L'Onomastique latine. Colloques Internationaux du C.N.R.S., n°564. Paris, 13-15 octobre 1975. 2222019079, 9782222019077

304 93 15MB

French, English, Italian Pages [512] Year 1977

Report DMCA / Copyright

DOWNLOAD FILE

Polecaj historie

L'Onomastique latine. Colloques Internationaux du C.N.R.S., n°564. Paris, 13-15 octobre 1975.
 2222019079, 9782222019077

Citation preview

COLLOQUES INTERNATIONAUX DU CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

N° 564

1

L 0NOMASTIQ!IE LATINE Paris

13-15octobre 1975

8DITIONS

DU CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIOUB 15, quai Anatole-France - 75700 PARIS 1977

ACTES

DU COLLOQUE

INTERNATIONAL

sur L'ONOMASTIQUE LATINE organisé à Paris du 13 au 15 octobre 1975 par M. Hans-Georg PFLAUM Directeur dt Recherche honoraire au C.N.R.S.

et M. Noël DUVAL Comervaleur en Chef du Département dts Antiquitls grecques el romaines au Musée du Louvre

édités par Noël DUVAL avec la collaboration de D.

®

BRIQUEL

et M.

HAMIAUX

Centre National de la Recherche Scientifique, Paris, J 977. ISBN 2-22'~1907-9

TABLEDES MATIÈRES AVANT-PROPOS par N. DuvAL et H.-G. PFLAUM.. LISTE

DES

PARTICIPANTS

LISTE

DES

AUDITEURS

11

...

16

..

19

ALLOCUTION o'ouvERTURE

par M. POTTIER, Directeur scientifique

du C.N.R.S ....

21

1. LE SUBSTRAT PRÉROMAIN EN ITALIE (13.10.1975) Présidence de M. C. N icolel

J. HE8 ~ clliumhips, Bryn Mawr,1935).

laline col malronimicoc d8;c es, bl~n abaoctonnées de nos jours, sur le • Mutterrecht, primitif, Lattes, Le iscrizion~ adaget plebeigentu non~::vtn(;n;,_a elrusca, Alti Ace. Arch. Na poli, 1896, Les juristes discutent encore du vi,e • · ·•X, 8 j Aulu~Gelle, X, 20, 5 · XVII 1 21 • 27) • V Giuffrè • Pt. gentes non haben ,, dans:Lab•n 1970 p 3•g a~~n ....., ,ur' la·société " - _, ' ad patres ' • • et Rema,quu ro.A .tort'aelon A. Magdelain, Auspicia red~unt, Mil. 'Bayel, 1964, P· 427 · 473 '· REL, 1971, p. 103-126. u, (3) Sur ee document e~:::e ar~hal~ue, (r-éaJieé localement, mals bltégré :articuber sur le problème de l'intégration des italiens et des formalités du censl neu,r For.1ehungen, An:. Wien 196:ne/.;,oena romain),et. réce1QmentE. Schoonbauer, Die Tafeln von Hira-kl:c,î 8 1 • ' ' • Seaton, Municipium fundanum ·[comm. Inst. D' Rom. Parla, Janvier

L'ONOM.-\i;Tll)UE

fJF;

L'ARlSTOCRATIE

:-;ou-; L\

RÉPUBLIQUE

1

le nomcn '\" t l • (,L'ordre indiq11è, d'ailleurs l'ordre alphabétique des gentilic,es que sont aln _elpraentomen, est significatif: c'est par . qui. nous sont · c asses es CI· 1oyens dans les listes de tribus ou (1e cen t unes parvenuesz c'e~t tête le gcntilice.) La nomenclature à elle s~ul" ,1.ndP?urqu?l1est censeurs _font apparaître en , ,r, c, 1que s, e c1 oyen est mgén iT h" -~p1Jtrc7:1 _nul patronu_m_),et sar tribu donne des indications {moins précises :r::n~u~ ::;on ongme ou sa res1den_cc. ::::ion cognomen pourra au·si dans t · f •) d · 1· t· J , ::; , cer ams cas, ourn1r es HH 1ca ions '- e c:.;cgenre. :\lais la nomendature n'en dit direct t l p • , t · •,., , t , · · '. emen pas p us, our etre en .1uu11en renseignes sur le statut social exact d'un citoy ·1 f d ·t t . 1 1 , 1, , . , , . . en, 1 au rai connattre en ou Je a c asse c~ a centu n~ ou l ont mscrit les censeurs, qui dépend essentiellement du mo_ntant des r~lwnes pecr~nrae _mentionnées par notre texte. Ce n'est pas là un souhait futile : ir~ re~se1gnemcnl. hgur\11l1en fait, sur les extraits d'actes de naissance consécutifs aux lois Papia Po:pJ_Juea_et A~h~ Scntia. d'Auguste dont nous ayons conservé, sur papyrus, quelques_ exemplaires tres prec1eux: temoin celui-ci, de 62 apr. J .. c. (FIRA, III, no 2): L. Valerius L. f. Pol. Crispus HS CCCLXXV (millium), etc.•. Voilà un personnage qui a presque le cens équestre et qui était donc membre de la prima classis. Je voudrais faire à ce propos une remarque: ceUe classification civique des citoyens en groupes hiérarchisés est une donnée si fondamentale de la société romaine, comme des études récentes et convergentes l'ont montré, que la mention du groupe auquel on appartient tend à s'intégrer dans la nomenclature à proprement parler. La fonction ou le statut civique, en grande partie héréditaires, tendent à devenir un titre, et le titre à s'intégrer dans le nom. Le mot latin qui désigne ce titre, nomen, est d'ailleurs aussi significativement le même qui désigne le nom. L'épigraphie, tout comme les textes littéraires ou historiques, montrent bien que, pour les ordres supérieurs, sénateurs ou chevaliers, l'adjonction du titre est extrêmement fréquente•. L'exemple du document que je viens de citer m'incite à penser qu'elle figurait automatiquement dans les documents d'état-civil. cité

ire:~

Le second document attestant la codification de la nomenclature est plus ancien, mais je le citerai car il montre bien l'intérêt de ces questions pour l'histoire sociale et politique. Il s'agit de la fameuse« loi judiciair~ ép_igraphique_• q?i est.très certainement une loi gracchienne des années 123-121'. Elle prev01t la conslltut10n _dune liste annuelle de 450 juges, dont le détail du recrutement, malheureusement, nous echappe et ne peut être reconstitué que par conjecture. Le préteur, dit la loi, quos legeril eos palrem cognornenque indice! (L 15 et 17). , , . . . Apparemment, bien des données manquent par rapport a la T.able d Heraclee. M'."" le nom et le prénom sont sous-entendus du fait q_u'avan_tde t~anscr1re ces ~oms, le p~teur doit les avoir choisis. Le titre exact n'est pas md1que : mais Il est c_ertam que_ ee_sJuges devaient être choisis dans un groupe limité (ordre équ':5tre ou, à ,la ~1gue?r, ma:s Je n~ le pense pas, première classe) et cela était dit avant. Mais le plus s1gruficallf est I exclusion (1) Sur cette intégration dt' la vie ch•ique auto~r du cens~,, C. Kieold, Le métiu- dt cilogtn. R~ •W'lu structures ciuiques de la Rome républicaint, Paris, Gallimard, 19,6. 60 9 (2) V. Garthausen, op. cil., P· 35 9; CIL, ~'.1• 200 = ILS Roman rt iaù'u'a of birth and birlh cufificala, -' · {3) Sur ces documents l'l les problèmes qu ils posent, cr.F. Schul~, . : H' r D il 1952, p 449-186. • , JRS, 194'1, p. 78·91; \943, p. 5,!)..6-t; J. P. Lé..-y, Us adu d'tlal cfo1l romam$, t't'. 18 - ro , • 439449 7 el dans Éludes J. Macqueron, Aix, 19 0, P· : .., our l'époque républicaine. Les litres de l'époque 177 41 {4) cr. C. Nicolet, L'ordre équutn ... 1 (l 96 ~J, p. ... -~~ ..,il Sil:b. Berl. A.kad., 1901, p.579-610, et. par impériale ont été étudiés par O. Hirschleld, Ranglrlel du ro_m.~ ,.1uRhuc'1iu sur lu slrucluns Htialu damr Ani. H.·G. POaum, Tilulalure tl rang social sous lt Haut-Emp,", ans « Cla,s., Paris (C.N.R.S.), 1970, p. i.59-IB5. . l f lhe Tabula Btmbint1, JRS, 1970, p. 154-168; ('l tes mi.ses concunion, dnns A..1\'.R·"·· l, "!, 197'2, p. 197•214; dans (5) CIL, 1•, 683; et. H .. M~lti.n~I~, Tht ali>r~1on au point de C. Nicolet, Lu lo1aJudmai",s tl lu tribun E Pr H E rlV• ~t>Cl.), 197-Z,p. ·.?54. L'Ordre lquuln, li (1974), p. 1087•1093; t>l dans .4nna 1u c. · · · ·

a:;,

C.

NICOLET

50

. . .· lt, ·n,[Jlicitement du fait qu'on nt-~ pn'.iYoiL de no__Ler qnt~ pafrem ' · tu1 l':u·t ·, c'i ,a,11·1 prir ailJcurs' d e~, affranchis ' qui ,esu 'i, Nous avons Jà la conf1rrnat10n as pafrem au 1 pa 1, 01w 111· _ . . . et· non_P ~ . , 1~" affranchis à l'époque républtc:11ne, ne puuv:11enl. que très grâce a la prosopograp 1ue, qut u, ' exceptionnellement parvenir à !'ordre équestre. II. LA SIGNIFICATION DE L'ONOMASTIQUE. Telles sont les limites des données purement no~·matives._ La nomc1:ct:~~-urc .ronrnine, ~1g-_ml1cahvc co d1'fi'1ee par 1es p rocédures des censeurs et . par la 101, est socialement. . - ,. .' mais dans des limites assez larges. Elle indique s1 un ho~mc t•~t e1t?yen ou_ n?H', s il Pst rngénu ou affranchi, dans quelle tribu et dans quelle classe ri_est mscnt. Ln 101_nt~ s occupe que de ces données, parce qu'à ses yeux ce sont les s:ult>s qui com~~c~1t: en _pnn_c1l:e,elle ~est égale pour tous . .Mais dans les faits, nous ~avons lnen que la socicl.e r~n_iamc• ?'a_1L _t'xtn:men_1ent hiérarchisée, selon des clivages multiples et comp.lexes, de finahte et d ongrn_c lustonque diverses, mais dont la plupart concernaient, plutot que la richesse ou la vie economique, donc a~Jordcr maintenant la le statut civique et les fonctions politiques', Il nou~ question essentielle qui fait l'obJet de ma commumcatwn,_ ~ savmr I existence de rap_ports éventuels entre l'onomastique ou la nomenclature et ces luerarcl11cs de lait ou de drmt qui informaient toute la vie collective des Romains, En d'autres termes, est-ce que pour les Romains le simple énoncé d'un nom (à l'exclusion bien sûr de l'énoncé de l'état-civil tout entier qui, on l'a vu, indiquait aussi la fortune et la place dans le système des classes, et à l'exclusion aussi de l'emploi des titres, lui aussi explicite) permettait de situer, au moins approximativement, un individu dans la société ? Et si la réponse est positive, quelles étaient les règles de ce jeu? Il est à présumer qu'elles seront complexes, et qu'elles ressortissent moins à des principes fixes qu'à une sorte de connaissance empirique résultant de l'usage,

fau:-

La première chose à noter est que la question n'est pas arbitraire. Le nomen, la nomenclature, est un élément qui intervient très fréquemment et avec une très grande force dans l'appréciation de la valeur positive ou négative d'un individu ou dans celle des liens qui le relient aux autres, L'enquête que l'on pourrait faire à ce sujet chez plusieurs auteurs, et que j'ai pour mon compte esquissée pour Cicéron', montre que la mention des éléments ~ui se rapportent au nom est extrêmement fréquente et qu'elle a une très grande valeur, R_ien d'étonn~°;t, dans u~e société encore en grande partie fondée sur la gens et sur la notion de gentihte•, Les Juristes, comme Scaevola le grand Pontife, donnaient de cette

(1) S~r la valeur et la logique de ces stratifications 1 les synthèses les plus récentes sont celles de B. Cohen, The Roman Ordmes, Thèse Tel Av_iv,1972 i du même, La notion d'ordo dans la Rome antique, dans Bull. Ass. Guill. Budé 1975, P· 2 59-282 ; et d~ c.,N1colet, Les classes dirigeantes sous la République, à paratlre dans Annales ESC. 1977. (2) A défaut del article Mmen du Thesaurus, encore jnédH, j'ai consulté les arUcles genlilis genlilicium cogno(etc..1 11a doncf a Il use ra ba u re sur des mstruments men · ' ' ti d de travail. particuliers: Mcrguet et Qldfather. Sur la significaF b' , · on u nomen, et. par ex. les passages topiques• Cie Font 36 (nom ignolum). De dom . p FI . •. ·• · en a wrum), Pro Cluenl. 79 (utla ... nomen ... · t "b r t · d • o, 116 , ro acco, 12: eham st formam hominis sin pulastis; Pro Ligario, 12 (à Aelius Tubera): .d I omen, St ~1 um n_os1s, mo:~s amen exq~tren_ os nota sunt omnia, V . . ~o_ui omum nomenque uestrum; sludia generis ac famtltae uestrae 1 uirtut,s ... ( 1 15 oppoSillon nobiltsJnotus) ; Pro Q. Roacio, 30 : confugil in huius domum, disciplinam, po.trocînium, no~en. err. (3J Sur les liens de gentiUt.é Varron LL 9 69 . Paul Rhet. Her. 1, 23: Pour la différence entre les genm/ces et le~ afTr ~ h" • C -F:stus, p. 94 L; Lex XII ~ab., V, Diom. (Gramm. 11 321, &) : nomen ro rium a c _18,'. IL1 1, 143_9= XIV, 2387 (Bov1llae); Tite-Live, Ill, 68, 1, 2, 8 {les, traditions, gentilices). p NH ~~enllltcium, quod originem familiae uel gentis declarat; Varron, RR I, ti»aient leur nom d'un territoil'e'(c'e~~eÎe con . XIII_, 26 · Sur l'idée, fausse, que les anciennes familles patriciennes 1965, p, 297 et suiv. trall'e qui eSt exa.et), A. AltOldi, Early Rome and the latins, Ann Arbor,

?;

&r

. Noter l'emploi ironique de gentilis1 Ci T oQ Pomponius'l}. c., use. 1, 38 (Servms Tulliu.s l) et Att. XIII, 36, 1 (un nommé Caecilius

1.'0NOMASTIQUE

DR

L' \.RISTOCRATIE

~OlJ•.' "

L.\ BÉPUBLIQUE

51

dcrniôrc définition exaele. Pour l'ordre ta nobilitas, ce sont. les études de M. Ge~7:er d ,de A ... ~rzelms ~l C Nicolet cités ci-dessous, p. 55, n. 3. Si la théorie sénatorial el _l'ordn1 êqut•stre, cf. le.s article~ d_A. C.ba:;~g~:~re siècles d'histoire, une rt'marquable constance dans d'A. Mugdelarn est exncte, commt' Jt1_le crots, li Y a, s~ q l' ·è à e fonction dewnue héréditaire en droit un ,. ,.,u,)' Sur ce dernier et. mon article l'ômergonce des , aristocraties ' _ronumws, loutt'S déflnu.•s. par b".''. • • , . \ 11gt 15 t , ou en fatl (no 1111as, tquu 1 , 1., 0 1 (patriciat au v s., ordre sénatorrn son,qui ,w n·ut pas dm.•, comme on a ,Tu, qu un i!/ndl\tduCn P~,~•) ( · R JI ,, ,, • -Hh:us tune Titus Pomponius. nunc umlw aeci iw en changer, par ad'-'Pli~n- par ex~mplc:-\ \ arron, R ' ~. : · · . · , ··· ';:-,;..I cdui ui vers kt fin d..-la Ré-publique, aura ou par entrët' dans la cu·tlas, Mais I~•cogt10~1tn ~t-ul ètre ~nt ~~-rllé ,l'l c omtn a;:i ;re ou adripen. sumttt, trahu-e): tendance è Sf' substituer au gentihce.., 5-0ll pris p11r un md1, 1du (rogn P c.f, Cic,~ron. Dt RtP- \'I, li. (C'(1gr.m11inasliq,i., t>l adjunrla: St>n.. Cttm. 1. l-1, ~\.

•~- NJCOLE'f

5-1

. c;ylla qui peuYenL se donner ou se faire don1wr un cognomen du c_om1nun ·. un. P un .._ . . ompee, t Al nus ou Felix. Cela explique au~s1. ce tl .e f'{'nwrqnc de Cicôron précisément," commence ù vieillir,, (/Ill. J l, J:3, 2, ,,). !\fais aussi com:;:~tl:nMd:~us ur le c?g . , . oins Clevé le coo-nornen est un l•lémt'.nL donL un individu peut 5 1 m donne encore même a un niveau , t'." • • • -· , . tt , d soc1a c·•e'ron un(~ fois• un n~nse1grn'nH-:'nl I rcs •·11rw.11x : ;i propos 1..,t ouer · Une 1.e S· re . e ''am,· de c Trcbonius à i.1lll· 1I · n con f"1e J1' rnanu.c:.cn• L IrI I' Oru/or il 1--.,. Jd'un nomme a 6tHUS, · -·. ' . . , . ' -, . T b • l'o me ,·mpulil 1Vist l'orle cand,dalorttm lrcen/1a lue "t· ,H !t t;ri,·11. ,.,_· 1 ·1 ' · die Stene Bemamen:.i;•,~ 1s, c aher mcht voran. Ab er e sgibtAusnahmen, origo oder _der domus. a O k iserliche Beinamen sfinerseits an Stene dt'!' Tribus un ter dit> Elemr-nte verwunderhcb, dass • • ' Der Peregrmus, er seme 5 · • dern Praenomen und Gentilnamen :wd1 die Tribus. . __ . nahrn ausser B b t i••n Ober die Tribus in folgendcn Ft'lllen : h.omodiartll'n, Bnst.ardP FreiBesondere eo ac I1 111 t,L • , 1 ne und Kinder von Freigelassrnen. . der rrnt dem AufhürPn der Institution ge asse. T .b . t d erste Be.:::tand!.eil der Namcnsformd, oie r1 us 1s er ·I z · J 'l .. · • T ·b in der Mille des 2. JahrhunderLs verschwin~tet. ?~n·ol! 1 d1P 1'J us c a:; PH'_,w1_1 1 ~•-r. rom1s?lle SlaatsangehOrigkeit ist, verschwindet sie..nicht gb~1chu1llg mit dPr Ausdrhnung de~ rom•~Lhen Bürgerrechts auf aile Peregrini, sondern erst spaler.

f~·

Premessa* Si precisa che si prendono in considerazione alcuni evidenti rapporti delle t.ribù con i nomi e con gli elementi, corne la paternità, chc costitu1scono la formula onomast.ica del cittadino romano, non le connessioni che le tribù ebbero con J'origo o domus, con nomi e cognomi che si richiamano a toponimi 1 e, trattandosi di epigra fi, con il silo del loro rinvenimento. Si avverte, inoltre, che, per quanta articolati, i risultati dell'indagine rimangono sempre sommari e che, per quanto ispirati a cautela, essi sono esposli alla provvisorietà delle conoscenze attuali, le quali potranno anche essere contraddette da future acquisizioni. l.

LE PIÙ REMOTE TESTIMONIANZE.

Nella formula onomastica /a/ina di un cittadino romano la tribù compare perla volta:

prima

a) nel 103/2 a.C. in legenda di monel.a : A. Manli(us) Q.f. Ser(gia) (H. A. Grüber, Coins of the Roman Republic, II, p. 268, 509 ss.; E. A. Sydenham, The Coinage of the Rom. Republic•, London, 1953, nr 543) ;

b) ne11'81a.C. in una testimonianza letteraria ; L. Albius Sex. {Jlius Quirina (Cie., Quinet. 6, 24)'; cJ fra il 41-68 d.C. in un papiro latino : M . ..i:•rci; P.f. Fal(erna) Oplato (P. Mich., III, 159, 7 av. t., XLVI, 1926, p. 276 = CPL 2l2);

=

TAPhA,

LV, 1924, p. 21 ss. = Ztschr.

d) fra le epi~afi si possono indicare le seguenti di sicura (o quasi) datazione

:

C, Claudio M. Perpenna c ( ) ( l' b ) . . ILLRP 210, da Samot: ~ •. u .'. u• ... P. I:mus M.l. Pal(atina) (!•, 663 = ILS 4063 = sulla scia dei MommsenÎ~m' piu probabile il 92 che non il 130 a. C., secondo il Degrassi • [Le& numéros non préc6dé1 d'un el le du volume.] g aont ceu1t du CIL, Pour les autres abréviations, voir la table à la fin (1) Materia quOB\'ummaquantomal ln Home,l~, p. l 19 sa. certa : cf. L. R. Taylor, Th1 Voting Dtatricla of the Roman Republic, 8 . (2) Ved. C. Fa)'lll', THlimonian:edl dllribù rom 1 ,:::' _Urbino,~~ n-.1,.B. l'S lull . ane_nelle leggent1e_-1Ulle monete,nei paplri a nelle (onti leUerarie, 1 XXXVI; Ul&~_p',11• 34, 2,-henchhil,n,en:tea1 ad l\•-.••_.•n'u·.u.,'lMa,(I_,, •..•~ r_a_J_lolll 'Jl111'_-·_ •....,., .. .., ..ul è•da rltenere posterloro la testlmonlanza di Liv.,

LA MENZ!ONE

\1,f Hor(atia)

/,. Orbiw,

üell1us L.f npl dr-creto

L

Tro(mentina) ( dell'89

\',.[(:, formula onornastic·1 in .

-,

75

-

ILS 9365 = lLLRP 750 . uno fra I componenti del ..., d~ Delo_: ca. 100 a.C.); ' 709 = VI, 37045 = ILS 8~~~s1ghfLf Gn. Pompeo Strabone I = RP 515).

\f

a.C ..

. .

DELLA TRIBÙ

(J:i, 715 -



qrrca la tribù corn

ingrw

") rn f'p1gr:ilia nel SC de Th.18b . · · ae,s del 170 8 [ let

Md111oç,A;d~wç Mavlov vlàç 'OÀ

n

l\l

b) in p,1piri datati nel 14 a.C. :

.

('

.

.

pare perla prima volta . •

• ...... Vll, 22'25 - 0·

J ( /(,,

-

itt .. Syll.• 646);

A[ov)(!oV floµnwvlo]v AowdolJ vlo[ii •p, , ~ Mi.iexoç Ovénwç Md(!x(ov) [vlàç] Il /u)~ou ç;uÀ7,çTioMla: (BGU, IV, 1113: 11 010 . ... (BGU, IV, 1181: 14 ac ..,_genna1014a.C.}; . . a.,a.nwa. .Eaga."'t1e

c) rn lt>tferat11ra ne, norni di leslimo . d.

.

Ael!xwç KwnWvwç Ae-iJxlov vfoç K )·, o .J,lva.

m (

1

,

un S.C. de Iud

· .) '

· d a t a b'ile a Ca. 134 a.C. :

aeis

1ol C!r. J. Hatzfeld in 8CH XXXVI 1912 .1919,, p. 238 as i ptr [Tua]cUltll~[•Î,]_r.oµator_', _..,4Ij,":ie:tOi~.;._Jd.,1 //dB·.{rajlq"~!~J)aJiMtldJ.l,n8 l'oritnt helltnique, Paria,

LA. MENZIONE

DELLA. TRIBÙ

77

non s1· ·~a la Lina palmirent.1)1.

P

0 · · lment~, ln Ungua n rec" (o:: c1·o;. r:;, prmc1pa 0

J

...

etrusca, neo-punica, libica e · . . omcttono l'indicazione della tribù. omani sono assai più numerose quelle che Jnfatti l'indicazione della tribù manca regol t · . ricordati nelle costituzioni irnperiali rP.lati·ve al armend e dp~r1 gove~a_tor1 delle province d t ·1· · . . . . · conge o I vetera che c1 sono grnnle net d1plorni militari mr,ntre ap f ni _1 rupp~ aus11ane, • •i· . . ' • • pare requente per I prefett1 del! 1·I delle coorl1 aus1 iane ne1 diplomi condusse a tentativi di riaccostarsi alla norma mediant.e la ripetizione del cognome : M. Ulpio Reburro C. I. Quir. Reburro (II, 4527); C. Aemil[i]us Pa[ca]tus C. 11[1].Quir. Pacatu[s] (ILAlg.,

II, 2150);

d) con poslicipazione anche della palernilà cosliluila dai lria nomina : Q. FI. Lappiano C. FI. Lappiani

fil. Pap. (AE, 1960, 214) ;

5. Posizioni varie e rare : a) indicazione della lribù con palernilà e malernilà: Sex. Caelidius Secundus S(exli) C(aelidii) Lupi el Mataurae Cominiae fllio (ait) Aemil(ia) Sloàoo (Ill, 8203 = ILS 7177), bencbè la tribù abbia finilo per congiungersi con Slobi; A. Quintius A.f. Tro. Priscus, gnalus Gestia (I•, 2641 = ILLRP 814), dove il malronimico è sopravviventa eitrusca nell'onomastica di cittadini romani•;

b) indicazione della lribù (ra il pnnome del padre e quel/o del nonno : [S"".] Appultio

Sex.r. Gal. Sex.n. Su. pron. (XI, 1362

=

ILS 935);

{l) Un caso analogo anche in Joseph., Anl. iud. XIV, 10, 13: T{TOC •~~ Tl--rouulOÇBil.6oç •()pŒ-n,x; reaponaabile la tradiJiooe manoscrilta t (2) Clr. anche 1•, 2013 = JLLRP 904; 1•, 2767 = ILLRP 905; l', 2019 = ILS 4950 = ILLRP 790.

delh lribù {ra cuqnomr l' pafrrnifà . ' ' JLAlg, 11 '!H:111); c) IDd 1caz10ne L. /ulius Vutor Qmr. ;.(1l_u;~)LI/~\JO~~\~~~~• Hl'lDO FI. Flal'iano Tro. Fla, m1 · • . , . . . li· 1 'b'11 f Opu il p1·,•1wrw•

DapRilif;

Dardanus

et

a\1 Bao;:.-F.mpire

,\U.estés au Bas-Empire Dapbnites

2x +3062

Dardania

Dativus -a 7x Datus -a 3x Daumasîa

lx

D!!cianus

December 3x Decens D~eentius -a 7x lx

Decimiana Decinülla Decimus Decol'ata

Dedamia Deiphobus Delphis 4x

DeJicata Oemetrius

Demetrianus -a 2x 5x

Dentio

Oemophilus

Deuterus

Deusdedit 3x Deuteria 2x

Desiderius

lx

Diaconus {kaum rep.)

Dexter -a

4>


Phi !talus _., 2x lx PhiluDMmm 7x

Phintié
Pise 2x

Pius

Pistu,_.,

lx Pitbane

Plaàda Placidia

Placidiaaa Placidia

PJautus 3x Plotica Plutus

Pollio 9x +316f

PolillanU>

Pollilla Polyarpus

PolycbroniuS -a

lOX

Poh-uitt P~"tilnus

Pompeia 2x l'omJ)riallU> --a 4x

Poatanus 2x

Poolia ---ab



H. SOLIN

130 tpoque républicaine

Communs à l'époque . républicaine et au Bas-Empire

Popa Popillus

Posîlla 3~

Attestés au Oas-Empire

Poppc'irt

Porphyria Posidonius Postumus

lx

6X

Pot:.unill11 Potamion Potarno 2x Potens Polentina Potentius

Pathus

Praec- - Praeiectîcius -a 2x Praeiectus 5x Praencslina

Praec()

Praesens

Prncsidius -a 3x Praetextatus -a 5x

Praetutianus Praxagoras Prepo

Presbys

Priamus

12x+ +3012.3195

6x

Primasia Primasia Primenius -a 6x Primiana Primillus -a 3x Primitivus -a 22x Primulus -a 4x Primus -a

45x Principius 3x Prisciana Priscillianus

Priscus -a

14x Privatus -a 5x Probantius

Probatius -a IOx Probatus Probianus

Probina Probissimus

Probus -a 4x Proc(u)la 6x Proc!inus -a 2x Profuturus -a 2x Proiectus -a llx Protarchua Protemua6x Prothymua2x 2x+3217

Proserpina

Protogenes

Protnmachua

h

lx

Protus ProvinçlaJ!e

lx Protogenla

; l·ic .~

CHRONOLOGIE

Épor111t' républicaine

DES

COGNOMENS

Communs à l'époque républicaine et au Bas-Empire

131 Attestés au Bas~Empire

Psyd1:-irion lx

Psycharis

Ptolrm~eus

lx Publianus Publicia 2x Pudens Pudentiana Pudentius Pudicissima

Pukher lx+ 3080 Pullio '2 x

Pullus -a 4x Pupus 2x Pyrrha

Pyrrhus Quadra

lx

Quadratus

-a

Quadragesima

3x K""9"'-ni

Quarlinus -a 4x

Quartus -a 5x+3200

Quasio Quietus

Quinctio 2x

Quintianus -a 3x Quintilianus -a 4x

Quinlilla 'lx

Quintipor

Quinlius Quintus -a llx Quiranus Quirinus 'lx Quodvultdeus 8x Rabilinus

Rapo Raucus 3045. 3083 Recepta

Redemptus -a 14x Refl'igeriua -a 4x Regina 6x Renatus -a 6x Reparatus -a 3" Repenlinua Repooius Restilutua -a 'l'lx Reticius Revecta Rex lx Rhoda

Rhot.line

Rhodo

lx

'lx Rhodius

Romanus -a

Rogaüana Rogatus -a 4x Romanilla 3" 19x Romulianus Romuliesia Romulus -a 7x

H. SOLIN

132 gpoque republicaint"

J5x+3036, 3124, 3324

Communs à l'époque republiraine et au Bas-EmpireRomYllu.: Ro-::a~ius Rosula ·t-..:

Rufa

Ruflnus -a 2x 25x+2944, 3096, 3159, 3166. 3173, 3176 Rullus Russinus 2x

Rurus

lx R11Jî!L1 R11l1ni:111u, -a :h Rul1ni11,

--17x -lx

Ru::;tkiana Ru,.;licus

-a 1h

Rutilus -a 3x Sabellio Sabellus

6x Sabulus

Sabinus -a

Sabinianus -a I 6x Sabinica Sabinilla ·2x 30x Saburlilla

Sacer

Saecularis

2x

Sagittius '2x Salacius Salassus 3182-4

Sallustilla Salonina Salonila Salsulus -a 2x

45x+3009, 3027, 3126, 3305

Salvator Salventius Salvi anus Salvius -a

Sannio

Sanus Sa pricius -a 3x

Sarapas lx lx

Saturoio

Seaeva2x

Scato2x

lx

Salutarinus Salutius -a 9x Sancta

Saturio Saturninus-a

Satrianus Satullus lx Saturnalis Saturnianus 22x

Saturnius Saturnus Saturus -a 8x Sat}'l'ius

Saurus

CHRONOLOGIE

DES

COGNOM.ENS

Communs à répoque républicaine et au Bas-Empire



Sn1rr;-1 :ix-:--331·~

133 Attestés au Bas-Empire Scipio Scribonia

S,·ymni, Sebastianus 2x Secundas Secundianus Secundinus -a l 7x Secundio 'lx Secundius -a 2x 'l3x ~edrdu...: Seli->llt' lh

2603

cr. add

Secura Selt>ucu:s

Serapion

2x Seme)e 2x

Semnu.s ~ 2x Sempronia Senator Senalus Septimianus -a '2x Septiminus -a 8x Septimius -a 4x Serapia 2x 3x Serenhmus Serenilla 2x Seren.us -a U: Sergius

Serran us

SerrenUus Serftndus -a u

Seniliaaus2x

Servius 2x

Servulus 3x Sttvus Dei Sest.erUu,;

Selina Selis

Sevviuus7x

~-al« 5ev....,.. lx

Seve-rus -a

39x

Sexlianus Sexlilius Sexlill- - -

Sextio

Sextula 2x

Silenium 3125 Silo 3x

Sextus -a

lx Sicula SiJiciug

Silnnio Silvanus -a lOI< Silvester 6x SilvillUS-a a.X

Sllvlus

Simplkissima

H. SOLIN

J;::poquerépublicaine

Communs à l'époque républicaine et au Bas-Empire



Attestés

au Ras-Empire

Simpline\,\, orler bevorzur..rt. \\. as -ianus betr,·fît . d dp d . t _angere, mit Suffixen . . . (' " · . sm 1e am,t geb1ldet.>nunabh - · :ils() mdn_ '1dut>lk·n ,ognornma sehr :::.elten in der r bl'k . h .~ angigen, . 1· l G t·1· . . . epu , anise en Ze1t und wohl ausschltf•~s 1c 1 :-111s en 1 ww abgeleitet. Da nun bei der Ad t· · • C . l l\ . . . , op mn em zweites .ognomen auf -ianus nad1 f f'Tll ,vunie· 1p .. A emi- 1anus . , ., _ . . ::imen p bmzugefûgt , \ • ('orn"1· .,. " m.,"' ~._,ctpIO le1bhcher

1 :;ohn des L. Aemtlrns · der R epn'bl'k · 1 -,anus 1 aul!us). \'erstehl es sich ' dass ' gelegent]'1ch m · E· h 1 analog au(' i et ~ m21~namen. d.h. in 1'ormalf8llen Indivi·dual. · erseh e1nt; · · ..,l · A - · ·. , . . cognomma unser Kat_alog ,,etel .mnwnus, Auhanus, Caesianus (mcht sicher, der Stein hat Caisi.) Clodianus Decz;1n_us,A·lessl~n_us, Pap_zrwnus, ~elrinianu,..,s, alle~ ~amen von Ingenui \weg bleibe~ An/1s/iana, Lucr_eli'.mus, die Agnomma von :,klaven smd). Demgegenüber sind die mit ~wnus aus_ Genbhcia _geb1ldeten !\amen au! de_r_christlichen Seite sehr haufig, allein die Zohl der _Nanu:n betragt (~bgesehen v~n d~n Ka,sernamen) 17, wozu die Zab! der Belege betrachthch hoher hegt. Ü berlrnupt wird -ianus dann ein beliebtes Namenbildungsmittel und erschemt ,_nunser_er Liste nut grosser_Hâufigkeit ais Mitt.el bei der Bildung von neuen N amen a us Cognomm_a_ (etwa Clemenl,anus, Crescenlianus mit anderen Ahleitungen Cyprianus [luer hat fre1hch der grosse Karthager ais Namenvorbi]d gedient], DonalianU$, Felicianus 1 Elpidianus, i.l,[aiarianus, 1'tlarinianus, ..Uaximianus, Sabinianus, Severianu•, die sich alle mehr ais einmal belegen lassen). Solche Bildungen waren wohl undenkbar in repuhlikanischer Zeit. Dieser Belund, dass niimlich die Namen au! -iallWI sehr selten noch in der republikanischen wie auch in der ersten Kaiserzeit sind und sich ihr Gebrauch in dieser Periode ausschliesslich au! von Gentilicia abgeleitete Namen beschrànkt, ist wichtig auch lür die epigraphische Interpretation, indem er unter den verschiedenen Autlôsungsmoglichkeiten lür abgekürzt geschriebene Namen besser wàhlen làsst'. Die Gründe fiir die spiite Blüte dieses Suffixes sind wohl klar: in iilterer Zeit war es sozusagen den Adoptionsnamen vorbehalten und wurde erst allmâhlich ein eigenlliches Namenbildungsmittel; noch spitter konnte es durch !alsche Suffixzerlegung (in Analogie naeh Aemili-anua > A.emil• ianus) auf Cognomina übertragen werden; freilich sind schon seit Cicero Ah(eitnngen_aus Cognomina bekannt (Milonianus, Caesarianus Hirtius), aber ais Cogn?menb1ld11;ngsnuttel kommt -ianus erst spitter in Gebrauch. Wann die ersten Cognomma auf -ianœ ans Cognomina auftrelen, kann ich zur Zeit lür lateinische Namen nichl sagen•, a~r für griechische N amen kann ich wrsichern, dass sie wenigstens. in Rom ruch_t vor M1tte des l. Jh. n. Chr. au!treten ; die iiltesten mir erreichbaren Be1sp1elesmd Call1M1a11WJ CIL VI 7378 und Trophimianus CIL VI 4858, b~ide_wohl ~u• neronischer_Zeit. Di~ser Befund 1~: um so hedeutsamer, ais sonst in Rom gr1ech1sche Namen schon se1t republikaruscher ~ Suffixe erhalten konnen · da5 Fehlen von -ianus vor )htte des 1. Jh. deutet d"':'uf h~, dass es einfach nicht in 'Gebrauch war. - Zweitens kann die Behebtheit von -Ufflrl$ m • .. • tr , ·t .1 . 1 ·n Rendiconli Liqtti., 1971, S. "27rr wird von der 1 . (l Ein Beis.pi~•t hab~ n:h .-trdo.s, \ 111, Hl, 4 , S. 1;.,:,)en.•_ t"t · nicb\ a.ulassen , . , Men ~nl'\iY Herausgeberîn aufgt•lôst l'. C. Cuspi(Us) C. 1. Rustiâ(anl.lSJ. :.,,nsrbt-meu0 \\t'I 1 mus

soli. Es \ti.\ ab\'r C. Cuspi Ru.shci l\l vt"tsl~ht'n. iui:.km t'r t, cms-suc as preferences for . ·t h J bl · pecu1iari y ere. shall here different types of cognomina among men and women, cou .c cognomma-I discuss a particular group of name_s in which there was consrdernhle d1fîerence between men and women, hereditary cognomma.

I have dealt "'

1. Heredilarycognomino. As a general rule, women did not bear the hereditary cognomina of the nobility. In the late republican and early Imperia! times, the daughter of a father with a hereditary cognomen usually had only the gentilicium. Because inscriptional evidence is of little avail here, I have consulted the Onomasticon Tullianum by Orelli & Baiter, II (1838). Here is a choice of examples: Alia, daughter of M. Alius Balbus; Claudia, daughter of App. Claudius Pulcher; Cornelia,daughter of P. CorneliusScipio Africanus minor; Julia, sister of Caesar; Muciae, two daughters of Q.Mucius Scaevola; Porcia, sister of M. Porcius Cato Uticensis. Examples from the early Empire can be found in P IR; cf., e.g., Claudia, Nos. 1057/65, and Cornelia,Nos. 1474/81. Here are some other cases: Domilia No. 171, daughter of L. Domitius_ Ahenobarbus, cos. 16 B.C.; Fannia No. ll8, daughter of P. Clodius Thrasea Paetus; Julia,.sev~ral well-known cases, e.g. No. 634, Augustus' daughter, and No. 636, d~ughter of T1berms' son Drusus; Iunia No. 851, daughter of Caecilius Metellus Creticus Silanus, cos. A.D. 7. In _the Imperia! period, however, things were complicated hy the increasing use of ~~romma. There are cases of one daughter bearing the gentilicium another a cognomen I ~rdentNfromher father's. Thus Domitia, recorded above had a' sister called Domitia Lep, a, o. 180. ' Because most of the nam f · · ·t trustworthy th . . es were ound m hterary sources, the y are not qui e as :pigraphical examples. Authors, such as Cicero, did not always use the full n:~e known public figu tf~rson. In regard to men, especially if they were friends or well• referred to by the re:~tiJs.was even exceptional. However, the examples of noble wome.n leature. g cium only are so numerous that this must reflect a real onomastic

:f

li . It is naturally diffi lt t cognomina designating b eu h O te . why women were usually without the hered1tary with women's Jack of p ranc ~s of larger clans. Perhaps this should be seen in connection raenomma th · d · · ti 1·t sulllced to indicate the '. e m mdualfaing names. In the republioan prac ce, gensproper to whioh a woman belonJed.

WOMEN's

NOMENCLATURE

151

But al least in onomastics there f . Onomasticon Tullianum records ~orne are ew r~les wil h out exceptions. Thus the 15 women w1th cog . . · sorne of them ccrl.amlv of servile or otherwis~ non-Ro . . nomma. were · · · man ongm e g Arb / · • a fcmale ehent of Verres· Cylheris a mi·strc. f A t' . · · . uscu a, a mima; Cheltdon, , , . ss o n omus· D · d t b . C wnysrn, a ancer. But there are somc noble \Vomen, too the most import III l8'J9 Nos 130/07) tlie 1· t f an emg aec,/weMelellae,eightinall(REAW , ··, ·· , ·· ear 1es rom the Iate second ' . course a hcreditary cognomen in the gens Caeci.1ta. century B.C. Metellus was of , More examples are provided by PIR Th· · 1 · cognomen gaining rapidly ground in wome~'s no is is Y wh;t 1s to be expected, the 1 the old sharp division between heredit.arv and .mdencdaulre. imultaneously, however, .. . ·, . m 1v1 ua eognomma was growing dim. H 1.rc are cl, 1ew. cases, Aemtlta Leptda 490 "'lster o f M' A em,·1·tus L ep,dus · cos A D 11 · A,·,·11nlw Camilla 115i, probably daughter of L A 1· C ·11 S '. ·. · · ' 3·> Cl d. ''1 . . rrun tus am, us cribomanus cos D A . . -; au ,a rn arcella mawr el minor 1102/3 dau~hters of c Cl d' M ' · • r o B C • C . 1· G 1 1· ~ · au tus arcellus . . ' ' cos. ,J .. , or ne w ae u 1ca GaelullCl filia 1488 father cos AD 26 5° ( 11 ' person ?). ' ' · · · or D or sti another 1 ••

1

°~

.

,



..

-

,

0



The inheritance of cognomina among the Imperia! nobility may be worth a special study. Adopt10ns, and the r1se of new families !rom the provinces complicate the nomenclature, wh1ch no longer shows the simplicity of the old republican times. 2. The inversion,

In the index of CIL, VI, I have lound more than 20 cases of women's names in which the order of the gentilicium and the cognomen is inverted, the cognomen coming first. Though this seems to be a mere I hav~ not consulted the other volumes of CIL. ~raph1c phenomenon, with no implications for the actual use of names, it is of some mterest from the epigraphical point of view. The ~r,:at majority of the women seem to have been ex-slaves. Though only four ~vere exphc~tly stated to be freedwomen (5776, 21644, 35059, 38063), the others being ,ncerlae, 1t 1s probable that most of the latter belonged to the same category. First, only two of the women had Latin cognomina, Albana Cremulia, 35059, significantly e~ough, an ex-slave, and Clara Nunnia 6651, recorded on a label/a co/umbarii together with a !reedman, probably ber husband. Again, the great majority of the epitaphs were tablets of columbaria, which may suggest a slaves' and ex-slaves' hurial place. Thus Calliope Aemilia, 34281, from the sepulcrum liberlorum M. Aemi/i Lepidi, is almost certainly an emancipated slave. Finally, in many cases, the person or persons recorded on the same epitaph were ex-slaves, which may imply that even the woman with the invertcd cognomen was one. We could even argue that the inversion was sometimes deliherately used to show servile origin, e.g. 35074, a tahlet of columbarium: Curlia P.l. Monime/Hermocrales Liviaes/Helena Curlia. There can be little douht that ail three were emancipated slaves. In many cases, the inversion seems quite arbitrary, e.g. 35122 D.M./Cn. Domitius Helius/se vivo fecil sibi, Domi/liae Helpidi el..., but 35123 Dis Manibus/Cn. Domitius( Helius Domiliae/Felicilali filiae/ ... el Helpidi Domiliae/con(iugi) suae... We have, however, at least one case which suggests that this type of nomenclature may have been held characteristic of columbaria, 35059a, a label/a marmorea conserved in Paris but of Roman origin, Cremulia Albana/Helias el Anlusa//iberlae de sua_,read by H~lsen from a (imago). The original publishers read Cremus1a, a non-ht'l.\tlt•s.

:-:.r-.t,·nw~isit'l't'll dt•r liistoris1·IH'n l~nl.wicklun C.1~ · li ' , go w,, · ,m. Jodoufo..1111 . I FintPi·i 1111 ., 1 . .· t l~l g1 me 1use. rnn 1 1\rs.01wru1· , · •11 1 \\1'il•.•1'1'c: anl r,i1111schc \'t•rhiillnissi' iib,•rlr·i•l'•1 . . , .. I .t . .' ·· · dlllLll fill,l,O ine , . • , . ' ' ' r-- Jl 1 :--o \·t'I' 1lit' ,t', SIC 1\ ais l) 'i. • • dw 11h\1d11•l iH•\11'ihn\"' ,\n Nanwn in Volln· . · Il nungsprmz1p . . . ,.... , . ,lnlt'n, 1,ur:tnanwn uTHi sog nng~ •l 1 î'\:11111•11, die s\'11011 ftir_-.;l1rH'1·.hisl'ht• in m·1111·lw1· 111·11·1· ·11 1·1 1· 1 . 1 ·1··. est, l ossene •• • tg 1c 1 1s.. )rn O'riochis ·h ·· t", • c en 1} ,•r:--1H1t•111i;t111c·11 l,1111111•11 11l111t' ~dtwiPrii•h•i·1,, ~ ..!'.'i 1. 1,. 11n.-r . .. . r',' · 11 1 H'M 11nc 1wn w1~n11•11 und ps 15 · t 1· l t .,.,. .. l. .. l ,,T:-.1·li11•.1!i-11!' l•.111lc•d1111g,•11 ,or,. 11111,111111,11 un,I . ~ CICl, . •1111, 111 .t 11 w1spte ca,I Mae;,.t.UdvaI •Anâµwaa f hWv 1-e' · EVyivqç f EVi-oiç xvelov (6) D(i1) M(anibu,J / FI · T. Aug, lib. I I XIII, VI, XXV f libma6uique ,.u;, ia lanuar,a parentu I filiae suae bemerenti pien/tissimae fecerunt item libertis / JKilaov xœeLJo"bB:;;[ _ ~ Flaviua

C . Clgmenua a;~e b~raequ(a~.,,el lanuar,a pa&l(eri,que) .,, ae

. . VJXJlannis

m(ensibus)

d(iebus)

Ill.

el

0

(7) Poreia Su:unda quae d Zo,ime I l!!Cit . 1. . marito incomparabili d c luli Ch . f "~ et I C. Julio Romano decuriali decuriae lictori/ae co(n)s(ularls) du/ci11îmi,,r P. Cornelio Natal~ rhea,~o_d I lultabua Romanae item Romanae item Romanae poslu/mae natae fllis 1ano om,m bono / d c v·ir· . . . . i! f T'· lul(10) Bp,ra,lo Aguilaidia fll(io) .. · 1 ieno 8 ilvano el hbertîs libertabus suis poderisque eorum I

I H(uic) m(omumenlo) t(a6erna) c(l!!dit) c(um) a(l!!dift. J . d( eq(uib) Romano dtc{uriaU) aediJi[c(io) cur(uli)) (8) E' d c,o eu, olus) m(alus) abl!!alo ture, ,ocialta, • . ~ notare perô che, seeondos Demou · ( . • 1n.Aiden VI Irater K • . gm La htulalur.,, des chevaliers ifaliens el HB rapports avec les ,drue-

~;:ech.

: ~rebb':'1° nell'Italia penirun1.1a:~ es:':!\ Lat.. Epigr., München, l973, p. 446) deJ titolo egues Romanus non en ilerb.ionecompaiono toglle d'edera !on ati an~eriormente alla fine del I sec. d. C.; è anche da tener presente che pifl diffuse a P&:rliredalla flne dello sU:uo seoi°oscmte 8 Roma già nella prima metè. del I sec. d. C., ma sicuramente seco o. Non sono purtoppo riuscito a ritrovare il documenta.

L'ONOMASTJCA

ROMANA

: SAGGI

201

,\Jlri lesli delrdà di mezzo tra l'inizio dell'I J r, d tn.1 1,.,niolt · · · · h mpero e a me el l sec. si nascondono Prol'r1bilmPnte < _, " e Iscnz10nI c e permangono d t t ( d · le aitre, a CIL,\'], 1845' per lo slile). per un'idea p·· no~ ba.a e P':nso a esemprn, tra . . J . . , m precisa 1sognera r1cercarle e vederle 1, 1THag1_nc a~drebLe po1 allargata con lo stesso metodo al resto dell'Italia ed a tutt. 1.n p;1rt1•. t1 · , sch on vor er A,f l .d de· Eunus Bcteiliaten soli nichl wrniger ais 700Utl !s.>g;ir ·)0000() hl der an dem u s an , . ~ . . ,. 1 . . . z~ ,.. t betra en haben. Natürlich warcn d1csc nie.hl. a_Ih~:-iy_n~r,n111.· 1 11_11·.l,.L Onenl.alPn, WJrdernahn ) b g d ials iistlichc Sklavcn in Mengen 1m Dwnst der stzd,sehen Gl'O/.laber iedenfa 11s ga es an . , · · 1 1 . d' d 1s noch haupts&chlich Gnechen \varen . SonsL \V1~s1. 11w1r se 1r wcnig IC ama nt d'At-i~ ~ineure: 1wndant lrs ~twrrr~ du n~ :--ît'ch· av. J.-nt'? n-~n po.::sono, Qs..a;.enaziorue. pm · E' • f tt,· suffic,·PntP3fouliare 11n aual_:;1;-:1_:;;1 f':')Jtrtorio - li d · -· d I tutto nuow. .m a ·· · · .· . c . • . corne al ~o _to. irsi e . d. \. dP \ït. di G. Perm. Il ThesauruB Lu1.9ua1? Lahnae. 111 1 · a,t1ca romana • ni:'I· qu.-1 - 1I· i;:· 3tat8 · . b- tteque.· facilment':.' in non poch1- ca3.1. rile\·c1ta la di onom : ad esemp10 - _per im a rs,di- ~~ona -::.iain opere Ietterarie · ,sia · 1n · t es t·1 ep1gra · f'1c1. · E' . resenza dello ,tesso nome P ·•" • . . . ·1 f ·

di h l delle volte. sifîatte notaz10rn sono p1uttosto i rutto - e. di fatto. P . rece,1pu · t appos1z10n1 ·· ·di--L-d peroda ' t tt· · 1 rat'·ri· _ di pure e :;;pmp1·· 1c1 !!!US ~utl:.' e. lett . erane,· ne present.ano u 1 1 ca "' · non cil risultato di· ncerc · · · 11e s1stemal1che. • fi h tatesi ai compilatori. · che 1·t t· . ! h · · ep1gra 1c e, presen .. . . . . ed Né, infatti, nelle voci in cui cto si nr1fica. e a,anzata. so ,__ amen e, una qua c _e ipotesi · te tati' s -· opera di reuola O quasi la mera reg1,traz10ne della c01nc1denza. m rpre va, ma "\i :-,J • • e . ~ , , ~ .~ . ~ella sua, ormai antiqua ta, d15sertaz10ne sull onoma:,tlca s~n~le roma~a1 J - Baumgart (Die r&mischen Sklavennamen, diss._, B_reslau: 1936). non. d1stms'.' spec1ficamente una categoria di nomi , letterari ,, alcuru dei quah tuttavrn egli_ collo~o, _rettamente, data la Joro origine Jegata al mito, tra i mylhologische Xamen '.op. cil., p . .:,3-06: Yed., parbcolarmente, alcuni nomi virgiliani, ibidem, p. 56). . . . L Kajanto, nel suo più recente studio su! ?ognome_Iatmo (The La~n Cognomina (Comm. hum. lill. soc. se. Fenn., XXXVI, 2), Helsmki, 196.:,; ved. p. 178-119), raggruppa alcuni nomi, appartenenti all'antica tradizione leggendaria romana, confluita ne_ll'Eneide, tra i Legendary names, che egli considera una sottoclasse dei Cognom,na obla,ned from praenomina: (2) - Rare and obsolelepraenomina). Una considerazione davvero ampia e meditata del problema dei nomi • letterari • a Roma si incontra, per la prima volta, in un recente e pregevole Javoro di L. Vidman, avente per soggetto i nomi degli eroi virgiliani dell'Eneide (Les héros virgiliens el les inscriptiom latines, in Ancien/ Society, II, 1971, p. 162--173),sui quale si avrà occasione di ritomarepiù oltre. A chi scrive è toccato, quasi ne! medesimo tempo, ma, ad onor del vero, indipendetemente dallo studio del Vidman, di occuparsi, in un volumetto uscito da poco, dell' onomastica i:ersonale _delSolgric_ondi ~etronio e_din particolare, appunto, dei rapporti di questa con 1onomasti~ reale, m i:eiazione al ntrovamento del nome Ascyllus in una piccola stele sepol~e di Roma (e~•~ da A. Fe1:11a, in Epigraphica, XXVIII, 1966, p. 24-25, n• 10), veros~ente datahile, ~ base agli elementi figurativi, alla metà circa del II sec. d. C. (S. Priuli, A~cy~. _Noted_'oMmaslica pelroniana [Coll. Latomus, 140), Bruxelles, 1975). T~,o po, di meilZlonare numerosi altri studi, antichi e recenti che esaminano l'uso del 0 ?~e di persona presso i principali autori Iatini (un eleneo dei ~iù imporl.anti di tali lavo~ 51 ~va, ~d esempio, in H. Thylander, Élude sur l'épigraphie latine, Acta Insl. Rom, 8 ~~~• V, Lund, 19?2,_p.55, note 4; quasi tutti quelli relativi all'onomastica parti Jarm te-,,r~n sono_8 t:',~• n~~ati ne! mio volumetto, testé menzionato ; ved., rispe: allaen /· JOJ,poiche ~ ~•• m moiti casi,J'ottica della ricerca appare rovesciata, nos ra, n sensoche VI SI persegue l'individuazione delle fonti reali di ispirazione

=na1":'::i

LETTER_\P.I

'\'rg11

2Zl onorne1~tio:,~d•~?li autori. OY\·ero pl':rchP in alt - . __ .. ~tori(·i::,-:n1tigu~-1ri,:,. rtl,üi\·e all'1:\·oluzio~ .. d fn ca::)l, ~-1 51 compiono indagini. di caratt.e - e1 ormulario onomastico romano. re ·].

lL

>•J~lE

Dl

PERSO:-.A

~ELLA.

FI:.".ZIO'-~E L · -~ ETTER...\.RU ..

- Lna _prin:;~ ,:·onsid1::razio~e è necessario rivol2:ere al . li~. ~roblerna della g:enes1 del nome di person;1 nr_,ll (Jp•:rd lt::lltrar1a. 0 almF-no a . .. . . que(! aspett1 particol . ,, tal qu8 l1 JJü~:--,.::nrJ mtert::.3sare per 11 tîr,o di i'nd • - h _an w e problema î

r agme C e Cl Sla tifî>:-rm;::ire.1_Ttd1::,. che nessun autore antif'o O d . a ~u~re. ::,1 puo mnaD.ZJ.tutto mo emo. d1mostn di a ttrih , . p8rsonâf!Cl - e. parl1c-olarmr-ntP a quelli di u tO T vere a mto ai suo1 r



è abbas/a~nza naturale

-



ed int~iti~: 0 _

.--.,







'

J

n cer

ruevo - nomi a caso. Ciô, del resto,

~ on è chiaro fîno a chP· punto ~:.i po:.-ano -~ corut'd erare ver-e e propri

· . reg-ola, ad esempio. quei casi. tratti dalla Ene-d . . • eecez10rn a ta 1e 1uce da L Vidman_ (art. cil,, . -173, nota 34, : Thaemo i {en 10 ICJ"-_· nom' ;d· _messi m P . ' • -• -v '· 1 un Q'Uemero li · o -- , 458'. nome d1 un alleato italico di Turno. oppur·. ~ li cio, e siru ,.4.en., 12, , c ancora quei, aItn ca·· - di ·d ahili- 1 Saiyricon, apparentemente almeno inf'-plir.abili . e I. quali_::ii,pero in VI u ne si potrebbe " _, , , a d e te rmmare l mtervento di qualche menda della t d' forse ' - • c.\fammaea i~ IC) _1 • ra ruone manoscntta; -- sospettare • ::ia-1yncon. al duovirato ne Ua co1oma · m · CUI- s1 - svolge la Cena al h. -h>, - .. ,.- nome , ül un . cand1dato __ T rtm wn1s, rw son · nco · rd a to w ,, sfu ggita - nel - dc 11 C .SctssaH 1 5 aly_rio)n. .tiü . 10·-. nome di un r,..r aggio ~or,o e a ena, e es_llS,Salyricon, 104, 6). nome di un passeggero della nave di Liduu. ~1. tratta • comunque · d 1 tco,tantemente,. . corne s1. puo vedere , sia nell'una ch en. •li-a lt ra opera, d 1 per=,onaggi e tu to secondan 1 mtrodotti fugacemente nella Jla.rrazione. Le fonti antiche riguardo al _problema _in esame sono piuttosto ""'1rSe; sappiamo comunque che tra le norme dell arte poetica. relative alla composizi-one dell d t· h . . - . e opere ramma 1? e, era enunc1at~ la necesstta che Il nome fo.sse congruente con il carattere del personagg10 r~pprese;1tato \ved_, ad_ esempio, Aristotele, II,gi ,iot1 1rv,i};, 9; Aristolane di Bisanz10, Ileg, "(!Oscmbrare assai clcvato (circa il 15 01 rispe"n al tnit. P".1ma vista Il numero di . io cco a o a 1e dei nom I nccessario cons1derare che non tutti hanno la sless • rt non Ia t·m1') , ma è . a· . . a impo anza e la stessa d' formazwne : buona parte I ess1 è mfatti derivata da cog . .. . . moda 1·t· I a 1 , nom1 gia conoscmti Un gruppo nurneroso e quello formata con i sufftssi -ianus/iana (nr )· .. , con la quale poLevano cssere creab, specie in occasione della l . . · 32 , perla fac1hta . fi 1· d ' h. . rasm1ss10ne d'1 padre m 1g 10, corne a es., ,-ire ileclwnus da Archileclus (XIV 5) Chdel cognome . Chryseros (XIV, 367), lsochrysianus da Isochrysus (XIV 339) T 'd.. ' ryserohanus d~ . l . ·1 f . ·1 . . • • re ici sono quelh lormati con altn su fisst, corne I emmm1 e Moscharus 2 • dodic, sono form le • •i· d' .. . . . f h' . d' . . . .' e mmm1 I I masch1h già conoscmt1, due. o_rrne masc 1h 1 femm1mh g1à noti (Elpizon, Thylander B 3 15 . E Jscr. Aldobrandini 28). ' , ucus, Dei 121 rimanenti moiti si rileriscono. a personaggi del mito O della storia antica ( Agreus, Anaxilaus, Cleonymus), per alcum di essi esislono attestazioni lettera ·e lt · sono il prodotto della già _notata capacità della lingua greca di creare _ favorita sop~~tt~t;; dal metodo della compos1z10ne - norm nuov1. T_ra gli altri unici cito Arsis (Nol. Sc., 1953, p. 302, n. 69), Gaia (inv. 6674), Chrysopes (M. Cebe1Uac, MEFRA, 1971, p. 114-5, n. 3; cf. H. Solin, Arc/os, VIII, 1974, p. 159 sg.), Genema (mv. 19950; Nol. Sc., 1938, p. 72), Mandras/us (inv. 8983); quest'ultimo attestato da un'iscrizione reimpiegata nella Sinagoga, è certamente un composta e fa p;nsare per il suo primo elemenlo ad un'origine non latina (cfr. ad es. Mandragoras, Mandrobulos), mentre inspiegabile rimane il secondo. Sono stati naturalmente eliminati i nomi dovuti a cattiva lettura, coroe ad es. Propal[- -] (XIV, 1831), che, ad un esame più attenta, è risultato Probal[a], oppure Eupra[zius] che va corretto in Eu(ra[s] (XIV, 5142). A riprova di cio moiti dei cognomi che si oppongono a qualsiasi tentativo di spiegazione o di integrazione sono attestati solo da epigrafi, per lo più edite ne! volume curato da! Dessau, andate perdute (è il caso di XIV, 150), che spesso l'editore poté conoscere solo attraverso manoscritti; cito Acrai[- -]nliane (XIV, 497), che in una Jettera di C. L. Visconti è letto invece Emerenliane. I cognomi di diversa origine costituiscono, corne prevedibile, una minoranza assai esigua e si distribuiscono seconda le seguenti aree geografiche : nomi

persone

Semiticî. ............

.

28

52

Asia Minore.........

.

Egizi. ...............

.

8 9

12 22

4

6 5 4 7 9

Africani ............. . Traci... . .......... . Illirici. ......... .. Celtici.. . ....... •••• Incertî. ........ -. ••••

3 4 6 7

d' b · ·ma per un totale di 69 nomi e di 117 perso_ne ; 1~ me ia assissi 1 ragione di carattere statistico (ridotte d1mens1on del campione), • h h .co ' tauto penetrazione ne! mondo romano del nome ar an ,

di 1 69 oltre che ad una . d ' ta alla scarsissima eh ovud . di un c e a eccez1oue '

(l} l. Kajanto, The Latin Cognomina, Ht>lsinkî, 1965, s.v. mune neui-ro Moaxa.pl,O'f, che ha aegulto (2) ln inv. 11298 : Considiae Moseharuti i probabi.l~ente dal no~e ;; ldus Elpidutis (XIV 1793}. 111 poi una poco comune declinazione in -us, -ulis, corne avv1ent', ad es., P ' 16

A. LJCORDARI

242 .

~· · dl persone libere, altn . esemp1• :;1curi

Jll;

di trasmission('

rlPI

nome .

peregrino_. non a bb iamo . ._ d gnome Gama/a, at.testato c trnsnw:--:-:o prr p1ù . è è cost1tmto a I co ·· j· ·1 f · stesso. Vn caso a_ s Il' b·t della gens Lucilia; numrrosr Hh 121 o anno rrt.t1nere

. . 1 siYamente ne am ' o . ·t 1· , generaziom esc u t anche la sua provenicnza 1 a 1ca . . . . , ·t· , ma è stata suppos a . . . . l 1 1 . . d1 or1gme ~emi ica • . . , tt , 1 1- -oprattutto in 1scr1z10m t r sec. f> :,,;l.~0mpa1ono 1 1· . sono d e:; a .1 :; I nomt. 'barbaric1' "" . II 1 Hl tanto che in qucst'ultimo scco o nmco caso at tr::-1'.:ilo 1 e ~ ~ • bbaiius (XIV. 4559) del 2-t2; mcntre i nomi S(_•miliei quasi completamen~e tra 1 5 e datato è quello di C. Tan n° ";"• aderirnti Jllambuga) sp"riscono di/initiYam,•nt,._ altri .ù d"ff . (quali Achiba ',11a1c,uo e . .' d . 1 . 1 p1 usi . '. ~· · Ppoca cristiana ed intanto pren ono p1ec e-, segno del corne Sabbaiis, saranno ripre:;! m -· _ . b. t d .i tempi i nom1 gernrnrnc1. _, . . . . . __ _ cam iam~n e ' . presenta lo studio dei gentihz1 ostiens1 1 che sono Clr'ca ti;JO. La Amp10 e comp 1esso s1 . . 1d . L F. " 1 1· . · èche ad Osba, se s1 esc- u ono I · uc1 11 vamn u, g 1 ·• cons1"deraz10ne c he si .. puô fare < • Prima • .. h 1851 · · 1· lt · on si riescono a segmre Je tracce ch una 1am1g 11t1 pcr pw generaE_grz_lu ehpo_c ~ a rr, no studio sulle famio-lie ostiensi non pu6 prescin_dere d,-11I_:i parallela t, , ziom e c e, m ogm caso, un 1a presenza, per analisi della corrispondente gens a Roma, come non ~uo essere tr>fulgaurthll des noms liby point qui m . . • d. ·· en trou • · . . ques En outre, sur un. . ·t Jus clair. Comme JC 1 ai qa prec,se par ailleurs lest è . ct· • -N on , 01 p . t • . • , r s . , désinence m ,gene ' N tété adaptes en 1,1 .m, .ou(Tœpaoct;I:xe>..l'jvot; et IltCJ'TO~I:xt>.ou, I G Bulg., lII, 2, 16 · différence. . à des documents individuels, ou M. MASSON pense qu'on avait recours p~ur les hste~ de .nomsà M.actar des gens qui préféraient que les gens déclinaient eux-mêmes leur identité. li ~eva,t exiSler. Il s'agit à ses yeux de personnes 81 .appeler, dans la tradition familiale, Zruma/-ae (ou~,) et Zrum~n ~~~ant les cas. différentes, non de la même personne s'appelant différemmen s

°-~•

°:,

AFRIQUE {'iOMS INDIGÈNES

: DISCUSSION

EN

312

bl pour la Thrace : les paysans ne conna1ss.11ent ccrtainse que ce n'est pas P055 \ el parlaient et qu 11s ~avaient detlmn leurs noms 1 M. MCKAIL M. Masson rétorque. qu n~r ~'eux : la mmute donn~c aux L\pwictes ps latms parer, que Je noms ara es ou aur J'étern1 1 e • noms identiques ont re~u, P oncés de manière différente . .,.es l . i des termes pron greffier avalt ma sais d M Forni. Les noms b1bl1ques peuvent être coni;;ervés M MARROUrevient sur la rema_rque

e

·qu'on

dispose de l'article

l'~r;,;::t

r

pollr indiq!.ler

le cas. En

Jus f~ileraent en grec sans le: d~c~~::, pour décliner l~s noms liby.q~cs ou .runiques. tin la déc1inaisonest nécessaire: M Masson ne lui parmt pas un gé111i.1farcha1que. On trouve a 'Le génltil en •ai signalé ~n ~frique par., (·cf Jes jnscriptions publiées par P .-A. Février) : il faul d termIDalsons en -m · . . t honétique propre à celte regt0n. aussi dans ce pays es penser t\ un développemen P • sémîti ues cités par M. Masson quelques exempks de. D~de .. Pour 8 M. Rcrssu ,aioute aux nomh . 1 numeri Palmyrenarum en 150 et deux exemples médits de Nassaius, il signale un ~:ses Iere ei, ~ ePour Baricius, on a un nominatif dans cc diplôme de 120 cité AtlitJs Niaa _(donc~e-rnoitJf?-u~~ai5i)~nnominatif plutôt qu'un datif - 1Wale f., Palrnyr., et on a aussi Dans un diplôme de 126 Perheu Atltenatan f., Palm.yr. est indécliné par M. Form: Barici (o ?) u~~ deu,c exemples de Aeffus Bericw. ;dis aru est dit o,ussi Perhev f, - Dans le diplôme de 120 : Hamasae~ 1 un a~tre personnage dont P!tmyr. ~ Plus tard (IIIe s.) on a des noms sémitiques déclinés; (décimé) Alapat~adf. (non n cml~n~iifThemes ou Themetes. La romanisation permet d'intégrer le nom P. Aelio Themell, one au o , personnel à Ja flexion latine,.

1

:;~!Ilé

Ms evienl sur les noms bibliques non déclinés. Il ne voit pas de différence entre le grec et le laÙn ~~: ;es ré.actions concernant ces noms. _Lesnoms de l'Ancien Testament ne sont pas, définis tant en grec qu'en latin. on di~ t~ujours Jacob. M~1s~uand on passe_au No,uveau Tcst~ment, à I époque contemporaine, on cherche à s aligner sur les déclma1sons nor~a!es. Juda::., Jacobus -t., Andrea -ae, etc. , . M. Solin souligne que Je mot Jesus est décliné, Iesu est l~ gémllf grec. En dernier lieu, les noms t africains• survivent aussi : on trouve les mêmes phenoménes en Itahe qu•en Afrique. Beaucoup restent indéclinés (Siddin, Muthu), Par contre Jugurtha, Hannibal sont déclinéscomme en Afrique. M. Solin a trouvé deux esclaves du nom de Jugurtha. Il s'agit à ses yeux d'Africains. L'un est au génitif Jugurthae. A ce propos, JI faut rappeler que ces noms n'indiquent pas forcément une origine ethnique africaine. Suétone dans la biographie de Domitien raconte qu'un sénateur a donné à ses esclaves les noms d'Hannibal et de Mago après avoir lu Tite-Live. Ce sont des noms «culturels» et non africains. M. GALAND • suggère une explication pour le comportement des noms en -an. Le suffixe -n peut être abandonné au profit d'une autre formation sans que cet abandon crée une gêne considérable : c'est ~i qu'on trouve en berbère ameqqranet amegqar• grand) âgé-.. Si au contraire n appartient au_radical ~u nom (cas de am~slan), il devient plus difficile de le perdre. La distinction entre les noms qu1ont tOUJOursreçu une décJ!naison et ceux qui n'en ont jamais pourrait donc, en prjncipe, renseigner

su~le ear!ctère ~uffixalou radical de -n. Toutefois les cas mixtes ( Zruma, Zruman) sont là pour rappeler qu on dozt aussi compter avec l'intluenc:e de l'analogie. ; C ,Mi DBSAl'fGBS croit auasi que le génitif en -ai n'est pas de type archa!que en Afrique tardive. pfu~:su!"~r p~tlnomd ène p~onélique, de type vulgaire, car cette terminaison reste rare. Il y a là P nom ne • • réa1stance• : est-ce un lait de substrat , berbère , Y

no:·t,,t;i.,::;;J:{:~~

et ~u~rÎua~d ';'.' invo_q~eCorî~pu~, il faut préciser qu'il s'agit de la Johan~ide en a ailleurs (non dit M Pn.':imn. ~ d': §itlnitil en -a, lu, paraît plutôt un archalsme, surtout s 11Y une dissertation de Tobin 'ou, 1 ·Masson: cf. F. Sommer, Randbuch•, p. 71, avec renvoi à CaiBar: cela a pu inspirer.f.a~~~ A. H~hl). Il 1'11ppelleque Claude avait imposé sur !es inscriptions li •'est posé des uestions es arc aiemes.. . pasJephté(M. Masson~envoieà ;ur -~~ dllll!ltat,on entre punique et libyque : Ieplha ne rappelle-t-il enAtriqu.edu Nord), Barie I Barc":'~•••~ ·XXV: ce n'est pas possible; le radical se retrouve partout M. Galand avoue qu/on ,envole au 'ubappir / Saphar1 ~- Masson dit qu'il a prévu une catégorie mixt~est plllllqueet non Ubyque. yque tout ce qu on ne comprend pas. Mais de toute façon Barie

M,.p-'Mlllau,,v~e11dolo·stori h la dl1tersita dei procedimentl 8 delO

8U1!1r(ca~ fannQ perJatblil!,u.ra l loro nomied oaservando ~:if.:1° tl• C01lllegu1ti, strova•d1VGl!telltelatltuire un .contronto CQll

:-,JO:\IS l)IOIGÈNES

EN

AFRIQUE

: DISCUSSION

313

d aJogamente negli sforzi di latinizzazione del nome da parte di umanl.stl. ed anche qua~to_ su_c_ccre:e~~i, 564 • -

Hans-Georg

L'ONOMASTIQUE

~.\~l~I.'(:

PFLAUM

SPÉCIFICITÉ DE L'ONOMASTIQUE ROMAINE EN AFRIQUEDU NORD

RÉSUMÉS.

La. domination romaine progre~se d'Est en Ouest. _Avant l'arrivée des Romains, on parlait punique et h~yque, et les autochtones n ont_ p~s aban~onne du jour au lendemain leurs langues. n n_y a pas de no~enclat~re. «.atr1came» ~ l êpol{ue romaine. Il faut tenir compte des critères géographiques, chronolog1ques, Jur1d.1q:1eset sociaux. La structure d'origine indigène (punico-libyque) est composée du n.o~ de personne s:11v1du ~om ~u père, et parfois de celui du grand-père: elle domine à l'époque répubhcame dans les vtlles de 1 ancien territoire de Carthao-e. Est vrai~e1:t propre à l' Afr~~ue la. fusion des deux sy~tèmes de no;enclature indigène et romaine, qui se pr~dmt ~ une, part par. 1 u:iserlton de nom~ roma~ns dans la formule libyco-punique, d'autre part par l mtrus10n d éléments 1nd1gènes dans les trrn nomma romains. Certaines villes sont des terrains de choix pour l'étude de la latinisation progressive : Lepcis Magna, Thugga, Mactar. On étudie par ailleurs le phénomène plus tardif d'influence indigène sur l'onomastique romaine, à propos du nom de tribu, du gentilice et surtout du cognomen. The Roman domination proceeded from East to West. Before the Romans came, Punie and Libyan were spoken and the natives did not give up their idioms all at once. There was no "African" nomenclature in Roman times. One must consider the geographic,

chronological, j uridical and social racts.

The structure ol indigenous origin (Punico-Libyan) was

composed with the persona! name, followed by the father's name, and sometimes the grandfather's:

it prevailed during the republican period in the eities of the ancient territory of Carthage. Characteristic of Africa is the melting of the two nomenclature systems, the native and the Latin. This happened on one side by inserting Latin names in the Punico-Libyan formula, and on the other side by intruding native elements in the Latin tria nomina. Die Herrschalt der Rômer in Nordalrika schreitet von Ost nach West fort. Vor der Ankunft der Romer hat man punisch und libysch gesprocben und die Eingeborenen haben ihre Sprachennîcht von heute au! morgen aulgegeben. . _ . Man kann nicht von einer Eigent0mlichkeit der Namengebung in Nordafrika •~ Romerz~t sprechen. Man muss juridische, geographische, chronologische und soziale Besonderheiten berne d sichtigen, wenn man zu einer Gesamtobersieht gelangen will. . . Die einheimisehe punisch-libysche Art gibt den Namen der Persônhcbke1t, den_Yatlll18 stch eventuel! den Grossvatersnamen. Sie herrscht in republikanischer Zeit vor und flndet vor em in den Stâdten des einstmals von Karthago beherrschten Gebi•~· . . . . cher und . . Was wirklich eine afrikanische Besonderheit ist, das. ist die_V~rmischung em:•:: punlsthrom1scher Namengebung die sich einmal durch das Eindrmgen rotmscher Namen N Jemente libysche System offenba;t, andererseits dadurch kenntlicb wird, dass einheimiscbe amense Thu a oder Maktar •nnerhalb der tria nomina erscheinen. . . So kann _manseit Zeit des Augustus in gewissen Stadten :W'" ~epcis ~~g~9 ' de~ einheimisthen dNenFortschr1tt der Latinisierung verfolgen. Es wurde weiter?m df' 'tt u(s}ribus Gentilnamen amengebung auf die Verânderungen der rômisehen Onomastik un ersuc ' und Beinamen).

f

H.~G.

,ll6

En

PFLAlJ'.\l

du Nor(! , "tton rom_1'11rle1k,1_1. n:iuss man 1

Um den Grad de~ Romani __,erm~~ l{ateO'orien der Inschriftcn rn_~·llt._dH' S('lhi~. "\\ 1rltt1g_k~•it :ils ber-Ocksichtirren, dass die versrhicctenc d, f ~den Namen nicht nls Aqu1valcnt. !11r HellgTiff u,:;UindischeElernente em B.Ovç, d'où lat. Bilhüs comme lupus. (Pour la tradition littéraire, un bel exemple est fourni par le nom Kowç qui garde chez les auteurs toujours la déclinaison Cotys, Cotyi -ui, Cotyn, voc. Coly; à ma connaissance, le nom n'a pas encore apparu dans les inscriptions latines.) Mais d'autres noms devaient s'adapter aux types grecs. L'exemple le plus éloquent est un nom comme Lf,(aç qui offre une grande variété de formes : nom. Lf,(aç Lie,-, une lois Lf,Cav,gén. Lf,Coo Ll,(a~oç, Ll,Cavoç,Ll,C-11voç (donc d'un nom. *Lf,(71çou *Lf,(71"), Les langues étrangères présentaient de nouveaux modèles morphologiques a':' thrace. Dans la koiné, le type -a,gén. -ii, 'Anolliiç -ii, était extrêmement répandu. S?u.5l'1~l1uen':." grecque, le thrace a créé des formes semblables. Par exemple de B(sj,Ovç a eté cree Be.Oa,; gén. Btt0ü ace. Be,Oav (IG, X, 1, 219, Thessalonique), tout à fait comme a été créé}!•'°~· Probablement un certain nombre de noms thraces en -aç gén. -a appartient à cette catégone, mais le problème n'a pas à être étudié ici. A l'époque ro:maine, à c!use des noms Moxa,;, Mov-, Muco, etc., chez les Thraces se sont répandus Mucius et Muc,anus - et les formes Mo,.,a,oç, Mw- montrent que notamment Moxa,; a été transformé en Mo> d·t· l"bre ou servile. Une part1 ·t . pas a em r . 1 . . . . , . Cela ne . pouvai pasb ne noms e·t ran gers c .monde. hellen1st1que d - .• grecs·, à la rnode dans . . ·, . , rins de l'Asie Mineure, romains qm rxpnmawnt le désir s intUtraient e no~ reuxl et orientaux apportes par es Pereg t de manifester leur fidélité eL leur ,_lévoucment au 1 1 . . , Th ce· non seu1emen , . . . de certams ra :;. ~ll manière de vie, mais aussi de su1vrP ,1 moi e que suivaient , . d s'adapter a la nouve e . C' . ,. t . reg1me, e proce~sus s 1n, ens1flait , , e. Les soldats t hraces prenaient des noms rornmns. . , . les peregrin~. . d ·t' omain Donc Ja propagatwn des noms etrangcrs eLa1t due avec l'octroi du droit e cti rnature. difTérente, et dans le large cadre social, les raisons à de nombreux facteurs e e .. Iles jouaient Je rôle décisif, . . , . personne . d , • d1inscriptions émanant de plusieurs gcner:1t10ns de familles 1•· - . t· d R'"d . On ne possede pas es sene 8 , , . ''t bl. d Jongues filiations et des genealogies m,cnp 10n c az avica permettan t d e a ,r e · · t 1· · d · IGB I IV 2147 voir Je commentaire), qm nous fait canna! re une ignee e cmq (, . utg,, 't une' rarete·, _ mais malgré la pauvreté · du maténel don peut arriver à genera 10ns, es l · cert ames cane1usi'ons positives, Dans la plupart . . des d familles, , , t· surtout , , · anst· e paysannat, L 10n. es noms Ies noms_ th races se transmettent par tradit10n e genera· 10n a t·genera J th , 't e s ne signifient pas en principe la perte de la conscience na 10na e race, et c est , 't' d t e rang r . t 1 évident dans Je cas où des noms thraces et étrangers apparaissen es uns a co .e es au res ou alternent dans la ligne père - fils - petit-fils, etc. Pa,r exemple : _Le père po~t_e un nom étranger et l'enfant un nom thrace, ce qui signifie que I enfant contmue la trad1t10n thrace dans Ja famille. Dans une famille, on peut donner à certains enfants de noms thraces et à d'autres de noms étrangers, Très instructifs sont les cas où les Thraces, devenus citoyens romains, non seulement gardent leur nom propre thrace comme cognomen, mais donnent à Jeurs enfants des noms thraces, comme chez ce noble T, ).(~wç)Aµar:oi111dinsrt'pn\:,,:,. 1, 11 tt.•nt. Danslematérie_.Ion?Dhl-.qt . ,, 1 .,. ~l nlus dt~-_! '!00, c·1·sl.-:i-d1n• 70-7:) lln d11 t.otnl. . . b I qu on peu . e, ,1 lit. 1 " t . . . . , la JJ1aJor1té a soue dl _ [,- ,rsClnnaO't'S attestés t'n lla1·1t' (111 l 11'1gl!la1rp~ de Cl'~ 'f! on compr~.n Q.U-s l'S 11 _l ' t:• • • I' . • . h dans ce c 1 re . .. , ." ,,;rt'lllf)loin~ QU'Ii s ni.~ïl t tlllt' 1wr:-.Pn1w d or1o·in,~ ~ _ !. ..il pxiste un llll 11u 1 ·1. . . '. , , r é meme , · .t 1 101 ,,·,,, t',1-:. >, l'onomastique reeher~he plus poussée des structures sociales et ethniques de la province de Dacie, de la romamsation et de la romanité dans les territoires de la rive gauche du Bas Danube.

DISCUSSION M. sur Russu que publier la Osouligne . . son rap port repr ésent e un résumé (5 % environ) de deux volumes à sur la populationa:~ 1: 0 (l~ volume sur l'?rganisatîon administrative et militaire, 2e volume 11a exammé pour ce faire tout Je matériel épigraphique, soit au moins 3 000 inscripti'onsadmsattibon). · on eaucoup d'inédits.

::ne.

M. SOLINsouligne que les nom d M R les listes de noms sémitiques ( 36 i5,e · ussu pose'.'t des problèmes de méthode. Par exemple s'est répandu partout et il a /· d l · Surus et ses dérivés peut être naturellement syrien, mais il cas de beaucoup de noms issus :~u~ 8 ~ens 0thnique ; il est devenu un cognomen normal. C'est ~e épichoriquedans beaucoup de rég'10 e ique. On peut même constater que le nom Surus est un nom en aucun cas de conclure que son ~:turopé:nn?s : ltali_e du Nord, Gaule, Illyrie. Lo nom ne permet ;-_~e même pour les noms (1 égy:ti eur ~ :riental, smon on risque de graves erreurs historiques. c,g:ypteJmais qui ne sont plus à l'é :ns • rp ocras et Hammonius, ce sont des noms grecs nés en en Grèce, en Italie, à Rome en mêJ:e i~~romaine des noms égyptiens: ils se sont répandus partout M . ps que la culture hellénistique. . . MIHA:r.tov_ est d'accord. On eut .. ' évident que Ha,pooras, Hammo Sarfpto parler de I lrilluenie de la réllg(on égyptienne, mais il est ' ' par exempt~, s9nt;'1,e,irotnscou,ants, ,,.hellénistiques•· -

f~

L'ONOMASTIQUE

DE

LA DACIE

: DISCUSSION

363

ue uussi qu'il peut y av?ir ù'autr~s liti?es sur le classement: par exemple Tattario peut être Il remarq •s aussi asianiqu('. Mats ces petites divergences n'enlèvent rien à l'importance du rapport thrace, mai de M. Rus!',u. Russu admet que Surus puisse être classé parmi les noms épichoriques celtiques, illyriens, ~· (Suralralis doit être un nom thrace). Il y a u~ t>;léme!ltindoeuropéen dans to?les ces langues

th~ace,_t être commun. Surus est le type même de racme équivoque. Surus, et ses dérivés notamment qui dot!" peut être classé à son avis en Dacie parmi les noms thraces, mais il faut remarquer aussi surafra i_s,miarés de Syrie sont nombreux. - M. Russu n'est pas convaincu qu'un Romaîn puisse que les im n~ms comme Hammonius, Sara.pio. P. Aetius Rammonius, procurator, C. Valerius Sarapio prendr~ des t-ils des Romains ? 11ne le pense pas. Il maintient qu'il s'agit d'immigrés ou de descendants n Dacie son . ~'immigrés égyptiens.

Colloque, internationau:c du C N R S

No 564. -

Jaroslav

L'ONOMA8TJQU2

~.\~J;E~

SASEL

L'ANTHROPONYMIEDANS LA PROVINCEROMAINEDE DALMATIE• RÉSUMÉS,

En !ntroducti?1:, on examine 1) }?«sf:rati~aphie, Jinguistico-ethnique protohistorique, 2) l'impossibili~é d ~ne déflmlt?n d~ la langue illyrienne 3) le• château de cartes• érigé par les al'chéolo ue les historiens et les hngu1stes. g s, L'exposéi qui écar~e toutes les incertitudes et qui se concentre sur l'acquis anthroponymique commence par le résume des remarques de Rendié-MioCevié sur les noms attestés par les textes le; inscriptions grecques des colonies dalmates, et le monnayage des dynastes locaux. Puis on exa~ine la nomenclature d'époque romaine, en insistant sur les composants indigènes et en essayant de déterminer une différenciation pour certaines des classes sociales (sur la nomenclature tardive, on suit l'étude de A. M6csy). Pour distinguer les restes de la langue des autochtones ('illyrienne'), les travaux de Katiéié sont fondamentaux: s'inspirant des méthodes d'Untermann, il a dressé la carte onomastique du centre des Balkans. En efTet, la méthode étymologique est incertaine. Par quelques exemples, Katièié a montré les avantages de la nouvelle méthode : le réseau cartographique permet de suggérer un certain nombre de régions onomastiques. Suit un exposé des travaux principaux de G. Alfôldy sur le lexique onomastique de la province et sur la société et la romanisation en Dalmatie, puis quelques considérations sur les anthroponymies distinctes : t dardanienne », macédonienne, des Vénètes, Liburnes, et habitants de l'Istrie.

The author begins by examining: a) the prolohistoric linguistic-ethnic • stratigrapby •• b) the impossibility of deflning the 'lllyrian' idiom, c) the , bouse of cards • built by the arcbaeologists, the historians and the linguists. He starts by disregarding all uncertainties, and concentrates on anthroponymie achievements. He summarizes Rendié Mioèevié's observations on the names attested by the texts, the Greek inscriptions of the Dalmatian settlements and the coinage ol the loeal dynasts. Ho tben examines the nomenclature in Roman limes, insisting on the native element, and he tries to distingUisb some social groups (on late nomenclature, he lollows M6csy's st?dies). . . . , . ,. Katièié's works are basic for the recognition of the remams of the natwe 1d10m { Illyr1an ). following Untermann's metbods, be draws up the onomastic map or the central B~ans. The etymological method, is, it must be admitted, uncertain. Witb some examples, Katifüé ha! proved the advantages of the new method: the cartographie network may sugg_est•~me onomastic ar!'as. Then follow a report on G. Alféildy's principal works on th? ono~astic lexicon_ o( the provmce a.nd on society and Romanizat.ion in Dalmatia, and some cons1derat1o~son_the distinct _anthroponymies: 'Dardanian', Macedonian, ol the Venetes, Liburnians and the mbahttants o! Istrm. Einleitend wird hingewiesen : l) auf die vorgeschichUiche etbniscb-linguistiscbe • Slratigrap~i•h•• 8 Il.) au! die UnmOglicbkeit die , illyriscbe, Spracbe zu hestinunen, 3) aut das • Kartenhaus •• wo c Archaologen, Spracb- und Gescbichtsforscber aulgebaut hab_en. •c te in Anthro _ . Die Betrachtung, die alles Ungewisse ausscheidet und s1ch nur aur_édas ~!i:...nen Person:nymik konzentriert, beginnt mit einer Übersicht der von Rendié-M1ofev1 nac ge •

· li b" à la liD du npport. - Le texte a été revu • Les numéros en gras se rapportent aux numéros de la bib ogNp 16

,u point de vue de la langue par MM. Noël et Yves-MarieDuval.

J.

SASEL

366

.; hriften in den griechisc.hen Koloni~.n Dalr~ia_liens. u~d auf lokalen in der Literatur, auf den ln-c E folo-t eine Übers1cht der ro1:1enr1\hch~n _NamengeLung-, 5 ,-IIJ"rischert Ovnasten. K O ponente nebst Versuch erncn E,mbhck rn Uert't1 soziale nanten pragungen • - ~ t hthone orn ' . ders in Bezug auf d1e a.u oc t'k Benennun(J'sweise, vgl. A. :M6csy), 1 behs~nhl g :z.u ge.winnen (Ober spatan ~ der Aulochthonen der z.entralen Balkang-biPle hal Sc icu!nzum Restbestand der S~r~c / durch die Forschungen Untf'rmanns hat n dessen 1 Denn die etymol?giseh~ Mcthode ist unKatîNé fundamentales getan. Jns~~ l~an ühertragen. nlandschaftskunde • auf d_en l.. t K ti"èié die neue Richtung ais v1elver~prechrnù c-rwicsen • Na m. • Beispiele u3 a · · d ' , . venvendbar. Durch em1ge. on ,Namenlandschaften bereits g~etfba~- w1r . . wodurcb ein vorlàufiges ~etz V dl enden Arbeiten von G. Alfoldy : über Namenkx1kon der Es tolgt eine Obersicht der g~~n eJ Romanisation Dalmatiens, dann einig(' Hinweise auf die ferner Veneter, Istrier und Provinz Geschichte der Gesellscha. u~ throponymie der Makedonier, separat~ dardanîsche Antllropooymie, n Liburner. l. État des questions. _ PLAN DU RAPPORT ; II. Anthroponymie« dar?am~nne ~UI. Anthroponymie macedornenne. _ . IV. Vénètes, fiistres, Uburniens. v. Index des thèmes d'anthroponymie en Dalmatie. VI. Bibliographie.

!, J'lTAT DES QUESTIONS.

La province de Dalmatie s'étendait le l?ng de la Mer_'."-driatique de ~a rivièt'e Arsia en Istrie à la rivière Drilon en Albame, tandis que sa front1ere Nord suivait la Save, sans l'atteindre. L'histoire régionale prouve que pour la délimiter les Romains n'ont pas respecté les unités ethniques antérieures (Scordisques, Dardaniens, Illyriens, Pannoniens) et qu'ils ont inclus dans la province bien des unités hétérogènes (Liburnes, Mèses, Japodes, Macédoniens).Le commerce sur le littoral, de riches mines à l'intérieur et l'élevage du bétail à travers tout Je pays formaient la base de l'économie provinciale. Il n'est pas question qu'une seule langue ait prédominé dans le pays avant l'introduction du latin. Bien que les recherches philologiques dans les Balkans soient dans une grande mesure incertaines (conf. 10,80), et les unités linguistiques difficiles à cerner, j'e~saierai d'illustr~r ~pproximativement par le croquis de la fig. l les constatations des ph1lologues.En pnnc1pe, dans la phase du passage à la domination romaine, nous devons trouver ~u; le te~rito_irede Ja future Dalmatie les groupes linguistiques celte, vénéto-istrien, thra_ce,ep1r?te, 1ll~nen.. , gréco-macédonien et daco-mésique, plus tard le groupe latin et des mfiltrat10nsorientales sporadiques, C'est le sol - composé de plusieurs couches préhistoriques - où s'est formé le trésor anthroponymique de la province. D Ma)gré cette complexité, la documentation pour les études anthroponymiques en alID:atieest cependant parmi les meilleures par rapport aux autres provinces de l'empire romam car ona a ubli effectué ici, une séne· d' a_na1yses ap~rofon d"1es et parce que, su_rtou t , Géza Alfiild Py , PD é une etude onomastique analytique Die Personennamen in der •• • h · t ' rOmise en rov,nz alm r1 points ces •t d t ~~• _qmes .1a base de toutes les études ultérieures, En bien des l'ono~astiq:eu t~ son (l:rhtees aussi par des synthèses, écrites par des spécialistes pour vénète (83),pann::1:nn (Dt~e)e (43,_105), macé~onienne (24, 77, 103), d'lstrie (132), Bien que la série de ' et évidemment latme, grecque et celte. en Dalmatie les cher ;• problème~, soulevés par des matériaux hétérogènes, soit variée ' e eurs ont éte surtout attirés précisément par l'« illyristique •· Cet

f

•• Dans le texte je ne fais l'uau e de 1' partt.cU)aritéa anthroponymtques Jin gis . txpreselon I UJyrien' que dans un sens conventionnel : il recouvre tee des tribu, centrales balkaniques.' gu Uquea et. ethniques du tel'l"ltoire de la ,provlnco,- c'eat-à~dtre du territoire

L'ONO.\fASl'tQUE

Fig. 2. -

EN 1)

ALMAT1E

367

Répartition des langues indigènes en Dalmatie essai cartographique

SUI'\'i[Nota : ces langues se superposent

à un ., paléob6:lkanique • disparu, qui se manltesle aeulement. par quelquea

vances sporadlques en dardanien et en macédonien. La ione montagneuse centrale n'avait pas plt1s de-peupkment conllnu dans l'antiquit, qu'aujourd'hui.]

. d 1 : celte. - 2 : vénète. - 3 : pannonien. - 4 : istro-liburnien. - 5 : daco-mésien. 6 · ardano-thrace. - 7 : illyrien. - 8 : épiro-macédonien. Les flt)ehea blanches indiqu~nt les directions prlncipales

J)OU?

ta.ditrusion du gree el du latin.

J.

368

SASEL

ilu xrxe ,si!\dc , par , . le romantism e , , ,t d ,un co•t'e conditionné à partir , intérêt pour 1'1l!yrlSill~e~ u « rintemps des natwns i> et {1o 1 1cs , . d es ·J . ' , • te a u 111se les d . sources pour 1_étude _del I lynsmc sur la base des travaux de Brunsmid (13). eux premières . . Dans le reperto,rc anthroponym1que des colonies grecques d l D l e colonie ionienne; sont doriques : Issa, une fondation de Derre a l'Aa matieT(Pharos_est · ·d un ·c, , ys ncien ragour 0 • , , . ' n, Sa/oneet une co1ome non encore i enti,,ee sur l ile de Korcula). Rendi' (88) ' c a prouve! ex,stence ' ·11 . , l' d h de deux couc es e noms l ynens : une qu on trouve dans les re'g· ' ·11 • · d es Massapiens) avec les nomions i Yflennes' D du sud de I'l ta 1·ie (I apygie· e t le t ern·t 01re t · sere Namen m o-rosser . . · · 1 1sc ) . htlateinische-Joka 1e do I t îni-;chen Namen me 11l. n:w 11g-PWH'S«~n w1.'rdt•n lülllnPn n· (rubcrmo-._·,sche Namen auch u~ter en. ~ ", 1,m~5,veis-e auf Inschrîften, 1uiLI ihri' v1•rm11tlid1e lalf'in·,.•.01" o e ~ • t amhch nur au~ 0 ... • . . . -~ te Urbevôlkerung erschem n wird daher ebenso-wenîg ('1·fasshtn· WH' i..he t~pwhori:-;r.•lw. oder latinisierte Na~eng:_bun: r Namengebung und des Namenbest:.n1ùt•~ Wl'rd1•n a_~::.~1ei:--pit>lpang«•f --.pnden onom:1stisl'l1t'n Handl)ltclit'~ dt!.'- Rom1scllen Rei(·h , 3) "\Veitere Deta11f:aoe.n ~ ta.tll't uro die Notwend1gke1t emes um as, e1; herv~rzuheben. (cf. Bericht, p. 469). •>) Die Namengebu~1g der et

'!oesia Superior wurden ais Quellen der Gesellschaflsgeschichte D',e Personennamen von " d er p ersonennamen habe ich Einen Katalog · m Buch u..ber Oberm o"sien'behandelt. , . • ID meme h _ 1 t' Beidc Arbeiten beruhen auf emer M:lterwlsammlung bis zum · 11t so gross• im selben Ja r vorge eg · ahren war der Zuwac J1s an neuen I nsc llrl 'f't.en rnc I d l t tell J · d au f ct· ' Jahre 1966 . ·, n 1en e tzbereits notwendi"' wiire. lm folgen d en w1r ie neuen Inschriften 1' . d als dass em tiuPP emen o . . h b nommen aber die Hinweise umfassen nur emen c,I · cr neu bekannt gelegentl1c ezug ge , gewordenenInschriften. ·

1.

BESONDERHEITEN

IN DER NAMENSFQRMEL.

Das Setzen von !nschrilten begann in der Provinz erst nach der Mitte des 1. Jhs und erst recht gegen Ende des 1. Jhs. Das gelegentliche Fehlen des Cognomens gehôrt daher zu den Jokalen, nicht aber zu den zcitbedingten Besonderheiten. So kann die Inschrift C. Granonius Q. f. hic si/us est• aus Scupi aus paliiographischen Gründen (z.B. das A mit gebrochenem Querbalken) nicht in die früheste Kaiserzeit datiert werden. Bei den Personen, die die (oit zu Unrecht' tria nomina genannte) romische Namensformel gebrauchen, findet man gerade in Scupi, sporadisch aber überall in der Provinz Weglassungen einzelner Bestandteile des romischen N amens. Das Fehlen des Priinomens fallt aus den bekannten zefüichen und sozialen Rahmen nicht heraus. Bei gemeinen Leuten wird es bereits in der Severerzeit üblich; es gibt Stiidte, wo das Priinomen beinahe konsequent weggelassenwird'. Das Weglassen des Gentilnamens ist in gewissen Fallen ebenfalls keine lokaleBesonderheit; auf kleinen Votivinschriften wird der Stifter oft nur mit einem Namen genannt' und auf Familiengrabsteinen wird das Gentiliz einiger Familienmitglieder der Kür~e.halb_eri:veggelassen•.Diese Gepflogenheit war besonders bei Ehefrauen, bei weiblichen Fam1h~nm1tghede_rn und bei Kindern verhreitet. Eine gewissermassen speziell obermosische Erschemun~ schemt indessen m.the during the Jst and the 2•• centuries. Balkans and the eastern provinces who settled in the cities and the big farms atter th& war ,igainst the Marcomani and during the 3;• century. The main problems are concerned _withthe 1_1am':5 the I•• group, i. e. with the native people. People of Pannonian or Celtlc origm erect!:d ms~ monuments according to the Roman influence, and this was usual for the most fully romanise? gro We cannot determine tbeir various origins by the analysis of the names. Because of th" ux:'lenœ_o celti~ names, the scholars used previously to give to the Boii the whole n?rth-'!estern But mscriptions with the term Boius are found only in the area near the Leitha river, WI P . . la teristic female dress and religious symbols. Besides, in_ this part ~f Mr th -wes1!"'. . we•~n distinguish only thanks to the archaeological discovenes, the Azal• and the BrtWIH', Wl particularities in dress and conceptions of the next world. D1e · B evolkenmg 1geln, in Betraeht a~ der Jenseit~vorstellungen. dtc emze

un

Pannonie est due à l'initiative

.

de Andnis Alfiilùi, puis-

L'onomastique m?dernet ent _ "omina hominam Pannonica cerlis g>)il ne s agit pas I tme m Prr 1cbon absol,, des noms sont 1 . e s il est mu 1 e dire: o:nousIe savon' • li · on const at e qu 'en règle générale la formule onorn:1~L1que d'un Gr•"c et un1verse e, mais . t faite de trois nomina (ou de deux : norncn el cognornen). -\.po · • . . u patronyme (M l ) . · t pour plus ,1c prccis1on, y aJouta1t Je nom de so d , e anos a la grecque e fficielle; entre t.c,mps I·1 est d cvenu Gaios foulios An gran -pere. ' telle 't a1·t sa signature' e . . . o om grec · d ans. , I' ,111 t rcs cas I·1 y a changement total)po.1inarws . . (variante dans 1a 1orme du . . nn donnant .. ' f-urcPs~I\·Tmen . t 1es deux noms l'ancien , 1e veteran affinn , 1 e cett e contmmté e ' .. . . l t ' - a a grecque - le . omaine. Je n vpour leur Père s'appelait simplement n~cpk.>v,mais qu'il ts'appelle 6videm.ment :11-ainte_n~nt,A~mo::uvivant; cette inte.rptétation voir ci.\iessus n 71) Le formulaire n'a aucun rapport avec 1 étate1vil de lli.e~A ' m1A celui U • ' • • • . • t schéma il est du molUt o~ ,-a pu mouru avant 212, etc. Quant au soMcJSJnequi conduinllt à ce awc ' 41:ù.(mrou:

ge:till~ !txow

n

_,1_,.

'fOÜ

q;ul consiste à rapporter l'article -roü au second nom dans un groupe banal du type 4)0..o)voç • {0\ Bilomorski Pregled, I, Hl42, p. S'i6--7,n°19, (6) REG, 1948, p. 168, Bult. lp., 106; Heltenica, XIII, 1965, P· 233• A{ )oa>, p. lû'l 1•t rw\.N, fiR d 9-1. JO, X 2, 1, 564 BCil, 1973, P· Z44, n. 1, et 1975, p. 16:i, IL n. MAMA, VIII, 576 BCJI, l97f1, p. 163-164. LANCKOROr'iSKJ, Villes ... IJ, ni> 196 BCII, 1975, p. 185-167. Mil. hel!, George, Dau:t, p. ô\-'50 BCH, 1974, p. 550, el 1975, p. 164-lûG. IG, X, 2 1 l, 768 fülomor,ki Pregltd, t, 1942, p. 326, n° 19 BCJJ, 1975, p. 167~168.

COMMENTAIREORAL ET DISCUSSION Faute de temps M. DAUX parle très brièvement. Il cite M. Solin taquinant les hellénistes à propos d'un texte de Corinthe oû te n.ome.n avait été mkonnu et demande l'indulgence et la coopération des latinistes. Il confesse d'ailleurs s'être trompé de même à propos d'une inscription de Delphes où il n'a pas reconnu Au(anius (nomen) Callicrales sous le nom Aphasios, en grec. Il souligne que les Grecs étaient gênés par la formule latine. lis l'ont adaptée de différentes façons suivant les circonstances. Si pour les Romains la condition civile élait assez nette d~après le nom,

(1) Disons un mot, au passage 1 du secrétaire qui est mentionné all génitif aussitôt aprCs lo prostate : yp«µµ«[-r]eiks ('uul'1u-;ious Pnlr1! lt: patronyme et le SUI'nom au g:~nfüf. L'\ntend:mt, Taurou fcai perrn~Ltau 1;.' • He(Jlou 1:sl 1:lair - Tauros (nom groc ou latin'!) est flls d' Ammia (nom de la mère) [oil Ammws_ to~_. 7:cç) Aµtt,oKoç T. [1'o(6tou) T. ,(0.6,oç)Kupeîv• B«6u> cas) aux dénominations abstraites se mêlent u l références saintes : q e ques Theodora Adeodala

Anastasia Redempla Elpis Spes

Marlyria Sabbatia Pascasia

Agnes Susanna

Il faut citer enfin Thec/a et Anna (moins de 10 exemples) dans un groupe de noms moins répandus où domment e'.1core le~ déno'."inations composées avec theos ( Theophi/a, Theodula, Dorolhea, Ttmolhea); a la meme serie appartient Quadragesima, marquée sans doute d'austérité chrétienne. L'orientation originale de ce répartoire apparaît plus clairement en comparant la fréquence de noms également connus dans leurs deux versions, masculine et féminine Cyriaca l'emporte assez largement sur Cyriacus, Irene sur son équivalent; Agapius existe à peine ; seuls résistent à peu près Pascasius et Anastasius. A l'opposé, Étienne, Jean, Laurent, Paul dominent très logiquement. Mais l'importance particulière de Laurenlia et de Paula assure qu'en cherchant - moins souvent que les hommes - leur inspiration dans le martyrologe, les femmes concèdent une place privilégiée aux traditions locales. Pour expliquer ces discordances, il faut se contenter d'hypothèses: car la documentation épigraphique ne fournit pas assez d'inscriptions sûrement datées pour établir avec certitude la succession des modes du m• au v1• siècle. En quelques circonstances heureuses, les hasards de la découverte archéologique proposent un échantillon privilégié de noms sûrement situés dans le temps. Ainsi, ceux de ces pieux visiteurs qui laissent témoignage de leur dévotion sur les murs d'un petit édifice ad Calacumbas, finalement enterré par la construction d'une basilique cémétériale (Saint-Sébastien). En écartant à l'extrême la fourchette chronologique que suggèrent des analyses archéologiques contrastées, ces proscynèmes, attestant une centaine de dénominations variées (et un peu plus de 120 visiteurs sûrement identifiés), ne dépassent pas les premières décennies du 1v• siècle et concernent surtout la seconde moitié du m• siècle. Dans cette population les dénominations chrétiennes sont rares_(au plus 7; même proportion qu'à Calliste). Et surtout à part une loannè, l'ono~astique chrétienne où dominent les dénominations féminines, témoigne en termes abstraits pour sa conversion : Irene attestée à quatre reprises et Agape. Pour _les hommes l'insp~tion puise aux mêmes sources avec Cyriacus (2) et peut-être Agapitus (2), sans oublier un Redempt ... qui peut être masculin ou féminin, Ce répertoire illustre sans doute de façon exemplaire les premières modes chrétiennes, En effet, les dénominations symboliques dominent tout p~rtic~lié~ement. ~our le sexe féminin: peut-être parce que à haute époque (m• siècle), cette msp1ration chret1e_nnetouche plus largement Jes noms des 'remmes que ceux des hommes. D'ailleurs, les ~raditions loca~es n'imposaient pas particulièrement la référence à de saintes femmes, ta:nd1s,que le prestige apostolique permettait de christianiser sans réserve, dès ~ette première _epoque, Pa~la: Au 1v• siècle, Adeodala, Anastasia s'intêgrent au répert01re ams1 que Marlyrra et Paschas1a, mais désormais les femmes s'inspirent plus délibérément du martyrologe avec Paula,

CH,

PIF.TRI

442

. '·larie , plus fréquemment attestée ci partir du A nès et aussi avec 1, Laurenlia, un peu avec g_ et même Anne. , . • · , • . ci·ens d'interpretatwn d11Ticile,1onomastique V • siècle avec Suzanne, Thecle , . 1 s témoignages an , d 1· A l'exceptwn de que que retard dans les habitu es mascu mes et elle . bl't1 sans doute avec que Iquel fréquemment uL11Jses, . . . C'urwcus . . chrétienne s'eta cvoquant . . . tt . oque aux noms 1es p u 5 . . . deJa ,. . p e1rus. e L p au l us que se refere des ce e ep • ,\·aient femmm 1 ~ · eur comme son equ • _ , svmboliquement 1e ....,eign · le tre·s répandu Lallrenlws ; d autres noms • '" 1 d I faveur popu 1a1re ,. ' .. , rejoint au ive s1ec e ans a ,. i tout à basse époque- (ve-v,e s1ecles) où se . tyrologe s imposenc sur . . 1 ,. t d . empruntes au mar ' . St 1 . . 1 A d Johannes ep ,anuo." Mais déJ.à dès le 1ve s1ec e s m ro msent les 1 multiplient es n reas, A sius Sabbalius, puis, un peu plus t.ard, Pascasius dénominations comme Adeoda 1us' nas I a ' I'.

et Quodvulldeus. d. e cl,i·onologique pour les origines, l'onomastique qu'avec un eca 1ag Il est P,0551'ble que chez les femmes. Mais h . . 8 le même cheminement 1 chrétienne ait SUl\'l che_z es. o~meque son équivalent féminin, moins encore que Irene Cyriacus beaucoup moms repan u . . t . li 1 L , · - rencc de Pierre ' de Paul et, finalemen , a ce . e cc d aurent. ou Agape' resiste ma l a· 1a convur ., ., , popu ' · suggere • san..< doute les ermeres 1aire La piete · mêmes. références .aux femmes; . mais C ces · abandonnent moins facilement et moins rapidement Irene,_ Agape ou yria~uc, sans Par la smte, 1 emprunt d out e parce qu e Paula , La urenlia ne sont que des approx1mat10ns. · 1 · 1 · 'fi t· · 'dent qt1e les• chrétiens ne comprenaient au sanc t ora I sem bl a1·t s1· ev1 , . p us. guere a s1gm. 1ca ,10n à chercher pour chaque denommatwn la protectwn d un boliques Habitués des nom S Sym , · Tb ' d saint ils accueillirent volontiers les légendes élaborées en 0 rient_ pour e rer1 aupres e la sai~te Sagesse, ses filles, sainte Charité, sainte Espérance ~t samte ~01. En tout cas, dès le iv• siècle, à des degrés divers, le prestige des san_1tslocau~ JOU~ un role determmant dans l'essor de l'onomastique chrétienne. Certes des denommat10ns evoqua nt. (e Seigneur, son culte ou ses promesses, apparaissent plus nombreuses au cours du IV 0 s1ecle _(Adeodalus, Anastasius, etc.) ; elles rompent la monotonie de ces multiples références au diacre et aux deux apôtres. Mais déjà le domaine propre de l'onomastique chrétienne paraît sûrement défini et relié au culte des saints. Certaines pratiques de la piété populaire ont pu orienter le choix du nom ; ainsi la devoliodu très jeune enfant à un saint (cf. la Vila Melaniae) ou même l'achat d'une sépulture ad sanclum qui reflète peut-être une prédilection particulière, En tout cas, la répartition régionale de certains noms suggère quelques rapprochements. Certes, on ne peut étendre outre mesure la signification de ces coïncidences ; il n'y a guère de Petrus auprès de l'apôtre, ni d'Hippolyte sur la Tiburtine et le nom de Felicilas est trop répandu dans l'onomastique courante pour que sa présence dans le cimetière où repose la Sainte ait quelque signification particulière, Mais il semble qu'il y ait un peu plus de Laurent enterrés dans le cimetière du Martyr et de Paul auprès de l'Ostiensis. Quelques-unes des Thecla, qui portent le nom assez rare d'une sainte associée à l'apôtre des Gentils par des Actes populaires, reposent près d~ l'Ostiensis. Dans la même région les rejoignent des Timothée, mais, cette fois, le contmgent n'est guère significatif. Plus explicitement encore le culte des saints favorise (e développ_emen~progressif de l'onomastique, lorsque le calendrier accueille des célébrités etrangères a la Ville. Le culte du protomartyr, introduit au v• siècle a christianisé complètement, on l'a ~u, Slephanus. Ce phénomène tardif est assez con'nu pour que suffise un

c:

exemple r;omam.:Chrysogo~ese charge désormais d'une référence chrétienne, au moins pour le pre_tre_quirep?se au debut du v1• siècle dans un cimetière del' Aurelia, un Crysogonus,

presbytert,tul, sanc(ti) Crysogani. chr' ~algré ces inspirations spirituelles - en particulier celles du Sanctoral - l'influence h etienne pendant longtemps ne touche qu'un domaine restreint du répe;toire Male:::~::::nt, la ~ocu~ent~tion épigraphiquene suggère que des indications fragme~taires es sur es mecamsmesde transmissionde l'onomast,ique.nouvelle. Les épitaphes

ONOMASTIQUE

CHRÉTIENNE

DE ROME

443

de reconstituer des généalomes familiales D , , Permettent, rarement , t·,ieres d u Su d e t d e l' Ouest sur une o· centaine d'e, ans un echantillon emprunte aux cime l , . • . ·1; h ·t· , 1 , , .' xemp es, près d un tiers indiquent une re erence c re ienne a, a generalion des parents ou à ce!!e d es en fan ts. Quelques . . , cas (7 sur 35) a tt es t en t Ia con t mmte de pere en fils ou de mère en fille t' f •t · fil "' . A , excep 10n a1 e pour un Agapws,• 1 ss Xomen~ w-1 L t'il Cognornmn C

, b" me) festzuste!len e, "" au :stam.m.au ~ . den Nomina konsequent geachtd. . .. und des Cognomen~ bei N b ehen wohl nil:'ht 1nit J.tlen Belt>~S.t,,{{ennngl:'fuhrt nd Sehrhâufigvorkom~e .e a,meln r,.tauuno-sk·irte mit ,Symbolen nlitzhch. Bt~i ,n1deren i

•are eme

er )fe

~-

~

-

·

zu werden1 d agegen " _ . b .1 ·g b,·ot ko··nnte-da•,.istern' , · h'. Joo-10:che'-••1a eria 1 . . . , ,:, . Münzen, Pap)r1,

arc

ao _o ~

d:

ktîs··hen

Gesicht.spunkle

der

Der Verfasser erwahn~tt ,de P~ ter~ehmung die Auswertung eenauen Stand des Fortsclm s . cr n · ' t!ndlich die Frage der Veroffenlhchung.

J.

,\rbe1t

: dw

M1L1rbc1ter,

den

der Nachweî:ae durcit Computer

'

PREAMBLE.

h · not to sketch the whole field of names in the Greck world, but to 1'1Y_PUtrJJOSe eretisf the British Academy projcct to compile a Lexi_conof Greek Proper r , , l l . . 0 ffer an m er1m repor o Names. It is appropriate to do so at th1s Colloque m an:, _cds_e,am a so, now _t11at we . for three years wc should welcome cnL1c1sms and suggcst10ns for ave een wor k mg , .

b h overcoming the conceptual and practical problems wluch we encounter. 2.

ÜRIGIN

AND STATUS.

The salient arguments for a new compilation (Pape _and !3enseler over a century old: substantial advances since then in the analys1s and class1ficatwn of Greek Proper names : the explosion of evidence from epigraphical and papy':ological source_s:the current difficulty in tracing attestations) were prcsented to the British Academy m a memorandum by Mr P. M. Fraser (Ail Souls' College, Oxford) early in 1972. A grant was made by the Academy, J:5000 in 1972/3 and now (1975/6) J:8524, and the project counts as one of the Academy's 'major research projects'. 3.

PERSONNEL.

The Commit.tee in charge is largely Oxford-based: the Dean of Christ Church (the Very Rev. Dr H. Chadwick), Messrs R. Meiggs, J. G. Griffith, and P. M. Fraser (Chairman), Drs Susan Sherwin-White (Secretary), L. H. Jeffery (Vice-Chairman), and J. K. Davies, and Professors H. J. Lloyd Jones, A. Andrewes, and E. G. Turner. We began with two compilers, each working hal!time (about 20-24 hours a week): the number has now risen to eight, mostly either teaching members of Oxford University or postdoctoral researchers. The present team is: half-time - Dr S. Sherwin-White (epigraphic), Dr D. Nash (epigraphic), and Mrs E. Matthew (literary sources); quarter-time - Dr R. A. Coles (papyrological) and Dr A. Johnston (archaeological sources); . 1/8 t!me - Miss A. Crabbe (patristic), Dr J. Rae (papyrological), and Dr S. Mitchell (eptgraphw sources). l? add_iti?nwe have been offered assistance by many estahlished or younger scholars, both m B~~am and elsewhere, who are expert in the documentation of particular areas. The remammg members of the team are myself ('co-ordinator') and a new member Mr. T. Ashplant (sub-edit~r/card-punc~er/computer operator). ' The amount of material collected 1s already causing problems of storage, but from Janua_ry 1~76 we •~ail have premises adjoining the Bodleian Library, Oxford, where our material will be available for consultation as well as for storage and working on.

LEXICON

4.

A1MS

AND

OF GREE}{

PROPER

NAi\1ES

467

LIMITATIONS.

Our fundamcntal quantum of information is that: TIO~)); Such and such a NAME (of such and such an ETYMOLOGY/ORIGIN/FORMA-

/s

:!) borne by one historical person, attested in such and such a REGION/CITY/ PLALL, 3) at such and such a DATE; 4) in such and such a SOURCE. Much of what I have to say !ails into place as commentary on this formula. a) We are concerned only with names borne by historical individuals We have evolved procedures for dealing with marginal and dubious cases. · b) Boundary-definilions to solve the problem "Whom do we include and leav t?" e ou · can be drawn in terms of three of these four fields of information. c) Our compilation is meant to be a guide to published information and documents ~with certain essential qualifications. d) We cannot deflne our material solely in terms o! the language of our sourcemateriaL There are two d1fficulties here. (i) We obviously must include 'Greek names' attested m Latm-language sources, and also in, e.g., Aramaic, demotic, and Syriac sources. (ii) It would be inappropriate to include ail the Jewish or Hittite names in the LXX but less easy to exclude e.g. Persian names from Greek historical or epigraphic sources. 'Our principle is that we do collect the evidence in the ftrst instance, even il such names are later consigned to an Appendix or to oblivion. d) We are not intending to compile a prosopography as such or to include ail the references to one historical individual, but inevitably some interpretation of a prosopographical kind has to take place, both during primary compilation and during editing. e) We shall exclude names attested in Linear B documents. f) Our lower eut-off date is still unclear. We shall exclude names of distincti"vely Byzantine formation (-itses and -opoulos), and hope and expect that the gap in Byzantine literature between 650 and 850 will solve the problem for us. g) It is Field 1, NAME and FORMATION, which presents the real problem, since the obvious and !undamental definition-that we are trying to give a conspectus of ail persona! names whose formation can be understood in terms of roots within the Greek languageis also a minimum definition. There are two main 'marginal' groups of names, (i) t11ose with a non-Greek first root but fully Greek grammatical endings (Ammonios, etc.), and (ii) names with a Greek root but non-Greek suffixes (Diogenianos, etc.). At the moment we are collecting ail such names but are excluding those which are given no Greek grammatical termination. We are conscious that tllis is not a very tidy solution, and should be grateful for views and advice from the Colloque.

5.

PROGRES$

REPORT,

(i) The compilation of material is proceeding by category of source. (ii) It is b~ing made from the texts of the sources themselves, not from indices nominum, ~te.: we en".'sa~e only one exception to this rule. We are aware that published or unpubhshed _compdat,ons do exist, and have gratefully accepte~ al( offers to _allowus to use such material, but we have 6 reasons for not using such compdat1ons as primary :

,J.

K.

D.\.VJES

a) Considerations of etiquette and copyright. . , th ·nformation into computer-su1table forrn is best done directJy b) To conver, e 1 from the texts. . . c) We bave yet to find an index nominum wh1ch ,s complete. d) Difficulties of access and cost. e) We want, and in this way shall be able, to check two indepcnrlcnt

compilations

against each other. I give now a progress report by category of source. . . . i) Greek lilerary lexis-as defined in LSJ 9 Abbrevrntwns, sect1onl. Authors arc 1· ed ·n alphabetical order and have now reached M. Work 1s also procccclrng · bemg s ,pp 1 · . F•.ragment s (_'f - L ong, 1nt.·1wna · ): L uc1an . on certain other groups-the Comedrnns a~d Com1c and the epistolographi (C. Fredericks, Indiana): the Greek novehsls (T. Hagg, Uppsala). ü) Greek palrislic lexis-field as defined by the list of authors and texts in Lampe, Palristic Lexicon. üi) Latin /ilerary lexis-the view is taking shape tlwt we shoulrl here, ancl here alone, use the material of the TLL Archive at Munich as our pnrnary source. No work of much size bas yet been done here. iv) Greek Inscriptions. First, a general remark. Our first task for cach area is to compile a full and up-to-date check-list of ail the publications (and re-publications) for each area. This is gradually being done, espccially by our principal epigraphic compiler, Dr S. Sherwin-White: and we are considering whether it might be appropriate for her to publish these lists separately (cf. A. S. McDevitt, Analylica/ handlisl for Thessaly), as a by-product of the Lexicon programme. In what follows I follow IG order, then Bull. Epig. order. 1. Alhens before 403: deliberately left on one sicle until IG, 13 becomes available. II-III. Alhens afler 403 : virtually nothing as yet done. It will be my task in the near future to compile the check-list for Athens, but work is starting on sorne categories, e.g. the temple-inventories (Dr T. Linders, Bromma). IV. Argolid V. Lakonia, Messenia, Arkadia (VI). Elis, Achaia ail completed (S. S.-W.) VII. Boiotia VIII. De/phi: an up-to-date check-list is almost complete and work on slipping names bas just begun (D. Nash). ' , IX, 1. Phokis, Lokris, Akarnania, etc.) IX, 2. Ailolia j completed (S. S.-W.)

i

. •IX, 2, Thessaly: not yet begun, but we are happy to have secured the collaboration of M, Bruno Helly, ~f ~yon, ~n the basis that we produce a first compilation and he then emends and adds to 1t m the hght of bis expert knowledge ~-. Makedon and Epeiros: completed, mostly by s·.s.w.,with East Makedon and :::~ike completed by Prof essor Cormack of Aberdeen j ust before bis recent untimely X. Thrace and Bulgaria: in progress at the moment (S S -W) XI. De/os: not yet begun b t 18 · · · · · complete chèck list •t ' . u programmed to follow Thrace etc. An almost makes it neces;a exi~~• comp_il~~by J · K. D., insofar as the completion of /. de Délos forthcoming indei[s not of our being able to consult Professer Tréheux's

;er~::,~~!r

LEXICON

OF

GREEK

PROPER

NA.ME 5

469

XII. Aegean islands: a few have been done (Ko K J A and Hhudcs is beginning (T. Ashton). s, a ymnos, stypalaia) (S.S.-W.), (XIII). Krele: not yet touched. -- S. R1mia: completed (S.S.-W.). - Asia Minar in general: the only area so far completed (ch k-r t d d is G:ilaLia (S. Mitchell), but Dr Mitchell is now busy with Perga ec isdan_\lname-car s) mon an w1 move on to 0Lh1:r:ircas therea f ter. We hope that Dr G Petzl (Kôln) will h 1 'th th · · t'

of Smyrna.

·

e P us w1

e 1nscnp 10ns

.-·- Syria, Pa/esline, Mesopolamia, Easlern Salrapies, etc.: not yet begun, but we have

recei;cd an ofîer _ofhelp from M. Maurice Sartre in respect of his work on S. Syria. - Kypros: m progress (T. B. Milford). - Egypl and Kyrenaika: not yet touched. X_IV. naly: I am happ_y to be able ta report that we have received much help !rom Dr Solm, v. ho 1s makmg ava1\ab\e to us the material !rom his Namenbuch and a comparable and equally welcome ofîer from Dr Priuli. ' XIV. Sicily: not yet begun, but possibilities are being discussed. XIV. N. _Africa, Spain, Gau/, Swifzerland, Germanies, Auslria: not yet begun. XIV. Brilain: completed (R. P. Wright). - Yugoslavia: in progress (Prof. F. Papazoglou and Dr L. Jagust, Beograd). - Romania; in progress (A. Stefan). Mainland Greece is completed (D. Nash). v) Numismalic malerial. vi) Archaeological material, vases, etc. For one category of this material, amphorahandles, we have secured ofîers of help !rom Miss V. Grace (Albens) and Dr Brashinsky (Leningrad): work is now just starting on other categories (A. Johnston). vii) Papyri. In progress. The modus operandi is by publication series (P. O:,;y1....., P. Tebt. I -+, and so on), not starting !rom Preisigke's Namenbuch or Foraboschi's Onomaslicon. Our last count of the number of slips compiled was made in May 1975 and then stood at ca. 52,000. We hope not to exceed the original estima te of 10 years for the compilation.

6.

FORMAT,

This will closely follow the lay-out of the original quanta of information. NAMES will be in straight alphabetical order, hypochoristic forms being inserted as appropriate. FORMATION. We envisaged !rom the start that the Lexicon should carry linguistic and bibliographical notes on formation, derivation, etymology, etc. Professor Masson has agreed, I am happy to report, to provide these notes. The ROSTER of attested persans bearing the name will be arranged: i) geographically-in IG order and then in Bull. order; and ii) chronologically within each geographical section. Source-references will be abbreviated drastically. i) If the person concerned has an entry in RE, then ail references to him are replaced by an entry of the form RE I 720 (17). ii) Such references may be supplemented by references to, e.g:, Berve, TGF•, !3A, FGH. iii) Persons not in RE and known from one reference only ~Il of course be ~ven that reference: if they have more than one reference only one salient reference WIii be selected, but we shall use some siglum to denote the presence of other unreported references.

,T. K,

DA\ïES

470

7.

COMPL'TERIZATION

AND

PUBLICATION.

. ter' at everv ,iossible ~tage. (i) Problems of publication_ We have dee1dedto use compu s , r . . // 1 . . . d'd ("") tl1 oblem of mcrging into one serw:; a l ie Y:1r10us scries of 11 s suggeste~ thi , asb ~ tedp~v our compilers. The latter L1~k incrcases C'XJWI1enti,1lly cardcrea. e cl also ., . ' kPpl . , which were emg f d presents the dilemma t l1a 1·. 1•1·11w,_· sent'~ mus t ,ie w1th the number o car s, an . 1 ' 1 . 1 . ·t separate till the end or sub-editing is delayed t1ll t 1t' en~1. n ~ ~'.n'.:b ' i) such a sorting process is natural an~ easy for a. LO~n.pu:~~, ii) ,ve shall be able to take separate prmt-outs at _an) stai:-,l, iii) processing the data can begin at any stage; and. iv) even after final merging it will ahvays br po~s1Lle to add

print-out selected data.

.

HP\Y

_

information

:inrl to

.

Since our first attempt, to use a rommercw.l f1r~1, broke do,, n, we Hrc nm, condu.ctmg

an experimental programme on the Oxford UmHrs1t.y computer. Il e111ergest.hat 1) t.he maxima of 80 charact.er-spaces on the data-cards and of 64 charneters on the computer keyboard do impose severe limitation~ on the arnount of 1nformatwn

we can eonvey in

each quantum, and ii) that. many detmled problems of format ha\"C to be solved now, but also iii) that the programme w11ldo what we want 1t to do. 8.

PROBLEMS.

First, some we think we have solved. i) Persons from Rhodes but attested in Athens will appear under the geographical heading Rhodes, probably with a crossreference inserted under Alhens. ii) Patronymics and teknonymics are being inserted, when known, in brackets at the end of the SOURCE field. iii) Greek names attested in Latin sources and in Roman script will be catalogued after the geographical listings in a separate section. iv) Pan-Greek common names will have to be covered, not by a complete listing, but by an editorially compiled description of the frequency and distribution of the name concerned. Secondly, six unsolved problems. i) How should we deal with double-barrelled names such as Diodoros Pasparos, or nicknames ? ii) Roman nomina are a special case, especially with onomastic hybrids. For the moment w~ are takmg the 'Greek name' as the point of reference, but the papyrologists are protestmg. iii) Athenian demotics will have to be inserted somehow. iv) The computer cannot cope with digammas, koppas, etc. v1 We ~re ~ot clear what to do about fictional and legendary names. vhi)We mchne at present to a once-for-ail publications, not to publication in fascicules: bu t t at depends on computer goodwill.

DJCTIO'."'INAIRES

ONOMASTIQUES

DISCUSSION

471

DISCUSSION :M. DtivAL introduit la discussion sur les projets techni ,. Fnz r-t DAvrns en rappr-lant les questions qui peuvent sep~~=:~ mdex ou recueils de MM. M6csvl O Doit-on faire des recueils généraux ou travailler sur u · MM. M6csv Pl Fil.z "? Qum't'S :rn n'll rel e u. npt':;; en l'as e 1cso1n (M. Kajanto a publié ses listes sans références precises). M. DAUX souligne que Jïndex onomastique est_plus facile à fairP pour le grec. Le ~ro~et exposé par M. Davies lui parait en très bonne voie et très ~mportant. II prnse_ co~n1C•_i\I. 13arb1e-r1que tous les nomina doivent être intégrés dans un index general des _c_o~nonu~a mdept>nclarn_ment de leur présence dans l'index par gentilice. Il in~iste sur la non-~abil1te ~es mù_ex onoma.st1que~ actuels, surtout les plus anciens. Hélas la vérification sur chaque pierre est 1mposs1ble.

M. PPLAUM juge le nouvel index du tome VI du CIL: projet. très ambi_tie.ux qui t"nregistr~ to_us les mots avec toutes les occurrences (75 p. pour le A), très couteux pour les b1bhot.hèques, très d1ffic1le à manier pour les non spécialistes (il faut refaire, après, des index classiques) mais très ut.ile au tolal. M. PANCJERA t richiarna rattenzione su un pericolo che gli pare si vada correndo, cioè di disperdere le energie e di cadere da un opposto all'altro : prima nessun repertor~o onomastico, ora tre o quattro 1 alcuni dei quali almeno in parte sovrapponentisi. Non vuole con cio scoraggiare chi si sobbarca a compiti cosi gravosi e ulili, ma crede che un certo coordinamenlo sarebbe utile e coglie l'occasione per ribadire la sua disponibililà e quella di chi lavora con lui per qu:alsiasi forma di collaborazione proficua in questo campo. Se anche esula dall'argomento stret.tamente onomast.ico, coglie d'altronde l'occasione per richiamare alla mente di tutti. insieme con il prof. Pflaum, anche la preziosa esperienza costituita dall'index vocabulorum di CIL, VI a cura di Jory e Moore, per raccomandarne (con eventuali perfezionamenti) l'estensione a tutto il materîale epigrafico edito in CIL, in primo luogo, e in seguito anche altrove. La proposta di costiluire una banca complet.a di dati epigrafici schedando con l'ausilio dell'elaboratore elettronico tutte le parole (e relativo contesto) che compaiano in tutte le iscrizioni latine edite (con il completamento della schedatura di CIL, VI si è già a buon punto) e già stata !atta con convincenti argomentazionî da E. J. Jory (Towards a Data Bank of Latin Inscriptions, m Bull. lnsl. Glass. Stud. Univ. London, XX, 1973, p. 145-147). L'Associazione Internazionale di Epigrafia dovrebbe appoggiare in ogni modo questa iniziativa globale da cui potrebbe facilmente muovere in seguito ogni tipo di ricerca di dettaglio i.

c:u:-.:ctusw;,,; -

(
-. Hilaritns, IZI, 4-11. Hilarius/a/n, 121. 1-Iilarns/a, 1'21. Himilcho (pur1.). Annobal Hirni/c/wnis f. Tapnpius RuJ'us, 316. Hipparchus. Ti. Cl. Hîpparchus, 185. L.

Vibullius Hîpparchus Ti. Cl. Atticus Hcrodes, 179, 182, 185. Hippiane, 121. Hippolytus/a, 121, 434, 435,440,444. Hipponicus, 358. Hippocrales, 'Ircrcoxp&.'O')ç, 410. rutile HfPUCRATES (étrusq.), 26. Homerus, 121. Honoralus/a, 121, 434. C. Arr. Calp. Fronlinus Honoratus, 181, 185. Ho noria, v. Honorius. Honorinus, 121. Honorius/a, 121, 424, 434. Horatius, 329. Horca, 121. Hospes, 121, 331. C. Vellius Sabînianus lulius Hoepes, 181. Hostilius, 121. HULXENA /éltusq.J. velOur HULXENA, 31. Humanius, 242. Humillimus, 121. Hyacinthus, 121. Hygia, v. Hygius. Hyginus, 121. Hygius/a, 121, 368. Hylas, 121, 358, Hymnus/is, 121. Hyperechius/a, 121.

Iacchiue, 358.

Iacob, Iacobus, 312, 440, lantu1ua, 268. lantumarua, '265, Ientuma'rus.

268 ;

v. a.uasi

INl)EX

l:-rn11arius/a,_ 1·21, 'WO d n. 6, '257,' 20-1.' 332, 35~, s1•rpii1:1, 1:m. Prosl1od11s, ~\l>i°'. Pr11larcl111s, l3P. Prul ;1s, :1;,~. Prnl,·111!~, 1.1\l. Prnlhy11rns.

llp6üu1.wc;, 130. ltiH.

Prol Og"!'lll'S/ia, 130, 3li8. Prolonrndnis, l ~m.

Pro! us, 1:fü, :l5t-:. Pn,vindalis, 130. Psyrhal'ion, 131. Psyehuris, 131. Plokmaeus, llTo/,eµo:.î:o.:;, 131, 409.

Publianus, 131. Publicius/a, 131, 253, 3'24, 356. Publicola, 245. Pudens, 131; v. aussi Pudenliana, Pu.o.cx, 406. Rufus/a, 'Poücpot;/cx, 26, 65, 66, 68, v. nu~si Quarti~nus, Quar:icus, nesculurme, 'Pl}axou--ropµlj (lhrau), QuarL1lla, Quarlmus, Quarlto. 132,179,216,292,294,316,367, 348 360 3 400; v. aussi Rufllla, Rufinianus, QuîncUo, 1 1. Re!ô;pectianui=:267. Quinctius/a. Respeclinus, 257. Ruflnus, Ru0us. Hedii RuO Lolliani, 181, 188. D. Quinctius, 195 n. 'l. Respectus/a, '257, 398; v. aussi L. Quinctius L. r. L. n. Cincinnatus, Q. Tineius Rurus, 179, 181, 199. 178 n. 1. Respeclianus, Re.speclinus. Mencilia Rufa, 193. L. Quincti(us) L. r. Gela(sinus ?), 68. Restil.utianus, 267. Rullus~ 132, Restilulus/a, 131, 'l57, 258, 263, 331, Quintianus, 631. 'Puiu"tœÀlJVOÇ. Sexlio, 133. Soüus, 134. Sextiola. Skerdilaidas, 371. So:aomenus, 134. Firmia Sextiola, 275. Exndv,v. Scipio. Sozusa, 134. Sextius/a, 181, 329; v. aussi SEG- Extmi>v, 316 Emîvtoi;,. 417. TrOS. ExpLi; (thrace). 344. T. Sexlius Lateranus, 181. ALOVÛOLOÇ • Av·nq,O.Ou O xa:l Exrupu;, l:~. I;n-cr:pfflXOÇ,344. 348. Sext. Torquatus, 181. Spedius, 366. Sextula, 133. Tcxpou).cr:i;&t&uo,; {6 xJ«l 1:Xpu;, 348. Sperantia, 134. Sextus/a, 133,370; v. aussi Sextianus, Sloradi (Croate, gtn.J. Speraüan~ 331. Sextilius, Sextio 1 Sextiola, SexDamianu.s fllius Sloradi 370. tius, Sextula. Speratus/a, 134, 331 ; v. allllÎ SperanSmaragdus, 358. Siculus/a, 66, 133. lia, SperaUanus. Smer-, 359. Siddin, 312. Spes, 134, 441. Spesinde-o, 440, 451. SOCEDEIAVNIN (iWr.), 28o. Sidifan (libgq.) 1 302, 310 n. 3. funii Silani, l 79, 180, 189. Silenium, 133.

S\'litl'1lJlh11:-.

Spinlhrr, 134, 194, SplttndMlii'Us, 134. Spuria, ,-. Spurius, •

:-=.vri:u•11-..

.

H.

134. Stabilis, 13-1: \'. :rnssi Sh1t'lili1). Stacte, 134. Slag(on), 68. Staienus, 54. St.aphylus, 134. Stasîme, 13-1. Stasilht-mi~, ~-moi&µu;. l$t, .H)g, T. CL Stasithemis. 1:0:1, l::', t;c" T~,p~;piu-:-, ·.~Il> T,q,p,1, l:Jf>. T:1rn, ;18;-:. T:1rasi~.

3G!.

Taravo:-. ti!l. T\lfi'ntinus, 13f1, Tn1·,·nt,•i11u:-, 68. Tarins, 3Sl>.

To:pouÀo::;;(lhrari• ). Tapou),aç Detûuoç [6 xJcd ~X.,s. ·:~,~,. \'ebrum:,r:rnuleius ·? 361). Victrîx, 137. i VittienusJa, 200 n. 7. V1:rpidiu.;:, 360. \ïctura, 258. : VîtulUB, 137. \',:rullu;;, 2218. Vi!ûlantius, J 37. 1Vîvania 137 v~gilius, 137. Viventi~, 332,432, 4.33. Vnus, 137, "201 n. -1, 258, ~L Annius Verus, 180, Ii:17. \"marius, 2---12. : Vivenus, 255. 1 Vo:rzo, 3;)9, 371. ! Vincenlius/a, 137, 332, 39'2, 434, 4~,] Vî.venniu.s/a, 197 n. l. Verzovia, 359 . i 439, 453. : VLATCAN"I, VLATOCA.~I, VLA212 VesJerius, · Vincetdeus, 451. ! TOA~I (alt.J, 2ïl, 276. Vespasîa, v. Vespasiu;;. ! Y!nd-, 376. 1 Voccio, 251,376. Vespasianus, 180, 182, 190. \'mdem.ius, 137. 1 Vogiloutus (ull.J. T. FI. Vespashmus, 180, 1&7. \ïndex, 13.ï, 331; v. aussi Vindi.eiaC. Julius Vogiloutus, '259. Vespasius/a, 180, 182, 187, 190; v. nus, Vindicius. Volcus, 376. aussi Vespasianus. Vindîa, 360. Volsingo, 388. Vespasia Polla, 180, 182, 187. Vindicianus, 331. Volso, 3n. Vesucloti ( gén.), '286. Vindiciusfa, 137. Volsus, 370. Velilius, 3'29. Vîndilus, 261. Volliomnus, 376. C. Fabius Fabianus Veliliu.s Luci- Vindo, 253; v. aussi Vindonius. Vollisema, 254. lîanus, IB2. Vindonius, 2:53. Voltissa~ 3ï2. Vettenius/a, 196 n. 4-5, 197. Vinent-, 359. Voltuparis, 376. Veltius/a, 137, 181, 356. Viniocus, 37'2. Volumnius, 65. Vellii Grali:, lSl. VINUCENA \élrf.Llq. = oaqu.~VlNU- Volusiana, 137. Veturius, 356. KrIS), 26. Volusius/a, 138, 100; v. aussi VoluVezpant-? 359. Viola, 137. siana. Violens, 137. VolusüSatunûn.i, 178,179,180,186. Viator, 137; v. aussi Viatrix. Vipsanius. Volusîa Torquats., 186. Viatrix, 137. Vibenna, 255. Vipsanius Agrippa, 183. Llcinia Cornelia Volusia Tm-qua.ta, avile VIPITENNAS (ltrusq.), 28. Virgula; v. aussi Virgulina. 186. Vibenus, 251, 255, 258, 376. Julia Virgula, 190. Vopiseus, 28. Vibianus/a, 137, •258; Bibianus, 331. Vi.rgulina. L. Pompeius Vopiscus C. Anunliua Julia Virgulina, 190. Catellius Celer, 183. Vibîus, 67, 137, 257, 258, 356. Vibuhmus, 65. Virialus, ts7. Vulvan-, 138. Virius/a, 287,324; v. aussi V1flR11S. Vibullius/a, 179, 182. L. Vibullius J:lipparcbus Ti. Cl. L. Virius AgrieoJa, 181. Xanlhias, 138. Allicus Herodes, 179, 182, 185. Q. Virius EgnaUus Sulpicius Pris- &vu.,-.., 406 .. OùEtÔoÛÀÀtoçl;mivt~, 417. eus, 182. Xenopbo~ 358. M.. Atilius Met.mus Bradua CauciQ. Virius Lucius Sulpicius, l~. Xyslus, 138, 440. dius •.. Atticus Vibullius 7 Pollio L. Vîrîus Lupus Tulianus. 1S1. Gavidius Latîaris Atrius Bassus, M. Rubrenus Virillb Priseus •.•, 183. Zab-, 318.. 183. Vironus, 287. Zabda. 218. Ti. Cl. Herodes L. Vibullius Regil- V1RRifS (o.tque = Vfflus}. Zabdibol 1 361. lus, 185. Tr. V(RRIE(S Kenssurinei.s, 37. Zaconus, v. Diaconus. VibuJlia Alcia Agrippina, 185. Visellius, 377. Z«u=, 3-iS. OùE(ÔOull&a: Ilolleîw. 1 417. Vitachristi, 435. Z.i?;~. 348. Victor, 137, 258, 294, 330, 390, 432, Vitallanus, 137, 258. Zelas, 138. 433 434 439, 451, 455; Vitalinus, 137. 1

138.

1

1

1

v. allSli. Victoria, Victorianus, Vicloricus_ Viclorinus, Vietorius, Vletrix, Vitori\ll. Am. Victor (393}, 426.

z~.

a«. Vit.alio, 137, 258. Vitalis, 137, 258, 273, 356, 357, 389, Zeno 1 138, 358. 361. 390, 39'2, 43-?, 433, 4-34 ; v. aussi Ze.nobi.us,138 ; Zeaovius, 358. Vilalianus, Vitalinua, 'Vîtalio, ~406.

Zosi1n1h, zonas,

Zt>ra, -~-i3, ·Z-1~Zt>tzi, 360. zruxis, 358.

zom·, !38. Zopyru~. 138. Zora, 361znsn~. 13,,;:_ zo:,;in1t•, 138, ,.,., 1, 1•11nd,1 P!lr1_·i,~::::,

Zia, 3-iS. zmaragdus,

13:-, 358 ·

Zot>, !38, 358.

Zoilianu::., 358.

,

ZoillUS, J3S.

-

Zoilus, ZWLÀOÇ, JJt-, J:JB, .w,; Zoilianus,

13S; v. ttusl>i

. aussi



I

·!00 ,,.t

Il,

Z1llH'

Lolll'll'-, Zr1il•;d, '/,1'\llll:1

Zru1ll:ll\ ,,1 q11al'

-; ·

Zosi.nlhilHl~, 13t-, zosirllillll, J3t,::.

z(:)r;q1_t1:,

1:1:-s,;1~1~, l lG n_ ·l ·,

1

Zn~i1ni1

:tll'-"

/,d/.illll",

/.1l('i':tl'llh,

l :\,':(, :-1:,:-S. :>.ns. //i/,!fi].), :l()'.I, JI 1 ,1i1,1,,7.}, :1u'J, :311

:rlJ, :n·..,>

7.l '-X:l I filr,1.~q.) l:tl,·•·•·

~l:::•-"

Ï.