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German Pages 132 Year 1890
Table of contents :
Beiträge zum demotischen Lexicon, von Jean-Jacques Hess 1 — 8
Doit-on accepter riiypothese d'un regne simultane d'Apries et d'Aniasis? par Karl
Piehl 9—15
Varia (Suite), VIII., par Karl Piehl 15 — 23
Das äthiopische Goldgewicht, von Heinrich Brugsch 24 — 32
Ramses II. 1348— 1281 vor Chr. Geb., Auszug aus einem Schreiben an H. Brugsch
von Eduard Mahler 32 — 35
Die Statue des königlichen Sohnes des Ramses X'm.'rt, von E. von Bergmann . 36 — 43
Geschichte des Amtes '-n-' xTS\
ZEITSCHRIFT FÜR
ÄGYPTISCHE SPRACHE UND
altert(i^umskünde GEGRÜNDET
1863
VON
H.
HERAUSGEGEBEN UND WEITERGEFÜHRT FORTGESETZT VON
H.
BRUGSCH
1864
— 1884 VON
BRUGSCH UND
A.
ERMAN
ACHTÜNDZWANZIGSTER BAND
/?f^-f3
LEIPZIG 1890 J.
C.
HINRICHS'SCHE
K. R.
BUCHHANDLUNG
LEPSIUS
634995 5»
100(4
.sr--S"t
Inhalt. Seite
Beiträge
zum demotischen Lexicon, von Jean-Jacques Hess
Doit-on accepter riiypothese d'un regne simultane d'Apries
1
et d'Aniasis?
par
—8
Karl
9—15
Piehl Varia (Suite), VIII., par Karl Piehl
15
Das äthiopische Goldgewicht, von Heinrich Brugsch 1281 vor Chr. Geb., Auszug aus einem Schreiben an H. Brugsch Ramses II. 1348 von Eduard Mahler Die Statue des königlichen Sohnes des Ramses X'm.'rt, von E. von Bergmann
24
— 23 — 32
—
.
Geschichte des Amtes
'-n-'
xTS\ ze^
ttdu
J'*^
cc
,
ettiL-
it'.-nti
ii^jei&/Ca
dcoxtA^ ^44tU
Z^Aäo^
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in jS)^\T^(Soi/m.e.')nA,
-
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J-ieki die 'lin-mcAtufJuil .
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du
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cUrcL /nAcA dssLeuA./ äuuJ^i^oiK'itum,
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.
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'^i. Stne
p. IH1
^
.
zum
Beiträge
Aotl'i^ckl
al.i
Ji^vüVUL /UH) I
AückkeLtliq,
tcU.l
le/it-n. /yt^L'ii'i-i'U./
t/^e.'yi^
dwuk.
/uyitdtnM^yyo 3ui-^
Si^i-
0 O T O
1
(
1
tf-f-^PMf nnn n u n qAS'd _Ä^ ¥Prppi^^Pfr:?ifJkssf::i_flrö%i
b)
inscription ornant exterieurement
c)
inscription faisant pcndu7it ä h:
Traduction: ftit
Mi-ptali-hapi.
mandant du
C'est son
fils
^^^
"
lUSL
Le nom
du
page 32
Revue Egyptologique,
^)
Cette traduction est absolument identique avec celle qu'en 1881, si
J V
de sa mere
com-
Annee, page 97.
j'excepte qua le
„La devouee
—
(l. ä.
l.)
mot
j^oÖ avait
desapprouve de
qui
ete
ma
j'ai
donnee dans
ma
rendu par „chancelier" au traduction,
propose pour
son mari, la parente du roi Uahabra (ou la parente
Sa duree de vie fut de 70 ans, 4 mois, 14 jours. Le nom de Son fils lui a fait cela, le ministre royal, compagnon du roi, chambellan de la Demeure, prepose au tresor, Ahmes - se - Neith".
sa mere fut Mer-Ptah-Hapi. palais,
II''^"'-"
M. Revillout
royale d'Uahabra) Tapert.
du
l
et suiv.
„tresorier".
laissons
"^
1
tresor, Ahmes-neit-si"^').
^)
maire
i
x
cousin royal Uah-äö-rä, Ta-p>erit.
1)
de
J
iij
qui lui a fait ceci, le tresorier, familier unique,
palais, pretre d'Isis, intendant
notre texte la suivante:
Nous
(J
a ete de 70 ans, 4 mois, 14 jours.
eile
dissertation susmentionnee, lieu
||UJ_
le
I
du dessous du sarcophage:
^'««^ |
„L'attachee ä son mari,
(a)
duree de sa vie ä
/www
cote gauclie
le
|
La
i
aux lecteurs
—
—
le
jugement au sujet de
nous force ä traduire, comme nous Tavions
fait,
il
cette
y a 8
traduction.
ans,
et cela
—
Le
contexte
(cfr. c)
a ete expressement dit
par K. Piehl.
Oh
etc.i)
(b)
„Paroles"
(c)
„Paroles: S'enroule
hippopotame
toi,
etc.
jour oü Ton
le
couche.
se
(sur?) l'attachee k son mari
Suivant
Ta-perit, nee de la daine Mi-jytah-kapi".
serpent; c'est
le
de
cette
epoque
la
forme
devrait peut-etre
„connaitre";
cfr.
posterieures
®
®
ou
1
s=i
=f
Q
1
fl
avons
—
extrait
du tombeau de
Le
dit
Que
cela est
fait,
(1
ce que le
la raison de
Je
^ M+^
passage s de texte a
i-
le
qui
la
qu'ä
c'est
Sai'te;
c^
ferai en outre refetiii-
I
T® ^
Icopte pek^iTHcl;
mot
J
relativement
jeunes,
debut de Tinscription
A doit
encore
sont
prouve par un passage de
lors de notre derniere visite h
,
pre-
Saqqarah
^% Vra M| ^ ('==a2ri
forme suivante:
I
.=^= n 1
phrase
liotep-s",
mon ouvrage
d'avoir ete rapproche du
formes
,
aux 6 premieres dynasties.
au mois d'Avril 1888. -«^=.2-
dans
ne serais du reste point etonne, que
(]
n ¥
donne
note
ret}niologie populaire
;i
1
couime nous l'avions
traduire,
se
que nous
texte
ex.
— Je
de
comme
parait exacte:
une forme „diiferenciee" de l'ancien
füt
.
p.
sort
brille
de recliit-suten. s'emploie indifferemment au niasculin ou au
donc J
reellement
ce qui
dame Mi-piah-hapi'\
j'avais,
ne se pronon^ait plus.
caracteristique des feminins,
Ci,
par rapport ä
c'est-ä-dire
me
La meme
1).
dejä pendant l'Ancien Empire egyptien. "
nin,
mange
grammaticalement peut se soutenir dans un texte d'epoque
le
marquer que
as
Ua/t-äb-ra, Ta-perit, nee de la
genealogie suivante qui toujours
I
tu
terre,
Point ne tombe hon(?), lorsque dieu
dans notre dissertation (page 33, note final
la
donnees du sarcophage de Stockholm,
les
cite dresse la
serpent qui s'enroule autour du veau.
Ic
du cliamp (iuonde) de
sorti
11
qui
fe qui a
evidemment
meme
la
signifle j,L'attachee
tournure
que Celle
„L'attachee ä son mari,
Uahahra, Taperit", du debut de l'inscription de Stockholm.
ne peut point
signifier „la parente
a son mari, l'ami unique Tl, Kefer-
— L'expression
le
cousin roj'al
I
(
©T'^l
du roi Uahabra" ou „la parente royale d'Uahabra",
comme
pense M. Revillout.
Je ne connais au moins aucune analogie en faveur d'une pareille Interpretation. Nous savons du reste, que les monuments sai'tiques emploient tres-souvent des cartoucbes royaux pour des noms de particuliers, identiques avec des noms de rois de cette
le
Sous ce rapport, on peut consulter Lepsius, Denkmäler,
III, 275 b, c; 283, b, c, d Cette Observation montre l'inanite de la comparaison, etablie (p. 97) par M. Revillout, entre Amasis II. et Herhor, dans le no. 3 des „choses interessantes" que le document de
epoque.
f,
g,
etc.
Stockholm nous
meme auteur. Du reste, ni le meme occasion par M. Revillout, ne
fournit, Selon le
interessantes" relevees k la
traduction des textes de Stockholm. sis,
Le
dit
No.
elle-meme princesse de sang royal
etait
1
et
Ni Taperit,
sang royal,
„qu'Amasis
deux
mere, ne portent des
elles appartinrent k
Meyer a adopte
titres,
et note
mentionnes dans
le
le no. 2
des „choses
mari Uahabra de Taperit
fut
parent
du Je releve en passant que M.
M. Revillout (Meyer,
l. l. page 383). Le no. 2 dit: puisque ni Tun ni l'autre de ces monument de Stockholm [comparez mon ouvrage precite
cette fausse assertion de
1].
ni
ce qui fait supposer que, loin d'etre
une famille bien plus modeste.
etait bien ministre d' Apries", ce qui
rois ne sont
page 36
ni sa
1,
non plus devant notre contient „que Taper-u ou Tapert, mere d'Amaproche parente du roi alors regnant. Apries"
ce qui est faux, puisque l'inscription dit seulement que le royal.
no.
liennent
est inexacte,
Les remarques qui precedent serviront de reponse aux reproches de M.
Revillout au sujet du procede philologique que nous avons adopte. *)
duisant
Cfr. le
pour
texte
c,
les j'ai
textes 6 et c
Maspero,
la
pyramide d'Unas [Eecueil,
III, 220].
modifie un peu l'interpretation du savant fran9ais.
2*
En
tra-
Doit-on accepter l'hypothese d'un regne simultane d'Apries
22
d'Amasis?
et
Mi-ptah-hnpi (mere de) Ta-perit
— femiue (leurs
Le
tresorier
de Uah-äb-rä fils)
Ähmes-neit-si
etc.
Notre monument de Stockholm ayant appartenii ä
que
celui de
la
Louvre, nous allons maintenant reproduire
meme
famille de particuliers
et traduire les iiiscriptions
de
ce dernier, apres quoi nous pourrons plus aisement determiner la nature et la valeur
Les textes du Les
—
de ce monument
textes
M. Pierret,
monument du Louvre. table ä libations
et
devoir reproduire integralement
ce que je traduis aujourd'hui,
ici
comme
dans
le
de Uahäbra, ne de
En
il
y a 8 ans, de
la
,
position,
etait
Une
celle-ci:
la filiation
eut ete omis
Notice
6''"" ed.
deux noms Ahmesneitsi
la
analogies
en
et
Uli
p. 41.
pareil
Cette suppo-
premier des deux noms se termine
deux noms sus-dits („II
d'un
Meyer
on admettre l'existence d'un 1)
signe
le
Uahäbrä.
—
par suite d'oubli
faveur de
ma
sup-
le
signe de
de Uakabra", de
Rouge,
serait possible
Ahnes -se-net,
fils
que
page 207); idee qui m'est aussi venue h moi avant d'avoir remarfaveur
E.
le
et
autre circonstance qui militait en
et qu'il fallüt lire
du nom, que M. Revillout
"Wiedemann
l'inte-
paroles du roi,
les
du tresor AhmesneiUiy
suppression d'uu second '^^
que l'observation du savant academicien
1887,
toutes
M. E. de Rouge dans son „Catalogue des monuments du le monument de Stockhohn, est arrive ä penser que le signe
avait ete saute entre les
etc.
les
pu amener
Louvre", sans connaitre
des
secret de
salles des fetes royales, intendant
paru d'autant plus acceptable que
ce qui aurait
ou de manque de place^).
^^
maniere suivante: prepose au trone dans
dame Taperou\
dans Toriginal entre
sition m'avait
^^
la
jialais,
voici la teneur:
traduisant de cette maniere, je suis parti de la supposition, que
ete saute
en
En
coeur de son seigneur, celui qui est en possession du coeur de
son seigneur, commandant des
a
ont ete publies, d'abord par
les textes en question.
„Le noble, familier imique, commandant du rieur, commandant des demeures divines, chef du
fils
—
du Louvre II, 82), puis par M. Revillout [^Revue Egypt. I. par moi-meme. Pour faciliter l'entente de ce qni suit, je crois
(Rec. d'inscr.
p. 51, II. p. 96]
celui qui est
Nous reproduisons donc
monument de Stockholm.
tant de celui-ci que Celles du
nom a
franpais.
On
peut du reste demander: y
propre Ahmes-se-Neith-TJah-ab-ra,
trouve
dans
notre
texte
et
que
apres
lui,
ont reconnu digne de figurer dans leurs ouvrages? tel
cas d'omissiou
nom, apres du
signe
^\
avoir pris
connaissance du
ä ete Signale par
a-t-il
c'est-ä-dire
MM. Doit-
monument de
nous dans
la
Zeitschrift
par K. Piehl.
Stockholm,
surtoiit
si,
comme M. Meyer, on
que
croit
les
monuments egyptiens sont exempts de ont
qu'ils
meme
le
Est-ce que
famille?
les
ou n'est-on pas autorise h supposer
defauts,
cachet que tout ce qui est humain? Regardez les maguifiques ste-
du moyeu empire
—
C. 26 du Louvre
dcux monuments du Louvre
meme
Stockholm appartieunent ä des membres duue
et de
les
13
comme
hasard superieurs,
—
nier qu'elles abondent quelquefois
et osez
en fautes de
Les monuments
langue!
ex la stele
p.
cfi'.
saitiques,
seraient-ils par
Nous ne
le pensous pas. En examinant les Stockholm ou ceux qui orneut uu momeme espece, conserve h Leide i), on va bientot constater, que
exactitudc!
textes magiques qui couvrent le sarcophage de
nument les
uns
sa'itique
de la
compares aux textes des pyramides, presentent des divergences
les autres
»t
considerables,
divergences qui au moins en partie proviennent d'inadvertance de la
part des lapidaires.
Le monument du Louvre, que nous tion funeraire, •vidu,
dans
uom
le
donc probablement duquel
avous tout k Fheure traduit, est de destina-
mort de Tindi-
la
comme
Cet individu, A/unes-se-neit,
a cte erige.
il
ou peu avant
ete dedie apres
par consequent a du etre un particulier,
pelle,
par
a
il
s'ap-
il
surabondammeut prouve
qui est
ce
les differents titres qu'il porte.
En sommes
resumant ä
meme
particuliers^);
donnees des deux monuments de Stockholm
les
de
que tous
dire,
aucuu
d'eux
ne
les
portant
des
nous amene tres-naturellement h efiacer
comme
du Louvre, nous
et
personnages qui y sont mentionnes, sont des ce
annoncent
qui
titres
tout
appuyes
quo,
royaute.
la
Cela
monuments,
sur nos
des documents apparteuant k la famille royale des saites, certains egyptologues
Nous ne connaissons donc ui la femme ni la mere d'Amasis II, dont M. Revillout et apres lui M. Meyer ont voulu decouvrir les noms. Nos deux moont avance.
numents ne manquent pas pour cela de ils
sont fort precieux,
monuments
qui nous restent de Tcpoque de la
Si donc les deux
Comme
valeur.
specimens de
XXVI"
saitique,
l'art
meritent assurement une place marquee parmi
et ils
le
peu de
dynastie.
monuments, dont nous veuons d'etudier
contenu, ne fournis-
le
sent pas les renseignements historiques qu'on y a voulu trouver, et qu'ils par conse-
quent sont absolument muets quant ä reis Apries et
Amasis,
numents qui ont
il
la destinee
nous reste h examiner
aux relations mutuelles des deux
et le
troisieme et dernier parmi les
Le monument, publie par Champollion^) Ce monument ploye
comme
—
bas-relief,
pierre de batisse
^)
Leemans, Monuments
2)
Par
—
decouvert
;\
la
de Leide, III, L.
cela je retracte formellement
confondu notre ^)
Monuments de VEgypte
*)
Monumenti^
pl.
153, no.
et
1.
et
pl.
par
du Caire,
Rosellini'^).
oii
avait ete
il
|I(öX^l
^^
em-
dediant un
IV.
rhypothese qu'en 1881
"Wiedemann, (Ägypt. Ahmes-se-neit avec le roi Ahmes II,
C'est k tort que M.
citadelle
represente uu roi, appele
enoncee avec la plus grande reserve, ä savoir que Apries.
mo-
ete invoques en faveur d'une coregence des dits pharaons.
f
O^oJ
[Petites Etucles,
Geschichte, page 645) je n'ai
de la Nuhie, pl. 443, no.
jamais
1.
p.
3G] j\ivais
de nos monuments serait
dit
me
le
roi
reproclie d'avoir
une chose pareille.
Doit-on accepter l'bypotbese d'un regne simultane d'Apries
]^4
Le ha
en Egypte ancienne. il
Le
temple symbolique*).
petit
du
est
accompagne d'un ka, dans
roi est
Ahmes
Supporte la banniere du roi
accompague de
reste
ka
legende ordinaire des
la
d'Amasis?
et
style
le
II.
^
:
commua
si
-^ q
1
J^
1
royaus:
;
"¥
[T=]ft)^Äc^^>^*
1
I
I
(v\a merken
in
öj)
fl
'
diesem 'iH-wöf-t eine Localität in Heliopolis mit Be-
(Todtenbuch 1,4)
Titel entspricht
Zu
dem TO vgl.
^
sind, Cbei
,
in
vom
Sharpe
I,
Nach dem
On zu erkennen. Verstorbenen
der Pianchi-Stele
ff
^ W
den von Lepsius, (Königsb. 784
den Pfahl
worin
(Abydos lU, 1276),
Stele
dieser Zeit häufi". etc.
ö()
nahe
79 (12. Dyn.),
(1.
nimmt
aber das vorausgehende sdmf sofort
B. auf einer Stele der 18. Dyn., Transactions VII, 327; 328.
von E. von Bergmann.
'^=s
pJ-iÄ^.
JV'm;rt die
Anfiihrers oder Obersten, die zwei andern die weit höhern eines
i.
dem bedeutungsvollen Zusätze
(Denkm.
militärische Stellen
drei
Firenze
di
333) und Montuhir-
p.
chopeschf (Königsb. 499), später die ersten Propheten des Amon-Re'^ Hrihor, Paiuedem und Masaherti und dann häufig die Prinzen der 22. Dynastie. Hatten demnach behöchsten militärischen
unter den Ramessiden Mitgheder der königl. Familie die
reits
Stellen inne, so mufsten neubegründete Dynastien wie die 21. u. 22. Dynastie gleiches
schon im Interesse der eigenen Sicherheit befolgen. Dies geschah auch in der That so überraschender ist es daher, dafs Angehörige eines entthronten Herrscherhauses dieselben Chargen bekleideten. Sie erhielten denn auch vermuthlich kein wirk-
und um
brauchen
als
Nachkommen völlio-er
Generäle ä
la
suite
in
einen modernen Ausdruck
der Armeeliste geführt.
Jedenfalls
zu ge-
waren die
der Ramessiden, welche auch Frauen libyscher Abkunft ehelichten, zu herabgesunken, so dafs sie auch die Würde des
politischer Ungefährlichkeit
Oberpriesters des
Amon
bekleiden konnten.
Die seltsame Gruppe /^^ '^:^
ken
um
zugewiesen, sondern wurden,
Commando
liches
Seite unserer Statue erfordert
°
über der Figur des Ptahtanen auf der
i
noch einige Bemerkungen.
lin-
Bildet dieselbe den Schlufs
dem Namen NstiUrt vorausgehende Zeichen, welches ganz dem Zusammenhange des Textes nach nur eine mifslungene dann wäre NurUrt der Sohn eines N;m,'rt, bezüglich dessen Ab-
der Inschrift, so kann das
dem
Voo-el
''^
^^
sein;
Gans
gleicht,
Einer solchen Lesung der fraglichen kunft und Stellung wir im Ungewissen blieben. Gruppe stehen aber gewichtige Bedenken entgegen. Wohl hat der imgeschickte Lapidarius gerade in dieser Inschrift noch mehre Verunstaltungen von Hieroglyphen verbrochen, welche typographisch nicht reproduciert werden konnten, aber dafs er das
1)
lein,
Er
dict.
im mittleren Reich doch nur sehr selten, so Sharpe I, 17, LiebHaremheb führte vor seiner Thronbesteigung den Titel eines grofsen Vorste-
findet sich bereits
415.
^ "^
X
^^S).
Die
Gautruppen des mittleren Reiches standen unter solchen Oberbefehlshabern; so war der Vater
Ame-
hers der Soldaten
ni's
(Rouge,
inscr
36. 37)
und
heifst
nach dessen bekannter Inschrift zu Benihassan
auch
1^
^\ .^
(Journ. asiat. 1888) veröffentlichten Manuel de l'hierarchie egypt. schriften
genannte
§^ i^
i
\\^\
-
^n
('•'=•
dem von Maspero
nimmt der
im militärischen Rangsschema den ersten Platz
häufig in den Inein.
von E. von Bergmann.
43
wohlbekannte und häufige Schriftbild der Gans zu dem davon so verschiedenen Vo^-el ist doch unwahrschein-
f^^_ entstellt oder eine Vervirechslung beider begangen habe,
Und war ihm
lich.
die hinsichtlich
immer
noch
Länge
neben
Gruppe dar und wöhnliche
auch die vierte Verticalzeile im Verhältnil's zu den drei andern
ihrer
ergab
es
genügend
zur
Platz
Unterbringung
durchaus nicht die Nöthigung,
sich
Ansprechender
anzuweisen.
Stelle
zu lang gerathen, so bot sich doch
ebenfalls difi'erieren,
derselben
erscheint
ihr
vielmehr
der
die
frar^lichen
ganz unge-
eine
Vermuthuno-
dafs
der Graveur bei seiner Arbeit ein Versehen begangen und die Inschrift anfäng-
lich
mit den über der Figur des Ptahtanen stehenden Worten
Namen
welchem
N;in',rt''s,
Folge
in
worden war (beabsichtigt wurde
/^n"©
einer
Coufiision
das
*""
I
Zeichen
I]
|
/«^
und dem vom-esetzt
noch die Hinzufügung eines die Gruppe
vielleicht
enthaltenden Epitheton ornans), abgeschlossen hatte, dann aber nachträglich
durch die
vierte Verticalzeile vervollständigte, die er hinter der Figur des Gottes anbringen mufste, während die Texte auf der Vorder- und der rechten Seite der Statue sich vor den dort abirebildeten Gottheiten befinden.
^^^^
Geschichte des Amtes
im
alten Reich.
Von
Kurt Sethe.
^^^ und ^^
Die Bedeutung der beiden Titel erstere
Brugsch
bezeichnet, wie
erkannt hat
zuerst
ist
schon lange bekannt.
(Wörterb. Suppl.
p.
Der den
1307),
obersten richterlichen Beamten des ägyptischen Staates, den „Oberrichter"; der zweite
n^j
Titel
mit
,
welcher
dem Worte
in
der
4.
Dynastie meist
geschrieben wird») und also wohl
~
^^^^ „männlich" zusammenhängt, bezeichnet einen der höchsten Be-
Von den
amten Ägyptens.
vorgeschlagenen Übersetzungen dieses Titels dürften die
beiden „Gouverneur" 2) und „Wezir"^) der Wahrheit wohl
Beide Titel sind
in
den Zeiten der
innig diese Verbindung war,
1)
bung
II,
42.-34-7
dem Grab
nicht
mehr
des
=
R.I.H. 65.
a
U
^
6.
am
(LD.
—
meisten entsprechen.
Dynastie stets mit einander verbunden.
daraus zu entnehmen, dafs
'^1
man
schrieb*).
Wie
beide Titel nie ge-
Besonders kennzeich-
Unpubl. Zeichnung (No. 254) der preufs. Expedi-
II, 15).
In der
5. u. 6.
Dynastie
kommt
diese Schrei-
vor.
^)
So Er man, Ägypten
^)
Meyer, Gesch. Ägypt. p. 62. Eine Ausnahme macht nur der
*)
^
LD.
—
Verbindung
trennt, sondern stets in der
tion aus
ist
4.
>S7Ks=i3^'
von Lepsius ergänzt.
An
^^°
p.
130.
^''^'^^^
auf einem Kandelaber im
LD. 11,48,
in
der
^
Museum von Bulak erwähnte
'^rTK
allen gut erhaltenen Stellen desselben
"tne
Denkmals
^^ steht
vorkommt,
^
ist
"^P^ '^^
6*
.
Geschiebte des Amtes CpS
44 nend
TT
"Wx
„Una" -Inschrift
hierfür ist die Schreibung, welche wir in der
Hier
aT^^^wT"
Gruppe Tp xtK
die
ist
'™ alten Reich,
ifey
^^
TpXTK
^^
seit
Häuser«
Gerichtshöfe,
1^
h.
d.
der
In der
228. 407/409).
Oberpriesters von Hermopolis
schengeschlechts von
Aus
Amt
Namen, welche
(Brugsch,
—
6.
des
Dynastie
ist
>?7\^S^
'fp
alten
^^
selbst zu seinem
125.
welches nach
des Dhwti"^),
der Titel des
Oberpriester
zugleich
dafs dieser Gott für den
des
Ober-
Sage von der Vernichtung des Men„Wezir" ernannt
sein sollte*).
uns eine ziemlich grofse Zahl vou Alännern
An
bekleidet haben.
im folgenden gebe,
ich
Mar. Mast.
II, 103;
Dict. geogr. p. 1361)
wenn man bedenkt,
und nach der
galt
R^
der Zeit der 4.
bekannt, die das ihrer
(LD.
Dafs der Oberrichtcr
ist.
Dhivti war, kann nicht verwundern, richter par excellence
Dynastie^) „Vorsteher der sechs grofsen
5.
ri'^'zE^)
„Grofser der Fünf des Hauses
ptolemäischer Zeit
einer Gauliste aus
Als ober-
versehen worden.
Dynastie führen drei (von den vier bekannten) Oberrichtern
4.
^^ I3ZD s.z^
den Titel
der
11) finden:
3.
oflenbar als ein Titel aufgefalst
W
und deshalb auch nur einmal mit dem Determinativ ster Richter ist der
(Z.
ist
Hand
der
der Liste
möglich die Geschichte dieses
es
Am-
tes zu verfolgen. 1.
LD.
J
"^SJ—^^'
graphien
zugleich
*^^.
(Grab
LD.
Gizeh:
iu
II, 17
in
Snfrw, also, da er ein Prinz
Ungefähr
ist,
wohl
ein
Sohn des Hwfw.
gleichzeitig lebten die folgenden drei Oberrichter:
^
^^-^^l^^^l,
3-
1
.„gleicj,
'^^I^S^'-^,
^^.
zugleich
(LD.H,34^
^ £^
Domänen
(LD.
II, 15.
= R.I.H.65). Unpubl. Zeichnung
Namen
der Könige
No. 254 der
preufs. Esped.).
und
benannt, er wird also auch unter diesen Königen gelebt haben.
Ba'-fre'-
Auf
1)
vgl.
Medum: Mar. Mon. div. 17. Mar. Mast. 474 — 476 und Photovon Petrie). Nach dem Stammbaum, LD. II, 16, ist er ein Enkel des Grab
II, 16;
Mast. A. 1,
sind mit den
frülieren
Denkmälern wird meines Wissens
wo
Grofser des Südens den Titel
ein
„Geheimrath des Königs
Hofamt zu
Seine
in
J ^fe=* nur einmal erwähnt, Mar.
die
'^
«^
1^
1
^$v
Man
der ht-tcrt des Königshauses" führt.
sehen, etwa wie in den häufigen Titeln:
Hwfw
^ wv^
J
ist
^^
1
versucht hierin ein
(Leps. Ausw.
\
8 A.),
36. 72). 2)
Die Varr.
|j^
l"^:»^^
1
(LD.
11, 77)
^ ^^
und
(Mar. Mast. 125) beruhen
wohl nur auf falschen Lesungen. 3)
LD.
dum (Mar. *)
mes
1.
II,
34^
=
R.LH.
Alon. div. 17
—
Gräber des t
_^ ^^^
und Photographien von Petrie)
Brugsch, Wörterb. 74.
65.
Suppl.
p.
390. — Erman,
—
zu Gizeh var.
Ägypten
p.
v^ 131.
(LD.
-^^
i
II, 17)
i
LD.
und MeII, 15.
Destruction des hom-
yOn K. Sethe.
^^"^^ll^p J®
^
Grabes lebte
seines
luschrift
Mit ihm
1^ ,^^
und
Zeitgenosse
Söhne
heilst
LI
und den
^l'^^ 1.
^\
8.
ft
rigen irad
Titel
"^^^
Vorkommen
des
/I\
QX
zugleich
in
man
v^ Li ange-
a
einer seiner
Söhne führt
ebenfalls
den
Namen
(I^D. II, 102. 104)i).
Das Grab
6).
W>^
(Mar. Mast. F.
(Mar. Mast. D.
des Königs
7).
Mannes
dieses
stöfst
124) gezeigt hat, jünger
p.
„Ptah/iotep der Rote«
Namens
in die Zeit dieses
Es
g^
und
in der Familie fortzuerben pflegen, so darf
— 104),
wie Mariette (Mast.
°§"^",
10.
II, 102 ^ r-\
1
und Einer
besafs.
„Richter und Schreiber"
fjFl
„Ptahhotep der Rote" (Mar. Mast. C.
°§"^^^
9.
Titel "vfTK
Wsrk;/ war
des
Domänen
benannte
nicht sicher zu bestimmen.
ist
(Mar. Mast. C.
ist,
Prophet
er
Nefrirke're'-
folgenden Oberrichter der Familie des
die
(LD.
X
und
Eigennamen
Die Reihenfolge
Ac
Sa/iwi'e^
(LD. 11,45 — 48) welcher wohl noch da
war,
und führt den
die
wohl vcrnuithen, dafs
£i
)^^
No. 4
die folgenden fünf Oberrichter ebenfalls Ptah-hotep heifsen
Ägypten bekanntlich
6.
Dynastie, die, wie wir sehen,
4.
In der nun folgenden Zeit hört dies auf und
^"gleich
'-^'
S
Da
(LD. 11,45«).
hörten.
Ha'^jre'^
mehrere Generationen hindurch; der erste Oberrichter
des Oberrichters
mehrere nach den Königen seiner
Nach emer
II, 41. 42).
ist:
5=®^°!'^^
5.
ein
(LD.
Dynastie.
5.
sind.
Amt
eine Familie bekleidet das dieser Reihe
der
Reihe der Oberrichter der
schliefst die
sämnitlich Prinzen
)^^
zugleich
unter der Regierung von fünf Königen, von
er
dem zweiten König
bis Sa.hwre'-,
^
45
I.
H. 84. 89).
Aus dem
seinem Grabe, geht hervor, dafs er noch
in
'Issi
an das des vo-
dieses.
4).
R.
62.
als
Herrschers hineinreicht-).
scheint diesem letzten
das so lange in ihrer
nicht gelungen zu sein, seiner Familie das
8
Hand gewesen
keinen seiner vielen Söhne in der Folgezeit
als
Amt,
Wenigstens finden wir
war, fernerhin zu erhalten.
Oberrichter wieder.
Weshalb
hier
das Gesetz der Erbfolge unterbrochen wurde, vermögen wir nicht mit Bestimmtheit
zu
sagen;
man
allein
hing, den wir in
Erinnert
*)
sei
hier
darf vermuthen,
dafs
verschiedenen Dingen zur
nur
an
das
plötzliche
dies
dem Umschwung zusammen-
mit
Zeit des
Königs
'Issi
eintreten
sehen-*).
Verschwinden der Heiligthümer des
Be'-
Ich will hier nur bemerken, dafs eine Identität des Oberrichters No. G mit einem der
anderen (No.
8.
10)
ausgeschlossen
ist,
weil
der Plan
des
von Lepsius pubiicirten Grabes
mit keinem der von Mariette pubiicirten Gräber übereinstimmt. ^)
Eine Reminiscenz an diese Thatsache enthält der Papyrus Prisse, welcher von einem
Prinzen
fi
Vra verfafst
Stadt und Wezir gewesen sein ^)
sein
will,
der zur Zeit des Könies
Hierfür vgl. namentlich die treffenden Ausführungen Ed.
/,
^
o
o
u W
20
"V ^.i^ '='
die
kleine
o'>0
2
5
20
2
5
o
ffiä^mH'l^^^"^'^^""^^ ^="(10
y^^-.
DerGr.d. Gefolgsleute Rs
....
Snb
DerGr. d.Gerichts(?)-
/£
r*"^
Der (Richter) von A^/iM
S.'^-
Monats.
(Siehe den Text auf Seite 82 und 83).
Berechnung der Sachen des „Herrn" vom Jahre
3, 2ten S/
Älv l^^l
I
2C
I
1700 240
Tages suchen.
Dieselbe war eben, wie oben ausgeführt wurde, schon in den
am An-
fang der Handschrift stehenden allgemeinen Aufzeichnungen gegeben, von denen uns
nur
A
men men
dem
erste
erhalten sind.
Reihe a
sich aus Liste
B
enthält die ständige
ergeben.
Einnahme
wohl aber
vom in
1
in
eines jeden Tages, deren
Sum-
Die Zahlen der Reihe a stimmen genau mit den Sum-
jener Liste ttberein; nur Zeile 5 der Liste
nicht,
der
B
und
Die
B
findet sich in dieser
Schlufsrechnung
denen vom 29ten und SOten Tage des 2ten S/^-Monats sowie in
ten des 3ten &)
Vgl.
^)
Ergänzt nach den anderen Schlufsabrechnungen.
3)
Siehe Tafel 20.
*)
Tafel 23, 25, 28.
^)
Tafel 20, 22, 23, 25, 28
n.
28 unten.
den
Derselbe
Zahlen, die
Bei diesen Notierunsren des Restes-
von L. Boichaidt.
a:\
i£: i-t.130
487
12
716
125
1203
i£^
150
52
1
i[.i:j
^kei
52
200
30
i!
1
££
200
1
52
100
83
20
20?
50
50 30
2
10
Ein Reclinungsbucli des königlichen Hofes aus dem Ende des mittleren Reiches,
84-
Lieferungen von Seiten des Tempels
liegt vielleicht ein ähnliches Verhältnifs
wie jenes war, welches wir aus den Verträgen des ser bekleidete neben seinem
am Tempel
sters
Theil;
ähnlich
Amon
gewesen
eine
des
Amte
3^ r*^
dürften
^^
x
[1
Fürst von Sinti) zugleich die
als
und hatte
Dafs der König
W
zu Grunde,
kennen.
Würde
zum Tempel
Die-
eines Prie-
solcher an den Einkünften des
als
Beziehungen des Königs
die
'^,
Tempels
thebanischen
des
in
unserem Falle auch wie der Fürst von Siut
erbliche Priesterwürde^) bekleidete,
also aus einer Priesterfamilie stammte, braucht
man
sein.
aber daraus noch nicht zu schliefsen.
Summen
In der nächsten Zeile werden die
den Reihen a
bis
Tages
dieses
Nach
Gesammteinnahme
festgestellt.
einer rothgeschriebenen Überschrift, die ich nicht zu übersetzen wage, folgt
zweiten Hälfte der Schlufsabrechnung
jetzt in der
Hierbei betreffen die Zeilen a bis
gaben.
der gleichartigen Lebensmittel, welche in
d aufgeführt sind, zusammengezogen und so die
die
Zusammenstellung der
Aus-
wieder ständige Ausgaben, welche mit
c
unwesentlichen Änderungen in der Abrechnung eines jeden Tages mit denselben Zahlen
wieder vertreten
Für
sind.
Ausgaben müfsten
diese
also
gleichfalls
Listen existiert
haben, welche dieselben spezificierten, und in der That könnte die Liste A, der wir ja allgemeine Bedeutung zugeschrieben haben, mit Zeile
In Zeile d weist das
Vorkommen
V
beiden zusammengehörigen Notizen
Ausgaben an
e
und VIII
correspondieren.
Hauses" schon auf die
Hier werden also jene einmaligen
hin.
welche auf Befehl des Ntf-ni-ib erfolgten, verrechnet.
die „Grol'sen",
In Zeile
c
der „Grol'sen des
wird auf Liste IV, welche Lieferungen für bezw. zu Händen des
Kki be-
Bezug genommen.
trifft,
Die
der Schlufsrechnung nicht mit herangezogenen Listen
in
enthalten, wie bereits
oben [S. 74
u.
[I, II, III u.
76] erwähnt, Dinge, welche, wie
z.
VI]
B. lebende
Thiere, nicht in gröfseren Massen verbraucht wurden und welche daher nicht mit in die
Abrechnungen aufgenommen wurden.
Summierung der Ausgaben,
Die vorletzte Zeile enthält die
die letzte die Dif-
Einnahmen und Ausgaben „den Rest", welcher in die Abrechnung des. nächsten Tages hinübergenommen werden soll. Halten sich Einnahme und Ausgabe ferenz von
die
gen
Waage,
sicli
1
„gut" an Stelle der Differenz gesetzt, welches eben anzei-
kein Rest vorhanden
zwar gerade
sich (und
die
so wird ein
soll, dafs
nicht aufheben.
Nur
ist.
einmal in der ganzen Handschrift findet
von uns besprochenen Abrechnung) dieses
in der
Da man
aber
dem
I unter
Zahlen,
Schreiber, trotzdem er sich wohl kleinere
Rechenfehler und, wie wir gesehen haben, auch kleine Unterschlagungen zu Schulden
kommen
liefs,
einen so augenfälligen Betrug nicht zutrauen kann, so möchte ich ver-
muthen, dafs an dieser
Ordnung
Stelle
die
Zusammenklebung der Fragmente nicht ganz
1)
Vgl.
2)
Zu
Erman, dieser
zehn Verträge.
ÄZ. 1882,
S. 161
freilich
ff-
Hypothese würde gut passen, dafs der Vater mehrerer Könige der XHI. Dy-
nastie, deren Zeit unsere Handschrift angehört, mit
Priestern
in
ist.
vorkommenden
Titel
[I |
an dieser Stelle auch mit
(s. , Vater
z.
dem
bereits
im m. R. (Mar.
cat.
889) bei
B. Petrie, Seas. 337) bezeichnet wird, welcher
des Gottes"
d. h.
des Königs übersetzt werden kann.
von L. BorciiarcU.
Abweichung vom Schema. Der
hier als Beispiel angeführten
gleichen die
andere weniger inhaltreich sind. etwas anderes
satz,
Er
verzeichnen.
wo
Kechuuug vom 26ten Tage des 2ten &(|^^^=^l)^ oder ein Oberrichter, oder ein
Der mr-p)'-wr nisse,
hat
>f
AA^AAA
denn
"^
I
^
H^^'^^'l^^fl
kommt auch
auf Tafel 20,
Auch
vor.
dem
bei
'=''),
sonst
schliefst
Bezüge
seine
Auch
Bis
als
dieses
Amt ist
Es
erschöpft.
um
sind,
P. 30-23 Z. 43
ff. ff.
3)
P. 3023 Z. 73
*)
Mit
dem m. R. nachzuweisen*).
^
'^^ ] C\
fc« getreten
N/j7it
6)
f.
nicht in einer Liste, ohne den Titel
aus
'')
Zcitschr.
„der Oberschatz-
der nächste unter den „Oberschatz-
wenn auch
Amt
|^ ^^Y*
wie das des
ist,
P. 3023 Z. 54
£X)
[Taf. 16, 32, 37 u. 45] ist
die Zahl der in unserer Handschrift
')
^
sein
[Taf 45] „der zur Stadt
2)
=
der
ist
'Tw)/"
-Oberschatzmeister", während in
ÄJ'!^'^
Hiermit
^,
wir sogar den Zeitpunkt seiner Ernennung
können.
diesen Titel noch nicht,
1331^)
IT]
der
„der Oberschatzmeister und zur Stadt Nhnt gehörige (Richter)
17, 27, 32, 37 u. 45] Tit'i'^
^j
Lj^l|Jj
zum Könige^).
dem Könige
feststellen
ohne dais ein....,
«du gehst zum See der Wahrheit und
Ü ^iv
Vi
meister und Schreiber vor
Die Reihe
_n-^
Die Stellung des nir-jjr-wr muls übrigens eine sehr hohe gewesen
I^er|^^l
\^^ [^^
allein,
=:3z:^
sr dabei war".
er hatte direkten Zutritt
meistern", er
war
ist)
danach, ebenso wie seine snv, auch richterliche Befug-
also
,—
fahrst auf ihm". sein,
Rede
die
«Ai
und daher so unverständlichen Sprache von ihm sagt^):
in seiner bilderreichen 1
«ich
'
neben andern; dai-auf geht auch die Bemerkung des
vielleicht
I
'='
Suppl. S. 391;
Aogypt. Spr., XXVIII. BaniJ.
I89u.
Erman,
dict. 4.
283.
ÄZ. 1882
Ägypt. S. 134
u.
S. 5.
201; ÄZ. 1882 S.
12
5.
Ohne
Ein Recbnungsbuch des königlichen Hofes aus dem Ende des mittleren Reiches,
90
0^ ^
1^
1)
„Vorsteher der Fufstruppen"
^^1^
2)
M- CTZD
3)
4)
„Vorsteher des pr-tor"
ra "^
3P
lA
l^
„Ackervorsteher«
„Schreiber vor
.CSID
„Richter von Nhnt^.
CTZi
5)
dem Könige"
In anderen Denkmälern und Urkunden des m. R. fand ich noch eine Anzahl ande-
Beamten,
rer
auch noch neben ihrem eigentlichen Titel den des „Oberschatz-
die alle
meisters" führen können:
6)
^
7)
^~^
1^^'=''^' „Vorsteher der Schatzmeister" i)
^
„Vorsteher des Tempels"') "
1^ 9
9)
k. "®^(]{]
10)
"*)
„Vorsteher des '^
„Vorsteher des Palastes" =) „Priester des Amon"*")
11)
n
1^)
^C^lf+^^^^^^^^^H
Y
"^^
„Vorsteher der
I
(It;:;^!
«WirklicherVorsteher der Priester des Wp-w/«"'). u.
Im
n.
s.
w.
R. treten zu diesen „Oberschatzmeistern" noch viele andere hinzu, welche
Priestertitel
als
Haupttitel führen»).
Im
a.
R. führten auch schon Beamte aus den
verschiedensten Ressorts den Titel „Oberschatzmeister"; Sethe theilte mir freundlichst mit, er kenne 9 Oberrichter (vgl.
Südens, 3 Apispriester
Aus
allen
nur der
t^^
^^^
'
D
Sohn des ^^^^^^
1^ 3)
ge;
rm.
[Taf 4G] „ira«
küÜMf
,Gefolgsmaun des Palastes"*) ,S>'-7n7ätr,
1)
Pdw"
[Taf 45] y,Rnf-snb