variablen Kapitaltheils im Fortgang der Akkumulation und der sie begleitenden Koncentration.

3. Progressive Produktion einer relativen Ueberbevölkerung oder industriellen Reservearmee. 4. Verschiedne Existenzformen der relativen Ueberbevölkerung. Das allgemeine Gesetz der kapitalistischen Akkumulation. 5. Illustration des allgemeinen Gesetzes der kapitalistischen Akkumulation. a) England von 1846-1866. b) Die schlechtbezahlten Schichten der britischen industriellen Arbeiterklasse. c) Das Wandervolk. d) Wirkung der Krisen auf den bestbezahlten Theil der Arbeiterklasse. e) Das britische Ackerbauproletariat. f) Irland. Vierundzwanzigstes Kapitel. Die sog. ursprüngliche Akkumulation. 1. Das Geheimnis der ursprünglichen Akkumulation.

Verzeichnis von Abweichungen

Chapitre XXVII. L'expropriation de la population campagnarde Chapitre XXVIII. Législation sanguinaire contre les expropriés à partir de la fin du quinzième siècle - Lois sur les salaires Chapitre XXIX. Genèse des fermiers capitalistes Chapitre XXX. Contre-coup de la révolution agricole sur l'industrie - Établissement du marché intérieur pour le capital industriel Chapitre XXXI. Genèse du capitaliste industriel Chapitre XXXII. Tendance historique de l'accumulation capitaliste Chapitre XXXIII. La théorie moderne de la colonisation

2. Expropriation des Landvolks von Grund und Boden. 3. Blutgesetzgebung gegen die Expropriirten seit Ende des 15. Jahrhunderts. Gesetze zur Herabdrückung des Arbeitslohns. 4. Genesis der kapitalistischen Pächter. 5. Rückwirkung der agrikolen Revolution auf die Industrie. Herstellung des innern Markts für das industrielle Kapital. 6. Genesis des industriellen Kapitalisten. 7. Geschichtliche Tendenz der kapitalistischen Akkumulation. Fünfundzwanzigstes Kapitel. Die moderne Kolonisationstheorie.

11.6-9

Afin bis nombre ] D4 Der Inhalt jener früheren Schrift ist resümirt im ersten Kapitel dieses Bandes. Es geschah dieß nicht nur des Zusammenhangs und der Vollständigkeit wegen. Die Darstellung ist verbessert. Soweit es der Sachverhalt irgendwie erlaubte, sind viele [65.7-10]

11.12

lecteur] D4 Leser der früheren Schrift [65.13-14]

12.8

société bourgeoise actuelle] D4 bürgerliche Gesellschaft [66.6]

12.14-15

la lecture bis difficultés.] D4 wird man daher dieß Buch nicht wegen Schwerverständlichkeit anklagen können. [66.12-13]

12.40

lois anglaises] D4 Fabrikgesetze [66.35]

13.16-17

rigides et désintéressés] D4 rücksichtslose [67.11]

13.17-18

de la Grande-Bretagne ] D4 Englands [67.12]

13.28

marche du bouleversement social] D4 Umwälzungsproceß [67.22]

13.34

légaux] D4 gesetzlich kontrolirbaren [67.27]

14.10

s'en dégager] D4 sich auch subjektiv über sie erheben [68.4]

14.18-19

de la vieille propriété] D4 überlieferter Eigenthumsverhältnisse [68.12-13]

14.27

Grande-Bretagne ] D4 England [68.20]

775

Le capital. Paris 1872-1875

14.40

volume] D4 Band (Buch IV) [68.32]

19.8-9

et valeur d'échange ou valeur proprement dite ] D4 und Werth [69.8] H3 und Tauschwerth [3.4]

20.2-3

moyen de subsistance,] D4 als Lebensmittel, d.h. als Gegenstand des Genusses, [70.2]

20.15

valeur d'usage ] D4 Gebrauchswerth oder Gut [70.16-17]

20.24

société ] D4 Gesellschaftsform [70.25]

20.42-43

«nul bis acheteur] D4 herrscht die fictio juris, daß jeder Mensch als Waarenkäufer [70.40-41]

21.17

quelque chose de commun] D4 ein Gemeinsames von derselben Größe [71.14]

21.19

au troisième, indépendamment de l'autre] D4 auf dieß Dritte [71.17-18] DF 1 folgt D 1 (siehe MEGA® II/5. S. 19.12).

21.30-32

Mais bis rapport d'échange] D4 Andrerseits ist aber das Austauschverhältniß [71.29-30]

22.4

quantité. ] D4 Quantität sein, enthalten also kein Atom Gebrauchswerth. [72.1-2]

22.10

quelconque;] D4 Ding. Alle seine sinnlichen Beschaffenheiten sind ausgelöscht. [72.8-9]

22.12-13

caractères utiles particuliers ] D4 nützlichen Charakter [72.11 -12]

22.14-18

qui distinguent bis dépensée.] D4 sie unterscheiden sich nicht länger, sondern sind allzusammt reducirt auf gleiche menschliche Arbeit, abstrakt menschliche Arbeit. [72.14-16]

22.17-18

dépense bis dépensée] In D 4 erst im f o l g e n d e n Absatz [ 7 2 . 1 9 - 2 1 ] .

22.19-20

Chacun bis tous] D4 Es ist nichts von ihnen übrig geblieben als [72.17-18] DF 1 entspricht H 3 [ 4 . 1 0 - 1 1 ] ,

22.21

Métamorphosés en sublimés identiques, échantillons] D4 eine bloße Gallerte [72.19]

22.26

Le quelque chose de commun] D4 Im Austauschverhältniß der Waaren selbst erschien uns ihr Tauschwerth als etwas von ihren Gebrauchswerthen durchaus Unabhängiges. Abstrahirt man nun wirklich vom Gebrauchswerth der Arbeitsprodukte, so erhält man ihren Werth wie er eben bestimmt ward. Das Gemeinsame [72.25-28]

22.27-28

leur valeur;] D4 ihr Werth. Der Fortgang der Untersuchung wird uns zurückführen zum Tauschwerth als der nothwendigen Aus-

776

Verzeichnis von Abweichungen

drucksweise oder Erscheinungsform des Werths, welcher zunächst jedoch unabhängig von dieser Form zu betrachten ist. [72.29-33] 22.28

ou un article quelconque] D4 oder Gut [72.34]

22.29

travail humain] D4 abstrakt menschliche Arbeit [72.34-35]

23.12-13

conditions bis normales ] D4 vorhandenen gesellschaftlich-normalen Produktionsbedingungen [73.14-15]

23.15

tisserand anglais] D4 englische Handweber [73.18-19]

23.20-21

quantum bis article, ] D4 Quantum gesellschaftlich nothwendiger Arbeit oder die zur Herstellung eines Gebrauchswerths gesellschaftlich nothwendige Arbeitszeit, [73.23-25]

23.25

une valeur égale.] D4 dieselbe Werthgröße. [73.28]

23.28

de l'autre.] D4 der andren nothwendigen Arbeitszeit. „Als Werthe sind alle Waaren nur bestimmte Maße festgeronnener Arbeitszeit"11). [73.31-32] n ) K. Marx 1. c. p. 6. [73.44]

24.25-27

Nous bis Une chose] D4 Ein Ding [74.30] Der

Zusatz

in

DF1 entspricht

D 1 (siehe

MEGA©

II/5.

S. 21.31-32).

24.31-32

qu'une valeur d'usage personnelle.] D4 zwar Gebrauchswerth, aber nicht Waare. [74.35]

24.35-36

dépensé inutilement et] D4 nutzlos, zählt nicht als Arbeit und [74.39]

25.4-6

vu que bis proprement dite. ] D4 daß auch die Arbeit, soweit sie im Werth ausgedrückt ist, nicht mehr dieselben Merkmale besitzt, die ihr als Erzeugerin von Gebrauchswerthen zukommen. [75.3-5]

25.36-37

se présentent comme marchandises réciproquement échangeables. ] D4 treten einander als Waaren gegenüber. [75.38]

27.20

abstraction faite de] D4 Sieht man ab von der Bestimmtheit der produktiven Thätigkeit und daher vom [77.23-24]

27.29

société civile] D4 bürgerlichen Gesellschaft [77.34]

27.32

tout homme ordinaire] D4 im Durchschnitt jeder gewöhnliche Mensch [77.37]

28.2

dans une proportion quelconque, au produit] D4 dem Produkt [78.6]

28.7-8

II s'ensuit bis simple. ] D4 Der Vereinfachung halber gilt uns im Folgenden jede Art Arbeitskraft unmittelbar für einfache Arbeitskraft, wodurch nur die Mühe der Reduktion erspart wird. [78.11-14] 777

Le capital. Paris 1872-1875 28.18-19

mais bis humain.] D 4 Substanz des Rockwerths und Leinwandwerths sind sie nur, soweit von ihrer besondren Qualität abstrahirt wird und beide gleiche Qualität besitzen, die Qualität menschlicher Arbeit. [78.25-27]

28.28

que quantitativement. ] D 4 nur quantitativ, nachdem sie bereits auf menschliche Arbeit ohne weitere Qualität reducirt ist. [78.36-37 und 79.1]

29.12-13

L'efficacité bis productive.] D 4 Produktivkraft ist natürlich stets Produktivkraft nützlicher, konkreter Arbeit, und bestimmt in der That nur den Wirkungsgrad zweckmäßiger produktiver Thätigkeit in gegebnem Zeitraum. [79.21-24]

29.16

jamais directement] D 4 an und für sich gar nicht. [79.27]

29.21

la même valeur] D 4 dieselbe Werthgröße [79.31]

29.28-32

I I résulte bis objective. Tout travail] D 4 Alle Arbeit [79.39] Der Zusatz in DF1 entspricht D1 (siehe MEGA© II/5. S. 26.39-27.2).

29.37-40 u. 30.1—2

valeurs d'usage bis valeur.] D 4 Gebrauchswerthe [80.3] Der Zusatz in DF1 entspricht im wesentlichen D1 (siehe MEGA® 11/5. S. 27.2-9).

30.4

Forme de la Valeur] DF1 entspricht H 3 [7.12],

30.9

Elles bis qu'autant] D 4 Sie erscheinen daher nur als Waaren oder besitzen nur die Form von Waaren, sofern [80.8-9]

30.10-11

forme de valeur 16 . ] D 4 Werthform. [80.10] Die Fußnote steht in D4 erst bei der Behandlung der relativen Wertform (siehe MEGA® II/6. S. 82.27). - In H 3 ist die Vorverlegung gekennzeichnet (siehe MEGA® II/6. S. 7.12).

31.9

forme valeur particulière] D 4 gemeinsame Werthform [81.2]

31.10

leurs formes naturelles diverses] D 4 bunten Naturalformen ihrer Gebrauchswerthe [81.1]

31.17-18

En général bis simple] D 4 Das einfachste Werthverhältniß [81.8] Der Zusatz in DF1 entspricht H 3 [8.13-14],

31.20

rapport de valeur ou d'échange] D 4 Werthverhältniß [81.10]

31.28-31

Le mystère bis équivalente] Die Textanordnung ist gegenüber D4 [81.15-18] verändert und entspricht D1 (Anhang) (siehe MEGA® 11/5. S. 626.19-20 und 627.1-2).

31.36

comme valeur relative,] D 4 als relativer Werth dargestellt oder sie befindet sich in relativer Werthform. [81.23-24]

778

Verzeichnis von Abweichungen

31.37

comme équivalent. ] D4 als Aequivalent oder befindet sich in Aequivalentform. [81.24-25]

32.5-6

Cette bis seulement] D4 Ich kann z.B. den Werth der Leinwand nicht in Leinwand ausdrücken. 20 Ellen Leinwand = 20 Ellen Leinwand ist kein Werthausdruck. Diese Gleichung sagt vielmehr umgekehrt [81.30-33]

32.20

polariquement. ] D4 polarisch aus. _f Ob eine Waare sich nun in relativer Werthform befindet oder in der entgegengesetzten Aequivalentform, hängt ausschließlich ab von ihrer jedesmaligen Stelle im Werthausdruck, d.h. davon, ob sie die Waare ist, deren Werth, oder aber die Waare worin Werth ausgedrückt wird. [82.13-17]

32.35

unité. ] D4 Einheit, Dinge von derselben Natur [82.31]

32.37-38

marchandises bis affirmée] D4 qualitativ gleichgesetzten Waaren [82.33]

33.1-2

En bis l'habit] D4 Durch ihre Beziehung auf den Rock [83.1-2]

33.2-3

c'est-à-dire bis avec elle.] D4 oder mit ihr „Austauschbares". [83.2-3]

33.4-6

exclusivement bis marchandise. ] D4 als Existenzform von Werth, als Werthding, denn nur als solches ist er dasselbe wie die Leinwand. [83.3-4]

33.8-10

la valeur habit bis valeur? ] D4 nur als Werth ist sie auf den Rock als Gleichwerthiges oder mit ihr Austauschbares bezüglich. [83.6-7]

33.12-13

deux corps bis chimiques.] D4 verschiedner Körper. [83.8]

33.16-17

en équation bis l'équivalent, ] D4 gleichgesetzt, [83.11 -12]

33.19-22

Une équation bis corporelle.] D4 Durch die Gleichsetzung des Propylformats mit der Buttersäure wäre also ihre chemische Substanz im Unterschied von ihrer Körperform ausgedrückt. [83.14-16]

33.24-26

à l'abstraction bis utiles. ] D4 auf die Werthabstraktion, giebt ihnen aber keine von ihren Naturalformen verschiedne Werthform. [83.18-19] H3 zum Werthbegriff, aber nach wie vor verharren die Waaren selbst in ihrer hausbacknen Naturalform, ohne das geringste Zeichen ihres Werthcharakters von sich zu geben. [10.23-26]

33.28-29

ressort bis détermine] D4 tritt hier hervor durch [83.20-21]

33.31

L'habit bis toile] D4 Indem z. B. der Rock als Werthding der Leinwand gleichgesetzt wird [83.22]

33.33

se distingue] D4 [...] verschiedenartige konkrete Arbeit [83.25]

779

Le capital. Paris 1872-1875

33.37-39

Cette bis toile.] D 4 Nur der Aequivalenzausdruck verschiedenartiger Waaren bringt den specifischen Charakter der werthbildenden Arbeit zum Vorschein, indem er die in den verschiedenartigen Waaren steckenden verschiedenartigen Arbeiten thatsächlich auf ihr Gemeinsames reducirt, auf menschliche Arbeit überhaupt 172 ). [83.30-34] Die Fußnote steht in DF1 am Ende des ersten Kapitels als Fußnote 31.

34.2-7

Ainsi bis objet] D 4 Um den Leinwandwerth als Gallerte menschlicher Arbeit auszudrücken, muß er als eine „Gegenständlichkeit" ausgedrückt werden [84.4-5]

34.10-13

dès qu'il bis valeur;] D 4 Im Werthverhältniß der Leinwand gilt der Rock als ihr qualitativ Gleiches, als Ding von derselben Natur, weil er ein Werth ist. Er gilt hier daher als ein Ding worin Werth erscheint oder welches in seiner handgreiflichen Naturalform Werth darstellt. [84.8-11]

34.23

pas autre chose.] D 4 nur nach dieser Seite, daher als verkörperter Werth, als Werthkörper. [84.22-23]

34.24-25

une âme bis l'affaire.] D 4 die stammverwandte schöne Werthseele [84.24]

34.33

en forme valeur de la toile] D 4 als Werthform. [84.32]

34.35-37

chose égale bis elle. ] D 4 „Rockgleiches" und sieht daher aus wie ein Rock. So erhält sie eine von ihrer Naturalform verschiedene Werthform. [84.35-37]

35.17

de sa valeur 17 . ] D 4 der Waare A 18 ). Indem sich die Waare A auf die Waare B als Werthkörper bezieht, als Materiatur menschlicher Arbeit, macht sie den Gebrauchswerth B zum Material ihres eignen Werthausdrucks. [85.18-20]

35.30-34

suppose bis valeur.] D 4 setzt voraus, daß in 1 Rock gerade so viel Werthsubstanz steckt als in 20 Ellen Leinwand, daß beide Waarenquanta also gleich viel Arbeit kosten oder gleich große Arbeitszeit. Die zur Produktion von 20 Ellen Leinwand oder 1 Rock nothwendige Arbeitszeit wechselt aber mit jedem Wechsel in der Produktivkraft der Weberei oder der Schneiderei. Der Einfluß solcher Wechsel auf den relativen Ausdruck der Werthgröße soll nun näher untersucht werden. [86.2-8] DF1 folgt H3: setzt also voraus, daß die beiden Waarenquanta gleichviel Arbeit kosten oder in gleichgrosser Arbeitszeit producirt werden. Mit jedem Wechsel in der Produktivkraft verschiedenartiger Arbeiten wechselt aber die zur Production der respektiven Waarenquanta nothwendige Arbeitszeit. Betrachten wir nun den Einfluß solcher Wechsel auf den relativen Ausdruck der Werthgrösse einer Waare, [14.22-27]

780

Verzeichnis von Abweichungen

37.5—6

dans leur expression relative. ] D4 in ihrem relativen Ausdruck oder in der Größe des relativen Werths. [87.15-16]

37.15-17

par bis équation.] D4 daß ihr der Rock, ohne Annahme einer von seiner Körperform verschiedenen Werthform, gleichgilt. [88.2-3]

37.20-26 u.

En tant bis La forme d'équivalent] D4 Die Aequivalentform [88.5]

38.1-4

DF1 folgt D 1 (Anhang) (siehe MEGA® Ii/5. S. 631.11-25).

37.27

Dans bis «Vous] D4 Diese Inkongruenz zwischen der Werthgröße und ihrem relativen Ausdruck ist von der Vulgärökonomie mit gewohntem Scharfsinn ausgebeutet worden. Z.B.: „Gebt [87.25-27]

38.13-21

la proportion bis utile.] D4 seine Werthgröße bleibt nach wie vor durch die zu seiner Produktion nothwendige Arbeitszeit, also unabhängig von seiner Werthform bestimmt. Aber sobald die Waarenart Rock im Werthausdruck die Stelle des Aequivalents einnimmt, erhält ihre Werthgröße keinen Ausdruck als Werthgröße. Sie figurirt in der Werthgleichung vielmehr nur als bestimmtes Quantum einer Sache. [88.15-20] DF1 entspricht H 3 [ 1 6 . 5 - 1 2 ] ,

38.30-34

sous bis particularités.] D4 Die Aequivalentform einer Waare enthält vielmehr keine quantitative Werthbestimmung. [88.31-32] Der Zusatz in DF1 entspricht H 3 [17.10-11].

38.41-39.2

Considéré bis Mais comme aucune] D4 Da keine [88.39-40] Der Zusatz in DF1 entspricht D 1 (Anhang) (siehe MEGA® 11/5. S. 632.30-33).

40.4

propriétés matérielles] D4 Eigenschaften [89.37]

40.5

rapports extérieurs] D4 Verhältniß zu [89.37-38]

40.6-7

de la nature et bis toile] D4 von Natur [90.2]

40.18-19

Deuxième bis abstrait. ] Die Textanordnung entspricht D 1 (Anhang) (siehe MEGA® 11/5. S. 632-635). In D 4 folgt der entsprechende Satz auf die Darstellung der zweiten Eigentümlichkeit [90.36-38],

40.20-21

Dans bis figure] D4 Der Körper der Waare, die zum Aequivalent dient, gilt [90.12] DF1 folgt H3: Der Körper der Equivalent-Waare gilt im Werthausdruck [20.30]

40.23

ne sert donc ici qu'à exprimer] D4 wird also zum Ausdruck [90.14-15] DF1 entspricht H 3 [20.32-33].

40.26

Quand bis l'habit,] D4 Im Werthausdruck der Leinwand [90.18]

40.29

échantillon d'un travail] D4 Gallerte von Arbeit [90.20]

781

Le capital. Paris 1872-1875

40.31-32

rien que sa propriété de travail humain. ] D4 außer ihrer abstrakten Eigenschaft, menschliche Arbeit zu sein. [90.23-24]

41.4-6

comme bis abstraite.] D4 als die handgreifliche Verwirklichungsform abstrakt menschlicher Arbeit. [90.34-35] Abweichung und Zusatz in DF1 entsprechen H 3 [ 2 1 . 1 3 — 1 5 ] ,

41.7

Troisième bis équivalent:] D4 Es ist also eine dritte Eigenthümlichkeit der Aequivalentform, daß Privatarbeit zur Form ihres Gegentheils wird, zu Arbeit in unmittelbar gesellschaftlicher Form. [91.4-6] In D 4 als abschließende Zusammenfassung der dritten Eigentümlichkeit.

41.8

Le travail bis l'équivalent, ] D4 diese konkrete Arbeit, [90.39] H3 die im Aequivalent enthaltne konkrete, nützliche Arbeitsart [21.26-27]

42.21-22

avec un seul bis soit.] D4 zu einer verschiedenartigen Waare [92.15] H3 zu einer verschiedenartigen Waare [22.14]

42.33

si on la considère isolément.] D4 isolirt betrachtet, sondern stets nur im Werth- oder Austauschverhältniß zu einer zweiten, verschiedenartigen Waare. [92.27-29]

42.37-38

de la manière bis d'échange] D4 aus ihrer Ausdrucksweise als Tauschwerth [92.33]

43.18

forme de valeur ] D4 Werthform oder Werthgestalt [93.14]

43.19-20

par le rapport de deux marchandises,] D4 durch einen äußeren Gegensatz, d. h. durch das Verhältniß zweier Waaren, [93.16-17]

43.26-27

valeur d'usage [93.22-23]

ou

objet

d'utilité]

D4

Gebrauchsgegenstand

DF1 entspricht H 3 [ 2 3 . 2 5 - 2 6 ] ,

43.27-28

époque bis société] D4 historisch bestimmte Entwicklungsepoche [93.23] DF1 entspricht H 3 [ 2 3 . 2 6 - 2 7 ] ,

43.32-35

Le produit bis II suit] D4 Es folgt [93.26] Der Zusatz in DF1 entspricht H 3 [ 2 3 . 2 9 - 3 2 ] .

44.4

la forme simple] D4 Der Ausdruck in irgend welcher Waare B [93.33]

44.8-10

Dès que bis simple.] D4 Der einfachen relativen Werthform einer Waare entspricht die einzelne Aequivalentform einer andren Waare. [93.37-39]

44.14

forme valeur simple] D4 einzelne Werthform [94.1]

44.18-20

Les expressions bis marchandises.] D4 Je nachdem sie also zu dieser oder jener andren Waarenart in ein Werthverhältniß tritt, ent-

782

Verzeichnis von Abweichungen

stehn verschiedne einfache Werthausdrücke einer und derselben Waare 223 ). Die Anzahl ihrer möglichen Werthausdrücke ist nur beschränkt durch die Anzahl von ihr verschiedner Waarenarten. [94.4-8] 22a ) Note zur 2. Ausg. Z. B. bei Homer wird der Werth eines Dings in einer Reihe verschiedner Dinge ausgedrückt. [94.24-25] 45.1-5

Tout autre bis avec toutes. ] D4 So erscheint dieser Werth selbst erst wahrhaft als Gallerte unterschiedsloser menschlicher Arbeit. Denn die ihn bildende Arbeit ist nun ausdrücklich als Arbeit dargestellt, der jede andre menschliche Arbeit gleichgilt, welche Naturalform sie immer besitze, und ob sie sich daher in Rock oder Weizen oder Eisen oder Gold u. s. w. vergegenständliche. Durch ihre Werthform steht die Leinwand daher jetzt auch in gesellschaftlichem Verhältniß nicht mehr zu nur einer einzelnen andren Waarenart, sondern zur Waarenwelt. Als Waare ist sie Bürger dieser Welt. [94.20-23 und 95.1-5]

45.11 - 1 2

on bis apparence. ] D4 leuchtet dagegen sofort ein von der zufalligen Erscheinung wesentlich unterschiedner und sie bestimmender Hintergrund durch. [95.10-12]

45.14

II devient évident] D4 Das zufällige Verhältniß zweier individueller Waarenbesitzer fällt fort. Es wird offenbar [95.14-16]

45.19

sert d'équivalent] D4 als Aequivalent und daher als Werthkörper [95.20]

45.28-29

comparaison de valeur] D4 Werthgleichung [95.28]

45.31 u. 46.1-3

Si bis marchandises. - ] D4 Zweitens bildet sie eine bunte Mosaik auseinanderfallender und verschiedenartiger Werthausdrücke. Wird endlich, wie dieß geschehn muß, der relative Werth jeder Waare in dieser entfalteten Form ausgedrückt, so ist die relative Werthform jeder Waare eine von der relativen Werthform jeder andren Waare verschiedne endlose Reihe von Werthausdrücken. [95.31-35]

46.12

l'unité bis défaut.] D4 besitzt sie keine einheitliche Erscheinungsform. [96.8]

47.16

isolés ] D4 gelegentlichen [97.14] DF1 entspricht H3 [33.10],

47.17-19

exprime bis d'un habit,] D4 unterscheidet vollständiger als die erste den Werth einer Waare von [97.16-17] DF1 entspricht H3 [33.12-13].

47.21-25

D'un bis propre valeur.] D4 Andrerseits ist hier jeder gemeinsame Werthausdruck der Waaren direkt ausgeschlossen, denn im Werth-

783

Le capital. Paris 1872-1875 ausdruck je einer Waare erscheinen jetzt alle andren Waaren nur in der Form von Aequivalenten. [ 9 7 . 2 0 - 2 2 ] DF 1 entspricht H 3 [ 3 3 . 1 6 - 1 9 ] , 47.29-31

Dans bis naturelle.] D" Die neu gewonnene Form drückt die Werthe der Waarenwelt in einer und derselben von ihr abgesonderten Waarenart aus, z. B. in Leinwand, und stellt so die Werthe aller Waaren dar durch ihre Gleichheit mit Leinwand. [ 9 7 . 2 6 - 2 9 ] DF 1 entspricht H 3 [ 3 3 . 2 3 - 2 5 ] .

48.5

forme générale de la valeur relative] D 4 allgemeine Werthform [97.39] DF1 entspricht H 3 [33.39].

48.7

son expression de valeur générale] D4 allgemeinen Werthausdruck [98.1] DF1 entspricht H 3 [33.41],

48.8-9

leurs valeurs dans le même équivalent] D 4 ihren Werth in demselben Aequivalent [98.2] H 3 ihre Werthe in Equivalent [34.1]

48.10-13

que bis réciproques;] D4 daß die Werthgegenständlichkeit der Waaren, weil sie das bloß „gesellschaftliche Dasein" dieser Dinge, auch nur durch ihre allseitige gesellschaftliche Beziehung ausgedrückt werden kann, [98.4-6]

48.15-16

La forme bis valeurs.] D4 Ihre eigne Naturalform ist die gemeinsame Werthgestalt dieser Welt, [98.18-19] In D 4 erst im folgenden Absatz, wo der Satz in DF1 ausgelassen ist. Es handelt sich eher um einen auf H 3 beruhenden Zusatz: Die Leinwand [...] ist jetzt die officielle Werthuniform. [34.7-8. - Siehe auch MEGA® II/6. S. 985.]

48.18

différences quantitatives de valeur.] D4 quantitativ vergleichbare Werthgrößen. [98.9-10] DF1 entspricht H 3 [34.10],

48.23

travail] D4 Werthsubstanz, Arbeit [98.14]

48.28-29

est bis sociale.] D4 gilt als die sichtbare Inkarnation, die allgemeine gesellschaftliche Verpuppung aller menschlichen Arbeit. [98.20-21]

48.30

acquiert bis social,] D 4 befindet sich zugleich in allgemein gesellschaftlicher Form, [98.22-23] DF1 entspricht H 3 [ 3 4 . 1 8 - 1 9 ] .

48.41

La forme bis montre] D4 Die allgemeine Werthform, welche die Arbeitsprodukte als bloße Gallerten unterschiedsloser menschlicher Arbeit darstellt, zeigt [98.34-35]

784

Verzeichnis von Abweichungen

49.9

seconde, bis l'initiative.] D4 realtiven Werthform. [99.6] Der Zusatz in DF1 entspricht D 1 (Anhang) (siehe M E G A ® II/5.

S. 644.34-35). 49.16

forme bis relative] D4 einheitlichen, allgemeinen Werthform [99.12-13] DF1 entspricht H 3 [35.9].

49.18-19

pôles, bis équivalent.] D4 Polen, der relativen Werthform und Aequivalentform. [99.15-16]

49.20-24

Dans bis même. ] D4 Je nachdem dieselbe Gleichung vorwärts oder rückwärts gelesen wird, befindet sich jedes der beiden Waarenextreme, wie Leinwand und Rock, gleichmäßig bald in der relativen Werthform, bald in der Aequivalentform. [99.18-21] DF1 entspricht H3 [35.15-20].

49.30

Ici bis sans] D4 Hier kann man nicht mehr die zwei Seiten der Werthgleichung - wie 20 Ellen Leinwand = 1 Rock oder = 10 Pfd. Thee oder = 1 Qrtr. Weizen etc. - umsetzen, ohne [99.26-28] DF1 entspricht H3 [35.33-34],

49.38

parce que] D4 oder in unmittelbar gesellschaftlicher Form, weil [99.35]

50.1-4

Sous bis Par contre] D4 Umgekehrt [100.1] Der Zusatz in DF1 entspricht H 3 [36.2, 8-10].

50.6

forme générale de la valeur relative;] D4 einheitlichen und daher allgemeinen relativen Werthform der Waarenwelt [100.2-3]

50.6-7

il faudrait pour cela] D4 Sollte die Leinwand, d.h. irgend eine in allgemeiner Aequivalentform befindliche Waare, auch zugleich an der allgemeinen relativen Werthform theilnehmen, so müßte [100.3-5]

50.14-15

forme bis propre valeur.] D4 specifische relative Werthform der Aequivalentwaare. [100.12-13]

50.22-24

la forme bis sociale. ] D4 hat die einheitliche relative Werthform der Waarenwelt objective Festigkeit und allgemein gesellschaftliche Gültigkeit gewonnen. [100.20-22]

50.33-36

être faits papes bis marchandises.] D4 zu Päbsten machen. [100.31]

50.37-41

Cette bis encore.] D4 Für den Kleinbürger, der in der Waarenproduktion das nec plus ultra menschlicher Freiheit und individueller Unabhängigkeit erblickt, wäre es natürlich sehr wünschenswerth, der mit dieser Form verbundnen Mißstände überhoben zu sein, namentlich auch der nicht unmittelbaren Austauschbarkeit der Waaren. Die Ausmalung dieser Philisterutopie bildet Proudhon's Socialismus, der, wie ich anderswo gezeigt, nicht einmal das Verdienst

785

Le capital. Paris 1872-1875

der Originalität besitzt, vielmehr lange vor ihm von Gray, Bray und Andern, weit besser entwickelt wurde. Dieß verhindert solche Weisheit nicht, heutzutage, in gewissen Kreisen, unter dem Namen der „science" zu grassiren. Nie hat eine Schule mehr als die Proudhon'sche mit dem Wort „science" um sich geworfen, denn „wo Begriffe fehlen, Da stellt zur rechten Zeit ein Wort sich ein". [100.31-41] 51.6

argent 24 ] D4 Geldform. [101.4] Die Fußnote [51.32—39] zur Übersetzung von „Geld(form)" hat keine Parallele in D 4 .

51.17

Le progrès] D4 Gold bleibt in Form IV, was die Leinwand in Form III war - allgemeines Aequivalent. Der Fortschritt [101.15-16]

51.19

définitivement] D4 jetzt durch gesellschaftliche Gewohnheit endgültig [101.18-19]

52.20-43

"L'économie bis possibles.] Diese Fußnote steht in D 4 als Fußnote 32 [ 1 1 1 . 9 - 3 4 ] ,

52.27

mode de production actuel] D4 bürgerlichen Produktionsweise [111.15]

52.35-36

c'est bis propos. - ] D4 wo mit den gemeinplätzlichen Definitionen des Geldes nicht mehr ausgereicht wird. Im Gegensatz entsprang daher ein restaurirtes Merkantilsystem (Ganilh u.s.w.), welches im Werth nur die gesellschaftliche Form sieht oder vielmehr nur ihren substanzlosen Schein. - [111.23-25]

53.10

se mettait à danser.] D4 zu tanzen begänne25). [102.20] ) Man erinnert sich, daß China und die Tische zu tanzen anfingen, als alle übrige Welt still zu stehn schien - pour encourager les autres. [102.34-35] 25

53.30

mesure bis durée] D4 Maß der Verausgabung menschlicher Arbeitskraft durch ihre Zeitdauer [103.6-7] H3 Mass der individuellen Arbeiten durch ihre gesellschaftlich nothwendige Zeitdauer [39.6-7]

53.34-35

Voilà bis sous les sens,] D4 Das Geheimnißvolle der Waarenform besteht also einfach darin, daß sie den Menschen die gesellschaftlichen Charaktere ihrer eignen Arbeit als gegenständliche Charaktere der Arbeitsprodukte selbst, als gesellschaftliche Natureigenschaften dieser Dinge zurückspiegelt, daher auch das gesellschaftliche Verhältniß der Producenten zur Gesammtarbeit als ein außer ihnen existirendes gesellschaftliches Verhältniß von Gegenständen. Durch dieß quid pro quo werden die Arbeitsprodukte Waaren, sinnlich übersinnliche oder [103.12-19]

786

Verzeichnis von A b w e i c h u n g e n

53.40-41

diurnalis). bis France. ] D4 diurnalis), [102.38]

54.6

nature physique ] D4 physischen Natur und den daraus entspringenden dinglichen Beziehungen [103.26]

54.16

En général, des objets d'utilité] D4 Dieser Fetischcharakter der Waarenwelt entspringt, wie die vorhergehende Analyse bereits gezeigt hat, aus dem eigenthümlichen gesellschaftlichen Charakter der Arbeit, welche Waaren producirt. _f Gebrauchsgegenstände werden überhaupt [103.37-40]

54.18

le travail social.] D4 die gesellschaftliche Gesammtarbeit. [104.1]

54.22

comme divisions du travail social] D4 als Glieder der gesellschaftlichen Gesammtarbeit [104.5-6]

54.27

rapports bis choses.] D4 sachliche Verhältnisse der Personen und gesellschaftliche Verhältnisse der Sachen. [104.11-12]

54.31

s'élargit] D4 bethätigt sich [104.16] H3 befestigt sich [41.4]

54.38

parties intégrantes du travail général] D4 Glieder der Gesammtarbeit [104.23-24]

55.4-6

travail humain bis divers. ] D4 abstrakt menschliche Arbeit [104.31] 1 3 Der Zusatz in DF entspricht H [41.20-23].

55.9

l'échange des produits. Lorsque] D4 im Produktenaustausch erscheinen - den gesellschaftlich nützlichen Charakter ihrer Privatarbeiten also in der Form, daß das Arbeitsprodukt nützlich sein muß, und zwar für andre - den gesellschaftlichen Charakter der Gleichheit der verschiedenartigen Arbeiten in der Form des gemeinsamen Werthcharakters dieser materiell verschiednen Dinge, der Arbeitsprodukte. _f Die Menschen [104.34-40]

55.26-27

des travaux les plus divers] D4 der von einander unabhängigen Privatarbeiten [105.16-17]

55.27-29

et que bis forme valeur] D4 und die Form des Werthcharakters [105.18] H3 und daß dieser ihr spezifisch gesellschaftlicher Charaktergegenständliche Form, die Form des Werthcharakters [42.14-15]

55.31-32

invariable bis naturel que] D4 endgültig als [105.20] H3 natürlich, als [42.18]

55.35-36

c'est-à-dire la proportion dans laquelle] D4 in welchen Proportionen sich also [105.24-25] DF 1 entspricht H 3 [ 4 2 . 2 1 - 2 2 ] ,

56.1-3

II semble bis fixes. ] D4 so daß z. B. eine Tonne Eisen und 2 Unzen Gold gleichwerthig, wie ein Pfund Gold und ein Pfund Eisen trotz ihrer verschiednen physischen und chemischen Eigenschaften gleich schwer sind. [105.28-30] Der Zusatz in DF 1 entspricht H 3 [ 3 8 . 2 4 - 2 6 ] .

787

Le capital. Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

56.4

ressort] D4 befestigt sich [105.30] H3 entwickelt sich [42.25-26]

56.6-7

et des prévisions des producteurs aux yeux desquels] D4 Vorwissen und Thun der Austauschenden. Ihre [105.33] H3 und Vorwissen der Producenten, für welche [42.27-28]

56.22-24

ne fait bis travail.] D4 aber keineswegs ihre sachliche Form. [106.11-12]

56.25

de la vie sociale] D4 des menschlichen Lebens [106.13] H 3 des gesellschaftlichen Lebens [42.35]

56.37 u. 57.1

les caractères sociaux] D4 den gesellschaftlichen Charakter [106.25-26] H 3 die gesellschaftlichen Charaktere [43.8-9]

57.9-12

formes bis social. ] D4 gesellschaftlich gültige, also objective Gedankenformen für die Produktionsverhältnisse dieser historisch bestimmten gesellschaftlichen Produktionsweise, der Warenproduktion. [106.36-37 und 107.1]

57.14-15

dans la période actuelle] D4 auf Grundlage der Waarenproduktion [107.2-3]

57.20-21

apprivoiser des animaux] D4 Lama zähmen [107.9]

58.2

Baudrillart] D4 M. Wirth [107.26]

58.9

que toutes les autres] D4 als die [107.33] DF1 entspricht H 3 [ 4 3 . 2 9 - 3 0 ] .

58.10-12

parce que bis Les travaux] D4 weil persönliche Abhängigkeitsverhältnisse die gegebene gesellschaftliche Grundlage bilden, brauchen Arbeiten [107.34-35 und 108.1]

58.14-15

comme services, prestations et livraisons en nature] D4 als Naturaldienste und Naturalleistungen [108.2] H 3 als Naturaldienste und Naturallieferungen [43.33-34]

58.16

sa généralité, son caractère abstrait,] D4 ihre Allgemeinheit [108.4-5] H3 ihre allgemein abstrakte [43.36]

58.19-20

sait bis que c'est] D4 weiß, daß es [108.7]

58.27

travail bis immédiate] D4 gemeinsamer, d. h. unmittelbar vergesellschafteter Arbeit [108.15-16]

58.33-34

comme bis réciproquement.] D4 sich selbst wechselseitig als Waaren. [108.22]

59.2

possèdent bis sociales] D4 sind in ihrer Naturalform gesellschaftliche Funktionen [108.24-25] DF1 entspricht H 3 [ 4 4 . 1 6 - 1 7 ] ,

59.6-7

La mesure bis travail] D4 Die durch die Zeitdauer gemeßne Verausgabung der individuellen Arbeitskräfte [108.29-30] DF1 entspricht H 3 [ 4 4 . 2 2 - 2 3 ] .

788

Verzeichnis von Abweichungen

59.32-33

Le monde bis marchandise,] D4 Für eine Gesellschaft von Waarenproducenten [109.24]

59.41

en marchandise ] D4 in Waare, und daher das Dasein der Menschen als Waarenproducenten [109.31-32]

60.17-18

dont bis base,] D4 d.h. des materiellen Produktionsprocesses [110.9-10]

60.24-25

analysé bis de valeur 31 ] D4 Werth und Werthgröße analysirt und den in diesen Formen versteckten Inhalt entdeckt. [110.17-18] Die Fußnote steht in D 4 weiter oben (siehe D F \ S. 33.37-39).

60.27-28

Franklin, bis dit:] D4 Franklin, sagt: [83.37]

60.31 - 3 3

Franklin bis ne remarque ] D4 Franklin ist sich nicht bewußt [83.40]

60.35-39

réduit bis travaux.] D4 auf gleiche menschliche Arbeit reducirt. Was er nicht weiß, sagt er jedoch. Er spricht erst von „der einen Arbeit", dann „von der andren Arbeit", schließlich von „Arbeit" ohne weitere Bezeichnung als Substanz des Werths aller Dinge. [83.41-42 und 84.40-41]

61.1

pourquoi le travail] D4 warum dieser Inhalt jene Form annimmt, warum sich also die Arbeit [110.18-19]

61.4

la production et ses rapports ] D4 der Produktionsproceß [111.2-3]

62.1

la plupart] D4 ein Theil [112.1]

62.6

de compter bis d'un objet] D4 die auf ein Ding verwandte Arbeit auszudrücken [112.5-6]

62.9-12

Dans bis complexes.] D4 Da die Waarenform die allgemeinste und unentwickeltste Form der bürgerlichen Produktion ist, weßwegen sie früh auftritt, obgleich nicht in derselben herrschenden, also charakteristischen Weise wie heut zu Tag, scheint ihr Fetischcharakter noch relativ leicht zu durchschauen. Bei konkreteren Formen verschwindet selbst dieser Schein der Einfachheit. [112.8—12]

62.13-14

système mercantile? bis précieux. ] D4 Monetarsystems? Es sah dem Gold und Silber nicht an, daß sie als Geld ein gesellschaftliches Produktionsverhältniß darstellen, aber in der Form von Naturdingen mit sonderbar gesellschaftlichen Eigenschaften. [112.13-16]

62.15-20

ses fades bis lèse-nature?] D4 die vornehm auf das Monetarsystem herabgrinst, wird ihr Fetischismus nicht handgreiflich, sobald sie das Kapital behandelt? [112.16-18]

62.20-22

Enfin bis Mais] D4 Seit wie lange ist die physiokratische Illusion verschwunden, daß die Grundrente aus der Erde wächst, nicht aus der Gesellschaft? J Um jedoch [112.18-21]

789

Le capital. Paris 1872-1875

62.27-28

Notre bis d'achat] D4 Unser eigner Verkehr als Waarendinge [112.24-25]

62.32

de telle sorte que] D4 und welcher bestimmte gesellschaftliche Bewußtseinsformen entsprächen", daß [112.32]

64.11-13

Les personnes bis n'existent] D4 Die Personen existiren hier nur [114.8]

64.15-16

masques bis circonstances] D4 ökonomischen Charaktermasken [114.10-11]

64.20

Débauchée et cynique] D4 Geborner Leveller und Cyniker [114.15]

64.26-27

La seule bis d'autres ] D4 Sie hat Gebrauchswerth für andre. Für ihn hat sie unmittelbar nur den Gebrauchswerth Träger von Tauschwerth [114.21-23]

64.33

Bien des gens] D4 Proudhon [114.28]

64.34-35

leur bis preuve] D4 der für alle Spießbürger so tröstliche Beweis geliefert wird [114.29-30]

64.36-37

Ensuite bis droit.] D4 Dann umgekehrt will er die wirkliche W a renproduktion und das ihr entsprechende wirkliche Recht diesem Ideal gemäß ummodeln. [114.31-32]

64.41

«l'équité éternelle», que] D4 der „équité éternelle" und der „mutualité éternelle" und andren „vérités éternelles", als [114.36-37]

66.7

est désormais la fonction sociale spécifique] D4 wird durch den gesellschaftlichen Proceß zur specifisch gesellschaftlichen Funktion [115.39-40]

66.12

qui se forme spontanément] D4 ist ein nothwendiges Produkt [116.3]

66.15-16

imprime bis en même temps] D4 entwickelt [116.6]

66.18-19

forme valeur palpable] D4 selbstständigen Form des Waarenwerths [116.9]

66.23

d'une marchandise] D4 von Waare [116.12]

66.36

le socialisme bourgeois ] D4 die Pfiffigkeit des kleinbürgerlichen Socialismus [116.35]

66.38

sur ce sujet ] D4 Ebensowohl könnte man den Papst abschaffen, und den Katholicismus bestehen lassen. Das Nähere hierüber [116.37-38]

68.15-16

dans bis France] D4 in der bürgerlichen Revolution der Franzosen [118.5]

790

Verzeichnis von Abweichungen

69.8-9

reflet des rapports de valeur] D 4 Reflex der Beziehungen [118.32]

70.3-4

fictions bis hommes.] D 4 willkührliches Reflexionsprodukt der Menschen. [119.15-16]

70.7

des rapports sociaux] D 4 menschlicher Verhältnisse [120.1]

70.7—8

on s'en bis ciel. ] D 4 wenigstens vorläufig den Schein der Fremdheit abzustreifen. [120.2-3]

70.18

dans son premier échange.] D 4 in unmittelbarem Tauschhandel. [120.13]

70.26

Longtemps ] D4 „Betrachtet man den Begriff des Werths, so wird die Sache selbst nur als ein Zeichen angesehn und sie gilt nicht als sie selber, sondern als was sie werth ist." (Hegel 1. c. p. 100.) Lange [119.33-35]

71.4-5

propriété bis [120.21-22]

71.7

marchandise particulière] D 4 Naturalform einer besondren Waarenart [120.24]

71.17

de l'argent.] D4 des Geldes. Das bloß atomistische Verhalten der Menschen in ihrem gesellschaftlichen Produktionsproceß und daher die von ihrer Kontrole und ihrem bewußten individuellen Thun unabhängige, sachliche Gestalt ihrer eignen Produktionsverhältnisse erscheinen zunächst darin, daß ihre Arbeitsprodukte allgemein die Waarenform annehmen. Das Räthsel des Geldfetischs ist daher nur das sichtbar gewordne, die Augen blendende Räthsel des Waarenfetischs. [121.7-14]

72.20-28

La marchandise bis possibles.]

nature]

D4

gesellschaftliche

Natureigenschaft

Die gegenüber D 4 veränderte Textanordnung

[122.9—11,

7 - 9 ] entspricht H3 [46.14-18].

72.20

de son côté] D4 dagegen [122.14] H3 ihrerseits [46.14]

72.23

Au contraire la forme II où] D 4 Andrerseits wird der entfaltete relative Werthausdruck oder [122.9]

72.24-25

la forme exclusive de sa valeur relative] D 4 zur specifisch relativen Werthform [122.10-11]

72.25-26

déjà donnée [122.11-12]

72.34

doivent-ils bis ou] D 4 sich als Waaren darstellen müssen, denn die Darstellung der Waare schließt ihre Verdopplung in Waare und Geldwaare ein. Oder [121.34-35 und 122.25]

72.37

dans le milieu actuel de production ] D 4 auf Grundlage der Waarenproduktion [122.26-27]

dans]

D4

schon

gesellschaftlich

gegeben

in

791

Le capital. Paris 1872-1875

73.16-19

la monnaie bis imaginé,] D 4 nur vorgestelltes Geld zur Funktion des Werthmaßes dient, [123.8]

74.7, 8

quantités] D 4 Masse [124.3, 4] H 3 Quanta [48.21, 22]

74.9-10

En tant bis l'or,] D 4 Die Waarenwerthe sind daher verwandelt in vorgestellte Goldquanta von verschiedner Größe, also, trotz der wirren Buntheit der Waarenkörper, in gleichnamige Größen, Goldgrößen. Als solche verschiedne Goldquanta [124.4-7] DF1 entspricht H 3 [ 4 8 . 2 3 - 2 4 ] ,

74.12

quantum bis mesure] D 4 fixirtes Quantum Gold als ihre Maßeinheit [124.8-9] DF 1 entspricht H 3 [ 4 8 . 2 5 - 2 6 ] .

74.19-20

de l'étalon monnaie.] D 4 des Geldmaßstabs oder Maßstabs der Preise. [124.16-17] DF 1 entspricht H 3 [48.34],

74.39

pays comme la France o ù ] D 4 Ländern, wo [123.44]

75.2-3

en tant qu'équivalent général,] D 4 als die gesellschaftliche Inkarnation der menschlichen Arbeit, [124.19-20]

75.6-7

quantités bis aliquotes.] D 4 Goldquanta. [124.23] DF 1 entspricht H 3 [ 4 9 . 3 - 4 ] ,

75.8

ne mesure au contraire q u e ] D 4 mißt dagegen [124.24] H 3 mißt dagegen nur [49.6]

75.14

que l'unité de mesure et ses subdivisions] D 4 ein und dasselbe Q u a n t u m Gold als Maßeinheit [124.30-31] DF 1 entspricht H 3 [ 4 9 . 1 1 - 1 2 ] ,

75.16-17

valeur variable. ] D 4 veränderlicher Werth ist55)- [125.1-2] In DF1 ist diese Fußnote der Fußnote 59 angefügt (siehe DF1, S. 78.29-30). 4

75.21

100%] D 1000% [125.6]

75.31-32

leurs bis état 5 4 .] D 4 ihre wechselseitigen relativen Werthe unverändert, obgleich sie sich n u n alle in höheren oder niedrigeren Goldpreisen als zuvor ausdrücken. [125.15-16]

75.33

Dans l'estimation] D 4 Wie bei der Darstellung des Werths einer Waare im Gebrauchswerth irgend einer andren Waare, ist auch bei der Schätzung [125.17-18]

75.39-41

S4

76.5-10

Une hausse bis les mêmes. ] D 4 Die Waarenpreise können nur allgemein steigen, bei gleichbleibendem Geldwerth, wenn die Waarenwerthe steigen, bei gleichbleibenden Waarenwerthen, wenn der Geldwerth fällt. Umgekehrt. Die Waarenpreise können nur allge-

792

« L ' a r g e n t bis p . 9 . ) ] Fehlt in D 4 .

Verzeichnis von Abweichungen

mein fallen, bei gleichbleibendem Geldwerth, wenn die Waarenwerthe fallen, bei gleichbleibenden Waarenwerthen, wenn der Geldwerth steigt. [125.23-28] DF 1 entspricht H 3 [49.35-50.2],

76.22-25

On bis notamment:] D4 Die Geldnamen der Metallgewichte trennen sich nach und nach von ihren ursprünglichen Gewichtnamen aus verschiednen Gründen, darunter historisch entscheidend: [125.37-38 und 126.1] DF 1 entspricht H 3 [50.6-9].

76.32

poétique. ] D4 mag56). [126.8] ) Sie ist übrigens auch nicht von allgemein historischer Gültigkeit. [126.31] 56

76.37 u.

Der Textbezug der Fußnoten 55 und 56 ist gegenüber D 4 ver-

77.2

tauscht.

76.39-40

réelles bis mesure),] D4 reali, [126.37]

77.6

sociale ] D4 allgemeiner [ 126.18]

77.16

noms monétaires] D4 Geldnamen oder gesetzlich gültigen Rechennamen [126.27-28]

77.28

d'un poids d'or] D4 eines Metallgewichts, des Geldmaßstabs [127.8]

77.29

à peu près que %] D4 weniger als ein Drittel [126.32]

77.30

l'Union de 1707 ] D4 der Union [126.33]

77.34

de l'étalon monétaire] D4 des Goldgewichts [126.42]

77.36-40

"Dans bis shillings. ] Fehlt in D 4 .

77.43

L'or] D4 das Geld [127.25]

77.43-44 u. 78.23

les prix bis une once] D4 Waarenpreise, also z.B. eine Unze [127.26]

78.11-12

se produise dans le même temps de travail] D4 Gesellschaftlich nothwendige Arbeit von gleicher Größe [127.19-20]

78.25-26

estimé bis différence] D4 in seinem eignen Material geschätzt werde, und im Unterschied [127.29]

78.29-30

La bis détroit.] D4 In englischen Schriften ist die Konfusion über Maß der Werthe (measure of value) und Maßstab der Preise (standard of value) unsäglich. Die Funktionen und daher ihre Namen werden beständig verwechselt. [125.39-41]

793

Le capital. Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

79.2-4

un rapport bis naissance. ] D4 ein nothwendiges, ihrem Bildungsproceß immanentes Verhältniß zur gesellschaftlichen Arbeitszeit [128.10-11]

79.19

contradiction absolue] D4 qualitativen Widerspruch [128.24-25]

79.35-37

Dans bis Pour] D4 Um also [128.39] Der Zusatz in DF 1 e n t s p r i c h t H 3 [ 5 1 . 6 - 7 ] ,

80.2

apparence idéale] D4 ideelle Werthgestalt [129.5]

80.17

sur le marché ] D4 im Austauschproceß [129.19]

80.25-27

Son bis contradictions] D4 Die Entwicklung der Waare hebt diese Widersprüche nicht auf [129.25-26]

81.8-11

Mais bis étudier.] D4 Letztre allein interessirt uns hier. Wir haben also den ganzen Proceß nach der Formseite zu betrachten, also nur den Formwechsel oder die Metamorphose der Waaren, welche den gesellschaftlichen Stoffwechsel vermittelt. [130.4-7]

81.12-13

Ce côté bis puisque] D4 Die durchaus mangelhafte Auffassung dieses Formwechsels ist, abgesehn von Unklarheit über den Werthbegriff selbst, dem Umstand geschuldet, daß [130.8-10]

81.14-17

marchandises, bis près] D4 Waaren, einer gemeinen Waare und der Geldwaare. Hält man an diesem stofflichen Moment, dem Austausch von Waare mit Gold, allein fest, so übersieht man grade, was man sehn soll, nämlich was sich mit der Form zuträgt. Man übersieht, daß Gold als bloße Waare nicht Geld ist, und daß die andren Waaren sich selbst in ihren Preisen auf Gold als ihre eigne Geldgestalt beziehn. _f Die Waaren gehn zunächst unvergoldet, unverzuckert, wie der Kamm ihnen gewachsen ist, in den Austauschproceß ein. Er producirt die Verdopplung der Waare in Waare und Geld, einen äußeren Gegensatz, worin sie ihren immanenten Gegensatz von Gebrauchswerth und Werth darstellen. [130.11-20]

81.18

L'or] D4 Geld als Tauschwerth [130.21-22]

81.19

valeur d'échange ] D4 Werth [ 130.23]

81.20-21

de contraires bis extrêmes. ] D4 von Unterschieden stellt sich auf jedem der beiden Pole umgekehrt dar und stellt dadurch zugleich deren Wechselbeziehung dar. [130.24-25]

81.21-23

La forme bis prix.] D4 Die Waare ist reell Gebrauchswerth, ihr Werthsein erscheint nur ideell im Preis, der sie auf das gegenüberstehende Gold als ihre reelle Werthgestalt bezieht. [130.25-27]

794

DF 1 e n t s p r i c h t H 3 [ 5 1 . 1 0 ] .

Verzeichnis von Abweichungen

81.23-24

La bis forme valeur,] D4 Umgekehrt gilt das Goldmaterial nur als Werthmateriatur, Geld. Es ist reell daher Tauschwerth. [130.28-29]

81.25-29

dans la série bis usuelle.] D4 in der Reihe der relativen Werthausdrücke, worin es sich auf die gegenüberstehenden Waaren als den Umkreis seiner reellen Gebrauchsgestalten bezieht. Diese gegensätzlichen Formen der Waaren sind die wirklichen Bewegungsformen ihres Austauschprocesses. [130.29-33]

82.19-22

s'éteindre bis traverser. ] D 4 der Proceß selbst erlischt. [131.20]

82.28-29

de valeur d'échange ou d'équivalent général.] D4 als Tauschwerth. [131.26-27]

82.29

il bis qu'en] D 4 Allgemeine, gesellschaftlich gültige Aequivalentform erhält es aber nur [131.27-28]

82.38

p. 222. ] D 4 p. 222.) Lassalle's Note zu dieser Stelle, p. 224, n. 3, erklärt das Geld unrichtig für bloßes Werthzeichen. [131.40-41]

83.15

inutile. Supposons ] D4 nutzlos. Einem geschenkten Gaul sieht man nicht ins Maul, aber er beschreitet nicht den Markt, um Präsente zu machen. Gesetzt [132.13-15]

83.21-22

temps socialement nécessaire] D 4 gesellschaftlich nothwendigen Durchschnitt von Arbeitszeit [132.20-21]

83.23

quantum bis moyenne] D4 vergegenständlichten Quantums gesellschaftlicher Arbeit [132.22-23]

83.40

partie aliquote.] D 4 aliquoter Theil. Und in der That ist der Werth jeder individuellen Elle ja auch nur die Materiatur desselben gesellschaftlich bestimmten Quantums gleichartiger menschlicher Arbeit. [132.39-41]

84.3-4

porte bis proportionnalité ] D 4 Ebenso naturwüchsig zufällig, wie die qualitative, ist die quantitative Gliederung [133.2-3]

84.16-17

quel que bis vente.] D4 obgleich abnormal in diesem Formwechsel Substanz - Werthgröße - eingebüßt oder zugesetzt werden mag. [133.15-16]

84.18

Ainsi, le phénomène] D 4 Dem einen Waarenbesitzer ersetzt Gold seine Waare und dem andren Waare sein Gold. Das sinnfällige Phänomen [133.17-18]

84.20-21

Avec bis général.] D 4 Mit ihrer eignen allgemeinen Werthgestalt. [133.20-21]

85.5-6

a déjà bis primitive.] D 4 sich bereits gehäutet und ihre ursprüngliche Gebrauchsform abgestreift hat. [133.38 und 134.1]

795

Le capital. Paris 1872-1875

85.14

produit d'une vente ou] D4 die entäußerte Gestalt seiner veräußerten Waare, Produkt des Verkaufs oder [134.8-9]

85.16-18

en faisaient bis utiles.] D4 es so zum vorgestellten Gegentheil ihrer Gebrauchsgestalt, zu ihrer Werthgestalt machten. [134.11-12]

85.19-21

les convertit bis réalité.] D4 zu ihrer wirklich entäußerten oder verwandelten Gebrauchsgestalt und daher zu ihrer wirklichen Werthgestalt [134.13-14]

85.24

convertit en elle.] D4 in es verwandelte Waare. Eine sieht in ihrer Geldform grade aus wie die andre. [134.19—20]

86.7-8

pour qu'il devienne valeur d'usage] D4 Waarenwerdung [135.2]

86.22-23

La division bis spécial] D4 Da der Waarenproducent nur ein einseitiges Produkt liefert [135.15-16]

86.29-32

métamorphose bis d'acheteur.] D4 Gesammtmetamorphose einer Waare, z. B. der Leinwand, so sehn wir zunächst, daß sie aus zwei entgegengesetzten und einander ergänzenden Bewegungen besteht, W-G und G-W. Diese zwei entgegengesetzten Wandlungen der Waare vollziehn sich in zwei entgegengesetzten gesellschaftlichen Processen des Waarenbesitzers und reflektiren sich in zwei entgegengesetzten ökonomischen Charakteren desselben. Als Agent des Verkaufs wird er Verkäufer, als Agent des Kaufs Käufer. [135.22-28]

86.34-36

de même bis face. ] D4 so steht demselben Waarenbesitzer als Verkäufer ein andrer Käufer und als Käufer ein andrer Verkäufer gegenüber. [135.30-32]

87.1

alternativement] D4 successiv [135.33]

87.7-12

quatre bis terme final] D4 vier Extreme und drei Personae dramatis. Erst tritt der Waare das Geld als ihre Werth-Gestalt gegenüber, die jenseits, in fremder Tasche, sachlich harte Realität besitzt. So tritt dem Waarenbesitzer ein Geldbesitzer gegenüber. Sobald die Waare nun in Geld verwandelt, wird letztres zu ihrer verschwindenden Aequivalentform, deren Gebrauchswerth oder Inhalt diesseits in andren Waarenkörpern existirt. Als Endpunkt [135.38 und 136.1-5]

87.17-18

effacement de cette forme dans l'argent,] D4 Abstreifung der Waarenform, [136.10]

87.19-28

Ce cercle bis valeur d'usage. ] D4 Allerdings ist die Waare selbst hier gegensätzlich bestimmt. Am Ausgangspunkt ist sie Nicht-Gebrauchswerth, am Endpunkt Gebrauchswerth für ihren Besitzer. So erscheint das Geld erst als der feste Werthkrystall, worin sich die Waare verwandelt, um hinterher als ihre bloße Aequivalentform zu zerrinnen. [136.11-15]

796

Verzeichnis von Abweichungen

87.32-35

La première bis argent). ] D4 Dieselbe Waare (Leinwand) eröffnet die Reihe ihrer eignen Metamorphosen und schließt die Gesammtmetamorphose einer andren Waare (des Weizens). Während ihrer ersten Wandlung, dem Verkauf, spielt sie diese zwei Rollen in eigner Person. Als Goldchrysalide dagegen, worin sie selbst den Weg alles Fleisches wandert, endet sie zugleich die erste Metamorphose einer dritten Waare. [136.17-23]

87.39

essentiellement ] D4 nicht nur formell, sondern wesentlich [136.26]

88.29

l'argent bis troisième.] D4 an dritter Hand die Geldwaare hängen 72 ) [137.15] n ) Note zur 2. Ausg. So handgreiflich dieß Phänomen ist, wird es dennoch von politischen Oekonomen meist übersehen, namentlich vom Freihändler vulgaris. [137.40-41]

89.1

sort bis vendre. ] D4 als Geld herauskommt, nicht vom Waarenbesitzer verkauft, also vom Geldbesitzer gekauft wird. [137.27-29]

89.7-8

douée bis marché,] D4 die cirkulationsfähige Form bewahrt, [137.33-34]

89.12-15

Mais bis actes] D4 eben dadurch, daß sie die hier vorhandne unmittelbare Identität zwischen dem Austausch des eignen und dem Eintausch des fremden Arbeitsprodukts [137.38-39 und 138.1]

89.16-19

Après bis contraires.] D4 Daß die selbstständig einander gegenübertretenden Processe eine innere Einheit bilden, heißt eben so sehr, daß ihre innere Einheit sich in äußeren Gegensätzen bewegt. [138.2-4]

89.20-22

Si bis s'affirme] D4 Geht die äußerliche Verselbstständigung der innerlich Unselbstständigen, weil einander ergänzenden, bis zu einem gewissen Punkt fort, so macht sich die Einheit gewaltsam geltend [138.4-6]

89.23-24

valeur échangeable] D4 Werth [138.8]

89.25

ne vaut que comme travail abstrait] D4 nur als abstrakt allgemeine Arbeit gilt, von Personificirung der Sache und Versachlichung der Personen - [138.9-11]

89.26-27

dans la circulation] D4 in den Gegensätzen der Waarenmetamorphose [138.11-12]

89.30-31

n'existent pas encore 72 . ] D4 noch gar nicht existiren 73 ). J~ Als Vermittler der Waarencirculation erhält das Geld die Funktion des Circulationsmittels. [138.16-18]

90.2-6

Le mouvement bis achevé.] D4 Der Formwechsel, worin sich der Stoffwechsel der Arbeitsprodukte vollzieht, W-G-W, bedingt, daß derselbe Werth als Waare den Ausgangspunkt des Processes bildet

797

Le capital. Paris 1872-1875 und zu demselben Punkt zurückkehrt als Waare. Diese Bewegung der Waaren ist daher Kreislauf. Andrerseits schließt dieselbe Form den Kreislauf des Geldes aus. Ihr Resultat ist beständige Entfernung des Geldes von seinem Ausgangspunkt, nicht Rückkehr zu demselben. [138.20-25] 90.6-11

Elle bis II est vrai] D 4 So lange der Verkäufer die verwandelte Gestalt seiner Waare festhält, das Geld, befindet sich die Waare im Stadium der ersten Metamorphose oder hat nur ihre erste Circulationshälfte zurückgelegt. Ist der Proceß, Verkaufen u m zu kaufen, vervollständigt, so ist auch das Geld wieder aus der Hand seines ursprünglichen Besitzers entfernt. Allerdings [138.25-28 und 139.1-2]

90.11-12

après bis bible,] D 4 nachdem er die Bibel gekauft, [139.3]

90.13

toile.] D 4 Leinwand, wodurch es vielmehr aus den Händen des Leinwebers in die des Bibelverkäufers entfernt ist. [139.5-6]

90.30-32

le mouvement bis apparaisse. ] D 4 nicht nur als Bewegung des Geldes, sondern als ihre eigne Bewegung sichtbar, aber ihre zweite Metamorphose ist nur als Bewegung des Geldes sichtbar. In ihrer ersten Cirkulationshälfte wechselt die Waare den Platz mit dem Geld. Damit fällt zugleich ihre Gebrauchsgestalt aus der (Zirkulation heraus, in die Konsumtion 7 4 ). Ihre Werthgestalt oder Geldlarve tritt an ihre Stelle. [139.23-28] 74 ) Selbst wenn die Waare wieder und wieder verkauft wird, ein Phänomen, das hier noch nicht für uns existirt, fällt sie mit dem letzten definitiven Verkauf aus der Sphäre der Cirkulation in die der Konsumtion, um hier als Lebensmittel oder als Produktionsmittel zu dienen. [139.38-41]

90.34-35

échoit bis qui] D 4 fällt damit ganz auf die Seite des Geldes und dieselbe Bewegung, die für die Waare zwei entgegengesetzte Processe einschließt, schließt als eigne Bewegung des Geldes stets denselben Proceß ein, seinen Stellenwechsel mit stets andrer Waare. Das Resultat der Waarencirkulation, Ersatz von Waare durch andre Waare, erscheint daher nicht durch ihren eignen Formwechsel vermittelt, sondern durch die Funktion des Geldes als (Zirkulationsmittel, welches [139.30-36]

91.9-30

C'est bis autres 74 . ] Die Textanordnung ist gegenüber D 4 verändert:

DF1

91.9-12 13-14 14-16 16

140.18-21 16-18

24

Verzeichnis von Abweichungen

16-18 18-21J 22-26 2 6 - 2 9 J~

24-27 22-24 12-13 27-30 13-16

91.9

C'est aussi ce qui arrive.] H 3 In der That. [52.2]

91.13-14

Mais bis réciproque.] D 4 Beidemal wirkt das Geld in gleicher Weise, als Kaufmittel erst einer, dann der andren Waare. Aber der innere Zusammenhang beider Processe für dieselbe Waare erscheint in der doppelten und gegensätzlichen Bewegung, die denselben Geldstücken aufgedrückt wird. [140.18-21]

91.14-16

Les mêmes bis bible.] D 4 Dieselben Geldstücke kommen als entäußerte Gestalt der Waare in die Hand des Verkäufers und verlassen sie als absolut veräußerliche Gestalt der Waare. [140.16-18]

91.16

Elles sont déplacées deux fois. ] D 4 Es ist doppelter Stellenwechsel, und die Leinwand oder ihren Repräsentanten als Centrum betrachtet, in entgegengesetzter Richtung, positiver bei Einnahme des Geldes, negativer bei seiner Ausgabe. [140.24-27]

91.16-18

La première bis sortir. ] D 4 Dieselben 2 Pfd. St., die beim Verkauf der Leinwand aus der Tasche des Weizenbauers in die Tasche des Leinwebers einwandern, wandern von ihr aus beim Kauf der Bibel. [140.22-24]

91.18-19

Les deux changements de forme inverses] D 4 Der doppelte Formwechsel [140.12]

91.19-20

dans bis opposée,] D 4 im zweimaligen Stellenwechsel [140.12-13]

91.26-27

le retour bis usuelle. ] D 4 ihre Rückverwandlung aus Geld. [140.30]

91.27-30

Dans bis autres74. ] D 4 wenn wir die Gesammtmetamorphose einer Waare, in der mehrmaligen Wiederholung seines Stellenwechsels, wenn wir die Verschlingung der zahllosen Metamorphosen in einander betrachten. [140.13-16]

91.38 u. 92.1

métamorphoses partielles de diverses marchandises. ] D 4 einseitige Waarenmetamorphosen vor, oder in andren Worten, bloße Verkäufe von der einen Seite, bloße Käufe von der andern. [140.39 und 141.1-2]

91.41-42

74

92.1-4

La valeur bis au marché] D 4 In ihren Preisen sind die Waaren bereits bestimmten vorgestellten Geldquantis gleichgesetzt. Da nun die hier betrachtete, unmittelbare Cirkulationsform Waare und Geld einander stets leiblich gegenüberstellt, die eine auf den Pol

I1 faut bis à présent.] In D4 im Text [140.30-32].

799

Le capital. Paris 1872-1875

des Verkaufs, das andre auf den Gegenpol des Kaufs, ist die für den Cirkulationsproceß der Waarenwelt erheischte Masse von Cirkulationsmitteln bereits [141.2-7] 92.15-17

Dans bis prix] D4 Der Preis [141.17]

92.19

marchandises.] D4 Waaren. Ganz dasselbe Phänomen würde sich ereignen, wenn z.B. nicht der Werth des Goldes sänke, sondern Silber es als Werthmaß ersetzte, oder nicht der Werth des Silbers stiege, sondern Gold es aus der Funktion des Werthmaßes verdrängte. In dem einen Fall müßte mehr Silber cirkuliren als vorher Gold, in dem andren weniger Gold als vorher Silber. In beiden Fällen hätte sich der Werth des Geldmaterials verändert, d. h. der Waare, die als Maß der Werthe funktionirt, daher der Preisausdruck der Waarenwerthe, daher die Masse des cirkulirendes Geldes, das zur Realisirung dieser Preise dient. [141.19-28]

92.22

comme mesure des valeurs] D4 als Werthmaß, also bei der Preisbestimmung. [141.31]

92.23-26

on bis marchandises] D4 so erscheint dieß zunächst im Preiswechsel der Waaren, die unmittelbar an den Produktionsquellen der edlen Metalle mit ihnen als Waaren ausgetauscht werden. Namentlich in minder entwickelten Zuständen der bürgerlichen Gesellschaft wird ein großer Theil der andren Waaren [141.32-36]

92.27

du métal-monnaie ] D4 des Werthmaßes [141.37]

92.27-29

Cet état bis cependant] D4 Indeß [141.37]

92.36-37

et qu'il bis prix] D4 oder ihre Werthe dem neuen, gesunkenen und bis zu einem gewissen Punkt fortsinkenden Werth des Metalls gemäß geschätzt werden, [142.4-6]

93.16-17

pour influer bis réaliser.] D4 um die zu realisirende Preissumme aller cirkulirenden Waaren zu erhöhn oder zu senken, also auch mehr oder weniger Geld in Cirkulation zu setzen. [142.28-30]

93.31-33

résulte bis l'eau-de-vie 75 . ] D4 stellt den doppelten Formwechsel der Waare dar, ihre Bewegung durch zwei entgegengesetzte Cirkulationsstadien und die Verschlingung der Metamorphosen verschiedner Waaren 76 ). [143.5-7]

93.35-36

II bis s'accomplir.] D4 Zeitabschnitte bilden daher das Maß seiner Dauer, oder [143.10-11]

94.13-18

Les pièces bis monnaie.] D4 Die Gesammtzahl der Umläufe aller in Cirkulation befindlichen gleichnamigen Geldstücke ergiebt jedoch die Durchschnittsanzahl der Umläufe des einzelnen Geldstücks oder die Durchschnittsgeschwindigkeit des Geldumlaufs. [143.26-29]

800

Verzeichnis von Abweichungen

94.34-35

De même bis marchandises, ] D4 Wie im Geldumlauf überhaupt nur der Cirkulationsproceß der Waaren, d. h. ihr Kreislauf durch entgegengesetzte Metamorphosen erscheint, [144.8-9]

94.37-38

la disparition subite] D4 die Hast des Stoffwechsels, das rasche Verschwinden [144.12]

95.2-3

deux bis échangistes] D4 beiden Processe [144.17]

95.15-16

par bis métamorphoses.] D4 durch den langsamren oder raschren Fluß ihrer gegensätzlichen Cirkulationsprocesse, von dem es abhängt, der wievielte Theil jener Preissumme durch dieselben Geldstücke realisirt werden kann. [145.3-6]

95.45

provenant de limitations législatives] D4 z.B. in Folge officieller Pfuschereien mit der „régulation of currency" [145.40-41]

96.26-27

En effet bis on trouve] D4 Man findet daher, namentlich bei Betrachtung etwas längerer Perioden, ein viel konstanteres Durchschnittsniveau der in jedem Lande cirkulirenden Geldmasse und, [145.36-38]

96.30-31

valeur même des métaux précieux] D4 Geldwerth selbst [146.2]

97.12

La théorie bis fut] D4 Die Hume'sche Theorie ward [146.23-24]

97.14

1774, p. 112 et suiv.] D4 1774", wo ein eignes Kapitel: „Prices depend on quantity of money", p. 112 sqq. [146.25-26]

97.15

sous silence bis Cela n'est vrai] D4 stillschweigend, indem er das Geld ganz falsch als bloße Waare behandelt." Dieß gilt nur, [146.27-28]

98.3-4

Les poids bis officiel] D4 vorgestellte Gewichtstheil Gold [147.6-7]

98.29-30

entre bis précieux] D4 zwischen der Werthlosigkeit von Gold und Silber [147.41-42]

99.1

Les monnaies d'or ou d'argent] D4 die Goldmünzen [148.2]

99.2-4

moins, bis dénomination.] D4 weniger. [148.3]

99.23

leur rôle de monnaie symbolique.] D4 die Rolle von Silber- und Kupfermarken als Substituten der Goldmünze. [148.23-24]

99.24-25

où bis c'est-à-dire] D4 worin die Münze am schnellsten cirkulirt und sich daher am schnellsten abnutzt, d.h. [148.25-26]

99.27

les proportions] D4 die sehr niedrigen Proportionen [148.29]

100.4-7

Néanmoins bis même.] D4 Das Münzdasein des Goldes scheidet sich völlig von seiner Werthsubstanz. [149.8-9]

801

Le capital. Paris 1872-1875

100.23-24

du cours de la monnaie réelle] D4 des Geldumlaufs selbst [150.1-2]

100.25

de l'or ou de l'argent] D4 zum Gold [150.3]

101.7-8

faculté bis précieux] D4 Geldabsorptionsfähigkeit [150.15]

101.8-9

prix des marchandises] D4 Waarencirkulation [150.16]

101.11

sa proportion légitime. ] D4 sein Maß, d. h. die Quantität von Goldmünze gleicher Denomination, welche cirkuliren könnte, [150.17-18]

101.12

circulation des marchandises] D4 Waarenwelt [150.20]

101.14-15

est bis de 11. st. ] D4 je 2 Unzen Gold statt je 1 Unze dar, so wird faktisch 1 Pfd. St. z. B. zum Geldnamen [150.22-23]

101.17

altéré. ] D4 verändert worden. Dieselben Werthe, die sich daher vorher im Preise von 1 Pfd. St., drücken sich jetzt im Preis von 2 Pfd. St. aus. [150.24-26]

101.19-20

et les bis prix] D4 zu den Waarenwerthen besteht nur darin, daß sie ideell in denselben Goldquanta ausgedrückt sind [150.27-29]

102.6-8

disparaître bis autre. ] D4 sofort wieder zu verschwinden. Die selbstständige Darstellung des Tauschwerths der Waare ist hier nur flüchtiges Moment. Sofort wird sie wieder durch andre Waare ersetzt. Daher genügt auch die bloß symbolische Existenz des Geldes in einem Proceß, der es beständig aus einer Hand in die andre entfernt. [151.13-17]

102.14-15

peut bis numéraire.] D4 geht das Geld völlig auf in seine Funktion als Cirkulationsmittel oder Münze, und kann daher im Papiergeld eine von seiner Metallsubstanz äußerlich getrennte und bloß funktionelle Existenzweise erhalten. [151.25-28]

102.18—28

Jusqu'ici bis numéraire.] D4 Die Waare, welche als Werthmaß und daher auch, leiblich oder durch Stellvertreter, als Cirkulationsmittel funktionirt, ist Geld. Gold (resp. Silber) ist daher Geld. Als Geld funktionirt es, einerseits wo es in seiner goldnen (resp. silbernen) Leiblichkeit erscheinen muß, daher als Geldwaare, also weder bloß ideell, wie im Werthmaß, noch repräsentationsfähig, wie im Cirkulationsmittel; andrerseits wo seine Funktion, ob es selbe nun in eigner Person oder durch Stellvertreter vollziehe, es als alleinige Werthgestalt oder allein adäquates Dasein des Tauschwerths allen andren Waaren als bloßen Gebrauchswerthen gegenüber fixirt. [151.30-31 und 152.1-7]

103.14

La monnaie bis se pétrifie] D4 Aus bloßer Vermittlung des Stoffwechsels wird dieser Formwechsel zum Selbstzweck. Die entäußerte Gestalt der Waare wird verhindert als ihre absolut veräußerli-

802

Verzeichnis von Abweichungen che Gestalt oder nur verschwindende Geldform zu funktioniren. Das Geld versteinert [ 1 5 2 . 2 0 - 2 3 ] 103.17

contre la marchandise m o n n a i e . ] D 4 verwandelt sich [...] in Geld. [152.25-26]

103.19-21

dont bis trésors.] D" wo der traditionellen und auf Selbstbedarf gerichteten Produktionsweise ein fest abgeschloßner Kreis von Bedürfnissen entspricht. [ 1 5 2 . 2 9 - 3 0 ]

104.28

niveleur radical] D 4 radikaler Leveller [154.1]

104.32-34

que l'or bis marchandise.] D 4 Gold oder Silber schon als verwandelte

Gestalt

der

Waare,

oder

als

Produkt

des

Verkaufs.

[153.35-36] 105.1

sous les mains de qui que ce soit. ] D 4 Privateigenthum eines J e d e n [154.3]

105.3-5

l'agent bis populaires 9 1 . ] D 4 die Scheidemünze ihrer ökonomischen und sittlichen Ordnung 9 2 ). [ 1 5 4 . 5 - 6 ]

106.9 106.21

travail de Sisyphe. ] D 4 Sisyphusarbeit der Akkumulation. [ 1 5 5 . 7 - 8 ] l'accumulation d'ouvrages d'orfèvrerie] D 4 der Besitz von Goldund Silberwaaren [155.19]

106.22

richesse

sociale]

D4 R e i c h t h u m

der bürgerlichen

Gesellschaft

[155.19-20] 106.24

pour bis de l'autre] D 4 für Gold und Silber, unabhängig von ihren Geldfunktionen, theils [ 1 5 5 . 2 1 - 2 2 ]

106.28-29

des conditions bis m o n n a i e . ] D 4 aus den Umlaufsbedingungen der Gold- oder Silbermünze. [ 1 5 5 . 2 6 - 2 7 ]

106.34-35

Tantôt bis rentrer.] D 4 Bald muß Geld als M ü n z e attrahirt, bald M ü n z e als Geld repellirt werden. [ 1 5 5 . 3 0 - 3 1 ]

107.26-27

la métamorphose de la marchandise] D 4 die Metamorphose der Waare oder die Entwicklung ihrer Werthform [ 1 5 6 . 2 2 - 2 3 ]

107.28

moyen de payement.] D 4 Zahlungsmittel 9 6 ). [156.24] 96

) Luther unterscheidet zwischen Geld als Kaufmittel und Zah-

lungsmittel. „Machest mir einen Zwilling aus dem Schadewacht, das ich hie nicht bezalen und dort nicht kauffen kann." (Martin Luther: „An die Pfarrherrn, wider den Wucher zu predigen. Witt e n b e r g 1540.") [ 1 5 6 . 4 1 - 4 3 ] 108.13-15

Cependant bis profonds. ] D 4 Indeß spiegelt die Geldform - und das Verhältniß von Gläubiger und Schuldner besitzt die Form eines Geldverhältnisses -

hier nur den Antagonismus tiefer liegender

ökonomischer Lebensbedingungen wieder. [ 1 5 7 . 8 - 1 1 ]

803

Le capital. Paris 1872-1875

108.27-28

arrêté à sa première moitié.] D4 mit der ersten Phase abbrach oder die verwandelte Gestalt der Waare der Cirkulation entzogen wurde. [157.22-24]

108.29

est sortie.] D4 ausgetreten ist. Das Geld vermittelt nicht mehr den Proceß. Es schließt ihn selbstständig ab, als absolutes Dasein des Tauschwerths oder allgemeine Waare. [157.25-27]

108.31

sous forme d'équivalent général] D4 in Geldform [157.29]

108.32-35

La conversion bis personnelles.] D4 Die Werthgestalt der Waare, Geld, wird also jetzt zum Selbstzweck des Verkaufs durch eine den Verhältnissen des Cirkulationsprocesses selbst entspringende, gesellschaftliche Nothwendigkeit. [157.31-33]

108.36 u. 109.1-2

Supposons bis avant] D4 Der Käufer verwandelt Geld zurück in Waare, bevor [157.34]

109.4-9

Ensuite bis a circulé] D4 Die Waare des Verkäufers cirkulirt [157.36]

109.11

est entrée dans la consommation d'autrui] D4 verwandelt sich in Gebrauchswerth, [157.37 und 158.1]

109.12-14

métamorphose bis paysan] D4 Metamorphose folgt erst nachträglich [158.2]

110.32 u. 111.1

et sa bis l'outrance. ] D4 und ihrer Werthgestalt, dem Geld, bis zum absoluten Widerspruch gesteigert. [159.15-16]

111.8-15

Payements bis suite. ] D4 ausgleichende Zahlungen. [159.23]

113.3

stationnaires ] D4 welche sich mit der Unwandelbarkeit von Naturverhältnissen reproduciren [161.10-11]

113.5

libre commerce] D4 auswärtige Handel [161.13-14]

113.7-8

conditions bis révolution. ] D4 engen ökonomischen Existenzbedingungen werden sich auflösen. [161.15-16]

113.10-11

Si bis convention,] D4 Sie beruhn theilweis, [161.17-18]

113.15

de la rente, du loyer, des impôts, etc.] D4 Steuern, Renten u.s.w. [161.21]

113.17

perturbations] D4 Perturbationen in der Oekonomie der Zahlungsmittel [161.24]

114.12-15

monnaie universelle bis Smith.] D4 Weltgeld. [162.16]

115.3

forme absolue de la richesse] D4 absolut gesellschaftliche Materiatur des Reichthums [163.6-7]

115.7-8

commerce étranger] D4 Weltmarktscirkulation [163.11-12]

804

Verzeichnis von Abweichungen 116.7-8

Les pays bis développement] D 4 Länder entwickelter bürgerlicher Produktion [164.10]

117.6-7

ont déjà atteint un certain degré de développement.] D 4 bilden die historischen Voraussetzungen [165.8]

117.18

regarder dans le passé] D 4 Rückblicks auf die

Entstehungsge-

schichte des Kapitals, um das Geld als seine erste Erscheinungsform zu erkennen. [165.18-20] 120.19

C'est bis A - M - A . ] D 4 In G - W - G dagegen ist der Rückfluß des Geldes durch die Art seiner Verausgabung selbst bedingt. [168.6-8]

120.25

L a satisfaction] D 4 Konsumtion, Befriedigung [168.13]

121.1-2

U n e somme bis peut] D 4 Eine Geldsumme kann [168.31]

121.21-23

de la vente bis c o n s o m m a t i o n ] D 4 des Verkaufs u m zu kaufen findet, wie dieser Proceß selbst, M a ß und Ziel an einem außer ihm liegenden Endzwecke, der Konsumtion [169.23-25]

122.5 122.10

les 1 0 0 / . s t . ] D 4 die 1 1 0 P f d . St. [169.31] 100 l. st. ] D 4 100 Pfd. St., da beide beschränkte Ausdrücke

des

Tauschwerths sind, beide also denselben B e r u f haben sich dem Reichthum

schlechthin

durch Größenausdehnung

anzunähern.

[170.1-3] 122.15-17

dans bis j e u 5 . ] D 4 in derselben entsprechenden Form befindet, um den Verwerthungsproceß

zu beginnen, wie die

ursprünglichen

100 Pfd. St. Geld kommt am Ende der Bewegung wieder als ihr Anfang heraus 5 ). [170.9-12] 123.4-5

de la circulation bis valeur] D 4 j e n e r Cirkulation - die Verwerthung des Werths -

123.10

[171.3-4]

du capitaliste,] D 4 des Kapitalisten zu behandeln 7 ) [171.8] 7)

"Commodities (hier im Sinn von Gebrauchswerthen) are not the

terminating object o f the trading capitalist . . . money is his terminating object." (Th. Chalmers: On Politic. Econ. etc. 2nd edit. Glasgow 1832, p. 165, 166.) [171.29-31] 123.21

A - M - A ' ] D 4 G - W - G [171.20]

123.40

l'encombrement du m a r c h é ] D 4 Ueberproduktion [171.38]

124.2

se perdre dans ce mouvement. ] D 4 sich in dieser Bewegung zu verlieren, und verwandelt sich also in ein automatisches

Subjekt.

[172.1-3] 124.6-7

substance automatique, douée d'une vie propre] D 4 Subjekt eines Processes [172.6]

805

Le capital. Paris 1872-1875

124.8-9

et spontanément, bis vertu.] D4 sich als Mehrwerth von sich selbst als ursprünglichem Werth abstößt, sich selbst verwerthet. Denn die Bewegung, worin er Mehrwerth zusetzt, ist seine eigne Bewegung, seine Verwerthung also Selbstverwerthung. [172.8-11]

124.13-14

Comme bis faut] D4 Als das übergreifende Subjekt eines solchen Processes, worin er Geldform und Waarenform bald annimmt, bald abstreift, sich aber in diesem Wechsel erhält und ausreckt, bedarf der Werth [172.13-15]

124.17

termine bis spontanée] D4 Schlußpunkt jeden Verwerthungsprocesses. [172.18]

124.21-25

C'est bis L'argent] D4 Das Geld [172.21] Der Zusatz in DF1 entspricht H s [53.5-10].

124.28-30

sont bis l'argent. ] D4 im Glauben und in der Wahrheit Geld, innerlich verschnittne Juden sind, und zudem wunderthätige Mittel, um aus Geld mehr Geld zu machen. [172.24-26] H3 nicht nur im Glauben etc sind, sondern die wunderthätigen Mittel aus Geld mehr Geld zu machen. [53.11-12]

124.31-33

séparation bis argent.] D4 der Werth der Waaren ihrem Gebrauchswerth gegenüber höchstens die selbstständige Form des Geldes [172.27-28]

125.34

L'inversion des phases complémentaires] D4 Diese Umkehrung [173.26]

126.9-10

de supérieur bis l'argent.] D4 das mehr als Geld oder Waare wäre, oder eine andre Wirkung außer der des Geldes oder der Waare ausüben könnte. [173.36 und 174.1]

126.36

besoin.] D4 bedürfen. Und dieser Nutzen mag nicht der einzige sein. [174.30-31]

127.6

de richesses] D4 des Tauschwerths [175.5]

127.12

entrent bis résulter] D4 in die Cirkulation treten, also Voraussetzung und nicht Resultat [175.10-11]

127.17

valeur] D4 Tauschwerth [175.16]

127.18-19

quoiqu'il bis d'autrui. ] D4 abwechselnd in Gestalt seiner Waare, des Geldes, worin sie sich verwandelt, der Waare, worin sich dieß Geld rückverwandelt. [175.17-19]

127.28-29

il n'en peut résulter qu'un échange] D4 bedingt sie, wenn das Phänomen rein vorgeht, Austausch [175.28-29]

127.29-30

même l'économie vulgaire,] D4 Die Vulgärökonomie selbst, so wenig sie ahnt, was der Werth ist, [175.29-30]

806

Verzeichnis von Abweichungen

129.28

entre leur bis l'argent.] D 4 zwischen ihrer Naturalform und ihrer verwandelten Form, [177.27-28]

132.1

Le même] D4 Auf der einen Seite erscheint als Mehrwerth, was auf der andren Minderwerth ist, auf der einen Seite als Plus, was auf der andren als Minus. Derselbe [179.35 und 180.1-2]

132.12

analyse du capital,] D 4 Analyse der Grundform des Kapitals, der Form, worin es die ökonomische Organisation der modernen Gesellschaft bestimmt, [180.15-17]

133.2

duperie 34 .»] D 4 Prellerei34)." Soll die Verwerthung des Handelskapitals nicht aus bloßer Prellerei der Waarenproducenten erklärt werden, so gehört dazu eine lange Reihe von Mittelgliedern, die hier, wo die Waarencirkulation und ihre einfachen Momente unsere einzige Voraussetzung bilden, noch gänzlich fehlt. [181.3-7]

133.24-26

avant bis moderne.] D 4 vor der modernen Grundform des Kapitals [181.28]

Die Erweiterung entspricht der Auslassung weiter vorn (siehe

DF\ S. 132.12). 133.27-29

que la bis plus-value] D 4 daß der Mehrwerth nicht aus der Cirkulation entspringen kann, bei seiner Bildung also etwas hinter ihrem Rücken vorgehn muß, das in ihr selbst unsichtbar ist [181.30-32]

133.32

sa marchandise qui] D 4 seiner eignen Waare. Was ihren Werth angeht, beschränkt sich das Verhältniß darauf, daß sie [181.35-36 und 182.1]

134.11-13

puisse bis pas de] D 4 Werth verwerthe und daher [182.16-17]

134.14

en capital. ] D 4 in Kapital verwandle. _f Kapital kann also nicht aus der Cirkulation entspringen und es kann eben so wenig aus der Cirkulation nicht entspringen. Es muß zugleich in ihr und nicht in ihr entspringen. [182.17-20]

134.37-38

Si donc bis voir clair] D 4 Wäre interesseloses Denken also überhaupt sein Interesse [182.43-44]

135.3

L'accroissement bis l'argent] D 4 Die Werthveränderung des Geldes, das [183.2]

135.8-11

valeur pétrifiée38, bis marchandise.] D 4 gleichbleibender Werthgröße erstarrt38). [183.5-6]

135.15-16

la marchandise bis en elle.] D4 die Waare wird zu ihrem Werthe bezahlt. [183.11-12]

135.18-19

de son usage bis accroissement. ] D4 aus ihrem Verbrauch. [183.13]

807

Le capital. Paris 1872-1875

135.20

tirer bis marchandise] D" aus dem Verbrauch einer Waare Werth herauszuziehn [183.13-14]

135.23

source de valeur échangeable] D4 Quelle von Werth [183.17]

136.11-12

S'il veut bis doit] D4 Er als Person muß sich beständig zu seiner Arbeitskraft als seinem Eigenthum und daher seiner eignen Waare verhalten und das kann er nur, [184.8-10]

136.12-13

à la disposition] D4 zur Verfügung stellt, zum Verbrauch überläßt [184.11]

136.23-24

Personne, bis ne peut] D4 Niemand kann [184.21]

137.5

vendus bis producteur. ] D4 verkauft werden, nachdem sie producirt sind und können die Bedürfnisse des Producenten erst nach dem Verkauf befriedigen. [184.25 und 185.1-2]

138.8-9

l'échange bis monnaie] D4 das Geld, so setzt es eine gewisse Höhe des Waarenaustausches voraus. [185.40-41]

138.11

trésor, fonds de réserve, etc.] D4 Schatz und Weltgeld [186.1]

138.22

la force de travail] D4 Diese eigenthümliche Waare, die Arbeitskraft [186.13]

138.24

Par bis production. ] D4 durch die zur Produktion, also auch Reproduktion, dieses specifischen Artikels nothwendigen Arbeitszeit. [186.17-18]

138.25-26

le quantum bis en elle.] D4 nur ein bestimmes Quantum in ihr vergegenständlichter gesellschaftlicher Durchschnittsarbeit. [186.19-20]

138.27

de l'individu vivant. ] D4 des lebendigen Individuums. Ihre Produktion setzt also seine Existenz voraus. [186.21-22]

139.2-3

Plus bis réparation] D4 Diese vermehrte Ausgabe bedingt eine vermehrte Einnahme [186.32-33]

139.6

l'entretenir] D4 das arbeitende Individuum als arbeitendes Individuum [...] zu erhalten. [187.3-4]

139.11-14

du degré bis vie] D4 von der Kulturstufe eines Landes, unter andrem auch wesentlich davon ab, unter welchen Bedingungen, und daher mit welchen Gewohnheiten und Lebensansprüchen die Klasse der freien Arbeiter sich gebildet hat [187.9-12]

140.2

complexe] D4 vermittelten [187.32-33]

140.4

marchandises nécessaires] D4 verausgabten Werthe. [188.1-2]

140.21-23

La valeur bis six heures] D4 Gesetzt in dieser für den Durchschnitts-Tag nöthigen Waarenmasse steckten 6 Stunden gesellschaftlicher Arbeit, so vergegenständlicht sich in der Arbeitskraft

808

Verzeichnis von Abweichungen

täglich ein [188.18-21]

halber

Tag

gesellschaftlicher

Durchschnittsarbeit

140.25

sa valeur quotidienne. ] D 4 Tageswerth der Arbeitskraft, oder den Werth der täglich reproducirten Arbeitskraft. [188.23-24]

140.32

prix] D 4 Werths [188.31]

140.40

47

141.25-26

son service bis simultanés.] D 4 ihr Dasein als Gebrauchswerth, fallen daher der Zeit nach aus einander. [189.23-24]

141.29-31

comme bis utile. ] D 4 meist als Zahlungsmittel. [189.27-28]

142.42-43

Comme bis du crédit] D 4 Als eine weitere artige Entwicklung des Kredits [190.42]

143.24-25

car ni bis au contraire ] D 4 denn Käufer und Verkäufer einer Waare, z.B. der Arbeitskraft, [191.21-22]

143.27

libre produit ] D 4 Endresultat [ 191.24]

145.9-11

en faisant bis valeurs d'usage.] D 4 indem er ihren Verkäufer arbeiten läßt. Letztrer wird hierdurch actu sich bethätigende Arbeitskraft, Arbeiter, was er früher nur potentia war. U m seine Arbeit in Waaren darzustellen, m u ß er sie vor allem in Gebrauchswerthen darstellen, Sachen, die zur Befriedigung von Bedürfnissen irgend einer Art dienen. [192.9-13]

145.16-17

abstraction bis société] D 4 unabhängig von jeder bestimmten gesellschaftlichen Form [192.17-18]

145.18-19

et la nature. L ' h o m m e ] D 4 und Natur, ein Proceß, worin er seinen Stoffwechsel mit der Natur durch seine eigne That vermittelt, regelt und kontrolirt. Der Mensch [192.19-21]

145.24

les facultés qui y sommeillent.] D 4 die in ihr schlummernden Potenzen u n d unterwirft das Spiel ihrer Kräfte seiner eignen Botmäßigkeit. [192.27-28]

145.24-146.1

Nous bis o ù ] D 4 Wir haben es hier nicht mit den ersten thierartig instinktmäßigen Formen der Arbeit zu thun. Dem Zustand, worin der Arbeiter als Verkäufer seiner eignen Arbeitskraft auf dem Waarenmarkt auftritt, ist in urzeitlichen Hintergrund der Zustand entrückt, worin [192.28-31]

146.17-18

qu'il bis attrayant.] D 4 je weniger er sie daher als Spiel seiner eignen körperlichen u n d geistigen Kräfte genießt. [193.15-17]

146.20-21

1° bis agit.] D 4 die zweckmäßige Thätigkeit oder die Arbeit selbst, ihr Gegenstand und ihr Mittel. [193.18-19]

Un écu bis anglais.] Fehlt in D4.

809

Le capital. Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

146.31-38

'En allemand bis juridique. ] Fehlt in D4.

147.12

des choses extérieures] D4 das Natürliche [194.5]

147.19

d'autres moyens de travail] D4 andrer Arbeitsmittel und eine schon relativ hohe Entwicklung der Arbeitskraft [194.12-13]

148.26

comme une propriété en repos. ] D4 als ruhende Eigenschaft, in der Form des Seins, [195.24]

148.43

du travail productif bis insuffisante] D4 produktiver Arbeit, wie sie sich vom Standpunkt des einfachen Arbeitsprocesses ergiebt, reicht keineswegs hin [195.43-44]

149.11

des objets bis travail] D4 bereits durch die Arbeit filtrirter Arbeitsgegenstand, selbst schon Arbeitsprodukt [196.4-6]

150.16

position] D4 Funktion [197.5]

150.32

Le bon bis utiles. ] D4 Im gelungnen Produkt ist die Vermittlung seiner Gebrauchseigenschaften durch vergangne Arbeit ausgelöscht. [197.21-22]

150.39-40

comme bis produits.] D4 als Bildungselemente neuer Gebrauchswerthe, neuer Produkte, die fähig sind als Lebensmittel in die individuelle Konsumtion oder als Produktionsmittel in neuen Arbeitsproceß einzugehen. [197.31-33]

151.6-8

que celle-ci bis travail. ] D4 daß letztere die Produkte als Lebensmittel des lebendigen Individuums, erstere sie als Lebensmittel der Arbeit, seiner sich bethätigenden Arbeitskraft, verzehrt. [198.1-3]

151.41-42

grâce bis en allemand stock] D4 Aus jenem ersten Stock [198.41]

152.4-5

qu'il fait bis travail. ] D4 er läßt den Träger der Arbeitskraft, den Arbeiter, die Produktionsmittel durch seine Arbeit konsumiren. [198.34-35]

152.12-13

Si le mode bis profondément] D4 Die Verwandlung der Produktionsweise selbst [199.7-8]

152.28-29

l'utilité de sa force, le travail,] D4 der Gebrauchswerth seiner Arbeitskraft, also ihr Gebrauch, die Arbeit, [199.24-25]

153.4-5

fassent bis monde] D4 gewissermaßen die Basis des gesellschaftlichen Fortschritts bilden [200.2-3]

153.8

Elle bis porte-valeur.] D4 Gebrauchswerthe werden hier überhaupt nur producirt, weil und sofern sie materielles Substrat, Träger des Tauschwerths sind. [200.6-8]

153.13-14

dépensé son cher argent. ] D4 sein gutes Geld auf dem Waarenmarkt vorschoß. [200.13-14]

810

Verzeichnis von Abweichungen

153.17

un seul bis d'usage] D4 nur eine Seite des Processes [200.18]

153.18

valeur d'échange] D4 Werth [200,19]

153.19-20

à la fois bis valeur] D4 Einheit von Arbeitsproceß und Werthbildungsproceß [200.20]

153.21

au point de vue de la valeur] D4 als Werthbildungsproceß [200.21-22]

153.23

en elle] D4 in ihrem Gebrauchswerth [200.24]

153.24-25

II bis filés.] D4 Dieß gilt auch für das Produkt, das sich unsrem Kapitalisten als Resultat des Arbeitsprocesses ergab. Es ist also zunächst die in diesem Produkt vergegenständlichte Arbeit zu berechnen. J~ Es sei z. B. Garn. [200.25-29]

153.30

travail social moyen] D4 allgemeine gesellschaftliche Arbeit [200.34]

154.5-6

D'après la loi générale des échanges] D4 Nach dem allgemeinen Werthgesetz [201.5-6]

154.11

Le fait que] D4 Der Werth ist also gleichgültig dagegen, ob er in Garn, Spindel oder Baumwolle erscheint. Daß [201.12-13]

154.18

temps bis usées] D4 Arbeitszeit, die zur Produktion der Spindelmasse erheischt ist, ohne deren Verschleiß oder Konsum die Baumwolle nicht versponnen werden kann [201.21-23]

154.25

soit écoulé bis filage] D4 früher vergangen ist, im Plusquamperfectum steht, dagegen die zum Schlußproceß, dem Spinnen, unmittelbar verwandte Arbeit dem Präsens näher, im Perfectum steht [201.32-34]

154.30-31

comme bis même.] D4 als wäre sie nur in einem früheren Stadium des Spinnprocesses verausgabt worden, vor der zuletzt unter der Form des Spinnens zugesetzten Arbeit. _f Die Werthe der Produktionsmittel, der Baumwolle und der Spindel, ausgedrückt in dem Preise von 12 sh., bilden also Bestandtheile des Garnwerths, oder des Werths des Produkts. [202.1-6]

154.37

dans bis production] D4 unter den gegebenen gesellschaftlichen Produktionsbedingungen [202.11-12]

154.38 u. 155.1

ce n'est bis filés.] D4 so darf nur 1 Pfund Baumwolle verzehrt sein in der Bildung von 1 Pfund Garn. Ebenso verhält es sich mit der Spindel. [202.14-15]

155.9

nouvel aspect.] D4 ganz andren Gesichtspunkte zu betrachten, als während des Arbeitsprocesses. [202.23-24]

811

Le capital. Paris 1872-1875

155.10

l'art bis filés,] D4 die zweckmäßige Thätigkeit, Baumwolle in Garn zu verwandeln. Je zweckmäßiger die Arbeit, desto besser das Garn [202.24-26]

155.12

par son but ] D4 und diese Verschiedenheit offenbarte sich subjektiv und objektiv, im besondren Zweck des Spinnens [202.28-29]

155.14

qu'emploie le flleur] D4 dienen als Lebensmittel der Spinnarbeit [202.32]

155.18-23

Si bis des filés.] D4 Nur wegen dieser Identität können Baumwollpflanzen, Spindelmachen und Spinnen blos quantitativ verschiedne Theile desselben Gesammtwerths, des Garnwerths, bilden. [202.37-40]

155.23

la qualité] D4 die Qualität, die Beschaffenheit und den Inhalt der Arbeit [202.40-41]

155.23-24

la quantité du travail bis Admettons] D4 ihre Quantität. Diese ist einfach zu zählen. Wir nehmen an [202.41-203.1]

155.25

du travail simple moyen] D4 einfache Arbeit, gesellschaftliche Durchschnittsarbeit [203.1-2]

155.28-30

Une heure bis de filés.] D4 Am Ende einer Stunde ist die Spinnbewegung in einem gewissen Quantum Garn dargestellt, also ein bestimmtes Quantum Arbeit, eine Arbeitsstunde, in der Baumwolle vergegenständlicht. Wir sagen Arbeitsstunde, denn die Spinnarbeit gilt hier nur, so weit sie Verausgabung von Arbeitskraft, nicht so weit sie die specifische Arbeit des Spinnens ist. [203.6-11]

155.39-40

non-seulement bis rôle.] D4 Rohmaterial und Produkt erscheinen hier in einem ganz anderen Licht als vom Standpunkt des eigentlichen Arbeitsprocesses. [203.20-21]

156.1-2

attendu bis filage] D4 weil ihm Spinnarbeit zugesetzt wurde [203.23-24]

156.3

quantité de travail] D4 Arbeit [203.25]

156.7

masses de travail solidifié ] D4 bestimmte Quanta Arbeit, bestimmte Masse festgeronnener Arbeitszeit [203.28-29]

156.11

déjà matière première, c'est-à-dire un produit] D4 schon Produkt, also Rohmaterial [203.34]

156.39 u. 157.1

on ne les multiplie pas] D4 kann nun und nimmermehr ein Mehrwerth entspringen [204.22-23]

157.30-31

les excès épidémiques de production] D4 die Epidemie der Ueberproduktion [205.18-19]

812

Verzeichnis von Abweichungen

159.7-8

La valeur bis grandeur.] D 4 Der Werth der Arbeitskraft und ihre Verwerthung im Arbeitsproceß sind also zwei verschiedne Größen. [206.25-26]

159.37

l'expression monétaire] D 4 Der Goldausdruck [207.16-17]

160.1

Les 27 sh. avancés] D 4 27 sh. [207.22]

160.15-17

C'est bis plus-value,] D4 weil bedingt durch den Kauf der Arbeitskraft auf dem Waarenmarkt. Nicht in der Cirkulation, denn sie leitet nur den Verwerthungsproceß ein, der sich in der Produktionssphäre zuträgt. [207.37-40]

160.24-25

La production bis procès de travail] D4 Vergleichen wir nun Werthbildungsproceß und Verwerthungsproceß, so ist der Verwerthungsproceß nichts als ein über einen gewissen Punkt hinaus verlängerter Werthbildungsproceß. Dauert der letztre [208.7-9]

160.29-34

la production bis produit usuel.] D4 Werthbildungsproceß mit dem Arbeitsproceß, so besteht der letztre in der wirklichen Arbeit, die G e b r a u c h s w e r t e producirt. Die Bewegung wird hier qualitativ betrachtet, in ihrer besondren Art und Weise, nach Zweck und Inhalt. [208.14-17]

160.37-38

dépense bis [208.20-21]

160.38-40

Les moyens bis eux.] D 4 Hier gelten auch die Waaren, die in den Arbeitsproceß eingehn, nicht mehr als funktionell bestimmte, stoffliche Faktoren der zweckmäßig wirkenden Arbeitskraft. Sie zählen nur noch als bestimmte Quanta vergegenständlichter Arbeit. [208.21-24]

161.17

avec bis habituel] D 4 in dem gewöhnlichen Durchschnittsmaß der Anstrengung, mit dem gesellschaftlich üblichen Grad von Intensivität [208.41-209.2]

161.20-21

Enfin bis normale,] D 4 Endlich - und hierfür hat derselbe Herr einen eignen code pénal - darf kein zweckwidriger Consum von Rohmaterial und Arbeitsmitteln stattfinden [209.5-7]

162.9-11

que bis rien. ] D4 durchaus gleichgültig, ob die vom Kapitalisten angeeignete Arbeit einfache, gesellschaftliche Durchschnittsarbeit, oder komplicirtere Arbeit, Arbeit von höherem specifischen Gewicht ist. [209.19-20 und 210.1-2]

162.11-15

Admettons bis valeur. ] D4 Die Arbeit, die als höhere, komplicirtere Arbeit gegenüber der gesellschaftlichen Durchschnittsarbeit gilt, ist die Aeußerung einer Arbeitskraft, worin höhere Bildungskosten eingehn, deren Produktion mehr Arbeitszeit kostet und die daher einen höheren Werth hat als die einfache Arbeitskraft. Ist der Werth dieser Kraft höher, so äußert sie sich aber auch in höherer

utiles.]

D*

die

Arbeitskraft

verausgabt

wird.

813

Le capital. Paris 1872-1875

Arbeit und vergegenständlicht sich daher, in denselben Zeiträumen, in verhältnißmäßig höheren Werthen. [210.2-8] 162.18

remplacer bis salaire] D4 den W^rth seiner eignen Arbeitskraft ersetzt [210.10-11]

162.30-31

souvent bis laboureurs] D4 zum Theil auf der hilfsloseren Lage gewisser Schichten der Arbeiterklasse [210.25-26]

162.34-35

épuisée bis industriel] D4 erschöpft ist, wie in allen Ländern entwikkelter kapitalistischer Produktion [210.29-30]

162.41-42

en 1843, en Angleterre,] D4 in England [210.37]

162.43

et d'un million correspondant] D4 und anderthalb Millionen [210.38-39]

162.44

17 millions] D4 18 Millionen [210.39]

162.45

4 millions] D4 4650000 [210.40]

162.47

4 millions] D4 4% Millionen [210.41]

162.47 u. 163.31

banquiers, les financiers, etc.,] D4 Banquiers u. s. w. [210.42]

163.3-13

de travail simple20, bis l'argent. ] D4 einfacher Arbeit 19 ). Man erspart also eine überflüssige Operation und vereinfacht die Analyse durch die Annahme, daß der vom Kapital verwandte Arbeiter einfache gesellschaftliche Durchschnittsarbeit verrichtet. [210.19-22]

163.19

quel bis utile.] D4 abgesehn vom bestimmten Inhalt, Zweck und technischen Charakter seiner Arbeit. [211.6-7]

163.32-33

les 11 millions bis simple.] D4 die besagten 11 Millionen. [210.44]

164.4-5

ce double effet ne peut] D4 obgleich er nur einmal in derselben Zeit arbeitet, kann diese Doppelseitigkeit des Resultats [211.22-23]

164.9, 11

travail] D4 Arbeitszeit [211.27, 29]

164.10

travail utile et particulier] D4 eigenthümlich produktiven Arbeitsweise [211.28]

164.13-14

la forme bis dépensée] D4 zweckbestimmte Form aber, worin sie Arbeit überhaupt zusetzen und daher Neuwerth [211.30-31]

164.18-22

que bis nouveau.] D4 daß so weit ein Gebrauchswerth zweckgemäß vernutzt wird zur Produktion eines neuen Gebrauchswerths, die zur Herstellung des vernutzten Gebrauchswerths nothwendige Arbeitszeit einen Theil der zur Herstellung des neuen Gebrauchswerths nothwendigen Arbeitszeit bildet, also Arbeitszeit ist, die vom vernutzten Produktionsmittel auf das neue Produkt übertragen wird. [212.3-8]

814

Verzeichnis von Abweichungen 164.36

c o m m e travail h u m a i n e n général] D 4 abstrakte, gesellschaftliche Arbeit ü b e r h a u p t [212.22]

165.18

de nouvelle valeur ] D" des f r ü h e r e n Werths [213.1]

165.33

le m ê m e quantum de travail] D 4 dieselbe Arbeitszeit [213.18]

166.27-28

valeur d ' é c h a n g e ] D 4 W e r t h [214.13]

166.36

en perdant bis valeur.] D 4 mit seinem selbstständigen Gebrauchswerth a u c h seinen Tauschwerth verliert. [214.21-22]

167.8

conservent leur forme primitive. ] D 4 ihre ursprüngliche Gestalt bewahren u n d morgen wieder in eben derselben F o r m in den Arbeitsproceß eingehn, wie gestern. [214.34-35]

167.18-19

sa valeur] D 4 sein Tauschwerth [215.2-3]

167.28

u n e m a c h i n e à tricoter] D 4 eine M a s c h i n e von gewisser Art [215.14]

167.31

valeur d ' é c h a n g e ] D 4 Werths [215.17]

167.32-33

l'usure bis e t ] D 4 Verschleiß aller Arbeitsmittel berechnet, also z. B. ihr täglicher Verlust an Gebrauchswerth, u n d [215.18-19]

167.36-37

par bis travail] D 4 im Arbeitsproceß durch Vernichtung seines eignen Gebrauchswerths [215.22-23]

167.39-40

former bis valeurs.] D 4 als Bildner von Gebrauchswerth, o h n e als Bildner von Tauschwerth zu dienen. [215.25-26]

168.8-10

facteur bis f o r m a t i o n de la valeur. ] D 4 ein Faktor des Arbeitsprocesses, ein Produktionsmittel, ganz in d e n Arbeitsproceß, aber nur z u m Theil in den Verwerthungsproceß eingeht. [215.35-37]

168.42-43

dans sa p o l é m i q u e ] D 4 mit seiner K o n f u s i o n u n d daher mit seiner Polemik [216.43]

169.8

en perdent bis d'utilité] D 4 während des Arbeitsprocesses W e r t h in der Gestalt ihrer alten Gebrauchswerthe verlieren [216.20-21]

169.12-13

qu'ils n ' e n possèdent e u x - m ê m e s . ] D 4 als sie u n a b h ä n g i g vom Arbeitsproceß, d e m sie dienen, besitzen. [217.1]

169.39

en u n e autre occasion] D 4 bei oben erwähnter Gelegenheit [217.38]

169.45

Elle bis valeur!] D 4 die aus bloßem „Verlangen" j a doch eben „Werth" entwickelt. [217.43-44]

170.18-20

mais bis utile.] D 4 sondern weil der Gebrauchswerth, worin er ursprünglich existirt, zwar verschwindet, aber n u r in einen a n d r e n Gebrauchswerth verschwindet. [218.8-10]

815

Le capital. Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

170.22-23

la valeur ancienne] D4 der alte Tauschwerth [218.12-13]

171.6-7

valeur journalière] D4 Werth [219.4]

171.9-10

sur bis production. ] D4 über seine dem Werth der Produktionsmittel geschuldeten Bestandtheile. [219.6-7]

171.17

grâce à une nouvelle création.] D4 vermittelt durch neue Werthschöpfung. [219.14-15]

171.21

douze ou plus.] D4 z. B. 12 Stunden. [219.19]

171.22-23

valeur en plus] D4 überschüssiger Werth [219.21]

172.1

capital avancé] D4 vorgeschoßnen Kapitalwerth [219.30]

172.21-22

changement de valeur] D4 Werthrevolution [220.7]

173.2-4

alors bis parce que] D4 so findet eine Rückwirkung auf die alte Waare statt, die immer nur als einzelnes Exemplar ihrer Gattung gilt26), deren [220.29-31]

173.28

la partie bis travail] D4 der variable Theil des Kapitals, der in Arbeitskraft vorgeschoßne, [221.16-17]

173.32

différence fonctionnelle.] D4 Unterschied von konstant und variabel. [221.20]

174.5-6

a engendrée bis production] D4 im Produktionsproceß erzeugt hat, oder die Verwerthung des vorgeschoßnen Kapitalwerths C [221.24-25]

174.18

surcroît] D4 Verwerthung [222.6]

174.31

comme avance faite ] D4 Als vorgeschossen zur Erzeugung des Produktenwerths [222.18]

175.1

du côté du produit obtenu] D4 auf Seite des Produktenwerths [222.23]

175.4-5

et c'est bis jamais que] D4 verstehn wir daher, wo das Gegentheil nicht aus dem Zusammenhang erhellt, stets nur [222.26-27]

175.9

valeur] D4 Werthprodukt [222.32]

175.23

C' (le capital accru de la plus-value)] D4 C', das verwerthete Kapital, [223.9-10]

175.32

le caractère bis valeur] D4 die wirkliche Werthveränderung und das Verhältniß, worin sich der Werth ändert [223.18-19]

176.10-13

marche bis aussi 90 /. st.] D4 Proceß, den dieser Werth durchläuft. Der im Ankauf der Arbeitskraft vorgeschoßne Kapitaltheil ist ein bestimmtes Quantum vergegenständlichter Arbeit, also konstante Werthgröße, wie der Werth der gekauften Arbeitskraft. [223.32-35]

816

Verzeichnis von Abweichungen

176.13-15

les 90 bis mouvement,] D4 tritt an die Stelle der vorgeschoßnen 90 Pfd. St. die sich bethätigende Arbeitskraft, [223.36-37]

176.19

de la valeur-capital] D4 ursprünglich konstanten Werths [224.4]

176.37

soit déjà transformée] D4 verwandelt werden [224.21]

177.22

Cette grandeur proportionnelle] D4 Diese verhältnißmäßige Verwerthung des variablen Kapitals, oder die verhältnißmäßige Größe des Mehrwerths, [225.9-11]

177.27-28

division spontanée du travail social] D4 gesellschaftlicher Theilung der Arbeit [225.14-15]

177.33 u. 178.1

Lors bis travaillerait] D4 Wenn der Werth seiner täglichen Lebensmittel im Durchschnitt 6 vergegenständlichte Arbeitsstunden darstellt, so muß der Arbeiter im Durchschnitt täglich 6 Stunden arbeiten, um ihn zu produciren. Arbeitete er nicht [225.21-24]

177.39

déterminer ] D4 begreifen [225.37]

178.1-2

pour lui-même,] D4 für sich selbst, unabhängig, [225.25]

178.3-4

pour gagner sa vie.] D4 um den Werth seiner Arbeitskraft zu produciren, und dadurch die zu seiner eignen Erhaltung oder beständigen Reproduktion nöthigen Lebensmittel zu gewinnen. [225.27-29]

178.6-7

et ne bis autre] D4 also durch den neu geschaffnen Werth nur den vorgeschoßnen variablen Kapitalwerth ersetzt [225.32-33]

178.7

n'est en fait qu'une] D4 erscheint [225.33]

178.36

à l'épargne et à l'abstinence] D4 der „Sparsamkeit" [226.36]

178.38

s'abstenir de travailler?] D4 Ersparung von Arbeit? [226.38]

178.40

traiter bis plus-value] D4 in Entstehungsgründe des Mehrwerths zu verdrehen [226.42-43]

178.42-43

l'appréhension bis consciencieuse] D4 apologetische Scheu vor gewissenhafter Analyse des Werths und Mehrwerths [226.39-40]

179.29

valeur réellement engendrée] D4 wirklich erzeugte Werthprodukt [227.23]

180.8-9

Les données bis lui-même.] D4 31a ) Note zur 2.Ausg. Das in der ersten Ausgabe gegebne Beispiel einer Spinnerei für das Jahr 1860 enthielt einige faktische Irrthümer. Die im Text gegebnen durchaus genauen Daten sind mir von einem Manchester Fabrikanten geliefert. [228.35-37]

817

Le capital. Paris 1872-1875 180.25-31

Puisqu'elle bis 801. st.] Die Textanordnung ist gegenüber D4 verändert: DF1

D4

180.25-26 J

228.17-19

27-28

180.28-31

15-16

28-29

19-20

29-31

16-17

La valeur bis 80 /. st. ] D4 der Mehrwerth also 510-430 = 80 Pfd. St. v [...] Bleibt das wöchentliche Werthprodukt von 132 = 52

m 80

Pfd. St. [228.16-20] 180.35-36

très-défectueux bis données ] D4 durch vorherige Kompensation verschiedner Posten sehr mangelhafte [228.25-26]

181.16

Le taux de la plus-value - égale: ] D4 Also beträgt — = [229.5-6] v

v

181.17

laboureur] D4 Arbeiter [229.6]

181.25-26

travail] D4 Arbeitskraft [229.13-14]

182.3

produit ] D4 Gesammtprodukt [229.25]

182.9

20 liv. de coton] D4 Baumwolle [229.31]

182.12-17

Dans bis plus.] Die beiden Sätze sind gegenüber D4 vertauscht [230.1-5].

182.18-19

comprimé bis restantes.] D4 in 13^4lbs. Garn zusammengestopft wäre. [230.7]

182.25-26

consommés bis production.] D4 der im Gesammtprodukt von 20 lbs. Garn vernutzten [230.11-12]

182.40

concentré bis 2/10] D4 koncentrirt auf 2/10 [230.27]

183.4-5

valeur bis filage] D4 Werthprodukt des täglichen Spinnprocesses [230.31-32]

183.15-16 183.18

la valeur enfantée] D4 erzeugten Neuwerths [231.2] éléments bis valeur] D4 funktionell oder begrifflich verschiednen Bestandtheile des Produktenwerths [231.3-4]

183.28-33

Au lieu bis d'évolution.] D4 Wir betrachten eben das Gesammtprodukt als fertiges Resultat des zwölfstündigen Arbeitstags. Wir können es aber auch in seinem Entstehungsproceß begleiten, und dennoch die Theilprodukte als funktionell unterschiedne Produktentheile darstellen. [231.14-17]

183.40

818

75 minutes] D 4 Stunde und 12 Minuten [231.23]

Verzeichnis von Abweichungen

184.1

75 minutes] D4 % Stunden [231.26]

184.20

d'un jour de travail] D4 aus Einem Arbeitstag von gegebnem Intensivitätsgrad [232.3-4]

184.31

le normalien ] D4 der Clauren [232.13]

186.3

à la reproduction ou] D4 in der Produktion, daher der Reproduktion oder [233.8-9]

187.11-13

à ce qu'il bis heure.] D4 daß das Werthprodukt seiner 5% Spinnstunden gleich dem Produktenwerth Einer Spinnstunde. [234.30-32]

187.22

l'ouvrier, bis produit] D4 der Arbeiter producirt [234.40-41]

187.26-27

juste bis incorporées] D 4 11/4 Arbeitsstunden verkörpert sind, grade so viel Stunden [235.3]

187.37-38

et que bis surtravail] D4 und, was Euch so ähnlich sieht, wie ein Ei dem andren, die überschüssigen l l / 2 Stunden zur bloßen Mehrarbeit schlagt [235.13-14]

188.10-11

perte bis elle] D4 Verlust wird [235.27]

188.12

que vous consommez productivement ] D4 den von Euch verarbeiteten [235.28]

188.15

le marché de la Grande-Bretagne] D4 Englands Weltmarktgrößen [235.31]

188.16-18

que si, bis fabrique,] D4 welche man nicht volle 12 Stunden in die warme und reine Moralluft der Fabrikstube bannt, [235.33-34]

188.25-26

travailleurs bis Somerset] D4 Normalarbeitern in den ländlichen, zwischen den Grafschaften Dorset und Somerset zerstreut liegenden Flachsspinnereien [235.41-43]

188.46-48

quels progrès bis ex œquo,] D4 daß die Original-Entdeckung über die Tugenden der ,letzten Stunde' seitdem soweit verbessert worden ist ,Moral' und ,Profit' gleichmäßig einzuschließen; [236.24-26]

189.4

Huit ans plus tard, le] D4 am [236.4]

189.4-5

un des bis officielle] D4 einem der ökonomischen Hauptmandarine [236.5-6]

189.10

partie du produit qui] D4 Theil des Produkts C1/0 von 20 lbs. Garn oder 2 Pfd. Garn in dem Beispiel sub 2), worin [237.2-3]

189.14

somme restante] D4 Rest des Gesammtprodukts [237.7]

189.17

du produit brut ] D4 des Produkts [237.10]

189.23

intimidés ] D4 ganz verwahrlosten [236.31]

819

Le capital. Paris 1872-1875

189.27

limitation légale de la journée de travail] D4 Fabrikgesetzgebung [236.35]

189.35—36

doctrine bis temps de travail] D4 Ricardo's Werthbestimmung [236.42]

189.37

de son abstinence] D4 aus seiner Ascetik, seiner „Abstinenz" [236.43-44]

190.35-36

Hopkins bis étrange] D4 Sonderbar ist [237.35]

191.21

rien de fixe] D4 keine feste, sondern eine fließende Größe [238.35]

192.8

II a donc] D4 Ihm gehört ihr Gebrauchswerth während eines Arbeitstags. Er hat also [239.22-23]

193.2-3

excédant de travail] D4 überschüssige Verausgabung von Arbeitskraft [240.13]

193.10

avec la même force] D4 mit demselben Normalzustand von Kraft [240.20]

193.22

valeur moyenne] D4 Werth [240.33]

194.12

lutte séculaire ] D4 Kampf [241.24]

194.13

entre le capitaliste] (241.25-26]

194.14

et le travailleur] D4 und dem Gesammtarbeiter [241.26]

194.29

sous sa forme spécifique] D4 in seiner selbstständigen Geldgestalt [242.10]

194.31-32

devenu bis banqueroute] D4 (Derselbe Peto kam nach 1867 zu einem Ende mit - Strausberg!) [241.38]

195.2

devient alors la loi] D4 ist hier die officielle Form der Ueberarbeit [242.11-12]

195.8-9

les horreurs bis civilisation] D4 der civilisirte Greuel der Ueberarbeit [242.18-19]

195.36

des deux travaux] D4 von Mehrarbeit und nothwendiger Arbeit [243.17]

196.3

corvée ou profit.] D4 Frohnarbeit heiße oder Lohnarbeit. [243.20]

196.17

fonds d'assurance] D4 Reservefonds [243.34]

196.29

ce code] D4 jener Kodex der Frohnarbeit [244.8-9]

197.4

services agricoles] D4 Produktionsbedürfnisse [244.22]

197.28

atteste] D4 ein positiver Ausdruck [245.3-4]

198.44

n'y bis modification] D4 Aendrung nicht von außen [246.36]

820

D4 zwischen

dem

Gesammtkapitalisten

Verzeichnis von Abweichungen 201.14-15

par le surtravail ou le travail extra] D 4 d u r c h die Mehrarbeit [248.14-15]

201.28-29

n o u s bis capital] D 4 Den Trieb n a c h Verlängerung des Arbeitstags, den Wehrwolfsheißhunger f ü r Mehrarbeit, beobachteten wir bisher auf e i n e m Gebiet, wo maßlose Ausschreitungen, [249.3-5]

202.33

qui travaillaient dans la f a b r i q u e ] D 4 der exploitirten [250.8]

203.13

toute cette n u i t . ] D 4 N a c h t durch. Alle außer E i n e m sind diesen Morgen wieder g e k o m m e n . [250.23-24]

204.4

a s t h m e . ] D 4 Asthma. Eine F o r m des letztren ist ihnen e i g e n t h ü m lich u n d b e k a n n t u n t e r d e m N a m e n des Töpfer-Asthma oder der Töpfer-Schwindsucht. [251.11-13]

204.13

par u n travail excessif la c u p i d i t é ] D 4 der Habgier [251.23]

205.9

Écoutons bis Leach: ] D 4 J. Leach sagt aus: [252.17]

205.26

temps de travail en p l u s ] D 4 Ueberzeit [252.31]

205.28

(le laborieux S m i t h ) ] D 4 (derselbe Smith) [252.33]

205.29

the invention of gods and the occupation of heroes;< are the loom, the spindle,

1313

Le c a p i t a l . Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

and distaff of less noble parentage? You sever the distaff and the plough, the spindle and the yoke, and you get factories and poor-houses, credit and panics—two hostile nations, agricultural and c o m m e r c i a l . ' " 666.30-31

Die Bibel. Das Alte Testament. 1. Buch Mose 4,9.

666.34-36

Siehe Zur Kritik ... Urtext. In: MEGA© N/2. S.62.

666.37-38

Bei Carey: „Turkey is the very paradise of middlemen ... W e have thus a w h o l e people divided into t w o classes—the plunderers and the plundered; and the cause of this may be f o u n d in the fact that the owners and occupants of land have never been permitted to strengthen themselves by the formation of that natural alliance between the plough and the loom, the hammer and the harrow, so much admired by Adam Smith."

666.41

Carey, grand admirateur du gouvernement russe] Bei Carey verbanden sich das Eintreten für die schutzzöllnerischen Interessen der amerikanischen Industriebourgeoisie mit den Sympathien für die Schutzzollpolitik Rußlands und den Zarismus. - Siehe Die publizistische Tätigkeit von M a r x und Engels und ihren Mitkämpfern im Jahre 1853. In: MEGA© 1/12. S.683/684.

666.42

système protectionniste] Siehe S . 4 8 7 . 9 - 1 7 und 668.29-34.

667.17

grandes découvertes] Gemeint ist die Entdeckung des Seewegs nach Indien, der Westindischen Inseln und des amerikanischen Kontinents.

667.23-32

Bei Hodgskin, S. 98: „At present, all the wealth of society goes first into the possession of the capitalist ... he pays the lando w n e r his rent, the labourer his wages, the tax and the tithe gatherer their claims, and keeps a large, indeed the largest, and a continually augmenting share, of the annual produce of labour for himself. The capitalist may now be said to be the first owner of all the wealth of the c o m m u n i t y ; though no law has conferred on him the right to this property.* ... * In page 21, o f , L a b o u r Defended against Capital' I have demonstrated that this change has been effected by the taking of interest on capital, and by the process of compound interest; and it is not a little curious, that all the lawgivers of Europe endeavoured to prevent this by statutes, viz. statutes against usury, c o m p o u n d interest being, I believe, even now f o r b i d d e n . "

667.32-34 u. 668.1

1314

Bei Hodgskin, S. 99: „But the power of the capitalist over all the wealth of the country, is a complete change in the right of property, and by what law, or series of laws, was it effected?"

Erläuterungen

668.9-11

John Aikin: A description of the country ... London 1795. S. 564/565: „The success of these factories has been such as to excite the jealousy of the Leeds merchants, who are accustomed to buy the same articles from the lower manufacturers at their cloth hall; and so aware were they of the danger of competition, that in 1794 a deputation was sent from thence to petition for an act to prevent any merchant from becoming a manufacturer..."

668.25

1579 schlössen sich die sieben nördlichen Provinzen, die protestantisch waren, zur Utrechter Union zusammen, die sich im Juli 1581 von Spanien unabhängig erklärte und die „Generälstaaten", die spätere Republik der Vereinigten Niederlande, bildete. Die niederländische Revolution war die erste siegreiche bürgerliche Revolution.

668.26-27

croisade de l'Angleterre contre la révolution française] Siehe Erl. 368.21-22 und 481.1.

668.28

guerres d'opium contre la Chine] Der nach dem 1. Opiumkrieg (siehe Erl. 396.29-30) von Großbritannien und Frankreich geführte 2. Opiumkrieg (1856-1860) diente der Erlangung neuer Privilegien. Er endete mit der Niederlage Chinas und mit der Unterzeichnung der Verträge von Tientsin (1858) und Peking (1860) zugunsten Großbritanniens und Frankreichs sowie der nicht am Krieg beteiligten Mächte Rußland und USA. Diese Verträge öffneten dem ausländischen Handel neue Häfen am Jangtsekiang, in der Mandschurei sowie auf den Inseln Taiwan und Hainan und ermöglichten die freie Schiffahrt auf dem Jangtsekiang.

669.4-9

Bei Howitt: „The barbarities and desperate outrages of the socalled Christian race, throughout every region of the world, and upon every people that they have been able to subdue, are not to be paralleled by those of any other race, however fierce, however untaught, and however reckless of mercy and of shame, in any age of the earth."

669.11-13

Bei Howitt, S. 199/200: „It may be found in Sir Stamford Raffles's two great quartos, and it is one of the most extraordinary relations of treachery, bribery, massacre and meanness."

669.14-20

Die Angaben beruhen auf William Howitts „Colonization and Christianity ...", London 1838, S. 194-196.

669.21-24

Bei Howitt, S. 197: ,,,Let us,' continues the report, r e p r e s e n t to ourselves this one town of Makâsar, filled with prisons, the one more dismal than the other, which are stuffed with hundreds of wretches, the victims of avarice and tyranny, who, chained in fetters, and taken away from their wives, children, parents, friends, and comforts, look to their future destiny with despair.' "

1315

Le capital. Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

669.24-27

Bei Howitt, S. 198: „Desirous of becoming masters of Malacca, they bribed the Portuguese governor to betray it into their hands. The bargain was struck, and he introduced the enemy into the city in 1641. They hastened to his house, and massacred him, to save the bribe of 500000 livres—21 875/. of English money!"

669.29-30

Bei Howitt, S.200: „Such was their treatment of the natives, that the population of one province, Banyuwangi, which in 1750 amounted to upwards of 80000 souls, in 1811 was reduced to 8000."

669.32

compagnie anglaise des Indes orientales] Siehe Erl. 107.33-34.

669.35-36 u. 670.1-8

Die Angaben beruhen auf Howitts „Colonization and Christianity ...", London 1838, S.255/256.

670.8-15

Bei Howitt, S.256: „In one case that came out on the trial of Warren Hastings, a contract for opium had been given to Mr. Sullivan, though he was going into quite a different part of India, and on public business; this, of course, he sold again, to Mr. Benn, for 40000/.; and Mr. Benn immediately sold it again for 60000/., clearing 20000/. by the mere passing of the contract from one hand to the other; and the purchaser then declared that he made a large sum by it."

670.15-17

Die Angaben beruhen auf Howitts „Colonization and Christianity ...", London 1838, S.258 und 260.

670.17

six millions de I. st. ] Bei Howitt, S. 260: £ 5940498

670.17-19

Die Angaben beruhen auf Howitts „Colonization and Christianity ...", London 1838, S. 268/269.

670.26-32

Bei Howitt, S.348: „The Assembly, says Douglass, in 1703, voted 40/. premium for each Indian scalp or captive. ... In 1722 the premium for scalps was 100/. ... In 1744 the Cape-Sables, and St. John's Indians being at war with the colonies, MassachusetsBay declared them rebels ... and offered for their scalps,—males 12 years old, and upwards, 100/. new tenor; for such, as captives, 105/. For women and children 50/., scalps!—55/., captives!"

670.26

puritains] Die Puritaner waren Anhänger einer kirchlichen und politischen Reformbewegung, die sich etwa 1565 in England entwickelte. Der Puritanismus verband von Anfang an religiöse mit wirtschaftlichen Gesichtspunkten. Geleitet von der Calvinschen Prädestinationslehre war das Denken und Handeln der Puritaner wesentlich vom Streben nach wirtschaftlichem Erfolg und Gewinn bestimmt.

1316

Erläuterungen 670.32-37

Die Angaben beruhen auf Howitts „Colonization and Christianity ...", London 1838, S.349 und 362.

670.33-34

pilgrim fathers] Englische Puritaner (siehe Erl.670.26), die 1620 wegen Repressalien in England nach Nordamerika auswanderten. Sie legten dort den Grundstein für die bürgerliche Entwicklung in den damaligen Neuenglandstaaten.

670.36-37

Bei Howitt, S.362: „... ,every means which God and Nature had put into her power' ..."

671.9-13

Gustav von Gülich: Geschichtliche Darstellung des Handels, der Gewerbe und des Ackerbaus ... Bd. 1. Jena 1830. S. 371: „Holland war in fast ausschließlichem Besitz des ostindischen Handels, des Verkehrs zwischen dem europäischen Südwesten und Nordosten; ihre Fischereien, ihr Seewesen, ihre Manufacturen übertrafen die eines jeden andren Landes; und die Kapitalien der Republik waren vielleicht bedeutender als die des übrigen Europa insgesammt."

671.17-19

Denis Diderot: Le neveu de Rameau. In: Œuvres complètes. Bd. 5. Paris 1875. S.462: „Le dieu étranger se place humblement sur l'autel à côté de l'idole du pays; peu à peu il s'y affermit; un beau jour il pousse du coude son camarade, et patatras, voilà l'idole en bas."

673.5-9

Die Angaben beruhen auf Gustav von Gülichs „Geschichtlicher Darstellung des Handels, der Gewerbe und des Ackerbaus ...", Bd. 1, Jena 1830, S. 377-385.

673.36-37

Vermutlich William Cobbett: A history of the Protestant „Reformation" ... London 1824; Thomas Doubleday: The true law of population ... London 1842.

674.9-10

où Colbert avait fait école] Marx bezieht sich hier offensichtlich auf das von Colbert geschaffene System einer aktiven staatlichen Wirtschaftspolitik im Dienste der feudalen Monarchie. Um Staat und Feudalherren hohe Einnahmen zu verschaffen, hatte Colbert Industrie und Handel, die nicht der feudalen Ausbeutung unterlagen, mit hohen Steuern belegt. Zum Zwecke der Vergrößerung dieser Steuereinnahmen wurde die Entwicklung der Manufakturen durch eine Reihe königlicher Dekrete gefördert und auf diese Weise objektiv der Reifeprozeß der kapitalistischen Elemente stimuliert.

674.13

cause de l'éclat] Bei Mirabeau: cause de la population et de l'éclat

674.19-20

le vol d'enfants exécuté en grand] Siehe Erl. 345.37.

1317

Le capital. Paris 1872-1875

674.21

au moyen de la pressel] Die Rekrutierung von Matrosen zum Dienst an Bord von Kriegsschiffen erfolgte, besonders in der Segelschiffszeit bis Anfang des 19. Jahrhunderts, vor allem in England regelmäßig durch gewaltsames Aufgreifen, das sogenannte „Matrosenpressen".

674.24-26

Siehe S. 645.21-22 und Erl. 645.21-28.

674.30-37

Bei Eden: „It may, perhaps, be worthy the attention of the Public, to consider, whether any manufacture, which, in order to be carried on successfully, requires, that cottages and workhouses should be ransacked for poor children; that they should be employed, by turns, during the greater part of the night, and robbed of that rest which, though indispensable to all, is most required by the young; and that numbers of both sexes, of different ages and dispositions, should be collected together in such a manner, that the contagion of example cannot but lead to profligacy and debauchery; will add to the sum of individual, or national, felicity."

674.38-39 u. 675.1-30

Bei Fielden: „... in the counties of Derbyshire, Nottinghamshire, and, more particularly, in Lancashire, where the newly-invented machinery was used in large factories built on the sides of streams capable of turning the water-wheel. Thousands of hands were suddenly required in these places, remote from towns; and Lancashire, in particular, being till then but comparatively thinly populated and barren, a population was all she now wanted. The small and nimble fingers of little children being by very far the most in request, the custom instantly sprang up of procuring apprentices from the different parish workhouses of London, Birmingham, and elsewhere. Many, many thousands of these little hapless creatures were sent down into the North, being from the age of seven, to the age of thirteen or fourteen years old. The custom was for the master to clothe his apprentices, and to feed and lodge them in an apprentice house' near the factory; overseers were appointed to see to the works, whose interest it was to work the children to the utmost, because their pay was in proportion to the quantity of work that they could exact. Cruelty was, of course, the consequence ... in many of the manufacturing districts, but particularly, I am afraid, in the guilty county to which I belong, cruelties the most heart-rending were practised upon the unoffending and friendless creatures who were thus consigned to the charge of master-manufacturers; that they were harassed to the brink of death by excess of labour, that they were flogged, fettered, and tortured in the most exquisite refinement of cruelty; that they were, in many cases, starved to

1318

Erläuterungen the bone while flogged to their work, and that even in some instances, they were driven to commit suicide to evade the cruelties of a world ... The beautiful and romantic valleys of Derbyshire, Nottinghamshire, and Lancashire, secluded from the public eye, become the dismal solitudes of torture, and of many a murder! The profits of manufactures were enormous; but this only whetted the appetite that it should have satisfied, and therefore the manufacturers had recourse to an expedient that seemed to secure to them those profits without any possibility of limit; they began the practice of what is termed ,night-working,' that is, having tired out one set of hands, by working them throughout the day, they had another set ready to go on working throughout the night; the day-set getting into the beds that the night-set had just quitted, and, in their turn again, the night-set getting into the beds that the day-set quitted in the morning. It is a common tradition in Lancashire, that the beds never got cold\" 675.31-33

Relativement bis vol.11. - ] Die Angaben beruhen auf Frederic Morton Edens Buch „The state of the poor ...", London 1797, S. 420/421. - Die Stellen aus John Aikins „Description of the country ..." und Thomas Gisbornes „Enquiry ..." befinden sich bei Eden in den Fußnoten.

675.33-36

Die Angaben beruhen auf Fieldens Buch „The curse of the factory system ...", London [1836], S.8.

675.35

workhouses] Siehe Erl. 224.35.

675.36-37

Die Angaben beruhen auf John Fieldens Buch „The curse of the factory system ...", London [1836], S. 12.

675.36

son b i l l ] Von Robert Peel am 6. Juni 1815 eingebracht, wurde im Juli 1819 durch 59 George III c.66 zum Gesetz erhoben.

675.38-44 u. 676.32-34

John Fielden: The curse of the factory system ... London [1836]. S. 11/12: ,,,lt had been known that with a bankrupt's effects, a gang, if he might use the term, of these children had been put up to sale, and were advertised publicly, as a part of the property. A most atrocious instance had come before the King's Bench two years ago, in which a number of these boys, apprenticed by a parish in London to one manufacturer, had been transferred to another, and had been found by some benevolent persons in a state of absolute famine. Another case, more horrible, had come to his knowledge, while on a committee up-stairs; that, not many years ago, an agreement had been made between a London parish and a Lancashire manufacturer, by which it was stipulated that with every twenty sound children, one idiot should be taken!'" 1319

Le capital. Paris 1872-1875

675.41

tribunal du Banc du Roi] Court of King's (Queen's) Bench, Oberhofgericht zu London.

676.5-12

[Adam Anderson:] An historical and chronological deduction ... Vol. 1. London 1764. S. 262: „The Xllth Article grants ,to her Britannic Majesty, and to the Company of her Subjects appointed for that Purpose,' ... ,(as well the Subjects of Spain as all others being excluded) the Contract for introducing of Negroes into several Parts of the Dominions of his Catholic Majesty in America (commonly called, El Pacta del Assiento de Negros) at the Rate of 4800 Negroes yearly, for the Space of thirty Years successively, beginning from 1st of May 1713, on the same Conditions on which the French Company had formerly enjoyed it.'" - Anderson zitiert hier offensichtlich den Artikel 12 des Assiento-Traktats vom 26. März 1713. Siehe auch Erl. 676.7-10.

676.7-10

Nach dem Friedensvertrag von Utrecht, der im Ergebnis des Spanischen Erbfolgekrieges zwischen England und Spanien am 13. Juli 1713 abgeschlossen wurde, erfolgte im Artikel 12 die Bestätigung des Assiento-Traktats vom 26. März 1713 (Madrid), dem zufolge die Engländer das alleinige Recht hatten, in den amerikanischen Provinzen Spaniens den Negerhandel zu betreiben.

676.17-19

Bei Aikin, S. 338/339: „Concerning the slave trade, for which Liverpool has since become so peculiarly distinguished ...; has occasioned vast employment for shipping and sailors, and greatly augmented the demand for the manufactures of the country."

676.19-20

Die Angaben beruhen auf John Aikins „Description of the country ...", London 1795, S.369.

676.26

Tantce molis erat! ] Verkürzt nach Vergilius' „Aeneis" 1,33: „Tantae molis erat Romanam condere gentem" („Solcher Mühe bedurfte es, das römische Geschlecht zu begründen").

676.36-37

Bei Brougham: „The average in the British colonies was, in 1790, about ten to one, exclusive of Barbadoes, the Bermudas, and the Bahamas. In the French colonies, the proportion was nearly that of fourteen to one; and in the Dutch colonies, it was that of twenty-three to one. The average of the whole West Indies, was about ten to one."

677.22

Diese Stelle konnte bei Burke nicht ermittelt werden. Im Beiheft B, das Marx im Maj 1863 anlegte, schreibt er auf S. 29: „Burke in dem oben citirten Pamphlet betrachtet den Ausdruck ,the labouring poor' als einen von execrable political (demagogischen) cant..." Die Auszüge aus Burkes Schrift, die sich auf den

1320

Erläuterungen

Seiten 17 und 18 des gleichen Heftes befinden, enthalten keinen diesbezüglichen Hinweis. 677.25

leurs troubles] 1775-1783.

677.26-27

Edmund Burke: Thoughts and details on scarcity ... London 1800. S. 32: „... the laws of commerce, which are the laws of nature, and consequently the laws of God ..."

677.28-30

Die Quelle konnte nicht ermittelt werden.

677.35-42

Bei Dunning:

Nordamerikanischer

Unabhängigkeitskrieg

„The,Quarterly Review. ' Capital is said by this reviewer to fly turbulence and strife, and to be timid, which is very true; but this is very incompletely stating the question. Capital eschews no profit, or very small profit, just as Nature was formerly said to abhor a vacuum. With adequate profit, capital is very bold. A certain 10 per cent, will ensure its employment anywhere; 20 per cent, certain will produce eagerness; 50 per cent, positive audacity; 100 per cent, will make it ready to trample on all human laws; 300 per cent., and there is not a crime at which it will scruple nor a risk it will not run, even to the chance of its owner being hanged. If turbulence and strife will bring a profit, it will freely encourage both. Smuggling and the slave trade has amply proved all that is here stated ..." 678.39

sommes dans] Bei Sismondi: sommes, ... dans

678.39-40

séparer toute] Bei Sismondi: separer ... toute

679.41 u. 680.27-31

Bei Marx/Engels, S. 11: „Der Fortschritt der Industrie, dessen willenloser und widerstandsloser Träger die Bourgeoisie ist, setzt an die Stelle der Isolierung der Arbeiter durch die Konkurrenz ihre revolutionäre Vereinigung durch die Association. Mit der Entwicklung der großen Industrie wird also unter den Füßen der Bourgeoisie die Grundlage selbst weggezogen, worauf sie producirt und die Produkte sich aneignet. Sie produzirt vor Allem ihre eignen Todtengräber. Ihr Untergang und der Sieg des Proletariats sind gleich unvermeidlich ..."

680.31-36

Bei Marx/Engels, S. 9: „Von allen Klassen, welche heutzutage der Bourgeoisie gegenüberstehn, ist nur das Proletariat eine wirklich revolutionäre Klasse. Die übrigen Klassen verkommen und gehn unter mit der großen Industrie, das Proletariat ist ihr eigenstes Produkt. Die Mittelstände, der kleine Industrielle, der kleine Kaufmann, der Handwerker, der Bauer, sie alle bekämpfen die Bourgeoisie, um ihre Existenz als Mittelstände vor dem Untergang zu si1321

Le c a p i t a l . Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

ehern ... sie sind reaktionär, denn sie suchen das Rad der Geschichte zurückzudrehn." 681.25-30

Bei Wakefield: „One of the founders of the colony, Mr. Peel, who, it is said, took out a capital of 50000/. and three hundred persons of the labouring class, men, women and children, has been represented as left without a servant to make his bed or fetch him water from the river."

681.38-42

Bei Marx, S. 1, Sp. 1/2: „Ein Neger ist ein Neger. In bestimmten Verhältnissen wird er erst zum Sklaven. Eine Baumwollspinnmaschine ist eine Maschine zum Baumwollspinnen. Nur in bestimmten Verhältnissen wird sie zu Kapital. Aus diesen Verhältnissen herausgerissen, ist sie so wenig Kapital, wie Gold an und für sich Geld oder der Zucker der Zuckerpreis ist ... Auch das Kapital ist ein gesellschaftliches Produktionsverhältniß. Es ist ein bürgerliches Produktionsverhältniß, ein Produktionsverhältniß der bürgerlichen Gesellschaft."

682.1-5

Der in gleicher Form aus der 2. deutschen Auflage übernommene Verweis bezieht sich dort auf eine Stelle, die im französischen Text durch eine andere Formulierung ersetzt ist (siehe S. 920, Bezugsstelle 632.23-33). Das hier berührte Problem behandelt Marx auch im Zusammenhang mit der produktiven und individuellen Konsumtion, im französischen Text (S. 496/497) ebenfalls in veränderter und erweiterter Form (siehe auch S. 874).

682.15-20

Bei Wakefield: „But, thus far, all the members of the society are supposed to posses equal portions of capital ... no man, consequently, would have a motive for accumulating more capital than he could use with his own hands. This is to some extent the case in new American settlements, where a passion for owning land prevents the existence of a class of labourers for hire ..."

682.27, 38

contrat social] Siehe Erl. 462.41.

682.27-33

Bei Wakefield: „Mankind have adopted a much more simple contrivance for promoting the accumulation of capital ... they have divided themselves into owners of capital and owners of labour. But this division was, in fact, the result of concert or combination."

682.39

Siehe S. 681.14-18.

683.1-4

Bei Wakefield: „In the northern states of the American union, it may be doubted whether so many as a tenth of the people would fall under the description of hired labourers. ... But in England ... the labouring class compose the bulk of the people."

1322

Erläuterungen

683.9-15

Bei Wakefield: „Consequently, the first Spanish settlers in St. Domingo did not obtain labourers from Spain. But, without labourers, their capital must have perished, or at least must soon have been diminished to that small amount which each individual could employ with his own hands. This has actually occured in the last colony founded by Englishmen—the Swan River settlement—where a great mass of capital, of seeds, implements and cattle, has perished for want of labourers to use it, and where no settler has preserved much more capital than he can employ with his own hands."

683.16-17

Siehe S. 634-651.

683.23-27

Bei Wakefield: „Because, I answer, where land is very cheap and all men are free, where every one who so pleases can easily obtain a piece of land for himself, not only is labour very dear, as respects the labourers' share of the produce, but the difficulty is to obtain combined labour at any price."

683.34-36 u. 684.1-7

Bei Wakefield: „No part of the population of America is exclusively agricultural, excepting slaves and their employers who combine capital and labour in particular works. Free Americans, who cultivate the soil, follow many other occupations. Some portion of the furniture and tools which they use is commonly made by themselves. They frequently build their own houses and carry to market, at whatever distance, the produce of their own industry. They are spinners and weavers; they make soap and candles, as well as, in many cases, shoes and clothes for their own use. In America the cultivation of land is often the secondary pursuit of a blacksmith, a miller or a shopkeeper."

683.39-40

Bei Wakefield: „Land, to be an element of colonization, must not only be waste, but it must be public property, liable to be converted into private property for the end in view."

684.30

Workhouse] Siehe Erl.224.35.

684.39-40 u. 685.1

Bei Wakefield: „... for the commencement of works which require the constant employment of many hands, at the same time, in the same place, and for a period of consecutive years. ... and when, in this colony, the supply of labour is always, not only small, but uncertain?"

685.1-5

Bei Wakefield: „Though the produce divided between the capitalist and the labourer be large, the labourer takes so great a share, that he soon becomes a capitalist ... so that whilst none are compelled to work as servants through life, few, even of those whose lives are unusually long, can accumulate great masses of wealth." 1323

Le c a p i t a l . Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

685.8-11

685.16

Bei Wakefield: „ . . . the labourers ... w o u l d have ceased to be labourers for hire; they w o u l d have become independent landowners, if not competitors w i t h their f o r m e r masters in the market of labour." Dans

bis

salaires]

Zusammenfassung

des

Inhalts

der

Sei-

ten 235/236. 685.17-19

Bei Merival, S.237: „ . . . the urgent desire for cheaper and more subservient labourers—for a class to w h o m the capitalist might dictate terms, instead of being dictated to by them ..."

685.19-22

Bei Merivale, S. 314: in densely peopled colonies the labourer, although free, is naturally dependent on the capitalist; in thinly peopled ones, the want of this natural dependence must be supplied by artificial restrictions."

686.3-4

Bei Wakefield: „The tariff, therefore, counteracts in some degree the barbarising tendency of dispersion ..."

686.17-25

Bei Wakefield: „ . . . M r . Tennant ... says—... ,Our capital was ready for many operations w h i c h require a considerable period of time for their completion; but w e could not begin such operations w i t h labour w h i c h , w e knew, w o u l d soon leave us. If w e had been sure of retaining the labour of such emigrants, w e should have been glad to have engaged it at once, and for a high price: and w e should have engaged it, even though w e had been sure it w o u l d leave us, provided we had been sure of a fresh supply whenever we might need it.'"

686.30-31

Bei Wakefield, S. 24: „The English farm labourer is a miserable w r e t c h ..."

686.31

u n pauper] Bei Wakefield, S. 47: ... he is a pauper. Erl. 595.36-38.

686.31-37

Bei Wakefield, S.246: „But in what country, except North America and some new colonies, do the wages of free labour employed in agriculture, much exceed a bare subsistence for the labourer? ... undoubtedly farm-horses in England, being a valuable property, are better fed than English peasants."

687.15-16

Siehe Erl. 52.43.

687.16-17

Siehe S.681.14-18.

687.18-27

Bei Wakefield: „ N o w , by the plan of the Colonization Society, the supply of labour must be constant and regular: because, first, as no labourer w o u l d be able to procure land until he had w o r k e d for money, all immigrant labourers, w o r k i n g for a time for wages and in combination, w o u l d produce capital for the em-

1324

Siehe

Erläuterungen

ployment of more labourers; secondly, because every labourer who left off working for wages and became a landowner, would, by purchasing land, provide a fund for bringing fresh labour to the colony." 687.28-29

sufficient price ] Edward Gibbon Wakefield: A view of the art of colonization ... London 1849. S.339.

687.29-31

Bei Wakefield: „If the price for new land were raised, so as to prevent those labourers from becoming independent landowners until others had followed to take their place ..."

687.35-36

n'a rien que] Bei Colins, S.267: n'a que

687.39

richesses] Bei Colins, S.271: richesse

688.7-8

Bank Act de Sir Robert Peel] Siehe Erl. 114.36-40.

688.28

chercheurs d'or] Die Goldfunde 1851 in Neusüdwales und Viktoria lösten Masseneinwanderungen aus.

688.29

l'Australie] Die Besiedlung des australischen Kontinents erfolgte 1788 durch britische Sträflinge, seit 1800 auch durch freie Einwanderer. Dabei kam es zur Aneignung großer Ländereien durch die Oberschicht der Einwanderer. Die Mehrzahl der Arbeitskräfte, u.a. für die ab 1820 verstärkt einsetzende Schafzucht und den Wollexport, wurden anfangs von Sträflingen gestellt. Einwanderer aus der Arbeiterklasse konnten durch Landannexion Produktionsmittel erwerben und sich so der Ausbeutung entziehen. Seit etwa 1830 erschwerte eine staatliche Kolonialpolitik Großbritanniens nach den Plänen Edward Gibbon Wakefields die unkontrollierte Landannexion und verbot sie 1840 schließlich. Ab 1844 erfolgte die Einführung der Pachtzahlung und Kaufablösung. Neueinwanderer mußten das Land kaufen und wurden durch die Notwendigkeit, die Kaufsumme zu verdienen, zur Lohnarbeit gezwungen.

688.37

Von 1850 an erhielten einige Teile Australiens das Recht eingeschränkter Selbstverwaltung, Westaustralien u.a. erst ab 1890.

688.39-40

Bei Duffy, S.3: „The Land Act of 1862 repeals all former laws ... The first and main object at which the new law aims, is to give ,increased facilities for the settlement' of the people."

691.18

Die Kameralwissenschaft bzw. der Kameralismus bezeichnet jene ökonomische Lehre in Deutschland, die im Interesse der Feudalherren des 17. und 18. Jahrhunderts die Regeln und Methoden für das Funktionieren des staatlichen Verwaltungsapparates (Kammern) entwickeln sollte. Ihre wichtigste Aufgabe war, die Staatskasse füllen zu helfen. Die Hauptrolle spielte dabei die Vervollkommnung der Lehre von den Steuern.

1325

Le capital. Paris 1872-1875

692.3-4

Siehe S. 52.37-39.

692.11-12

Siehe Zur Kritik. In: MEGA® II/2. S. 138.

692.13-16

Siehe Zur Kritik ... (Manuskript 1861-1863). (MEGA® II/3.4. S. 1260-1367.)

692.20-22

Siehe Zur Kritik ... (Manuskript 1861-1863). (MEGA® II/3.4. S. 1370-1450, und MEGA® II/3.5, S. 1773-1776.)

692.23-24

1825 brach in Großbritannien die erste zyklische Überproduktionskrise des Kapitalismus aus.

692.26

sainte alliance] Heilige Allianz hieß das auf Initiative des Kaisers Alexander I am 26. September 1815 geschlossene Bündnis zwischen Rußland, Österreich und Preußen zur Aufrechterhaltung des auf dem Wiener Kongreß 1814/1815 geschaffenen politischen und staatlichen Systems in Europa. Zur Bewahrung der bestehenden Ordnung sicherten sich die Unterzeichner gegenseitigen Beistand zu. In den folgenden Jahren traten fast alle europäischen Monarchen dem Vertrag bei. Nach der bürgerlichen Revolution in Frankreich 1830 verlor die Heilige Allianz ihren Einfluß. Infolge der Niederlage der bürgerlich-demokratischen Revolutionen von 1848/49 erfuhr sie eine Neuauflage in Gestalt der Hegemonie des Zarismus über Deutschland. Die Niederlage Rußlands im Krimkrieg, vor allem aber die Durchsetzung nationalstaatlicher Interessen in der Außenpolitik der europäischen Staaten, beendete das Wirken der Heiligen Allianz.

692.31

Siehe Erl. 237.15.

693.3

Siehe Erl. 246.22-23.

693.6-8

1842 und 1844 führte der damalige Premierminister Sir Robert Peel eine Finanzreform durch. Er schaffte alle Ausfuhrzölle und die Zölle auf Rohstoffe und Halbfabrikate ab oder ermäßigte sie. Als Ersatz für den Einnahmeausfall im Staatshaushalt wurde eine Einkommenssteuer eingeführt. 1853 fielen dann alle Zölle auf Rohprodukte und Halbfabrikate.

693.13-14

Siehe Zur Kritik ... (Manuskript 1861-1863). (MEGA® II/3.2. S.465—503.)

693.39-694.2

Eugène De Roberty: [Rezension zu:] Karl Marx. Das Kapital ... In: La Philosophie Positive. Revue. Paris. 2. année. Nr. 3, November/Dezember 1868. S. 508/509: „En un mot, la fortune de l'œuvre de M. Marx est due principalement à l'emploi, pour la première fois, au service des idées socialistes, des méthodes rigoureuses de la science. Mais, tout en reconnaissant ces mérites, si rares dans le domaine de la littérature socialiste, et qu'on

1326

Erläuterungen ne saurait trop louer, nous nous hâtons d'ajouter que, quant à l'idée-mère de l'ouvrage entier, elle est, à notre avis, sinon complètement fausse, du moins trop peu d'accord avec les lois connues, qui régissent l'ordre économique de la société, pour avoir une influence décisive dans la lutte engagée par le travail contre le despotisme du capital. La question sociale nous paraît, en outre, singulièrement déplacée, quand, au lieu d'étudier les conditions nécessaires à une production saine et à une distribution juste de la richesse, on se borne à en analyser les éléments constitutifs, et à venir nous dire, par exemple, qu'en remontant à la source de toute rente produite par le capital, on trouve une appropriation gratuite de travail humain. Or, le profit du capitaliste peut être ce qu'on voudra, il n'en est pas moins un rouage nécessaire dans le mécanisme de l'industrie moderne. Nous finissons en formant un vœu qu'on aurait tort d'interpréter comme une critique détournée: celui de trouver dans les volumes suivants de ce remarquable travail: Un peu moins de dialectique, et un usage plus grand encore, s'il est possible, de la méthode induttive." 694.4-7,38

Hi/iKOAaü [1/LBAHOBMM] 3w6epi>: Teopia L^HHOCTM M KanuTaAa A- PMKapAO BT> CBA3M C b n03AHbÜLlJMMM A°nOAHeHÌflMM M pa3bflCHeHiflMM. KieBb 1871. S. 170: „HacKOAbKO pt>Mb HAerb coöcTBeHHO o meopiu, MeTOAt MapKca ecTb AeAyKTUBHbiii MeTOAt Bceü aHrAiÛCKOÎÎ UJKOAbl, M HeAOCT3TKH erO, K a K b kl AOCTOMHCTBa, pa3AbAfllOTCfl A y m U H M l i H3"b SKOHOMMCTOBTj-TeOpeTMKOB'b."

694.9-10

Das Zitat befindet sich in der angegebenen Quelle auf S.7.

694.10-11

Naturellement, bis hégelienne] Anspielung auf die Rezensionen zum „Kapital" von Julius Faucher in der „Vierteljahrschrift für Volkswirthschaft und Kulturgeschichte", Berlin, Jg. 5, 1868, Bd. 20, S.216, und von Eugen Dühring in den „Ergänzungsblättern zur Kenntniß der Gegenwart", Hildburghausen 1867, Bd. 3, H. 3, S. 182.

694.15-20, 26-37 u. 695.1-696.2

klAapiOHi> [HmaTbeBMM] K[aycf)MaH-b]: ToHKa 3ptHifl noAtmiKO3K0H0MMMecK0ii KpiiTMKM y KapAa MapKca. [Rezension zu:] KannTaAt. T. 1. Cn6. 1872. In: BbCTHmcb Eßponbi. T. 3. CaHKTneTep6yprt 1872.

694.15-19

Ebenda.

S . 4 2 8 : „ C I > BMAY, E C A H C Y A H T B

no

B H b i u H e ì i CFJOPMT M3AO-

)KeHifl, M a p K C b ÖOAbUJOÜ MAeaAMCTb-43MAOCOCt3b M n p M T O M b , H b M e U K O M l j ' , T . - e . A y P H O M t 3HAMEHÌH

3TOrO

Bt

Ha C a M O M b Bct e r o npeA-

CAOBa.

>Ke At>Ab O H b 6e3K0HeMH0 6 o A t e p e a A u c n » , HBMI> LUeCTBeHHMKM Bb A^Afc 3KOHOMM4eCKOÌÌ KpMTMKM."

1327

Le c a p i t a l . Paris 1 8 7 2 - 1 8 7 5

694.19-20

Ebenda. S. 432: „HAeaAMCTOMb ero HM Bb KaxoMt CAynat ywe HeAb3fl CMMTaTb."

694.22-24

Siehe MEGA® II/2. S. 9 9 - 1 0 2 .

694.26-32

HAapiOHb [UrHaTbeBMM] K[aycfc>MaHb]: To4Ka 3pt>Hifl noAMTMKO3K0H0MimecK0ii KpuTMKM y KapAa MapKca. [Rezension zu:] KannTaAb. T. 1. Cn6. 1872. A.a.O. S. 428: „A^fl Hero B3>KHO TOAbKO TbXbflBAeHÌM,M3CAbA0BaHÌeMb KOTOpblXb OAHO: HaÜTM 3QKOHb ohtj 3aHMMaeTCfl. H n p r n o w b aah Hero BaxeHb He OAMHb 3aKOHb, ynpaBAJiioiMiii MMM, n o K a OHt> MMbiOTb M3Bt>CTHyio KHO 6 e 3 y n p e M H t e

KOHCTATUPO-

EMY

MCXOAHWMM NYHKTAMM M

onopoio.

A A A H e r o coBepLueHHO AOCTaTO^HO, ecAM OHb, AOK33aBt H e o ö x o AMMOCTB COBPEMEHHARO

NOPAAKA, AOKA3AAB M

HE06X0AMM0CTB

Apyroro nop»AKa, Kb K O T o p o M y H e n p e M t H H O AOA>KeHb öbiTb CAbAaHb

nepexoAb

orb

nepßaro,

Bce paBHO, A y w a i o T b AM

06b 3T0Mb, MapKCb

MAM He AyMaKJTb, C03Hai0Tb AM 3T0, MAM He C03H3l0Tb.

P A C M A T P U B A E N . O Ö M E C T B E H H O E ABMWEHIE, KAKB ECTECTBEHHO-MC-

TopMMecKiii

npoueccb,

KOTopbiMb ynpaBAflioTb

3aK0Hbi,

He

TOAbKO He HaXOAfllMieCfl Bb 33BMCMMOCTM OTb BOAM, C03HaHÌfl M HAMBPEHIFL 4 E A O B B K A , HO M C A M M

eme onpeAtAJiiomie ero

BOAIO,

C O 3 H A H I E M HAMBPEHIFL."

695.7-17

Ebenda. S . 4 3 1 : „ECAM C03HaTeAbHbifi SAeMeHTb Bb MCTopiM KyAbTypbi MrpaeTb TaKyio noAMMHeHHyio poAb, TO noHATHO, I T O KpnTMKa, MMbtomafl CBOMMb npeAMeTOMb caMyio KyAbTypy, Beerò

MeHbe M0>KETB MMbTb CBOMMb OCHOBaHieMb KaKyKD-HMÔyAb 4>opMy MAM K 3 K O M - A M 6 O pe3yAbTarb CO3HAHIA. T.-e., H E MAen, a BHbLUHte ABAeHie OAHO TOAbKO MOWeTb eM CAy>KMTb MCXOAHbIMb nyHKTOMb. KpMTMKa öyAen. 3aKAioMaTbCfl Bb cpaBHeHiM, cocTaBAeHiM M CAMMeHÌM C^DSKTa He Cb MAeeiO, a Cb APyrMMb cfcaKTOMb. AAFL Hefl B3>KHO TOAbKO, MTOÖb OÖa cjaaKTa 6blAM B03M0>KH0 TOHHT.e M3CAbAOB3Hbl M AfeMCTBMTeAbHO npeACTBBAFL AM COÖOK) pa3AMMHbifl cTeneHM pa3BMTÌfl, Aa CBepxb Toro B3>KHO, MTOÔW He MeHT>e TOMHO 6blAM M3CAbAOBaHbl nopflAOKb, nOCABAOBaTeAbHOCTb M CBfl3b, Bb KOTOpblXb npOflBAflKJTCfl 3TM CTeneHM pa3BMTÌfl."

1328

Erläuterungen 695.17-27

E b e n d a . S. 433: „ B T > A b o 6 m i e 3 a K O H b i SKOHOMMMCCKOM >KM3HM OAHM

M Tb >Ke, B c e paBHO, npMMbHfllOTCfl AM OHM KL COBpeMeHHOM MAM n p o u j A o f i >KM3HM? H o MM6HHO S T o r o M a p K C b H e n p M 3 H a e n > . T a KMXTJ O6IHMXT> 3aKOHOB*b AAA H e r o

MHtHiK),

HanpoTMBb,

He c y m e c T B y e T b .

K8>KAbiM K p y n H b i f i

...

no

MCTopMHecKiii

ero

nepiOAb

M M t e n » CBOM 3aKOHbl, ... H o K d K b TOAbKO OHa nepe>KMAa AaHHblÜ n e p i O A ^ p a 3 B M T i f l , B b i u j A a M3b ASHHOM C T a A ' M M BCTYNMAA BI> A p y -

r y i o , OHa HaMHHaen> y n p a B A A T b C f l y x e ApyrMMM 3 a x o H a M M . CAOBOMb, 3KOHOMH4eCK3fl

>KM3Hb n p e A C T a B A f l e T b

H a M b Bb 3TOMb

C A y ^ a t ABAeHie, c o ß e p i u e H H O aHaAorMMHoe T O M y , MTO Mbi HaÖAioA a e M t Bb A p y n x " b p a 3 p « A a x b 6i0A0rMMecKMXb ABAeHifi, ... BHUMaTeAbHblM aH3AM3b BHyTpeHHfll"0 CTpOfl M CBOÜCTBb A t f l T e A b H a r o COCTOflHifl ABAeHiii 3T0M )KM3HM H e O A H O K p a T H O y6t>)KAaAb MHOr n x t M3CAbAOBaTeAeü, y w e e t c o p o K O B b i x b roAOBi>, Bb H e ß t p H O CTM T o r o B 3 r A f l A a C T a p w x i SKOHOMMCTOBI HA n p u p o A y SKOHOMMMecKaro

3aKOHa,

no

KOTopoMy

nocAbAHiii

OAHopoAeHb

Cb

33KOH3MM (f)M3MKM M XMMiM." 695.27-696.2

Ebenda.

S. 434: „HenocpeACTBeHHbiü,

6oAte

ABAeHiii

noKa3aAb,

opraHM3Mbi

Apyrb

MTO

coLjiaAbHbie

rAy6oKitf

aHaAM3b

OTAMHalOTCfl

o n > A p y r a H e M e H t e r A y 6 o K o , HBMI> o p r a H M 3 M b i 6 o T a H M M e -

C K i e M 3 O 0 A 0 r M H e c K i e . ... OAHO M TO w e A B A e m e , B C A t A C T B i e p a 3 AMMifl B b C T p o t 3TMX1) 0 p r a H M 3 M 0 B b ,

pa3H0p0AH0CTM

MXb

opra-

HOBb, pa3AMMiÜ yCAOBiM, C p e A M KOTOpbIXb O p r a H a M b n p M X O A M T C f l CjjyHKUiOHMpOBaTb M T. A - , M O J K e T b nO 3 T O M y Ha pd3HblXb C T e n e -

HflXb pa3BMTifl, n p e A C T a B A f l e M b I X t pa3AMHHblMM COMiaAbHblMH o p r a H M 3 M 3 M M , nOAHMHflTbCfl C O B e p w e H H O p a 3 A M M H b l M b

3aKOHaMb.

M a p K C b O T K a 3 b i B a e T C f l , H a n p M M b p b , n p M 3 H a ß a T b , MTO 3 a K O H b y B e A M H e H i f l H a p o A O H a c e A e H i f l OAMHI> M Ton> * e AAfl B c t x b

BpeMern. m a a a

BcerAa M noBCK)Ay,

B C b x t Mt>CTb. OHI> y T B e p > K A a e T b H a n p o -

TMBI>, m t o Ka>KAaa C T e n e H b p a 3 B M T i « M M t e r b CBOM 3 a K O H b ,

pa3-

M H O ) K e H i f l . . . . T o , MTO Bb S K O H O M M M e C K O M >KM3HM n p O M C X O A M T b , 33BHCHTb

OTb

CTeneHM

npOM3BOAMTeAbHOCTM

SKOHOMMMeCKMXb

CMAb, . . . ripM pa3AMMiflXb Bb npOM3BOAMTeAbHOCTM, M nOCAbACTBlfl e a 6 y A y r b p a 3 A M 4 H b i , a c b HMMM M 3aKOHbi, MMM y n p a B A f l i o a i i e .

3 a A a B a » C b , TaKMMb 0 6 p a 3 0 M b , LJbAbK) HMTb KanMTaAMCTMMeCKiM

M3CAbAOB3Tb M OÖbflC-

n O p f l A O K b X03flMCTBa,

MapKCb

TOAbKO

C T p O r O H a y H H O ( f c o p M y A M p O B a A b MbAb, K O T O p y i O M O > K e r b MMbTb TOMHOe M 3 C A b A O B a H i e S K O H O M M M e C K O M )KM3HM.

...

Ero

HayMHafl

L J b H a 3aKAK3MaeTCfl B b B b l « C H e H i M T b X b MaCTHbIXb 3 a K O H O B b , KOTOpblMb

nOAHMHfllOTCfl

B03HMKH0BeHie,

CymeCTBOBaHie,

pa3BMTie,

C M e p T b A a H H a r o c o u i a A b H a r o opraHM3Ma M 3 a M b H e H i e e r o A p y TMMb, BbICLUMMb. 1/1 3 T y LJbHy AbMCTBMTeAbHO M M b e T b KHMT3 M a p Kca."

1329

Le capital. Paris 1872-1875

696.14-15

In ähnlicher Weise hatte Marx am 6. März 1868 an Louis Kugelmann geschrieben: „Er (Dühring) weiß sehr wohl, daß meine Entwicklungsmethode nicht die Hegeische ist, da ich Materialist, Hegel Idealist. Hegels Dialektik ist die Grundform aller Dialektik, aber nur nach Abstreifung ihrer mystischen Form, und dieß gerade unterscheidet meine Methode."

696.21-22

Karl Marx: Zur Kritik der Hegeischen Rechtsphilosophie. In: M E G A ® I/2. S. 3-137. - Das unvollendet gebliebene Manuskript entstand vermutlich im Frühjahr und Frühsommer 1843 (MEGA® I/2. S. 577-580). Marx analysiert in dieser Arbeit die Hegeische Lehre vom Staat und von der historischen Entwicklung des Staates zur konstitutionellen Monarchie, und zwar von einer philosophisch-materialistischen Position aus. Die Art und Weise, wie Hegel Staat und bürgerliche Gesellschaft theoretisch und politisch vermittelte, charakterisiert Marx als „das ganze Mysterium der Rechtsphilosophie ... und der hegel'schen Philosophie überhaupt" (S. 10). Gegenüber Feuerbachs materialistischer Hegelkritik war Marx' Widerlegung des Hegeischen Idealismus und seine Begründung einer philosophisch-materialistischen Weltanschauung ein bedeutender Fortschritt, weil er seine Erkenntnisse vor allem durch die Untersuchung des Verhältnisses von bürgerlicher Gesellschaft und Staat gewann. Zugleich gelang es Marx, wichtige Elemente der Hegeischen Geschichtsdialektik zu bewahren. Marx erarbeitete später einen „Index zum Manuskript ,Zur Kritik der Hegeischen Rechtsphilosophie'" (MEGA® I/2. S.138). Die von ihm zusammengestellten Stichworte und Seitenzahlen betreffen ausschließlich die „mystificirende Seite der Hegel'schen Dialektik".

697.4-5

la crise bis l'Allemagne] In seinem Brief vom 15. November 1878 an Nikolai Franzewitsch Danielson nimmt Marx auf diese Stelle Bezug: „La crise anglaise que j'annonçais p. 351 de l'édition française, Note - a enfin éclaté pendant les dernières semaines. Des amis - théoriciens et hommes d'affaires - m'avaient prié de supprimer cette note, parce qu'elle leur parut mal-fondée. Tellement ils étaient convaincus que les crises au Nord et au Midi de l'Amérique et celles de l'Allemagne et l'Autriche devraient pour ainsi dire escompter' la crise anglaise."

1330

REGISTER

Literaturregister I. Arbeiten von Marx und Engels 7. Drucke Marx, Karl: Der 18te [achtzehnte] Brumaire des Louis Napoleon. In: Die Revolution. Eine Zeitschrift in zwanglosen Heften. Hrsg. von J. Weydemeyer. New-York. 1852. H. 1. 612

- Adresse du Conseil Général de l'Association Internationale des Travailleurs. Aux membres et aux sociétés affiliées et à tous les travailleurs. [Flugbl. London, Juli 1867.] 14 - Elections - Financial clouds - The Duchess of Sutherland and slavery. In: New-York Daily Tribune. Nr. 3686, 8. Februar 1853. 647 648 [Marx, Karl:] [Instruktionen für die Delegierten des Provisorischen Zentralrats zu den einzelnen Fragen.] In: Der Vorbote. Genf. Nr. 10, Oktober 1866. 256 Marx, Karl: Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Bd. 1. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. Hamburg 1867. 10-15 - Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie. Bd. 1. Buch 1: Der Produktionsprocess des Kapitals. 2., verb. Aufl. Hamburg 1872. 10 691-697 758 760-765 [Marx, Karl:] (Lohnarbeit und Kapital.) In: Neue Rheinische Zeitung. Köln. Nr. 264, 5. April 1849; Nr.265, 6.April 1849; Nr.266, 7.April 1849; Nr.267, 8.April 1849; Nr.269, 11.April 1849. 502 503 535 681 Marx, Karl: Misère de la philosophie. Réponse à la Philosophie de la misère de M. Proudhon. Paris, Bruxelles 1847. 50 61 306 309 311 360 463 568 - Zur Kritik der politischen Oekonomie. H.1. Berlin 1859. 11 19 25 57 58 61 66 68 72-74 78 89 97 98 109 114 158 465 541 694 [Marx, Karl, Friedrich Engels:] Manifest der Kommunistischen Partei. Veröffentlicht im Februar 1848. London [1848]. 423 679 680 - [Rezension zu:] Latter-day pamphlets. Edited by Thomas Carlyle. No. 1: The present time. - No. 2: Model prisons. - London, 1850. In: Neue Rheinische Zeitung. Politischökonomische Revue. Red. von Karl Marx. London, Hamburg, New-York. 1850. H. 4. 213

1333

Literaturregister Engels, Friedrich: Die englische Zehnstundenbill. In: Neue Rheinische Zeitung. Politischökonomische Revue. Red. von Karl Marx. London, Hamburg, New-York. 1850. H.4. 246 256 - Die Lage der arbeitenden Klasse in England. Nach eigner Anschauung und authent. Quellen. Leipzig 1845. [Auszüge von Marx im Heft VII, London 1859-1863.] 198 203 211 225 234 334 342 363 364 383 400 426 528 575 576 - Umrisse zu einer Kritik der Nationaloekonomie. In: Deutsch-Französische Jahrbücher. Paris. 1844. Lfg. 1/2. [Auszüge von Marx in einem Pariser Heft von 1844.] 56 122 132 558 MapKCb, KapAv KanmaAT». KpuTHKa noAMTHMecKoii SKOHOMÌM. nepeBOAi» e t HtMeuKaro. T. 1. KH. 1: npoueccT. np0M3B0ACTBa KanmaAa. C.-neTep6ypn> 1872. 10 694

2. Manuskripte Marx, Karl: Das Kapital (Ökonomisches Manuskript 1863-1865). Drittes Buch. 176-182 277-279 332 333 347 349 365 366 388 389 417-419 452 487 488 512 513 - Das Kapital (Ökonomisches Manuskript 1868-1870). Zweites Buch (Manuskript II). 487 488 512 513 - Zur Kritik der Hegeischen Rechtsphilosophie. 696

II. Arbeiten anderer Autoren An act against pulling down of towns and houses. [1488.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor ... Vol. 1. London 1797. 637 An act concerning farms and sheep. [1533.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor ... Vol. 1. London 1797. 637 An act concerning the employment of children in manufacturing establishments. In: Supplements to the revised statutes. General laws of the Commonwealth of Massachusetts ... Vol. 1. Boston 1854. Nach: Children's employment commission (1862). First report ... London 1863. 227 228 An act directing how aged, poor, and impotent persons, compelled the live by alms, shall be ordered; and how vagabonds and beggars shall be punished. [1530.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor ... Vol. 1. London 1797. 652 An act for preventing the adulteration of articles of food or drink. (6th August 1860.) Nach: Report addressed to Her Majesty's Principal Secretary of State for the Home Department, relative to the grievances complained of by the journeymen bakers ... London 1862. 206 An act for punishment of rogues, vagabonds, and sturdy beggars. [1597.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor ... Vol. 1. London 1797. 654 An act for punishment of sturdy vagabonds and beggars. [1535.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor ... Vol. 1. London 1797. 652 An act for reducing the laws relating to rogues, vagabonds, sturdy beggars and vagrants, into one act of Parliament; and for the more effectual punishing such rogues, vagabonds, sturdy beggars and vagrants, and sending them whither they ought to be sent. [1713.] Nach: Frederic Morton Eden: The state of the poor... Vol. 1. London 1797. 654 An act for regulating the hours of labour for children, young persons, and women employed in workshops; and for other purposes relating thereto. (21st August 1867.) In:

1334

II. Arbeiten anderer Autoren The statutes of the United Kingdom of Great Britain and Ireland, 30 & 31 Victoria, 1867. London 1867. 428 429 An act for the extension of the factory acts.